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Par : le 13/07/25
Avant propos : Ce texte reprend le récit de ma Merveille Infinie d'Amour intitulé "Une semaine presque ordinaire - épisode 9" . Mais cette fois-ci narré non pas par elle, mais par moi son Maitre.  En voici la première partie. La seconde suivra très bientôt. **********************   Elle était là. Debout. Dos à la porte. Dans cet abandon volontaire que j’aime tant observer. Le silence qui emplissait notre salon amplifiait sa vulnérabilité et sa beauté. Je pouvais presque sentir ses pensées s’agiter, s’enfiévrer. Je sais désormais comment elle fonctionne. Je connais ses silences, ses hésitations, ses bouffées de désir et d’inquiétude qui jaillissent dans le vide que je crée parfois pour elle pour l’emmener plus loin, l’élever. Dans ces moments-là, elle n’est déjà plus tout à fait elle-même… elle se transcende … elle se jette dans l’inconnu … elle devient mienne, dans l’esprit, dans le corps, dans le souffle. Elle se sait être en confiance et elle devient alors ma parfaite complétude. Elle l’ignore encore, mais je suis là. Derrière elle. Je l’observe. Depuis un moment. Elle est juste magnifique. Splendide. Troublante. A la fois forte et fragile. Ses frissons me parviennent. Elle est déjà perdue entre son désir d’en savoir plus, ses craintes et ses désirs. En ces instants, impatiente et curieuse, elle laisse son esprit vagabonder. L’excitation la plonge dans ses souvenirs. Je le lis dans le léger mouvement de ses hanches pleines et de son cul rebondi… dans sa respiration que je devine plus lourde et qui soulève sa lourde poitrine ... J’ai su réveiller et développer en elle son coté lubrique et indécent. Elle l’assume désormais. Elle aime se comporter avec moi comme la petite salope qu’elle a toujours été mais n’osait s’avouer être. Elle aime aussi faire sa brat pour mieux faire surgir en moi le Loup primal, le mâle Alpha qui alors la domine et l’utilise à sa guise, juste pour son plaisir. Elle aime devenir cet objet sexuel, cette proie soumise aux perversités de son Loup. Elle y trouve un partie de son épanouissement. Mais plus encore elle a su trouver et prendre toute sa place. Plus que ma soumise, elle est ma Sublime. Une Princesse Putain, une PP, comme elle aime à le dire. Elle est bien plus que ma soumise, elle est la femme que j’aime. A la fois Déesse vénérée et soumise utilisée ; Femme aimée et femelle offerte ; Chérie adorée et chienne dévouée. Elle est mon Tout. Sans elle je ne suis rien. Je ne suis son Maitre que parce qu’elle daigne être ma soumise. Aujourd’hui encore elle m’a prouvé son amour profond, sa pleine dévotion, sa totale soumission. Pas seulement en se promenant en ville avec moi le poignet en laisse, fière d’être attachée ainsi à son Homme, son Maitre. Pas seulement en assumant avec fierté son statut de soumise découvert par la vendeuse du grand magasin. Mais plus encore en s’agenouillant devant moi. A mes pieds. En public. Dans ce restaurant étoilé où nous fêtions le 9e mois de notre vie commune. Un infini sentiment d’honneur et de fierté m’avait alors parcouru des pieds à la tête. Allant jusqu’à humidifier mon regard rempli d’amour en la voyant à mes pieds, tête posée sur ma cuisse. Perdu dans mes pensées d’amour profond et d’admiration pour elle, je la regarde encore. Elle a choisi une tenue parfaite dans le grand magasin où je l’ai laissée cet après-midi. Et elle s’est préparée de manière exquise pour notre soirée. Elle a un goût sûr. A la fois élégant et délicatement indécent et suggestif. Cette longue robe noire aux fines bretelles en chaines dorées mettant son dos à nu jusqu’à la chute de ses reins et délicieusement ouverte sur les côtés lui va à ravir. Ses escarpins à talon doré au-dessus en résille noir enlaçant sa cheville ajoute une autre touche d’élégance et cambre plus encore sa silhouette, laissant à deviner ses fesses amples et rondes. Son chignon haut dégage son cou où je vois qu’elle a choisi de porter le premier collier que je lui avais offert, alors qu’elle n’était pas encore ma soumise : un collier ras du cou en or d’où pend au centre un anneau torsadé. Un cadeau message qu’elle avait alors immédiatement compris. Je m’approche en silence. Elle ne bouge pas. Elle n’entend rien, portant les bouches-oreilles que je lui avais ordonné de mettre. Elle ne me voit pas, portant le bandeau de soie noire que je lui ai donné. Ses bras le long du corps, elle est là. Offerte. Immobile. Dans l’attente. Lorsque je passe ma main le long de son dos, je la sens frissonner. Je lui retire un des bouchons d’oreille et me penche contre son oreille et lui susurre d’une voix chaude : «  Je t’observais depuis un moment … et tu étais loin dans tes pensées ma Mia … tu es déjà excitée et tu me raconteras plus tard ce qui te captivait.  Tu es magnifique : tout ce que tu as choisi est superbe et te va à ravir ; une tenue parfaite pour te magnifier un peu plus. Nous allons commencer bientôt. Je vais te remettre le bouchon. Et je l’enlèverais une fois que Vivaldi viendra rompre le silence. Tu seras alors ma chose et tu obéiras, tu me rendras fier et honoré de te posséder. Et n’oublie pas ton safeword. Et surtout que je t’aime infiniment » A ces mots, je la sens frissonner de plus bel. Je la saisis par le cou et l’attire contre moi, renversant sa tête. Tout en serrant son cou je l’embrasse langoureusement. Amoureusement. D’un amour absolu, possessif, exigeant et animal, mais aussi respectueux, protecteur, symbiotique et sacré. Je replace le bouchon d’oreille déposant un dernier baiser sur ses lèvres et je la laisse là. Je la vois se remettre en position. Ecartant légèrement ses jambes comme je le lui avais ordonné. Dos droit. Bras le long du corps. Tête baissée. Elle est superbe. Elle ignore sans doute combien je l’admire à cet instant : sublime dans son appartenance et sa confiance en moi, en Nous. J’entends la sonnette de notre demeure carillonner et je me dirige vers l’entrée. J’ouvre la porte. Ils sont parfaitement à l’heure. Mes amis et complices Alban et Ousmane. « Bienvenu chers amis » leurs dis-je en les saluant. « Merci d’être venus ». « Merci infiniment à vous pour cet honneur, cher MJM » me lança Alban tout en me prenant dans ses bras. « Oui, nous sommes heureux d’avoir été conviés à ce moment précieux » prolongea Ousmane. Je les avais choisis pour cet instant unique. Pas au hasard. Je connaissais Alban depuis fort longtemps. C’était un homme d’une cinquantaine d’années à la présence rayonnante et écrasante. Il émanait de lui une domination naturelle, ciselée comme un gant de cuir. Homme d’une grande classe, il avait ce calme glacial des hommes de pouvoir : il ne prenait jamais… il réclamait … et le monde s’ouvrait. Tout en lui respirait la maîtrise millimétrée : le pas mesuré, le regard toujours un demi-ton en retrait, les gestes précis. Il traiterait Mia comme un objet rare : avec une froideur élégante, mais une fermeté sans appel. Et je savais, par expérience, qu’il pouvait se transformer aussi en un Loup primal froid et bestial, oubliant toutes les convenances qui le caractérisaient au quotidien. J’avais rencontré Ousmane plus récemment il y a quelques années dans une des soirées entre personnes averties que je fréquentais. Bien plus jeune – il devait avoir une petite trentaine d’années – c’était une jeune Maître noir aux muscles taillés comme une sculpture vivante. Plus jeune, plus chaud, plus direct. Il avait ce feu dans les hanches, ce magnétisme brut, une virilité que Mia ne verrait pas… mais qu’elle ressentirait dès le premier contact. Son sexe, lourd, épais, long, impressionnant même pour moi qui connaissais l’effet qu’il provoquait chez les femmes, serait pour elle un choc. Non visuel, non anticipé. Mais instinctif, viscéral. Une domination par la chair, par l’ancrage, par la densité. S’ils étaient différents et donc complémentaires, ils étaient unis par quelque chose d’essentiel : le respect. Ils savaient que Mia n’était pas un jouet de circonstance, mais une femme offerte par amour. Une soumise forgée, sculptée, guidée par moi. Ils savaient que ce qu’ils allaient faire n’était pas de l’ordre du simple plaisir, mais du rituel, de l’éducation, de la louange par l’usage. Elle, les yeux bandés, ne saurait pas (pas ce soir en tous cas) qui l’aurait prise, qui l’aurait fait trembler, qui l’aurait fait pleurer de jouissance. Mais elle porterait sur sa peau, dans son sexe, dans sa bouche, sur son corps et dans son âme la mémoire exacte de leurs contrastes. Et moi, j’allais bientôt la regarder vivre ce don. Guidée et tenue entre l’élégance de l’expérience et la force sauvage d’un Maître jeune et bien pourvu. Le tout sous ma direction, ma protection, mon ancrage et mon amour. Je les fais entrer dans le salon. Alban me prend le poignet, le regard vissé sur Mia. « Elle ne vous entend pas cher Alban. Elle a des bouchons d’oreille » lui dis-je, pour lui permettre d’exprimer ce que ses yeux me disent déjà. « Oh mon Dieu. Elle est superbe, MJM » me souffla Alban. « Quelle élégance dans sa position  ! » « On comprend mieux pourquoi vous vous faites si rare à nos soirées depuis plus d’un an » renchérit Ousmane dans un sourire. « Merci Messieurs » répondis-je dans un sourire affirmé, fier de voir la convoitise et le désir dans leurs yeux. « Elle est effectivement splendide à tous points de vue ». « Je vous sers un verre ? » continuais-je. « Un petit Dalmore de 35 ans d’âge, cher Alban ? » « Avec plaisir. Vous savez définitivement bien recevoir, cher MJM » me répondit-il tout en gardant les yeux fixés sur la croupe de ma soumise. « La même chose » dit Ousmane. « Installez-vous dans le canapé chers amis. J’arrive avec vos whisky ». Ils prennent place dans le canapé. Ils ne quittent pas Mia des yeux. Pour mon plus grand plaisir. Ma plus grande fierté. Je leurs apporte leurs verres. Sans glace comme il se doit pour déguster ce divin nectar. « Elle est encore plus excitante vue de ce côté » me lâche Alban en portant le verre à ses lèvres, tout en continuant à quasiment dénuder Mia de son regard empli de convoitise. Je souris.  « Mettez-vous à l’aise chers amis. Vous êtes ici chez vous » en leurs tendant leurs verres. « Nous allons bientôt commencer. Je vous ferai signe en temps voulu ». Sur ce, je me dirige vers l’ampli B&O du salon et y place mon smartphone. Les Quatre Saisons de Vivaldi emplissent la pièce. Et je me dirige vers Mia, toujours parfaitement immobile devant la table basse de notre salon. Elle est définitivement magnétique dans cette position d’attente. Je sens mon sexe commencer à gonfler. L’odeur enivrante de « Dévotion » , son parfum, caresse mes narines. Je me déplace elle, juste devant la table basse et je caresse sa joue. Je la vois frémir. Et je lui retire ses bouchons d’oreille. Elle reste silencieuse, mais je vois sa bouche s’ouvrir. Et un léger soupir s’en échapper. Je pose ma main sur son épaule et y applique une légère pression. Instinctivement elle se met à genoux, relevant légèrement sa robe pour pouvoir aisément se mettre en position Nadu. Par ce geste elle dévoile subrepticement le bijou absolument superbe qui orne sa cuisse : trois chaines dorées enserrent sa cuisse, reliées et fermées par une tête de loup … C’était donc cela le cadeau qu’elle voulait me faire … Sublime soumise … Ma petite louve adorée … Enchainée volontaire à son Loup … Dieu que je l’aime … Dieu que je suis fière d’elle .. Je presse de nouveau son épaule et elle comprend : elle place ses mains dans son dos, lève la tête et ouvre largement sa bouche. Offrant son cou. Bombant sa poitrine. Je vois que son corps tremble doucement. Sans doute intimidée par l’instant. Je lui caresse la joue pour la rassurer. Je me déplace et m’accroupis derrière elle. Je dépose un baiser sur son épaule. Elle tremble de plus bel ; laissant échapper un gémissement. Je sens ma queue se raidir de plus en plus dans mon pantalon de lin. Je sors de la poche de ma veste en lin un bâillon O-Ring et le place sur elle. Je la sens se contracter. Faisant des efforts pour accueillir au mieux le bâillon qui ouvre sa bouche de façon indécente. Alban et Ousmane ne perdent pas une miette de ce spectacle. Les yeux rivés sur Mia, ils caressent leur queue déjà gonflée qu’ils ont sortie de leur pantalon.   Je me relève et viens me placer devant ma soumise. Dans un geste volontairement bruyant pour qu’elle puisse anticiper l’instant, j’ouvre la boucle de ma ceinture. Je tire lentement ma ceinture et la fait glisser sur ses cuisses ouvertes. Je la vois tressaillir. Mais elle reste en position. Parfaite. Offerte. La salive monte déjà dans sa bouche. Je défais le bouton de mon pantalon, tire la fermeture éclair et laisse tomber mon pantalon à mes chevilles. Dévoilant mon sexe déjà raide d’excitation. Les notes divines de Vivaldi emplissent doucement la pièce, enveloppant l’instant d’une intensité quasi solennelle. Mia, à genoux, semble en absorber chaque vibration, chaque note, comme si la musique parlait à son corps. Je ressens l’émotion circuler en elle. Ce frémissement infime qui parcourt sa peau. Cette tension délicieuse entre l’appréhension et l’abandon. Je saisis son chignon et guide sa bouche béante vers mon chibre turgescent. Sa bouche s’offre, avide et tendre, accueillant ma présence avec une dévotion silencieuse. Je pénètre ce sanctuaire qu’elle me réserve avec une autorité fluide et assurée. Elle m’engloutit avec un mélange de docilité et de passion, ses lèvres formant un écrin vivant autour de moi. Mon mouvement est d’abord lent et mesuré. Elle salive abondamment. Sa bouche est chaude. Je sens sa langue tourner sur ma queue. Après quelques instants, plus besoin de la guider … elle vient d’elle-même insérer ma queue de sa bouche béante. Elle s’empale littéralement sur elle. L’amenant de plus en plus profondément en elle. Sa gorge s’ouvre à moi. Et je m’y glisse. Progressivement. Comme on entre dans une cathédrale faite de chair et d’extase. Elle a un art confondant de la gorge profonde… Ma queue grossit encore … Des filets de salive coulent de sa bouche … Avant de perdre pied et de lâcher les rênes de la bête qui monte en moi, je tourne la tête vers Alban et Ousmane et leur fait signe que le moment est venu. Ils s’approchent. Lentement. Solennellement. Conscients de la charge émotionnelle du moment, de cet instant sacré. Ils se placent à genoux de part et d’autre d’elle. D’un signe de la tête je confirme mon autorisation. Et ils commencent à la caresser. Au contact de ces mains sur son corps, Mia se fige. Elle a un léger mouvement de recul et laisse échapper ma queue de son fourreau buccal. Elle a compris. Le moment est venu. Ce soir elle est offerte. Je l’ai préparée à cet instant. Lentement. Patiemment. Nous en avons parlé. Nous en avons rêvé. Nous avons écrit cette scène ensemble. Ce soir, je lui offre l’accomplissement d’un abandon ultime : être honorée par d’autres, sous mon regard, sous mon autorité, sous mon amour. C’est une étape importante. Pour elle. Pour Nous. Un palier supplémentaire dans son abandon et dans la découverte de son moi. Je regarde Alban et Ousmane. Respectueux, ils ont déjà retirés leurs mains. Le temps est suspendu. Je laisse le temps nécessaire à ma Merveille Infinie d’Amour d’utiliser son safe word. De décider elle-même si elle souhaite poursuivre ou arrêter là. Mia reprend ma queue en bouche et l’enfonce en elle jusqu’à la garde. Signe sublime de son acceptation de poursuivre cet instant. Je grogne de plaisir. Je la tiens par la nuque. Fermement. Ses mains restent derrière son dos. Elle ne bouge pas. Comme rivée à ma queue. Je sens sa gorge s’adapter dans de gros efforts pour me garder en elle sans suffoquer. Je sens le souffle de sa respiration s’échappant de son nez, un souffle chaud et humide qui caresse les poils de mon pubis. Les mains d’Alban et d’Ousmane ont reprise l’exploration de son corps. Caressant ses seins au travers de sa robe. Courant sur son dos. Palpant ses fesses rebondies. Elle est magnifique dans son offrande. Elle s’offre. Entière. Abandonnée. Elle devient le prolongement de mon désir, une offrande vivante. Malgré sa vulnérabilité, elle rayonne d’un feu profond. Sa confiance me bouleverse. Je la besogne de plus en plus fort. Lui permettant de reprendre sa respiration, avant d’enfoncer de nouveau mon chibre dans sa bouche dégoulinante de salive chaude. Je lui défonce la bouche et la gorge. Prenant possession de ce qui est mien. Je rugis comme un Loup en rut, encouragé par ses propres gémissements et sa respiration saccadée. Après une dernière gorge profonde délicieuse, je me retire. Je la vois chercher ma queue comme une femelle aveugle en manque. Bougeant sa tête en avant de gauche à droite, en espérant la saisir pour l’engloutir de nouveau en elle. Elle est si belle lorsqu’elle a perdu toute pudeur ainsi. Lorsque seul son désir guide son être. Je m’agenouille devant elle. J’écarte sa robe et dévoile ses cuisses. Je reste quelques instants stupéfaits par la beauté et l’élégance du bijou lupin qui orne sa cuisse. Je glisse ma main vers sa chatte. Elle est trempée. Ouverte. « Quelle bonne chienne elle fait ! Quelle putain magnifique ! » me dis-je en moi. Heureux de constater qu’elle profite pleinement de l’instant comme en témoigne son puits d’amour dégoulinant … mais aussi les gémissements qui sortent de sa bouche alors qu’Alban et Ousmane continuent de la caresser … Je glisse deux doigts en elle. Je la pénètre avec une facilité déconcertante tant elle est ouverte. Comme un crochet je referme mes doigts contre sa paroi et la tire vers moi. Fermement. Dans un geste sans équivoque de pleine propriété. Sa tête part en arrière dans un râle rauque. Un râle de chienne soumise. Un cri d’appartenance. Un son de reconnaissance et d’acceptation de propriété envers son Maitre. Je sens sa cyprine recouvrir de plus bel ma main. Elle coule de manière indécente. Toute proche de l’explosion. Je sens qu’un sourire primal barre mon visage. « Elle est prête à être votre objet Messieurs ! » m’exclamais-je en regardant Alban et Ousmane. «  Cet ustensile lubrique m’appartient et vous l’honorerez comme il se doit. Vous avez 30 minutes » continuais-je, sachant que c’était à peu près le temps qu’il restait avant la fin des 4 saisons de Vivaldi. « Quant à toi Mia, relève-toi.  Je vais t’aider à enlever ta robe ». A ces mots je la prends par la main et l’aide à se relever. Alban et Ousmane se relèvent de même, abandonnant pour quelques instants le corps de ma soumise. Mia se tient devant moi. Superbe. Je fais glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules. La robe s’effondre dans un mouvement fluide à ses pieds. Dévoilant toute sa nudité. Elle a choisi de ne rien porter. Ses seins sont gonflés. Ses tétons pointent avec arrogance. Témoignages s’il en fallait d’autres de son état d’excitation. Je remets bien en place son bâillon O-Ring. Sa salive coule encore le long de son cou … pour s’insinuer comme un delta de fleuve sur sa poitrine … Son souffle est court … Elle est sublime d’indécence … Je dépose un doux baiser sur ses lèvres gonflées, recouverte d’un reste de gloss brillant qui les rend presque impudiques en cet instant … Elle essaie de me rendre ce baiser, mais ne le peut à cause du bâillon O-ring. Alors elle sort sa langue et me l’offre dans un abandon plein d’amour et de reconnaissance … Dieu qu’elle est merveilleuse … Alban lui prend la main. Aveuglée par le bandeau de soie qui recouvre encore ses yeux, il la guide avec bienveillance vers l’un des fauteuils de notre salon. « Monte et mets-toi à quatre pattes » lui dis-je fermement. Sentant et reconnaissant le fauteuil à tâtons, je la vois se mettre en position. Dans une démarche docile, mais encore hésitante, elle place ses bras sur les accoudoirs ; pose sa tête sur l’assise du fauteuil ; et cambre son dos pour bien offrir ses fesses, prenant soin de bien écarter ses jambes afin de ne rien cacher de son intimité. Dieu que je suis fier d’elle ! Elle a parfaitement appris à se mettre dans cette position d’une indécence totale ; d’une provocation absolue. Elle offre son intimité à nue. Offrant son cul dans une exposition, que dis-je, dans une exhibition lubrique. Sublime chienne que ma femme ! Je vois son corps trembler quelque peu. Je la connais. J’imagine qu’à cet instant elle oscille encore entre se cacher et se lâcher plus avant. Elle a tellement progressé dans son abandon depuis notre rencontre. Mais elle a encore cette pudeur qui parfois la rattrape. Mais qu’elle combat pour s’offrir chaque jour plus encore. Pour devenir cette Sublime qu’elle veut être à mes côtés. Ma Princesse Putain …  Et là en cet instant elle me rend plus fier que jamais. Si honoré d’être aimé par une telle femme. Si heureux de la posséder. Si béni d’avoir reçu en cadeau sa pleine et totale soumission. Un don d’une valeur inestimable qui fait de moi le plus heureux des hommes. En cet instant sacré je veux qu’elle découvre le plaisir d’être physiquement aimée par d’autres mains que les miennes. Que son corps découvre d’autres sensations. Que sa peau exulte sous les assauts d’autres sexes, d’autres mains. Cela n’enlève rien à notre amour exclusif. A notre lien unique. C’est un partage. Alban s’est positionné sur le coté du fauteuil. Il a retiré son pantalon. Et il bande déjà dur. Sa queue est comparable à la mienne. Plus épaisse cependant. Il saisit son chignon qui est déjà flétri par nos ébats précédents et ne tardera pas à s’effondrer pour laisser s’épanouir sur ses épaules ses superbes cheveux couler ébène. D’un geste plein de domination il positionne sa queue à l’orée de sa bouche. Je la vois l’accueillir avec docilité. Elle passe sa langue sur son chibre tendu. Le goutant. L’enrobant de sa langue rose.  Puis il glisse sa queue dans sa bouche. Avec autorité mais avec douceur pour débuter. Ousmane lui s’est positionné derrière elle. Je le vois contempler son cul. Offert. Impudique. Il caresse ses fesses. Les malaxe. Les pétris. Il écarte ses globes plantureux pour mieux découvrir sa chatte fendue et baveuse … son petit anus palpitant … Il s’est totalement déshabillé. C’est un véritable Dieu d’ébène. Il irradie de puissance. Son sexe, énorme, est tendu à l’extrême. En cette fin de journée d’été, son corps imberbe et musclé luit de toute sa puissance sous la lumière des derniers rayons du soleil qui emplissent notre salon. Superbe contraste avec la blancheur immaculée de la peau frémissante de ma soumise. Pour ma part je fais face à Alban de l’autre coté du fauteuil. Je suis en transe devant tant de beauté, d’abandon et d’abnégation de la part de ma femme, ma merveilleuse soumise. J’observe avec fierté ses seins lourds qui se balancent au rythme des coups de boutoir que lui assène désormais Alban. Je ne peux m’empêcher de les caresser. D’en pincer délicatement les tétons tendus. Je la sens répondre au contact de mes mains. Je ne doute pas qu’elle les reconnait. Elle qui aime tant que je m’occupe de ses mamelles … Elle qui vénère mes mains … Je vois les doigts d’Ousmane caressant sa chatte, faisant des va-et-vient le long de sa fente. De mon autre main je pousse sur le bas du dos de mon amour, pour qu’elle se cambre plus encore et offre une ouverture plus facile encore à Ousmane. Elle réagit immédiatement pointant son cul de manière plus indécente encore .. ; écartant un peu plus ses cuisses … Alors qu’Alban commence à pousser des gémissements de plus en rauques, répondant aux caresses buccales et à la chaleur étroite de sa gorge, j’entends le son caractéristique d’une main giflant avec force les fesses de ma Mia. Le regard de plus en plus fougueux, Ousmane venait de commencer à lui administrer de belles et lourdes fessées. D’abord surprise, je vois qu’elle tend plus fort encore ses fesses, accueillant avec grâce et envie les coups qui pleuvent et commencent à marquer de belles couleurs rose et rouge son fessier majestueux. Relâchant parfois la queue d’Alban pour reprendre son souffle, elle gémit de plus en plus fort. Son corps tremble. D’autant qu’Ousmane accompagne désormais ses fessées d’une pénétration de plus en plus profonde de la chatte de ma soumise de plusieurs des doigts de son autre main. Me décalant légèrement, abandonnant quelques instants ma soumise, je regarde cet indécent mais si beau spectacle. Mia est juste sublime. Alban la tient par les cheveux et la défonce en rythme, lui déformant la bouche et la gorge. Ousmane, quant à lui, lui marque les fesses du martinet rouge qu’il a saisi et que je lui avais tendu en me relevant ; et investit en rythme sa chatte baveuse de quatre de ses doigts, tout prêt de la fister entièrement. Le corps de ma soumise n’est plus que tremblements et gémissements. Utilisée par ses deux hommes, elle s’offre totalement. Allant au-devant de la queue d’Alban, pour mieux ensuite s’empaler sur les doigts d’Ousmane en offrant ses fesses à ses coups de martinet. Sa salive et son nectar nacré coulent en abondance de sa bouche et de chatte.  Une infinie fierté me remplit. Elle m’honore de son total abandon. De sa sublime indécence. Mais surtout je sens qu’elle y prend aussi plaisir. Qu’elle lâche prise. Qu’elle vit le moment avec intensité. Aussi pour elle. Et cela me comble de bonheur. « Putain, elle mouille grave cette salope… Elle aime se faire baiser, se faire prendre. Elle sait faire monter la pression. Je vous félicite, cher Maître, pour votre soumise si parfaite ! » s’exclame soudain Ousmane, le regard plein de remerciement et d’envie.  « Sa bouche de pute est un pur bonheur. J’ai trop envie de la baiser… Belle prise et belle femelle que vous avez là, cher hôte. » renchérit Alban, toujours enfoncé au fonds de la gorge de ma femme. S’adressant du regard à Ousmane, une lueur de convoitise dans la voix il ajoute d’un ton définitivement dominateur : « Échangeons nos places ». Puis il retire sa queue et caresse de sa main la joue de Mia, comme pour la remercier de ce don impudique, du plaisir qu’elle vient de lui donner. Je le vois recueillir la salive qui coule de sa bouche et recouvre son visage et son cou et s’en enduire la main. Comme d’une offrande.  Ousmane quant à lui retire ses doigts maculés de son nectar nacré et les lèche avec délectation, me lançant un regard complice. Quittant chacun leur place, ils laissent quelques instants ma Mia libérée de leurs jougs. Son corps n’est plus que tremblements. Elle luit de transpiration. Elle transpire de désirs et de plaisirs. Elle halète, le souffle court. Mais elle ne quitte pas sa position. Impeccable. Superbe.  Je la regarde. Fier. Bouleversé par sa puissance dans l’abandon. Et terriblement excité par le moment comme en témoigne mon sexe qui est raide à m’en faire mal. Délicieuse douleur… Je reprends ma place à ses côtés, caressant son dos et ses seins, alors qu’Alban et Ousmane prennent leur position. Instinctivement elle tourne sa tête vers moi. Oui ! Bien qu’aveugle avec ce bandeau de soie noir, elle reconnait ces mains. Celles de son Homme, de son Maitre, de son Tout. Son visage est serein. Et elle me sourit. Un sourire franc et total qui illumine son visage. Comme si elle voulait me dire en silence « Merci mon Maître. Merci mon amour ». Comme si elle voulait en silence me dire qu’elle se sentait bien. Offerte, utilisée, insultée mais sereine, heureuse, rayonnante. Fière de me rendre fier. Honorée de m’honorer de son don, de son abandon total. A sa place. Une émotion indescriptible me remplit et je sens un frisson courir le long de ma colonne vertébrale. Alban s’est positionné derrière elle. De ses mains larges et pleines il caresse ses fesses. Je repositionne un peu ma belle chienne pour qu’elle tende un plus son cul de femelle, appuyant doucement sur le bas de ses reins. Ce qu’elle fait dans l’instant. Il se décale légèrement. Et je comprends ce qu’il va faire, vieux vicieux qu’il est … Au même instant j’entends les gémissements d’Ousmane. Il a placé son énorme queue noire devant la bouche de ma femelle et elle lui lèche le gland avec dévotion de sa langue soyeuse … « Putain elle est bonne cette garce … Sa langue est comme ses fesses : un délice. J’ai hâte de goûter sa chatte » souffla-t-il entre deux gémissements, me faisant comprendre qu’il avait hâte de pouvoir l’enfiler … Alban quant à lui avait commencé son manège de pervers expérimenté. Il baisait littéralement ma Mia de ses doigts. Lui introduisant, deux.. puis trois … puis quatre doigts dans la chatte … et accélérant ses va-et-vient de manière exponentielle … Mia se mit à hurler de plaisir. Faisant rouler son cul de manière indécente comme pour mieux engloutir les doigts la fouillant. « Mon bras coule de sa mouille ! C’est une belle salope que vous allez là cher hôte » s’exclame Alban, tout en ne relâchant pas la fouille violente de l’intimité de ma soumise. « Ma soumise serait ravie de la boire » lâche alors Ousmane dans un sourire plein de perversités. Ce qui me fait sourire. Sachant qui est sa soumise. Et sachant qu’elle a aujourd’hui même été aux pieds de ma sublime … Mon esprit vagabonde … Et j’imagine Eva, la soumise officielle d’Ousmane, la bouche collée à la chatte de ma Mia … J’en bande encore plus fort. Et je ne peux me retenir de me branler en regardant ma femme ainsi offerte, hurlant de plaisir sous la main experte d’Alban. Quelle beauté ! Quelle sublime offrande ! Dieu qu’elle est superbe en cet instant ! « Je suis fière de ma soumise et sa dévotion est à la hauteur de nos perversités et de notre amour : incommensurable ! » m’exclamais-je.  « Je vous remercie Messieurs, Elle en veut toujours plus, c’est un sextoy insatiable. Alors donnez et prenez mes amis. » A ces mots, je les vois redoubler de perversités. Ousmane saisit ma Mia par les cheveux et enfonce son énorme bite dans sa bouche. Pendant qu’Alban accélère encore et réussit tout à coup à glisser sa main entière  dans la chatte déformée de ma chienne, provoquant son premier orgasme. Elle gicle comme rarement je l’ai vu gicler. Abondamment. Et elle hurle. Elle crie. Dans un mélange de douleur et de plaisir. Je saisis ses seins de mes deux mains, abandonnant momentanément ma queue. Je les malaxe et les presse comme elle aime. N’oubliant pas ses mamelons que je prends le soin de bien étirer. Elle hurle de plus bel. Et réjouit de plus bel sur et dans la bouche d’Alban qui s’est retiré de sa chatte pour mieux en déguster le nectar nacré qui en coule à foison. Son corps tremble des pieds à la tête. Elle cherche son souffle. Elle aspire l’oxygène goulument. Haletante. Elle est magnifique ! Mais Ousmane ne lui laisse aucun répit. Et il enfonce de nouveau et de plus en plus loin son chibre dans sa gorge. Pendant que je vois Alban lécher sa vulve avec délice dans un geste de gourmandise mais aussi pour apaiser le feu qui couve en elle, montrant une fois encore la profondeur de son expérience et de son respect. Saisissant un objet dans la trousse de nos objets de vices que j’avais pris le soin de déposer sur notre commode,  je laisse courir sur son dos une roue de Wartenberg … Comme à chaque fois, je vois sa peau frémir et se couvrir d’une magnifique chair de poule. Je sais que ce petit instrument l’électrise et la rend folle. Et une fois encore, cela se produit. Pour mon plus grand plaisir. Son corps se tord. Ses seins se gonflent plus encore, au bord de l’explosion. Ses mamelons sont rouges d’excitation tellement ils dardent. Quant à moi, je suis en feu. Je recueille un peu de son jus de chatte pour mieux astiquer ma queue turgescente. Et la contemple avec bonheur : offerte aux assauts d’Ousmane et coulant dans la bouche d’Alban qui lui-même n’a pu s’empêcher de commencer à se branler avec insistance. Je le vois se redresser. Enfiler un préservatif sur sa queue raide de désir. Il me regarde. Je lui fais un signe d’acquiescement de la tête. Il saisit les haches de Mia, la positionnant parfaitement. Elle se laisse guider avec une docilité qui m’émeut. Et qui m’excite plus encore. Prenant sa queue en mains, il la guide à l’entrée de la vulve de ma femme. Et dans un mouvement puissant et ample, il s’enfonce en elle jusqu’à la garde. D’un coup. Provoquant un nouvel hurlement chez ma Mia s’échappant de l’emprise d’Ousmane. Il se met à la pilonner. Il la défonce comme un vulgaire fucktoy. Il claque ses fesses au rythme de ses coups de reins. Ma femme n’est plus que gémissements, hurlements, tremblements. Ousmane s’est retiré de sa gorge pour la laisser respirer. Il lui caresse le visage d’une main, se branlant de l’autre. Spectacle absolument brûlant. Quasi infernal d’indécence. Définitivement pervers, je ne peux alors m’empêcher de pousser l’expérience encore plus loin. Je me glisse entre les jambes d’Alban. Je vois son sexe entrer et sortir de la chatte baveuse de ma belle chienne. Je sens ma queue se raidir encore plus fort à cette vue. Lentement je viens positionner le Wand que je tiens à la main sur son clitoris, un sourire plein de perversions aux lèvres. Je vis le corps de ma merveille infinie d’amour se contracter. Je l’entendis pousser un cri. Et je sentis son nectar nacré couvrir mon visage … Elle n’avait pas résisté. Jouissant pour la troisième fois sous l’effet conjugué des coups de boutoir d’Alban dans sa chatte et des vibrations du Wand sur son bouton d’amour. Je vis son corps s’effondrer sur le fauteuil au-dessus de moi. Vaincue par le plaisir. Son corps tressaillant de tremblements par intermittence. J’entendais son souffle saccadé. Interrompu de petits pleurs. Alban se retire, se défaisant de son préservatif. Je me relève. Ousmane est venu nous rejoindre. Je vois dans leurs yeux le plaisir qu’ils ont pris. Et la reconnaissance d’avoir pu être ceux qui ont eu l’honneur de « déflorer » ma Mia : lui faisant pour la première fois découvrir le bonheur d’être offerte et utilisée par plusieurs hommes sous le contrôle et la protection de son Maitre. Pour clore en beauté cet instant de pur partage, d’osmose solennelle, de quasi communion ils se branlent avec énergie. Et l’un après l’autre ils déposent en offrande leur semence sur le cul rebondi de ma sublime soumise. Comme une bénédiction. Pour ma part, je ne veux pas encore jouir. Je garde ma semence pour la suite. Pour un instant plus solennel encore. Un instant qui nous appartient. Mais là à l’instant, devant ce magnifique spectacle, je suis rempli de fierté. Et ému comme jamais je ne l’ai été auparavant dans ma vie sentimentale. Ousmane et Alban vont s’asseoir de nouveau dans le canapé. Encore haletant. Leurs corps luisant de sueur. Ils saisissent les lingettes humides mises à leur disposition sur la table basse pour essuyer leurs queues. Et se rafraichir. Ils se servent un verre d’eau. Quant à moi, après avoir saisi un verre d’eau et quelques lingettes humides, je vais couper la musique et je m’approche de ma femme. De ma Sublime. Elle n’a pas bougé. Elle tremble encore. Elle est belle à en mourir.  Je m’agenouille devant le fauteuil. Je dépose le verre d’eau au sol. Et avec les lingettes humides je commence à laver ses fesses et son dos des souillures sacrées que mes amis Maitres ont déposé en offrande sur son corps. Je lave aussi son visage, son cou et ses seins couverts de sa salive. Je passe aussi entre ses cuisses immaculées de son jus intime. Je la sens frémir. Elle pleure encore. Doucement. Par intermittence. Une fois lavée, je la prends dans mes bras. Je baise son front et ses mains avec infiniment d’amour. Je l’aide à se redresser et s’asseoir dans le fauteuil. Le sol et les bords du fauteuil sont couverts de son nectar nacré. Le dossier est trempé de sa salive. En moi je me dis que désormais ce fauteuil sera pour nous un lieu sacré. Et je souris. Je lui retire son baillon O-Ring. Et je l’embrasse avec infiniment d’amour. Je sens sa langue se coller à la mienne dans une passion mutuelle. Interrompant ce baiser, je lui mets en main le verre d'eau. Je la laisse boire tranquillement. Elle me tend le verre vide. Je le dépose au sol et je l’embrasse dans le cou et lui susurre à l’oreille : « Tout va bien ma Mia ?  Tu me rends si fier et si heureux…. «  Je sens ses bras s’attacher à mon cou et me serrer fort contre elle. « Oui mon Maître ! Et je vous remercie de m’utiliser. » me répond-elle dans un souffle. Je me recule un peu et la regarde. Elle me sourit. Elle est définitivement la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie sentimentale. Et je me sens béni des dieux.   (A suivre)   Illustration : Dessin d'Erenisch
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Par : le 11/07/25
H. Concerto pour cris et gémissements en claquements majeurs Vanessa ouvre la lourde porte en bois avec sur la partie haute une ouverture munie de barreaux qui ne permet pas de voir mais d’entendre ce qui se passe dans la salle. Une longue et large bande de moquette traverse la pièce de gauche à droite, en face de la porte se trouve une fenêtre occultée par un lourd rideau noir, en dessous trois grands sièges qui ressemblent à des trônes et de chaque côté des fouets et des martinets en tous genres pendent le long du mur ainsi que des menottes, des chevillières et des barres d’écartement. Sur la partie gauche de la moquette il y a une croix de Saint-André fixée sur le mur, au milieu un carcan sur pieds attend patiemment les prochains pénitents et vers la droite un palan manuel laisse pendre ses lourdes chaînes. Jean en a le souffle coupé et Martin est comme un enfant devant la vitrine d’un marchand de jouets. À peine entrés un duo de couples, environ la cinquantaine, entre dans la salle. İls ont l’air interloqués et à voir la façon dont ils sont habillés et leur hésitation Vanessa comprend que ce sont des débutants, elle s’avance vers eux en arborant son plus beau sourire et leur parle d’une voix douce, comme savent le faire certains médecins pour vous dire que tout va bien alors que vous êtes au plus mal et qu’il ne vous reste plus que quelques jours à vivre. Vanessa – « Bonjour et bienvenue dans mon humble domaine. Je peux vous renseigner ? » Un des deux hommes – « Oui, voilà, nous sommes débutants et ma femme aimerait que je la fouette et pour nos amis c’est l’inverse. İls n’osent pas parler car ils sont un peu timides ! » Vanessa – « vous êtes au bon endroit pour soigner votre timidité ! » Elle appelle un soumis de service et lui demande d’apporter quatre fauteuils sur pieds, puis elle ajoute « On va parler un peu car je dois connaître vos besoins. Est-ce-que vous voulez que Maîtresse Sabine et ses soumis nous laissent seuls ? » L’homme – « Non au contraire. Sans vouloir vous offenser je pense que deux expériences ne peuvent que nous être profitable ! » et, s’adressant à ses amis « Vous êtes d’accord ? » les amis acquiescent. Le soumis ayant apporté les fauteuils Vanessa se lève et va fermer la porte en apposant une affichette « Occupé » et invite les couples à s’asseoir. Vanessa – « Je suis Maîtresse Vanessa et voici Maîtresse Sabine. Vous pouvez me donner vos prénoms ? » L’homme – « Gérard et… » Vanessa – « A-t-elle le droit de me le dire elle-même ? » La femme – « Karine ! » Vanessa – « Et vous ? » La femme – « Adeline ! » L’homme – « Alexis ! » Vanessa – « Bien, si j’ai bien compris Karine souhaite être fouettée par Gérard et Alexis aimerait être fouetté par Adeline. C’est ça ? » Alexis – « C’est plutôt Adeline qui aimerait me fouetter ! » Vanessa – « Ah ! et vous, vous ne le souhaitez pas ! » Alexis – « Je veux bien lui faire plaisir mais il faut qu’elle apprenne d’abord ! » Vanessa – « Et vous Karine vous souhaitez vraiment être fouettée ! » Karine – « Oui mais j’aimerais bien qu’il apprenne aussi car ce peut être dangereux ! » Vanessa – « Je confirme. Certains fouets sont de véritables armes ! » puis s’adressant à Sabine « Tu permets que je fasse témoigner petit chou ? » Sabine – « Je t’en prie ma chérie, après tout tu es chez toi. Jean, tu peux répondre aux questions de Maîtresse Vanessa ! » Vanessa – « Petit chou, tu as eu ta première expérience il y a quinze jours. Qu’as-tu ressenti ? » Jean – « Au début ça m’a surpris. J’ai eu mal et j’ai serré les dents, mais en même temps j’ai déstressé, j’ai respiré lentement, profondément et ça ne me faisait plus mal. Puis quand Maîtresse Sabine a cessé j’avais le dos très chaud, un peu comme un léger coup de soleil et le lendemain dans la soirée je ne sentais plus rien, à mon grand regret car c’était le souvenir de ce moment qui disparaissait avec ! » Vanessa – « la prochaine fois tu aimerais que ta Maîtresse te fouette un peu plus fort ? » Jean – « Oui Maîtresse Vanessa ! » Sabine – « Tu es prêt pour une séance, là, maintenant ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » İl s’est souvenu que Sabine lui avait dit que son comportement pourrait influencer sa décision de le prendre comme soumis attitré. Martin est époustouflé par le courage de Jean. Accepter de se faire flageller plus rudement que ce qu’il a connu et devant des étrangers, bravo, il ne sait pas si lui-même aurait relevé ce défi. Sabine attrape sa laisse, l’entraine jusqu’à la croix de Saint-André et le positionne face au mur. Elle décroche ses mains de la ceinture et les accroche à la croix, elle y fixe également la ceinture, puis elle va chercher des chevillières et une cravache. Elle lui fait écarter les jambes en lui donnant des coups de cravache à l’intérieur des cuisses jusqu’à ce qu’elle puisse fixer ses pieds au bas de la croix. Vanessa aux couples – « Là, le soumis est pratiquement immobilisé. C’est plus confortable pour la personne qui fouette. Mais si on veut prendre plus de plaisir on utilise le palan où les mains sont accrochées au palan par une barre d’écartement et on lève pour que seules les pointes de pieds touchent le sol. À chaque coup le sujet va bouger et se dandiner, c’est ce qui m’excite le plus. Il faut donner du plaisir à la personne fouettée mais il faut en prendre à fouetter. Mais, comme on le disait tout à l’heure, si on dépasse les limites il peut y avoir un danger pour le soumis, pas tellement par des blessures physiques qui sont visibles mais par des blessures psychologiques qui ne se voient pas. Donc on va utiliser un safeword, un mot qui va indiquer à la personne qui fouette qu’elle doit arrêter. Cela peut être tout simplement « Stop » mais on peut convenir d’un autre mot, notamment quand il y a plusieurs personnes qui se font fouetter en même temps dans le même lieu par plusieurs doms, il sera difficile de savoir qui dit stop. Sabine, avez-vous défini ce code ? » Sabine – « Non pas encore, mais pour aujourd’hui je propose galipette. À toi de jouer maintenant ! » Jean comprend que c’est Vanessa qui va le fouetter, il est déçu mais il ne peut plus reculer. Vanessa à Jean – « Tu te souviens du safeword ? » Jean – « Oui Maîtresse Vanessa c’est galipette ! » Vanessa – « Bien ! » Elle va chercher un martinet en cuir avec des lanières larges et demande à Adeline de s’approcher. Vanessa à Adeline – « Tu peux fouetter sur le haut du dos, de chaque côté de la colonne vertébrale de là à là, Sur le bas des fesses et les cuisses ainsi que la poitrine. Jamais sur le ventre, les reins, les doigts, le cou et toutes les parties de la tête ni sur les parties génitales sauf avec une cravache et avec modération. Je commence à faire tournoyer les lanières et j’effleure la peau pour l’habituer au contact du cuir puis je fais glisser le cuir le long de la colonne. Tu vois, il a des frissons de plaisir. Ensuite je saisi les lanières avec une main, je me positionne comme ceci pour avoir plus de précision et je fouette tout en ramenant le haut de mon corps en avant ! » Les lanières claquent sur le dos de Jean qui sursaute mais il n’émet aucun son car il a retenu son souffle. Par contre il a confirmation que Sabine avait retenu sa main car cette fois la douleur est plus intense. Vanessa recommence à quatre reprises visant chaque fois une autre partie du corps. Vanessa – « Regarde comme c’est beau cette peau rougie. Ça me donne envie de la caresser. Tu as compris Adeline ? » Adeline – « oui je crois ! » Vanessa – « Alors vas-y c’est à toi ! » Sabine a envie de s’interposer, elle ne veut pas qu’on abime jean au point qu’il ne pourrait pas continuer à participer aux festivités. Elle ne dit rien mais elle est prête à bondir en cas de problème. Martin s’aperçoit de l’inquiétude de sa femme, il reconnait bien son côté à la fois maîtresse et mère poule et ça le fait sourire. İl se demande si elle ne prend pas Jean comme le fils qu’elle n’a jamais pu avoir, même dans cette relation très spéciale. Jean est très inquiet, il n’avait pas prévu de servir de cobaye et craint qu’Adeline se rate et le massacre. Adeline reproduit les gestes montrés par Vanessa mais retient ses coups de peur de faire mal. Vanessa – « C’est bon, tu peux arrêter. C’est pas mal pour un début, ça manque un peu de précision et de conviction mais c’est normal. Tu vas vite prendre de l’assurance et n’oublie pas de communiquer avec la personne que tu fouette ! » Elle reprend le martinet, s’approche de Jean, lui caresse le dos et lui chuchote « Tu te souviens du mot à prononcer ? » Jean – « Galipette ! » Elle fait à nouveau glisser les lanières sur le dos de Jean qui frissonne, puis elle fait deux pas en arrière et recommence à fouetter en augmentant progressivement la force des coups jusqu’à ce que jean prononce le mot qui va mettre fin à son supplice. Adeline est subjuguée, ce qu’elle a ressenti est encore plus fort que ce qu’elle avait imaginé dans ses rêves les plus fous. Elle avait déjà joui en regardant ce genre de scène dans des films, mais là, elle s’est mordu les lèvres pour ne pas hurler de plaisir car elle réserve cette jouissance pour le moment où ce sera Gérard qui lui demandera grâce et elle a hâte. Vanessa détache Jean, elle le prend dans ses bras, lui demande s’il va bien et, tout en lui caressant la joue, elle le flatte pour son courage, puis elle le prend par la main et le rend à sa maîtresse qui le récupère avec une grande bienveillance, l’aide à s’asseoir, elle lui fait des petites bises sur l’épaule et lui dit à quel point elle est fière de lui ainsi que d’autres mots chuchotés échangés entre eux que personne ne peut entendre. Adeline demande pourquoi tant de tendresse après cette violence. Vanessa – « C’est ce que l’on appelle l’aftercare. C’est très important car la personne qui a été fouettée a fait un effort physique et psychologique important pour se prouver à elle-même qu’elle peut se surpasser mais aussi pour faire plaisir à la personne qui la domine. La personne dominante a, elle aussi besoin d’être rassurée sur l’état de santé de la personne soumise. Là en l’occurrence, ce n’est pas sa maîtresse qui a exécuté la flagellation mais toi et moi et je peux te dire que ça a été un mauvais moment pour Sabine, d’où ce moment câlin qui va les reconstruire tous les deux. Bon je te laisse voir avec Alexis s’il veut essayer maintenant ! » Adeline comprend et elle espère que cela fera renaitre l’amour qu’elle a eu pour Alexis les premières années de leur relation, mais qui s’est effrité au fil des années et elle le voit aujourd’hui comme une chiffe molle, juste bon à regarder les matchs de foot à la télé avec une canette de bière à la main, oubliant qu’il a une femme qui a besoin de tendresse, de sexe, qu’elle existe tout simplement. Elle va le reprendre en main en soufflant le chaud et le froid, alternant le fouet et les caresses, l’autorité et la compréhension, faire en sorte qu’elle soit la principale obsession d’Alexis. Vanessa se tourne vers Karine et Gérard « À vous maintenant. Karine, est-ce que tu veux que j’apprenne à Gérard à utiliser cet objet ? » Karine – « Oui on est venus exprès sur les conseils d’un couple d’amis. Je pense que vous vous connaissez car je vous ai vu vous faire des signes ! » Vanessa – « Je peux savoir qui est-ce ? » Karine – « Keane et Janey ! » Vanessa – « Ok ! justement ils doivent venir me voir. Si jamais ils viennent pendant que vous êtes là, vous acceptez que je les fasse entrer ? » Les deux couples se concertent et acceptent. Vanessa demande à Adeline et Alexis s’ils veulent tester la technique maintenant mais Alexis préfère essayer chez eux pour se sentir plus à l’aise. Vanessa se dit que ce n’est pas grave car elle a une idée en tête. Puis elle présente aux deux couples les différents ustensiles, des plus doux aux plus durs, voir létaux s’ls sont mal maîtrisés. Ensuite elle se dirige vers un carcan sur pieds. Sur chaque pied il y a un rail coulissant avec un anneau et une goupille qui permettent de régler la distance entre les jambes du sujet et le carcan. Sabine demande à Karine de s’approcher, ouvre le carcan et aide Karine à s’y installer avant de refermer et bloquer le carcan, puis elle règle la distance des anneaux et place des chevillières aux jambes de Karine pour mettre ses fesses bien en évidence. Enfin elle soulève la jupe de Karine et la rabat sur son dos, laissant apparaître un très fin string en dentelle rose. Vanessa – « Alors Gérard, n’est-ce pas un beau spectacle que ce petit cul offert sans aucune pudeur ? » Puis s’adressant aux autres personnes présentes « Venez admirer ces deux harmonieuses collines séparées par une charmante vallée. Voyons s’il n’y a pas aussi une source dans ce paysage ! » Elle glisse sa main sur le sexe de Karine « Ah ! il y a quelque chose qui coule mais il va falloir la faire jaillir cette source ! » Elle tend son doigt mouillé et le met dans la bouche de Gérard. Karine ne peut rien voir, vu sa position, mais elle imagine tous ces gens regardant son postérieur offert impudiquement à qui veut s’en servir sans pouvoir se dérober. Cette humiliation la fait tressaillir, oui, mais de plaisir et elle sent sa mouille de plus en plus abondante et dégoulinante, ce que Vanessa ne manque pas de remarquer. Au même moment on entend frapper à la porte. « Vanessa, tu es là ? Ç‘est Keane et Janey ! » Vanessa – « Entrez je vous en prie. Nous sommes en pleine séance d’initiation avec Adeline et Alexis ainsi que Karine et Gérard. Vous vous connaissez je crois ! » Keane – « Oui mais pas dans cette situation ! » Vanessa – « Je vous rassure ils sont d’accord pour que vous soyez présents. Mais peut-être voulez-vous aussi participer ! » Keane – « Mais volontiers. On peut même leur faire une démonstration ! » Vanessa – « Voilà quelque chose d’intéressant. Mais en attendant occupons-nous de Karine ! » Keane – « Elle est magnifique dans cette position mais je la trouve un peu pâle ! » Vanessa – « On va y remédier mais on va commencer doucement. On va débuter avec une cravache ! » Keane – « Ç’est normal pour une belle pouliche ! » Ce qui déclenche des rires, même de la part de Gérard. Vanessa, cravache à la main, s’approche de Karine et commence par faire glisser le cuir de la claquette sur ses fesses, l’intérieur de ses cuisses et son sexe afin qu’elle prenne conscience de la matière de ce qui va devenir l’objet de son martyr. Puis elle tapote les mêmes parties en accélérant la cadence et la force, Karine commence à se dandiner d’un côté à l’autre au fur et à mesure que ses fesses prennent des couleurs. De temps à autre Vanessa fait exprès de taper avec la tige comme elle le ferait avec une badine, laissant une marque rectiligne et arrachant un « Aïe » de la part de Karine, puis elle s’arrête et caresse les fesses, pas par compassion, mais pour comparer la différence de chaleur entre les différentes parties tout en expliquant à Gérard chaque raison de ses gestes. Ensuite elle cible les parties les moins touchées avec la même force que si elle voulait écraser une mouche, elle s’arrête à nouveau et glisse sa main sur le sexe de Karine et dit « Ce n’est plus une source mais une résurgence ! Tu vois Gérard elle a pris autant de plaisir à être tapée que moi à la taper. Maintenant c’est à toi. Fais en sorte que ces fesses deviennent écarlates, donne-lui le plaisir qu’elle attend et prend du plaisir à le faire ! » Un peu hésitant Gérard prend la cravache et répète les gestes montrés par Vanessa. Keane demande s’il peut utiliser le matériel de la salle et Vanessa acquiesce avec joie. Il ordonne à Janey de se déshabiller, il l’attache à la croix de Saint-André, choisit un fouet à longues lanières et frappe le dos exposé devant lui avec une force suffisante pour faire gémir sa soumise. Sabine, qui jusque-là était restée inactive, armée de différents paddles, pousse Martin vers le palan, laissant Jean se remettre de sa prestation. Elle attache les mains de son mari à la barre d’écartement accrochée au palan, tire sur la chaîne jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds et commence à le fesser avec un paddle en bois. Adeline et Alexis s’assoient près de Jean et tous trois regardent le spectacle et écoutent les claquements, les cris et les gémissements, parfois en décalé et parfois en simultané, faisant une étrange musique cadencée par la cheffe d’orchestre Vanessa.
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