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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Bonjour a vous tous et toutes 💕
Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu.
La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse.
Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage.
Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans..
a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue.
Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs.
Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe.
Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir.
Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme.
L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme.
Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non...
La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation.
à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno.
Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée.
Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3.
Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance.
Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu'
Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕
Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi.
N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui.
Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Parlons du rôle le plus important d’un dominant.
Ce n’est pas le contrôle.
Ce n’est pas le pouvoir.
Ce n’est pas d’être obéi.
C’est la sécurité.
Car sans sécurité, il n’y a pas d’abandon.
Pas de véritable échange de pouvoir.
Seulement de la performance.
Et de la peur.
On peut répéter tous les rituels. Utiliser les bons mots. Tenir la bonne posture.
Mais si le système nerveux ne se sent pas en sécurité, le corps ne s’ouvre pas.
Il se crispe.
Il sursaute.
Il fait semblant.
La vraie question n’est donc pas : « Comment dominer ? »
C’est plutôt :
« Quelqu’un peut-il lâcher prise en ma présence et se sentir en sécurité ? »
« Peut-il me montrer toutes les facettes de lui sans avoir besoin de se protéger de moi ? »
« Suis-je capable de recevoir ce qu’il m’offre sans ramener ça à moi ? »
Allons plus loin.
Nommons ce que la sécurité implique réellement et ce qu’elle exige de nous.
💬 1. Cela commence par la présence, pas la performance
Un dominant qui se concentre sur l’idée de “jouer le rôle”,
avoir le bon ton,
la bonne apparence,
imiter ce qu’il a vu dans les livres ou en ligne,
passe complètement à côté.
Car le système nerveux ne réagit pas à une performance.
Il réagit à la présence.
Calme. Constante. Connectée.
Pas une intensité vide.
Pas une pression déguisée en “entraînement.”
Mais une énergie stable et ancrée qui dit :
« Tu n’as rien à prouver ici. Ta place est déjà là. »
🚩 2. La sécurité ne dépend pas que des mots, elle se manifeste dans les actes
Tout le monde peut dire « Tu es en sécurité avec moi ».
Ce n’est pas suffisant.
La sécurité se construit par des actes cohérents qui soutiennent les paroles.
On la crée quand :
On dit ce qu’on pense et on pense ce qu’on dit.
On ne promet pas plus que ce qu’on peut vraiment tenir.
On reste stable, surtout quand les émotions sont fortes.
On respecte ses limites et celles de l’autre avec la même rigueur.
Ce n’est pas une question de douceur.
C’est une question de fiabilité.
Quand vos actes prouvent que l’on peut vous faire confiance,
le corps apprend à se relâcher,
pas seulement une fois, mais encore et encore.
🧭 3. Il ne s’agit pas d’être obéi, mais d’être digne de confiance
Il y a une différence entre l’obéissance dictée par la peur
et l’abandon enraciné dans la confiance.
La peur engendre la soumission.
La confiance offre la vérité.
Si quelqu’un agit toujours pour éviter de vous décevoir,
il n’est pas dans la dévotion,
il est dans la survie.
Un vrai dominant ne réclame pas le contrôle.
Il crée les conditions pour qu’on le lui offre,
librement, consciemment, sans contrainte.
C’est ce qui le rend sacré.
💞 4. Si vous avez rompu cette sécurité, vous pouvez toujours la réparer
Nous avons tous fait des erreurs.
Allé trop vite. Mis trop de pression.
Utilisé un ton ou une énergie qui a fait se refermer plutôt que s’épanouir.
Mais la sécurité peut être reconstruite.
Pas avec des justifications.
Pas avec des détournements.
Avec ceci :
« Je vois où je ne t’ai pas tenu comme j’aurais dû.
J’en prends l’entière responsabilité.
Tu n’as pas imaginé ce que tu as ressenti. »
Ce genre de responsabilité répare plus que la confiance,
il restaure la dignité.
Pour vous deux.
💡 5. La sécurité n’est pas une faiblesse. C’est la base de tout ce qui est puissant
Ce n’est pas une question de dorloter.
C’est une question de profondeur, qui n’existe qu’en sécurité.
Vous n’avez pas besoin d’élever la voix pour être entendue.
Vous n’avez pas besoin d’écraser pour mener.
Les dominants les plus puissants sont les plus sûrs.
Car c’est seulement dans la sécurité que le système nerveux peut dire :
« Ici, je peux cesser de jouer un rôle.
Ici, je peux m’ouvrir.
Ici, je peux être entièrement moi. »
🎯 Conclusion
La chose la plus puissante qu’un dominant puisse offrir, ce n’est pas son contrôle.
C’est sa capacité de contenance.
Sa capacité à tenir l’autre avec clarté, profondeur et stabilité inébranlable.
Sans cela, il n’y a pas de confiance.
Et sans confiance, il n’y a pas d’abandon. Seulement la survie.
Alors si vous guidez, guidez ainsi :
Avec intégrité.
Avec présence.
Avec constance.
Parce qu’au fond ?
Le vrai signe d’un dominant, ce n’est pas combien de pouvoir il peut prendre
mais combien de sécurité il peut offrir.
Et après tout…
La véritable soumission, celle qui est offerte librement et non jouée,
n’est-ce pas là ce qu’il y a de plus sensuel ?
Ce genre de don qui n’est ni exigé,
ni manipulé,
mais gagné à travers la présence, la constance et la bienveillance.
C’est cela, l’art.
C’est cela, la différence.
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G. Les préparatifs.
Jean démarre la voiture et aussitôt Sabine lance un appel téléphonique « Tu as pu avoir ce que je t’avais demandé ? Ok ! Tu mets tout sur l’étagère libre et tu les classes par catégorie et par taille. Vérifie que tout est en ordre dans la pièce et aussi que tout soit prêt dans la salle d’eau… Oui on est en route, on sera là dans environ ½ heure. À tout de suite ! »
Jean se dit que c’était certainement Martin qui était au bout du fil.
Puis dans la foulée elle appelle un autre numéro.
« Oui rebonjour. J’ai réfléchi à ta demande en ce qui concerne le projet que je t’ai présenté. [………] Oui ç’est ça. Et… comment dire ? Ça te dirait d’assister au parcours depuis le début ? Ton avis me sera surement utile. […..] D’accord ? Super je t’appelle plus tard. […….] Non, mais je rentre chez moi. Je te rappellerai une fois arrivée. […..] Ok à plus ! ».
Jean n’a rien compris à la conversation. De toute cela ne me regarde pas. Pensa-t-il.
Une fois arrivés Sabine dit « Allez au salon, Martin doit déjà y être. Vous connaissez le chemin ! ».
Pendant qu’il se dirige vers le salon elle accroche son manteau et son sac à main dans la penderie du hall d’entrée, récupère le paquet de chez Nanette, son téléphone et prend l’escalier de droite. Au premier étage il y a sa chambre qu’elle partage avec Martin, deux chambres d’amis et au fond du palier une porte qui donne sur un escalier.
Elle le gravit et arrive sur un petit palier, ouvre une autre porte située à droite et entre dans un couloir dont les murs sont tapissés de velours couleur fuchsia. À gauche se trouve une penderie encastrée et juste après il y a une porte avec, au-dessus, un boitier ressemblant à ceux des issues de secours mais en plus petit. Elle prend son téléphone portable, active une application, le boitier s’éclaire en vert, elle appuie sur la poignée, la porte s’ouvre, elle la referme, pose son index sur l’écran du portable, le boitier passe au rouge, elle appuie à nouveau sur la poignée qui, cette fois, reste bloquée et il est impossible d’ouvrir la porte. Sabine loua les avantages de la domotique. Elle continue d’avancer dans le couloir, sur le mur de gauche une croix de Saint-André noire d’environ un mètre de haut, ceinturée de petites lampes à Led, éclaire la première partie du couloir. Quelques pas plus loin, sur la droite, un passage voûté permet d’entrer dans une pièce meublée d’un sofa, une table pouvant accueillir quatre à six personnes et une kitchenette, en face une fenêtre offre une belle vue sur le parc. Elle ouvre le réfrigérateur et vérifie son contenu puis retourne dans le couloir. Au fond se trouve la porte qui donne sur le donjon et entre cette porte et le passage voûté des chaînes alternées avec des guirlandes descendent le long du mur. Sabine se dirige à nouveau vers la porte où elle avait testé le système de fermeture et entre dans une petite pièce destinée à la préparation et à l’attente des soumises et des soumis, avec les murs et les portes recouverts d’un isolant phonique aux couleurs chaudes, éclairée par des lumières tamisées, comprenant un placard, deux banquettes rembourrées de cuir, en face une autre porte et au fond une troisième. Au-dessus de chacune de ces portes il y a le même type de boitier, elle teste la fermeture et l’ouverture ainsi que les lumières puis pousse la porte qui donne sur un coin toilette avec une douche multi jets et du matériel de lavage intime, vérifie qu’il ne manque rien et que tout est d’une propreté irréprochable. Malgré qu’il y ait une porte qui donne directement sur la pièce principale, elle revient dans la salle d’attente, dépose le slip en cuir acheté chez Nanette et un masque sur la banquette puis va directement dans la pièce principale.
Là, c’est son domaine, un donjon aménagé avec l’aide des membres du groupe dont elle fait partie et avec qui elle continue d’apprendre. C’est une salle rectangulaire, spacieuse, aux murs revêtus de bandes de velours rouges et noires en alternance et suffisamment équipée pour un début. Croix de Saint-André, Fauteuil et table de bondage, cage, carcan et balançoire, plus tout le matériel de flagellation, de contraintes et gadgets en tous genres. Elle a commencé son véritable rôle de dominatrice ici, d’abord avec son groupe lors de l’inauguration puis seule avec Martin mais c’est la première fois qu’elle va exercer ses talents sur un non initié qui, d’ailleurs ne sait pas vraiment ce qui l’attend et c’est pour cela qu’elle a besoin de Vanessa.
Ah ! Vanessa, il faut que je l’appelle, j’ai failli oublier pensa-t-elle. Elle fait le numéro et met le haut-parleur.
« Allo Vanessa, je suis dans le donjon, je vérifie que tout est en ordre ! »
Vanessa – « Ok. Donc tu as besoin de moi ! »
Sabine – « Tu sais, c’est une première pour moi et même si je sens qu’il est mûr je ne voudrais pas faire d’erreur et qu’il n’ait plus envie de revenir, de rester sous mon emprise ! »
Vanessa - « Il faut qu’il ait les yeux bandés. D’abord pour qu’il ne sache pas que je suis présente mais surtout que tu l’amène à avoir confiance en toi-même s’il ne peut pas voir ce que tu vas lui faire avant qu’il le sente sur son corps. Au début il va être tendu et, normalement il devrait se relâcher ! »
Sabine – « Ok je vois ! »
Vanessa – « Tu vas commencer soft et on verra comment il réagit. On va mettre un code en place. Pouce levé, tout va bien. Sourcils froncés, tu arrêtes. Je bouge la main avec la paume vers le haut, tu peux monter en intensité. Si je bouge la main avec la paume vers le bas, tu baisses en intensité. Mais ne passe pas tout ton temps à me regarder car il pourrait se douter de quelque chose. Est-ce que Martin sera présent ? »
Sabine – « Oui et Jean le sait et je crois même qu’il pense que je vais leur faire faire quelque chose ensemble ! »
Vanessa – « Et Martin il en pense quoi ? »
Sabine – « Sur ce point il faut aussi commencer doucement. Je te laisse voir ça avec Martin ! Par contre dès que j’aurai un signe à te faire je donnerai un coup de coude à Martin pour qu’il émette un son qui attirera ton attention vers moi. Passe-lui la consigne et entendez-vous sur le son !»
Sabine – « Super, je crois que l’on a tout prévu. On va manger vers 21h00 dans la petite cuisine du donjon. Donc tu peux venir entre 19h00 et 19h30 ? »
Vanessa – « Oui bien sûr, j’ai déjà prévenu Patrick que j’irai chez toi ce soir ! »
Sabine – « On boira l’apéro , on parlera de notre visite au salon de l’érotisme, vers 21 h00 tu feras semblant de prendre congé et tu iras te garer dans le garage. Je t’enverrai un sms quand tu pourras monter. Martin t’attendra pendant que Jean sera dans le vestiaire et que je ma préparerais ! »
Vanessa – « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi ma chérie ! »
Sabine – « Tu es un amour, bisous, à tout à l’heure ! »
Ensuite Sabine sort la cage de sexe de son emballage, se familiarise avec son système de fermeture, car il est un peu différent de celui de la cage qu’elle impose parfois à Martin, et la pose sur l’étagère où trônent les plugs et les godemichets. Elle se dirige vers le fond de la salle. Le mur est tapissé d’un capitonnage rouge, un canapé en cuir noir accompagné de deux fauteuils y est adossé avec au-dessus un grand miroir et vers l’angle gauche une porte également capitonnée mais en noir.
Elle ouvre la porte et entre dans une petite pièce tout en longueur. Sur le mur de gauche des portants exposent de nombreuses tenues pour dominatrice mais aussi quelques-unes pour soumis et soumises. Contre le mur du fond il y a un meuble bas à tiroirs et différents modèles de bougeoirs posés dessus et à côté un petit réfrigérateur sur lequel sont rangés des plateaux en argent et des flûtes à champagne. Côté mur droit il y a l’autre face du miroir qui permet de voir ce qu’il se passe dans la salle, deux tables hautes rondes et quatre sièges de bar. De chaque côté du miroir sans tain il y a des haut-parleurs qui permettent d’entendre ce qu’il se passe dans le donjon et un petit écran plat.
Sabine essaye plusieurs tenues de dominatrice et en accroche une sur une patère.
Elle prend la direction des escaliers pour rejoindre Martin et Jean car Vanessa ne va pas tarder à arriver.
Les deux hommes sont en train de discuter, verre à la main, lorsque Sabine entre dans la pièce. Ils sont assis chacun dans un fauteuil et elle s’installe sur le canapé qui fait face. Martin lui propose un apéritif, elle opte pour un cocktail sans alcool car elle veut garder la tête froide pour la soirée et surtout la nuit qui promet d’être longue.
La sonnette retentit. « Ce doit être Vanessa. On s’est rencontrées au salon de l’érotisme cet après-midi et je l’ai invitée à boire l’apéro. Tu t’en occupes s’il te plait. » dit-elle à Martin.
Il prend son téléphone portable, se connecte en visio au portail d’entrée de la propriété et voyant Vanessa il dit « Bonjour Vanessa, on est au salon, tu connais le chemin ! » et sans attendre de réponse il appuie son index sur l’écran, vérifie que le portail s’ouvre et repose son téléphone.
Martin n’apprécie pas trop Vanessa car il sait qu’elle et Sabine ont une relation sexuelle mais qu’il n’a jamais pu y assister et encore moins participer, ce qui le rendait jaloux.
Jean a un mal fou à détourner son regard de ces parcelles blanches qui contrastent avec le noir des cuissardes et de la jupe que porte Sabine, comme deux îles paradisiaques perdues au milieu de l’océan, prêtes à offrir l’asile au malheureux naufragé. Jean semblait parfois gêné et Martin s’en amusait.
Vanessa arrive, s’assoie à côté de Sabine et ces dames commencent à détailler et comparer ce qu’elles ont vu au salon, les hommes écoutant avec intérêt leurs impressions sur telle ou telle tenue, tel ou tel objet, avec des mots et de gestes sans équivoque.
Soudain, Vanessa se tourne vers Jean, le regarde avec des yeux pleins de malice et demande « Et toi petit chou ! Tu as vu des choses intéressantes ? ».
Jean, très embarrassé, ne sait pas quoi répondre et bredouille « Euh oui ! ».
Sournoisement et sèchement Sabine insiste sous le regard amusé de Vanessa « Soyez plus précis ! Ou faut-il vous y forcer ? On peut parler de notre passage chez Nanette !». Elle commençait à tester son emprise psychologique sur lui. Jean est devenu tout rouge et Martin faisait semblant de ne rien voir ni entendre étant plus intéressé par les glaçons qu’il faisait tinter dans son verre dont il venait de boire la dernière gorgée de whisky.
Vanessa, pour souffler le chaud sur le froid, elle et Sabine qui étaient amies depuis le collège avaient l’habitude de jouer la bad girl – good girl à tour de rôle, dit « Arrête, tu vas nous le bloquer le pauvre petit chou ! » tout en pensant à ce qui allait arriver à celui qu’elle appelait « Petit chou » et déjà toute excitée en sachant qu’elle allait y assister.
Tout à coup Sabine a une idée et demande « Sabine tu restes manger avec nous ? On mange à l’étage dans la petite cuisine ! » et s’adressant à Martin « les hommes vous montez en premier, on vous rejoint ! ».
Une fois les hommes sortis Vanessa dit à Sabine « Ce n’est pas ce qui était prévu ! », ce à quoi Sabine répond « Eh bien, tu n’aimes plus l’imprévu ? À la fin du repas tu feras semblant de partir et je viendrai te chercher sur le palier Le moment venu ! » Bien évidemment Vanessa aime l’imprévu et ne se fait pas prier pour emboiter le pas à son amie.
Pendant ce temps les deux hommes étaient arrivés à l’étage. Jean fut intrigué par l’aménagement du couloir, lui laissant entrevoir qu’il entrait dans un endroit spécial qui dépassait probablement tout ce qu’il avait pu imaginer et une certaine émotion non dénouée d’excitation commençait à l’envahir tout en se demandant à quoi peuvent bien servir ces lumières au-dessus des portes.
« Tu peux me passer ton blouson s’il te plait ? » Jean sursaute « Hein ? Euh, oui ! ». Ensuite il suit Martin dans la kitchenette et ils mettent couverts, victuailles et boissons sur la table.
Ces dames arrivent et au cours du repas Vanessa ne cesse pas de poser des questions à Jean. Vie personnelle, professionnelle, elle voulait tout savoir, puis prend congé et Sabine la raccompagne jusqu’au palier.
Sabine dit à Vanessa en chuchotant «On fait comme on a dit. Tu mets ta voiture dans le garage, tu remontes et tu m’attends sur le palier ! ».
Sabine revient et s’adressant à Jean « Bien ! Parlons du rôle maintenant ! ».
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Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences.
Je me suis changée en Trav dépravée dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil.
Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer.
À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout.
Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi.
J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale.
Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit.
Je continuait de jouer avec Didier qui est gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement.
Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche. Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir.
Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy.
Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit.
Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces.
La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle.
Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné.
Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant.
Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal !
Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement.
Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité.
Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre.
Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche.
Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement.
Il me pelota les seins et je lui fit vite comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte.
En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale.
Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon).
L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité.
Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.
Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser.
Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne.
Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie.
Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe.
Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument.
Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée.
Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes.
Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP.
Merci ma sœurette.
Ce fut reparti pour la saillie de la chienne.
Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte.
Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça.
Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
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Aprés avoir choisi sa place, celle qui lui convenait le mieux, celle ou elle voulait être, Vanessa était elle vraiment consciente que le train qui était en marche, ou plutôt l'avion qui était en vol dans un voyage ou elle ne voulait plus redescendre, ou elle ne pouvait plus redescendre à cette altitude-là, n'était pas sans risques.
Même avec un bon pilote, l'atterrissage peut être parfois brutal lui disait sa dernière petite voix raisonnable encore présente, cette dernière petite voix qui vous parle , que vous écoutez , mais auquel vous savez déjà que vous ne serez pas d'accord .
Sur le chemin du retour, Ludovic et Manon étaient plus seuls au monde, ils étaient seuls, mais dans leur monde .
ils riaient de certaines anecdotes de la soirée, ce genre de rire naturelle et généreux, contraire a celui dont on se force par politesse ou par séduction.
Leurs fous rires complices pouvaient durer de longues secondes pour Vanessa qui n'existait plus pendant ces moments-là,se faisant très discrète à l'arrière de la voiture, admirant le spectacle romantique parsemé d'humour de ceux qu'elle avait jetés dans les bras l'un de l'autre.
Au bout d'une dizaine de kilomètres parcouru, un silence s'installa , un silence gênant pour Vanessa qui préférait encore les voir rire à gorge déployée que d'affronter celui ci .
En effet face à lui, face à cette atmosphère silencieuse Vanessa, n'osa plus bouger, et encore moins parler, arriverait elle à s'exprimer d'ailleurs .
Aprés ce silence pesant pour Vanessa, mais loin de l'être pour Ludovic et Manon qui eux sont parfaitement à l'aise, cette dernière d'un geste toujours aussi gracieux, posa sa main qui ne l'était pas moins sur la nuque de Ludovic pendant qu'il conduisait, le caressait comme pour lui dire qu 'elle voulait qu'il soit à elle ce soir, passant sa main dans ses cheveux comme le ferais un couple de longue date qui filerait encore le parfait amour .
Ce dernier caressait la cuisse de Manon entre deux changements de vitesse, remontant parfois Jusqu'à son indicateur rose et mouiller pour évaluer son degré d'excitation qui augmentait au même rythme que les kilomètres qui défilaient .
Une fois joué de sa sensualité et voyant la fin du trajet arriver, Manon malgré son désir et son excitation pour ce beau brun , voulait quand même avoir la confirmation de Vanessa et de celui ci également, après tout elle ne les connait que depuis peu .
Manon se retourne vers vanessa la regarde et se concentre à la mettre le plus mal à l'aise possible, elle veut pas seulement le corps de Ludovic elle veut aussi le cérébral de vanessa.
Car elle aussi ce soir a pris beaucoup de plaisir à dominer et a humilié celle-ci , elle aussi ressent couler un cours d'eau entre son entrejambe, certes loin de l'océan de Vanessa , mais un joli fleuve tout de même.
" Que veux-tu Vanessa " Posa Manon comme question a celle-ci aprés l'avoir fait transpirez de partout avec son regard d'actrice d'Hollywood , qui avait cependant changé de rôle .
Face à cette question , ou plutôt cette ambiance, cette atmosphère de plus en plus chaude pour tout le monde,l'attitude de Vanessa ne frôle plus le pathétique, elle l'est à cet instant, à la voir, on pourrait la croire à la barre d'un tribunal et qui a peur de donner la mauvaise réponse à la méchante juge Manon.
" Que veux-tu Vanessa " insiste Manon, qui n'a rien de méchant et rien d'un juge non plus,tu veux que je couche avec ton mari c 'est bien ça lui dit elle sans même lui laisser le temps de répondre , en mettant une main sur le torse de Ludovic à travers sa chemise qui venait de garer la voiture devant la maison de celle-ci.
" Oui, je le veux " dit Vanessa , " oui qui "rétorqua aussitôt Manon d'une voix une peu plus autoritaire.
" oui Manon pardon " reprit vanessa
" Oui, quoi " insista manon .
" oui je veux que tu que vous pardon avec mon.... ' Vanessa bégaye , bug, elle est touchée, sa rivale est plus forte , plus subtile , sa rivale a eu ce qu'elle voulait , la rendre pitoyable devant son mari , ce qui l'excite fortement .
" Oui je veux que vous couchiez avec mon mari s'il vous plaît Manon " arrivera à dire Vanessa après avoir repris ses esprits et sa respiration.
Devant cette situation , Manon et Ludovic se regardent un instant dans les yeux, toujours aussi complice, et rétiaire un nouveau fou rire, 2 rires communicatifs qui se mélangent, 2 rires qui feront comprendre définitivement a Vanessa devant cette nouvelle humiliation, et le siège arrière encore intacte, heureusement protéger par la robe de celle-ci, que c'est bien ça qu'elle était venu chercher.
Elle ne s'est pas trompé de destination, c'est bien de ce voyage-là que lui ont tant parler ses voix et ses pulsions obsessionnelles .
Vanessa ne veut pas seulement voir son mari couché avec Manon , elle veut aussi lui être soumise, elle aime être humilié et rabaisser par celle-ci, elle le sait, elle le sent, a cet instant même elle le veut.
Suite à cette confirmation et cette demande ridiculement courtoise de Vanessa, Manon cesse son fou rire, regarde Ludovic de ses yeux plissé et ravageur tel un jour de casting, rapproche son visage au plus près du sien, et de sa voix la plus allumeusement douce, dit a Ludovic , " et vous mon chère monsieur voulez vous bien être à moi ce soir " , a quoi Ludovic répondra d'un baiser tendre, d'un baiser tendrement langoureux pendant une trentaine de secondes, peut être 1 minute, ou alors peut être 2 , Vanessa ne sait plus, Vanessa ne veut plus savoir, elle c 'est conditionner a seulement y assister.
Mais ou est cette Vanessa si élégante et charismatique au quotidien, cette Vanessa si dominante et arrogante dans le cadre professionnel , visiblement, est n'est pas là , existera elle a aprés , existe elle toujours d'ailleurs .Arrivé chez Manon , l'adrénaline et l'excitation augmentaient pour chacun, mais l'ambiance restait la même, Ludovic et Manon était toujours aussi complices et festifs pendant que Vanessa continuait de rester discrète , honteuse et mouillé.
Manon leur faisait visiter le salon de sa maison, une jolie maison donnant sur un jardin au décor assez propre à elle .
Un jardin auquel on pouvait apercevoir de magnifiques fleurs pures, arborées de différentes couleurs, entourées de roses épineuses tout aussi particulières.
Après avoir fait le tour de la décoration aussi élégante que sa propriétaire, Vanessa et Ludovic s'installent sur le canapé pendant que Manon mets une musique d'ambiance après avoir allumé la cafetière et s'absente quelques minutes.
Ludovic se retrouvant seul avec Vanessa, regarde celle ci avec les mêmes yeux qu'un homme loyal a forte épaule peut avoir pour la rassurer, et lui mets la main délicatement , mais légèrement ferme entre son entre-jambe .
A cet instant Ludovic comprend , regarde sa femme en essayant de lui parler sans mot quand Manon revient dans une tenue beaucoup plus aisé, mais pas moins raffiné.
Manon est l'ennemie de l'inélégance, le contraire de la vulgarité, même dans un rôle de chienne, elle serait chic .
En voyant ce petit bonbon revenir , le pouls cardiaque de Vanessa augmente autant que la testostérone de ludovic.
Aprés avoir augmenté la tension de chacun, Manon parcourt la pièce , viens s'asseoir sur les genoux de Ludovic, et dit a Vanessa d'aller dans la cuisine cherchez le café pour leur servir d'une façon enfantine que Manon c 'est si bien faire avec elle .
Quand Vanessa reviens pour apporter les cafés , sans se bruler , et sans faire de tache sur le tapis beige de Manon devant ce qu'elle voit , elle comprend que plus personne ne joue, ou plutôt que le jeu est parti.
La douceur de Manon avais fait place à sa bestialité , la fleur pure se transformait en rose épineuse .
Ludovic et elle n'avaient plus aucune retenue, surtout elle , la chemise de celui ci n 'était plus qu'un joli souvenir, préférant lui-même enlever son jean pour ne pas rentrer sans ceinture.
Manon était sur Ludovic , sans culotte mouillé ce coup-ci , qui lui même était sans jean et sans caleçon .
Manon frottait son bouton de plaisir et les lèvres de son trésor , en se déhanchant légèrement , sur le sexe tendu de Ludovic et en faisant ressortir ses courbes parfaites .
Les mains de Ludovic parcouraient le bas du dos de Manon jusqu'a son fessier , qu 'il dirigeait au rythme des mouvements de cette dernière .
Vanessa regardait, ou plutôt fixait comme un film qu 'elle avait attendu toute sa vie, mais un film bien réel, un film tourné en directe ,un film ou elle en était elle même la réalisatrice, mais sans maîtriser le scénario .
Manon et Ludovic mélangeaient leurs corps, leurs odeurs, leur salive, leurs excitations.
Vanessa ne voyait plus sa posture si ridicule ou voulait peut être plus la voir, elle ne pensait qu'à ne pas se toucher pour éviter l'orgasme incontrôlé .
Manon arrêta un instant son léger déhanché sur la fusée qui était sur le point de la faire décoller, les joues rougis, mais pas à cause de la honte contrairement a ceux de vanessa , inclina légèrement la téte en arrière , les yeux pas encore révulser , et dit a celle-ci . " Vanessa peux tu regarder dans mon sac et prendre ton parfum préféré si tu ne veux pas que ton chéri me fasse une mini Manon " dit cette dernière d'un fou rire franc toujours aussi ironique , car évidemment Manon prend la pilule , mais Manon ce soir est la fleur pure de Ludovic, très douce, et la rose épineuse de Vanessa , elle pique .
Aprés avoir choisi un parfum qui n'était pas vanille , Vanessa tend à Manon ce qui lui garantit que cette dernière n 'aura pas de nausées dans les mois à venir, quand Manon lui dit , façon prof d'école botanique, " voyons Vanessa enfin nous allons pas tout faire tout seul , aide nous un peu, nous allons pas tout te dire, c 'est ton souhait , c 'est toi qui le veut , nous te faisons plaisir , alors fait un effort s'il te plait , mets toi à genoux et protège ton mari "finira elle par dire don ton amusé et d'un rire étouffé .
Vanessa se mit à genoux, prit le sexe dure de son mari , lui mit le préservatif les mains tremblantes , le visage a quelques centimètres du fessier de Manon et de sa source au liquide commun , qui d'ailleurs coulait autant l'une que l'autre ,, le dirigea contre l'entre-jambes en ébullition de celle ci , frotta quelques instants le sexe de son mari contre celui de Manon , avant de le voir disparaître dans un cris de plaisir fusionnel , absorber par la volcan de le fleur pure.....a épines.
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Déjà trois mois que nous nous connaissons. Après trois mois la première flamme s'affaiblit et il faut venir l'entretenir si nous voulons qu'elle devienne feu péren. Par habitude, j'ai fini par faire de cette affirmation une vérité générale afin de m'éviter toute déception. Cet élément, lié au manque de vous qui se fait de plus en plus ressentir et à mes angoisses, me poussent à vous parler du sentiment de stagnation que je commence à ressentir depuis quelque temps. Quelques messages en moins et voilà que les signaux d'alerte hurlent dans ma tête. Je crains une perte d'intérêt et d'engagement de votre côté mais,.paradoxalement, je crains aussi une envanilisation de la relation qui nous rendrait davantage simples amants que dominant et soumise. Sacré comble pour la femme de la nuit que d'être restreinte à vivre lors des horaires de bureau. Nous nous sommes mis d'accord sur le fait que nous n'allions pas empiéter sur la vie de couple de l'autre mais comment gérer la frustration de vous savoir qu'à quelques mètres de chez moi une fois le soir venu sans qu'on ne puisse se voir? Et comment regagner le contrôle sur mon corps qui se met bêtement a trembler lorsqu'il vous croise en compagnie de vos proches ?
Je vous ai prévenu, la communication est importante pour moi et ce autant pour les aspects positifs que négatifs. Je vous partage donc tout mon bazar et armé de vos mots vous commencez a arranger tout cela. Vous reprenez doucement la main sur la borne de contrôle et éteignez un a un les voyants qui s'étaient allumés. Ce partage nous permet de faire le point sur le chemin déjà accompli et nos désirs pour la suite. C'est l'occasion aussi pour vous de vous livrer plus en profondeur. Notre relation a engendré l'apprentissage pour chacun de nous de nouveaux rôles qui ne sont pas forcément les plus confortables. Celui de maîtresse d'école, je connais, maîtresse domina, j'ai déjà pu y goûter mais alors maîtresse amante , c'est nouveau pour moi et je ne sais quoi en penser. C'est ma morale qui en prend pour son grade même si bon ce n'est pas comme si elle avait été bien présente jusque-là. Oui, nous nous sommes attachés et bien que le destin nous mette au défi, il n'impacte pas notre envie de construire une relation d.s. Votre réponse a su me rassurer. Vous avez réussi à rendre étincelantes les noirceurs de mon âme.
Une étincelle de génie vous frappe vous aussi. Cela fait un moment que je ne me suis pas sentie soumise ? Vous n'allez tout de même pas me laisser en manque comme ça... Je devais aller faire une session shopping ? Eh bien ces achats se feront en étant comblée! Vous m'envoyez un message m'ordonnant de porter un plug en public pour ma sortie de l'après-midi. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la lecture de ce message. J'ai donc tant fait ressortir le diablotin dominant qui sommeille en vous. J'ai bien l'impression que vous vous êtes senti mis au défi mais j'accepte le vôtre. L'idée d'être pluggué en public me plaît. Elle permet de marier les deux faces de la même pièce, celles qui ne se montrent normalement jamais en même temps. La face de la femme de la nuit serait connue que de vous alors que je devrais garder intact le masque de la femme sage perçu par le reste de la société. Oui, l'idée me plaît, elle me plaît beaucoup même . Elle me plaît tant et si bien qu'elle me fait mouiller.
Sur vos ordres je vous partage les images de l'installation du plug. Je ne peux m'empêcher de vous faire connaître mon état et vous demander l'autorisation de me goder. Vous me l'accordez. Je suis assez mouillée et ouverte pour que je le fasse rentrer directement. Je commence les vas et viens qui se font de plus en plus rapides et profonds. Je veux me sentir entièrement remplie, faire complètement ressortir la salope en moi avant de devoir remettre mon masque. Je veux profiter pleinement de ce moment de plaisir libre. Vous m'envoyez un nouveau message. Vous voulez voir mon orgasme, me savoir réellement comblée. Vous savez que dernièrement j'ai des difficultés à atteindre l'orgasme, le maître-mot est donc le lâcher prise. Je veux être prise profondément, je me mets donc debout et empoigne le gode de mes deux mains pour recommencer les vas et viens. Je me relâche au maximum. Je sens un plaisir nouveau prendre place lorsque je suis relâchée ainsi. Je me suis déjà approchée du squirt sans jamais réussir à assez lâcher prise pour aller jusqu'au bout. Dans le doute, je tends le bras et saisis une serviette que je lance a mes pieds. Le gode vient stimuler le point parfait. Je sens l'envie monter mais on m'a toujours dit que si je commençais à avoir envie de pisser c'était bon signe et qu'il ne fallait pas le retenir car il s'agissait de squirt. Je ne retiens donc pas jusqu'à ce que je ressente un jet d'abord léger mais qui se fait de plus en plus gros et surtout de plus en plus chaud couler sur mon gode et sur mes mains. J'ai déjà vu une femme squirter et laissez moi vous assurer que le jet ne ressemblait pas à ça. Au vu de la flaque qui imbibe maintenant la serviette je coupe tout et ris en courant aux toilettes. Ah bah pour du lâcher prise ça en est du beau ça ! Je pensais d'abord que l'uro faisait partie de mes limites non négociables puis certaines lectures ici ont su planter quelques graines. Il faut croire que ces graines viennent d'être arrosées ! L'uro fait partie des pratiques souvent perçues comme crades et humiliantes et pourtant , je me sens fière, fière d'avoir lâcher prise et de dépasser un peu plus mes limites. Cette découverte et ce passage aux toilettes m'auront quand même valu un orgasme mais tant pis ! Je me nettoie rapidement et retourne dans mon lit . J'hésite d'abord à vous le dire. Le dernier message reçu de votre part me demande si je me rapproche de nouveau de l'orgasme. Je sous - entends. Vous tendez l'oreille et percevez la vérité. Vous me rassurez sur le fait que je peux tout vous dire et me demandez si j'ai bien aimé. Étonnamment, je crois que oui, j'y trouve même un côté excitant. Vous m'avouez alors que cela vous excite vous aussi et que vous auriez aimé assister à la scène. Espérons donc que les graines arrosées continueront à grandir dans ce sens.
L'heure a tourné, il est désormais 15h et je dois filer à ma séance de shopping en étant toujours aussi bien accessoirisée. Je me lève et me rhabille. Je n'ai jamais autant senti le plug en moi. Il n'est pas très gros mais je ne sais pas si me masturber avant de sortir ainsi était vraiment très tactique, je me sens resserrée dessus. Et c'est là que l'évidence me frappe : je ne vais pas pouvoir l'enlever avant mon retour chez moi à 20h30! Je vais donc devoir le garder pour faire mon babysitting et le porter pendant 5 heures ! Sacré défi pour une première fois en étant plugguée en public . Je ne sais si je vais assumer si longtemps. Je sors de chez moi et descends dans la rue. Chaque pas me fait ressentir un peu plus le plug. J'ai l'impression que les gens savent, que les regards qui se tournent vers moi ne peuvent que relever une démarche inhabituelle. Je prends une profonde inspiration qui j'espère va me détendre et surtout moins me faire sentir ce satané cœur. N'oublions pas le masque, il doit rester intact. Vous seul me savez plugguée, le reste est le fruit de mon imagination.
J'arrive dans le magasin et choisis plusieurs tenues, cinq au total, ça va en faire du temps d'essayage... Je cherche une robe pour un mariage et vous partage mes trouvailles. Vous me complimentez dès la première tenue que je vous montre, une longue robe fluide verte. Le vert, votre couleur préférée, couleur dont une pointe se cache dans vos yeux (oui oui je vous l'accorde, le soleil vous donne raison) et surtout couleur de l'espoir. Je suis déjà plus détendue, j'oublie même parfois ce qu'il se cache entre mes fesses. C'est pas si affreux que ça au final.. du moins c'est ce que je me dis en restant debout. J'enchaîne les tenues et hésite longuement mais me décide finalement sur la verte. Va pour l'espoir! Il nous en faut pour voir le verre à moitié plein. On aura plus de verres a vider comme ça ! Je passe à la caisse et fonce à mon babysitting. Oh j'ai eu espoir bien trop vite ! Le plug se fait toujours autant sentir lorsque l'on marche en fait. Plus que 3h à tenir et je crois bien que j'ai gagné en assurance dans ma démarche!
Je récupère la petite et nous profitons de la présence rare du soleil à Lille pour aller au parc. Je joue avec elle et la surveille tout en gardant un œil sur mon téléphone pour voir si je n'ai pas reçu un message de votre part. Vous êtes rentré chez vous et cela me vaut un message des plus immoraux. Vous avez pris une satanée habitude de m'envoyer une photo de vos plaisirs solitaires lorsque vous me savez au parc. Il faut croire que cela vous amuse de m'imaginer rougissant de gêne au milieu de ces enfants. J'écarquille les yeux et me dépêche de cliquer sur la notification pour supprimer la photo le plus discrètement possible. Vous jouez à des jeux bien dangereux et pas adaptés à l'âge des personnes autour de moi. Je range mon téléphone et vais m'asseoir sur un banc. Je ressens alors la présence du plug. Je ne saurais dire ce qui est le plus déplacé entre le fait d'être plugguée dans un parc pour enfants en faisant du babysitting ou le fait d'y recevoir un nude mais ce qui est sur c'est que le combo des deux risque de nous envoyer en enfer. Je crois bien que le feu est plutôt péren là bas.
Le babysitting se finit. Je rentre chez moi et retire enfin le plug. Il a beau être enlevé, je me sens toujours autant comblée. Nous avons tous deux répondu à nos défis respectifs. Merci monsieur pour cette journée riche en sensations et découvertes.
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Cette nuit, j'ai continué ma transformation, la poursuite du chemin vers mon épanouissement dans la nouvelle vie à laquelle mon cœur et mes tripes aspirent.
Un couple d'amis m'a fait découvrir la soirée mythique berlinoise Gegen (techno, déshinibition, libération du corps) qui s'est exportée du Kitkat Club allemand, pour une nuit, à la "Machine du Moulin Rouge" à Paris.
Deux salles, une scène avec des performances, des DJ berlinois, un dress code encourageant la nudité, une back room, des espaces play réservés aux "Finta" et, surtout, du respect et de la bienveillance.
J'avais toujours voulu faire ce genre de soirées sentant bien ce qui bouillonne en moi depuis très très longtemps, ces tendances non conformistes dans ma vision de la sexualité qui s'exacerbent chaque jour un peu plus. Un ami m'a dit "quand tu vas voir des gens faire l'amour devant toi pour la première fois, tu verras, ça va te faire de sacrées sensations".
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Noue pénétrons la Machine vers 2h du matin. L'ambiance est chaude, feutrée. Je longe le bar pour me diriger vers l'escalier qui mène à la piste. Je n'ai pas encore descendu les quelques marches que je croise les premiers sexes masculins profitant de l'air libre. Quinze minutes plus tard, j'entrevoie, de loin, un couple dans la pénombre ; leurs corps se meuvent dans une lumière bleutée qui permet juste de deviner ce qu'il se passe.. Ce ne sont pas de "sacrées sensations", dignes d'une vanille-citoyenne-modèle (no offense) se retrouvant dans un univers de débauche, non. Je me suis juste sentie "à ma place", là où je devais être depuis longtemps.
Quelques heures plus tard, je pense à vous, chers membres de cette belle communauté, quand entre en scène un homme gigantesque, portant un masque à faire pâlir Dark Vador, accompagné d'une femme portant les attributs d'une Soumise .. le temps de poser un instant mon regard sur autre chose, qu'elle est déjà tournée, dos à nous, mains derrière la tête. L'homme sort un fouet qu'il commence à manier avec beaucoup de précision. Il poursuit avec un martinet, avec professionnalisme. Puis, son œuvre terminée, il s'approche d'elle, l'enlace d'une longue et douce étreinte. Là. Sur la scène ; comme s'ils étaient seuls au monde, parmi la foule de gens devant eux. Je m'y suis vue. Là. Mise à nue, devant ces gens.. entre les mains d'un Maître.
Lassée un peu d'assister à des ébats exclusivement masculins, la soirée ayant malheureusement (du point de vue d'une femme hétéro) peiné à attirer des hétéros (et même des femmes, très peu nombreuses au final), je promène mon regard qui se lève par hasard sur le balcon du 1er étage, juste au-dessus de moi.
Là, une femme, face à la ballustrade, un homme derrière elle.. elle baisse ses dessous, avec un geste trahissant une certaine impatience. J'aperçois son sexe mis à nu. L'homme la pénètre doucement puis accélère ses mouvement, les plongeant dans une danse tant sexuelle que sensuelle. Mon corps s'arrête de danser, immobile. Là, au milieu de la piste de danse. Mes yeux, en l'air ; braqués sur eux. Je n'en loupe pas une miette.
L'on pourrait penser que mon côté voyeur s'exprime. Mais non.. c'est l'énergie bouillonnante au fond de moi qui commence à monter. Celle d'abord, voyant son sexe de femme, imberbe, d'imaginer ma bouche et ma langue s'y poser, pendant que l'homme s'occupe d'elle. Celle, surtout, de mes envies, l'énergie qui m'anime encore et toujours... mon corps vibre, mes yeux sont bloqués sur elle. Je veux être elle, mais entre les mains de ce Maître qui sera un jour le mien, m'exhibant, me dominant, me baisant, là, à la vue de tous.
J'étais elle, au plus profond de mes chairs.
Affaire à suivre.
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« Esclave du camp du bien.
Tel est ton destin »
Les moqueries de Microbite et Bitemicron résonnent dans ma tête comme la rengaine insupportable d’une chanson niaise.
Au pilori devant l’entrée d’honneur du Ministère de la Vérité, je suis l’attraction du jour. Le camp du bien est très fier d’exposer sa prise, nue, humiliée. Deux gardes armés me protègent de la vindicte populaire, tout en se délectant des regards haineux qui m’entourent.
Hier encore, j’étais libre – libre d’échapper à ce funeste destin [1]. Quelle est donc cette force étrange qui m’a poussée à franchir le seuil d’un obscur siège local des Brigades de Défense de la Démocratie, au cœur des Alpes Suisses ? La confiance ? L’espoir ?
Le visage du jeune milicien de service s’est décomposé quand j’ai commencé à avouer mes crimes. Cette force de la nature semblait soudain écrasée par une affaire dont l’ampleur le dépassait. « Déshabillez-vous, je vais chercher mon chef ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire, après de multiples hésitations et bégaiements.
Les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements – c’est la loi. J’avais préparé un scénario vaguement crédible pour expliquer comment je m’y étais prise pour détruire la Lune rouge de Davos [2], mais le milicien m’a à peine laissé le temps d’en esquisser les prémices. Est-ce que le chef sera plus avide de détails ?
C’est un petit homme bedonnant qui fit son entrée. Dans un réflexe dérisoire je cachai ma chatte avec ma main droite.
« Tsst... » fit-il, d’un air réprobateur. Pas besoin de mots…
Pendant que je me résignais à adopter une attitude plus convenable, exposant ma fente épilée à tous les regards, comme la loi l’exige, un claquement sec me fit sursauter. Des émanations de fumée m’en indiquèrent l’origine : la caméra de surveillance du local venait de griller, dégageant une infâme odeur de plastique brûlé.
« Nous n’avons pas beaucoup de temps, Ysideulte – Écoutez bien » me dit-il.
« Quand je vous interrogerai, laissez-vous guider par mes questions. Soyez coopérative et saisissez les perches que je vous tendrai ».
Je n’en croyais pas mes oreilles… Ca alors… Le pangolin fou aurait infiltré la milice ?
On tambourina à la porte.
« Tout va bien, chef ? La vidéo est HS. »
« Oui, un court-circuit visiblement - remplacez-moi ça ».
Il ne fallut que quelques minutes pour que le système soit de nouveau opérationnel. L’interrogatoire put commencer.
Je ne saisis pas vraiment où le chef voulait en venir, tant ses questions paraissaient confuses, lubriques et sans intérêt, mais je m’employai à y répondre avec docilité.
Toujours est-il qu’à l’issue de cet interrogatoire, je ne fus pas incarcérée en attendant mon exécution. Contre toute attente, je fus conduite à Bruxelles, au Ministère de la Vérité. Pas n’importe lequel : le Ministère fédéral, celui qui chapeaute tous les Ministères de la Vérité des nations composant la Suprême Alliance Démocratique. Le Saint des saints du narratif officiel.
Le transfert des ennemies de la démocratie est toujours l’objet d’une mise en scène, pour donner l’exemple, dissuader les récalcitrants, et divertir les moutons en attisant leurs pulsions les plus malsaines. Une douzaine de femmes étaient pour l’occasion mes compagnes d’infortune. Après avoir reçu la fessée réglementaire, administrée par un Maître fesseur, c'est nues, enchaînées les unes aux autres, que nous traversâmes la moitié de la ville en file indienne, sous les huées et le regard complaisant des caméras de télévision. Autant il m'arrivait souvent d'éprouver de l'excitation lorsque j'étais fessée par mon Maître, autant je me suis sentie ridicule, profondément humiliée et blessée, d'être ainsi fessée en public comme une gamine, devant des millions de téléspectateurs. Le contexte change tout. Je pensais de surcroît à mes connaissances, mes collègues de travail, ma famille, qui seraient sans nul doute témoins un jour ou l'autre de ce spectacle dégradant, s'ils ne le suivaient pas déjà en direct, et la honte m'envahit.
J’occupais la première position dans la file - un honneur lié à la gravité de mes crimes, sans nul doute. Un milicien à l’allure de racaille ouvrait fièrement la marche, tenant fermement la chaîne reliée à mon collier. En d’autres temps il aurait été dealer ou proxénète, aujourd’hui il est défenseur de la démocratie.
La lourde chaîne qui reliait mon collier à celui de la suivante me passait entre les cuisses et me martyrisait la chatte à chaque fois que son pas ralentissait. C’était insupportable.
« Putain ! Avance ! » lui hurlai-je à la figure en me retournant brusquement.
La vue de son visage en larmes me fit immédiatement regretter mon emportement. Je ne connais rien de son histoire ni du destin qui l’attend. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, on peut connaître les pires tourments pour des raisons absurdes. Le totalitarisme progressiste ne s’embarrasse pas de logique ni d’humanité.
La violente décharge d’un aiguillon électrique pour bétail me rappela à l’ordre.
« Silence, femelle ! »
L’arrivée sur le tarmac de l’aéroport et la montée à bord de l’Embraer 120 qui nous conduisit à Bruxelles marqua, pour un temps, la fin de notre supplice. Arrivées à destination, nous fûmes séparées. Je ne saurai sans doute jamais ce que mes compagnes d’infortune sont devenues. Pour ma part j’appris que j’avais été spécialement sélectionnée par le ministre de la Vérité et sa charmante épouse, pour devenir l’une des esclaves de leur couple. L’esclavage n’est pas officiel au sein de la Suprême Alliance Démocratique, mais les ardents défenseurs du camp du bien jouissent d’une impunité totale – jamais un journaliste ou un magistrat ne posera une question dérangeante – alors pourquoi s’en priver.
Est-ce que les questions bizarres du chef avaient pour but de susciter des réponses qui attireraient l’attention de ce couple diabolique ? Est-ce dans cet objectif qu’il m’a amplement questionnée sur mon passé de femme soumise et d’esclave sexuelle, entièrement dévouée à mon Maître ? En tout cas, pour le moment cela me procure un sursis.
Rien d’autre à faire que de me perdre dans mes pensées, d’occuper mon esprit, histoire de rendre plus supportable l’humiliation du pilori. Personne n’a pris la peine de m’interroger concrètement sur mon mode opératoire. L’incompétence a atteint son paroxysme. Visiblement le réel leur importe peu et seule la narration qu’ils pourront en faire a de l’importance.
Le visage pervers du ministre me sort de l’évocation intérieure de ma journée d’hier. Ce type pue la perversion, à un point qui donne froid dans le dos. Ce n’est pas pour rien qu’il a été nommé ministre de la Vérité. La Suprême Alliance Démocratique met les psychopathes les plus incompétents et les plus tordus aux postes de haute responsabilité, tout en chargeant le système médiatique de les présenter comme des virtuoses dévoués au bien commun.
Il me libère de mes entraves et m’aide à me redresser. Des heures au pilori, c’est terrible pour les reins.
« Viens, on parle de toi à la télé »
Comme toutes les personnes profondément perverses, il aime souffler le chaud et le froid, apparaître en sauveur pour résoudre des problèmes qu’il a lui-même créés.
Il m’invite à m’installer dans un salon au décor atroce, aux côtés de sa charmante épouse. C’est la première fois que je la vois sans sa perruque. Elle aussi se révèle soudain mielleuse et avenante, mais je sais à quoi m’en tenir. Ce couple de pervers narcissiques transpire le mépris et les rictus fugaces sur leurs visages trahissent leur moi intérieur. La manière dont ils ont saccagé ce palais autrefois somptueux, en refaisant toute la décoration à leur goût, en dit long sur les personnages auxquels j’ai affaire.
A la télévision, les journalistes sont surexcités. Il y a de quoi : on vient de capturer la responsable de la destruction de la Lune rouge de Davos. J’hallucine : les experts défilent sur le plateau pour expliquer les détails de l’incroyable enquête menée sous l’égide du ministre de la Vérité – enquête extraordinaire qui a conduit à ma capture. Tout est faux – je suis bien placée pour le savoir – mais je dois reconnaître que cette opération de communication à la gloire de Microbite est percutante. Le blabla glorificateur est entrecoupé d’interviews du ministre de la Vérité en personne – l’air grave – qui explique son combat contre les forces du mal.
Cette affaire tombe fort à propos. Bien que le Ministère de la Vérité et les hordes de censeurs et de fact checkers à sa botte lui permette de donner libre cours à son sadisme et à sa mégalomanie, il a de plus grandes ambitions. L’élection anticipée du prochain président de la Suprême Alliance Démocratique approche. Il est devenu nécessaire de remplacer la marionnette sénile dont la décrépitude mentale ne peut plus être masquée, malgré tout le zèle des journalistes.
A la télévision le ministre de la Vérité profite de l’occasion pour faire son auto-promotion « Avec moi, un barrage infranchissable se dressera devant les ennemis de la démocratie. Je serai votre protecteur. Aidez-moi à faire barrage ! ».
La vie démocratique est maintenant bien rodée au sein de la Suprême Alliance: l’heure venue, les castors assureront le résultat qui convient.
« Merci à toi de nous aider à castoriser les pigeons, une fois de plus ! Ah ah ah ». Convaincus que je ne retrouverai jamais ma liberté, ils affichent sans complexe le mépris de leurs électeurs et jouissent ouvertement de ma contribution involontaire au succès de leur idéologie. J’espère que le pangolin fou sait ce qu’il fait, car pour l’heure j’ai le sentiment de marquer un but contre mon camp. « Il voit loin, il ne pense pas comme nous » m’avait dit mon Maître pour me rassurer.
Cet intermède n’est que de courte durée. Ils appellent un gardien qui me conduit sans ménagement dans la cour intérieure du palais, au mur d’exposition contre lequel je passerai la nuit. D’autres esclaves y sont déjà exposés – de beaux gladiateurs au corps d’ébène.
Certains arborent fièrement et bien malgré eux de belles bites épilées. D’autres ont été émasculés. D'autres encore ont de lourdes charges suspendues à leurs couilles, qui les étirent à un point que je n'imaginais même pas possible. Les gémissements des malheureux témoignent du supplice qu'ils subissent. Alignés en rang d’oignons, les poignets attachés au mur, au dessus de leurs têtes, ils forment un tableau vivant.
Le gardien, jouissant visiblement de ma sidération, me laisse observer longuement ce tableau, tout en me laissant entendre qu’il s’agit des esclaves sexuels du couple.
Ma présence déclenche quelques gonflements de bites. Cela doit faire un moment qu’ils n’ont pas vu une femme, a fortiori complètement nue.
Ayant été placée en position d’honneur au milieu du tableau, je remarque une fenêtre éclairée derrière laquelle Microbite observe son cheptel. Je me risque à interroger mes voisins à voix basse, mais, visiblement terrifiés, ils ne me donnent que peu d’information. Épuisée, je finis par m’endormir, debout, malgré l’inconfort de la position.
Au milieu de la nuit, des voix me réveillent. La Maîtresse des lieux, accompagnée de gardiens, est en train de sélectionner un esclave. Elle palpe les bites, soupèse les couilles, et en choisit un.
« La femelle aussi ! » ordonne-t-elle aux gardiens, qui me libèrent à mon tour.
Le ministre de la Vérité nous attend au salon, nu comme un vers. Un gardien me pousse si violemment que je m’étale à ses pieds.
« Baise-la ! » lui ordonne son épouse.
Microbite, l’air dégoûté, se résigne à obéir. C’est donc lui le soumis dans le couple. Je m’en doutais...
Il ne bande pas. Les femmes, ce n’est vraiment pas son truc.
Mais sa charmante épouse a la solution. Une grosse seringue et une injection massive d’Erector, directement dans la bite. Le dernier produit sûr et efficace de la Bill & Alvértos Fucking Corporation fait fureur au sein de l’élite mondialiste.
Il me baise sans conviction, pressé d’en finir.
« Aïe ! » hurle-t-il. « Qu’est-ce que tu m’as fait, salope ? ». Il se retire brutalement et examine sa bite avec inquiétude.
Moi aussi je l’ai sentie cette douloureuse décharge électrique tout au fond de ma chatte. Une migration de zébralyvox gémellaires ? Quelle ironie, si celui qui a été un acteur zélé de l’extermination des zébralyvox contribuait maintenant contre son gré à la renaissance de l’espèce [3].
« Continue, chochotte ! ». Bitemicron est très fâchée de cette interruption qu’elle considère comme une désobéissance. Tout penaud, le ministre m’introduit à nouveau.
« C’est bien » le félicite-t-elle, après qu’il m’ait baisée, et peu importe que ce fut avec un dégoût manifeste. « Maintenant tu as le droit de te faire enculer avant que je lui coupe la bite » ajoute-t-elle, en désignant le bel esclave au corps d’ébène qu’elle a choisi pour lui.
« Dans ma jeunesse, on m’appelait coupe-zizi » m’annonce-t-elle avec un rictus satanique.
Obligée d’assister à ce spectacle obscène, l’espoir qu’il me restait encore est à deux doigts de se désagréger. « Tout est fichu » me dis-je. La société est profondément malade et ses « élites » dépravées et intouchables ne sont que le symptôme d’un mal profond. Il est trop tard pour redresser la barre.
Incapable de supporter ce spectacle plus avant, je détourne le regard. Au loin, sur un écran d’ordinateur resté allumé, des motifs étranges apparaissent. Peu à peu, un pangolin se dessine, comme pour me donner tort.
« Je ne sens rien ! » s'écrie le ministre, affolé, pendant que l'esclave, pourtant superbement membré, l'encule vigoureusement. « C'est cette salope! Elle m'a fait quelque chose, je ne sais pas quoi ».
Les zébralyvox ont déjà détourné l'influx nerveux. J'avais remarqué qu'ils étaient devenus incroyablement rapides ces derniers temps.
Je m'approche discrètement du préservatif usagé, qu'il a utilisé pour me baiser et qu'il a déposé de manière dégueulasse sur le bureau. Suffisamment près pour deviner trois paires de petits trous à son extrémité. Trois paires de zébralyvox ont transpercé le préservatif simultanément... Heureusement que cet idiot est trop bête pour comprendre ce qui lui arrive et même s'il fait des examens il y a peu de risque - les zébralyvox gémellaires sont extrêmement difficiles à détecter m'avait assuré Satoshi et pour l'instant seule l'université Kitasato est équipée de têtes Doppler à couplage quantique [4]. Je réprime un sourire... Les plans du pangolin fou sont machiavéliques.
à suivre
Contexte et références
L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[1] Voir « Alea Jacta Est » https://www.bdsm.fr/blog/10475/alea-jacta-est/
[2] Voir « Les Lunes de Davos » https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/
[3] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/
[4] Voir « Attracteur étrange - l'ordre caché dans les profondeurs du chaos », https://www.bdsm.fr/blog/9106/Attracteur-%C3%A9trange-%E2%80%93-L%E2%80%99ordre-cach%C3%A9-dans-les-profondeurs-du-chaos/
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Me voici maintenant préférant restée seule jusqu'au jour où je trouverais celui qui sans rien me demander en échange, sans rien dire m'acceptera telle que je suis.
En attendant, je parcours le mur, en silence. Il se peut qu'un jour quelqu'un(e) y perçoive le son qui en ressort.
Ces mots je les ai posés le 21 avril 2025 dans mon premier article.
Puis il y a eu cet hommage, qui sans me l'expliquer moi même, à attirer mon attention. Une demande d'ajout d'ami, laquelle sur 1500 vue de mon profil ce jour là, a retenue ma curiosité.
Je l'ai accepté, et nous avons commencés un échange. Très courtois de sa part, sans attente, ni de l'un ni de l'autre. Juste des mots, nos maux qui défilaient sur nos claviers. Une fluidité, une telle clarté, qui sans le vouloir nous rapprochait au fil de nos discussions.
Puis il y a eu ce voyage, ahhh ce voyage, lui dans son train, moi échangeant avec lui.
C'est là que sans réfléchir, je lui ai suggérer ce que je lui demanderais s'il m'appartenait.
C'est là que tout à commencé, c'est là qu'il a plié sans même que je lui ordonne.
Parce qu'il faut savoir lorsque cela se présente. Une pureté d'obéissance, de dévotion, loyal.
D'aventure en aventure, je le cherchais.
Il se cachait dans mes plus grands fantasmes de posséder un jour un Soumis comme lui.
J'ai rencontré de multiples « soumis » où chacun me soumettant leur exigence, me faisait fuir.
Mais lui ! Je n'y croyais pas, je l'ai même mis face à mes doutes alors qu'il y croyait déjà.
Aujourd'hui il est là. Il ne demande jamais rien que d'assouvir mes moindres désirs. A aucun moment il ne m'a fait part d'un souhait. Il reste là, dans l'attente de mes directives en silence, plié, à genoux. Et il s'exécute au plus vite qu'il le peut.
Nous nous nourrissons aujourd'hui l'un de l'autre, et notre appétit est bien présent.
Il sait que le feu jaillit en moi, et il est prêt. Prêt à recevoir ces flammes sans reculer. Il est là et il attend prosterné à mes pieds, que le Volcan naisse enfin. Il a perçu le son de mon silence, et il accueille son bruit...
Dédicace à @Elio
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Ludovic voyait l'état de sa femme et savait parfaitement ce que se disait cette dernière, la fête et l'alcool aidant Ludovic en jouait et en rigolait sans vouloir franchir la limite, tout du moins c 'est ce que se disait Vanessa .
A la fin du repas et continuant leur conversation très peu de fois couper pendant ce délicieux dîner, voyant les invités de plus en plus distrait par l'ambiance et la musique, Manon s'approcha de l'oreille de Ludovic et lui murmura de son souffle chaud et frissonnant une phrase que Ludovic entendit à peine et pas à cause de la forte sonorité, mais qu'il compris au mot cigarette.
Nous allons assouvir notre vice du tabagisme dit Ludovic d'un air blagueur en quittant la table et en regardant d'un air complice Vanessa qui devenait de plus en plus rouge et transpirante comme si la température de la salle augmentait au gré de son excitation, vanessa avait de plus en plus de mal à parler, à réfléchir , à faire bonne contenance devant les invités, mais elle s'y forçait bien que son esprit soit si loin.
Une quinzaine de minutes interminables plus tard pour Vanessa , celle-ci aperçoit son mari revenir à la table sans Manon parti sur la piste de dance,elle est rassurée de voir Ludovic regagner sa place à la table.
Une fois assis seul avec Vanessa a la table désertée par les invités pour quelques instants, ils se regardèrent avec un regard qui en dit beaucoup, ils se connaissent et s'aiment, c'est tout du moins ce qui en ressort de leurs conversations oculaires a cet instant.
S'approchant de Vanessa d'une manière douce et rassurante, lui remettant la mèche de ses cheveux derrière l'oreille, lui déposa un bisou très furtif sur les lèvres et posa la question droit dans les yeux de sa femme de la manière la plus sérieuse qu'il soit.
Tu es sûr que c 'est ce que tu veux vraiment mon amour, tu en es bien certaine, réfléchis bien, tu sais cette femme me plaît beaucoup et nous avons l'air de très bien nous entendre elle et moi, donc je te le répète c 'est vraiment cela que tu veux, que je couche avec .
A cet instant la bouche de Vanessa n'émet aucun son, voilà ce que l'on va faire repris ludovic , je te laisse réfléchir et m'envoyer la réponse au cours de la soirée sur mon téléphone portable, un oui et je serai que je pourrais là faire jouir longuement et m'occuper de cette jolie beauté, a l'entente de ses mots la ce ne sont plus des gouttes qui tombe sur la dentelle préférée de Vanessa , c 'est une rivière qui coule, et si c 'est un non nous continuerons la soirée normalement .
Mais attention continua Ludovic, tu pourras toujours arrêter pendant si tu ne le supporte pas, mais dans ce cas-là, je voudrais plus jamais entendre parler de cela hormis nos rapports parfois, ce à quoi Vanessa répondit très rapidement, oui mon chéri c 'est parfaitement clair.
Ok je retourne sur la piste de danse voir où est cette jolie Manon lança Ludovic avec un sourire complice et malicieux à sa femme .
Vanessa avait besoin de prendre l'air et de réfléchir au chemin à prendre , quel choix faire, allait- elle franchir ce saut dans l'inconnu et répondre à ses pulsions, briserait elle ses barrières mentales ou allait- elle rester au niveau du fantasme .
Vers 23h la fête bat son plein, l'ambiance est très festive, mais également très chaleureuse, Manon et Ludovic se sont retirer dans un coin plutôt discret sans être Suspect non plus aux yeux des autres, d'ailleurs pas grand monde n'y passe voir personne quand Ludovic entend une sonnerie de sms qu'il vient de recevoir.
Oui mon chéri, je le veux, j'en suis sur je le veux, je t'aime et j'ai confiance en toi auquel Ludovic répondra, ok retrouve nous dans 15 min a l'endroit indiquer .
Et revoilà Vanessa repartie pour 15 min encore plus interminables que celle de tout à l'heure, le temps d'un petit remontant, elle en a bien besoin .
Après ce laps de temps et se rendant sur le lieu indiqué par Ludovic, Vanessa aperçu au loin et de plus en plus près et au fur et à mesure de ses pas, son mari enlaçant Manon dans ses bras par-derrière admirant le ciel étoilé, la joue contre la sienne, on dirait un parfait petit couple pour quiconque qui ne les connaîtrait pas .
A cette vue que découvre Vanessa, les émotions sont trop nombreuses à se mélanger, sa jalousie lui donne un hypercut dans le cœur, mais son excitation remplace sa rivière par un océan, Vanessa n 'est pas décontenancé ni perturber, a ce stade elle ne l'est plus , Vanessa est dans un état presque Semi-hypnotique, rêve elle ? est ce la réalité ? se demandait son corps cérébral.
Arrivant les jambes tremblantes et la culotte inondée, Vanessa baissa instinctivement les yeux et n'osa pas regarder Manon quand celle-ci et Ludovic se retournent après avoir tracé la grande ourse et prédit le temps ensoleillé de demain , un long silence s'installa ce qui déstabilisa encore plus Vanessa , en effet pourquoi Manon est si sur d'elle et décontracté dans les bras de son mari a la vue de la femme de celui-ci , était elle au courant, Ludovic l'avait elle mise au courant de ses envies , tellement de questions se posait elle .
Mais vanessa savait ce qu'elle voulait au fond d'elle-même , et depuis trop longtemps , elle savait ce qu'elle était venu chercher , elle était venu chercher ce genre d'humiliation même, cette humiliation qu'elle ressent a cette instant, rouge de honte, les yeux baissés , incapable de sortir le moindre mot de ses cordes vocales , parfois observer , parfois devisager par manon qui fait ressortir un multitude d'expression les plus moqueurs et sarcastique venant de ses magnifiques yeux marron vert si particulier auquel ludovic a été séduit .
Vanessa c 'est bien ca lui posa comme question manon d'une facon la plus normal possible , un oui inaudible presque muet essaya d'emettre vanessa , pardon je n'entend pas insista manon , oui je m'appel vanessa , trés bien la coupa aussitot manon d'une voix calme et sur d'elle .
Vanessa tu vas allez surveillez quelques instant au cas ou quelqu'un nous voit , tu voudrais quand meme pas qu'ont surprenne ton mari en train d'embrasser une autre dit elle en rigolant elle et Ludovic déjà visiblement complice, mais attention nous te voulons quand même dans notre champ de vision insista Manon .
Sans même se poser de question, Vanessa exécuta l'ordre dès l'instant, partis quelques mètres plus loin surveiller les alentours, sans entendre ce que pouvait se dire Manon et son mari a cette distance-là, elle pouvait simplement les voir s'embrasser, se goûter, se déguster même, leurs désirs était flagrant, leurs baiser de plus en plus fougueux, pendant que l'excitation de cette humiliation en donnait mal au bas-ventre de Vanessa, elle les entendait rire en là regardant , se moquait-il , probablement se disait elle , voyant Manon sur les genoux de son mari assis sur le banc avec sa jupe cachant à peine sa dentelle rose qui masquait son intimité .
Au bout d'une trentaine de minutes à surveiller les alentours ou plutôt à observer ce que faisait Manon et son mari , Vanessa fut appelé au loin d'un geste de la main par Manon , une fois arrivé a leur hauteur du banc ou les 2 presque inséparables depuis quelques heures maintenant, semblait seul au monde .
Vanessa, tu vas aller nous chercher 2 coupes de champagne pour fêter cette magnifique soirée dit Manon de la façon dont elle sait si bien faire,ironique et douce mais surtout subtil et fine, à l'inverse de Vanessa au travail qui elle est, sec cassante et arrogante , Manon elle est tout le contraire mais pas moins dur et surtout beaucoup plus humiliante , elle commençait à comprendre ce que voulait vanessa ,le genre d'humiliation mental, cérébral qu'elle Recherchait .
A ce nouvel ordre et sans dire un mot vanessa tourna les talons instantanément pour aller chercher les 2 coupes de champagnes quand Manon la rappela aussi sec , avec un ton de plus en plus sur d'elle .
Dis-moi Vanessa dit Manon comme si elle s'adressait à une adolescente timide, viens t'asseoir a coté de nous continua Manon , ce que fit Vanessa exactement comme une adolescente timide , sait tu que quand quelqu'un s'adresse à toi il est impoli de ne pas lui répondre poursuivi Manon .
Ce n 'est plus comme à une adolescente que s'adresse Manon mais comme à une petite fille à laquelle on éduque à apprendre la politesse .
Devant cette humiliation grandissante au fil du temps qui s'écoule, Vanessa n 'est plus dans un état semi-hypnotique , mais presque hypnotisé, ces fantasmes, ces envies, ces désirs , ces pulsions, cette obsession constante qui lui parcourt son corps et sa boîte crânienne depuis tant de temps sont plus fort qu'elle , l'émotion corporelle l'emporte sur sa raison , a ce stade elle ne pense plus, ne réfléchis plus , son entre jambes coulant tel une fontaine depuis le début de la soirée lui a fait comprendre qu'elle avait déjà perdu la parti face à sa conscience.
Après cette remontrance enfantine de Manon et les excuses de Vanessa du même niveau, l'élégance de celle-ci a totalement disparu, sa docilité et son obéissance en Frôlerait même le pathétique en la voyant aller chercher d'un pas vif voir presque courir pour rapporter les remontants demandés par sa rivale .
Que se passait-il dans la tête de Vanessa se demandait Ludovic , celui-ci savait les désirs profonds d'adultère de sa femme , il savait que Vanessa aimait être soumise Parfois dans l'intimité, mais fut quand même surpris par la docilité et l'obéissance de celle-ci envers Manon .
Était ce l'alcool, l'excitation d 'assouvir son fantasme , l'humiliation d'obéir a Manon , sûrement tout ce cocktail se disait il .
Quand Vanessa revient une dizaine de minutes plus tard tenant les coupes de champagne a la main de façon machinal et toujours aussi docile, ce qu'elle voit pourrait presque lui faire tomber quelques gouttes de millésime qu'elle tient entre les mains, elle a comme une impression d'assister a un début de scène érotique, manon est à califourchon sur Ludovic , l'atmosphère est légèrement plus animalières , ils ne se dégustent plus , ils se dévorent, Ludovic remonte la jupe de manon de la main gauche pour caresser la cambrure de son fessier presque parfait il faut le dire , qui d'ailleurs en joue bien et en rajoute plus qu'il en faut devant Vanessa , pendant que la main droite lui caressait l'entre-jambe , seulement 2 doigts avaient franchi la frontière protéger pas un tissu mouillé, les 2 doigts qui auraient probablement fait jouir à ce moment la Vanessa devant ce qu'elle voyait, Manon poussait des petits gémissements en embrassant Ludovic cette fois-ci plus langoureusement,
parcourant parfois par petit coup de langue les lèvres de Ludovic comme le ferait une actrice chic et sexy d'Hollywood jouant le rôle d'une femme fatalement douce .
Pendant un instant Vanessa se demanda s'ils n 'allaient pas arriver ce qu'elle a tant de fois imaginer dans sa tête ici devant elle , mais ne voulant pas jouer avec le feu , ludovic et manon ineterrompu leur voyage auquel il était parti , demandairent les coupes a vanessa qu'elle tenait depuis aumoins 5 bonnes minutes et lui dit d'allez continuer surveillez , ce que fit vanessa presque contente d'allez surveillez par sécurtié , mais presque tout aussi decu de ne pas assister a la suite des évements , qui sera fera toutefois avec beaucoup moins d'ardeur.
Manon et Ludovic sirote leur grand cru accompagné d'une cigarette , rigolant se touchant s'embrassant comme un petit couple auquel vanessa les a trouver tout a l'heure sous les étoiles .Une trentaine de minutes plus tard , l'aiguille de la montre défilant toujours trop rapidement dans ce genre de situations, sauf peut- être pour Vanessa qui contente de revoir son mari mais également Manon marché de façon normale pour regagner la soirée.
Au fait mon amour dit Ludovic a Vanessa , qui a l'entente de ce mot reçoit un peu de réconfort dans cette épreuve volontaire ,Manon habite à une vingtaine de minutes de chez nous, je pense que cela ne te dérange pas que nous la raccompagnons ce soir poursuivi Ludovic , ce qu'accepta Vanessa d'une manière de peur de décevoir son mari et Manon étrangement, en fait Vanessa se découvrait elle même , elle ne fuyait pas cette situation , au contraire, l'attirance d'allez plus loin était une nouvelle fois plus forte qu'elle .
Après avoir dit au revoir a certains invités, Ludovic prit Vanessa à part seul ,et d'un geste toujours aussi rassurant, carressant de sa main la joue de sa femme comme un mari aimant , pose une nouvelle fois la question a vanessa .
Et tu sur que c 'est vraiment ce que tu veux mon amour , elle m'attire beaucoup , elle me fait beaucoup d'effet et nous avons l'air d'avoir beaucoup de points communs , es tu sur des conséquences mon amour si je passe la nuit avec elle , elle peut etre dominante et humiliante avec toi tu l'as bien vu je suppose ,si c 'est cela que tu veux , je le veux bien aussi, mais je te demande de reflechir une derniere fois , alors quand nous irons à la voiture pour ramener Manon , si tu prends la place de devant cela voudra dire que l'on arrête et nous raccompagnerons Manon de façon normal et courtoise ,si tu t'assois derrière cela voudra dire que je ferai l'amour ce soir a Manon , je la baiserais fort peut être , je ferais tout pour la faire jouir je veux que tu le sache mon amour .A ces dernières mises en garde de Ludovic , le cerveau de Vanessa était en ébullition et son bas- ventre une bombe à retardement .
Ce fut une soirée ravissante et un joli mariage se réjouit Ludovic pendant la marche qui les ramena a la voiture Manon sa femme et lui , ho je dirais même encore mieux rajouta Manon d'un rire étouffé, et toi Vanessa qu'en pense tu demanda manon une fois arriver à la hauteur de la
voiture , dans un dernier gloussement et d'émotions nombreuses, Vanessa répondit , oui cela était une très bonne soirée mais j'ai peut être un peut trop bu ce soir , je vais laisser la place de devant a Manon car j'ai peur d'être malade , je vais m'asseoir a la place de derrière dit vanessa a ludovic , tu es sûr que ça vas allez répondit Manon , sur quoi Vanessa confirma , oui oui ne vous inquiétez pas Manon ça va allez j' en suis sur , je vous en prie prenez la place devant installez- vous.....
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F. Préambule à l’initiation
Jean est arrivé en avance devant l’entrée du palais des expositions un peu en avance et attend patiemment. Il ne voulait surtout pas être en retard et passer pour un malotru. Par contre il est 14h15 et pour l’instant aucune nouvelle de Sabine. Il s’inquiète, est-il devant la bonne entrée ? Apparemment oui. Il regarde sans cesse sa monte.
14h30 Sabine arrive enfin. Elle est tout de cuir vêtue avec un long manteau ouvert qui laisse apparaître des cuissardes qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées, Une jupe arrivant à mi-cuisse et un bustier qui semblait dire « Regardez mais ne touchez pas ! ». Elle était magnifique, une nouvelle déesse, oui, la déesse de l’inconnu, celle qui peut vous entraîner dans le tourbillon de sa volonté en vous noyant dans son monde de volupté jusqu’à vous faire oublier que vous avez existé auparavant, que vous êtes encore vivant. Les gens s’écartaient devant elle comme les eaux devant Moïse.
Martin la suivait, habillé d’un pantalon de ville gris, d’un blazer bleu ouvert sur une chemise blanche, col ouvert et un foulard rouge noué autour du cou.
Jean qui était en tenue décontractée, comme il le faisait toujours lorsqu’il allait dans des endroits où il y a de la foule, se sentait un peu ridicule.
« Bonjour » dit Jean d’une voix enrouée.
« Suivez-nous » lança Sabine sans aucune forme de politesse.
Jean restant immobile Martin lui fait signe de le suivre fissa. Tous deux emboitent le pas à Sabine.
Sabine présente les billets d’entrée, récupère un plan du salon et dit « On va aller boire un verre, comme ça je pourrai voir le circuit que l’on fera ». Les deux hommes la suivent comme des toutous. En buvant leur boisson Sabine étudie le plan puis elle s’adresse à Jean « Vous étiez déjà venu au salon de l’érotisme ? ». « Non ! » répond Jean.
Sabine s’esclaffe de rire et dit « Tu as entendu Martin ? Le pauvre petit chou qui nous accompagne n’est jamais venu au salon de l’érotisme ! ». Puis s’adressant de nouveau à Jean « Vous avez une vie vraiment triste. Mais, si vous êtes sage, cela va changer ! » Puis approchant sa bouche de l’oreille de Jean elle chuchote « Vous n’imaginez même pas ce dont je suis capable de faire pour changer votre vie. Vous l’imaginez ? » totalement désarmé, Jean regarde Martin qui lui fait un simple clin d’œil tout en ayant un sourire malicieux. Finalement Jean répond « Non, je vous avoue que je ne sais pas que penser ! » Sabine lui souffla dans l’oreille tout en disant « Aaaahhh ! Vous avez répondu OUI alors il ne sert plus à rien de penser. Moins vous penserez et plus vous saurez, et plus vous saurez moins vous imaginerez ! Vous êtes comme Faust ! Je suppose que vous connaissez l’histoire de Faust et Méphistophélès ! » Elle se lève et dit « Martin, tu sais ce que tu as à faire, Jean vous venez avec moi ! ».
Le premier stand qu’il visitent est un stand de lingerie pour femme comme pour homme. Dentelle, maille, cuir, Lycra… Il y en a pour tous les goûts et tous les genres. Tenues vanille ou plus orientées et différentes panoplies sont accrochées sur des portants. Elle attrape un string en cuir pour homme l’approche du bas ventre de Jean et fait Hum, elle répète le geste avec plusieurs vêtements y compris avec une panoplie de soubrette. Jean pense qu’il sert de mannequin afin que Sabine choisisse des tenues pour Martin.
Ensuite ils se rendent sur un stand de piercings et demande à Jean son avis sur les différents modèles. Le même stand propose des cages et des ceintures de chasteté. Cette fois Sabine ne parle pas, ne fait pas de présentations sur Jean mais arbore un large sourire à la fois mutin et énigmatique. Ils passent devant un stand qui présente du matériel et mobilier de donjon (C’est le nom que l’on donne à une salle aménagée pour les pratiques BDSM) mais Sabine ne s’y intéresse pas. Jean se dit que chez eux il n’y a peut-être pas la possibilité d’installer un donjon. Cela le rassure car il se vois mal être immobilisé à la merci de ses hôtes. Dans les jeux de rôle il préfère garder en partie le contrôle.
Une voix de femme retentit soudain. « Coucou Sabine ! » Sabine se retourne, s’esclame « Ah Vaness ça va ? » et l’embrasse sur la bouche « Patrick n’est pas avec toi ? ». « Oh, il traîne par-là ! Et Martin ? » dit la femme.
« Il était là tout à l’heure mais il est parti car il avait une course à faire ! ». « Mais je vois que tu n’es pas seule ! » répondit la femme.
« Ah oui, je te présente Jean, un ami ! Jean, je vous présente Vanessa ma meilleure amie ! » Après un échange de « Enchanté.e » de part et d’autre Vanessa attrape Sabine par le bras et l’emmène à l’écart pour s’éloigner de Jean.
Vanessa - « Ce n’est qu’un ami ? »
Sabine - « Chuuut, c’est ma proie pour de nouvelles expériences ! »
Vanessa - « Martin est d’accord ? »
Sabine – « Évidemment ! Tu connais notre histoire et que ce que nous faisons ensemble est le ciment de notre couple ! »
Vanessa – « Le moment venu n’oublie pas ta meilleure amie, j’aimerais voir ça ! «
Sabine – « Promis et tu pourras même participer si tu veux ! Et peut-être plus tôt que ce que tu penses ! »
Vanessa – « Salope ! Tu sais que tu m’as fait mouillé ? »
Sabine – « Si tu n’avais pas mis un pantalon j’aurais glissé ma main pour vérifier ! »
Elle se mettent à rire puis s’embrassent à nouveau sur la bouche.
Vanessa – « Au revoir Jean, à très bientôt j’espère ! »
Jean – « Au revoir Madame ! »
Vanessa s’éloigne en riant « Madame, ah ah, il est trop mignon ! ».
Puis Sabine s’adressant à Jean « Bien, j’ai vu ce que je voulais voir ici. Vous êtes en voiture ? »
Jean – « Oui, elle est sur le parking à gauche en sortant ! »
Sabine – « Eh Bien, pour une fois, c’est moi qui vous suis ! »
Jean – « Je vous dépose quelque part ou je vous ramène chez vous ? »
Sabine – « Vous vous souvenez des consignes ? »
Jean – « Oui ! »
Sabine – « C’est-à-dire ? »
Jean – « Que je sois ici à 14h00 et que je me rende disponible jusqu’à demain midi ! »
Sabine – « Prenez la direction du centre-ville et je vous guiderai ! »
Arrivés au niveau de la place principale elle lui demande de se garer puis ils s’engagent à pied dans une petite rue et arrivent devant un petit magasin de lingerie dont la devanture et la vitrine n’ont pas été changés depuis les années 1950 .
Ils entrent, faisant teinter une clochette située en haut de la porte. Une dame âgée arrive et prend Sabine dans ses bras en disant « Bonjour ma chérie quel plaisir de te revoir ! » puis s’adressant à Jean « Bonjour jeune homme ! » Jean répond par un bonjour timide en se demandant ce que l’on pouvait bien trouver d’intéressant dans un tel magasin.
Sabine à la vielle dame – « Martin est passé ? »
La dame – « Oui il est passé dans l’après-midi et il m’a remis une liste ! Je n’ai pas tout mais viens, je vais te montrer ce que j’ai ! »
Sabine à Jean – « Venez ! »
Jean les suivit dans l’arrière-boutique. Il y avait des rayonnages en bois, remplis de ce qui semblait être des vêtements et des sous-vêtements emballés dans des sachets transparents et au-dessous des tiroirs, comme il y en avait dans les anciennes merceries , un petit canapé deux places en cuir rouge et en face une cabine d’essayage.
La vielle dame sort la liste de sa poche et prie Sabine de s’assoir dans le canapé puis attrape un mètre ruban puis s’approche de Jean en disant « Je vais prendre quelques mesures jeune homme ! » Surpris, il recule.
Sabine – « Ne faites pas votre mijaurée, Nanette ne veux pas vous manger elle doit juste prendre des mesures ! »
Finalement Jean se laisse faire, Nanette fait ce qu’elle a à faire, se dirige vers les rayonnages montre un sachet à Sabine qui acquiesce et le tend à Jean.
« Prends ça et vas l’essayer ! » lui dit la vieille dame. C’était un slip qui paraissait être en cuir avec des boutons pression devant et derrière. Interloqué, Jean regarde Sabine qui pousse un soupir d’exaspération et lui fait signe d’aller dans la cabine d’essayage. Jean entre et attrape le rideau pour le fermer.
« Non, non le rideau reste ouvert ! » lui lance Sabine.
Bien que Sabine ne lui ait pas encore dit quel est son rôle, il comprend que le jeu a commencé et qu’il doit se soumettre à tous les ordres.
Jean se met donc entièrement nu devant Sabine mais aussi devant la vieille dame et devient tout rouge, ce qui fait rire aux éclats les deux femmes. Puis tout en continuant à rire Nanette dit « Voila, je vais pouvoir prendre les autres mesures. Approche toi jeune homme. Ne t’inquiète pas, des bites j’en ai vu, tenu et sucé tellement dans ma vie qu’aujourd’hui je préfère manger une saucisse de Toulouse avec des lentilles ! » Une fois les mesures prises Jean enfile le slip et à la demande de Sabine il se présente face à elle puis fait demi-tour. Elle se lève du canapé puis dégrafe les boutons pression arrière et avant. « C’est bon vous pouvez vous rhabiller et attendez-nous dans la boutique ! » lui dit Sabine. Jean se rhabille devant ces dames goguenardes et part dans la boutique.
Sabine à Nanette – « Montrez-moi ce que vous avez ! »
Nanette – « Je n’ai pas la ceinture mais j’ai des cages ! Je te montre ? »
Sabine – « Oui bien sûr ! »
Nanette ouvre un des tiroirs et dit « Celles-ci correspondent aux mesures que j’ai prises sur le sujet ! »
Sabine en examine plusieurs, hésite, puis en choisit une dont elle est certaine que toute érection sera forcément douloureuse.
En connaisseuse, Nanette approuve ce choix puis glisse la cage et le slip dans un sachet opaque et propose à Sabine de faire son choix de ceinture sur catalogue. Sabine en choisit une et Nanette lui fait remarquer qu’il faudra bien préparer le sujet (Sujet est le terme que Nanette emploie pour nommer les hommes et les femmes qu’elle a dominé une grande partie de sa vie avec fermeté et sévérité. Son arrière-boutique actuelle était un donjon et la boutique de lingerie était tenue par une de ses soumises. C’était il y a longtemps).
Sabine met le sachet dans la poche de son manteau et les deux femmes rejoignent Jean qui attend dans la boutique puis Sabine et Jean retournent à la voiture.
« Maintenant nous allons à la maison ! » dit Sabine.
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J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jours plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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