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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
III. Acte 2
A. Premiers pas de soumis. Partie 1
Jean, qui est en train d’aider Martin à ranger, se retourne brusquement. Sabine se tenait debout dans l’encadrement de l’entrée voûtée, campée sur ses cuissardes aux talons aiguille et bras croisés. Il avait l’impression de voir une icône.
D’un ton ferme elle dit « Assied toi ! »
Interloqué Jean s’exécute.
Sabine – « Tu as accepté de jouer un rôle. C’est exact ? »
Jean – « Oui, c’est exact ! » répond-il surpris par ce soudain tutoiement.
Sabine – « Et tu as promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! C’est bien ça ? »
Jean – « Oui ! »
Sabine – « Je veux que tu me le dises ! »
Jean – « J’ai promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! »
Sabine – « As-tu une idée du rôle que tu dois assumer ? »
Avant qu’il réponde elle demande à Martin de les laisser seuls et d’aller sur le palier car elle craint que sa présence bloque Jean. Elle doit lui annoncer ce qu’elle attend de lui tout en le rassurant, faire en sorte qu’il comprenne de lui-même si ce n’est déjà fait, le faire adhérer en éveillant sa curiosité et son désir malgré ses doutes et ses craintes. Elle sait que l’excitation et la peur font monter le rythme cardiaque de la même façon, comme le plaisir et la douleur peuvent apporter les mêmes frissons. Elle s’assoie en face de lui.
Sabine – « J’attends ta réponse ! »
Jean – « Pas vraiment. J’ai vu tellement de choses et vécu tellement de situations aujourd’hui que j’imagine tout et rien ! »
Sabine – « Ok ! Mais quand tu m’as envoyé OUI par SMS c’était avant ! Pourquoi tu as répondu OUI ? »
Jean – « La curiosité, l’envie d’aller vers l’inconnu ! ». Curiosité, envie, inconnu. Des mots qui confirment Sabine qu’elle a choisi le bon sujet.
Sabine – « Sais-tu où nous sommes ? »
Jean – « Oui chez vous ! »
Sabine – énervée « bien sûr qu’on est chez moi, mais Ici à cet étage ! Imagine-tu ce qu’il y a derrière cette porte ? »
Elle désigne du doigt le couloir et la porte qui mènent au donjon.
Jean – « Je sais que c’est un endroit spécial. Peut-être ce qu’on appelle un donjon dans le milieu BDSM ! »
Sabine – « Bien ! Et que se passe-t-il dans un donjon ? »
Jean – « Il y a une personne qui prend du plaisir à faire certaines choses à une autre personne ! »
Sabine – « C’est plus subtil que ça. Il y a un dominant et un dominé. Faire certaines choses, comme tu dis, c’est un moyen pas une finalité. La finalité c’est le plaisir de l’un et de l’autre, peu importe le moyen sachant que c’est toujours le dominant qui décide du moyen ! Tu comprends ? »
Jean – « Je crois que j’ai compris ! »
Sabine – « D’après toi, de nous deux qui est le dominant ? »
Jean – « Vous ! »
Sabine – « Donc quel va être ton rôle ? »
Jean – « Le rôle du dominé ! »
Sabine –« Le rôle de soumis. On dit soumis car tu vas te soumettre à toutes mes volontés ! Et à partir de cet instant tu t’adresses à moi en disant Maîtresse Sabine ! C’est compris ? »
Il sait enfin. Cela l’inquiète et l’excite en même temps, et son cœur se met à battre très fort. Il essaie de répondre mais aucun son ne sort de sa bouche.
Sabine s’impatiente et sur un ton plus haut – « C’est compris ? »
Jean avale sa salive et d’une voix chevrotante – « Oui Maîtresse Sabine ! »
Sabine – « J’ai horreur de répéter deux fois la même chose ! »
Elle se lève et dit « Suis-moi ! »
Il se lève aussitôt et lui emboîte le pas. Elle déverrouille et ouvre la porte de la salle de préparation, tout en lui expliquant la signification des couleurs de la lampe qui se trouve au-dessus de la porte. Vert, déverrouillé et rouge verrouillé.
« Ici, tu te déshabilles et tu ranges tes habits et ta montre dans ce placard. Quand tu es nu tu vas dans la salle d’eau ! ».
Elle ouvre la porte et Jean se dit que c’est une salle d’eau normale sauf que, juste à côté il y a un ce qu’on appelle un pied à sérum comme on en voit dans les hôpitaux mais, sur celui-ci est accroché un récipient gradué et une canule au bout du tuyau. Jean est surpris car il se souvient que lorsqu’il avait été hospitalisé on lui avait mis un cathéter relié à une poche de sérum accrochée au même pied sur roulette. Il le poussait pour arpenter les couloirs et prendre l’ascenseur afin d’aller fumer sa cigarette à l’extérieur.
Sabine voit que cet objet intrigue Jean, donc elle précise « Un soumis ou une soumise. Peut-être qu’un jour tu auras l’occasion d’assister à l’éducation d’une soumise ou d’en partager une session ! ». Elle fait exprès d’attiser sa curiosité. « Donc, un soumis ou une soumise se doit d’être toujours d’une propreté irréprochable, y compris au plus profond de son intimité, afin de ne pas risquer de subir une punition en cas d’inspection de la Maîtresse ou du Maître ! »
Elle lui explique comment utiliser cet appareil et les précautions à prendre.
Ils retournent dans la petite salle.
« Une fois que tu es propre tu enfiles ce slip. C’est celui que tu as essayé cet après-midi. Tu t’assoies ici et tu mets ce masque sur tes yeux. Tu ne dois plus rien voir, comme quand on joue à Colin-maillard, et tu attends ! As-tu tout compris ? »
N’ayant pas envie de se faire réprimander il répond docilement « Oui Maîtresse Sabine ! »
Sabine sourit, lui caresse le dessus de la tête et dit « Ce soir je suis la seule Maîtresse ici. Alors oui Maîtresse suffira. Économise ta salive car tu risques d’en avoir besoin ! » elle ajoute « Sois prêt dans une demie heure ! » et sort par la porte qui donne sur le couloir, la lumière passe au rouge.
Jean soupire, regarde autour de lui, vérifie la couleur des lumières qui sont au-dessus des portes, elles sont toutes au rouge, sauf celle entre la petite pièce et la salle d’eau. Pas moyen de s’échapper ni même d’entrevoir ce donjon dont Sabine lui a parlé et se souvient qu’il a un temps limité pour se préparer et découvrir ce nouveau monde. Il se met à siffloter un air de cette symphonie éponyme du compositeur Antonín Dvořák pour de donner du courage et exécute les consignes que Sabine lui a données.
Sabine va chercher Vanessa et Martin qui attendent sur le palier. Ils se rendent dans le donjon après que Martin ait récupéré une bouteille de champagne dans le réfrigérateur et trois flûtes.
Toute excitée Vanessa demande – « Alors c’est bon il se prépare ? »
Sabine – « Normalement oui mais, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas allumer l’écran et activer les caméras ! Et pendant que je me prépare tu surveilles ce qu’il fait. En même temps tu pourras me conseiller sur ma tenue ! ». Dans chaque pièce il y a une micro caméra invisible qui permet de visionner tout ce qu’il se passe.
Vanessa – « Il ne verra pas ta tenue puisque tu m’as dit qu’il aura les yeux masqués ! »
Sabine – « À la fin je vais le lui enlever car je veux qu’il découvre son environnement ! »
Vanessa – « Mais il me verra ! »
Sabine – « Non, tu retourneras dans la pièce du fond. Tu pourras regarder par la glace sans tain ! »
Les deux femmes se dirigent vers cette pièce où se trouvent les tenues, l’écran qui permet de voir ce qu’il se passe dans les autres pièces et où des convives peuvent voir le donjon à travers la vitre sans tain tout en consommant des boissons fraîches ou chaudes.
Vanessa démarre l’ordinateur, allume l’écran et active les caméras à partir du logiciel. Elle a la salle de préparation et la salle d’eau simultanément en double affichage. Elle voit Jean assis sur les toilettes avec la tête appuyée sur ses genoux et le tuyau de l’énéma entre ses fesses et regrette de ne pas avoir assisté au moment où il s’enfonce la canule dans l’anus.
Sabine lui demande – « Tu le vois ? il en est où ? Il a intérêt à ne pas être en retard ! »
Vanessa – « C’est sa première fois sois un peu indulgente ! »
Sabine – « Tu as raison ! Qu’est-ce que tu penses de cette tenue ? »
Escarpins rouges à talons aiguilles, corset porte-jarretelles en vinyle noir avec des bas résille et mini-jupe en cuir noir.
Vanessa – « Pas de soutien-gorge ni de culotte ? »
Sabine – « Non, car je veux qu’il sente le frottement de mes tétons sur sa peau et s’il est docile il sera récompensé d’un face-sitting ! »
Vanessa – « C’est lui qui sera récompensé ou c’est toi ? »
Sabine – « On verra ! »
Vanessa reprend sa surveillance et Sabine met sa tenue.
Jean sort de la douche et Vanessa s’exclame « Ouah, pas mal le mec ! » puis il s’essuie, va dans la salle de préparation, enfile le slip spécial, s’assoie et met le masque.
Vanessa – « Il est prêt et il attend patiemment le petit chou ! »
Sabine fait exprès de prendre son temps puis met en soupçon de parfum de chaque côté de son cou, il faut que Jean se souvienne de cette odeur toute sa vie. Vanessa va s’assoir à côté de Martin et s » assure qu’il a compris la consigne du coup de coude.
Finalement Sabine sort de la pièce, choisit un collier, aujourd’hui ce sera un collier en cuir, moins agressif qu’un métallique et une laisse en chaine avec une dragonne en cuir car elle veut qu’il ressente la sensation du métal de la chaine sur sa peau. Elle déverrouille la porte et l’ouvre. Jean tourne la tête en sa direction mais ne voit rien.
Sabine lui dit « Debout ! »
Jean s’exécute, elle lui met le collier en faisant exprès de faire frotter la laisse métallique sur son épaule, ce qui a pour effet de le faire frissonner puis elle prend la laisse à ras du collier afin de mieux le guider et lui dit « Avance ! »
Il est surpris par le froid du carrelage qui contraste avec la douceur de la moquette de la salle dans laquelle il attendait. Les talons de Sabine claquent sur le sol en rythmant les pas. Après quelques mètres elle s’arrête, se positionne derrière lui, appuie ses seins contre son dos, passe ses bras autour de son torse et commence à faire rouler les tétons de jean entre ses doigts et sur un ton apaisant lui dit « Te voilà dans le donjon. Dans MON donjon ! ».
Elle pince un peu plus fort et continue à faire rouler les tétons tout en tirant dessus, Jean grimace, Sabine ajoute « Tu vas avoir l’honneur de goûter à mes jouets préférés ! Est-ce que tu te rends compte de la chance que tu as ? »
Jean, perdu dans ses pensées ne répond pas.
Sabine tire plus fort « Répond ! »
Jean – « Aïe. Oui Maîtresse ! »
Sabine – « Oui quoi ? »
Jean – « J’ai de la chance ! »
Elle attrape la laisse et l’emmène vers la croix de Saint-André, l’adosse contre, elle lui lève le bras gauche et menotte le poignet à la croix puis fait de même avec le bras droit. « Écarte les jambes ! Encore ! » et elle attache les chevilles à la croix puis le sangle au niveau de la taille. Jean l’entend s’éloigner puis revenir. « Baisse la tête et ouvre la bouche ! », Il obéit et sent une boule s’insérer entre ses mâchoires et être serrée à l’arrière de sa tête par des lanières qui sentent le cuir. Une main descend le long de son corps, lui caresse le bas ventre à travers le cuir du slip, dégrafe la partie amovible, sort son sexe et commence à le branler. L’érection est immédiate et soudain la main glisse vers les testicules et les serre très fort. Ne pouvant pas crier à cause du bâillon boule Jean pousse des gémissements tout en entendant Sabine lui dire « Je ne te trouve pas très obéissant. Tu ne réponds pas instantanément à mes questions et tu bandes sans mon autorisation. Je ne sais pas si tu me mérites. Je vais te laisser réfléchir un moment ! ».
Vanessa a chaud et regrette de ne pas pouvoir participer à cette initiation. L’initiation c’est son péché mignon, chaque fois qu’elle éduque un soumis ou une soumise elle a l’impression de peindre un nouveau tableau qui touche par touche va devenir le paysage qu’elle avait imaginé.
Martin sourit en pensant que, pour une fois, il apprécie de n’être que spectateur tout en sachant qu’il vivrait mal sans sa soumission à Sabine qui justement s’avance vers eux, leur fait signe d’aller dans la pièce du fond en mettant son index à la perpendiculaire de ses lèvres pour qu’ils restent silencieux et ils s’engouffrent tous les trois dans la pièce en refermant la porte derrière eux.
À travers le miroir sans tain ils regardent Jean immobilisé sur la croix avec son sexe qui pendouille lamentablement en dehors du slip et qui commence à baver à cause du bâillon.
Sabine leur demande ce qu’ils en pensent, Vanessa et Martin lui confirment que c’est un bon début. Oui, Sabine pense que d’ici quelques temps elle aura une bonne emprise psychologique et physique sur lui.
De son côté Jean se sent un peu bête, son ego de mâle est en train de prendre du plomb dans l’aile. Il ne peut rien voir mais imagine sa position, immobilisé sur ce qu’il pense être une croix comme il en a vu au salon de l’érotisme et en plus petit sur le mur du couloir, avec cette boule qu’il a dans la bouche qui fait couler la bave sur son torse et qui descend lentement vers son sexe exposé aux regards. Oui, regard au pluriel car il est persuadé qu’il n’est pas seul avec Sabine. Il lui a semblé entendre plusieurs pas, car le fait de ne pas voir aiguise ses facultés auditives. Combien ? Il ne saurait dire. Martin est là, c’est certain, mais après ? Vanessa ? La vieille Nanette ? D’autres personnes ? Mais, non ! Voilà que je recommence à bander en pensant que je suis peut-être exhibé devant des gens que je ne connais pas. Qu’est-ce qui m’arrive ? Il se concentre pour refaire tomber l’excitation car il n’a pas le droit de bander sans autorisation. Me concentrer, voilà la solution, y compris pour supporter la douleur, mais ça va être compliqué.
Heureusement pour lui, derrière le miroir, personne ne l’a vu car ils sont trop occupés à bavarder.
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Une histoire d’avortement… avec un peu de pyjama dedans
J’ai un lourd passif avec l’avortement. Une histoire de famille, un peu taboue, un peu cachée… et pourtant bien réelle.
Je suis l’aîné d’une fratrie de six enfants. À dix ans, j’avais déjà une bonne idée de ce que « grande famille » voulait dire. Mais un jour, paf : maman tombe enceinte du septième. Oui, le septième.
Notre médecin de famille, toujours prompt à faire de l’humour de salle d’attente, s’est fendu d’une blague :
« À chaque fois que votre mère lave le pyjama de votre père, elle tombe enceinte ! »
Sauf que cette fois, ça n’a pas fait rire maman.
Elle a répondu, bien sérieuse :
« Soit vous trouvez une solution, soit je divorce. »
C’est ce qu’on appelle un ultimatum propre et net.
À l’époque, je n’ai rien su. Juste que notre grand-mère est venue s’occuper de nous, et que mes parents sont partis en voyage en train. Pourquoi ? Je ne me souviens plus du prétexte donné, mais en tout cas, ils sont partis.
Quelques jours plus tard, papa est revenu. Seul.
Et là, il nous annonce qu’il doit repartir, en voiture cette fois, pour aller chercher maman. Comme il n’avait pas envie de faire le trajet seul, il m’a demandé de l’accompagner. Et c’est pendant ce voyage qu’il m’a tout expliqué.
J’avais 10 ans…
Nous voilà donc partis en Citroën Traction Avant, en plein hiver, direction Genève, pour rejoindre la clinique où ma mère était hospitalisée.
Les détails de la suite se sont un peu effacés avec le temps, mais je me souviens du jet d’eau de Genève, immense et hypnotique… Je me souviens aussi des paquets de cigarettes, bien moins chers qu’en France, et de mon père, qui fumait encore à l’époque, tout surpris en ouvrant un paquet : cinq fausses cigarettes à l’intérieur. Tromperie sur la marchandise, version helvétique.
Et puis il y avait cette clinique.
Je me souviens surtout de la porte de la chambre de ma mère. Une porte monumentale, recouverte de cuir avec des clous dorés. Elle menait à un sas, lui aussi doté d’une porte identique. Impossible d’ouvrir la seconde si la première n’est pas fermée. Un système de confinement presque solennel, entre mystère et asepsie. Ce sas, c’était comme un entre-deux mondes.
Celui de l’enfance… et celui de ce qu’on ne dit pas.
J’avais 10 ans.
Et puis, bien plus tard, il y a moins d’un an, j’ai posé une question toute simple à ma mère :
« Comment avez-vous payé tout ça ? »
Elle m’a répondu calmement, comme si elle me donnait une recette oubliée :
« C’est un grand-oncle à nous qui a donné l’argent. »
Un nom perdu dans la généalogie, mais une aide bien réelle.
Ce genre de choses qu’on tait, qu’on enterre comme les souvenirs. Mais qui finissent toujours par refaire surface.
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Le général Valeri à des potes chez les viets. A la demande de bdsm.fr, j'avais cessé de parler des exploits de ce général russe en Ukraine. A la demande d'une .....ici sur ce site, il m'a été demandé, après une mise au tonneau, de ne plus tirer à boulets rouges sur le coût exorbitant de nos administrations et de nos fonctionnaires. Alors de quoi parler. Des problèmes de couple entre Brigitte et emmanuel? Rien à foutre des différences d'âge et sincèrement, Brigitte c'est une meuf, pas un mec, mon modeste avis sur les ragots. Ce qu'il y a de bien dans le bdsm, c'est que l'on se détache de plein de trucs et qu on en a rien à foutre de plein d'autres. Dom ou soum peu importe, je trouve que nous sommes plus libres.
C'est le cas du général Valeri, en mission secrète en Asie du sud est. Un voyage à faire en célibataire. Avec tous ces jolis petits culs de nanas aux yeux brides, Valeri s'est promis une belle partie de chasse. Pour l'instant il donne le change dans les rues de Hanoï. Il joue au touriste autrichien, il parle fort bien allemand et traine dans tous les coins mal fames. Il se tape des putes comme on boit des bières. Le parfait touriste sexuel qui claque des dollars. Avec ses bretelles bien visibles sur sa chemise, son air satisfait, il a tout du parfait connard. La police ne lui prête plus aucune attention. Les réseaux adverses non plus.
Il est dans son hôtel. Il est rentré avec une minette bombe sexuelle sur pattes. Le petit cul le plus serré des trottoirs, c'est à dire encore trop large au goût de Valeri. Il a bâillonne sa minette du soir.il l'a bien ligottee. Comme cela elle lui fout la paix. Elle a voulu protester. Quelques bonnes gifles sur son petit cul ont suffi pour la calmer. Le cul bien rouge , son bâillon sur la bouche, le sperme qui dégouline de sa chatte, elle couine presque en silence. Elle tremble un peu. c'est vrai que les fessées de Valeri font horriblement mal.
À la télé des viets, on parle discrètement de la délicate attention de Brigitte pour son mari. Valeri monte le son. La encore il passe pour le parfait touriste.
Il assemble son canon de 30mm. Portée plus de 4 km. Un bijou de technologie. Pose sur un trépied en titane, valeri prend tout son temps. Il observe Hanoï dans la nuit avec sa lunette spéciale. Sa cible est la, en face, à plusieurs kilomètres.
La cible ne se doute de rien. Elle sort nue de la douche et s'allonge sur son lit. Elle allume une cigarette et sort son tel sécurisé. Valeri savoure sa vengeance . Sa cible est très belle. Normalement c'est une tâche pour un sous fifre. Mais Valeri aime régler parfois ses comptes lui même. Il monte le son de la télé, donne une baffe sur le cul de sa pute ligotee qui se tortille. Il revient à son canon et a sa lunette. La cible est toujours là. Un plouf ! C'est fini. L'obus de 30mm a fait exploser la chambre où se trouvait la cible. Il est temps de démonter.
Il glisse des billets de cent dollars dans la raie des fesses de la pute viet.
Toi la fermer sinon moi venir te la fermer..
Inutile de répéter, les putes connaissent le langage de la rue.
Il quitte son hôtel avec juste un gros sac de sport. Il est temps de retourner vers la Sainte Russie.
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