Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Il n’a même plus besoin de m’en donner l’ordre. Le coussin sur le sol me l’intime à chacune de nos rencontres. C’est devenu un acte de soumission profonde, et capital.
Depuis le début de ces séances, c’est le préliminaire indispensable, sans quoi, je pourrais rester frustrée, déconfite d’avoir été privée du goût de sa queue.
Le sucer, c’est aussi un fantasme qui accompagne mes caresses avant de m’endormir, celui qui s’impose quand je reçois une de ses photos.
J’aime m’activer lentement sur sa hampe pour commencer. Savourer…le temps de le faire durcir. Le prendre en entier tant que je le peux encore car plus il durcit, plus son sexe devient trop gros, trop long pour ma bouche. J’aime le faire bander même si c’est au prix de ma suffocation. Je marque des pauses avant de coulisser plus franchement. Je me focalise pour le sucer comme il le veut. Manquer d’air me rend ivre et de plus en plus avide.
Je m’étrangle souvent. Laisse couler des filets de salive qui défont tout le soin que j’avais pris à me faire jolie. Mon maquillage coule avec mes larmes. C’est humiliant et j’avoue aimer ça, justement. Ça me coûte de mettre à mal mon ego et pourtant j’aime qu'il s’en foute comme si c’était normal ; d’ailleurs ça l’est devenu au fil du temps. Ça participe à son plaisir, donc au mien.
Il est dur et excité maintenant. Il m’attrape par les cheveux et maintient ma tête de façon à le prendre au plus loin de mes capacités. Il me baise la gueule. Je perds le contrôle de ma nuque. Il a le contrôle et je tente de retenir ma nausée. Je m’efforce d’être ce qu'il veut : sa chose, sa poupée, un trou pour son chibre.
Je bave et ressemble à une loque. J’ai le regard perdu. Bave, larmes et morve se confondent sur mon visage. Je lui suis soumise et excitée à mort. Camée, je deviens cette junkie réclamant son shoot : sa queue.
689 vues
14 aime
Il a reçu un nouveau message de Maîtresse Julie. Il doit aller dans le parc du Château de Versailles et la retrouver près du loueur de barques vendredi à 16h. Il fait chaud en ce mois de mai qui débute. Maîtresse Julie a demandé s'il faisait le pont du premier. C'est le cas et elle lui a proposé de passer le week-end avec elle. Sa verge s'est tendue d'anticipation à la lecture du sms. Heureusement sa collègue n'a rien vu bien qu'un afflux de sang l'ait fait rougir de honte. Il a plongé sous son bureau pour dissimuler ce curieux changement de teint que rien dans son travail ne pouvait justifier. Il n'a pas de relations suffisamment intimes avec ses collègues pour parler de sa sexualité marginale. Il est un homme soumis à une magnifique jeune versaillaise du Chesnay qui représente pour lui le summum de l'élégance. Il se souvient de son regard et de ses mains si fines qui l'ont branlé à quatre pattes comme le chien qu'il devient à ses pieds. Il n'a pas oublié le goût de sa mouille quand elle a joui dans sa bouche. Son visage rougit encore de la crainte d'être surpris quand il a pénétré à genoux mains sur la tête dans ce luxueux appartement de l'avenue de Paris au Chesnay. Son aine est resté irritée par la dentelle de la culotte rouge qu'il portait sur son ordre.
Il va la rejoindre au parc du Château. Il porte de nouveau cette culotte en dentelle à laquelle sa peau est sensible. Sous son short de coton blanc elle se devine au soleil. Sa chemise rayée bien glissée dans la ceinture ne la cache pas entièrement. Il craint les regards moqueurs des nombreux touristes qu'il croisera. Comble du ridicule il porte des sandales avec des chaussettes. C'est par obéissance qu'il s'est ainsi attifé car cette tenue n'est guère seyante. Sa grande taille le fait souvent remarquer et ses yeux clairs sous ses cheveux bruns attirent l'attention des femmes en général, mais aujourd'hui c'est son ridicule qui jouera ce rôle d'aimant et en sortant de son meublé la honte lui fait déjà baisser la tête. Il va devoir prendre le bus 171 et remonter l'avenue de Paris jusqu'au terminus. Il est préférable qu'il ne marche pas trop car il a le sentiment que le week-end va être fatigant. Deux jeunes filles le regardent et rigolent derrière leurs mains. Une vieille dame aux cheveux bleutés pousse un soupir et tourne la tête. Il surprend le sourire en coin du grand black qui conduit le bus. Le trajet va sembler long! Et il devra encore traverser la place d'armes remplie de cars de tourisme, puis emprunter le passage où les visiteurs attendent pour acheter les billets. Une fois de l'autre coté il n'empruntera pas les majestueux escaliers qui conduisent au canal, mais se faufilera plutôt entre les haies et les statues. Avec un peu d'imagination il les entend aussi se moquer, elles qui ont vu tant d'élégants se promener dans ces lieux historiques.
Ça y est , j'aperçois enfin la cabane du loueur de barques. Quelques-unes naviguent au loin mais la plupart sont attachées au ponton. Je n'ai que rarement ramé. Pourvu que je réussisse à mener Maîtresse Julie où elle le souhaite. Si je la fais chavirer elle ne voudra plus de moi. Si je l'arrose elle sera fâchée. Si je...non stop. Tout va bien se passer. Je vais obéir promptement à ses ordres et être un bon soumis. J'aimerais tant revoir son si beau visage lorsqu'un sourire éclatant illumine son regard. Ou quand elle jouit. Oh je dois arrêter de penser. Lâche prise Baptiste! Lâche prise! Tu vas bander et ça va se voir.Ce nest vraiment pas le moment. Concentre toi et trouve la. Elle est sûrement arrivée.
Tiens,tiens cette silhouette déguingandée ressemble à mon soumis. J'ai bien choisi sa tenue. Un bon point pour lui, il a respecté les consignes. Je me demande s'il a conscience de son ridicule? Allons Julie, ne sois pas si méchante. C'est un provincial, d'accord, mais il n'est pas idiot pour autant. Et ces bécasses qui ont ricané en le croisant ne savent pas combien il réussit les cuni. Oh zut, je dois me calmer, je mouille déjà à l'imaginer au fond de la barque à me donner du plaisir. ..
Julie attend assise à siroter un café crème à la terrasse devant le ponton où les barques sont attachées. Le cliquetis des chaînes la rend songeuse. Aurait-elle dû mettre une culotte? Sa robe est longue, le petit vent de printemps qui remonte de la plaine ne risque pas de la trahir. Mais il ne faudrait pas qu'il devienne plus fort car l'ampleur de la jupe pourrait se soulever et dévoiler son impudeur aux touristes. Cette tenue est adaptée : elle pourra cacher son soumis dessous dans le parc. Y penser déclenche déjà son moulin à miel. Belle image qu'elle a retenue d'un poème érotique de cet ami photographe. Moulin à miel....
"Bon assez rêvé. Je vais me manifester et dans ma grande générosité offrir un diabolo menthe à ce grand dadais".
Maîtresse Julie fait un geste du bras et Baptiste l'aperçoit . Il avance vers elle et se tient debout derrière la chaise de bistrot. Sur la table verte assortie la crème du café lui fait de l'oeil . C'est sa boisson préférée. Osera-t-il commander la même boisson que Maîtresse Julie? Ne serait-ce pas lui manquer de respect? Le serveur approche. D'un geste négligeant Maîtresse Julie fait signe à son soumis de s'asseoir. "Ce sera un diabolo menthe pour le jeune homme s'il vous plaît et soyez gentil d'apporter l'addition " Le serveur sourit d'une manière obséquieuse . Ce n'est pas la première fois que cette élégante femme vient louer une barque avec un jeune homme. Et ce n'est jamais le même. Il l'a repérée car il a un sixième sens pour deviner les relations qui sortent de l'ordinaire. " Et je suis sûr que c'est encore un nouveau gigolo. Il est beau gosse celui-ci. Il faudrait que j'ose lui parler à cette versaillaise. Bon ,et un diabolo un!. J'espère qu'il aime ça. "
Une fois servi, les deux mains sur ses genoux, peut-il ou non commencer à boire? Un petit regard vers Maîtresse Julie impassible ne lui donne aucune information. Le mieux est sûrement de baisser les yeux et d'attendre. Elle ne le regarde pas et sa main fine saisit l'anse de la tasse. La mousse glisse vers le bord. Et juste avant de boire un ordre claque. " Bois ! Et ne traine pas! Il est déjà tard!" En rougissant il attrape son verre d'une main que l'anxiété fait trembler. "Contrôle! Ne renverse pas! " Le verre est vidé sans incident. Un soupir lui échappe. Un sourire étire les lèvres de Maîtresse Julie et elle tourne la tête vers lui. "La classe ta tenue le chien ,murmure-t-elle dans un souffle, il ne te manque que le collier. Cela va attendre. Mais tu dois imaginer qu'il encercle déjà ton cou. Compris? " En rougissant il acquiesce. "Oui Maîtresse Julie " et ces trois mots, que seule une autre personne en dehors du couple devine, scelle le début d'une longue séance de dressage. Baptiste baisse humblement la tête alors que Julie relève la sienne avec un sourire triomphant . Le serveur aux abois garde un visage professionnel impassible mais un éclair brille dans ses yeux. Il a bien compris la relation qui existe dans ce couple qui sort de l'ordinaire. Il n'oubliera pas ces deux visages.
Julie se lève et de son pas dansant approche l'employé préposé aux barques. Elle lui tend le jeton et regarde l'heure . "Bien il est seize heure quinze, allons-y. Aide moi. Donne ta main. " Elle enjambe le rebord de la barque et va s'assoir à l'avant, les jambes écartées pour garder l'équilibre. Baptiste pose ses fesses sur le banc et sous le regard ironique des deux employés commence à ramer. Il se débrouille plutôt bien et la barque s'éloigne sur l'eau calme du canal. Julie remonte un peu sa jupe, et de plus en plus. Elle montre ses jambes parfaites à son soumis en récompense de sa bonne tenue. La barque avance vite et est déjà au milieu . " nous allons tourner dans ce bras et tu nous rapprocheras du bord" . Malgré la douleur qui commence à irradier ses mains, il répond de ces mots si doux à sa langue" oui Maîtresse Julie,il en sera comme vous le désirez . " Elle ferme les yeux de plaisir et remonte encore son ample jupe.
D'un claquement de doigts suivi d'un geste impérieux, elle lui montre son sexe dévoilé par l'absence de sous-vêtement.
Baptiste tire sur les rames pour les remonter afin qu'elles ne glissent pas dans l'eau. Il ne doit pas passer pour un idiot aux yeux de sa domina. Il a déjà peur de son mépris par rapport à sa méconnaissance du milieu bdsm. Il craint d'être repoussé et se concentre pour bien se comporter. La règle est simple : obéir, obéir, faire jouir et jouir après y avoir été autorisé. Ce contrôle est si doux à son âme. Pourtant il est plutôt meneur et autonome dans la vie. Il prend des décisions et des responsabilités, trop parfois peut-être. Mais obéir et ne plus réfléchir et lâcher prise dans la jouissance, quel bonheur si profond! Seuls les autres soumis rencontrés au hasard de discussions sur les sites spécifiques le comprennent . Et c'est ainsi qu'il baisse les yeux devant cette jolie femme et qu'il exécute ses ordres avec diligence. Le voici à genoux sur les planches du fond de la barque. Il se penche encore, pose ses mains au sol et sa tête sur des chaussures noires qui bougent lentement, dans une danse silencieuse. " N'as-tu pas oublié? Mains sur la tête bâtard! Et lèche mes chaussures! " il sursaute sous l'insulte criée à ses oreilles et s'empresse de mieux se positionner. Un pied frappe sa joue et le pousse un peu. De surprise un cri lui échappe. "Décidément, tu ne sais pas te taire. Tu me déçois beaucoup. Comment faire pour que tu comprennes que tu n'as pas le droit d'émettre le moindre son? Je ne peux pas te museler à l'extérieur, même si l'envie me démange. Tu vas être puni. Ça commence fort!" Elle agrippe ses cheveux et soulève la tête de ce chien desobeissant. Elle mord son oreille. Un gémissement lui échappe. Elle relâche ses dents et le regarde avec un gros soupir. Puis elle mord l'autre oreille. Il arrive à se contrôler. Elle caresse sa tête gentiment :" tu vois que tu peux te contrôler petit chien. " Elle l'attire vers lui et caresse sa queue qui se gonfle de plaisir. Mais l'élastique de la culotte coince le gland et des larmes perlent au coin de ses yeux. Honte et douleur, peur et envie, sentiments mêlés, cerveau perturbé. Baptiste ne sait plus où il en est et lève la tête vers Julie . Elle le serre dans ses bras et caresse encore sa tignasse brutalement. Douceur et brutalité, plaisir encore. Elle murmure :"tu es un bon chien, tu apprendras tu verras. Lèche moi bien et fais moi jouir, tu seras récompensé à l'appartement. " Elle pousse sa tête vers son sexe poilu et légèrement odorant. Sa cyprine le rend tout humide. Il saisit délicatement la petite excroissance de chair si sensible entre ses lèvres et suçotte en aspirant doucement. Les jambes de Julie s'écartent encore plus. Elle le pousse en gémissant. Il donne des petits coups de langue et souffle avec son nez. Puis il mordille délicatement et sent le plaisir de Maîtresse Julie couler sur son menton.
"Ohoh ne pas trop montrer sinon il va s'y croire ...ohoh wahou. Ça c'est un p'tit cuni! Il faudra le féliciter. Oui mais pas trop. Ohoh .allez je le repousse. L'heure tourne." Et dans un dernier soupir Maîtresse Julie repousse Baptiste tout doucement afin qu'il retourne ramer. Et sans un mot , dans un claquement de doigts, elle lui montre les rames. Puis elle défait sa chaussure et étire tout son corps pour poser son pied nu sur l'entrejambe de son rameur. Ses orteils entament de petits mouvements de rotation, son talon appuie sur ses testicules, la verge se gonfle et les rames s'immobilisent sous la puissance du ressenti. Il mord sa lèvre inférieure pour ne pas exprimer son bien-être. Elle le fixe dans les yeux d'un air sévère. Et appuie de plus en plus. Une douleur lancinante commence à irradier son bas-ventre. Il mord encore plus sa lèvre. Elle sourit, commence à relâcher la pression, et une caresse de son pied allégé parcourt toute cette verge gonflée. D'un lent va-et-vient elle monte et descend son pied. Il cesse de se mordre et la fixe dun air béat. Elle le regarde baver et son sourire s'élargit. Ses orteils pianotent doucement sur le short. Puis elle replie sa jambe et remet sa chaussure.
"Dépêche toi! Nous allons avoir du retard. Tu traines! Tu traines! Je n'ai pas envie de payer encore à cause de toi!." La barque avance vite. Il sent que c'est une fausse colère mais s'applique à bien ramer. Il ne veut pas décevoir sa domina. Ils rejoignent le ponton et il lui offre sa main pour descendre. Elle s'éloigne très vite. Il se sent abandonné et la suit des yeux . Les employés sourient mais un lui claque le dos:" Ne traîne pas mon canard. Ou tu la perdras. Le parc est grand. " Il accélère le pas dans la grande allée si droite. Ce n'est pas celle qu'il connaît et il craint de se perdre. Il aperçoit Maîtresse Julie qui l'attend impatiemment à un embranchement. Elle s'éloigne dès qu'il s approche et se dirige vers un bosquet. Bien caché par les arbustes, un banc de pierre moussue sur lequel Julie est assise apparaît. D'un air narquois elle tient un collier relié à une laisse métallique en anneaux .Baptiste rougit, envie et honte, peur et désir, inquiétude et plaisir mêlés, cerveau perturbé. "À genoux devant ta Domina le chien, mains sur la tête " À entendre cet ordre tant attendu, il sent son coeur accélérer, ses paupières cacher son regard, son cou plier vers l'avant , ses genoux ployer vers le sol , ses bras partir vers l'arrière et ses doigts se croiser. Il sent un collier de cuir encercler son cou et un doigt griffer sa peau. Un léger cliquetis accompagne un mouvement qui tire sa tête vers le bas. Elle se retrouve sur les pieds de Julie. Il se sent bien. Cette position si souvent rêvée est devenue réalité. Une petite brise caresse ses jambes nues. La laisse dirige sa tête vers l'entrejambe de Julie dont les cuisses se resserrent. La jupe relevée retombe sur le soumis agenouillé et le dissimulera entièrement aux regards indiscrets de visiteurs qui se seraient égarés. Plus un mouvement ne perturbe cette scène irréelle. Julie prend son téléphone dans son sac , appuie sur une touche et écrit un message à son amant : Vous aviez raison Maître. Il est prêt". Puis elle range son téléphone et sourit d'un air mi-rêveur,mi-inquiet. " Tout va bien se passer. Tout va bien se passer. Je vais le récompenser et j'aurais ma récompense aussi. Le Maître n'a qu'une parole ".
Elle appuie sur la tête de Baptiste et ,exprimant son anxiété d'une voix forte elle crie:" Chien! Lèche ta maîtresse! Fais moi jouir! Et utilise tes doigts! Je veux te sentir partout! Devant et derrière! Je veux savoir si tu es un bon chien qui lèche comme il faut! " elle sent des doigts fébriles explorer ses orifices. Elle sent une langue agile s agiter sur et dans son sexe. Elle sent un souffle animal sur son intimité. Elle perçoit des grognements mais décide de ne pas les réprimer. Ses jambes s'écartent à lui faire mal. Son bassin bascule vers l'arrière et glisse jusqu'au bord du banc si froid à sa peau. Elle s'agrippe au dossier du banc et rejette sa tête en arrière. La jouissance se diffuse de son bas-ventre à tout son corps. Des vagues de plaisir irradient son corps. Des doigts longs et souples explorent son vagin et son arrière-train. Cette double pénétration la fait gémir, puis grincer, puis se taire en apnée. Enfin le hurlement d'une louve comblée perturbe le silence du parc. Près des barques les employés lèvent le pouce de la victoire. Le gardien à la grille sursaute puis sourit, une jeune femme sourit à son bébé dans sa poussette. Le parc du Château tout entier sent un courant de plaisir le traverser. Les branches s'agitent, les oiseaux se posent, les chiens s'assoient et frottent la base de leur queue au sol. La marchande de glace sourit aux anges. Et les énormes poissons du canal pointent leurs têtes à la surface. Un moment parfait hors de la réalité , le ciel semble plus bleu.
Dans le petit bosquet, Julie, en complet lâcher prise , sent qu'elle a communié avec la Terre. Baptiste à ses pieds commence à souffrir de son sexe gonflé. A travers l'épaisseur de tissu sur sa tête il sent la main de sa domina le caresser tendrement. " Je vais te donner ton plaisir petit chien, tu le mérites. "
Julie se penche en avant et ,repoussant doucement son soumis, elle défait sa ceinture et glisse sa main pour saisir le pénis tendu de Baptiste. Ses doigts forment un anneau qui monte et descend plus ou moins serré. De l'autre main elle remonte sa jupe et dénude ses fesses. La robe sur le banc elle se penche encore et ordonne dans un souffle :" À genoux chien, mains sur la tête! " D'un mouvement souple elle s'éloigne juste un peu et continue de branler cette pine gonflée. Le short a glissé jusqu'aux genoux et seule la petite culotte de dentelle rouge protège encore si peu les fesses de Baptiste. Julie la fait glisser à mi-cuisses. Les jambes tremblantes , le soumis retient un gémissement et se penche vers le banc. La domina attrape les mains sur la tête et tire les bras vers l'arrière. La tête vient heurter le banc sur la robe et sans bruit car la chute maîtrisée se fait en douceur. Puis l'anneau des doigts sur la verge accélère son mouvement et la semence se répand dans un râle contenu. L'extase du lâcher prise se lit dans le sourire béat et dans les yeux brillants de Baptiste. Julie caresse son front tendrement et le laisse récupérer. Son majeur mouillé de sperme va masser l'anus de son soumis et le pénètre delicatement . Il laisse échapper un petit cri de souris et rougit. Son plaisir prolongé provoque une légère érection. Le doigt se fait plus intrusif, un deuxième puis un troisième le rejoignent. Ils entrent et sortent. Une vague de plaisir sauvage parcourt tout le corps de l'homme agenouillé . Il retient son cri mais s'écroule en avant. Maîtresse Julie se rajuste et pose son pied sur la tête de Baptiste. Celui-ci est en extase devant la prestance de sa domina. Malgré l'inconfort de sa position, le risque d'être surpris et le vent qui fraichit , il vit un moment parfait qui restera pour toujours dans sa mémoire. Sa domina est satisfaite, il semble être un bon soumis. Son coeur se gonfle de joie.
953 vues
11 aime
Juste avant que la décision ne tombe (tu en étais informé en amont) et que nous soyons tenus de nous confiner, tu m’as proposé de venir m’installer chez toi, pour, selon tes mots, que j’assure la «continuité du service sexuel que je te dois ».
Jusqu’ici, nous nous étions toujours refusés à vivre ensemble, choisissant de conserver chacun notre appartement, même si, aux yeux des autres, de nos familles, de nos amis, nous étions, nous sommes « ensemble ».
Ce choix, nous l’avions fait d’un commun accord. Ce n’était ni le tien, ni le mien mais bien le nôtre. Parce que nous nous pensions tous deux trop libres, trop indépendants pour supporter une cohabitation au quotidien, une vie de couple « normal», craignant malgré tout ce que nous avons construit ensemble de finir par nous lasser l’un de l’autre, et de nous perdre l’un l’autre.
Malgré mon appréhension, j’ai accepté, sachant que le confinement était inévitable et je me suis installée chez toi.
Nous en sommes désormais à notre deuxième semaine de cohabitation forcée, « télé-travaillant » tous deux, passant l’essentiel de nos journées « confinés », même si, toi comme moi, de par nos métiers respectifs, nous pourrions continuer de nous déplacer comme avant pour vaquer à nos occupations respectives. Ce n’est pas le choix que nous avons fait. Par civisme, respect des autres sans doute davantage que des consignes, pour ne pas courir ou faire courir de risque à autrui.
D’entrée de jeu, tu m’as proposé de m’installer à ma guise. Je t’ai laissé ton bureau et j’ai choisi d’envahir le salon, installant mon pc, mon portable, mes dossiers.
Et nous, qui jusqu’alors passions notre temps à courir après le temps, nous avons appris à vivre selon un rythme différent. Ensemble.
Cette cohabitation, cette intrusion de chacun dans le quotidien de l’autre, qui jusqu’ici me faisait peur, non seulement je ne la crains plus, mais j’y prend goût chaque jour davantage.
Nous continuons de travailler, nos journée sont bien occupées, entre courriels, téléphone et visioconférences, mais j’apprécie de te savoir tout proche, à mes côtés et moi aux tiens, qu’à tout moment tu peux venir me rejoindre, m’apporter un café, un thé, échanger, parler, vivre.
Ni pour toi ni pour moi, télétravail ne signifie laisser aller. Nous nous respectons trop l’un l’autre pour cela. Même confinés, je m’habille comme si j’allais au cabinet et de ton côté la seule liberté que tu t’es offerte c’est de renoncer au port de la cravate.
Ta femme de ménage ne venant plus, tu m’as proposé de partager les tâches ménagères.
J’ai refusé.
Non que j’adhère à la vision traditionnelle des rôles respectifs de l’homme et de la femme.
Tu sais combien je hais les machos imbéciles pour qui la femme n’a d’utilité qu’au lit et comme domestique.
Mais, même si je demeure femme, je suis aussi ton esclave, et j’ai voulu te le prouver, au quotidien, en prenant à ma charge toutes ces tâches ingrates que bien souvent les femmes n’ont d’autre choix que d’assumer, n’ayant pas la chance d’avoir comme conjoint ou partenaire un mec comme toi.
Moi qui normalement emploie également quelqu’un pour ces « tâches subalterne », j’ai appris à faire les poussières, à passer l’aspirateur, à laver les sols, les toilettes, la salle de bains, à me servir du lave vaisselle et du lave linge, à repasser tes chemises, tes caleçons...
Et puisque j’accomplis ces tâches en tant qu’ «esclave », je me met nue pour ce faire. Ce qui te permet aussi, si tu en as l’envie (fréquemment, ce qui n’est pas pour me déplaire !) de m’utiliser autrement, toujours comme « esclave » mais à d’autres fins.
Nous cuisinons ensemble.
Ni toi ni moi ne sommes très doués (enfin toi encore moins que moi ????).
Mais j’aime ces moments partagés, nos rires, ce plaisir simple, aux résultats parfois surprenants quand tu t’essaies à des recettes élaborées et que nous finissons devant un plat surgelé compte tenu du produit final auquel tu es parvenu.
Le reste du temps, nous parlons, nous lisons, nous échangeons, nous confrontons nos points de vue.
C’était déjà le cas avant, mais désormais que le temps s’écoule autrement, nous en avons davantage pour « nous ».
Surtout, même si j’avais le sentiment de bien te connaître déjà, j’ai appris à te connaitre différemment, dans ton environnement quotidien, ta manière d’être, de réagir, de te comporter.
Et puis il y a nos nuits. Le bonheur de partager ta couche, corps et désirs entremêlés, ta violence et ta tendresse, cette envie qui nous habite de vivre, de profiter de ce temps que nous avons pour nous, de jouir l’un de l’autre, dans tous les sens de ce mot.
Je croyais te connaître, pourtant grâce à ce confinement imposé, je continue de te découvrir, avec des aspects de ta personnalité que je ne connaissais pas et d’explorer avec toi, grâce à toi des territoires inconnus.
Je ne sais pas ce qu’il adviendra demain. En tout cas, au terme de cette période étrange, de ce temps comme suspendu, je ne porterai plus le même regard sur la vie.
Et je n’aurai plus peur.
1000 vues
20 aime
C'est l'heure
L'heure de la lèche
La lèche-douche de Monsieur
Est prête
Sueur salée sucéé
Nez à nu
Bouche à fleur d'aisselles
Poils à lustrer
Salive sur la peau
Peau mouillée aux lèvres
Flux acides
Lacis moites à laver
La langue en torchon
La langue éponge
La langue savonne
Fait briller le cuivre
Des bras des jambes du ventre du dos du cou des mains des doigts des pieds des joues des paupières des oreilles du front du menton
Et du sexe
Du sexe de Monsieur
Sécrétions acidulées
Moustache baveuse autour de la bouche
Saveur suave
Coulées dans la nuque
Cou collant
Vapeurs voluptueuses
Des tempes trempées
Toutes les perles suintées
Le long du dos
Le long de la raie
Entre les fesses
Toute poisse est bue
Coccyx couilles
Velu velin de l'entre-cuisse
Duvet soyeux de l'aine
Touffes piquantes du pubis
Tout est choyé
Et bien sûr la tige glabre
Le tigre en éveil
L'oeil attentif du cyclope
Et ses larmes sucrées
Tout tout tout
Tout est bien bu
Hmmmm
Elle aime cette heure
L'heure de sa lèche
Sa lèche-douche de Monsieur
Son rendez-vous goulu
Son moment précieux
D'offrir la toilette à ce corps
Assoupli après qu'il a fait son sport
Quand enfin il s'arrête
Se tient debout face à elle
Les yeux comme deux braises
Et qu'il laisse tomber ses habits au sol
Devant sa servante à genoux
Quand l'odeur musquée
De son mâle échaudé
Assaille de promesses épicées
La souillon salivant à ses pieds
Et que d'un geste il l'invite
A lustrer du gant de sa langue
Le carénage palpitant de son corps
Elle y met tout son coeur
Son propre corps en fête
N'omet aucun recoin de la toile
Elle aime cette heure
Où docile elle se rend utile
Au plaisir de son Maitre
C'est l'heure de la soumise éprise
Mais qu'il prise lui aussi
Leur heure
Leur intime antienne
C'est l'heure
L'heure de la lèche
La lèche-douche de Monsieur
Est faite !
787 vues
2 aime
De retour chez elle après avoir terminé sa journée de travail, elle jette négligemment son sac sur la méridienne du salon, allume la télé et choisit rapidement un album sur le podcast avec son smartphone, elle sait qu’il lui reste peu de temps pour se préparer, direction salle de bain pour d’abord prendre une douche. Sa petite robe bleue glisse à même le sol suivie par le petit ensemble Aubade qu’elle avait acheté en soldes la semaine passée. Elle fait glisser son tampon hors de son vagin pour le jeter machinalement dans la petite poubelle de la salle de bain.
La lingerie a toujours été son petit péché mignon, elle ne les compte plus ses dessous depuis longtemps, mais tout est rangé avec soin dans les deux commodes de son dressing qu’elle a dédiées à cette petite passion intime. Dans la première se trouve les ensembles, dans la seconde les soutiens-gorge et les dessous chaque fois classés par couleurs, de façon à pouvoir les assortir au gré de sa fantaisie et de son humeur. Hell’s Bell d’AC/DC résonne dans son appartement, elle n’était même pas née lorsque ce morceau a été écrit, mais elle a toujours aimé écouter ce genre de musique avant de se rendre à l’un de ses « rendez-vous » … ça la change de la soirée de sa petite vie « vanille » qu’elle a passée avec quelques une de ses amies hier soir dans ce restaurant vietnamien qui fait partie de ses petites cantines favorites, elle y repense pendant que l’eau glacée de la douche coule sur son corps … elle n’oserait pas prendre une douche chaude en pareille circonstances, car elle veut se sentir prête à affronter tout ce qui pourrait lui arriver dans les prochaines heures, comme à chaque fois, elle sait déjà que ce sera intense, son Maître ne lui a donné que très peu d’indications.
Elle passe rapidement une serviette pour se sécher, vérifie que ses ongles sont toujours impeccables avant de se brosser les dents. Elle remet ses petites boucles d’oreilles dorées, pour ce soir, elle a choisi un bijou très simple orné d’un saphir bleu aqua pour son nombril et va chercher le petit écrin en velours noir qui contient les piercings en or qui orneront ses tétons dans quelques instant et que son Maître lui avait offert après l’avoir fait piercée en sa compagnie … l’une de ses premières épreuves. Un magnifique modèle en or massif orné de serpents. Ensuite, elle met son pied gauche pour relever sa jambe sur le petit tabouret et introduit ses boules de Geisha qu’elle a légèrement enduites d’un gel intime en écartant doucement les lèvres de son vagin, elle a toujours apprécié la symbolique particulière de cet accessoire ancestral et son côté particulièrement érotique. Après, elle essuie délicatement l’entrée de son vagin avec une lingette intime qui rejoint le tampon qui se trouvait déjà dans la poubelle dont le clapet se referme dans un claquement sec. Heureusement elle n’a pas ses règles pour l’instant. Elle remet rapidement son petit ensemble Aubade, ajuste une des bretelles de son soutien-gorge blanc cassé et sourit en se regardant dans la glace, tout en se faisant la réflexion que de toute façon, ça ne sert pas à grand-chose vu que dans peu de temps, elle sera nue dans un endroit qu’elle ne connait pas encore, livrée à la merci du bon vouloir de son Maître.
Personne autour d’elle ne pourrait imaginer la double-vie de cette jeune femme moderne, proches, amis, amies ou ses collègues qui l’adorent et encore moins ce voisin qui la reluque souvent avec un regard lubrique lorsqu’il la croise « par hasard » sur le pas de la porte … s’il savait … mais elle ne sera jamais à lui, il est bien trop fade.
Elle lève les bras au ciel et la petite robe bleu foncé qui lui arrive juste au-dessus du genou et met en valeur sa taille fine se retrouve sur elle comme si elle ne l’avait jamais quittée. Dernier détail d’importance, elle ajuste avec soin son collier de jour autour de son fin cou de déesse.
Elle ne va plus tarder à se mettre en route pour rejoindre ce monde parallèle qu’elle côtoie depuis son adolescence qui la rend fière et lui donne confiance en elle. Peu de jeunes femmes soumises possèdent déjà une expérience comparable à la sienne à son âge, son Maître est fier d’elle, elle le sait, mais chaque séance est une remise en question lorsqu’elle doit affronter l’inconnu, sa plus grande crainte finalement serait de décevoir le Maître. Ce n’est pas arrivé souvent, mais elle sait que cette éventualité lui pend au nez à chaque fois …
A suivre …
787 vues
5 aime
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues)
.
Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles.
Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles.
Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel...
A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués.
De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie.
L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader.
Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable !
Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas.
A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter.
Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante :
Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
932 vues
3 aime
Je ferme les yeux pour sentir votre présence
pour voir ainsi devant moi votre beau visage que j'aime tant,
Et comme à chaque nuit, la magie des songes,
M’entraîne dans ce monde empreint d'érotisme...
Vous me saisissez dès mon arrivée, ma tenue m'attend dans la salle de bain,
Je me change, me maquille suivant vos instructions et vous rejoins,
Vous apposez un bandeau sur mes yeux, me prenez mes mains tremblantes d'excitation
Et m'amenez au milieu de la pièce sans un mot...
Vous m'observez lentement, très lentement, dans un silence d'or
Vous contemplez ce corps d'ébène, lisse à souhait qui vous met en émoi...
Vous avez déjà une respiration profonde, un peu saccadée, vous vous mordillez les lèvres;
La musique déverse ses premières notes, sur cet air qui nous est propre
Dès lors vous commencez par m'enlacer fermement, puis me faites danser, puis ployer, pour enfin m'écarteler...
Vous me faites me pencher en avant, me tenant en équilibre
Pour ensuite me faire tournoyer en vous déplaçant autour de moi...
Vous esquissez un sourire, exprimant ainsi tout le plaisir
Que vous avez à soumettre votre soumis à vos folles fantaisies...
Toujours penché en avant, vous soulevez ce voile qui recouvre mon corps,
Mettant à nu mon intimité et faites courir vos mains, vos ongles sur mon corps,
Le frôlant, le caressant, le griffant, agaçant mes tétons au travers de la soie de l'étoffe
Je laisse échapper un râle de plaisir, à la venue des premiers frissons...
Vos mains et vos ongles virevoltent sur mon corps,
Allant tour à tour sur mes fesses, mes cuisses, mon torse,mon dos, Générant cette étrange chaleur qui parcourt ton mon corps
Et met mes sens en éveil...
Vous m'enserrez délicatement la taille, m'obligeant à me contorsionner,
A m'ouvrir de plus en plus, le voile ne couvrant plus grand chose...
Vous posez des pinces sur mes tétons qui dardent effrontément,
Puis d'autres lestées sur les mes testicules que vous avez au préalable recouvert de cire, mêlant douleurs et plaisirs jusqu'au grand frisson...
Vous me faites basculer, à présent mes fesses se trémoussent en rythme sous vos yeux,
Vous y déposez de tendres baisers avant de les gifler ardemment,
Me faisant tressauté avec ce feu qui m'envahit qui trouble mes pensées...
Puis vous écartez mes fesses afin d'admirer mon entre jambes,
De vos doigts chauds et agiles vous parcourez mon orifice tout humide,
En farfouillant entre mes fesses, à la recherche de ce petit anus gourmand, quand je sursaute au premier coup de martinet...
Vous déposez votre salive sur mon doux orifice pour le lubrifier
Et vous m'introduisez lentement mais sûrement,
Pénétrant ma fente toute humide, d'un doigt, puis de deux,
Puis de trois doigts inquisiteurs...
Vous prenez possession de moi tout en me prenant les hanches.
Vos mains s'agrippent maintenant à mes seins puis tirent tout Doucement sur la chaîne reliantt ces deux pinces qui enserrent mes deux charmants tétons...
Je gémis de plus en plus fort, je perds pied, vous me chevauchez vigoureusement d'une main inquisitrice, tandis que de l'autre,
A chacun de mes déhanchements, m'infligez des coups de martinet
Sentant mon plaisir monter à mes feulements et mes contractions...
Pas encore, pas tout de suite... vous mordez alors mon épaule,
Je me cambre et m'écarte encore plus, la sueur ruisselle sur mon Corps, la douleur lancinante à mon entrejambes dû à ses poids qui S'agitent, ces brûlures dans le dos, ses doigts inquisiteurs et votre voix envoûtante me font lâcher prise...
Vous labourez mon dos de vos ongles et saisissez ma tête en attrapant mes cheveux
Pour offrir la base de ma nuque à la morsure de vos dents...
A votre demande, je m'allonge sur le côté, les jambes suffisamment écartées
Pour que vous puissiez contempler cette petite chatte black qui s'offre à vous...
Vous lubrifiez dès lors de votre salive, avec cette langue fouilleuse mon petit orifice,
Tandis que de vos doigts vous vous m'occupez de mon gros clitoris,
Vous déposant des pinces sur toutes sa longueur, le recouvre de cire
Quand je sens ce vide, ôtant vos doigts, vous laissez mon orifice béant
Mes contractions se font plus pressantes, mais il me faut encore attendre...
Vous vous collez derrière moi et doucement vous enfoncez votre sexe Artificiel dans ma petite chatte étroite, restant à l'écoute de mes moindre réticences,
Puis vous ondulez derrière moi par de petit va et vient, vos mains Labourant mon dos...
Là, enfin, c'est le moment... cette délivrance tant recherchée,
libre de tous nos sens, nous partons ensemble dans la plus belle des jouissances, à l'unisson porté par votre désir...
Voici un nouveau songe empreint de cruauté, marqué par ce désir de fusionner avec vous...
626 vues
1 like
Parti à la conquête d'une déesse, d'un diamant, je sème ces mots tel des pétales de rose sur votre route,
Recouvrant à mon passage tous ces maux, qui dans le silence tourmentent ma tendre Muse...
Des mots pour guérir, des mots pour sourire, miroir de pensées troublantes et envoûtantes,
Pensées ayant pour dénominateur commun, la plus belle des Déesses, vous, Ma reine...
Je rêve de cet instant où allongé sur la couche,le corps dénudé, les membres délicatement attachés,
Laissant transparaître mon côté fragile et sensuel, les yeux bandés, je serai dans l'attente
D'un émoi des plus intenses, ayant perdu toute maîtrise...
A cet instant vous vous approcherez, dans le silence des corps en éveil,
Jouant d'un glaçon, de votre souffle chaud, de métal dans un bal diabolique
Vous partirez à la conquête de ce corps d'ébène offert à vous, n'omettant aucune partie...
Après le chaud et le froid, extrêmes auxquels mon corps serait assujettis,
Petits mordillages, baisers doux, sensations piquantes s'alterneront dans un beau balais,
Faisant monter mon désir, faisant monter votre plaisir, jusqu'aux porte de l'extase,...
Et d'un souffle haletant, bâillonné, je hocherai de la tête en remerciement de cette fusion tant désirée,
Mais en guise de réponse, vous ferez glisser la roulette dans mon entrejambes, remontant le long de ma colonne, faisant croître ce désir jusqu'à son paroxysme...
Et ce n'est qu'ensuite dans un véritable apothéose, que vous pénétrerez chacun de mes neurones avec la malice qui vous est propre, inscrivant par vous même la suite de cette scène...
792 vues
0 aime
Me voici à nouveau afféré sur cet étrange sentier parsemé de mots,
Contrée magique où sévissent de doux et beaux songes,
Dont la délicat harmonie qui se greffe à votre voix résonne en mon cœur,
Et les yeux fermés, ils me transportent jusqu'à vous dans une pensée exquise...
Je suis entièrement nu devant vous, portant votre collier de cuir fièrement,
C'est alors que vous décidez de me bander les yeux avec un doux foulard,
Me prêtant au jeu, je vous laisses faire, sentant cette excitation grandir,
Mon pouls s'accélère, aux premiers contacts de vos mains sur mon corps,
Je me retrouves traversé par un premier spasme accompagné d'un petit frisson...
Me voilà offert pour votre plus grand plaisir et avant de me conduire jusqu'au lit,
Vous mes faites tournoyer sur moi même tant de fois
que je perds tout repère, vacillant sans équilibre, pris de vertige...
Vous me portez assistance évitant la chute et me conduisez jusqu'au lit,
Vous m'aidez à m'allonger sur le ventre, puis délicatement
Vous fixez chaque membres aux quatre extrémités du lit...
Perdu dans le noir, pieds et mains ligotés, un morceau de Georges Gershwin en fond sonore,
Je suis pris d'un second vertige sentant votre souffle chaud
parcourir mon corps avant de disparaître à nouveau...
J'attends un contact, une caresse quand je ressens une petite douleur
Partir du creux de mes reins, remontant lentement puis à mis parcourt s'interrompre,
A nouveau ce souffle chaud qui caresse ma peau quant tout à coup
Je sens vos ongles lacérer mon dos , une sensation de chaleur mêlée à la douleur génèrent en moi des frissons, mon corps tremble en réponse...
Puis à nouveau ce silence, mon cœur s'emballe, ne sachant ce qu'il adviendra de moi,
Quand je sens un contact doux et humide parcourir mon dos, Décrivant des cercles, pris dans un torrent de frissons, je bous d'excitation face cette douceur subite..
Puis à nouveau le silence, absence de contact, alors que la musique
fait écho à mon cœur tambourinant, quand ce bruit sec me perse les tympans et ce feu qui me parcourt le dos, j'ai le souffle coupé, cette douleur qui me lance, se mêlant à l'excitation, mon esprit se perd,
Quant un second retenti, puis de nouveau cette brûlure, partant des cuisses jusqu'au bas du dos, je laisse échapper un cri...
Mon cœur bat la chamade, j'ai le souffle court, je sens croître en moi une sensation nouvelle, plaisir nouveau où se mêle douleur et plaisir,
J'appréhende ce prochain contact tout en le désirant ardemment, mes idées se brouillent...
Puis de nouveau ce silence, je sens que je perds pied, que je suis tout à vous...
Dans l'attente de nouveaux sévices, je savoure cette perle de pluie que vous avez déposée sur mes lèvres...
724 vues
1 like
J’aime la manière arrogante dont tu exprimes ton désir.
J’aime ton sexe en érection, tendu, dressé, prêt à me défoncer.
J’aime te faire bander
Je jouis de te servir, de t'exciter, et que tu me le montres avec ta queue.
Je ne peux pas me passer de ton sexe.
J'ai appris les postures, les attitudes, les gestes, les caresses pour cela.
A être provocante, à me comporter comme une salope, une pute, une chienne en chaleur.
Tout ce qui me permet de transformer ce que tu portes entre les jambes en une épée d'acier.
Je sais qu'il me suffit pour cela de m' agenouiller, nue, devant toi,
de te prouver mon désir pour ta queue,
de caresser, embrasser, lécher l'emplacement de ton sexe,
d’adorer ta virilité,
avant de retirer ton pantalon, de renifler ton slip.
pour profiter de ton odeur de Mâle,
sentir ces effluves mélangés de sueur, de pisse et de foutre,
qui suffisent à me faire mouiller.
J'aime te faire bander,
voir ta queue en érection
jaillir de ton slip
telle un volcan qui surgit de l'océan.
J'aime parcourir de ma langue ton gland humide
pour recueillir jusqu'à la dernière goutte de ta mouille
comme un prélude au foutre dont tu vas me combler.
Merci d'avoir fait de moi ta chienne et de m’avoir appris tes désirs de Mâle.
777 vues
6 aime
(Réédition du 09/02/2020 -> 31/03/2024 - 838 Vues)
.
Bref,
Rien ne vaut un homme, pour exposer les penchants de La Masturbation Féminine.
Si il y a bien une réalité lorsqu'une femme arrive sur un site BDSM, ce n'est pas tant le plaisir à regarder les photos ou lire des écrits BDSM,
que de trouver un défouloir de l'esprit, à pouvoir être encore effrayée et stimulée par l'inconnu.
De se questionner si l'on pourrait supporter maintes pratiques sexuelles et BDSM, en se mettant à la place d'une autre.
Si la masturbation masculine est essentiellement portée sur la possession des femmes, il en est tout autre pour la masturbation féminine, portée sur l'utilisation et l'exploitation de leurs corps face à la pluralité.
Le plus excitant dans le plaisir d'une femme, est de se représenter comme la catin que personne n'effleure du doigt (ou du poing :b), et de se sentir capable de l'avouer et de le dévoiler à son prétendant..
Tandis que pour l'homme, c'est dans sa puissance de mâle à prendre ouvertement le corps de la femme.
Un plaisir venant simplement de sa propre valeur ajoutée, et de par toute son énergie innée primitive, à vouloir porter la femme vers la jouissance.
En somme, une attirance, une excitation et un plaisir venant des projections sur que l'on peut faire de l'autre, ou ce que l'on peut faire de soi.
L'accumulation du désir sexuel de la femme vient dans sa frustration et de son manque à dévoiler qui elle est véritablement, voulant faire fi de sa notion de sociabilité et de jugement en rapport aux autres.
De plus, elles sont accompagnés dans toutes les étapes de leurs vies, par des hommes enfants et des chevaliers servants, bercés par leurs ignorances et leurs désirs utopique, que les femmes ont comme centres d'intérêt des êtres profondément protecteurs et rassurants à leurs yeux.
Mais aussi, par des hommes entreprenants contant leurs récits épiques et héroïques, ayant pour vocation unique de les éblouir d'une fugace convoitise.
Entre Coqs et Chapons, la femme n'a d'inspiration que dans le pouvoir de l'homme à s'exprimer librement et sans complexe, Ce que bien entendu la femme n'est pas par nature ! :b
La femme n'aura de cesse de se torturer à ce qu'y est, ou aurait pu être la passion primitive de celle ou celui qui l'aura provoquée, rejetée, ignorée ou possédée ardemment.
Remettant en cause sa "normalité", son expérience, son physique...dans une danse endiablée de l'esprit, et finir par se branler copieusement de sa fébrilité à vouloir succomber, s'abandonner ou se donner, par unique rédemption de ne pas savoir ce qu'elle veut !
Pour faire court, et si vous deviez vous arrêter qu'à une seule vérité ; La femme est une boisson gazeuse qui s'ignore. Jusqu'à tant qu'un mâle l'a secoue.
Je ne peux que recommander le film "6 jours, 7 nuits" ( https://www.youtube.com/watch?v=uvBETmcVhjs ) représentant bien l'aspect routinier, tribal et fusionnel des relations hommes / femmes dans leurs approches respectives l'un envers l'autre.
La complaisance des "touristes" qui se pignolent dans leurs feeling et leurs éloquences, et qui repartent littéralement la queue entre les jambes :b
Dans la vie comme sur ce site, il y aura toujours un ratio de "pilotes" et de "touristes", ne vivant qu'à s'envoyer en l'air.
Et quand certains y voient du haut de leurs "coucous", des opportunités d'acrobaties pour le plaisir, d'autres y voient un simple "charter" à se rediriger vers leurs désirs et espérances perdues.
Pour le reste, c'est autre chose..
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
1.2000 vues
8 aime
Je suis à toi. Je l’ai été tout ce week-end.
Je me suis donnée à toi, j’ai joui de toi.
J’aime ta tendresse, ta bestialité, cette violence que tu portes en toi quand tu me baises.
J'ai choisi ce que je suis désormais, ta femme, ton esclave.
Je l'ai voulu. Je t’ai voulu.
Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle,
mon Seigneur et mon Maître.
Même si c’était hier, j’ai le sentiment que cela fait longtemps que j'ai renoncé à ce que j'étais avant,
une femme soumise, vivant sa soumission en toute liberté,
avec qui elle voulait, comme elle le voulait.
Tu m'as imposé tes règles.
Je t'ai offert l'exclusivité de mon corps.
J'ai renoncé aux amants de passage,
pour me consacrer uniquement à toi.
J'ai appris la frustration, parce que c'est toi qui décide quand tu me baises,
la jalousie, parce que je n'ai aucun droit sur toi,
mais aussi le désir de toi,
le plaisir d’être avec toi, pour toi.
la jouissance d'être à toi.
C’est si bon d’être ta femme, d’être ton esclave.
Merci pour ce week-end passé ensemble.
Merci Maxime, merci Maître.
2.1000 vues
14 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances