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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.
Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose.
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La fille cesse de crier pour gémir, car Yao est un artiste du fouet. Imaginons qu’il vous fouette, lectrice imaginaire du futur, oui, je sais, vous n’avez rien fait de mal, mais vous allez quand même être fouettée… parce que ça m’arrange. Vous aurez mal, très mal, vous allez gémir, crier, supplier et votre cul sera bien marqué, mais il n’y aura pas une goutte de sang. Alors arrêtez votre cinéma genre « Aïe ! Ça doit fait maaaaal ». Bien sûr que ça fait mal, c’est d’ailleurs le but, sinon….
— FANNY !
— Oui, pardon Maîtresse, je…
Azra secoue la tête et dit :
— Tu rêvais au lieu d’écouter.
Je me mets à genoux devant elle et je pose mon front entre ses pieds. J’entends tête de mort rire puis dire :
— Y a pas à dire, elle est douée.
Azra me dit :
— Redresse-toi. Skull et moi, on va peut-être faire équipe…
Skull c’est beaucoup plus joli que Tête de Mort. Elle ajoute :
— On va se laver.
C’est là qu’un Asiatique, sans doute un Chinois, se dirige vers nous. Il est grand, gros, quelconque, sauf ses yeux qui sont inquiétants. Il est suivi par deux belles Chinoises. C’est quoi ce truc ? Il dit à Skull et Azra :
— Je vous remplace, allez au bureau.
Azra m’embrasse et me dit :
— On se reverra, promis.
Je réponds :
— Ne me laissez pas, je…
Elle dit à nouveau :
— On se reverra, promis.
Je pleure, bien sûr, c’est une de mes spécialités. Une des filles apporte une chaise pour l’Asiatique au sale regard et lui dit :
— Voulez-vous que je vous apporte à boire, Maître ?
Il lui caresse les fesses en disant :
— Tout à l’heure. Allez faire un tour.
Les filles saluent en se pliant en deux et quittent la pièce. Le Chinois grince, non, il rit et il me regarde de ses yeux… effrayants. Je baisse aussitôt les miens. Il dit :
— Fanny… c’est un nom prédestiné, tu as énormément de fans.
Il rit à nouveau, moi pas du tout. Il ajoute :
— J’ignore pourquoi, étant donné que tu es plutôt quelconque, non ?
Il faut que je réponde à Satan déguisé en Chinois :
— Si vous le dites, Monsieur...
— Non, mais sérieusement, qu’est-ce que tu as de bien ?
Quel méchant bonhomme et il a l’air vraiment cruel. Je ne réponds pas, mais je me mets… à pleurer dans mes mains. Il crie :
— RÉPONDS !
— Mes fesses, Monsieur… bou... hou... hou...
— Montre.
Je me retourne et lève ma jupe. Il dit :
— Approche.
Je ne bouge pas. Je ne sais pas ce qu’il fait comme « arts martiaux », mais en quelques secondes, je me retrouve par terre, couchée sur le dos. Lui est sur moi et ses genoux me bloquent les bras. Sans que je l’aie vue venir, je reçois une paire de gifles qui claquent sur mes joues. Je pleure de plus belle, tandis qu’il me dit :
— Ça te va bien, les joues rouges.
Il me soulève pour me mettre sur le ventre. Là, il lève ma jupe et il caresse brutalement mes fesses en disant :
— Pas mal, on va bien te vendre.
Je réponds :
— Si c’est une vente des pires connards de la terre, vous serez acheté un bon prix.
Ou alors, je le pense mais très, très fort. Il voit dans mes yeux plus ou moins ce que je pense. Ça le fait rire et il me dit :
— Tu penses des choses que tu n’oses pas me dire, un peu de courage, petite vermine occidentale.
Il attend… puis dit :
— Pas de réaction ? Et pourtant, tu en as envie. On va voir si tu en retrouves pour défendre ta Maîtresse chérie.
Il prend son téléphone et dit :
— Amène-moi Azra.
C’est le déclencheur pour moi, je lui dis :
— Je pense que vous êtes un homme cruel, vous avez la cruauté de vos ancêtres mais pas leur intelligence.
Il fait une vilaine tête triste, puis il éclate de rire… et… il s’en va en disant à son téléphone :
— On la vend, avec les autres.
Un garde me fonce dessus, il me prend par les hanches et il me colle sur son épaule. J’ai la trouille, mais bien… Puis je me dis : « Fanny, c’est filmé. Madame Xiu t’a achetée très, très cher et tu as des millions de followers. Arrête de paniquer, ils ne vont pas plus t’abîmer que si tu étais une toile de coquelicots de Monet. » Le garde a mis sa main sur mes fesses en disant :
— J’ai hâte de te baiser, petite Fanny.
Eh ! Tu rêves sale bonhomme ! Je suis un tableau de Maître ! On va à l’arrière du palais Topkapi, vers un grand bâtiment. À l’intérieur, il y a une salle de sport, des “pole dances” et un mur d’escalade. Une petite dizaine de filles sont là et ça sent… la fille. Ce sont toutes des Blanches, plusieurs ont des tatouages. L’une d’elles a une baguette souple en main. Je vois plusieurs marques sur les cuisses et les fesses des filles.
Je suis nue, tête baissée. J’ai peur, pour changer. Un homme pas trop visible me filme, ça me rassure un peu, à nouveau. Le garde me désigne la fille qui a un genre de badine à la main, en disant :
— Explique-lui.
La fille s’approche de moi, elle vient très près, je me recule et finis par me retrouver le dos contre une barre de pole dance. Elle s’approche encore au point que le bout de son nez touche le mien. Elle me dit :
— Pour connaître ta place dans le groupe, tu vas te mesurer avec les filles, le but étant de faire tomber ton adversaire. Tu vas te mesurer à la moins forte, si elle te bat… tu deviendras la servante des filles.
Elle dit plus fort :
— Numéro 9, à toi.
Une fille s’avance vers moi, elle est jolie et plus mince que moi. Là, je ne vais pas me laisser faire, j’ai de la force et je vais en profiter, je ne deviendrai pas l’esclave du groupe. Elle lève les mains, ça c’est une erreur, je me glisse de dos entre ses bras et elle va se retrouver par terre l’instant d’après. Elle est conne parce qu’elle me laisse bien la prendre et… et je crie parce que je me retrouve par terre sur le dos, tandis qu’elle est assise sur mes seins. Ça fait rire toutes les filles. Pourquoi ai-je voulu changer de rôle ? Ce n’est pas comme si j’avais pu lire le scénario. La fille me dit :
— C’est gai d’être assise sur tes nichons, tu aimes aussi ?
Elle me serre entre ses cuisses, je lui dis :
— Pardon Mademoiselle, j’ai essayé, mais… vous me faites mal et...
Elle poursuit ma phrase :
— Et tu ne savais pas que j’étais 3ème dan d’aïkido. J’ai bien envie de te filer une bonne raclée…
Je la regarde, affolée… Oh ! Elle ne joue pas, elle pourrait me faire vraiment mal ! Elle poursuit :
— A moins que tu t’excuses et plus…
Je sais pas ce que je dois dire :
— Je serais très heureuse et flattée de devenir votre esclave.
Elle me serre entre ses cuisses, je crie tandis qu’elle ajoute :
— Tu es une petite égoïste, toi.
J’ajoute très vite :
— L’esclave de vous toutes. Vous me faites maaaaal…!
Elle a des cuisses de sportive et heureusement, elle desserre sa douloureuse étreinte. Elle me dit :
— Il faut leur demander si elles sont d’accord. Va leur poser la question.
Pffff, je suis fatiguée, j’en ai marre, toujours les mêmes stupidités. Je ne vais pas avoir besoin de prendre une tête suppliante. Ma tête et mon corps ont envie de vacances, en général… juste un peu de soleil et aussi être avec une sirène, de couleur de préférence. Je pense vite heureusement, il faut que je demande à huit filles si elles sont d’accord que je sois leur esclave. Les filles sont jolies, bien sûr. Je suis à genoux, elles debout, je passe de l’une à l’autre et je pose la question à leurs chattes. Elles me font un peu supplier, elles m’obligent à embrasser leurs chattes, leurs pieds ou leurs culs. La réponse est oui ! Ben ça, ça me troue le cul ! Oui, je ne suis pas une esclave polie. Les filles sont toutes d’accord. La fille à la badine me dit :
— Chère Fanny, je me suis trompée, je t’ai fait combattre la plus forte des filles, ça ne fait rien ?
C’est facile de se foutre de moi. Elle me regarde en souriant. Qu’est-ce que je peux répondre sans me faire punir ? Je ne trouve pas, j’ai la tête vide, sinon je ne me retrouverais pas dans cette situation. Une connerie :
— Je suis très heureuse d’avoir perdu et de devenir votre servante. Je ferai tout pour vous satisfaire.
Cette fille est intelligente et… cruelle. Elle me dit :
— Je n’aime pas les menteuses, tends ta main droite paume vers le haut.
Oh non, elle va me punir, je…
— OBÉIS !
Je tends ma main, mais j’ai rien fait !!! Elle me dit :
— Ferme les yeux et ne bouge pas ta main.
La baguette siffle dans l’air, mais rien ne se passe. Elle fait ça deux ou trois fois, puis :
— Aaaauuuhhhhhhh, pardon Maîtresse.
— Ne bouge pas, sinon on t’attache.
Je reçois cinq coups sur chaque paume. La tortionnaire me dit :
— À genoux, paumes levées vers nous !
J’obéis en pleurant, les paumes des mains sont des endroits très sensibles. Elle me demande :
— Quelque chose à me dire ?
Il faut que je trouve quelque chose à lui répondre de vrai :
— J’ai très mal… et je vous dirai toujours la vérité.
— Bien, tu as compris.
Oh que oui, j’ai compris. Elle me fait vraiment peur, parce qu’elle est intelligente. C’est presque impossible pour une servante de dire la vérité. Elle doit reconnaître une faute même quand elle n’a rien fait. Elle me dit :
— Cet après-midi, vous vous exercerez au mur d’escalade. Ça ne va pas être facile pour toi Fanny, avec tes paumes douloureuses, je n’aurais peut-être pas dû te frapper là. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Je pense que vous l’avez fait exprès, Mademoiselle.
Elle me sourit et répond :
— Tu as raison… Tu as un beau cul et tu n’es pas conne.
Là, je peux enfin dire ce que je pense vraiment :
— Merci pour mes fesses Mademoiselle, mais je suis la reine des connes. Sinon, pourquoi je me retrouverais toujours traitée en esclave ou servante ?
Elle me sourit, aïe ! Elle va me dire une vacherie. Voilà, elle arrive :
— Cherche pas trop Fanny, tu risquerais de trouver des bonnes raisons.
En attendant, j’obéis à tout ce qu’elles ordonnent. Je reçois les restes des repas. Je connais bien ça et je m’en fous, du moment que j’ai à manger. Miss Badine s’appelle Laura et je pense à elle, chaque fois que je manipule quelque chose. Elle me dit :
— Sers-nous à boire.
Je prends le seau plein d’eau et un gobelet métallique avec mes mains douloureuses et je vais me mettre devant la fille qui a battu toutes les autres et moi aussi, fatalement. Elle est musclée, même si elle n’a pas des muscles saillants. Je me mets à genoux, je remplis un verre et je lui tends à deux mains.
— Voici de l’eau, Mademoiselle.
Elle me sourit et répond :
— Ça te plaît d’être notre servante ?
— Non, Mademoiselle.
Elle rit, les autres filles aussi. Je sers les huit filles, puis je vais me remettre près de la cheffe. Des filles me disent :
— Encore de l’eau.
Je vais les servir. Je reçois les restes dans lesquels elles ont bien craché et Laura, Miss Badine, me dit :
— Tu aimes quand on crache dans ta pâtée ? ?
— Oui, quand c’est vous ou les autres filles, c’est comme si on s’embrassaient.
Je peux encore prendre quelques fruits et des noix du Brésil et je la remercie. Mes mains sont toujours marquées, même si ça diminue.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Vous pouvez voir ses dessins sur nos blogs gratuits :
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/
et https://leslivresdemia.blogspot.com/
Nos livres sont ici :
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Les chiffres du GPS semblaient battre la cadence de son cœur. 21h49. Treize minutes. Douze. Elle n’arrivait plus à détourner les yeux de l’écran qui décomptait inlassablement. Chaque minute écoulée la rapprochait de ce moment où il lui faudrait franchir un seuil — pas seulement celui d’un bâtiment oublié du centre-ville lyonnais, mais celui de ses propres limites.
Le cuir de la banquette collait légèrement à l’arrière de ses cuisses nues sous la robe, la chaleur de son excitation trahie par les moiteurs successives qu’elle peinait à contenir. Ses jambes croisées n’étaient qu’un prétexte de plus pour dissimuler les tensions de son sexe vibrant à chaque cahot de la route. Le regard du chauffeur dans le rétro était une lame discrète : pas intrusive, mais tranchante, insistante. Était-ce son parfum, sa tenue, ou cette aura de fauve en cage prête à bondir qui l’intriguait tant ?
Il ne posait pas de question. C’était mieux ainsi.
Lorsque la voiture ralentit rue de la Martinière, le cœur d’Élise menaçait de s’échapper de sa cage thoracique. À travers la vitre, elle ne distinguait rien de particulier : quelques immeubles aux façades sombres, quelques graffitis ternis par le temps, des stores métalliques baissés dont certains semblaient ne pas avoir été ouverts depuis bien longtemps au regard de l’affichage sauvage dont ils étaient le support. Un lampadaire clignotait par intermittence, comme s’il hésitait lui aussi à témoigner de ce qui allait peut-être se jouer ici.
La voiture s’arrêta devant un porche noir, anonyme, sans enseigne. Rien qui n’indiquait la moindre vie. Rien, sauf peut-être cet interphone sans nom, d’un noir brillant presque suspect.
— Nous sommes arrivés, Madame.
Elle sursauta presque en entendant la voix grave du chauffeur. Le monde extérieur lui revenait d’un coup. Elle sortit du véhicule avec une lenteur tout en fébrilité, ses talons claquant sur le trottoir comme des coups de marteau. Une seconde. Elle inspira.
Elle ne regarda pas la voiture repartir. Elle ne voulait pas de témoin. Pas même de souvenir.
Il n’y avait qu’une fine lumière blanche autour de la touche “appel” de l’interphone. Ses doigts tremblaient légèrement. Elle appuya.
Rien. Silence. Mille doutes lui passèrent par la tête. Le VTC se serait-il trompé d’adresse ? A moins que ce carton d’invitation eut été finalement une blague… un piège pour l’éloigner de chez elle et la cambrioler ?
Mais un clic, presque sensuel dans sa sécheresse se fit entendre. La porte s’ouvrit lentement, comme poussée par une invisible volonté.
Un couloir. Sombre. Le parquet craquait à peine sous ses pas. Une musique feutrée, lointaine, à peine perceptible, lui parvenait par vagues. Un parfum d’ambre et de cuir flottait dans l’air, troublant, enveloppant. Élise avançait comme en transe. Elle mouillait de plus belle, ses tétons dardaient. Elle avait envie. Chaque pas était un renoncement. Chaque mètre, un abandon.
Elle atteignit un escalier. En contrebas, une lumière rougeoyante découpait la pénombre. Elle hésita juste un instant. Et descendit.
Au bas des marches, une double porte capitonnée. Rouge bordeaux. Luxe discret.
Elle avança la main, mais avant qu’elle ne touche la poignée, la porte s’ouvrit d’elle-même. De l’autre côté, une femme se tenait droite, élégante, dans une tenue aussi sobre que dérangeante : chemisier noir opaque jusqu’au col mais manifestement porté à même la peau, sans soutien-gorge, jupe fendue à la verticale, jusqu’au haut de la cuisse, escarpins impeccables. Son regard était perçant, mais dépourvu de jugement. Elle inclina à peine la tête.
— Mademoiselle Ménard. Vous êtes attendue.
Aucune surprise dans la voix. Comme si sa venue était une évidence. Comme si son désir avait une adresse depuis toujours.
La femme s’écarta pour la laisser entrer. Élise franchit le seuil. La porte se referma derrière elle presque sans bruit.
Elle était maintenant dedans.
Un vestibule feutré. Éclairage tamisé, presque en infrarouge. Un long rideau noir de velours fermait la perspective.
— Laissez-moi votre veste et votre téléphone, dit l’hôtesse, de manière courtoise mais assez directive. L’inconnue tendit la main, paume ouverte.
Élise obéit. Mécaniquement. Laisser son téléphone lui fit l’effet d’un vertige. Plus de GPS. Plus moyen d’appeler à l’aide. Plus de dehors.
— Vous êtes ici sous l’œil du Cercle. Vous n’avez plus rien à décider ce soir, sauf de franchir ou non ce rideau. Si vous le faites, vous vous engagez à obéir aux règles. À vous exposer. À vous soumettre. Pas à quelqu’un. Pas encore. Mais à l’expérience. Et à votre propre vérité.
La voix était douce, mais le ton n’invitait pas, là encore, à la négociation.
— Si vous entrez, on vous verra. Peut-être même on vous dénudera. On ne vous touchera pas. Pas ce soir. Mais on lira en vous. Et vous ne pourrez rien cacher.
Un silence.
Élise fixait le rideau noir. Elle déglutit. Elle sentit sa culotte collée à ses lèvres intimes, comme une injonction silencieuse.
Ses doigts effleurairent le tissu. Elle écarta le rideau.
Derrière, le monde bascula.
Une vaste salle, à l’éclairage bas et chaud, comme un théâtre sans scène. Au centre, un espace vide, cerclé de canapés de velours pourpre, de fauteuils profonds, de tables basses garnies de coupes de champagne. Des silhouettes élégantes y étaient installées. Certaines masquées, d’autres non. Toutes vêtues avec une sophistication sobre, mais évocatrice.
Et au centre, une femme.
Elle était nue. Nue et fière. Son visage n’exprimait aucune gêne d’être ainsi exposée. Debout, sur une estrade basse, éclairée par un halo de lumière orangée. Son corps était tatoué d’un seul mot, peint sur son ventre en lettres calligraphiées : Obéir.
Autour d’elle, deux hommes en noir. Aucun ne la touchait. Ils tournaient autour d’elle comme des prédateurs lents. L’un murmurait quelque chose à son oreille, l’autre la contournait lentement. Ils l’observaient, l’inspectait dans les moindres détails. Elle frémissait. Et tout le Cercle, silencieux, regardait.
Élise retint son souffle. Le contraste entre le raffinement de la salle et la tension animale, hautement sexuelle de la scène la bouleversa. Elle sentit ses jambes faiblir, s’appuya contre un mur.
Puis un frôlement sur son bras. La femme de l’entrée était revenue. Elle tendit une fine chaîne d’or, terminée par un anneau discret.
— Ceci est la marque des invitées. Il vous place sous l’observation du Cercle. On ne vous parlera pas. On ne vous touchera pas. Mais on vous verra. Et ce que vous offrirez, ils sauront le lire.
Elle attacha l’anneau autour du poignet d’Élise. Celui-ci était léger. Et pourtant, Élise sentit son poids symbolique la marquer au fer.
Elle avança dans la salle. Lentement. Le bruit de ses talons sur le parquet semblait résonner dans tout son être. Plusieurs regards se tournèrent vers elle. Aucune parole. Juste des yeux. Qui scrutaient. Qui jaugeaient. Qui l’envisageait.
Elle vit un homme assis dans un large fauteuil, masque vénitien noir sur le visage, qui leva une coupe en sa direction, presque imperceptiblement. Une femme agenouillée nue à ses pieds, le regard baissé. D’autres couples. Les femmes étaient plus ou moins dévêtues. D’autres configurations.
Elle n’avait plus de repères. Et pourtant, elle sentait son corps s’adapter. S’ouvrir. S’abandonner.
Élise était entrée dans un monde où le désir n’était plus murmure, mais langage. Où chaque geste, chaque posture était signifiant. Et elle allait devoir apprendre cette grammaire-là. Ou s’y perdre.
Elle s’avança encore.
Et sut que la nuit serait longue.
Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/
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J'ai souvent agi par impulsion, j'ai été déçue par des gens que j'en croyais pourtant incapables. Mais j'en ai déçu aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'étais protégée aussi. Mon silence ne sera plus perturbé, j'ai appris à mieux souffler pourtant toujours blessée. Réfléchir à ma vision de la vie, à savoir ce qui est le mieux pour moi! Et puis, j'aime les gens, pas tous mais j'aime l'humain...
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Lopesoumi40 , Troyes • Grand Est
Au bout de 9 mois il a déménagé.
Il venait encore quelques fois me sauter,
il avait garder mes clefs d appartement qu'il m avait demandé de lui offrir,
il adorait revenir envoyer des texto à Justine.
Elle lui envoyais des photos nue, des trucs sexuel. Parfois il me montrait, vite fait la photo, l envois sur son téléphone et la supprimait du miens
Justine était mentalement a lui et physiquement à ses amants.
Moi je devait juste supporter son côté pote de colle et ses crises d humeur
Du moment où elle a commencé à se faire sauter par des mecs j avais même plus l occasion de l embrasser
Elle faisait plus d effort pour s habiller avec moi mais les samedi soir quand elle sortais seule :c'était coiffé, manucure, maquillé, habillé "princesse"
Et moi je devais répéter à mon mec combien j étais amoureux de lui pour qu il jouisse dans mon cul
Justine me réclamait de l argent en permanence, qui m étais donné par mon mec
Il l'incitait à se comporter comme une pute avec d autre mec avec argent illimité,
Vu que c était son fric :
Une étudiante avec argent illimité et un mec qui la touche pas, qui la laisse sortir comme elle veux...
Mentalement, ç était dur,
avoir mon mec qui me baisait en me répétant qu il allait bientôt baiser Justine et la mettre enceinte
pendant qu il m'obligeait à lui dire je l' aime
A force qu il me fasse répéter :"je t aime" en boucle j étais perdu
Parfois il me faisait mettre à genou et me branler pour jouir en lui répétant :" Justine est ta femme elle est amoureuse de toi"
Quand on jouis uniquement comme ça, on est bien formaté
Un jour où je suçais mon mec à genou, et qu il parlait avec Justine, il m a dis :
" oh merde elle te largue et viens d écrire qu'elle a un autre mec"
je me suis mis à pleurer et mon mec m a baiser en me faisant accepter tout ce qu il demandait
C est comme si je n était plus que la pute de mon mec de 51 ans
Il m a fait accepté tout ce qu il voulait, " maintenant que ta petite conne t'a largué tu es ma pute tu va tapiner pour moi , dis le dis le allez"
J ai dis oui à tout ce qu'il disais tellement j étais triste d'avoir été arguer
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Ces six mois de pause m'ont permis de faire le point sur le chemin que j'avais parcouru jusque là et sur ce que je voulais encore découvrir. Arrivée dans le milieu en tant que jeune fille joueuse aimant l'adrénaline liée au bondage et à la douleur , je m'étais dit que je voulais limiter ma soumission à la soumission physique et sexuelle lors de séances ponctuelles. Je faisais attention lors du choix de partenaire pour savoir qu'il n'y avait pas de risque. Quels risques? Ceux liés à ma sécurité physique et émotionnelle.
Je me connais assez bien et je sais qu'une nouvelle rencontre a pour effet sur moi celui d' une étincelle. Etincelle de passion que quelques déceptions amoureuses m'ont apprise a contrôler. Etincelle de passion que je controle pour pas qu'elle ne devienne feu flamboyant. Etincelle de passion qui fait que je m'attache et ce assez rapidement.
Il est difficile de rentrer dans mon cercle restreint , mais une fois que l'autre y est, je veux danser avec lui autour du feu jusqu'à ce que la dernière braise s'éteigne, et ce ,même si c'est au risque de m'y brûler les ailes. Même une fois le feu éteint, j'aime me souvenir de la chaleur qu'il procurait et je garde un œil sur les traces de pas de l'autre et sur le chemin qu'il emprunte.
Alors je choisis avec attention, pour minimiser les risques : distance géographique, homme déjà en couple ou indisponible émotionnellement, tout était bon pour m'assurer le fait de ne pas finir cramée dans ce foutu feu. Si je ne sais contrôler la flamme, quelqu'un d'autre la domptera pour moi... Ah autosabotage quand tu nous tiens... Je faisais donc attention mais les risques étaient toujours là et ce qui était initialement la pour me protéger se révèle être une barrière qui m'empêche d'avancer.
Il parait qu'après quelque temps la passion s'affaiblit , c'est même une chanson qui le dit. Pas toujours apparemment, mais tout de même assez souvent. Et que reste t il une fois la passion affaiblie..? Les cendres d'un ancien feu ou la possibilité d'un attachement plus profond à construire. Alors me voilà ici aujourd'hui , a la recherche d'un architecte prêt a construire avec moi un beau donjon de soumission. Cet architecte doit savoir que la terre a un passé et un caractère qui fait que le feu fait toujours partie de sa vie. Non seulement architecte , mais également cracheur de feu pour apprendre à danser ensemble en jouant avec les flammes et en prenant en compte les ombres de l'un et de l'autre.
Cher architecte, le cahier des charges n'est pas simple a prendre en main mais j'ai confiance en votre esprit et en vos mains habiles. Cher cracheur de feu, je vous montrerais fièrement ma gueule pour que vous puissiez y cracher ce que vous voulez.
Fière, je le suis, notamment du chemin que j'ai parcouru. Pourtant, la route ne s'arrête jamais vraiment. L'ancienne jeune fille est devenue jeune femme plus confiante, plus affirmée et prête à découvrir la soumission psychologique. L'exercice ne sera pas rapide ni facile pour l'un comme pour l'autre. L'esprit est bien plus compliqué à dominer que le corps, surtout lorsqu'il se montre aussi effronté et alambiqué que le mien. Il y aura des doutes et des questionnements, de longues discussions, de possibles retours en arrière mais l'étincelle est là et nous prendrons le temps et les efforts pour nourrir ce feu naissant. La nuit était calme jusque là, une lueur se devine désormais dans le ciel.
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** Reflexionnage d'un jour de repos on **
La "notion de propriété" ou le fait de se dire propriétaire ou possesseur d'une âme, d'un corps ou le fait de se dire d'être possédée par quelqu'un, d'être sa propriété, sa chose, son jouet. Ou bien juste le fait d'être exclusifs, en appartenance.
En 6 ans j'ai toujours prôné et exigé l'exclusivité, j'étais territorialiste, ce qui "est à moi est à moi" et je ne partageais pas. J'ai toujours eu besoin de me sentir sous l'emprise de mes dominants, d'être à eux, possédée, validée, acceptée comme leur soumise rien qu'à eux et eux rien qu'à moi.
Je sais dans le fond que ça vient en énorme partie de mon manque de confiance en moi. J'étais persuadée que s'ils allaient voir ailleurs ils trouveraient forcément mieux et que je serai abandonnée ...... Abandonner un verbe fort qui en dit long sur l'animal que je suis.
Aujourd'hui .........
Je me rend compte que s'ils partent en croyant trouver mieux ailleurs c'est que l'on ne se mérite pas, que l'on ne va pas si bien ensemble et qu'en réalité il y a déséquilibre.
Je vois également ce que mon besoin d'être à eux m'a poussé à faire. J'ai fermé les yeux, j'ai accepté, j'ai trop donné ...... Pour être à eux, pour être acceptée, j'ai poussé au delà de mes limites et je me suis accusée de tout ce qui n'allait pas. Je n'étais pas "assez", j'étais "trop", j'aurai dû, j'aurai pu ...... Et surtout je ne méritais pas. J'ai systématiquement basculé en mode autodestruction et dévalorisation maximale en refusant de voir que je n'étais pas si nulle et qu'il y avait autre chose dessous.
Dans mon besoin d'être validée/acceptée/possédée je me suis mise une pression de dingue pour être parfaite à leurs yeux. La soumise parfaite, celle que l'on voudrait jamais lâcher ou poser sur une étagère. J'ai donc tout lissé, tout nivelé, mis de côté ce que je pensais être un frein, bloqué mes penchants naturels ..... Je me suis totalement effacée pour porter le masque de la soumise la moins chiante possible (même si parfois le naturel revient au galop j'ai tenté de le retenir au maximum) Et j'ai donc faussé le jeu, j'ai triché, j'ai menti sur mes sentiments, mes sensations en disant ce qu'ils voulaient entendre. Ça n'était pas juste ni pour eux ni pour moi. J'ai créé le déséquilibre et je l'ai entretenu.
(Je ne m'accuse pas de tout ceci dit. J'ai arrêté de me flageller sur tout, des erreurs ont été commises des deux côtés mais ça n'est pas le sujet.)
Aujourd'hui dans une "relation" atypique avec un dominant qui me comprend et m'accepte nous avons retiré la notion de propriété et d'exclusivité. Je dois l'admettre c'est totalement hors de ma zone de confort et je ne maîtrise pas totalement la situation. Un coup ça me convient parfaitement et la seconde d'après je flippe avec les vieilles réminiscences du passé.
Je me dois d'être claire sur ce point parce que je refuse de me mentir à nouveau. J'aime cette appartenance car elle me rassure, me conforte. Mais je ne peux plus accepter toutes les conneries que ça m'amène à faire ou à accepter. Dans ce besoin je me sabote et je me détruit. Et ce sans l'aide de personne ! Comme une conne j'exige de moi beaucoup trop. Et toujours dans le négatif.
J'accepte donc de découvrir ce chemin où je donne et prend sans appartenance. On a retiré toute pression de réussite, toute pression de perfection ......
C'est libérateur en fait quand j'y pense et que j'analyse nos interactions. Je suis totalement moi, je joue comme j'aime, je le taquine à mort, je pousse à fond et je laisse exprimer tous mes penchants naturels. Je ne retiens rien ..... Ni les "oui" ni les "non" ...... Pour la première fois je suis vraiment Moi sans me sentir coupable ou en faute. Je donne, je prends, je demande voir j'exige et il joue avec toutes mes facettes que je montre sans peur.
Aujourd'hui je sais et dis ce que je veux et ne veux pas et je ne transige pas juste pour devenir une propriété, son indispensable. J'ose être moi ......
Je ne sais pas si ça me conviendra sur le long terme, peut-être que le besoin d'appartenir disparaîtra ou deviendra au contraire indispensable. Mais ce que je sais c'est qu'aujourd'hui ça me convient et que ça me libère. Dans ma phase constructive 2.0 c'est exactement ce qu'il me faut pour me permettre de me découvrir réellement sans être parasitée.
Et quand j'y pense ...... Et je suis sûre que ceux qui m'auront lu auront cette pensée : pourquoi ne pas être moi, sans pression ni dévalorisation, mais dans une relation exclusive ? Tout simplement parce que aujourd'hui j'en suis incapable. Je ne sais pas le faire, je bascule dans cette destruction inconsciemment . Et je n'ai rencontré personne qui ai su le voir et m'en empêcher ..... Sauf lui et cette liberté que l'on s'offre mutuellement.
** Reflexionnage d'un jour de repos off **
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Des boucles d’or sous lesquelles s’agite un esprit vif et espiègle.
J’aime masquer, derrière une timidité noisette qui n’est que façade, les lézardes de mes vices.
Je tends mes deux pommes, arrogantes et sensibles, deux fruits pleins, fièrement dressés, aux tétons délicieusement réactifs, à effleurer sans retenue.
Sachez que mon ventre inspire de multiples abus.
Mon clitoris, minuscule tyran au pouvoir immense, vibre au moindre souffle, prêt à céder aux langues expertes comme aux caresses audacieuses.
Je suis fièrement bisexuelle, et mon plaisir ne connaît ni genre, ni limite, seulement l'intensité et la sincérité du désir.
Maintenant, regardez la finesse de ma taille, l’une de mes fiertés, sans laquelle que seraient mes hanches ?
Pour le reste, je vous offre un cul nerveux à souhait, et une fente fine et délicate, à travers laquelle toute verge glissée trouvera chaussure à son pied.
Au sommet de l’édifice, ma dernière ouverture n’a rien à envier aux deux autres en étroitesse ; mais sachez qu’en elle se sont engouffrées de très nombreuses queues, souvent millésimées, jusqu’à plus soif.
Bien à vous,
Mâles à moi… et femelles aussi
Alice
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*(Texte et photo datant de 2021, re-publication à des fins d'archive)
Te voilà...
Te voilà, toi fleur du Mâle, Sombre Orchidée au teint ambre… Te voilà exhibée, sous contrôle, contrainte à l’indécence… Te voilà ici même, obligée par mon intention, captive de ma vision énigmatique, cible de mes objectifs…
Te voilà sans conteste, soumise à mes desseins…
Ainsi te voilà désormais observée, examinée, sujette aux opinions… Livrée en pâture aux yeux de tous sous l’angle le plus intime, privée de cette pudeur arrachée de mes mains… Te voilà offerte à mille regards indiscrets, étrangers, souvent vicieux, parfois envieux, assurément lubriques… Te voilà découverte dans tes épisodes inavouables, divulguée sur la toile, piégée au fil de l’araignée, incapable d’agir…
Te voilà dévoilée au monde comme si tu en étais l’origine, demeurant substance de mon inspiration, telle Constance muse de Courbet…
Te voilà emportée dans l’œil de mon cyclone, éprouvée par ce ressenti complexe où s’entremêlent gêne et exaltation… Te voilà donc visage écarlate, comme lors de ces précieux apartés, quand le silence est d’or et que tu cherches timidement à fuir mon attention… Nous y voilà, enfin, à ce moment présumé, redouté, attendu… Simultanément acteurs et spectateurs de mon audace… Me voilà moi, fidèle à moi-même, faisant fi des scrupules et prétextant toutes occasions, un démon sur chaque épaule confortant tour à tour mon égo…
Me voilà donc fier de moi, à l’évidence… Mais davantage fier de toi, de nous…
Bien sûr me voilà une fois de plus affirmant ma position, renforçant ton statut de possession, résolu à te parfaire pour le rôle qui t’a été attribué…
Néanmoins, me voilà sublimant ton abnégation, bâtissant pierre après pierre le mémorial de nos paradoxes, en guise d’hommage à ton engagement… Gravant dans l’éternel, la beauté de l’instant !
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CRÉDIT PHOTO : Le Sombre 鐵厲
( Avec la participation et l'accord permanent de Sombre Orchidée )
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Je m'apprête à partager la dernière partie de mes réflexions et ressentis autour du divorce. à partir de ce moment, un autre thème a pris le pas sur celui-ci dans ce journal, celui des rencontres... vaste sujet mais autre sujet, à propos duquel j'aurais pas mal de chose à dire en tant qu'homme presque célibataire, à peine échappé de sa cage, celle d'un couple voué à l'échec depuis le début, un poison qui ronge lentement les entrailles. En tant qu'homme inexpérimenté à bien des niveau aux plans affectif et sexuel, d'autres choses émergent, comme une volonté de remonter le temps, d'exploser les barrières mentales qui empêchent de rayonner, ces chaînes qu'on a dû traîner toute sa vie. Et cette excitation, indéniable...
enfin voici la fin de cette séquence :
" Évidemment, le ton finit par monter quand il s’agit de fric, ou plus exactement quand il s’agit de ne plus vraiment me laisser marcher sur les pieds. Mon avocate dit que je ne dois pas accepter de lui verser une « pension » en plus de lui laisser la maison, tout en partageant la garde des enfants. J’avoue qu’initialement j’étais prêt à accepter ça, mais à la réflexion : je vais lui filer la maison et par cette "pension" l’aider à en devenir complètement propriétaire pendant qu’elle garde son train de vie à base de travail à temps très partiel (trois jours par semaine, c’est pas énorme) tout en gardant sa femme de ménage… comment te dire que non, faudrait quand même pas se foutre de ma gueule ? Tu veux garder ton train de vie, OK, mais me faire croire que c’est pour les enfants, là non ! C’est pour toi et toi seule, comme d’habitude, comme toujours en fait.
Et puis me reprocher de ne rien acheter d'utile aux enfants, mais putain quand est-ce que je pourrais le faire ? je travaille la semaine, je rentre à pas d'heure, je passe tous mes week-ends à m’occuper des garçons du matin au soir, les divertir, les sortir, faire les courses avec eux, faire la cuisine et aussi un peu de ménage, le bain, le coucher. Et toi, pendant ce temps là ? Tu dors, du matin au soir bordel de merde, comme une vieille, comme une momie, comme une zombie. Mais bien sûr, c’est moi qui t’exclue, je suis sensé prendre tes gémissements sans fin dès que tu dois faire l’effort surhumain de contracter deux fibres musculaires pour des cris de joie et d’enthousiasme, et tes soupirs interminables pour des éclats de rire. Tu ne veux pas t’en occuper, tu n’a rien d’autre à leur offrir que ça, la carcasse de vieillard d’une femme en ruine, animée d’un souffle de vie aussi vigoureux que le râle d’agonie d’un cadavre en devenir ? Alors évidemment que je vais prendre le relais, laisse tomber, va dormir, va mourir à petit feu par là, le nez sur l’écran abrutissant de ton putain de téléphone, à liquéfier ton cerveau à moitié décomposé à coup de séries débiles, et de scrolling de mort-vivant. Je sais bien que quand tu « dors », en réalité tu flingues ton esprit exactement de la même façon que je défonçais mon corps et mon cerveau à coup d’opiacés. On a bien ça en commun : une formidable capacité à fuir la réalité qui fâche, chacun à son niveau, chacun à sa manière, mais en s’enfermant de la même façon dans une bulle qui nous aspire toujours plus bas et nous digère littéralement. Le jour où tu comprendras ça, ton addiction aux écrans, et j’ai pourtant tenté de t’alerter mille fois, ce jour là tu marcheras peut-être vers une forme de liberté, voire de joie de vivre. D’ici là, ta vie va lentement se décomposer comme celles de tous ces camés, avec ou sans produit, ça ne change pas grand chose au final.
Tu ne supportes pas que je te fasse comprendre que tout mon temps était accaparé par les enfants et les tâches ménagères le week-end. Ce serait mon choix, pas une réaction de protection vitale des petits… Et tu supportes difficilement l’idée que, bientôt, ce sera à toi de gérer les enfants de A à Z le week-end, seulement, ce ne sera valable qu’un week-end sur deux. J’ai fait ça tous les week-ends, sans exception, depuis un nombre incalculable de semaines et de mois. Alors tu supportes mal que, finalement, je vais marcher vers la liberté quand tu te feras rattraper par tes responsabilités, et l’impératif d’offrir aux petits de l’énergie de vie, de la joie d’être ensemble. Tu as peur de ne pas trouver ça en toi, tu verras que si tu n’as pas le choix, tu trouveras les ressources. C’est juste qu’au milieu de tout ça, il y a cette addiction aux écrans : comment je vais faire pour regarder mon putain de Daredevil ? J’en ai rien à foutre, tu n’auras qu’à en bouffer jusqu’à vomir les week-ends où tu seras seule, ça te fera de la réserve.
Enfin, elle va tenter de me soutirer du fric, probablement bien conseillée par ses parents (et son avocate, mais c'est son job), j’accepterai avec amertume, elle gardera sa femme de ménage, et son 60% de temps de travail. Elle trouvera un pauvre con un minimum friqué pour améliorer un peu son standing social de façade, et ce sera reparti comme auparavant. La vie reprendra son cours normal, peut-être même qu’elle aimera aussi ce pigeon, à sa façon. Elle lui achètera des fringues, l’asservira de façon indolente, pour vampiriser de son compte en banque jusqu’à ses couilles, pour rien en fait, juste pour pouvoir continuer à être une zombie, sans rien changer, surtout pas la couche extérieure de parfait bonheur bourgeois de mes deux, creux et amer.
Avant, j’étais un clochard, à peu de choses près, je n’aurai aucun mal à diminuer mon train de vie, même si, pour les enfants, je ne veux pas trop de décrochage. Siphonne mon compte en banque, va te faire foutre, on va dire que c’est pour le bien des enfants, je vais t’accorder le bénéfice du doute, probablement. Mais s’il te plait, laisse moi tranquille, comprends qu’avec la liberté que je vais gagner, je fonctionnerai différemment, très différemment, contrairement à toi. Fais moi entière confiance, je vais être heureux, je vais m’occuper des enfants mieux que jamais. Ce que tu feras, toi ? Je crois que je préfère l’ignorer, tant que ça n’impacte pas (trop) les petits. En tout cas, c’est très informatif de voir comment on se comporte quand on se sépare, les vraies natures ressurgissent. Elle, matérialiste au possible, vénale et paresseuse, noyée dans un verre d’eau et qui pense tout contrôler. Moi, confiant jusqu’à l’excès, heureux d’être le meilleur des papas du monde, qui marche vers la liberté, prêt à payer un prix indécent pour ça, sans véritable raison valable. C’est un peu biaisé, je sais, mais je suis celui qui reprend sa liberté, celui qui estime avoir été exploité, vampirisé dans cette vie de couple. J’ai parfaitement le droit de chercher un autre futur que cette mort dans l’aigreur, probablement prématurée. J’ai juste du mal à accepter, finalement, l’idée de continuer à me faire sucer le sang (il n’y a bien que ça qu’elle accepte de me sucer depuis un bail) alors même que j’aurais retrouvé ma liberté. J’ai du mal avec ça, mais je sais que je finirai par céder, pour que l'on ne m'accuse pas de nuire au bien être des enfants. Je veux juste lui opposer assez de résistance pour qu’elle comprenne que cette période d’exploitation est terminée.
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J'avais 19 ans à la fac je vivais seul avais 19 ans à la fac je vivais seul dans un appartement. Je draguais des nanas sur un chat. Un mec de 51 ans est venu me parler de tout de rien une fois deux fois puis m a demandé des photos ect... je les ai envoyé il a commencé à me dire combien j étais sexy que je devais baiser beaucoup de nana ect, après il a tenté de me brancher ,j ai dis non. Il a continué à m écrire tout le temps. Un soir avec trop d alcool je lui ai donné mon téléphone. Il m écrivais tout le temps. Un soir ou j étais avec ma copine en boîte, je suis rentré bourré et je sais pas pourquoi, (peu être, trop excité par copine)
j ai accepté qu il passe chez moi. Je lui ai donné mon adresse . A 5h30 il était chez moi.
Il est entré à voulu me rouler une pelle direct j'avais la bouche fermé mais il léchais mes lèvre avec sa langue, il m'a demandé où été ma chambre , ma pris par le bras et mis a emene il m'a jeté sur le lit et m'a dis de me déshabiller.
Il s est deshabillè et à commencer à me sucer ...
Je bougeais pas sur le dos, il est venu sur moi et a mis sa queue dans ma bouche. Vu que je suçais pas il m'a mis sur le ventre et à lécher mon cou et mes oreilles et a me doigter le cul. Il a demandé le prénom de ma copine, et il a commencé à me pénétrer en m appelant par son nom
Il m a baise en levrette un moment en m appelant par le nom de ma copine puis a dis qu il voulait jouir en moi comme une bonne femelle et ma remis sur le dos et m'a baise en missionnaire en me roulant des pelles
Il a continué à me baiser en me traitant de pute. Puis il a dis que j avais le choix : le faire jouir sur mon visage ou dans mon cul.
Je lui ai dis pas le visage je voulais pas son sperme sur moi. Alors il m'a dis que je devait lui demander de jouir dans mon cul comme sa chienne.
Vu que je répondais pas il ma gifler
J ai dis oui , il m a dis oui oui quoi?
J ai dis oui ok, il m'a re gifler, j ai dis oui dans le cul. Il m a demande De retirer moi même sa capote et de lui demander de jouir dans mon cul jusqu'à ce qu il jouisse. Alors j ai répété : "joui dans mon cul" en continue.
Il m a demandé de rajouter "mon amour,"
alors j ai dis en boucle :"jouis dans mon cul mon amour"
il a ouvert ma bouche et m a roulé une vrai pelle profonde
Et j ai répété" je t aime bb" jusqu'à ce qu il jouisse en moi
Par la suite il m a fait porter les string et les bas de ma copine pour me baiser
Lopesoumi40 , Troyes • Grand Est
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Hier soir encore, ma sublime Maîtresse Chat m'a permis d'entrer dans le monde merveilleux du subspace. Étant fatigué et en safe care, elle a eu la clémence de ne pas me faire relever en raison d'un toilette pas suffisamment propre à son goût, mais m'ordonna de le faire en priorité au réveil, comme l'exige l'une des règles que je me dois de respecter en tant que soumis.
Ce matin donc, je me suis levé tôt, ai préparé mon café en veillant à ne pas déranger le sommeil de Madame, puis me suis installé gentiment dans le canapé pour le boire. Lorsque j'en suis à la moitié, ma douce Maîtresse entre nue dans le salon et vient directement me faire un câlin. Nous sommes aussi un couple engagé. Un câlin rempli de douceur et de papouilles, qui vient exciter son jouet bien rangé dans sa cage de chasteté.
Durant cet instant de tendresse, ma Maîtresse glisse sa main dans mes cheveux et tire sèchement, me forçant à la regarder droit dans les yeux. Son regard est sévère. Elle demande d'une voix sèche : "As-tu nettoyé les toilettes ?" Ce à quoi je réponds honnêtement, avec cette humeur enfantine qui me prend lorsque j'ai fait une bêtise : "Oupsi... Pardon, Maîtresse." Elle me fixe encore un instant sans relâcher son emprise, me laissant dans l'attente d'une correction immédiate... mais il n'en est rien. Finalement, elle relâche son étreinte ainsi que son regard accusateur.
Soudainement, elle sourit en se relevant, attrape mon café et repart dans la cuisine. Je connais son côté espiègle, et je ne doute pas qu'elle me prépare une petite vengeance. Ma Maîtresse revient avec deux tasses, dont la mienne. Mais elle me tend l'autre en s'asseyant à côté de moi. D'un coup d'œil, je distingue le contenu des tasses : celle qui m'appartenait avant son réveil, et dans laquelle il me restait la moitié d'un café pur, a été réajustée à son goût avec deux sucres et du lait. Quant à celle qu'elle m'a donnée, elle est remplie de son nectar doré, que les ondinistes appellent plus communément "champagne".
Elle me regarde avec douceur, boit une petite gorgée de mon ancien café réajusté à son goût et dit : "Merci pour le café, tu auras respecté une des règles de la maison, c'est déjà ça." Puis, reprenant un ton plus sec : "Quand tu auras fini le tien, tu iras faire ce que je t'ai demandé, compris, petite merde ?"
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j'avais envie de bites et de sperme. Plutôt que le sauna de Brive qui est plus proche j'ai choisis d'aller à Limoges dans un sauna équipé de glory hole. C'est la première fois que j'y allais un lundi, un des trois jours de la semaine où les côtés gay et hétéros sont accessibles pour le même prix.
je portais mon ball stretcher qui allongeait bien mes couilles. Sitôt désabillé, du côté hétéro car je trouve les vestiaires plus sympa, je me randais aux glory hole. La personne qui se fait sucer est debout devant un film porno. Elle est surélevée par rapport à vous de façon à être à bonne hauteur pour le sucer et bien apprécier sa bite. La porte qui relie les glory hole hétéros et celles homo était ouverte de façon à ce qu'il n'y avait pas besoin de passer par le bar pour passer d'un côté à l'autre.
Un mec était installé devant le porno et attendait qu'une bouche s'occupe de lui. La bouche ce fut moi. cet après-midi j'ai eu la chance de ne sucer que de belles queues bien dures et suffisamment longues et grosses. Coût de chance.
Pour le sucer j'éloignais mes jambes du mur, me laissais tomber en avant en appui sur les mains, le cul tendu au cas où quelqu'un voudrait s'en occuper. j'ai sucé en entendant les cris de la vidéo et parfois les soupirs du mâle qui était dans ma bouche. Sans prévenir il s'est retiré, s'est branlé et a juté tout son sperme tiède sur mon visage. Une vrai belle dose. Un vrai plaisir pour moi. Avant qu'il ne s'en aille je le remerciais comme une bonne chienne doit faire "merci Monsieur".
je venais juste de prononcer ces deux mots, j'étais encore en position avec le cul offert et les couilles balotantes quand une main s'est posée sur ma bite toute molle et a tiré sur mes testicules. je venais de croiser l'Homme qui tout au long de l'après-midi, à intervalles réguliers, viendrait me torturer les tétons et les couilles jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. Merci Monsieur pour tous ces moments de souffrances exquises.
j'alternais donc pipes, pas toutes menées à leur terme, et tourments. j'ai dû prendre entre quinze et vingt queues de vrais mâles dans la bouche mais je n'ai réussit à recevoir que quattre éjaculations faciales, toutes suffisamment gourmandes en foutre pour que j'y prenne un véritable plaisir cérébral. Après chacune d'elle je sortais dans les couloirs éclairés pour que tout le monde puisse voir ma gueule dégoulinante du plaisir des autres.
je pense que lorsque j'y retournerai ce sera un autre lundi...
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J'ai des dépendances
j'ai des carences
j'ai des fêlures
j'ai des cassures
Je suis parfois un peu larguée.
Mon triangle des Bermudes c'est tout les doutes que peuvent laisser le manque et l'absence comme si mon esprit avait besoin de me faire souffrir de Vous, me faire souffrir de N/nous.
Ma boussole émotionnelle à été mise a rude épreuve je ne savais plus par où étaient Vos pieds. Perdu mais pas submerger heureusement. Je ne me sentais plus tenus.
J'ai dérogé à mes devoirs
J'ai été un peu brat aussi 👉🏼👈🏼
Pas par égoïsme, excentricité ou caprice mais pour N/nous pour pas tout casser.
Merci Monsieur d'avoir pris du temps pour moi et de m'avoir rassuré sur ma place à Vos pieds et de m'avoir fait sentir Votre domination.
Merci de m'avoir puni une punition qui aura un goût de victoire pour moi Monsieur la victoire du N/nous sur un moment qui aurait pu le faire disparaitre. Une victoire sur mes doutes et surtout l'affirmation que ma soumission est toujours entre Vos mains et qu'elle va bien et deviendra plus forte.
Merci d'être Vous Monsieur.
Je suis heureuse à Vos pieds Monsieur
Je suis heureuse d'avoir été entendue
Je suis heureuse d'avoir été puni pour mon manquement et ma faute.
Votre dévouée orija pour Vous faire plaisir, Vous servir, Vous obéir Monsieur.
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Je suis triste que Monsieur Edgard s’en aille, j’avais un allié.
Yao dit à Azra :
— Ce soir, après le repas, notre maître reçoit des… importateurs importants. Le Maître veut que les odalisques soient nues et propres. Tu dois t’en occuper.
Azra m’aime bien… ça va aller.
On est 12 odalisques, venant de toute l’Europe, comme je l’ai dit : depuis deux Danoises aux cheveux blonds jusqu’à des Espagnoles aux cheveux et à la chatte très noirs. Les esclaves de Topkapi nous lavent, puis elles nous coiffent, nous maquillent et nous parfument. Je suis surprise de sentir le jasmin.
Monsieur Edgard n’est plus là pour le moment, il est remplacé par un couple discret en vêtement d’époque.
Azra, ma sirène africaine, ne sera pas proposée aux invités, donc elle n’a pas dû se laver. Elle est « nature », quand elle est près de moi, son odeur me fait décoller du sol. Elle est dure avec nous, mais je crois qu’elle m’aime bien.
En fin d’après-midi, les commerçants arrivent et ils sont conviés à la table du Sultan. Nous, on est de « service » avec les desserts et les alcools.
On arrive, belles, nues, parfumées et différentes. L’homme que j’avais pris pour le Sultan et en fait le grand Vizir. Le Sultan doit être comme je l’imaginais un gros homme avec une barbe bien teillée, mais avec des petits yeux noirs brillants de cruauté. Si, si ça existe, je pourrais vous en citer, si j'osais.
Le grand Vizir dit :
— Chers invités, le Sultan est très satisfait de nos relations et avec les alcools, il vous propose des odalisques venant de différents pays d’Europe. Elles sont propres et dressées à vous obéir.
J’ai déjà été surprise par l’aspect du Sultan, mais je le suis plus encore par l'aspect des huit invités. Il y a deux femmes et six hommes. Je pensais que ce seraient des négociants riches et bien habillés à la mode du 18e siècle, mais ça intéresserait qui ? Par contre, une bande de pirates dégoûtants, voilà qui est intéressant. Même les deux femmes sont plutôt belles, mais grosses et une des deux a même un sein qui s’est échappé de son corsage crasseux.
Ah, si je pouvais aller me réfugier entre les jambes d’Azra, ma sirène ! Oui, ma sirène a de très jolies jambes noires, fermes et luisantes de sueur. C’est une nouvelle race de sirène.
Hélas, comme les autres odalisques, je dois satisfaire la lie de la société de l’époque. On sent bon mais plus pour longtemps.
J’ignorais que les pirates revendaient des biens et des filles à Topkapi et sans doute aux nations occidentales. Un gros pirate me désigne du doigt et gueule :
— Toi, aux pieds !
NON, je ne veux pas ! Il pue ! Yao me dit :
— Envie de te faire réchauffer les fesses, Fanny ?
En fait, non… Je vais devant le pirate et il sort son sexe de ses chausses dégoûtantes. Le sexe est très sale et il n’est pas circoncis. Il ne faut surtout pas que je vomisse sur la bite du pirate. Je ne décris pas la vue et l’odeur. Je fais un énorme effort et je survis, malgré la puanteur qui émane de ce sexe. Je me jette à l’eau, c’est une image, ce sexe n’est jamais lavé et pourtant je le mets dans ma bouche, il faut que je le lave. Mon estomac est équipé pour gérer des viandes un peu avariées. Ce que je fais plaît au pirate. Il me dit même :
— Tu suces trop bien, petite putain, je vais peut-être t’acheter au Sultan.
Merde, je lèche trop bien ! Je sens qu’on me regarde, je lève les yeux et je vois que c’est Azra. Elle me fait discrètement non de la tête. Évidemment, j’appartiens à Madame Fiu qui doit faire partie d’une triade chinoise ou d’un consortium asiatique.
Je suce mon pirate qui est aussi sale qu’un rat d’égout, mais nettement moins sympathique. Il se met justement à couiner comme un rat et il m’envoie son poison par saccades… j’avale. Adieu monde cruel ! Non, le sperme ne tue pas, même si celui qui jouit dans ma bouche pue. Le sperme est sain. Enfin, j’espère.
Un autre pirate est à quatre pattes au-dessus de la petite Irlandaise rousse qui lui tète la bite. Il me montre du doigt, manque de perdre l’équilibre et gueule :
— Toi, viens me lécher le cul !
J’ai trop envie de lui dire : « Jamais ». J’entends un fouet claquer et je suis prête à faire beaucoup pour éviter de laisser abîmer ma plus grande qualité : mon cul. Y compris lécher le cul flasque et boutonneux d’un vagabond qui joue au pirate.
Le fouet claque à nouveau, je fonce langue la première entre les fesses du pirate. Depuis quelques mois, j’ai été obligée de faire ça : lécher des culs tellement sales qu’ils feraient dégobiller le rat d’égout de tout à l’heure. J’avoue : celui-ci est sale, mais moins que ce que je craignais.
Je suis photographiée et filmée par le couple de photographes et les spectateurs. Au plus c’est humiliant, au plus ils aiment.
Le gros porc, dont je lèche le cul, jouit dans la bouche de la petite odalisque rousse qui est en dessous de lui.
Tout cela est trop dégoûtant, je vais me mettre à pleurer ! L’IA de Madame Fiu en a conscience et il m’envoie la plus belle des pirates femelles. D’accord, elle est grosse et pas très propre, mais elle me prend sur ses genoux et m’embrasse sur la bouche, puis elle me dit :
— Une odalisque dégoûtée, c’est pas normal, ça. Tu te doutes que les pirates n’ont pas d’eau douce pour se laver. Je ne suis pas lavée souvent non plus.
Elle m’embrasse sur la bouche, oh ! mon Dieu, j’avais oublié que ça existait, les baisers. J’aime les hommes bien sûr, mais je préfère un peu les femmes. Question de peau, d’odeur… Futur lecteur imaginaire du futur, je lècherais volontiers ta bite, mais j’aimerais mieux lécher la chatte de ta jolie épouse. J’imagine que les IA sont des femmes et qu’on puisse les lécher, elles tomberaient amoureuses de moi et…
— Aiiie !
Ma pirate m’a pincé le bout d’un sein et elle me dit :
— Concentre-toi sur moi, petite, sinon je sens que Maître Yao va te balafrer les fesses avec son fouet.
Je réponds :
— Pardon, Maîtresse, je cherchais ce qui pourrait vous faire plaisir.
Elle rit et me dit :
— Menteuse… Bon, je m’appelle Rose, montre moi comment tu lèches ta maîtresse en commençant par les pieds.
Je l’aide à enlever ses hautes bottes, trouées… Ses pieds sont nus dans ces bottes et ils sentent les pieds et le vieux cuir. Ça n’a rien à voir avec le cul sale d’un pirate.
Rose ne sent pas la rose, bien sûr, mais ses odeurs me plairaient beaucoup si elles étaient moins fortes. L’odeur de ses pieds est un mélange de sueur et de vieux cuir. Je suis… mitigée entre l’excitation et quand même un peu de dégoût. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, même l’IA, là-haut dans le ciel. Alors, je… je les embrasse et je les lèche. Je suis également mitigée du côté de mon nez, genre « c’est quand même très sale ! » Du côté de ma chatte… elle mouille comme toujours et enfin du côté de mon cerveau… euh… il imagine toutes les horreurs qui pourraient m’arriver, comme toujours. Ah ! Il a quelque chose à dire :
— Mais pas du tout, petite conne. J’aime te voir ramper et lécher des pieds qui sentent délicieusement mauvais.
Pardon pour lui, il est fou. Je continue : j’embrasse les pieds de Rose, je les lèche, je suce ses orteils. Le pirate avec un bandeau dit :
— Elle fait la petite bouche pour lécher une bite qui sent un peu, mais regardez la lécher les pieds de Rose.
Rose répond :
— Ta gueule, fils de pute.
Oui, ce sont des pirates, hein, ils sont pas polis. Un autre pirate dit :
— On adore voir cette petite langue nettoyer tes orteils, Rose.
Ça les fait rire. Ils pourraient pas fermer leurs gueules ? Ben oui, je ne suis pas polie non plus, c’est la fréquentation des pirates. Je remonte des pieds de Rose jusqu’à la touffe de poils de son sexe. Sa chatte sent fort, bien sûr, la marée basse par grande chaleur comme celle d’Azra ma sirène et aussi un peu le marché aux poissons à la fin de la même journée, toujours ensoleillée. Ce sont des odeurs qui me rappellent celles de ma sirène et j’aime ça. Je l’aide à enlever sa robe, en dessous elle a des formes opulentes.
Le pirate Barbe Noire, pas le vrai mais un pirate qui a une barbe noire, dit :
— On va faire un petit jeu, à celui qui se retient le plus longtemps.
Des pirates qui jouent !!! Bah ! Pourquoi pas ? Tout est prévu parce que des esclaves mâles apportent six fauteuils. Les femmes ne jouent pas ? Il faut dire qu’au 18e siècle, l’égalité des sexes n’existait vraiment pas. Les pirates s’y installent et ils sortent leurs sexes de leurs hardes. Sans commentaires.
Yao arrive, un fouet à la main. Il nous place devant un pirate. Moi, je me retrouve à genoux entre les jambes d’un pirate grand et mince et qui a un visage très spécial. Son voisin lui dit :
— Tu as la plus belle suceuse, Tête de Mort.
C’est vrai, qu’il ressemble à une tête de mort. Dans un tout vieux western, j’ai vu un acteur qui avait le même genre de visage. Ses joues sont creuses, ses yeux bleu très pâle sont fort enfoncés dans les orbites, tandis que son nez et ses mâchoires sont très saillants. Il voit ma peur et me dit :
— Je ne te plais pas ? Je suis vivant, tu sais.
Il rit… d’un rire de… squelette ! Je réponds :
— Je suis à votre service, Maître, et très heureuse de sucer votre sexe.
C’est pas vrai, il me fait peur et ils sont tous dégoûtants, je veux rentrer chez ma maman et mon papa… bou, hou...
Hélas, je vais devoir sucer Tête de Mort. La mort me terrorise, mais lui, il est bien vivant et qui sait, peut-être plus gentil que les autres. Il a l’air très sûr de lui. Son sexe se dresse bien vivant, plus propre ou disons moins sale que les autres. Je dégage le gland en repoussant la peau avec mes lèvres. Il me caresse la nuque de sa main gauche, oui, bon, gauche ou droite, ça n’a pas d’importance, mais je suis précise. Il me dit de sa voix rauque :
— Commence par me lécher les couilles.
Yao fait claquer son fouet et nous dit :
— La dernière à faire jouir son invité prendra une raclée.
Nouveau claquement de fouet. Je me dépêche de lécher les couilles de Tête de Mort. De sa voix caverneuse, il me dit :
— T’en fais pas, tu me plais, tu ne seras pas la dernière.
Son odeur et son goût ne sont pas désagréables. À part le problème qu’il me fait peur, il me plaît plus que les autres.
J’ai dit squelette, mais c’est surtout son visage avec ses joues creuses et ses yeux enfoncés dans les orbites qui le font ressembler à une tête de mort. Son sexe, lui, pète la santé. Pour amadouer la mort, je le suce comme un veau tète sa mère qui est rentrée très tard d’une soirée. Ça suce bien un pis, un veau, moi je suce bien une bite. Il ne sent ni ne goûte la mort, mais pas le savon non plus. Il faut dire qu’il n’y a pas de salle de bain sur les navires des pirates.
Le couple de photographes a remplacé Monsieur Edgard et... qu’est-ce que je raconte, moi, il faut que Tête de Mort jouisse, sinon je serai fouettée. Ma bouche va et vient sur son sexe et de la main, je caresse et je serre un peu ses couilles. Ensuite je glisse un doigt dans son anus. Même les hétéros aiment ça. Tête de Mort gémit un tout petit peu. Message bien reçu, j’enfonce un deuxième doigt dans son anus.
Quand on a un costaud avec un fouet derrière soi, on devient très, très efficace dans l’art de faire jouir un homme. J’entends un pirate gueuler :
— Ah putain de salope, tiens, tiens et tiens !
Le message est clair : un des hommes jouit en envoyant des saccades de sperme dégueulasse dans la gorge d’une pauvre fille.
Là, je reçois un nouveau coup de fouet en travers des fesses. Je crie sur le sexe qui est dans ma bouche :
— Aiiiieee !!!
Il faut que je suce énergiquement et que mes doigts l’enculent plus vite. Qu’est-ce que tu attends, Tête de Mort ? J’arrive à faire trois choses en même temps : sucer son gland, presser ses couilles et l’enculer avec deux doigts. J’accélère le mouvement. Chères lectrices du futur, essayez de faire ça à votre mari, vos amants ou vos domestiques et… Tête de Mort rugit :
— Putain de petite salope, tu suces comme une reine !
Oh mon Dieu, c’est du miel qui coule dans mes oreilles. En même temps, il m’envoie des saccades de semence, que j’avale. Son sperme est très abondant et il a un goût très fort, je dois prendre sur moi pour tout avaler.
Je dois faire une pauvre tête dégoûtée. Tête de Mort me caresse le joue en disant :
— Ce n’est pas la première fois que tu avales ?
— Non maître, je vous prie de m’excuser.
— On a mangé des asperges, ça donne un goût à la pisse et au sperme. Tu as fini deuxième, c’est bien. Je vais peut-être te faire un cadeau quand tous les hommes auront joui.
Je le regarde avec de grands yeux. Le pirate Tête de Mort va me faire un cadeau ?
Je ne refuse jamais un cadeau. Ce sera quoi ? La vie éternelle ou alors la disparition de tous les dirigeants néfastes de la surface de la Terre ? Je l’ai bien sucé, il me donnera à Azra, ma sirène, et il nous protégera.
Je rêve… N’oublie pas qu’on te filme, Fanny, et que tout le monde te regarde. La fille qui a été la dernière à faire jouir son partenaire crie et supplie Yao d’arrêter de la fouetter. C’est le sort de la perdante.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
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Nos livres sont ici :
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Très objectivement, Nicolas ne comprenait pas la situation.
Quand il était rentré ce soir, il avait trouvé la table à manger au milieu du salon, et contre elle, un peu à la manière d’une estrade, la petite table du salon.
Aurélie, l’œil un peu égrillard, lui avait demandé de se déshabiller. Nu, il s’était allongé sur la table, les genoux sur la table basse. Aurélie lui avait ligoté les cuisses contre les pieds de la table, les mains en extension, les chevilles à la petite table. Elle avait aussi pris la peine de sangler ses reins, rendant tout mouvement quasiment impossible.
Depuis, il ne se passait plus rien : Aurélie vaquait à ses activités, préparait l’apéritif sans se soucier de lui ; c’était étrange et inquiétant.
Vers 19h15, la sonnette retentit. Au lieu de s’étonner, Aurélie se déplaça prestement vers la porte d’entrée. Nicolas sentit des sueurs froides l’envahir.
Aurélie revint, accompagnée de deux femmes. Habillées élégamment, un peu strictement toutefois, elles devaient avoir une quarantaine d’années. Maude était une grande femme brune, dotée d’un visage aux traits fermes et bien dessinés. Chloé était un peu plus petite, rouquine et d’un visage coquin.
Maude jeta un œil rapide sur Nicolas et déclara que cela était parfait. Chloé déposa un sac de sport dans un coin de la pièce. Aurélie revint avec un plateau, servit un verre à chacune, et les trois femmes se mirent à discuter comme les meilleures amies du monde.
« Donc, expliqua Aurélie, comme je vous l’expliquais cet après-midi, mon mari a besoin d’une bonne tannée pour qu’il retrouve le droit chemin. Or, je me rends bien compte que je suis trop frêle pour cela. De plus, je n’ose pas trop, car j’ai toujours peur de lui faire mal. C’est pourquoi j’ai fait appel à vous.
Avec quoi le battez-vous d’habitude ? questionna Chloé
Avec la brosse à cheveux, à la main, à la ceinture.
Rien de bien méchant, commenta Maude. Connaît-il les verges ?
Pas à ma connaissance, répliqua Aurélie. Moi même je ne sais pas bien ce que c’est !
Eh bien, il va apprendre à connaître. Et ne vous inquiétez pas, il n’oubliera pas tout de suite !
Sur ce bon mot, Maude et Chloé rirent de bon cœur. Devant l’incompréhension d'Aurélie, elles lui expliquèrent que les verges étaient en fait composées d’une douzaine de baguettes de noisetier d’un mètre de long attachées entre elles. Une fois l’écorce retirée, elles étaient conservées dans de l’eau de mer pour garder leur souplesse. Chloé ajouta que si l’eau salée ne servait à l’origine qu’à la conservation, elle rendait la défouraillée encore plus douloureuse par le picotement qui ne manquait pas d’advenir sur la peau du puni. Pendant que Maude racontait à Aurélie comment un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt pleurait comme une madeleine pendant sa punition et promettait à sa femme d’être fidèle et aimant, Chloé était allé chercher dans le sac de sport les badines et montrait à Aurélie la manière de s’en servir.
« Bien, dit Maude, et si nous nous occupions du corps du délit ? »
Elle prit le premier bouquet que lui tendait Chloé et s’approcha de Nicolas. La conversation entre les trois femmes l’avait parfaitement éclairé sur ce qui allait advenir, et il n’en menait pas large. Rarement il ne s’était senti aussi impuissant.
Moqueuse, Maude demanda « Sais-tu ce qui t’attend ? ».
Nicolas fit non de la tête.
« Nous allons montrer à ta petite femme ce qu’appliquer la badine veut dire. Nous allons, de la manière la plus traditionnelle, nous occuper de toi. Nous allons te donner une punition sévère et méritée. Certes, nous ne connaissons pas les raisons de cette punition, cela reste entre ta femme et toi. Pour autant, comme nous les supposons très graves, nous appliquerons en conséquence. N’oublie pas d’y réfléchir et d’expier tes fautes ! »
Puis Maude fit siffler les badines dans l’air et commença l’application.
Elle débuta par la plante des pieds, punition traditionnelle mais ô combien douloureuse.
Puis, méthodiquement, elle entreprit de châtier les mollets, alternant les cinglades à droite et à gauche, en haut et en bas. Elle ne s’arrêta que lorsque les premières zébrures furent bien visibles.
Les cuisses furent naturellement la cible suivante. Maude prit le temps et l’énergie nécessaire pour obtenir une belle couleur uniforme sur l’arrière, l’intérieur et l’extérieur. Si le résultat était plaisant à l’œil, l’épreuve fut rude pour Nicolas.
Les premières verges, fort abîmées, furent remplacées par un bouquet neuf.
Les fesses eurent droit elles aussi à leur comptant, mais de manière étonnante, Maude se contenta de les chauffer, certes rudement, mais beaucoup moins que Nicolas ne l’avait craint.
La correction continua par le dos. Des reins au cou en passant par les flancs, les épaules et les avant-bras, les verges ne laissèrent pas un cm² sans impact. Même les joues eurent droit à quelques cinglades.
Le corps de Nicolas était désormais rouge vif de la tête aux pieds. Maude l’avait battu pendant une demi-heure, sans pause, et sans faiblesse. S’il était marqué physiquement, Aurélie le sentait aussi marqué moralement. Clairement, la punition était rude à supporter et, bien qu’endurant, il était quand même sous le coup de l’épreuve.
Maude conclut son œuvre par l’entrecuisse. Verge, testicules, périnée et anus subirent une dérouillée qui, si elle fut moins violente que sur les autres parties du corps, n’en reste pas moins marquante dans la vie d’un homme.
Satisfaite du résultat, Maude alla s’asseoir, tandis que Chloé prenait le relais. Elle s’arma de verges fraîches et se positionna derrière Nicolas.
« Moi, j’aime fouetter tout le corps, expliqua Maude. Mais c’est toujours Chloé qui termine. Chloé se contente de fesser. Elle aime punir les hommes qui lui sont livrés de cette manière. Mais c’est une fesseuse redoutable, tous ceux qui sont passés entre ses mains en conviennent. Pour qu’elle arrête, il faut que les yeux de sa victime soit aussi rouges que leurs fesses, comme elle se plaît à le dire. Elle fesse au delà des larmes … »
Et en effet … Le swing de Chloé était impressionnant. Les badines opéraient une longue courbe dans l’air pour s’abattre brutalement sur le fessier offert. Aux sifflements succédait le bruit mat du bouquet s’écrasant sur la peau meurtrie. La fessée était intense et rapide. A chaque impact des brindilles se cassaient, et Chloé changeait de verges tous les vingt coups. Elle profitait de ce changement pour analyser ce qui avait été fait et ce qui restait à faire. Pour autant, elle ne s’embarrassait pas d’esthétique, comme le faisait Maude. Le cul de Nicolas, déjà bien rouge au départ, était vite passé au violet. Puis il avait viré par endroit au bleu, au noir, au rouge vif. De lisse, il s’était rapidement boursouflé sous la morsure des badines.
Chloé frappait comme si sa vie en dépendait. Aurélie observait, les yeux exorbités, les fesses de son mari prendre un aspect qu’elle ne leur avait jamais vues. Maude admirait à voix haute la dextérité de son amie. « Comme tu le fesses à merveille ! Comme tu le portes au supplice ! Ah, Aurélie, comme c’est beau de voir un mâle arrogant dans cette posture ! Après cela, il vous mangera dans la main. Il saura où est sa place ! venez, installons-nous face à lui »
Le visage de Nicolas était défait. Il était livide, et des grosses gouttes de sueur le perlaient. Ses yeux étaient humides, et le souffle semblait coupé. Maude décréta qu’il était temps de faire pleurer le vilain petit garçon.
Chloé retourna vers le sac de sport et attrapa une badine de jonc. A la vue de ce nouvel instrument, Maude tira un petit bout de langue coquin en trouvant l’idée magnifique. Chloé reprit son swing et compta douze coups intenses.
« Pleure-t-il ? » demanda-t-elle
Non … je dirai même qu’il a souri !
Il a souri ? ? ? Tu vas voir … »
La baguette reprit son infernal battement. S’en fut trop pour Nicolas, qui s’effondra en larmes ininterrompues. Malgré tout, la série de douze fut donnée complètement.
« Là, j’imagine qu’il ne sourit plus ? », suggéra Chloé.
En effet, il pleure à chaudes larmes !
Parfait ! vingt-quatre suffiront », décida Chloé.
Les vingt-quatre derniers impacts furent donc reçus dans la douleur et les larmes. Pour la tannée de sa vie, Nicolas était pratiquement au bord de la crise de nerfs. Il ne devait pas rester un gramme de peau sur ces pauvres fesses. Dans combien de temps pourrait-il simplement se rasseoir ? Combien de temps mettraient les marques à disparaître ? Disparaîtraient-elles seulement un jour ?
Pendant que Chloé rangeait le matériel, Maude expliquait à Aurélie que pendant la phase de reprise en main, elle préconisait quatre tannées à une semaine d’intervalle pour obtenir un résultat durable. Avec horreur, Nicolas vit les deux femmes sortir leurs agendas et prendre rendez-vous.
Après leur départ, Aurélie resta quelques temps à observer, troublée, les fesses de Nicolas. Chloé les avait mises dans un piteux état, mais Aurélie les trouvait toujours magnifiques, peut‑être même encore un peu plus excitantes ! Elle ne pouvait plus les toucher sans arracher des grognements de douleur, et c’était aussi vrai, bien qu’un peu moins, de tout le reste du corps, Maude n’y étant malgré tout pas allé de main morte.
Dans cette position, fesses offertes, entièrement marqué, ultra sensible, il était un appel à la pénétration. Elle sentit qu’elle ne pourrait pas résister longuement à cette idée qui l’envahissait. Et d’ailleurs, pourquoi y résister ? Elle s’équipa de son gode-ceinture favori puis, écartant sans égard les fesses meurtries, passa en force la barrière de l’anus et en quelques coups de rein énergiques plongea au plus profond du rectum de son homme pour libérer l’orgasme qu’elle sentait monter en elle depuis si longtemps.
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Bonjour à toutes et tous !
Mon Maître m'a demandé d'écrire un court récit bdsm.. C'est la première fois que je me lance là dedans. Je suis plutôt lectrice de thrillers et polars. Mais si Maître l'exige...
Bonne soirée à toutes et tous.
- Silence !
Je la vois, fébrile, sublime.
Son corps tremble, ses yeux sont clos et sa respiration saccadée.
Ses fesses rebondies sont sublimées par un rouge vif. Les coups de canne ont laissé de belles lignes sur sa peau nue.
Les mains sur la tête et les jambes écartées, elle tente de rester debout sans vaciller.
Je me place derrière elle, et je balade cette fois ci le fouet sur ses hanches. Elle gémit et commence à tourner la tête pour parler, mais se ravise.
Je caresse son entre-jambe avec les lanières, et de mon autre main je frotte tout en douceur ses fesses endolories.
Elle se décontracte enfin et expire longuement.
- Très bien.
Je frôle à présent de mes doigts l'intérieur de ses cuisses, et parvient jusqu'à sa chatte, trempée. Je commence à jouer avec son clitoris, qui se gonfle instantanément. Elle gémit et tente se me guider par des mouvements de bassin.
- Ne bouge pas, lui dis-je au creux de l'oreille.
Je descends mes doigts quelques centimètres plus bas, et malaxe sa vulve avec ardeur. J'enfonce mon majeur et mon annulaire d'un coup, et elle ne peut s'empêcher de pousser un cri.
- On se tait j'ai dit !
Ma main gauche abat un solide coup de fouet sur sa hanche, elle se tend et se pince les lèvres pour étouffer son braillement.
Je commence des vas et viens lentement, elle est toute mouillée, désireuse de se faire prendre.
Je commence à appuyer sur son point G, et au moment où je sens le gonflement, j'enlève mes doigts aussi subitement que je les ai inséré.
- Maître ! S'il vous plaît ! Me dit elle, suppliant.
Je la retourne brusquement et la plaque contre le mur.
- Tu ne jouiras pas ce soir ! Goûte à ta mouille.
Et je lui enfonce mes doigts dans la bouche. Elle les suce goulument et sait qu'elle doit les nettoyer. Je me colle à elle, ma bite dure contre son corps brûlant.
- A genoux !
Elle se met en position, mains derrière le dos, tête baissée.
- Alors ?
- Puis-je vous faire jouir Maître ?
- Avec plaisir.
Et j'enfonce ma queue dans sa bouche en lui maintenant fermement la tête. Je lui baise la bouche, sa bouche pulpeuse et chaude est un pur délice.
Elle me suce jusqu'à ce que j'explose : sa bouche se remplit de mon foutre, je lui en asperge également sur le visage.
Elle me regarde, la bouche ouverte, remplie de mon nectar blanc et attend.
D'un signe de tête elle comprend et avale tout.
- Merci Maître pour votre nectar, merci de me laisser vous servir.
Et elle se remet à me lécher pour tout nettoyer.
Je lui caresse les cheveux et m'assois, la contemplant, toujours dans sa position de soumise, le visage maculé de mon sperme, signe de son allégeance.
Je m'approche de la table basse, et récupère un plug.
Elle sait ce qu'elle a à faire.
Je le lui met dans la bouche et elle le suce et l'humidifie.
- A quatre pattes ma chienne.
Elle s'exécute. J'écarte ses fesses toujours écarlates, et crache sur son cul. Je lui enfonce le plug d'un coup, ses mouvements trahissent sa douleur, mais elle ne dit mot.
Je prends à présent la pompe vaginale, l'installe.
Une bonne trentaine de minutes plus tard, son vagin est enflé, tel celui d'une chienne en rut.
Son excitation est immense : elle me regarde, les yeux suppliant.
- Bien, maintenant il est temps que tu ailles faire tes besoins, non ?
Je récupère la laisse et l'accroche à son collier.
A quatre pattes, elle avance, je la guide jusqu'au jardin.
Claquement de doigts.
Elle se baisse légèrement et se met à uriner. Sa pisse coule le long de son ventre.
Elle attend.
A mon tour ; je prend ma bite et commence à l'arroser de ma pisse. Elle est magnifique éclairée par la lueur de la lune.
Je m'approche de son visage et elle recommence à me sucer pour tout nettoyer.
Je la ramène jusqu'à la maison et la positionne face au mur.
- Tu attends.
Je la laisse, imbibée de tous mes fluides, haletante, excitée.
Je pars prendre une douche et ne reviens qu'une heure plus tard.
Elle est toujours dans la même position, mais sa frustration grandissante laisse apparaître un regard haineux.
- Viens par là et lèche.
Je m'installe confortablement dans le canapé et lui offre mes couilles qu'elle s'empresse de lécher avec voracité.
- Maintenant suce.
Elle s'applique à la tâche même si je sens qu'elle fatigue.
- Tu es une bonne soumise, tu as bien mérité que je te baise.
- Merci Maître ! S'exclame t'elle presque désespérément.
- Reprend ta position de chienne, je veux voir ta chatte enflée !
Elle obéit et se cambre pour m'offrir son trou. Une vraie chienne en chaleur, la vue est splendide.
Je retire le plug de son anus, elle gémit entre la surprise et la douleur.
Et sans lui laisser le temps de réagir, je l'encule sauvagement. Elle crie de ce délicieux supplice.
Je sens sa chatte gonflée et suintante de mouille sur mes couilles.
Je baise son cul pendant un long moment et me retire pour jouir à nouveau sur son visage.
Elle est essoufflée et garde les yeux baissés, déçue de ne pas avoir eu tous ses tous comblés.
- Es tu fâchée ?
- Non Maître, je suis là pour vous servir.
- Et ?
- Merci Maître de m'avoir laissé vous servir et d'avoir utilisé mon cul.
- Bonne fille.
Je relève son menton et étale mon sperme qui se mêle à la précédente giclée sur son visage.
- Et maintenant tu enfiles ta robe bleue et tu vas au drive chercher de la crème glacée.
Elle se relève, et exécute l'ordre sans ronchonner.
Le temps de son absence, je lui prépare une surprise : son gode ventouse que j'accroche au mur. Elle pourra se l'enfiler 10 minutes pour avoir été bien docile ce soir.
Mais bien évidement, sans jouïr.
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Petite choses fragile qui se construit dans un lien relationnel sain sur et consensuel.
Je ne sais pas pour vous, mais moi c'est mon moteur l'essence de la machine le relationnel. Je me rend compte que j'ai jamais accorder ma confiance totalement a qui que se soi. Je me suis jamais senti assez en confiance pour craquer. Aujourd'hui je ne l'envisage pas le "lâcher prise" je ne le donnerais pas, je suis verrouillé, cadenassé. J'ai pas envie qu'on me force pour l'obtenir je pense même que ça aurait pas l'effet voulu au contraire. Surtout l'après suffirait d'un rien pour que je parte en vrille. Je suis certainement pas assez saine finalement pour ça ou trop amoché psychologiquement. En tout cas je suis lucide sur le sujet.
Merci Monsieur grâce a Vous je comprend beaucoup de choses.
Merci ophel pour tes partages qui m'aide à me comprendre.
Merci de m'avoir lu
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J’ai pas parlé de JS, notre entretien premier de l’ère « célibataire »… je me suis persuadé de plein de trucs en amont, alors j’ai eu le sentiment qu’elle me faisait des yeux de biche, m’a donné des petites recommandations pour sortir qui pouvaient s’apparenter à un rencard, enfin avec les yeux de la foi. Elle a été plus personnelle, me parlant de ses copines, de ses expériences de spectatrice devant des productions musicales. Sur le coup, même si j’ai vu son attitude corporelle penchée vers moi, petit sourire aux lèvres, je n’ai pas réagi, évidemment. Mais il reste que, nous allons continuer à nous voir, de façon « thérapeutique », même si pour moi, ça devient de plus en plus un truc érotique, un grand réservoir à fantasmes. Je ne sais pas comment il serait approprié ou pas de basculer vers un autre type de relation, mais sa voix, la douceur qu’elle dégage, sa vivacité d’esprit, son intérêt évident pour les arts et la musique en particulier… comment dire… en font la candidate idéale au statut de première compagne de ma nouvelle vie. Je ne sais pas si elle souhaite postuler ceci dit, mais je lui laisse sa chance sans hésiter.
Retour vers un peu de méditation et de sport, un truc qui voudrait enfin prendre soin de moi-même. Bien sûr que les yeux de JS sont assez proches, mais ils sont aussi tellement loins, c’est étrange. J’ai comme le sentiment que ça ferait des étincelles entre nous, mais je me dis que quand même, ça ne se fait pas. Mais je m’en tape, si j’en ai envie, si elle est d’accord, qu’est-ce qui pourrait nous en empêcher ? La morale ? L’éthique professionnelle ? Une broutille. J’ai surtout peur de m’enflammer pour rien, mais en fait, quoi ? Au pire, si je lui demande : "on sort prendre un verre", elle dira quoi ? Je risque quoi ? De passer pour un crevard qui a décidé de divorcer parce qu’il se branle en secret en pensant à sa thérapeute préférée ? Et ensuite, c’est à moitié vrai, mais qui le saura vraiment à part elle ? Et ça change quoi ? Au moins les choses seront claires, et soit c’est le point de départ d’un truc sympa, soit juste le moment d’une clarification salutaire. Et puis quand même, ça fait toujours plaisir, même si on n'est pas dispo, de voir une personne nous désirer, même si c’est un peu pervers, alors bon… les risques sont minimes, négligeables même, si on se dit qu’il n’y a aucune honte à désirer une belle personne.
Elle a une fraicheur, une vivacité espiègle qui me fait penser à Justine, je sais pas trop pourquoi. Alors j’ai envie de manger des champignons magiques avec JS avant de la baiser toute la nuit dans un océan de douceur torride.
Cette séance de méditation m’a amené à affirmer cette énergie qui commence à se dégager de moi, à me laisser porter par elle, comme une érection mentale, un truc qui gonfle et qui fait du bien. Et puis je me suis trouvé aspiré vers le haut, comme une éruption d’oiseaux qui se dispersent dans le ciel. C’était assez bref, mais cette sensation d’érection spirituelle est vraiment chouette, je sens mon énergie enfler, et me procurer du plaisir. Ça fait du bien.
Je viens de faire l’expérience déroutante d’une brève attirance sexuelle et affective pour ma future ex-femme. J’ai retrouvé une partie de ce qui faisait sa beauté, une étincelle de vie en elle, et j’ai eu envie de la baiser, sans vraiment m’embarrasser de quoi que ce soit de moral, juste la baiser, et puis retourner dans ma piaule, comme on peut simplement baiser une amie quand on est célibataire, enfin un truc du genre. Il est évident que son conditionnement moral bourgeois traditionnel interdit d’envisager toute forme de relation sexuelle sans véritable engagement conjugal dans ce contexte, hypocrisie car elle n’hésitera pas au bout d’un moment, à se faire baiser par n’importe quel mâle en rut, qu’elle laissera, je l’espère, filer aussi vite qu’il lui aura défoncé la chatte. Oui, je commence à basculer un peu dans la jalousie post-conjugale, quel genre de connard baisera mon ex-femme, auront-ils de plus grosses bites que moi ? Sauront-ils lui donner envie de jouir ? Il se peut que oui, pour les deux questions, et je préfère voir ça comme un mémo, un truc qui doit me rappeler constamment que la médiocrité n’est pas une option valable en matière de sexualité. Peut-être que le plaisir de se faire baiser par un inconnu suffira à la faire jouir. J’aimerais aussi pouvoir être cet inconnu de temps en temps, mais je crois que c’est trop tard, et que je suis bien trop sexuellement émoustillé pour avoir une vision claire des choses, non pas que ce soir elle soit ultra sexy, non, mais plutôt que mon état d’excitation va crescendo au point de me faire envisager de prendre de la drogue. Alors forcément, à ce moment, n’importe quelle femelle vaguement désirable ferait l’affaire, y compris ma future ex-femme (pourquoi se priver)… bref, je suis partagé entre l’idée de me dire qu’il faut que je me branle un bon coup, et celle de dire que non, je dois garder cette excitation, puisque c’est elle qui doit pousser un homme à oublier la peur du ridicule pour agir et aller vers les femmes, j’imagine. Même si, d’un autre côté, cette excitation nous fait passer pour de vulgaires animaux en rut, ce que je suis, il ne faut pas se voiler la face, mais ce n’est pas très glamour de prime abord...
J’ai aussi bu trois verres de vin, j’avais été sobre depuis quelques jours, ça joue sûrement un peu aussi. Et puis il y avait le visage austère d’Amandine, qui s’est illuminé quand je lui ai rappelé l’évidence : qu’elle en fait trop, qu’elle devrait se lâcher un peu. Avait-elle idée d’une allégorie sexuelle ? C’est bien possible, en tout cas son armure s’est ouverte d’un coup, laissant apparaître une jeune femme pleine de vie et espiègle, qui doit bien profiter de sa jeunesse à en juger par le nombre de fois où elle me demande de lui prescrire des bilans à la recherche de traces d’infections sexuellement transmissibles… il faut dire qu’elle a un de ces corps, des courbes fermes bien dessinées, un cul dense et puissant et… et mon vieux réflexe du « elle est trop belle pour moi » revient, puissant. Pourtant, Joseph a bien mis en cloque Camille, et pourtant, il est petit et laid, il a l’air sympa, certes, mais Camille est une artiste à la personnalité complexe et profonde, et elle est bien foutue, un peu maigre à mon goût mais quand même… elle est objectivement trop belle pour lui, mais également, objectivement, ils viennent d’avoir un bébé. Il a peut-être plein de fric (il en a pourtant pas l’air) ou bien une grosse bite, ou les deux. En tout cas, c’est un vrai mâle reproducteur, car d’après sa carte vitale, il en est à son quatrième garçon…
Pourquoi je parle de ça ? J’en sais rien, on s’en fout, j’ai envie de baiser, je suis disponible, mais mentalement conditionné à n’être pas désirable. Je sais que je dois travailler là-dessus, évidemment, et puis je vais retomber dans les vieux travers de pornographie, repli sur soi et évitement. Vraiment ? Non, c’est fini ça, enfin je crois. Je vais aller méditer un peu malgré l’alcool, et probablement gratter un peu après. Et ma bite me démange tellement qu’il se pourrait que je me branle durant l’une de ces deux activités… en tout cas, ce soir, pas de sport, une petite pause ne fera pas de mal.
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Parfois, quand se retrouvent deux âmes errantes dans les mille temps des existences, même à travers la décadanse d’une valse, cela peut s’avérer bien plus qu’une orchestration des vices…
Le jour où nous avons finalement été réunis, c’était déjà bien plus qu’une simple grille d’accords pervers… Nous avions dès lors, composé l'ébauche symphonique d’un nouveau monde…
Une terre promise à ceux qui n’entendaient plus la tonalité de l’espoir, une partition sur laquelle nous avons placé l’ensemble de nos notes, justes ou fausses, présentes et passées… Car nous sommes avant tout, vivants… Avant tout, des êtres ayant vécu… Une mélodie familière, aux dissonances familiales, du fait de nos progénitures respectives et ingrates…
Conséquence de cette résonance harmonieuse, la première fois où tu posas chez moi tes ondes favorables, tu m'as apporté des bonbons… Toutes sortes de bonbons… Pour les enfants, entre autres… Et d'autres, qui m’étaient spécifiquement destinés… Deux délicieuses dragées !
“Mes” dragées… Mes bonbons depuis ce jour… Des entités indépendantes de ta personne, à l’instar de tes fruits sucrés, tant je t’en ai dépossédé pour qu'ils deviennent, mes précieux biens…
Mes bonbons qui suscitent le manque, quand tu me manques… Quand de moi tu es loin… Mes bonbons qui suscitent l'addiction... Ces confiseries qui m'obsèdent, quand la longueur des mesures me prive de l’accès privilégié à mes friandises… J'en perds mon rythme, la bave aux lèvres, quand par écrans interposés, dans les élans d’un exhibitionnisme naissant et sadique, tu déstructures ta pudeur, et ne cesses d'attiser le féroce de ma gourmandise…
Ils me manquent, quand tu me manques... Mes bonbons…
Leur texture délicate et granuleuse... Leur ampleur extravagante, qui rend inconcevable tout échappatoire à mes intentions…
Mes bonbons succulents…
Leur teinte rosée… Leurs contours enrobés d'une couleur café, que j’aime agrémenter de mon lait…
Mes bonbons… Les miens !
Leur douceur veloutée... Leur goût de miel dans ma bouche, quand tel un bambin affamé, je les dévore goulûment…
Mes bonbons indécents…
Leur tendresse innocente au repos, quand ils n’ont pas encore conscience de ma proximité…
Leur fermeté, quand au cœur de la nuit je les éveille, d’un geste furtif et sournois, et que tu ne peux plus fuir mon désir…
Mes putains de bonbons... Ils me manquent, quand tu me manques… Comme ton regard me manque…
Ton regard nuancé dans le mien, oscillant entre l'effroi et l'incontrôlable attraction, quand je les torture avec cynisme et cruauté... Mes bonbons !
Ils sont miens... Et ils me manquent, quand tu me manques… My good girl...
My baby pop...
So now, let me take you... To the candy shop… Then I'll let you lick... Your lollypop !
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INSPIRATIONS MUSICALES :
Jacques Brel
▶ La valse à mille temps📻
▶ Les bonbons📻
Serge Gainsbourg
▶ La décadanse📻
▶ Couleur café📻
Antonín Dvořák
▶ Symphonie du nouveau monde📻
France Gall
▶ Baby Pop📻
50 Cent
▶ Candy Shop📻
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CRÉDIT PHOTO : Good Girl 佩玲 🍬🍬
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Acte 10 le dernier
Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir.
Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments.
Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau.
La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable.
Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination.
"Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?"
"Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir"
La conversation s'arrête là.
Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène?
Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer.
Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir.
Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part.
Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure.
Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.
C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine.
Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures.
Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais….
La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées.
Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore.
Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien.
Tu a encore le sourire. Il va vite partir.
"Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?"
Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler.
Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux.
"Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…."
Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là.
De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon.
"Au moins, avec ca tu la fermera!"
Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses.
Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup.
J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent.
Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc.
J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir.
Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur.
Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte.
"Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser."
Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher.
Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change.
"Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra."
Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais.
Je t'entends crier une bonne partie de la nuit…. Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete.
Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.
Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures.
Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir.
Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte.
A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer.
"Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu"
"Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!"
Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux.
J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau.
Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre.
Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard.
Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant.
Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.
Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.
Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave.
Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final.
Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles.
Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné.
Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore.
Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi.
Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer.
Je tire et compte. 1..2..3..4...
Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis.
5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol.
Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge.
Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin.
J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi.
L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi.
C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer.
Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche.
Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse.
Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir.
Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin….
8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon.
Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Acte 7
Le temps passe. Je n'ai plus vraiment de nouvelles de ta part depuis la dernière soirée.
Un dimanche matin, tu sonnes chez moi. Je suis surpris, je n'attendais pas vraiment ta visite et ne pensais pas te revoir.
Tu m'expliques avoir eu besoin de temps, de réfléchir, de savoir si tu voulais continuer ou pas.
Nous passons le dimanche à parler de tout, nos vies vanilles, passions, hobbies, personnalités et sexe ainsi que de BDSM bien sur.
De cette discussion, j'ai un peu avancé mais pas vraiment te concernant. Je ne connais toujours pas tes limites et tes envies.
Cela dit, il en ressort des dualités profondes:
* Que les châtiments, le sexe, ne t'intéressent pas sans qu'un contexte les justifient. Pourtant tu en parles beaucoup.
* Une envie de te mettre en danger, d'avoir peur. Mais d'un autre côté, ce danger doit être "safe", comme si on devait te garantir une happy end.
* Le contexte compte plus que les pratiques. Tu expliques que vivre des choses qui te répugnent/dégoûtent, peut être jouissif pour toi, en fonction du contexte.
Vaste dichotomie, qui subsiste dans ton esprit. Des choses totalement contradictoires entre elles. Je prends le temps de la réflexion.
Quelques jours plus tard, je te parle de "role play" et de CNC. Le role play te parle, tu aimes les jeux de rôle (jeux de plateau).
Le CNC en revanche tu sembles ne pas savoir ce que c'est. Je te l'explique. Les deux idées semblent te plaire.
Je te mets en garde, le CNC, il n'y a plus de garde fou, plus de safecode, ton consentement n'existe plus.
Tu poses juste 3 "conditions". Pas de sang, pas de mise en danger de ta santé, rien de permanent (pas de tatouage, branding, etc).
Le côté CNC te fait peur et te plaît. Ne pas avoir ton mot à dire est pour toi terrifiant et excitant.
Le cadre, les règles, et les limites sont posées. Je te demande de me donner toutes les informations te concernant.
Tes horaires, ton lieu de job étudiant, ce que tu fais, un double de tes clés. Dans le même temps, je cogite à des scénarios, en rédige quelques uns.
De tout ce que je te propose, rien ne semble te faire spécialement peur tant que tu sais que c'est moi ton "bourreau".
Tic, tac, le moment opportun arrive. Soirée filles/copines. Parfait. Je t'envoie un texto "Ne mets pas de vêtements auxquels tu tiens ce soir"
Avec ton double, je m'introduis chez toi pendant que tu es en soirée. Je mets un peu de désordre, comme si quelqu'un avait fouillé.
Le disjoncteur électrique? Dans le placard de l'entrée, derriere la penderie à manteaux. Parfait, cela te fera perdre du temps.
Le ruban adhésif, les serflex, cagoule, le faux cutter sont prêts. J'ai plus qu'à attendre ton retour de soirée. La fin de soirée risque d'être mouvementée pour toi.
Minuit moins dix, je vois ta voiture se garer, je t'observe de chez toi, dans le noir.
Le temps que tu arrives, je coupe le courant, laisse la porte d'entrée légèrement ouverte, et file me cacher en enfilant ma cagoule.
Je t'entends pousser la porte, le cliquetis caractéristique de l'interrupteur. J'observe le bon moment, la lumière tamisée du couloir aidant.
La tête dans le placard, tu remets le courant en marche. Manque de pot, je suis derrière toi. Pile au moment où tu sors la tête du placard, je te saisis par les cheveux et place le cutter sur ta gorge.
Apres avoir claqué la porte, je te déplace vers le plan de travail de ta kitchenette. Je te sens trembler, commencer à sangloter, sûrement de peur. Je dois trouver un moyen vite, de te calmer.
Le but n'étant évidemment pas de réellement te traumatiser.
"Si tu essayes de lutter, tu es morte" dis-je. Je me dis que tu connais ma voix, tu devrais donc savoir que c'est moi.
Je te plaque la tête sur le plan de travail, te mets les mains dans le dos, passe le serflex, et le serre. Puis ruban adhésif sur la bouche.
Je t'emmène et te jette dans ton lit. Les sanglots se calment, la peur avec.
Je continue à faire comme si je cherchais quelque chose. Je fais mine de m'agacer de rien trouver.
J'éteins à nouveau la lumière et allume la tv sans le son. La lumière de la tv fera office de lumière tamisée.
Je fais mine de m'agacer de rien trouver..... Je vais dans la cuisine chercher un ciseau.
La peur revient dans ton regard. Je passe la pointe plusieurs fois sans appuyer sur ton cou, ton nez, tes bras.
"Arrête de bouger ou je te plante!"
Tu marmonnes un truc. Je comprends pas. Puis je découpe avec le ciseau, déchire tes vêtements un à un.
Tu es nue..... je sors mon téléphone de ma poche, je prends quelques photos de toi nue... tu essaies de te cacher.
Une claque arrive sur ta jambe. "Ecarte!"
Tu refuses, je reprends le faux cutter et le remets sous ta gorge. "Ecarte j'ai dit!"
Tu le fais non sans mal. En maintenant le cutter, je continue comme je peux ma petite séance photo.
Je finis par poser mon téléphone, et à jouer avec ton clitoris.... Celui-ci devient vite humide, les grognements étouffés se changent en gémissements.
Je m'amuse, enfonce un doigt, puis deux, ressort jouer avec ton clitoris....
Bon ça suffit, assez joué. J'enlève enfin ma cagoule. Ton regard exprime le "je savais que c'était toi"....
Je te souris, me lève, reprend mes affaires. Me dirige vers la porte.
Je t'entends grogner, essayer de crier, de m'interpeller.
Sans te regarder, je te dis "tu passeras la nuit ainsi, je viendrai demain te délivrer. Bonne nuit Hannah."
Je prends le temps de bien fermer ta porte à clé et je m'en vais. Je reviens 1h plus tard, vérifier que tout va bien. Tu dors.
Je m'installe à côté de toi, et je m'endors à mon tour. Le matin tu me réveilles à coup de coudes.
"Bonjour Hannah, bien dormi?.... Ah oui tu peux pas répondre."
Je te sen un poil énervée. J'en souris.
"Arrête de t'énerver ou je te libère pas."
Petit soupir de ta part. Je finis par couper le serflex et t'enlever le ruban adhésif.
Tu passes de longues minutes à ronchonner, pester, pour enfin me dire que tu as vraiment eu peur au départ, que c'était intense, mais qu'avec le recul, c'était excitant et sympa à vivre.
Acte 8
"Maître, je suis en manque.... bientôt 3 semaines sans sexe"
Je te réponds pas mais j'en souris d'avance. Ne t'inquiète pas, j'ai prévu quelque chose pour toi à ce sujet.
Le temps de tout mettre en place. Ça va venir.
Je passe un temps fou, à essayer de reproduire des billets. De près on voit que c'est des faux, de loin en revanche, ça fera illusion.
Ça y le jour J est arrivé. Tout est en place.
"Hannah, habille-toi classe, et sexy ce soir! Je passe te prendre à 19h, sois prête. Ah et tu m'attendras dehors et sans parapluie"
Il est 19h... Il pleut des cordes. Tu es dehors, devant ton batiment, tu m'attends, sans parapluie....
Je te vois, mais j'attends. Petit plaisir sadique, de te voir comme une conne dehors sous la flotte.
Bon 19h08. On va être en retard. Je viens enfin te chercher.
"Ah ben merci de m'avoir fait attendre sous la pluie.... "
"Pardon? Tu peux répéter Hannah?"
"Mes excuses Maître. Bonsoir"
"C'est mieux"
Nous prenons la route, direction un hôtel. Plutôt chic. Tu me suis, sans rien dire. Tu sembles un peu surprise qu'on ne passe pas par l'acceuil.
Chambre 259.... Chambre 259.... Elle est ou cette putain de chambre. Ah ça y est! Nous y sommes.
Je tape, un homme nous ouvre, et nous fait entrer. On se salue.
L'homme a la cinquantaine, plutôt ventru, un regard libidineux. Tu ne le sais pas, mais il s'appelle Thierry. C'est un habitué d'un club échangiste que je connais depuis un moment déjà.
"Hannah enlève ton manteau. Et viens te mettre à genoux, là" au milieu de la chambre face au lit.
Thierry a commandé à manger. Mais toi tu n'y as pas droit. Nous mangeons.
"Elle ne mange pas?"
"Elle mangera quand elle aura fait son devoir, pas avant."
Tu nous regardes manger, et parler de toi comme si tu n’étais pas là. Le repas est fini.
Thierry se lève et va chercher sa sacoche et me tend les "faux billets".
"On avait dit combien? 700?"
"700€ oui.... Enfin si tu veux la totale?"
"Parfait, tiens!"
Tu nous regardes, surprise, médusée, tu sembles à la fois comprendre et ne pas comprendre ce qu'il se passe ou va t'arriver.
"Hannah, je viens de vendre tes services à Monsieur. Sois gentille, et fais ce qu'il te dit."
Je reste assis à table à vous observer. Thierry se déshabille tout seul et va s’allonger dans le lit.
"Debout, et déshabille-toi ma petite"
Un moment d’hésitation, je claque un doigt pour te rappeler à l'ordre, et tu te lèves pour te déshabiller.
Tu regardes Thierry. A la moue que tu fais, il ne semble pas vraiment à ton goût. Âgé, ventru, poilu, sexe court mais épais.
Une fois nue, Thierry t'invite à le rejoindre dans le lit.
"Viens ma petite, viens m'embrasser et me caresser"
Tu y vas, à reculons comme on dit. Tu fais sans faire, on sent réellement que tu ne prends aucun plaisir.
"Va falloir mettre du tiens ma mignonne, c'est nul là"
Je sens que ça va pas. Je me lève, te sors du lit sans ménagement.
"Hannah, c'est bien ce que tu voulais vivre non? Me force pas à devenir méchant. J'ai vendu tes charmes, tu n'as pas le choix!"
Thierry nous regarde, avec une demi-érection. Je te dis d'y retourner d'un signe de la tête.
Retour dans le lit, retour aux caresses.
"C'est bien, ma mignonne, c'est mieux. Suce-moi"
Tu descends et commence ta fellation. Tu ferme les yeux, comme si tu imaginais être avec quelqu'un d'autre.
Thierry est doux, il ne cherche pas à te forcer en gorge profonde. Ça semble te ressurer. Petit à petit, tu y mets plus d'entrain.
Thierry te stoppe, te pousse sur le côté du lit, puis descend te faire un cunnilingus. Lui en revanche semble prendre un plaisir certain à déguster ta petite chatte.
Un peu trop, il semble surexcité...
Le moment fatidique arrive. Thierry met un préservatif. C'est l'heure de passer à la casserole.
Il a côté tres doux, essaye de ne pas te brusquer. Les va-et-vient sont lents, amples.
Puis il s'accélère. Les coups de rein sont plus secs, plus durs, on entend vos corps claquer à chaque coup.
Je vous regarde, assis dans mon fauteuil. Thierry semble s'emballer. Il ne tiendra pas longtemps sur ce rythme.
Chose qui devait arriver, arriva. Thierry, dans un grand râle de jouissance, se bloque au fond de ton vagin. Ne bouge plus 1 seconde ou 2 puis se retire et s'effondre sur le lit.
Tu demandes pas ton reste, sors du lit, et vas dans la salle de bain.
Tu ne le vois pas mais Thierry se rhabille et quitte la chambre. Il l'a payée. Nous pouvons y rester.
Je te retrouve, prostrée dans la salle de bain.
"Hannah?"
"Quoi?"
"Comment te sens-tu?"
"Sale, salie, dégueulasse, souillée, meurtrie...."
Je souris. Te relève. Te dis que je suis fier de toi. Que moi, je n'aurais jamais eu le courage de faire ce que tu viens de faire.
Je vois un petit sourire de fierté poindre.
Je t'entraîne à nouveau dans la chambre, et dans le lit, on parle, fait notre aftercare. Je t'explique que tout était faux et que je connaissais Thierry, d'où ma confiance en lui.
La soirée n'est pas finie, à mon tour de me faire plaisir..... Je vais terminer de combler ton manque.
Acte 9
Nous sommes le lendemain. Le téléphone nous réveille.
Nous n'avons pas commandé le petit-déjeuner. Je suis ailleurs. Physiquement, je suis là, mais mon esprit est absent.
Tu le sens, tu me demandes à quoi je pense. Je ne réponds pas. Une deuxième fois, tu me poses la question.
Je te réponds être en proie aux doutes, aux questionnements, suis-je allé trop loin? Trop vite?
Ça te fait éclater de rire. Tu me dis que jusque-là, tout va bien. Tant que je suis là, tu te sens en sécurité, peu importe quoi.
Ça me rassure. Mais ton calvaire va se durcir.
Cinq jours plus tard, nous sommes invités. Cette fois-ci, tu sais que tu sera vendue. Je te l'explique. Oui je sais encore....
Jour J. Nous arrivons devant une somptueuse villa surplombant les hauteurs de Nice.
A l'entrée, il n'y a que des voitures de luxe. Seule ma Clio Williams fait tache.
Soit. On me remet un masque type "carnaval de Venise" à mettre. C'est jamais pratique à mettre ces machins. Encore moins à respirer avec.
Toi, on te donne un numéro. Nous rentrons dans le salon. Il est bondé. Environ une cinquantaine de personnes sont présentes.
Quelques amuse-gueules, du champagne (ce que je déteste) à boire, puis on vient te chercher. C'est l'heure de la vente des esclaves.
Tu disparais pour réapparaître nue sur le podium avec le numéro autour du cou.
Un à un, vous êtes appelés par votre numéro. Soumises/Soumis même combat ce soir. Pas de différence.
Vous défilez chacun votre tour, puis en ligne vous venez vous positionner sur l'estrade centrale.
Tous les convives peuvent voir, regarder, vous examiner, une seule règle. On touche qu'avec les yeux. De mon côté, je sais déjà qui va t'acheter.
Elle te reluque de la tête aux pieds. Elle ne regarde que toi.
Elle s'appelle "Mercedes". Elle est argentine, a le regard froid, le visage inexpressif, elle a une attitude de matonne de prison. C'est mon ancienne Maîtresse.
Les enchères commencent. Peu de doutes concernant ton cas. C'est fini. Elle a remporté la mise, tu es à elle pour une heure environ.
Elle t’emmène dans une chambre/salle. Elle te fixe les mains à un pilori qui est lui-même attaché à une poulie au plafond.
Je te sens trembler, être pas bien, faire une crise d'angoisse. Tu me cherches du regard mais me trouves pas. Moi je te vois.
Je viens, demande à "Mercedes" 3 mins avec toi.
"Hannah, du calme, respire. Tout va bien. Je connais Mercedes, elle sait ce qu'elle fait. Elle a 30 ans d'expérience derrière elle. Fais-lui confiance, fais-moi confiance. Tu sais que je suis là et que je t’abandonne pas."
Ça va mieux. Enfin un peu.
Mercedes commence avec une Badine. Elle marque tes fesses, tes cuisses, tes mollets, ton bas-ventre. Cela te semble interminable et insupportable. Mais tu fais de ton mieux pour subir.
Elle te détache, t’emmène sur une table. Tu y es fixée par les mains et les pieds. Jambes ouvertes, sexe offert.
Elle enfile des gants en latex, je sens à nouveau que tu vas craquer. Je viens. Je te murmure que ça va, tout va bien. Respire. Tu es entre de bonnes mains.
Elle t'explique qu'elle va te "coudre la chatte". Je te caresse la tête, je reste présent. Ça va aller Hannah.
Elle commence, le passage de l'aiguille se fait non sans mal, mais tu essaies de gérer. Un point après l'autre, te voilà suturée. Chatte fermée.
Nous admirons le travail. Tu restes allongée à ne rien dire.
"Gap, tu l'as bien formée, bravo. Beaucoup auraient renoncé."
"Merci Madame".
"Je te laisse le soin de couper les points, voici le ciseau médical. Fais attention. Et voici des compresses stériles au besoin"
Je retire un à un les points. Pose des compresses sur les quelques gouttes de sang qui perlent.
Je te détache les mains et te tends un sextoy. De quoi enfin prendre un peu de plaisir. Fini, tu me le rends.
Mercedes te regarde dans le fond de la pièce. Je te détache, et te demande d'aller dire merci.
"Merci Madame"
"De rien jeune fille."
Nous repartons dans le salon. Tu te rhabilles.
"Hannah veux-tu rester?"
"Non trop d'émotions pour ce soir, rentrons"
Retour chez moi. Poches de glace et bombe de froid. Ça va. Tu sembles bien résister à la douleur.
J'examine à nouveau ta chatte. Ça va, plus de sang. Nous pouvons faire notre aftercare et dormir.
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je partage ici des souvenirs de mes expériences . celle-ci c'est passée avec ma dominatrice la plus agréable et la plus perverse que j'ai eu .
un aprés midi , Madame m'appelle : demain aprés midi au sauna le x , 15h devant la porte !!! le ton dit bien qu'il n'y a pas de contestations possible donc je vais obéir .
j'ai 30 ans , sportif , musclé , depuis peu entiérement lisse et aux ordres et caprices d'une dominatrice parfaite ! ferme , fondante , vicieuse , joueuse , ne détestant pas le plaisir sexuel avec son soumis , bref une dominatrice parfaite .
le jour J , je rentre a sa suite dans le sauna , direction le vestiaire , mise a nu , pose du collier et de la laisse , la cagoule , les pinces ( qu'est ce qu'elles font mal celles la , une nouvelle trouvaille de Madame ) dés que la douleur monte mon sexe gonfle , se tend , ma circoncision apparait aux yeux de tous ( amusant comme un sexe circoncis attire les regards et la gourmandise ) les spectateurs car Madame a lancée une invitation : 3 couples et une poignée d'hommes seuls qui attendent le spectacle en se masturbant s , parfois les uns les autres .
Madame m'installe , poignés liés dans le dos , barre d'écartement aux chevilles , a genoux sur une banquette la téte contre le mur , cambré pour m'ofrir aux regards inquisiteurs des spectateurs .
Madame commence par jouer avec les pinces et m'arrache les gémissements de petites chiennes qu'elle adore , elle m'interdit de crier mais pas de gémir et je lui donne satisfaction , qu'est ce que j'ai mal !!! mais elle adore alors !!!!
puis vient la fessée , trés vite mes fesses chauffent , rougissent , gonflent , je vais avoir du mal a aller travailler ensuite , 1 heure de voiture les fesses en feu , je vais chanter mon bonheur d'avoir servi Madame ! et dire que je ne peux pas le partager , tout cela est secret , mais j'aimerais tellement pouvoir le crier au monde , " j'ai mal parce que ma Maitresse me torture !! "
je suis la , des hommes s'approchent , j'ai dis a Madame que je n'acceptais pas les hommes , soumis je suis mais a une femme uniquement . elle les laisse s'approcher , s'assoir a coté de moi et me carresser ! je ne veux pas mais je n'ai pas le droit de parler !! ils carressent mon dos , mes reins , mes seins , tirent sur les pinces , tordent mes seins , glissent vers mon ventre , mon pubis , mon sexe , mes fesses , l'un écarte mes fesses et glisse un doigt sur mon oeillet , je me contracte mais Madame empoigne mes testicules et tire vers le haut , je me cambre et ouvre ma fente ! elle arréte la pénétration , le plus audacieux se met a genoux derriére moi et léche mes fesses , ma raie et léche mon orifice en tirant sur mes testicules , je ne peux pas me fermer et je subis cette caresse , comme un viol , je sens sa langue qui s'enfonce et je cris " non , pas ça " . Madame le fait se relever et le renvoie en spectateur , il bande comme un taureau , il est super monté , heureusement que Madame l'a arrété sinon il m'aurait défoncé !
je vois les couples qui s'affairent , les femmes se penchent sur leurs hommes et les sucent goulument , les hommes seuls se masturbent , certais en sucent d'autres , j'en vois un qui se fait prendre par le taureau , le spectacle a l'air de plaire !
une femme vient derriére moi et me caresse , joue avec mon sexe , me fait gémir car ses caresses sont précises , au bon endroit , je sens monter mon excitation , elle joue avec mes testicules qui pendent , les soupése , les malaxe , les triture , je gémis car je suis extrémement sensible de cette partie et je ne supporte pas ces douleurs !
Madame observe , guide la femme , lui indique mes points sensibles , c'est une novice dans la domination et je suis son sujet d'étude , son mari la regarde en souriant ( peut étre est il content de ne pas étre le sujet !!! ) pendant ce temps la je gémis sous les attentions de la dame !
j'entends les cris de jouissance des spectateurs , a mon avis le sperme coule a flot , tout le monde ou presque a l'air de prendre son pied , Madame me fait assoir , je léve la téte et elle s'approche au dessus de moi , viens poser son sexe sur mon visage et m'ordonne de la lécher !!!!! je lui donne aussitot satisfaction , c'est tellement rare que je déguste ce moment , ma langue va et vient , je fouille son sexe , je fais monter son plaisir , je sens ses reins qui s'animent , son sexe ruisselle dans ma bouche , je déguste le plus possible de sa mouille , elle se frotte sur mon visage , mon nez s'enfonce dans sa chatte et elle jouit , a grands cris , je sens un liquide qui gicle sur mon visage , dans ma bouche , sur mon corps , elle urine a grands jets , elle se vide en jouissant sur moi , je déteste le gout , l'odeur et le fait que ça soit un déchet mais j'adore boire l'urine de Madame , elle prend soin de boire du lipton et sa production est légérement parfumée a la péche , un régal , j'en avale le plus possible !
puis Madame , se relave et interpelle les spectateurs , les invite a venir m'arroser , ça n'était pas prévu du tout , la participation d'inconnus , je n'avale pas leurs urines , j'ai toujours un doute sur l'hygiéne alors la , des hommes qui viennnet de se sucer , d'avaler le sperme de leurs voisins , qui viennent de se prendre entre eux , JAMAIS !
je reste assis téte basse les yeux fermés , bouche fermée , et je sens les jets qui viennent frapper ma téte , mon corps , ce n'est pas possible ils ont tous envie d'uriner , je ruisselle , c'est humiliant au possible , étre un urinoir public , j'entends les éclats de rire gras , les hommes qui s'esclaffent , m'appelle la lopette , le sac a pisse , ils s'en donnent a coeur joie et je me tais , je subis !
puis la femme de toute a l'heure s'approche , vient au dessus de moi , Madame m'ordonne de lever la téte , d'écarter la cagoule sur mon nez et d'accepter l'offrande de la femme , je secoue la téte pour dire non , la gifle tombe , énorme , je crois que je vais une fois de plus me soumettre et faire ce que Madame ordonne , je penche ma téte en arriére , ouvre la bouche , la femme applique son sexe sur mes lévres , Madame m'ordonne de la lécher , de la faire jouir et de recevoir ma récompense !
devinez ce que j'ai fait ?????
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bonsoir aux courageux qui liront ce premier pavé, il y en a d'autres en stock si jamais un ou deux curieux se montrent intéressés....
je ne sais pas vraiment pourquoi je partage ça ici, ce texte n'a rien de BDSM, il se trouve juste que, chronologiquement, l'adhésion (toute relative) à cette communauté a été l'un des derniers trucs que j'ai fait avant de prendre l'initiative de divorcer... tout est écrit de façon brute, initialement comme un journal intime, non retouché à quelques mots près.
" Un bail que je n’ai plus médité, ou écrit. Ces derniers temps, c’était retour sur bdsm.fr et surtout backgammon, à fond. Et puis je préparais la fin de mon mariage. Je crois bien que ça vient tout juste de se produire, pour de bon. Je lui ai dit assez calmement que même la meilleure version d’elle-même ne réussirait pas à me rendre heureux, du moins j’en suis convaincu. Que ce n’est pas une question de choses que l’on fait ou pas, d’ajustements ou d’efforts, non. Pour moi, il y a simplement erreur de casting, et je le sais au fond de moi depuis un moment. Ce soir où j’ai pris la décision de la demander en mariage, seul, défoncé au DXM pendant qu’elle était de garde, je me souviens très bien une grande peur, un gros doute, vite évacué par les propriétés de la drogue. Une fois la décision prise de la demander en mariage, mon cerveau s’est démené pour m’expliquer combien c’était génial et combien c’était sensé se passer comme ça. Pas un mot sur le fait qu’en fait, j’étais juste en train de profiter de son absence pour me droguer, comme toute personne heureuse en ménage le ferait... Il y a peut-être eu des moments où je me suis dit que j’étais trop malheureux de ne pas l’avoir à côté de moi, donc je me droguais pour oublier. Mais alors comment expliquer que je me droguais, plus tard, avant de rentrer la retrouver à la maison, à la fin de ma journée de travail ?
Ça commence dans la drogue, ça finit dans la drogue, sauf que là, il n’est pas question que l’histoire dans sa globalité, c’est à dire la mienne, se termine mal. Ça finit, ce mariage finit au moment où je franchis la ligne rouge de l’intraveineuse. Je sais que quelque chose cloche sévèrement, et petit à petit je vois les choses de plus en plus clairement. Maintenant, je ne me drogue plus, et je me sens triste mais calme. J’ai quand même pris un Xanax pour éviter le retour de bâton, mais je me sens mieux. La cage dans laquelle j’étais enfermé vient de s’ouvrir, je sais que je vais pouvoir marcher vers ma liberté. Ça fait peur, mais l’air sur ma peau me pousse à me concentrer sur ce qui arrive maintenant, pas à paniquer au sujet de ce qui pourrait se produire dans un mois, un an ou un siècle.
Pour la première, non deuxième fois de ma vie, je suis là, maintenant. J’ai pleinement conscience de ce qui se passe, je me sens prêt, confiant, je sais que je vais grandir encore un peu, comme un arbre qui s’étoffe à chaque saison. Et bien là, un hiver s’achève. La première fois, c’était juste la nuit avant la naissance de mon fils aîné, je sentais que j’étais parfaitement prêt à l’accueillir. Je n’ai jamais ressenti ça à aucun autre moment de ma vie : c’est à dire savoir que quelque chose d’important se passe maintenant, et qu’on a les épaules pour gérer ça au mieux. Cette fois, c’est moi qui décide, d’une certaine façon, ça rend les choses peut-être plus simple niveau timing. Ça a peut-être un rapport avec le backgammon aussi, avoir l’initiative, gérer le timing, bien étudier les positions, ce genre de truc…
Je ne m’attendais à rien d’autre que d’être accusé d’être un lâche égoïste et ingrat ; mais je crois que j’avais devancé l’attaque en me l’auto-infligeant des milliers de fois, alors j’ai encaissé sans trop broncher, sans hausser le ton, sans même vraiment relever. J’ai essayé d’être apaisant, en lui répétant que si je pense ne plus avoir envie de vivre avec elle, y compris sa meilleure version (actuellement enterrée sous cinquante couches de névroses en tout genre) ce n’est pas un jugement de valeur, ce n’est pas que je l’estime indigne de moi. Mais évidemment, ce n’est pas ce qu’elle a entendu. Sans surprise, les angoisses matérielles sont venues en premier, peut-être à égalité avec la garde des enfants, comment je vais pouvoir gérer seule ? Problème résolu en amont : tu garderas la maison,et tes parents resteront tes voisins et pourront t’aider avec les garçons.
Et puis voilà que finalement, elle revient. Elle devait dormir chez ses parents pour se calmer les nerfs, mais son père lui a pris la tête avec des détails matériels à la con, ce qui l’a fait encore plus paniquer. Me revoilà à peu près là où tout à commencé à s’achever : la salle de jeu / studio de musique. C’est ici qu’après les intraveineuses, je me suis posé, ai écrit, ai joué de la gratte, bien sûr. C’est là que j’ai passé la nuit avec mon pote d’enfance à parler d’elle, de notre divorce imminent, tout en prenant une énorme cuite ponctuée de jams appréciables. C’est là aussi que j’ai médité. Dans cette pièce, on a aussi pas mal joué avec les enfants, mais c’est surtout ma salle de jeu, que je vais devoir quitter d’ici quelques temps. M’y revoici, presque divorcé ce soir, pour ce que ça change…
C’est aussi dans cette pièce que j’avais dévoré les deux biographies de Jimi Hendrix peu avant de tenter une approche purement sexuelle, lorgnant sur le BDSM dans le but de sauver mon mariage : un échec cuisant. Je crois que c’est Jimi qui m’a poussé à agir, alors bien sûr qu’il y a une part d’excitation à l’idée d’entrevoir les prémices d’une vie de célibataire qui imiterait sa courte et brillante existence, mais je sais bien qu’il faut que je descende d’un cran, car ça risque de ne pas être vraiment ça… respire mon petit, demain sera un autre jour, dans un sens plus profond et plus vrai qu’il n’a jamais été de toute ta vie ou presque.
J’ouvre un oeil et un mélange de désir sexuel et de positions de backgammon et de videau secouent mon corps et mon esprit à nu. Il est trop tôt pour me lever, alors je débute cette nouvelle journée par deux matchs en douze points contre un australien muet : deux belles défaites, pas bien glorieuses ni chanceuses. J’avais pensé à me branler sinon, ça aurait peut-être mieux valu, qui sait ? Ou bien aller prendre ma douche pour débuter cette nouvelle vie frais, mais il faut croire que tout ne peut pas changer d’un coup. Traîner, faire les choses nécessaires au dernier moment, se goinfrer de tout ce qui fait envie d’ici là, jusqu’à plus faim et plus si possible. Mais ne pas reculer pour autant devant l’inévitable, même si toujours ou presque il est abordé en retard, je ne suis pas du genre à fermer les yeux. J’ai mis longtemps à comprendre que j’ai câblé mon cerveau à l’inverse de ce que maman disait : « plus vite fait, plus vite tranquille ». J’ai passé ma vie à élaborer un slogan alternatif du style : « la vie c’est chiant, le jeu c’est bien : n’agir que si c’est strictement nécessaire et si personne ne le fait à ma place ». Je sais, il va falloir travailler la formule, et puis en fait probablement aussi un peu trouver un compromis entre les deux, ce que je croyais que serait mon mariage, mais ce n’est pas parce qu’on est un adolescent insolent, joueur et provocateur qu’il faut se mettre en couple avec une personne rigide, obsessionnelle de l’organisation et pisse-froid. Elle appréciera si un jour elle lit ces lignes, je souhaite pour elle me tromper, mais il me semble qu’elle n’a pas su vraiment développer sa compréhension de ce qu’elle est au fond, alors elle à travaillé sur la forme, celle d’une « adulte » responsable, organisée, travailleuse, « parfaite » d’après les critères de son père. Ce qu’elle veut vraiment, ce qu’elle aime vraiment ? Je n’en sais rien, elle n’en sait rien, mais j’espère qu’elle le trouvera un jour, pour elle évidemment, mais aussi et surtout pour nos enfants. En tout cas, j’en suis arrivé à la conclusion que je n’aurais jamais la réponse à cette question, enfin que je n’aurais jamais la patience d’attendre sa réponse, ni la vitalité pour encaisser émotionnellement tout ce qu’implique de vivre quelques années de plus avec une personne à ce point à la dérive. Et que si quelqu’un peut bien l’aider à trouver ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, vraiment, ce n’est pas moi. Et que de toute façon, ça ne me conviendra pas vraiment, enfin je crois. Il se pourrait aussi que je sois responsable d’une certaine manière de la dégradation de son état, par mon attitude intransigeante, distante et fermée qui rappelle fortement celle de son père. C’est juste que, malgré les doutes qui persistent, je suis plus qu’absolument certain d’une chose : on est pas éternel, et je n’ai pas le temps ni les moyens d’attendre dix ans de plus pour passer d’une probabilité de victoire de 0.1% à 1%, car je n’envisage pas vraiment de gain supérieur au bout du compte, même avec les meilleurs dés possibles… il faut laisser tomber cette manche, beaucoup trop à perdre et pour ainsi dire rien à gagner, et je m’approche du point du match où il faut devenir nettement plus agressif si on veut espérer renverser la tendance, viser le gammon doublé. J’ai beau forcer le trait, je n’arrive pas à trouver ces analogies entre la vie et un match de backgammon cucul. Je trouve ça beau, profond et incroyablement vrai. Il faut peut-être vraiment que je revoie ma psychologue dans ce cas…."
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