La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 31/03/24
Regrets ? Que suis-je devenu ? Qu’étais-je avant ? Cela valait il la peine ? Des questions que beaucoup doivent se poser après un simple tatouage ou une modification corporelle plus importante ou un choix de vie. Je me pose ces questions ; je trouve les réponses dans mes désirs passés et je tente de me conforter dans mes choix directs clairement demandés et les choix plus ou moins imposés. Avoir des regrets ; A quoi bon ? Ce qui est fait est fait ! Finalement il faut vivre en harmonie avec nos choix même si quelquefois c’est difficile. Pour me réconforter, je me demande ce que je serais sans ? Eh bien je ne serais pas moi-même. Pas celle que j’ai toujours voulu devenir
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Par : le 29/03/24
"Même absent, il m'observe..." - Noir. Souffle, frémissement. Sons métalliques, froissements de cuir. La captive s'éveille, en douceur, et en cage. Elle sort lentement de sa torpeur ; ses membres s'étirent et sa peau frissonne, un gémissement s'échappe de son bâillon alors qu'elle les déploie malgré les chaînes. Hormis sa tête cagoulée, son corps tout entier palpite et tressaille ; ni l'air frais ni le sol dur ne l'empêchent plus de dormir, désormais, mais il lui faut néanmoins affronter chaque matin leurs empreintes. Non qu'elle ne s'en plaigne. - Quand bien même le voudrait-elle qu'elle ne se le permettrait pas ; courbatures et chair de poule ne sont au pire que de mineures et temporaires inconvéniences. Elle s'y est depuis longtemps habituée. De par sa force d'esprit et son désir de discipline, elle les a même apprivoisées ; le frisson matinal lui est devenu délicieux, et les douleurs musculaires des obstacles à franchir pour mieux savourer les étirements. Sans compter qu'il serait ridicule de geindre pour de telles peccadilles, quand cette même peau est subtilement tavelée de tâchées bleutées, de marques d'impact et de traces de lanières de cuir, dont chacune se fait encore ressentir... Et dont chacune fait sa fierté. - Elle se redresse. Elle s'agenouille. Elle est maintenant bien réveillée. Cela lui prend parfois un peu de temps pour émerger, ou même pour le réaliser ; en ce lieu enténébré sur lequel elle ne pose que rarement ses yeux bandés ou ceints de cuir, le jour et la nuit sont ardus à distinguer. Comme pour tout le reste, sa discipline durement acquise et ses ordres permanents ont pris le pas sur le désarroi des premiers temps, et l'exercice ainsi que l'habitude ont comblé les manques. Lorsqu'elle se redresse, elle évite désormais de se cogner aux barreaux de la cage. Lorsqu'elle s'agenouille, elle sent d'instinct la direction de la porte du cellier ; il lui faut exposer son corps nu et enchainé face à l'huis chaque matin dans l'attente et la patience... du moins chaque fois qu'elle est rangée ici pour la nuit. A l'hésitation originelle à maintenant succédé une calme et prudente expertise. Tatonnements aveugles et emmêlements de chaînons la feraient aujourd'hui davantage rougir que n'importe quelle gifle. Son dos est droit, sa tête basse, son buste relevé pour flatter sa silhouette emprisonnée. Dans la pénombre, on peut croire à une sculpture, tel un hommage à quelque nymphe tutélaire des captives d'un divin geôlier. Mais la jeune femme n'est pas de marbre ; comme toujours, la contemplation de son sort éveille chez elle aussi bien ses sens que son esprit. Ses lèvres et sa langue se font plus sensibles autour de son baillon, alors que son souffle en s'approfondissant roule dans sa gorge enserrée d'un collier. Le fer et le cuir s'échauffent de concert avec sa chair. Elle sent sa peau rosir, ses tétines se raidir, et sa fleur perler d'une frâiche rosée. Cela n'a rien d'une distraction... c'est un impératif, car c'est ainsi qu'elle est désirée, et de tels désirs sont, pour elle, des ordres. En silence, le temps passe. Son maître viendra.
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Par : le 29/03/24
CHAPITRE 7   : MONSIEUR CHU   Mes rapports avec Maître Julian étaient ambigus. En lui j’aimais cette dualité entre le bien et le mal. En moi il avait éveillé une sensualité qui s’accordait en tous points à mes fantasmes. Il savait me prendre et me faire progresser, d’une progression toute calculée. Insensiblement, il repoussait mes limites et me faisait découvrir des horizons nouveaux.   Jouant sur l’excitation de situations nouvelles, tantôt tendre tantôt directif, ne me laissant d’autres alternatives que d’accepter. Ainsi en peu de temps, il avait fait de moi une parfaite et dévouée élève. Je soulevais ma jupe au moindre de ses désirs, lui offrant mon corps pour des moments intenses de plaisir. J’avais abandonné toute pudeur pour lui plaire. Pourtant je n’étais ni exhibitionniste, ni délurée, ni même masochiste. Etais-je folle ou amoureuse ? Certainement un peu des deux. Mais lui m’aimait-il ? D’une certaine manière, j’en avais l’impression. Du moins jusqu’à ce lundi.   Un certain monsieur Chu avait rendez-vous à 18 heures. Maître Julian me demanda d’être particulièrement polie avec lui. C’était un client important et je le reçus d’une manière parfaite. Je dois avouer que j’avais fait d’immenses progrès en anglais, et je m’exprimais avec une certaine aisance. Ma tenue, une de celles choisies par Mademoiselle, était composée d’une jupe assez courte et d’un chemisier blanc. Je portais des bas et des chaussures à talons. Pantalons et collants avaient été bannis des tenues que je pouvais mettre au bureau. Celle-ci était assez sexy, mais non dépourvue d’une incontestable touche de classe. Mais à peine Monsieur Chu avait-il pénétré dans les locaux que  je regrettais mon choix. Quelque chose en lui me mettait mal à l’aise. Peut-être sa façon de me dévisager, il me déshabillait littéralement du regard. Je feignis d’être très occupée afin de ne pas lui laisser deviner mon trouble. Le temps semblait suspendu et lorsque Maître Julian me pria de l’introduire dans son bureau, je me sentis immédiatement soulagée et c’est d’un cœur léger que je continuais à travailler. Ils étaient ensemble depuis environ une demi-heure, lorsque Maître Julian me pria de leur apporter deux martinis on the rox. A mon entrée, la conversation c’était interrompue. Pendant que je me penchais pour poser les verres et la bouteille, sur la table basse, je sentis leurs regards s’attarder sur mes fesses. Pourtant stoïque, je fis le service en les gratifiant de mon plus beau sourire. Je me préparais à sortir ou plutôt à m’enfuir lorsque Julian m’apostropha en anglais. « Nathalie, notre invité te trouve très jolie » Décontenancée, je me tournais vers lui et le remerciais. Julian reprit. « Mais il voudrait en voir un peu plus. Alors sois gentille, montre lui.»   « Pardon ? » dis-je  certaine d’avoir mal compris.   « Allons ne fais pas de manières. Vite, ou je serais obligé de te punir devant lui. »   Jusqu’à présent il avait été très discret. Personne ne soupçonnait la nature de nos rapports. Et voilà que non seulement il trahissait ma confiance, mais pire il me menaçait devant un parfait inconnu. J’étais effondrée. Devant mon absence de réaction, il s’empara négligemment de la cravache que je connaissais si bien et que je redoutais tellement, et la tapota entre ses mains. Je l’implorais du regard, mais il avait son air intraitable des mauvais jours. Jetant un bref coup d’œil vers son invité, je compris que je n’avais aucune aide à attendre de son côté. Au contraire, ses yeux pervers ne perdaient pas une miette du bras de fer qui se déroulait. Vaincue, j’entrepris de déboutonner mon chemisier, dévoilant un soutien-gorge blanc qui soulignait mes seins. Et baissant pudiquement les yeux, j’attendis.   « Approche un peu de monsieur Chu, ne fais pas ta timide »   Hésitante je fis quelques pas vers lui. J’étais en plein dans mon rêve, à la seule différence que tout cela était affreusement réel. Monsieur Chu me demanda d’une voix extrêmement douce de bien vouloir ôter ma jupe. Tremblotante, je m’exécutais. J’étais en bas, porte-jarretelles, et petite culotte en coton blanche. Il me fit signe d’approcher plus près. Ses yeux ne quittèrent pas les miens et d’un geste lent, il baissa ma culotte. A la vue de mon sexe épilé il eut un sourire de satisfaction. Maître Julian s’était silencieusement placé dans mon dos recréant la scène si souvent vécue dans mon rêve. Il dégrafa habilement mon soutien-gorge, libérant mes deux seins. M’obligeant à pencher la tête en arrière, il saisit mes lèvres et m’embrassa. Je lui rendis son baiser, reconnaissante de ne pas m’abandonner seule aux mains de cet homme. Monsieur Chu avait glissé sa main entre mes cuisses, et il put constater qu’une certaine humidité commençait à envahir mon bas-ventre. Vaincue je m’abandonnais à leurs caresses. J’avais l’impression d’être Ysabel, les images de mon rêve et la réalité se mélangeaient. C’était étrange et déroutant, un mélange de perversité et de volupté me poussait à accepter cette situation. Lorsqu’ils furent certains que toute idée de résistance avait quitté mon esprit, ils cessèrent de me caresser et me demandèrent de garder la position. Jambes bien écartées et bras dans le dos, c’était à la fois humiliant et terriblement excitant. S’offrir ainsi aux regards et savoir que mon corps éveillait leurs désirs me donna le courage de m’abandonner totalement. Monsieur Chu, sortit, de je ne sais où, des cordes. De vraies cordes en chanvre. Entourant mon cou de l’une d’elles, il la fit glisser en deux extrémités d’égale longueur. La crainte de me retrouver attachée totalement à sa merci me glaça plus sûrement que le froid des cordes et je ne pus m’empêcher de trembler. Faisant faire plusieurs tours à la cordelette, il m’emprisonna habilement les seins jusqu’à les compresser et les faire saillir. Puis après un nœud serré, il laissa descendre le fil de chanvre jusqu’à mon sexe et le coinça étroitement entre les deux cordelettes et les fit remonter le long de la raie de mes fesses. Le tout fut relié à mon cou, emprisonnant ensuite mes coudes dans mon dos. Les cordes furent serrées à la limite du supportable. Je ne pouvais esquisser le moindre mouvement, sans sentir au plus profond de ma chair, leur empreinte. Visiblement j’allais découvrir des sensations nouvelles, victime consentante entre les mains exigeantes de ces hommes mûrs.   Ensuite il me fit m’agenouiller et écartant mes cuisses d’un geste sûr, il entreprit de relever mes mollets. Il les fixa, à l’aide de deux lanières et je me retrouvais en équilibre instable sur mes genoux. Pour finir, il passa une autre boucle autour de ma taille, l’enserrant étroitement et relia l’ensemble des cordages à un crochet du plafond. Julian attentif, l’assista veillant à bien équilibrer la tension. Puis ensemble, ils me hissèrent à environ 1 mètre au dessus du sol. J’étais ainsi suspendue en l’air, incapable de bouger. Les cordes qui passaient entre mes cuisses comprimaient mon sexe, et me faisaient ressentir ma condition de femelle, offrant en prime, l’impudique spectacle de mes cuisses écartées au maximum. Je rougis de honte toute en me sentant terriblement excitée. Ce bondage était réalisé avec une rare maîtrise et Chu était assurément un maître dans ce domaine. Me faisant pivoter sur moi-même en se servant de mes seins, il s’amusa un moment à me faire tournicoter comme une toupie, puis il se recula pour admirer son œuvre d’un air satisfait.   Julian le complimenta et l’invita à se servir de ma bouche. Sans se faire prier il ouvrit sa braguette, et glissa son sexe entre mes lèvres. Je dus le sucer et le lécher selon ses désirs pervers, il fut particulièrement long à jouir et il veilla à ce que j’avale tout. Enfin, il m’abandonna. Sans attendre, Julian prit sa place et je dus le satisfaire pendant que sa cravache taquinait mon clitoris.   Après un nouveau verre, ils décidèrent d’aller dîner et m’abandonnèrent ainsi, malgré mes supplications.   Je passais des moments terribles, suspendue, seule dans les bureaux désertés. Les cordes entamaient ma chair et le moindre mouvement accentuait la douleur. Je maudissais Julian. Plus le temps passait, plus je me mettais en rage. Mes membres étaient engourdis, j’avais des fourmis dans tout le corps et je mourrais de soif. Puis à la colère succéda une profonde période d’abattement. Je subissais résignée, me demandant s’ils m’avaient oubliée, priant pour qu’ils reviennent vite. Ce n’est que quelques heures plus tard, qu’ils revinrent de très bonne humeur. Taquin, Julian s’approcha de moi et me demanda si j’allais être une parfaite soumise, où si je préférais continuer à bouder toute seule dans mon coin. Je promis d’être obéissante, je le suppliais de me détacher. Ce soir là, j’aurais promis tout ce qu’il voulait pour être libérée.   Enchantés de me voir dans de si bonnes dispositions, ils entreprirent alors de me faire toucher terre et me délivrèrent avec d’infinies précautions. En me détachant, le sang se remit à circuler et je criais de douleur. Je n’arrivais à allonger ni mes bras ni mes jambes. Ils me massèrent longuement presque amoureusement et séchèrent mes larmes. Julian déclara que je méritais bien une récompense et il déboucha une bouteille de champagne. Je bus plusieurs coupes et je sentis  une légère ivresse m’envahir, et je plaisantais avec eux plutôt contente de m’en tirer à si bon compte. Mais une fois de plus je prenais mes désirs pour des réalités. Je le compris lorsque d’un geste vif, Monsieur Chu m’attira vers lui, et glissant un doigt entre mes fesses, il s’approcha de ma rondelle. Je sursautais de surprise. J’étais vierge de ce côté là. Julian y avait bien fait allusion, de temps à autre, mais devant ma réticence, il n’avait pas insisté. Monsieur Chu n’avait pas cette délicatesse. Savoir que cet endroit était à déflorer, semblait l’exciter au plus haut point. Je gigotais, essayant de lui en interdire l’accès. Voyant cela Julian ordonna. « A quatre pattes, cuisses écartées et mains derrière la nuque. Obéis » Je protestais, implorais. En vain et je pris la position à contrecœur. Il faut dire que c’était une des premières qu’il m’avait enseignée. Bien cambrée, j’offrais mes fesses pour être punie. Il aimait me fouetter ainsi. Mais ce soir en la prenant, j’avais conscience de franchir un pas de plus dans ma soumission. Non seulement j’allais être livrée à un inconnu, mais de plus sodomisée. Approchant sa verge, Chu força mes reins et s’enfonça en moi sans aucune préparation.  Sa brutale pénétration me fit horriblement mal et je hurlais. Pourtant indifférent à mes plaintes il continua à s’introduire en moi. Son sexe était plus mince que celui de Julian. Mince consolation et je pleurais sous l’assaut. Il adopta un rythme rapide, veillant vicieusement à s’enfoncer au plus profond de moi. Je devinais qu’il voulait me posséder et m’asservir totalement, bestialement. Il était à sa manière beaucoup plus dur que Julian. Pas la moindre émotion ne transparaissait. Il me prenait comme on prend une femelle totalement soumise dans un coït brutal sans s’inquiéter de ses désirs, de sa souffrance. Emoustillé, mon Maître se glissa sous moi. Il m’obligea à m’allonger sur lui, et me pénétra. Leurs sexes remplirent mes deux orifices. Leurs mouvements se synchronisèrent et je criais à la fois de plaisir et de douleur. Et soudain je sentis monter un orgasme venu du plus profond de mon corps. Ils apprécièrent en connaisseurs l’arrivée de la déferlante de ma jouissance. Elle me laissa brisée et pantelante et ils ne tardèrent pas à jouir à leur tour. Satisfaits ils décidèrent d’arroser mon dépucelage au champagne. Après le départ de Chu ce soir là, Julian m’avoua qu’il était fier de moi, et en récompense il m’emmena pour la première fois dans son appartement situé à l’étage du dessus. C’est allongée dans son grand lit entre ses bras, que Julian me confia l’histoire de sa rencontre avec Chu. C’est la première fois qu’il se confiait à moi et sa confiance m’émut. « Ce jour là » commença-t-il d’une voix douce. «  j’avais rendez-vous avec monsieur Chu, un investisseur asiatique qui opère sur le marché du diamant.  C’est un monde très fermé où le Cartel, mot familier qui désigne la toute puissante CSO, contrôle près de 80% des approvisionnements en diamants de la planète. Monsieur Chu est un homme raffiné et d’une politesse exquise. Mais derrière ce masque se cache un redoutable homme d’affaires. Une grande estime doublée d’une réelle amitié c’est  tissé entre nous. »   « Et de quand date cette amitié ? » demandais-je curieuse. « C’était il y a de cela dix ans. Déjà dix ans. Tout jeune avocat je débutais ma carrière dans une grande banque de la City à Londres. Chargé de la partie juridique des opérations, mon travail consistait à finaliser des transactions à fort potentiel financier. Je voyageais beaucoup,  New-York, Paris, Hongkong…   J’avais fait la connaissance de monsieur Chu à Hongkong. A l’issue d’âpres négociations un excellent accord avait été conclu et Monsieur Chu pour me remercier m’avait invité à une soirée. En m’y rendant, je ne savais pas que toute ma vie allait être transformée. »   « Et la mienne ne crois-tu pas que tu l’as entièrement bouleversée ? » lui demandais-je en me serrant tout fort contre lui ? « Si bien-sûr, mais je suis à tes côtés » et il m’embrassa tendrement. Il poursuivit son récit.   « L’endroit où m’avait entraîné monsieur Chu ne payait pas de mine. Situé dans le quartier des entrepôts la façade ne possédait aucune enseigne. Une simple porte en fer surmontée d’une caméra avec sur le côté une sonnette. Monsieur Chu appuya 3 coups brefs et la porte s’ouvrit. Un costaud à la mine patibulaire nous accueillit. Il reconnut mon hôte et s’effaça poliment devant nous avec force de courbettes. Je suivis mon hôte dans un vestiaire où montrant l’exemple il m’invita à me déshabiller. Après  une rapide douche, deux jeunes ravissantes asiatiques entièrement nues nous invitèrent à nous allonger sur des tables de massage. Une très jolie eurasienne me prodigua un massage thaïlandais. Ces body-body ont fait fantasmer des milliers de touristes et la fortune des tours-opérator. Mais elle était exceptionnellement douée. Légère comme une plume, elle me frôlait de son corps souple aux formes troublantes. Mutine, câline, tantôt distraite et boudeuse, tantôt passionnée. Une femme enfant qui éveillait les sens et s’en émerveillait. Mon érection n’avait pas l’air de l’émouvoir le moins du monde, et elle en joua avec une diabolique habileté. Son corps semblait n’exister que pour se fondre dans le mien. Mais elle n’en fit rien. Elle  s’offrait et se dérobait prenant garde à ne pas se laisser saisir. Puis elle appliqua délicatement sur mon gland turgescent et mes bourses une pommade aphrodisiaque. L’effet fut prodigieux. Une chaleur envahit mon bas-ventre et mon sexe se durcit à un point incroyable qui me fit presque défaillir de désirs. Elle me regarda d’un air satisfait dévoilant ses petites dents nacrées. » « Tu en parles comme ci ce souvenir datait d’hier » l’interrompais-je un peu jalouse. « Ce sont des moments qui sont gravés dans ma mémoire…Ecoute la suite »   « Je compris alors que nous n’étions pas là pour une simple  partie de jambes en l’air. Ces préludes cachaient en fait le véritable objet de notre visite. Après nous avoir délicatement séchés, elles nous vêtirent de peignoirs en soie, et monsieur Chu m’entraîna dans une salle immense. Au centre, un podium identique à celui des défilés de mode, quoique moins haut, traversait la salle de part en part. De part et d’autres de confortables fauteuils en cuir des années 1930 étaient occupés exclusivement par des hommes. Ils portaient pour tout vêtement des peignoirs semblables aux nôtres. Des hommes d’âge mur issus des classes aisées. J’étais le seul blanc et le plus jeune participant. Je m’installais dans un fauteuil aux côtés de mon hôte et une charmante hôtesse très peu vêtue nous apporta une collation. L’ambiance commençait à s’échauffer. Un homme arriva sur  scène et prit la parole. Le public manifesta et applaudit à la présentation de la soirée. Je n’en compris pas un traître mot et Chu ne prit pas la peine de traduire se contentant de trinquer avec moi. Je pensais qu’il devait s’agir de paris clandestins et je m’attendais à assister à des combats de boxe.   Ce qui advint ensuite me laissa sans voix, proprement estomaqué. Les projecteurs inondèrent un coin de la salle et deux hommes de petite taille habillés en jockey, portant casaque et cravache à la main  firent leur apparition juchés sur deux montures. Tirant légèrement sur les rennes ils progressèrent lentement sur le podium. L’insolite de la situation tenait aux montures elles-mêmes. Il s’agissait de deux pony-girls. Chacune portant une petite selle étroitement sanglée sur son dos et harnachée comme un véritable cheval de course. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval, un mors dans la bouche relié à un harnais lui enserrait la tête. Des œillères complétaient le tableau et l’empêchait de regarder de côté.  Mais de temps en temps elles se jetaient un regard en biais plein d’animosité. Pour l’heure, elles trottaient à quatre pattes dans un mouvement harmonieux et synchronisé effectuant un tour d’honneur. La croupe bien saillante et les seins se balançant au rythme des pas. Elles étaient entièrement nues et épilées, le corps luisant telles deux pouliches prêtes à courir. De vraies bêtes de course. Lentement les jockeys les placèrent sur la ligne de départ. Au signal du starter elles s’élancèrent sur une distance que j’évaluais à 50 mètres. Les jockeys les cravachaient et elles galopaient, soutenues par le public. La fille au dossard rouge prit la tête. La casaque verte ne réussit pas à remonter son handicap malgré les encouragements énergiques de son jockey. Elles finirent en trombe luttant jusqu’à l’arrivée. La gagnante revint au centre sous les acclamations des spectateurs. »   « Mais c’est incroyable » m’exclamais-je. Il ignora mon interruption et poursuivit plongé dans ses souvenirs.   « Le présentateur réapparut et d’étranges échanges de signes eurent lieu entre lui et le public. Des applaudissements crépitèrent. Monsieur Chu se tourna vers moi et m’expliqua que la gagnante venait d’être vendue aux enchères pour la nuit. On lui ôta sa selle et toujours à quatre pattes, elle fut en effet emmenée par la bride, auprès d’un monsieur ventru qui affichait un grand sourire. Quant à la perdante, elle reçut une véritable fouaillée administrée par son jockey à l’aide de sa cravache. Puis elle sortit de la salle en larmes sous les cris de la foule. »   « Vendue » je frissonnais involontairement « Tu serais capable de me faire cela ? » lui demandais-je d’une voix apeurée. « Bien sûr, mais au poids tu ne me rapporteras pas grand-chose. » répondit-il sur le ton de l’humour. Il se resservit à boire avant de poursuivre.   « Monsieur Chu continua à m’expliquer. Nous allions assister à plusieurs courses. Toutes les  gagnantes seraient vendues et les  perdantes mises à disposition des spectateurs dans une salle appelée salle des supplices. Je me dis que le sort de la perdante ne devait pas être agréable. Livrée aux joueurs qui  pourront en quelque sorte se rattraper en nature. »   « Mais c’est cruel » dis-je révoltée. « C’est la règle du jeu. Il y a besoin de règles. Même toi tu les acceptes. Quoique parfois… » et il sourit. « Tu veux écouter la suite ? » « Oui, mais cela semble t’exciter de me raconter » Son sexe était à nouveau dur et je saisis son membre entre mes doigts.   « La deuxième course tenait du trot attelé. Chaque femelle debout tirait une espèce de buggie dans lequel un jockey avait pris place. La course fut très disputée et les deux juments ne se départagèrent  que d’une courte encolure. La vente eut à nouveau lieu et c’est mon voisin de droite qui remporta les enchères. La gagnante dételée lui fut amenée. Je ne pus m’empêcher de la regarder de près. Visiblement la course l’avait éprouvée.  Elle avait un visage très jeune. Le mors l’obligeait à tenir la bouche entrouverte, un peu de salive perlait entre ses dents et coulait le long de son menton. Ses deux jeunes seins montaient et descendaient au rythme de sa respiration. Sa peau fine et luisante brillait dans la pénombre. Des zébrures marquaient sa croupe et coloraient sa peau. Arrivée devant l’homme, le jockey remit la longe à son Maître d’un soir. Elle s’agenouilla à ses pieds les baisant en signe de respect et de soumission. La perdante pendant ce temps reçut sa punition et les coups de cravache lui arrachèrent d’émouvants gémissements. Je n’étais pas insensible à ce spectacle et ma verge me faisait mal tellement je bandais.   « Et là tu sens quelque chose ? » lui demandais-je en enserrant son gland. Il rit tout en se dégageant.   . Les courses se succédaient et bientôt je fus entouré d’hommes ayant à leurs pieds de jeunes pouliches soumises et dévouées. Chu participa à la vente aux enchères. Il m’offrit une somptueuse créature toute de cuir harnachée. Sa beauté me donna une irrésistible envie de la posséder sauvagement. Accroupie à mes pieds elle attendait un ordre de ma part. Je la saisis par ses cheveux noués en  queue de cheval et lui donnais ma verge à sucer. Je fermais les yeux de bonheur sous la précision de la caresse. »   « Cela ne m’étonne pas. » répondis-je. Il ne releva pas se contentant de caresser mes seins. Mes pointes frémissaient sous sa main et je ne bougeais pas, étendue lascivement à ses côtés Cette soirée m’apparut dans toute son irréalité. Ma métamorphose semblait correspondre à une inéluctable prise de conscience. Perdue dans mes pensées, des sentiments contradictoires occupaient mon esprit. Pouvait-on donner son corps à un inconnu par amour pour son Maître ? Et lui se pouvait-il qu’il m’aime et désire m’offrir à un autre ? Ou n’étais je qu’un objet entre ses mains ? Il me regarda et pendant un instant je sus qu’il devinait le combat qui se livrait en moi. Il faillit prononcer les mots que secrètement j’espérais mais il se ravisa et poursuivit son récit.   « Soudain monsieur Chu me toucha l’épaule et m’indiqua le podium. Levant les yeux je sursautais. Pour la première fois de la soirée une européenne allait affronter une asiatique. Elle était attelée à un buggie. Cette dernière course de la soirée promettait d’être passionnante. Les paris connurent un rebond de frénésie. Plus grande d’une tête que sa concurrente, elle avait de longs cheveux blonds, un corps musclé et de longues jambes. Ses seins généreux attiraient tous les regards, deux clochettes y étaient suspendues et tintaient à chaque pas. Le jockey armé d’un long fouet souple lui taquinait les fesses et elle sursautait à chaque caresse. Nerveuse, elle prit place sur la ligne de départ. Chu se pencha vers moi et me demanda si je voulais parier. J’acceptais avec joie et pariais 200 dollars sur sa victoire. Elle était cotée à 10 contre 1 ! »   « Et bien sûr tu as perdu ! » « Arrête de m’interrompre » tu es trop impatiente.   « Au signal elle bondit tétanisée par le coup de fouet qui atteignit le bas de ses reins. Elle prit la tête pendant les vingt premiers mètres, mais irrésistiblement son adversaire regagnait le terrain perdu. Son jockey l’encourageait de coups bien ajustés mais rien n’y fit. Elle fut coiffée sur le poteau par sa concurrente. Conscient des enjeux suscités, son driver la punit sévèrement. Elle cria et gémit bien plus fort que ses consœurs, suppliant son tortionnaire de l’épargner. Mais il n’en fit rien et elle dut subir sa punition jusqu‘au bout. Une dernière volée de coups de fouet la laissa effondrée sur le sol et elle fut rapidement traînée en direction de la salle des supplices. Chu me murmura à l’oreille que j’allais pouvoir lui faire payer chèrement sa défaite et cette proposition m’excita bien plus que je ne l’aurais imaginé. »   « Vois-tu, ce spectacle avait quelque chose de fascinant tout en étant profondément amoral.     La nuit que je passais fut peuplée de plaisirs indescriptibles. La docilité de celle qui était devenue ma petite esclave attitrée m’enchanta. La découverte de la salle des supplices où était pratiqué l’art du shibari enseigné par des maîtres de cérémonies m’émerveilla. Je restais admiratif devant le raffinement des tourments infligés et la mise en scène toute imprégnée de l’esprit japonais. J’étais conquis, subjugué par ce culte de la beauté et par ces rites secrets.  Et bien sûr, je m’initiais à ces pratiques découvrant le plaisir de tourmenter ces jeunes corps consentants.»   Il s’arrêta de parler et sembla émerger d’un rêve. Je lui caressais doucement son sexe dressé. « Et depuis tu ne peux plus t’en passer. Tu aimes me voir souffrir, n’est-ce-pas ? » dis-je dans un souffle. « Oui, mais tu ne fais pas que de souffrir dans mes bras, petite hypocrite » et il m’enlaça tendrement. Nous refîmes l’amour jusqu’au petit matin.   Suite à cette nuit nos relations prirent un tour nouveau. Une complicité nous unissait dans une même recherche. Il m’avait dévoilé une partie de son passé et m’avait jugée digne de confiance. Un trimestre idyllique venait de s’écouler ainsi. Contrairement à Valérie qui devait subir à son corps défendant, les attouchements de son patron et le satisfaire d’une manière conventionnelle, Julian avait instauré des règles d’obéissance basées sur l’imagination et la perversité. Ainsi pour ma tenue au bureau j’avais l’obligation de la choisir afin que je sois toujours accessible et offerte. Je n’avais bien entendu pas l’autorisation de croiser les jambes et sa main devait à tout moment pouvoir se glisser en moi. Il aimait m’exciter dès le matin et me maintenir dans cet état tout au long de la journée. Il variait les plaisirs à l’infini. Parfois il m’accrochait une pince à mes lèvres avec un poids afin disait-il de les allonger, ou parfois me glissait un god dans l’un ou l’autre de mes orifices afin que je me souvienne à tout instant de ma condition de soumise. Je ne savais pas à cette époque que cette domination physique et cérébrale était basée sur des rapports sadomasochistes. Il avait subtilement développé ma tendance naturelle à l’obéissance et j’étais continuellement humide. Les sens exacerbés j’étais prête à le satisfaire pour des demandes toujours plus insolites. Mon impudeur n’avait d’égale que son imagination perverse. Je me souviens qu’un des ordres auxquels j’avais le plus grand mal à obéir consistait à peine il effleurait mon clitoris, à tirer ma langue. Cela devait devenir un réflexe, une seconde nature. Devant mon manque d’empressement, il avait pris l’habitude de me punir en accrochant une pince lestée d’un poids à ma petite langue rose et j’étais particulièrement honteuse de voir couler ma salive en même temps que s’humidifiait mon petit bouton. Cette soumission quotidienne était facilitée par le fait que je vivais pratiquement chez lui, ne rejoignant mon appartement qu’épisodiquement. Parfois il m’attachait dans son lit, étroitement entravée et engodée et me laissait seule dans l’incapacité de bouger pour la nuit, sortant rejoindre des amis. Cela paraît complètement surréaliste mais son attitude était empreinte de respect et je me sentais désirée et aimée.
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Par : le 25/03/24
Nathalie la douce ingénue : suite chapitre 6 : Réminiscences   Je ne sais pas si vous croyez au destin, aux vies antérieures et à toutes ces histoires de réminiscences qui font la couverture des magazines. Moi pas. Pourtant, je ne pouvais m’empêcher de me poser des questions. Adolescente, je faisais souvent un rêve étrange. Un rêve de  princesse. Mais toutes les histoires qui parlent de princesses ne sont pas toujours des contes de fées.     Il était une fois une princesse trop blême, aux longs cheveux soyeux qui du haut d’une tour, guettait le retour de son seigneur et maître, partit guerroyer. Le château, imposante citadelle juchée au sommet d’un pic vertigineux, dominait toute la plaine, et le chemin escarpé qui y menait n’était guère emprunté par les voyageurs.   La princesse Ysabel n’avait que peu de distractions. Un de ces plus grands plaisirs consistait à monter Coly, un magnifique destrier à la robe grise. Elle aimait le chevaucher des heures durant dans la forêt entourant le domaine. Elle en connaissait tous les secrets. Les sentiers dissimulés qu’empruntaient, dit la légende, les esprits de la forêts. Elfes mutins et fées espiègles, se rendent certains soirs dans une clairière et y dansent des rondes folles au son du violon et de la harpe. Gare au malheureux voyageur qui écoute leurs chants. Ces mélodies aux pouvoirs ensorceleurs et à la beauté romantique exercent, un charme fatal sur les oreilles humaines.   Ysabel aimait aussi, au terme d’une promenade, se rafraîchir au bord d’une cascade et se reposer à l’ombre d’un buisson d’aubépines. Mais par superstition ou par prudence, jamais au grand jamais, elle ne serait restée dans les bois une fois la nuit tombée. C’est pourquoi Ardabert, le fidèle capitaine des gardes, scrutait avec anxiété par cette chaude fin d’après-midi du mois de juillet, le ciel chargé de nuages sombres. L’orage n’allait pas tarder à éclater et toute la montagne semblait se préparer à la fureur des éléments. Ysabel au cours de sa promenade avait suivi le cours d’un torrent qui serpentait au creux d’un frais vallon. Son cheval avançait d’un pas vif et assuré. Ysabel lui avait lâché la bride afin de lui permettre de choisir son chemin dans les passages caillouteux. Elle voulait rejoindre un petit lac situé plus haut dans la montagne. Les jours de grande chaleur elle avait coutume de s’y rafraîchir. Des genêts dorés se dressaient par endroits devant les flancs de Coly, et caressaient au passage les mollets de la princesse.   Le murmure de l’eau, les chants d’oiseau étaient les seuls bruits perceptibles. Ces moments de quiétude remplissaient le cœur de la princesse de bonheur. Des sapins centenaires ombrageaient le sentier et, leur odeur mélangé à la sueur du cheval et à son propre parfum, lui montaient doucement à la tête. Elle se promit de se rappeler ces senteurs lorsque l’hiver venu, elle sera cloîtrée au château, auprès d’un grand feu de bois crépitant dans l’immense cheminée. Imperceptiblement elle frissonna. Que les hivers étaient longs et pénibles dans cette forteresse glaciale. Qu’il serait doux de passer cette saison dans la vallée au climat clément. Mais son mari Ygor, seigneur et maître du comté ne voulait en aucun cas quitter son fief situé sur ce pic d’aigle imprenable. Ygor, comme son souvenir lui paraissait lointain. Mariée à 16 ans, elle avait dû renoncer à la douceur d’un palais vénitien où les fêtes se succédaient, et à un père attentionné qui lui passait le moindre de ses caprices. Otage d’une union forcée, elle s’était retrouvée toute tremblante dans les bras d’Ygor. Fier guerrier, bon chasseur, mais si peu au fait des rêves d’une princesse de sang royal. Aujourd’hui âgée de 20 printemps, elle ne s’estimait pas malheureuse. Ygor était un bel homme, grand, bien bâti. Malgré sa nature frustre et sauvage, il n’en était pas moins un bon mari. Ses étreintes passionnées, si elles n’avaient pas encore réussies à lui donner à ce jour ce fils tant désiré, lui avaient pourtant révélé un monde de plaisirs insoupçonnés. A cette pensée, elle sentit une douce chaleur envahir le creux de ses reins. Elle profita adroitement des mouvements du cheval pour prolonger ce moment. L’ascension touchait à sa fin. Au détour du sentier, elle aperçut le lac aux couleurs d’émeraude, qui resplendissait dans son écran de verdure. Impatient, le cheval pressa l’allure désireux de se désaltérer. La vue sur la vallée était d’une beauté saisissante. Quelques rares bergers habitaient l’été la montagne, et les troupeaux de moutons s’égrenaient sur les versants abrupts. Des clochettes, accrochées au cou des bêtes annonçaient de loin leur présence. Le berger n’étant jamais très éloigné, Ysabel aimait aller saluer ces hommes, rudes mais honnêtes, qui la traitaient avec tout le respect dû à son rang. Mais nul bruit de clochettes ne tintait dans le lointain. Elle était seule.   Arrivée au bord du lac, elle sauta avec agilité au bas de sa monture.  Après s’être déchaussée, elle courut dans l’eau, éclaboussant sa robe et poussant de petits cris de joie. Prise d’un désir soudain, elle se dévêtit et se jeta à l’eau, nue. Elle nagea dans l’eau fraîche. Toute à son bonheur, elle ne s’était pas aperçue que tapis derrière un rocher, deux hommes épiaient le moindre de ses gestes. A pas de loup, les inconnus s’approchèrent de l’endroit où Ysabel avait déposé ses vêtements. Cachés par les joncs, ils la guettèrent à sa sortie de l’eau et à l’instant où ruisselante, elle voulut attraper sa robe, ils la coiffèrent d’un sac de toile et la ceinturèrent. Elle hurla, mais le sac fut resserré et les cris s’étouffèrent dans sa gorge. Rapidement, elle fut entraînée par ses ravisseurs derrière un des rochers bordant le lac. « Allons ma belle cesse de gigoter où je t’embroche avec mon épée. » La voix lui parvenait assourdie. Une autre voix s’éleva. « Par tous les diables, la pêche a été fameuse quelle jolie prise dans nos filets »   « Je vous en supplie laissez moi partir » la voix d’Ysabel était faible.   « Cesse donc de geindre comme une pucelle effarouchée, on va te sortir de ta nasse. Mais n’essaie pas de nous jouer un mauvais tour sinon… »   Et dénouant le sac d’un coup sec, ils la libérèrent du noir dans lequel elle se trouvait plongée. La clarté du soleil lui faisait cligner les paupières, et elle mit quelques instants avant de pouvoir les distinguer.   Elle détailla ses ravisseurs. Leurs visages étaient menaçants. Tous les deux mal rasés, à la chevelure hirsute. L’un était grand et anguleux, l’autre trapu. Vêtus d’habits de toile grossiers, de hauts de côtes dépareillés, et de bottes de cuir usés. Ils n’avaient pas dû changer de vêtements depuis longtemps. De courtes épées pendaient le long de leurs cuisses musclées. Celui qui paraissait être le chef tenait un fouet à la main. Certainement des soldats déserteurs devenus brigands ou mercenaires pensa Ysabel.     Soudain elle réalisa qu’elle était nue, s’offrant à leur regard. Pudiquement, elle cacha ses seins et son sexe. « Messires laissez moi me vêtir. Une gente dame ne peut être surprise ainsi. » dit-elle d’une voix mal assurée.   « Certainement pas coquine, si tu ne veux pas goûter de la lanière de mon fouet tu vas ôter tes mains de là. » La voix était menaçante.   « Messires je vous en conjure, épargnez moi cette honte. Mon seigneur vous comblera de présents. Je l’assurerai que vous m’avez sauvé d’un grand péril. Mais il vous tuera, si vous attentez à mon honneur. »   La réponse fut cinglante. « Drôle de princesse que voilà. Je ne vois qu’une femelle lubrique qui a le feu au croupion. Tu as dû te plonger dans ce lac pour refroidir tes ardeurs. »   A ces paroles, le deuxième homme se mit à rire bruyamment.   « Je sais que j’ai mal agis en me baignant nue mais.. »   « Assez parlé. Allons, dépêche-toi catin où je te fouette… »   Dans un sifflement strident le fouet s’éleva dans les airs et cingla les chevilles de la princesse.   « Non pitié, je suis à votre merci. N’avez-vous aucun sens de la chevalerie ? »   « Assez, obéis où tu vas goûter de mon fouet » Et un nouveau coup ponctua ses paroles.   Ysabel sentit les larmes monter à ses yeux, et d’une voix entrecoupée de sanglots elle reprit. « D’accord, d’accord messires, j’ôte mes mains. » et joignant le geste à la parole, elle dévoila son corps à ses deux bourreaux.   Elle est d’une grande beauté, sa peau a la pâleur du lait. Ses seins fermes aux formes harmonieuses sont un véritable appel à l’amour.   « Voilà qui est mieux  ma belle, tu vas obéir à présent » « Que dois-je faire ? » « Ce n’est pas à toi de poser des questions, dévergondée, contente-toi d’obéir et sans traîner. » Et dans un geste menaçant il releva son fouet.   « Non arrêtez. J’obéis »  cria Ysabel.   « Voyons si tu as compris, catin, approche toi de mon compagnon et quoiqu’il te fasse, ne bouge pas »   Ysabel fit prudemment quelques pas vers l’homme qui la détaillait l’œil salace. Tremblante, elle s’arrêta à distance respectable de l’inconnu et baissa les yeux. Pudiquement, elle serrait ses cuisses, sa toison blonde dissimulait maladroitement ses trésors. Ses longs cheveux blonds recouvraient en partie sa poitrine. D’une main malhabile, le brigand entreprit de palper son corps d’albâtre. Avidement, il s’empara de ses seins, magnifiques présents aux douces courbures et à la douceur satinée. Il les malaxa sans délicatesse, arrachant une grimace de douleur à Ysabel. Sursautant sous ce contact brutal, tout son corps s’est raidi. Toutefois prudente elle ne fit aucun geste pour échapper à ces attouchements. Subrepticement, le deuxième homme se glissa derrière elle, et saisissant sa chevelure, il tira d’un coup sec. Sa tête se renversa en arrière et son corps se ploya vers lui. De surprise, un cri s’échappa de sa bouche, et le traître en profita pour y glisser sa langue, fouillant sa bouche. Il rit de l’avoir ainsi forcée et desserra un peu son étreinte. « Te voilà moins fière. Ton seigneur ne devrait pas te laisser sortir sans ceinture de chasteté. » La cambrure d’Ysabel donna des idées à l’autre compère. D’un geste sûr, sa main se glissa entre les cuisses de la belle, là ou la peau si douce mène au délicieux sillon. Forçant le passage, ses doigts rugueux entreprirent de se frayer un chemin vers sa fente. « Non, Non pitié » réussit-elle à articuler, tout en déglutissant avec peine. Mais l’infâme renégat accentua sa pression, et Ysabel ne put résister. Sans ménagement les doigts fureteurs franchirent le doux rempart de son intimité pour s’enfouir en elle. Arrivée à ce moment de l’histoire, invariablement je me réveillais en sursaut. Bizarrement j’étais excitée, terriblement excitée. Je ne savais pas qu’un jour, je vivrais une aventure ressemblant étrangement à celle de la princesse.
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Par : le 25/03/24
Il est 15 heures, je suis dans ma chambre, sur le canapé etje regarde une série à la télévision en me caressant machinalement la bite, comme si j'allais ressentir quelques chose. Mais forcément rien ne se passe. Alors je vais chercher un plug de 8 cm et je commence à m'amuser quand ma maitresse entre dans ma chambre. -"Petite salope, tu te donnes en solitaire du plaisir en solitaire, viens donc me lecher la chatte" Elle baisse son leggins, m'ordonne de retirer mon haut et mon soutien-gorge; se plante devant moi et je me mets à lui donner du plaisir avec ma langue pendant qu'elle me pince les tétons. Sa chatte n'est pas très propre mais je n'ai pas le choix. Elle jouit vite ma maîtresse. Ensuite elle me menotte mes mains derrière le dos et me met des pinces à seins. Elle s'en va et revient avec du gel alcoolisé pour les mains. -"Vu que tu veux jouer, je vais t'aider" me dit-elle en mettant le gel sur mon plug. Elle me retourne et me l'enfonce avec force dans mon cul. Je crie sous la douleur provoquée par la brulure. J'en ai les larmes aux yeux. Elle me le retire et me disant qu'il ne faut pas que ma chatte soit trop détendue car ce soir le maitre vient avec deux messieux.  Donc je vais être utilisée, je dois avouer que j'aime, sauf quand ça devient trop douloureux.  Mon maître arrive à l'heure de l'apéro avec deux mecs qui ont la quarantaine. L'un est baraqué, l'autre plutôt fin. Entre temps ma maîtresse m'a aidé à me préparer (je vous rappelle que je suis en fauteuil roulant ou avec mes attelles et cannes). Elle m'a fait un lavement  et je porte un deux pièces avec brassière de sport. Le short moule bien mon entre-jambe sans boules. Je poste mes attelles et je les accueille debout. On s'installe sur les canapés pour prendre l'apéro. Je dois m'asseoir entre les deux mecs. Ils ne perdent pas de temps à me caresser les seins et l'entre jambe. J'ai de la peine à parler car je ne porte pas mon dentier. -"Mais c'est vrai qu'elle n'a pas de couille" dis le plus costaud. Mon maître ouvre une bouteille de champagne, On trinque avant que je me fasse tringler...  Les deux mecs commencent à m'ausculter. Ils me retirent mes attelles, mes habits sous l'œil amusé de mes maitres.Le fin essaye de me branler et il réalise que je ne ressent rien, nouveau éclat de rires. Tout le monde se dévêt, le premier, le me fourre sa bite dans la bouche et le costaud m'encule, je sens son gros zob dans mes reins pendant que je me fais baiser par la bouche. Une fois qu'ils ont joui ils échangent leur place et ça recommence de plus belle. Pendant ce temps mes maitres font aussi l'amour. C'est terminé, ma maitresse me change mon collier contre un plus  large, me met mon masque de cuir avec bâillon. Je sais que je vais déguster. Mon mettre maitre commence à me fister, il m'écarte avce des deux main et ma maitresse m'enfonce la bouteille de champagne par le goulot dans le cul. Elle me ramone, la retire et bien recouverte  de gel, elle me l'enfonce par la base. J'ai envie de gueuler, mais le bâillon m'en empêche,  une fois enfoncée, ils me laissent ainsi sur le canapé et je n'ai pas le droit de bouger . Ils vont manger. J'aimerais que cette bouteille me soit retirée, mais je dois subir mon sort. Enfin ils ont terminé. Le costaud me retire la bouteille et le maigre me sodomise dans ma chatte affreusement dilatée. Il demande du tabasco à ma maitresse qui lui en donne. Il met quelques gouttes dans mon cul et je gueule. Ma maîtresse me met une couche (protection Tena). Voilà je dois leur dire au revoir, ma maitresse me met dans mon fauteuil et me conduit dans ma chambre, m'attache à mon lit et me dit bonne nuit ma petite salope.    
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Par : le 21/03/24
Nathalie la douce ingénue : suite      chapitre 5   CHAPITRE 5   : L’ETUDE DE MAITRE JULIAN   Maître Julian m’accueillit avec un café bien chaud. Cette attention me plut. La journée  passa très rapidement et fort agréablement. Le travail était varié et intéressant. Au cours de la journée il se montra prévenant, attentif et il ne fit aucune allusion à ce qui s’était passé entre nous. Pour un peu j’aurais douté que tout ceci ne soit passé ailleurs que dans ma tête. Vint le soir et le cours d’anglais. J’étais tendue et mal à l’aise. Cette fois Maître Julian n’attendit même pas un prétexte pour me punir. Il exigea que je lui remette mon slip et que je soulève ma jupe. Tremblante j’obéis. Il put constater que j’étais épilée selon ses désirs. Satisfait, il me fit signe d’approcher. Je me raidis sous la caresse de ses doigts et lui en voulut de sa précipitation. Il m’examina attentivement comme s’il découvrait mon sexe. Visiblement il appréciait  ma totale nudité et il s’amusa à pincer mes lèvres offertes. Puis il me fit asseoir jambes écartées, jupe relevée et commença le cours d’anglais jetant de fréquents coups d’œil à l’agréable spectacle de ma chatte imberbe. J’étais troublée et du coup moins attentive et il lui fut facile de me prendre en défaut. Consciencieusement, il comptait les fautes que je commettais. Arrivé à dix il se leva chercha un objet le garda caché dans la paume de sa main et se dirigea vers moi. « Debout» J’obéis promptement, comme si j’attendais cet ordre depuis le matin. « Déshabille-toi » Je commençais par ôter mon chemisier et mon soutien-gorge et mes deux seins apparurent. D’un mouvement de la main il les effleura, les titillant légèrement pour en faire saillir les pointes. Puis j’ôtais ma jupe et il m’intima l’ordre d’écarter les jambes. J’étais offerte et pourtant pudique. Belle et désirable devant mon tourmenteur. Je lui offris ma bouche. Tout en m’embrassant tendrement il saisit la pointe de mon sein et d’un mouvement rapide il y accrocha une pince. Je criais de surprise. Une légère douleur irradiait mon téton. Je tendis la main vers ma poitrine mais il me ramena les coudes derrière le dos. Et le cours reprit. A ma vingtième faute je fus à nouveau récompensée à sa manière ! D’une pince à l’autre sein. Puis aux fautes suivantes il m’accrocha une pince à chaque lèvre de mon sexe. Le poids les étira de manière impudique. Petit à petit la simple sensation de gêne provenant des pincements à ces endroits si sensibles faisait place à de la souffrance.  Je protestais faiblement, n’osant pas ouvertement lui demander de les ôter. Compatissant, il m’embrassa et me caressa, mais il les laissa en place. Cette douleur irradiait tout mon corps en même temps qu’une une douce chaleur m’envahissait et rendait cette épreuve supportable dans l’attente de la délivrance. Il prit la parole d’une voix douce mais ferme. « A quatre pattes » Je pris la position et les pinces étiraient tétons et lèvres vers le bas en remuant au moindre de mes gestes. « Jambes et mains bien écartées » J’obéis aussitôt « Fesses en l’air » Je me cambrais dans cette position dévoilant mon intimité. Mes fesses tendues, les deux globes bien dessinés ne semblaient attendre qu’une caresse pour s’animer. Je me sentais vulnérable, comme une petite fille qui va être punie pour des bêtises. A cette pensée un frisson involontaire parcourut mes reins. « Bouche entrouverte, tu seras obéissante n’est ce pas ? » « Oh oui Monsieur » répondis-je d’une voix faible. « Ferme les yeux »   Maître Julian n’avait pas haussé le ton, mais les intonations avaient changé. La menace à peine voilée me fit abaisser les paupières et retenir ma respiration. Troublée je ne bougeais plus dans l’attente. Je perçus la présence d’un objet quelques instants avant qu’il ne s’attarde sur les courbes de mon corps. Une cravache qui descendit lentement, pour se poser sur mes mamelons. Elle les agita rapidement à tour de tôle et fit bouger les pinces. Je serrais les dents. Puis continuant son exploration elle s’insinua dans la raie des fesses, s’attarda sur mon sexe humide, et le quitta comme à regret. Sa main me mit un bandeau sur les yeux, et il fixa une chaînette reliant les pinces accrochées à mes seins. Une courte laisse y était accrochée et je me sentis tirée en avant. Docilement je me mis en marche pour une promenade peu ordinaire. J’avais l’impression de marcher depuis des heures. Mes genoux et mes coudes étaient douloureux. Il prenait un malin plaisir à accélérer et à ralentir le pas, en tirant sur la laisse. Mes seins étaient devenus hypersensibles. J’appris à devancer ses ordres, mes sens aux aguets. Tout mon corps prêt à bondir et à se plier aux positions les plus insolites qu’il m’enseigna. Apparemment satisfait de ma bonne volonté, je le sentis se placer derrière moi et il me prit dans cette position. Il me fît  l’amour tout en tirant sur la chaînette pour tendre mes seins. Aussi étrange que cela puisse paraître je jouis, une jouissance animale. Lorsqu’il retira les pinces, le sang refluant vers les extrémités provoqua une douleur violente et insupportable. Je hurlais. Il me prit dans ses bras dans un geste protecteur, me consola, et me félicita d’avoir supporté cette épreuve.   Le lendemain était le premier jour où je retrouvais mes camarades de classe. Cela me parut presque irréel de reprendre normalement les cours et de rire avec Valérie. Elle remarqua immédiatement certains changements en moi. Déjà ma tenue. Celle-ci était plus soignée, merci Mademoiselle, mais aussi dans mon attitude. J’avais mûri. Elle ne cessait de me questionner mais je ne voulus rien lui dévoiler. Elle gardait son insouciance et je me dis qu’elle avait finalement bien de la chance. Huit jours passèrent ainsi. Mon éducation continuait à son rythme et je commençais doucement à l’apprécier. C’est alors que tout bascula. Ce soir là j’étais tranquillement chez moi, une soirée cocooning. J’étais devenue casanière, sortant et recevant peu. J’avais largué mon petit ami le trouvant fade et de plus il devenait terriblement jaloux, s’apercevant de ma transformation et devinant les bouleversements de ma vie. Je regardais la télé lorsqu’un coup de sonnette me fit sursauter. Je me levais à contre cœur, bien décidée à chasser l’intrus qui osait me déranger en ce début de soirée. C'était Valérie qui se tenait devant ma porte. Elle avait l’air effondrée et je n’eus pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle se jeta dans mes bras en pleurant. Je la fis entrer et elle me raconta tout.   Son employeur, possédait plusieurs commerces florissants. Il n’était que rarement présent et avait tendance à la laisser agir à sa guise. Cette situation n’était pas pour lui déplaire et elle travaillait sans trop se fatiguer. Son boulot consistait essentiellement à de la vérification comptable. Etablir les bons de commande, éditer les factures, rien de très passionnant...   Et aujourd’hui elle avait commis une grave erreur dans la facturation et sa faute allait avoir des conséquences financières. Son patron l’avait convoqué à la fin de la journée et voulait la renvoyer séance tenante. Il téléphona devant elle à Mademoiselle Pinbal pour l’informer de sa décision. A sa grande surprise, celle-ci lui demanda de ne rien entreprendre avant sa venue et de l’attendre. Effectivement quelques minutes après elle arriva, déboulant comme une tornade dans le bureau. D’un rapide coup d’œil elle jugea la situation : Valérie pleurait à chaudes larmes et son employeur tournait en rond furieux. Prudemment, elle fit sortir Valérie pour s’entretenir en tête-à-tête avec le directeur et après des minutes qui parurent interminables, Valérie fut invitée à les rejoindre dans le bureau. La situation était toujours tendue. Mademoiselle la gronda d’une voix forte. « C’est grave Valérie, par votre faute  vous avez fait perdre de l’argent à la société, beaucoup d’argent» Valérie pleurnicha de plus belle. « Je comprends tout à fait la réaction de Monsieur Ernest. Vous méritez d’être renvoyée. Toutefois par égard aux bonnes relations que nous entretenons depuis de longues années il veut bien passer l’éponge » « C’est vrai ? » s’exclama Valérie pleine d’espoir.   « Oui mais tu comprendras que tu dois payer pour ta faute. Pour que cela te serve de leçon » reprit Mademoiselle d’une voix posée.   « Je ferais très attention. Cela ne se reproduira plus » dit Valérie.   « Je l’espère bien mais en attendant, tu vas quand même être punie. Ici même et tout de suite. Es-tu d’accord ? »   « Oui mais.. »   « C’est oui ou non. Décide-toi. Vite » Et Valérie prononça un timide oui.   Je devinais la suite des événements, cela ressemblait si étrangement à mon histoire. Effectivement Mademoiselle lui ordonna de se lever et de se pencher en avant. Elle obéit, non sans essayer une dernière fois de parlementer. Mais les arguments de Mademoiselle étaient imparables. Que représentait une petite fessée face à un renvoi ? Etait-elle trop orgueilleuse pour obéir ? Elle se résigna et se pencha en avant saisit les montants du fauteuil dans lequel Monsieur Ernest avait pris place. Elle  n’eut pas le temps de réaliser que déjà Mademoiselle l’avait déculottée et elle reçut une longue fessée de ses mains. Bien entendu, Monsieur Ernest ne resta pas inactif. D’un geste vif il l’attrapa par les cheveux et ouvrant sa braguette il lui glissa son sexe dressé dans sa bouche. Valérie tenta bien de se dérober mais rien n’y fit. Monsieur Ernest la fit le sucer au rythme de la fessée que lui administrait Mademoiselle. Il jouit rapidement et elle dut avaler sa semence jusqu’à la dernière goutte. Elle s’enfuit honteuse du bureau. Tout d’abord elle ne sut pas quelle attitude adopter. Révoltée, elle voulut immédiatement dénoncer son employeur à la police, mais son erreur de facturation et les conséquences financières lui revinrent en mémoire et calmèrent ses velléités de vengeance. Prise d’une inspiration soudaine, elle courut chez moi pour me demander mon avis. Bien évidemment j’étais très mal placée pour la conseiller. Que pouvais-je lui dire moi qui vivait une situation analogue ? Je lui devais la vérité. Je séchais ses larmes et je lui racontais mon histoire. Elle m’écouta incrédule. Ce fut une drôle de soirée. Nous étions tour à tour indignées, furieuses, résignées. Des sentiments contradictoires occupaient notre esprit. Pour ma part je dus bien l’avouer, je trouvais des avantages à ma situation. Mon patron était séduisant, prévenant et généreux. Et je n’étais pas loin de là insensible à son charme. Elle même ne savait trop que penser et partant du principe que la nuit porte conseil, nous décidâmes de nous mettre au dodo. Au moment du coucher, elle découvrit d’un air étonné mon sexe rasé. D’un doigt malhabile elle l’effleura et nous nous caressâmes, innocemment. Nous avions toutes les deux besoin de câlins et de douceurs et nous avions tant d’amour à donner. Lorsque nos jeunes corps furent rassasiés, nous nous endormîmes, épuisées dans les bras l’une de l’autre.   Le lendemain, dès notre arrivée à l’école, elle fut convoquée par Mademoiselle Pinbal et je ne la revis pas de la journée, mais je connaissais le déroulement de celle-ci. Je ne savais trop si je devais être triste ou contente de savoir que nous étions une fois de plus réunies et complices. Je regardais mes camarades d’un autre œil. J’avais bien remarqué que nous étions moins nombreuses. Combien parmi elles étaient tombées dans le même piège que Valérie et moi ? Je craignais de connaître la réponse. Naïvement, j’avais mis ces abandons sur le compte de la difficulté de trouver un employeur et sur les cours qui devenaient de plus en plus difficiles. Pourtant tout comme nous, les douze élèves restantes semblaient vouloir continuer. Notre façon de nous exprimer et nos tenues avaient évolué et nous ressemblions de plus en plus à des adultes. Nous avions découvert leur monde et perdu au passage  une grande partie de notre innocence.  
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Par : le 21/03/24
  Je retire ma main de son antre tout en lui frottant le clitoris qui était gonflé de désir et d’envie, puis elle prit son gode XXL et me le tendis.    Je compris qu'elle n'en avait pas assez et qu'elle en voulait plus, et je ne me fis pas prier pour lui donner du plaisir. Je lui enfonçai sans mal dans sa petite chatte et commençai des allers-retours. De l'autre main, je lui donnai des claques sur les fesses qui commencèrent à prendre une belle couleur.    Ensuite, je m'approchai d'elle et lui dis : "Je ne vais pas te prendre, j'ai juste envie de te voir jouir comme une folle." Je mis plus d'ardeur à l'intérieur de son sexe, et étonnamment, elle se mit à squirter, ce que j'adore et qui m'a excité encore plus. Lorsqu'elle me dit : "Je suis une petite fontaine," avec un sourire qui me satisfait en pensant au plaisir que je lui fais ressentir, j'ai été agréablement surpris.    Je suis très vicieux, alors je lui demandai de s'allonger sur le dos et entrepris de la faire ruisseler en mettant ma main sur son cou, qu'elle prit avec ses deux mains pour ressentir mon étranglement.    C'est à ce moment-là que je me suis dit que c'était elle avec qui je voulais m'amuser, car rien ne l'arrêtait, et ce côté masochiste me donnait du plaisir à faire ressortir mon sadisme, ce que j'ai rarement l'occasion de faire.   Ensuite, je la regardai jouir et gicler sur le lit et la moquette, c'était vraiment sublime et si excitant de voir un si joli visage d'ange se transformer en une si belle diablesse. Il ne faut pas se fier aux apparences. Nous nous arrêtâmes pour nous désaltérer, moi avec mon jus de fruit et elle avec son eau, et nous avons pris le temps de discuter de ce moment et d'autres.    Cependant, ce n'était pas la fin de notre rendez-vous, car nous avons continué la session encore plus intensément avec la cravache, le paddle, le martinet. Malgré mes paroles disant que je ne la prendrais pas sexuellement, elle entreprit de me défaire la ceinture, donc j'ai retiré mon pantalon et m'en suis servi sur ses fesses.    N'ayant pas fait de test hiv, et bien que je sache que je n'ai pas de maladie, pour sa sécurité, elle ne m'a pas sucé, mais elle a entrepris de me masturber avec désir en me regardant droit dans les yeux.    J'ai joui sur sa poitrine, quel plaisir de la voir souillée de mon sperme, qu'elle a pris en photo en me demandant l'autorisation, ce que je lui ai donné en cadeau pour le plaisir qu'elle m'a offert.   Nous avons passé deux heures ensemble à rire, à jouir et à prendre plaisir à chaque instant. Nous prévoyons de nous revoir pour continuer d'explorer ensemble de nouvelles pratiques, une relation de jeu S/M sans lien sentimental, juste des moments sexuels et des impacts.    Notamment qu'à ce jour, la balançoire n'a pas été utilisée, et je lui prévois d'autres pratiques que nous envisageons déjà de mettre en place.    Merci d'avoir lu mon récit, qui est le récit de ma réalité du moment que j'ai passé avec une diablesse qui se prénomme Vendeta.
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Par : le 19/03/24
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage à livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage à faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2017 J’ai déjà survolé cette année de nymphomanie dans le chapitre précédent, l’année où Lady Bitch est née, où j’ai couché avec une centaine d’hommes et où je me suis affranchie de la morale ! Il y’a pourtant encore beaucoup à en dire tant cette année changea ma perception des hommes, du sexe et de la perversion. L’année 2017 commença par un nouvel an torride et immoral avec mon meilleur-ami, notre relation évolua au fil de cette année lors de multiples baises bien plus importantes mais je traiterais son cas comme d’habitude dans un chapitre bonus qui lui sera dédié. Restons donc concentrés sur mes coups d’un soir qu’ils viennent de sites de rencontres ou de mes sorties en boites de nuits. En avançant dans l’année, la salope avide de queues que j’étais devenue tournait a trois ou quatre plans culs par semaine avec de nouveaux mecs et il devenait de plus en plus difficile de m’exciter ou me faire jouir. J’avais prise conscience que je pouvais avoir n’importe quel mec, que s’il s’agit de sexe et uniquement de sexe, ils sont majoritairement toujours partants ! Je passa des mois à me taper des Apollon, des beaux-gosses qui me faisaient mouiller rien qu’avec leur belle gueule ou leur regard de feu, des corps musclés ou athlétiques, ces mecs n’avaient rien à envier à des mannequins et je coucha avec des physiques dont je n’aurais jamais osée rêver autrefois. Je découvris divers types de bites, des longues et épaisses, des longues et fines, des épaisses mais courtes, des raides, des courbées, des glands imposants, des glands pointus, des couronnes perlées,  etc… Je devins une experte pour les sucer, j’appris au fil de mes rencontres que tous les hommes ne sont pas sensibles de la même manière au traitement qu’on réserve à leur queue ! Certains gémissent et jutent rien qu’avec des léchettes répétées sur le frein, d’autres ne supportent pas qu’on le titille. Certains adorent qu’on roule une pelle à leur gland et lèche soigneusement chaque recoin de leur couronne, d’autres n’y prennent aucun plaisir. Certains aiment qu’on pompe et aspire fortement leur queue, d’autres trouvent ça désagréable. Certains aiment qu’on aspire et gobe leurs couilles, d’autres ne tolèrent que les coups de langues. Tous néanmoins aiment qu’on avale entièrement leur queue et mes années d’entrainement à la gorge profonde combla toujours ces messieurs. Après des mois a essayé diverses queues, je savais lesquelles étaient mes préférées et lesquelles pouvaient poser problème… Il arriva un moment où voir de nouvelles bites ne m’excitait plus autant les ayant toutes plus ou moins déjà vus. Il arriva un moment où coucher avec des beaux-gosses ne m’excitait plus autant c’était devenu courant. Il arriva un moment où les corps musclés, les abdos saillants, les pectoraux et biceps de dieu vivant ne m’excitait plus autant, j’en avais tellement eus que ça n’avait plus rien d’exceptionnel. En l’espace d’une année, ma surconsommation de partenaires tous plus sexy les uns que les autres m’avait fait perdre le fait d’apprécier de tels physiques. Je me souviens qu’il y’a quelques mois je fondais dans un regard ardent, je léchais avec envie du bout de ma langue les abdos et tétons des carrures fitness, je mouillais rien qu’en caressant leurs muscles, je jouissais quand des golgoths me pilonnait en me sentant si fragile sous leurs assauts mais tout ça c’était devenu trop fréquent pour être encore efficace… C’est comme si une partie psychologique avait quittée mes ébats, l’excitation n’y était plus malgré des partenaires plus qu’agréable, je n’étais plus stimulée par mes rencontres pourtant je ne pouvais m’en passer même si je jouissais de moins en moins.  Les plans culs devenaient lisses et seuls ceux qui faisaient preuve d’originalité dans leurs attitudes, pratiques, envies, insultes pouvaient encore me faire assez d’effet pour rallumer la flamme et que je jouisse pleinement. J’essaie de vous retranscrire cet attrait pour les beaux corps et les belles gueules qui m’avait quitté mais attention j’aimais toujours autant aller me faire sauter c’est juste que cela n’avait plus du tout l’intensité et l’euphorie des débuts. Je me tournai progressivement vers des annonces de sexe en ligne ayant conscience qu’il me fallait de l’originalité, que mes plans culs se ressemblaient trop. Je savais qu’il fallait que je ressente de nouveau le frisson de l’aventure, de l’inconnu car même si c’était de nouveaux partenaires, j’étais enfermée dans ce schéma où j’allais chez eux pour faire des préliminaires, baiser et partir ! J’avais plusieurs fois fait le lien entre ma jouissance et l’attitude de mes partenaires, ceux qui avaient fait preuve d’une perversion plus prononcée, qui m’avait exposée à leurs vices, c’était ceux qui m’excitait aujourd’hui et me laissait un souvenir d’eux. Il fallait que je rencontre des personnalités différentes, des hommes aux désirs singuliers, que je renoue avec cette sensation d’exploration de ma sexualité. Je me masturbai régulièrement sur divers sites répertoriant les annonces de sexe de centaines d’hommes, je passai de longues minutes à lire leurs envies, leurs fantasmes et m’imaginer les rencontrer ou non. J’épluchai les annonces de ma région, les catégories et plongeai encore davantage dans les vices masculins lisant certaines requêtes plus obscènes, tordues, assumées sur ces sites qu’aucun homme ne l’avait jamais fait sur mes sites de rencontres (l’anonymat aidant sûrement). Je fantasmai plusieurs fois à l’idée de publier moi aussi des annonces pour assouvir certains de mes fantasmes, certaines de mes envies qui germent en moi depuis l’adolescence, depuis Thomas, depuis mon addiction au porno, depuis ma dépression… Ma première rencontre fût un trentenaire qui voulait seulement toucher des seins… Il passa me chercher en voiture à la sortie de la Fac, j’avais mis un décolleté généreux ce jour-là. Je ne lui avais demandé aucune photo me disant qu’il était sûrement assez moche pour avoir si peu de prétentions (il ne se souciait pas non plus de ça puisque son annonce stipulait qu’il s’en fichait du physique, de l’âge et des mensurations, tout ce qu’il voulait de son côté c’était toucher une paire de seins). Je m’étais dit que ça serait bien de débuter ce type de rencontres par quelque-chose de léger et de faire en plus une bonne action, que si le gars ne me plaisait pas, tant pis, ce n’était que lui montrer ma poitrine et le laisser la tripoter un peu, pas besoin d’attirance pour ça... Cela ne manqua pas, il était assez vilain (cheveux courts avec une mèche façon Tintin, des petites lunettes carrés, une barbe de trois jours avec plusieurs trous dont la pilosité faciale ressemblait plus à des poils pubiens qu’une barbe, un sourire nerveux qui montrait trop ses dents) bref c’était pas un sex-symbol, il avait une allure plutôt négligé et sa tenue vestimentaire comme sa personnalité c’était le cliché du geek ou du trentenaire chez ses parents qui bégaie devant une fille et semble visiblement ne rien savoir de ce qu’il faut faire pour améliorer ses chances… Soyons clairs, si j’avais vu une photo ou qu’il m’avait abordé, j’aurais fuie et j’ai failli le faire devant sa portière tant il ne me plaisait pas mais je décida d’assumer jusqu’au bout en me rappelant que je n’avais pas demandé de photos car il n’y avait pas de rapports sexuels. Il s’était garé sur le parking devant ma Fac, je connaissais le modèle et la couleur de sa voiture, je l’aborda rouge comme une tomate étant très déstabilisée par son physique et ce que je faisais tout de même guidée par une adrénaline que je n’avais plus ressentie depuis un moment. Je monte côté passager quelques secondes plus tard, je fais bonne figure devant lui mais je suis tétanisée, je lui parle de tout sauf ce qui nous attends, je lui demande s’il a trouvé facilement, s’il y’avait de la circulation, s’il m’a attendu longtemps, s’il connait le coin et toutes ses réponses sont encore plus stressées que mes questions et malaisantes ! Je ne comprends pas comment l’idée de montrer mes seins a ce mec me gêne soudainement autant alors que je me fais défoncer à droite et à gauche depuis des mois par des inconnus. Le gars est gentil et doux ça se voit qu’il ne ferait pas de mal à une mouche, je ne me sens pas en danger mais je prends conscience que sortir de ma zone de confort et m’exhiber à un mec pour qui j’ai aucune attirance, aucun désir est ce qui me stress autant. J’ai une sorte de pression de devoir assurer, de lui devoir ça maintenant que je me suis mise là-dedans, de ne plus pouvoir reculer alors que je le peux, il suffit de me rétracter mais je ne veux pas le décevoir maintenant que je suis montée dans sa voiture, il a fait la route pour me voir, je n’ai pas demandé de photo c’est ma faute, j’avais envisagé cette option (qu’il soit repoussant), j’ai voulu me lancer un défi, je ne peux pas le décevoir et ME décevoir, suis-je vraiment la salope que je pense être ?   Il se gare sur le parking d’un magasin de literie après 5 minutes de trajet. Il n’a pas menti, c’est discret ! Son véhicule fait face a un mur de pierre et les deux seules autres places du parking sont derrière nous et vides, c’est l’un de ces parkings derrière le bâtiment d’une enseigne qui a peu de places, il m’a dit en connaitre trois ou quatre dans le coin si jamais celui-ci était occupé... Lorsqu’il coupe le contact, je sais qu’on y est et un blanc s’installe après ma confirmation que le parking est en effet discret ! Il me regarde gêné et me dit que je suis « vraiment très jolie » ce qui me fait sourire mais me rappelle que je ne peux lui retourner le compliment ... Je me décide néanmoins a prendre les choses en main et en finir le plus vite possible n’ayant aucunement envie de me décevoir et nous avoirs fait perdre tout ce temps. Je me mets face a lui, le dos contre la fenêtre. Assise en tailleur, je baisse mon décolleté sous ma poitrine sans retirer mon haut et extirpe mes seins hors de mon soutif pour les lui dévoiler ! « Bon, on est là pour ça alors voilà ! » Je me souviens de ses yeux qui s’écarquillent, de ses pommettes qui s’enflamment, de son sourire jusqu’aux oreilles alors qu’ils les regardent avec émotion. J’ai montré ma poitrine a des centaines de mecs avant lui et pourtant il n’y a que Kévin mon meilleur ami et Clément un de mes premiers copains (le précoce) qui m’ont paru aussi émerveillés par ma paire. J’ai dans cette voiture et les yeux de cet inconnu l’impression d’avoir une des poitrines les plus belles de la Terre, je vois dans ses yeux quelque-chose que je n’ai pas souvent vu, je me sens sexy, divine, torride et l’ambiance change alors peu à peu, le malaise ambiant se mue en quelque-chose de plus suave, je me sens soudainement plus à l’aise, coquine, attisée. Je discute quelques instants avec mon admirateur qui ne cesse de me complimenter ou du moins jeter des fleurs a ma poitrine. Je le taquine et le titille en lui demandant si elle lui plait alors que je commence à la malaxer et me tirer sur les pointes, le pauvre garçon semble bouillonner. Il ne peut plus décrocher son regard de mes seins et je pourrais presque dire qu’il en a la bave aux lèvres, voilà que la situation m’excite, rendre fou ce gars me plait soudainement… Je regarde son entre-jambe, je vois qu’il bande sous son jean, sa bite est plaquée contre sa cuisse gauche, elle ne semble pas très longue mais elle est bien visible… Je lui dis qu’il peut toucher, il avance alors timidement la main et caresse le haut de mes deux seins bien mis en avant par mon soutif et le décolleté, je le regarde faire avec amusement, je n’ai pas souvenir d’avoir un jour été touchée aussi délicatement par un homme. Je ne dis rien pour voir ce qu’il va en faire, elle est à lui pour l’instant cette paire de seins, amuse-toi bien garçon me dis-je. Il appuie maladroitement sur mes seins comme s’il voulait voir ce que ses gestes avaient comme répercussions sur la peau, c’est comme si ses yeux prenaient des photos pour plus tard, qu’il mémorisait ce qu’il voit, ce qu’il fait ! Je le trouve autant attendrissant que ridicule pour son âge, cette impression de faire une bonne-action m’envahit, moi qui avais peur d’assouvir sa demande il y’a encore quelques instants, voilà que j’ai envie de l’aider à en garder le plus beau souvenir possible ! Il caresse encore et encore mes mamelons en passant sa paume et ses doigts dessus, il fait tourner son pouce autour de mon mamelon droit, il effleure mes tétons mais n’ose pas tirer dessus ou les pincer, ça me frustre, « lâche-toi » me dis-je. Je lui dis qu’il peut se masturber s’il veut, il me répond que non ça va aller, je l’invite de nouveau à se mettre à l’aise en lui expliquant que je vois clairement qu’il est « à l’étroit » dans son jean mais il refuse une seconde fois me disant que ce n’était pas prévu et qu’il ne compte pas abuser de ma gentillesse. J’essaie alors de lui expliquer que si je lui propose c’est que je suis pour qu’il le fasse mais il se confonds en excuses avant d’avouer être pudique et que c’est moi qui devais m’exhiber pas lui. Je vois qu’il n’a pas confiance en lui et n’a peut-être jamais montré son sexe a une fille, il me fait de la peine alors qu’il remet les mains sur son volant et me remercie pour ce bon moment, il me dit qu’il va me déposer à l’arrêt de bus qu’on avait convenus. Je commence à remettre ma poitrine a sa place alors qu’il ne me regarde même plus, c’est alors qu’une pulsion s’empare de moi et que j’agis sans réfléchir, je pose ma main sur sa bite encore en érection ! Il sursaute et me regarde alors qu’il allait repousser ma main je lui dis de se détendre avec ma voix la plus douce ! Je lui explique que des bites j’en ai vus et revus, que la sienne ne peut en aucun cas me surprendre et que d’ailleurs ça m’importe peu à quoi elle ressemble ! Je frotte avec mon index le bout de son érection, je sens que je suis sur son gland, sa queue est coincée entre le jean et sa cuisse, ma paume va et vient le long de sa verge, je scan sa queue a travers son pantalon et prouve à mon peureux partenaire que tout va bien. Il est rouge de honte, il transpire et a le souffle court, il m’explique qu’elle n’est pas épilée, qu’il ne s’attendait pas à ça, que je n’ai pas besoin de faire ça, qu’il est déjà content comme ça ! Son comportement m’excite, ma prise de contrôle me fait me sentir supérieure, puissante, dominante et j’ai l’impression de pouvoir briser ou combler ce type, il est si attendrissant, ses failles si exposées, je veux prendre soin de lui, jouer avec son désir ! C’est nouveau pour moi, ce type de mecs, ce type de plans, cette position que j’ai visiblement sur lui, je ne sais pas ce que je ressens, l’effet que ça a sur moi mais je crois que c’était grisant a 21 ans d’avoir littéralement le dessus sur un mec de 35 ans, d’avoir une telle emprise sur la situation, j’avais jamais ressentie ça. Je lui explique que j’ai envie de lui laisser un souvenir inoubliable, qu’il a une fille chaude et ok pour faire plus que prévu dans sa voiture, qu’il devrait profiter d’une telle occasion qui ne se représentera peut-être pas, que je veux bien qu’il se branle pendant qu’il joue avec mes seins et que j’aimerais le voir éjaculer pour moi. Il me regarde alors en silence, je vois qu’il hésite, je n’en reviens pas comment on lit a travers chaque expression de ce gars comme un livre ouvert… Je retire ma main de sa cuisse, me remet en position face à lui et baisse de nouveau mon décolleté sauf que cette fois je décroche mon soutien-gorge par-dessous mon t-shirt pour être plus a l’aise et le jette sur mon spectateur qui rigole nerveusement comprenant que je suis sérieuse. Je me pétris les seins devant lui alors que je lui ordonne de se branler, « Allez sors-la, branle-toi » je sais que je l’ai répété plusieurs fois avant qu’il n’obéisse, déboutonne son jean, attrape sa queue et la sorte au grand jour. Une bite a l’effigie du bonhomme, quelconque, chétive, elle ressemblait a un os et il avait en effet une pilosité abondante plus que négligée ce qui refroidit directement mes ardeurs d’éventuellement lui offrir encore davantage. Il se branla doucement au départ alors que son regard plongeait de nouveau sur ma poitrine, je le provoquai en lui disant qu’il avait deux mains et en lui prenant le bras pour poser sa main gauche sur mon sein, il se tourna alors face a moi et entama une masturbation plus franche et frénétique alors qu’il soulevait a tour de rôles mes seins et les agrippais par moments enfin comme un vrai mec ! On s’échangea quelques grossièretés alors que je cherchais a l’exciter et lui répondre a mes provocations, je lui dit de me tirer sur les tétons, de les pincer, de maltraiter un peu ma paire car j’en crevais dorénavant d’envie, j’en avais marre qu’il soit sur la retenue, je voulais qu’il se lâche maintenant qu’il se dégorgeait le poireau sans pudeur devant moi ! Le gars devint alors de plus en plus viril et commença a m’écraser les seins, me tordre les tétons, me remettre a ma place et je pris du plaisir a me faire tripoter les seins par ce pauvre mec sur un parking … Une voiture entra soudainement sur le parking et une cliente du magasin se gara sur une des deux places derrière nous. Je remonta mon haut par sécurité alors qu’elle sortait de son véhicule et se dirigeait vers l’entrée du magasin mais lui cacha juste son sexe avec ses deux mains. La dame quitta le parking pour faire ses achats. Je ressortis de nouveau mes seins et agrippa le sexe du conducteur inquiet ! Je savais qu’elle reviendrait dans quelques minutes alors autant essayer de le finir rapidement. Je branlai avec vigueur le pauvre homme qui n’allait pas me résister longtemps, je le savais, je me défiais d’échouer avant le retour de la cliente. Mon pouce frottait parfois son gland baveux et le début de son frein, mon poignet s’abattait frénétiquement contre son jean alors que sa verge coincée dans ma poigne la plus ferme était pressée comme un fruit dont on veut extraire le jus ! « Touche mes seins et jouis avant qu’elle revienne » lui dis-je, il agrippa alors a deux mains mes seins et de multiples jets chauds ne tardèrent pas a jaillir sur ma main et partout sur son t-shirt. Je lui vida les couilles patiemment m’assurer de tout faire sortir car visiblement le garçon en avait a revendre. Je plaisante sur la densité de la vidange et l’état de son t-shirt complétement souillé, il me dit que ce n’est pas grave alors je m’essuie la main dessus puisqu’il est plus à ça près ! Je me rhabille alors qu’il étale son sperme qui pénètre le tissu de son t-shirt, un spectacle effroyable. Il me dépose a l’arrêt de bus pour rentrer chez moi en me remerciant pour la rencontre, je lui souhaite une bonne continuation et de toucher d’autres poitrines et quitte son véhicule. Je jette un dernier regard amusé a son t-shirt maintenant recouvert de tâches blanches en espérant qu’il ne croise personne jusqu’à pouvoir l’ôter... A peine arrivée chez moi, je fonce dans ma chambre, j’attrape mon plus gros gode et je me défonce la chatte en repensant a ce type, a celle que j’ai été pour lui, dans ses yeux, dans sa vie … Je suis euphorique de cette sensation que j’ai ressentie à ses côtés, cette supériorité sur lui, l’impression de pouvoir faire ce que j’en voulais, cette féminité et sensualité qui émanait de moi, cette assurance dont j’ai fait preuve, cette aventure que je viens de vivre, voilà ce qui me manquait cruellement depuis quelques-temps, du risque, de l’obscénité, l’expérimentation ! Les semaines suivantes j’alternai entre des plans culs comme d’habitude pour « le physique » et des rencontres avec de nouveaux pervers qui avaient tous différents types d’envies pour « le challenge » mais surtout « le psychique » que je tirais de ces rencontres plus stimulantes... Je continuai sur des rencontres légères et des envies humbles mais je me confrontai à des hommes plus âgés que mes habitudes dans ces annonces, des physiques encore une fois plus disgracieux que mes standards... Je m’habituai à faire des cochonneries avec des hommes qui ne m’attiraient absolument pas, à ne plus me soucier du physique mais plutôt de l’acte, la perversion, l’expérience et c’est parce-que je débutai par des plans sans pénétration et rapport complet que je m’acclimatai une rencontre après l’autre à ne plus être motivée par l’apparence de mes partenaires. Après le trentenaire qui me tripota les seins, je rencontra un fétichiste des pieds voulant que je le branle du coup vous l’aurez deviné avec mes pieds ! Il avait la vingtaine et on fit ça chez lui. Là encore, je tirai du plaisir à faire triper un mec avec si peu de choses, il vouait un culte à mes pieds toute la rencontre et semblait super épanoui d’être avec une fille qui assouvisse son penchant sans gêne ou jugement, le voir juter sur mes pieds et repartir de chez lui sans même avoir ôter un vêtement (juste mes talons) fut assez déroutant mais au final excitant et valorisant niveau sex-appeal ! Le suivant c’était un cinquantenaire voulant juste me lécher la chatte et me faire jouir avec sa langue. Il avait deux demandes, que je vienne a sa rencontre en jupe sans culotte et que je sois entièrement épilée (ce que je suis constamment). Ce fût un grand défi pour moi d’aller m’offrir a un homme de cet âge (plus du double du mien, plus de 30 ans d’écart…) mais cela faisait écho a mes penchants sombres envers mon père, a mon envie d’un jour faire du libertinage en club comme lui et de me taper des gars de son âge. J’appliqua le même raisonnement que pour les gars précédents, ce n’est « qu’un cunni », « que des coups de langues » pas besoin d’être séduite pour ça et justement voyons s’il saura quand même me faire jouir rien qu’avec la technique, sans le désir ! Je demanda quand même une photo de « Didier » un nom qui me marqua car il était camionneur et avait une belle bedaine de la bière, je me souviens que je m’amusai de ne tomber que sur des clichés ambulants mais Didier avait tout d’un nounours bienveillant, un regard doux et gentil, chauve avec un bouc, je me surpris à l’imaginer entre mes cuisses et me dire « pourquoi pas » ! Didier m’invita chez lui, il était divorcé et père de deux garçons, ils étaient chez sa mère ce soir-là. Je n’en menais pas large devant lui et il prit les choses en main avec beaucoup de douceur, il m’installa sur le bord de son lit, me coucha sur le dos, se mit à genoux face à moi, remonta mes jambes puis les écarta. Il contempla ma petite chatte quelques secondes en la complimentant puis il embrassa mes cuisses et plongea son visage sous ma jupe. Didier m’embrassa longuement les parties intimes, il n’arrêtait pas de me dire que j’avais une jolie chatte, ça me gênait à la longue car je prenais de plus en plus conscience que j’étais sur le lit d’un père divorcé ayant 30 ans de plus que moi. Je ne le voyais pas m’embrasser le sexe, la jupe cachait son crâne, je ne voyais que ses gros doigts enfoncés dans mes cuisses où il s’agrippait alors je me souviens que je regardais plutôt le plafond de sa chambre. Il y avait un ventilateur de plafond qui ne tournait pas mais que je fixais du regard longuement alors que Didier semblait tout faire pour me rouler une pelle langoureuse avec mes lèvres du bas, ça dura un moment interminable et pas l’ombre du début d’une sensation de plaisir. J’étais déçue, la magie n’opérait pas, l’excitation de la situation ne prenait pas et l’homme que j’imaginais expérimenté par son âge faisait ça mal, c’était la désillusion et je songeais a lui demander d’arrêter le massacre, que j’allais rentrée ! Didier releva le visage par-dessus ma jupe et me dit « Je te sens tendue, détends-toi ma chérie » avant d’embrasser tendrement mes cuisses et mon pubis. Cette phrase changea quelque-chose, déjà j’étais en effet tendue et il l’avait senti, c’était peut-être pas le manche que je croyais car beaucoup des mes plans culs ne se rendent pas compte quand ils sont en train de me perdre, ça me rassura sur le fait qu’il savait finalement peut-être comprendre une femme et être a l’écoute de son corps mais ce qui me déstabilisa c’était qu’il m’ai appelée « Chérie ». Il y’avait dans sa voix cette bienveillance des ainés sur les enfants, ce côté protecteur et rassurant que je n’ai finalement jamais vraiment connu ayant grandie sans père. Cette marque d’affection lui donna une aura, un charisme instantané sur moi et je ne pouvais plus qu’obéir, essayer de me détendre en effet et lui faire confiance, après tout c’était la spécialité du bonhomme de lécher une chatte ! J’acquiesça et m’excusa docilement, je pris une grosse respiration et posa mes mains sur les siennes, je ferma les yeux et me détendit autant que possible. Il me dit une phrase du genre « Bon, on peut- y aller » ou « Commençons les choses sérieuses » puis il retourna sur mon sexe mais cette fois-ci pas pour l’embrasser mais le lécher. Je ressentais dorénavant bien plus de choses, sa langue humide qui glissait le long de mes lèvres, qui roulait sur mon clitoris, qui allait et venait de plus en plus vite sur mes lèvres. Je commençai à prendre du plaisir, à gémir, à avoir chaud et je compris que le vieux briscard avait joué avec moi, qu’il m’avait faites languir, qu’il avait enquiquiné mon sexe de tous ces baisers pour le rendre aussi disposé à savourer sa langue au moment opportun. Je passai de baisers tantôt grossiers, tantôt délicat mais toujours ennuyants à une langue large, spongieuse, précise qui savait ce qu’elle faisait et comment asservir mon plaisir. Je me sentais vulnérable, prévisible et quelconque pour être finalement aussi simple à manipuler, il m’avait pourtant dit qu’il saurait me faire jouir juste avec sa langue mais son début calamiteux m’avait fait abandonner l’idée qu’il puisse y arriver. Un combat intérieur émergea en moi alors que le plaisir grandissait, je me refusai à l’accueillir me disant qu’il ne pouvait pas m’avoir aussi facilement, qu’il ne pouvait pas faire ce qu’il lui plait au départ puis après s’être bien amusé me faire jouir comme bon lui semble. Je maudissais ce lécheur autant que je l’adulais, comment pouvait-il être si doué ?   « Ne te retiens pas, jouis sans gêne ma chérie ! Je suis là pour ça, je veux t’entendre couiner » Comment savait-il que j’étais en train de me retenir ? C’était de la sorcellerie pour moi, il parlait toujours au moment propice et puis cette sensation de plénitude a l’entendre me dire « Ma chérie » j’étais SA chose a l’instant T ça c’était sûr ! « Huuuum d’accord » soupirais-je vaincue. Mes mains enlacèrent celles de Didier, je m’agrippai à ses phalanges alors que je cessai de lutter pour retenir mes gémissements, je me laissai aller et ébruita mon plaisir aux oreilles de mon bourreau. Il ralentit lorsque je culmina, sa langue effleurait dorénavant mon clito sans vraiment y appuyer un contact. Mon bas-ventre bouillonnait, ma fente voulait être fouillée par un doigt ou une queue, je perdais la tête alors qu’il faisait monter avec stratégie et maitrise l’orgasme en moi. Je m’imaginais déjà me faire prendre par ce camionneur bedonnant, le supplier de me passer dessus alors que j’étoufferais sous son poids le regard toujours sur ces foutues hélices au plafond ! J’avais envie de JOUIR, que ma chatte en feu se fasse calmer, qu’on me la laboure avec violence, que cet homme fasse de moi sa chose. J’avais les larmes aux yeux et je perdais le contrôle de ma respiration alors qu’il continuait d’effleurer mon clito, je mouillais abondamment et je voulais qu’il me boive ! Je tira sur ma jupe, agrippa son crâne chauve et le supplia de mettre sa langue en moi !  Il plongea aussitôt sa langue a l’intérieur de mon vagin, tirant sur mes cuisses pour me soulever en l’air, je bascula sur les épaules alors qu’il se redressait sur le bord du lit. Il m’avait soulevée comme un vulgaire sac, j’étais dorénavant les jambes suspendues dans le vide, le cul en l’air avec les mains de mon assaillant pour me maintenir droite et stable, il enfonçait sans aucune retenue sa langue en moi, je le regardais me baiser la chatte avec sa langue que je sentais aller et venir dans l’entrée de mon trou, j’hurlais comme une folle alors qu’il baignait dans ma mouille. On y était, l’orgasme, je jouissais, j’hurlais ma faiblesse devant le plaisir. Didier me léchait l’intégralité du sexe, passant de haut en bas mes lèvres du plat de sa langue, frappant sans douceur mon clito de la pointe de sa langue et enfonçant celle-ci en moi pour la remuer contre mes parois, quelle obscénité, quelle déchéance pour cet homme, quel cunnilingus ! Je cherchai à me dégager à plusieurs reprises pendant l’orgasme mais il me poursuivit de la bouche a chaque fois s’assurant que je ne me dérobe pas et subisse le plaisir ultime jusqu’au bout. Nous terminâmes au milieu du lit quand je le suppliai d’arrêter, que c’était fini. Je n’oublierais jamais son bouc luisant, ses babines trempées et ma chatte irritée et toute rouge par les multiples frottements de son menton. C’était le cunni le plus bestial de ma vie mais surtout le plus maitrisé, un véritable brasier qui avait pris petit à petit, d’une braise qui avait failli s’éteindre était née une explosion inoubliable, quel salaupard, il savait ce qu’il faisait le gourmand ! On discuta un moment au bord du lit de sa technique alors que mes jambes flageolaient trop pour que je tienne debout, ma chatte était hors-jeu et l’idée de coucher avec Didier éclipsée après avoir jouie. Je garda ça évidemment pour moi et seule la honte d’avoir été ainsi asservie et facilement pilotée subsista ! Je quittai Didier sans quoi que ce soit de plus entre nous, il était très satisfait d’avoir pu manger la moule d’une jeunette et moi très décontenancée par tout ce que j’avais ressentie.   Je me masturba plusieurs fois en repensant à Didier mais ma quête devait continuer.  La rencontre suivante fut moins réussie, un fétichiste de lingerie qui voulait me masturber à travers ma culotte, je sais même plus la tranche d’âge dans laquelle il était mais je me souviens que je n’y ai pas pris de plaisir. Il me frottait le clito à travers une culotte en dentelle, ce n’était pas fou et quand il me doigtait en enfonçant le tissu a l’intérieur encore moins… Je l’avais branlé avec mes seins en gardant mon soutif, coinçant sa queue dans le creux de mes seins et sous le gousset du soutif, ça avait été assez pratique car je n’avais rien à faire pour la garder en place grâce au gousset mais bon, zéro fun pour moi surtout qu’il y’avait pas ce petit feeling quand je vois que je comble ou rends-fou le mec en réalisant son kiff.   Le pire avait été qu’il voulait cracher dans ma culotte donc je l’avais retirée et pas remise en rentrant, assez écœurant de voir son sperme séché dedans en la mettant à laver alors que je n’avais pas spécialement passé un bon moment… Mes rencontres suivantes furent de nouveau un fétichiste des pieds et un fan de gorge profonde. Le fétichiste avait la quarantaine et voulait surtout me sucer les orteils, j’avais kiffé car là encore je voyais vraiment que le mec était a fond et adorait mes pieds. J’avais aussi été très excitée qu’il ai le double de mon âge et qu"il soit pourtant a mes pieds, a me demander de lui écraser le visage avec, voir un daron passer sa langue entre mes orteils pendant qu’il se branle c’était là encore grisant. Il était tombé si bas juste pour mes pieds, si docile, esclave de ses penchants, plein de désir… Ce quarantenaire qui lèche mon talon, respire la plante de mes pieds, se branle comme un chien en rut devant moi a des amis, une famille, des collègues qui ignore tout de ses petits penchants, du dépravé qu’il est et moi, je le vois tel qu’il est ! C’était ça que j’aimais dans ces rencontres, ces plans particuliers, voir leur part d’ombre et incarner leur plaisir ! Quand je suis allée me faire baiser la bouche par ce gars de mon âge, qu’il m’a insultée de tous les noms, m’a étouffée avec son sexe, faites pleurée et bavée sur sa verge, qu’il a pu assouvir ses bas instincts dans ma gorge et bien je savais très bien que je lui offrais une prestation qu’il n’est pas prêt de réassouvir. Je lui permets de kiffer comme sa future femme ne saura pas le faire, je sais que ce mec a envie de malmener une femme avec sa bite, qu’il est excité a l’idée de lui baiser la gueule sans respect pourtant il fera le gendre idéal devant ses beaux-parents, le féministe devant sa sœur ou sa mère mais moi, je le vois, je l’expérimente, tel qu’il est vraiment …. Je me questionne dorénavant sur deux voies qui semblent se dessiner devant moi et que j’ai envie d’explorer puisqu’elles m’offrent des sensations incomparables. L’une où je domine plus ou moins les hommes comme les fétichistes ou le tripoteur de seins sur le parking jouissant de cette sensation de pouvoir que j’ai sur eux et l’une où je m’offre et m’abandonne à leurs désirs pour devenir leur chose comme notamment avec Didier ! Il n’y a plus trop d’annonces avec des demandes humbles ou légères dans ma région, beaucoup d’autres choses me tentent comme des plans a plusieurs, essayer un couple, certaines propositions avec des scénarios plus hard mais même si je me sais dorénavant plus stimulée par le vice que le physique, j’ai quand même envie de prendre mon temps et ne pas faire tout et n’importe quoi trop vite alors je prends du recul et remets les étapes supérieures a plus tard.   Mon changement d’état d’esprit sur le physique me pousse dans une nouvelle direction, il y’a une catégorie dont j’étais particulièrement friande dans le porno, un contenu sur lequel je revenais souvent et qui m’excitait d’une façon que je n’arrivais pas expliquer, un contenu vers lequel on glisse vite quand on apprécie les grosses bites … Le sexe interracial ! J’ai des heures de masturbation sur des centaines de vidéos où des noirs baisent des blanches, des jouissances avec de grosses queues noires sous les yeux, j’aime les grosses bites et pourtant je n’ai jamais essayé les Blacks ! La raison est simple, je ne les trouve pas attirants physiquement, ce n’est juste pas ma came pourtant j’aime bien leurs queues enfin justement non pas vraiment ! Disons que visuellement je les trouve souvent monstrueuses, animales et c’est ce qui m’excite quand je les vois dilater des blanches par contre je ne trouve pas qu’elles soient jolies et je suis plus excitée par les nanas qui encaissent de telles poutres que les mecs à qui elles sont rattachées… On a tous des goûts, des préférences et sans être raciste, ce n’est pas mon délire les renois, les arabes, les latinos, les asiatiques, les indiens bref je suis exclusivement attirée par les blancs ! Les stars de couleurs ne me font pas fantasmer, les renois que j’ai rencontrés je n’ai jamais eu de bon feeling et la plupart étaient de gros lourds en discothèques ou sentaient mauvais (désolée). Ayant passé un cap, accordant moins d’intérêt au physique, ayant toujours autant envie de grosses queues, d’aventure, de me challenger, de rencontres différentes, cela m’apparait comme une expérience à tenter au moins une fois et une suite logique. Des mois que je refuse les avances des noirs sur des sites de rencontres, que je ne retiens pas leurs profils, je me dis qu’il est tant d’essayer !   Le prochain chapitre leur sera dédié car j’ai été accroc à la BBC quelques mois…
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Par : le 18/03/24
Bonjour à toutes et tous, pardonnez mon silence, me revoilà avec des nouveautés : en janvier, on m'a enfin retiré le scrotum avec une anesthésie locale. En prime et pas demandé, on m'a sectionné les nerfs dorsaux de la bite. Je demandais depuis un moment de ne plus avoir de scrotum, ce sac vide entre mes jambes je ne l'aimais plus. Mes maîtres ont trouvé quelqu'un en Allemagne disposé a  le retirer. Nous sommes parti mi-janvier en voiture. Sur place le gars me faisit bonne impression, son cabinet est propre. Je reçu un cachet pour me détendre et je fus attaché sur la table. J'avais la tête qui tournait. J'ai senti les piqûres pour l'anesthésie locale. Je ne voyais pas ce qu'il faisait, mes maîtres m'avaient mis mon masque de cuir. Peu après je repris mes esprits et j'avais un bandage avec une sonde urinaire. Nous sommes allés à l'hotel et j'ai dormi, j'avais mal. Le lendemain matin on retourne au cabinet, il me retire mes pansements. Je constate deux incisions à la base de ma verge, j'ai peur de comprendre. Mes maîtres et le praticien sourient, je touche le gland et je ne ressens rien. J'ai compris : ils m'ont coupé les nerfs dorsaux de la bite. Je commence à me plaindre, avoir un sanglot,(n'ayant plus de testostérone, je suis devenue très émotive). Le praticien se retire, mon maître baisse son pantalon, me sort de mon fauteuil, me retourne et il me sodomise brutalement. Une fois terminé,on m'explique que de cette façon je serai plus concentrée sur le plaisir anal et disposée à servir mes maîtres. Pour me consoler, ils m'offrent une montre de marque. Ils me rappellent que j'avais signé un contrat Au retour en Suisse, j'essaie de me masturber, mais je ne ressens plus rien, mon clito est mort. Je suis devenue plus demandeuse de sodomie et j'aime encore plus qu'avant que l'on me triture les tétons. Lors de soirées, certains aiment essayer de me masturber et se moquent de moi qui ne ressens plus aucun plaisir avec mon clito. Voilà ce qui m'est arrivé. Ce n'est pas romancé, je regrette cette opération, mais maintenant à quoi bon avoir encore une bite? J'aimerais rencontrer une femme nullo ou excisée.  
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Par : le 18/03/24
De son sourire et a son regard je compris que j'aurai tord de ne pas me faire plaisir a utiliser son corps juvénile, oui elle est jeune, belle, provocatrice , contorsionniste avec la possibilité de manipuler son corps avec souplesse.    Je me rapprocha d'elle la mettant dos a moi et je la saisie contre moi ayant guise de la caresser et elle de se trémousserde de manière a exciter mon désir lui caressant sa poitrine,  pinçants ces tétons (je remarquas que cela lui plaisait a la manière de son corps qui se contracte avec orgasme) , je continua mon exploitation touten descendant mes mains sur son corps je m'arrêta a son sexe et a ma grande surprise elle était déjà toute mouillée.    (je lui en est fait la remarque) elle me répondis avec toujours ce sourire très évocateur !  Oui. A ce oui je lui réponds on va devoir passer aux choses sérieuses.    Je lui ordonna de se déshabiller ce quel entreprit de suite. Je la regarderai avec plaisir dévoiler son corps si sensuel puis une fois nu je demanda de mettre son corset,  ( qui a pas mis longtemps a être retiré car je préfère la voir nu puis par la même occasion je m'entrepris a lui mettre son collier.    Je la fis mettre a quatre pattes sur le lit et pris la cravache posée sur le lit je contemplé son cul qui appelle mon vice de la rougir et je commença a lui impactées des coups de cravache  ( connaissant pas ces limite j'y suis allé doucement ! ) sur ces fesses et le sexe mêlée a des caresses afin de nuancer la douleur a celui du plaisir.     je trouvais quelle rougissais peu, marqué un peu mais pas assez pour moi, et supporter très bien les impacts donc j'ai changé d'accessoire prenant le paddel afin déposer des coups un peu plus régulier tout en lui caressant sont sexe humide d'envie d'être pris profondément    Je m'arrêtas et je lui mis un un bâillon avec des pinces  que je fixe sur sa poitrine toujours aussi sensible,  dos a moi je lui pris les cheveux pour la cambrer est la doigta rentrant un a un mes doigt facilement jusqu'à ma main se glissa littéralement entièrement en elle stupéfait je la refermis à l'intérieur d'elle pour la mastuber plus intensément , prenant en même tant possession de son cou la tirant en arrière afin de la tenir cambrer de manière que cette étreint soit profonde.    Cela me plaît tellement de voir quel prend du plaisir ma main a l'intérieur delle ces gémissements si actant de sa jouissance.     La suite dans quelques jours  ( moment relevant de la réalité ) 
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Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 16/03/24
Nathalie la douce ingénue : chapitre 4   CHAPITRE 4    : LA JOURNEE DE SHOPPING     Le lendemain matin à peine arrivée à l’école, Gustave le concierge me signifia que Mademoiselle Pinbal désirait me voir. De suite. Une sourde angoisse m’étreignit. Cela devait forcément avoir un rapport avec Maître Julian. Que pouvait-elle bien me vouloir ? Un sinistre pressentiment m’envahit. Après tout je m’étais conduit comme une petite gourde en entrant dans son jeu. Qu’aurais-je comme excuse ? J’avais accepté de venir en dehors des heures de bureau, de me déguiser en petite écolière aguicheuse et j’allais me plaindre après des conséquences de mes actes ? Comment pouvait-on être aussi naïve ? Et si après s’être ainsi amusé avec moi il avait décidé de ne pas m’embaucher ? Si tel était le cas j’aurais tout perdu, ma dignité et mon boulot.   En toquant à la porte du bureau de la directrice, mon cœur se mit à battre plus fort. « Entrez » Sa voix résonna étrangement dans le couloir vide.   « Ah ! c’est vous Nathalie » Elle m’accueillit avec un grand sourire et visiblement elle semblait d’excellente humeur.   « Alors racontez moi, comment c’est passée cette première journée chez Maître Julian ? »   « Heu, bien  » bafouillais-je mal à l’aise. Elle reprit d’une voix suave.   « Rassurez-vous il est content de vous. Bien sûr il vous faudra travailler dur pour réussir. Mais vous lui plaisez. Je me suis laissé dire qu’il avait déjà commencé votre entraînement » Et elle sourit d’un air entendu. Elle savait. Cette garce savait tout. J’en étais sûre. Ils devaient être complices et elle se délectait de la situation. La petite rebelle que j’étais avait été matée. Et avec quelle facilité. Je m’étais rendue presque sans résistance lui offrant mon  corps en  prime. Je rougis à cette pensée. Le souvenir de son dard butinant mon calice, me revint en mémoire. Et plongée dans mes souvenirs, je sentis au plus profond de moi les frissons du plaisir qui nous avait enveloppés et insensiblement ces moments remontaient à la surface comme une vague submergeant tout sur son passage. Cette pimbêche pouvait imaginer tout ce qu’elle voulait, je savais que quelque chose de plus puissant qu’un simple accouplement nous avait réuni. Elle poursuivit inconsciente de l’état d’excitation dans lequel je me trouvais. « Bien entendu vous n’oubliez pas que la première qualité d’une secrétaire est d’être discrète. Et nous le sommes toutes les deux. N’est-ce pas ? »   Je ne répondis pas l’esprit ailleurs, me contentant d’hocher la tête.   « Ce matin vous n’irez pas en cours. Ce cher maître m’a confié le soin de renouveler votre garde-robe. Nous allons donc faire un peu de shopping comme deux amies. » Et elle sourit à nouveau. Elle était effectivement de très bonne humeur.   Mademoiselle Pinbal avait du shopping une idée très précise. Pas question d’aller au petit bonheur la chance. Elle avait ses boutiques et ses habitudes. Dans chacune d’elles les vendeuses se précipitaient à sa rencontre empressées et mielleuses. « Bonjour Mademoiselle, quel plaisir de vous revoir. Que puis-je faire pour vous ? » Elle les repoussait gentiment. « Non, non ce n’est pas pour moi que je viens, c’est pour elle. » Et tous les regards se tournaient vers moi. Elle expliquait. « Voyez-vous, il faut me la transformer ou plutôt me la métamorphoser » Elles adoptaient une mine de circonstance. « Des tenues classiques, discrètes, faciles à porter avec une petite touche d’originalité… » On lui présenta des tailleurs stricts qui allaient me faire prendre 10 ans d’un seul coup. Mais elle ne s’en laissait pas compter. La sûreté de son jugement m’étonna.   «  Non, c’est trop fade vous n’avez pas quelque chose de plus… »   D’essayages en essayages, j’ai du enfiler d’innombrables tenues. Mademoiselle choisissait pour moi. Elle aimait assortir les couleurs, sélectionner les matières afin de composer des ensembles originaux et de qualité, adaptés à ma personnalité. A aucun moment elle ne regarda les prix. Nous sortîmes. J’étais habillée de pied en cap. « Voyons Nathalie, c’est un excellent début de quoi allons nous occuper maintenant ? » « Je ne sais pas il me semble que c’est parfait » « Mais non voyons, qu’est ce qui chez une femme devient si important dans certaines circonstances ? » Je restais sans voix. «  Je veux parler bien évidemment des dessous, de la lingerie fine. Nous y allons de ce pas. »   La boutique dans laquelle elle m’entraîna était discrète. Une atmosphère feutrée y régnait. La patronne vint à sa rencontre et elles s’embrassèrent comme deux amies. C’était une très belle femme d’environ 40 ans. Une silhouette mince avec des formes généreuses habilement mises en valeur. Après avoir parlé des derniers événements qui faisaient l’actualité de notre ville, Mademoiselle Pinbal dit simplement. « Je viens pour la petite » Son amie m’observa attentivement avec un sourire attendri. «  Je vois , il faut la rendre plus… » Elle s’adressa à moi d’une voix douce et sensuelle. « Venez un peu par ici mademoiselle, marchez. Encore. Stop  c’est bien restez ainsi » Je ne bougeais pas intriguée. Je n’avais jamais été ainsi examinée, soupesée, évaluée par un regard féminin et je n’accordais que peu d’attention à mon physique. « Comment la trouvez-vous ? » interrogea Mademoiselle Pinbal « Intéressante elle a quelque chose de séduisant, il faut mettre sa silhouette en valeur » Mademoiselle Pinbal suggéra. « Pensez-vous qu’un corset ? » « Certainement sa taille s’y prête à merveille. Nous allons voir cela » Puis se tournant vers moi « Soyez assez aimable de vous déshabiller » Une fois de plus je me retrouvais en sous-vêtements. « Quelle affreuse culotte, elle vous abîme la peau. De grâce, ôtez-la. Votre soutien-gorge aussi » Nue devant les deux femmes je cachais pudiquement ma poitrine et mon sexe. Elle s’approcha de moi intriguée. « Oh ! s’exclama-t-elle lorsqu’elle aperçut les traces roses qui coloraient mes fesses, elle a été… » Mademoiselle  prit la parole « Juste une petite fessée, vous savez comment sont les jeunes, il faut bien parfois les corriger. Mais elle sera sage maintenant. » Je baissais les yeux ne sachant plus où me mettre. Son amie était visiblement intéressée et elle passa délicatement sa main sur mon derrière. Je sursautais involontairement sous la caresse. L’endroit était encore sensible. A la vue du  corset que l’on me voulait me faire essayer, je faillis éclater de rire. C’était un accessoire que je croyais relégué au musée. Elles ne s’imaginaient quand même pas que j’allais m’exhiber ainsi ailleurs que dans ce lieu. Mais lorsqu’elle me le mit et serra au maximum les lacets , j’en eus le souffle coupé. Ma taille avait rétréci de plus de 10 centimètres et mes seins et mes fesses semblaient projetés vers l’extérieur. Mes formes qui d’ordinaire n’attiraient pas un regard devenaient le point de mire, ma féminité si profondément enfouie en moi prenait sa revanche et s’exposait au grand jour. Je respirais avec peine par petits à coups. « Cela la met véritablement en valeur » dit-elle d’un air satisfait. Elle me jeta un regard et devant ma mine défaite reprit. « Saura-t-elle apprécier ? » « Elle non, mais lui oui » répondit simplement Mademoiselle Pinbal. « Marchez. Pas si vite. Il va falloir lui apprendre à se déplacer avec grâce, vous n’enseignez pas cela dans votre école ? » « Hélas, ce n’est plus au programme ». Une pointe de regret perçait dans sa voix. « Je pourrais peut-être m’en occuper. En me servant de certains arguments, je pense que l’on pourra faire de cette petite sauvageonne une véritable perle » « Pourquoi pas ? j’y songerai » répondit Mademoiselle avec un clin d’œil malicieux en ma direction. Je ne goûtais absolument pas cette allusion. Mon supplice ne s’arrêta pas là. Elles entreprirent de me vêtir d’un porte-jarretelles et de bas. Encore des accessoires qui m’étaient inconnus et que je croyais réservé à des femmes de peu de vertu. Mais étais-je bien placée pour penser cela ? Pour les slips et soutien-gorge le choix fut difficile. Finalement elles optèrent pour des modèles simples, sans frous-frous ni dentelle. La soie me fut refusée sous prétexte de ma jeunesse. Je soupçonnais Mademoiselle, de ne pas retenir certains modèles, sous le fallacieux prétexte de  conserver mon innocence. Il est certain qu’elle désirait conserver certaines prérogatives. Mon rôle était de jouer la petite écolière punie. Le sien d’être la maîtresse femme. Etait ce convenu avec son ami ? Car cela paraissait certain nous partagions le même amant. Lorsque je fus parée de tous ces dessous elles me firent me déplacer, me pencher. Il m’était impossible de me courber sans ressentir dans ma chair le corset qui me maintenait le dos droit. Une magnifique illustration de l’expression, souffrir pour plaire. Ainsi parée la cambrure de mes reins faisait saillir ma croupe et elles s’extasièrent devant cet impudent spectacle. Les nombreux miroirs disposés dans la boutique renvoyaient l’image d’une jeune fille délicieusement perverse. Et cette jeune fille c’était moi. Puis  elle m’entraîna dans un magasin de chaussures. A peine arrivées, on  me fit essayer des escarpins. Juchée sur des talons aiguilles de 8 centimètres, je tentais maladroitement quelques pas et faillis me tordre la cheville. Devant mon incapacité à marcher avec élégance. Mademoiselle se résolut à procéder par étapes. Elle se contenta de me choisir une délicieuse  paire d’escarpins de 5 centimètres et nous quittâmes la boutique. Sur le pas de la porte elle me promit avec un grand sourire de m’y ramener bientôt.     Elle avait l’air de beaucoup s’amuser et en quelques heures elle avait réussi à bousculer pas mal de mes habitudes et à ébranler quelques unes de mes certitudes. Moi d’ordinaire si fière, j’acceptais d’être réduite au rôle de jouet entre leurs mains. Mais avais-je le choix ? Et inconsciemment cela ne correspondait-il pas à un fantasme de ma part ?   Je pensais sincèrement en avoir terminé avec toutes ces épreuves. Mais Mademoiselle Pinbal n’était pas de cet avis. « Nathalie on se dépêche, on a rendez-vous dans 10 minutes chez l’esthéticienne. » Nous avancions au pas de course slalomant entre les flâneurs. Le cabinet de l’esthéticienne se trouvait à 200 mètres entre une banque et un coiffeur. Essoufflée je ne rêvais que d’une bonne douche et d’une boisson fraîche. Mais Mademoiselle m’entraîna par le bras dans le magasin. Nous fûmes chaleureusement accueillies et aussitôt introduites dans un petit boudoir. Deux jeunes filles nous rejoignirent. Elle leur demanda de me prodiguer le programme de soins complet. « Soins du visage manucure et épilation. » acquiesça la brunette qui paraissait être la plus qualifiée. Les deux employées devaient avoir sensiblement mon âge. Maquillées et coquettes elles étaient jolies. Leur blouses blanches cachaient des fruits qui ne demandaient qu’à être cueillis. Au moment où je me fis cette réflexion je rougis de mes pensées. Que m’arrivait-il ? Moi d’ordinaire si prude, cela ne me ressemblait si peu. Légèrement intimidée je pris place dans un confortable fauteuil. Pour la première fois de ma vie j’allais être traitée en dame et cette idée me plaisait. Pendant que l’une étalait avec délicatesse une crème nourrissante  sur ma frimousse, l’autre s’empara de ma main. Elles s’appliquèrent et le temps passa agréablement. Mon visage fut nettoyé, revitalisé. Elles allèrent même jusqu’à m’appliquer un soupçon de maquillage qui soulignait mes yeux et coiffèrent mes longs cheveux. J’étais totalement sereine profitant de ce véritable moment de bien-être et de relaxation. Sans transition elles commencèrent à préparer la cire pour l’épilation. Je me déshabillais ne gardant que mes sous-vêtements et m’allongeais sur une table de travail. Mes aisselles, mes jambes, mes cuisses furent l’objet de leurs soins attentifs puis elles s’attaquèrent au haut du maillot. Je sursautais lorsque Mademoiselle Pinbal dit d’une voix ferme. « Pas juste le haut du maillot. Epilez la intégralement » Je tentais de protester mais son regard m’arrêta. Gênée, je dû sous leurs regards ôter mon slip et leur dévoiler mon intimité. Gentiment mais fermement elles entrouvrirent mes cuisses et ainsi leur permettre d’accéder à cet endroit où la femme est la plus sensible. La cire chaude appliquée sur les bords de mon petit abricot provoqua une sensation fulgurante de brûlure. Mais le pire était l’arrachage. Pratiqué d’un coup sec la douleur me faisait pousser de petits cris. Inlassablement elles répétaient l’opération s’approchant de plus en plus près de mon minou. Elles saisirent les lèvres et entreprirent de les dénuder dévoilant d’une manière indécente l’intimité de mon calice. Ce supplice semblait ne jamais devoir finir. Tout mon bas ventre était en feu. Mes deux mains  serraient les accoudoirs jusqu’à ce que mes doigts deviennent blancs. Intérieurement je maudissais Mademoiselle d’y assister. Puis on me mit sur le ventre et les deux employées s’échangèrent un regard lourd de sous-entendu à la vue de mes fesses ornées des marques de ma punition. Je fuyais leurs regards. Prudemment elles ne firent aucun commentaire. Mais je constatais qu’elles redoublaient d’attention et même le fin duvet de mes fesses fut soigneusement éliminé. Puis elles me lavèrent délicatement afin d’éliminer toutes traces et sourirent satisfaites à la vue de ma nudité intégralement dévoilée. Lorsque ce fut terminé, Mademoiselle ravie, accentua encore mon humiliation en me demandant de bien écarter afin de pouvoir contrôler. Elle passa longuement un doigt sur les bords de ma fente afin de juger de la qualité du travail effectué. Satisfaite, elle me complimenta sur la douceur de ma peau. J’étais aussi nue qu’au jour de ma naissance et je me sentais totalement vulnérable. Puis Mademoiselle les pria d’oindre mon intimité meurtrie et mes fesses zébrées d’un onguent à base de plantes. Elles l’appliquèrent avec une douceur empreinte de sensualité. Effleurant mon intimité comme deux papillons butinant délicatement le calice d’une fleur. Je m’abandonnais à leurs mains expertes profitant pleinement de cette récompense. Ce doux massage relaxant  calma le feu de la douleur et fit même plus. Mon sexe béant semblait implorer un mouvement plus hardi. Je vis le regard de Mademoiselle se troubler devant ce spectacle, et elle devint songeuse. A regret elle les pria d’interrompre la séance et peu après nous sortîmes. L’après-midi était déjà bien entamée et nous n’avions rien mangé. « Et si nous allions grignoter Nathalie ? » proposa-t-elle d’un air gourmand J’avais faim et j’acquiesçais. Tous ces événements avaient aiguisés mon appétit et mes sens. Elle m’entraîna dans un petit restaurant charmant où vu l’heure tardive nous étions seules. Après avoir commandé deux salades composées elle dit. « Vois-tu Nathalie tout cela doit te sembler un peu étrange et pourtant … » « Et pourtant … » répétais-je interrogative suspendant le mouvement de la fourchette. « As-tu déjà été fessée par un de tes amants ? » « Oh  non jamais, aucun n’aurait osé ! » m’exclamais-je véhémente. Elle sourit. « Et tu as aimé  être fessée par Julian? » « Aimer n’est pas le mot. Non cela fait mal » Je me tortillais sur ma chaise à ce souvenir. « Pourtant tu as pris du plaisir » « Après oui mais pas pendant » et j’évitais son regard. Après un long silence je demandais. « Puis-je vous poser une question Mademoiselle ? » « Bien sûr Nathalie ne sommes nous pas amies ? » Je pris ma respiration et posais la question qui me brûlait les lèvres. « Etes-vous sa maîtresse ? » « Oui si tu veux on peut le dire comme cela, on se connaît depuis de longues années.» « Mais alors ? » « Pourquoi ne suis-je pas jalouse ?  Au contraire j’aime lui offrir des cadeaux. Et tu es un très beau cadeau. Je te choque ? » « Je ne sais pas c’est tellement inattendu… » « Tu comprendras un jour, l’amour emprunte différents chemins». Ainsi elle l’aimait, et moi pensais-je quels étaient mes sentiments pour Julian? En étais-je amoureuse ? Et si notre liaison dépassait le stade d’une simple passade accepterais-je aussi facilement de le partager sans vouloir le posséder pour moi seule ?     En quittant Mademoiselle Pinbal, je rentrais directement chez moi. La journée de shopping m’avait épuisée et c’est avec délectation que je plongeais dans un bain chaud et moussant. Sur le coup des huit heures mon petit ami arriva. Je le reçus en peignoir. A peine installé, il voulut me faire l’amour mais je prétextais une dure journée pour refuser. J’étais épuisée mais en vérité je ne voulais pas montrer mon sexe imberbe et devoir lui fournir des explications. Il partit fâché.  Je ne fis rien pour le retenir.   Cette nuit là je fis un rêve étrange. C’était l’heure où la pâle lumière plongeait le lointain dans une douceur amère. L’heure de l’amertume où les désirs s’éveillent, au battement des vagues qui se meurent sur la grève. S’amusant à éviter les objets qui roulent à ses pieds et déposés par l’océan en offrande, une fille court le long de la plage déserte. Un épagneul la devance, et de temps en temps elle lui envoie un morceau de bois qu’il attrape et lui ramène. Elle est vêtue d’une jupe noire très ample, ses cheveux blonds retombent sur ses épaules, et un T-shirt blanc dissimule deux petits seins pointus. Soudain lassée de ce jeu elle se laisse tomber sur le sable et s’étire le corps cambré, comme en offrande au soleil levant. L’épagneul tourne autour d’elle, son morceau de bois dans la gueule l’incitant en vain à reprendre le jeu. Elle le taquine et ses aboiements se mêlent à son rire. Apparemment résigné, le jeune chien se couche à ses pieds et les lui lèche. Elle le laisse faire et pendant ce temps sa main s'égare entre ses cuisses et elle se caresse doucement… Le lendemain je me rendis à mon travail pleine d’entrain et curieusement ma tenue ressemblait étrangement à celle portée par l’adolescente dans mon rêve.  
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Par : le 15/03/24
Esclave financier, comment on tombe dans le piège ! Suite à différentes discussions que j'ai eues sur le site dernièrement, je vois que ce sujet revient sur le devant de l'actualité. Je me permets de (re)publier ce texte autobiographique que j'avais écrit il y a quelques années. En fait, il n'y a pas que moi en tant qu'idiot à avoir donné à sa Dame des moyens de pressions. Il y a aussi les esclaves financiers. Ces hommes (rarement des femmes) qui offrent à une Maîtresse du matériel à révéler publiquement s’ils ne remplissent plus leurs obligations de paiement. - Chantage dans le SM et le BDSM - un esclavage peut-être à vie ! Si vous cherchez une Maîtresse qui va, disons le clairement, vous faire chanter, vous trouverez généralement une Maîtresse, enfin je suppose, à qui vous allez envoyer, transférer régulièrement une somme d'argent prédéterminée. En retour, vous obtiendrez de l’humiliation verbale, des insultes, des remarques méprisantes et désobligeantes sur le fait de n’être qu’un porte-monnaie stupide qui n’est là que pour son argent. Un esclave financier peut être rapidement amener à signer un contrat qui induit un aspect juridique. Par exemple un contrat de prêt avec intérêts. Il ne touchera évidemment pas le montant du prêt. Mais Oui, juridique, rien à voir ici avec le BDSM. Ce contrat détermine combien d'argent est dû et à quels intervalles. Une fois conclu, la Dame peut toujours augmenter le taux jusqu'au maximum légal... Ainsi, il est facile d'imaginer quelles seront les conséquences si l'esclave financier est en retard dans un ou plusieurs paiements ou cesse de faire des paiements. Comment le chantage se met en place. Il existe plusieurs possibilités. Un site Web spécialement conçu, comme une sorte de pilori public où le contenu personnel collecté par la Maitresse est publié d'abord en privé. La Maitresse augmente au fur et à mesure la pression en donnant accès à ce site à l'esclave financier. Si l'esclave financier ne paie pas à nouveau, alors du contenu personnel sera rendu visible pour tous sur Internet. Évidemment, tout ce fait par étape. Il est clair que pour éviter une augmentation de la somme due, l'esclave financier pris dans l’engrenage devra remettre de plus en plus de documents pertinents à sa Maîtresse. Il creuse son propre trou. Selon le type et la portée du chantage, diverses formes de sorties publiques peuvent avoir lieu. Des photos qui le montrent clairement, de grandes photos faciales, des photos du corps entier nu, des photos de sa femme et des photos nues de sa femme etc… A un moment, sa Maîtresse peut lui demander de lui remettre une copie de sa carte d'identité ou les adresses électroniques de sa femme et de ses supérieurs, ses collègues et des membres de sa famille. - Promesse de séance SM, BDSM et l'avidité de vouloir tout remettre - le repentir s'installe rapidement. Il y a des Maîtresses qui offrent les premières séances. Ainsi, Elles peuvent, par exemple, prendre des photos, faire un film plus ou moins secrètement dans lequel l'esclave financier doit se présenter puis s'humilier verbalement en disant quelle misérable créature il est. La Maitresse continuera à le filmer et le photographier alors qu'il est soumis à des pratiques sexuelles dégradantes. Ensuite tout s’accélère. Les vidéos sont de plus en plus sales et violentes. Pisse, gode ceinture, utilisation par un autre homme, anal et oral etc… Pour certains esclaves financiers, le chantage les dépasse ; ils doivent humilier leurs femmes devant la caméra de la Maitresse en disant qu'elles ont trop peu à offrir sexuellement et donc qu’elles forcent leur mari à chercher une amante. D'autres ont dû prétendre avoir trompé leur femme avec des prostituées à plusieurs reprises et avoir eu plusieurs rapports sexuels non protégés dans leur voiture dans la rue. Tout ça très bien orchestré et filmé. Tout ça peut très bien rester dans le placard à poison si l'esclave financier remplit ses obligations financières. Mais ce que j'ai vu a été conçu que pour être complètement divulgué et publié. A un moment donné, les montants mensuels sont tout simplement trop élevés pour pouvoir continuer plus longtemps. Il y a des pratiques où, dès le premier versement manquant, la divulgation publique commence. Les pauvres gars retrouvent sur Internet leurs photos, leurs adresses, parfois des photos nues de leurs femmes, sous-titrées d'insultes humiliantes. Et il y a parfois pire. Il est absolument insensé de s'impliquer dans le SM et le BDSM en payant de l’argent chaque mois afin d'être soumis à un chantage qui pourrait publiquement révélé que vous êtes un "pervers" devant votre famille, votre travail, vos amis. Vous payez pour ne pas être publié sur Internet comme un idiot naïf. Tôt ou tard vous serez sur internet et reconnu. - Mon expérience Pourquoi ces pensées flottent en moi. Je ne savais rien de tout ça avant que ma première Dame entre dans ma vie. Pendant un certain temps j'ai poursuivi l'intention de devenir son esclave. Ne rien recevoir, ou en fait si peu, mais donner tout pour cette Dame. Devoir lui prouver que je l’aimais et que j’étais prêt à tout faire pour la mériter, m'excitait beaucoup. A mes débuts, j’ai été un esclave financier des années sans l'avoir appelé ainsi. Ma première Dame non plus ne l'a pas appelé ainsi. Elle a juste contribué à sortir l'argent de ma poche. Être contrôlé financièrement par cette Dame m'excitait beaucoup. Au final, cette forme existentielle de domination et de soumission nous a rapidement conduits à la surveillance et au contrôle de mes finances et jusqu’à me priver de mon propre argent. Voilà le résultat d’années avec une dominatrice qui n’a voulu que m’humilier, me détruire. Un soumis averti a autant de valeur que deux !
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Par : le 15/03/24
Voilà quelques semaines que l’on se parlait pour échanger nos différents désirs. On se donne rendez-vous et malgré un rendez-vous manqué mais pas pour autant raté (les raisons peuvent paraître compliquées parfois), on réitéra un autre quelques jours après.   Second rendez-vous, tout est prévu pour que ce soit ce jour où nous allons pouvoir concrétiser nos objectifs qui sont dispersés sur différentes étapes et qui seront réalisés selon nos souhaits.  Jour J, toute la matinée à organiser et à préparer ta venue pour l’heure prévue, arrive l’heure, personne ! Petit SMS (j’arrive dans 5 min) et je t’attends devant la baie vitrée en sirotant un jus d’ananas et je te vois arriver. Vêtue de manière sexy et provocatrice, chaussures hautes avec des collants bas résilles, petite jupe courte noire où l’on peut deviner tes formes radieuses avec un décolleté à la poitrine qui laisse imaginer ta belle poitrine, cachée sous une veste en jean longue; qu'importe, l'essentiel c’est que tu sois là.  Je te regarde arriver traverser l’allée, valise à la main, je t’envoie un message pour te dire de rentrer, ce que tu fais de suite, nous voilà enfin ensemble. On se regarde dans les yeux, tu me souris d’un air malicieux et très enjoué qui suscite en moi bien des idées.  Je t’embrasse affectueusement et te dis (qu’est-ce que tu es belle), te dévorant du regard, tu me réponds (merci, ça y est, on y est arrivé !), moi (oui, tu es enfin là, j’en suis ravi). On monte à l’étage en se dévorant mutuellement du regard, scrutant ton corps et toi le mien, je n'ai aucun doute que l'on va très vite passer à l'acte.  On rentre dans la chambre, tu poses ta valise et me dit "tiens, je n’avais pas vu les martinets (je lui avais envoyé une photo le matin même juste avec une cravache afin d’attiser son désir)". Moi (oui, c’était pour te faire une surprise et il y en a plein d’autres qui t’attendent), de là, on se rapproche mutuellement, elle lève son visage, me regarde dans les yeux, montre l’envie qu'elle a que je l'embrasse avec fougue, tendrement, goûtant sa langue et ses lèvres chaudes et charnues que j'attrape avec mes dents en tirant dessus délicatement , prenant sa chevelure fermement pour lui montrer que je la domine en ce moment même, caressant son corps, ses petites fesses fermes et sa poitrine en forme de poire.   Puis, nous discutons de notre passion commune tout en restant dans notre découverte pour savoir ce que l’on allait faire et forcément, ce que l’on ne devrait pas faire pour avoir le consentement mutuel qui est important dans ce genre de relation !   Nous nous caressons mutuellement et je lui montre certains de mes accessoires déposés un peu partout dans la chambre, notamment une balançoire de porte que j’avais laissée dans un coin afin de lui faire la surprise, sachant qu'elle aime être suspendue, animant notre désir réciproque de passer à l’acte divinement.    Je lui demande ce qu'il y a dans cette valise, d’un air très provocateur et revendicatif (ah, je me demandais quand est-ce que tu allais me le demander !). Intrigué sans être désarçonné, je lui dis (montre-moi, je suis curieux). Et là, elle commence à me montrer une à une les choses qu'il y avait dedans !  Un plug à queue de diable, un autre en fourrure de renard, un harnais et notamment deux boîtes qui contenaient des godes XXL auxquels elle avait donné des prénoms (excité par ma curiosité, je lui demande si elle les utilise, (oui, je suis une nympho qui aime beaucoup se faire du bien).    Excité et non résigné, je lui réponds (tant mieux, j’aime les petites filles pas sages avides de sensations fortes et je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi !   La suite dans quelques jours (moment réellement vécu).
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Par : le 14/03/24
La Belle et la Bête (fin)   Le Maître lui intime l’ordre de s’asseoir. Nahéma tente de s’exécuter. Tout son corps est douloureux. Alors s’asseoir quand ses fesses sont en feu! Elle y parvient difficilement en serrant les dents. Le Maître lui ôte son bandeau. Elle revient enfin à la lumière, c’est un soulagement. Elle espère que son calvaire va prendre fin. Elle va vite déchanter. Le maître saisit une corde de chanvre qui traînait négligemment sur la table de chevet. Nahéma frémit. Jamais son maître ne s’en est servi, et pour quoi faire d’ailleurs. Elle n’a pas le temps de se poser toutes les questions qui l’assaillent. La corde fait plusieurs mètres de long et passe rapidement autour de son cou. Puis le maître descend sur son sein gauche et le ficelle en faisant deux tours. Il passe ensuite sur le second qui subit le même sort. La corde remonte sur son cou. Encore deux tours et il attache les deux extrémités dans son dos. Nahéma voit ses deux seins légèrement bleuis qui pointent comme des obus. Ses tétons sont encore plus dressés. Nahéma a mal, la douleur est difficilement supportable. Quel est ce nouveau jeu, cette nouvelle torture? Elle a entendu parlé de bondage et elle espérait bien pouvoir y échapper. Elle constate avec effroi qu’il n’en est rien. Alors ne pas réagir et supporter stoïquement cette épreuve. Son Maître est vraiment impitoyable et ne lui épargne rien. Elle n’est plus qu’un jouet manipulable à souhait au gré des plaisirs sadiques d’un homme qui la soumet au pires souffrances. - Tu es parfaite en bonne petite salope assoiffée de sexe et d’émotions. La corde te va à ravir, c’est très excitant de te voir avec tes mammelles bien tendues et gonflées comme celles d’une grosse vache à lait. Qu’en penses-tu? Tu ne te trouves pas belle ainsi? - Je le fais pour votre plaisir, Maître. Mais c’est douloureux. - Aucune importance. Mais tu as raison, c’est uniquement pour mon plaisir. Tu me fais bander. N’est ce pas ce que tu veux? - Si mon maître, je me languis de votre queue. J’ai trop envie de la goûter. - Alors prends la dans ta bouche, petite pute, tu l’as bien méritée. Et il s’enfourne dans sa gueule de chienne grande ouverte. Nahéma ne ressent plus sa douleur, elle ne sent plus que cette queue qui lui défonce la gorge. Elle aimerait se repaître de sa semence et malgré ses liens elle arrive à le branler énergiquement pour enfin pouvoir conclure cette laborieuse séance. Mais après une longue irrumation, il se dégage pour envisager d’autres jeux qui lui conviendront mieux. - Mets-toi en levrette, petite catin. Je veux profiter et user de tous tes orifices. Ils m’appartiennent, je veux en jouir aussi. Il s’empare alors de ses fesses qu’il frappe de ses mains puissantes à la manière d’une correction en introduisant sauvagement sa queue dans son petit trou. Elle pousse alors un cri de surprise. Elle l’attendait avec impatience dans sa chatte mais qu’importe ! Elle adore se faire enculer malgré son crochet qui est toujours à poste. Son clitoris gonflé appelle ses doigts habiles de leur savoir faire. - Maître, m’autorisez-vous à satisfaire ma chatte ? - Tu l’as mérité, catin que tu es, mais tu ne dois pas aller jusqu’à la jouissance sous peine de sanctions. - Merci Maître. Je vais faire attention de ne pas aller trop loin. Elle entreprend immédiatement avec sa main de se satisfaire. Quel délice avec le va et vient de sa queue qui la pilonne. Il va être difficile de ne pas se laisser aller jusqu’à l’ultime orgasme, mais elle le sait intransigeant et ne doit pas déroger à ses exigences. Pourtant elle aime friser la désobéissance voire se rebeller pour le plaisir, mais elle ne s’y hasarde pas car elle connait les conséquences qui en découlent. Il l’entend haleter et gémir de plaisir. Il se retire parfois pour contempler son trou bien dilaté et qui refuse de se refermer. Cette vision l’enchante et il y retourne puisque l’accès est si facile. Mais cette sodomie ne sera pas un point final, il veut s’octroyer d’autres plaisirs. Lui défoncer la chatte? Elle est verrouillée. Il n’a pas le courage d’ôter le cadenas, la fatigue commence à se faire sentir. Alors, il se retire, se couche sur le dos, entraînant Nahéma par la crinière et la guidant vers sa queue: - Suce moi, petite salope. Il est sur le dos, le membre fièrement dressé, - Oui Maître, avec un immense plaisir ! Enfin la récompense tant espérée. Elle va y consacrer toutes ses forces et le reste de son énergie. Et d’abord s’appliquer et prodiguer un service parfait. Et puis ne pas divaguer comme elle en a l’habitude. Son imagination l’entraine parfois sur des chemins de traverse où elle n’a rien à y faire. Un court instant, elle ferme les yeux et imagine s’empaler sur ce sexe majestueux, mais ce n’est pas au programme, ce n’est pas elle qui décide. De toute façon, son cadenas l’en empêche, alors, aucun regret. “Reprends tes esprits, ma petite, et cesse de gamberger, ressaisis-toi vite”. Elle s’installe à quatre pattes, se trémoussant le derrière pour s’offrir en spectacle. Elle sait qu’il aime la regarder opérer. Elle agite sa langue avide de cette queue tel un serpent qui sent sa proie, car c’est avant tout une suceuse ! Sucer des queues, elle adore, c’est une jouissance suprême. Elle en a une longue expérience. Et celle de son Maître, c’est sa préférée. Elle bave un peu. Elle commence par promener sa langue au pli de l’aine en descendant sur l’une des jumelles jusqu’au périnée et remontant sur ce membre puis redescend, visant l’autre jumelle decrivant ainsi un W. Puis elle lèche délicatement cette queue, jouant avec la force de ses lèvres et avec sa langue elle effectue des mouvements descendants, ascendants pour mieux l’humidifier et finit par l’emboucher goulûment jusqu’au fond de la gorge accélérant la cadence au rythme des gémissements de son Maître qui semble savourer ses douceurs tactiles et visuels. C’est qu’elle est belle dans cet exercice. Ce dernier s’abandonne à cette bouche gourmande. Nahéma se laisse glisser à plat ventre, pour mieux se saisir de ses couilles, ses deux petites chéries, ses jumelles. Elles ne sont pas en reste et se font pétrir avec délicatesse par sa main d’experte, avant de les saisir à leur tour en bouche les faire rouler sous sa langue pendant que ses doigts se referment sur sa queue et la branle énergiquement. Elle remonte sur son pal le reprend en bouche puis se caresse les joues, c’est sa petite récompense, elle apprécie cette douceur et de nouveau l’avale, comme une mangue dont elle voudrait extraire le jus, elle la tète, l’aspire, la mordille et se l’enfonce jusqu’à la gorge avec vigueur car elle sent la jouissance de son Maître imminente. Elle aime cet instant suprême où il va lui déverser tout sa semence dans la bouche et qu’elle avalera avec gourmandise, l’ultime récompense de la putain qui a satisfait cette bonne queue avec sa bouche. Son allégeance est une victoire, un savoir-faire qui a honoré son Maître. Mais aussi une certaine dominance pour Nahéma. Enfin le Maître se délivre, il décharge sa purée et Nahéma la reçoit sans perdre une seule goutte de cette savoureuse offrande. - Ne l’avale pas tout de suite. Elle fait tourner dans sa bouche le précieux liquide et en savoure la sapidité. - Avale, maintenant. Ce qu’elle fait avec délectation. - Tourne-toi à présent. Je vais te défaire de ton bondage. Ce qu’il fait en un tour de mains. Elle retrouve ses jumeaux avec leur forme et leurs couleur habituelles. Ils n’ont pas trop souffert du traitement. Pourtant elle regrette déjà l’oppression de la corde sur sa poitrine. - Tu vas dormir avec ton cadenas, tes liens de poignets et ton crochet. J’aurai peut être envie de t’enculer plus tard. Au moins ton cul sera ouvert et je n’aurai pas besoin de le préparer. A présent, tu vas évacuer ta pierre de jade. Je sais que tu te l’es enfilée, grosse salope. Et montre-moi bien comment tu t’y prends, je ne veux rien manquer. Ensuite tu la suces pour bien la nettoyer. Grosse, elle ne l’est pas, mais salope, c’est certain. Les consignes sont précises. Elle s’agenouille, les cuisses bien écartées. Après quelques spasmes internes, elle pond son oeuf qui tinte en sortant contre son cadenas. Pour cela elle a dû tirer un peu sur ses lèvres en grimaçant un peu, pour finir de l’extraire. Elle le récupère promptement et l’embouche. Voilà qui est fait. - Demain matin, tu me réveilleras en me suçant. Et branle-moi énergiquement je veux bander dur avant de faire gicler ma sauce sur ton visage. Tu l’étaleras bien et laisseras sécher mon jus. Il te fera comme un masque de beauté, c’est excellent pour la peau. La séance est terminée, elle l’a accomplie avec le brio qu’on attendait d’elle. Elle va pouvoir à présent se réfugier dans son domaine de prédilection: un sommeil peuplé de rêves inattendus et qu’elle voudrait érotiques. Elle espère bien se faire prendre dans son sommeil et ressentir dans une semi conscience des sensations inespérées. Elle rêve déjà du réveil de son maître et s’en pourlèche les babines. Avant de s’éteindre elle parcourt les boursouflures laissées par la cravache, sur ses fesses, ses cuisses et ses seins. Elle est très fière de ces marques et les montrera à son Maître demain après sa fellation. Enfin, Nahéma s’endort pour voguer vers des horizons encore inconnus.
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Par : le 14/03/24
/!\ C'est une histoire fictive avec des protagonistes majeurs /!\ Mon Papa m’emmène en forêt aujourd'hui, je suis trop contente. Allez Leïla, on va t’habiller pour sortir en forêt. Je suit Mon Papa dans ma chambre. Je vais m’asseoir sur mon lit le temps qu’il choisisse ma tenue.    Avec Papa tout semble simple. Mon Papa choisit tout et décide tout. Et puis moi je peux toujours être sa fille.   Il fait beau alors il prend une de mes robes roses avec des petits lapins dessus. Il me retire mon body, me met ma petite culotte, il frôle mon minou innocemment, ce qui me donne des frissons. Il met ma robe, puis des chaussettes qui montent jusqu'au genoux. Elles sont violettes avec un petit nœud.  Je me lève tout en regardant Papa.  Voilà ma petite chérie toute belle. On va aller mettre tes bottes et ton blouson car il a plut.  D’acco Papa   Il me prend la main pour aller devant la porte d’entrée.  Je m’assois sur le petit banc à l’entrée. Il met alors mes bottes avec les cœurs.  Je me lève toute contente.  Voilà Papa, on peut partir.    Il me prend la main et nous voilà en route pour la forêt.  Pendant  le trajet je remarque le regard des passants qui s’interrogent mais pour moi peu importe car je suis avec Papa.   On arrive enfin en forêt avec Papa.  Ici on croisera personne qui nous embêtera. Je sautille pendant la promenade.  Je m’arrête pour sentir chaque fleur.  Papa, Papa regarde, elle est trop zoli la fleur.  Ho c'est jolie ma chérie, et si tu me ramasses plein de fleurs comme celle-ci, on pourra en faire un bouquet.  Oh oui d’acco, vais faire ça.   Maintenant pendant la promenade je prends toutes les fleurs que je trouve jolie. En voyant une jolie fleur de l’autre côté d’une grosse flaque.  Leïla!!! Trop tard, j'ai sauté à deux pieds joints dans la flaque.  Je me tourne et je vois que Papa est très fâché.  Il a plein de traces de boue sur son pantalon.  En baissant la tête je vois que mes jambes et ma robe en sont aussi couvertes. Je fais ma tête toute mignonne à Papa mais rien y fait, il est fâché. Il vient brusquement vers moi, je vois à son visage qu’il n’est pas content. Il me prend violemment par le bras pour me conduire à la voiture. Papaaaaaaa, tu me fais mal. Me plaint-je. Je m’en fiche Leïla. Tu sais très bien que tu n’as pas le droit de sauter dans les flaques. Je traine des pieds, je gesticule dans tous les sens, je vais tapé Papa pour me défaire de lui. Je sens soudainement une douleur à ma joue. Papa m'a mis une gifle, ce qui me calme instantanément. Je caresse ma joue pour calmer la douleur.  Papa me jette dans la voiture.  Tu sera puni en rentrant. Ton comportement est intolérable.    Le trajet se passe dans le silence. Papa est toujours en colère contre moi. Je baisse la tête sachant que je suis allez trop loin.    Arrivée à la maison, je reste dans le halle à attendre ce que Papa va faire. Je suis inquiète. C’est pas la première fois que je fais une bêtise mais c'est la première fois que Papa est autant en colère.  Papa me prend la main. Ma chérie tu t’es comportée comme un bébé. Alors je vais te traiter comme tel.  Mais Papa suis désolée. Voulais pas te faire du mal. Je sais bien mais je dois quand même te punir. Je vais te mettre une couche pour le reste de la journée.  Mais suis trop grande pour en emporter. Ronchonnait-je Une grande ne se serait pas comportée ainsi. Tu a sauté dans la flaque , tu t’es sali et en plus tu as fait une crise. Alors maintenant rend moi fière et accepte la sanction.  D’acco Papa, me resignai-je en baissant la tête.    Je le suis dans ma salle de bain.  Je vais te faire prendre ton bain car tu es toute sale.  Papa enlève ma robe. Je suis en culotte devant lui. Je lève la tête et je vois dans ses yeux plein d’envie.  Il allume le robinet du bain.  Papa caresse de sa main ma poitrine.  Tu es magnifique ma fille. J’ai de la chance de t’avoir à mes côtés.  Mici Papa, ai aussi de la chance.  Dis je en rougissant Il me caresse la joue puis se met à genoux. Il fait glisser ses mains sur mon corps.  Un frisson me parcourt.  Quand il arrive sur mes hanches, il prend ma culotte et ma baisse. Je sens le souffle de Papa sur mon minou.  Je suis entièrement nue à présent.    Papa nous sort de cet état d’envie quand il remarque  que le bain est prêt.  Alors il m’aide à monter dans le bain. J’y suis trop bien. Il y a de la mousse, des petits bateaux.  Je joue avec tous pendant que Papa me regarde avec ses yeux d’amour.    Au bout d’une dizaine de minutes, il arrête le jeu. Allez mon bébé, il est temps de te laver.  Papa frotta doucement tout mon corps avec un gant. Que c’est agréable de sentir les mains de Papa me parcourir innocemment.  Il est sur mes cuisses, il monte vers mon pubis ce qui augmente ma respiration. Mais ce n’est plus le gant mais les doigts de Papa. Il les dépose sur mon Pubis.  Chéri, je vais te nettoyer entièrement. Es ce que tu es prête?  me dit-il en me regardant dans les yeux.  Je réponds d’une petite voix Vi, Papa.  Les mots de Papa m'excitent car je sais ce qu'il va faire.    Papa vient alors glissé ses doigts sur mon minou.  Il le frotte bien pour qu’il soit nettoyé.  Ses doigts frôlent mon bouton magique ce qui me fait pousser un léger crie. Papa lève la tête et me regarde interloqué. Qu’est-ce qui t’arrive ma puce. je rougis alors instantanément. Oui, a va.  J’évite au maximum son regard. Hé Leïla, tu ne dois pas avoir honte. Qu'est ce que ça te fait quand je fais ça? En le disant, Papa caresse plus mon petit bouton. Je gémit alors plus fort. Je ne contrôle plus mon corps qui se cambre.  Papa a son petit sourire satisfait.  Tu as l’air d’aimer ça.  Soudainement Papa s’arrête. Grrrrrr, Aiiie Papa me pince les tétons. Mais heeeeuuu, papaaaa! Fallait pas grogner sur Papa. Tu es une petite fille et non un animal.  Je baisse alors la tête en guise de pardon.  Voilà ce qui est mieux. Il faut que je continue ton bain toi. Alors Papa met ses doigts à l’intérieur de moi pour bien me nettoyer.  Il bouge ses doigts ce qui me provoque du plaisir. Mais il retire rapidement.  Je me retiens de grogner.    Il glisse sur mon petit trou. Il s’ouvre doucement, il en profite pour s’y glisser. Ce qui me fait grimacer de douleur.  D’un ton rassurant, il me dit, C’est bientôt fini ma chérie  Il fait quelques va et vient quand je commence à gémir, il retire son doigt avec un sourire sadique.  Te voilà toute propre.    Papa tend sa main que j’attrape. Il me sort du bain et m'enveloppe d’une serviette.    On va te mettre une couche et t’habiller. En entendant ses mots j’arrête de sourire sadique. Je veux sortir mais Papa bloque la porte.    Il me porte pour me mettre sur ma table. La couche était déjà là.  Je me laisse faire Mmmmh j’ai bien envie de goûter à ma fille toute propre.  Papa vient alors glisser sa langue sur mon minou. Il me fait alors gémir.  Il glisse sur mon clitoris et même à l'intérieur. Mes cris s'intensifient. Papa a une langue agile. Je sens le plaisir monter. Après le bain il me faut pas longtemps pour avoir un orgasme.  Papa … vais… avoir … un orgasme.  Vas-y lâche toi. A ces mot, j’ai un orgasme violent qui fait avoir des spasmes.   Quand je reprends mes esprits. Je me retrouve avec une couche. La sensation est bizarre.    Papa me retire de la table et me met mon body, je suis encore un peu dans le vape.  Une dernière chose. Tu n’iras pas aux toilettes sans mon autorisation.   Je sais qu’il va alors me forcer a faire pipi dans ma couche.   Le reste de la soirée, je suis à côté de Papa  à colorier.  Je me suis habitué à ma couche.  Mais soudainement, je sens une évie de pipi.  Je regarde  alors Papa.  Papaaaaaaa! J’ai envi de pipi. Peux aller aux toilettes ??? Bha  chérie, ça tombe bien. Tu as une couche. Ma peur c’est avéré vrai.  Je fais alors non de la tête à papa.  Et bien c’est que tu n’as pas tant envie. Allez je vais nous faire à manger.    Papa me laisse sur le canapé. J’essaye de m’occuper pour oublier mon envie. Mais plus le temps passe et plus ma vessie me fait mal. Je tente à nouveau de lui demander.  Papa, je veux aller au toilette, ti teu plaît, dis-je avec une petite voix.  Ma puce je t’ai déjà dit non Mais a fait mal Papa s’arrête  pour venir me voir.  Chérie, si ça te fait mal, j’ai pas le choix. Je souris de victoire. Pour moi j’ai gagné. Mais non, il met sa main sur mon ventre et appuie dessus. Je ne peux plus me retenir. Honteuse, je me lâche.  Voilà ça ira mieux maintenant. Par contre c’est pas bien de t’être retenue. Le repas est fini donc il faut qu’on mange. Je te changerai après manger.    Pendant tout le repas, je me sentais salé et peu à l’aise. Papa lui avait l’air d’en rire. Le repas se finit enfin.  Suis moi, on va dans la salle de bain. J’ai hâte de ne plus avoir cette couche. Je me presse dans ma salle de bain. Je grimpe sur la table et attends Papa. Il retire mon body puis enfin la couche. Bha chérie, tu n’as pas su te retenir ? J'ai bien fait de te mettre une couche. Je le déteste en cet instant. Il s’amuse à m'humilier. Pour toute réponse moi je rougis de honte. Il prend une lingette et essuie mon sexe.  Il s’amuse à me stimuler alors que je suis morte de honte. Le pire c'est que ça marche.  Bah alors ma puce tu es toute trempée. Tu aimes quand Papa prend soin de toi. On va retirer ce body pour aller au lit    Toute nue, je vais au lit. Avant de me border, Papa me caresse le corps.  Ma puce toi tu es toute propre mais Papa non. J’ai besoin de ton aide. Ouvre la bouche. J’obéis, je passe ma langue sur le sexe de Papa. Puis rentre la bague de Papa dans ma bouche. Papa tient ma tête en faisant des va et vient. Petit à petit il va de plus en plus vite et de plus en plus fort sans faire attention à moi. Mmmh j’en peux plus je te veux.  Il se retire. Sans que j’ai le temps de réagir, il est sur moi.  Il m’embrasse dans le coup. Soudain, il me mord et rentre en moi en même temps.  Je ne peux m’empêcher de crier de douleur.  Il commence à faire des va et vient fort et violent.  Tu es une vilaine  coquine vu comment tu es mouillé Moi je gémit  de plaisir. Les insultes mais aussi la violence de Papa me montre que je lui appartiens ce qui m’excite.   J’en ai marre de t’entendre. il me met  sa main sur ma bouche.  Il met un violent coup puis râle de plaisir.    Papa m’embrasse sur la bouche et vient me chuchoter  Tu es  à Papa.  Il se retire, ouvre la table basse et prend mon jouet préféré.  J’ai pas le temps d’atterrir qu’il me dépose sur mon bouton magique et l’allume au début je bouge dans tous mes sens. Il me bloque les jambes. Très vite, je sens l’orgasme monter.  Pa.. pa a monté. Peux ?  Vas y, ma Puce. Tu le mérites.  Dans un spasme de plaisir, je crie.  Papa fait un bisou sur le front, prend une serviette et m’essuie.  Je tombe de sommeil, heureuse juste après.
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Par : le 13/03/24
Nathalie la douce ingénue suite chapitre 2 et 3   CHAPITRE 2   : UN EMPLOYEUR PAS COMMODE   Les dix coups de 10 heures sonnaient au clocher voisin lorsque je pénétrais dans un immeuble cossu du centre ville. L’étude de maître Julian avocat, se trouvait au deuxième étage. En poussant la porte je me retrouvais dans une vaste entrée ou de confortables fauteuils de cuir vous tendaient les bras. Le décor était moderne, avant-gardiste même, table en verre design, pâtes de verre et sculptures. Des spots à halogènes éclairaient des tableaux contemporains qui complétaient admirablement l’ensemble. Tout était agencé avec goût et respirait un luxe discret. Je me surpris à penser que cet avocat ne devait pas s’occuper de divorces et autres broutilles. L’absence de secrétaire à l’accueil me rappela l’objet de ma visite. Je m’étais creusé la tête une partie de la soirée sur la tenue que j’allais porter. Finalement mon choix c’était fixé sur un ensemble composé d’un pantalon noir et d’une veste assortie, un pull blanc complétait l’ensemble. Mes cheveux étaient sagement noués en chignon et je n’avais pas la moindre trace de maquillage. Après une attente d’environ 15 minutes, maître Julian vint me chercher avec un grand sourire et m’introduisit dans son bureau. Sa poignée de main était franche et d’un geste il m’invita à m’asseoir. Grand et mince, il devait avoir fin de la quarantaine, un physique agréable, certainement sportif. Il était vêtu style chic décontracté, très Britisch. « Comment va cette chère Mademoiselle Pinbal ? » Me demanda-t-il à peine avais-je pris place sur l’extrême bord du siège situé face à son imposant bureau. « Bien, elle va bien » répondis-je d’une voix mal assurée. « Tant mieux. J’espère que cette fois ci elle m’envoie la perle des secrétaires. Elle a toujours tendance à vouloir  m’envoyer les incasables de chez BURAXE. » Pour me mettre à l’aise on ne pouvait faire mieux. Ainsi je n’étais pas la première qui avait été pressentie à ce poste et visiblement aucune n’avait trouvé grâce à ses yeux. Je restais obstinément muette. Il poursuivit. « Alors comme cela vous voulez devenir secrétaire. Vous pensez avoir les qualités requises ? » « Je l’espère Monsieur » « A votre avis quelles sont les qualités que l’on attend d’une bonne secrétaire ? » Je ne me souviens plus trop de la réponse que je donnais. Visiblement il s’amusait à me déstabiliser, passant d’un ton léger, non dépourvu d’humour à un ton beaucoup plus sérieux. L’entretien durait depuis environ 30 minutes et je commençais à penser que j’avais peut-être une chance lorsqu’il se prit soudain la tête dans les mains semblant préoccupé.   « Voyez-vous mademoiselle, ma clientèle est en grande partie composée de business-man. Je me suis en effet spécialisé dans les affaires internationales : acquisitions, fusions, brevets et autres opérations qui nécessitent les conseils d’un avocat d’affaires. La langue couramment utilisée est l’anglais. Quel est votre niveau en anglais ? ».   « C’est l’anglais scolaire Monsieur » dis-je consciente de le décevoir. Il fit la moue. « C’est bien ce que je craignais, dites moi seriez vous prête à suivre des cours d’anglais en dehors de vos heures de travail. De manière intensive ? » Il  plongea son regard dans le mien guettant ma réponse.   « Oui, bien sûr Monsieur, je vais m’inscrire à un cours d’anglais »   « Pas un de ces cours bidons. Un cours particulier, à raison de trois soirs par semaine. Et ce sera moi qui vous le donnerai. J’ai fait une partie de mes études à Oxford. Etes-vous libre en soirée ? ».   « Oui Monsieur je me libérerais »   Il poursuivit.  «  Savez-vous que les précepteurs anglais ont conservé l’usage des châtiments corporels ? ».   Cela devait encore être  une de ces boutades, mais sur moi le résultat fut catastrophique. Je commençais par rougir et baisser les yeux puis comme piquée au vif je répondis d’une voix mal assurée.   « Mais nous sommes en France ! ».   « Assurément, mais pour apprendre une langue il faut s’imprégner de la mentalité du pays. Et croyez-moi les résultats sont excellents et rapides. Vous voulez faire des progrès rapidement n’est-ce pas ? ».   « Oui Monsieur mais… » mon ton de voix était plaintif.     Sa voix se fit plus grave. Et son ton plus ferme. « Il n’y a pas de mais. C’est à prendre ou à laisser. Croyez-vous que je n’ai que cela à faire ? Consacrer mes soirées à une secrétaire pour lui enseigner l’anglais ? ».   Je me tortillais sur ma chaise, ne sachant que répondre ni quelle attitude adopter. Ma première réaction avait été de me lever et partir. Mais l’idée d’avoir à affronter Mademoiselle Pinbal me retint. Même si je racontais la scène on ne me croirait jamais. Avec son statut d’avocat et son air innocent, il lui serait facile d’affirmer que  toute cette conversation n’avait jamais existé autrement que dans mon imagination. Inutile de rêver, si je refusais, faute d’avoir trouvé un employeur, je  serais exclue de l’école. Et je ne serais jamais secrétaire. Avais-je envie de retravailler dans un hôpital et de passer ma vie à torcher le derrière des grabataires jusqu’à la fin de ma vie ? L’étonnement, la colère, la peur, la perplexité, tous ces sentiments se lisaient sur mon visage. Et il ne me quittait pas des yeux se délectant du combat qui se livrait en moi. Pourquoi Mademoiselle Pinbal m’avait-elle envoyée dans ce piège ? Et comment m’en sortir ? Et s’il bluffait ? Il n’avait finalement fait qu’évoquer une pratique, à aucun moment il n’avait prétendu me l’appliquer.   D’une voix calme et posée il reprit. « Voilà comment nous allons procéder. Vous avez une journée pour réfléchir. Si vous êtes décidée je vous attends demain matin à 9 heures pour commencer notre collaboration.  Au revoir mademoiselle».     Aujourd’hui encore, je ne me souviens pas comment je quittais son bureau. Je ne repris le contrôle de moi qu’une fois arrivée dans la rue. Je ne mis pas les pieds au cours de la journée. Ce furent des heures particulièrement pénibles et je passais une nuit peuplée de rêves étranges. Je me retrouvais jeune interne dans un établissement scolaire où régnait une discipline sévère. Tous les matins, les élèves devaient avouer leurs fautes devant toutes leurs camarades rassemblées, et une surveillante distribuait les punitions. Je me réveillais trempée au moment où mon nom fut prononcé. Quel horrible cauchemar ! Pourtant le lendemain matin ma décision était prise, je devais au moins essayer. J’aviserai s’il mettait ses menaces à exécution.   CHAPITRE 3   : LA LECON D’ANGLAIS   J’arrivais à l’heure au bureau. Il ne parut nullement surpris de me revoir. Toujours ce même sourire et la franche poignée de main. La journée se passa rapidement. Tout était nouveau, tout était à découvrir. En l’absence de secrétaire toutes les communications ainsi que la frappe de ses rapports passaient par une société de secrétariat. N’ayant que le courrier à traiter, l’apprentissage se faisait en douceur. Il était aimable, attentionné rectifiant mes erreurs avec patience. Je bénéficiais de ses précieux conseils. Vers les 18 heures, il m’appela dans son bureau.   « Alors Nathalie cette première journée s’est bien passée ? »   « Oui mais il y a tellement de choses à apprendre, je ne sais pas si j’y arriverai ? ».   « Vous y arriverez, vous êtes travailleuse et vous avez envie de bien faire ! »   « Merci  Monsieur ! »   Je ne savais pas comment l’appeler. Lorsque des clients venaient je les recevais en leur demandant de patienter le temps de les annoncer auprès de maître Julian. Mais une fois seule avec lui dans le bureau, je préférais l’appeler Monsieur.   « Concernant les cours d’anglais, je vous verrais les lundis, mercredi et vendredis soirs. Les autres jours vous êtes à l’école. Cela vous convient-il ? » Nous étions mercredi et il me prenait à l’improviste. Je demandais inquiète.   « Et on commence quand ? »   « Ce soir bien entendu, cela vous pose un problème ? » demanda-t-il d’un air innocent. « Non » répondis-je dans un souffle. « De quelle heure à quelle heure ? » « On débutera à 19h30, cela vous laissera le temps d’avaler un sandwich »   J’étais coincée. Il m’avait consacré une bonne partie de la journée avec une patience et une gentillesse qui m’avaient étonnée et je me voyais mal refuser. Après tout c’est pour moi qu’il se donnait la peine de faire des heures supplémentaires. Néanmoins le souvenir de la conversation de la veille me revint en mémoire. « Bien Monsieur » m’entendis-je lui répondre Satisfait de ma réponse il me libéra en me disant à tout à l’heure. J’en profitais pour avaler une salade dans un resto rapide. Je n’avais pas vraiment d’appétit. En reprenant le chemin de l’étude j’étais beaucoup plus impressionnée que lors de mon premier entretien.   Lorsque je revins à 19h30 la nuit était tombée. Des bureaux se dégageait une ambiance différente. Les lumières plus tamisées ajoutaient à l’étrangeté de la scène. Il m’accueillit en bras de chemise et me regarda intensément comme s’il me voyait pour la première fois. « Nous allons tous les deux parler en anglais. Défense de prononcer le moindre mot en français. Est-ce que cette règle vous convient ? »   «  Oui Monsieur »   Et il passa avec facilité déconcertante à la langue de Shakespeare.   «  Bien Nathalie, en tant qu’élève vous aller commencer par enfiler l’uniforme des étudiantes anglaises. J’ai tout préparé dans la pièce du fond. Celle qui est à droite tout au bout du couloir. »   J’avais compris l’essentiel du message, élève, habits se changer, uniforme. Où voulait-il en venir ? J’avais conservé la même tenue que la veille. Il n’avait pas eu l’air d’y attacher la moindre importance.   « Mais Monsieur ne puis-je pas ? rester ainsi »   Il sourit de mon accent et de mon anglais approximatif. Mais son ton fut sévère.   « Nathalie ne cherchez pas à me mettre en colère. Lorsque je vous demande quelque chose vous vous exécutez. Est ce clair ? Vous avez 5 minutes pour vous changer »   Résignée, je me levais donc et me rendis en traînant les pieds dans la pièce du fond.     C’était une salle de détente avec de nombreux appareils sportifs.  Un vélo d’appartement, un banc de musculation, et bien d’autres choses encore. Mais mon regard se posa sur une chaise sur laquelle il avait placé ma tenue. Un chemisier blanc, une jupe bleue plissée, une paire de socquettes blanches et même une paire de chaussures à talons plats. J’allais ressembler à ces collégiennes que l’on voit dans les séries américaines. Et zut, pensais-je il me prend pour une gamine.   Je commençais à me déshabiller ne gardant que mon slip et mon soutien-gorge. Le chemisier serré faisait ressortir ma poitrine. Sans être transparent il laissait deviner les contours du soutien-gorge. Dans un accès de pudeur je le boutonnais soigneusement jusque tout en haut. La jupe était courte et ne cachait pas grand chose de mes jambes, minces et fines. Les socquettes blanches accentuaient le côté adolescente qui a grandi trop vite. Je fus surprise de trouver les chaussures à ma taille. Visiblement il avait tout prévu.   Lorsque je fus prête je me regardais dans la glace. J’avais tout à fait l’air d’une jeune fille de bonne famille, mais il aurait suffit d’un rien pour que cela devienne coquin. Je ressortis en marchant d’une démarche peu assurée.   « Parfait Nathalie, vous êtes très jolie habillée ainsi, nous allons pouvoir commencer »   Il s’était confortablement installé dans un des fauteuils de l’entrée, un verre de whisky posé à ses côtés.   « Je vais jouer le rôle de Monsieur Wilson, un de nos plus anciens clients, et vous allez jouer votre propre rôle en m’accueillant. »   Je m’appliquais   « Bonjour Monsieur Wilson, veuillez prendre place je… »   Il m’interrompit  rectifia  ma posture, reprit les mots prononcés et mon accent.   «  Bonjour Monsieur Wilson, Maître Julian va vous recevoir dans quelques instants en attendant puis-je vous offrir… » C’est mieux mais souriez et soyez plus accueillante, moins raide. Il me fit me déplacer, rectifia ma démarche. La conversation allait à un rythme soutenu et je peinais cherchant mes mots. Cela dura ainsi longtemps, trop longtemps. Parler anglais m’obligeait à un effort de réflexion continuel. Il était tard la journée avait été longue et je commençai à être fatiguée. Il s’en aperçut. Je crus qu’il allait m’accorder une pause bien méritée. Au contraire il continua me poussant dans mes derniers retranchements. Je renâclais et fis plusieurs fautes de débutantes. Il gronda. « Cela ne va pas, vous êtes ailleurs. Vous n’êtes pas fichue de vous concentrer, et bien nous allons changer de tactique. Debout »   Je me levais au bord des larmes.   « Tournez-vous et penchez-vous. » Le ton n’admettait pas de critique.   J’obéis en tremblant. Il se mit derrière moi et me releva ma jupe. Je me redressais d’un bond prête à me défendre. Mais d’une main ferme il appuya sur mon dos et m’obligea à me courber. D’un geste vif ma jupe fut montée et il dit d’un ton autoritaire.   « Ne bougez pas »   Rapidement il fit glisser mon slip le long de mes jambes et empoignant mon pied il le souleva. Il profita du déséquilibre pour  retirer mon slip. Je le suppliais.   « Pitié non pas cela. Vous n’avez pas le droit»   « En anglais, parlez anglais »   «  Non je ne veux pas. Non »   Il me lâcha. Je me redressais en sanglotant. La jupe c’était sagement repositionnée ménageant ma pudeur. Il dit d’un ton froid.   « Une fessée se donne cul nu. Compris ? Alors obéissez sans discuter. Attrapez vos mollets avec vos mains. Sans fléchir les jambes. »   Après un moment de stupeur, je m’exécutais mais je n’y arrivais pas. « En écartant les jambes petite sotte. Plus bas les mains. Ecartez plus. »   Je me retrouvais dans une position pour le moins tendancieuse. Il s’approcha de moi et à nouveau retroussa ma jupe. Ma cambrure forcée faisait saillir mes fesses et mon intimité s’offrait à son regard. Ce n’est pas ma légère toison blonde qui me protégeait. Il s’assit dans le fauteuil pour contempler l’impudique spectacle. Des larmes coulaient de mes yeux. Estimant qu’il n’avait pas à faire de manières avec une fille qui montrait son cul aussi facilement il reprit d’un ton familier « Voyons au moins si tu sais compter jusqu’à trente en anglais. Je vais te fesser et tu compteras les coups, d’une voix claire. Tu as compris ? »   « Oui Monsieur » dis-je dans un souffle, entre deux sanglots.   « Plus fort je n’ai pas entendu »   « Oui Monsieur » articulais-je d’une voix plus distincte.   Il passa sa main sur mes fesses les caressant avec douceur, explorant leurs formes rebondies. Soudain une légère tape vint cingler un de mes deux globes.   « Aiie ! » criais-je plus de surprise que de douleur. « Compte au lieu de crier »   « Un ».   « Non. On recommence à zéro et articule »   Et il m’envoya un coup plus fort. « Un »   Le second coup fut porté sur la même fesse. « Deux »   Arrivé à 10 il s’interrompit pour me palper les fesses complaisamment offertes et s’amusa à les tâter, pinçant par-ci par-là la chair offerte entre ses doigts. Admirant la jolie coloration rose qui commençait à orner le bas de mes reins. Puis les claques se mirent à pleuvoir et la douleur devint lancinante. Tout mon corps se raidissait avant le coup suivant et mes globes devenaient deux êtres vivants dotés d’une vie propre.   Consciencieusement je comptais à chaque tape sachant que toute désobéissance ne ferait que prolonger la punition. Toute mon énergie s’employait à anticiper le moment où sa main s’abattrait sur mes fesses devenues écarlates. Entre deux taloches il flattait ma croupe offerte et un simple effleurement de ses doigts suffisait à me faire gémir. Puis lentement sans m’en rendre compte je m’habituais à son rythme. Et curieusement à la souffrance succédait une impression étrange. Comme lors d’une épreuve sportive lorsqu’on recule le seuil de sa résistance en puisant dans ses réserves. On atteint alors un état second où le plaisir prend le relais de la douleur. Presque un état de grâce. Etait-ce l’acceptation du châtiment qui rendait celui-ci acceptable et en atténuait les effets ?   Je devais avoir la marque de ses doigts imprimés dans la profondeur de ma chair et curieusement un sentiment de fierté m’envahit. Fierté de pouvoir supporter cette épreuve, et désir inconscient d’en sortir grandie et victorieuse. Arrivé au vingtième coup il glissa rapidement un doigt entre mes cuisses et dit d’une voix moqueuse.   « Mais regardez-moi cette petite Sainte Mitouche. Elle mouille. N’as-tu donc aucune pudeur ? »   La honte me submergea. Non seulement je me retrouvais presque nue devant un inconnu qui me fessait, mais de plus cela m’excitait. N’étais-je qu’une dévergondée ? Jamais je n’oserais confier cela. Pas même à ma meilleure amie. Une étrange chaleur envahissait tout mon corps, malgré moi l’excitation me gagnait et être ainsi rabaissée me troublait bien plus que je ne saurais le dire. Malgré mes tentatives pour serrer mes cuisses, son doigt continua son exploration et d’un mouvement habile il se mit à caresser mon clitoris, pendant qu’un autre de ses doigts me pénétrait. Imperceptiblement mon bassin se mit en mouvement et je sentais monter une vague de plaisir. Il savait caresser aussi sûrement qu’il savait fesser. Et s’il continuait encore quelques instants je crois bien que j’allais jouir. Il dut le lire sur mon visage car il stoppa net me laissant avec ma frustration. Sans avertissement une claque retentissante atterrit sur ma croupe.   « Aiie » j’avais crié sous le coup de la douleur. « Petite idiote tu as oublié de compter. On va en rajouter 10 puisque tu as l’air d’aimer. »   Et sa main s’abattit sur mon fessier offert. « 21 » criais-je. Et la lente succession des coups reprit.   Au quarantième coup il me demanda de le remercier. «  Merci Monsieur. »   Satisfait, il me fit me relever et s’approcher de lui. Arrivée à sa hauteur il ordonna. « Mains dans le dos»   Je m’exécutais. J’étais face à lui et je gardais les yeux baissés. Des traces de larmes s’étaient incrustées sur mes joues. Mes cuisses tremblaient légèrement sans que je puisse les arrêter. Docilement ma jupe avait repris sa position d’origine. Il me regarda intensément de ses yeux verts et commença à dégrafer mon chemisier. « Que faites-vous ? » lui demandais-je naïvement.   « Devine» répondit-il impassible. Je ne cherchais plus à résister. Cette punition avait brisé toute velléité de révolte. Et je ne voulais surtout plus être punie. Qu’il me caresse mais qu’il ne me fasse plus mal. La récompense après la punition. Il était à cet instant le maître de mes émotions et je voulais me perdre complètement et aller au bout de ma déchéance. Une fois le chemisier ouvert il descendit les bonnets de mon soutien-gorge. Mes seins en jaillirent. A peine effarouchés d’être ainsi dévoilés, ils pointaient fièrement. En connaisseur il les caressa, les soupesa. Je n’avais pas une grosse poitrine, mais mes deux petits seins me plaisaient beaucoup, sensibles et coquins. Mes tétons se durcissaient au moindre frôlement. Il venait juste de s’en apercevoir et visiblement il avait l’air de les apprécier. Puis ses mains prirent lentement possession de mon corps. S’attardant le long de  mon cou, jouant dans mes cheveux. J’avais du mal à imaginer que ces mêmes mains venaient de me punir aussi implacablement. Son toucher me donnait d’agréables frissons. Je n’étais pas novice en amour mais j’avais l’habitude des étreintes rapides des amants de mon âge. Plutôt maladroits et égoïstes. Cette situation était entièrement nouvelle. Il jouait de mon corps et de mes sens exacerbés comme d’un instrument, s’attardant sur les zones érogènes, prenant le temps de la découverte. En virtuose. S’attardant sur mes rondeurs. Examinant le velouté de ma peau. S’extasiant devant mes grains de beauté. Se glissant dans les moindres recoins de ma chair. Sa langue devenait hardie, et ses baisers m’enflammaient. Attentif, guettant mes soupirs et guidant mes élans. J’étais excitée et submergée de désir. Après avoir souffert je voulais jouir et crier de plaisir. J’avais envie d’être possédée et pénétrée. De le sentir en moi. Il me prit ainsi habillée, se contentant de me trousser sur la moquette. Une étreinte forte et profonde. Je jouis longuement, intensément en poussant des cris de plaisir. Peut-être pour la première fois de ma vie je m’étais donnée entièrement, livrée sans défense aux mains d’un amant et l’exaltation que je ressentis me donna envie d’aimer cet homme par delà la simple notion du bien et du mal.  
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Par : le 13/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle se retire à regret, pose son cadenas, se relève et pose ses fesses sur le matelas. Sa bouche a été mise à rude épreuve. Enfin un peu de confort tout au moins pour le moment. Elle ne sait toujours pas ce qui l’attend. Elle sait seulement que ce n’est pas fini pour elle. Que mijote-t-il encore ? Elle ne va pas tarder à le savoir.   Il saisit le bandeau de soie et le lui plaque sur les yeux. Puis il la jette violemment sur le lit, s’empare des liens en cuir rouge et lie ses deux poignets, solidement mais avec un peu de largesse, juste ce qu’il faut de façon à saisir sa bite s’il le désire. Il a pensé à tout ! Plongée dans le noir et les mains entravées, elle est toujours plus excitée, mais craint également les décisions de son Maître. Elle sait qu’elle lui appartient, c’est une chienne, une salope avide de sexe et maintemant une esclave toujours aussi affamée. Elle désire plus encore sa queue, ce membre raide qui lui procure tant de jouissance. Il reprend alors sa cravache et parcourt avec délicatesse ce corps offert à sa concupiscence. Au passage il lui pétri fermement un sein. Et soudain : - Retourne toi, tu vas recevoir 10 coups de cravache, - Maître, “10 coups”, ne pensez vous pas que c’est excessif? - Tu en auras 5 de plus, tu sais que ta rébellion fait augmenter le chiffre, je vais te dresser, te corriger à ma convenance. Tu comptes chaque coup et tu me remercies. Elle a droit à un supplément à cause de ses sautes d’humeur malvenues et impardonnables. Elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Elle sait que l’impertinence est toujours sanctionnée, mais elle ne peut se résoudre à obéir docilement. La punition n’en sera que plus cuisante. Elle tente de l’amadouer avec son regard de chien battu. En vain. Il commence alors à frapper sur les cuisses, un gémissement sourd et retenu mêlé de plaisir dû à la douleur, traverse la pièce. - Un, merci Maître. Puis il remonte sur les fesses et frappe une seconde fois avec plus de vigueur encore. - Deux, merci Maître. Le corps de Nahéma frémit par anticipation du prochain coup, La piqure sensuelle du cuir sur la peau est électrisante, réveillant chaque nerf. Chaque coup fait naître en elle un nouveau désir. Elle ne peut s’empêcher de gémir de souffrance et paradoxalement ressentir de délicieuses sensations. Le crochet anal a pu amortir quelques coups, mais le Maître a su habilement l’éviter, et ses fesses et le bas de son dos présentent des rougeurs inquiétantes. Nahéma ne parvient plus qu’à marmonner entre ses dents. Elle est exténuée, ses forces l’ont abandonnée. Elle est à bout, mais c’est tabou. Subir et tenir quoiqu’il advienne. Le Maître ne lui en tient pas rigueur, il accepte cette faiblesse. Il contemple les traces laissées sur la peau de la suppliciée et parait s’en satisfaire. C’est ainsi qu’il conçoit cette ordalie. - Retourne-toi sur le dos. Tu vas en recevoir autant sur le verso. Et les coups recommencent à pleuvoir. Les cibles sont variées. Les seins, le ventre et même sa chatte. Là, la douleur est insupportable, mais elle n’arrête pas de compter et de remercier de peur d’aggraver la dure sanction. Elle se sent soumise comme jamais elle ne l’a été et c’est toute sa fierté. Enfin le supplice cesse, quinze comme annoncé précédemment. Elle est marquée de rouge et quelques gouttes de sang perlent sur ses cuisses et sur sa poitrine. Mais elle a tenu et a admirablement respecté le protocole imposé par son tortionnaire. Elle ne peut pas voir que son Maître a les yeux qui brillent d’une étrange lueur, comme enfiévrés. Pourtant ce n’est pas fini. Que lui réserve-t-il encore à elle qui a déjà tout donné? A présent, il lui faut passer à l’étape suivante. Profiter d’elle et la violer? Non, c’est prématuré, il n’est pas encore temps. Il faut savoir laisser du temps au temps.  
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Par : le 11/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle s’éxécute, gravit prestement les marches, réajuste son maquillage de seins comme exigé. Puis elle s’installe sur le plancher, à quatre pattes, le cul en l’air, tête baissée, les mains posées bien à plat de chaque côté de sa tête, à genoux les cuisses bien écartées et la croupe cambrée, elle prend sa position de soumise, celle qu’elle aime qui précède des plaisirs intenses, qui rappelle sa condition de petite chienne. Rapidement, elle commence à s’impatienter, l’attente est interminable. Quand va-t-il monter pour enfin la rejoindre? Néanmoins, elle ne modifie pas sa posture de peur de lui déplaire et d’être forcément sanctionnée. Elle sait que son plug va décorer son petit trou et scintiller de mille feux à la lumière. Cette petite coquetterie l’excite un peu plus. Elle attend, le maître est toujours absent. L’absence est trop longue, peuplée d’angoisses et de désirs inavoués. Que va-t-il faire en arrivant? La féliciter de sa docilité ou seulement la chevaucher et l’enfiler de force juste pour vider ses couilles tout en l’inondant de sa semence poisseuse qu’elle devra recueillir avec ses doigts pour finir par la boire. Non, il ne peut se contenter de si peu. Il va jouir d’elle pour son unique plaisir à lui et lui faire subir les pires sévices qu’elle ne peut même pas imaginer encore.   Tara perçoit indistinctement ses pas, il approche, il est là enfin. Il lui tourne autour et de la pointe de sa cravage caresse cette croupe qu‘il ne trouve pas à son goût, trop relâchée. Il lui frappe violemment le bas des reins. Tara se cambre immédiatement sous la semonce. Elle le connait, il est sans concession et exige la perfection. Cette position le comble, Tara est à sa merci, mais pas suffisamment à son goût. Elle sait qu’il va vérifier les ajustement demandés. Elle pense ne rien avoir oublié. Il lui intime l’ordre de se lever et inspecte de nouveau chaque partie de son corps. Tara aime cette introspection et est fière de s’être apprêtée avec tant de minutie pour lui. Il commence par le haut : le maquillage de son visage semble à sa convenance, Il lui introduit deux doigts dans la bouche qu’elle suce goulûment et avec application. Puis il descend, titille le bout de ses seins qui pointent et dont les mamelons sont réhaussés de son collier. Il semble qu’il soit plutôt satisfait de son nouveau maquillage. Il descend toujours, en caressant son ventre et arrive sur sa chatte. Elle a pris soin de la tailler à la perfection comme il aime. De la distinction avant tout. Il enfile vigoureusement deux doigts dans son orifice intime afin d’en verifier l’état. Elle mouille bien sûr, tous ses préparatifs ont éveillé ses désirs. Il saisit une fesse d’une main ferme et la fait pivoter, elle exerce alors un léger déhanchement puis se penche en avant en exibant son derrière, fière de lui montrer son plug orné de sa pierre rouge qui scintille. Là encore il lui introduit deux doigts après lui avoir retiré son bijou de cul. Tara tressaille sous la douleur mais n’en laisse rien paraître. Soumise elle est, soumise elle reste pour l’unique plaisir de son Maître. Il prend soin de remplacer son plug par son crochet anal qu’il relie par un ruban à son collier, ce qui l’oblige à se cambrer un peu plus. Il saisit ensuite son collier de chienne et y accroche la laisse. Elle ne sait pas encore à quoi il veut jouer. Elle cherche par sa posture à déjouer ses desseins qu’elle devine funestes. Chienne, elle se doit de l’être. - A quatre pattes, - Oui Maître, à votre convenance. Elle obtempère, et endosse son rôle de chienne ; ce titre fait tressaillir tout son corps, elle subit cette humiliation dégradante, mais au fond d’elle, elle adore. Elle tire la langue, la passe avec gourmandise sur ses lèvres rouges, gémit, envahie par le désir de lècher une queue, de l’emboucher, l’aspirer, de la mordiller, de l’avaler jusqu’à la garde. Elle agite son corps en tout sens. Elle est rapidemment ramenée à son obligation d’obéissance lorsque la voix grave de son Maître associée à une tension sur la laisse lui intime l’ordre d’avancer. Ce dernier geste la fera se trémousser pour un petit plaisir anal conjugué à son oeuf de jade confiné dans son intimité. - Jappe comme un petit toutou et tortille des fesses. Oubliant toute dignité, elle s’exécute docilement. Il tire de nouveau sur la laisse tout en donnant un petit coup de cravache sur ses fesses afin de faire quelques mètres, elle se sent flattée par cette attention. Une petite tension sur la laisse, - Stop! - Lèche moi les pieds, suce mes orteils Elle s’éxécute, un peu réticente, mais respecte ces dernières consignes. Elle aspire consciencieusement chacun de ses doigts de pieds. - Lèche mes jambes et mes cuisses. Elle remonte lentement. Sa langue est un peu sèche. - Broute moi les couilles et ne touche pas à ma queue. Elle s’applique dans cette tâche plus qu’humiliante. Peut être y trouve-t-elle un plaisir indicible… Elle lui avale ses couilles, gourmande, les caresse de sa langue et les aspire avec douceur. Elle connait bien l’extrême sensibilité de ces jumelles. Elle regarde sa queue qui pointe fièrement au dessus, frustrée de ne pas avoir le droit de la flatter. Car elle l’aime ce pieu qui sait si bien la pilonner au plus profond de son intimité. Elle a mal parfois, mais cette douleur l’exalte aussi. Et puis l’avaler jusqu’au fond de la gorge à s’en étouffer,. Elle adore cette pratique jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche et l’inonde de sa semence. Ensuite tout avaler avec délectation. Tout en poursuivant son labeur, elle se permet de rêver. Allait-il l’honnorer ce soir ou alors la délaisser toute pantelante, ignorant ses désirs les plus profonds? Elle sait qu’il en est capable pour marquer un peu plus sa domination en la laissant inassouvie. “Tara cesse de penser et applique-toi”. - Lèche moi le cul à présent et rentre bien ta langue dans mon petit trou. Il fait volte face et elle se retrouve collée à ses deux fesses musclées. Elle les écarte et cherche sa voie. Elle trouve rapidement sa cible et d’une langue agile s’y enfonce le plus possible. Elle y trouve des goûts un peu forts mais néanmoins subtils, comme des fragrances de rut. Elle travaille de son mieux mais il se lasse vite de ce petit jeu. - C’est bien, va t’asseoir sur le lit, je n’en ai pas fini avec toi. Pose ton cadenas sur tes anneaux, je suis le seul détenteur de la clé qui le déverrouille, tu le sais. - Oui Maître, tout de suite.
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Par : le 11/03/24
Je suis à ses ordres !  L’homme qui découvre ses désirs de soumission.... Un désir de se laisser porter par l’envie de se faire dominer.  "J'aime quand tu me prends le sexe et que tu le serres entre tes mains.  Tes claques sur mes testicules, ce désir de t’appartenir de me laisser faire.  J’aime beaucoup cette sensation d’être à toi mon amour, ma maîtresse, et comme tu me l'as demandé de t'appeler : Madame."  Elle décide de passer une étape, de passer un niveau  - Elle : tu es à moi, quand je te donne un ordre, tu fais ce que je te dis de faire, compris ?  - Moi : oui Madame  Elle quitte la pièce et revient 2 minutes plus tard.  -Elle fièrement : maintenant tu es ma salope!  - Moi : Oui madame.  Je suis nu, les mains menottées dans le dos. Une cagoule qui m’empêche de voir autour de moi juste respirer. Je suis debout, j’attends ses ordres, elle me parle d’une voix autoritaire et m’ordonne de me mettre à genoux; j’obéis.  Mais, je ne vais pas assez vite pour elle, alors je reçois une belle claque bien méritée sur les fesses, avec une voix sèche, ma maîtresse m'ordonne : tu es ma salope, ne t'avise pas de l’oublier.  Résultat : j’ai la fesse qui brûle et j’essaye de soulager le picotement avec ma main, mais je reprends un coup de fouet sur le sexe, qu’elle avait bien pris soin de décalotter.  La douleur est extrêmement forte.  - Elle : je ne le répéterai pas, tu es à moi et j'ai tout pouvoir sur toi ma salope.  Je me reprends une quinzaine de coups de martinet sur tout le corps. Fesses, sexe, tétons ... Elle prend un malin plaisir à m’humilier.  J’ai envie de lui dire d’arrêter, mais ce n’est pas possible, elle sera encore plus dominatrice. Puis, un silence.  Je l’entends bouger dans la pièce avec ses talons, elle fait du bruit, j’entends sa respiration qui devient de plus en plus proche.  Elle décide de m’attacher les testicules avec une corde ou un élastique, je ne parviens pas à faire la différence. Ca serre, je ne dis pas un mot, ça prend un certain temps.  Ensuite, elle enchaîne sur mes tétons, je crois sentir une pince à linge et j’ai l’impression de ressentir les mêmes sensations qu'elle m'avait déjà fait goûter. Elle a vite fait de me les mettre.  Pendant un petit moment, elle me fait mijoter, elle sait que je vais avoir des râles de douleur, elle n'attend que ça. Je tiens plus.  -Elle … tais toi salope!  Elle me détache les bras, que je détends le long de mon corps, mais ça ne lui convient pas, elle me dit de les garder dans le dos et de rester bien droit un moment.  - Moi : je m'excuse et répond bien "oui madame."  - Elle : allonge-toi sur le dos, allez plus vite salope et écarte les jambes, plus vite !!! Maintenant, tes mains dernière la tête, elle s’énerve je reprends des coups de fouet en retour, avec plus de violence que la première fois, je râle, gémis, mais elle continue.  Les coups pleuvent sur tout mon corps, même mes testicules.  Je ne sais plus combien cela dure... Et d’un coup plus rien.  Ma respiration est forte, puis je me calme.  - Elle : tu comprends bien maintenant qui te dirige salope?  - Moi … oui madame  - Elle, d’un ton sec : lève toi !  - Moi : oui madame.  Elle me rattache les mains dans le dos et retourne chercher quelques affaires sur la table du moins, c'est ce que je pense. Moi j’ai toujours la cagoule aveugle, ma maîtresse revient me caresser les fesses rougies de ses ardeurs.  - Elle : tu vas reprendre cher ma salope.  Puis, elle continue les caresses et me demande : j’ai rien entendu salope ?  - Moi ... oui Madame, merci Madame.  Sa voix devient plus douce, elle continue à me caresser longuement et se met derrière moi, dans mon dos, ses mains sur mon cul, mon sexe, mon torse.  Puis, sur mes tétons en tirant doucement sur les pinces à linge, sans les enlever.  Cette sensation est incroyable de douleur et de douceur, d’amour.  Je sens, j'entends sa respiration derrière moi, qui s'accélère, quand la mienne augmente aussi.  - Elle : je t’aime  - Moi : moi aussi je t’aime  - Elle : tu ne comprends toujours pas ! Moi c’est Madame compris salope ?  - Moi : oui mada... Alors que je n’ai pas fini ma réponse, je me reprends des claques sur le sexe. elle m’attrape par les testicules d’une main et de l’autre me serre les pinces à linge en alternant sur chaque téton.  Elle m’embrasse avec passion sur la bouche.  Je ne sais plus où je suis, avec la cagoule, j'ai juste l’espace pour ma bouche.  - Elle : penche toi et reste comme ça quelque temps.  Tout d'un coup, je sens un liquide me couler entre la raie des fesses, qu’elle applique avec ses doigts autour de mon petit trou, elle le fait avec délicatesse, mais je sais qu’elle va me doigter.  J'ai compté, 1.2.3 doigts. Elle a mis un gant en latex et commence à trifouiller mon trou du cul  - Elle : ça ira comme ça.  Elle me libère les mains et me fait me mettre à genoux.  A genoux, je sens quelque chose entre les fesses.  Elle m'ordonne de m'enfoncer sur un gode à ventouse qu'elle a mis au sol. j’ai du mal à le faire pénétrer, mais gentiment ça rentre ! Je ne bouge plus, je sens quelque chose autour de ma bouche.  Je suis accroupi par terre avec un gros gode dans le cul.  - Elle : lèche-moi la chatte salope!  Je lui lèche la chatte et même le son trou du cul.  Elle gémit de plus en plus fort et moi je continue à m’empaler sur le gode, avec des va et vient, j’aime ça et moi aussi je gémit à mon tour.  Ma maîtresse prend de plus en plus de plaisir. le temps s’est arrêté.  Elle se redresse et viens me chuchoter à l’oreille "continue à te faire enculer ma petite salope".  J'aime ça et je continue seul.  Au bout d’un moment, elle revient et me dit a l’oreille "mon amour, maintenant tu vas t’occuper de ma chatte et surtout de mon cul mon homme. Je t’aime James, prends ton temps je suis dans la chambre à ton tour, abuse de moi mon amour je suis à toi". histoire à moitié vécu 
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Par : le 10/03/24
Ce récit je l'avais écrit avant l'an 2000 et je l'ai retrouvé au fonds d'un vieux tiroir ... NATHALIE LA DOUCE INGÉNUE   CHAPITRE 1  L’ECOLE DE MADEMOISELLE PINBAL   Bien qu’âgée de 40 ans, Mademoiselle Pinbal ressemblait, jusqu’à la caricature, à une vieille fille sévère. Elle dirigeait d’une main de fer l’école BURAXE, qui selon les brochures publicitaires formait les secrétaires, assistantes de direction idéales. Ce jour là, Mademoiselle Pinbal m’avait convoquée dans son bureau pour me parler de mon avenir. Nerveuse, je bougeais sans cesse sur ma chaise, attendant qu’elle ait fini de feuilleter mon dossier et qu’elle daigne m’adresser la parole. « Et bien Nathalie, commencer un BTS en alternance à 23 ans ce n’est pas facile, il faut beaucoup de chances pour trouver un employeur qui accepte de payer 30% plus cher une débutante ».   En disant ces mots elle me fixa de son regard perçant et je me retrouvais telle une petite fille prise en faute. Je me sentis rougir et je baissais la tête. C’était plutôt désespérant ce type de réaction, mais j’avais beau essayer de me contrôler rien n’y faisait. D’une voix timide je répondis que je le savais. Elle aussi d’ailleurs, pensais-je, qui avait accepté de m’inscrire dans son école, quelques semaines auparavant. Mais je me gardais bien de lui en faire la remarque. Lors de notre première rencontre, elle m’avait longuement fait expliquer les raisons qui me poussaient à choisir cette profession. Suspicieuse, elle m’avait interrogé sur l’étrange cursus qui m’avait fait passer d’un poste d’agent des services hospitaliers, un doux euphémisme qui désignait un poste ingrat et corvéable de fille de salle, à un retour à une scolarité normale sanctionnée par un bac G1. Elle avait d'ailleurs admiré la volonté dont j'avais fait preuve pour reprendre ma scolarité. « Concernant votre caractère, il va vous falloir apprendre à composer. Sous votre apparente timidité, se cache une fierté et un orgueil que n’apprécient guère les chefs d’entreprise. Vous êtes trop entière, trop idéaliste. Quant à votre accoutrement, une secrétaire ne s’habille pas comme une étudiante des beaux-arts. » Ces remarques avaient été prononcées d’une voix calme et sans chaleur. Un constat d’une évidence certaine, asséné comme si elle parlait d’une personne absente. Mais c’était bien de moi qu’il s’agissait, et malgré moi je sentis des larmes me monter aux yeux. « Alors c’est inutile que je continue à suivre les cours ? »  Dis-je d’une petite voix  fluette au bord du désespoir.   « Je n’ai pas dit cela mais il va falloir vous accrocher. Le voulez-vous ? »   « Oui Mademoiselle, je suivrai vos conseils à la lettre ». Dubitative, elle réfléchit intensément pendant quelques secondes qui me parurent des heures Je l’observais à la dérobée. Vêtue d’un tailleur strict, elle se tenait droite et hautaine dans son fauteuil de direction, et sans être belle je dois reconnaître qu’elle n’était pas dépourvue de charme et de classe. Elle reprit soudain.   « Eventuellement, j’ai peut être un employeur qui pourrait accepter de vous embaucher. Mais il est exigeant, très exigeant. De plus c’est un ami. Alors si vous le décevez c’est moi que vous mettrez dans l’embarras. Comprenez-vous ? »   Je comprenais et la peur s’empara de moi, car ces mots, et l’expression de son visage, exprimaient une menace à peine voilée.   « Oh ! Merci Mademoiselle, je suis sûre que vous pouvez me faire confiance ».   Mon hypocrisie et le sourire que je lui adressais d’un air ingénu me surprit moi-même.   Satisfaite, elle empoigna le téléphone, composa le numéro et demanda à son interlocuteur quand il pourrait me recevoir.  Elle me nota l’adresse sur une carte de visite. Puis après m’avoir bien recommandé d’être ponctuelle, elle m’expédia en cours. « Alors, raconte comment cela s’est passé ? » La jolie brunette qui m’interrogeait c’était Valérie ma meilleure amie. Agée de 20 ans, une nature gaie et enjouée. Toujours prête à rendre service. En classe on était inséparables. Assises l’une à côté de l’autre en train de comploter et de partager de petits secrets. Elle adorait rire et s’amuser. Du haut de mes 23 ans, j’étais plus réservée, timide même. Méfiante je fuyais les regards trop appuyés des hommes et je ne souriais jamais aux inconnus. Cela me donnait une réputation d’une fille froide, distante. Valérie, elle adorait allumer et provoquer. Elancée, des formes parfaites et une bouche mutine qui en enflammaient plus d’un. Elle aimait plaire. Quant à moi s’il m’arrivait d’aimer mon visage, encadré de cheveux blonds avec deux yeux bleus expressifs et mon corps mince, je regrettais mon manque d’assurance et mon allure un peu gauche. Je ne faisais rien pour séduire, et je voulais que les garçons s’intéressent à mon intelligence avant de penser à mon corps.   « Bien, cela s’est bien passé, j’ai un rendez-vous chez un patron demain, mais il paraît que c’est un enquiquineur et que c’est son ami »   « Ouaah ! d’ici à ce qu’elle t’ait envoyée chez son amant. Tu vois le tableau, t’auras intérêt à faire gaffe à ce que tu dis… » et Valérie éclata de rire. Toute la classe tourna la tête vers nous. « Il ne faudrait pas vous gêner Valérie » la voix du professeur d’informatique venait d’interrompre son fou rire. « Puisque vous avez tant envie de parler, parlez-nous d’Internet, dîtes-nous donc ce que signifie le sigle AOL» Le visage de Valérie devint grave « Euh… » Le professeur reprit « America on Line premier service en lignes d’accès à Internet. Soyez plus attentive ou je serais obligé de vous donner une retenue. » Il n’était guère facile de faire classe à 20 jeunes filles juste sorties de l’adolescence, qui ne rêvaient que de liberté et de garçons. La sanction suprême restait la convocation dans le bureau de la directrice. Et toutes les filles de la classe savaient qu’il valait mieux ne pas se faire un ennemi de Mademoiselle Pinbal. Heureusement la cloche se mit à sonner et c’est dans un joli brouhaha que toutes les filles se précipitèrent à l’extérieur. L’heure de la sortie. Je quittais l’école en compagnie de Valérie. « Dire qu’il va falloir supporter cela pendant deux ans, on n’est plus des gamines… » Son visage exprimait la colère mais je savais bien que cela ne durait pas. « Et quand as-tu rendez-vous avec ce délicieux personnage ? » Son ton était ironique. « Demain matin à 10 heures. » « Tu te fringueras comment ? » « Aucune idée ». Contrairement à la plupart des filles de la classe je n’étais pas une obsédée de fringues. Evidemment après la remarque de la directrice, j’avais intérêt à compléter rapidement ma garde robe. Mais je détestais être en jupe et je me sentais fagotée dès que je quittais ma tenue préférée : le jeans-basket. En rentrant chez moi ce soir là, j’avais la certitude que ma vie était en train de prendre une nouvelle direction  
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Par : le 09/03/24
Apprenant que son maître passait une nuit au camping municipal de La R**, elle s'est précipitée pour le rencontrer, juste le jour où elle aurait dû fêter son anniversaire en famille. Connaissant ses goûts, elle s'est présentée nue sous sa robe, la taille corsetée par une large ceinture serrée au maximum, et prête à assouvir tous ses désirs (et les siens). Il avait préparé ses cordes, ses menottes, ses baillons, ses fouets, tous les accessoires qu'elle craignait et espérait secrètement. Elle s'est fait délicieusement violée sous la tente mais tous deux en voulaient plus, et dans un lieu plus discret. Il lui a proposé de la ramener chez elle. Elle a dit oui, la maison devant être déserte. Pour corser le trajet en auto, il a exigé qu'elle soit nue, les mains liées derrière le dos et les seins étroitement ligotés à leur base, de façon à ce qu'ils s'érigent de façon indécente, les pointes dardées et tuméfiées. Il lui a uniquement accordé un bout de couverture pour se protéger de la vue des passants. Arrivés près de chez elle, elle l'a supplié de garer la voiture à l'arrière et de rentrer discrètement par le jardin. Arrivés dans la cuisine, il lui a annoncé que, à cause de cette demande stupide, elle serait immédiatement fouettée. Elle a été obligée de se placer face à la double porte qui ferme l'accès entre la cuisine et la salle à manger pendant qu'il vissait quatre crochets dans les parois latérales pour l'attacher, les bras et les jambes en croix, toujours nue et entravée, de plus en plus excitée. Vas-y, cria-t-elle, je n'en peux plus de désir. C'est à ce moment précis que la double porte s'est ouverte largement, qu'une éclatante lumière s'est allumée et que toute la foule de ses amies et amis présents dans la salle s'est mise à chanter "bon anniversaire" à tue-tête.   Va-t-elle mourir de honte ou jouir comme une folle ?  
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Par : le 08/03/24
A chacun de mes pas, le plug enfoncé dans mes fesses me rappelle sa présence invasive, me contraint à la conscience permanente d’être dilatée et occupée. Les pinces, bien serrées sur mes seins et dissimulées sous mon manteau tendent ma poitrine. Elles la sensibilisent au moindre frottement du tissu sur mes tétons nus. La chaîne qui relie les pinces se balade le long de mon bras, dans ma manche, de manière à ce que mon Maître n’ai qu’à simuler de me prendre la main pour intensifier toute la tension que je ressens. Il suffirait qu’il tire un tout petit peu pour m’arracher une plainte ou un gémissement. Je redoute qu’il décide de le faire. Tout comme je redoute que le plug ne tombe, si je devais avoir envie d’éternuer par exemple. Les néons de la grande surface me piquent les yeux et je dois concentrer tous mes efforts pour conserver mon air impassible, masquer le désir insatiable qui m’étreint, passer pour une cliente lambda. Heureusement, l’hypermarché n’est pas bondé en ce début d’après-midi et les clients qui m’effleurent en passant sont plutôt rares. Mon Maître me tire de ma bulle : « Comme je te le disais tout à l’heure, nous allons recevoir des invités ce soir, ainsi que tous les autres soirs de la semaine pendant les sept prochains jours. » Je déglutis, Maître avait effectivement indiqué que nous aurions des invités ce soir, mais j’ignorais que cela allait se répéter pendant toute une semaine. Maître poursuit, toujours aussi calme : « J’ai pensé que le plus simple pour profiter de nos invités serait d’organiser des apéritifs dînatoires. Nous allons prendre ce qu’il faut, et tu t’occuperas de tout préparer une fois rentrés. » Un silence s’installe. Je sais qu’il attend de moi une réponse mais je suis trop nerveuse. Il est vrai que je lui ai exprimé mon désir de voir sa domination se faire plus présente dans notre quotidien, mais je suis tétanisée par la peur que l’on m’entende prononcer ces mots. « Tu as perdu ta langue ? » s’impatiente-t-il. Une vague d’adrénaline me traverse alors que je balbutie : « N… non, pardon… » Son regard se durcit face à ma réaction. Sa main attrape discrètement mais fermement la chaîne que je cachais dans ma manche et tire : « Pardon qui ? » La tension sur mon sein droit est trop grande, la douleur prend le pas sur l’excitation et je gémis sans pouvoir me contrôler. « P…pardon Maître. Cela me semble être une b…bonne idée. » Maître relâche sa prise sur la chaîne ce qui a pour effet de me soutirer un nouveau gémissement. Je regarde frénétiquement partout autour de moi pour m’assurer que personne n’a rien remarqué. Au fond de l’allée, une dame âgée ne nous lâche pas de son regard réprobateur. Je pique un fard et baisse les yeux. Maître lui, lui adresse un signe de tête assorti d’un sourire assuré et poli. La vieille dame retourne à ses courses. En caisse, je range les courses dans les sacs pendant que Maître cherche sa carte bancaire dans son portefeuille. L’hôtesse de caisse me dévisage, je dois être soit cramoisie, soit livide. Si elle savait à quel point ma culotte est inondée… Cette pensée me fait sourire alors que mon égo se gonfle de la satisfaction de mon audace. Elle me tend le ticket et je lui réponds machinalement : « Merci. » Maître se tourne immédiatement vers moi, de manière à ce que je sois la seule à croiser son regard noir. « Merci… qui ? » Ma respiration a un raté alors que ma culotte doit en retenir encore davantage en silence. Je prends un instant pour relancer une inspiration avant de prononcer les mots attendus d’une voix éteinte : « Merci, Madame. » « J’aime mieux ça. » Siffle-t-il avant de reprendre son air poli pour s’adresser lui aussi à la caissière : « Veuillez excuser ma chienne, elle est encore en phase d’éducation ». Silence. La caissière nous regarde alternativement pour tenter de mesurer la situation. Je suis abasourdie et honteuse, mon regard ne quitte plus mes mains qui s’accrochent au ticket de caisse comme à une croix face à l’apparition du diable. Le plug, les pinces, ma culotte détrempée et maintenant ça… Je suis envahie d’une foule d’émotions contradictoires et un vertige m’envahit. Je me retiens discrètement sur le bord du cadis. Un sourire entendu de Maître oriente la caissière vers la supposition d’une simple plaisanterie et nous la laissons là-dessus.
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Par : le 07/03/24
Avant de continuer il faut que vous sachiez que toute ma vie j'avais rêvé de vivre un tel instant. J'avais vécu des expériences D/s auparavant mais elles se limitaient à des fessées timides et autres délicatesses de ce genre. Et c'est donc pour cela que lorsque Madame Cécile m'ordonna d'enfiler cette tenue ridicule je la passai sans réfléchir un seul instant,  comme un réflexe, comme un geste répété des centaines de fois dans ma tête. La tenue était très inconfortable car trop petite, les chaussures à talons hauts inconfortables m'obligeaient à faire des petits pas mais curieusement je ressentais un bien être jamais égalé et qui fut décuplé quand je me presentai ainsi devant Madame Cécile les joue rouges de honte. Et donc Elle me glissa juste un "c'est bien" et "au travail" Elle me fit visiter sa maison qui était vaste mais dans un état lamentable car elle n'avait plus eu de femme de ménage depuis plusieurs semaine et Elle n'était pas du genre à lever les manches pour nettoyer sa demeure. Elle me dit alors : "voici les tâches à effectuer dans l'ordre de priorité et je ne le répéterai pas deux fois sinon c'est la porte : vaisselle cuisine, salle de bains et toilettes du haut, salle de bain et toilettes du bas, lavage du linge à la main et étendage, rangement des 4 chambres, lavage du sol, préparation du repas que tu me serviras sur le canapé et massage et lechage de mes pieds pendant que je dinerai. Je cru défaillir et je me surpris à avoir une érection incontrôlée  Madame Cécile le vit immédiatement et me donna une claque sèche sur les fesses en me disant "je ne veux plus jamais assister à ça" et elle sortit d'un tiroir une cage pour mon sexe qu'elle me fixa après que j'eus débandé. Je suais de stress mais je jouissais intérieurement. Elle me mis une autre claque bien appuyée sur les fesses et me dit "allez ma belle, au travail " Je couru desequilibré par mes talons hauts comme une petite pute effarouchée vers la cuisine pour ma première tâche...la vaisselle non nettoyée depuis plusieurs semaine...la tâche s'avérait dure... A suivre...
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Par : le 07/03/24
Je (monsieur) viens de subir une conversation sur discord avec un aspirant daddy qui critiquait ma vision pragmatique du DDLG, que mes diverses expériences ont forgé avec le temps... Je suis bien sur très positif sur cette art de vivre,  mais la prolifération des images très idéalistes et très théoriques n'aide, à mon avis, pas les nouveaux daddys qui arrivent ! D'où l'idée de narrer mes beaux plantages de daddy, jadis, de donner un peu d'incarnation à cette pratique! Bien sur : ce sont les mauvaises expériences...bien sur que il y en eu de meilleures!!! "Idee reçue 1 : le sexe n'a pas ou peu sa place dans le ddlg" Oui je le pensais mais : j ai été daddy d'une adorable little pendant 5 mois, pas de sexe entre nous et à aucun moment d'ailleurs je n en ai éprouvé le désir avec elle . Elle était poly amoureuse, elle allait chercher combler ailleurs ses envies de femme. Moi je n étais pas poly...je n étais pas non plus capable mentalement d'avoir une autre relation et de cacher ma relation ddlg. Sachant que mes amis connaissait ma little. Et que je gardais toutes les affaires chez moi.... J ai du arrêter car bien ne voulant rien faire avec elle, je ne pouvais vivre une vie intime d'homme.  Il me semble téméraire donc, en n'étant pas poly, d'affirmer une position ferme sur le sujet. "Idee reçue 2 : daddy est la patience incarnée et doit toujours être à l'ecoute" Oui sur le concept. Après j ai vécu avec une little , avec un éloignement géographique. Elle m envoyait des sms toutes les minutes, au boulot notamment,  taper des crises que je devais calmer tout en gérant mes réunions...de 7 à 23h je ne faisais que répondre par SMS. Bien sur que je dis plusieurs fois stop, mais : pleurs, chantage de ne plus se revoir... la aussi rupture car on était rentré dans une spirale infernale. "Idée recue 3 le daddy fixe des limites et punit pour le bien de sa little" Oui...sauf que certaines littles sont masochistes au sens premier du terme. J étais avec une little avec qui ça n a pas duré,  car elle voulait réellement se faire crier dessus, pas seulement être dans un jeu. Elle se mettait physiquement en danger par exemple! Tout pour pousser le daddy hors de ses limites. Elle était consciente et s en excusant, elle recherchait à être mal mentalement,  à pleurer réellement,  à être sûre que c était la fin avec son daddy...pour au final être pardonnée et reconfortee.    Ma petite conclusion! Le ddlg se présente comme un jeu mais la régression est réelle... avec ce qu il y a de beau et parfois ce qui échappe à notre contrôle. Un daddy doit apprendre à se connaître, notamment ses propres limites et ne pas se voir tel un surhomme qui gérera tout. Et avancer pas à pas plutôt que de projeter une situation rêvée! Et oui, quand on rencontre la bonne personne, on n est plus tout à fait loin du rêve...même si la vie vous envoie toujours quelque chose de différent!      
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Par : le 05/03/24
Je voudrais vous faire part ici de la rencontre avec ma dernière Maîtresse en date que j'ai eu l'honneur de servir durant 9 mois environ (je reviendrai plus tard sur les détails) Régulièrement avant de rencontrer ma Maîtresse citée plus haut, j'avais pris l'habitude d'aller dans un sex-shop (appelons les choses par leurs noms même si ce magasin était assez luxueux et ressemblait plus à un musée qu'à un sex-shop) Mon budget ne me le permettant pas je n'achetais pas souvent des articles mais je jetais toujours un œil sur les nouveautés. Ce jour là une Dame d'environ la soixantaine à mes yeux, d'une grande classe et vêtue avec très bon goût, tournait également dans les rayons et remplissait son panier contrairement à moi. Puis elle se dirigea vers la caisse et, pendant qu'elle se faisait encaisser, discuta avec la vendeuse. Je me rapprochai avec une oreille quelque peu indiscrète et je l'entendis se plaindre qu'elle n'avait plus de femme de ménage depuis plus d'une semaine. Cela semblait la contrarier terriblement car elle ne devait pas avoir l'habitude de vaquer à ses tâches ménagères vu son standing apparent. Mon cerveau de mâle acquis à la cause gynarchique réagit alors instantanément. Je m'approchai avec prudence et respect de ces deux Dames et je prononçai avec prudence quelques mots presque inaudibles en m'excusant platement de les déranger dans leur discussion. Je dis alors la tête basse sans regarder personne que j'étais prêt à effectuer toutes ses tâches ménagères à titre gratuit pour satisfaire cette Dame en détresse. Elle cru rêver et me fit répéter mes mots et quand elle fut certaine de ce qu'elle entendit, regarda la vendeuse et éclata d'un fou rire très élégant en disant : " c'est la providence qui m'a envoyée ici" Elle me dit alors que la tâche serait rude et astregnante et je lui répondis qu'elle ne risquait rien à me prendre à l'essai si ce n'est de perdre un peu de son temps précieux. Elle rit à nouveau en disant qu'elle pensait plutôt à une femme de ménage mais dit alors : "pourquoi pas, après tout je prendrais un malin plaisir à voir une mâle (selon ses termes) être à mon service. Elle ne discuta pas plus que ça, puis écrit sur un morceau de papier son adresse et l'heure à laquelle elle voulait me voir. Elle rajouta alors : "Et surtout sois à l'heure, ni trop tôt ni trop tard je suis intransigeante sur les horaires et sur le reste aussi d'ailleurs !!" Puis elle sortit en saluant la vendeuse et en faisant comme si je n'existais plus.... (A suivre si ça vous intéresse...)
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Le BDSM ne s’arrête t’il qu’à un plaisir court et intense pendant une durée limité ? Je ne penses pas du moins ce n’est pas vision des choses. Je penses que en tant que soumise mais aussi esclave je le dois de faire les tâches ménagères de mon maître, mais aussi de lui préparer un bon repas. Il est nécessaire que tout sois fait parfaitement pour que monsieur n’est rien à faire. Confessions: Le bien être de monsieur passe avant tout, je rêve d’un monde où je suis esclave de celui que j’admire, disponible 24h/24 et 7j/7. Que mon Maître puisse me réduire en esclavage complet et contrôle l’entièreté de ce que je fait et de qui je suis.   Être une Chienne vivant à la demeure de monsieur sera un accomplissement total pour salope que je suis, lui appartenir, mon corps comme mon image, qu’il me poste humilié à quatre patte… me balade en laisse… être attaché sans pouvoir me débattre… être un sex toys.. une salope sans dignité… un trou à remplir… Seulement j’ai plus l’impression que c’est un rêve, un fantasme irréalisable… trop d’incohérences et de difficultés à mettre en œuvre cela est bien dommage… une sorte de rêve inaccessible...
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Par : le 03/03/24
Il est 8h30, je vais passer à la douche. Dans la salle de bains, j'ai rendez-vous avec J. et J; c'est le surnom que j'ai donné à deux plugs qui chaque jour, par la volonté de mon dom virtuel, visitent mon anus et m'entraînent à la sodomie. L'un est en silicone noir avec une bille à l'intérieur; il est orné d'un cristal rose; le second est en verre un peu plus gros que le premier, il est transparent ce qui permet lorsqu'il est en place de voir l'intérieur de l'anus ouvert... c'est assez troublant de s'exposer ainsi. Depuis un mois environ, mon dom virtuel me demande de m'entraîner à la sodomie régulièrement chaque jour; je ne sais pas comment cela est venu, j'étais auparavant soumis à la sodomie de temps en temps mais c'est devenu maintenant un entrainement régulier que je dois faire chaque jour en vue d'être plus "salope" ou "garage à bites" comme dirait mon dom en langage fleuri, en tous les cas le but de l'opération est que je sois prêt et entraîné à être sodomisé à n'importe quel moment. J'avoue que je ne pensais pas réussir cet entrainement car j'imaginais qu'il serait trop douloureux pour moi, surtout en le répétant chaque jour. J'ai commencé, les premiers jours, avec un troisième plug, moins large que les deux autres mais plus long, en verre permettant un coté très visuel qui me plait beaucoup. J'envoyais chaque jour des photos à mon dom virtuel qui m'encourageait à continuer. Je suis ensuite passé au plug noir, et je me fixais des petits défis personnels comme le rentrer en une seule fois, à la première poussée, ou encore le faire entrer et sortir plusieurs fois le plus librement possible comme si je recevais des coups de bite. Pour faire cela, je dois me forcer à m'ouvrir pour accueillir le visiteur et la sensation de s'ouvrir est très troublante. J'y prends goût. Je suis ensuite passé au troisième plug, le plus large, et là il faut vraiment que je m'ouvre pour le laisser passer. C'est un peu douloureux mais tellement jouissif cérébralement de réaliser cet exercice pour mon dom, me sentir devenir de plus en plus "salope"... accepter d'être appelé ainsi: salope. Cet étrange plaisir d'être soumis. Je continue vaillament l'exercice journalier. Mon dom aimerait que je m'entraîne autrement qu'avec mes plugs, en trouvant un(e) partenaire régulier(e); je vais parfois, de façon très épisodique, au sauna gay où j'arrive pluggé et encagé... il faut que je sois très excité pour me forcer à faire cela et sur place je rencontre diverses fortunes pour satisfaire les demandes sodomites de mon dom virtuel. En attendant  je continue l'entrainement :) A suivre...  
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Par : le 02/03/24
Dans deux jours, ma Douce Soumise débutera une période de frustration de 15 jours, pendant laquelle elle sera privée de toute jouissance. Avant d'expliquer l'importance cruciale de cette étape, laissez-moi évoquer les raisons qui me poussent à lui imposer cette forme de chasteté. Tout juste âgée de 41 ans, ma Douce Soumise est en proie au doute. Depuis qu'elle a commencé à explorer sa soumission à l'âge de 40 ans, elle ne se sent plus désirable et se considère comme "périmée". Mon objectif a toujours été de la guider en douceur dans l'exploration de ses fantasmes, de la pousser à repousser ses limites et de l'aider à devenir la soumise qu'elle aspire à être. Jusqu'à présent, nous avons déjà franchi certaines de ces limites bien au-delà de ce que nous avions imaginé. Il y a moins d'un an, ma Douce Soumise pratiquait très rarement la sodomie ; aujourd'hui, elle est capable d'endurer un fist anal et d'y prendre plaisir. Elle n'avait également jamais avalé de sperme de sa vie, et maintenant, elle le réclame et ouvre grand la bouche pour recevoir mon nectar. Sans parler de l'uro, qu'elle ne connaissait même pas auparavant. En résumé, en l'espace de 8 mois, j'ai réussi à transformer ma femme "vanille" en une véritable soumise épanouie, obéissante et prête à se soumettre totalement à mes désirs. Un matin, dès son réveil, je lui ai demandé de s'inscrire sur Tinder et de créer un profil. Calmement, je lui ai annoncé que pour les 15 prochains jours, je souhaitais qu'elle rencontre un homme tous les deux jours. Parmi ces hommes, il devait y en avoir un dont elle n'aimait pas du tout le physique, ainsi qu'un homme de plus de 65 ans. Elle devait également coucher avec deux hommes lors d'une même journée. Ses consignes étaient claires : se rendre dans leur hôtel et les baiser comme une vraie pute, sans compromis. Pas de préliminaires, pas de rendez-vous avant ou après, juste du sexe brut. Dans la chambre d'hôtel, elle devait laisser son téléphone allumé pour que je puisse écouter. Après ces 15 jours de rencontres coquines, elle devrait subir 15 jours de frustration, plus deux jours supplémentaires pour chaque homme qu'elle n'aurait pas couché. Cette demande l'a choquée. Ma Douce Soumise n'imaginait pas que je serais capable de lui demander une telle chose. Au début, elle a protesté, affirmant qu'il lui était impossible de coucher avec d'autres hommes puisque nous étions mariés, et que cela n'était pas envisageable. Il faut dire que ma Douce Soumise est jalouse, tandis que moi, je ne le suis pas du tout. Pour moi, il y a une différence entre faire l'amour et simplement baiser. De plus, depuis toujours, l'un de ses fantasmes était de se faire prendre par un inconnu dans une chambre d'hôtel. J'étais en train de lui offrir son fantasme sur un plateau d'argent. Elle a fini par accepter, et son défi a commencé le jour même. En quelques heures, elle avait son premier rendez-vous avec un Canadien de 33 ans. Il faut dire que pour une femme, c'est extrêmement facile de rencontrer des hommes juste pour coucher. Elle s'est préparée à ce rendez-vous, s'est maquillée, coiffée, et a enfilé sa belle robe noire moulante. Elle était nerveuse ; en 14 ans de mariage, ma Douce Soumise n'avait jamais posé les mains sur un autre homme que moi. Je l'ai encouragée, ai trouvé les mots pour qu'elle ait le courage de franchir la porte. Je l'ai déposée à la réception de l'hôtel, puis je l'ai appelée pour pouvoir écouter tout ce qui se passait. C'était parti. Je l'ai entendue frapper à la porte, un hello nerveux. Ça y est, elle était dans la chambre d'hôtel, avec ce Canadien de 33 ans, musclé et vraiment bien foutu. Il faut dire que là où nous vivons, les touristes sont vraiment canons et musclés, pour la plupart ils viennent pour s’entraîner au Muay Thai de manière professionnelle. Je les ai entendus discuter un moment, lui prenant une bière, et  après quelques minutes, les voix ont été remplacées par des bruits de bouche. Ils s'embrassaient, j'étais terriblement excité, excité de voir ma Soumise rester dans cette chambre, excité de savoir qu'elle réalisait un fantasme tout en dépassant ses limites grâce à moi. Les respirations ont augmenté en intensité et déjà j'entendais les premiers gémissements de ma Douce Soumise. J'arrivais à deviner ce qu'il lui faisait juste par les bruits. Il est en train de la doigter, je reconnais le bruit très distinct de ma Soumise quand elle mouille et qu'elle est excitée. Ça y est, il la pénètre, ses gémissements ne trompent pas, elle prend son pied. Malheureusement pour elle, le jeune homme a succombé trop rapidement à son charme. Il part prendre sa douche, je reçois un message. "Maître, c'était trop rapide, puis-je rester un peu pour un deuxième round ?" Ma Douce Soumise avait succombé au charme de l'adultère consentant. Je lui accorde et le deuxième round fut bien plus intense... Pendant ces 15 jours, ma Douce Soumise n'a pas failli une seule fois. Parmi les hommes qu'elle a baisés, il y en avait quatre qui avaient du mal à la satisfaire : un Maître dominant expérimenté, dont je vous raconterai la soirée dans un autre récit, un homme de 64 ans, et un homme expert en libertinage qui a décidé de m'appeler en visio pour que je les regarde baiser. Ces 15 jours ont été vraiment très intenses. Ma Douce Soumise a vraiment repoussé ses limites. De plus, chaque fois qu'elle revenait d'un rendez-vous, je la baisais sans qu'elle ait le droit de se laver. Elle est passée par tout un tas d'émotions. Elle s'est sentie pute, désirable, sale, excitée, fatiguée, enjouée. Toutes ces émotions décuplées à 100% par l'adrénaline. Sa soumission n'a jamais été aussi parfaite. Je suis tellement fier de ma Douce Soumise...
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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Je penses qu’il est important en tant que soumise de connaître sa place, au pied de son maître.  Les soumis ne doivent pas être debout, aucun soumis n’a le droit de se tenir debout sauf quand il est attaché. Comment peut ton se tenir droit devant notre maître ! C’est inimaginable… Je n’existe qu’afin de servir monsieur, je n’ai pas d’autre fonctionnalité, faire le ménage, servir de toilette, de défouloir, de chienne. J’apprécie le fait d’être attaché, ligoté et face à celui que j’adore, la respiration qui s’accélère, la peur et la curiosité de ce qu’il pourrait me demander, le stress d’avoir commis une erreur qui énerverais monsieur.. Le fait d’être face à lui le regardant depuis le sol attendant ses ordres c’est ce à quoi je penses tout les soirs.. Il est aussi obligatoire de savoir se tenir devant monsieur, le ventre baissé et le derrière relever prêt à être frappé, la langue sortis et la bouche ouverte lorsque monsieur le demande.
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Par : le 26/02/24
La traversée de quelques villages oubliés, battus par les vents, est la dernière étape avant de déboucher sur le paysage lunaire du haut plateau. "Aux vaches qui pètent" Le panneau brinquebalant m'indique, non sans ironie, la direction de cette ferme qui semble à l'abandon. L'époque précédant l'abattage en règle des cheptels est si récente, et pourtant elle semble déjà bien lointaine, reléguée dans la préhistoire de la civilisation. Autrefois, cette région comptait trois fois plus de vaches que d'habitants. "Bonjour Monsieur d'Ambert. Est-ce que vous pourriez me concocter un assortiment de fromages à partir de cette liste?" Je lui tends la liste établie par Satoshi, qui précise de manière détaillée les variétés de Penicillium recommandées pour la santé de mes symbiotes. Le connaisseur qu’il est saura en déduire les fromages adéquats.  Je lui fais confiance. "Je vous en prie, appelez-moi Fourme. Votre demande est très inhabituelle." L'étonnement se lit dans ses yeux. Des yeux d'un bleu perçant qui contrastent joliment avec son teint hâlé et sa tignasse crasseuse. Autrefois militant escrologiste et député Européen, il fût saisi par le doute en visitant cette région isolée, plaqua tout et s'y installa dans l'espoir d'y développer une activité proche de la terre. C'était sans compter l'avènement de la Suprême Alliance Démocratique et le triomphe de ses anciens compagnons de route. Depuis il vivote, mêlant activités légales de façade et production clandestine de fromages, sauvant par la même occasion quelques bêtes de l'extermination. Pendant qu'il me prépare le précieux assortiment, il jette de manière répétée des coups d'œil intrigués à mon collier d'esclave. "Je suis esclave sexuelle", lui dis-je en rougissant, pour couper court à ses interrogations. Comme si l'ajout du qualificatif "sexuelle" édulcorait la formulation et la rendait plus présentable pour les non initiés... Les anneaux métalliques qui ornent mes poignets et mes chevilles ajoutent certainement au caractère intrigant de mon accoutrement. Mon Maître prend un malin plaisir à me faire sortir ainsi, dès que les circonstances le permettent. Pas de paiement possible pour des produits interdits. Les espèces ont disparu, remplacées par la monnaie 100% numérique et même les transactions les plus infimes sont surveillées en continu par l'intelligence artificielle. Un marché clandestin, risqué, s'est développé sur la base du troc. Mais que puis-je lui proposer d'utile en échange de ses précieux produits? Mon Maître ouvre le coffre, révélant les outils et autres bricoles que nous avons apportés en vue d'un troc. Ils  semblent maintenant bien dérisoires. C'est la rareté et le risque pris qui font la valeur et j'ai presque honte de proposer si peu. Mais mon Maître a déjà une longueur d'avance. "Si ça vous tente", dit-il en découvrant chaînes et cadenas cachés sous le bric-à-brac. Pas besoin d'insister. C'est en marchant à tous petits pas, courte chaîne aux chevilles oblige, poignets cadenassés dans le dos, que je suis conduite à l'étable. Ma robe, promptement retirée, est restée dans la voiture, afin que je puisse profiter pleinement du vent glacial qui sévit sur ce haut plateau. Les hauts talons et les fers aux pieds ne sont vraiment pas adaptés à la vie à la campagne, ça je peux le confirmer ! Mon Maître porte le fouet à la main. Mais notre hôte a visiblement une autre idée en tête. Ils sont bien pratiques ces anneaux et ce collier pour m'immobiliser à quatre pattes dans l'étable, au milieu des animaux qui semblent intrigués eux-aussi si j'en juge par toutes ces paires d'yeux qui me fixent ostensiblement. Prétextant un café, ils me laissent seule dans un étrange silence. Comme si l'étonnement leur avait coupé le sifflet, les bêtes me regardent toutes, immobiles, silencieuses, retenant quasiment leur respiration. Je serais curieuse de savoir ce qui se passe dans leurs têtes. Le bruit régulier de la trayeuse doublé du sifflement caractéristique de l'aspiration me ramène à la réalité. Les lourds embouts ne sont pas spécialement adaptés à l'anatomie humaine, mais ils tiennent sans difficulté. Le pouvoir de succion est bien plus puissant que je ne l'imaginais. C’est désagréable, douloureux. Mon Maître s'est éloigné, certainement désireux de laisser un peu d'intimité à notre hôte, dont ma chatte devient pour l'occasion le réceptacle du plaisir. Quand l’alimentation du moteur est coupée, les embouts tiennent encore un bon moment, sous l’effet d’un résidu de dépression, avant de se détacher brutalement, m’arrachant un cri de douleur. Mes  tétons, rouge vif, indécemment saillants, se souviennent douloureusement de l’épisode et font l’objet de commentaires élogieux. "C'est génial" conclut-il, visiblement satisfait de la prestation. "Revenez quand vous voulez". Ce sont les derniers mots qu'il nous adresse alors que nous nous apprêtons à rejoindre la civilisation. Aux portes de la cité, un barrage établi par les Brigades de Défense de la Démocratie nous force à nous arrêter.   "Contrôle du fucking pass!" C'est leur dada : dès qu'ils aperçoivent un couple qu'ils soupçonnent de baise illégale, contrôle! Nous sommes en règle. "Ouvrez le coffre!" Aïe, ça ce n'est pas de chance. Pas d'autre choix que de l'ouvrir et de révéler notre copieux assortiment de fromages, denrée strictement interdite. L'un des miliciens nous met immédiatement en joue et hurle "Mains sur le capot". Leurs commentaires me révèlent qu'ils sont en train d'accéder à l'historique de mon crédit social. La voix se fait soudain douce et amicale. "Félicitations pour votre transition" "Mais je n'ai pas..." Un discret coup de pied dans la cheville administré par mon Maître m'évite de commettre une gaffe. J'ai l'esprit de me ressaisir. "Merci Monsieur. C'est mon médecin qui m'a recommandé le fromage pour aborder ma transition à venir dans les meilleures conditions". Il ne relève pas l'absurdité de mon affirmation, mais ce n'est pas étonnant, tant la population est lobotomisée. "Oui, je comprends. Ca passera pour cette fois. C'est toujours un honneur de croiser des citoyens qui adhèrent aux valeurs progressistes de la Suprême Alliance" "Bonne route!" Route que nous poursuivons, soulagés, et pas peu fiers du pied de nez. Faire pénétrer la subversion dans la cité... Une subversion bien modeste et odorante, mais la plus petite victoire est source de bonheur quand on se bat contre Goliath. Sur la route, je consulte mon historique, hautement intriguée. Rien… Plus aucune trace d'une transition programmée. Jusqu'à présent j’étais persuadée qu'un mystérieux ange gardien veillait sur moi dans l'ombre et avait trouvé le moyen d’influencer partiellement l'intelligence artificielle. Je sais très peu de choses des projets du pangolin fou, et parfois je me demande si tout cela n’est pas qu’illusion. Un combat perdu d’avance. Mais le doute m'assaille soudain. Et si Eurytion prenait des initiatives de son propre chef? Une perspective qui donne le vertige. Que peut-il se passer dans les méandres d'un cerveau électronique qui a accès à une quantité phénoménale d'information, et pourquoi aurait-il considéré qu'il doit me protéger? à suivre   Contexte L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  
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Par : le 22/02/24
La semaine dernière, j'ai enfin pris les devants. J'ai décidé de la punir sévèrement pour une faute qu'elle avait commise. Je lui ai exposé sa sentence sans détour : 40 coups de martinet, administrés avec vigueur pour sa désobéissance. Chaque coup était une démonstration de ma domination, un ballet sensuel mêlant autorité et désir. Chaque coup était comme une caresse interdite, lui rappelant qui était le maître. Après chaque coup, elle murmurait des remerciements, avide de plus. Une fois les 40 coups infligés, je l'ai fait s'agenouiller face au mur, les mains derrière la tête. Prenant ma carte bleue, je l'ai plaquée contre le mur, détaillant la suite de sa punition. Elle devait tenir cette position pendant 20 minutes, en équilibre précaire, la carte pressée contre son front. Chaque fois que la carte tombait - et elle est tombée pas moins de 3 fois - 10 fessées supplémentaires venaient s'ajouter.  Pendant ces 20 minutes intenses, je l'ai tourmentée avec son vibromasseur et mes doigts, la conduisant au bord de l'extase à maintes reprises, sans jamais lui accorder le soulagement tant désiré. A chaque limite franchie, je marquais une pause, savourant le pouvoir absolu que j'avais sur elle. Malgré ses pleurs et ses supplications, j'ai persévéré, la guidant jusqu'au bout des 20 minutes. À la fin, épuisée mais comblée, je lui ai enfin permis de lâcher prise, de jouir sans retenue, avant de la laisser s'effondrer en larmes, submergée par la gratitude et la satisfaction.  
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Par : le 20/02/24
Épisode 5 : » la présentation « suite et fin du dressage de la chienne   Revenons à nos moutons, pardon je voulais dire revenons à la chienne …   De retour dans la maison et après une pause bien méritée: une gamelle pour lilly et un verre de whisky pour nous.   La leçon suivante consista à savoir honorer son Maître. Au retour de son Maître une bonne chienne doit l'accueillir joyeusement à quatre pattes et lui embrasser les pieds en remuant la queue. Il proposa de lui apprendre une variante plus perverse. « au pied la chienne «  Lilly trotta jusqu’à lui en remuant la queue. Il lui tendit un de ses pieds. « lèche ma botte » Elle s'exécuta avec réticence et lécha du bout de sa langue une de ses bottines de cuir. « Mieux que cela ou gare à tes fesses » Elle s’appliqua et sa langue s’agita avec plus de dextérité. Il s’assura que toute la surface soit consciencieusement nettoyée. Après de longues minutes il parut satisfait. « Fais la briller avec ta chatte. » Elle prit la bottine entre ses cuisses et son sexe se colla contre le cuir. Elle se frotta dans un mouvement de haut en bas. C’était vulgaire, j’avais vu des chiens essayer de se branler ainsi sur le mollet de leurs Maîtres avant de se faire éjecter d’un coup de pied. Il imprima le mouvement avec son pied l’obligeant à être plus rapide et elle s’appliqua à le satisfaire de son mieux. Il semblait ne jamais vouloir arrêter ce supplice. Le cuir râpait son sexe entrouvert et le frottement dans son intimité était à peine supportable. Après la deuxième bottine elle était épuisée et son visage semblait résigné .   Je la sentis humiliée comme rarement je l’avais humiliée. Visiblement il jouissait de son humiliation.. Dresseur pervers il en avait fait un petit animal soumis et craintif qui guettait le moindre de ses ordres. Autant on avait pratiqué certaines de ses scènes entre nous, dans notre couple, autant d’être chienne devant un inconnu froid et calculateur, la rabaissait au rang d’animal. Ce dresseur repoussait ses limites bien mieux que je n’y arriverais  jamais car il n’avait aucun sentiment qui interférait. Seul le résultat comptait et il voulait atteindre les objectifs qu’il s’était fixé. Mais il n’était pas inhumain. Il était attentif et savait doser et reculer si nécessaire, mais obstiné il revenait à la charge dès que Lilly avait récupéré. J’étais certain qu’après quelques séances elle serait une parfaite chienne obéissante.   Si le sexe n’était pas la priorité, il ne s’en priva pas. Elle était sa chienne pour quelques heures et traiter Lilly de chienne en chaleur était une expression qu’il affectionnait. « Chienne, tiens toi prête pour la saillie, présente ton cul et cambre toi au maximum. » Lilly prenait la pose cuisses écartées, son sexe bien ouvert sous l’action des pinces qui l’écartelaient. Son orifice béant était une invitation à la pénétration, mais il n’en avait strictement “rien à foutre”. Il préférait son cul.   D’un geste rapide il lui ôtait le plug et introduisait son membre dans son cul encore entrebâillé. Il l’encula ainsi à de nombreuses reprises et avec un plaisir pervers, sachant s’arrêter à  temps. L’empêchant de prendre son pied. Il aimait la fesser, lui flatter la croupe, la tirer par les cheveux en la sodomisant. Il alterna le cul et la bouche et elle aurait en temps normal fait “la fine bouche”. Mais elle n’avait plus la force de résister. Le summum de sa dépravation fût atteint à plusieurs  reprises au cours de la soirée. Sur le point de jouir, il l’obligeait à se préparer à goûter son sperme jusqu’à la dernière goutte. Vicieusement il vérifiait qu’elle avait tout avalé en lui retroussant les babines, en glissant deux doigts de par et d’autre de sa mâchoire. Comble du sadisme il lui tapotait la joue en disant “bonne chienne”.   Honteuse, elle aurait aimé pouvoir se cacher dans un trou de souris et pleurer tout son soûl, mais il la gardait à portée de main, couchée à ses pieds le sexe toujours bien ouvert. Offerte et disponible.     Pourtant Lilly en bonne femelle avait d’instinct repéré les caresses, les positions, les parties de son corps que préférait son tourmenteur. Elle jouait de sa langue, de son cul et de tout son corps pour devancer ses désirs, les combler et ainsi tenter de l’amadouer. Elle savait rien qu’au timbre de sa voix dans quelles dispositions il était et agissait en conséquence en s’offrant sans pudeur. Elle anticipait aussi lorsqu’il la cravachait et modulait ses plaintes. Certains gémissements ayant des pouvoirs d’excitation, d’autres couinements le faisait frapper moins fort. Telle une vraie chienne elle apprit à être en totale osmose avec son dresseur. Privée de la parole les autres sens prenaient le relais et elle ressentait le moindre changement dans son attitude. Elle arriva même à deviner lorsqu’il était en proie à un léger doute sur la conduite à tenir ou devant un choix à faire. Elle espéra même un moment pouvoir par son attitude soumise réussir à l’influencer. Mais malheureusement pour elle, ce dresseur avait une personnalité bien affirmée. Le programme qu’il lui avait concocté comportait de nombreux passages obligés qui étaient de véritables épreuves pour elle.   Son Maître était attentif à son plaisir. Il respectait aussi certains de ses tabous, alors que cette nuit elle pressentait que son humiliation serait complète. Elle allait, elle le savait aller au bout de sa honte et devoir accepter tout ce que ce pervers avait envie de lui faire subir. Pourtant elle était certaine que le dressage proposé avait reçu l'acquiescement de son Maître. Son Maître voulait donc qu’elle devienne cette chienne en chaleur. Comment était ce possible? Son Maître allait il la traiter ainsi à l’avenir ? Non elle ne pouvait pas y croire. Son Maître aimait trop la faire jouir en récompense des efforts qu’elle faisait pour lui plaire. Et elle prenait du plaisir à lui faire plaisir.   Ce n'était pas le cas avec Marc. Pour Lilly ce soir, le plaisir n’était pas au programme. Elle était là pour être dressée, utilisée, humiliée, obéir, donner du plaisir et en baver.   “En baver” il fallait prendre cette expression au sens propre et au sens figuré. Elle devait garder la langue sortie, dès lors qu’elle était touchée ou pénétrée au niveau du sexe ou du cul, et avait l’interdiction de fermer la bouche aussi longtemps qu’on s’occupait ainsi d’elle. Après quelques minutes cela devenait très pénible car elle ne pouvait s’empêcher de baver. C'était une règle que son Maître avait instauré et qui l’excitait et l’humiliait à la fois. Marc avait tout de suite adhéré à cette proposition.   Titillant son clitoris, il la surprit en train d’avaler subrepticement sa salive. Comme punition, il lui accrocha une pince lestée d’un poids à la langue. Il la surveilla de près se délectant de voir de la salive couler sans discontinuer et il la traita de chienne baveuse. Elle resta ainsi 10 minutes la langue pendante. Désormais craintive elle ne refit plus la même erreur. . A aucun moment son membre ne la pénétra vaginalement, lui ôtant ainsi toute possibilité de prendre son pied. Le but était de la garder au maximum dans un état de manque et de la maintenir entre l’excitation et la douleur. C’était pervers. Son corps était tellement sensible que le moindre effleurement des seins, la moindre caresse la rendait folle de désir. Il l’a plusieurs fois amenée au bord de la jouissance attentif à ses râles de plaisir et il s’interrompait juste avant l’orgasme. La frustration était terrible. Ravalant toute fierté elle l’implorait en geignant, son corps parcouru de spasmes et un simple attouchement aurait suffit à la faire jouir.   Des moments proches du sadisme il y en eut plusieurs. Lilly n’était pas maso mais une certaine dose de souffrance pouvait l’exciter, si le plaisir alternait avec la douleur. Mais Marc avait bien l’intention de repousser ses limites et de la traiter en chienne maso. Il lui fit prendre la position numéro 4, sur le dos cuisses écartées avec ses deux mains et les cuisses repliées en arrière et dégagea son clitoris. Il avait une pompe à venin et il l’appliqua sur le bouton du clitoris décalotté. Il l’actionna d’un coup sec. Lilly hurla sous la douleur. Son clito aspiré dans la pompe avait doublé de volume, et il laissa la pompe accrochée. Lilly se calma mais la douleur persistait. Il fit de même avec les tétons des mamelles et les bouts s’allongèrent de deux bons centimètres. Lilly se contenta de gémir sourdement, un gémissement guttural, animal qui dura tout le temps où elle conserva les trois pompes. Il la laissa ainsi pendant plusieurs minutes avant de la délivrer.   Le résultat était parfait. Les tétons étaient terriblement sensibles et allongés. En lui touchant le clito, qui avait doublé de volume Lilly geignait. Après quelques minutes elle avait retrouvé un peu de sérénité mais les tétons continuaient insolemment à poindre et son clito était proéminent. Environ une heure après il décida de la tourmenter à nouveau. Il lui badigeonna le clitoris et les lèvres d’une sauce piquante à base de gingembre et de piment, dotée d’un pouvoir d’irritation très puissant. Lilly se tortillait, allant jusqu’à se frotter le sexe à un bout du pied de table, pour essayer de calmer la brûlure. Traitée de chienne en chaleur, elle gémissait dès qu’il lui touchait la vulve et son clito hypersensible lui faisait craindre la moindre caresse.   Nous priment une collation en nous servant de Lilly comme d’une table basse et lui avons permis de boire et manger dans une gamelle.   Estimant qu’il était temps de la faire se soulager, il la fit s’accroupir, les cuisses écartées au maximum. En équilibre sur la pointe des pieds et les mains derrière la nuque. C’est une position difficile à tenir car on a aucun point d’appui solide et Lilly avait du mal à la garder. Il lui intima l’ordre de pisser dans un verre à pied. Lilly essaya, je vis à son regard implorant qu’elle voulait réussir. Mais elle s’était retenue depuis si longtemps et son sexe avait été tellement tourmenté qu’elle faisait un blocage. Elle sentait le regard de son tourmenteur et son impatience. Je lisais les efforts désespérés sur son visage mais elle n’y arriva pas. Il insista, pressa sur la vessie, en vain. Il l’encouragea, la réprimanda sévèrement. Rien n’y fit. En désespoir de cause il prit une canule munie d’une poire et introduisit le bout dans l’urètre. Une pression sur la poire provoqua un jet d’urine puissant. Mais il ôta aussitôt le tuyau et lui intima l’ordre de se retenir. Elle réussit à arrêter le jet en grimaçant en signe de désapprobation. Son but était qu’elle pisse sur commande. « pisse chienne, doucement. » Un léger jet sortit et atterrit dans le verre qu’il tenait, il la félicita. Il l’obligea à remplir le verre et la stoppa en pinçant fortement les tétons avant que le verre ne déborde. Il fit de même pour les 5 verres suivants.   Bien plus tard dans la nuit, j’eus pitié d’elle. J’avais trop envie de la prendre et de la baiser en l’entendant jouir. Je la libérai des pinces au sexe et elle gémis, le sang se remettant à circuler. Je la massais délicatement et elle soupira d’aise. Son sexe était trempé et n’attendait que d’être pris par une queue.  Ce fut une étreinte puissante et rapide et elle jouit en poussant des gémissements et des cris qui semblaient venir du plus profond de son être. Un orgasme puissant et une récompense après  tout ses supplices. Ses yeux remplis d’amour, me firent comprendre qu’elle était heureuse et reconnaissante de lui avoir permis prendre son plaisir après tant de tourments.   Peu avant le départ pendant que Lilly attendait sagement couchée à nos pieds, profitant d’un moment de repos bien mérité, Marc me prit à part et proposa de nous revoir. Mais cette fois en compagnie d’autres dresseurs et d’autres chiennes. Pour lui, elle avait réussi à atteindre le niveau qui permettait de la présenter à son cercle. Il la jugeait apte à devenir une chienne confirmée. Je me sentis fier d’elle. C’était à n’en point douter un grand honneur qu’il nous faisait. Je promis d’y réfléchir. En le quittant quelques minutes plus tard je lui dis à bientôt, et Lilly le remercia en baisant la main qui l’avait si durement dressée. Il lui dit à la prochaine en flattant une dernière fois sa croupe et elle eut un long frisson involontaire. Épuisée, elle s’endormit à peine installée dans la voiture et ne se réveilla pas avant l’arrivée à la maison.  
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Par : le 14/02/24
La présentation : Épisode 3   « Bien à partir de maintenant tu ne parleras plus sauf pour compter les coups si tu es punie. Tu peux gémir, couiner,  chouiner, sangloter, aboyer… Tu répondras à chaque question par un aboiement un pour dire oui deux pour dire non. Tu sais aboyer? Réponds en aboyant comme la bonne chienne que tu es ».   Lilly poussa un petit “ouaf” qui voulait dire oui mais qui ne sembla pas mais alors pas du tout convaincre son dresseur. « Ridicule! c’est nul recommence en y mettant plus de conviction. » Lilly recommença et recommença encore. Mais ses aboiements sonnaient faux. Exaspéré il lui mit deux puis quatre doigts dans la bouche, afin de faire sortir du fond de sa gorge des aboiements qui semblaient provenir de ses tripes.  Elle avait du mal à respirer et à déglutir mais il ne céda pas. Ses “ouafs ouafs” étaient maintenant rauques et rageurs.   Enfin satisfait il la laissa souffler et il proposa une pause et mit lilly à quatre pattes sur la table basse bien exposée devant nous. On dégusta un whisky écossais single malt de 25 ans d’âge dans de confortables fauteuils clubs en cuir anglais, en admirant les premiers résultats de la transformation de Lilly en chienne. Il commenta son corps en des termes vulgaires, parlant de son cul rebondi, de ses mamelles tombantes, la traitant de salope sans pudeur, de chienne en chaleur… Immobile, exposée sur la table Lilly était morte de honte. Il lui posa une écuelle remplie d eau et elle lapa sans rechigner.   Moi je la trouvais jolie ma Lilly. Sa taille de guêpe, sa queue pointant entre ses fesses et les lèvres de son sexe étirés étaient une invitation à la baiser.       Puis le dressage reprit. Il passa en revue les différentes positions que toute bonne chienne se devait de connaître. “Faire la belle” elle savait  et ce fut une simple formalité. Elle était à genoux cuisses ouvertes, bien droite, les pattes repliées à hauteur des épaules. De joie sa queue devait s’agiter. Prendre la pose à l’arrêt, tête au sol mains bien à plat devant elle, cuisses écartées et bien cambrée, c’était la pose numéro 5. Dans cette position indécente, il s’amusait à lui taquiner le sexe et à la doigter afin de bien lui faire tirer la langue. Il lui fit chercher la baballe et la ramener entre ses dents, et “faire la belle” avant de la lui redonner. Il ne manquait jamais de glisser un doigt entre ses cuisses pour la féliciter, l’obligeant à tirer la langue. Il attendait de la voir baver avant de renvoyer la balle. Le salon était immense et meublé avec goût, mais de nombreux obstacles imposaient à Lilly de louvoyer entre les meubles. Elle avait beau se dépêcher,  il lui mettait la pression afin qu’elle aille encore plus vite. Les pinces aux lèvres la faisait souffrir et ramasser la balle avec les dents l’obligeait à des contorsions et provoquait une tension involontaire des pinces. L’homme la suivait en la houspillant, il se servait de la cravache pour la faire avancer plus rapidement, et elle eut bientôt les fesses rougies et zébrées.   Bien remuer la queue qui pointait hors de ses fesses était plus difficile qu’il n’y paraissait. Car seul l’arrière train devait bouger, l’apprentissage fut ardu. Cela rappelait les danses des tahitiennes qui remuaient leur bassin orné de leur pagne en dansant le Otea. Là encore elle fut cravachée jusqu’à ce qu’il soit satisfait de son déhanchement. Il exigea qu’elle remue sa queue à chaque fois qu’il l’appelait. au pied chienne Elle trottait jusqu’à lui et “faisait la belle” en agitant la queue. Charmant tableau.   Pour la récompenser il lui donnait son sexe à sucer et lui imposait un rythme soutenu. Ce n’était pas à proprement parler un cadeau. Il avait un sexe long et épais. En l’obligeant à l’engloutir entièrement, elle suffoquait. Elle essaya une fois de se dégager avec ses mains pour déglutir et reprendre son souffle. Mal lui en pris. Il n’apprécia pas et il lui saisit la tête entre ses mains et la tint fermement collée à son ventre, son sexe butant dans sa gorge . Et il lui imprima des mouvements rapides et profonds. Un vrai “Deepthroat” forcé. Il lui ordonna de garder les mains dans le dos. Il la libérait juste avant qu’elle ait un haut le cœur puis recommençait la forçant à bien avaler son membre. Elle salivait abondamment et hoquetait cherchant à reprendre son souffle avant de replonger sur son sexe. Je craignais qu’il la gifla si elle essayait à nouveau de se rebeller mais elle ne tenta plus de se servir de ses mains. Heureusement, il eut d’autres idées et alterna en lui donnant ses couilles et son cul à lécher. Sa langue aussi devait servir à donner du plaisir et Lilly en bonne lécheuse s’appliqua à le satisfaire savourant ces moments de répit.   Elle obéissait du mieux possible, de peur des punitions. Les dix coups de cravache sur les mamelles l’avait fait couiner de douleur. Il lui avait fait compter les coups et il frappait d’un geste sûr en dosant la puissance. Précis et méthodique. Il aimait punir et il guettait la moindre faute. Une fois, il la surprit en train de l’observer à la dérobée et leurs regards se croisèrent. Elle sut instantanément qu’elle allait le payer très cher. Il l'agrippa sans ménagement et elle fut promptement culbutée sur ses genoux. Ses grosses mains lui donnèrent une fessée sévère qui incendia toute l’étendue de ses fesses. Il ne lui demanda point de compter préférant la corriger jusqu’à qu’elle soit au bord des larmes. Puis, elle fut mise au coin à genoux en position d’attente, son cul rougi exposé. A compter de ce moment elle décida de lui obéir au doigt et à l’oeil afin de ne plus être punie.   C’était un dressage dur, appliqué sans concessions et il avait envie de l’asservir rapidement et totalement. Je ne me souviens plus de l’ordre chronologique de la soirée. Il y eut des moments de calme où Lilly attendait sagement et récupérait à nos piedsmais j’ai encore en tête les détails de chaque moment fort.    
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Par : le 12/02/24
Épisode 2 « la présentation » suite. Lire « la présentation » avant. Attention cette histoire est plus un dressage de « petgirl » qui transforme une soumise en chienne. Réservé aux amateurs de chiennes dressées durement.   Visiblement Marc adorait découvrir les positions que lilly avait apprises dans le but d’être présentée et qui par leur côté cru l’obligeait à s’humilier abdiquant toute pudeur. Ses positions sont celles qui font partie de celles qu’adoptent les soumises pour dévoiler leur intimité à leurs Maîtres et leurs permettre d’y accéder soit pour les saillir soit pour les tourmenter.   La « position numéro 3 »est comme la position 2 une de celles qui peuvent être prises facilement dans la vie quotidienne si la soumise est en jupe sans culotte. Sur l’invitation de Marc elle obéit. Lilly se tourna et se pencha en avant son dos à l’horizontal, gardant les jambes droites et espacées. Ses deux mains saisirent ses fesses et les écartèrent. Son trou du cul apparut. Marc y glissa un doigt et répéta le mouvement et Lilly docilement activa sa langue.   « position numéro 4 » demanda t il d’un ton ferme. Quittant la position debout, lilly se coucha sur le dos entrouvrit les cuisses et les tint repliées entre ses mains. Cette position était idéale pour la sauter ou tourmenter sa chatte. Il écarta au maximum les grandes lèvres et son sexe ainsi ouvert était totalement vulnérable. Il joua avec son clitoris et lilly se sentit à la merci de son tourmenteur qui alternait pincement et caresses. Un mouvement involontaire et de légers tremblement ponctuaient chaque geste de Marc et lilly gémissait doucement sous la pression des doigts et il s’attarda longuement sur son sexe offert. « Jolie pose il faudra lui refaire prendre en lui mettant une pompe afin d’aspirer le clito et le faire s’enfler. »   Il continua : « position numéro 5 » Elle se mit à quatre pattes, tête au sol, mains à plat devant elle, cuisses écartées bien cambrée offrant son cul. C’était la position qu’elle devait adopter, lorsque marchant en laisse son Maître s’arrêtait ou lui disait stop lorsqu’elle trottait a 4 pattes. « Un beau gros cul qui va devoir être rougi pour mon plaisir » fut la remarque de Marc Lilly savait que cette pose permettait tous les excès soit en recevant la cravache soit en étant prise par les orifices qui s’offraient au regard pervers de l’invité.   Et pour finir la « Position numéro 6 » Elle se mit accroupie, cuisses largement ouvertes, sur la pointe des pieds, mains derrière la nuque. Elle oscillait légèrement cherchant à garder son équilibre et fit grimacer lilly. Il commenta. « Pour tenir longtemps cette pose il lui faudra une cale dans le cul pour avoir un appui au sol. «  « Oui répondis je et c’est la position idéale pour la faire pisser lors d’une balade dans la nature. » Voyant qu’elle avait beaucoup de peine à tenir la pose il s’adressa à Lilly.   « debout chienne. » Soulagée Lilly se releva et reprit la position d’attente. Il saisit la laisse et l’entraîna vers un coin du salon. Arrivé devant une table il lui demanda de l’escalader et de se mettre à quatre pattes. Lilly s'exécuta. « Écarte plus tes cuisses et cambre toi. » Lilly obéit. Marc tourna lentement autour de la table afin de pouvoir l’observer sous toutes les coutures. Il laissa ses doigts glisser sur différentes parties de son corps s’attardant sur ses mamelles pendantes et les gifla de sa main provoquant de légers frémissements de la part de Lilly. Puis il se tourna vers moi. « si tu le permets je vais la transformer en vraie chienne. » Je lui donnais la permission et Lilly soupira. Un soupir involontaire qui lui échappa. Marc fit comme s’il n’avait rien entendu, mais il eut un petit sourire sadique. Je me demandais un instant si cela avait été une aussi bonne idée de la mettre entre les mains d’un parfait inconnu. Il revint au niveau des ses fesses et il enserra chaque cuisse d’une cordelette, reliée à un tendeur et à une pince. Il lui ordonna de serrer les cuisses et ajusta chaque pince au sexe de Lilly. Lorsqu’il lui fit ouvrir les jambes le ressort écarta au maximum les grandes lèvres et je vis Lilly grimacer de douleur. « Écarte les cuisses, serre les, écarte plus. » L’effet était saisissant et des plus crus presque vulgaire. Il répéta plusieurs fois cette opération afin de régler la bonne tension. Il voulait qu’elle puisse marcher à quatre pattes en ressentant pression et gêne, et qu’en s’ouvrant totalement la douleur soit à la limite du supportable. Pendant tout le temps où il ajustait les pinces Lilly garda la langue sortie comme elle avait appris, sachant qu’il lui était formellement interdit de refermer la bouche. Un peu de salive perlait déjà de sa bouche. Je savais qu’elle se sentait humiliée de se voir ainsi palpée et auscultée cuisses écartées langue pendante, devant un parfait étranger. Il se tint devant elle et elle put refermer la bouche visiblement soulagée.     Elle était encore persuadée de pouvoir lui résister. Elle allait bientôt déchanter car le temps n’allait pas jouer en sa faveur. Il aimait briser ces petites femelles sexuellement libérées qui croyaient venir ici pour s’encanailler.   Marc ne resta pas inactif. Il lui ôta les escarpins, enserra pieds et mains dans des sortes de moufles en cuir. S’il lui demandait de se lever, elle serait obligée de se tenir en équilibre sur la pointe des pieds. Impossible de faire plus d’un mètre sans tomber. Il protégea ses genoux avec des genouillères afin qu’elle puisse marcher à quatre pattes.   Il l’interrogea soudain. « ton cul est propre? » La question surprit Lilly qui n’était pas habituée à un langage aussi cru. Mais elle savait que quelque soit les questions elle devait répondre poliment et précisément. « oui monsieur, mon cul est propre. » « Comment l’as tu nettoyé? » « J’ai eu un lavement, monsieur. » « bien je t'enculerai bien profondément. » Lilly grimaça mais ne répondit pas. Pour Lilly le lavement était une des pires épreuves qui soit. Elle renâclait à cette pratique et je devais me montrer particulièrement ferme pour qu’elle s’exécute. Mais avant de venir elle avait du le subir. Je voyais son corps se crisper rien qu’à l’évocation de ce souvenir humiliant.   Puis il prit un plug en métal de bonne dimension avec à son extrémité une courte queue. Il l’approcha de sa bouche, força ses lèvres et le glissa en effectuant des vas et viens rapides et profonds. « mouille le bien tu vas l’avoir dans ton cul. » Lilly s’appliqua à bien l’humidifier. Il lui mit le plug en faisant preuve de délicatesse. Il faut dire qu'il était d’une taille imposante. La courte queue transformait doucement Lilly en animal. Elle se sentit remplie et dilatée à la fois.   Pour finir il lui enserra la taille à l’aide d’un corset de cordes et le serra au maximum. Sa taille  s’affina et ses fesses rebondies attirèrent nos regards. Elle était à croquer ainsi harnachée. Je vis l’effort qu’avait fait Lilly pour ne pas crier puis elle sembla s’habituer à sa nouvelle condition.   Doucement il s’approcha de sa tête, lui caressa les cheveux et lui dégagea les oreilles, prenant le temps de l’observer. Il la huma, la renifla et reconnut son parfum. Opium d’Yves Saint Laurent. Il lui fit ouvrir la bouche y glissa plusieurs doigts et il inspecta sa dentition. Elle eut honte d’être examinée comme une esclave des temps anciens qui allait être vendue sur le marché. Dans chaque narine il lui posa un crochet, relié par une cordelette à une sorte de serre tête. Il tira et ajusta le tout. Son nez se retroussa et sa lèvre supérieure s’entrouvrit la rendant plus animale.Il joua ainsi pendant quelques minutes à tendre la corde l’obligeant à desserrer la lèvre supérieure. Puis curieusement il lui ôta cet accessoire en disant s’en servir plus tard. D’une voix grave il reprit la parole. « voilà qui commence à me plaire, on va pouvoir commencer le dressage, Lilly es tu prête? » « Oui monsieur, je suis prête à être dressée. »  
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