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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Pour éclaircir un peu…
Thutale rime avec monacal (et donc avec vestale) dans le qui m'a inspiré mon pseudo (la magistrale trilogie de Pierre Bordage : ).
Oniki est membre du Thûta, un ordre féminin voué à la sauvegarde du fragile équilibre écologique d’une planète (Ephren) jadis recouverte par les eaux. Les mers, après avoir engendré une profusion de corail, ont baissé, laissant la dentelle minérale à découvert. Elle forme à présent une voûte de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur au-dessus de la surface habitée, qu’elle écrase de son gigantisme. Le vent mugissant ne cesse de jouer dans les creux et les failles de la structure, de ce fait rebaptisée les orgues de corail et dont s’échappe continuellement une étrange et languissante mélopée. Ce monde mourrait vite sans les thutales, qui inlassablement nettoient les orgues de leur lichen pour permettre aux rayons du (des) soleil d’emprunter ces puits de lumière et d’éclairer et réchauffer leurs complanétaires. D’une grande force physique, agilité et sang-froid, elles se hissent à la force des doigts et des bras jusqu’au bouclier de corail supérieur, que, selon les lois de leur planète, il est interdit de fouler. Pour plus de commodité, et grisées par le vent, les hauteurs et l’étrange murmure des orgues, elles abandonnent dans les soubassements coralliens, une fois hors de vue, leur sobre tunique de laine blanche, et s’élèvent dans les rochers, portant leur nudité en étendard de leur liberté.
Voilà pour le décor. J'espère ne pas trahir Pierre Bordage en disant qu'il y a une dimension symbolique (omniprésente ?) dans son œuvre.
Voici donc une interprétation du passage présenté ci-dessus.
La trilogie des , comme le titre peut le laisser deviner, a une dimension spirituelle importante.
Oniki, sur Ephren, se dépouille de ses voiles au fil de son ascension vers la lumière pure des étoiles jumelles de son monde, lumière entravée par le gigantisme du corail (structure lourde et rigide, archaïque mémoire de la planète) et toujours menacée d'être définitivement occultée par le lichen des orgues, véritable chiendent, robuste et à croissance rapide. Dans le massif corallien, se faufilent, onduleux, des serpents géants, reptiles au regard captivant, puissants et dangereux : reflets de la force brute des instincts non maîtrisés (ici sexuels, vous voyez que je ne suis pas complétement à côté). Il va de soi que cette gigantesque et pourtant fragile structure minérale doit être purifiée, éclairée, et non détruite. Oniki est répudiée de son ordre pour avoir rompu son vœu de chasteté. Or c'est justement l'esprit lumineux d'un guerrier accompli qui s'est uni à la matière vierge de son corps... Exilée par ses pairs sur une île sans lumière, l'infatigable ouvrière de la clarté poursuit seule, pour les autres réprouvés (des fous pour la plupart), son œuvre de thutale, et dégageant une galerie majeure encombrée d'un lichen millénaire, permet enfin à la lumière d'atteindre ce lieu de souffrance. Bravant un ultime interdit, elle se hisse sur le bouclier de corail, en pleine lumière, et ce sont les serpents qui deviennent les témoins attentifs de la naissance de l'enfant qui a pris forme en elle au fil de ses épreuves.
Pour conclure et pour être définitivement claire au risque de lever le mystère :
Oniki, c'est la force sexuelle sublimée qui s'élève...
Le serpent qui se redresse...
Le bas qui rejoint enfin le haut...
La levée de tous les anathèmes.
Oniki, Thutale (oui, j'en parlerai un jour à un psychiatre )
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(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues)
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Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique.
Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même.
Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme.
Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut.
Etre Dominant ; Toujours plus vite.
Etre Maître ; Toujours plus haut.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Aimer la femme au point de fantasmer à être contraint de vivre une transformation humiliante . Phase première , se mettre à poils ,et chausser des chaussures de femmes ,se munir de cette accessoire féminin ,à lui seule ,le plus fantastique ,le SG, sentir les bretelles sur ses épaules ,1ère excitation. enfiler robe ,mi jupe ,chemisier, enfin bref,parfaire sa tenue et sentir le bout rose de son organe intime frotter sous le tissu . Ensuite place au fantasme à l'imagination de l'acte suprème : "Prendre une chaise ,en s'asseyant à l'envers dessus ,donc,face au dossier, relever le devant de la robe pour dégager le pénis et à l'aide d'une ficelle nouée derrière le bourrelet du gland ,serrer très fort en tendant le lombric au maximum par devant en nouant la ficelle au bois du bas de dossier de chaise .le gland gros et raide ,dépasse bien de l'autre côté et la tension extrème fait souffrir ;c'est très bon!!! Prendre une paire d'escarpins à talons aiguille et ficeler un, de chaque aux extrémités du dossier et scotcher 1 punaise à l'envers sur les reposes talons ,car escarpins à brides , En l'occurence ; avec robe à manches courtes ,retrousser les brassières sur les épaules ,cela est déjà excitant,car fait penser à une sorte de viol ,enfin je n'aime pas ce mot ,forced,humiliation,; tout cela pour dégager le SG ,qui devra être à son tour retroussé ,mais par le bas ,pour dégager les tétons ,ce qui les fait gonfler vers l'avant . Régler la hauteur de la punaise en face le centre des tétons . les bras comme attachés derrière le dos et les jambes en arrière avec les pieds dressés sur le bout des sandales . Pencher le torse en avant ,et griffer les tétons sur les punaises ,c'est vraiment excitant !!!! le fantasme ressenti ,est d'être humilié ,forcé à devenir une femme en détruisant les parties intimes du mâle ; (du porc) . Transformer un brave porc en génisse ,c'est lui faire éprouver le plaisir à détruire ses parties érotiques et génitales afin de devenir femme .(excusez j'emploie des termes choc (porc) et autres pour le ressenti uniquement) . options fantasme à la scène décrite : enfoncer une tige de fer dans l'urètre du lombric en situation d'arrachement ,et planter carrément la pointe de la punaise dans les tétons ,afin de crever l'alvéole canalaire ,en faisant peser tout le poids de son torse sur les repose talons .La déchirure de l'alvéole va enfin faire juter ce gland dure . Option 2 : se prendre un collier de femme autour du coup et une autre paire d'escarpins pointus et s'enfoncer les deux bouts pointus bien au fond de la gorge ,le soumis bave ,c'est sublime !! une alliance dans le nombril et une gourmette nouée autour des couilles . Viens ensuite ce que j'appelle l'étalonnage des tétons d'homme soumis au sacrifice ; choisir une paire d'escarpins à talon et les rentrer dans le ST ,en tournant la pointe des talons sur les tétons et s'allonger au sol ,en faisant peser le poids de tout son corps . l'Ecrasement des tétons par l'accéssoir fétiche est un régal d'humiliation pour enfin exprimer son désir mammaire ,avoir des vraies mamelles au lieu de ces ridicules petits boutons
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Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants.
Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué.
Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique.
Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme.
Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire. Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière.
Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève.
"Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi."
Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix.
"Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..."
Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..."
Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..."
Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins.
"J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main.
Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....".
Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir.
Chapitre Deux
Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache.
"Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... "
"Quand peux tu être libre aujourd'hui ?"
Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?"
"Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard".
Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler.
Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur.
"Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier".
Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non.
"Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!"
Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis.
"Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant".
"Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça. Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager".
"C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant".
Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité.
Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!!
Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi.
Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie.
Et moi je suis fasciné.
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(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues)
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Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme.
Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ?
Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non.
Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine.
Comment devient une/un "Cum-Slave" ?
Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser.
Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou).
Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment.
Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ?
L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite.
Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source.
Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet).
Amour et "Cum-Slave" ?
Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie.
Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant.
L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs.
Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable.
Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête.
Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ?
Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être.
Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave".
Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave".
Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière.
(Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave")
En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre.
Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu.
C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée.
Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ?
Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte.
Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin.
Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ?
Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle.
Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme.
Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé.
Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda.
Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation.
En conclusion ;
Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM.
Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail.
Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b)
Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Beaucoup de libertins et de libertines se revendiquent d’Epicure alors même que la philosophie épicurienne considère la sexualité comme étant un désir naturel, non nécessaire. Non nécessaire ?! Vivre pleinement sa sexualité contribue pourtant à l’équilibre psychologique et favorise une certaine sérénité de l’esprit. Quel antagonisme, par méconnaissance sémantique, ces derniers au nom des plaisirs de la chair feraient-ils l’apologie de la vie monacale ou d’Eunuques ? Préférence accordée à Eschyle pour qui « il est agréable, d’être agréable à quelqu'un » ou Sophocle qui préconise « être fou de joie, dans les plaisirs, au milieu des plaisirs » .
L'hédoniste considère le plaisir comme le bien unique et suprême dans la vie, et professe la recherche du plaisir, et même des plaisirs multiples, en tant que fin idéale de toute conduite. Alors que pour Epicure, le but ultime est l'atteinte de l’ataraxie. Donc sortons de notre léthargie épicurienne pour entrer dans les folies hédonistes.
La vie est une succession de souffrances et de petits instants de bonheur. Les plaisirs y sont trop éphémères. Cueillir le plaisir du moment, sans dol ni préjudice pour autrui, est de bon conseil pour agrémenter sa vie. Mettre ses sens en exubérance et son esprit en harmonie avec les saines forfaitures des corps.
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Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre.
• « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. »
• « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. »
• « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. »
• « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. »
• « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. »
• « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. »
• « Au plaisir du maître, je me plierais. »
Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous.
« Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître.
J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant.
« Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître.
Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir.
« Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître.
« J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je.
Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses.
« Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître.
Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle.
« Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître.
Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe.
« Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il.
Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence.
« Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je.
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Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe.
Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Qu'est-ce qu'un MUNCH ?
Un Munch est un rendez-vous de rencontres entre personnes ayant pour intérêt le BDSM, ces personnes peuvent être des personnes impliqués de la pratique de relations BDSM ou des personnes qui montrent un intérêt pour ce style d'expressions relationnelles et de pratiques sexuelles.
Un Munch dans l’univers BDSM est organisé de manière formelle ou informelle par des gens identifiables(1).
Le lieu où sont organisées ces rencontres est important:
- C'est un lieu qui présente des caractéristiques qui permettent aux participants de pouvoir bénéficier de toutes les garanties d'être libre d'aller et de venir.
L'endroit doit être facile d'accès et permettre de laisser aux participants le choix de leurs anonymats.
C'est un lieu neutre, un point de rendez-vous qui n'est pas isolé et/ou clos, un lieu qui est ordinairement un restaurant, une brasserie, un café en ville/village.
Les horaires des Munch sont choisis pour permettre au plus grand nombre de participer, il débute le plus tôt qu'il est possible et se termine a des horaires compatibles avec les transports en commun (si ceux-ci sont disponibles dans les environs).
C'est une rencontre dédiée à l'expression et de mise en relation sociale. Le but d'un Munch est la discussion, l'échange de points de vue, d'expériences.
Un Munch est un lieu de rencontres à des fins de communications avec des personnes qui montrent une attention pour un domaine de réflexions et de comportement relationnels, ce n'est pas un lieu de drague! Les personnes qui s'y présentent doivent pouvoir se sentir dans u environnement propice à la réflexion, à la communication sans aucune pression de séduction ou de jugement comportemental (LGBT bienvenu(e)s !) :)
Il n'y à aucun enjeu de pouvoir entre les différents intervenants ou participants, en aucun cas, d'aucune manière.
Quiconque participe à un Munch est en droit d'exiger qu'il soit traité d'égal à égale avec les autres personnes présentes.
S'il existe des règles de bienséance sociale comme dans toutes les réunions publiques, il n'existe pas de "dogme" (règles écrites) ou de manière de s'adresser aux personnes présentes. Le respect des "protocoles" qui peuvent avoir du sens dans des groupements particuliers n’est pas applicable lors de la participation à un Munch.
Ce qui n'est pas un Munch?
Ce n'est pas un moment de pratique BDSM.
- Vous n'avez d'ordres à recevoir de personne ni contraintes à subir de quiconque est présent à ces Munch, seul les règles de civilités ordinaires applicables à une rencontre dans un lieu public sont acceptables.
- Vous ne devez pas accepter d'être témoin ou acteur malgré vous d'exhibition à caractère érotique ou sexuel, celles et ceux qui souhaitent s'y adonner ont de nombreuses autres occasions pour le faire ou doivent, à tout le moins, requérir au consentement explicite de chacun des participants. Vous êtes en droit de refuser ce type de démonstration.
Ce n'est pas organisé dans un endroit isolé.
- Gardez simplement à l'esprit que les gens qui pratiquent et ont le besoin de partager dans la pratique d'un BDSM peuvent le faire lors de centaines d'autres occasions. Le Munch est un moment ou la neutralité et le partage d'expériences sont privilégiés, pas l'action, c'est un lieu de discussions, de réflexions. Ne vous sentez jamais obligé de suivre des personnes qui vont ensuite s'amuser dans un autre lieu, là encore tout repose sur votre libre arbitre. Vous et vous seul êtes en mesure de donner votre opinion et n'avez à subir aucune pression, aucune contrainte d'aucune sorte. Soyez ferme et intransigeant sur ces points.
Ce n'est pas obligatoirement organisé par des associations/entreprises dédiées aux activités libertines et/ou BDSM.
- Si cela va sans le dire, c'est toujours bien mieux en le disant. Vous devez savoir que certaines entreprises commerciales ou associations en mal de notoriété ont compris que le terme "Munch" pouvait apporter "du monde", de la fréquentation, donc un peu d'argent pour leurs petites entreprises. Conséquence de quoi, ces personnes détournent les principes fondateurs des Munch, qui je le rappelle ont pour vocation de permettre aux personnes qui ont une curiosité pour ces pratiques de pouvoir rencontrer et discuter en dehors de toutes contraintes.
Exception notable pour le l'Association Paris-M(4) qui à pour vocation l'organisation de Munch et d’Apé’Rencontres, cette association veille depuis de nombreuses années à ce que cela soit un moment de rencontres qui respect les principaux fondamentaux décrits dans le ce billet.
Ce n'est pas un endroit ou les gens seront mis en situation d'être voyeurs ou exhibés.
Ce n'est pas un endroit ou il est enseigné une "méthode" ou techniques de pratique (cordes, aiguilles, jeux de rôles D/s)
Ce n'est pas un endroit où il est fait commerce de marchandises en relation avec le BDSM (cela n'empêche pas que les équipes organisatrices puissent trouver des partenaires pour les aider dans la promotion de leurs rencontres Munch)
Ce n'est pas une rencontre ou vous avez obligation d'adhérer à une association ou un mouvement spécialisé.
Ce n'est pas un endroit ou l'ont peux faire des photos ou des enregistrements (vidéo/audio).
Ce n'est pas un endroit sélectif ni discriminatoire, il n'y a pas de lettre de motivation à présenter ou de cursus à respecter(3).
Il ne doit pas y avoir de ticket d'entrée ou de paiement préalablement requis pour y avoir accès.
Par exemple, les intitulés "Munch & Play" ou encore des “Munch’n play Maverick”(2) ne sont pas respectueux des bases conventionnelles des "Munch" qui sont pratiqués depuis le début des années 1990 en Amérique du Nord ou bien depuis la fin des années 2000 en France, pour ne citer que ces exemples. Cette usurpation de dénomination n'a que pour but de siphonner la popularité des Munchs historiques. Si vous avez été abusé par ces appellations, n'hésitez pas à le faire savoir autour de vous.
1) Une personne est identifiable par des éléments simples:
Si vous ne disposez pas de son identité sociale (un pseudonyme est respectable !!), vous devez au moins disposer d'éléments de contact comme par exemple un Facebook avec un visage identifiable (identifiable en en privé, cela va de soi).
Un numéro de téléphone est fortement recommandé pour pouvoir joindre les personnes sur place afin de vous y retrouver, vous situez si vous êtes égaré en allant sur les lieux du Munch.
2) le fait que cette appellation "munch" soit dévoyée ne présume en rien des qualités des organisateurs de ces moments de rencontres qui ne sont pas des MUNCH.
https://www.google.fr/search?q=Munch+%26+Play&cr=countryFR,lr:lang_1fr&source=lnt&lr=lang_fr
3) seules les règles de courtoisie liées à l'espace public (brasserie, restaurant ...) sont à respecter. Vous n'avez pas à être traité autrement qu'avec respect et ne devez recevoir d'ordre de personne et n'être contraint à rien ni par personne.
4) http://www.paris-m.org
Version 1.1 (c) Maxence Lascombe - 28 décembre 2017 00H00
Version récente : http://maxxence.tumblr.com/post/169069850348/quest-ce-quun-munch
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Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise..
D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant.
Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes.
Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même..
En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^
.
L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s.
Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul...
Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales:
Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues.
La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire.
La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran.
Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas.
La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée.
Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre...
A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien :
Exploration de soi
Exploration de soi à travers l’autre.
Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe.
Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle.
Pensée au Parloire pour ma muse.
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Les Boules de Geisha
9 novembre 2011
Il existe peu de personnages plus secrets et plus mystérieux que Gianfranco Armando Geisha; né au début de sa vie dans un endroit caché de cette belle province Romaine riche en inventeurs et en artistes, il n'aura jamais récolté la gloire de sa plus belle invention: les boules qui portent son nom, les fameuses «Boules de Geisha ».
A celles et ceux qui croiraient encore à d'incertaines et délirantes rumeurs qui situent l'origine de cet instrument ludique au Japon, il convient de spécifier que le véritable inventeur est bel et bien né en Italie, bien que vivant au pays du Soleil Levant à cette époque.
Il exerçait la noble profession de fondeur et était le seul à savoir refaire des clés de Kangoo, ce qui était très rare à l'époque et lui laissait un peu de temps libre. Il faisait aussi d'excellentes pâtes. Sa réputation était immense; elle dépassait les limites de l'Italie et du monde connu alors. Il travaillait au feu des volcans surtout le matin et ensuite il passait beaucoup de temps à regarder la mer et la plage; comme ce pays parsemé de volcans et de montagnes ne présentait que peu de parties planes, il eut un beau matin l'idée de récupérer un peu d'acier et de le façonner en boules en incorporant au centre un métal plus souple et plus léger fixé par des petits ressorts à la conque de métal dur et lourd. Remarquant que cet ingénieux montage pouvait se lancer d'une seule main et rester à l'endroit précis du retour sur le sol-ce qui était très pratique dans un pays comme le Japon très en pente et agité sans cesse par des tremblements de terre, il en répandit l'usage et ce fut aussitôt un succès retentissant; il inventa ainsi en une seule fois les boules et le jeu de boules.
Au départ le jeu de boules était destiné aux femmes; elles pouvaient y jouer en s'amusant à laver le linge et s'occuper de la maison et comme les boules n'allaient pas très loin elles réservaient ainsi plus de temps à l'entretien de la maison. Il leur fallait lancer leurs boules chacune leur tour, et les boules qui rebondissaient le moins loin faisaient gagner leur joueuse; celles qui perdaient tout le temps devraient « embrasser Fanie»; cela mérite une explication.
Pour être vraiment précis dans ce récit il convient de préciser qu'on prétend que Gianfranco Armando Geisha est sans doute né à Fano en Italie, et il donna à cette tradition le nom de « embrasser Fano » en pensant à son village; par la suite on a dit « embrasser Fanie » au lieu de « embrasser Fano »...
De retour dans son pays il n'eut plus beaucoup l'occasion d'utiliser ses jouets, mais il fit par la suite partie de la première expédition Romaine vers la Gaule et il participa à la fondation de Massilia, devenue par la suite Marseille.
Il avait pris la précaution d'emmener avec lui les désormais célèbres « Boules de Geisha », mais dès l'apparition des premiers Marseillais il les perdit au jeu dans une rue sordide du centre-ville et dès lors l'Histoire a attribué la paternité des « Boules de Geisha » aux gens du Sud de la France...
Certains fabricants peu scrupuleux, trahissant Gianfranco Armando Geisha, n'hésitent même pas, de nos jours, à vendre leurs boules sans mécanisme intérieur et ces ersatz se reconnaissent à ce qu'elles rebondissent beaucoup plus et pour ainsi dire presque trop.
Rendons donc aujourd'hui hommage à Gianfranco Armando Geisha pour cette contribution majeure au développement de l'Humanité et sachons reconnaître les vraies Boules de Geisha avec certitude: on peut encore trouver ces objets rares dans un état proche du neuf malgré l'usure du temps en passant le doigt sur leur surface; on peut y sentir encore les initiales de notre génial inventeur gravées sur les véritables pièces encore en état.
Merci à toi Gianfranco Armando Geisha, artiste méconnu et fondateur d'une tradition qui ne s'éteindra pas.
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Mesdames, le présent article a pour but de vous expliquer la bonne façon d'être féministe, afin que vous ne commettiez pas d'impairs lors de vos diners en ville, tant il est important de ne froisser personne lorsque l'on veut avoir des contacts sociaux.
Avant toute chose, gardez toujours à l'esprit qu'il vous faut ne pas affirmer. Affirmer est par essence agressif. Surtout lorsqu'on est une femme. Tout au plus doit-on suggérer, émettre quelques idées sur le mode prudent et interrogatif, afin de voir quelles seront les réactions autour de vous. Si elles paraissent positives, ne prenez pas cela pour un acquis, et ne tentez pas de pousser votre avantage trop loin.
N'oubliez jamais que votre vocabulaire devra être choisi avec soin, et qu'il vous faudra éviter tout terme pouvant heurter les sensibilités. Ainsi, patriarcat, lutte, égalité sont à proscrire, puisqu'ils sont typiquement agressifs. D'ailleurs, ne prononcez pas le mot féminisme, par essence, il prédispose à un monologue et vous condamnera pour absence de débat. Plus qu'un tabou, c'est une hérésie à lui seul.
Lorsque votre prudente avancée aura portée quelques fruits, laissez donc d'autres que vous reprendre le flambeau. Vous vous apercevrez que vous êtes entourée d'hommes prenant faits et causes pour les femmes, prêts à se mettre en avant pour expliquer ce qu'est le féminisme, ce que ce combat vous apportera, et comment, surtout, il convient de le mener. Ces hommes vous expliqueront ce que vous pensez, et ce qu'il vous faudra penser à l'avenir, allant même, ces précieux précurseurs, jusqu'à vous détailler ce que vous ressentez. Croyez bien que la gente masculine, depuis que le monde est monde, a eut à mener moult batailles et sait donc parfaitement ce qu'il faut faire pour, non seulement les mener à bien, mais les gagner.
Effacez vous devant ces spécialistes , et n'oubliez pas de sourire, en acquiesçant avec conviction. Le sourire prouvera que vous n'êtes pas sur un mode agressif, et la conviction vous mettra à l'abri de toute réaction négative, que du bénéfice !
Voyez comme il est simple de ne heurter personne quand vous vous piquez d'idéaux. Et lorsque, par exceptionnel, vous aurez envie d'en découdre, ne perdez pas de vue que vous avez la chance de vivre dans un pays progressiste, et que, comparé à d'autres pays, votre condition de femme n'est pas si terrible. Ne faites donc pas l'enfant en voulant plus qu'il n'est humainement entendu d'attendre.
Toute autre façon de faire serait perçue comme agressive, socialement inacceptable, et bien propre à refuser le débat. Affirmer, s'affirmer, vouloir, ne pas accepter, n'est pas un dialogue, mais une revendication. Se battre pour ses droits, pour le respect, c'est forcément combattre, et ça demande de l'énergie. Mais ne perdez pas espoir. A force de dire les choses, de les expliquer, de les rendre visibles, elles prendront forme et réalité.
Vous trouverez sur votre route des hommes discrets, qui sont en phase avec vous, et qui n'éprouveront pas le besoin de se mettre en avant avec leurs principes d'égalité. Chérissez ceux-là, ils seront vos amis sincères.
Mesdames, votre parole compte et vous pouvez la faire valoir, de la façon dont il vous sied. Faites au mieux pour vous, et comme vous le ressentez, ne laissez personne vous dire ce que vous devez penser.
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(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues)
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A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté.
Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait.
L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué.
Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant).
Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration.
Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement.
Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde).
Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est).
La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir.
Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres.
L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres...
Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés.
Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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