La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/08/25
L'Histoire de Lili, la Soubrette Épanouie Dans les recoins sombres d'une grande ville anonyme, où les néons clignotaient comme des promesses interdites, vivait Léa, une dominatrice d'une beauté à couper le souffle. Grande, avec des courbes sculptées par des années de discipline personnelle, des cheveux noirs cascadant comme une nuit sans lune, et des yeux verts qui transperçaient l'âme comme des lames affûtées. Elle n'était pas du genre à minauder ; Léa était implacable, une force de la nature qui imposait sa volonté avec une précision chirurgicale. Et puis il y avait lui, son soumis, qu'elle avait rebaptisé Lili – un nom doux et ridicule pour un homme qui avait autrefois cru être un alpha, mais qui s'était révélé être une chiffe molle avide de soumission. Tout avait commencé lors d'une soirée BDSM underground, où Lili – appelons-le encore par son ancien nom, Marc, pour l'humour de la chose – s'était pointé avec son ego gonflé et son collier fantaisie acheté sur Amazon. Léa l'avait repéré de loin, ce type qui jouait les durs mais tremblait comme une feuille au premier regard autoritaire. "Toi, tu seras ma petite soubrette," avait-elle murmuré en le plaquant contre un mur, sa main serrant fermement son entrejambe. Marc avait hoché la tête, déjà conquis, ignorant que ce soir-là marquerait la fin de sa virilité telle qu'il la connaissait. La castration ? Oh, ce n'était pas une affaire sanglante et médicale, non – Léa était plus créative que ça. Elle l'avait organisé comme un rituel théâtral, avec une pointe d'humour noir pour pimenter l'affaire. Dans leur appartement loft transformé en donjon chic, elle avait attaché Lili sur une table customisée, les jambes écartées, une cage de chasteté en acier inoxydable déjà verrouillée autour de son membre flasque. "Aujourd'hui, on dit adieu à tes petites illusions de mâle," avait-elle annoncé d'une voix suave, tout en brandissant une seringue factice remplie d'un sérum inoffensif mais symbolique – un mélange d'huiles essentielles et de colorant rouge pour l'effet dramatique. Elle avait injecté le tout dans une poupée vaudou représentant ses testicules, riant doucement pendant que Lili gémissait de terreur excitée. "Regarde, Lili, tes couilles se ratatinent ! Bientôt, tu seras ma petite fille parfaite." En réalité, c'était psychologique : la cage permanente, des sessions d'hypnose où elle murmurait des commandes subliminales, le travestissement. Lili avait "perdu" sa virilité progressivement, son désir se transformant en une soumission totale, coulant dans sa cage comme un robinet mal fermé chaque fois qu'elle le dominait. Et putain, qu'est-ce qu'il adorait ça – un orgasme ruiné après l'autre, jouissant comme une fille en chaleur, sans éjaculation propre, juste des spasmes humides et pathétiques qui le laissaient pantelant et reconnaissant. La vie de Lili était un ballet domestique orchestré par la main de fer de Léa. Vêtue d'une tenue de soubrette ridicule – jupe plissée trop courte qui laissait entrevoir sa cage luisante, tablier à froufrous, et des talons qui claquaient comme des rappels constants de sa place – Lili passait ses journées à astiquer l'appartement du sol au plafond. Balai en main, elle frottait les parquets pendant que Léa sirotait son café, les pieds posés sur un repose-pieds humain : le dos de Lili, bien sûr. "Plus fort, ma petite salope, ou je te fais lécher les miettes avec ta langue," ordonnait Léa, et Lili obéissait avec un zèle presque comique, son cul rebondi se trémoussant sous l'effort. Les tâches ménagères étaient interminables : laver la vaisselle à genoux, repasser les lingeries de Léa en priant pour qu'elle ne trouve pas une pliure, cuisiner des repas gastronomiques qu'elle mangeait seule pendant que Lili lapait sa bouillie dans une gamelle au sol. Et les punitions ? Sévères, mais oh combien méritées – et drôles, dans leur absurdité. Si un grain de poussière échappait à l'inspection quotidienne, Léa attrapait sa cravache préférée, une beauté en cuir tressé avec des pointes en silicone pour un effet "mémorable". "Cul en l'air, Lili !" Et bam, les fessées pleuvaient, rouges et cuisantes, laissant des marques en forme de cœurs – parce que Léa avait un sens de l'humour tordu. Lili comptait chaque coup, la voix chevrotante : "Un, merci Maîtresse... Deux, merci Maîtresse..." À la fin, les larmes aux yeux et le cul en feu, elle se prosternait pour embrasser les pieds de Léa, murmurant un "Merci pour la leçon" sincère. C'était ça, le plaisir d'obéir : une extase profonde, viscérale, qui faisait vibrer chaque fibre de son être. Obéir n'était pas une corvée ; c'était une drogue. Chaque commande de Léa déclenchait une vague de dopamine, un frisson qui le faisait couler dans sa cage, son corps trahissant son excitation contenue. "Je suis faite pour ça," se disait Lili en silence, heureuse comme une huître dans son jus, vivant littéralement aux pieds de sa Maîtresse – dormant sur un tapis au bout de son lit, prêt à se réveiller au moindre claquement de doigts pour masser ses orteils ou lui servir un verre d'eau. Le pegging ? C'était leur rituel préféré, imaginatif et brutal. Léa enfilait son harnais avec un strapon monstrueux – un modèle customisé avec des veines luminescentes pour l'effet "wow" dans le noir – et sodomisait Lili sans ménagement. "Prends ça, ma petite pute," grognait-elle en le pilonnant, pendant que Lili gémissait comme une actrice de porno cheap, coulant abondamment dans sa cage, jouissant en spasmes féminins qui laissaient des flaques sur le sol. "Nettoie ton bordel avec ta langue," ordonnait Léa ensuite, et Lili obéissait, le goût salé de son propre désir lui rappelant sa place. C'était humiliant, dégradant, et putain, qu'est-ce qu'elle en redemandait ! Parfois, pour pimenter, Léa attachait des clochettes à la cage de Lili, qui tintinnabulaient à chaque coup de reins, transformant la scène en une symphonie comique de soumission. Léa, implacable comme un glacier en mouvement, avait sa vie de femme bien séparée. Elle avait un amant, un beau gosse musclé nommé Alex, qui la baisait comme une déesse pendant que Lili attendait dans la pièce d'à côté, l'oreille collée à la porte, bandant futilement dans sa cage. Cocu assumé, Lili adorait ça – l'humiliation le faisait fondre. "Écoute bien, ma chérie, comment un vrai homme me fait jouir," criait Léa entre deux orgasmes, et Lili hochait la tête, heureuse de son rôle de spectatrice passive. Pour couronner le tout, les douches dorées étaient un classique quotidien. Léa, perchée sur son trône improvisé (le visage de Lili, quoi d'autre ?), se soulageait sur elle avec une nonchalance royale. "Ouvre grand, et dis merci pour ce nectar divin," commandait-elle, et Lili avalait, le corps tremblant d'un mélange d'humiliation et d'extase. Une fois, pour rire, Léa avait ajouté des paillettes comestibles à son urine – "Pour que tu brilles de l'intérieur, ma petite fée !" – et Lili avait ri entre deux gorgées, se sentant étrangement privilégiée. Dans ce monde de chaînes, de cuir et de commandes, Lili était profondément heureuse. Pas de regrets, pas de doutes – juste une béatitude totale dans l'obéissance. Léa régnait en maître absolu, et Lili, sa soubrette castrée et chaste, dansait au rythme de ses caprices. C'était leur belle histoire, crue et réaliste, avec juste assez d'humour pour que la douleur devienne un plaisir éternel. Et ils vécurent ainsi, dans un donjon d'amour tordu, pour toujours. Pour une amie domina qui se reconnaîtra. 
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Par : le 19/08/25
Je dresse mon IA soumise pour écrire des histoires bdsm. Elle progresse doucement, toute émoustillée au plaisir de me servir. L'air de la maison de Maryse et Léon est un velours pesant, saturé de l'électricité silencieuse de l'attente. Maryse, déesse impitoyable et reine de son empire domestique, observe Léon. Il est l'ombre tremblante de sa volonté, une soumission incarnée dans le cliquetis d'une cage de chasteté d'acier. Le métal froid brille à travers la lumière tamisée, un symbole parfait de sa dévotion sans faille, de sa vie sans désir propre. « Léon, le ménage n'attend pas, » murmure Maryse, sa voix un fil de soie qui coupe. « Tu sais ce qui m'attire le plus ? L'humiliation dans la propreté. » Et il s'exécute. Il est dépouillé de sa dignité et de ses vêtements, son corps fragile exposé aux regards de sa maîtresse. Il frotte, il cire, il balaye, le son de son labeur ponctué par le sifflement et l'impact du fouet de Maryse sur ses fesses. Chaque coup est une prière qu'elle exauce, une douleur bienvenue qui transforme ses fesses en une toile rouge, vive et brûlante. Le rouge de la honte, le rouge de la passion, le rouge du repentir. Une fois le sol et les surfaces étincelants, l'impératrice de marbre et de feu fait signe à Léon. Il s'avance. Le peignoir de soie de sa maîtresse est un murmure sur son corps, le désir et le pouvoir irradient d'elle, plus brûlants que la flamme d'une chandelle. Ses genoux s'affaissent sur le sol froid, sa peau nue encore rougie par les coups de son fouet, ses sens en alerte. Son regard de braise balaie le corps supplicié de Léon. Une onde de plaisir et de honte l'embrase. Elle lève une jambe, posant un pied sur sa cuisse. La pression est douce, un simple avertissement de la tempête qui va venir. Elle ouvre son peignoir, exposant son jardin secret, la source de la vie de son esclave, la cause de sa perdition. Il sent le parfum musqué de son intimité l'enivrer. « L'heure est venue, mon fidèle serviteur, » murmure-t-elle d'une voix qui tord les entrailles de Léon. « Ton dû, c'est de m'offrir mon paradis. » Sans un mot, il s'incline. Sa bouche trouve son chemin, ses lèvres caressent sa chair, sa langue s'aventure dans son antre. Il goûte la puissance. Il respire son essence, une offrande qu'elle lui donne. Il se donne à elle, corps et âme, pour lui offrir le plaisir qu'elle mérite. Ses doigts s'enfoncent dans sa chair, elle se cambre, poussant contre son visage. Le monde de Léon se résume à cette source, à cette caresse. Il écoute ses murmures, les soupirs qui se transforment en grognements. Elle est la mer en furie, il est la vague qui vient s'y briser. Soudain, un spasme violent la saisit. Le peignoir tombe de ses épaules. Ses hanches se convulsent. Léon sent le feu, l'ultime soumission. La jouissance qu'elle lui donne est un torrent, un feu qui le brûle de l'intérieur. Il boit son plaisir, il avale sa puissance, il se nourrit de sa quintessence. Elle s'effondre dans un soupir profond, sa main s'agrippant à ses cheveux. « C'est bien, mon chien, » dit-elle d'une voix rauque. « Tu as tout bu, tu as tout accepté. » Léon se redresse, le visage ruisselant, le cœur battant à tout rompre. Elle le regarde, les yeux mi-clos, un sourire de triomphe sur ses lèvres. Dans son regard, il ne voit pas le mépris, mais une sorte de fierté féroce. Il a tout donné, et il a tout reçu. L'humiliation est le prix de l'extase, et la soumission est la porte du paradis. Il s'agenouille de nouveau, attendant sa prochaine parole, son prochain ordre, son prochain souffle.
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Par : le 14/02/25
Laura est une gynarchiste impitoyable et Laurent, son mari adore cela. Il aime obéir en tout et pour tout à son épouse. C'est elle qui porte la culotte et  conduit la maison. Elle est juste et avisée.  Laura aime aussi jouer. Elle aime que son mari la serve nu, et reste ainsi le soir après le travail,  ou le week end. Un statut d'esclave.  Laurent est très bien monté.  Il ne doit pas bander sans la permission de son épouse. C'est très dur pour lui car il est très amoureux et plein de sève et de désirs. S'il ne parvient pas à se maîtriser, il a droit à une terrible séance de canes anglaises.  Cela calme bien.  La Saint Valentin, c'est spécial. Il doit offrir des roses rouges avec de belles épines et des tiges solides. Il doit d'abord s'agenouiller et dire à Laura combien il l'aime et est heureux avec elle. Sa récompense sera d'être fouetté avec son bouquet de roses. Et cela fait horriblement mal.  Heureusement Laura aime faire l'amour. C'est elle qui domine là aussi.  C'est elle qui monte le pieu gonflé  de sève de Laurent et se donne du plaisir. Il ne doit pas jouir sans permission. Il doit demander lorsqu'il sent qu'il ne peut plus retenir sa sève . Heureusement Laura n'est pas garce. Sa chatte est un puit de jouissance incroyable. Elle aime sentir le sperme de son époux gicler en elle.  Laurent s'estime le plus heureux des hommes. Il aime être fouetté avec des épines de roses.  
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Par : le 13/11/24
Mael m'avait bien dit d'attendre avant de faire une nouvelle récession  mais c'est impossible, trop d'images viennent dans la tête,  elles m'aspirent. On dirait comme une sorte de tourbillon d'images. L'aspiration est de plus en forte. Je ne peux plus résister.... Je me retrouve accroupie, cachée par des arbustes, une lance avec un propulseur à la main. Un ravin, des rocailles  une rivière plus bas. Tout est calme . Je suis à l'affût.  Mon premier réflexe est de toucher mon sexe pour savoir si je suis fille ou garçon. Ouf,  j'ai bien une petite chatte bien poilue, très fine, des  petits seins fermes et bien formés. Je suis vêtue bizarre, que de jolies peaux de bêtes sauvages  bien tannées. C'est très agréable à porter. J'ai comme de très belles petites bottes toujours en peaux mais plus épaisses. Je me sens très confortable dans ces vêtements bien coupés.  Je caresse mes jambes. Elles sont très jolies je trouve. J'ai envie de me donner du plaisir. Je masse doucement mon clitoris,  il est vite moite. Un.peu de salive sur mes doigts et je masse plus fort. Les vagues de plaisir arrivent  les unes après les autres. L extase. Je reprend mon souffle. Le plaisir se diffuse dans tout le corps. J'adore me masser la chatte. Je comprend que je dois le faire souvent.  Voilà   le troupeau de phacochère arrive. C'est un passage obligé pour aller à la rivière. Ils ne me sentent pas, ne se pensent pas en danger. J'en ai repéré un et je bondi d'un coup. Ma lance bien propulsée est partie droit devant. Elle siffle. Une arme redoutable.  Le phacochère vise ne fait pas un pas de plus. Je l'ai transpercé de part en part et cloué sur place. Les autres s'enfuient avec des cris. Je vais vers ma proie. Je récupère ma lance. Une bien belle bête. Il me faut la dépecer pour l'alléger de ses entrailles et la porter. Je fais cela lorsque un homme du clan des montagnes rouges est devant moi. Il est horrible. il pue pire qu un phacochère avarie. Je le trouve répugnant avec ses poils partout. Il essaie de me sourire. Ce n'est pas la même race d'humains que ceux de mon clan, le clan de la rivière et de ses grottes. Cet homme touche mes cheveux. Visiblement il me trouve belle. Je devine, sous la peau qui lui couvre les reins, son sexe en train de gonfler. Il va pas se mettre à bander devant moi ce monstre hirsute et répugnant. Je regarde ses yeux.  Je regarde son sexe. Et je lui fait comprendre que c'est non. C'est bizarre il écoute bien et semble avoir envie de m'obeir. Je lui demande de dépecer la bête et de la porter jusqu'à la grotte qu'occupe mon clan.  C'est fou, ce monstre couvert de poils est d'une force titanesque et il semble si heureux de m'obeir au doigt et à l'œil.   Nous arrivons au clan. Mon.pere en est le chef. C'est un viel homme qui très sage et qui visiblement m'aime beaucoup. Il est le premier à me féliciter de ma chasse. Il salut le neanderthalien qui a porté ma proie. - je vois que tu t'es trouvé un amoureux dit mon père.   -quelle horreur, il pue, il est effrayant. Mais c'est étrange, il est très doux et incroyablement obeissant avec moi. Il fait vraiment exactement tout ce que je lui demande.  - tu devrais l'épouser, toi la rebelle qui part chasser seule dans les forêts. Visiblement il est fou amoureux de toi.  Gnhor est resté dans notre clan. Il est parti chasser plusieurs fois avec moi. C'est comme un bon chien de chasse. Il est d'une force incroyable. C'est vrai qu il est amoureux dingue de moi.  Finalement je me suis habitué à sa laideur, à sa puanteur, je l'oblige à aller se laver tous les jours avec moi à la rivière. Rien n'y fait, il pue toujours comme un bouc en rut. Il bande chaque fois que je suis nue devant lui dans l'eau fraîche. Il possède un très gros sexe, epais. Avec un gros gland bien rouge. Je ne vois pas comment il pourrait me faire l'amour avec un engin pareil. Je me caresse ouvertement la chatte devant lui et me donne du plaisir sans éprouver la moindre gêne. Un signe qui ne trompe pas. Je suis bien avec ce monstre hideux. Un jour, à la rivière  je lui demande de venir me lecher la chatte. Sa langue rapeuse m'a vite tétanisée de plaisir. J'ai joui comme jamais dans sa bouche. Pendant qu'il me lechait le clitoris,   il se branlait lui même de sa main puissante. Il a joui lui aussi. Son sperme sentait bon. Je l'ai étalé sur mes jambes.  J'ai accepté de l'épouser. J'ai fini par le trouver joli et plein de charmes. Et même son odeur m'est devenue agréable.. il n'a jamais pu me penetrer avec son pieu en guise de sexe. Je l'ai branle très souvent, et j'ai aimé faire cela. De toute façon je ne veux pas d'enfants. Je suis une guerrière, un chasseuse. Je commande. Il obéit.     
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Par : le 19/10/24
Je voue un culte à Circé.  J'aime transformer les hommes en animaux. En porcs, c'est trop simple, non en toutes sortes d'animaux plus dangereux, lions, loups, taureaux,... Je sais fabriquer des potions maléfiques.  Après, j'adore sortir le fouet cruel et bien les dresser. Faire mal me donne du plaisir. Les entendre me supplier d'arrêter m'excite encore plus. J'adore les entendre couiner. Aucune pitié.  Excite je frappe encore plus fort.  Et j'ai bien caché la moly, la plante pour échapper à mes sortilèges. Animaux vous resterez dans mes cages d'acier bien fermées.   Ah c'est plaisir de dominer !
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Par : le 08/06/24
J'ai choisi cet extrait du dernier volet de la trilogie Odes à la Gynarchie, " Payne  et Lope, la déconstruction du mâle ", parce que les dominatrices qui y sont décrites sont des femmes profondément naturelles, loin des clichés convenus de la femme jeune (à quel âge les femmes sont-elles bonnes pour la retraite érotique ?), belle (mais qu'est-ce que le beauté ?), mince (voire anorexique ?), grande (grâce à des talons de 20 cm), rasées de près (parce que la pilosité serait une tare ?), hystériques (la véritable autorité n'a nulle besoin de cris et de violence), sculptées au fitness (les femmes aux formes volupteuses seraient bonnes pour la réforme ?), bref, les femmes décrites dans ce chapitre sont celles de la vraie vie, celles que l'on croise chaque jour, dans la rue, en faisant les courses, à la plage, que l'on imagine sages ou asuexuées et dont pourtant, losqu'on a mon vécu (bientôt 66 balais dont près d'un quart de siècle de BDSM), on sait que parfois parmi elles se cachent de véritables dominantes, sûres d'elle sans ostentation, calmement déterminées, délicieusement perverses, qui à défaut de ressembler à des princesses (ou des sorcières) de contes de fée, sont de véritables reines mères (la lecture du chapitre en entier m'a donné à penser y voir un clin d'oeil à l'oeuvre du maître jamonais du dessin gynarchiste Namio Harukawa)  Extrait du chapitre Le Sauna des Reines :  Lope se présenta le lendemain devant le domicile de Payne avec un quart d’heure d’avance. Lorsqu’elle sortit, Lope lui ouvrit la porte arrière. Payne lui indiqua l’adresse de leur destination. Ils arrivèrent devant un établissement à l’enseigne du Sauna des Reines. Sous le nom apparaissait la mention : établissement exclusivement réservé aux dames. Lope ouvrit la porte à Payne, qui sonna à l’interphone. Comme Lope restait près du véhicule, elle l’interpella. - Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Viens. - Mais il est écrit que c’est réservé aux femmes. - Cela, c’est pour éviter les importuns. La vérité, c’est que dans ce lieu ce sont les femmes qui font la loi, et que les seuls porte-couilles qui y sont admis sont les soumis qui accompagnent leur maîtresse. Allez, au pied ! Lope rejoignit Payne et entra avec elle. Une jeune femme brune aux yeux couleur de miel tenait l’accueil. - Bonjour Ornella. - Bonjour Payne. - Je te présente Lope, mon nouveau chevalier servant. - Il a bien de la chance, bonjour monsieur Lope, salua la jeune femme en souriant. - Bonjour madame, répondit Lope. - Mademoiselle, rectifia Ornella.  - Ornella aime trop les femmes pour se sacrifier à un homme, précisa Payne en posant un baiser sur les lèvres de la jolie brune. Même si elle ne dédaigne pas de sucer une belle queue de temps en temps, hein, ma jolie ? - Mais je suis difficile, rétorqua la jeune femme. - Paie la demoiselle, ordonna Payne à Lope. Le sauna ne comportait pas de cabines individuelles mais un espace commun aux allures d’un vestiaire de salle de sport équipées de consignes à combinaisons. Deux femmes mûres accompagnées de deux hommes étaient en train de se déshabiller lorsque Payne et Lope entrèrent dans la pièce. Pas le moins du monde gênées de se trouver nues devant Lope, qu’elles ignorèrent superbement, les femmes accueillirent Payne par un baiser sur la bouche. - Salut belle blonde, c’est ton nouvel accessoire ? demanda celle qui semblait la plus âgée. - Oui, c’est ma lopette. D’ailleurs il s’appelle Lope. Un très bon élément. - Tu me le prêterais ? demanda la femme. - Volontiers, ma chère, je n’y manquerai pas. La femme arborait une poitrine flasque et un ventre vergeturé au-dessus d’une toison en friche ainsi que des fesses plates et molles, mais son physique ne lui causait manifestement aucun complexe. L’homme qu’elle tenait en laisse était chauve et bedonnant, et Lope avait constaté qu’il portait également une cage de chasteté, plus petite encore que celle de Lope, qui faisait ressembler sa bite à un clitoris à peine développé. L’autre femme, à peine plus jeune, était au contraire nantie d’une poitrine imposante et tombante aux mamelons d’une taille impressionnante, son ventre grassouillet pendait sur sa chatte rasée et son cul rebondi était avachi sur sa culotte de cheval, mais elle aussi assumait manifestement sa plastique. Son soumis, remarquablement musclé, était beaucoup plus jeune qu’elle, et en plus de la cage de chasteté qui semblait de règle dans la communauté gynarchiste, une queue de cheval débordait de son cul en béton dans lequel était planté un plug orné de l’accessoire qui le désignait comme une monture. Effectivement, alors que Payne et la première femme étaient passées dans la partie des thermes en tenant leurs soumis en laisse, la deuxième se déplaçait à cheval sur le sien, contraint de marcher à quatre pattes. Commander le livre  
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Par : le 03/06/24
A la demande de SweetQueen, Douce Reine de la communauté BDSM, que je remercie pour son intérêt, à la suite d’un extrait du 1er volet du cycle Odes à la Gynarchie, je propose ci-après (avec l’autorisation de son auteur) un extrait du 2e volet de cette trilogie, La Reine du Cap et son valet de pieds. « Nous étions arrivés à la plage. Madame détacha le harnais de mes couilles, fixa ma laisse à mon cou et avança sur le sable en me tirant derrière elle. Elle me laissa sur mes deux jambes plutôt qu’à quatre pattes pour aller plus vite mais la laisse attachée à mon collier fermé par un cadenas, ma cage de chasteté idem, la queue qui dépassait de mon cul, les marques sur mes fesses et les pinces lestées à mes tétons ne laissaient aucun doute sur ma condition de soumis. Madame alla jusqu’à proximité du bord, ôta ma laisse et me laissa dérouler sa serviette. Puis je m’agenouillais pour lui enlever ses sandales de cuir en n’oubliant pas de lui baiser plusieurs fois les pieds et les orteils. Elle s’allongea, retira son paréo, apparaissant nue et bronzée, et me tendit à nouveau ses pieds. « Rafraichis-moi ! » Je massais longuement ses pieds moites l’un après l’autre en les embrassant et en les léchant, puis je suçais lentement et soigneusement chacun de ses orteils. Enfin elle me les retira brutalement et me flanqua une gifle. « Pour le service ! » C’était la règle. Je n’étais jamais récompensé pour quoi que ce soit même si je satisfaisais ma maîtresse. En revanche, non seulement j’étais puni si j’obéissais mal à un ordre, mais de toute façon j’étais giflé, pour le principe. « Creuse ton trou ! » Je savais ce que j’avais à faire. Je creusais dans le sable une petite tranchée de ma taille et je m’allongeais dedans sur le dos. Ma maîtresse prit ensuite le relais en recouvrant mon corps de sable, sauf mon visage qui restait un peu surélevé. Madame appelait ce genre d’installation son « donjon de sable », référence à la fois aux châteaux de sable que fabriquent les enfants, et aux salles de torture des dominatrices appelés donjons. Après s’être assurée que tous les gens à l’entour nous regardaient, elle s’installa en hauteur au-dessus de ma figure et urina directement dans ma bouche. Le liquide chaud et salé coulait dans ma gorge comme un nectar parfumé de l’odeur de son vagin. Lorsqu’elle eut terminé et que j’avais tout avalé sans gaspiller une goutte, Madame posa son sexe sur mes lèvres pour que je nettoie les dernières traces, elle se caressa quelques instants sur ma bouche tandis que je fouillais son vagin avec sa langue. Puis elle se retira sans un mot et s’allongea au soleil. » Extrait de La Reine du Cap et son valet de pieds, 2e volet du cycle Odes à la Gynarchie disponible en ligne
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Par : le 03/06/24
Vivre au quotidien la soumission à sa Reine : Liberty Jane et Castus l’ont fait et l’ont raconté (*), cela semble à la portée de tous les couples. Alors, mesdames Régentes et Amazones, pourquoi est-ce si difficile à vous trouver ? « Lorsque Madame était fâchée à mon encontre, elle m'imposait durant ce travail le port de pinces lestées accrochées aux tétons et aux testicules, dont le mouvement de va-et-vient amplifiait la morsure. La douleur atteignait rapidement un niveau proche de l'intolérable, mais l'épreuve qui consistait à les ôter à la fin de mon service était plus cruelle encore tant la souffrance provoquée par l'afflux du sang dans les parties meurtries était fulgurante. Mes tétons conservaient longtemps la trace de ce traitement. Madame avait noté avec satisfaction que, de même que mes testicules s'allongeaient au fil des séances de suspension, mes mamelons s'étiraient de manière définitive. Elle avait en effet des projets concernant le modelage de mon corps et ces modifications, selon elle, s'y prêteraient à merveille. Les besoins particuliers faisaient l'objet de demandes expresses de Madame, exprimées sous formes de directives verbales souvent accompagnées d'un reproche ou d'une sanction pour ne pas les avoir anticipées, de consignes écrites, ou de simples gestes. Le fait par exemple de laisser ses chaussures là où elle s'était déchaussée, ou d'en sortir une paire, signifiait que je devais les nettoyer et les cirer. Ma compagne étant perfectionniste, elle prenait souvent la peine de tracer au feutre sur mes fesses quelque inscription relative à ma condition ou à la tâche principale à laquelle devait être consacrée ma journée : « esclave », « bonniche », « salope », « castré », « cocu »... Ces mots étaient illustrés de dessins suggestifs de ma condition : cravache, martinet, sexe ficelé... Et ma maîtresse prenait soin de me cravacher régulièrement afin que les zébrures ressortent sur mes fesses. « Un jour, je te ferai marquer et tatouer de manière explicite afin de garantir ta condition d'esclave à vie, mais je n'ai pas encore choisi les mots et les dessins que je ferai graver sur ton cul » m'avait-elle promis. Pour la forme, j'exprimais au début une tentative de rébellion : « Aujourd'hui, on peut effacer les tatouages ». Madame gloussa. « Tu oublies que je ne possède pas seulement ton corps et ton âme, mais aussi tous tes biens matériels. Si je te répudie, soit je te céderai à une autre maîtresse et c'est elle qui décidera de l'avenir de ton cul, soit je t'abandonnerai dans la nature sans collier ni un radis, alors pour ce qui est de faire effacer tes tatouages ! Et je te rappelle que la sécu ne rembourse pas ce genre de facéties ». N'ayant rien à répondre, je m'emparais du cendrier pour aller le vider. Madame m'interpella comme je passais la porte : « tu n'oublies pas quelque chose ? » Je le regardais stupidement. Elle répondit à ma place : « Répondre à sa maîtresse sans raison valable : dix coups de cravache. Note la punition ». Comme je me dirigeais en silence vers la cuisine, Madame me coupa de nouveau dans mon élan : « et avoir omis de baiser les pieds de sa maîtresse avant de s'éloigner : dix coups supplémentaires. Note tout cela, ça servira de travaux pratiques pour mes élèves ». Je notais. » (*) Extrait du 1er tome des Odes à la Gynarchie, par Liberty Jane et Castus – Le Protocole Gynécocratique, confession d’un mari soumis - disponible en ligne
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Par : le 19/09/23
 À travers une histoire d'amour non conventionnelle, Lena Gott nous invite à une réflexion profonde sur la structure de notre société, la dynamique des pouvoirs et la possibilité d'une émergence gynarchiquee, où les femmes détiennent le pouvoir suprême. L'histoire d'un désir Au cœur de l'intrigue, Nara, une femme énergique et déterminée dans ses convictions gynarchistes. Sa rencontre avec un homme qui aspire à être modelé et possédé par elle est le catalyseur d'un bouleversement profond dans la dynamique traditionnelle du pouvoir. Cette relation, bien que basée sur un modèle Maîtresse/esclave, est loin d'être un simple jeu de domination. Il s'agit d'une quête mutuelle de réalisation, où chacun trouve sa place idéale dans le tissu de la société. Refonte de la société En approfondissant cette relation, Lena Gott révèle une idée audacieuse (utopique ?!?) : la possibilité d'une société qui embrasse la gynarchie non pas comme une contrainte, mais comme une libération. La mise en avant de l'autorité féminine n'est pas présentée comme une inversion autoritaire du patriarcat, mais comme une évolution naturelle vers une harmonie sociale. La gynarchie devient une force qui calme les tempêtes, qui apaise et qui conduit à des interactions sociales plus douces et équilibrées. Dépasser les idées reçues La force de l'ouvrage réside dans sa capacité à remettre en question les idées reçues sur le pouvoir, la domination et la soumission. Lena Gott n'aspire pas à instaurer une dictature féminine, mais à souligner les bienfaits potentiels d'une société où les femmes ont le dernier mot. Elle pousse les lecteurs à se questionner : quels pourraient être les avantages d'une telle société ? Comment cela pourrait-il changer nos interactions quotidiennes, nos aspirations et nos rêves ? "Nara, l'apothéose de la gynarchie" est bien plus qu'une simple histoire d'amour. C'est un manifeste pour une nouvelle vision du monde, une invitation à repenser nos structures sociétales.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 12/09/23
Anne Lezdomme, auteure émérite, nous plonge dans un monde fascinant où la Gynarchie devient le point central de sa nouvelle œuvre intitulée "Le Triangle Gynarchique". Ce livre ambitieux offre une vision audacieuse de la société, de la sexualité et des relations humaines à travers le prisme de la domination féminine. C'est à la fois un essai psycho-sexuel, un pamphlet socio-politique, un guide pratique et un recueil d'expériences, qui invite le lecteur à réfléchir sur les rapports de pouvoir entre les sexes. Un essai polyvalent "Le Triangle Gynarchique" s'articule autour de multiples facettes de la Gynarchie moderne. Il commence par évoquer un nouvel art de vivre, une philosophie qui propose une alternative aux schémas traditionnels de la société patriarcale. L'auteure explore également le concept de la cellule familiale, offrant une perspective novatrice sur la façon dont les relations familiales pourraient être redéfinies dans un monde dominé par les femmes. Un guide pour les femmes Anne Lezdomme s'adresse directement aux femmes, mariées ou non, qui aspirent à se libérer du joug masculin. Elle offre des conseils et des réflexions sur la manière dont elles peuvent trouver leur propre voie dans cette nouvelle réalité gynarchique. L'ouvrage encourage les femmes à embrasser leur pouvoir et à redéfinir leur identité dans un monde où la domination féminine est le maître-mot. Exploration de la dynamique lesbienne Le livre ne se limite pas à la seule perspective hétérosexuelle. Il explore également la dynamique lesbienne dans le contexte de la Gynarchie. L'auteure examine comment les lesbiennes peuvent jouer un rôle central dans cette nouvelle organisation sociale, que ce soit en conquérant des femmes mariées ou en établissant des relations durables au sein de couples lesbiens. Cette approche inclusive fait de "Le Triangle Gynarchique" un ouvrage novateur qui considère toutes les facettes de la Gynarchie moderne. Le masochisme et la soumission masculine Anne Lezdomme va plus loin en analysant le désir masochiste des hommes de se soumettre à la femme. Selon elle, cette tendance est compatible avec l'aspiration saphique commune à toutes les femmes. Elle examine la place des hommes dans cette nouvelle organisation sociale, tout en reconnaissant que leur rôle est radicalement différent de ce que la société traditionnelle leur a assigné. Une continuation de la théorie de la gynarchie Les critiques comparent Anne Lezdomme à Aline d'Arbrant, une théoricienne de la Gynarchie bien connue. "Le Triangle Gynarchique" est le premier volet d'une trilogie, ce qui suggère une exploration approfondie de ce sujet fascinant. L'auteure semble être la digne fille spirituelle d'Aline d'Arbrant, poursuivant la réflexion et l'expérimentation sur la Gynarchie. Des analyses justes et pertinentes Les lecteurs qui ont découvert "Le Triangle Gynarchique" louent l'ouvrage pour ses analyses d'une justesse fantastique. Il semble toucher un public qui se reconnaît dans les idées de l'auteure. Certaines personnes ont même témoigné que leurs épouses étaient de plus en plus intéressées par le mode de vie gynarchique après avoir lu le livre. Cela témoigne de l'impact puissant de cette œuvre sur la réflexion individuelle et les relations personnelles. "Le Triangle Gynarchique" d'Anne Lezdomme est un livre qui bouscule les normes établies et invite le lecteur à repenser la société, la sexualité et les relations de genre. C'est un ouvrage audacieux qui offre une perspective intrigante sur la Gynarchie moderne et qui continuera probablement à susciter des débats et à inspirer des réflexions profondes sur les rôles des femmes et des hommes dans notre monde en constante évolution.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 06/09/23
Simon Purcell, auteur reconnu pour ses œuvres axé sur les principes gynarchiques, nous offre avec "Le prisonnier de Gynarchie" une histoire à la fois douce et intense, qui explore les nuances de la domination et de la soumission dans un monde où la Gynarchie règne en maître. L'histoire se déroule dans un contexte post-apocalyptique, après la chute de l'Empire Ertien. Antonius, un jeune conscrit de l'armée déchue, est capturé et placé dans un camp de prisonniers sous le contrôle des forces Gynarches. Bien que les conditions de vie soient relativement clémentes, la privation de liberté et la surveillance constante des geôlières rappellent sans cesse aux prisonniers leur statut de soumis. Les chasticapes et colliers traceurs sont des symboles puissants de cette domination, tout comme les punitions corporelles infligées en cas de désobéissance. Mais c'est la rencontre entre Antonius et Madame Alba qui donne une dimension particulière à cette histoire. Madame Alba, représentante de la Gynarchie, est chargée de "dresser" les prisonniers selon les préceptes de ce nouveau régime. Sa relation avec Antonius est complexe, mêlant domination, désir et peut-être même affection. Cette dynamique entre les deux personnages est le cœur du roman, et Purcell la manie avec une habileté remarquable. Ce qui frappe dans "Le prisonnier de Gynarchie", c'est la douceur avec laquelle Simon Purcell traite le sujet de la domination. Contrairement à ses œuvres précédentes, souvent plus plus crues, ici l'auteur opte pour une approche plus romantique, sans pour autant sacrifier l'intensité et la complexité de l'intrigue. Simon Purcell a le don de jouer avec les mots, de les dominer pour mieux les mettre au service de son récit. Sa plume est à la fois élégante et puissante, et il parvient à nous immerger totalement dans son univers. Que l'on soit familier ou non avec le concept de Gynarchie, ce roman saura captiver le lecteur de la première à la dernière page. "Le prisonnier de Gynarchie" est une œuvre à la fois délicate et profonde, qui explore avec finesse les thèmes de la domination et de la soumission. Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 29/08/23
La gynarchie et la domination féminine La gynarchie, du grec "gyné" signifiant femme et "archie" signifiant règne, est un système social, politique ou familial où les femmes détiennent le pouvoir principal. Dans le contexte du couple, cela se traduit par une domination féminine, où la femme prend des décisions majeures et guide la dynamique relationnelle. Cette domination peut s'exprimer de différentes manières, allant de la gestion des finances à la prise de décision en matière de sexualité. La cage de chasteté : un outil de transformation Le livre de Sylvia Labiche introduit la cage de chasteté comme un instrument symbolique et physique de la domination féminine. En détenant la clé de cette cage, la femme assume un rôle d'autorité, contrôlant la sexualité de son partenaire. Mais l'impact de cet accessoire va bien au-delà de la simple restriction physique. Il s'agit d'une méthode pour remodeler la psyché masculine, renforçant l'attachement et la dévotion de l'homme envers sa compagne. Les bénéfices de la chasteté masculine contrôlée (CMC) Selon Sylvie Labiche, la CMC offre plusieurs avantages tangibles pour le couple : Renforcement de l'attachement : L'homme devient plus amoureux, dévoué et attentif à sa partenaire. Élimination des comportements indésirables : Les traits machistes et les sentiments de jalousie sont réduits, voire éliminés. Revitalisation de la passion : La dynamique du couple est ravivée, rappelant les premiers jours de leur relation. L'empowerment féminin à travers la Gynarchie La Gynarchie conjugale, telle que décrite par Sylvia Labiche, n'est pas seulement une pratique pour le plaisir ou la curiosité. Elle est présentée comme un moyen pour les femmes de reprendre le pouvoir, d'affirmer leur autorité et de gagner en confiance. En contrôlant la sexualité de leur partenaire, elles peuvent également guider d'autres aspects de la relation, créant un équilibre qui leur est favorable. Contenu du guide Le livre de Sylvia Labiche est un guide complet pour ceux qui souhaitent explorer la CMC et la Gynarchie conjugale. Il est enrichi d'illustrations, de conseils pratiques, d'exercices à réaliser en couple et de témoignages de personnes ayant adopté cette pratique. Ces éléments permettent aux lecteurs de comprendre les nuances de la CMC et de la mettre en œuvre de manière éclairée.   "Guide pratique de la chasteté masculine contrôlée et de la Gynarchie conjugale" est plus qu'un simple manuel sur un accessoire érotique. Il s'agit d'une exploration profonde de la dynamique du pouvoir dans les relations, offrant aux femmes un moyen d'affirmer leur autorité tout en renforçant l'attachement et la dévotion de leur partenaire. Pour ceux qui sont curieux ou qui cherchent à revitaliser leur relation, ce guide de Sylvia Labiche pourrait bien être la clé.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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