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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
« Je ne t’ai pas dit au fait, c’est vrai que tu suces très bien. Tu es une des meilleures bouches à pipe que j’ai connues.
(Je mentais, c'était clairement la meilleure)
— Tant mieux. Je peux te dire à ce sujet que tu n’es pas mon meilleur coup. Je pense que tu n’arrives qu’en deuxième position.
— Je n’ai jamais trouvé que le deuxième prix de beauté au Monopoly était si humiliant que ça…»
Je préparai plusieurs litres de thé. Elle en aurait besoin. Et pour moi, une grande cafetière. Je revins m’asseoir en face d’elle, dehors.
« Tu vas boire du thé, beaucoup. Et tu vas me lécher les pieds. Mets-toi là où es ta place de chienne ».
Mélissa comprit immédiatement ce que je voulais dire : elle repoussa sa chaise et se mit au sol en y posant sa tasse. Sa bouche chaude et ses lèvres douces et molles englobèrent mes orteils. Sa langue commença de s’enrouler, de laper, mon gros orteil. Elle y mettait autant de salive tiède et de bonne volonté qu’en suçant mon sexe, la veille. Elle possédait un talent indéniable pour tout ce qui avait trait à la succion.
Je lui resservais du thé dès que sa tasse était vide et lui rappelais de boire régulièrement. Mélissa me fit remarquer plusieurs fois que l’envie se faisait pressante. Pour faire passer le temps jusqu’à ce que sa vessie n’en pût plus, je dissertais sur son art de la pipe et du léchage de pied, et je n’avais pas beaucoup à me forcer : elle arrivait à me faire dresser les cheveux sur la tête rien qu’en posant sa langue sur mes orteils, et vu la longueur de mes tifs, ce n’était pas rien. Elle resserrait de plus en plus ses cuisses sous elles. Lorsque son arrière train se dandina en continu, qu’elle fut pratiquement en reptation, et que son regard remontait vers moi toutes les trente secondes, je prononçai enfin les paroles attendues :
« Tourne-toi, chienne. Branle-toi et pisse sous toi.
— Si je me touche, ça va me couper l’envie de pisser…
— On verra bien. Tu n’as évidemment pas le droit de jouir. »
Sa joue droite écrasée sur la terrasse, lèvre inférieure mordue, elle commença de se palucher. Ses jambes tressaillaient déjà. Je vis ses doigts entourer sa vulve et la presser comme j’aimais le faire. Elle râla :
« J’ai déjà envie de jouir…
— Arrête-toi, traînée. »
Son postérieur retomba de sa position haute et le liquide gicla en abondance : très clair, plein de l’eau du thé. Elle s’urina sur la main, sur les cuisses, les genoux, et finit vite par gésir au milieu d’une flaque de pisse.
« Je suis encore très fier de toi. Tu réussis tout ».
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(C’est la première fois que je fais ça, j’espère que ça plaira au moins à quelqu’un + un dessin qui m’a pris 8h, je voulais illustrer mon propos)
Toute la journée tu m’as accompagné tel un gentil toutou, me suivant lors de mes achats en ville.
Pendant que tu attends à la sorti du magasin, une flopée de sac dans les mains, j’en sors, passe devant toi sans un regard.
- Allons-y…
Tes pas se mettent à suivre les miens, jusqu’à un parc, il n’y a déjà pas grand monde et la végétation abondante aide à se sentir seul au monde.
Je me dirige vers une pelouse sous un arbre isolé.
- Au sol.
Mon regard est fixe et sans émotions, tu poses les sacs contre l’arbre et t’allonges sur le dos.
- Les jambes.
Mon pied accompagne ton mouvement et tu relèves tes genoux, tes chevilles à tes fesses.
Tu comprends vite où je veux en venir et tu places tes mains sur tes genoux, m’offrant un magnifique siège doté d’accoudoirs.
Je m’assois alors sur ton ventre, me reculant et frottant mon bas du dos contre la bosse de ton pantalon.
Ton regard est rivé sur moi, tu n’arrives pas à lire sur mon vissage si ta position me plaît et ça t’excite d’autant plus.
Je retire alors mes chaussures tout près de ton visage, ma divine odeur parvenant à tes narines, mon gros orteil se place sous ton menton et dans un élan de gratitude je dis :
- Tu as été un bon chien aujourd’hui…
Mon regard se fait plus doux et séducteur, mon orteil remonte et se pose sur ta lèvre inférieur.
- Mais un bon chien n’est pas seulement une décoration, il se doit d’être pratique et de plaire.
Je soulève alors ta lèvre supérieur.
- Comme d’habitude…
J’ouvre ta bouche, y scrutant chaque détail.
- Tu es très propre… Je suppose que tu n’attends qu’une chose…
Ton regard se fait suppliant et sans t’en rendre compte, tu acquiesces.
- Ne bouge pas.
Je fais basculer ta tête en arrière, ton mouvement m’ayant visiblement dérangé.
Après un certain temps dans cette position désagréable.
Je te laisse te remettre plus à l’aise et me languissant d’être léché, je t’offre enfin mes pieds.
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Je reviens en tenant à 2 mains un bol en inox qui ressemble à ceux destinés à la nourriture des animaux mais portant la mention CHIENNE en lettres capitales.
Il est rempli de ce faux sperme (maïzena, sucre concentré, eau) dont j'aime te recouvrir et que j'aime te voir lécher.
Je pose le bol devant toi mais hors de portée.
- Je vous remercie par avance Maître !
Je m'avance devant la cage.
- Baise mes pieds !
Ce n'est pas quelque chose auquel je t'ai habitué et, devant ton hésitation, même si elle ne dure que quelques secondes, je perds mon sang-froid et hurle
- Baise mes pieds sale chienne !
Et ta tête se baisse, tu te soumets et je te vois baiser mes chaussures. Après quelques instants, je vois ta tête bouger de haut en bas et je sais que tu es en train de les lécher.
Je sais que tu commences à avoir envie de manger mais je sais que c'est la soumission qui parle, ton dressage bien plus que la faim.
Je profite un peu plus de la vue de mon esclave le cul remonté, la tête sur mes chaussures et je me dis qu'il est temps de passer au modèle supérieur de plug.
Je ne peux pas m'empêcher de fesser ton joli cul avant et après avoir enlevé le plug.
Je te fais lécher et sucer le modèle plus gros et je l'enfile dans ton cul ce à quoi répond un léger râle qui me ravit.
J'enlève chaussures et chaussettes et je reviens devant toi.
Tu commences à baiser mes pieds, l'un après l'autre. Ta tête passe à travers l'ouverture à l'avant de la cage. Puis je sens ta langue qui commence à les lécher doucement. Puis de plus en plus goulûment jusqu'à ce que tu lèves la tête pour me regarder
- Puis-je les mettre dans ma bouche Maître ?
- Tu peux mais tu n'auras rien à y gagner
- J'aurai à y gagner le plaisir de mon Maître !
Tu passes tes bras entre les barreaux de la cage pour saisir mon premier pied et tu commences à le prendre dans ta bouche. D'abord en le prenant en biais puis en le prenant en entier, la bouche grande ouverte. Tu le fais rentrer et sortir. La largeur te force à faire des allers et retours lents. Tu commences à baver. Et cette simple vue de ta salive qui rejoint le sol déclenche, comme à chaque fois, l'envie de toujours plus.
Je pousse mon pied un peu plus au fond et je le maintiens plus longuement. Je le fais une dizaine de fois et je te vois, à chaque fois, récupérer ton souffle en laissant s'échapper toujours plus de salive.
- Qu'est-ce que tu as fait à mon sol ? Lèche-moi ce que tu as fait !
- Oui Maître. Pardon Maître.
Tu te penches et commence à lécher le sol. Je suis complètement raide en imaginant que c'est mon sperme que tu lèches comme une chienne en chaleur.
- Ça suffit.
Et je te tends le bol en m'accroupissant à côté.
- Tu as faim, mange !
Tu tends la tête, tu ouvres la bouche et la langue pour tenter de laper le mélange.
- Pas facile, hein, même pour une chienne comme toi.
Je regarde, à 20 centimètres tes efforts pour essayer de manger et je prends un réel plaisir à me moquer.
- Tu vas avoir très faim ce week-end si tu n'arrives même pas à manger correctement.
Tu commences à plonger la tête dans la gamelle et tu ressors avec du faux sperme sur le menton et le nez.
Je me relève et je presse ta tête dans la gamelle.
- Mange salope !
Quand je te laisse relever la tête, ta gamelle est presque vide et ton visage est recouvert de blanc. Ça te va si bien que je ne peux m'empêcher de sourire.
- Allonge-toi dans ta cage, sur le dos, les coudes au sol pour surélever ton buste.
Je récupère une grande bouteille et je vide lentement un litre de cette substance blanche, très ressemblante. Je vise à travers la grille ton visage, d'abord, puis ton cou, tes seins et ton ventre. Jusqu'à ton sexe.
Et je regarde le blanc couler partout.
Et, en même temps que tu me remercies avec gratitude, tu commences à en récupérer sur ton corps pour lécher tes doigts.
- Lèche aussi la grille du haut. C'est ta cage, je veux qu'elle soit propre.
Je te regarde de longs moments. J'adore quand tu me regardes en léchant tes doigts.
Je reviendrai dans une demi-heure. Je veux que tout soit nickel ou tu auras des gros ennuis. Et je sais que tu as envie, autant que moi, d'avoir de gros ennuis ...
Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) !
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme).
Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet.
Partie 1: Un sofa
Partie 2: Grande table en bois
Partie 3: Liens d'attache
Partie 4 : Un set de godes
Partie 5 : une cage
Partie 6: Un set de plugs
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