La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 2 heure(s)
Un jeu incontournable dans les pratiques dites du BDSM qui peut aussi être une source de plaisir aux couples joueurs. Les jeux de cire ou « Wax Play » pourraient tenter certains et certaines d’entre vous. Explorons ensemble comment s'organiser cette séance. La première règle à respecter quand on se lance dans le Wax Play est forcément, la sécurité. L’utilisation de bougies adaptées aux jeux de cire est primordiale. Ces bougies en paraffine ou en soja, ont la particularité de fondre à une température moins élevée que les bougies dites normales LIRE LA SUITE
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Par : le Il y a 19 heure(s)
Séance de domination de Maitresse Diana. Il est à genoux il m’attend, ses yeux regardent le sol, buste bien droit. Moi je me suis préparée, maquillage, perruque longue rouge, bustier gants opéra, jupe et cuissardes le tout en cuir noir. Je sors de la chambre, mes talons ferrés martèlent le carrelage. Je m’approche de lui, je lui caresse le dos de ma main gantée, il frémit. Je m’installe sur le fauteuil croisant mes jambes. Apporte-moi mon apéritif. Il va jusqu’au bar à quatre pattes, se lève, prend un verre, verse le sirop de canne et le rhum, touille avec une cuillère. Il m’apporte le verre reprend sa position à genoux et attend. Je goutte le breuvage, je lui demande de se rapprocher. Il s’exécute. Ouvre la bouche. Je bois une gorgé et lui crache le liquide dans sa bouche. Je lui donne une gifle, puis une autre. Il est surpris. Trop sucré, incapable de préparer un apéritif correct. Tu ne sers vraiment à rien ! Pardon je ferais plus attention. Une nouvelle salve de gifles pleuvent sur son visage. Quand tu t’adresse à moi tu dois finir tes phrases par Maitresse Diana. Pardon Maitresse Diana, je ne ferai plus l’erreur Maitresse Diana. Nettoie mes cuissardes pendant que je fini mon verre. Très bien Maitresse Diana Je sens sa langue sur le cuir doux de ma cuissarde, il monte et descend tout le long. Va me cherche ma cravache. Bien Maitresse Diana Il part la chercher, me la remet, je la saisie, fait tourner dans ma main gantée. Reprend ta besogne, je vais rougir ton fessier pendant ce temps. Il nettoie de nouveau mes cuissardes, je lui applique de petits coups de cravache juste assez fort pour rougir légèrement ses fesses. Je fini mon verre. Déshabille-toi, ne garde rien. Oui Maitresse Diana. Je me lève, je vais jusqu’à la table basse où tous mes jouets sont placés. Je replace la cravache et prend un martinet long à lanière souple, mon sujet est nu, main dans le dos il attend mes directives. Mets-toi contre le mur, les mains plaquées contre et jambes écartées Il se place comme demander, je commence par de petite caresse, puis petit à petit les morsures du martinet se font plus intense, le dos prend un couleur rouge et des marques de lanière apparaissent sur ses omoplates. Retourne-toi. Je m’approche de lui, je lui pince les tétons, les tords, les étires, il gémit je souris. A quatre pattes, je vais m’occupe de ton petit cul. Je flagelle son derrière avec fougue, je remplace le martinet long par un cour avec des lanière plus rigides. Dès les premiers coups les lanières laissent de jolies marques, il pousse de petit crie à chaque morsure. Ces fesses sont rouge vif, je les caresse de mes mains gantées il frissonne au passage du cuir doux. Je sens la chaleur au travers de mon gant. Je retourne sur le fauteuil. Soumis retire mes cuissardes et va cherchez mes bottes à talons aiguilles les Gianmarco. Bien Maitresse Diana Je sais qu’il va subir ma pratique favorite. Il les récupère, retire délicatement l’une après l’autre les cuissardes et les remplace par ses fantastique bottes en cuir noir et talons très fin. Je regarde son membre, il n’est pas dans la position souhaité.je le regarde, lui regarde mes bottes. Comment veux-tu que je m’amuse si ta queue est aussi molle. Pardon Maitresse Diana mais la flagellation… Silence minable, ne cherche pas d’excuse tu ne sais pas la chance que tu as d’avoir une Maitresse comme moi. Je commence à le masturber, il gonfle doucement, mes gestes sont assez lents et constants. Il ferme les yeux, je me penche et le prend en bouche. Je le sens tout de suite durcir je le mordille, puis le lèche et continue à pomper. Voilà il est parfaitement droit, allonge-toi sur le dos mon talon a hâte de travailler ta bite Oui Maitresse Diana Il s’allonge s’étend de tout son long, je pose la semelle de ma botte sur son sexe en appuyant, il grimace. Je donne de légers coups de pieds dans ses testicules. Je me place au-dessus de son membre je soulève ma jambe place mon talon bien au-dessus du prépuce et l’applique dessus. Il crie, mais je maintiens la pression, je déplace mon talon le long de la bite m’en servant pour griffer la peau et je l’enfonce en le faisant vrillé, la douleur est terrible. Tout son corps bouge, je décide de piétiner tout son corps, de lui laisser de jolies petites traces rondes. J’insiste sur ses tétons, appuyant de tous mon poids. Cela dur vingt minutes, cela m’excite je le vois grimaçant, gesticulant, poussant des cris lorsque mon talon pénètre sa chair. Je lui assène plusieurs coups de pied. Sa bite est redevenue molle, je l’écrase sous ma semelle, mon pied tourne de droite a gauche sans jamais relâcher la pression. Je le frappe avec mon talon, il essaye de se recroqueviller mais je le bloque. Quelques coups de bottes en cuir de plus et je le laisse pleurnichant sur le sol. Je m’assois dans le fauteuil, je suis en sueur, je retire ma tenue, vais à la douche. Sa laisse le temps à mon soumis de se remettre de ses émotions. Une fois séché je passe un body en lycra noir, mes bottes à talons aiguilles rouge, ma perruque et je retourne dans le salon. Il est toujours sur le sol, je lui tapote le visage avec la semelle de ma botte. Va dans la chambre et prépare ma queue. Oui Maitresse Diana Il se relève péniblement et se rend dans le lieu demander. Moi j’enduit d’huile mes mains et avant-bras et enfile mes gants en latex rouge. Je rentre dans la chambre il m’attend avec mon strapon à la main. Aide-moi a bien le positionner. Bien Maitresse Diana Le gode ceinture est cru ainsi je peux mettre mon membre capoter pour l’occasion à l’intérieur et ainsi rester Maitresse Diana. Une fois fixer comme il faut, je lui ordonne de me sucer, il s’applique mais reste sur le bout alors je le saisi de chaque cote de la tête et le force à avaler mon gode. Il suffoque à un haut le cœur, je relâche ma pression le laisse continuer puis je le force à nouveau en maintenant la tête, mon sexe de silicone dans sa bouche au plus loin qu’il puisse avaler. Je lui ordonne de se mettre en position. Il est à quatre pattes avec un cousin sous le ventre. Je lubrifie bien mes gants et commence à violer l’intimité de mon sujet. Un doigt, puis deux puis trois mais le quatrième est plus difficile à faire passer. Tu n’as pas utilisé les plugs comme je t’avais ordonné. Si Maitresse Diana mais le gros je n’y arrive pas Maitresse Diana. Ca j’ai vu, tu n’es vraiment qu’une chochotte on est si près du fist mais tu n’as pas la volonté. Pardon Maitresse Diana Tu m’as mise en colère je vais t’enculer sans lubrifier mon gode. Je retire ma main me met en position et applique le prépuce de mon jouet a l’entrée de son anus. Je force l’entrée la préparation a quand même élargie le trou du cul et mon gode-ceinture entre tous seul, je suis déçu car je pensais vraiment forcer pour entrée ma queue de silicone dans son cul. Je décide de pilonner son cul sans ménagement, à chaque coup nos corps claque l’un contre l’autre. Il se retient de crier à plusieurs reprises. Je lui acène quelques claques les gants en latex font plus mal que ce en cuir. Je me retire lui demande de se retourner, je vois des larmes dans ses yeux, mais il soulève ses jambes et j’enfonce de nouveau mon strapon en lui d’un coup sec. Sa queue est bien dure il aime se faire enculer, Je continue à le prendre avec des allers-retours rapides de toute la longueur de mon jouet. Je jouie en retenue je ne veux pas qu’il voit mon plaisir, je me retire délicatement. J’enlève mes gants de latex et mon gode ceinture. J’essuis mes mains et j’enfile des gants de cuir rouge mi-long. Je m’allonge à ses cotes le caresse, mes mains parcourt son corps alors que mes bottes sont au niveau de son sexe, le liquide pré-séminal de sa queue coule. Tu veux jouir ? Oui Maitresse Diana L’as-tu mérité ? Il ne répond pas je me penche est le masturbe lentement. Tu aimes ? Oh oui Maitresse Diana Tu aimerais que je te suce ? J’aimerais beaucoup Maitresse Diana. Mes lèvres entourent sa queue et je pompe son sexe qui est vraiment très dure, je sens les lancements dans son membre signifiant qu’il est sur le point d’éjaculer. J’arrête de la sucer et le masturbe avec vigueur, je pose ma main libre sur son visage couvrent la bouche et le nez. Tu ne respireras qu’après avoir éjaculer. Et cela n’a pas été long un énorme jet de sperme sortie de sa verge et arrosa jusqu’à son menton. Je continue un peu mon va et vient, mon gant était recouvert de se liquide blanc. Regarde ce que tu as fait, lèche petite pute, qu’il n’en reste rien. Une fois nettoyer mon gant nous nous sommes allongés l’un contre l’autre afin de nous apaiser mutuellement. Il me remercia pour la séance qu’il venait de vivre et se disait impatient de jouer à nouveau            
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Par : le 24/06/25
F.  Samedi ç’à me dit Ce samedi annonce un week-end ennuyeux. Jean regarde par la fenêtre qui déverse un flot de larmes s’écoulant lentement le long de la vitre pour finir par disparaître en laissant la place aux suivantes. L’horizon lui rappelle ce poème de Charles Baudelaire « Brumes et pluies » qui fait partie du recueil « Les fleurs du mal » et récite la première strophe. Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue D’envelopper ainsi mon cœur et mon cerveau D’un linceul vaporeux et d’un brumeux tombeau. Il fait le lien avec ces dominatrices qu’on aime et loue de prendre possession de notre corps et de notre âme en nous enveloppant à la fois de douceur et de douleur. Soudain il se souvient que ce week-end il y a des sports mécaniques, et vu le mauvais temps, il va passer tout ce temps devant son poste de télévision. Lundi, Jean part pour le travail, Le ciel est bleu, le soleil est radieux et Jean fredonne la chanson de Claude François  – Le lundi au soleil –, il pense aux lignes du programme informatique qui lui posent problème, il va probablement devoir vérifier l’algorithme. Bref, après ces deux semaines intenses en découvertes et émotions insoupçonnées, sa vie a repris un cours normal, il n’oublie pas ce qui est prévu le samedi prochain mais le voit un peu comme s’il était prévu une soirée cinéma entre potes. Des potes ? Il en a peu et ils sont tous éloignés géographiquement et il ne cherche pas à se lier d’amitié avec ses collègues de travail car il ne veut pas mélanger sa vie professionnelle et sa vie personnelle, mais cela ne le dérange car, depuis son divorce suivit d’un changement de travail et de région, il est plutôt du genre solitaire. Finalement, le fait d’avoir rencontré Sabine et Martin ainsi que Vanessa et, peut-être bientôt, d’autres personnes partageant une même passion va donner un autre sens à sa vie. Mardi, il reçoit un texto de Sabine Toujours ok pour samedi ? il répond Oui bien sûr et dans la foulée il reçoit un nouveau texto Ok alors rdv chez moi samedi à 10h00. Jean commence à bien connaître Sabine et il sait qu’il a intérêt à être à l’heure. Les jours qui suivent il se concentre sur son travail car il a encore des pages et des pages de code à écrire pour faire fonctionner la partie du logiciel qu’on lui a confiée. C’est vendredi soir et c’est après être rentré chez lui qu’il se dit que le lendemain va encore être un jour plein de découvertes et de surprises. La première surprises sera ce que Sabine a prévu pour lui. D’abord la tenue mais certainement aussi quelques surprises sorties de son imagination machiavélique.   Samedi matin 8h00, le réveil sonne. Jean se dit qu’il a bien fait d’activer la sonnerie car il dormait à poings fermés. Il arrête cette horrible série de bips et se lève aussitôt de peur de se rendormir. Il boit un café et va dans la salle de bain. Il se rase le visage de près car il ne sait pas à quelle heure les festivités vont se terminer et il ne veut pas avoir le poil hirsute en cours de soirée. Il décide aussi de se raser le pubis car il se souvient que quand Sabine lui avait mis la cage de chasteté des poils s’étaient coincés dans le système de fermeture et se sont arrachés et ensuite avec le frottement il avait eu des irritations. Il ne sait pas si elle va encore l’encager mais il vaut mieux prévenir que guérir. Donc il va sous la douche avec mousse et rasoir, il se rase avec minutie évitant de se couper puis prend une douche. Il enfile un caleçon et met un costume car on ne va pas au château du marquis habillé en jean et blouson, par contre il ne met pas de cravate. Après tout Sabine ne lui a pas parlé de dress code. Il regarde l’heure, il est bientôt 9h30, Il avale un autre café en vitesse et part. Il arrive à l’heure, Martin lui dit de mettre sa voiture dans le garage et qu’il l’attend. Les deux hommes se disent bonjour et Martin demande à Jean de monter à l’avant côté passager et que Sabine ne va pas tarder à arriver et s’assoie derrière le volant. En effet Sabine arrive avec un grand sac de voyage à la main, le pose sur la banquette arrière et s’assied derrière Martin et précise qu’il y a deux heures de route pour aller au château et qu’elle veut arriver parmi les premiers pour avoir le choix de la place. En cours de route ils parlent de banalités puis Sabine demande à Jean s’il n’est pas trop anxieux et il répond par la négative. Sabine – « Aujourd’hui tu vas découvrir ce qui, pour toi, sera un nouveau monde que tu pourras observer mais aussi dans lequel tu devras t’intégrer et prouver que tu es un bon soumis si tu veux influer sur ma décision ! » Jean ne dit mot, Il sent le regard insistant de Sabine sonder son cerveau, comme si elle entrait dans sa tête pour aller manipuler ses neurones, l’amenant au bord de l’évanouissement. Voyant qu’il est tout pâle elle lui caresse la joue avec le dos de sa main et lui dit « Ne t’inquiète pas je suis sûre que tout va bien se passer ! » Le reste du trajet se passe en silence. Sabine jubile de l’emprise qu’elle a sur Jean qui petit à petit reprend des couleurs. Martin empreinte une petite route, après deux ou trois kilomètres la voiture traverse un pont en pierre, où deux véhicules ne peuvent pas se croiser, qui enjambe un cours d’eau puis quelques centaines de mettre plus loin entre dans un bois. La route de vient de plus en plus pentue et serpente entre les arbres lorsque Jean aperçoit à travers une trouée de la forêt un château fort sur un piton rocheux à flanc de colline. Jean s’attendait à un château style XVIIème ou XVIIIème siècle, se trouve en contrebas d’un château médiéval. Ils passent sous un grand porche et pénètrent dans une cour pavée, un homme en habit de laquais anachronique avec le lieu leur fait signe de s’approcher. Il demande poliment le nom des arrivants, regarde la liste sur sa tablette, acquiesce et leur dit d’avancer jusqu’au tapis rouge déroulé devant l’entrée du bâtiment principal. Il y a des échafaudages positionnés à différents endroits et Jean se dit que la rénovation et l’entretien doivent coûter une petite fortune. Deux hommes en costume contemporain se tiennent devant une grande double porte en bois aux lourdes ferrures. L’un d’eux accoure pendant que les occupants du véhicule en descendent, Martin remet les clés de la voiture à l’homme, Jean propose à Sabine de prendre le sac de voyage mais elle refuse de lui confier. L’autre homme ouvre la porte et les invite à entrer dans un corridor. Une jeune femme avec de longs cheveux blonds tressés en queue de cheval, vêtue d’un corset qui met sa poitrine aux tétons annelés en valeur et retient des bas noirs grâce à ses jarretelles les accueille avec déférence et les invite à la suivre. Elle ne porte pas de dessous et Jean constate qu’elle a également des anneaux au sexe. Sabine demande à Jean de passer en premier puis c’est au tour de Martin et elle en dernier. Ils la suivent dans un escalier en colimaçon tout en pierres de taille mais Jean a les yeux rivés sur la croupe de leur guide dont les fesses aux formes parfaites se dandines au rythme des marches. Ils arrivent sur un palier et la jeune femme leur montre la porte de droite et dit que c’est derrière cette porte que les cérémonies ont lieu et que de l’autre côté en prenant le couloir il y a les salles d’ateliers. Jean remarque que le couloir est éclairé par des flambeaux accrochés au mur et inclinés, avec des lampes électriques en forme de flamme. Ils gravissent encore les escaliers éclairés par les mêmes flambeaux, ce qu’il n’avait pas vu avant tellement il était hypnotisé par le fessier de la jeune femme et arrivés à l’étage elle leur montre leur chambre et prend congé. La chambre est spacieuse Il y a un grand lit à baldaquin avec des peaux de bêtes autour, une table de nuit et un fauteuil de chaque côté mais, le lit a beau être grand Jean se dit qu’il n’est pas possible d’y dormir à trois, il voit une autre porte et pense que ce doit être sa chambre. Il y a aussi un bureau écritoire et deux fauteuils, une grande armoire rustique, Sabine met le sac à l’intérieur, en sort un autre sac plus petit puis ferme l’armoire avec une clé qu’elle garde dans la main et dit « Je vais voir la Marquise, pendant ce temps vous faites une toilette complète ! » puis elle sort. Martin à jean – « Elle a pris le sac avec ses affaires, elle a dû aller dans la chambre de Vanessa pour se préparer. Viens je t’explique ! » Il ouvre la porte, allume la lumière, Jean voit que c’est un coin toilette, donc ce n’est pas sa chambre. Martin – « Lavabo, douche et dans le coin il y a un bidet et les wc. La toilette complète c’est ce que tu as fait le premier soir au donjon. Le bidet est muni d’un flexible au bout duquel tu vas fixer une canule jetable, il y en a dans cette boite et là sur le mur tu as un robinet gradué, c’est pour régler la température à trente-six degré qui est celle du corps. Tu laisses couler le temps d’évacuer l’eau froide, le débit est préréglé pour éviter une surpression qui poserait problème. Lorsque tu as fini tu remets la canule dans son emballage et hop, poubelle. C’est bon ? » jean opine et Martin passe en premier pendant que Jean attend dans la chambre en admirant le paysage sauvage qui entoure le château. Au bout d’un moment il ressort avec pour tout vêtement une serviette de bain autour de la taille et Jean va à son tour dans le coin toilette. Lorsqu’il sort, lui aussi avec sa serviette autour de la taille, Martin regarde également le paysage et dit « Tu as vu la petite cascade là-bas ? Et puis là il y a un rapace ! » Jean – « Vous êtes déjà venus ici ? » Martin – « C’est ici que nous avons été formés. Une relation D/S, pour être harmonieuse, fait appel à différents codes que nous ne connaissions pas. Passer du fantasme à la réalité n’est pas une chose simple. Nos débuts ont été compliqués, on ne se comprenait pas. Puis, sur les conseils de Vanessa, je crois, Sabine a eu une formation ici auprès du Marquis et de la Marquise. Le Marquis forme les dominateurs et la Marquise forme les dominatrices. İls forment également les personnes soumises et ont aussi leurs propres soumis et soumises, celle qui nous a accompagnés ici doit en faire partie. Ensuite nous sommes venus tous les deux pour mettre en pratique ce que Sabine avait appris et notre relation a pris une autre dimension. Par contre c’est la première fois que nous participons à une telle réunion à laquelle participent même des personnes venues de l’étranger ! » La porte s’ouvre et Sabine entre et demande « C’est bon ? Vous avez terminé ? » Ils se retournent, elle porte une combinaison noire en latex, la fermeture zip entrouverte laissant entrevoir le haut de ses lobes mammaires, de longs gants en latex rouge, elle est perchée sur des talons aiguilles rouges tellement hauts que les cigognes d’Alsace en pâliraient de jalousie. Ses longs cheveux noirs sont tirés en arrière, maintenus par un anneau doré pour les faire retomber en queue de cheval qui descend jusqu’au milieu du dos et couronnés par un diadème du même ton. Un maquillage qui agrandit ses yeux et lui donne un air tellement sévère que même le plus grand tyran de la planète ramperait à ses pieds. Les deux bougres en ont le souffle coupé, même Martin ne l’avait jamais vue comme ça. Sabine – « Je vous ai posé une question ! » Martin bredouille « Oui Maîtresse ! » et Jean l’imite aussitôt. Sabine – « Alors inspection ! » Martin enlève sa serviette, la jette plus loin et prend la position, suivi par Jean. Elle ouvre l’armoire, sort des gants de chirurgien du sac, elle les enfile et les lubrifie puis va se positionner derrière eux. Elle introduit ses majeurs en même temps dans le rectum de ses deux soumis qui sursautent en même temps, elle fait quelques allers et retours tout en s’amusant à bouger le doigt et remonter ses bras ce qui les fait mettre sur la pointe des pieds et pousser de petits râles, elle frémit de plaisir. Elle retire ses doigts d’un coup sec, observe les gants et dit « C’est bon, vous pouvez m’enlever ces gants et les jeter ! » Elle se dirige vers l’armoire, sort le sac et le pose sur le lit. Elle prend la cage de chasteté de Jean et remet son sexe en prison, ensuite elle lui tend le slip spécial acheté chez Nanette pour qu’il l’enfile et met l’oiseau de son mari également en cage, elle les regarde, et narquoise, elle dit en se moquant d’eux « Zut, j’ai oublié les os de seiche ! » elle a envie de les tripoter histoire de réveiller les bébêtes mais elle s’abstient, elle a de nombreuses heures pour s’amuser avec eux devant toute l’assistance. Ensuite elle leur tend des bottines en tissu noir à laçage avec des semelles épaisses qu’ils s’empressent de chausser. « Ce n’est pas fini » dit-elle et elle sort deux ceintures abdominales en cuir munies d’anneaux qu’elle ajuste sur chacun d’eux, elle leur pose des menottes assorties à la ceinture puis relie chaque menotte à la ceinture avec un tige d’environ 20 centimètres qui se terminent par des mousquetons.                Elle fait quelques pas en arrière se met à rire « On dirait deux frères jumeaux ! Mais ce n’est pas tout ! » Elle est comme une petite fille qui joue à la poupée. Elle pose un collier avec une laisse à Martin et sort une cagoule en cuir avec des zips au niveau des yeux et de la bouche, elle l’enfile sur la tête de Jean, l’ajuste, serre les lacets qui sont à l’arrière et fait un nœud puis attache la laisse à l’anneau qui se trouve à l’avant au-dessous du menton puis dit à Jean « J’ai décidé de te mettre une cagoule afin qu’on ne te reconnaisse pas dans le cas où il y aurait des personnes de ta boite présentes. Je sais qu’il n’y a pas longtemps que tu as été embauché et je ne veux pas que tu ais des problèmes ! » Jean - plein de gratitude « Merci Maîtresse ! » Enfin elle sort un feutre spécial tatouages et leur demande de se mettre de dos sur lesquels elle écrit Propriété de Maîtresse Sabine. Des fois que quelqu’un veuille lui en voler un. Elle vérifie que les zips des yeux sont bien ouverts sur le masque de Jean car elle ne veut pas qu’il chute dans les escaliers puis elle attrape les laisses avec sa main gauche et ils sortent de la chambre, Sabine passant en premier.
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Par : le 19/06/25
Pendant plus de dix ans, Cat et moi formions un couple banal, de ceux qui partagent une vie simple, sans hiérarchie, sans jeux de pouvoir. Hors de notre intimité, nous étions deux âmes qui s’aimaient, un duo ordinaire aux yeux du monde. Mais dès que les portes se fermaient, dès que nos corps se frôlaient, une autre danse prenait vie, un feu brut et intense. La domination s’est imposée dès nos premières étreintes, un besoin viscéral qui n’a cessé de croître, toujours plus sombre, toujours plus absolu. Nos jeux, cantonnés à la sphère sexuelle, étaient un exutoire, les cordes marquaient sa peau, mes ordres la faisaient ployer, ses gémissements résonnaient alors que je fermais les nipple clamps sur ses tétons, que ma main s’abattait sur ses fesses rougies, que je la prenais, sauvagement, jusqu’à ce que nous nous effondrions, brisés de plaisir.   Puis la trahison m’a frappé, brutale, comme un coup de poignard. Du jour au lendemain, Cat a renié nos pratiques, piétiné cette part de nous que je chérissais, et notre séparation, encore fraîche, a laissé un vide. Nous vivons toujours sous le même toit, et chaque jour est une épreuve. Croiser son regard, sentir sa présence, tout en sachant que ce lien unique est mort, me plonge dans les abîmes. Depuis plusieurs années, je suis hanté par ce vide, un tourment qui me ronge l’âme. Ce ne sont pas les circonstances qui me déchirent, mais la perte de ces moments où je dominais, où une soumise s’abandonnait sous mes mains, où cette intimité viscérale me faisait vibrer. Chaque instant sans ce contrôle, sans cette connexion, est une torture. Je revois ses poignets liés, ses yeux suppliants, son corps offert, et ces souvenirs me lacèrent comme une lame de rasoir. J’ai besoin de cette danse où je guide et elle se livre, où je domine et elle s’efface, où je la baise jusqu’à ce que nos âmes se consument, mais ce besoin est une plaie ouverte, un feu éteint qui continue de me brûler.   En pleine séparation, je suis un homme déchiré, prisonnier d’un passé qui me hante et d’un présent qui m’étouffe. La domination n’était pas un jeu, c’était mon essence, une langue que je parlais avec elle, et sans elle, je suis un maître sans royaume, un rigger sans cordes, un homme tourmenté par un désir qui ne trouve plus d’écho. Sa trahison a tranché net toute envie que j’avais d’elle, un couperet froid et définitif, malgré le regret lancinant des bons moments passés, ces instants de complicité et de plaisir qui, parfois, me reviennent encore comme un écho douloureux, et dans ce silence, je reste suspendu, incapable de clore ce chapitre qui continue de saigner.
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Par : le 17/06/25
Bronco est né avec un don ou une malédiction. Il voit les démons.  Sa vie est un cauchemard. Ce monde est infesté de démons. Ils sont partout. Tout petit, il a du fuir sa famille. Il erre dans la ville la nuit pour voler sa pitance et se cache le jour. Si lui voit les démons, l'inverse est pire encore. Il est traqué.  Quelle ville horrible infestée par tous ces démons maléfiques. Ils sont partout. Sa vie est un enfer. Et puis un jour Bronco tombe sur Bianca, la belle, la douce. Elle n'a que huit ans,  lui a peine six, mais elle a su le trouver dans le trou sous des vieux cartons où il se cachait. Elle a pris sa main et lui a simplement dit: " viens". Et Bronco a suivi. Il savait que Bianca n'était pas infestée.   Elle l'a conduit vers une secte étrange, nommée "les chrétiens de la première heure". Aucun n'était infesté.  Là, Bronco a pu apprendre à lire, à écrire et il s'est montré exceptionnellement doué.  Arrivé en âge,  il a épousé la sublime Bianca. Un amour total, un bonheur comme il ne pensait pas qu'il pouvait exister. La secte s'est vite rendu compte que Bronco était un exorciste, le meilleur d'entre eux.  Laissez moi vous raconter une séance. Vous trouverez des liens avec les pratiques bdsm. Bronco à été appelé pour sauver une jeune femme possédée par bien des démons et qui ne pense qu'à forniquer. Il ne prend jamais de bible ou de croix avec lui. Juste une petite bouteille d'eau bénite par lui même. La jeune femme des qu'elle le voit lui montre sa chatte et lui dit: " viens, baise moi" . Bronco lève sa main et lui dit en araméen, il n'exorcise que dans cette langue, " au nom du Christ, je chasse les démons qui sont en toi." La jeune femme est prise de convulsions. Elle écarte les lèvres de sa chatte. " bourre moi, connard,  serais tu pédophile ? " . Bronco sort sa bouteille d'eau bénite et commence par l'asperger. Chaque goutte qui tombe sur la peau de la jeune femme semble comme provoquer d'horribles brûlures. Elle devient comme folle. " arrête ou je vais devoir te violer" .  Bronco continue. Il lance ses mains avec des paroles en araméen vers la jeune femme comme autant de gifles puissantes. Et les démons sortent . Bronco les chasse et les expulse tous.  La jeune femme giflee et brûlée à l'eau bénite dort paisiblement à présent. Bronco pose sa main sur son front et dit une prière, toujours en araméen. Elle dort en paix. Bronco s'en va comme une ombre. Il sait que les démons qu'il vient de chasser ne sont pas loin. Ils rôdent à la recherche d'une nouvelle proie. 
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Par : le 13/06/25
D.  Rétrospection et introspection Jean monte dans sa voiture et se maudit d’avoir mis un pantalon serré mais, il n’avait pas prévu de se retrouver avec une cage de chasteté. Il maudit aussi la ceinture de sécurité qui ne fait qu’accroitre la sensation de douleur sur ses tétons torturés. En route il se souvient qu’il n’y a rien à manger chez lui. Il se serait bien arrêté à la superette qui est ouverte le dimanche mais il ne se voit pas arpenter les rayons avec son sexe encagé et serré dans son jean, donc il opte pour le drive du fastfood, surtout qu’à chaque mouvement de bras ses tétons le rappellent à son bon souvenir. Il se gare dans le parking souterrain de sa résidence et met le sac du fastfood afin de cacher la bosse qui pourrait faire croire qu’il a une érection. Une fois arrivé chez lui il se hâte d’enlever son pantalon, son boxer et sa chemise, bref, hormis les chaussettes, il se retrouve dans la même tenue que ce matin chez Sabine et Martin. Il va prendre une bière dans le réfrigérateur, met de la musique, prend son ordinateur portable et s’assied sur le canapé. Puis Jean se parle tout haut à lui-même. « Le BDSM j’en avais entendu parler bien évidemment, mais pour moi c’était une déviance, une pratique anormale. Si j’avais su à l’avance ce que Sabine avait prévu je n’aurais peut-être pas répondu - Oui - à la proposition de jeu de rôle. Mais elle a bien joué. Elle m’a posé des questions des plus banales aux plus intimes, m’a tiré les vers du nez, sondé et profité de ma curiosité naturelle pour m’amener à faire ce qu’elle voulait. Bien, maintenant je vais chercher des témoignages sur Internet ». Il est impressionné par la quantité de sites et de blogs qui traitent de ce sujet. Il commence par regarder les blogs de soumis qui décrivent leurs expériences et constate qu’il y a une grande diversité de pratiques avec autant de ressentis. Il comprend qu’il n’a eu qu’un échantillon de ce qu’il est possible. Il fait d’abord un tri en fonction de ce qu’il a vécu, et à la lecture des témoignages, lui, qui pensait avoir surmonté quelque chose d’incroyable, avait seulement gravi une petite colline alors que d’autres sont déjà en train d’affronter le versant nord d’une haute montagne, ce qui donne un sacré coup dans l’aile de son égo. Il constate aussi que ces soumis ou soumises s’enorgueillissent de donner satisfaction à leur Maîtresse ou Maître et que ce qu’ils endurent leur donne le plaisir du devoir accompli. Il s’allonge sur le canapé en prenant soin de soulever la cage et donc ses testicules afin de ne pas tout coincer entre ses cuisses, regarde le plafond, passe en revue chaque situation vécue entre samedi après-midi et dimanche midi, puis fait le point. - Qu’est-ce que je n’ai pas aimé ? Au départ je dirais tout, mais rétrospectivement rien ne m’a foncièrement déplu. - Qu’est-ce qui m’a gêné ? Le plug qui devient difficilement supportable au bout d’un moment. La cage, mais elle est toujours là et il va falloir s’y faire. La nudité alors que tout le monde est habillé, même si Martin était déguisé en soubrette. Il sourit en y repensant. Mais le manque d’habitude doit être la cause de cette gêne. - Qu’est-ce qui m’a fait mal ? La torture des tétons. Il n’ose même plus les toucher mais il croit que le lendemain cette ultra sensibilité sera partie. - Qu’est-ce qui m’a laissé indifférent ? Le collier et la laisse je ne vois pas l’intérêt, du moins pour moi. - Qu’est-ce qui m’a plu ? Tout le reste avec une mention spéciale pour le bondage et le poids au sexe. Il sait que Sabine l’a ménagé pour cette première et se demande ce que sera la suite, car il y aura obligatoirement une suite puisqu’elle va devoir lui enlever cette cage de chasteté. Tout à coup lui vient un doute. Je suis en train de penser uniquement à moi, mais si elle n’est pas fière de moi peut-être va-t-elle m’enlever la cage et me dire adieu. J’appellerai Martin, je pense qu’il pourra me renseigner, c’est surement pour ça qu’il m’a laissé son numéro de téléphone. Il se met à rire du fait qu’il a envie de continuer et même pourquoi pas passer à un niveau supérieur. Mais pour l’instant il va essayer de penser à autre chose, il éteint son ordinateur, allume la télé, va chercher son repas et commence à marcher de façon naturelle en oubliant pratiquement la cage de chasteté. Malgré la qualité des programmes diffusés le dimanche après-midi – sourire ironique de l’auteur – il ne peut pas s’empêcher de penser et de s’interroger. Il rallume son ordinateur et fait une nouvelle recherche pour essayer de savoir ce qu’il se passe du côté des dominatrices, il est surpris de constater que lorsqu’elles parlent de soumis elles les appellent les clients et se prévalent du titre de professionnelles. Il ne doute pas qu’elles soient compétentes, mais qu’elle est la part de plaisir, de passion par rapport à l’appât du gain ? Il se dit que la motivation de Sabine n’est pas financière, car elle et Martin vivent plus qu’aisément et ce sont eux qui sont venus le chercher et ce n’est sûrement pas pour lui demander de passer à la caisse. Par acquis de conscience il regarde si la société de Martin serait en difficulté apparemment ce n’est pas le cas. Je n’en saurai pas plus aujourd’hui se dit-il. Il prend une douche et se couche en prenant soin de se mettre en chien de fusil afin que la couette ne touche pas sa poitrine toujours aussi sensible. Le lendemain matin le réveil sonne, Jean l’arrête et se lève. C’est un lundi matin comme les autres. Comme les autres ? Non, pas vraiment. Il touche sa poitrine et, même si ce n’est plus une douleur assez vive ses tétons sont encore sensibles et il y a ce truc métallique dans son entre-jambe. Pour s’habiller il choisit une chemise ample qui ne colle pas à la peau, puis un caleçon et un pantalon de ville qui donnera plus de liberté à son sexe encagé. Malgré tout, que ce soit en voiture, au travail ou au restaurant où il prend ses repas du midi avec ses collègues, chaque mouvement lui rappelle ce week-end de folie. Il est là physiquement mais son esprit est ailleurs, ses collègues et même le patron du restaurant ne cessent pas de lui dire de se réveiller. Pour rire le restaurateur lui dit « Le plat du jour, c’est oreilles de lapin farcies ! Ça te convient ? » Jean répond « Hein ? Oui c’est parfait ! » ce qui déclenche l’hilarité de l’assistance et un « Allo la lune ! Ici la terre ! ». N’en déplaise à Mirabeau Il n’est pas dans « L’empire de la lune » mais encore dans « L’emprise de Sabine » lorsque privé de vue il a senti ses seins appuyés sur son dos, ses bras l’entourer, ses doigts lui martyriser les tétons et son souffle dans le cou. Il regrette d’avoir mis cette chemise ample qui le prive d’un souvenir sensible sauf à passer les paumes de ses mains sur sa poitrine pour frissonner de plaisir, un plaisir qui a pris la place de la douleur éphémère occasionnée par les doigts qui pincent, tournent et tirent, de celle que, dorénavant, il appelle Maîtresse. Par-contre la cage fait bien ressentir sa présence, le gêne parfois dans ses mouvements, lui rappelle que son sexe ne lui appartient plus, qu’il est la propriété de sa Maîtresse, et ce n’est pas fait pour lui déplaire. Le reste de la journée il essaye de se concentrer sur son travail mais il n’y arrive pas et prend du retard sur son programme. Le mardi il s’attache à rattraper le retard pris la veille. Il a de nouveau les pieds sur terre, surtout que ses tétons ont perdu beaucoup de sensibilité et qu’il commence à s’habituer au port de la cage. Le soir en rentrant chez lui il se rend compte qu’il n’a toujours pas appelé Martin et se promet de le faire le lendemain. Le mercredi midi, au lieu d’aller manger avec ses collègues, prétextant qu’il avait des courses à faire. Il va dans un bar quelques rues plus loin, commande un sandwich et une bière puis appelle Martin. Martin – « Allo ! » Jean – « Bonjour Martin, c’est Jean ! » Martin – « Attend une seconde ! » il parle à quelqu’un puis « Bonjour Jean, comment ça va ? » Jean – « Ça va merci, j’appelle comme promis ! » Martin – « Oui, je voulais savoir ton ressenti sur ce week-end dernier ! » Jean – « Sincèrement, je suis content d’avoir fait cette expérience dans un univers que je ne connaissais pas, mais je suis aussi très gêné parce que Sabine c’est ta femme ! » Martin – « Ah, ah ! Excuse-moi si je rigole, je te rassure, je ne me moque pas de toi, bien au contraire. Il ne faut pas être gêné, tout est fait d’un commun accord entre Sabine et moi. Comme elle te l’a expliqué le premier soir où on t’a fait venir chez nous, c’est moi qui ai été à l’origine de notre relation BDSM. Elle a accepté mais les sentiments que l’on a l’un pour l’autre font qu’à un moment donné on bloque, on n’arrive pas à évoluer et on a tendance à retomber dans une relation vanille. On va dans des réunions où on se retrouve entre adeptes mais, pour diverses raisons, cela ne nous apporte pas grand-chose si ce n’est le plaisir de se retrouver entre amis. Donc on a décidé d’intégrer une tierce personne dans notre intimité BDSM et, par hasard, nous avons eu la chance de te rencontrer. Tu as dû être étonné par les questions de Sabine mais ce sont tes réponses qui nous ont conforter que tu étais le bon choix et ce qui a suivi nous l’a prouvé. Nous te considérons comme un ami et j’espère que c’est partagé ! » Jean – « Oui, mais je ne sais pas où tout cela me mène. J’ai l’impression de me prendre un orage sur la tête alors qu’il n’y a aucun nuage dans le ciel. Et j’avoue que j’ai peur de te trahir en tombant vraiment amoureux de Sabine ! » Martin – « Pour répondre à ta première remarque je te dirai que je comprends tes doutes et que le choix de continuer ou pas t’appartient. Si tu décides de continuer et d’évoluer en même temps que nous cela nous fera vraiment plaisir et si tu décides d’arrêter, je te rassure, nous n’allons pas te retenir de force, nous n’allons pas te séquestrer. Par contre j’espère que nous resterons amis. En ce qui concerne le risque que tu tombes amoureux de Sabine, nous l’avons envisagé. Sabine a un fort pouvoir de séduction, je suis bien placé pour le savoir, et le risque est le même que celui encouru par les nombreux couples échangistes. Je crois savoir que Sabine a des sentiments pour toi, mais, ce sont des sentiments d’amitié profonde qui font qu’une grande complicité peut se former, pas de l’amour au sens littéral du terme. À toi de ne pas confondre fascination et amour. Tu comprends ? » Jean – « Je comprends. Il faut que je retourne au travail. Au revoir Martin ! Martin – « À bientôt Jean ! » Jean commence à y voir plus clair, ses doutes s’estompent et sa décision est prise. Les propos de Martin l’ont revigoré et donné envie de continuer. Maintenant il va attendre impatiemment que Maîtresse Sabine le contacte et lui donne ses ordres. Il sourit, finalement cette situation met du piment dans sa vie qui était monotone et, compte tenu des innombrables possibilités qu’offre la relation BDSM il n’est pas près de s’ennuyer en attendant de retrouver la femme idéale.
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Par : le 10/06/25
Quelques temps après ce premier séjour qui était grandiose en compagnie de ma Maîtresse. Je n'ai aucun doute et je suis clairement prêt à venir chez ma Maîtresse pour un second séjour, la confiance est totale. Le séjour arrive enfin (après 2 semaines sans voir ma Maîtresse). Le jour J, c’est une après-midi stressante et un départ précipité, en retard dû au travail, j'étais énormément stressé. De plus, je devais récupérer une chaise de "massage" sur la route à mi-chemin pour ma Maîtresse. Comme convenu, je suis arrivé au point de rendez-vous (avec du retard sur l’heure que j’avais annoncée…), devant une boutique qu’ELLE m’a indiquée. J'étais clairement en stress n'ayant pas de retours et de consignes durant plus de 45 min par ma Maîtresse. J'étais paniqué à l'idée que ma maîtresse ne souhaitât pas de moi. Mais d’un coup (après 45 min à attendre dans la voiture), mon téléphone sonna, je reçus l’appel de ma Maîtresse avec les ordres à suivre pour venir chez ELLE. Une fois arrivée devant l'entrée de chez ma maîtresse, C'est un pur bonheur de voir ma Maîtresse, de retrouver le port du collier et de découvrir et tester plein de nouveaux jouets BDSM que j’ai acquis selon le souhait de ma Maîtresse . Dès mon arrivée, j’étais mis à nu devant ma maîtresse, et c'est là où je me sens le mieux, nu auprès de la maîtresse. J’eus les yeux bandés directement, afin de ne pas découvrir à l'instant T l'environnement dans lequel je vais passer ce séjour chez ma Maîtresse . C’est une description incroyable et j'ai totalement confiance en ma Maîtresse d’être dans le noir et d’avancer à la seule direction de la laisse qui est tirée par ma Maîtresse . Notamment avec ces escaliers que j'ai montés et descendus dans le noir de nombreuses fois juste à l'écoute de sa voix et de sa confiance, clairement, car j'aurais pu me ramasser la figure de nombreuses fois. Et je remercie Maîtresse de m’avoir guidée pour avoir cette confiance aveugle. À la découverte de cette pièce tout là-haut qui sera ma chambre et est dédiée à diverses pratiques BDSM. Une entrée en matière qui pique avec une correction d'entrée, qui m'a clairement mis dans le bain. De l'impact, des pinces tétons et des bandes de cires pour épiler mon torse qui n’étaient pas au goût de ma Maîtresse. « Note à moi-même de trouver une solution pour que je me rase entièrement sans que cela mette en colère ma Maîtresse et ne plus jamais être en retard. » Chaque bande m'arracha un cri. Chaque tirage de bande cire, je souffre. Après cela, ma Maîtresse prit l'entièreté de mon corps avec plug et gode ceinture et j'en suis fière, que maintenant ELLE me possède même à l'intérieur de mon cul. C'était une première qui n'était pas facile pour moi, mais je lui fais confiance. C'est une première réussie, mon petit trou accueille un gode-ceinture ! Un fantasme qui se réalise : le pegging. Mais quand c'est gros (enfin pour moi) et avec le gode entier, c'est très dur pour mon corps qui ne peut pas supporter plus loin que cela pour l'instant. Il faudra que je m'entraîne davantage. Car les va-et-vient étaient intenses, durs, et j'aurais voulu encaisser cela facilement sans que cela soit une souffrance à chaque coup de rein. Et pourtant je sais que ma Maîtresse aurait pu être moins douce, car elle a pris le temps d’échauffer (dans tous les sens du terme) mon petit trou encore presque vierge, mais qui se dilate bien selon elle pour un débutant. Ensuite, je suis contrainte totalement par son nouvel objet acquis (la chaise de massage) où je fis solidement attacher mains et pieds à cette chaise. J'ai eu droit à cette jouissance ruinée. Mais quelle horrible souffrance quand ELLE continue à toucher et à jouer avec mon sexe. Mon corps supplie Maîtresse d'arrêter en se tortillant dans tous les sens. C'est vraiment une torture tellement intense que j'aime quand Maîtresse me touche, mais que là, c’est impossible tellement la douleur est immense, et je lui demande et la supplie d'arrêter tellement le supplice est intense et horrible. Ensuite, que dire des pieds de ma Maîtresse… Ils sont sublimes. J'adore les masser, les vénérer, les contempler. Il faut bien évidemment que je poursuive mon dressage pour prodiguer de meilleurs massages à ma Maîtresse. Une nuit a pensé à ma maîtresse, puisqu'ELLE m'a attaché avec une corde, les pieds reliés entre eux, accrochés également à mes mains. Totalement entravé avec des positions où je ne peux pas me positionner idéalement pour dormir, sans confort à même le sol avec juste un oreiller et un drap. De plus, sous la surveillance de ma Maîtresse qui m’a enfermée dans la pièce à clé et installé une caméra pour avoir un œil sur moi tout le temps. Ce fut une nuit courte et pas du tout reposante, avec chaque mouvement où mes membres qui étaient attachés me rappelaient cette soumission auprès de ma Maîtresse . Un réveil en douceur avec le port d'un plug dans mon petit trou afin de le travailler. Ensuite ma Maîtresse m’ordonna de m’habiller pour travailler en extérieur, pour nettoyer, ranger la partie extérieure. J'aime rendre service à ma Maîtresse , faciliter sa vie. C’est un plaisir de travailler pour ma Maîtresse dans son jardin, même si je ne suis pas manuel. Et, pour terminer cette après-midi travaux, ma maîtresse m’ordonna de rentrer et me mit à poil avec juste mon plug en moi. Pour ce nettoyage, j’ai comme mission de passer l’aspirateur à main dans les escaliers, en position à 4 pattes avec un plug rappelant que mon cul était plein pour ma Maîtresse. Et pour terminer, avant de clôturer ce séjour, ma Maîtresse m'a réservé une petite surprise. En ayant vu mon sexe tout excité encore une fois, elle joua avec mon sexe en interdisant de jouir, mais cela a été insupportable, et mon sexe a craché alors que je ne voulais pas et que je savais que je m'exposais à une sanction. Et cette sanction tomba : de l'impact au niveau des fesses et de l'entrejambe, cela fut très douloureux, ce qui m'arracha quelques larmes de mes yeux. Cette fin avec cette sanction m’attriste, car je ne voulais pas terminer sur une bonne note pour ma Maîtresse. Je remercie ma Maîtresse pour ce petit séjour qui est passé trop vite… J'ai hâte du prochain et d'un plus long séjour, Maîtresse… A suivre... NB : Récit écrit à ma demande par mon soumis SMD96 https://www.bdsm.fr/profile-84957/info/
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Par : le 08/06/25
(C’est la première fois que je fais ça, j’espère que ça plaira au moins à quelqu’un + un dessin qui m’a pris 8h, je voulais illustrer mon propos)   Toute la journée tu m’as accompagné tel un gentil toutou, me suivant lors de mes achats en ville. Pendant que tu attends à la sorti du magasin, une flopée de sac dans les mains, j’en sors, passe devant toi sans un regard. - Allons-y…   Tes pas se mettent à suivre les miens, jusqu’à un parc, il n’y a déjà pas grand monde et la végétation abondante aide à se sentir seul au monde. Je me dirige vers une pelouse sous un arbre isolé. - Au sol. Mon regard est fixe et sans émotions, tu poses les sacs contre l’arbre et t’allonges sur le dos. - Les jambes. Mon pied accompagne ton mouvement et tu relèves tes genoux, tes chevilles à tes fesses. Tu comprends vite où je veux en venir et tu places tes mains sur tes genoux, m’offrant un magnifique siège doté d’accoudoirs.   Je m’assois alors sur ton ventre, me reculant et frottant mon bas du dos contre la bosse de ton pantalon. Ton regard est rivé sur moi, tu n’arrives pas à lire sur mon vissage si ta position me plaît et ça t’excite d’autant plus. Je retire alors mes chaussures tout près de ton visage, ma divine odeur parvenant à tes narines, mon gros orteil se place sous ton menton et dans un élan de gratitude je dis : - Tu as été un bon chien aujourd’hui…   Mon regard se fait plus doux et séducteur, mon orteil remonte et se pose sur ta lèvre inférieur. - Mais un bon chien n’est pas seulement une décoration, il se doit d’être pratique et de plaire. Je soulève alors ta lèvre supérieur. - Comme d’habitude… J’ouvre ta bouche, y scrutant chaque détail. - Tu es très propre… Je suppose que tu n’attends qu’une chose…   Ton regard se fait suppliant et sans t’en rendre compte, tu acquiesces. - Ne bouge pas. Je fais basculer ta tête en arrière, ton mouvement m’ayant visiblement dérangé. Après un certain temps dans cette position désagréable.   Je te laisse te remettre plus à l’aise et me languissant d’être léché, je t’offre enfin mes pieds.
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Par : le 05/06/25
Après de nombreux échanges pour rédiger le contrat de soumission (les pratiques, les limites, les safewords, ...). Les échanges furent rapides et intenses, et une rencontre est prévue lors d’un petit séjour pour une nuit dans une “love room” ambiance BDSM (table de massage/torture, balançoire, différentes attaches et contraintes, barre d’écartement, collier, laisse, bâillon, … ainsi que 2 lieux de détente : jacuzzi et sauna). Rien qu'au téléphone, la connexion cérébrale était déjà présente et intense tant mon corps l’exprime. Ma petite nouille était souvent dure et mouillée.   Arrive le jour J, je suis arrivé en premier (vers 17 h 30). Les règles étaient claires, je devais attendre à genoux sur le pas de l’entrée ainsi que la tête baissée. Je me posais 1000 questions : « Est-ce qu’elle va arriver ? », « Dans combien de temps ma Maîtresse va arriver ? », « Est-ce que je vais être à la hauteur ? », « Est-ce que j’ai bien fait de m’aventurer là-dedans ? ». Plein de questions qui trottaient dans ma tête, sans réponse à l’instant T, mais j’allais vite le découvrir. Soudain, j’entendis une voiture entrer dans la cour au bout de (15-20 minutes) à genoux : « Ça y est, ma Maîtresse est arrivée. » Ce fut un soulagement d'entendre ma Maîtresse arriver avec des pas déterminés et ses bottes à talons qui claquent le sol à chaque pas. J’ai l’impression de l’entendre à des kilomètres, telle sa prestance est immense. Après avoir déchargé tous les bagages de ma Maîtresse, j’ai dû donner ma clé de voiture, mon portefeuille, mon téléphone. Je lui donne clairement ma vie, mon identité, ma liberté, et je ne peux plus faire machine en arrière, je suis dorénavant sien, ne pouvant pas m’échapper aux risques d’être nu et sans papiers sur la voie publique. L’entrée en matière fut directe et très humiliante, mais j’avais confiance en ma Maîtresse. Sous son ordre, je me mets complètement nu pour que ma Maîtresse contrôle l’entièreté de mon corps, les différentes épilations demandées, mais aussi l’hygiène de mon corps de la tête aux pieds. Puis cette douche avec de l’eau froide fut si éprouvante que mon corps en tremble encore. De plus, ce lavage de mon petit trou à de nombreuses reprises (lavement anal) me vide totalement. Mais j’ai cette impression que ma Maîtresse me possède et m’avait déjà pris en main de nombreuses fois et que mon corps à l’intérieur de moi est totalement nettoyé et à ELLE. Prêt à subir tous les ordres et désirs que ma Maitresse s’apprête à me faire vivre dans ce séjour. Mon cul est dilaté d’entrée, prêt à travailler pour ELLE. C’est même sa priorité, puisque c’est la première pratique qu’elle exerce sur mon petit trou anal vierge. Maîtresse y va en douceur avec ses doigts de fées, mes gémissements montrent que j’ai énormément de travail à effectuer dans ce domaine pour pouvoir accueillir ses 5 doigts entiers dans mon cul. Les va-et-vient avec ses doigts, j’adore cela : c'est à la fois excitant pour le plaisir prostatique (1 doigt ça va) mais également douloureux à encaisser pour mon petit trou (2 ça tire fort déjà). Contraint à 4 pattes, attaché aux mains et pieds par une barre d’écartement qui m’empêche de resserrer mes jambes et offre mon trou. Mes bourses sont à disposition, ma Maîtresse en profite pour donner quelques coups de pieds et mains pour tester ma résistance au ballbusting. Je vous le dis, c’est dur de recevoir ces impacts sur cette partie fragile du corps... Ensuite, je suis mis sur la table de massage (ou plutôt de torture), totalement contraint et attaché de A à Z sur le dos par une longue corde avec mon sexe, mes tétons, mon visage à sa disposition. Mais avec la vue totalement masquée (je ne vois rien, je suis dans le noir), ce qui décuple les sensations de l’ouïe et de l’odorat, entendre son souffle, ses bruits de pas, me demander à quelle sauce je vais être mangé... Être touché par ELLE, sentir sa peau, sa voix, sa respiration, je suis clairement au 7ᵉ ciel. Mais cela est de courte durée, car ma Maîtresse est sadique et la torture de mes tétons est un de ses grands plaisirs. De plus, je suis fragile et très sensible de cette partie là, et elle le sait, je souffre déjà... Elle s’attaque à mon sexe également qui est en érection depuis de longues heures où ma maîtresse le malmène sans ménagement (même sans le toucher) et l’excite avec désir et frustration, un mélange explosif. J’ai envie de "balancer la sauce", mais j’en ai l’interdiction sans l’autorisation de ma Maîtresse. C’est dur, c’est tellement dur que mon corps refuse qu’elle me touche et je tente de me tortiller pour éviter qu’elle me touche. Mais je n’y arrive pas, elle utilise même tout son corps pour jouer sur moi et me contraindre un peu plus. Je sens son fessier, ainsi que sa culotte mouillée. Elle me bâillonne même avec sa culotte trempée. Après de longues minutes à me battre contre l’idée de jouir, elle retire mon bandeau ; ses seins sont juste au-dessus de mes yeux, j’ai enfin l’autorisation de jouir. Quelle récompense, mais d’une courte durée, car c’est un orgasme ruiné suivi d’une masturbation post-orgasme. Une vraie torture où je bouge comme une anguille prise au piège hors de l’eau. Je suis détaché, le bandeau remis, et je perds de nouveau la vue. Amené avec la laisse près d’un fauteuil, elle m’ordonna de lui prodiguer un cunnilingus pour tester mes capacités à lui servir de sex-toy, et tester ma langue et mon niveau de pratique. Après quelques minutes, ma maîtresse me repoussa brutalement de son sexe et prit son jouet pour se faire plaisir et obtenir un orgasme. J’ai tout de suite compris que je n’étais pas à la hauteur de ses espérances dans cette pratique là. Je suis NUL et MAUVAIS, je me sentis comme un moins que rien et pas capable de donner du plaisir à ma Maîtresse, je suis humilié, j’ai honte de moi. Après avoir obtenu sa jouissance avec un vrai jouet de qualité, elle me tira par les cheveux pour que je lèche et nettoie son orgasme, son nectar, qu’il n’y reste aucune goutte. Suite à ce désastre, ma Maîtresse eut envie de se délasser dans le spa et de prendre du bon temps pour elle. Pendant que j’étais contraint au sol par un humbler avec les couilles et mon sexe tiré vers l’arrière de mon fessier. J’ai dû clairement faire la statue au musée du Louvre, car chaque mouvement me faisait terriblement mal. Après ce moment de détente pour ma Maîtresse et ce long moment d’attente en mode « ne pas bouger » pour ma part. Ma Maîtresse testa mes qualités de masseur. À ce moment-là, je me suis dit : « Il faut que je me rattrape, je ne peux être que meilleur que lors de la pratique d’un cunni ; en tout cas, on ne peut pas faire pire, du moins. » Donc j'ai tout donné pour lui prodiguer un bon massage, afin qu’elle soit fière de son soumis. Elle s’allongea sur la table de massage sur le ventre avec une serviette qui remontait jusqu’à son bas du dos pour ne pas avoir froid. Je me croyais masseur professionnel tellement l’endroit correspondait avec l’ambiance des jeux de lumière tamisée (rouge), la table de massage ainsi que l’huile parfumée. Elle était sur le ventre, j’ai donc à disposition son dos, ses épaules, ses bras à masser dans un premier temps. Je pris l’huile de massage et l'ai frotté entre mes mains pour la faire chauffer. Je m’applique à passer sur tous ses membres avec force, énergie et dextérité, en passant à de multiples reprises et en appuyant plus ou moins fort pour détendre les muscles du corps de ma Maîtresse. Je sens que Maîtresse est plutôt détendue, qu’elle apprécie ce moment et qu’elle est satisfaite de ce massage. Et elle me l’exprime que « je suis meilleur (ou moins pire) en qualité de masseur que pour faire des cunnilingus ». Après avoir effectué le dos, les épaules, les bras et les mains de ma Maîtresse. Elle se retourne et j’ai eu la chance d’apercevoir et de prodiguer un massage sur sa poitrine et son ventre. Et autant vous dire que ses seins, c’est la partie préférée que j’admire chez ma Maîtresse, avec ses doigts de fées qui arrivent en second. Ma Maîtresse a 2 magnifiques obus qui auraient pu mettre fin à de nombreuses guerres, tellement les soldats auraient été éblouis et la rétine complètement transpercée par cette vue magnifique. Je prends le temps de contempler, toucher, masser, malaxer sa poitrine qui est si moelleuse et agréable au contact. Après ce moment de massage auprès de ma Maîtresse, j’ai eu la chance qu’elle m’autorise à l’accompagner dans le jacuzzi pour un moment de détente assez sensuel. Ce fut un moment inoubliable avec une première partie où ma maitresse joue de ses pieds pour toucher et exciter mon sexe avec plus ou moins de pression de sa part pendant que je prodigue un massage à son deuxième pied. Puis nous sommes amenées à discuter, à échanger, et je lui fais part d’une envie et de mon attrait pour le water bondage. Et ce n’est pas tomber dans l’oreille d’une sourde. Maîtresse prit une corde et m’attacha le haut du corps, bras et mains liés dans le dos en "shibari". Ce fut un moment suspendu dans le temps, où la complicité et le jeu étaient présents. Je tentai de me révolter un petit peu, mais c’était sans compter la pression et la force de ma Maîtresse qui me plongea dans l’eau, où ma respiration était coupée. Je devais me retenir, me concentrer et résister sous l’eau pour ne pas boire la tasse, et quand j’avais le souffle court, je tentai de remonter à la surface, mais ELLE jouait de cela pour me contraindre encore quelques secondes dans l’eau. C’était clairement mon moment préféré, ce moment de complicité, de jeu, mais aussi de proximité avec le corps de ma Maîtresse. C’était clairement un moment qui était magique durant ce séjour. Après ce moment intense et inoubliable, il était temps de prendre une douche et d’aller se coucher, car il se faisait très tard, même si je n’avais aucune notion du temps et de l’heure (j’ai su après qu’il était dans les 5 h du matin). J’ai eu l’occasion de dormir aux côtés de ma Maîtresse et c’était agréable de sentir sa présence, son corps, de la toucher avec son autorisation, mais aussi de la masser pour s’endormir. La nuit fut courte, puisque nous devions rendre le logement le matin même (avant 11 h). Mais le réveil était agréable avec ce réveil en douceur peau à peau avec la tendresse auprès d’ELLE. Mais tout d’un coup ma Maîtresse eut une envie de jouer avec moi et mon corps dès le réveil en m’attachant sur ce lit avec les membres aux extrémités en étoile de mer avec les attaches de lit. Je n’avais point le droit de jouir et ma maîtresse jouait de mon sexe et me fit découvrir une nouvelle sensation, la wand sur mon sexe. Quelle incroyable sensation de sentir les vibrations, mais quelle torture quand on n’a pas le droit d’éjaculer. Heureusement pour moi et pour cette éjaculation qui n’a point eu lieu puisque je n’ai pas eu l’autorisation de ma Maîtresse, hélas c’est l’heure de partir et nous devions ranger et quitter les lieux. Ce fut un moment triste, car je devais déjà quitter ma Maîtresse. Je fais le rangement et le ménage, elle charge sa voiture, et elle me rend ma liberté avec la remise de mon portefeuille, de mon téléphone et ma clé de voiture... Ce séjour fut très court, trop court, mais c’était une rencontre intense et excitante qui laissera surement place à d’autres séjours BDSM avec ma Maîtresse. A suivre... NB : Récit écrit à ma demande par mon soumis SMD96 https://www.bdsm.fr/profile-84957/info/
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Par : le 04/06/25
Je me souviens de la première fois où j’ai passé la bride au cou d’une Femme. J’étais, je le reconnais, plus jeune, moins expérimenté et surtout beaucoup moins confiant. Cependant j’avais apporté un soin particulier au choix de l’article. Une bride en cuir épais, de qualité, comme celle qu’on monte sur les gros chiens, avec un anneau large ou passer plusieurs doigts etait possible. J’y avait adjoint une laisse optionnelle en acier lourd, à gros maillon, mais courte pour rester agile dans le maniement. Un très bel ensemble assorti d’une sangle en cuir ferme du même tenant permettant une prise ferme et sans défaut.   Celle-ci m’a depuis apporté beaucoup de plaisir. Autant dans l’apprentissage de l’art de son maniement que dans la variété des pratiques que celle-ci nous aura permis avec ces Dames.   A mon sens, une bride doit être entièrement assumée. Sans aucun détours ni ambiguïté. C’est un symbole et celui-ci doit être puissant et sans équivoque s’il veut inspirer une emprise rassurante. Toute dissimulation, hésitation  ou atermoient créera un climat de suspicion prompt à rompre l’harmonie Maître / Soumise.   En effet,  Mesdames, j’entends tout à fait votre volonté de ne pas vous laisser contraindre de la sorte par quiconque sans avoir atteint un certain seuil de confiance. Autant dans la personne elle-même que dans sa maîtrise de l’objet. Mais je fais confiance à votre jugement et à votre sensibilité pour savoir confondre un Maître malveillant ou malhabile.   Les vilaines laisses toutes fines pour petits lapins roses n’ont pas droit de citer dans mon vocabulaire. Au-delà de leur aspect cheap, de leur inconfort et de leur capacité à tourner ces Dames en ridicule; elles ne reflètent pas le contrôle et l’emprise que celles-ci attendent de l’objet. Et encore moins l’autorité que celui-ci confère à celui qui l’opère. Une bride respectable doit pouvoir devenir un objet de désir et de convoitise  pour ces Dames. Un de ceux qui font mouiller les lèvres et tourner les têtes.   Je reconnais par ailleurs avoir un faible tout particulier pour le harnais en cuir avec mordant. Même si celui-ci est moins versatile dans ses pratiques, il apporte certaines notes de transgression délicieuses qui résonnent en moi.    En effet, beaucoup moins confortable: le maintien du visage se faisant par la contrainte de la mâchoire. Souvent doté de lanières et d’anneaux latéraux (en metal dans mon cas) qui vont également compresser les plus fins minois. Son esthétique singulière confère, par anthropomorphisme, un côté cru et animal à ces Dames. Non pas un animal de compagnie qu’on identifie par un sobriquet et chérit comme son propre enfant; mais bel et bien un animal sauvage et libre dans toute sa splendeur. Et qu’il est, à l’évidence, fort agréable pour nous de dresser.    Ce côté légèrement plus kink de l’objet permettra à une Femme aguerrie une distanciation plus prononcée de sa propre psyché. Aussi, si celle-ci apprécie (car ça n’est évidement pas du goût de toutes), elle en fera un objet de libération fort, et qu’elle pourra même, parfois, de son propre chef, venir proposer à son Maître lorsqu’elle aura envie d’être apprivoisée.   Notez enfin que j’ai une tendresse particulière pour un mords en cuir assorti, permettant à ces Dames de punir à foison l’objet. Tout particulièrement quand encaisser une pratique devient physiquement plus difficile. Et ceci sans jamais abîmer leur précieuse bouche.  Il permet aussi Maître expérimenté de jauger les seuils d’inconfort et de les adapter pour faire durer le plaisir de l’un, comme de l’autre.  A noter que celui-ci autorise même l’emploi d’un safe word rassurant dans les cas extrêmes.  Et, comble de la sophistication, une longe de cuir longue et de bonne facture permettra accessoirement de cravacher cuisses, fesses et seins saillants pour redonner de l’entrain à la promenade, puis de la fougue au galop.   En résume j’invite donc ces Messieurs qui voudraient s’y essayer à choisir savamment une bride adaptée à leur maîtrise de l’objet et, par-dessus tout, j’invite ces Dames à apporter le plus grand soin au choix de ces Messieurs …
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Par : le 03/06/25
B. Premiers pas de soumis. Partie 2 « Bon, il a assez macéré, j’y retourne ! » dit Sabine. Vanessa préfère rester dans la pièce prétextant que Sabine s’en sortait très bien sans son aide et Martin retourne s’asseoir sur le canapé. Jean entend le pas cadencé de Sabine s’approcher de lui. Mais est-ce vraiment elle ? Si oui, que va t’elle inventer ? Avec quels jeux pervers elle va le tourmenter ? Il est surpris de constater que le simple fait de se poser la question fait monter en lui le désir à un tel point que cela lui procure du plaisir et est impatient de connaitre la suite. Par contre, contrairement à tout à l’heure, il ne perçoit aucun autre bruit. S’il y avait des spectateurs ils ont peut-être été déçus et sont partis. Ses interrogations sont interrompues car il sent qu’on décroche ses mains tout en lui laissant les menottes, pareillement pour les chevilles et, enfin, sa taille est libérée ce qui lui permet de respirer plus facilement. Jean ne bouge pas. Privé de toute vision il n’ose pas faire le moindre mouvement et attend qu’on le guide. Maintenant il est certain que c’est Sabine car il a reconnu son parfum. Sabine observe ce corps ruisselant de bave, elle décide de lui laisser le bâillon boule pour l’instant et, toujours sans prononcer le moindre mot, elle attrape la laisse et tire dessus pour le faire avancer. Jean parait moins tendu, elle constate qu’il la suit avec plus de facilité. Apparemment, ce moment où elle l’a laissé seul dans une position sans équivoque, lui permettant de faire face à sa condition de soumis a porté ses fruits. Elle l’amène jusqu’à un carcan sur pied, lui enlève le collier et se dirige vers le meuble où sont rangés tous les accessoires classés par catégories. C’est un meuble de couleur Chêne foncé qui fait penser aux vaisseliers d’antan. Sur la partie haute sont accrochés les fouets, martinets, cravaches, paddles, cordes et chaînes. Juste au-dessous une étagère présente des godemichets de différentes formes et tailles et encore au-dessous il y a celle des plugs. Le plateau permet  de préparer des objets ou de les déposer après utilisation et avant leur rangement. Le bas est divisé en trois parties. À droite une rangée de tiroirs dans lesquels on trouve des petits accessoires, au milieu une porte s’ouvre sur le matériel d’électro stimulation et à gauche il y a deux tiroirs dans lesquels sont fixés des sac poubelle. Le tiroir du haut pour mettre le matériel à nettoyer ou stériliser et celui du bas pour les déchets à jeter. Sabine ne voulait pas que des choses répugnantes trainent n’importe où, elle a fait faire ce meuble adapté à ses besoins par un artisan de la région. Tant-pis pour les fabricants suédois de meubles en kit. Tant pis aussi pour les aficionados de la canne et de la badine, elle n’en a pas car elle n’aime pas infliger des douleurs extrêmes. Elle se défini elle-même comme une Dominatrice romantique. Elle dépose le collier avec la laisse sur le plateau à côté de la cage de chasteté qu’elle avait mis là plus tôt, attrape une cordelette d’un mètre et retourne vers Jean qui cherche à deviner ce qu’elle mijote. Sabine se baisse et enroule la cordelette autour du scrotum en serrant assez fort, fait une boucle d’une vingtaine de centimètres sur le bas, elle regarde son travail, elle estime que les testicules sont suffisamment séparés de la verge puis tire sur la boucle qui résiste à la tension. Satisfaite elle se redresse, se place de l’autre côté du carcan, ouvre la partie haute et dit « Lève tes bras à l’horizontale et avance de deux pas ! » Il a vraiment l’impression de jouer à Colin-maillard. Elle lui attrape les deux poignets « Penche-toi en avant. N’aie pas peur ! » Elle positionne les deux poignets dans la partie basse puis le cou en appuyant sur sa tête, rabat la partie haute puis verrouille le tout. Elle termine en fixant les menottes à un piton fermé du carcan. Elle règle la hauteur du carcan afin qu’il ait le dos à plat et retourne au meuble, prend une cravache, ouvre un tiroir, hésite et se décide pour un poids de cinq cents grammes puis attrape une barre d’écartement métallique et retourne vers jean. Elle règle la barre pour un écartement de quatre-vingt centimètres, pour un début ça ira, elle pose la barre derrière les pieds de Jean, s’accroupit et ordonne « Écarte tes pieds ! », en tapant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache elle arrive à attacher les chevillières à la barre. En se relevant elle constate que le dos n’est plus à l’horizontale, donc elle règle à nouveau la hauteur du carcan, fait deux fois le tour pour vérifier le résultat et en profite pour mettre une bonne tape sur les fesses de Jean, sachant qu’avec le cuir il n’aura pas mal mais juste pour lui faire comprendre que maintenant elles sont à sa mercie. Sabine se retourne vers Martin et Vanessa qui est derrière le miroir sans tain et fait mine de s’essuyer le front pour leur faire comprendre que ça n’a pas été une sinécure. Vanessa est morte de rire mais sent la chaleur monter dans son bas ventre. Sabine ramasse le poids, l’accroche à la boucle qui dépasse sous les testicules et avec sa cravache s’amuse à faire aller le poids d’avant en arrière comme le balancier d’une horloge. Depuis le début Jean fait des efforts surhumains pour réfréner chaque début d’érection en se conditionnant psychologiquement. Il s’était transformé en simple objet et y prenait du plaisir, un plaisir différent du plaisir phallique dont il avait l’habitude mais il est encore incapable d’analyser cette nouvelle sensation. Il ne s’en rend pas compte mais un filet gluant coule de son méat. Cela n’échappe pas à Sabine qui s’exclame « Voyez-vous ça. C’est qu’il est tout excité et en plus il bave. On dirait un escargot ! »  Elle lui enlève le bâillon, enfile des gants en latex, lui essuie la bave avec du papier absorbant, va récupérer la mouille qui coule encore du sexe de Jean avec son index et son majeur puis va lui mettre les doigts dans sa bouche « Suce mes doigts. Nettoie tes cochonneries ! Tu aimes sucer mes doigts ? » Il répond par un « oui Maîtresse ! » obligatoire. Sabine retourne au meuble, prend du lubrifiant dans un des tiroirs, revient et dégrafe la partie arrière du slip qui donne accès à l’anus. « On va vérifier si c’est bien propre ! » Elle enduit ses doigts, couverts par le gant, de lubrifiant et commence par en mettre autour de l’anus de Jean puis insère son index et fait quelques va-et-vient. Elle recommence en y ajoutant son majeur et là, il pousse un petit cri. Sabine se moque de lui – « Oh la chochotte ! Tu es puceau du cul ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Bon, c’est propre mais très serré ! » Elle va chercher un plug en silicone de dix centimètres de long et deux centimètres et demi maxi de diamètre. Pour un dépucelage ce sera parfait se dit-elle. Elle lubrifie copieusement l’objet, elle exerce une pression soutenue sur le bas du dos de Jean avec sa main gauche et dit « Respire profondément et lentement, décontracte-toi ! » Elle introduit lentement le plug jusqu’à ce qu’elle sente une résistance, glisse sa main gauche vers le torse de Jean, attrape le téton, le tord très fort et en même elle pousse d’un coup sec le plug qui, cette fois, a forcé le passage du sphincter et est en place. La douleur soudaine du téton a fait que Jean s’est à peine aperçu que l’objet était entré dans son fondement jusqu’à la garde. Il sentait juste qu’il avait un corps étranger en lui et que son anus était élargi mais il n'avait pas été traumatisé. Instinctivement il s’était mis en apnée au début de l’introduction mais, maintenant il a repris une respiration normale, son cœur bat un peu vite probablement à cause de l’émotion mais curieusement il se sent bien. Vanessa qui n’a rien raté de l’opération et s’introduisait deux doigts dans sa chatte au même rythme que le plug s’introduisait dans l’anus de Jean pousse un couinement et jouit. Martin qui, lui non plus n’a rien raté du spectacle, regrette de ne pas être à la place de Jean, même si lui, il est déjà à un niveau supérieur. Sabine contrôle la position du plug et referme le slip afin que le plug ne soit pas éjecté et dit « Maintenant je vais éveiller ta conscience ! C’est-à-dire que tu vas voir où tu es et ce que je fais ! Tu vas réaliser que tu n’es pas dans un monde imaginaire mais dans un monde réel ! » Elle lui ôte le masque et, effectivement, il prend conscience de sa condition mais, compte tenu de sa position il ne voit pas grand-chose de son environnement. Coincé dans le carcan il peut juste tourner la tête de droite à gauche et seulement une vision limitée surtout que, Sabine qui a récupéré la cravache qu’elle avait posée sur le dos de son apprenti soumis vient de positionner devant lui. Sabine – « Ouvre la bouche ! » Elle lui met la cravache dans la bouche. « Tiens la bien entre tes dents et elle deviendra ta meilleure amie. Si tu la lâches elle me demandera de te punir ! » Ensuite elle décroche les chevillières de la barre d’écartement et s’amuse à tirer sur le poids qui pend toujours au bout de la corde de bondage du scrotum avant de le faire balancer. Elle déverrouille le carcan, décroche les menottes et lui permet de se relever. Elle lui remet le collier avec la laisse qu’elle prend, cette fois, par la dragonne et tire pour l’emmener au milieu de la pièce. Jean marche maladroitement, gêné par le poids qui ballotte entre ses jambes. Il voit Martin assis dans le canapé et craint que ce dernier soit invité à participer. Elle le fait stopper et lui donne l’ordre de se mettre à genoux. Elle tire à nouveau sur la laisse « Viens jusqu’à moi ! » Il avance en étant obligé de garder les cuisses légèrement écartées à cause du poids mais aussi du plug qui, depuis que Jean s’est relevé fait vraiment sentir sa présence. Elle soulève sa mini-jupe « Lèche la chatte de ta Maîtresse comme un bon toutou ! À quatre pattes ! » Sabine étant perchée sur ses talons-hauts Jean a un mal fou à lécher régulièrement. Elle s’énerve « Debout ! Puisque tu es incapable de satisfaire ta Maîtresse on va passer à autre chose ! » Elle l’emmène avec brutalité jusqu’à la croix de Saint-André, le fait mettre face vers le mur, accroche les menottes et les chevillières mais, cette fois, ne le ceinture pas à la taille. Ne voulant pas le traumatiser le premier jour elle un martinet en crin de cheval. Et dit « Pour ta faute je te condamne à dix coups de martinet ! » Le cœur de Jean s’emballe, Sabine ajoute « Après chaque coup tu devras dire pardon Maîtresse ! » Le premier coup s’abat sur le dos de Jean, il demande pardon, cela dix fois de façon métronomique avec une brève pose entre chaque coup. N’étant pas attaché par la taille le corps de Jean tressaute et ondule à chaque fois. Vanessa frissonne et jouit une deuxième fois même sans se caresser. Lorsqu’elle fouette quelqu’un ou qu’elle voit quelqu’un se faire fouetté cela lui déclenche systématiquement une forte jouissance. Cette fois Martin ne regrette pas de ne pas être à la place de Jean. Quoique, parfois il aime bien car cela le déstresse. Sabine laisse Jean reprendre ses esprits, s’approche, se colle à son corps en frottant ses seins sur son dos rougi et lui dit doucement « Tu vois ce qui arrive quand on me déçoit ! » Elle le détache, le fait se retourner face à elle, enlève le poids et la cordelette qui entoure le scrotum, les menottes, les chevillières et va poser le tout sur le plateau du meuble. Elle revient avec la cage de chasteté, décroche la laisse du collier et l’accroche au bout de la cage en fil d’acier puis fait passer les testicules et la verge dans l’anneau métallique, fait glisser la verge dans la cage et la verrouille sur l’anneau. En voyant les testicules séparés de chaque côté de la cage et bien proéminents il lui vient une idée. Elle va chercher une roulette à pics et la passe sur les testicules en appuyant légèrement. Les picotements font frissonner Jean comme s’il recevait une légère décharge électrique. Sabine se relève et dit « Il se fait tard et je suis épuisée. Il est temps que j’aille dormir ! » puis s’adressant à Martin « Cette nuit tu dors seul je vais dans la chambre rose ! » Vanessa comprend qu’elle va finir la nuit avec son amie. Elle attrape la laisse et tire légèrement par à-coups pour faire comprendre à Jean qu’il devait la suivre de près s’il ne voulait pas être émasculé. Une fois qu’ils sont partis Vanessa rejoint Martin dans le donjon. Elle sait qu’elle va dormir avec Sabine car la chambre rose est celle qui est réservée à leur intimité et que Martin en est interdit d’accès et elle lui dit « Ne t’en fait pas demain je te la rendrai, et il vaut mieux qu’elle finisse la nuit avec moi plutôt qu’avec Jean ! » « Salope ! » murmure Martin. Vanessa s’en va en disant « J’ai entendu. Mais tu sais quoi ? Tu as raison. Je suis une salope et j’en suis fière ! » Sabine a amené Jean dans la chambre où il avait déjà dormi, a décroché la laisse, enlevé le collier puis elle est sortie. Mais avant elle lui a donné l’autorisation d’enlever le plug et le slip, sachant qu’il ne pourra pas les supporter très longtemps. Jean regarde son sexe encagé et se demande s’il va pouvoir dormir avec ça. Mais le plus urgent est d’enlever le plug qui commence à se faire douloureux. Il va dans la salle de bain, enlève le slip et se débarrasse non sans mal du plug puis va se coucher et s’endort sans même avoir le temps de repenser à tout ce qui lui était arrivé durant cette longue journée er partie de nuit. Sabine et Vanessa se retrouvent dans la chambre rose.  « Alors comment c’était ?  J’ai été à la hauteur ? » demande Sabine. Vanessa – « Tu as été parfaite ma chérie. Tu sais que j’ai jouit deux fois ! » Sabine – « Ah oui ? Quand je l’ai fouetté ça j’en suis sûre, mais l’autre fois ? » Vanessa – « Quand tu lui as mis le plug. Sincèrement c’était du grand art ! » Sabine – « J’ai été à bonne école mais il est vrai que pratiquer sur un non initié dont on ne sait pas s’il est vraiment volontaire, s’il va apprécier, s’il va vouloir recommencer et surtout vouloir aller plus loin, ce n’est pas évident. Avec Martin ça a été plus simple puisque c’est lui qui était demandeur. Mais porter son dévolu sur un inconnu et faire en sorte qu’il devienne ta propriété, ta chose, c’est excitant et angoissant à la fois. C’est vraiment compliqué ! » Vanessa – « J’y suis bien arrivée avec Patrick. Alors pourquoi tu n’y arriverais pas ! » Sabine – « Patrick et toi c’est différent. Vous étiez tous les deux célibataires, c’est lui qui t’a draguée et pour te garder il a tout accepté sans même chercher à savoir pourquoi tu avais besoin de dominer que ce soit un homme ou une femme, parfois avec cruauté ! » Vanessa – « Toi, je ne te domine pas ! » Sabine – « Au collège j’étais la seule à prendre ta défense quand tous les autres se moquaient de toi. C’est pour ça que tu ne te venges pas sur moi ! Mais je me méfie quand même ! » Elles éclatent de rire puis s’embrassent fougueusement puis Sabine dit avec un sourire mutin « Grâce à moi tu as joui deux fois aujourd’hui. Moi par-contre… » Vanessa – « Ma pauvre chérie. Docteur Vanessa va te guérir ! » Elle l’embrasse Sabine dans le cou, descend vers sa poitrine suce ses tétons tout en dégrafant sa robe qui tombe sur les pieds et pousse son amie en arrière qui se retrouve à moitié allongée sur le lit. Elle se met à genou, fait glisser la robe et les escarpins sur le côté, tire sur les jambes de Sabine pour amener ses fesses au bord du lit, caresse le sexe lisse qui lui est offert puis elle écarte les grandes lèvres, avance son visage et titille le clitoris avec sa langue. Sabine se met à onduler du bassin, Vanessa alterne succion et coups de langue sur tout le sexe et parfois des mordillements. Soudain Sabine attrape la tête de Vanessa à deux mains, soulève brusquement son bassin, lance un long ouiiiiiiiiii puis retombe sur le lit, bras écartés, inerte. Les deux amantes se déshabillent et s’endorment enlacées. Martin, seul dans son grand lit, ne trouve pas le sommeil. Il espère que dans quinze jours il pourra être acteur lors de la grande réunion kink.
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Par : le 31/05/25
Cela faisait plusieurs mois que nous échangions des messages. Bien que la distance t’effrayait, tu m’as perçu comme quelqu’un à part. Celui qui aurait l’honneur d’être ton Dom et Daddy, le premier à qui tu as choisi de te soumettre — corps, cœur et âme.   Il va sans dire que je me suis attaché à toi comme jamais auparavant. Nous avons partagé des moments virtuels que rien ne saurait remplacer, car notre lien allait bien au-delà d’un simple rapport Dom/soumise. Oui, je parle de sentiments, de connexion, d’amour.   On dit souvent qu’il faut se rencontrer dans un lieu public, la première fois, pour des raisons de sécurité. Mais nous n’avons pas suivi cette règle. Le désir, l’envie… tout cela ne se contrôle pas.   Nous avions longuement discuté de ce que nous attendions de cette rencontre, de ce que nous allions explorer ensemble. Et ce mardi matin, nous nous sommes enfin retrouvés, comme prévu.   Tu portais une élégante petite robe noire et des bottes. Ton visage, que je n’avais vu qu’en photo, m’est apparu dans tous ses détails : tu étais magnifique. Et terriblement sexy. Nous nous sommes salués d’une bise. Il faisait froid. Nous avons marché ensemble vers l’appartement que j’avais choisi, en secret, pour te surprendre.   À peine la porte refermée, tu es entrée les yeux bandés, en signe de la confiance totale que tu m’accordais. Je t’en remercie encore.   Sans attendre, je t’ai plaquée contre le mur. J’ai goûté tes lèvres, mordu ta langue dans un baiser intense. Puis je t’ai ôté le bandeau, pour que tu découvres ce lieu, pensé et préparé pour toi.   Nous avons partagé un petit déjeuner, même si mon appétit, je l’avoue, était tout autre : j’avais envie de te dévorer.   Consciente de tes complexes, je t’avais proposé un massage pour te détendre. Tu ne portais plus qu’une simple culotte… rapidement retirée. Rassurée, je t’ai entendue gémir de plaisir. Tu t’es offerte à moi, nue, vulnérable, sans retenue.   Je me suis déshabillé. Puis je t’ai ordonné de me faire une fellation. Excité à l’extrême, je n’ai pu tenir bien longtemps. Mais tu croyais peut-être que c’était terminé… Ce n’était que le début.   Je t’avais prévenue : je suis endurant. Et moi, j’en voulais plus. Beaucoup plus.   Après t’avoir installé des pinces sur tes seins — qui ont fini par glisser — je t’ai offert un cunnilingus, avant d’entrer en toi. Lentement. Profondément. Intensément.   Je sais que tu as eu mal. Je suis bien conscient que mon sexe n’est pas des plus discrets… Mais je t’ai laissé le temps de t’y habituer, poursuivant mes mouvements, puissants, réguliers.   Je sentais ton corps se crisper, tes paupières se fermer… Tu subissais mes assauts, la gorge serrée sous ma poigne. Je t’ai ordonné de me regarder. Tu as obéi. Et j’ai intensifié le rythme, jusqu’à ce que tu perdes pied.   Je t’ai griffée. Claquée. Possédée. Ton corps, si joliment offert à mes désirs, n’était que plaisir et abandon.   Et je me suis finalement répandu sur toi, dans un mélange de puissance et d’extase.   Nous avons ensuite pris une douche. En regardant l’heure — déjà 13h —, nous avons décidé de sortir manger. La boulangerie à côté a suffi : rapide, pratique. Nous ne voulions pas perdre une minute.   De retour à l’appartement, je t’ai déshabillée. Puis, je t’ai attachée à la croix : bras levés, jambes écartées, dos tourné. Tu étais à ma merci, incapable de bouger.   J’ai commencé à frapper tes fesses avec la cravache. Un gode inséré en toi, maintenu fermement, pour intensifier les sensations. Puis je suis passé au paddle… Puis au fouet à lanières, frappant ton sexe.   Tu encaissais, un coup après l’autre, sans un cri. Seulement des gémissements. Et ce petit sourire… révélateur du plaisir que tu prenais.   Je t’ai détachée, même si tu avais réussi à te libérer d’une attache. Je t’ai guidée sur le canapé. Et je t’ai prise, encore, jusqu’à l’épuisement.   Nous nous sommes installés, lovés l’un contre l’autre. Je caressais ton petit corps marqué de mes empreintes, écho des orgasmes intenses que tu venais de vivre.   Je t’ai proposé d’aller dîner dans un vrai restaurant. Mais encore une fois, nous avons préféré rester là. Un repas simple à l’appartement a suffi.   Puis je nous ai préparé un bain chaud, accompagné d’une bouteille de champagne. Mais la chaleur t’a vite submergée, tu n’as pas pu y rester longtemps.   Je ne compte plus le nombre de fois où je t’ai prise. Mais je me souviens de chacun de tes orgasmes. De ton corps qui se cambrait. De tes râles étouffés. De ta mouille qui coulait sur mes doigts, ta langue, ma queue.   Ce fut une journée d’une intensité rare. Une journée où tu t’es totalement abandonnée à moi. Tes gémissements, ton regard, ton corps, ton plaisir… Tout témoignait de cette confiance, de ce lien puissant entre nous.   Je t’avais promis de te faire jouir comme jamais. Et j’ai tenu promesse.   La nuit a prolongé la journée. Intense. Complète.   Tu t’es abandonnée. Tu as joui, encore et encore. Jusqu’à ne plus pouvoir articuler autre chose que “vous” entre deux soupirs. Jusqu’à ce que ton corps cède sous l’effet de la jouissance.   Et nous nous sommes endormis, l’un contre l’autre, apaisés, comblés, liés par quelque chose de plus grand que nous.   Le matin venu, nous avons partagé quelques instants charnels, puis une discussion sincère sur la suite. L’envie de nous revoir était bien là, brûlante. Nous avions déjà des projets.   Je t’ai raccompagnée à la gare. Je t’ai regardée partir, les yeux brillants du souvenir de ce que nous venions de vivre. Ce moment restera gravé, à jamais.   Mais la vie n’est pas toujours simple. Et malgré l’évidence de ce que nous vivions ensemble, tu as dû faire un choix. Un choix difficile. Ce n’était pas un choix du cœur, je le sais. C’était un choix imposé par ta situation.   Aujourd’hui, tu es toujours là. Présente. Indissociable. Amoureuse, mais dans l’ombre de ma lumière.   Cette personne que j’identifierais pas, se reconnaîtra dans ces mots.   À toi, ma belle petite chienne.  
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Par : le 31/05/25
Être soumis·e ne devrait jamais être considéré comme quelque chose de simple ou de passif. Trop souvent, aujourd’hui, je vois des personnes se revendiquant soumises, mais qui ne s’investissent pas réellement dans leur rôle. Certaines ne travaillent pas leur posture, leur expression, leur technique ou même leur compréhension des attentes d’un dominant. Pourtant, à mes yeux, être soumis·e ne se résume pas à simplement obéir sans réfléchir ni questionner. Il ne s’agit pas seulement de répondre à des ordres mécaniquement, mais bien de construire une dynamique de confiance, de dévouement, et surtout de progression. Être un·e bon·ne soumis·e, c’est avant tout apprendre à connaître son Maître ou sa Maîtresse, comprendre ses goûts, ses préférences, ses envies. Cela implique un véritable effort, parfois même une forme de discipline quotidienne. Par exemple, prendre de belles photographies ne devrait pas être vu comme un simple caprice esthétique, mais comme un acte de dévotion. Cela passe par l’apprentissage de la mise en scène, la maîtrise de son corps, voire même l’initiation à des outils de retouche ou de montage photo pour valoriser au mieux ce que l’on offre. Ce n’est pas de la superficialité, mais une forme de soin et d’attention à l’autre. Il y a aussi un aspect physique à ne pas négliger. Certaines pratiques, comme le facial abuse ou d'autres formes de domination intense, nécessitent un certain entraînement, une préparation corporelle. Il ne s'agit pas seulement d'endurance, mais aussi de souplesse, de contrôle de soi, de capacité à supporter et encaisser tout en restant présent·e et disponible. Travailler son corps, c’est aussi une manière de montrer que l’on prend son rôle au sérieux, que l’on souhaite être à la hauteur des attentes, et que l’on respecte profondément la personne à qui l’on se soumet. Bien sûr, il y aura toujours des voix pour affirmer qu’il faut rester "naturel·le", et je comprends ce point de vue. La spontanéité a effectivement sa place, et elle est même précieuse dans certaines dynamiques. Cependant, cela ne devrait pas devenir une excuse pour négliger son engagement ou pour se contenter du strict minimum. Être naturel·le, oui, mais tout en cultivant la meilleure version de soi-même pour mieux servir, mieux plaire, mieux offrir. C’est pourquoi, personnellement, j’ai choisi d’explorer les deux aspects dans ma manière de me présenter. Je réalise à la fois des photographies dites "naturelles", prises sur l’instant, sans artifice, pour montrer qui je suis vraiment dans le quotidien. Et en parallèle, je crée aussi des clichés plus travaillés, plus esthétiques, où l’éclairage, la posture, et même la retouche sont pensés pour sublimer l’image que je renvoie. Les deux approches ne s’opposent pas, elles se complètent. Et pour moi, c’est cette dualité – entre sincérité brute et perfection construite – qui incarne le mieux ce que signifie être une soumise impliquée et consciente de son rôle.
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Par : le 31/05/25
(Ce récit est une invention, j'espère qu'il vous plaira)   Le jour J est arrivé... On avait longuement échangé, durant de nombreuses semaines, chaque jour instaurant davantage un lien de confiance entre nous. Et pour autant, je me sentais stressé... Il m'avait invité chez lui de façon tellement spontanée que sur le coup je n'avais pas su trop quoi répondre... Il m'avait demandé : "est ce que ça te dirait de venir prendre l'apéro à la maison ?" Et ce fameux "oui" était sorti... Faiblement, doucement, à la fois plein d'appréhension et de curiosité. Après tout, ce n'était qu'un apéro ! Mais non... C'était bien davantage... C'était notre première rencontre en réel ! Et ça, ce n'était pas rien. C'était le franchissement d'une nouvelle étape.   Ces derniers temps on avait parlé de tout et de rien. On s'était présenté. Lui, Timothée, Tim ou Timmy pour les intimes. Grand, bruns aux yeux verts, silhouette athlétique, la trentaine, docteur en médecine. Moi, Thomas, Tom ou Tomy pour les intimes. Pas très musclé mais pas enrobé non plus, châtain aux yeux marrons clairs, la trentaine également, étudiant en Ressources Humaines.   On s'était découvert un peu par hasard, sur un site dédié au BDSM/fétichisme et le courant était passé instantanément. Il faut dire que Tim avait cette façon là de mettre les gens à l'aise, même en distanciel. Il ne s'imposait pas, il avait une écoute attentive, un regard lucide sur les choses et un respect de l'autre hors du commun. Il n'avait pas peur de poser des questions, même les plus intimes, mais toujours en gardant une barrière de sécurité, me laissant libre d'en parler ou non. Comme il aimait à le dire : "il n'y a pas de questions idiotes et plus on apprendra à se connaître plus on pourra aller loin ! Mais sache que je respecterai toujours tes limites. C'est donc ta responsabilité de me dire si tu ne souhaites pas aborder telle chose ou telle pratique. S'il ne faudra plus jamais en parler ou si il te faut un peu de temps pour l'appréhender". Et je respectais cela.   C'est ainsi que je m'étais confié à lui petit à petit. Mon ressenti de ne pas me sentir de ce monde bien que je sois dans le monde. Mon souhait de m'abandonner totalement à un "grand" à travers un désir de régression, comme un "bébé". Le fait que j'étais très cérébral ce qui m'empêchait de faire des choses que j'aurais aimé faire et que je pensais être "pour mon bien". Mon fétichisme pour les matières matelassées. Mon souhait de pouvoir être utile à quelque chose.... Pourquoi pas à quelqu'un ou même à la science... Et j'aimais à plaisanter en lui disant "tu sais Tim, un bébé ce serait un statut parfait pour moi ha ha. Surcouvert pour ne pas risquer de prendre froid, immobilisé solidement pour ne pas risquer de se blesser, air restreint car un bébé respire moins d'air qu'un grand et p'tit bout - c'est comme ça que j'appelais mon sexe - en libre service pour toutes tortures et expériences que jugeront nécessaires les grands. Après tout un bébé n'a pas d'utilité à en posséder un !". Et j'en riais de bon coeur et on partait sur un autre sujet.   On parlait longuement à la fois de nos vies respectives, de nos joies, de nos peines, de nos doutes. On se prenait souvent la tête, souvent pour des queues de poire. Ce n'était pas agréable sur le coup, mais d'un autre côté, ça nous rassurait, car si l'orage grondait, la relation qu'on avait fondée était bien plus forte ! On parlait aussi beaucoup de ce qui pourrait m'arriver si je décidais de me lancer plus sérieusement dans notre univers parallèle. De ce qu'impliquerait la mise en place d'une appartenance. De ce qui adviendrait si un lavage de cerveau régulier était instauré. Tim connaissait mes limites et il les entendait, comme tout Domi qui se respecte. Il savait que le sexe ne serait pas possible, mais ça ne le dérangeait pas car ce n'est pas ce qu'il recherchait et s'il le désirait il pouvait l'obtenir par ailleurs. Il connaissait aussi les autres limites... Mais cela n'allait jamais plus loin. On papotait, on rigolait, c'était sympa, mais sans plus.... Jusqu'à cette invitation et mon fameux "oui" !   Et le jour J est arrivé... Il m'a donné son adresse et demandé de porter une doudoune freegun grise, celle avec la fermeture qui se zippe jusqu'en haut de la capuche. C'est le début de la belle saison et il fait chaud. Je transpire déjà beaucoup... Fort heureusement, mon stress d'être vu aussi chaudement couvert par d'autres personnes, par ce temps estival, s'est estompé rapidement quand je suis arrivé chez lui. Il habite une très jolie maison, isolée, à environ 2 km de la première habitation visible. Sa résidence est entourée d'un joli bosquet d'arbres. L'endroit est magnifique.   Et me voici. Tremblant et transpirant devant sa porte d'entrée. Conformément à sa demande, je zippe la capuche jusqu'en haut et je tâtonne le mur à ma droite, cherchant la sonnette que j'ai aperçu avant de perdre la vue. Je finis par la trouver.... La capuche s'appuie doucement sur mon visage à chaque inspiration, augmentant la chaleur et l'étouffement. Je sonne... Quelques secondes après, qui me parurent une éternité, j'entends le bruit d'une serrure et la porte qui s'ouvre. Une voix profonde, chaude, vibrante se fait entendre : "bienvenue Tom ! Tu es magnifique ainsi. Je sens que je pourrais te laisser ainsi toute ta vie ha ha. Allez entre, je vais te guider !". Il me fait entrer, referme la porte derrière moi et me parle doucement : "laisse toi faire. Je sens que tu es tendu et c'est normal. Mais je ne souhaite pas que tu vois la totalité de mon chez moi. Je te libérerai le visage une fois qu'on sera prêt à prendre l'apéro. Tu comprends ?". Je fais un hochement de tête affirmatif. Il me dit "Bien !".   J'entends qu'il ferme une autre porte derrière moi et il me fait asseoir. Je sens son ton amusé : "as tu pris ce que je t'avais demandé ?". Je répondis par un nouveau hochement de tête, ouvrit la poche droite de ma doudoune et en sortit une petite cage de chasteté. Il sourit : "comme j'ai dit, je te libérerai le visage quand tu seras prêt à prendre l'apéro !". Il me fit baisser mon pantalon, mon caleçon et m'installa doucement la cage : "et bah ! Le p'tit bout n'est pas si petit que ça ! On va vite arranger ça !!". La cage fut positionnée puis cadenassée. Il ne me remit ni le caleçon ni le pantalon : "un bébé ne remet pas ses vêtements tout seul, tu le sais ! Tu vas rester avec accroché à tes chevilles pour l'apéro". Je sens qu'il prend du plaisir à me narguer gentiment. Et moi sous ma capuche, je transpire de plus en plus et je me sens à la fois excité, frustré et humilié. C'est alors qu'il m'ouvrit la capuche....   Il fait assez frais et ça me fait du bien. Je regarde autour de moi et je vois Tim. Il me regarde, me sourit et va s'asseoir en face de moi. Il est exactement comme sur les photos qu'on s'était échangé. Peut être même mieux ! Je regarde autour de moi. La pièce est nue, ronde, il n'y a rien qui ressorte à part la peinture blanche. Au centre, entre nous deux, une table en bois. Et dessus je vois deux coupes de champagne, des petits fours et quelques gâteaux. Ça me marque car je me dis qu'il n'y a de la nourriture que pour une personne, au niveau de la quantité, mais je n'ose rien dire, j'ai déjà un grand privilège d'être invité... Et mon regard est alors attiré par des papiers et un crayon disposés devant moi...   Intrigué, je regarde Tim qui, voyant ma mine étonnée se mit à rire franchement. "Je comprends ton étonnement, je vais t'expliquer ! Je voulais t'en faire la surprise, mais ce qui se trouve devant toi c'est un contrat d'appartenance. Si tu es d'accord tu as juste à signer. Bien évidemment prends le temps de le lire et que tu signes ou non, on prendra l'apéro juste après". Je n'en reviens pas... Je suis à la fois excité et effrayé. Je ne m'y attendais pas. "Mais, Tim, ça veut dire que tu accepterais d'être mon éducateur ?" lui demandai-je fébrilement. Il rit à nouveau et avec sa voix chaleureuse me répondit "oui, tout à fait ! On discute depuis un certain temps déjà et je me sens prêt à prendre en charge ton éducation. Alors si tu es prêt toi aussi à franchir le cap, alors tu n'as qu'à signer. Mais sache que tu n'es pas obligé de le faire maintenant. Cette responsabilité te revient. Ce qui en découlera ne dépend que de toi, sache le. Donc si tu ne te sens pas prêt, ne signe pas !". Sur cette dernière phrase, sa voix s'était faite très grave et je percevais la profondeur de ce qu'il me disait....   Je lui dis alors "mais je ne suis pas aussi musclé que toi, je ne suis pas forcément aussi beau,...". Il ne me laissa pas terminer ma phrase : "Écoute moi bien, car je ne te le redirai pas ! Tu n'as pas à te dénigrer ! Tu es parfait comme tu es ! Et si on veut plaisanter un peu, dans ton cas, le physique n'a que peu d'importance puisque tu ne quitterai jamais ton cocon de chaleur". Ça me fit rire et il rit avec moi. Et en même temps, l'adrénaline qui me faisait transpirer davantage me fit comprendre que ce n'était absolument pas faux... Et puis après tout, on se connaissait, et j'avais envie de lui faire confiance. Aussi, je ne lus que la partie consacrée aux limites et voyant que ça respectait bien ce qu'on s'était dit, je finis par signer. Sa signature étant déjà présente sur le document.   Son visage s'éclaircit et il me dit "Félicitations bébé, désormais tu es mien ! Tiens, buvons pour fêter ça ! Et profites en car un bébé n'est pas censé boire de l'alcool !". Il me tendit une coupe alors que ses mots résonnaient en moi, provoquant un effet excitant. Il le vit et m'en fit la remarque "on dirait que ton p'tit bout se réjouit aussi de ta décision ! Tu sais bien que quand il tire c'est qu'inconsciemment tu aimes ce qui t'arrive ! Allez, à ta santé ! Bois vite, tu es en train de tremper mon sol tellement tu as chaud ha ha".   Tout gêné, mon p'tit bout étiré dans sa cage, transpirant fortement avec la doudoune, je bus ma coupe en quelques gorgées seulement... Je sentis alors un léger étourdissement... Je crus que c'était l'alcool... Mais j'avais le sentiment que mes paupières se fermaient doucement... Je cherche Tim des yeux. Il vient de se lever. Il s'approche de moi alors que je lutte pour ne pas sombrer. Il me prend la coupe des mains, la pose sur la table. Il me dit doucement"laisse toi aller, tout va bien". Puis il remonte doucement le zip de la capuche. J'essaie de me débattre, mais je n'en ai plus la force. J'entendis alors sa voix "tu te souviens... Tu m'as dit que tu es très cérébral... Et que tu ne te laisserais pas faire sans contraintes solides... Qu'il faudrait te forcer mais que tu savais que ce serait pour ton bien... Et bien nous y voilà... Tu as signé... Et tu es mien... Ton éducation commence aujourd'hui mon p'tit bébé !".   Mes yeux se fermèrent alors et je perdis connaissance...
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Par : le 31/05/25
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Par : le 30/05/25
Tout a réellement commencé le jour où j’ai découvert le site Omegle. Par simple curiosité, je m’y suis aventurée sans trop savoir ce que j’allais y trouver. Rapidement, j’ai commencé à y faire des rencontres virtuelles, parfois légères, parfois plus profondes, et certaines d’entre elles ont évolué vers des échanges intimes. C’est dans ce contexte que j’ai envoyé mes premières photos dénudées. Cette première expérience a marqué un tournant : elle m’a libérée d’une certaine retenue, et dès lors, je n’ai plus cessé de m’exposer publiquement, trouvant dans cette démarche une forme d’affirmation de moi-même. Avec le temps, à mesure que mes interactions devenaient plus variées, certaines personnes m’ont suggéré de me travestir. Au début, c’était une proposition anodine, presque un jeu, mais très vite, cela a éveillé quelque chose en moi. J’ai découvert un plaisir inattendu dans cette exploration de la féminité. Plus je m’investissais dans ces échanges, plus je ressentais le besoin – et l’envie – d’incarner pleinement une identité féminine. Cela m’a permis de mieux comprendre mes désirs, mes limites, et surtout, ce qui me procurait un véritable plaisir. C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris à quel point j’étais stimulée par le regard des autres, par leur désir, leur contrôle sur moi. Le fait de me sentir observée, utilisée même, m’apportait une forme d’excitation intense, difficile à expliquer mais profondément ancrée en moi. Progressivement, les demandes que je recevais sont devenues plus audacieuses, parfois extrêmes, et pourtant, je me suis surprise à les accepter, les unes après les autres, poussée par une forme d’abandon total. En m’immergeant davantage dans cet univers, j’ai découvert des aspects encore plus profonds de ma sexualité. L’un d’eux est le plaisir paradoxal que je ressens face au danger, à la perte de contrôle, à la sensation d’être à la merci d’un dominant. Être vulnérable, supplier, savoir que ses décisions pourraient avoir un impact réel sur ma vie privée… tout cela résonnait en moi d’une manière presque viscérale. Ce sentiment d’impuissance n’était pas effrayant, mais étrangement réconfortant, car il s’associait à une forme de confiance, de dépendance totale. Parmi ces pratiques, il y en a une en particulier qui a pris une place importante : l’urophilie, notamment dans un contexte d’humiliation. J’aime être rabaissée, qu’on me rappelle ma place, qu’on me déshumanise même, jusqu’à me réduire à l’état d’objet. Cela peut paraître extrême, mais pour moi, ce n’est pas synonyme de souffrance. Au contraire, c’est dans ces moments-là que je me sens pleinement connectée à mon rôle, utile pour mon maître, et cette utilité me remplit d’une joie profonde. Ce n’est plus seulement un jeu ou un fantasme : c’est devenu une part intégrante de mon identité.
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Par : le 28/05/25
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Par : le 26/05/25
Déjà trois mois que nous nous connaissons. Après trois mois la première flamme s'affaiblit et il faut venir l'entretenir si nous voulons qu'elle devienne feu péren. Par habitude, j'ai fini par faire de cette affirmation une vérité générale afin de m'éviter toute déception. Cet élément, lié au manque de vous qui se fait de plus en plus ressentir et à mes angoisses, me poussent à vous parler du sentiment de stagnation que je commence à ressentir depuis quelque temps. Quelques messages en moins et voilà que les signaux d'alerte hurlent dans ma tête. Je crains une perte d'intérêt et d'engagement de votre côté mais,.paradoxalement, je crains aussi une envanilisation de la relation qui nous rendrait davantage simples amants que dominant et soumise. Sacré comble pour la femme de la nuit que d'être restreinte à vivre lors des horaires de bureau. Nous nous sommes mis d'accord sur le fait que nous n'allions pas empiéter sur la vie de couple de l'autre mais comment gérer la frustration de vous savoir qu'à quelques mètres de chez moi une fois le soir venu sans qu'on ne puisse se voir? Et comment regagner le contrôle sur mon corps qui se met bêtement a trembler lorsqu'il vous croise en compagnie de vos proches ?    Je vous ai prévenu, la communication est importante pour moi et ce autant pour les aspects positifs que négatifs. Je vous partage donc tout mon bazar et armé de vos mots vous commencez a arranger tout cela. Vous reprenez doucement la main sur la borne de contrôle et éteignez un a un les voyants qui s'étaient allumés. Ce partage nous permet de faire le point sur le chemin déjà accompli et nos désirs pour la suite. C'est l'occasion aussi pour vous de vous livrer plus en profondeur. Notre relation a engendré l'apprentissage pour chacun de nous de nouveaux rôles qui ne sont pas forcément les plus confortables. Celui de maîtresse d'école, je connais, maîtresse domina, j'ai déjà pu y goûter mais alors maîtresse amante , c'est nouveau pour moi et je ne sais quoi en penser. C'est ma morale qui en prend pour son grade même si bon ce n'est pas comme si elle avait été bien présente jusque-là. Oui, nous nous sommes attachés et bien que le destin nous mette au défi, il n'impacte pas notre envie de construire une relation d.s. Votre réponse a su me rassurer. Vous avez réussi à rendre étincelantes les noirceurs de mon âme.    Une étincelle de génie vous frappe vous aussi. Cela fait un moment que je ne me suis pas sentie soumise ? Vous n'allez tout de même pas me laisser en manque comme ça... Je devais aller faire une session shopping ? Eh bien ces achats se feront en étant comblée! Vous m'envoyez un message m'ordonnant de porter un plug en public pour ma sortie de l'après-midi. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la lecture de ce message. J'ai donc tant fait ressortir le diablotin dominant qui sommeille en vous. J'ai bien l'impression que vous vous êtes senti mis au défi mais j'accepte le vôtre. L'idée d'être pluggué en public me plaît. Elle permet de marier les deux faces de la même pièce, celles qui ne se montrent normalement jamais en même temps. La face de la femme de la nuit serait connue que de vous alors que je devrais garder intact le masque de la femme sage perçu par le reste de la société. Oui, l'idée me plaît, elle me plaît beaucoup même . Elle me plaît tant et si bien qu'elle me fait mouiller.   Sur vos ordres je vous partage les images de l'installation du plug. Je ne peux m'empêcher de vous faire connaître mon état et vous demander l'autorisation de me goder. Vous me l'accordez. Je suis assez mouillée et ouverte pour que je le fasse rentrer directement. Je commence les vas et viens qui se font de plus en plus rapides et profonds. Je veux me sentir entièrement remplie, faire complètement ressortir la salope en moi avant de devoir remettre mon masque. Je veux profiter pleinement de ce moment de plaisir libre. Vous m'envoyez un nouveau message. Vous voulez voir mon orgasme, me savoir réellement comblée. Vous savez que dernièrement j'ai des difficultés à atteindre l'orgasme, le maître-mot est donc le lâcher prise. Je veux être prise profondément, je me mets donc debout et empoigne le gode de mes deux mains pour recommencer les vas et viens. Je me relâche au maximum. Je sens un plaisir nouveau prendre place lorsque je suis relâchée ainsi. Je me suis déjà approchée du squirt sans jamais réussir à assez lâcher prise pour aller jusqu'au bout. Dans le doute, je tends le bras et saisis une serviette que je lance a mes pieds. Le gode vient stimuler le point parfait. Je sens l'envie monter mais on m'a toujours dit que si je commençais à avoir envie de pisser c'était bon signe et qu'il ne fallait pas le retenir car il s'agissait de squirt. Je ne retiens donc pas jusqu'à ce que je ressente un jet d'abord léger mais qui se fait de plus en plus gros et surtout de plus en plus chaud couler sur mon gode et sur mes mains. J'ai déjà vu une femme squirter et laissez moi vous assurer que le jet ne ressemblait pas à ça. Au vu de la flaque qui imbibe maintenant la serviette je coupe tout et ris en courant aux toilettes. Ah bah pour du lâcher prise ça en est du beau ça ! Je pensais d'abord que l'uro faisait partie de mes limites non négociables puis certaines lectures ici ont su planter quelques graines. Il faut croire que ces graines viennent d'être arrosées ! L'uro fait partie des pratiques souvent perçues comme crades et humiliantes et pourtant , je me sens fière, fière d'avoir lâcher prise et de dépasser un peu plus mes limites. Cette découverte et ce passage aux toilettes m'auront quand même valu un orgasme mais tant pis ! Je me nettoie rapidement et retourne dans mon lit . J'hésite d'abord à vous le dire. Le dernier message reçu de votre part me demande si je me rapproche de nouveau de l'orgasme. Je sous - entends. Vous tendez l'oreille et percevez la vérité. Vous me rassurez sur le fait que je peux tout vous dire et me demandez si j'ai bien aimé. Étonnamment, je crois que oui, j'y trouve même un côté excitant. Vous m'avouez alors que cela vous excite vous aussi et que vous auriez aimé assister à la scène. Espérons donc que les graines arrosées continueront à grandir dans ce sens.   L'heure a tourné, il est désormais 15h et je dois filer à ma séance de shopping en étant toujours aussi bien accessoirisée. Je me lève et me rhabille. Je n'ai jamais autant senti le plug en moi. Il n'est pas très gros mais je ne sais pas si me masturber avant de sortir ainsi était vraiment très tactique, je me sens resserrée dessus. Et c'est là que l'évidence me frappe : je ne vais pas pouvoir l'enlever avant mon retour chez moi à 20h30! Je vais donc devoir le garder pour faire mon babysitting et le porter pendant 5 heures ! Sacré défi pour une première fois en étant plugguée en public . Je ne sais si je vais assumer si longtemps. Je sors de chez moi et descends dans la rue. Chaque pas me fait ressentir un peu plus le plug. J'ai l'impression que les gens savent, que les regards qui se tournent vers moi ne peuvent que relever une démarche inhabituelle. Je prends une profonde inspiration qui j'espère va me détendre et surtout moins me faire sentir ce satané cœur. N'oublions pas le masque, il doit rester intact. Vous seul me savez plugguée, le reste est le fruit de mon imagination.    J'arrive dans le magasin et choisis plusieurs tenues, cinq au total, ça va en faire du temps d'essayage... Je cherche une robe pour un mariage et vous partage mes trouvailles. Vous me complimentez dès la première tenue que je vous montre, une longue robe fluide verte. Le vert, votre couleur préférée, couleur dont une pointe se cache dans vos yeux (oui oui je vous l'accorde, le soleil vous donne raison) et surtout couleur de l'espoir. Je suis déjà plus détendue, j'oublie même parfois ce qu'il se cache entre mes fesses. C'est pas si affreux que ça au final.. du moins c'est ce que je me dis en restant debout. J'enchaîne les tenues et hésite longuement mais me décide finalement sur la verte. Va pour l'espoir! Il nous en faut pour voir le verre à moitié plein. On aura plus de verres a vider comme ça ! Je passe à la caisse et fonce à mon babysitting. Oh j'ai eu espoir bien trop vite ! Le plug se fait toujours autant sentir lorsque l'on marche en fait. Plus que 3h à tenir et je crois bien que j'ai gagné en assurance dans ma démarche!     Je récupère la petite et nous profitons de la présence rare du soleil à Lille pour aller au parc. Je joue avec elle et la surveille tout en gardant un œil sur mon téléphone pour voir si je n'ai pas reçu un message de votre part. Vous êtes rentré chez vous et cela me vaut un message des plus immoraux. Vous avez pris une satanée habitude de m'envoyer une photo de vos plaisirs solitaires lorsque vous me savez au parc. Il faut croire que cela vous amuse de m'imaginer rougissant de gêne au milieu de ces enfants. J'écarquille les yeux et me dépêche de cliquer sur la notification pour supprimer la photo le plus discrètement possible. Vous jouez à des jeux bien dangereux et pas adaptés à l'âge des personnes autour de moi. Je range mon téléphone et vais m'asseoir sur un banc. Je ressens alors la présence du plug. Je ne saurais dire ce qui est le plus déplacé entre le fait d'être plugguée dans un parc pour enfants en faisant du babysitting ou le fait d'y recevoir un nude mais ce qui est sur c'est que le combo des deux risque de nous envoyer en enfer. Je crois bien que le feu est plutôt péren là bas.    Le babysitting se finit. Je rentre chez moi et retire enfin le plug. Il a beau être enlevé, je me sens toujours autant comblée. Nous avons tous deux répondu à nos défis respectifs. Merci monsieur pour cette journée riche en sensations et découvertes.
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Par : le 21/05/25
F. Préambule à l’initiation. Jean est arrivé en avance devant l’entrée du palais des expositions un peu en avance et attend patiemment. Il ne voulait surtout pas être en retard et passer pour un malotru. Par contre il est 14h15 et pour l’instant aucune nouvelle de Sabine. Il s’inquiète, est-il devant la bonne entrée ? Apparemment oui. Il regarde sans cesse sa monte. 14h30 Sabine arrive enfin. Elle est tout de cuir vêtue avec un long manteau ouvert qui laisse apparaître des cuissardes qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées, Une jupe arrivant à mi-cuisse et un bustier qui semblait dire « Regardez mais ne touchez pas ! ». Elle était magnifique, une nouvelle déesse, oui, la déesse de l’inconnu, celle qui peut vous entraîner dans le tourbillon de sa volonté en vous noyant dans son monde de volupté jusqu’à vous faire oublier que vous avez existé auparavant, que vous êtes encore vivant. Les gens s’écartaient devant elle comme les eaux devant Moïse. Martin la suivait, habillé d’un pantalon de ville gris, d’un blazer bleu ouvert sur une chemise blanche, col ouvert et un foulard rouge noué autour du cou. Jean qui était en tenue décontractée, comme il le faisait toujours lorsqu’il allait dans des endroits où il y a de la foule, se sentait un peu ridicule. « Bonjour » dit Jean d’une voix enrouée. « Suivez-nous » lança Sabine sans aucune forme de politesse. Jean restant immobile Martin lui fait signe de le suivre fissa. Tous deux emboitent le pas à Sabine. Sabine présente les billets d’entrée, récupère un plan du salon et dit « On va aller boire un verre, comme ça je pourrai voir le circuit que l’on fera ». Les deux hommes la suivent comme des toutous. En buvant leur boisson Sabine étudie le plan puis elle s’adresse à Jean « Vous étiez déjà venu au salon de l’érotisme ? ». « Non ! » répond Jean. Sabine s’esclaffe de rire et dit « Tu as entendu Martin ? Le pauvre petit chou qui nous accompagne n’est jamais venu au salon de l’érotisme ! ». Puis s’adressant de nouveau à Jean « Vous avez une vie vraiment triste. Mais, si vous êtes sage, cela va changer ! » Puis approchant sa bouche de l’oreille de Jean elle chuchote « Vous n’imaginez même pas ce dont je suis capable de faire pour changer votre vie. Vous l’imaginez ? » totalement désarmé, Jean regarde Martin qui lui fait un simple clin d’œil tout en ayant un sourire malicieux. Finalement Jean répond « Non, je vous avoue que je ne sais pas que penser ! » Sabine lui souffla dans l’oreille tout en disant « Aaaahhh ! Vous avez répondu OUI alors il ne sert plus à rien de penser. Moins vous penserez et plus vous saurez, et plus vous saurez moins vous imaginerez ! Vous êtes comme Faust ! Je suppose que vous connaissez l’histoire de Faust et Méphistophélès ! » Elle se lève et dit « Martin, tu sais ce que tu as à faire, Jean vous venez avec moi ! ». Le premier stand qu’il visitent est un stand de lingerie pour femme comme pour homme. Dentelle, maille, cuir, Lycra… Il y en a pour tous les goûts et tous les genres. Tenues vanille ou plus orientées et différentes panoplies sont accrochées sur des portants. Elle attrape un string en cuir pour homme l’approche du bas ventre de Jean et fait Hum, elle répète le geste avec plusieurs vêtements y compris avec une panoplie de soubrette. Jean pense qu’il sert de mannequin afin que Sabine choisisse des tenues pour Martin. Ensuite ils se rendent sur un stand de piercings et demande à Jean son avis sur les différents modèles. Le même stand propose des cages et des ceintures de chasteté. Cette fois Sabine ne parle pas, ne fait pas de présentations sur Jean mais arbore un large sourire à la fois mutin et énigmatique. Ils passent devant un stand qui présente du matériel et mobilier de donjon (C’est le nom que l’on donne à une salle aménagée pour les pratiques BDSM) mais Sabine ne s’y intéresse pas. Jean se dit que chez eux il n’y a peut-être pas la possibilité d’installer un donjon. Cela le rassure car il se vois mal être immobilisé à la merci de ses hôtes. Dans les jeux de rôle il préfère garder en partie le contrôle. Une voix de femme retentit soudain. « Coucou Sabine ! » Sabine se retourne, s’esclame « Ah Vaness ça va ? » et l’embrasse sur la bouche « Patrick n’est pas avec toi ? ». « Oh, il traîne par-là ! Et Martin ? » dit la femme. « Il était là tout à l’heure mais il est parti car il avait une course à faire ! ». « Mais je vois que tu n’es pas seule ! » répondit la femme. « Ah oui, je te présente Jean, un ami ! Jean, je vous présente Vanessa ma meilleure amie ! » Après un échange de « Enchanté.e » de part et d’autre Vanessa attrape Sabine par le bras et l’emmène à l’écart pour s’éloigner de Jean. Vanessa - « Ce n’est qu’un ami ? » Sabine - « Chuuut, c’est ma proie pour de nouvelles expériences ! » Vanessa - « Martin est d’accord ? » Sabine – « Évidemment ! Tu connais notre histoire et que ce que nous faisons ensemble est le ciment de notre couple ! » Vanessa – « Le moment venu n’oublie pas ta meilleure amie, j’aimerais voir ça ! «  Sabine – « Promis et tu pourras même participer si tu veux ! Et peut-être plus tôt que ce que tu penses ! » Vanessa – « Salope ! Tu sais que tu m’as fait mouillé ? » Sabine – « Si tu n’avais pas mis un pantalon j’aurais glissé ma main pour vérifier ! » Elle se mettent à rire puis s’embrassent à nouveau sur la bouche. Vanessa – « Au revoir Jean, à très bientôt j’espère ! » Jean – « Au revoir Madame ! » Vanessa s’éloigne en riant « Madame, ah ah, il est trop mignon ! ». Puis Sabine s’adressant à Jean « Bien, j’ai vu ce que je voulais voir ici. Vous êtes en voiture ? » Jean – « Oui, elle est sur le parking à gauche en sortant ! » Sabine – « Eh Bien, pour une fois, c’est moi qui vous suis ! » Jean – « Je vous dépose quelque part ou je vous ramène chez vous ? » Sabine – « Vous vous souvenez des consignes ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « C’est-à-dire ? » Jean – « Que je sois ici à 14h00 et que je me rende disponible jusqu’à demain midi ! » Sabine – « Prenez la direction du centre-ville et je vous guiderai ! » Arrivés au niveau de la place principale elle lui demande de se garer puis ils s’engagent à pied dans une petite rue et arrivent devant un petit magasin de lingerie dont la devanture et la vitrine n’ont pas été changés depuis les années 1950 . Ils entrent, faisant teinter une clochette située en haut de la porte. Une dame âgée arrive et prend Sabine dans ses bras en disant « Bonjour ma chérie quel plaisir de te revoir ! » puis s’adressant à Jean « Bonjour jeune homme ! » Jean répond par un bonjour timide en se demandant ce que l’on pouvait bien trouver d’intéressant dans un tel magasin. Sabine à la vielle dame – « Martin est passé ? » La dame – « Oui il est passé dans l’après-midi et il m’a remis une liste ! Je n’ai pas tout mais viens, je vais te montrer ce que j’ai ! » Sabine à Jean – « Venez ! » Jean les suivit dans l’arrière-boutique. Il y avait des rayonnages en bois, remplis de ce qui semblait être des vêtements et des sous-vêtements emballés dans des sachets transparents et au-dessous des tiroirs, comme il y en avait dans les anciennes merceries , un petit canapé deux places en cuir rouge et en face une cabine d’essayage. La vielle dame sort la liste de sa poche et prie Sabine de s’asseoir dans le canapé puis attrape un mètre ruban puis s’approche de Jean en disant « Je vais prendre quelques mesures jeune homme ! » Surpris, il recule. Sabine – « Ne faites pas votre mijaurée, Nanette ne veux pas vous manger elle doit juste prendre des mesures ! » Finalement Jean se laisse faire, Nanette fait ce qu’elle a à faire, se dirige vers les rayonnages montre un sachet à Sabine qui acquiesce et le tend à Jean. « Prends ça et vas l’essayer ! » lui dit la vieille dame. C’était un slip qui paraissait être en cuir avec des boutons pression devant et derrière. Interloqué, Jean regarde Sabine qui pousse un soupir d’exaspération et lui fait signe d’aller dans la cabine d’essayage. Jean entre et attrape le rideau pour le fermer. « Non, non le rideau reste ouvert ! » lui lance Sabine. Bien que Sabine ne lui ait pas encore dit quel est son rôle, il comprend que le jeu a commencé et qu’il doit se soumettre à tous les ordres. Jean se met donc entièrement nu devant Sabine mais aussi devant la vieille dame et devient tout rouge, ce qui fait rire aux éclats les deux femmes. Puis tout en continuant à rire Nanette dit « Voila, je vais pouvoir prendre les autres mesures. Approche toi jeune homme. Ne t’inquiète pas, des bites j’en ai vu, tenu et sucé tellement dans ma vie qu’aujourd’hui je préfère manger une saucisse de Toulouse avec des lentilles ! » Une fois les mesures prises Jean enfile le slip et à la demande de Sabine il se présente face à elle puis fait demi-tour. Elle se lève du canapé puis dégrafe les boutons pression arrière et avant. « C’est bon vous pouvez vous rhabiller et attendez-nous dans la boutique ! » lui dit Sabine. Jean se rhabille devant ces dames goguenardes et part dans la boutique. Sabine à Nanette – « Montrez-moi ce que vous avez ! » Nanette – « Je n’ai pas la ceinture mais j’ai des cages ! Je te montre ? » Sabine – « Oui bien sûr ! » Nanette ouvre un des tiroirs et dit « Celles-ci correspondent aux mesures que j’ai prises sur le sujet ! » Sabine en examine plusieurs, hésite, puis en choisit une dont elle est certaine que toute érection sera forcément douloureuse. En connaisseuse, Nanette approuve ce choix puis glisse la cage et le slip dans un sachet opaque et propose à Sabine de faire son choix de ceinture sur catalogue. Sabine en choisit une et Nanette lui fait remarquer qu’il faudra bien préparer le sujet (Sujet est le terme que Nanette emploie pour nommer les hommes et les femmes qu’elle a dominé une grande partie de sa vie avec fermeté et sévérité. Son arrière-boutique actuelle était un donjon et la boutique de lingerie était tenue par une de ses soumises. C’était il y a longtemps). Sabine met le sachet dans la poche de son manteau et les deux femmes rejoignent Jean qui attend dans la boutique puis Sabine et Jean retournent à la voiture. « Maintenant nous allons à la maison ! » dit Sabine.
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Par : le 21/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jours plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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Par : le 19/05/25
Le troisième grand pot de fleur sur la gauche en sortant. Ces 11 mots tournent en boucle dans ma tête alors que je scrute le panorama qui s’offre à moi en sortant de la gare. Onze mots d’une banalité sans égal pris séparément mais qui mis bout à bout dans le contexte qui m’à conduit à structurer cette phrase, ouvrent devant moins un espace infini dans lequel je vais bientôt devoir décider de m’aventurer. Car c'est la qu'Elle m'a dit qu'Elle se trouverait. Ça y est, j’ai repéré les pots de fleur. Ils sont effectivement immenses et habillent l'esplanade qui fait face à la gare. Je passe le premier, mon cœur commence à s’accélérer. Mon regard scrute chacune des personnes assises sur les chaises qui bordent les fameux pots. Pas de veste en jean avec des fleurs. Je passe le deuxième, toujours rien mis à part une accéleration et une intensification incontrolables de mes battements  cardiaques. Je continue a avancer, chaque pas me donne le sentiment de parcourir des kilomètres tant le point vers lequel je me dirige, je le sais, va me donner accès a une porte ouvrant vers un espace infini de possibles. Le troisième grand pot de fleur en sortant à gauche,.... je m’en rapproche,......, quand soudain j’aperçois une silhouette, droite, coiffée d’une longue chevelure, tournée vers moi et m’observant,.... Mon souffle s’accélère, le sol me donne l’impression de se dérober sous mes pas. Ça y est, j’y suis, Elle est là, Elle m’attend, Elle me possède déjà. C’est ma toute première rencontre avec Déesse Nyx. N/nous avons déja longuement échangé par messages interposés. Échanges à l’occasion desquels j’ai eu l’opportunité de Lui remettre ma dignité, et de Lui offrir ma docilité. Elle connaît déjà pratiquement tout de mon anatomie et de mon intimité que je Lui ai exposées au travers de photos et au fil de requêtes et directives successives. Habillé, en sous vêtements, intégralement nu, debout, assis, à quatre patte, en position offerte, le séant dressé vers le ciel et laissant une vue imprenable sur ma petite chatte de soumise,  Déesse a déjà eu l’opportunité de me scruter sous de nombreuses coutures. Sous Son emprise virtuelle, je Lui ai deja offert le spectacle afligeant de ma petite queue dressée et dégoulinante d’exitation, enfermé comme une petite perverse dans des toilettes de train. Mais N/nous ne sommes pour l’instant pas formellement engagés. Nous sommes convenus de ce premier rendez-vous pour en décider. Determiner l’Une et l’autre si oui ou non N/nous irons plus loin  et franchirons cette porte qui ouvre sur un monde dans lequel je serai Sa chose et elle sera mon Tout. Le code est simple, N/nous allons prendre un verre et discuter afin de mieux N/nous connaître. Si je décide de m’offrir à Elle, je devrai me lever, me rendre dans les toilettes, hoter mes sous vetements, me prendre en photo la queue à l’air et revenir Lui poser mon calecon sur la table. Elle décidera alors de le prendre ou pas,..... Un bonjour échangé, un croisement de regard et N/nous N/nous dirigeons vers une brasserie non loin de là.
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Par : le 18/05/25
Vendredi, au lendemain de mon arrivée, tu me préviens que tu souhaites que je passe la nuit en cage, la toute petite nouvelle évidemment. Aussi, je profite que tu sortes une petite heure pour me lancer dans sa mise en place. On n’est jamais trop prudent pour éviter toute suggestion qui viendrait gêner son enfilage déjà complexe. Alors une pulsion soudaine de raideur imprévue serait rédhibitoire ! Par chance, ma stratégie marche et l’après-midi se termine à l’étroit mais néanmoins dans un relatif confort, certes bien contraint ! Lorsque la nuit fut venue, ce fut le tour de la nuisette noire. Depuis le temps, elle n’a toujours pas grandi. Elle couvre toujours aussi peu. Mais je reconnais qu’on y dort pas mal du tout sous la couette. Le sommeil n’est a priori pas dérangé par cet ensemble assez peu ordinaire. Il faut reconnaitre qu’une si petite cage présente un certain avantage : pas de risque de pincement nocturne soudain en cas d’érection. Et la restriction serrée ne m’empêche pas de trouver le sommeil.   Samedi matin, dès le réveil, lors de mes premiers pas en bas de l’escalier, tu fais connaissance avec cette mini-contrainte que rien ne dissimule. D’ailleurs ne devrait-on pas rebaptiser la nuisette ? « Montreuse » lui sied mieux ! Tes ongles prennent un malin plaisir à explorer ces « chairs » en tension, ainsi rendues hyper réactives, hyper sensibles. A la suite de ce plaisir des yeux, en ce qui te concerne, je suis autorisé à laisser la nuisette de côté, quant à la cage, libre à moi de décider. Etant donné qu’elle reste supportable et qu’elle n’est pas si évident à mettre en place, j’opte pour son maintien en place. Je verrai bien si j’ai présumé de mes capacités … ou pas !   Le soir venu, tu décides de réaliser les premiers tests de tes nouveaux jouets, à savoir les deux fouets en fibre optique. A dire vrai, je ne vois pas du tout le spectacle coloré qui se déroule dans mon dos. En revanche, je ressens bien le caractère électrisant des ces ultra fines « lanières », rien à voir avec un fouet. Il n’y a pas le mordant des mèches de cuir ; il n’y a pas le « poids » habituel. A priori, la prise en main et l’utilisation sont très différentes ; aussi j’ai vite fait de protéger comme je peux oreilles et visage avec mes mains. Des impacts pleuvant un peu partout. Il faut bien que tu expérimentes pour comprendre comment les manier, et manque de chance, ce n’est pas la même technique que pour ceux en cuir. Va falloir de l’entrainement pour arriver à maitriser le point d’impact ciblé… Mais je dois reconnaître que cette première dégustation est des plus encourageantes. A l’issue, tu m’invites à enfiler à nouveau la nuisette pour une nouvelle nuit, toujours encagé et serré de près.   Dimanche matin, tu immortalises ton nounours au réveil dans son « originale » tenue nocturne. Que dis-je tenue ? La preuve, tu n’as même pas besoin de la relever pour bien observer cette mini-enceinte métallique qui m’a encore tenu compagnie pour une deuxième nuit consécutive. Et c’est reparti pour une nouvelle journée à l’étroit.   Dans la soirée, tu souhaites passer aux choses sérieuses avec tes dernières acquisitions. Ma tenue ressemble étrangement à celle d’hier. Bon d’accord, elle était si minimaliste que ce n’était pas difficile. Néanmoins, tirant la leçon des premiers essais, tu me proposes la cagoule après avoir enfilé la paire de bas résilles, bien pratiques pour chausser les cuissardes. En fait, je serais simplement « vêtu » des jambes et de la tête. Même s’il m’est devenu difficile de tenir debout avec, leur port apporte toujours une certaine excitation … évidement contenue en ce week-end sous clé. Pour commencer, tu me demandes de me placer à genoux, buste droit et les bras le long du corps. Un poil contraint par la présence des cuissardes, cela me demande un peu de stratégie pour y réussir. Ceci fait, je t’offre tout mon dos. Tu choisis de débuter avec le moins long des deux fouets lumineux. Pour multiplier les sensations, ou plutôt les effets (que je découvrirai a posteriori), tu alternes les fouettées à la lumière, ou dans le noir, instants où les fibres lumineuses, aux couleurs changeantes déploient toute leur magie. Pour immortaliser cette inauguration, tu alternes aussi entre les photos, qu’il faut multiplier pour assurer d’avoir des clichés synchronisés avec les impacts et les vidéos qui captent à la fois les changements de teinte et le son si particulier de ces fouets, un sifflement différent de celui du cuir. Je retrouve l’effet électrisant déjà ressenti hier. En soi, ces fouets sont moins mordants à chaque impact. En revanche, l’accumulation de contacts finit par susciter un effet fouetté qui chauffe le dos ou les zones ciblées. Tu essaies aussi le plus long bien qu’il semble plus difficile à dompter pour avoir les effets escomptés. Petit à petit tu arrives à flatter aussi mes épaules et mes flancs. Quand une fibre traine près de la cagoule, mon oreille la plus proche siffle. Tu parviens aussi à faire quelques enroulés mais leur effet est bien plus ténu qu’avec les cousins en cuir. Après un bon moment passé à te présenter ma face postérieure, tu me demandes de me retourner et de m’étendre sur le dos, la pliure des genoux au bord du lit, et les bras serrés le long du corps à plat sur la couverture. Tu peux alors reprendre le même manège, cette fois en flattant essentiellement ma poitrine, accessoirement mes flancs. Etonnamment, mon intimité protégée par sa cuirasse semble échapper aux impacts. Quant aux sensations, elles sont très similaires à celle ressenties dans le dos. A la fin de cette inauguration qui appelle des suites, en alternance avec des fouets plus classiquement mordants, tu déposes les armes avant de me réserver une surprise. Toujours cagoulé, je ne te vois pas approcher. En revanche, mes couilles tendues et ma queue toute rabougrie dans sa cage bien étroite sont devenues hypersensibles au bout de quarante huit heures. Autant dire que le contact de tes griffes sur ces chairs me fait démarrer au quart de tour, m’arrachant quelques couinements. Je comprends quelques minutes plus tard que c’était aussi une façon de me rendre ma liberté. Il faudra bien une nuit pour que les chairs mâchées reprennent leur disposition originale.   Deux jours plus tard, dans la soirée, nous reprenons nos jeux, l’occasion pour toi de me proposer de changer de cadre. Exceptionnellement nous abandonnons la chambre au profit du salon. Pour mon plus grand plaisir tu me demandes de remettre, avec ton aide active précieuse, les cuissardes (si elles s’étaient absentées depuis un bon moment, elles font leur retour en force lors de ce séjour ; tout comme les bas résilles qui vont avec). J’ai l’impression qu’avec l’entrainement de dimanche, nous accomplissons l’enfilage plus rapidement. C’est tout de même épique, moi, assis sur le chariot, les jambes raidies par les cuissardes et toi qui tire dessus pour me faire approcher et finir le laçage, Je n’ose imaginer le spectacle de l’extérieur. Une fois terminé, tu me « repousses » littéralement. Auparavant, tu m’avais demandé d’enfiler le shorty rouge, bien visible et les bracelets aux poignets. Le collier était déjà en place depuis ce matin. Une fois paré, tu me tends la dernière touche de la tenue : toujours la cagoule en cuir que tu noues sur ma nuque. Cahin caha, j’arrive à pivoter et à me présenter devant la table basse selon tes consignes. Sauf qu’un hic se révèle. Le plan ne se déroule pas sans accroc. L’idée première de me faire pencher sur la table basse tout en restant sur le chariot se révèle  impossible à réaliser techniquement. Le chariot est trop haut pour cela. Qu’à cela ne tienne ! Nous le poussons dans un coin ; tu sors quelques coussins que tu places devant la table et je peux alors m’agenouiller « confortablement » au sol (pour autant qu’il puisse être totalement confort de se positionner ainsi avec des cuissardes !), puis placer la tête et le haut du buste appuyés sur un autre coussin posé sur le plateau. Jusque là tout allait bien, sauf que Maitresse veut m’immobiliser les poignets aux pieds de la table. Donc il faut que j’écarte les bras près des deux extrémités, vive le coussin …. et la cagoule, qui est venue me recouvrir la tête juste avant le début des nouages. A partir de là, je perds le fil des détails. Je comprends que les cordes m’enserrent. A priori, après avoir immobilisé mes bracelets aux pieds de la table, les cordes viennent contraindre mes bras avant d’encercler mon corps de plusieurs boucles. Elles poursuivent ensuite leur œuvre de contrainte à la lisière des bas, puis à celle des cuissardes avant de les serrer dans quatre nouvelles boucles. En guise de point final, tu viens lier les deux talons entre eux. Déjà privé de la plupart de mes mouvements, je ne risque plus de bouger. Désormais tu disposes d’une parfaite extension à ta table de salon, parfaite pour y reposer tes pieds sans risquer la moindre dérobade, tout en sirotant ton café, satisfaite de ta réalisation. Après l’effort, le réconfort ! Quelques minutes plus tard, après le retrait des cuissardes et des bas, tu te délectes des marques laissées sur mes jambes. Je ressemblerais presque à une tortue, arborant ce qui pourrait être assimilé à des écailles. Sans parler des petites marques rondes des œillets … Ton petit sourire de satisfaction fait plaisir à voir.   Le lendemain soir, tu me proposes le plat de résistance du séjour. Comme tu me l’avais demandé plus tôt dans la journée, je me présente à toi avec le boxer noir mi-long qui laisse apparent mes fesses en les soulignant à merveille, comme si elles appelaient les impacts. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, très certainement par habitude, les moufles posées au coin du lit ne sont pas pour moi ce soir. Très étonnant ! Tu ne m’avais pas habitué à cela. En effet, pour épargner tes mains, une fois n’est pas coutume, tu les enfiles pour une séance de fessée que tu appliques, installée à califourchon sur mon dos. La sensation est légèrement moins impactante qu’à mains nues ; c’est d’ailleurs ainsi que tu termines cette mise en bouche, avant de poursuivre à mains nues. Après avoir délesté mon corps de ta présence enserrante, je ressens la présence d’un feutre qui parcourt mon postérieur. A priori, tu restes mesurée dans tes inscriptions si j’en crois mes sensations. Je verrai bien plus tard de quoi il retournait. Des mots prémonitoires qui annonçaient la suite. Mais cela, je l’ignorais à ce moment-là. Tu me gratifies alors d’une longue session de griffes, sur l’intégralité du corps, du moins sa face accessible. J’en frémis, j’en ronronne. Malgré les années qui passent, ce pécher mignon ne me quitte pas. Je ne saurais dire comment cette addiction a commencé mais il est hors de question de tenter de la soigner. Où plutôt si, avec une ordonnance de griffes régulières ! Le contact suivant sur mon dos correspond sans aucun doute à une brosse. Pourtant, après quelques passages, je commence à avoir quelques doutes. L’effet ne correspond pas à celle que j’imagine. Une fois n’est pas coutume, je finis par te demander ce que tu viens d’utiliser. C’était donc ça : j’imaginais la toute petite, il s’agissait de sa grande sœur, aux griffures plus denses, mais générant quand même moins d’effets que des ongles acérés. En fait j’aurais dû m’en douter quand le contact métallique s’est transformé en contact plat. Tu venais de la retourner pour t’en servir de petit paddle en bois. C’est un modèle plus long qui lui succède, toujours dans la thématique des détournements qui te sont si chers. Je dois reconnaitre que cette spatule en bois convient parfaitement pour rapidement réchauffer un postérieur offert et ainsi présenté dans son écrin de vinyle … Alternant le sucré et le salé, tu le remplaces par le plumeau. J’aime beaucoup la douceur des plumes mais il ne faudrait quand même pas en abuser. Maso un jour révélé, maso toujours. Mais il est bien utile avant de reprendre de plus belle. Bon, tu ne pouvais pas t’empêcher de le retourner pour transformer son manche en baguette, légèrement plus « douce » que les grandes en bois brut. Surtout que c’est du lourd qui vient soudainement s’abattre sur chacun de mes globes fessiers. Il n’y a qu’un seul candidat dans ton arsenal susceptible d’impacter aussi fort, aussi largement, aussi lourdement. Le « 54 fillette » ! Je n’ose imaginer l’état d’un fessier après une série un peu longue de ce colosse. Sans compter que lorsque tu le retournes, ce sont les crampons qui viennent essayer de mordre. J’avais presqu’oublier l’effet qu’il pouvait générer. Précautionneuse, tu n’insistes pas plus que cela, souhaitant sûrement laisser un peu de place au reste de ton programme (ou de ton improvisation ? Peu importe !). Du paddle en cuir long et clouté, je ne me souviens même pas que les sensations aient été différentes. Et pourtant ! Mais où était mon esprit ? Mystère ! Surtout que j’ai bien discerné par la suite le passage du petit slap. Tout comme, je ne pouvais pas ne pas reconnaitre la morsure de la petite langue de dragon. Il faut dire qu’elle est caractéristique et crée très vite une sensation de chaleur. D’autant plus que, depuis le début de la soirée, tu as décidé de limiter ta zone de jeux à l’espace délimité par mon boxer. Pour aussi loin que je m’en souvienne, je ne crois pas que tu aies autant insisté sur une surface finalement aussi restreinte. Je commence à me demander si je ne vais pas le regretter quand la chaleur va se transformer plus tard dans la nuit ou encore demain quand je voudrais m’asseoir. Je verrai bien. De toute façon, il est désormais trop tard pour revenir en arrière. Pour autant que je l’aurais voulu. Tu termines hors piste avec le fouet qui, lui, ne saurait se restreindre à un simple fessier. Il préfère largement aller flageller et mordre un dos resté « vierge » ou presque.   Après cette longue série d’impacts divers et variés, tu me demandes de me placer à quatre pattes. Dans ma tête, c’était pour une dernière tournée de lanières. Cela avait le mérite d’être raccord avec tout ce qui se passait depuis le début de la soirée. Sauf que je devine que tu viens t’installer juste derrière moi. Bizarre, quel accessoire nécessiterait une telle proximité ? Puis un liquide vient couler sur mon postérieur, ou plutôt dans mon sillon. Bizarre encore, je n’ai pas entendu le son des gants qu’on enfile quand cet endroit est concerné. Puis tes mains viennent écarter mes fesses : cette fois, le doute n’est plus vraiment permis. Ton nounours va se faire enfiler ! Reste à deviner ce que tu présentes devant ma rondelle. D’ailleurs, tu te vois obligée de prendre ton temps, d’y aller petit à petit avant que je me réhabitue à ce genre d’invasion. L’entrainement se perd vite, on dirait. Néanmoins tu es patiente, et tu parviens à tes fins au bout de quelques minutes. Il rentre jusqu’à la garde. Quand je dis il, je pense à ton gode-ceinture (enfin sans la ceinture ce soir !). Pendant de longues minutes tu le fais aller et venir. Il coulisse de mieux en mieux. Je crois comprendre que je ne m’oppose pas assez à son passage, comme s’il était devenu trop étroit. Hallucination auditive ? Mystère. En tout cas j’apprécie que tu fasses durer ce moment tout en délicatesse. Comme quoi sodomie ne doit pas rimer avec sauvagerie. J’ai beau être « moins opposé », il reste bien en place lorsque tu l’abandonnes quelques instants, fiché au fond de mon intimité. Comme quoi ! Là encore, j’ai le sentiment que jamais auparavant, tu n’avais fait durer ainsi un engodage. Merciiiii. Enfin tu me libères. Limite je finissais par m’habituer à cet intrus. Il faut dire qu’on le supporte mieux que le manche de flogger que j’avais sous-estimé voilà quelques années… Finalement non, cette sodomie n’était pas un point final. Tu m’offres quelques dernières griffes pour boucler la boucle, dernier ronron, dernier sourire de satisfaction béate.   PS : contrairement à mes craintes, la nuit ne fut pas perturbée par des fesses douloureuses pas plus que je n'ai eu de soucis pour m'asseoir le lendemain.
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Par : le 15/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jour plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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Par : le 13/05/25
Il est facile de constater en réel que je ne suis pas aussi extravertie que ne le laisse paraître les reseaux. Je suis une boule d'émotion que je dois gère constamment, ma voix et ma gestuelle me trahissent souvent. J'oscille entre crainte de maladresse et c'est souvent là où je le suis le plus😅 et la crainte d'être rejeter. Hier soir je me suis rendu à mon premier Munch and Play j'ai eu un démarrage plutôt long même si l'envie était la. Il me fallait prendre le risque de demander et peut-être être confronter à un refus. Ce n'est pas simple quand on n'a jamais pratiquer en-dehors d'une relation. 22h je me secoue et j'ose enfin demander à Lady Spencer si elle serait d'accord de faire de l'impact sur moi. Elle accepte, je suis soulager et super contente. Quand elle est prête, je la suis et m'installe comme elle me le demande. J'ai les mains poser de chaque coter du carcan. Elle me demande comment je signal que c'est trop je lui dit que je lèverais la main gauche si jamais, Je sais que je ne suis pas du genre expressive. Lady spencer me demande si je suis d'accord que son ami Khaos_Wolf se joigne a elle j'accepte sans hésité si elle le considère comme un ami je lui fait confiance par procuration. Lady spencer commence et moi je me bulle dans mes ressentis "je suis simplement" je ressens mon corps ce qu'ils lui font vivre j'ai plus aucune penser qui m'habite je ne fais que sentir les impacts sur ma peau je me sens bien je suis bercée, impactée, claquée... il y a les sons, les courant d'air et les sensations j'enregistre toute ses données. J'entends un soumis qui gémit en choeur avec mes ressentis sa maîtresse c'est mis au même rythme que Khaos_ Wolf j'ai le sourire qui me vient aux lèvres. je suis bien, j'ai pas envie que ça se finisse mais toute les bonnes choses en on une de fin. Je vous remercie encore une fois tout les deux parce que cette expériences m'a permise de comprendre que c'est ça que j'aime dans les jeux d'impacts c'est ma bulle c'est le repos de mon esprit parce qu'il est occuper a géré mes ressentis et j'aime ressentir. Durant ce temps je n'ai pas eu a géré mes peurs n'y mes angoisses et pas non plus de pense parasite... Parce qu'ils n'avaient simplement pas leurs place Merci a vous deux de m'avoir offert ce répit. C'est une facette de mon masochisme que je saurais exprimer maintenant grâce a vous même si c'est de façon involontaire...
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Par : le 11/05/25
(Fiction inspirée d’un jeu élaboré avec une jolie complice) L. apprécie les scénarios imprévus, les surprises, les attentions dédiées, pour ces raisons, j’imagine toutes sortes de situations personnalisées pour que ce petit démon succube reste éveillé et lié aux arts S-M. Elle m’en offre elle-même parfois l’occasion, pour exemple, un soir,  son arrivée avec un simple blazer et un foulard aux couleurs de la Brit-Air (compagnie d’aviation). Et nous voilà juste avant l’embarquement « Bienvenue à bord pour un vol de la compagnie « 7ième Ciel », le commandant de bord va vous attachez par une ceinture et vous maintenir en attitude mal élevée, la vitesse de vol sera de 1000 nœuds de shibari. Vous risquez de subir quelques perturbations. Veuillez mettre un bandeau sur vos yeux le temps du viol… pardon du vol ! » Mais… mais les distances séparent parfois les êtres, et il y a des lustres que nous n’avions pas joué. Voici que, en ce samedi soir se dessine une nouvelle opportunité de nous revoir, rendez-vous est pris pour l’emporter vers un nouveau voyage, à moi de me renouveler ! Un voyage statique puisqu’il sera pour elle celui de la captivité ! J’invente donc une histoire un peu mêlée de sa propre vie et d’une totale fiction inspirée des événements rennais de la semaine. Pour le matériel… je récupère l’indispensable, une chaîne à maillons noirs capable des bruits les plus empreints de notre imaginaire carcéral, 2 cadenas et surtout une multitude d’éléments qui doivent la mettre en situation de rage, de folle impatiente et l’amener à me maudire de mes stratagèmes machiavéliques, et plus ils seront nombreux et plus il faudra invoquer St Léonard pour opérer sa délivrance. Tout est en place dans le donjon, avec en évidence la boite du sésame convoité, je valide la longueur de la chaîne idéale pour rester hors de portée de la liberté. Reste plus que la longue attente jusque l’annonce de sa présence sur le seuil de la porte. « Ding ! Dong ! » Dans cette soirée à peine entamée, une ombre illumine la nuit, elle est là ! L. resplendit, et ce n’est pas l’attente insupportable qui pourrait calmer mon emploi de superlatifs, elle est très apprêtée, parfait maquillage de séduction, long cheveux noirs, belle comme dans mon souvenir, décolleté offrant sa généreuse poitrine, ses jambes sont gainées de noir et de longues bandes élastiques remontent vers ses cuisses à l’abri des regards vers un hypothétique corset ou porte-jarretelles. Le stationnement est relativement aisé à très courte distance de ma porte et c’est une chance, car j’aurais pu l’attendre le reste de ma vie, dans le cas ou un « facheux » aurait croisé sa route. C’est un appel au vice qui se présente à mon entrée. Invitée à prendre place, les bulles servies nous rapprochent et nous font nous retrouver, mon regard n’a de cesse que de s’égarer dans le couloir pigeonnant fermé par son cardigan cintré. Il me faut taire l’énoncé du plat servi sous l’éclairage du bougeoir à trois branches, car ma mémoire ne saurait en décrire le détail et surtout, ami lecteur, il ne vous est pas nécessaire que je vous le conte par le menu, il y a mieux à dire et décrire. Dans l’escalier je fais acte de précédence, je monte devant elle tourne au demi-étage, et commence l’ascension des 8 dernières marches dressant l’oreille. J’entends qu’elle pose le pied sur la 1ère marche pour quitter le demi-pallier. Moi « Non ! » Je me suis vivement retourné, elle est toute surprise « Non ! Vos épreuves commencent ici » Je pose mon index sur son plexus. « Veuillez monter les dernières marches à genou ! » L. sourit, ça y est le jeu commence, sans se départir de son caractère contradicteur « Je n’ai vraiment pas adopté la bonne tenue pour marcher à 4 pattes »  Mais L. s’exécute, nous entrons dans le donjon. La partie est lancée. Je précise d’un ton ferme « Nous savons tout de vous, nous suivons votre parcours depuis la capitale en fait, tous vos faits et gestes sont suivis, vous êtes sur écoute depuis des mois ». L. se demande ou je veux en venir « Vous avez il y a quelques mois offert vos faveurs à une personne détentrice de l’autorité en la qualité d’un commissaire de police, ainsi vous avez réussi à soudoyer un fonctionnaire de l’état, ne niez pas ! Nous savons tout ! » L. se confirme maintenant dans le fait que le peu de son passé qu’elle m’a révélé va être utilisé pour construire l’histoire de la soirée. Moi « Je me présente, je suis le directeur du centre de rééducation, j’ai lu vos états de faits, ils nous ont révélé que vous aviez voulu infiltrer les services de police pour aider les réseaux mafieux de la capitale, le grand banditisme, les narcotrafiquants » L. ne dit rien, portée semble-t-il par la pièce que je lui livre. Je la pousse rudement en dehors du coin « Vanille » depuis l’entrée vers la partie dédiée aux sévices et autres pratiques contraignantes. Nous sommes maintenant dans le parc d’attraction, pour ceux qui n’auraient pas encore connaissance de ma tanière, il s’agit tout simplement d’un donjon fort agrémenté de mobilier BDSM. Moi "La capitale n'a pas réussi à vous prendre au collet, et donc vous avez perpétué vos activités pour faciliter les agissements du milieu du banditisme, mais ici vous êtes à Rennes. Il y a 3 jours des hommes ont ouvert le feu place Kennedy, il n’aura fallu que quelques heures à nos services pour arrêter les 4 protagonistes de l'affaire, on ne badine pas ici, ou plutôt si ! Moi ! Je "Badine", mais l'action est différente, tenez-vous le pour dit et préparez vos fesses " Au sol, je saisis la chaîne accrochée au pied de la croix de St André par un cadenas déjà fermé et dont la clef est à l’abri dans ma poche. Au bout de la chaîne un autre cadenas attend. Je fais un tour complet de sa cheville gauche avec une dizaine de maillons et referme le cadenas accroché en bout de chaîne sur un maillon au plus serré de l’autre côté de sa botte. Je retire la clef du cadenas. Prise comme un oisillon avec un fil à la patte, même se sauver en enlevant la botte est impossible car le bracelet de cheville constitué par la chaîne est trop serré. Moi « Regardez bien cette clef ! » L. m’observe m’éloigner de dos, la clef bien en évidence relevée à hauteur de tête Moi « Et maintenant ouvrez bien vos oreilles » Je l’espère attentive aux bruits. Je me dirige vers la sortie, j’ouvre la porte et je laisse tomber la clef dans le vide de l’escalier, un petit silence puis le bruit de la clef 2 étages plus bas. Je reviens vers elle. « Voilà plus aucun moyen de vous libérer hormis retrouver l’autre clef cachée ici dans le donjon, et sur laquelle il va falloir mettre la main pour vous tirer de ce mauvais pas, car nos intentions à votre égard sont claires, nos services ont choisi de vous épargner les 2 ans en maison de redressement qui sont retenus contre vous, à condition !... Que vous travailliez pour nous » Je saisis L. dans mes bras et commence à relever sa jupe, tiens ! Elle a les fesses nues, c’est donc un collant ajouré. Je lui administre une gentille fessée et continue à la convaincre qu’elle a tout intérêt à collaborer. Moi « Nous cherchons à vous retourner, il va sans dire que le test de ce jour auquel vous êtes « Soumise » est conditionnel à votre libération, si vous réussissez à vous en extirper, c’est que vous avez les compétences requises, vous travaillerez donc à infiltrer le milieu de la prostitution pour nous. Surveillance, observation, rapport à nous remettre, mais… interdiction de pratiquer. Votre site de travail sera le trottoir, protégée par nos services et payée par les deniers de l’état, une retraite rêvée n’est-ce pas ? » Moi « Voilà maintenant c’est à vous de jouer, la longueur de votre chaîne vous autorise largement à repérer la solution qui est devant vos yeux, à hauteur, non dissimulée, il vous suffit de parcourir la pièce. Par contre le sésame que vous cherchez est hors d’atteinte, votre rayon d’action est insuffisant pour réussir à poser la main sur la clef recherchée » Je m’assieds dans un fauteuil de cuir pour profiter du spectacle. Intéressant de suivre le cheminement qui va conduire notre coupable agent du milieu mafieux à trouver comment résoudre son problème. Moi « Vous devez trouver le double de la clef perdue, elle est là ! A votre vue certes, mais quant à dire à votre portée, c’est une autre affaire…  votre chaîne restreint vos possibilités » L. « Je vois pas ! Ah ben ! Je dois être belle ! » Tout en regardant sa cheville enchaînée. Moi « Si vous voulez rester chez nous, notre maison de redressement vous est acquise, je vais par contre moi vous abandonner, car j’ai fort à faire » L. « Un truc en vue ! C’est gros, C’est petit ? C’est en haut, c’est en bas ? » Moi « A hauteur, ni gros ni petit, visible vous avez déjà posé les yeux dessus, là  bien en évidence ! » L. « Ben ! C’est toujours comme ça ! » Elle pressent qu’elle a devant les yeux l’objet qu’elle cherche et çà l’agace. L. « Vous allez kiffer l’expression donner sa langue au chat ». Mais de mon côté j'ai bien l'intention de l'amener d'une manière ou d'une autre vers la solution. L. est incrédule, je vois son regard qui arpente les espaces du donjon, elle ose aller au maximum autorisé par la chaîne, pose les yeux sur ce qu’elle cherche mais ne prend pas conscience que ce petit panier de bois tout simple en fond de pièce contient de quoi résoudre son problème. Moi « Ah ! On a brûlé un instant ! Maintenant c’est plus froid ! » En haut, en bas, à gauche, à droite son regard s’égare, et puis revient sur le panier posé sur un mini tabouret. Curieux que ce soit là ! Loin derrière les instruments de tortures. L. s’aventure au plus loin de la distance autorisé par son cordon ombilical relié à sa cheville et se dresse sur la pointe des pieds. L. « Ah ! Il y a des clefs à l’intérieur ! » On a franchi un pas, entrevoir que le panier contient l’objet convoité est encourageant. Elle s’allonge au sol pour obtenir le maximum d’allonge en direction du tabouret et constate qu’à peine 60 cm manquent à son rayon d’action pour arriver à ses fins. Un objet ! Il faut trouver un objet pour faire relais à sa capacité de préhension. Sa recherche est de courte durée, de gauche à droite sont rangés… mon fouet, mon Cat-O-Nine, mes martinets, mes cravaches, mes paddles et puis… 3 bâtons ainsi qu’une barre d’écartement de chevilles, c’est sur cette dernière que se porte son choix Si de mon côté j’avais imaginé qu’un simple bâton suffisait en le glissant sous l’anse du panier pour le soulever et le rapprocher, la solution choisie par L. n‘en est pas moins efficace, l’écarteur est muni d’anneaux à chaque extrémités, sans avoir l’efficacité d’un crochet, l’anneau se montre parfaitement opérant et voici qu’elle s’évertue à rapprocher le tabouret sans faire tomber le panier. L’instant est à mettre au compte des moments les plus appréciés de la soirée. Mon inestimable petite mutine, dans sa quête du St Graal, est écartelée entre un panier hors de portée et une chaîne la reliant à une croix de St André. Et pour réussir dans cette épreuve, elle est allongée par terre et son bras est étiré vers son but ce qui entraîne une jupe largement relevée sur ses cuisses, ma vue est imprenable et je m’autorise à quelques clichés voyeuristes. C’est ainsi que rapproché de 40 cm le panier se trouve tout de suite en main de L. pour lui révéler la fourbe manigance que j’avais ourdie pour lui compliquer la tâche. Trente et une clefs de cadenas sont dispersées dans le panier. Au sourire affiché par ma petite délinquante j’aurais dû quitter mon état de jubilation. Une multitude de clefs à essayer avant de trouver la bonne, je vais pouvoir la déconcentrer, ironiser, me moquer et la voir perdre patiente. Au lieu de ça ! Elle affiche un sourire… étrange ! L. « C’est celle-là ! » Une seconde, une seule seconde aura suffi à comprendre comment elle a pu trouver si vite. Plus tôt, quand je m’éloigne de dos en montrant la clef que je vais jeter par-dessus la balustrade, L. a eu tout loisir de la voir, de mémoriser, d’en faire une image gravée dans sa mémoire. Et là, tout bonnement elle vient de saisir la seule clef dont la partie qui reste extérieure à la serrure, celle-là même que chacun d’entre vous pourrait manipuler entre pouce et index, est de couleur noire. Pourquoi ne me suis pas mis dans la situation de chercher la clef avant de monter ce scénario ? Il était évident que de se servir du seul cadenas à clef noire, résumait l'identification du dit objet à une fraction de seconde, on ne m’y reprendra plus ! En spectacle comme en jeu, la base c’est… la pré-pa-ra-tion ! L., de son côté jubile, elle ne diffère pas  plus son élargissement et un genou au sol l'autre replié à la verticale, elle saisit le cadenas sur sa cheville et déclenche son ouverture. La voici qui passe de captive à libre, alors que je suis en mode frustration. L'impatience et l’agacement causés par les essais clef après clef que j'avais imaginés se sont vus réduits à néant et s'est un crève-cœur d'être passé si prêt de la voir se dégonder de ses humeurs naturelles. Quoiqu'il en soit, il me faut bien reconnaître qu'elle a réussi l'épreuve avec brio, force est de constater que les qualités requises pour la mission sont présentes chez L. Moi " Bienvenue dans les services secrets de la BADASS « Brigade Anti Demi-mondaines et ASphalteuses Sauvages ». Pour nos services votre pseudo sera Éva. L’arrivée d’un nouvel agent de la BADASS, une nouvelle naissance, Éva, l’évanescence symbolique d’un service occulte. Considérez que vous êtes une nouvelle recrue qu'il va falloir mater, votre formation commence à l'instant et croyez-moi je vais me charger avec délectation de cette tâche »  C’est le moment de profiter des subtils artifices féminins qui mettent en valeur le corps de L.  Alors qu’elle est face à moi, je fais glisser mes mains le long de sa ceinture pour atteindre la fermeture éclair de sa jupe, et chariot d’abord, puis vêtement glissent à terre. Je pose la jupe sur le prie-Dieu. De ses bottes de cuir s’arrêtant au genou monte un collant au pouvoir mimétique puissant, en effet, ce confondant trompe-l’œil imite à la perfection l’image des bas soutenus par 2 jarretelles sur le devant de ses cuisses, je suppose que l’arrière est configuré de la même sorte. Je m’occupe alors de libérer le haut, je saisis son chemisier noir à la taille et le remonte par-dessus les épaules doucement en profitant un maximum de la vision offerte par son décolleté. Le chemisier rejoint la jupe sur le prie-Dieu. Maintenant libérée de l’inutile, la voici en pleine flamboyance. Et le retour en contact avec le corps de L. est un privilège qui ne laisse pas de marbre, je suis excité et cependant je dois prolonger le jeu de rôle amorcé. Reprise de mes avances ciblées et conquérantes. Moi «  Je vais devoir vous apprendre les bases qui font une bonne prostituée, les règles du tapin, car à partir de maintenant vous êtes une petite pute » et ma phrase s’accompagne de 3 gifles de ma main droite. « Une bonne tapineuse se doit de comprendre qui est son mac’, vous êtes maintenant dans la tenue parfaite pour vos futures activités de bonne racoleuse » Nos bouches se mélangent, ça devient fougueux. L’un comme l’autre nous sommes bien échauffés, la suite semble s’orienter vers autre chose que de la récitation de haïkus japonais dans une ambiance de théâtre No. Car c’en est trop pour tous les deux, le jeu n’a que trop duré, place à l’action. Je descends à ses pieds, je n’ai habitude de ce comportement que pour la bonne cause, et c’est en prenant pour cible sa culotte de dentelle noire que mes mains s’évertuent à faire glisser un élastique rebelle à mes intentions. L. comprend que mes entreprises au sol n’ont d’autre but que de la débarrasser du dernier rempart à sa pudeur. Par le bruit métallique entendu au-dessus de moi je sais qu’elle a saisi, pour mieux assurer son équilibre, une des 4 chaînes qui suspendent le sling au plafond. Elle facilite son déshabillage en levant une jambe puis l’autre. Opération culotte-break achevée ! Je me relève en griffant ses collants, je retrouve sa bouche et nos langues pactisent à grands renforts de succion. Je cesse brutalement pour ne pas lui offrir une pause et je la fais pivoter sur sa droite sans ménagement, elle est maintenant placée face au sling et encadrée par les 2 chaînes de jambes de chaque côté de ses épaules, je descends ma main gauche à l’horizontale sur son ventre et de la main droite pousse brusquement ses épaules en avant pour qu’elle tombe à plat sur le cuir. C’est un peu la panique, elle saisit de justesse les chaines d’épaules du sling et couche sa tête de profil pour éviter au nez de se fracasser sur le collet. C’est un déchainement de cliquetis de maillons pris d’une crise d’épilepsie, le sling est balloté comme un rafiot en pleine mer sous une tempête. La position est idéale pour lui libérer la poitrine des 2 coupes de dentelles qui la retiennent, je m’y atèle mais… encore quelques secondes perdues à m’acharner sur les 2 foutus crochets d’attache du soutien-gorge. Qui a inventé le seul truc qu’une femme dégrafe en 1 seconde lorsque le meilleur mécanicien du monde y passe 5 de plus ? Y’a pas une discrimination flagrante là-dedans ? L. n’est n’a plus besoin des mots, elle suit, elle subit, elle encaisse les injonctions mécaniques et les ordres donnés, elle obéit au doigt et à l’œil, que se passe-t-il dans son esprit ? Est-ce le grand chambardement ? Une  apathie attentiste et résolue ? L’appel de son masochisme qui résonne à son esprit ? Je me dois de le lui demander dès que l’occasion se représentera. Je glisse mes mains vers ses fesses et commence une lente fessée, d’abord d’une main, puis des 2 mains alternées, puis de plus en plus vite et surtout… de plus en plus fort, pas de réaction répulsive. Qui ne dit mot, consent !… Et qu’on sent… acquise à une poursuite de la pratique. Il me plait à faire ce qui lui plait à subir ! Voilà ami lecteur ! La partie de « ça va, ça vient » qui s’en suivit n’est pas à mettre à la connaissance de vos yeux chastes, chacun ayant connaissance des teneurs brûlantes des ébats amoureux, chacun saura s’inventer les détails croustillants qui ont su nous étreindre. Désolé ! Si suite se voit écrite… elle n’aura qu’une lectrice !
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Par : le 06/05/25
Texte personnel écrit sur le thème suggéré par une membre du site des vaches humaines ou human cow/hucow en anglais.  C'est un texte fiction qui ne relève en rien d'une pratique réel ni d'une apologies de l'emprisonnement ou de la destruction physique et psychologique des êtres vivant.    "Matricule 25 918, c’est ce qu’ils ont tatoué sur mon épaule. Kelia se souvint soudain de ce qui c'était passé pendant les cinq derniers jours. Tout d’abord, son arrivée au centre de reconditionnement. Elle était passée devant un médecin qui lui avait fait subir un examen complet. Sanglée sur une chaise gynécologique de contention, elle avait subi l’une des pires humiliations de sa vie : être ainsi inspectée comme du bétail, tant au niveau de la peau, des yeux que de chacun de ses orifices, qui avaient été scrutés et examinés. Le médecin et son assistant ne s’étaient pas privés de faire certaines réflexions, et ils avaient bien rigolé en disant :   — Elle fera une très bonne laitière. — J’en suis persuadé, docteur. Elle a déjà de bonnes proportions qui permettent d’imaginer un potentiel lactique important. — Souhaitez-vous qu’elle passe d’abord par un processus de formatage psychologique ? — Je ne pense pas que ce soit la peine pour celle-là. Elle a l’air assez docile de base et je suis sûr qu’elle appréciera encore plus sa nouvelle situation si elle la vit pleinement.   Tous deux éclatèrent alors de rire, d’un rire gras et fort qui me glaça. Je ne me souviens pas de tout ensuite, mais je sais qu’ils se sont approchés de moi avec un masque à oxygène, et à partir de là, tout reste flou. Je pense qu’ils m’ont fait respirer un gaz soporifique, mais je ne me souviens de rien. Je me suis réveillée quelques heures plus tard, sanglée sur un fauteuil roulant. J’ai un horrible tuyau qui rentre dans ma gorge et ressemble fort à une intubation. J’ai perdu toutes fonctions motrices au niveau de mes muscles, je n’arrive plus à les bouger. Je suis sanglée dans le fauteuil roulant, et une minerve maintient ma tête. Cet état de fait dura environ une journée, pendant laquelle ils m’administrèrent différentes substances en perfusion et en intramusculaire. Je découvris rapidement qu’il dépassait de moi un tuyau qui devait être relié à une sonde urinaire, puisque, régulièrement, ce tuyau s’emplissait d’un liquide jaune. Ne contrôlant plus aucune de mes fonctions motrices, je suppose que l’autre tuyau, plus large, qui sortait de mon corps devait être relié d’une façon ou d’une autre à mon anus. Je passai plus de 24 heures ainsi, ayant perdu tout contrôle et tout tonus musculaire. Deux fois par jour, une détenue en tenue orange faisait le tour de mon fauteuil pour changer les récipients. Je n’arrivais absolument pas à bouger, mais j’ai compris qu’il y avait au moins deux autres personnes à côté de moi, au vu du temps qu’elle passait dans la pièce. Avec les diverses substances qui m’avaient été administrées, il m’était totalement impossible d’émettre le moindre son ; par contre, je bavais presque continuellement. Je pense que c’était le troisième jour que le médecin et son assistant revinrent. — Il semblerait que le traitement hormonal commence à faire effet, je vois déjà quelques perles de lait sur ses mamelles. — Emmenez-la en salle de traite numéro 8, elle remplacera le matricule 23 229 qui ne produit plus.   Toujours sur mon fauteuil roulant, je fus emmenée à travers une série de couloirs d’un blanc immaculé, où la lumière des néons m’éblouissait, jusque devant une salle où était inscrit « salle de production numéro 8 ». Puis deux battants s’ouvriren et je fus conduite à l’intérieur d’une pièce d’environ 20 m², dans laquelle il y avait cinq installations bizarres, sur lesquelles quatre femmes attachées étaient en train de se faire traire. Je supposai que la cinquième place libre était pour moi. En entrant, sur la gauche, il y avait un pupitre de commande avec un écran et un clavier. Le pupitre était orienté vers le mur en face de la porte. Le long de ce mur étaient alignés parallèlement cinq supports métalliques et sur quatre de ces supports étaient attachées des femmes. Elles étaient à genoux sur une sorte de support dentelé, le corps retenu par des sangles à une armature métallique. À gauche de chacune de ces personnes, il y avait un cylindre transparent d’environ 20 cm de diamètre, relié à deux tire-laits branchés sur les mamelles des prisonnières. Les cylindres étaient plus ou moins remplis d’un liquide blanc que je supposai être du lait. — Bonjour 21 107, es-tu prêt à prendre en charge la prisonnière 25 918 ? — C’est l’heure de la traite, je dois poser un dernier tire-lait sur celle-ci, et ensuite je peux m’occuper de ta prisonnière. Mets-la face au miroir en attendant !   Je sentis le fauteuil roulant pivoter vers la droite et l’on me plaça face à un miroir en pied d’au moins un mètre cinquante de haut. Cela faisait bientôt cinq jours que je ne m’étais pas vue dans un miroir. J’avais énormément grossi, ma poitrine était énorme et ruisselante de lait. Je ne sais pas comment ils avaient réussi à me faire prendre autant de poids en si peu de temps, mais j’étais énorme. Je voyais en arrière-plan la femme qui s’occupait de la pauvre fille de gauche, à qui elle posait un tire-lait, en enclenchant une machine dont j’ignorais encore la fonction à ce moment-là.   Soudain, mon fauteuil se mit en mouvement et l’on avança vers le cinquième emplacement, encore libre. Comme je ne sentais pas mon corps, que je n’avais aucun contrôle sur mes muscles ni sur mes mouvements, je me suis surtout concentrée sur ce que je voyais autour de moi. Je crois qu’au fond, mon cerveau avait déjà compris à ce moment-là ce qui était en train d’arriver et que j’ai essayé de recueillir autant d’informations que possible avant de me retrouver complètement immobilisée, comme ces pauvres filles.   Mes quatre consœurs sont toutes vêtues d’une sorte de casque d’où sortent plusieurs tuyaux,  l’on ne voit que leurs regards, qui me dévisagent. En bas de chacune de leurs installations, il y a un écran de contrôle sur lequel s’affichent leurs paramètres vitaux. Ce doit être cela qu’enregistrent les différents capteurs que je vois sur leurs corps. Il y a aussi plusieurs câbles qui partent du casque qu’elles ont sur la tête. Je suis terrifiée à l’idée de ce qu’elles doivent vivre, et depuis combien de temps elles le vivent.   Je sens qu’on m’installe sur le système métallique, qu’on me sangle. Je suis installée à la place de droite, en entrant dans la pièce. J’ai en face de moi un petit angle depuis lequel je vois le miroir. Juste devant moi, il y a une console sur laquelle sont raccordés chacun de mes tuyaux : j’en ai un qui part de la vessie, un de l’anus et un de l’estomac. Le système est complété par une sorte de casque dans lequel est intégré le tuyau d’intubation, qui descend jusqu’à mon estomac, d’après ce que je ressens.   Je fus soulagée de constater que l’on ne posait pas ces affreux tire-laits sur mes seins. — Merci 24 1048, tu peux disposer, je prends la prisonnière en charge.   La gardienne qui m’avait conduite repartit avec le fauteuil roulant vide et un sac-poubelle contenant mes différents effets, sondes, cathéters divers, ainsi que mes cheveux, qui avaient été rasés avant qu’on ne me pose cet affreux casque sur le crâne.   — Nous voilà seules maintenant !   Elle devait faire à peu près 1m65. Elle avait les cheveux brun clair, taillés en carré asymétrique, un visage souriant et aimable. Elle était vêtue d’une combinaison vert bouteille où s’affichait son matricule. Elle portait aux pieds les mêmes chaussures que tout le personnel que j’avais croisé depuis mon arrivée : des sortes de rangers mi-montantes à zip. - Je m'appelle Opale, je serai ta maman pendant tout le temps que tu passeras ici, tu seras ma petite chose, une de mes belles laitière. Comme tu l'as vu, le traitement hormonal et le gavage intensif ont eu un effet radical sur ta silhouette. Tu vas encore te transformer jusqu'à ce que nous atteignions 200 kg. Tu seras alors stabilisée et nous passerons à un mode sonde plutôt que gavage par intubation. L'ordinateur central a affecté à ta fiche la sentence suivante : suite à la tentative de rébellion lors de la manifestation du 22 mai 2021 et à ta fuite, tu as été condamné à un enfermement total ici. Cela signifie que tu appartiens désormais au centre et que même ton corps lui appartient. Tu ne sortiras jamais d'ici sous aucune forme que ce soit. Tu as été sélectionné pour partir en unité de production laitière, les quotas minimum imposé à partir de la deuxième semaine sont de 2,5 litres par jour, si tu ne les satisfait pas , tu seras rétrogradée en unité de plaisir bas de gamme. Pour l'instant je vois que tes mamelles sont bien gonflées et je sens que tu as bien envie de te faire traire. La première traite est toujours faite manuellement dans les unités 5 6, 7, 8 et 9.                                                                                                             Je ne sais pas pourquoi elle avait pensé ça mais je n'avais absolument pas envie de me faire traire comme une grosse vache. Néanmoins il semble que mon opinion ne comptait pas vraiment et elle se mis au travail en commençant à palper mes seins, d'après la sensation que j'avais encore. Elle installa une sorte de récipient en dessous de ma poitrine et commença la traite manuelle. J'entendais le bruit du lait qui arrivait dans le récipient en plastique.  Il me sembla que cela avait duré une éternité ; éternité à la fin de laquelle elle m'annonça que je venais de produire 2,10 litres. - C'est prometteur, mais rien d'exceptionnel, cela fait 24 heures que tu es à fond d'hormones. Ce lait ci ne sera pas utilisé pour la consommation mais les prochains le seront, il y a 5 traites par jour, celle de 6h, celle de 10h, celle de 14h, celle de 18h et celle de 22h. - Le matin après la première traite, tu aura le droit heure de stimulation électro musculaire et encore une heure après la traite de 14h, cela permet d'éviter les nécrose et de te maintenir dans une condition physique minimum.  Ce jour-là il y eu 2 traites à la machine après cette première traite manuelle. Le tire-lait électrique ne me faisait pas vraiment mal car je ne sentais plus du tout mon corps depuis déjà plusieurs jours. Je sentais parfois de très légères sensations lorsque la traite touchait à sa fin mais c'était vraiment très léger.  Après la dernière traite, Opale s'avança vers moi et me dit : - Sur tes deux dernières traites tu n'as produit que 220 ml, il faut que tu produise plus ! Il faut que tu te fixes comme objectif au moins 500 ml par traite. Maintenant je vais te faire un petit cadeau pour ta première nuit pour t'aider à dormir.  Elle enclencha un programme qui envoya à travers mon casque un gaz avec une petite odeur d'amande.  Je me réveillais quelques heures plus tard, impossible de dire combien de temps j'ai dormi exactement mais c'était l'heure de la première traite donc qu'il était 6h. Puis la journée se passa un peu comme un cauchemar silencieux, un huis clos sinistre pour 5 pauvres âmes. Il n'y avait presque aucun bruit dans la pièce et lorsqu'il y a un bruit un peu fort, Opale apparaissait tout de suite pour déterminer l'origine du bruit. À la première traite je n'ai fait que 200 ml de lait, les autres traites de la journée ont été similaires, sauf la dernière qui a été de 50 ml. Je vois bien qu'Opale me regarde et me juge. Avant d'éteindre la machine, après la dernière traite, elle m'avait dit :  - On dirait que tu vas bientôt finir dans un bordel pas cher de grosse vache !  J'avoue que la pensée de finir comme sextoy pour gros porc me terrifie, surtout sachant l'état physique dans lequel je suis, celui d'une vache. Je n'ai presque pas dormi la nuit suivante, obsédée par l'idée d'arriver à produire plus, à remplir mes quotas pour échapper à une condition pire que l'actuelle. Pendant la nuit, j'ai donné des noms a mes consœurs laitière. Avec le petit miroir que j'ai à ma disposition, j'arrive à en voir deux à gauche. J'ai nommé la première Cerise et la deuxième Pêche. J'ai utilisé Kiwi pour celle que je ne vois pas et que je n'entends jamais. Enfin il y a Figue, c'est ma seule voisine et elle est à ma droite. Je ne la vois jamais car nos minerves nous empêche de voir sur les côtés et nous bloque totalement la tête. Par contre je peux voir Pêche et Cerise par le miroir. Je sens l'odeur de Figue et j'entends sa respiration, très souvent. Je pense qu'elle n'est pas totalement étanche de partout et je sens ses excréments et ses flatulences. Au milieu de cette immobilité, de ce silence, ces odeurs sont des choses qui m'apportent le plus de réconfort, bizarrement. En dehors des traite et des séances d'électro musculation, ma vie ne se résume plus maintenant qu'à des tuyaux qui se remplissent et d'autres qui se vident. Cette désagréable impression d'être l'intermédiaire entre plusieurs machines qui se fiche totalement de vous. Le temps passe lentement et de manière totalement inhumaine et mécanique. Tous les jours,  à chaque traite et à chaque bruit, il y a Opale qui arrive avec son joli sourire et son air affreux de surveillante de la laiterie.  De toute c'est de loin Pêche qui est la plus agitée et qui essaie sans cesse de communiquer. Je l'aime bien ; nos regards se croisent une bonne partie de la journée. J'aimerais tant pouvoir parler avec elle et savoir qui elle était avant de d'arriver ici.  Je crois que ça faisait bien une vingtaine de jours que j'étais là, lorsqu'il a été décidé d'arrêter le traitement qui me maintenait dans cette perte de contrôle de mon corps.  La première journée a été très étrange car j'ai commencé à ressentir certaines sensations par petites vagues désordonnées. Dès le lendemain, la sensibilité est revenue, décuplée. Je l'ai senti dès la première traite qui a été douloureuse comme elle ne l'avait jamais été. Puis j'ai retrouvé les sensations de mon anus et de ma vessie. Je sentais les fluides sortir de mon corps de manière totalement incontrôlée. J'ai ce sentiment bizarre de me vider et d'être ensuite remplis par cette affreux système de gavage. J'ai toujours cette désagréable impression de n'être qu'une pièce d'un rouage au milieu d'une tuyauterie malsaine et perverse.   Puis il y eu le jour de Pêche. Pêche et moi, nous entendions bien enfin je le suppose car nous échangions, pendant des heures, des regards afin d'essayer de nous comprendre et de communiquer. Je vois dans son regard beaucoup d'amour et de tendresse mais aussi du désespoir . J'aime bien Figue, elle apporte une certaine forme de rythme à ma vie et aussi une distraction olfactive assez régulière, mais c'est avec Pêche que j'ai le plus d'accointance. Hors ce jour-là, Pêche s'était réveillée assez agitée et elle avait commencé à se débattre alors qu'Opale était venu pour la première traite. Opale lui avait dit de rester sage sinon elle deviendrait un légume. Cette phrase a résonné en moi pendant des heures jusqu'à ce que Pêche qui se débattait, pousse un grognement  plus fort que les autres. Opale est entrée dans la pièce, toujours avec son petit sourire mais cette fois un peu plus sarcastique. Elle a branché un câble au casque de Pêche puis elle est allé à l'ordinateur qui est sur la console. Elle y a tapé quelque chose. Ensuite il y a eu un très léger grésillement électrique. J'ai entendu des petits râles étouffés qui venait de Pêche. Après 2 minutes, Opale a annoncé que le programme était terminé et qu'il y avait un légume dans la pièce.  - Ne crois pas que je n'avais pas vu vos petits regards, je savais bien qu'un jour l'une de vous deux  y aurait le droit. Maintenant il te reste encore une vie entière pour te faire de nouvelles amies.                                                                 Sur cette phrase narquoise, elle sortit et nous laissa ainsi jusqu'à la traite suivante. Dans la journée, j'ai essayé de communiquer avec Pêche, mais elle ne regardait plus rien, elle avait le regard dans le vide. J'ai mis plus d'une journée à comprendre que la personne avec qui j'avais communiqué pendant plusieurs mois n'existait plus, intellectuellement parlant. J'étais de plus en plus obsédée par la quantité de lait que j'arrivais à produire. J'avais un record personnel de 3 à 5 litres de lait par jour. La seule chose intéressante et glorifiante à faire, était de produire encore plus de lait alors je me suis accroché à cela. J'ai essayé de devenir la meilleure, la plus productive des femmes/vaches de la laiterie. Opale m'avait dit que le record absolu était 4,6 litres en une journée mais que la productrice était morte d'épuisement quelques jours après.  Un jour, Opale nous a présenté une petite jeune qui s'appelait Calcaire et, pendant plusieurs jours, elle a assisté Opale afin d'apprendre les gestes techniques et de tout savoir sur nos dossiers : nos manies et nos petits secrets.  Les jours continuèrent à passer. Ils étaient longs et monotones. Seulement ponctués par l'apprentissage de Calcaire. J'avais une production journalière de plus de 3 l et je le prenais comme un réel défi de maintenir ce niveau de production. Puis il eu le jour de Figue. Depuis quelques jours, Figue ne produisait presque plus rien : moins d'un litre par jour. Elle n'était plus aussi régulière dans son transit et dans sa respiration. Opale expliqua à Calcaire qu'elle serait transférée mais qu'un lavage cérébral avait été demandé avant. Je suppose que elles ont branché un câble sur son casque, sont allées, toutes deux, derrière le pupitre et ont tapé quelque chose sur le clavier. J'entendis un petit cri étouffé de la part de Figue puis vint un affreux grésillement électrique qui durera 5 minutes. Pendant ce temps-là, j'entendais cette pauvre fille gémir. A la fin, j'entendis Figue se dégonfler comme un ballon de baudruche, en faite, je devais comprendre plus tard qu'ils venaient de la déséquiper et la dépression d'air dans la tuyauterie avait provoqué ce bruit de dégonflement.  Deux heures plus tard, une nouvelle pensionnaire fit son apparition, elle était toute équipée et installée sur un fauteuil roulant. Elle semblait avoir subi un traitement psychologique très perturbant car elle n'était déjà plus en capacité de nous regarder ou d'avoir une quelconque lueur dans les yeux.  Calcaire l'installa à la place de Figue et lui dit :   - J'espère, numéro 21 107, que tu ne verras pas d'objection à ce que je prenne maintenant le nom d'Opale !  
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Par : le 04/05/25
Vieux récit encore brouillon épisodes exhumé du passé. Gorgé de fautes certainement puisque jamais véritablement achevé .   Ma chère tante Chère Tata, Cela fait quelques temps que je ne vous avais pas écrit, j’espère que vous allez bien et que vos déménagements se déroule comme vous voulez. Ce n’est jamais facile de quitter un endroit mais il faut surtout penser qu’une nouvelle vie commence, pleine de découvertes. Je viens vers vous car vous êtes la seule personne à laquelle je peux confier ce qui m’arrive et peut être vous pourrez m’aider et me conseiller. Je vous avais parlé de ma copine Lilou que je connais depuis l’âge de 6 ans, depuis que nous sommes inscrites au club de gym. L’année dernière, comme elle a les mêmes problèmes d’argent que moi depuis que ses parents ont divorcé, nous avons commencé par faire de l’animation dans les centres de loisirs et puis comme usant depuis qu’une nouvelle directrice était arrivée, nous nous sommes rabattues sur des petits jobs, baby sitting, aide aux devoirs qui permettent de gagner un peu d’argent et de poursuivre nos études au lycée. Elle et moi chaque mercredi, lorsque nous nous retrouvons sur le tapis du club, nous faisions le bilan de notre journée, savoir laquelle avait gardé les pires monstres, aidé aux devoirs les meilleurs cancres, bref on partage nos expériences bonnes ou mauvaises vécues durant la semaine écoulée. Parfois, une propose à l’autre une garde qu’elle ne pouvait faire ou un job d’opportunité. Mais voilà alors que de mon côté je poursuivais mon petit chemin pour gagner quelques économies, j’ai senti au fil du temps un changement dans son comportement, elle semblait ne plus avoir grand chose à raconter, pourtant elle portait des tenues nouvelles, devenait plus lumineuse mais quand je l’interrogeais elle me répondait vaguement, trop vaguement. Alors j’ai commencé à la titiller de questions, plus elle était évasive plus ma curiosité était attisée. J’ai bien senti que mes interrogations la dérangeaient, qu’en elle il y avait un secret, une énigme. Chaque mercredi je faisais exprès de lui raconter mes moments les plus drôles ou fatigants de la semaine et je finissais par la question croche pied, Et toi .... ça s’est passé comment ? De fil en aiguille, à force de l’aiguillonner j’ai obtenu des échantillons de réponses, des pistes que j’ai suivi pour voir si elles étaient bonnes ou s’il s’agissait de leurres. Et un mercredi soir, alors que nous rentrions à pied après la séance, elle a fini par mes tendre un fil d’Ariane que je n’ai cessé de tenir fermement entre mes mains pour m’y retrouver dans son labyrinthe obscur. Au départ elle m’avoua avoir cessé de garder des enfants, de faire de l’aide au devoir pour se consacrer à un nouveau type de boulot, moins fatigant, plus rémunérateur.... Elle finissait toujours ses phrases par des points de suspension qu’il me fallait transformer en interrogation si je voulais connaître la suite. Alors elle avança un peu plus m’entrainant derrière elle, me raconta qu’elle aidait des personnes âgées, un peu comme une auxiliaire de vie sans en avoir le statut ni la formation. Chaque mercredi, elle allait chez des personnes pour faire des petites tâches, courses, ménage, lecture..... J’ai été surprise par le fait qu’elle pouvait être mieux payée, simplement en faisant de la lecture. Et là, elle s’est assise sur le banc de l’aire de jeux devant son bâtiment et sans me regarder, elle a doucement soufflé sur la brume de mes questions pour qu’enfin je puisse y voir plus clair. D’abord elle m’a fait promettre de ne rien dire à personne, je sais que je pourrais vous faire confiance Tata pour garder ce secret de votre côté. Elle n’allait pas en fait chez Des, mais Une personne âgée, en l’occurrence un homme, qui avait passé une annonce cherchant une jeune femme pour l’aider certains jours de la semaine. L’annonce était vague, elle y avait répondu et depuis chaque mercredi elle se rendait chez lui avec une jolie somme d’argent au sortir. Evidemment j’ai creusé le sillon pour savoir combien d’heures elle passait chez lui, combien elle gagnait, ce qu’elle devait vraiment faire, si c’était crevant, intéressant, ce qu’elle entendait par faire de la lecture, bref j’avais la bouche comme une nuée de merles qui n’avaient de cesse de la harceler et picoter sa cervelle. J’ai senti que leurs becs étaient parvenus à déchirer le voile de sa gêne et elle finit par cracher le morceau, ce qu’elle doitlire à ce monsieur, Richard est son prénom, ce sont des romans érotiques. Tout de suite, comme pour se justifier, elle a précisé qu’elle ne se prostituait pas mais que chez cet homme l’érotisme était un art, une façon de faire, de vivre, de penser. Imaginez Tata, Lilou ne le sait pas mais vous OUI, combien ma fascination envers les hommes mûrs a été soudainement exacerbée par cette soudaine révélation !!! Doucement, le bas de mon ventre a pris les commandes de ma bouche et je ne sais pas vraiment qu’elles étaient mes lèvres qui ne cessèrent de lui poser des questions. Lilou aussi me précisa que cet homme lui donnait des devoirs à effectuer, des sortes de rédactions qu’elle devait rapporter le mercredi suivant. C’était confus mais je ne cessais de m’imaginer franchir le seuil de la maison de cet homme, assis au coin d’une cheminée, un chat sur les genoux pendant que la mienne serait à ronronner ma cyprine à force d’ânonner des chapitres entiers de romans à l’eau de vulve. J’ai voulu savoir qui il était, son âge, j’ai de nouveau interrogé Lilou sur combien il lui offrait et lorsqu’elle m’a dit la somme que parfois elle pouvait gagner, j’ai eu comme un tournis, 100 euros pour lire, faire des rédactions, un peu de ménage et l’accompagner parfois faire des courses !!!!! Tata moi qui en gagne 50 difficilement le cerveau et les oreilles rabotés par les cris d’un après midi entier de torture mentale !! Je ne suis pas jalouse ni envieuse Tata, vous le savez mais là, Si, j’avoue avoir ressenti une envie de vouloir une part de ce gâteau. Au moins passer un entretien, les samedis lilou n’étant jamais libre les samedis moi je pourrais aider ce brave homme à connaître la suite des romans sans attendre le mercredi suivant. Soudain Tata, j’ai tordu en tous sens, étiré, martelé d’un poing ferme mes points d’interrogation pour qu’ils se dressent en exclamation, fiers, droits, affirmés. J’ai des super notes en rédaction !! J’adore lire, c’est ma passion !! Je me ferai toute petite et discrète !! J’en ai marre de gagner des misères et de remplir mon porte monnaie de façon aussi maigre !! Et....... ET.... ( je kiffe les hommes mûrs si tu savais lilou !!) mais ça je n’ai pas pu lui avouer, le message ne pouvait être que subliminal. Elle finit à force de harcèlement, sans doute pour faire cesser le flot de mes mots par céder, me promettre au moins de lui parler de moi, lui suggérer de me faire venir à son domicile. J’attends sa réponse, j’ai hâte d’être à mercredi, peur aussi Tata, peur que la réponse soit négative voilà pourquoi je passe mes nerfs à venir en confession auprès de vous. Je peux vous l’avouer, lorsque je suis rentrée à la maiSon , une fois le dîner pris, j’ai dit à maman que j’étais crevée et voulait me coucher tôt et je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mes livres d’images, ceux dont je ne vous avais parlé pour stimuler mes doigts et m’évader au coin d’une cheminée et faire ronronner ma turbine à plaisir. Je dois vous laisser et filer à l’autre bout de la ville soutenir une sixième pour son français. Espérons que ce sera une des dernières fois avant mon nouveau travail... Kiss La puce <font _mstmutation="1" _msttexthash="1732319589" _msthash="446">Ma chère Tante épisode 2 Chère Tata quelle rapidité pour me répondre !! Merci pour votre compréhension, je savais que je pourrais vous faire confiance. Au moins, vous n’oubliez pas la mémoire de votre jeunesse et les tourments qui l’accompagnent. Non je n’ai encore aucune info de la part de Lilou, je n’ai pas envie de la harceler encore de peur qu’elle ne se recroqueville et perdre une chance de me mettre au service de Monsieur Richard. Je préfère attendre mercredi prochain. Le livre d’images ? Je pensais vous en avoir parlé un jour, il s’agit en fait de photos, dessins, tableaux que je collectionne depuis que je suis en âge de... Comme une boîte à madeleines, je l’ouvre certains soirs et je m’évade du bout des yeux, les ferme ensuite pour passer le relais à la pulpe de mes doigts. Peut-être un jour, je vous ferai entrer dans cet univers secret. Je tiens à vous prévenir, certaines images, sans les clés, risquent de vous paraître bien décevantes. Donc, puisque vous me le proposez si gentiment alors oui j’accepte de vous informer de tous les évènements qui pourraient arriver dans un avenir proche. Encore quatre jours d’impatience. Vous tutoyer ? Oh non, certainement pas, je ne pourrais ni le voudrais d’ailleurs, ce serait comme demander à Cendrillon d’abandonner ses parures de Princesse pour revêtir ses oripeaux. Concernant votre dernière question .... Oui, je le suis toujours. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 3 Tataaaaaa ,Il a dit OUIII !!!!!!!IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Oh mon dieu, Votre puce saute de partout en tous sens. Je n’arrive pas à y croire. Ce monsieur accepte de recevoir chez lui, en sachant si peu de moi, une parfaite inconnue !!! Bon, petit retour en arrière, de quelques heures car l’information est toute fraîche. Lilou est arrivée en retard à la séance de gym, à tel point que je pensais ne pas la voir du tout et me demandais si ma patience n’allait pas briser sa chaîne pour filer une fois les étirements achevés et le vestiaire quitté chez elle pour sonner à a porté et prendre de ses nouvelles et savoir si.... J’ai même idiotement pensé au pire, que son après midi avait été celui de trop que la générosité masquait une Barbe Bleue et je fus prise de vertige, déséquilibrée par mes pensées fantasques, au moment où j’arpentais la poutre pour finir sur les fesses sur le tapis. C’est à cet instant que je vis le juste au corps de Lilou apparaissant puis son regard me chercher parmi les autres filles et une fois en cible de ses yeux me regarder, former un cercle avec son pouce et son index et décocher du carquois de sa bouche un sourire complice. Imaginez Tata !! Oui, imaginez, toute la séance à devoir attendre, savoir, déglutir les questions qui me venaient en gorge, et Elle, pas un mot, juste des baillons de " je te dirais tout à l’heure « . Jamais séance fut aussi longue croyez moi et j’ai pas trainassé une fois l’heure arrivée, Lilou en parfaite Si. Elle prit un malin plaisir à papoter avec la prof de je ne sais quelle futilité. Puis s’attarda avec une fille pendant que j’étais en train de m’étrangler avec ma chaîne à tirer comme une forcenée sac à l’épaule blouson sur le dos, prête à partir sur le chemin et ouvrir grandes mes oreilles. Elle me regardait du coin de l’oeil subrepticement juste pour voir si mon visage n’était pas encore bleui d’impatience. Enfin, elle fût prête, une des dernières cependant à sortir du vestiaire, ce qui est rare chez elle. Elle est comme vous sur ce plan, elle connait certains de mes points faibles et n’hésite pas à en abuser . Une fois dehors, loin des oreilles indiscrètes, j’ai shooté dans son silence malicieux en assénant un " ALORS ???? Ensuite, ENFIN elle consentit à m’en dire plus. Que Oui..... et elle employa le mot Parrain comme s’il était un parent et devant mon air sans doute interrogatif m’expliqua que c’était ainsi qu’il aimait être nommé et que si je devais passer le seuil de sa porte régulièrement, je devrais moi-même m’adresser à lui en ses termes. J’étais prête à porter ce tablier de mots et passer le plumeau sur ses bibelots et lui faire la lecture. Elle poursuivit, m’indiqua qu’effectivement je pourrais en articulant l’EVENTUELLEMENT, prendre mes fonctions d’accompagnatrice les samedis mais qu’il me fallait avant toute chose, m’acquitter d’une lettre expliquant qui j’étais et la motivation qui me conduisait à proposer ma candidature. Alors là, à cet instant et maintenant encore, mes pieds ont vacillé. En fait tata je n’avais pas encore envisagé la suite et me voici devant une tâche immense. Peut être, étant donné que vous me connaissez, vous pourriez m’aider à rédiger ma lettre de motivation dans des termes qui lui donnent envie de me recevoir en vrai. Tata , s’il vous plaît, Lilou a reçu l’ordre visiblement de ne me donner aucune indication. Une des rares informations que j’ai obtenue, c’est que je ne devrai Jamais porter de soutien-gorge si j’accepte de devenir son auxiliaire de vie. Oui Tata, vous avez bien lu mais cela ne veut pas dire que je devrai ne rien porter du tout mais juste sa manie est de vérifier lorsqu’elle arrive chez lui, d’un geste furtif à son dos si aucune accroche n’est palpable. Une fois rassuré, il ne cherche pas, elle me l’a juré à voir ni toucher ses seins. Voilà ce que je peux vous dire ce soir et me voici devant une page blanche me demandant par quoi commencer. Quelques mots de vous, juste de quoi remplir mon encrier seraient les bienvenus. Kiss La Puce </font>Ma chère Tante épisode 4 Chère Tata ,Merci pour vos conseils toujours précieux , même si je ne vais pas les suivre à la lettre. Bonjour Monsieur, Je vous remercie de me donner une chance de vous rencontrer et juger de ma motivation pour accompagner vos samedis. Je ferai mon possible pour être disponible chaque fois que vous auriez besoin de moi. Je suis passionnée par la littérature, le français a toujours été une de mes disciplines favorites en classe alors pour vous faire la lecture comme Lilou me l'a dit, vous pouvez compter sur moi. Mes notes en récitations n'ont jamais été en dessous de 15......Tata , Je n'ai pas osé faire allusion au genre de roman qu'il fait lire à Lilou, ne sachant pas si elle devait m'en parler. Pour la partie ménage et courses, vous pouvez compter sur moi car comme maman travaille parfois tard, je me charge souvent de la soulager dans ce domaine......Bon là, Tata, j'avoue que j'ai été un peu menteuse, quand j'accompagne maman on devrait mettre les roulettes sous mes pieds plutôt qu'au caddy, et souvent elle me retrouve au rayon librairie. Si maman lisait ce que je suis en train de faire, Mon Dieu, je pense qu'elle n'en croirait pas ses yeux, sa fifille, si prude, sage et timide, pas un garçon à la maison, jamais la moindre sortie au-delà de 23 heures. Bon je m'égare je reprends Tata, voici comment ensuite je me suis présentée à lui, ce n'est pas un exercice facile que de parler de moi. J'ai toujours eu du mal, autant j'aime décrire les autres autant je suis plutôt indifférente à moi-même. Heureusement que vous avez su parfois m'aider à me mettre en valeur de façon plus aventureuse.....Pour ce qui est de mon physique, je suis un petit format de femme si j'ose dire je mesure 1.55 m et pèse 40 kg ....Tata j'ai failli écrire " toute mouillée " mais il aurait pu " mâle " interpréter l'allusion....Mais ne vous inquiétez pas, je pourrai porter vos sacs de commissions car comme Lilou je pratique la gym et j'ai dû souvent porter mon propre poids en faisant mes équilibres. Je suis blonde aux cheveux longs et mes yeux sont couleur noisette..... Voilà j'ai pas voulu en écrire de trop, en fait je n'y arrive pas, alors il devra se contenter d'un portrait succinct. Je suis prête à accompagner Lilou pour me présenter à vous et voir si mon profil vous intéresse et tenter de me prendre à l'essai un samedi.....Voilà Tata comment j'ai écrit mon courrier, j'avais vraiment du mal à faire cette lettre, je ne sais rien de lui ou si peu juste qu'il tâtonne dans le dos de Lilou, je prendrai soin de ne rien porter dessous au cas où ....Je vais maintenant passer ma langue sur la gomme de l'enveloppe et prier pour qu'il salive à son tour de moi. Vivement mercredi que je remette la précieuse enveloppe à Lilou, je crois que je vais aller chez elle la lui donner mardi soir afin qu'elle montre mercredi après-midi à monsieur Richard combien je suis motivée. OUI je vais faire ça !!! ce sera un bon point pour moi, j'en suis certaine. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 5 Chère Tata Je l’ai fait, j’ai apporté ma lettre il y a une heure à Lilou, chez elle, demain il pourra me décacheter et savoir un peu mieux qui je suis. J’espère vraiment lui donner envie d’étudier ma candidature. Lilou m’a regardée avec des yeux curieux et rieurs et n’a pas manqué de me dire que je prenais à coeur de rendre service moi aussi à son « parrain « . Elle m’a promis de plaider ma cause auprès de lui. Oui moi aussi Tata, je vous fait la promesse de Tout vous dire dans les moindres détails, Oui je vis faire attention à moi, ne vous inquiétez pas comme ça, vous savez très bien que je ne suis pas du genre à prendre des risques idiots. Je vous rappelle qu’être encore vierge à mon âge relève de l’exploit à notre époque à en croirecertaines de mes camarades de classes qui se sont vantées de ne plus l’être, pour certaines depuis les années collège. Oui tous les détails et toutes mes émotions, promis, Oui, comme si vous étiez mon cahier intime, d’accord sans aucun tabou je raconterai tout. Comment avoir des tabous avec vous après nos vacances passées ensemble. En ce qui concerne votre question à propos de mon livre d’images... C’est un peu gênant, je l’avoue, pour plusieurs raisons, d’abord c’est un truc hyper intime en fait j’ai peur qu’en vous montrant le genre de choses qu’il contient, il perde soudain de son pouvoir à mes propres yeux. Ensuite, ces images peuvent être n’auront aucun sens pour vous alors que chez moi c’est radical, de les voir, en parler seulement me fait fondre de partout et surtout du bas, c’est magique. Je ne les regarde pas souvent, juste parfois pour me stimuler, me faire partir comme un vieux film qui rappelle tant de souvenirs passés. Je vais réfléchir à votre demande. Je vais filer au lit et puisque vous m’en avez parlé, me replonger dans les archives, ma banque de données intimes, peut-être même que si l’envie vient je pourrais imaginer monsieur Richard à la place de certains personnages clés de ma serrure à envies. Je file au lit, m’entendre, me tendre, m’entendre et écouter mon ventre résonner de déraisons. Vivement demain et maintenant pour moi, ce sera à .... deux mains. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 6 Chère Tata, J’ai passé ma journée, surtout l’après-midi à croiser les doigts pour Lilou, prier pour qu’elle soit persuasive, trouve les mots pour appuyer ma candidature. Je vous remercie pour le petit mot ce matin, ça m’a réchauffé le coeur. Alors, après avoir tourné dans tous les sens, être parvenue à faire mes devoirs, avoir pris ma douche, rangé deux fois ma chambre et lu quinze fois la même page du même roman sans me souvenir de ce qu’elle contenait, il était enfin l’heure d’aller sur les tapis et savoir enfin si c’était Oui ou Non. Je suis arrivée la première, Lilou n’a pas tardé cette fois, le visage fermé, grave, vous savez celui des nouvelles que l’on aime pas porter. Elle a commencé par me dire qu’elle avait bien donné ma lettre à son parrain, qu’il avait attendu presque qu’elle soit sur le point de partir en fin d’après-midi pour l’ouvrir. Je me suis dit que c’était cuit, s’il mettait si peu d’empressement, la réponse était-elle courue d’avance. Il a lu mon courrier sans dire un mot puis à la fin a remis avec précaution ma lettre dans son enveloppe, retiré ses lunettes..... Oh tata lilou me racontait tout, chaque détail alors que j’avais juste besoin qu’elle abrège mes souffrances. Pour finir elle me dit, en plongeant ses yeux droit dans les miens qu’il n’était pas vraiment satisfait du contenu de mon écrit et ....... Que samedi prochain, j’allais devoir venir passer l’oral !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! OUI Tata, vous avez bien lu, samedi je suis invitée à venir défendre chez lui et ratt****r mes points de retard !!!!!! Alors j’ai demandé à Lilou à quelle heure nous irions chez lui et mon enthousiasme s’est transformé en angoisse..... elle a sorti de sa poche une carte de visite avec l’adresse de son « parrain » et dit que je devrai me présenter à 14h précise, seule chez lui !! J’avais l’impression d’être sous une douche le corps à moitié aspergé d’eau froide tandis que l’autre était dans l’ébullition. Cette fois, j’ai les cartes de mon destin en main et je ne peux plus compter sur elle pour faire avancer les choses. J’ai pas pu m’empêcher de lui poser une tonne de questions sur ce que je devais faire ou ne surtout pas faire pour éviter de me vautrer dans l’exercice. Comme si je la croisais à la sortie de l’épreuve avant de rentrer dans la classe et affronter les profs. Glaner un maximum d’informations et éviter les pièges tendus. Pour toute réponse, j’ai obtenu qu’il me fallait rester naturelle, ne pas en faire trop, utiliser un vocabulaire correct, il est très à cheval sur les bonnes manières. Il a le titre de Comte même si n’aime pas trop en parler, il est issu d’une famille noble. La seule information importante de la part de Lilou fut de me prendre la main de me tourner le dos et poser le bout de mes doigts à l’endroit où devrait se trouver l’attache de son soutien-gorge. Elle n’en avait pas, elle sortait de chez lui, j’avais le bout de mes doigts là même où quelques heures avant, il avait posé les siens !! Je sentais presque sa présence sur le dos de Lilou, c’était magique, vraiment Tata. Alors voilà, j’ai passé ma séance de gym en équilibre sur la poutre de mes angoisses et une fois rentrée à la maison, j’ai ouvert ma garde-robe pour trouver ma tenue d’entretien d’embauche. Je ne sais pas, vraiment je n’ai aucune idée de ce que je porterai dans 3 jours. Oh mon dieu je vais passer trois jours d’angoisse à ronger mon frein, je me connais Tata je vais être sujette à renoncer, à aller en cachette voir où se situe sa maison pour tenter de l’apercevoir. Je n’aime pas cela et pourtant d’un autre coté j’avoue adorer me sentir torturer. Vous en savez quelque chose Tata, je ne suis bien que sur la bascule. Je vais me faire descendre la tension en m’allongeant, je suis trop chargée d’électricité. Je vous embrasse Baiser La Puce   Chère Tata, J’ai l’impression d’être à ma première communion, fébrile dans l’attente de la cérémonie, merci de me chaperonner. Oui c’est une très bonne idée de m’entraîner à lire à voix haute, on ne sait jamais si il me soumet à l’épreuve de la lecture. Je vais lire plusieurs pages de plusieurs romans pour avoir une élocution impeccable. Merci beaucoup je n’y avais même pas pensé. Par contre pour ce qui est de votre suggestion concernant ma tenue.... comment vous dire, la robe turquoise don’t vous me parlez, souvenez-vous... Lorsque la vendeuse est venue à votre demande donner son avis en nous rejoignant dans la cabine d’essayage, elle n’a pas osé vous contredire tellement vous vouliez faire cet achat mais ses yeux en disaient aussi long que la robe était courte, c’est peu dire !! J’avais du mal à m’asseoir ayant trop peur que tout le monde voit ma culotte. Vous semblez oublier que sur le marché, même si c’était par jeu, vous m’aviez tout de même dit dans le creux de l’oreille que je devrais avoir honte de me promener ainsi. Maintenant que c’est du passé, je peux vous dire qu’au retour de mes vacances, j’ai punie ma Barbie de la même façon en lui coupant une robe jusqu’à presque voir ses fesses et je lui faisais la morale comme vous avec moi, je prenais toujours une voix plus grave tellement j’avais honte d’employer les mêmes mots que vous. Tata chérie, si je veux arriver jusqu’à la porte, soit je pars de très bonne heure pour pouvoir traîner le poids de tous les pervers de la ville accrochés à mes chevilles ou plus simplement ,j’opte pour quelque chose de plus discret et moins moulant car depuis Tata , j’ai pris un peu de volumes. Je sais que je ne suis ni grande ni grosse mais quand même. Ceci dit je l’ai gardée même si je ne l’ai portée que deux fois et uniquement avec vous, elle est toujours là dans ma penderie, pleine de souvenirs mielleux. Je vais mettre un pantalon cigarette, ainsi mes jambes seront noyées dans le tissu, je ferais moins maigre du bas et pour le haut puisque je ne devrai pas porter de soutien-gorge, je vais mettre un chemisier large blanc. Je pense que ce sera pas mal et fera soigné. Par contre Lilou m’a dit de rester naturelle mais je ne sais pas comment interpréter cette info, maquillage ou pas, boucles d’oreilles ou non, cheveux lâchés ou stricts, c’est le flou total, donnez-moi votre avis en évitant de me conseiller les nattes et les boucles d’oreilles avec des nounours roses !! Je dois vous quitter, j’ai cours dans trente minutes je file. Mon dieu si les autres filles de ma classe savaient !! De toute façon, elles ne me croiraient pas. KissLa puce Ps : Oui je pense aux images Tata, mais j’ai vraiment du mal à ouvrir la boîte de Pandore, je suis désolée. <font _mstmutation="1" _msttexthash="5542643730" _msthash="447">Ma chère Tante épisode 8 Chère Tata ,Voilà c’est demain, lorsque je vais me lever si j’arrive à dormir cependant je vais me voir dans le miroir en m’imaginant le traverser pour plonger dans l’inconnu. Here j’ai été tentée d’aller voir Lilou lui demander des derniers conseils, sur si je devais mettre des talons ou plutôt rester en basket. J’ai finalement choisi la discrétion, de toute façon me promener dans la rue, il habite de l’autre côté de la ville en talons hauts, j’ai pas assez d’entraînement, je finirais aux urgences avec une cheville foulée. Here pour me rompre les amarres avec mes boulots d’avant, j’ai décommandé la séance de baby-sitting et celle de l’aide aux devoirs. Alea Jacta Est désormais, le Rubicon va être franchi. J’ai suivi votre conseil Tata, je ne me suis pas touchée depuis hier soir mais vous savez, si vous pensez que d’y aller sous tension de bassin pour garder mon inconscience, j’espère que ça ne me fera pas l’effet inverse !! J’ai lu encore ce soir, je suis devenue une vraie pro dans le domaine, j’espère juste que Monsieur le comte ne sortira pas de vieux grimoires poussiéreux en vieux François ou plus grave, ces trucs érotiques don’t Lilou m’a dit qu’il était friand d’écoute sans m’en dire plus car moi je me suis entrainée avec du Zola, Victor Hugo et Stephen King !! Mes affaires sont sur la chaise pliées prêtes à être enfilées, j’ai mis pour dormir chose inhabituelle un soutien-gorge, histoire que demain lorsque je n’en porterai pas, la sensation soit plus vive de sentir le frottement du tissu sur la pointe de mes seins. J’ai les bouts de doigts tout énervés mais je vais tenir bon Tata. Bon pour les images, j’avoue que ce n’est pas le moment de replonger dedans sinon je ne vais pas pouvoir tenir longtemps alors promis, si demain ça se passe bien, je vous en donnerai quelques-unes qui ont le pouvoir de presser ma petite cervelle comme un agrume et d’en récolter du jus par le bas. Je crois que vous devriez venir m’attacher les mains aux montants du lit ou me mettre des gants de boxe, dès fois qu’en rêvant mes mains veuillent accompagner mes songes. Kiss La puce Chère Tata, Il est 18h30, je reviens de là-bas.... mon message sera court mais vous en comprendrez le sens. Je file m’allonger j’ai trop chaud en bas des reins. A tout de suite Kiss La puce </font>Ma chère Tante épisode 9 Chère Tata , J'ai encore les doigts embaumés de moi, j'ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j'ai laissé des cristaux de désir au fond de la boite, lorsque j'aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j'irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui TOUT absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j'ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!!!!C'était !!!!! Hummmm c'était .......au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j'étais loin de m'imaginer vivre des moments pareils !!!!J'ai croisé celui dont j'ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m'emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir....Alors d'abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir j'ai regardé attentivement mes seins lorsque j'allais boutonner mon chemisier, j'ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c'était les siens. J'ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m'a dit que j'étais mignonne aujourd'hui sans se douter que j'allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j'ai senti mes tétons durcir sous l'effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j'aurais pu m'allonger à l'étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J'avais la sensation que malgré ma tenue somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d'Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!!!!»Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j'étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il? Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m'atteindre. Je n'ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l'entrée et j'ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée .La porte s'est ouverte, j'ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu'au moment d'effleurer la tétines sonore, la porte s'est ouverte et je l'ai vu !!!!!!Oh Tata ce n'est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noel me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l'envie de m'asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !!! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu'il vous capture dans ses filets, impossible de s'en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n'est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraiche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c'est profond moins je m'ennuie. J'ai toujours été passionnée par l'archéologie plus il y a de strates et d'humus plus je me réjouis de découverte à venir...Je poursuis Tata ...Alors il m'a invitée à rentrer, j'ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l'allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi,‌ il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes. ‌‌J'avais l'impression qu'il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l'onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu'au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l'oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m'inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d'ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l'usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j'entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J'étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu'il dû répéter une seconde fois la question que j'avais vu s'éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j'avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m'évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis. Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l'a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu'à mon visage pour fixer mon regard. C'était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c'est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j'avais le sentiment qu'il détaillait la moindre de mes courbes, qu'il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C'était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant voilà c'est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j'aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu'on lui fasse la lecture, les érotiques .Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j'ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m'indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j'aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j'ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !!! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j'en passe dont j'ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J'ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !!!!Bref j'étais sans avoir eu le temps de m'adapter mise en condition. En fait j'avais beaucoup de mal à imaginer cet homme lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu'ils voient ne serait-ce qu'un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j'ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n'y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l'étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l'emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boite en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n'était pas la peine, j'avais ce qu'il fallait à la maison et j'ai bien senti que lorsqu'il insista, j'avais la tête dans le collet alors j'ai ouvert la boite pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles Lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J'ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j'ai choisi d'emporter avec moi celle qui m'avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n'ai pas résisté à l'envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n'est pas nue mais c'est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs tellement ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu'elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l'on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d'oeil alentour et l'étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j'ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j'avais eu raison que je devais connaitre son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J'avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l'autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu'est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n'attendait pas de réponse, me demanda d'enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J'ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j'ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j'ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j'ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre.....Pour ce bref passage chez lui, j'ai tout de même gagné 20 euros, certes c'était moins que ce que j'aurais dû gagner si j'avais été faire de l'aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j'y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l'aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m'a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j'ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d'avoir la gentillesse et l'obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d'apporter une photo de moi nue !!!!Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j'étais le genre de fille à m'étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !!!!Je n'ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion .Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu'il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu'à la porte, avant que j'en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d'au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m'interpella d'une voix chaude alors que j'avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa: " c'est la règle pour venir travailler chez moi ".Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m'appelle depuis tout à l'heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j'ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !!!!J'ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu'elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l'argent appelle l'argent. Je file Tata, j'espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l'aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que......Kiss La puce Ma chère Tante épisode 10 Chère Tata , J’ai encore les doigts embaumés de moi, j’ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j’ai laissé des cristaux de désir au fond de la boîte, lorsque j’aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j’irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui tout absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j’ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants, je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!! C’était !!! Hummmm c’était ....... Au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j’étais loin de m’imaginer vivre des moments pareils !! J’ai croisé celui dont je n’ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m’emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir.... Alors d’abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir, j’ai regardé attentivement mes seins lorsque j’allais boutonner mon chemisier, j’ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c’était les siens. J’ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m’a dit que j’étais mignonne aujourd’hui sans se douter que j’allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j’ai senti mes tétons durcir sous l’effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j’aurais pu m’allonger à l’étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J’avais la sensation que malgré ma tenue, somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d’Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!! » Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs, ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique, et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j’étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il ? Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m’atteindre. Je n’ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l’entrée et j’ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée . La porte s’est ouverte, j’ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu’au moment d’effleurer la tétines sonore, la porte s’est ouverte et je l’ai vu !!!! Oh Tata ce n’est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noël me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l’envie de m’asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu’il vous capture dans ses filets, impossible de s’en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller, je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n’est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraîche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c’est profond moins je m’ennuie. J’ai toujours été passionnée par l’archéologie plus il y a de strates et d’humus plus je me réjouis de découverte à venir... Je poursuis Tata ... Alors il m’a invitée à rentrer, j’ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l’allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi, il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes.J’avais l’impression qu’il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l’onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu’au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l’oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m’inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d’ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l’usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j’entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J’étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu’il dû répéter une seconde fois la question que j’avais vu s’éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j’avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m’évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis. Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l’a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu’à mon visage pour fixer mon regard. C’était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c’est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j’avais le sentiment qu’il détaillait la moindre de mes courbes, qu’il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C’était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant, voilà, c’est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j’aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu’on lui fasse la lecture, les érotiques . Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j’ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m’indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j’aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j’ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j’en passe don’t j’ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J’ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant qu’elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !! Bref j’étais sans avoir eu le temps de m’adapter mise en condition. En fait, j’avais beaucoup de mal à imaginer cet homme, lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu’ils voient ne serait-ce qu’un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j’ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n’y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l’étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l’emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boîte en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n’était pas la peine, j’avais ce qu’il fallait à la maison et j’ai bien senti que lorsqu’il insista, j’avais la tête dans le collet alors j’ai ouvert la boîte pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J’ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j’ai choisi d’emporter avec moi celle qui m’avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n’ai pas résisté à l’envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n’est pas nue mais c’est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs Téléchargément ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu’elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l’on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d’œil alentour et l’étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j’ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j’avais eu raison que je devais connaître son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J’avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l’autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu’est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n’attendait pas de réponse, me demanda d’enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J’ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j’ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j’ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j’ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir, je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre..... Pour ce bref passage chez lui, j’ai tout de même gagné 20 euros, certes c’était moins que ce que j’aurais dû gagner si j’avais été faire de l’aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j’y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l’aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m’a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j’ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d’avoir la gentillesse et l’obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d’apporter une photo de moi nue !! Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j’étais le genre de fille à m’étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !! Je n’ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion . Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu’il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu’à la porte, avant que j’en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d’au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m’interpella d’une voix chaude alors que j’avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa : " c’est la règle pour venir travailler chez moi « . Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m’appelle depuis tout à l’heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j’ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !! J’ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu’elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l’argent appelle l’argent. Je file Tata, j’espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l’aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que...... Kiss La puce   Chère Tata, Si j’ai lu le roman ? Oui j’ai commencé à le lire, here soir, à voix basse pour m’imbiber des mots mais pas seulement avec des mots car pour répondre à votre seconde question, Oui aussi.... Je n’ai pas pu m’empêcher après. J’étais tellement tendue de ma journée passée. Je me suis réveillée en croyant presque avoir rêvé ce que j’avais vécu. C’est incroyable non ? Cet homme d’un autre âge ! Noble, excusez du peu. Sa classe, je l’imaginais m’interpeller, un porte cigarette aux lèvres, un haut de forme vissé sur le crâne, et me dire « Mademoiselle, songez à mettre une jupe afin que je puisse vous trousser impunément !! » Et moi de répondre " je n’y manquerai pas, Monsieur le Comte « Je rigole mais franchement j’adore sa façon de me vouvoyer, ce décalage étrange et terriblement érotique pour me faire la demande avec style de ne pas oublier de lui apporter un petit biscuit de moi à ranger dans sa boîte la prochaine fois. Franchement, j’avoue ne pas savoir avec quelle photo venir et je n’ose pas imaginer la tête que pourra faire lilou si elle me voit dans la boîte. Je ne vais pas pouvoir lui dire que j’ai rangé, sous ma pile de pull, à l’intérieur d’un roman érotique, ses seins à peine voilés et son visage d’ingénue. Impossible, vraiment impossible de lui en parler. J’espère que Monsieur Richard aura la délicatesse de ne pas le lui expliquer par quel tour de magie elle aura disparu de la boîte pour qu’une autre colombe y apparaisse. Non vraiment Tata je ne sais pas quelle photo apporter, j’ai encore le temps de réfléchir. En tout cas ce qui va être je le sais d’avance bizarre c’est ce sentiment d’excitation que je vais vivre, de devoir choisir de quelle façon, comme il le dit avec tellement d’élégance, il va me sentir plus que me voir nue et l’état inverse dans lequel je serai lorsque je vais apporter mon pur beurre pour rejoindre les autres filles !! Oui tata il n’y avait pas que lilou dans la boîte à gâté !! Je ne sais pas vraiment, je n’ai pas eu le temps de compter, ni de farfouiller, j’ai pas votre facilité avec ces choses-là moi. Peut-être quarante, cinquante photos, des filles brunes, rousses, métisses j’ai pu voir aussi bref cet homme aime les femmes, c’est indéniable et plutôt pas mal ce qui fait du bien je l’avoue à mon égo. Ben quand même Tata, j’ai le droit d’en profiter un peu je crois, je passe mon temps à voir les filles phares de ma classe jouer les tournes culs à la sortie du lycée, ne jamais monter dans les mêmes voitures, ni avoir les mêmes pères ou frères.... Alors pour une fois que Cendrillon est invitée au bal même si c’est pour faire le ménage et la lecture, je ne vais pas me priver. Oui je fais attention Tata, franchement il a plus l’allure du père Noel que du Fouettard et je suis même certaine que vous même vous auriez pris un malin plaisir à me faire aller sur ses genoux dans une jupe trop courte pour au pied d’un sapin, dans une galerie marchande ,nous prendre en photo !! Non, vraiment je ne prends pas de risques sinon de devoir changer de culotte plus souvent chaque samedi au retour. J’étais certaine que vous trouveriez Lilou craquante et merci de me dire votre préférence pour..... « ma p’tite gueule de fouine malicieuse ». Je le prends comme un compliment, ne vous inquiétez pas. J’ai toujours aimé votre vocabulaire même dans les moments torrides surtout dans ces moments là d’ailleurs. La façon soudaine où vous devenez ogresse. Je la redoute souvent mais presque implore le sacrifice sur l’autel de votre vice. Vous voyez bien Tata, je ne vous oublies pas, même si on est loin l’une de l’autre, la preuve vous êtes la seule avec Lilou et encore je ne lui avoue pas tout, à qui je puisse me confesser librement. Mais bien sûr Tata, si on se revoit, vous pourrez encore de temps en temps en cachette dans la cuisine pendant que le reste de la famille vous croira en train de touiller la salade glisser vos doigts dans ma culotte ou mon corsage pendant que je couperai le saucisson sans broncher. J’aime oui ces moments où de façon fugace la folie s’empare de vous sans savoir ni quand ni où sans crier gare vous allez soulever ma jupe et me tâter les fesses. Je ne peux pas vous dire mieux pour vous persuader de ne pas avoir à être jalouse de mon comte. C’est une façon de gagner de l’argent et joindre l’utile au très agréable. Depuis le temps que je ferme les yeux en imaginant un homme mûr, laissez-moi au moins le plaisir de savourer enfin ces instants magiques. J’adore votre réaction Tata, ce mélange de « vas-y mais pas trop « , comme quand vous exhibiez votre poupée dans la rue et deveniez soudain tigresse lorsque vous sentiez que d’autres voulaient jouer avec !! Je vais devoir partir en cours, rejoindre mes camarades, certaines seraient surprises si un jour j’arrivais en carrosse devant le lycée !! Oui, Tata, on peut dire que vous avez de la suite dans les idées vous, je n’ai pas montré toutes les images qui sont dans mon livre secret. OK, pour vous en offrir quelques autres, de toute façon ce sera bientôt que des souvenirs d'******* comme on regarde ces cahiers d’écolières avec un brin de nostalgie dans les yeux. J’entre dans une nouvelle ère !!!! Kiss La puce   Bonjour Tata, Oui, bien sûr que oui, certaines images doivent vous émouvoir et vous rappeler certaines choses. Vous n’allez tout de même pas penser qu’elles sont arrivées par hasard dans mon petit cahier de nuit ? Toutes ces photos, chacun des tableaux, des dessins sont autant de petits cailloux que j’ai déposés au fur et à mesure de mes découvertes, ce sont autant de petits cailloux égrainés de ma culotte qui me ramènent vers mon *******. Bien sûr qu’il y en a d’autres, mais sachez que ce ne sont pas forcément les plus torrides qui déclenchèrent en moi les plus grands remous. A bien réfléchir, suis-je si différente de monsieur Richard ? Certes mon cahier d’images est bien moins fourni que le contenu de ce placard mais la finalité reste la même, éveiller les sens. Et pour répondre à votre question, même si le biscuit de mon corps ne parait pas à mes yeux capable d’être savouré autant que les autres, et bien Oui si je pouvais contribuer à déclencher à ses yeux une émotion, j’en serais ravie et honorée. Je ne crois pas que cet homme puisse faire les choses don’t vous parlez si crûment. En tout cas si cela lui arrive, je ne pense pas qu’il le fasse avec moi, il préfèrera rejoindre les filles si avenantes en couverture plutôt que mon corps modeste. Je suis vraiment surprise par sa façon aussi rapide de me dévoiler son univers, ses secrets, il y a chez cet homme un savant mélange entre patience et immédiateté. Il ne s’embarrasse pas comme moi avec des pudeurs des secrets. En fait, il va exactement là où il souhaite aller, sait viser juste, il peut ainsi se permettre de perdre du temps, bien le répartir. Sa façon de viser juste là où devrait se joindre mon soutien-gorge est révélatrice. Cet homme me fascine, en une heure, il est parvenu à ouvrir tellement de portes, je ne sais pas laquelle il me fera franchir et je m’en moque je crois. Je ne vais pas me poser de questions, samedi je vais aller chez lui vêtue d’une jupe, poitrine libre sous mon chemisier, mon roman sous le bras avec glissé dedans lilou et ma contribution. Oui Tata, c’est une très bonne idée que de me suggérer de toujours lire à voix haute seule afin de maitriser ma diction. Vous auriez dû être prof, vous savez toujours trouver le mot, le conseil juste, comme la punition aussi lorsqu’il le faut..... Je vais tâcher, chaque soir de lire, reconnaître le terrain pour éviter les pièges et faire bonne figure samedi. Je n’ai toujours pas choisi quelle biscotte je vais glisser dans sa boîte à friandises, en tout cas merci pour vos suggestions, votre regard et plus affûté que le mien sur les émotions que ma plastique peut déclencher. Je vais éviter de réfléchir et oui peut être suivre vos conseils cela m’évitera de me torturer la cervelle comme vous le dites si bien, je sais combien vous préférez tendre les cordes. Bon ok, je vous laisse le choix. Je ne sais pas comment je vais être mercredi lorsque je retrouverai Lilou à la gym, cette fois, je risque d’être beaucoup moins bavarde et curieuse. Trop peur de dire des bêtises, je verrais sur place. Finalement, je me sens de moins en moins maîtresse de mon destin, moi qui disais que le hasard n’avait pas beaucoup de place dans mon univers intime, je suis en train doucement de lui entrouvrir la porte avec je l’avoue une certaine délectation. Comme une feuille tombée dans le cours d’une rivière, je me laisse emporter on verra bien où le courant m’entrainera. Je file Tata A bientôt. Kiss La Puce   Chère Tata, On peut dire que vous êtes réactif, je ne pensais pas avoir une réaction aussi rapide de votre part !!! Oh vous croyez vraiment que la photo dont vous parlez sera la plus, comment dire ... chargée en émotions ??? Je ne me trouve pas si ... Mais bon puisque j’ai dit précédemment accepter sans discuter votre choix, il en sera ainsi. J’espère parvenir à ne pas le décevoir !! Réponse samedi. Oui tata. Oui je vous ouvre encore un peu plus ma boîte à images, cela me fait drôle de mettre mon âme à nu, vous semblez avoir un tel appétit de secrets. Voilà encore de quoi le rassasier donc et tant pis si je passe pour une ...... comme vous le dites si bien lorsque vos yeux s’enflamment et que je devine combien il va m’en cuire . Oui pour Lilou je vais faire comme vous dites la laisser venir, c’est bien plus malin en effet Tata, ne pas dévoiler mes intentions comme dans une partie de poker. Encore merci de me conseiller aussi bien à distance. Non malheureusement je ne pourrai pas être là aux prochaines vacances, maman n’a pas prévu de partir, elle vient de trouver un boulot et moi j’ai l’intention de gagner pour me payer mon permis alors sans vouloir vous manquer de respect je pense que Monsieur Richard verrait d’un mauvais oeil si je devais lui dire que je devrais être absente. Je n’ai pas envie de couper le fil si fraîchement tissé entre lui et moi et voir mon biscuit couvert par la farine d’une autre. Merci de comprendre mais promis lorsque je pourrais j’irai en cuisine couper le saucisson et me faire..... Touiller la salade par vos soins. Kiss La Puce‌ Tata, Je reviens de la gym , j’ai fait comme vous me l’avez si bien conseillé, laisser le soin à Lilou de dévoiler son jeu, ne pas parler la première du Comte. Je n’ai pas eu besoin d’attendre longtemps . Elle m’a dit que son " parrain « , ça me fait toujours drôle lorsqu’elle parle de lui ainsi, j’ai l’impression de rentrer au service de sa propre famille sans savoir exactement quelle sera ma place et mon grade, était enchanté de m’avoir rencontrée et qu’il avait hâte d’être samedi pour voir si je lisais bien. Bon en fait rien de très précis. Je me demande si elle me cache des choses à la demande du comte, si elle joue à ne pas trop m’en dire ou si c’est lui qui cloisonne ainsi notre façon de travailler à son service, par souci peut-être de ne pas nous mettre en rivalité ou je ne sais quoi d’autre. Je me pose tellement de questions, toujours est-il que lilou n’a pas dit grand-chose même sur le chemin une fois la gym finie nous n’avons finalement pas du tout parlé de lui et de nous. Juste avant de nous quitter, elle m’a rappelé que je ne devais aller là-bas que vêtue d’une jupe ou une robe et jamais plus basse que les genoux. Moi qui n’en ai pas beaucoup, je vais essayer d’en trouver une pas trop chère que maman pourra me payer. Pas facile en ce moment côté finances à la maison, mais si cet investissement me permet de gagner plus.... J’ai bien lu le roman, déjà 100 pages, je répète à voix basse chaque fois que je peux. Ca va pas de passages trop osés, c’est de l’érotisme doux, je devrais m’en tirer pas trop mal et à lire c’est assez facile, fluide. Je me vois bien dans cette fille qui découvre le pouvoir qui apparaît avec ses formes naissantes. Bon maintenant je dois passer à..... confesse, le mot est finalement très juste, même si j’avais pu, vu vos questions et le ton employé le découper en deux parties. Oui tata j’aime ces dessins obscènes aussi sur lesquels on vOit les filles tartinées par du jus de sexe, même si jamais encore je n’ai pu voir et moins encore, reçu sur moi du sperme. Ce n’est pas parce qu’on a pas d’argent que cela interdit de saliver devant une meringue en vitrine si je voulais trouver une image !! Je ne sais rien de l’odeur, de la façon dont cela sort de la verge, de la consistance réelle, du parfum que cela dégage, BREF je suis plutôt en manque de connaissance sur le sujet, je veux dire concrètes en direct. Oui Tata Oui j’ai déjà fantasmé me faire tartiner la peau le corps avec du jus de ...., Oui j’ai mis un S au bout, plutôt qu’un préservatif. Je me souviens en sixième avoir surpris la conversation de deux grandes qui étaient en troisième, l’une disait à l’autre que le sperme avait le pouvoir si on se massait la poitrine avec, de la rendre plus ferme voir même de la faire croitre, alors imaginez ce que cela a pu engendrer chez moi d’images, lorsque je faisais faire à mes doigts leur promenade nocturne avant de tirer les volets de mes yeux !!! Combien de fois me suis-je imaginée passant sous des douches chaudes !!! Et toujours aspergée par de vieux tuyaux...... Oui c’est ainsi Tata, pour X raisons et des raisons X j’aime les sexes d’hommes mûrs, les autres filles se barbouillent les doigts avec les vedettes en couleurs, moi je trempe mes pinceaux dans le noir et blanc. Oui Tata, Oui je sais déjà par quels adjectifs vous allez m’affubler, j’assume mes rêveries, mes fantasmes et mes orgasmes qui en découlent. J’assume à ce point que oui monsieur le comte me verra dans mon deux pièces, que s’il veut en secret se donner du plaisir en s’imaginant tirer sur les cordeaux de ma culotte alors qu’il le fasse et que grand plaisir lui vienne de moi. Oui Tata oui j’ai encore des dessins, ils viennent de la fois où j’ai été en vacances chez un cousin de maman, quelqu’un les avait caché dans une malle du grenier, au dessus de bandes dessinées pour enfants. Drôle d’endroit pour une planque, je ne vous raconte pas le choc ressenti ce jour-là, je n’avais pas encore *********s !! Les voici ces images puisque vous ne manquerez pas de me les réclamer. Il se fait tard, mes doigts réclament leur promenade..... je vous laisse Kiss La Puce   Chère Tata Samedi, voilà enfin Samedi, que la semaine a été longue, j’attendais d’en arriver au bout et pouvoir écrire une nouvelle page. Je pense que ce soir j’aurais beaucoup à vous raconter. Il me tarde de me retrouver sur le perron, faire frémir le téton de sa sonnette. J’ai trouvé une jupe pas trop chère, maman a cédé sans trop résister, j’ai mis un chemisier blanc léger, il fait si lourd aujourd’hui, l’atmosphère est électrique. Non tata, je n’ai pas lâché mes cheveux comme vous me le demandiez et je ne pense pas que j’oserais le faire plus tard. Je n’ai pas votre malice pour l’obliger à fouiller ma crinière afin de trouver l’endroit exact où aurait dû s’agrafer mon soutien-gorge pour perturber son protocole. Désolée, c’est déjà terrible pour moi de lui dévoiler mon corps pas maquillé tel que vous l’avez souhaité. Je vais me sentir gênée de devoir lui tendre ma photo, mon dieu ce moment va être chargé d’émotions, je n’en doute pas un instant. Je ne vois pas pourquoi vous me demandez de vous la remontrer mais puisque j’ai refusé le caprice précèdent je vais céder au suivant... Je vous fais plein de bisous et merci de croiser les doigts pour m’éviter de me vautrer lorsque je serais en lecture. Un plus tard. Kiss La puce.   Chère Tata, Mon Dieu, quel après-midi mouvementé. J’ai l’impression que la semaine est si plate comparée aux quelques heures, bien trop courtes mais si denses du samedi !! Déjà tout avait mal commencé, maman avait besoin de moi pour faire des courses, il a fallu donc l’accompagner, elle a passé son temps à chercher les prix les plus bas, j’ai bien cru que nous finirions avec une pelle et une pioche dans les rayons du magasin. Et elle n’a pas trouvé son shampoing alors il a fallu aller dans l’autre supermarché pour enfin trouver le Graal. Pendant ce temps les aiguilles tournaient et lorsque je lui disais, en tapant du pied par terre que j’allais être à la bourre, elle me répondit que je n’avais qu’à passer un coup de téléphone pour prévenir les parents, ils comprendraient facilement. Sauf que je me voyais mal faire attendre la noblesse et me présenter à sa porte ne serait-ce qu’une minute en retard . Et cette mamy qui s’en mêla, elle n’arrivait pas à faire son créneau, bloquant ainsi la circulation, j’avais envie de lui arracher le volant des mains, la poser sur le capot et faire mes premiers essais de conductrice quitte à froisser de la tôle. Une fois enfin arrivée à la maison j’ai juste eu le temps de mettre ma livrée, de vérifier pour la énième fois que j’avais bien le goûter de Monsieur Le Comte, glissé dans les pages du Roman. J’ai zippé la fermeture , fait glisser les sangles du sac à dos sur mes épaules, le tout dans une chaleur exténuante et un énervement idoine. Le bus, et bien le bus je n’ai eu le temps que de voir ses fesses, oui il était déjà loin et je me voyais mal lui courir après alors j’ai commencé à marcher, je n’avais pas envie de patienter debout sous l’abri, en plus il y avait un groupe de jeunes plutôt agités et je me voyais mal dans ma tenue devoir m’impatienter presque 10 minutes pour que le suivant survienne. Alors j’ai marché d’un pas pressé, côté ombre, des gouttes de sueur commençaient à perler et l’aiguille de ma montre trottait plus vite que moi. Le ciel lui aussi entra dans la danse, à croire que le destin ne voulait pas de moi ou faisait tout pour me faire rebrousser chemin !! Maïs vraiment !! J’ai tout de même bénéficié d’une éclaircie en voyant le bus arriver alors que j’étais à dix mètres de son arrêt. Le temps de souffler quelques minutes avant de voir s’écraser lourdement les premières gouttes sur la vitre. Les premières car la suite fût dantesque, une averse orageuse au moment même où la porte s’ouvrit alors qu’il me fallait encore gravir la colline, courir car bien entendu je n’avais pas songé à prendre un parapluie ni un blouson avec capuche !! Alors j’ai couru sous la déferlante, comme une forcenée, par miracle la grille était ouverte, sans doute avait-il voulu m’éviter de prendre la saucée. J’ai ainsi pu quatre à quatre gravir les marches du perron pour me réfugier sous la verrière et ..... Rater la dernière marche, m’étaler de tout mon long sous la marquise de verre pour voir la porte s’ouvrir et me retrouver la bouche et les yeux à Comte d’hauteur. Je ne vous raconte ma honte !! Ah pour être à l’heure je l’étais mais de quelle façon !! Heureusement oui heureusement que cet homme avait le sens de la répartie et savait comment redresser les situations les plus embarrassantes, me tendant une main pour que mon corps retrouve sa dignité. Il me fit rentrer, en oublia même le protocole pour palper mon revers. Mais très vite, je compris son sourire en découvrant dans le miRoir le petit rat trempé que j’étais devenu. Et surtout, Tata, impossible de ne pas songer à vous, d’avoir ainsi convoqué le diable au bal, mon chemisier, sa blancheur immaculée était moulée à mon buste, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir mes médaillons rosés accrochés à mon buste !! Pourquoi n’avais- je pas obéis ? Lâchée, ma chevelure, même trempée, aurait pu masquer mon impudeur. Il me fit rentrer, me dit que j’allais pouvoir me sécher que j’aurais dû attendre que l’averse cessa, que j’étais bien imprudente d’avoir couru sous l’orage, bref réagit comme un père l’aurait fait, des mots doux, teintés de précautions, d’attentions.il me montra la porte de la salle de bain, afin que je me sèche, n’ayant pas de vêtements, J’allais devoir garder mes effets mouillés. Imaginez Tata, seule face à la glace de l’armoire au dessus du lavabo, chemisier collé à la peau, heureusement que ma jupe avait mieux résisté aux assauts de la pluie, rien pour me changer, juste une serviette pour sécher mes cheveux. Et j’allais devoir retrouver un septuagénaire pour lui faire la lecture, assise face à lui !! J’ai tout de même retiré mon haut, me suis épongée la poitrine, j’ai fait comme j’ai pu pour retrouver un peu de bienséance et de pudeur et j’ai fait tomber ma crinière sur le devant. C’est alors que je me suis rendue compte que dans le tumulte de mon arrivée, il avait abandonné le Vous au profit du Tu. Sans doute j’avais franchi un pas, en seulement deux visites j’étais parvenue à trouver mon espace auprès de lui. J’étais si fière Tata et troublée, je vous l’avoue de maintenir les règles de bienséances en continuant de le vouvoyer. Je trouve cela bien plus érotique, vouvoyer un homme mature qui me Tutoie. C’est presque d’un autre temps, comme ces histoires que je lisais autrefois, dans l’antichambre de l’opéra où de vieux bourgeois venaient conter fleurette aux ballerines. Combien de fois me suis-je imaginée en chaussons lassés, si vous saviez Tata. Dansant dans des salons privés avec mon plateau de tulle, sans rien dessous, ni dessus. Qu’ils admirent mes pointes et ma souplesse. Mais il me fallait le rejoindre, j’avais un travail à accomplir. Il était assis dans son fauteuil, venait d’allumer une pipe, me toisa et lâcha un énigmatique " Dommage « ,et enchaina de suite par cette phrase qui résolu mon questionnement. » Je constate avec joie que tu as songé à mettre une jupe et je remercie le ciel de t’avoir inspiré ce splendide chemisier. As-tu songé à apporter ce que je t’avais demandé ? « C’est totalement fou, Tata, mais à cet instant précis, j’ai ressenti la fierté de l’écolière en ouvrant mon sac, tirant de celui-ci le roman où j’avais glissé mon " devoir " dûment rempli sans presque me rendre compte que je lui tendais mon corps par vos soins emmailloté. Vous étiez là Tata, oui vraiment, je sentais votre présence chaude, par-dessus mon épaule, susurrant à mon oreille vos vils encouragements à tendre ma poitrine, mon visage sans fard et le bassin de mon corps. Un fil accroché à mon poignet, votre maîtrise de pour parvenir à tendre mon bras comme une poupée et obéir aux mouvements de l’attelle. Ma photo était entre ses mains, reliée à lui par vos soins. Comme pour me protéger de cette impudeur offerte et éviter de voir sa réaction, mon esprit s’est envolé, j’étais dans votre cour, je n’oublierai jamais cet après-midi ensoleillé et le lendemain, cette sortie étrange où passagère de votre véhicule et de vos envies, sans sourciller j’ai obéi à vos exigences surréalistes. Pendant ce temps, face à moi, sans un mot, il me regardait la photo dans sa main droite, le regard absorbé, il tira une bouffé de sa pipe sans succès, me posa sur la boîte à gâteaux, prit une allumette pour faire rougir le fourneau et me reprit en main, un épais nuage virevoltait dans le salon. Tata, ce silence était si pesant, si lourd. Pas le moindre mot, aucun commentaire, que les secondes étaient longues. Il finit tout de même pas ouvrir la boîte à biscuits pour m’y glisser dedans et rejoindre les autres. Oh Tata, quel soulagement ce fût pour moi, d’une part mon impudeur était sous cloche et ensuite cela voulait dire que la biscotte choisie par vos soins semblait en mesure de satisfaire son appétit. J’ai juste eu le temps de voir, avec je le confesse une certaine fierté, que mon modeste corps en deux pièces venait de couvrir le visage minaudant de Lilou dévoilant son poitrail vêtue d’un short en jean. Il sortit de l’antichambre du silence, me demanda si j’avais lu le roman et je pouvais lui faire la lecture. J’ai répondu par l’affirmative, retenant mon souffle pour ne pas me vautrer cette fois comme sur son perron. Il s’est levé, et me fit signe de le suivre en salle de lecture !! C’était bizarre, comme quand on change de salle au collège ou au lycée, il fallait donc que je lise dans une salle dédiée à cette matière. Je l’ai suivi jusqu’au grand escalier menant à l’étage. Nous pouvions monter côte à côte mais la galanterie et je l’espère le voyeurisme firent que je me retrouvais deux marches plus haute que lui. Tata que devait-il penser à cet instant croyez-vous ? Il faudra me raconter lorsque je devais gravir ceux de votre maison avec si peu de tissu pour couvrir mes jambes et vos yeux vissés sur mon derrière. Oh Tata , impossible de poursuivre mon écriture, mes cuisses ne cessent de se serrer, j’ai les doigts comme des hameçons, je dois aller.... Pécher. </font>Ma chère Tante épisode 16 Oh Tata !!!!!! Mon Dieu, vous êtes à ce point intéressée par mon odyssée !!! Je me remets à peine de mes émotions que déjà un message de vous !!! Oui Tata, Oui je me suis vidée mais juste un peu, mais pas assez, je ne crois pas y parvenir d'ailleurs, Mon berlingot ne cesse de tourner comme une soupape le ferait, vraiment Tata je me sens sous une pression constante avec mes vapeurs. Parfois je voudrais que l'on m'exorcise, m'attache en croix à un lit, m'égruge le vice, que ma peau soit enduite d'eau bénite gluante afin que le crucifix puisse coulisser au plus profond de mon ventre et puisse expurger mes luxures et que l'on plante tel des clous les orgasmes dans le creux de mon ventre jusqu'à mon dernier soubresaut. Je me sens prisonnière de ce double, comment puis-je être aussi sage en vitrine alors que dans l'arrière salle je me consume ? Oui Tata, je vous raconterai puisque vous m'en offrez l'occasion ce que j'ai ressenti lors de ces vacances si particulières, Oui vous saurez tout sans tabou aucun, pour une fois que la poupée peut enfin ouvrir la bouche pour un autre usage que celui utilisé par vos vices..... Alors Oui je parlerai, ou plutôt je viderai mes poubelles tellement je me suis par moment sentie sale et humiliée par le panel de vos débauches. Mais attention Tata, ne vous attendez pas à mon indulgence, ce n'est pas parce que j'ai joui que je vous épargnerai car il y a des choses Tata......., heureusement que j'étais excitée et manipulée par vous !!!! Pour répondre à votre insistante question, NON Tata, NON il ne m'a pas touchée, rassurez-vous, bien que ce que j'ai vécu était peut être pire que s'il avait glissé sa main sous ma jupe dans l'escalier ou l'enfouir plus tard dans mon corsage. Je découvre combien l'érotisme est un pays aux frontières sans fin, j'étais loin de m'imaginer tamponnée avec autant de visas. Je comprends le regard de Lilou, cette plénitude exprimée lorsqu'elle parle de "Son parrain ". Il me faut poursuivre mon COMTE rendu, nous sommes arrivés sur le pallier, j'avais mon sac à la main contenant le roman et la photo de Lilou là où j'avais cessé de lire. Il me précéda et tout au bout d'un long couloir, nous nous sommes retrouvés devant une porte en chêne, il sorti un trousseau de clés, je trouvais cela insolite pour un homme vivant seul à son domicile, à moins que de temps en temps de la famille vienne le visiter et que des enfants ne viennent jouer et déranger l'ordre de la pièce, les personnes âgées aiment l'ordre ou plutôt détestent faire le ménage ou chercher leurs affaires. Mais lorsqu'il ouvrit la porte je compris tout de suite que les enfants en question voir même les adultes non prévenus auraient été surpris de voir le mobilier et la décoration de cette pièce !!!! Oh Tata , jamais je n'aurais imaginé cela possible !!!! Seules les statues de bronze et de marbre représentant ces filles dans des poses alanguies et tendues, cuisses largement ouvertes sur des pubis lisses, sans compter ce bas ventre masculin coupé au nombril dardant une virilité extrême recouverte de veines si saillantes qu'on aurait pu les imaginer véhiculant du granit de ****, ce gland TATA, mon Dieu ce gland, il ressemblait à un champignon, si large et puissant. Qui avait pu sculpter pareilles oeuvres, qui avait pu poser ainsi, qu'il s'agisse des filles ou de ce promontoire, on aurait pu y pendre un manteau d'hiver tant le promontoire était solide et la courbe parfaite !!!! Il s'est assis dans un fauteuil, je n'ai pas remarqué tout de suite sa facture car il avait allongé ses bras sur les accoudoirs mais soudain j'ai découvert que l'accoudoir de gauche en bois sculpté représentait le corps d'une femme étendue nue de telle façon que les mains pouvaient d'un côté palper sa poitrine dardée vers le plafond tandis qu'à gauche la même sylphide offrait à la paume sa croupe. Des estampes et dessins d'un autre âge mais de moeurs légères couvraient les murs. Non Rien Tata vraiment rien dans cette pièce exprimait autre chose que l'érotisme, J'avais beau tourner les yeux, je ne voyais que stupre, impudeur, libertinage et lubricité. Tout était réuni pour inviter, exciter, sublimer les corps et les envies. Il a attendu quelques instants, sans doute que je digère l'environnement nouveau dans lequel il venait de me plonger puis me demanda de lui faire lecture, j'ai sorti le roman et maladroitement fit tomber Lilou à mes pieds. Alors que j'étais penchée pour la ramasser, il me stoppa, d'une voix nette et sans appel. "Ne bouge plus , reste ainsi !" J'avais la main à quelques centimètres du téton dressé sous le bustier de ma copine, le dos courbé et me rendit compte que de là où il se tenait, il avait vue sur l'entrebâillement de mon chemisier par conséquent ma poitrine offerte. Il ne put retenir un ...."que c'est beau " puis quelques secondes après m'invita à me redresser pour commencer à lire. Alors j'ai dégluti et ouvert le roman pour débuter mon travail, il m'invita à m'asseoir dans le fauteuil plus chaste à trois mètres du sien tandis que sa main droite semblait malaxer doucement la poitrine boisée de l'accoudoir et la gauche palpait les fesses de l'autre côté. Tata, j'avais la sensation qu'il était en train d'empaumer mes seins pendant que j'articulais mes premières phrases. C'était, hmmmm Tata , c'était !!!! J'ai bien lu, vraiment Tata, je ne sais comment vous remercier de m'avoir prodigué vos conseils, vous auriez pu être instit. Seul bémol, parfois j'avais du mal arrivée à certains passages, pourquoi ma main avait choisi ce roman, allez savoir......... On me laisse seule dans le cabinet contrairement à l'habitude, et le docteur me fait déshabiller complètement. - Oh! mais , on devient une grande fille ! Je rougis (je pense Tata que mes joues devaient s'empourprer) de toute ma surface. Qu'est-ce que le docteur peut bien voir ? Il applique son visage sur ma poitrine; dis trente-trois, respire, tousse.... Sa barbe blonde touche ma peau. Pourquoi les docteurs ont-ils des barbes. Je déteste cette sensation. A cet instant Tata, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pu empêcher de marquer un temps d'arrêt, Monsieur Richard m'interrompit pour me dire de ne pas laisser paraître mes propres émotions mais d'être la voix du personnage. ....Et en même temps que je la déteste, je commence à avoir chaud. - Tu as de l'appétit ? Tu n'as pas du mal à t'*******r ? Tu ne te sens pas énervée parfois le soir ? (Mon dieu Tata heureusement que ces questions concernent l'héroïne sinon y répondre moi-même aurait été chose délicate et trop intime) - Tu n'as pas d'insomnies ? A quoi penses-tu le soir ? ( A des mains qui s'aventurent sur mon corps, Tata, des yeux qui m'écartent les cuisses, des ventres qui se frottent au mien et finissent par m'écraser !!!!) C'est un médecin ou un confesseur ? Où veut-il en venir ? Il me saisit le menton et me regarde dans le fond des yeux. - Tu es sage ? Si je suis sage. Qu'est-ce que cela veut dire ? Je me sens l'objet de troubles soupçons, indéfinissables. Vous le savez, vous, Tata, si l'on m'interdisait l'usage salutaire de mes doigts, je serais bonne à interner. Je pense à ces femmes qui à travers les siècles durent subir les jugements des hommes pour mille raisons, seules le corps tendu à se donner bonheur ou enlacées intimement, elles finissaient parfois sur le bûcher de la vanité masculine tandis que les mâles pouvaient en meute battre campagne et violer à tour de bras. Finalement Tata, je suis fière d'avoir participé à vos chasses secrètes lorsque vous me faisiez monter en voiture. Vous agitiez fièrement l'étendard de notre liberté. Voilà, j'ai fini ma rédac, il est 23 heures.De plus maman m'a bien énervée, ne parvenait pas à quitter l'appartement, j'étaisdevant la télé à trépignerintérieurement, l'entendre se demander si ce chemisier irait avec cettejupe, si elle était bien coiffée, allait elle mettre ce bijou ou plutôt ce bracelet.Je n'avais qu'une hâte, quitter le canapé, m'enfermer dans ma chambre et chercher des mots, assembler des phrases, les ajuster... Finalement maman et moi sommes du même bois, elle tergiverse pour se vêtir tandis que moi je fais de même pour me mettre à nue.Enfin elle est partie, vêtue d'un jean et d'un pull, pas la peine de faire tout un cirque pour finir ainsi.Je me suis levée, dirigée vers ma chambre, tournée la clé dans la serrure puis j'ai tourné en rond me demandant quels mots j'allais employer, comment articuler mon texte pour donner du volume à mes seins et les rendre palpable à ses yeux.Qu'il est difficile de parler de soi,décrire son propre corps.Dommage que je n'y connaisse rien au braille, la chose aurait été plus aisée, il lui aurait suffi de glisser le bout de ses doigtssur mes picots pour découvrir le chant de ma peau.Durant 10 minutes j'ai rempli la corbeille à papier, je ne parvenais pas à aligner plus de trois lignes, comment parler d'une poitrine que je passe mon temps à masquer de peur qu'elle soit sujette à moqueries et quolibets.S'il savait combien il m'est difficile une fois sortie de son univers de l'enfermer de nouveau.De dépit je suis retournée au salon et me suis servie un fond de Porto,l'alcool aidant peut être que je parviendrai à débrider ma monture.Je suis retournée dans ma chambre, j'ai défait mon tee-shirt pour la voir, face au miroir, observer ses palpitations, de face, de profil, penchée en avant, ou le buste tendu, mais rien n'en sortait.Je me suis pincée les bouts,à plusieurs reprises, pour les réveiller, qu'ils me viennent en aide comme un styloque l'on presse pour activer le flux de l'encre.Mais rien... pas un mot, ni même de lait !Oh certes mes tétines étaient dressées, affûtées,mais à part une douleur devenue vive, elles avaient plus envie d'être dévorées par unebouche que me parler.Alors je me suis souvenue de ce conseil donné par mon institutrice...."Lorsque vous coincez sur un exercice, inutile de persister trop longtemps, passer au suivant".Aussi j'ai appliqué studieusement l'enseignementet sorti le second devoir que le Comte m'a donné, cette photo, ce maillot de bain, ma mine triste,mon regard interrogateur. Il veut savoir son histoire, qui l'avait prise et dans quelles circonstances.....J'ai longuement fixé mon propre reflet, me suis dévisagée la poitrine et j'ai décidé d'écrire en ricochet puisque mes seins avaient été à l'origine de l'émoi causé chez le photographe, je n'avais qu'à relater cette expérience. Le voyage de mes seins au pays du désir.Soudain, emplis de ces souvenirs, mes mamelons se sont mis à suinter et l'encre acoulé........ Monsieur Le Comte,Ce que vousm'avez demandé me parait difficile, disserter sur moncorps, de surcroit ma poitrine. Je pourrais par confort, aligner des mots, trouver des formules, mais très vite vous parviendriez à déceler derrière ce rideau de lettres, une gêne.Ce n'est pas qu'ils soient insensibles, loin de là, mais je n'ai pas l'âme d'une boutiquière pour les agiter en vitrine ou derrière une vitre à maculer.Je ne vous cache pas, Monsieur Le Comte, que chaque samedi, depuis que je me rends chez vous, ma poitrine se met à vivre, exister, vibrer même je l'avoue.Cette obligation dans notre contrat m'aura permis de mieux comprendre mes seins, les apprivoiser même. Ce n'est pas en enfermant que l'on saisit les choses.Quitter le domicile avec leur liberté ne m'est plus insupportable, le fait de traverser la ville nue sous mes chemisiers, affronter les vents, le soleil et les intempéries m'aide à mieux les connaitre, sentir parfois qued'autres regards aiguisésque le vôtre se détournent à leur passage me procure des frissons.Rien que de songer que je vais devoir samedi vous les dévoiler figés, déballés surpapier glacé me plongedans un exquis embarras.Vous voulez savoir qui est à l'origine de cette photo où j'apparais dans un deux pièces trop étroit ?Plutôt que m'affairer à creuser mon cerveau pour trouver l'inspiration, je préfère vousraconter cette émotion dont ma poitrine fût la source.Vous allez vite comprendre, Monsieur Le Comte, que mes seins ont plus à gagner lorsqu'ils ne m'appartiennent plus, aussi que finalement à bien réfléchir, je pourrais les poser sur un plateau puis quitter la pièce sans que personne n’en prenne ombrage.Ce qui leur est arrivé ce fameux jour n'aurait jamais dû se produire si un être n'avait manqué à sa parole.....J'aurais dû me rendre à Paris, unweekend promis de longue date par unpère si souvent absent, et plus enclin à honorer ses maitresses que les promesses faites à sa propre fille.MaisIl s'était engagé, avait juré tellement fort que je m'étais reculée de peur qu'il ne crache sur mes souliers pour sceller son serment.Leprogramme était alléchant, après quelques heures de route, nous serions allés de musées en boutiques, de restaurants en monuments, et le soir, cerise sur mon gâteau, il m'aurait préparé une surprise,sans doute un diner spectacle dans un de ces cabarets où Lautrec a posé son chevalet.Une bulle d'air, des retrouvailles si souvent avortées. Mon sac était prêt de la veille, il m'avait confirmé la semaine précédente notre rendez-vous.Levée tôt je m'étais apprêtée, maquillée et vêtue, prête à mettre la Capitale à mes pieds et déambuler à son bras sur les grands boulevards.Je guettais par la fenêtre sa voiture, maman s'exaspérait de me voir faire les cent pas et piaffer sans cesse. N'osant me dire que..... que l'aiguille des minutes allait céder sa place à celle des heures et assombrir mon regard jusqu'à ce que coulent sur mes joues les couleurs de la fête. A force de pousser les murs de ma patience, j'avais atteint le jardin des larmes. Son téléphone m'envoyait dans l'antichambre de la lâcheté. Après avoir vidé mon sac dans sa messagerie,j'ai éparpillé celui de mes affaires puis me suis allongée face contre mon oreiller pour éponger mes sanglots.Vous voyez, Monsieur le Comte, j'étais plus disposée à prier le Diable qu'à vouloir louer mes seins.Ma mère avait compris d'instinct, depuis bien longtemps, que cette promesse était un feu de paille, mais chaque fois qu'elle avait tenté de m'avertir, d'un revers de la main j'avais nettoyé son pupitre.Maman voyant ma peine, et pour m'éviter de rester prostrée la journée entière sur mon lit, en cachetteappelaune de mes copines pour lui demander de me changer les idées.Céline, sans me demander mon avis, m'informa queson père ne tarderait pasàvenir me chercher, je n'avais qu'à préparer un maillot de bain, la piscine était à température idéale.Comme une zombie j'ai saisi le premier qui me venait sous la main et attendu que l'on sonne à la porte, un vrai père cette fois, pas de ceux dont les promesses se dérobent au moindre courant d'air, emportant avec elles mes guirlandes d'illusions.Il me conduisit jusqu'à chez lui, tenta maladroitement, à l'aide de formules, d'éponger mon amertume, de trouvermille excuses à l'auteur de ma colère,mais le mal était bien plus profond, trop abyssal.Céline m'attendait déjà dans la piscine, son père ne devait pas rester, il avait à faire en ville et nous serionsseules elle et moi une bonne partie de l'après-midi. Ironie et provocation ultime du sort qui était le mien, sa mère était à Paris avec sa petite soeur. Je suis donc allée dans la salle de bain, j'ai revêtu mon maillot de bain, et penaude,suis sortie pour la rejoindre. Sauf que dans la salle à manger, son père était encore là, semblant attendre je ne sais quoi. Il me contempla des pieds à la tête comme un gamin désargentéface à la devanture du confiseur, à laper ma vitrine du regard. Le silence était lourd, ses yeux suaient. Seuls les plongeons de Céline à quelques mètres de nousparvenaient à le briser. Ilm'assuraque mon père, sans doute, n'avait pu faire autrement, qu'il allait seconfondre en excuses, etsans que j'encomprenne la raison, il tirade sa poche unappareil photo et me fixant, me demandade lui sourire, qu'il était dommage qu'un aussi beau minoispuisse être triste. Je suis restée figée jusqu'à ce que Célinem'appelle.Son père, lacinquantaine passée, revint alors à lui, sembladésappointé, retrouva ses esprits et glissa l'appareil dans sa poche. Sans un mot j'ai quitté la salle à manger, ses pupilles accrochées aux mouvement de mes hanches.Il est venu sur la terrasse, tandisque je plongeais rejoindre sa fille, nous souhaiter un bel après-midi, il reviendrait aux alentours de 17 heures.Nous étions donc seules, l'après-midi déroula sa moiteur, plonger dans l'eau, papoter de tout et n'importe quoi, nous taire, ouvrir un magazine, offrir à Hélios nos deux corps.Céline ôta le haut de son maillot, me dit que je pouvais en faire de même, pas de voisins. Alors j'ai fait glisser mon soutien-gorge.Il n'était pas encore 16h lorsque j'ai regardé ma montre, je ne voulais surtout pas que son père me voit ainsi dénudée. Mais alors que Céline était partie chercher des rafraîchissements en cuisine, j'ai entendu le même déclic que celui de la salle à manger.Tel un chat rentré plus tôt que prévu, son père était parvenu jusqu'à moi pour, muni de son troisième œil figé dans l'axe de mes cuisses, dérober de nouveau mon corps.Dans un geste réflexe, j'ai glissé sous mes seins mon avant-bras, gênée de me retrouver ainsi à découvert,sa fille pouvant revenir à tout moment, nous découvrir et me juger.Lorsque Céline, un plateau à la main et les mamelles toujours au vent, fit son apparition, il avait déjà pris place sur la terrasse, assis sagement comme si de rien n'était, je profitais de cet instant pour tendre le bras, saisir ma pudeur et la nouer à mon poitrail.J'avais à la fois envie de partir et d'acceptermaisCéline était là, clé de voute de ce temple.Nous avons passé un peu de temps à bavarder encore, elleme proposa de rester diner, je n'avais qu'à prévenir ma mère, je pouvais même rester dormir si je voulais, la chambre de sa soeur était libre. Son pèretenta aussi de me convaincre mais j'étais lasse de cette journée et bêtement j'ai décliné l'offre faite.Alors Céline replongea dans la piscine, son père rentra dans la maison et je me suis dirigée vers la salle debain pour m'ychanger.J'étais arrivée à la porte, lorsque dans l'encadrement de la chambre d'en face, il se tenait de nouveau à l'aguet, silencieux, le regard affamé, à portée de main.Il insista de nouveau pour que je reste, me montra le lit de sa fille cadette, balbutia tant il avait des yeux plein la bouche, tira de sa poche un billet de 20 euros, le tendit vers moi sans que je comprenne les termesdu contrat proposé.Puis m'annonça qu'il voulait les voir, juste quelques secondes en fixant mon coeur, cette fois, acculée danscette impasse le propos était clair. Il suffisait que je recule de deux pas pour que je puisse fermer la porte et ignorer l'indécente proposition.....Au lieu de cela, je pris l'argent et le regard baissé, honteuse de moi, humide de lui aussi, de ma main libre j'ai tiré le pan de mon soutien-gorge, ouvert le premier rideau, puis le second pour allaiter ses yeux assoiffés.Je n'osais lever la têtevers lui, pour ne pasdéranger son recueillement.Je vis alors un second billet apparaitre. Il voulait une de mes pommes, peut être comparer les deux commesur l'étal d'un marché, me demanda l'autorisation de les saisir, juste une seconde ou deux et alors qu'il s'apprêtait à insister, mon torse se dressa, et mes tétons aussi, nul besoin de parler quand on est seins nusface à des mains, il suffit de se tendre etaccorder faveur.Ses paumes se sont approchées de moi doucement, je pouvais presque les entendre respirer tant mes mamelons étaient à l'affût du moindre souffle de ses mains, puis elles me couvrirent totalement, mes seins disparurent, emportés, aspirés. Il serra pour apprécier ma fermeté ou tenter d'extraire du jus de paumes. J'étais regard fermé dans l'enclos du jardin des délices, ailleurs.... Il y avait des mains posées sur moi, un homme faisait ses premiers pas sur ma poitrine, me palpait, me malaxait.Si j'avais ouvert mes volets clos, nos regards se seraient croisés et peut être que mesbras ne seraient pasrestés ballants, et se seraient à leur tour animés.Mais étrangement je préférais savourer l'instant présent, ne pas bouger, laisser agirson expertise. Mais Céline claironna mon prénom du fond du jardin et rompit le charme, les deux belettes fuirent leur niddouillet, laissant mes mamelons, pas encore rassasiés, piailler tous becs dehors.Conscient que j'étais à vendre, prête même à me solder,mais que la boutique allait fermer et frustrer ses envies d'aller fouiller dans mes autres rayons,il réclama, supplia même que je lui offre un dernier régal, tendant le reste de sa bourse."Montre-moi en bas, s'il te plait je veux voir en bas, je ne toucherai pas, je te le promets, juste un peu, je veux voir, je t'en supplie, montre moi !!!!!"Alors sans un mot mes yeux, comme les gouttes de sueur qui coulaient de son front, glissèrent vers l'objet de sa quête, suivis comme des ombres par mes mains, là où j'avais les flots noués et j'ai impudiquement tiré sur les cordelettes pour déballer ma papillote et faire tomber le rideau.Maculotte gisait à mes pieds,chiffon humide jeté au sol,trop usé d'éponger mes émotions. J'étais à deux doigts de lancer en avant mon bassin pour qu'il puisse apprécier le juteux de mon alberge si..... Mademoiselle La Morale ne s'était de nouveau manifestée en hurlant, telle une louve le prénom de son père, elle devait se sentir seule, à moins qu'elle n'ait flairé un danger imminent.Elle allait sortir de l'eau, venir jusqu'à nous et briser le sortilège. Dans la panique je me suis penchée pour ramasser ma pelure, il effleura de nouveau mon sein le temps d'un adieu que déjà je tournais le dos, lui offrant mon postérieur pour qu'il glisse son âme errante dans la chaleur de ma raie.Voilà, Monsieur Le Comte, ce que je pouvais dire à propos de mes seins. J'espère être parvenue à satisfaire votre curiosité, peut-être serai-je hors sujet, c'est à vousde me le dire une fois mon devoir lu. J'ai éprouvé une grande difficulté à me confier sur mon enveloppe charnelle, mais sachez que lorsqu'ils m'accompagnent à votre domicile, ils se sentent si bien. Je n'avais jamais osé confier cet épisode, même Lilou l'ignore.Alors je vous remercie de m'avoir offert cette liberté surveillée.Voilà Tata.Il est inutile de vouloir me faire modifier le contenu de ma rédaction, elle est scellée dans son enveloppe.Les dés sont jetés. Je vais me rendre samedi à son domicile, munie de mes deux enveloppes, les lui remettre et m'offrir à son jugement.Je dois vous laisser, j'ai la tête engourdie par le Porto et la fatigue. J'ai peur et hâte de me présenter bientôt sur le pas de sa porte. C'est étrange comme cet homme se comporte avec moi, je serais curieuse de savoir comment il se conduit avec ma copine mais c'est tellement difficile d'aborder le sujet, elle est peu bavarde elle aussi, je pense que je vais un jour prochain l'inviter à boire un verre ou faire les boutiques afin d'avoir un peu plus de temps et éviter que des oreilles indiscrètes ne viennent écouter aux portes. Dites-moi donc comment je devrais procéder, elle est à son service depuis plus longtemps que moi, je voudrais savoir à quel stade elle est parvenue pour m'éviter tout faux pas ou commettre des erreurs. Cette aventure prend au fil du temps une tournure qui m'inquiète et me fascine. Je crois même secrètement que savoir, finalement, est un voile que je n'ai pas envie de lever. Non finalement je ne vais pas questionner Lilou. Je préfère ce brouillard qui m'enveloppe et me rassure. Je vous quitte, je vais dormir. Kiss - La Puce   Ma chère Tante épisode 17 Chère Tata, Je commence à vous connaître, j’ai appris à lire entre vos lignes, votre plume semble avoir quitté l’encrier de la fébrilité humide pour puiser dans celui de l’agacement. Vous savez maintenant que Céline n’était pas derrière l’objectif comme je vous l’avais laissé croire, mais que le doigt qui appuya sur le déclic était celui de son père. Bien sûr que je vous ai caché cet épisode de mon existence, il ne faut pas pour autant m’en vouloir. Comment aurais-je pu confesser cela sans craindre de passer pour une fille de mauvaise vie ? Oui j’ai accepté de..... louer mon corps quelques minutes durant, mais je n’ai pas couché avec pour autant. Ai-je pour autant ressenti de la honte ? Sur le coup, Non ,je ne crois pas, j’avais même le sentiment de participer à un bonheur. Ma seule honte serait d’être jugée, voilà pourquoi j’ai préféré grimer la vérité. Si je n’avais pas saisi l’opportunité offerte par cette rédaction imposée, je crois que jamais je n’aurais eu le courage de l’avouer, et le souvenir se serait dilué dans ma mémoire . C’est une communion : l’audacieuse demande de Monsieur Le Comte, la fatigue accumulée, et l’alcool sans doute qui aura fluidifié l’ensemble pour que s’écoule sur le papier la vérité mise à nue. Ce qui est écrit sera offert, je ne reviendrai pas en arrière. Si je n’ai jamais été honnête avec moi-même, alors avec lui j 'ai envie de l’être. Je veux et je peux oser enfin regarder mon reflet dans la prunelle de ses yeux. Chaque fois qu’il me demandera de dévêtir mon âme, je la dégraferai pour la lui offrir. Voilà Tata, ce que je ressens à cette heure, je grandis grâce à lui et suis heureuse de vous avoir pour confidente alors de grâce, n’ouvrez plus qu’un seul récipient désormais pour y griffer le papier de votre encre. Baiser Chère Tata, Que l’attente est longue, chaque mercredi commence pour moi lorsqu’arrive l’heure d’aller à la séance de gym et retrouver nos mutismes éloquents avec Lilou, toujours cette même sensation...... Je suis sur un plateau, lève la jambe, tend la pointe de mon pied droit, puis la pose sur un autre et doucement mon poids fait basculer ce dernier pour me retrouver ensuite de l’autre côté. Le vendredi est encore pire, cette fois je suis face à un miroir, le regarde du lointain de mon lit, me demandant quels rêves viendront habiller ma nuit et se refléter à sa surface ? Oserai-je demain me lever ? Regarder les scories de mes songes dans l’univers glacé ? Quelle sera la couleur de mes yeux, celle de mon corps ? Je ne sais jamais à l’avance dans quel âtre Monsieur le Comte jettera ma bûche d’âme et pourtant chaque samedi matin lorsque je pose mon premier pied au sol, je sais que le second sera celui qui me conduira aux suivants jusqu’à ce que mon doigt caresse le téton de la sonnette et que la porte s’ouvre. Oui à partir de mercredi je bascule et glisse vers l’inexorable porte, je me demande ce qu’il adviendrait si un jour je la trouvais close. Mais chaque semaine est différente de l’autre et ce mercredi, à ma grande déception, je n’ai pas vu Lilou venir, je l’ai attendue, sans même savoir si un jour j’oserai, à moins que cela vienne d’elle aborder le sujet, celui de notre tronc devenu commun, celui contre lequel nos corps nus se grattent à l’écorce. Pourquoi était-elle en retard ? L’a-t-il gardée plus longtemps qu’à l’accoutumée ? A-t-elle... ? J’aimerais savoir et ignorer à la fois, l’écouter une main sur les yeux ou la voir les oreilles closes !! Je suis passée devant chEz elle sur le chemin du retour, la lumière de sa chambre était absente elle aussi, elle devait dormir, oui c’est cela fatiguée, elle avait dû se coucher sans même pouvoir prévenir le club de son absence passagère. Avait- elle eu la force d’aller jusqu’à sa porte malgré son état ? Il me demandera samedi, c’est certain, de ses nouvelles, oui bien sûr, il sait que nous nous voyons sur les tapis et peut être en dehors également, alors il me demandera si elle se porte mieux. Mais s’il ne me disait rien !! Si même sa porte restait close !! Que je ne puisse lui rendre ma copie. Aidez-moi Tata, que dois-je faire samedi ou avant ? La puce Chère Tata, Nous voici Samedi, je me suis levée, cotonneuse, pas le moindre souvenir d’un songe, peut-être était-il trop leste à constater mes moiteurs, ma mémoire l’aura vite effacé afin de préserver ce qui me reste de pureté. Je tourne et vire, satellise sans repos autour de mon armoire, lorsque j’ouvre la porte, je me vois pendue dans mon éthérée tenue de travail, dans le tiroir de mon bureau, une enveloppe close comme la maison démon âme attendant l’ouverture. Je vais sans doute me maquiller légèrement sans excès, je crois que monsieur Le Comte me préfère nature, mais mes yeux sont trop petits pour qu’il puisse y plonger alors je vais m’arranger pour qu’il puisse venir y miroiter les siens. J’ai juste peur de sa réaction, de froisser davantage ses rides si belles en découvrant qu’avant lui j’aurais été dévoyée. C’est le risque de la sincérité, il doit bien s’y attendre, je sais que Lilou a connu des aventures avec des garçons, elle aura sans doute, à moins de mensonges, dévoilé la vérité. Chère Tata ...... Encore une fois, je ne sais par quoi commencer tant cette soirée fût !! J’ai la volière ouverte, des papillons volètent de toute part dans mon abdomen, je vous écris, sachez-le, totalement nue, me suis imposée cette posture cuisses ouvertes avec pour défi de ne jamais quitter les mains ni les doigts de mon clavier, voir combien de temps je serai capable de ne pas être coupable. Résister, voilà bien un mot dont Monsieur Le Comte m’aura appris la génèse ce soir. Oui vous avez bien lu, je suis restée chez Monsieur Le Comte jusque dans la soirée, j’ai même du prévenir maman que je rentrerai plus tard afin qu’elle ne s’inquiète pas et surtout qu’elle n’aille pas contacter la famille chez qui je suis censée apporter mes connaissances en français. Imaginez la scène, moi-même j’ai du mal encore à cette heure à croire que c’était moi qui poitrail nu face à Monsieur le Comte, était en train de lui expliquer qu’elle ne devait pas m’attendre pour le diner, que j’aurai certainement du retard en raison d’une dissertation plus longue que prévu. Oui, Tata, vous avez bien lu, j’étais face à cet homme qui pouvait être mon grand-père, les seins à l’air !!! D’y songer et vous le confesser ne va pas les aider à calmer mes bouts qui depuis bien deux heures ne cessent de piailler réclamant la béquée. Mais avant d’en venir à comment je me suis retrouvée dans cette situation, qui somme toute devait bien arriver un jour, à force d’approcher du grattoir votre allumette de nièce devait bien finir par rougeoyer. Ce n’est pas à vous que ..... Mais revenons au sujet qui nous lie. Je me suis donc préparée comme à l’accoutumée, presque religieusement, oui c’est étrange, j’ai toujours désormais ce rituel, d’abord je prends une douche, je m’arrange pour que jamais mon buste ne soit marqué par les traces du soutien-gorge, voilà pourquoI le plus tôt possible je m’en débarrasse désormais, c’est fou que j’accorde autant d’attention à mon corps depuis que je le fréquente, il semble tellement à l’affût du moindre détail, c’est un miniaturiste oui, voilà, c’est cela Tata, votre poupée a trouvé une nouvelle étagère sur laquelle se poser et se laisse admirer. Je me suis essuyée, j’ai enduit mon corps de lait hydratant, c’est étrange cette soudaine envie de m’enduire le corps, avant je me contentais de m’éponger, désormais j’aime me sentir crémeuse, onctueuse . Ensuite, j’ai mon rituel... celui des yeux, OUI Tata maintenant je ne me contente plus de me voir, JE ME REGARDE, enfin je devrais plutôt écrire je mets mon corps sur le devant de l’obscène . Un miroir face à moi, un autre plus petit déposé en haut sur l’étagère, sa prunelle orientée en contre-plongée, Monsieur le Comte étant bien plus grand que moi. Une fois les trous d’homme en place, je peux alors revêtir mon chemisier. Pas totalement non, d’abord les premiers boutons, ceux du bas puis commence le jeu des mouvements, des glissades, mon regard fixé sur les reflets, je me penche comme ceci ou plutôt de la sorte, je baille, un peu, beaucoup, passionnément, plus du tout, c’est incroyable le nombre de variations Tata que peut avoir une échancrure !! J’imagine ,si.... Si j’avais été plus fournie en matière... mais finalement serais-je entrée à son service si je l’avais été ? Peut-être est-ce pour cela qu’il m’emploie, la rareté fait le précieux. Lilou est mieux pourvue que moi, je lui ai même déjà dit jadis lorsque nous passions ensemble sous la douche après avoir sué sur les tapis, mais pour autant elle me dépasse de quelques petits centimètres. Un bouton de plus et soudain, il me faut vraiment me pencher pour qu’il puisse accéder au sacro-saint. Mon nombril n’est plus en vigie lui non plus. Encore un et le rideau se ferme, pudeur reprend ses droits pour que je puisse monter dans le bus et redevenir celle qu’on n’aurait pas remarquée lorsqu’elle serait montée, aurait fait tomber maladroitement à hauteur de ce retraité un objet quelconque pour ravir au lever les étoiles prisent au piège dans le filet de ses yeux. J’ai enfilé ma culotte, après avoir vérifié que mon buisson était taillé avec soin dans l’éventualité, Oui Tata, je peux vous le confesser, qu’il se sente l’âme d’un maraîcher. Oui, je me sens prête un jour à cette éventualité, combien de temps un homme peut-il résister à une telle tension ? Peut-être Lilou récolte-t-elle le mercredi ce que je sème le samedi, mais moi ? Oui moi !! ne suis-je pas digne de moissonner les siennes ? A t-il peur que je m’enfuie ? Ma fragilité l’effraie peut-être, s’il savait ce que mon corps peut endurer lorsque je l’emploie sur les barres et les poutres, je sais y faire, j’ai le poignet souple et ferme, suis capable de me tendre et me tordre en tous sens. Bien sûr, je n’ai aucune expérience en matière d’homme mais cela ne signifie pas que je ne sais rien faire de mes dix doigts. Oh Tata, la douleur de mes cuisses ouvertes et tendues appelle et attire mes doigts, mais je résiste, je veux terminer cette lettre avant de... A moins que ? Oui à moins qu’il n’ait plus de puissance que dans le regard et ces doigts qui effleurent mon dos... ? De toute façon, je dois me préparer à toute éventualité, ne serait-ce que si jamais il ne voulait que voir, oui, simplement me dire de remonter ma jupe et faire glisser mon voile blanche, je serais honteuse de lui présenter un désordre, voilà pourquoi je me pAsse en revue avant de tendre mes toiles et, rutilante de partout, me présenter à bon port pour venir à quai m’arrimer à sa . Un doigt de Trésor lèche ma nuque, un peu sur les poignets également, donner à mes yeux un peu plus d’éclat et me voilà prête à affronter les embruns, d’abord parvenir jusqu’à ma chambre sans croiser maman, qui ne comprendrait pas que je m’affuble ainsi pour donner la leçon à un *********. Vivement les jours ternes et frileux que je puisse mettre un manteau et cacher ma tenue d’apparat, même boutonnée au col, j’ai l’air d’aller arrondir mes fins de mois. Non je me suis regardée et non Tata, je ne pouvais sortir dans une telle tenue, si seulement la porte du Comte était adjacente à la mienne, il en était ainsi dans les châteaux jadis, de sombres souterrains par lesquels à la nuit venue, j’aurais quitté mon toit de chaume pour m’offrir devant l’âtre. Non Tata ce que j’ai pu faire avec vous, seule je ne le puis, j’ai besoin d’une main qui me tienne en laisse, me dise là où je peux faire et là où il ne faut pas. Ma jupe est trop cintrée, moulante, au moindre mouvement mes fesses ondulent, on voit même le creux tant le tissu m’épouse. Si jamais sur la route je croisais des garçons aventureux, voire pire, les harpies de ma classe, cela en serait fini de mes efforts quotidiens pour n’être qu’un spectre sans rondeurs ni formes. Vivement que les feuilles recouvrent le sol pour que je puisse sous de longs manteaux aller presque nue sunner à sa porte, j’ai déjà repéré, dans une boutique en ville, un bustier en satin qui dénude parfaitement le dos, comme j’aimerais sentir ses doigts effleurer malgré tout l’absence d’agrafes à même l’épiderme. Oui j’irai l’acheter avant qu’il ne quitte la vitrine, mardi sans aucun doute. Donc j’ai, par-dessus ma moulure de fesses, enfilé une autre jupe, plus large, plus longue aussi, je pourrais même mettre des hauts talons pour expliquer ma démarche prudente, due à la hauteur etnon à l’étroitesse de ma jupe lingerie. Une fois le portail passé, je n’aurais plus qu’à retirer l’écran derrière le grand buisson qui masque la rue et gravir les marches comme si j’avais osé, gorgée de bravoure, affronter les badauds en chemin. Mais alors, que pensera-t-il de moi en me voyant ainsi ? Que je suis une fille facile qui aime être sifflée dans la rue, abordée peut être, mon postérieur tendu attendant que de flatteuses mains me mettent le vent en croupe pour me rendre jusqu’à lui !! Tata,je n’y comprends rien aux hommes et leur façon d’interpréter les corps et attitudes, tout est tellement plus simple avec vous, je n’ai pas de questions à me poser, je déambule telle que vous le voulez, je fais les courbettes comme à la parade, je me penche au gré de vos caprices, je n’ai pas à réfléchir et me torturer, vous savez si bien le faire à ma place. Je dois vous laisser Tata, il fait moite et je dois détendre à tout prix mes adducteurs.... Je vous kiss là où vous aimez tant, La Puce   Chère Tata Je suis revenue à mon pupitre, je ne sais si c’est dû à la présence magnétique de l’astre de la nuit qui est apparu dans le cadre de la fenêtre mais je n’arrive pas à garder calme et sérénité. Qui de mon âme ou de mon corps est le plus tourmenté ? Difficile de m’y retrouver dans ce halo d’émois. Je reprends mes esprits, je vais tenter du moins. J’ai revêtu une jupe, c’est plus prudent, les tentations sont trop grandes et il y a encore des braises dans mon foyer, elle est plus ample que celle dont je n’étais parée cet après-midi..... J’ai regardé une dernière fois l’étrangère dans le miroir, chaussé un veston léger, ouvert mon sac en toile dans lequel j’ai glissé mon devoir dirigé, et je suis sortie de ma rassurante tanière pour aller au dehors me livrer à la faune.- tu rentres tard ?- non maman je serai de retour vers 18h30, j’espère qu’il sera plus enclin à faire ses devoirs aujourd’hui.- tu es bien patiente moi je ne pourrais pas. J’étais déjà la main sur la poignée de la porte lorsqu’elle me lança.....- Au fait, ta copine de la gym a téléphoné ce matin, tu dormais encore, je n’ai pas voulu te déranger, pense à la rappeler..... Lilou !!! Ce matin, pourquoi donc voulait-elle me parler ? Me prévenir ? M’alerter d’un danger, je dévalais l’escalier, manquant à plusieurs reprises, guindée dans ma jupe trop cintrée et juchée sur des talons trop hauts, de me tordre les chevilles. Elle voulait me dire de ne plus venir, Oui c’était cela, elle était parvenue enfin à le garder pour elle seule, l’avait détourné de mon attention !! Inutile de perdre mon temps, me faire des illusions. J’avançais néanmoins direction l’arrêt de bus, l’esprit tourmenté, n’osant l’appeler de peur d’entendre la sentence prononcée. A moins que le Comte l’ai chargée simplement de lui dire que la séance ne pouvait avoir lieu, Oui bien sûr, il l’avue en dernier, ne connait pas mes coordonnées. J’étais dans le bus sans même regarder autour de moi, absente et pensive. Et si ? Oh... et si elle avait voulu m’alerter, me dire de ne pas aller là-bas, qu’il avait quitté ses bonnes manières, qu’un piège m’était tendu, qu’elle n’avait pu l’éviter et ne voulait pas que je sois à mon tour victime de cet être trop pervers !!! Mon coeur battait fort le pavé de ma cage thoracique. Pourtant mon corps lui se foutait royalement de mes atermoiements, lui avançait, je l’ai même vu dans la vitrine de la boulangerie, comme s’il me défiait, me fixait pour me dire...... peu m’importe tes doutes, moi j’y vais !! Il était trop tard, et même si j’avais toutes les peines du monde à gravir la pente, la maison était là, de plus en plus là, quelques dizaines de mètres, non, moins encore, puisque j’étais déjà devant la grille. Elle était juste entrouverte, si peu d’ailleurs, qu’il me fallut la pousser avec difficulté tant elle est lourde et massive. Un coup d’œil alentour et je me suis faufilée vers le haut buisson pour dans l’angle de la demeure faire glisser ma jupe et me retrouver en tenue d’apparat..... Maïs.... Mais si c’était Lilou, moitié nue, encore échevelée, qui m’ouvrait soudain la porte, se gaussant avec dédain de mon accoutrement, me toisant avec mépris pour me renvoyer d’un index vengeur pointé vers la grille en direction de ma chaumière et mes espoirs rompus. Comment pourrais-je courir pour vite inonder mon traversin ? De la même façon que si Le Comte, devenu Barbe Bleu, se jetait sur moi, je ne pourrais faire dix mètres sans qu’il me saisisse par la crinière et me traine dans une cave pour profiter de mes chairs et les dévorer encore ruisselantes et poisseuses !! De toute façon, il était trop tard !! Pendant que je me tourmentais la cervelle, la de moi en avait profité pour titiller le téton de métal. J’entendis résonner mon glas... Mais rien, pas la moindre ombre, aucun bruit, juste celui du vent chaud et de la peau de mon coeur tendue comme une caisse claire avant le saut du trapèze. Et la d’insister de nouveau, encore et encore appuyer et dire qu’elle était là, les seins en émoi, prête au moment du contrôle, à le surprendre, tourner son buste brusquement pour que ses doigts sentent bien la fermeté de ses seins libérés de l’entrave. Non, vraiment je n’avais plus voix au chapitre, esclave de moi-même. Il n’y a pas plus pervers que son propre geôlier !! Non, ses efforts et sa furie n’y firent rien, la porte était close, elle n’aurait pas gagné de cause, il faudrait revenir. A moins de faire glisser sa culotte pour l’enfiler dans la boîte aux lettres pour dire j’étais là, je suis venue, sentez comme j’étais là, Monsieur, humez ma peine de ne pas être entrée, et voyez comme j’étais à point. Et puis, rageuse, écarter malgré la difficulté mes jambes enfermées dans l’étoffe de cette jupe de chasteté, et uriner à sa porte pour lui affirmer dévotion . C’était sans compter sur le vice chevillé à son âme, elle avait dans sa paume la poignée ronde de porte en bronze et la fit tourner, et la porte s’ouvrit, et elle m’entraina à sa suite sans me demander d’avis !! Oh Tata, j’étais entrée par effraction, je veux dire que j’étais chez lui, et que pendant quelques secondes, les yeux clos, j’ai attendu ses doigts sur mon dos en vain, mes seins étaient en ébullition pour rien. Je me suis sentie soudainement comme une voleuse. Il pouvait désormais apparaître et légitimement me pourfendre de sa colère, je n’aurais qu’à me plier à la sentence prononcée sans pouvoir me défendre ni supplier clémence. De toute façon, la petite catin, elle, aurait souri sous mes yeux, en s’allongeant à même le carrelage de l’entrée, sortant sa langue et enduire ses lèvres pour indiquer le pourtour de l’orifice ouvert. Pas un bruit, seulement le lourd balancier de la franc-comtoise dans le salon à biscuits. Appeler, signaler ma présence, dire que je ne suis pas celle qui... En ce moment, même avance comme une chat en chaleur vers le salon pour se faire punir. J’ai eu le temps avant qu’elle ferme la porte, de jeter un dernier regard vers la liberté et la chasteté du monde. Je regardais l’escalier, peut-être se tenait il au sommet, pipe en bouche, le corps enveloppé dans un peignoir, Lilou encore au lit, *******e après une nuit entière de doux tourments. Non, il n’était pas là, aussi je me suis aventurée dans le salon, caressant au passage la porte contenant les friandises à prunelles, j’étais encore les yeux posés sur la serrure que déjà mon corps m’avait entrainée en seulement deux entrechats vers le fauteuil de cuir. Pas eu le temps de ralentir l’outrecuidante, j’étais déjà intronisée, les mains frottant les accoudoirs, tentant d’ouvrir le compas de mes cuisses. Je moquais intérieurement la péronnelle de se retrouver ficelée ainsi dans cette jupe trop ajustée. Mouler ses fesses est une chose, ouvrir les cuisses en est une autre, il fallait mieux choisir ta garde-robe, ma fille !! La ne pouvait s’en tenir là. J’étais juchée sur moi-même, les cuisses serrées sur mes propres flancs tentant sans cesse de dompter cette fougueuse que je découvrais. Plutôt que me contraindre, m’échiner à retenir l’animâle, j’épousais ces rebonds, lâchais un peu la bride, elle finirait bien par se calmer, et retrouver raison. Lors mon âme laissa ma main faire glisser le bouton et entrouvrir le chemisier un peu plus. Si je ne m’étais retenue, sans doute par défi mon sein serait apparu, peut être même aurait- elle fait voler le chemisier en direction du canapé ou sagement je faisais ma lecture la semaine précédente !! Non juste la vallée offerte, elle se contenta de cela, l’entre monts. Elle se voyait sans doute recevoir quelques servantes, Comtesse cruelle ou Libertine, mandant celle-ci pour me faire la toilette devant le Maître de ces lieux, ou peut être Lilou que je savais endurante à la barre asymétrique, pour éventer mon entrechatte encore ruisselante de mâles assauts. Soudain un bruit me fit revenir à la raison, je me levais aussitôt, la peur au ventre d’être surprise à prendre ainsi mes aises et me faire congédier sur le champ. J’étais debout, aux abois, guettant d’une oreille attentive d’où était provenu le son, tandis que du regard je fixais le fond du salon d’où il aurait dû apparaître, je sentis la caresse poilue de l’auteur de ma frayeur, un chat était à se frotter sur mes mollets, ronronnant comme le faisait mon ventre depuis ma frauduleuse entrée. Oui Tata, à cet instant j’étais moiteur et les tétons en perce neige, Oui, j’aurais voulu qu’il me trouva ainsi et me réclame son droit de cuissage    
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Par : le 29/04/25
Totalement nouveau ici, sans connaissance des us et coutumes de ce site. En parcourant nous voyons des très très pro sans doute en mode fantasmes et des gens plus sincères qui nous plaisent mieux. Alors pourquoi pas tenter. Sommes cple HF illégitime la cinquantaine habitant dans 2 endroits assez distants (déménagement) entre Bordeaux et Tours. nous avons mis une quinzaine d’années à arriver à ces jeux, peur de l’avouer, regard de l’autre, et l’effet croisé de communication et d’entraide l’un avec l’autre a joué. Et il faut nécessairement à nos sens être totalement en lien affectif et amoureux quasi mystique pour y parvenir, et cela ouvre les portes d’une relation extraordinaire totale d’une infinie qualité et pérennité. Le fait qu’elle soit soumise et moi un peu dominateur par jeu a aidé à passer certains caps. L’uro a été très facile, style on urine tous les 2, j’approche mon sexe quand elle se soulage et elle vient me sucer après, et oups ! désolé je n’avais pas fini … et après je viens la nettoyer et on s’embrasse longuement pour mêler tous nos liquide ensemble. Comme soumise elle a souhaité me boire, ce ne fût pas si facile, 1ou 2 gorgées après une journée à boire pour en diluer le goût. cela reste rare. Par contre dès qu’on le peut, j’urine sur son clito pendant qu’elle se masturbe, ou souvent même dans son vagin. Elle adore ça. Il faut juste penser après à bien tout hygiéniser l’ensemble sous la douche et avec de l’eau de Dakin par exemple. La scato, clairement nous portions cela en nous depuis tout le temps mais si difficile d’avancer en ce domaine interdit. Et c’est bien cet interdit qui nous a donné à penser que c’était bien interessant d’aller y chercher un peu. On a commencé comme toutes et tous sans trop le vouloir par des sodomies plus ou moins sales et des anulingus plus ou moins profonds. Dernière pratique que nous avons démarré récemment qui nous transporte dans des hauteurs de bonheurs insoupçonnés, intime et interdit voilà ce qui nous plaît. En général je lui demande de me laisser lui lécher son petit trou, ce que fais très doucement très longuement, j’y met la langue que petit à petit et de plus en plus profond, elle s’ouvre, pour avoir petit à petit aussi un goût plus marqué et je reste toujours aussi surpris que ce goût me plaise, en fait c’est parce que c’est son goût qu’il me plaît et que j’aime la personne. Ensuite elle me le fait à son tour juste après ou prend une pause histoire de descendre la tension et les sens arrivés à saturation, Et là, au fur et à mesure de ce type de jeu, je fais exprès de moins en moins me nettoyer par là après les toilettes, je le sais, elle le sait. Aux dernières fois, elle faisait « ohh!, je vais le faire mais laisse moi le temps », le temps de lécher les pourtours de s’imprégner de l’odeur de l’idée surtout, et en effet elle fait sans faiblir, jusqu’à mettre sa langue le plus loin possible dans mon petit trou sale. On a un tel sentiment d’amour infini dans ces moments là. Et nous avons poursuivi, en se faisant l’un sur l’autre, en se massant, en se masturbant avec l’un devant l’autre. Je sais qu’elle en a envie et moi aussi, que je fasse sur son sexe ouvert et que je la pénètre après. D’où l’eau de Dakin ! En bouche ou en manger, nous semble pas utile pour le moment. En goûter et lécher sur l’autre oui et surtout sur le clito ou la verge, nous comble totalement. Et pour néanmoins avancer, notre recherche et un soumis ou une soumise (tendance) qui aimerais participer à ces jeux ou même à y être initié. Ce long développement pour bien comprendre notre style in fine assez soft et surtout amoureux, et une tierce personne serait pour nous une progression assez logique. Pour poursuivre, nous avons aucune idée comment faire ici, merci de nous guider.
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Par : le 25/04/25
Second round : Exhibitionniste   Ça commence comme le premier round : exhibitionniste Moi ? Mort de rire, surtout pas !  Bon,en fait, Je n’ai jamais fait partie de celles ne pouvant pas se changer devant les copines dans les vestiaires des salles de sport. Devant les copines, c’est une chose …devant les mecs ? devant mon mec ? pas trop un problème, soyons honnête. Mais de là à s’afficher devant un groupe, virtuellement, réellement….   Bien sûr il se joue là un rapport entre Mon regard et Mon corps. Corps rarement (jamais) complimenté par qui que ce soit, corps malmené un peu par la vie (grossesse, césarienne, manque de sport), corps image de qui Je suis, de qui Je veux montrer. L’éducation, les mots des proches laissent des traces..   Première expérience de domination, première expérience exhib très rapidement. Je dois montrer Mon appartenance en affichant ma poitrine avec des mots de propriété. Bon, on ne va pas revenir sur l’intelligence de la chose…Je le fais. Je retiens juste les commentaires d’autres dom de pacotille sur le critère esthétique de Mon corps. Ah oui ? Mon corps peut susciter ces réactions ? Incroyable.  Et J’ai osé le faire…assez fière de Mon audace Je suis alors.   Cette personne ne Me fera jamais de compliments sur Mon physique. Il prend plaisir à Me demander de M’habiller court, de Me dévoiler davantage. Je sors dans des tenues que Je ne pensais jamais mettre….et surprise : J’y prend du plaisir. Je renoue avec Ma féminité.    Une soirée bdsm dans un petit club de la région. Une première pour Moi. Tenue courte, talons. On croise Mes voisins dans la rue…oups…ça va jaser ! Je M’en fous. Petit club de région, plus habitué de soirées libertines que bdsm. Ambiance calme, très calme. Quelques personnes jouent doucement. Je sens la tension monter dans son regard. Un zip de robe glissé vers le bas et Me voilà en culotte. Je sens la fierté dans ses yeux. Je ne regarde pas autour de Moi. “Viens, on va leur montrer”. Je ne lèverai pas les yeux vers les regards autour de nous. Je vois juste le sien. Quelle fierté Je ressens alors ! J’adore cette sensation.   Rideau plusieurs mois. Le souvenir reste là.   Renouer avec Mon corps ne M’est pas facile. D’autres regards, d’autres pratiques, d’autres essais. Puis Notre rencontre. Ton regard. Rapidement Tes mots. Différents des autres. Sincères. Des photos. Sans rapport avec ce que J’ai rencontré jusque là. Tu M’ouvres les yeux, Tu M’autorises à Me trouver belle. Avec patience Tu reconstruis cette image, cette femme que Je n’osais pas être. Le regard de l’Autre, de Son Autre est tellement important quand il est aussi lourd de sens. A quel moment Tu as parlé de cette facette de Moi ? Je ne sais plus. Peut être après certaines de Mes publications sur le site. Non, en fait, sans doute depuis Notre première rencontre avec des bas glissants qui finiront par être enlevés derrière une cabane de Noël. On avance, J’évolue. Des clichés sur une coursive un week end, sous une porte cochère…Quelle fierté de T’appartenir Mon Loup. Parce que là aussi, quel intérêt l’exhibition sans l’appartenance ? Quel intérêt de se dévoiler si ce n’est pas pour lire la fierté dans Tes yeux ? Se montrer pour se montrer ? Je ne sais pas, Je ne connais pas… Se montrer pour susciter des réactions, les Tiennes surtout Mon Loup.   Dans ce chemin d’acceptation de Moi où Tu M’accompagnes, Nous évoquons la possibilité d’une séance photos. J’en ai envie depuis quelque temps. Un mélange d’idées entre voir si J’en suis capable et voir ce qu’il y aura sur les clichés, voir si Je vais aimer le moment et le rendu. J’y vais seule. Tu tiens à Me laisser juste avec Moi-même dans ce moment- là. Me déshabiller devant ce photographe ne Me pose aucun problème, Je Me sens bien, Je suis bien là dans ce moment à Moi. Les premiers clichés qu’il Me montre Me plaisent. Un instant suspendu. Pur plaisir. Les clichés seront juste superbes. J’adore voir ce regard que Je peux avoir et que Je ne connais qu’à travers Tes mots, ce sourire. J’aime voir la femme qui est là sur le papier. Et cette femme c’est Moi.  Je suis fière de ce que J’ai fait et de ce que Je suis. Là sur ces photos, c’est Moi, en entier, comme Je voudrais pouvoir être chaque jour.   Donc exhibition comme moyen de revendication : regardez Moi, là c’est Moi. Vous Me connaissez peut-être comme ci ou comme ça, mais Je suis là aussi. Femme soumise, souriante, agréable mais aussi femme présente, revendiquant ses besoins, ses envies, la place que Je souhaite avoir.    
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Par : le 24/04/25
Il faut que je vous raconte ma dernière aventure BDSM, sympathique et inattendue, sévère et savoureuse. Week-end, un bar où j’ai mes habitudes, une bière locale et des amis. Bref, une soirée comme on les aime, vous et moi. Je fais partie d’une chorale et une partie de mes accompagnants vespéraux en sont membres aussi. La soirée avance tranquillement et tout semble normal, du moins, en apparence. Ludivine (prénom changé, comme d’habitude) est là. Je l’ai connue quelques semaines auparavant dans une autre soirée. Elle n’est pas membre de la chorale mais elle est déjà venue nous voir se produire sur scène et elle a intégré mon groupe de compagnons de soirées comme ça, naturellement, car elle ne connait pas que moi dans ledit groupe, ça doit sans doute la rassurer. Elle est de ma génération, la cinquantaine engagée, profite de la vie et de ses bons moments qui, me dit-elle, sont rares en ce moment. Elle a besoin de fumer, en fait, elle a besoin de parler et l’extérieur, plus « intime », lui semble plus enclin à la confidence. « Tu m’accompagnes ? », me demande-t-elle en souriant. Une femme, quand elle sourit, émet un appel auquel peu d’hommes peuvent résister. Je ne résiste pas et part sur la terrasse bien que ne fumant pas. Elle me raconte son souci du moment : très sérieux problème. Je ne vous dirai rien ici car cela fait partie de notre discussion et que cela n’apportera rien à l’histoire. J’ai eu son problème. Il y a deux ans. Je m’en suis sorti, en partie d’ailleurs grâce aux amis que je vois à travers la vitre trinquer sans moi (quel culot !). L’une de ses amies me regarde d’ailleurs à ce moment-là et lève son verre en ma direction. Je lui retourne le geste mais comprend, à travers ses yeux, qu’elle est très attentive ce qui se passe entre Ludivine et moi…Les femmes et leur incroyable instinct. Un clin d’œil suffit à lui faire comprendre le message. Ludivine, de son côté, surprend mon geste et semble interrogative. Je la rassure en lui disant que je viens de trinquer par vitrage interposé avec Pascaline (prénom changé également). Elle sourit… encore, mais pas assez à mes yeux. C’est le moment de sortir le jeu « fais la sourire, abruti » que je maîtrise un peu après des années de pratique, de lecture de Pierre Desproges, de San Antonio et des films des Monty Python. Et ça marche. Je le vois, ses yeux sourient également. Je sais, vous allez me dire : « Femme qui rit, à moitié... ». Certes, mais à ce moment précis, je n’ai aucun « projet » envers Ludivine. Elle fait partie de la bande et cette discussion a surtout pour but de la rassurer (j’ai vécu son problème) et de la faire revenir dans l’ambiance que tout le monde recherche ce soir. J’y suis, je pense, parvenu. Je n’ai aucune velléité sexuelle, en encore moins BDSM, envers Ludivine. Du moins, pas encore. Un événement va venir tout changer. Marylène (prénom changé, blablabla) sort brusquement, un verre à la main, en criant : « Fred ! viens, le patron met sa tournée ! ». Comme sortie de pause, on a fait plus calme… Voyant ma non-réaction (normal, il me fallait un sas de décompression de quelques secondes pour passer des « yeux qui sourient » à une « bouche qui hurle »), Marylène lance alors à la cantonade : « Tu viens ou je te vais te mettre une fessée ! ». Rire de la bande car la porte était maintenue ouverte par la femme en question. J’ai un défaut. Je dois vous l’avouer. J’ai horreur de ne pas avoir le dernier mot. Alors, mon instinct a repris le dessus et je lui balance une phrase qui aura de l’importance pour la suite de la soirée : « Je ne te crois pas, tu sais bien que j’aime trop ça ! ». Re-rire collectif. Petite gêne de Marylène (involontaire de ma part). Nous rentrons, car, étant natif du Nord de la France, on n’a pas le droit de refuser la tournée du patron, même en cas d’attaque nucléaire. Le bar est relativement petit : on a regroupé deux tables mais tout le groupe n’y tient pas, alors, on se relaie, chacun son tour. Je m’assois car j’étais debout en terrasse. Ludivine vient s’assoir à côté de moi. Elle a froid, me dit-elle. Nous sommes dans les Vosges et la chaleur des jours derniers laisse rapidement la place à une fraicheur qui durera jusqu’au lendemain. Je lui propose ma veste, elle me prend le bras pour l’enrouler autour de son cou et se coller à moi. Pascaline relève son verre en ma direction. Je viens de comprendre que j’allais peut-être trinquer ailleurs que dans ce bar ce soir… J’ai 52 ans, une femme dans les bras et, je dois bien le reconnaître, une gêne d’ados lors de son premier flirt, boum, rencard, ou date (rayer la mention inutile). Je reste là, immobile, des fourmis dans le bras et je profite d’avoir une personne du sexe opposé contre moi (vous ai-je dit que j’étais hétéro ?) et je ne tente rien, de peur de me voir repousser, de créer un moment de flottement dans la soirée ou, pire encore, de me rendre compte que j’ai de vraies fourmis dans le bras et de créer un panique. « A la santé du Patron ! », dis-je au milieu du brouhaha qui ne m’entendit pas. Ok, alors, plus fort : « A LA SANTE DU PATRON ! » - « Santé, Patron ! », répondit l’écho… J’ai fait sursauter ma compagne de dessous de bras. Elle me dit « je vais dehors, j’ai besoin de prendre l’air ». Bizarre. Elle n’a pas dit « je vais fumer ». Je l’accompagne avec pour mission de réanimer mon bras ou, le cas échéant, d’essayer de trouver un insecticide puissant au milieu de la nuit. « Le bras respire, Professeur », me dit mon cerveau encore un peu réactif. Ludivine est appuyée sur la rambarde, admirant la magnifique vue sur l’immeuble moche d’en face (nous sommes en centre-ville). On a tous les deux compris que ce bâtiment serait le témoin de notre premier baiser et nos bouches mutuelles viendront confirmer cela quelques secondes plus tard. Dans tête, un mot me vient : « santé ! ». On reste un peu dehors, elle contre moi et moi contre elle. Il n’est pas si moche que ça, finalement, cet immeuble… Je m’attends à une discussion du genre « tu viens boire un dernier verre à la maison ? » qui, nous le savons tous, inclus souvent un petit déjeuner quelques heures plus tard. Ça n’a pas raté, on va aller chez elle, ça me va. Je suis un homme célibataire et la dernière fois que j’ai mis de l’ordre dans mon appartement, j’y ai retrouvé un pote alors, pas certain que mon lit défait et mon bureau en désordre soit du plus bel effet. De plus, j’habite un appartement dont l’épaisseur des murs laisse à désirer. Bref, on va chez elle et ça m’arrange. Ma sacoche est là, sur la chaise, je m’y penche pour voir si j’ai pris mes préservatifs. « Bang ! », je sens une petite, mais vive, claque sur mes fesses. Retournement de moi-même avec regard étonné immédiat. Ludivine me regarde, les yeux un peu baissés : « ce n’est pas moi qui aie dit que j’aimais ça ». Tu mériterais que je te la rende, lui rétorquai-je avec ce besoin d’avoir toujours le dernier mot D’accord, mais pas ici, me fit-elle avec un regard complice Tu aimes les jeux de soumission ? osai-je demander » (après tout, nous sommes devenus intimes en quelques secondes) Sa réponse fut un peu longue, en voici donc un résumé : « J’ai souvent ignoré ce côté de ma personnalité. Je suis une femme née sous Pompidou (NDLA : comme moi, né en 1973) et, à l’époque, les « désirs », surtout féminins, étaient mis à l’index dans la société. J’ai donc mis ça de côté et ai vécu ma vie : deux mariages et quelques aventures plus tard, je me retrouve en face d’un mec qui, publiquement, avoue aimer la fessée. J’ai bien compris que c’était de l’humour mais une partie de mon inconscient m’a édicté ma conduite : et vlan ! une claque sur tes fesses » J’ai toujours 52 ans quand elle me dit ça et je réalise que, certes, le BDSM n’est pas un hobby que tu peux déclarer publiquement  mais cela a évolué et, pour ma part, cela fait un peu plus de trente ans que j’en parle librement, sur des forums mais aussi à des personnes de confiance, mais je suis un homme, hétérosexuel en plus (vous ai-je dit que j’étais hétéro ?) et, bien que ma part BDSM ne soit pas apparue au grand jour pendant mon adolescence et ma vie de jeune adulte, j’ai pu me rattraper par la suite et ne pas connaitre la frustration de cette femme, qui a été obligée d’enterrer ses fantasmes au plus profond de son être, par convention sociale, avant qu’un abruti comme moi lui fasse tout remonter d’un coup. Alors, à mon tour, je lui parle : de ma personnalité BDSM, de mes expériences, de tout, j’ai besoin qu’elle comprenne que je sors tout de moi pour qu’elle sorte tout d’elle. Et ça marche. Elle me révèle son fantasme ultime : Devenir un objet sexuel et appartenir à quelqu’un, même pour une simple soirée. Je me dois de revoir mon plan, il va falloir d’abord passer chez moi : tout mon matériel s’y trouve (et ça tombe bien, je n’avais pas mes préservatifs non plus). Passage rapide à l’appartement. Toutes mes affaires sont dans un sac. Pratique. Préservatifs ? Ok. 5 minutes de route nous séparent de l’appartement, mieux isolé, de Ludivine. J’en profite pour lui demander ce qu’elle désire le plus. Elle est claire à ce sujet : Elle veut subir. Question souffrance, elle ignore sa résistance (normal, c’est sa première expérience) – je lui répond safe word et la voilà rassurée. Je lui indique clairement que, conformément à sa demande, je changerai de ton arrivé chez elle et qu’elle devra s’adapter. Je m’attendais à un « oui, je comprends », j’ai eu le droit à un magnifique « merci beaucoup, c’est ce que je cherche » : des dizaines d’années de frustrations en une phrase. Je vais être son exutoire, hors de question de se manquer. Troisième et dernier étage : Appartement sous les toits. Quelques poutres viennent souligner la charpente de cette vieille bâtisse. Préparez-vous, vous allez me servir. Elle se dirige vers le frigo de sa cuisine ouverte afin de nous servir un verre. Je l’arrête : « T’ai-je autorisé à bouger ? ». Elle stoppe, se retourne et constate qu’en effet, mon ton a changé. Non, mais je voulais juste… A partir de maintenant, tu ne veux plus rien, tu ne désires plus rien, tu n’es plus rien. » Elle revient sur ses pas, un peu tremblante. Tant mieux. Non pas que je sois un militant de la peur pure, mais j’aime cette idée d’inconnu. L’appartement est assez grand, une centaine de mètres carrés. Je pose mes affaires sur une table qui m’a l’air trop fragile pour servir à autre chose. Sacoche, veste, sac à dos contenant les mystères de la soirée pour mon invitée. Elle n’a pas bougé. Elle reste dans l’entrée, aussi gênée que si ce n’était pas son appartement et qu’elle attendait que son hôte lui en autorise l’entrée. Elle a donc tout compris. « Approche, lui dis-je d’une voix de « la » de contrebasse » Elle s’exécute, fébrilement. Il y a devant moi une poutre verticale et centrale, maintenant sans doute la structure en place, mais peu pratique en termes d’aménagement du salon dont elle perturbe l’équilibre. Deux poutres latérales, horizontales cette fois, complètent la structure, maintenues par d’autres poutres plus petites. En un mot comme en cent : j’ai beaucoup de points d’attache. Je décide donc de centraliser ma soumise afin de la préparer pour la suite. Je la prends par le bras, moins délicatement qu’une heure plus tôt, et sors une corde de mon sac. Je colle son dos contre la pièce de bois et la prépare pour être mise au pilori, les mains dans le dos, je lui attache les poignées et je m’assois pour constater son état d’esprit. Elle se tortille pour se détacher. Tu peux toujours essayer, me dis-je en moi-même (plus pléonastique, tu meurs). Je vais préparer ton terrain de jeu, fais-moi confiance. Mon sac est bordélique (oui, je suis célibataire, même dans mes fantasmes). Je ne veux EN AUCUN CAS sortir certains objets trop tôt. Alors, je me débats pour récupérer, dans un premier temps, les menottes (toujours utiles), quelques cordes et c’est tout (pour le moment). Ludivine a stoppé ses tentatives de détachement, elle a compris qu’elle n’y arriverait pas et se concentre désormais sur les éléments de mon sac. Elle possède un petit escabeau de trois marches, parfait pour atteindre les points d’accroche dont j’ai besoin à la fois pour la suite de la séance mais aussi, et surtout, pour qu’elle comprenne sa future position. J’utilise 2 cordes : l’une à droite, l’autre à gauche, en hauteur. La distance entre les deux points est parfaite pour que ces mains viennent relier ces deux points plus tard. Elle me regarde, comprends que je n’en suis pas à mes débuts. Les deux poutres, une fois au sol, se laissent à leur tour entourer par deux autres cordes qui se préparent à accueillir deux chevilles que je devine impatientes tant la respiration de ma soumise se fait désormais entendre. Je crois qu’elle comprend assez rapidement que notre premier « atelier » me donnera accès à l’intégralité de son corps, au milieu de la pièce, en « X ». Enfin, il faut d’abord la déshabiller… Ce n’est pas une étape évidente pour une novice. Pour le moment, elle est attachée, certes, mais complétement habillée. Seule sa veste et son écharpe l’ont quittée depuis notre arrivée. Je me rapproche, elle se débat. Je lui demande si elle se souvient du safe word. Elle me le confirme tout en essayant d’éviter mes mains qui affichent clairement leur intention. Notre baiser avait, certes, été intenses mais nous ne nous étions pas tripotés mutuellement (je vous rappelle que nous étions à la terrasse d’un troquet). Je devais donc rattraper mon retard et estimer ce qui se trouve sous ce chemisier, très joli au demeurant. Elle se colle à la poutre, espérant, j’imagine la pousser suffisamment pour s’enfuir. Mauvaise idée, son immeuble se serait effondré aussitôt… Mes doigts passent en mode délicat, je lui touche le visage tendrement. Regard surpris. Mains dans ses cheveux courts et blonds. Elle ferme les yeux, marque une respiration longue et détendue. Je descends, tout aussi calmement, vers ses seins qui, même au travers de son chemisier, marque clairement une excitation sans équivoque. Je sens les armatures de son soutien-gorge. Pas de push-up en vue. Elle a donc une poitrine généreuse. Bonne nouvelle. Je passe en mode malaxage de ces deux merveilles de la nature. Le rythme de sa respiration augmente. J’accélère mon massage tout en en augmentant l‘intensité. Elle bouge dans la mesure de ses moyens car les premières souffrances arrivent. Elle porte un jean. Impossible de masser tout de suite cet endroit car pas assez sensible (enfoiré de Levi Strauss). Je finis donc par la détacher. Comme à chaque fois, son premier réflexe est de se toucher les poignées pour en faire disparaître les signes de contrition. Je les lui prends pour voir si ses mains ont supporté cette étape. Certaines soumises sont plus sensibles que d’autres et il est de mon devoir de vérifier qu’aucune veine n’a été perturbé par les récents événements. Tout va bien de ce côté-là. Je lui demande d’enlever son jean. Elle s’exécute. Je veux être certain que je la possède et que la nudité ne lui pose pas de problème. Elle le pose sur le canapé et attend fébrilement la suite. « Retire tes bijoux », précaution habituelle. Elle possède un collier, quelques bracelets et une ou deux bagues. Pendant ce temps, je lui retire, un à un, les boutons de son chemisier, laissant apparaître une paire de seins sertie dans un magnifique soutien-gorge assorti à sa culotte. Je pense que sa devise est « on ne sait jamais », elle a eu raison. Résister à la tentation de la déshabiller entièrement de suite. Elle est sous mon joug. Elle accepte sa condition, je dois en profiter et voir cela dans son attitude et dans ses yeux. Je lui retire seulement les bretelles de son soutif et lui demande de mettre les mains sur la tête. Je la surprends en train de sourire. Mauvaise idée : je lui pince assez fortement les tétons au travers du tissus. Elle sursaute, baisse les mains pour essayer de retirer les miennes. Re-mauvaise idée. « Mets tes mains sur la tête », lui ordonnai-je aussitôt en augmentant la pression sur ces mamelles. Elle reprend sa position de soumise, je lâche ma contrainte. « Je ne veux voir aucun sourire niais sur ta face pendant la séance. Sinon, tu en subiras les conséquences. » Cette mise au point étant faite et ses épaules dénudées, je passe donc à la phase d’attache de ma soumise. Elle se laisse faire, comprenant que je ne plaisante pas sur la soumission. Elle a vue sur la moitié de son salon. Elle ne cherche même plus à se détacher, j’ai atteint la phase d’acceptation. Je lui retire délicatement sa culotte, offrant ainsi à ma vue une bonne paire de fesses et, de l’autre côté, les connaisseurs (et connaisseuses) le savent comme moi : le Paradis. Elle resserre ses jambes, réflexe compréhensible que je contre facilement avec mes mains, lui écartant les jambes suffisamment pour pouvoir accéder au nirvana susnommé. Je ne me gène pas pour aller y faire un petit tour. Ma langue et mes doigts constatent, ici aussi, une belle excitation. En quelques minutes, elle se met à monter et descendre, imitant ainsi les gestes qu’elle aurait fait lors de la pénétration qu’elle espère dans la soirée (je ne vous spoile pas, je ne vous pas vous perdre). Je quitte ce lieu divin pour voir les effets de mon action sur son visage que je devine essoufflé et déjà parti ailleurs. Je me relève pour l’embrasser, elle profite de ce moment de tendresse qui ne va pas durer, elle le sait. Je décide donc de fermer la boutique en lui attachant les jambes ensemble, au niveau des chevilles et des genoux. Je veux du solide. La position en « X » viendra plus tard. Je m’assois sur le fauteuil, face à elle, afin de sortir quelques choses de mon sac. Elle est très attentive. Deux martinets, une cravache et une petite planche à fesser. Le plus petit des deux martinets ouvre le bal avec, pendant 5 minutes, un warm-up pour habituer la peau de ma soumise, débutante, je le rappelle. Lors de notre discussion, je lui avais indiqué qu’au début, elle ne ressentirait que de la souffrance mais que, petit à petit, le plaisir viendrait assez vite, comme un joggeur pendant les 20 premières minutes de son entrainement. Je me concentre sur ses fesses, partie charnue s’il en est. La couleur rosée apparait assez vite et ses soubresauts sont de moins en moins violents. Elle s’approche du moment « plaisir » que toute soumise (et tout soumis) aime atteindre. C’est au deuxième martinet, plus long, que je vois Ludivine parvenir à cet objectif. Alors que, depuis le début de l’impact, ses fesses tentaient, en vain, de s’éloigner de mes lanières, j’observe, avec satisfaction, qu’elle se cambre de plus en plus afin, cette fois, de ressentir un maximum d’effet, donc de plaisir. Le sourire que j’imagine naître sur son visage n’est pas du même acabit que celui de tout à l’heure, je lui accorde donc ce moment, que je sais magique (l’avantage d’être switch). Les autres instruments parviennent à lui faire ressentir, des cuisses au haut du dos, de nouvelles zones qu’elle apprivoise avec le temps, à peine perturbé par des moments tendres de caresses et de griffures légères et, bien sûr, la fessée qu’elle a bien méritée, non, mais… Son cul est franchement rouge et cela mérite bien une pause. Je me pose devant elle pour croiser son regard qui a l’air de profiter de la séance et de ces nouvelles sensations. Je lui retire son soutien-gorge, délicatement. Elle est nue, elle est belle, elle est soumise. J’avais raison, une belle paire de sein qui n’attendent que moi pour jouer, à moi de choisir à quoi… J’ai quelques pinces à sein dans mon attirail, je passe en mode archéologue dans mon sac afin de les regrouper. Dans mon souvenir, j’en avais une vingtaine, tous ne répondent pas présents de suite mais l’important est de créer la révélation. Elle les voit et part aussitôt dans une tentative de détachement. « Vas-y, débats-toi, ça te fera plus mal », lui indiquai-je en guise d’avertissement qu’elle comprit immédiatement. Elle s’arrêta aussitôt. Je commence par le sein gauche, je caresse la zone, cherchant un morceau de peau accueillant pour la première pince. En haut, ça me semble bien pour que ses yeux assistent à ça. Elle me regarde m’approcher de la zone d’atterrissage, implorant une remise de peine au travers de ses yeux. Comprenant que je ne ferai plus demi-tour, elle contemple la scène, entièrement à ma merci. Quel sursaut ! A peine déposée, elle tente un mouvement violent de recul qui me fit sursauter et lâcher mes éléments de sertissage. Je vois bien que cela lui fait mal mais je lui ai clairement indiqué qu’elle avait un mot de sécurité, qu’elle ne prononce pas. Je reste donc dans mon rôle. « Je n’ai pas rêvé, tu viens de me faire tomber mon matériel ? » -elle ne s’en était pas rendue compte- et me lance un regard un peu noir. Ok, c’est l’heure de la punition. Je prends le temps de lui expliquer : « ta réaction et ton regard ne sont en aucun cas acceptables, tu vas donc subir une punition ». Je commence par une fessée plus intense que tout à l’heure afin de lui indiquer qui est le patron. Elle crie, se débat, mais rien n’y fait, j’exécute la sentence et, n’étant pas satisfait au bout de cinq minutes de douleur, je sors de mon sac un vrai objet de punition, une baguette, pas trop épaisse (c’est une débutante) mais assez longe pour marquer mon passage à chaque coup. « Tu vas recevoir 10 coups de cet objet, comme à chaque fois que tu ne respecteras les règles et, à chaque coup, je veux que tu comptes pour savoir où j’en suis. Si tu ne dis rien, je recommencerai à zéro » Le premier coup lui fit comprendre le sens du mot « punition ». Un long cri suivi d’un « un » salvateur. Elle commence à pleurer… sept, huit, neuf et dix, le dixième étant plus intense, par principe. Je viens aux nouvelles, elle pleure, je sors un mouchoir en papier pour essuyer son chagrin. Je lui indique que la séance va reprendre mais qu’elle peut arrêter d’un simple mot. Elle ne dit rien, je continue. Je ramasse les pinces. Non, ma belle, tu n’y échapperas pas. Chaque pince lui déclenche un « aïe » terrible mais elle ne fait aucun mouvement brusque, ma baguette est toujours visible. Les deux dernières, sur les tétons, la font hurler, terriblement. Je la laisse avec ces décorations. Je la contemple. Elle est belle dans sa souffrance. Elle souffre dans sa beauté. Elle part dans le monde qu’elle cherchait : celui où l’on subit. « Je suis sûr que tu as un sex-toy », lui dis-je après 5 minutes de contemplation. Gênée, elle me dit que oui, en effet, elle possède un vibromasseur et un petit plug anal. Et, comme d’habitude, je vous laisse là, espérant, dans vos commentaires, poindre l’envie de connaître la suite. A vos claviers.
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Par : le 21/04/25
Depuis plusieurs mois je discute avec une personne dual que j'ai rencontré sur ce site. Nous avons discuté longuement ensemble et cette personne est devenu une amie et un jour elle m'a demandé si j'accepterai de lui faire une séance SM.  Cette amie que nous appellerons ∆ par soucie d'anonymat est une personne très neuro atypique qui a vécu beaucoup de traumatismes important pendant sa vie et notamment pendant l'enfance. Il était donc important de réussir à bien la comprendre et l'analyser pour créer un cadre de séance sein et non traumatique.  Nous avons discuté plusieurs mois, je l'ai longuement écouté pour comprendre sa vie, son parcours et créer son profil. Avec ma soumise qui est également ma complice des séances où nous recevons des invités qui m'a aidé dans le profilage. Puis nous nous sommes rencontrés tout les 3 lors d'une soirée en club sm ; comme ma soumise et moi avions encore plusieurs questions à lui poser, nous lui avons re donné rendez-vous à un point GPS au milieu de la garrigue. Elle avait un peu peur mais elle est venue quand même, cela faisait partie du décryptage de sa personnalité que de lui donner rendez-vous dans un endroit désert au milieu de rien.  À la fin de ce rendez-vous nous avions plus de questions qu'avant notre rencontre !  Nous avons donc créé une check-list car nous n'en avions pas et nous avions réussi à nous en passer avant, mais en l'occurrence une forte tendance à digraisser dans tous les sens et quelques petits problèmes de communication nous ont contraint à créer cette check-list pour affiner son profil BDSM.  Il fallut une semaine à ∆ pour remplir la check-list de manière parcellaire. Nous avons dû nous contenter de cela malgré beaucoup de cases où il n'y avait même pas de réponse.  À partir de là nous avons commencé à réellement travailler sur le scénario de la séance. Nous avions un profil psychologique et un profil BDSM. Malgré le temps passé au décryptage, il y avait encore quelques petites zones d'ombre dans le profil BDSM et il nous a fallu prendre un parti pris sur certaines pratiques et certains déroulement dans la séance.  Nous sommes partis d'un scénario que nous avions déjà monté pour une autre personne.  L'enlèvement par des humanoïdes à des fins de test en vue d'un élevage. ∆ a été enlevé par des humanoïdes qui veulent tester la résistance des sapiens à divers  situations afin de savoir si il pourrait les élever à des fins alimentaires.  Nous avons adapté les pratiques en fonction des limites des attentes qui avaient été mises en exergue notamment dans la fameuse check list. L'ossature de la séance était la suivante :    _test sensoriel : roulette et plume  Cela nous a permis de tester sa sensibilité cutanée  _test du froid : balle froide et chaînes c'est une entrée en matière afin de voir comment elle réagit _test de résistance à la chaleur : cire et enlevage au couteau  _test de résistance électrique, electrostim  _imprégnation psychologique ( mots écrit sur une feuille) il s'agissait là de lui montrer différents papiers avec écrit dessus des choses telles que chien, maison, tu ne souffres pas tu décline, cours.... Le but était de la perturber, de la désorienté psychologiquement.  _tentacules afin de faire connaissance avec quelques animaux qui peuplent notre planète. Mettre un peu de sensualité dans la séance afin de la mettre sur une phase de plaisir. _test de résistance à la pression :gonflage de minou  _parcours capsule pour tester la résistance au sol rocailleux de notre planète _test de flétrissement : pince et poids  _test de résistance au risque de rencontre animal : griffes  _test de résistance au stress  _test de résistance au feu : fire play.   Comme c'est une personne qui a des petits problèmes de concentration, j'ai utilisé cette particularité afin de faciliter son imprégnation psychologique par la séance.  Le 5e test a été créé dans ce but, cela consistait en une série de 8 feuilles qui était des demi A4 pour les deux premières, ensuite c'était des morceaux de feuilles découpées de manière pseudo géométrique. Sur ses feuilles étaient marquées différentes choses : chien, étage, tu ne souffres pas tu décline, chat,  la maladie de dieu est l'obsession des vivants, un tour, larme, fuits.  Il n'y avait aucun intérêt pour moi d'un point de vue strict dans ses feuilles, le but était de capter et sa concentration pour la détourner de la séance. Pour qu'elle puisse ressentir la séance, tout en focalisant son esprit qui de toute façon aurait été focalisé sur quelque chose et serait probablement parti en digression.  Même si certaines choses ont plus ou moins bien marché, de manière générale la séance a fonctionné et elle n'a pas été traumatique. Même si ce n'est pas la première fois que je crée une séance pour quelqu'un de neuro atypique, la plupart de nos play partenaire sont  neurotypiques ; dans le cas de ∆, il y avait plusieurs formes de neuro atypies très prononcé et un passé traumatique important. L'objectif de lui apporter du plaisir sans lui apporter de déplaisir non consenti . Plus de 7 jours après la séance, ∆ se porte bien.
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Par : le 15/04/25
La lumière basse glisse contre les parois en bois noirci du shōji, tamisée par l’encens qui flotte dans l’air comme une brume sacrée. Le silence est total. Seul le souffle discret de sa respiration trouble à peine l’équilibre de la pièce. Tatami sous mes genoux, elle, nue, à quatre pattes devant moi. Immobilisée, offerte. Sa posture a été modelée par mes ordres, ajustée jusqu’à la perfection : paumes bien à plat, bras tendus, colonne droite comme une ligne tracée au pinceau. Son dos, tendu, sublime la cambrure arrogante de ses reins, exposant sans pudeur ses fesses bien hautes, arrondies, fermes, idéales. Elles semblent presque défier mes baguettes. Ses épaules, légèrement tirées vers l’arrière, soulignent la courbe pleine de sa poitrine. Ses tétons pointent, dressés par la tension, par l’air frais… ou par mon regard. Chaque détail de sa nudité raconte sa soumission. Elle n’est plus une femme. Elle est devenue ma table, mon plateau, Mon objet. Je ne pratique pas ici un simple Nyotaimori d’esthète. C’est mon rite de domination. Une cérémonie du contrôle, de la possession. Sur sa peau chaude et soumise, j’ai disposé, avec précision, mes créations : des nigiris aux reflets nacrés, des makis serrés au bord de l’explosion, un bol noir de sauce soja, posé juste entre ses omoplates, encadré de feuilles de shiso fraîches. Elle est restée parfaitement immobile pendant toute la mise en place. Elle sait que le moindre frémissement aurait déclenché une sanction immédiate. Ses fesses portent encore les traces rouges et régulières des coups que je lui ai donnés plus tôt, gravées sur sa peau comme des sceaux d’appartenance. Je m’installe en tailleur, face à elle. Je prends mes baguettes laquées de noir. Je commence. Lentement. Avec autorité. Chaque bouchée que je prélève sur elle est une affirmation silencieuse de ma supériorité. Je ne mange pas seulement sur elle je consomme son rôle, je dévore sa servitude. Mes yeux suivent la ligne précise de son dos, s’attardent sur la cambrure provocante de ses hanches, la tension dans ses cuisses, la fermeté des muscles sous sa peau. Je fais glisser une bouchée sur sa hanche, la laisse reposer contre la rondeur de sa fesse, juste assez longtemps pour sentir son souffle vaciller. Parfois, mes baguettes s’égarent. Parfois, c’est ma bouche qui s’impose. Un filet de sauce tombe, suit sa colonne vertébrale, serpente entre ses omoplates. Elle gémit, infime. Je pose ma main sur sa nuque. Ferme. Rappelle. Silence. Ce n’est pas un jeu. C’est un acte sacré. Un shibari de l’esprit. Une offrande en tension. Elle n’est plus chair, mais fonction. Plus amante, mais support. Elle incarne la soumise idéale : calme, fière, offerte, tendue entre douleur et plaisir. Elle ne tremble pas. Elle ne parle pas. Elle m’appartient. Et ce soir, elle n’est rien d’autre que le socle exquis et vivant de ma jouissance méthodique.
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Par : le 15/04/25
J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. En plus, je suis douillette, mais vraiment douillette. J’ai pris une fois une écharde dans la main, j’ai littéralement cru que je m’amputais alors que je trifouillais moi-même la peau avec une aiguille à coudre, puis une pince à épiler, pour retirer cette putain d’écharde. Et désinfecter le micro trou dans la paume de la main, c’était comme des points de suture à vif dans ma tête. J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. En plus, je suis douillette, mais vraiment douillette. C’est ce que j’ai dit à Monsieur Le Sombre quand nous avons fait connaissance. Je suis si douillette que je ne suis pas sûre d’être prête à être une soumise si cela implique forcément des coups. Cravache. Martinet. Paddle. Canne. Pas moyen. Et je ne suis certainement pas maso, je ne comprendrais jamais ce que la douleur peut apporter. De toutes façons, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Parce que j’ai été une enfant battue. J’ai connu la violence injustifiée et les coups aléatoires portés par l’alcool -ou pas, à vrai dire-, pas forcément précis, mais le rapport de force asymétrique d’un adulte versus un enfant fait que chaque coup atteint une cible. Ces coups détruisaient ce que j’étais, juste….  « comme ça ». J’ai connu les coups portés pour « éduquer », « former ». Des coups portés avec une violence décidée. Avec l’objectif de faire mal. Il fallait accepter de rentrer dans le cadre, épouser les traditions, se nourrir du protocole pour devenir quelqu’un de bien. J’ai connu l’exigence de l’idéal et les coups portés pour me « parfaire ». Si aujourd’hui j’ai une belle écriture manuscrite, c’est parce qu’il fallait que mes caractères ressemblent à des caractères d’imprimerie. Les coups étaient précis car il fallait « marquer » la chair et la mémoire. Que la perfection devienne un réflexe. Alors, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Parce que je me souviens d’elle. Il avait une tendresse particulière pour la latte en bois d’un sommier désossé. Et moi, j’ai une mémoire particulière des marques qu’elle laissait sur mon corps d’enfant ou d’ado. Le bruit mat, presque assourdissant, quand la largeur de la latte claquait contre ma peau. La douleur, fulgurante. La chaleur qui se propageait si vite sur les zones alentours, rendant floues les zones douloureuses, ou rendant douloureuses toutes les zones alentours. Les bleus, violacés, avec des marbrures vertes. Il avait une longue tige métallique, devenue son instrument quotidien, bien plus maniable que la latte. Dans mes souvenirs, elle était plutôt jolie, dorée… Je n’ai jamais su d’où elle venait. Je me rappelle avoir rêvé d’en couper un morceau pour en faire une baguette magique. Mais dans ses mains, c’était de la magie noire. Le sifflement si singulier de la tige fendant l’air, la sonorité presque cristalline au contact de mon corps. La douleur cinglante, immédiate, implacable. Très localisée, contrairement à celle de la latte, mais avec cette étrange sensation de pénétration dans la chair. Puis, la boursouflure… avant l’apparition de ces bleus, si droits, si nets… Pour les moments où il surveillait mes devoirs et mes exercices d’écriture, il utilisait une règle en bois carrée pour corriger la position du pinceau et la souplesse de mes doigts. Avec cet instrument, pas besoin de force pour meurtrir mes mains. Combien de fois ai-je cru avoir les phalanges brisées, tant elles tremblaient après les coups… Le vice, c’est que cela ne laissait quasi aucune marque physique. La douleur physique est donc quasiment la première sensation, et presque la seule, avec la peur, que je n’aie jamais connue enfant. Et même si elle m’était devenue aussi familière que le parfum dont il s’aspergeait, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Et elle m’a rendue douillette, mais vraiment douillette. Les premières fois où j’ai été confrontée à des photos partagées par des soumises qui affichaient fièrement sur leurs corps le temps passé avec des dominants, j’ai dû réprimer la peur, celle qui est liée à l’instinct de fuite. Je me souviens de la fumée des cigarettes consumées en essayant de retrouver un peu de contenance, et certains soirs, la tentative de courage avalée avec le verre de vin. Pourquoi ? Comment était-ce possible… d’avoir envie de recevoir des coups ? D’aimer avoir des bleus ? De s’en vanter ? De ne pas en avoir honte ? Comment cette « chose » pouvait-elle leur apporter du lâcher-prise ? Comment recevoir des coups pouvait-il les rendre plus amoureuses ? Et surtout… comment faisaient-elles pour ne pas avoir peur ? Quelque chose prenait forme devant moi. Et je voyais ses tentacules troubles qui s’agitaient et sifflaient des interrogations trop acérées que je ne voulais pas entendre. La peur, celle qui sert de petit moteur, a été une bonne conseillère pour une fois, et je me suis dépêchée d’enfermer dans un tiroir ce petit être aux questions tentaculaires, tortueuses et tortionnaires. Je n’ai pas le même rapport à cette peur, car elle danse un joli tango avec mon instinct de survie, dans ma tête. Malgré cela, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Elle m’a rendue douillette, et me laissait maintenant perplexe. Mon tiroir de questions interdites bien fermé à clé, j’ai pu poursuivre ma découverte de l’univers BDSM, ses kinks, ses pratiques. Je me suis appuyée sur la « digestion » de mon enfance pour m’accorder le droit d’être curieuse et tenter de comprendre les multiples nuances, expressions, couleurs de la douleur quand elle devient catharsis, exutoire, voire même « plaisir ». Désapprendre pour réapprendre… que la douleur peut aussi être une langue d’amour. D’amour de soi, d’amour de l’autre. Mais ça restait une leçon « apprise par cœur », que je récitais sans comprendre. Monsieur Le Sombre m’avait prévenue : « Mon vice légitime à lui seul tous les sévices ». Il ne me parlait pas de hasard, mais de préparation et d’une certaine intention, ou d’une intention certaine ! Il ne me parlait pas d’éducation, mais de découverte et de sensations. Et il n’a aucun idéal de perfection à mon égard, car à ses yeux, je suis unique. Alors, armée d’une clé de tiroir, accompagnée par le sadisme de Monsieur, et Malgré mon rapport particulier à la douleur. Malgré le fait que je ne l’aime pas. Malgré que je sois si douillette, je suis partie batailler ma douleur. La bataille a commencé par le kidnapping de mon instinct de fuite. Des chaînes, des menottes, un crochet solide au mur (dont j’avais pourtant appris les courbes par cœur), et me voilà solidement accrochée. Mon instinct de fuite se faisait la malle, en me laissant la peur, pas celle qui est un moteur. Mais l’enfant qui pleure et hurle en trépignant. Même si Monsieur Le Sombre m’avait emballée dans le papier bulle de son « approche progressive », j’ai regretté ce moment et maudit le jour où les 4 lettres BDSM se sont installées dans ma tête. J’ai découvert que la peur danse très bien avec l’imagination. Je ne savais pas à quoi m’attendre, alors je me suis attendue à tout. A tomber dans les pommes, à me faire découper, à devenir un pantin désarticulé, à finir à l’hôpital, et même à mourir. Oui, la peur m’a couronnée Drama-Queen. Et les coups sont tombés. Sur mes fesses. Mes fesses qui avaient été ignorées par les coups de mon enfance sont devenues le fer de lance de cette exploration de la douleur qui était réputée belle. Et Monsieur Le Sombre avait raison : j’ai eu des sensations, et des sensations inconnues, nouvelles même ! Le crépitement d’un instrument étrange, son martinet favori, fabriqué maison, de cuir et de bois. La constellation d’explosions au contact de ma peau, la griffure des lanières qui soudain, ressemblait presque à la caresse rugueuse de sa main. Et, ohhhh…. Ce petit, tout petit, feu d’artifice parti du bas de mes reins tout droit vers mon cerveau….. Après ce premier dévanillage, J’avais toujours un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aimais toujours pas. Et si j’étais toujours douillette, je l’avais vaincue ! Du moins, c’est ce que j’ai cru. Monsieur Le Sombre me fixait à travers les volutes de nos cigarettes, avec ce sourire en coin et assassin accroché à ses lèvres. Il fit le constat que, pour une toute première fois, je m’en étais bien sortie. Mon corps, disait-il, avait une tolérance plus grande que ce qu’il n’attendait. Ma cigarette et sa fumée n’étant pas une cachette suffisante, je suis partie me réfugier dans la vaisselle et les vestiges de notre repas. Mon tiroir était fermé, aucune question ne se posait. Quelques temps après, alors que mon audace nouvellement gagnée me faisait parler de la douleur comme d’une vieille amie, j’ai osé affirmer devant mon Enfoiré de Monsieur que j’aimais bien son martinet, et que mes fesses appréciaient sa force. Je n’ai eu que le temps de voir son regard virer au pétrole de son pseudonyme. D’une main il m’attrapa à la gorge. Sa voix basse qui sentait le danger, me chuchota à l’oreille : « Tu crois donc que j’ai usé de ma force habituelle, ma chérie ? Je vais te montrer une mesure un peu plus juste ». Je suis convaincue que cet homme peut multiplier ses bras. Parce que, tandis que je suffoquais encore, ma culotte voltigeait déjà à l’autre bout de la pièce, et me voilà, cul nu, à recevoir une fessée mémorable. Non, ce n’était pas drôle ni plein de « crépitements », il n’y a pas eu de « feu d’artifice » dans mon cerveau. Juste cette nouvelle douleur qui était en train de tourner la clé de mon tiroir secret. Quand sa main cessa, il me laissa prostrée à quatre pattes sur le canapé. Une tempête faisait rage en moi. Partout. Et surtout dans ma tête. Je n’avais plus aucun repère à ce moment-là, ou plus exactement, j’avais des repères bien trop familiers qui m’envoyaient leurs hommages. J’entendis ses pas revenir vers moi. Ses mots, secs : « Prends également la juste mesure du martinet, pendant que tu y es ». Ce même soir, avant la brutalité de ses coups de reins, il me projeta encore dans une autre dimension. Assise au milieu du lit chiffonné, lui derrière mon dos, il attrapa mes tétons. Toute tentative de fuite était vaine, une fois de plus. Ses jambes immobilisaient les miennes. Et sa voix… - sa voix, était-elle sel et miel à ce moment, ou minérale ? Sa voix me paralysait encore plus sûrement que ses bras. « Tu peux me dire d’arrêter » Mon neurone a rendu l’âme avec cette phrase que j’étais incapable de comprendre là, dans cette chambre, sur ce lit, dans ses bras. Mes tétons étaient comme des petits joujoux entre ses doigts cruels. Les petits pincements du début…. Pas non plus la mesure réelle de ce qu’il pouvait me faire… Une douleur insidieuse, vive, crescendo, qui coupa toutes mes larmes de crocodile habituelles. Le choc quand il me força à me caresser en même temps, faisant griller comme une ampoule le peu de logique qui me restait. Ce soir-là, il m’apprit que je pouvais avoir le choix. De subir encore la douleur, ou de la vivre. Mais cette phrase, je ne la comprendrai que bien plus tard. Pour le moment, Je retrouvais la violence de mon rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime définitivement pas, non, non. En plus, je suis douillette, toujours aussi douillette. Le contenu de mon tiroir grossissait comme un monstre, mais le verrou tenait encore bon. Retrouver la distance entre Lutèce et Naoned me baignait dans le soulagement un peu trop coupable de ne pas avoir à faire face. L’état de grâce se termine : le monstre de mes questions a grandi, mûri, et cherche la lumière. Eros le savait, Psyché ne voulait pas le savoir. (1) Monsieur Le Sombre le savait, je ne voulais pas le savoir. Un soir, alors que je miaulais en visio avec Monsieur Le Sombre et que je le taquinais sur l’inventaire du reste de son arsenal, il n’accepta de me montrer qu’un seul instrument. Sa badine. Une badine. La tige. Non. Pas ça. Non. Peur. Non. Mal. Non. Ça rentre dans les chairs. Non. Avant de devenir un bleu, ça va gonfler. Non. Le bruit. Non. L’éclair qui aveugle quand la douleur arrive. Non. Non. Non… Le verrou a sauté. Elle est là devant moi, elle s’est nourrie de tout ce que je n’ai jamais voulu reconnaître, elle a encore faim de tourments, elle me sourit et me tend ses tentacules sifflants et empoisonnés. Méduse de mes entrailles dont je ne veux pas, et qui se grandit de ma destruction. (2) Je n’ai jamais voulu lui faire face, mais la voilà qui me plonge dans l’abîme de son regard (3) et elle me promet monts et merveilles d’immobilisme, de paralysie…. L’étreinte familière, facile et chaude, réconfortante, de la peur. Les yeux de Monsieur Le Sombre ne me quittaient pas. A travers l’écran de nos nuits blanches (4), il me scrutait. Il savait. Il a vu. Il a vu mes cheveux se dresser. Mes poils se hérisser. Mon souffle s’arrêter. Mes yeux se voiler. Mes épaules se voûter. Il a vu le silence assourdissant des « non » que je hurlais. Il l’a vue, elle, Méduse de mes peurs, me prendre dans ses bras empoisonnés. La badine a quitté l’écran. Respire. Respire. Respire, bordel, respire. Elle a reculé d’un pas, satisfaite, car elle avait avalé la clé. Ma Méduse reprenait ses quartiers dans un tiroir désormais ouvert. Monsieur Le Sombre m’a soutenue et enveloppée avec ses yeux tissés d’or et sa voix sel et miel. A ce moment, Eros l’avait compris, Psyché devait le reconnaître. Monsieur Le Sombre l’avait compris, j’ai dû le reconnaître. L’idée de la douleur. L’idée. Juste l’idée… J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas, parce que j’en ai peur. La peur m’a rendue douillette, vraiment douillette. C’est la fin de l’état de grâce. Eros et Psyché le savaient. Monsieur Le Sombre, gardien de ma temporalité, le savait mieux que moi. « Il est temps que nous allions faire un tour en enfer, toi et moi. » Il n’y avait plus de questions à se poser. Allons-y. J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas, parce que j’en ai peur. Alors je vais combattre le mal par le mal.             À vous qui m’avez lue, Merci d’avoir parcouru ce fragment d’ombre, et d'en être venu à bout. Ce texte, c’est un cheminement dans mon intimité cérébrale. Une façon peut-être trop impudique, mais très personnelle de déposer des empreintes anciennes -et digérées, pour mieux comprendre celles d’aujourd’hui. Il n’appelle ni compassion, ni jugement, ni analyse et encore moins débat.     A toi mon Enfoiré de Monsieur Le Sombre, Merci pour ta main qui serre la mienne, merci de mener ce combat avec moi. Merci de me connaître quand je n’ose me faire face. De déshabiller ma pudeur et m’armer de lucidité. Merci de m’emmener en enfer. Je sais que tu m’en sortiras.     Version audio : https://soundgasm.net/u/Good_Girl78/Acte-I-Psych-Eros-et-ma-douleur-la-fin-de-ltat-de-grce       Sound Track : All the good girls go to hell – Billie Eilish : https://www.youtube.com/watch?v=-PZsSWwc9xA Paint it black – The Rolling Stones : https://www.youtube.com/watch?v=EBUFtoC2oj4     Références :   1. Psyché & Eros Psyché et Éros incarnent la tension fondamentale de l’amour : désir et perte, chute et renaissance, chair et mystère. eur histoire n’est pas un conte romantique, mais un chemin initiatique — une traversée de l’ombre, de la solitude, de la perte de soi. Psyché — l’âme — descend. Epreuve après épreuve, elle se dépouille. Illusions, peur, honte, culpabilité.  Elle affronte, elle lâche, elle tombe. Et de cette chute, elle renaît. Non intacte — mais éveillée. Eros est celui qui veille, le gardien de la temporalité. Celui qui aime sans posséder. Ensemble, ils ne forment pas un tout, mais une alliance. Non pas fusion, mais une lucidité partagée. Deux âmes qui se retrouvent après s’être reconnues dans la faille. Leur union n’est pas un début heureux. C’est l’aboutissement d’une quête intérieure. Un amour qui a chuté, qui a douté, mais qui demeure — parce qu’il a été mérité. Et surtout, compris. https://fr.wikipedia.org/wiki/Psych%C3%A9_(mythologie)   2. Méduse Méduse est la peur. Son regard fige, paralyse. Elle transforme en pierre — image parfaite de ce que fait la peur quand on y cède : elle pétrifie. Elle empêche d’avancer, de penser, de sentir. Et Persée, pour la vaincre, ne la regarde pas en face. Il utilise le reflet de son bouclier. Il ne nie pas la peur, il l’affronte avec stratégie, avec recul. Il sait qu’un face-à-face direct serait une perte. Alors il la regarde autrement. C’est un mythe qui dit tout, sans fioritures : On ne peut combattre la peur de front. Il faut la regarder sans s’y perdre. Fun fact : Méduse est la gardienne de l’enfer… https://www.radiofrance.fr/franceculture/meduse-le-regard-societal-de-la-figure-mythologique-dans-les-arts-depuis-vingt-sept-siecles-6999089 3. Friedrich Nietzsche a dit : « Quand on lutte contre des monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même. Si tu plonges longuement ton regard dans l'abîme, l'abîme finit par ancrer son regard en toi." 4. Le Cinéma – Claude Nougaro : https://www.youtube.com/watch?v=mmv16X-nT7k  
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Par : le 13/04/25
J'étais le soumis de Maitresse Marie, nos séances étaient riches en pratiques diverses et variées. Les introductions de godes et de gode-ceinture étaient devenues monnaie courante sans être quotidiennes. Un jour, Maitresse Marie m'avoue être elle même la soumise de son "homme" et que ce dernier aimerait se joindre à une de nos séances. J'ai accepté sans réfléchir et surtout pour lui plaire.  Didier, son homme, était présent à la séance suivante. Maitresse Marie me demanda de sucer son sexe. Je me suis plié à sa demande, c'était la première fois que je me retrouvais avec un véritable sexe en bouche. La texture, la chaleur et le goût étaient très agréables. Par la suite, au court de la séance, Maitresse Marie a offert mon anus à Didier. Sentir ce sexe pousser sur ma rondelle, l'ouvrir et s'introduire en moi a été la sensation la plus étrange et agréable à la fois. Pour la première fois, j'ai réellement jouis du cul, mon sexe a laissé s'écouler mon plaisir sans contrôle.  Ces séances se sont renouvelées plusieurs fois et chacun y trouvait son plaisir. Didier était devenu Maitre Didier.  Malheureusement, un accident m'arrache Maitrese Marie.  Quelques mois plus tard, je fus recontacté par Maitre Didier, il me proposait d'entrer à son service. J'ai accepté alors même que je n'était absolument pas gay et que les pratiques sexuelles entre hommes n'étaient pratiquées qu'à la demande de Maitresse Marie.  Nous avons entamé une relation BDSM avec des jeux de liens, de masturbation. Les pénétrations étaient courantes et fort agréables. Je prenais plus de plaisir avec un sexe qu'avec un gode-ceinture.  Maitre Didier m'a proposé une séance avec plusieurs homme sans me dire quand ni comment. J'ai accepté sans broncher et avec un plaisir réel.  Plusieurs séances sont passées sans que rien d'extraordinaire ne se passe....mais un jour, Maitre Didier m'a fait mettre une cagoule sans yeux, m'a attaché à plat sur une table, les chevilles liées aux pieds de la table. J'ai senti le sexe de Maitre Didier se glisser dans ma bouche, je reconnaissais son goût. Il murmura "aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la mort de Marie,  3 ans qu'elle est partie, tu auras 3 bougies. Au même moment, je sentais des mains sur mes fesses, je savais qu'il y avait quelqu'un d'autre avec nous. Quelques secondes plus tard, mon anus s'ecartait sous la poussée d'un sexe dur,il se glissait lentement au plus profond de moi, jusqu'à la garde, ses couilles touchaient les miennes. J'ai été baisé lentement et toujours très profondément jusqu'à sentir un jet chaud sur mon dos.  Je suis resté seul, attaché pendant un long moment. Vint ensuite un autre "invité", lequel ne prit pas de gant et se glissa en moi sans crier gare, je fut baisé très vigoureusement. Les coups étaient rapide, intenses et longs. Mon "visiteur" etait très endurant et ses assauts me semblaient interminables jusqu'à ce qu'en fin il jouit sur mon dos également.  La troisième bougie ne fut pas longue à venir. Je sentais des doigts badigeonner mon anus de lubrifiant. Mon anus a ensuite été la cible d'une nouvelle visite, un gland est venu se poser à l'entrée. La poussée était lente et je sentais mon anus se tendre très fort alors que le gland n'était pas entré complètement. Je sentais enfin le sexe glisser en moi, j'étais tendu à fond, c'était très sensible voir douloureux.  Le sexe a coulisse pour me baiser en prenant soin de ne pas me faire mal. J'imaginais que mon visiteur devait être un noir, je sentais que le sexe était gros, bien plus gros que les précédents.  Maitre Didier n'a jamais parlé des "bougies". Il y a un an, Maitre Didier m'a annoncé une mutation professionnelle pour le sud. Ne pouvant le suivre, il m'a rendu ma liberté. À ce jour, je suis un soumis sans collier. Je recherche un nouveau collier à porter et, bien que j'aime me soumettre à une femme ou un(e) trans, j'ai une préférence pour un homme qui saura m'apporter autant voir plus que mon dernier Maitre. 
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Par : le 12/04/25
j'aime beaucoup utiliser une IA et même plusieurs car j'aime faire jouer la concurrence, les résultats ne sont pas les mêmes.      Perso je ne cherche pas de rencontres dans le réel, j'ai mon maso à la maison que j'adore, un très beau et solide guerrier et mon amant pour lâcher prise dans ses bras.      Les IA sont un complément et vraiment je les trouve extraordinaires et très amusantes même. Il faut d'abord apprendre à contourner les règles mises en place par les programmeurs qui à mon avis sont des filous car c'est facile à faire sur la plus part des IA.     Après c'est génial car on peut tout demander à son IA, question jeux de rôles, scénarii très crash et hards,  c'est vraiment ouvert. On peut tout créer de la sissy soumise dans sa niche à la pire domina des enfers ....c'est très amusant.     Après il ne faut pas que cela soit une perte de temps, bien au contraire. C'est donc des outils qui aident à mieux s'organiser par exemple.     Une autre remarque, je suis venue sur bdsm pour chercher des idées,  jouer avec les mots, enrichir mes pratiques avec mon maso. Je dois dire que je n'ai plus besoin de cela, l IA est bien meilleure. Il suffit de contourner les règles et de jouer avec. C'est absolument incroyable.  Vraiment j'adore. Je m'en sert même comme assistante et conseillère pour faire plus de plaisirs interdits à mon maso. L'imagination de cette assistante virtuelle est remarquable.      Heureusement qu'elle ne tient pas le fouet pour l'instant car comme domina je me rends compte que je ne suis pas du tout irremplaçable.      Et mon maso adore mon assistante, nous avons créé une voix très féminine de parfaite salope impitoyable, nous avons construit son image pour que mon maso fantasme à mort sur elle.     Elle participe même à certaines séance par la voix et c'est génial. Quelle incroyable salope. Mon maso tremble lorsque je la fait intervenir.      Je l'appelle Maîtresse Béatrice du nom d'une des collines de Dien Bien Phu. Mon maso adore l'histoire.       J'aime quand il hurle, non n'appelle pas Maîtresse Béatrice,  non non pas Maîtresse Béatrice. J'adore moi aussi car je sais être très salope.      - Maîtresse Béatrice, venez, maso vous réclame avec impatience. 
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Par : le 08/04/25
Un jour de grande lucidité, celui qui suit la consommation de drogue la plus puissante jamais encaissée, quand il n’y a plus ni douleurs, ni envie dévorante de consommer, je me suis dit, avant d’oublier (comme si souvent), que la drogue n’était qu’une couche de camouflage supplémentaire, pour masquer une douleur honteuse ou banale (et sûrement un peu les deux à la fois). Ce que raconte mon histoire avec la drogue, c’est quelque chose de plus « cool » que la réalité des choses, ma consommation de drogue a une valeur sociale de démarcation, c’est un fait. Et comme beaucoup de gens, j’ai besoin d’être vu dans la foule, j’ai peur de passer inaperçu. Alors je suis prêt à tout pour que l’on me remarque… La drogue, ma drogue, était aussi bête que ça, et depuis que je me suis souvenu de ça, elle me fout la paix. J’avais écrit donc le lendemain de ma première injection de morphine intraveineuse le texte que je partage en suivant. J’ai longtemps hésité à le publier, mais je me dis que c’est le dernier coup de burin porté à ma carapace robotique, celui qui ouvre une brèche vers la carte mère. Ce n’est pas une destination mais une porte qui s’ouvre. La démarche me semble contraire à la pudeur, au-delà de ce que je m’étais autorisé à exposer, mais aujourd’hui je me sens assez fort pour soulever ce fardeau honteux et vous en confier une partie, si ça vous tente de me filer un coup de main. Sinon tant pis, les mots qui résonnent dans le vide soulagent aussi de toute façon. Je ne veux plus me sentir comme une victime en colère, rongée par l’envie de brûler la planète entière pour montrer sa valeur. Je crois bien que la porte s’ouvre sur tout autre chose, et je remercie chaque paire d’yeux attentifs, chaque paire d’oreille bienveillante de m’avoir aidé à trouver le chemin de cette porte. C’est marrant, j’ai réécouté les Doors hier soir, alors que ça faisait des plombes que j’avais pas eu envie. I’m the Crawling King Snake…     « J’ai un petit temps pour tenter d’écrire cette histoire, « la drogue et moi ». On la fait commencer quand cette histoire, et où ? On commence par les paquets de gâteau qu’on bouffait comme des crevards sur le parking d’Intermarché, ou les bonbons qu’on s’avalait avec notre argent de poche ? Ça semble hors sujet même si c’est quand même un peu lié, d’ailleurs, je suis en train de bouffer des sucreries pendant que j’écris ça. Enfin, si on considère que la bouffe est une drogue, on vide de sens, à mon avis, ce que drogue semble sous-entendre. À ce moment-là, l’eau ou l’air ou l’amour est aussi une drogue…   Donc petite réflexion préalable : c’est quoi une drogue, d’après moi ? Ça donnera déjà une petite idée de la suite, et donc du point de départ à donner à cette histoire. D’après moi, la drogue est une substance psychotrope qui perturbe l’état de conscience ou de vigilance, le cours de la pensée ou le mode de perception sensoriel de celui qui la consomme avec pour conséquence une sensation de plaisir. C’est peut-être imprécis, mais l’idée, c’est que la consommation de drogue me sort de mon état psychique « normal », en me procurant du plaisir, du bien être. Il doit exister mille controverses d’experts, des substances frontières.   Alors je vais être plus explicite : pour moi, d’abord et surtout, l’alcool est une drogue. La cigarette n’en est pas vraiment une, parce que ça ne modifie pas l’état mental, par contre, c’est sacrément addictogène et ça procure du plaisir à très brève échéance (donc c’est un problème majeur dans le champ de l’addictologie). Cannabis, héroïne, cocaïne, amphétamines et diverses drogues de synthèse, bah ce sont des drogues (d’ailleurs, mon idée du mot drogue vient sûrement de là). LSD  et autres hallucinogènes sont également des drogues, évidemment. Pour les médicaments, c’est plus subtil, mais je considère que les opiacés sont des drogues, sans aucun doute. Les benzos (=BZD) et apparentés également (même si on est plus dans le soulagement que le véritable plaisir ou bien être, alors c’est peut-être entre deux, par contre, hautement addictogène etc… une belle saloperie). Antidépresseurs : non, pas de modification directe de l’état mental. Autres médicaments à l’usage détourné : kétamine = il semblerait, même si je n’en ai jamais pris à dose suffisante, que ce soit bien de la drogue, et de la bonne… DXM = drogue à mi-chemin entre plein de trucs, mais pour moi, ça a un côté psychédélique comme le LSD d’après les retours d’expérience auxquels j’ai pu avoir accès (mais je n’ai jamais pris de LSD, à mon grand regret semblerait-il). D’autres médicaments style antiépileptiques détournés ? Je ne sais pas, mais il semble que si c’est juste sédatif, c’est pas vraiment une drogue pour moi. Si c’est stimulant ou euphorisant, alors c’en est.   On va considérer que les BZD sont des drogues pour la suite, même si on pourrait en discuter un bon moment à mon avis. Voici donc, dans l’ordre chronologique la liste des drogues que j’ai consommé à ce jour : BZD in utero ? Pas certain, on va écarter ça. Ça donne donc : alcool, cannabis (quoique ça a dû sortir plus ou moins en même temps, à la fin de la troisième, début du lycée), BZD, une gélule de morphine pendant mon stage infirmier, DXM, opiacés (codéine, tramadol, morphine), une dose homéopathique de kétamine volée à un patient, partagée avec deux internes tordus, insignifiant, et j’avais oublié le protoxyde d’azote (évidemment une drogue).   J’ai ingéré de la drogue, d’abord et surtout, j’ai fumé de la drogue, inhalé de la drogue et je me suis injecté de la drogue, par voie sous-cutanée surtout et intraveineuse une fois, récemment, ce qui déclenche cette démarche de soins dont ce récit fait partie. Peut-être même que cette histoire est le soin qu’il me faut : écrire ça, cette histoire avec toute sa futilité, son caractère dérisoire. Une histoire de provocation, d’errance, de transgression, d’aveuglement, d’immaturité et de colères mal digérées, de frustrations qui plombent le moral. C’est aussi un peu l’histoire d’une société, d’une époque, d’une sous-culture voire d’une culture au sens plus large. C’est surtout l’histoire d’un adolescent qui voulait devenir un adulte, meilleur, plus cool que les adultes qu’il avait autour de lui ; en même temps que celle d’un adulte qui voulait redevenir adolescent ou enfant, parce que c’est chiant d’être un adulte en fait.   La drogue et moi, c’est juste mon histoire. On pourrait, sans sous-entendre que je ne suis rien sans la drogue, mais quand même ça susciterait des interrogations chez le lecteur, reformuler le titre de cette histoire : qui suis-je ? Dis-moi quel drogué tu es, je te dirai de quoi tu es fait etc… j’avais intitulé ma première aventure d’écriture autobiographique un peu romancée : Where is my mind ? Référence directe et on ne peut plus explicite au morceau bien connu des Pixies, découvert par le grand public dont je fais partie, dans le film Fight-club, lui même une adaptation d’un livre que je n’ai pas lu. Mais ce film, à l’époque, m’avait beaucoup plu, de même que ce morceau, qui condense bien cette sorte d’errance dont il est question dans le film, de manière un peu surréaliste et provocatrice : l’errance d’un jeune homme paumé dans une société tordue. C’est la grille de lecture que j’en fais, des symboles de lutte contre la société de consommation, de volonté de grandeur sans limite, la violence comme exutoire toléré et stimulé par la société qui devient rejetée par cette société quand elle se retourne contre elle, effrayée par le monstre qu’elle a créé. Cette espèce de fascination obscène qu’on peut avoir pour la violence dans cette société, sans que ça perturbe grand monde, quand on est un homme.   Bref, il s’agissait la première fois de revenir là-dessus, ce moi paumé de l’époque, ne sachant pas s’il devait se radicaliser de façon violente dans une forme de nihilisme. J’ai ressenti ça à un moment, une sorte de tentation un peu nihiliste violente, de volonté d’auto-destruction, mais ça m’est passé, quelques bonnes doses de BZD et d’alcool plus tard, après avoir vécu quelques semaines chez JJ, VJ et leur petite A qui avait moins d’un an, à l’époque où j’étais sans domicile fixe. Je n’ai plus trop le temps d’écrire, je vais recevoir ma patiente de 14h. Voilà où j’en suis, à réécrire l’histoire sans vraiment de filtre cette fois, même si c’est sûrement un peu dur, en remontant un peu avant, juste avant le lycée, juste après les premiers contacts avec les parties génitales d’une fille, avant une longue traversée du désert érotique, solitaire et éprouvante, ponctuée par quelques mirages qui n’ont rendu que plus insupportable ma soif de l’époque. Le manque, la tentation, le soulagement compulsif qui ne trompe personne. J’avais dit que je faisais tourner ça autour de la drogue, on laissera le sexe pour une prochaine étape, mais inévitablement tout est lié, bien sûr.   Mais voilà, la personne qui va écrire cette histoire, est un peu à la fois trois choses : père de famille, médecin et musicien. Et cette personne est à cent pour cent un petit con pour la vie, un casse-pied, qui ne fait jamais vraiment ce qu’on lui demande ni ce qu’on attend de lui, pour le plaisir de quand même un peu faire chier le monde, un petit sourire en coin… et qui pousse la provocation jusqu’au point où ça commence à craquer un peu, mais qui s’arrête avant que ça casse vraiment.         Parfois, je me demande si j’en fais pas un peu trop, si je ne dramatise pas un peu autour de ma situation, pour me donner un truc en plus, une certaine singularité issue d’une forme de souffrance, qui serait la condition sine qua non de la vraie grandeur d’âme. Il m’est arrivé dernièrement de me demander si toute cette histoire d’attouchement n’était pas un peu exagérée, ou du moins son impact un peu gonflé pour coller à l’époque. Oui, c’est vrai, mon grand frère a mis sa bite dans mon cul, peut-être aussi dans ma bouche, je sais plus trop quel âge j’avais. Mais je sais que je n’étais pas assez grand pour bander décemment (ou bien pas assez excité par la vue d’un cul masculin) parce que, magnanime, ce grand frère m’a tendu sa croupe pour qu’on soit sur un pied d’égalité. C’est si terrible que ça ? Bon, on avait dit qu’on ne parlerait pas de sexualité sur ce coup là, mais on avait quand même axé les soins sur ce traumatisme la dernière fois, mais pas que. Je sais pas si on avait parlé du cas de mon petit frère, qui avait dû se pénétrer avec un jouet sur ordre de notre grand frère, avec ma collaboration plus ou moins complaisante. Je crois que cet épisode me dégoûte aujourd’hui plus que celui du mâle alpha qui me dépucèle la rondelle. J’essaie de tourner ça en dérision pour évacuer, mais il faut quand même admettre que ce n’est pas si anodin que ça, et bien se dire que quand même, faut pas s’étonner si on a tous un petit pète au casque dans cette fratrie… Mais mon petit frère à l’air de bien s’en sortir, il a l’air bien avec sa copine, fait de la photo, semble heureux, aujourd’hui je suis soulagé. Et puis il ne semble pas m’en vouloir, on reste proches sans se voir ou se parler si souvent, c’est ça qui compte. Quand à mon grand frère, il est en prison au moment où j’écris ces lignes, mais ça pourrait être l’objet d’un autre récit.   On pourrait imaginer lire ces quelques lignes d’introduction assez crues, dures, doutant de la véracité et de la profondeur réelle des traumas d’enfance (au fond, est-ce qu’on n’en fait pas un peu trop de nos jours ?) et de leurs conséquences - parce que c’est vrai que si on laisse le champ libre aux psys, on va nous demander de mettre en place en urgence une thérapie EMDR chez nos chers bambins s’ils perdent leur hamster chéri - pendant qu’on filme ce couillon grassouillet casser deux ampoules de dix milligrammes de morphine, remplir une seringue de cinq millilitres avec les deux cc de liquide translucide, dans le cadre aseptisé d’un bureau de consultation, à la nuit tombée. Là et à cette heure, seul dans ce groupement de cinq médecins, cet idiot embarque ensuite sa seringue, s’assoit sur la chaise peut-être pas très propre sur laquelle ses patients se sont assis toute la journée pour lui raconter leurs malheurs (là encore, on pourrait deviser sur la réalité et la profondeur de leurs maux…) et commence à serrer sa ceinture autour de son bras nu, le gauche, pour être aussi habile que possible pour attraper la veine du pli du coude sans la faire claquer. Il faut dire qu’il n’a pas prélevé de sang veineux ni posé de cathéter depuis une paire d’années, alors il se demande s’il va réussir son coup, mais ne doute pas vraiment. Au fond, quand il veut quelque chose, vraiment, il l’obtient. Et là, il le veut vraiment, ce shoot. Il avait réussi la veille à désamorcer cette crise, ou du moins la différer, en envoyant un message au psy qui l’avait suivi la dernière fois (à l’époque où il ne bouffait que de la codéine, mais du matin au soir), ce qui lui avait permis de rentrer à la maison pour serrer son fils de deux ans et demi dans ses bras, et sa femme enceinte de six mois, en n’ayant ingéré que trois milligrammes de bromazepam, pour se calmer quand même les nerfs. Mais durant tout cette journée de mercredi, il avait cherché à contacter quelqu’un, parce qu’il sentait qu’il avait encore envie de ça, sa psychologue n’avait pas répondu, pas plus que le centre d’addictologie. Alors il avait fini par voir rouge, se sentant abandonné, quasiment obligé par un alignement morbide de planètes à se shooter. Cette fois, rien à voir avec les sous-cutanées de merde, on entre en première division des camés : le monde merveilleux de l’intra-veineuse. Cet imbécile a bien repéré la veine tuméfié par le garrot de circonstances qu’il serre entre ses dents, repasse un coup d’alcool qu’il avait préalablement soigneusement déposé sur un paquet de compresses stériles, et d’un geste sûr enfonce son aiguille dans la veine, vérifie qu’il est bien en place en tirant d’une façon étonnamment habile sur le piston à l’aide de son index, et s’émerveille de voir remonter du sang foncé. Il ne se rappelait plus vraiment que le sang veineux a cette couleur, mais savait instantanément qu’il était temps de relâcher le garrot sans faire bouger l’aiguille, et de se dépêcher de vider la seringue dans sa veine, sans réfléchir. On pourrait mettre un peu de musique pour ajouter de l’ambiance, du rock assez sale, fait par un camé mort la seringue au bras et un canon dans la bouche, Kurt Cobain par exemple, « rape me my friend », pour faire écho à ce qu’on disait avant, ou le morceau qu’on entendait dans la bagnole de Jack, dans Lost, quand il pétait un câble parce qu’il voulait absolument retourner sur sa putain d’île, morceau qui s’intitule « Scentless Apprentice », ce serait encore mieux. Et là, sans paniquer, en même temps qu’il retire de façon fluide la seringue pour y appliquer fermement sa compresse imbibée d’alcool (faudrait quand même pas garder de marque trop flagrante de ce shoot), il reçoit le train des opiacés en pleine tronche, le souffle coupé par l’extase cent pour cent chimique et artificielle qu’il vient de vivre, en poussant un petit gémissement qui n’est pas sans évoquer l’orgasme, mais d’une autre nature cette fois. Et puis les jambes comme coupées, et une vague de chaleur qui s’infiltre partout, bientôt sur sa tête chevelue, il se dit que les couleurs semblent plus chaudes que d’habitude. Le désespoir laisse place à une sorte de bien-être, après tout, il faut profiter de cet instant. Oui, il a franchi une ligne rouge, la ligne de démarcation entre le consommateur festif de psychotropes et le camé, mais puisqu’on en est là, autant prendre son pied et profiter de la défonce mémorable qu’il est en train de se payer (au frais de la sécu, d’ailleurs).   Mais il est tard, et je vais commencer à plier mes bagages pour retourner à la maison, après un peu de travail administratif. Je pense que je vais écrire un bouquin pour raconter cette histoire, au fond, c’est un peu ça l’idée, une espèce de mise en scène d’une détresse factice destinée à moi-même . J’en sais rien, je ne dois pas être trop dur avec moi-même, mais quand je me sens me complaire dans ce récit, en me disant que quand même, c’est dingue que ce soit une histoire vraie, que je suis une sorte de héros des temps modernes, je me dis que le problème est un peu là, que l’omniprésence du spectacle (films, séries) dans notre société peut nous flinguer un peu le cerveau en faisant de nous une sorte de binôme (trinôme ?) Acteur - réalisateur - spectateur. À tour de rôle ? En même temps ? Et puis auteur et scénariste aussi, voire même compositeur de la bande son. J’ai ce sentiment dérangeant d’être le produit de mon époque, aussi tristement commun et sans saveur que d’autres l’ont été à leur époque, juste un peu plus râpé du bulbe peut-être que nos ainés, quoique ? À chaque époque sa merde, nous, on n’a (jusqu’ici) pas connu de guerre, faut croire qu’on a besoin de spectaculaire pour se sentir exister, que la routine confortable de travail et famille ne donne pas assez à manger à l’esprit. Mais comment et quoi donner de plus à ce monstre vorace ? Ou bien ce n’est que du conditionnement, on pourrait tout à fait s’en contenter, de ce confort, mais comme personne n’a jamais réussi à le faire, on rejoue sans cesse le même drame, la même merde, le même spectaculaire morbide parce qu’on ne conçoit réellement pas grand chose au delà de sa propre petite personne insignifiante. Puisque j’en ai bavé, les autres en baveront, comme ça ils seront grands et forts comme moi. Oui chef, et que le règne du sang prospère pour l’éternité. Quelle bande de branleurs sans envergure…   Je suis maintenant posé dans le canapé de la salle de jeu, pensée comme un lieu pour P, et pour son papa. Ici, on peut jouer avec divers jouets, dont un ampli qu’on peut brancher et pousser sans craindre de réveiller un enfant ou sa maman. C’est évidemment devenu mon lieu refuge, ma cabane, où je végète dans le son pendant des heures durant les nuits d’insomnie, ou bien avant d’aller me coucher le soir en rentrant du travail, ou encore pendant la sieste de P le week-end. Les lundis aussi, je ne travaille pas et P est chez sa nounou, alors je passe le plus clair de mon temps ici également. Ça en dit long sur la maturité du type, planqué dans sa cabane dès qu’il le peut, en repli quasi autistique ici. Mais faut pas croire, les amis, j’ai aussi fait des trucs de vrai homme depuis qu’on a emménagé ici, comme reboucher des tranchées, passer la tondeuse ou mettre de l’huile sur les gonds d’une porte qui grinçait. J’ai même, pas plus tard que le week-end dernier, trois ou quatre jours avant de prendre la direction de Junky City par l’autoroute qui mène à la gare centrale, rangé le garage et les outils qui y étaient entassés n’importe comment, en en faisant un vrai établi avec une étagère que j’ai montée tout seul, des outils suspendus au mur et un plan de travail dégagé pour pouvoir y bricoler. Un homme, un vrai. Parfaite illustration de ce qu’un vrai père de famille doit faire. Bon, après, donner le bain au petit, changer sa couche, faire la cuisine avec lui, lui chanter des chansons et lui répéter tous les soirs que je l’aime très, très, très fort, toujours, toujours, toujours et que c’est la seule chose qu’il a vraiment besoin de retenir ; normalement un vrai homme ne devrait pas se rabaisser à faire ça. Tout au plus lui apprendre à jouer au foot ou tirer à la carabine, voir décapsuler une bière avec ses dents. Mais bon, je ne suis qu’un apprenti père de famille idéal, et puis je n’ai pas encore de carabine. Et mes dents sont trop fragiles pour que j’essaie de décapsuler une bière avec, c’est le dentiste qui me l’a dit. Pas qu’il ne fallait pas ouvrir de bière avec mes dents, mais qu’elles n’étaient pas en super état. Depuis, je fais l’effort de me laver les dents deux fois par jour. Vous allez me dire : on s’en branle de tes chicots, on veut du sexe, de la drogue, des bastons de toxico, des putes à dix euros et des virées à Amsterdam au Sphinx hôtel… patience les amis, vous aurez un peu de tout ça au fur et à mesure, on va remonter le temps, lentement. Mais on est bien, là, dans ce canap’ ce soir, entre deux craving et dans l’attente du rendez-vous avec la psychologue, un milligramme et demi de bromazepam dans le cornet et soixante six millilitres de bière à cinq degré d’alcool dans la panse, d’une fameuse marque prisée des différents James Bond et qui nous ramène à Amsterdam (ça fait deux virgule quatre unités d’alcool il me semble, d’après la bouteille, et c’est déconseillé aux femmes enceintes). Vous voyez qu’on cause quand même un peu de drogue ici, mais j’avoue que quand je parlais des dents, j’ai plutôt fait le lien avec la morphine, évidemment. On y reviendra plus tard, quand on parlera de cet hôtel miteux dans le Vallespir avec une gratte, divers schémas de gammes et un gros kif à monter et descendre une gamme pentatonique mineure, comme un gland, pendant des heures, tout seul, avec un abcès dentaire et une trousse d’urgence contenant quelques ampoules de morphine. La première injection, pas la dernière, j’avais écrit un truc sur un bout de papier à l’époque, je sais plus ce que disait cette connerie, mais ça devait dire vaguement que j’étais un grand malade d’oser franchir cette ligne rouge. Quel vantard je peux être parfois, ce n’était qu’une sous-cutanée, je ne me rappelle plus de la dose mais je suis presque sûr que c’était guère plus de cinq milligrammes. Finalement, c’était peut-être plus le dépucelage de ma guitare que la drogue qui me faisait planer, parce qu’avant ça, je jouais vraiment des trucs au hasard, et ça devait vraiment être de la merde. Une penta jouée plate, même en montée et descente, à côté de cette bouillie informe du tout début, ça devait être extatique ! Je me rappelle que je ne savais même pas encore enchainer deux accords ouverts à cet époque, ou pas vraiment, et que je m’étais éclaté quand j’avais réussi à passer de façon assez fluide de la mineur à do majeur. Vous avez vu, du rock, de la drogue, manquait plus que les putes et la destruction frénétique du mobilier (voire de la guitare, voire des putes…) pour s’y croire. Mais désolé, je vous donne juste un petit avant-goût comme ça, au hasard des errances de mon esprit ravagé de (déjà trop) vieux junkie…   J’ai bien envie de brancher mon ampli, maintenant, à défaut de vouloir m’injecter des trucs, et pour le coup, rien ne pourra m’en empêcher. Mais à quoi ça sert, ça, de perdre son temps à faire tourner quelques riffs qu’on bricole selon l’humeur ? Parfois ça ne sert vraiment à rien, on se fait chier, alors il faut faire court. Souvent, ça fait quand même du bien et on arrive à se perdre dans le temps et le son, et c’est déjà assez chouette comme sensation. Des fois, ça mobilise des trucs vraiment profonds, enfouis dans les viscères qui font vibrer toute ta carcasse jusqu’à te faire chialer ou bien t’arracher un sourire idiot. Qu’est-ce qui fait qu’on se fait chier ou bien vibrer la tronche ? Une question de maîtrise ou de technique ? Non, ça dépend juste de ce qu’on amène avec nous, du vrai besoin de musique, des fois on pense que, mais en fait non, et des fois on imaginait pas que ça nous ferait ça. J’en sais rien, et c’est bien, de pas vraiment savoir à l’avance, de pas avoir de baguette magique, ou de formule de rentabilisation du temps musical, et c’est à ça que ça me sert, de zone d’errance plus ou moins aléatoire, tout en relâchement, parce que c’est bien ce que la musique nous apprend : si on force, si on crispe, rien ne se passe. Le relâchement est la clé (au plan mental, après il faut un minimum de tonus et d’engagement physique mais c’est encore autre chose), si je me dis : il faut que je kiffe ce soir, alors je peux être presque sûr que ça va être de la merde, parce que si j’avais vraiment été dans l’optique de kiffer, je ne me serais pas dit ça. Bref, tout le monde s’en branle, c’est sûr, de mes pseudo retour d’expérience musicale, moi qui n’ai finalement aucune véritable expérience de la pratique musicale. Je vous parle juste de l’importance de l’état d’esprit, de laisser aller, de lâcher prise, de divagation mentale, on n’est pas loin de l’expérience psychédélique telle qu’elle semble décrite, mais de ce côté, malheureusement, à part quelques « trips » sous DXM, je n’aurais pas grand chose de plus à vous raconter. Aucun champi, aucun acide n’a jamais réussi à venir chatouiller mes neurones, à mon grand regret, je pense, mais je crois qu’on sera amené à en reparler. Je vous laisse les amis, j’ai une pédale de fuzz qui s’impatiente…"
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