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Derniers posts du forum
Je me suis rendue compte que je suis switch ! Mais rien de hard, ce que tu décris me parle. Ca m'excite de me toucher devant un homme alors qu'il ne peut rien faire, ou de me servir de lui comme d'un objet sexuel qui doit uniquement répondre à mon plaisir et être toujours disponible.
Le rabaisser verbalement ou le torturer, ne m'intéresse pas.
Tu as un côté primal, c'est une piste à explorer... 😉
@Sly :
pareil, je n'aime globalement pas être humilié, mais il faut croire que dans certaines circonstances, ça fait du bien. dans le cas de cette expérience, c'est vraiment le fait d'être dévoré et deshumanisé par ma propre libido qui m'a humilié, et j'aime tout ce qui me ramène à mes parties animales, y compris quand l'animal est domestiqué, c'est un fait
Salut Bender,
Pour rebondir sur le sujet et les commentaires, malgré ma petite expérience je ne pense pas que la majorité des gens recherchent uniquement du hard. Comme cela a été dit, souvent on ne sait pas qui se cache derrière un pseudo, et certaines personnes utilisent les sites de ce genre comme un défouloir de leurs fantasmes sans aucune envie de passer à l'action. Ils sont extrêmes dans leurs propos juste pour relâcher une forme de pression.
J'ai lu sur un site que seulement 10% des pratiquants font du hard. Bien sûr ce n'est qu'une estimation, et c'est difficile de définir ce qui est une pratique extrême et ce qui ne l'est pas, c'est totalement subjectif.
Je pense que ce que tu évoques dans ton premier post est le côté cérébral qui, selon moi, est à la base de tout. Après cela peut aller de pair avec des pratiques dites plus hard ou pas, tout dépend des gens. Pour répondre à ta question, je comprends très bien ce que tu décris et je l'ai déjà vécu aussi. Quand on est dans un certain contexte et dans le feu de l'action, on ne s'en rend pas forcément compte, mais quand on prend du recul on se dit : "waouh c'était super intense, humiliant, et j'ai aimé ça..." L'humiliation est aussi une facette du masochisme. Pour ma part c'est difficile à décrire, mais si on me demande si j'aime être humilié j'ai tendance à répondre non (pas parce que je n'assume pas, si on me demande si j'aime l'impact ou l'uro je réponds oui sans hésiter 😂). Je me suis déjà retrouvé dans des situations humiliantes et j'ai aimé ça, mais dans un contexte précis mon cerveau ne vit pas la situation comme humiliante sur le coup, cela me parait logique et normal. Je me suis même déjà senti fier dans une situation humiliante ! Je sais je suis très atteint... 😅
Ne t'inquiète pas tu n'es pas seul, et au vu de ce que tu écris je pense que tu es tout à fait à ta place ici. Il y a une telle variété de pratiques et de dynamiques que chaque relation est unique. C'est normal, je pense, de ne pas se retrouver totalement chez les autres même si, sur le papier, ils ont des pratiques quasi similaires aux tiennes.