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Derniers posts du forum
Parfois, les fantasmes ont meilleurs temps de rester pour ce qu'ils sont; des petits scénarii nous aidant à grimper aux rideaux.
Mais derrière le message j'y vois surtout une chose le rôle du dominant et sa manière de se situer dans sa situation (même fantasmer)
- être un sadique juste pour le plaisirs de détruire, y compris sa compagne, juste pour son propre plaisir et au détriment de celle-ci, ce que nous pourrions parler de "sadiens" ou juste prendre son plaisirs à imposer et dégrader sa soumise..car celle-ci y prend du plaisir, ce que nous pourrions appeller des dominateurs "masochiens"...
Les deux existent.
Il faut être avant tout clair sur cette partie. Savoir où l'on se situe.
Mais, bien que le premier cas pourras toujours trouver des partenaires volontaires, le "sadiens" pourras toujours passer outre le consentement de sa partenaire, partenaire souvent non volontaire et subissant... Mais gare alors aux conséquences, ne serait-ce juridique...
Quant aux "masochiens", l'un n'empêche pas l'autre.... les deux y prenant plaisirs, ce qui n'empêche les câlins....
Je ne peux parler que de là où je suis. Je suis Primal. Ce qui implique brutalité, humiliation. Et pourtant ma pute est aussi mon amoureuse. Que je prends tendrement dans mes bras aussi, même après l'avoir brutalisé.
En revanche, il n'y a absolument aucun mépris.
Il est évident que les perversités et pulsions de l'un doit rencontrer les envies et les fantasmes de l'autre pour que cela "fonctionne".
Ni règles codifiées (par qui ?) ni "ligne directrice" (vers quoi?). Que ces choses existent dans certaines relations parce que c'est la dynamique de ces relations, rien a redire. Mais en faire une loi générale ? Toujours pas, non.
@Kawa :
merci pour votre réponse, c'est un peu le sentiment que j'ai, mais je ne sais pas bien quoi faire de ces pulsions comme vous dites. j'ai probablement besoin de temps pour les laisser infuser (il y a peu, je n'y avais même pas accès, alors bon, je dois être patient). mais concrètement, la question pratique suivante se pose : dois-je chercher à jouer avec des hommes pour me faire une idée ? j'aurais tendance à répondre que non tant que seule pulsion violent sans attirance ou affection réelle existe.
question 2 : cette pulsion violente pour la résumer, peut-elle s'incorporer dans une relation affective saine préexistante ?






