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Vous êtes devant un dilemme qui pose question de votre capacité à gerer une relation SM. Un dom a pour objectif de reveler sa soumise et ainsi lui permettre de s'épanouir, pour cela,Il utilise les moyens et pratiques necessaires et ce dans le consentement et respect ! La violence physique, psychologique et sexuelle peut en faire partie, et ce en preservant son integrité physique et mentale, ce qui sous entend qu'il doit être en capacité de gerer et maîtriser son propre comportement ! la violence, l'humiliation...ponctuelles sont utilisées pour le bien-être de la soumise et non pas pour la degrader. Le plaisir, la jouissance resident essentiellement dans le bien-être octroyé et partagé avec sa soumise, l'affecttion profonde et l'amour gardent toute leur place !. A ce stade, je fais le distinguo entre le "dom normal" et le sadisme pathologique, dont son seul plaisir est d'utiliser les moyens et pratiques pour sa propre jouissance, cette dernière est rarement sexuelle, la soumise n'est qu'un objet, sans aucune affection.
@Atypik :
je suis d'accord sur le fait que déconstruire sa masculinité n'implique pas automatiquement une bisexualité. Mais je voulais simplement dire que le macho de base pensera : "si t'es excité à la vue d'une bite, alors t'es pédé", sans prêter attention au fait que par exemple, quand il baise sa femme ou regarde un porno, il peut lorgner quand même sur des bites et que ça l'excite. Il faut un certain degré de détachement de la peur d'être "jugé" comme étant "pédé", donc de déconstruction de sa masculinité pour se poser honnêtement ces questions.
pour le reste, oui, le dialogue est la clé, et pour le moment c'est largement assez satisfaisant pour moi de baiser assez brutalement et exprimer une certaine possessivité, mais il se pourrait que j'ai besoin d'aller plus loin pour rester durablement satisfait, et madame pourrait ne pas souhaiter me suivre sur cette voie. Et comme j'en veux toujours plus, je me demande ce que ça ferait de la dominer plus brutalement maintenant : ça donnerait des sensations plus intenses ?
Tout est très hypothétique, mais je me demande ce que je ferai à ce moment, si mes désirs les plus sombres s'éloignaient des siens... est-ce qu'il est possible de faire des compromis sur ce point ?
Pour l'aspect érogène d'un sex masculin, en érection ou pas, je ne peux pas t'aider et je me garderais bien de trancher entre suggestion indépendante du désir et attirance non assumé.
Je ne suis pas convaincu que la "déconstruction" implique nécessairement une bi-sexualité de fait. Tout hétéro que je suis, cela n'implique pas d'être attiré par toutes les femmes. Dans la même logique je serais plutôt d'avis que les deux sujets sont indépendant l'un de l'autre.
Je me répète souvent sur ce sujet, mais seul le dialogue avec ta compagne demellera le noeud concernant votre relation et son évolution.
Pour ce qui est d' aller "chercher ailleurs" lea potentiel(le) partenaire, pareil. Si ton couple vanille est important, et il semble bien l'être, alors le dialogue sera la clef. Il sera toujours temps de se poser les questions nécessaire une fois les premières réponses données. Peut on tout avoir ? Je te le souhaite. Mais si ce n'est pas le cas, des questions plus fondamentales se poseront à toi.
@Atypik : merci pour ta réponse, effectivement la précision sur le terme de mépris est la bienvenue.
il me semble clair aujourd'hui que ce désir de domination "brutale et animale" prend une place de plus en plus importante dans ma sexualité et dans mon couple. Je pense que les fantasmes de domination d'autres hommes ne sont que des ramifications marginales de ce puissant désir et il ne me semble pas pertinent (à ce jour) de pousser les explorations de ce côté (du moins tant que je ne ressens pas de véritable attirance pour les hommes). Ce qui me perturbe un peu reste le puissant potentiel érogène à mes yeux de l'image du penis en erection (le mien autant que les autres) : cet effet de suggestion est il vraiment indépendant d'un désir de nature sexuelle vis à vis des hommes, et partagé par d'autres hommes qui se considèrent comme hétéro ? Ou est il l'expression d'une attirance non assumée par les hommes (j'ai mon idée sur la question mais je serais intéressé de recueillir quelques avis d'hommes "déconstruits", honnêtes et lucides) ?
ceci étant dit je me pose encore une question dans le cadre de mon couple : et si elle n'est pas prête à se soumettre totalement à mes désirs, dois-je accepter un degré relatif de frustration ou bien devrais songer à chercher ailleurs cette partenaire idéale ? Le mieux est-il l'ennemi du bien dans cette domaine aussi ?








