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.Posté dans Switch
bonjourje voudrais remercier sincérement les personne qui ont répondue a mon sujet et toute franchise merci a vous et vous inquietez pas je fait mon petit bonhomme de chemin accompagné ou pas ...sourire
Rougemercure
.Posté dans Switch
Voilà un discours emrunt d'intelligence Seigneur Yog-Sothoth a dit...Je suis switch, comme l'indique ma fiche, mais je ne suis pas 50/50 et à mon avis, chaque switch suit sa propre voie.Personnellement, je me sens plus à 87,28% dominateur et 12,71% soumis et 00,01% indéterminé Par contre je pense pouvoir passer d'un jeu à un autre. Oui j'use (j'ose) utiliser le terme jeu, car pour moi tout ceci est récréatif, et pas un charte de vie, ou une "voie" à suivre sans rebrousser ou dévier du chemin. C'est pour cela que je peux changer de peau facilement.Il faut préciser que je fais plutôt dans le BDSM ligth Du coup, je te rejoins Dodu, je ressent également, un certain mépris parfois ... (pas de réponse aux messages ou au demande d'amie, etc...)Alea jacta est
Il n'y a pas que dans les films BDSM ou "de genre" que l'on trouve des images fétichistes ou BDSM. Dans le cinéma "traditionnel" aussi. Voici, sur cette photo extraite d'un vieux film, l'une des plus belles images d'un rapport inégalitaire entre un homme et une Femme que j'ai jamais vu (même si le film en question ne parlait pas du tout de ce sujet). Y-a-t-il des cinéphiles dans les parages ? Je vous laisse trouver le titre.  
Aucun cinéphile dans les parages, à ce qu'il semblerait.Donc, pour votre culture personnelle, le film dont est extrait cette photo est "chantons sous la pluie".Quanbt à l'actrice, il s'agît de Cyd Charisse, que l'on a surnommé "The legs". Alez savoir pourquoi
Je pense que ce topic est le lieu tout indiqué pour parler du film Tokyo DecadenceRéalisé par l'écrivain Ryu Murakami, le sujet principal est le SM. Il s'agit de l'histoire d'une jeune femme qui vit de cela en dominant ou en se soumettant à ses clients. Elle est d'ailleurs plus souvent soumise que dominatrice et réalise ainsi, contre de l'argent, les fantasmes de ses clients. Quelques images :Un film que je recommande à tous ceux qui ont notamment un intérêt certain pour le Japon et le SM (mais pour ça je pense être au bon endroit^^).
Hector
.Posté dans Cinéma et fétichisme - BDSM
"Maîtresse" (1975), un film de Barbet Schroeder à la réputation sulfureuse avec Bulle Ogier et Gérard Depardieu. En quelques mots, c'est l'histoire d'un jeune provincial, Olivier (Gérard Depardieu), qui vient de débarquer à Paris et s'est trouvé un petit boulot de vente de livres, au porte à porte. Il fait la connaissance d'Ariane (Bulle Ogier), une jeune femme blonde qui vit seule au dernier étage de son immeuble, au-dessus d'un appartement inoccupé que notre cambrioleur d'occasion, aidé de son ami Mario, visite la nuit suivante. Ils y sont surpris par Ariane qui a installé dans ce local... son donjon SM : sa nouvelle amie est une dominatrice professionnelle.Ariane semble réellement amoureuse de lui : pourtant, souvent, le temps de descendre un escalier intérieur qui relie les deux appartements, la blonde et fragile jeune femme se transforme en brune et dure idole que ses serviteurs appellent respectueusement "Maîtresse". Maîtresse Ariane commence à utiliser le petit loubard dans ses séances avec ses soumis, et Olivier découvre les jeux pervers d'une Maîtresse professionnelle...Barbet Schroeder a l’intelligence de filmer la relation SM comme un théâtre plus cérébral que sexuel. Ce qui est excitant ici n’est pas tant ce qu’on voit, mais la mise en scène en soi, un spectacle raffiné qui fait durer le désir, puisqu’in fine c’est bien le désir, prolongé et sublimé, qui compte, le plaisir s’autodétruisant au moment où il arrive. Le film est intéressant du fait bien sûr de la qualité des acteurs mais aussi par son aspect quasi documentaire : les scènes de domination sont jouées par de vrais pratiquants (dans une scène intense, Maîtresse Ariane châtie par exemple les testicules et les tétons d'un soumis avec des aiguilles, du jamais vu dans un film mainstream à ma connaissance, d'autant plus à l'époque), plusieurs accessoires du donjon appartiennent à des Maîtresses parisiennes d'alors, lorsqu'Ariane explique à Olivier son métier, son plaisir à le pratiquer, chaque ligne du dialogue a été effectivement prononcé par de véritables maîtresses avec qui le réalisateur s'est entretenu (Schroeder a notamment rencontré Monique Von Cleef, une dominatrice hollandaise fameuse en son temps), et, cerise sur le gâteau, les tenues SM sont signées Karl Lagerfeld...Le film trouble aussi en ce sens qu'il révèle l'intemporalité du rapport entre la femme dominatrice et l'homme soumis. Le film a été réalisé il y a bientôt 40 ans mais il aurait pu être tourné hier : les séances, les fantasmes, les pratiques, les accessoires, les comportements,... les tarifs élevés aussi ,... tout était déjà là. La seule évolution dans l'intervalle étant la relative démocratisation du BDSM.
BDSM
.Posté dans Cinéma et fétichisme - BDSM
LeMarquis a dit...Pour ma part, je vous recommande le cinéaste Andrew BLAKE, un chantre du porno chic US.Des situations, des actes, des scènes qui exaltent tant et plus la féminité et le BDSM.Il s'agit de cinéma pornographique, avec des scènes non masquées, mais avec tant de subtilité...Sur WIKi, vous pourrez trouver le noms de ses "oeuvres"...et bonne recherche à vous.Andrew Blake c'est très bien ! ... S'il fallait en conseiller un : The Villa
J'ai vu ce film il y a très longtemps, au point d'en avoir un souvenir un peu confus. Mais de mémoire il m'avait semblé passionnant (En particulier, Bulle Ogier y était aussi belle que talentueuse. Mais Bulle Ogier est fabuleuse dans tous ses films, et trop peu connue à mon goût).Bref... Reparler de ce film me donne envie de le redécouvrir.Hector a dit..."Maîtresse" (1975), un film de Barbet Schroeder à la réputation sulfureuse avec Bulle Ogier et Gérard Depardieu. En quelques mots, c'est l'histoire d'un jeune provincial, Olivier (Gérard Depardieu), qui vient de débarquer à Paris et s'est trouvé un petit boulot de vente de livres, au porte à porte. Il fait la connaissance d'Ariane (Bulle Ogier), une jeune femme blonde qui vit seule au dernier étage de son immeuble, au-dessus d'un appartement inoccupé que notre cambrioleur d'occasion, aidé de son ami Mario, visite la nuit suivante. Ils y sont surpris par Ariane qui a installé dans ce local... son donjon SM : sa nouvelle amie est une dominatrice professionnelle.Ariane semble réellement amoureuse de lui : pourtant, souvent, le temps de descendre un escalier intérieur qui relie les deux appartements, la blonde et fragile jeune femme se transforme en brune et dure idole que ses serviteurs appellent respectueusement "Maîtresse". Maîtresse Ariane commence à utiliser le petit loubard dans ses séances avec ses soumis, et Olivier découvre les jeux pervers d'une Maîtresse professionnelle...Barbet Schroeder a l’intelligence de filmer la relation SM comme un théâtre plus cérébral que sexuel. Ce qui est excitant ici n’est pas tant ce qu’on voit, mais la mise en scène en soi, un spectacle raffiné qui fait durer le désir, puisqu’in fine c’est bien le désir, prolongé et sublimé, qui compte, le plaisir s’autodétruisant au moment où il arrive. Le film est intéressant du fait bien sûr de la qualité des acteurs mais aussi par son aspect quasi documentaire : les scènes de domination sont jouées par de vrais pratiquants (dans une scène intense, Maîtresse Ariane châtie par exemple les testicules et les tétons d'un soumis avec des aiguilles, du jamais vu dans un film mainstream à ma connaissance, d'autant plus à l'époque), plusieurs accessoires du donjon appartiennent à des Maîtresses parisiennes d'alors, lorsqu'Ariane explique à Olivier son métier, son plaisir à le pratiquer, chaque ligne du dialogue a été effectivement prononcé par de véritables maîtresses avec qui le réalisateur s'est entretenu (Schroeder a notamment rencontré Monique Von Cleef, une dominatrice hollandaise fameuse en son temps), et, cerise sur le gâteau, les tenues SM sont signées Karl Lagerfeld...Le film trouble aussi en ce sens qu'il révèle l'intemporalité du rapport entre la femme dominatrice et l'homme soumis. Le film a été réalisé il y a bientôt 40 ans mais il aurait pu être tourné hier : les séances, les fantasmes, les pratiques, les accessoires, les comportements,... les tarifs élevés aussi ,... tout était déjà là. La seule évolution dans l'intervalle étant la relative démocratisation du BDSM.