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Bonsoir, lorsque le lien a été fort il est important de poser des mots sur cette "fin", d'expliquer ce qui ne nous convient plus que ce soit côté D ou s, cela s'appelle pour moi le respect, respect du lien passé mais aussi respect de la personne en face. Personnellement la fin de ma relation D/s serait comparable à une mort et pour la surmonter j'aurai besoin de faire mon deuil, ce que je ne pourrais pas faire sans explications honnêtes et claires. Le meilleur moment pour y mettre fin ? Je pense que c'est le moment où on ne s'y retrouve plus, où l'on se perd, où l'on n'apprécie plus vraiment les instants passés ensemble, où (la je parle pour moi) on n'a plus rien à se dire
J'ai  eu des soumis sous collier avec qui tout s'est très bien passé.    L'un à quitté la région , donc  la fin d'appartenance est devenue logique et s'est faîte naturellement devant un verre avec  le sourire pour les bons souvenirs et un petit pincement dans le bid au moment de partir chacun de son côté.   L'autre , ce fût une décision bienveillante de ma part . Mon soumis avait retrouvé un équilibre famillial dans sa vie vanille créant une certaine distance . Le moment était venu  ...    Cela s'est fait par mail avec une profonde douceur; une fin d'appartenance propre qui laisse un lien . Je le sais bien et quelque part il reste Mien...  
Eh ben. Il y a un moment que je n'avais pas vu un sujet aussi profond. Aucun sarcasme. Merci de ce post. De mon côté, toutes les relations BDSM étaient des relations amoureuses. Je ne suis pas certain que ça arrange les choses, côté séparation. Aujourd'hui, ma soumise est mon épouse et la mère de nos enfants, la séparation n'est plus une option.
Bonsoir Mesdames, Etant soumis et désireux de rester à ma place je permets de prendre part à vos échanges. Je ne vois dans ces écrits que des dominantes qui dissertent sur l'arrêt d'une appartenance, la fin d'un état d'une grande beauté, la in fin d'un amour inconditionnel pour des motifs divers et variés, suite à la décision d'une Maîtresse. J'aimerais cependant me permettre en tant que soumis vous demander si vous n'avez jamais eu à faire à un soumis qui, lui décide de mettre un terme à cette appartenance. Il est vrai que le mensonge est petit et vil. J'ai le bonheur d'avoir réussi à organiser ma vie de façon à ne pas avoir à mentir dans le domaine affectif, assumer avec franchise ce que l'on fait, partager et se soumettre à la Maîtresse reste pour ma part une démonstration d'amour. Mais dans la vie d'un soumis il peut  avoir des changements des imprévus qui font qu'un soumis souhaite interrompre une appartenance. La question est: est il aussi difficile pour une Maîtresse de se faire quitter par un soumis qu'il n'est pour un soumis de perdre sa Maîtresse? Auriez vous la bonté de m'éclairer? merci
Duncan
.Posté dans FIN D' APPARTENANCE: et si on en parlait ...
Mettre fin à une relation d'appartenance c'est vivre un deuil. Mais à la différence que l'autre n'est pas parti dans un autre monde, il/elle est toujours là (heureusement) et si on me demande de rester ami je refuse, ça m'évite de ressasser avec des si
  Je suis entièrement d'accord et c'est pour cela que J'ai décidé de mettre un terme à cette appartenance.   Ce qui n' empêche pas qu'elle soit salie par la suite ... Certainement que J'accorde trop de valeur au sens des choses en ce domaine... 
Oui l' envie  est un moteur essentiel. Que ce soit l' envie de soumettre ou de se faire dominer. Sans l' envie des risques demeurent, d'où l' importance de dire les choses ...   Parfois, Je prends le temps d'analyser les choses avant de tirer la sonnette d'alarme... Je perçois assez vite quand l' envie me quitte car Je suis bien incapable de faire semblant, mais quand ça vient de l' autre camps... Tout repose sur son talent à faire semblant...    Le pire étant à mon avis et pour l' avoir vécu plus d'une fois,  est le mensonge . Quand la personne que Je soumets  dissimule son manque d'envie pour me faire "plaisir" dira t'il plus tard... Mais pourquoi ? Puisqu'au final, rien n'est durable bâtit sur le mensonge qui finit toujours par sortir au grand jour...    Difficile de faire une rupture propre quand l' un ou l' autre se sens blessé par les mensonges...  ( une pensée pour mon ancien chien  :)  )
Des trois que j'ai vécus deux on été très violente de par la coupure nette. L'une avec des mots posé et c'est avec cette peraonne que je me suis remise et l'autre a été un Ghost le jour ou on m'a annoncer que mon père se réveillerais plus. La dernier fin de relation c'est moi qui était plus dedans plus envie. Il a eu la "délicatesse" de continuer le dialogue pour au final finir par tout casser... Le besoin de faire mal et d'être blessant quand on n'a pas ce qu'on veut...  C'est pas simple quand il y a plus l'envie pour moi c'est ça qui signifie réellement la fin 
On parle souvent de l' appartenance en termes élogieux,  On passe souvent sous silence la fin de cette même appartenance...  Je me suis souvent efforcée de mettre en place une fin propre et sans casses, n'ayant su le faire la toute première fois.   J'essaie de faire ça propre au mieux, l' histoire de ne pas briser l' homme. Il me serait facile de le faire, Je connais ses faiblesses.  Je vaux mieux que ça, alors Je fait preuve de beaucoup de tolérance... Encore...    Je m' interroge dés les premiers signes . A force , on les repère. J'essaie d'ouvrir et de garder ouvert le dialogue avec le ou la soumise concerné. Mais bien souvent les "non dit " faussent la donne.   Peur de peiner, de décevoir, de se faire punir et certainement d'autres choses qui font que les choses ne sont pas dîte  dès qu'elles sont ressenties et ainsi le mal- être prend place.    A quel moment mettre fin à une appartenance?  Est ce bien quelque chose qui s'explique?    Pour ma part, c'est plus quelque chose qui se ressens , qui se voit même , ( si on ne se voile pas la face) .Et  c'est surtout une décision qui se doit d'être un minima verbalisée.    J'en ai eu qui ce sont trés bien passé et d'autre moins facile mais toutes sont triste car toutes ont était une relation bdsm choisie et désirée. Il est toujours triste de mettre un terme à quelque chose de plaisant , non?    Je ne suis pas des plus bavardes et actives sur le forum , néamoins Je laisse libre à chacun de s'exprimer sur ce sujet car Je suis persuadée qu'il y a autant de façon de mettre fin à une appartenance qu'il y en a à en débuter une.   
[Création originale, écrite sous le pseudo de Dame Joana. Merci de respecter le droit d’auteur]   “Regarde ! Un homme est à terre… Attendant les ordres de sa Maîtresse, il s'aplatit sur le carrelage froid.” Foudroyé par ma colère, Il est étendu là, et attend… les tétons et le sexe durs à la fois. Mes yeux remplis de malice Aiment le voir frissonner devant l’apparition du cierge brûlant. “Prêt pour ce divin supplice?” Il l’attend comme une chaude alliée… Mais cette cire l’est-elle vraiment? Elle coule si lentement… Chaque passage semble si douloureux… Un éclat de rire m’échappe ! En voilà un beau châtiment ! La beauté de tous ses cris aigus qui se transforment en un plaisir coupable. Pauvre petite érection… Tu donnes bien des soucis à ce soumis insouciant et indiscipliné. “As-tu appris cette leçon? Abstiens-toi la prochaine fois que tu souhaites montrer le bout de ton nez !” —--- Moralité: Si, pour toi, chaque goutte à le goût de l’enfer, Sache que les récidivistes sont marqués au fer 😈 héhéhé Dame Joana
Bonjour, Je recherche des personnes pratiquantes BDSM, ayant des connaissances de types universitaires pour parler du DSM 5 et des conséqunces que ça a au niveau legislatif.  Je suis  en train de lire Maité Lonne et de découvrir ses actions & ses analyses. Avant de lancer un débat sur ce forum avec un sujet précis , je souhaiterai communiquer avec des personnes connaissant le sujet , qui pourrait nourrir la réflexion & proposer un positionnement .
En posant cette question je ne parle pas forcément de la première expérience ou rencontre BDSM mais bien de la prise de conscience de votre attirance pour le BDSM. Avez-vous débarqué dans ce monde par le plus grand des hasards (j'en douterai...sourire) en poussant une porte sans savoir ce qu'il y avait derrière?  Aviez-vous la sensation diffuse que quelque chose vous manquait dans une relation conformiste? Est-ce une rencontre particulière qui vous a révélé(e)?  Ou une relation "vanille" qui aurait dérapé vers quelque chose de moins conformiste ? Espérant que ce sujet vous inspirera... Pierre
Jeune homme, ma petite amie découvrant des tenues osées chez sa grande sœur, nous avons démarré en jouant, puis nous avons osé en jouant. Puis le calme plat s'est enchainé au rythme de mes relations vanilles. Ma femme n'a jamais voulu s'y essayer (elle le refuse catégoriquement!) mais 1 relation adultère m'y a remis le pied à l'étrier... Mais qu'il est dur & compliqué de vivre cela à côté de sa vie vanille.