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Je vous lis... Et vraiment je ne comprend pas...Quels sont les sens de ces "punitions"?Pardon, ma question peut paraître naïve mais elle est sincère.Poussez vous vos soumis à la faute?Pire encore, Vous désobéissent-t-ils en conscience?Dans le premiers cas, pardon de vous le dire, mais c'est juste ignoble: Il n'y a rien de pire pour un soumis que de décevoir sa Maîtresse. Or, lui intimer un ordre dont vous savez qu'il ne pourra en aucun cas être mener à bien, c'est juste de la maltraitance: Vous le placer dans une position d'échec. Et ce n'est certainement pas comme cela que vous le ferez grandir.Après, il y a une autre possibilité: Il sait que répondre à votre demande est impossible. Et dans ce cas, c'est un "jeux"... Pas une punition.Dans le second cas, s'il vous désobéit en conscience, c'est qu'il "recherche" la "punition"... Et la encore, c'est un jeux entre vous, et en aucun cas une "vrai" punition...Parce que s'il connaissait la valeur d'une punition, il ne s'y risquerait pas."punition"... Encore un mot employer bien trop souvent et qui perd de son sens premier: La sanction.Et la plus terrible et vrai sanction qu'une Maîtresse peu infliger à son soumis à distance: C'est de l'ignorer...Et si la faute est importante, elle pourra toujours appliquer la sanction qui convient quand il seront en face à face...
" ... il faudrait que je me rappelle pourquoi d'ailleurs ... " voilà typiquement des phrases qui montrent la différence entre jouer au BDSM et vivre la position qui est la nôtre. C'était drôle, difficile, mais ça ne vous à rien apporter... Ou en tout cas pas marquer. Comme beaucoup de choses mentionnées dans ce thread finalement. Je vais rejoindre différents points de vue ici, pour ne citer que ceux de Dieu, Empire ou Teisha... Même si je nuancerais malgré tout celui d'Empire lorsqu'il dit que la meilleure punition est l'ignorance ( attention avec le chantage affectif qui n'à selon moi pas sa place dans le bdsm ). J'avoue que je suis moi même régie par certains jeux à distance, mais il ne s'agit clairement que de jeux et d'envies. Provoquées dans un certains sens par certaines maladresses en face, mais j'avoue que je prends facilement et de manière innattendue plus par envie de saisir un prétexte que dans le sens d'une réelle punition. Et finalement, c'est bien dans le plaisir de l'éxecutions sans questions en face que je trouve le miens, et non dans la violence de la leçon apportée. Et quand je dois donner une leçon, je prends le temps de l'expliquer bien assez longtemps de toutes façons pour ne pas la cantonner à une simple pratique. Une chose me turlupine quand même dans ce fil de conversations... Je peux concevoir qu'on à pas tous le même degré d'imagination Mais voir quelqu'un demander conseil sur comment sanctionner sa partenaire ça me déroute toujours autant :/ Comment pourrions nous prétendre la connaître mieux que vous ??? Comment donner une sanction qui soit compréhensible sur thème ??? Comment appliquer mon plaisir personnel à ce qui est censé être Votre plaisir ??? Votre soumise à du uriner dans un bol et vous faire des photos... tant mieux si ça vous à plu à tous les deux. Mais pourquoi une interdiction d'uriner dans des toilettes ? pourquoi devoir le faire dans un bol ? Pourquoi cet inconfort pour elle ? Ou est donc la cause ? Qu'à t-elle retirer de cette journée ? Est-ce une éducation qui est restée ? Comment lui avez vous expliquer ce qui devait résulter de cette "punition" ? Ou est donc la conséquence ? C'est décidemment toujours aussi déroutant de voir certains couples D/s se perdre dans certains méandres de la facilité ... Parcque mettre une femme à genoux et lui filer des punitions parcque c'est comme ça qu'on fait, c'est une chose... Mais lui apporter des leçons de vies si intenses, même si violentes, qu'elle trouvera un bien être puissant à venir d'elle même à genoux à vos pieds prendra une saveur bien plus particulière si vous cherchez à le comprendre. Et quitte à être dans ces clichés, même pas besoin de la voir à genoux ... Les voir à mes côtés regardant un film et ne pouvant s'empêcher de frotter leurs cheveux sur mon torse comme des petites Chattes, suffit amplement à me démontrer combien mes Petites Effrontées me désirent et me sont dévouées ;) Allez ... histoire de coller un peu avec le thread quand même, une petite idée pour votre soumise : Apprenez lui donc que vous êtes en droit d'avoir des idées gratuites et sans raisons; et embarquez là alors dans vos plaisirs... EDIT après relectures : mettre un(e) soumis(e) en position d'échec volontairement n'es pas toujours pervers et sournois si l'on considère que le Bottom à finit par se persuader qu'il était invincible (angel eyes). Si tant est que l'on prenne le temps de lui expliquer l'échec infliger encore une fois. BDSM ou vanille même combat : COM-MU-NI-CA-TION
Puisque votre attention semble conditionnée par la teneur des débuts d'un message, je commençerais donc par vous présenter des excuses pour le côté virulent qui ressortait de prime abord de mon précédent message à votre égard, précisant malgré tout qu'il était fondé sur vos écrits initiaux et non précisé comme ils l'ont été fait depuis.Tenant compte du fait malgré tout que la théorique d'un débat consiste bien à prendre ce qui est dit ( et non ce qui devrait être compris ) pour l'assimiler ou non en fonction de son ressenti personnel pour l'exprimer en retour en s'appuyant sur ce qui fut dit précédemment.En ce sens, et connaissant d'ailleurs le fond et la cause de votre sanction, je trouvais dommageable justement qu'il ne vous fusse pas en mémoire là ou il aurait pu apporter justement une pierre à ce thread.Car finalement il s'inscrit clairement dans une démarche punitive, visant à corriger un trait de caractère vanille, de celle que vous êtes (ou avez été à un instant T), au sein pourtant d'une relation D/s. Et c'est bien dans cet épanouissement en temps que Femme de ne pas reproduire quelque chose qui ne vous servirai pas dans la vie, qu'une experience de soumission prend du sens.Le bdsm est-il une affaire de mémoire ? non ... pas au sens premier du terme. La mémoire cérébrale on l'à ou non, et c'est pas moi qui donnerait des leçons sur ce point qui plus est (rire)Par contre la mémoire corporelle, la mémoire d'instinct, la mémoire de survie ... Cette mémoire qui ne vas pas générer une réfléxion de type " oulahh il me faudrait m'abstenir parcque la dernière fois ça m'à couté cher " , mais qui va plutôt générer l'acquisition de certains réflexes, d'un naturel finalement en accord complet avec l'être que vous êtes, loin de tous souvenirs de soumissions.La punition (oui parcque c'est le sujet du fil, même si un peu dévié depuis) à bien la vocation sémentique de "consister à imposer quelque chose de désagréable à une personne, dans le but de la rappeler à l'ordre et de la dissuader de conserver ce type d'attitude."Malheureusement cette mémoire animale, instinctive, ne peut exister si la sanction n'est pas assimilée à la faute, si la thématique n'à pas un minimum de proximité entre la cause et la conséquence et aussi et surtout, si elle n'est pas comprise par la personne soumise, ce qui est bien trop souvent le cas.Au même titre que certains dominant ne perçoivent pas les dangers destructeurs de la soumission de quelqu'un, la réciproque est vrai lorsqu'il s'agit d'en percevoir les facteurs constructifs qu'ils sont censés apportés. On fait du BDSM parcqu'on sent bien qu'on aime ça, mais on se contente de reproduire des schémas parcque ça nous plaît, oubliant finalement que la personne soumise attend de cette relation une forme d'éducation, une aide pour corriger des traits qu'elle à reconnue elle même comme devant être corrigés, mais qu'elle à reconnu ne pouvoir dépasser sans une personne exterieure.En ce sens et encore une fois pour tenter de ne pas trop éloigner mon post du sujet initial, échanger des idées perverses, sadiques ou emplies de vices est loin d'être une mauvaise chose. (Et comme le dit Dieu, le malentendu est surement issu d'une simple erreur réthorique au départ).Mais venir demander de l'aide pour sanctionner la personne soumise est des plus mal venue au sein d'une communauté qui vise justement à ne pas prôner la gratuité lorsqu'il s'agit d'apprentissage, contrairement à une simple envie ou un désir.Besoin d'idées pour punir une personne soumise ?D'accord pas de soucis ... Mais c'est bien un CV quasi complet qu'il me faudrait pour répondre...Faute commise ? au sein de quelle éducation ? De quelles règles passées ? de quelle évolution entre le début et le moment de la faute ? quels sont "Ses" plaisirs ? quels sont "ses" plaisirs ? Que redoute t-elle ? Qu'aime t-il qu'elle redoute ? Quelle leçon veut-il lui transmettre ? A t-il besoin d'un support visuel ou non ? Est-elle dévouée ou en découverte ? Est-elle plutôt babygirl ou esclave ? Cherche t-il un impact de vie ou seulement au sein de la relation D/s ? lui veut-il de la douleur ? de l'humiliation ? du dénit ? de la sexualité ?etc...etc...Dominant un choix de facilité ? surement pas ... Encore faut-il être capable de vouloir assumer les centaines de responsabilités virtuelles invisibles pour beaucoup au delà de la simple responsabilité de prendre soin d'un soumis.Et d'admettre l'ingratitude que toutes ces choses auxquels nous devons constamment pensés pour créer un cadre de soumission qui soit concret et beau pour une personne soumise ne sont jamais mis en avant à ses yeux et restent dans l'ombre de nos esprits éducateurs et pervers ...[EDIT qui semble important avant que .... " non je ne dis pas qu'être soumis est plus facile quand je dis ça" ]
Je répond a nouveau car j ai l impression que ça part dans tout les sens . Oui je puni mes soumis assez sévèrement c est vrai et a distance aussi après que ça soit pour leur rappellé leur place ou juste pour mon plaisir . empire dis que la punition n est pas nessecaire parce que l échange et l amour entre la maîtresse et le soumis est entier et fauter est déjà une grande punition j aime beaucoup empire et je suis d accord avec mais ce constat est réducteur , empire n est plus novice et a un comportement exemplaire et beaucoup d amour avec sa maîtresse qui d ailleurs est admirable mais quand est il des tous premiers pas des tous premier échanges des premier balbutiement et même si cela ne se justifie pas j aime "punir " c est tout . J aime cela m exite me transporte le fait qu'il accepte de souffrir pour moi alors quand on aime pourquoi se privé . Quand a la signification du mot punir oui pour faire mal pour moi oui mais c est mon plaisir et ils l acceptent alors franchement s aretter sur un mot parce qu il engage quelque chose de péjoratif franchement si on aime on s en fout pardon hein mais si
Bonjour, une fois avec mon soumis (il est à 600 km de moi) quand il avait bien exagéré. je lui ai demandé de mettre un kleenex en petit morceau dans son cul et que celui ci serait expulsé la prochaine fois qu'il irait à la selle.
Une autre idée mais malheureusement valable que pour les soumis et pas les soumises est de lui faire attacher sa queue à sa jambe et de faire le ménage comme ça.Peut être que vous pourriez le transposer autrement pour votre soumise ou peut être que cela peut donner des idées à ceux qui possèdent un soumis.
Une parenthèse "sérieuse" pour tenter d'expliquer cette passion bien étrange pour "la fessée", la flagellation et autres penchants du même ordre et après on rigole, promis !Aimer la soumission, la domination, aimer donner ou recevoir la fessée... c'est grave docteur ? Pourquoi développe-t-on un penchant vers la soumission ou la domination ? Pourquoi est-on enclin à trouver une source de plaisir en subissant ou en infligeant une souffrance ? C'est la faute à Œdipe prétendait Freud. Aujourd'hui, les psy-trucs et autres psy-machins sont d'accords sur un point:Tout se joue dans l'enfance et même au cours la première enfance aux stades successifs de notre construction de futur adulte sexué et en particulier au cours de la construction de notre "moi" sexuel.Lorsqu'un enfant subit un châtiment corporel, il garde dans son corps et dans son psychique la mémoire de cette violence, et quand cette violence prend la forme d'une fessée, elle touche à 'l'intime', à la pudeur et stimule une zone érogène . Se mêlent alors: "interdit", honte, humiliation, douleur, plaisir... Si la fessée, la "tournée de martinet" s'accompagne d'une atteinte à la pudeur, ce qui est le cas quand la fessée est humiliante (fessée déculottée par exemple, fessée en public...), l'enfant verra sa sexualité future affectée par ce vécu douloureux ou non. En clair, un enfant victime de violence risque d'avoir un comportement violent; un enfant qui a subi des violences à caractère sexuel même en apparence anodines, verra sa sexualité orientée.Il y a sans doute parmi nous de nombreuses victimes de punitions corporelles, de fessées qui peuvent témoigner de la manière dont cette violence ont durablement affecté leur développement psychologique et sexuel.Le caractère à priori violent de la fessée ou de la correction plus ou moins douloureuse et humiliante, qu'on soit victime ou témoin, marque à tout jamais et détermine l'orientation sexuelle.Alors... c'est grave docteur ?
Bon, je me lance.J'ignore si les quelques châtiments corporels reçus dans mon enfance ont influencés ma vie sexuelle..Ce que je peux affirmer, c'est que c'est bien la fessée qui m'a amenée au BDSM parmi vous.D'abord dans le libertinage, quand un homme (coucou!) m'a envoyé un "bonsoir" auquel je n'ai pas répondu, puis un "il y a des fessées qui se perdent". Cela m'a intriguée, chez moi on dit plutôt des claques... Alors j'ai dialogué avec lui, on s'est rencontrés, et il a su faire rougir mon postérieur, mieux qui quiconque jusqu'à présent!Puis quand ma psy m'a prescrit un médicament homéopathique, le Staphysagria, je suis allée voir les indications sur internet, et je me suis arrêtée sur une petite ligne qui disait que ce remède était donné aux enfants "qui cherchent la fessée"...Je peux comprendre que c'est un désir bien plus inavouable que d'autres, comme par exemple le bondage ou la sodomie, car il y a ce sentiment de honte qui est bien plus fort dans ce domaine.Bon, voilà, maintenant c'est fait, je l'ai avoué : J'AIME LES FESSEES!!!A vous les autres!
Comment développe-t-on une éristible attirance pour la fessée ?C'est simple. Voici le cas de "A":A 4 ans ou 5 ans, dans la maison voisine "A" , une gamine de 7,8 ans est en vacances chez sa grand mère. "A" entend souvent celle-ci menacer la fillette du martinet. Un jour que "A" passe devant le portail de la maison voisine: il perçoit des bruits de claques et entend des cris et des pleurs. Il regarde ce qui se passe et aperçoit dans le jardinet la vieille dame qui flanque une correction à la gamine qu'elle tient sous son bras, la culotte sur les genoux. Un autre jour il entend la grand mère dire à la gamine qu'elle va recevoir le martinet. Il se précipite derrière la haie qui sépare les deux maisons .Il voit la gamine qui se cache dans le jardin, vite découverte et assiste pour la première fois à une "tournée de martinet" qui fait voler sa jupe. L'année suivante, la petite voisine est à nouveau en vacances chez sa grand-mère."A" est autorisé à aller jouer dans le jardin avec elle. Pour une raison oubliée, celle-ci crache sur "A" qui se met à hurler. Sa grand-mère accourt. "A" montre le crachat. Elle attrape la gamine par un bras et la tire vers un coin du jardin où pousse des orties. Elle en prend avec son mouchoir et cingle les mollets et les cuisses que la jupette découvre. Hurlements et pleurs de la gamine qui trépigne et se frotte frénétiquement les endroits piqués .De quoi marquer un gamin ! Non ?
Pour moi, la fessée est très différente d'une flagellation (quelque soit l'instrument utilisé). Je ne la perçois jamais comme punitive (vous aurez mal à la main avant que j'ai mal au fesses!). Je n'ai jamais été "battu" dans mon enfance, et pourtant, j'ai très vite percu la subtilité des émotions que procure une douleur. Je ne suis pourtant pas maso: Ce n'est pas la douleur en elle même qui m'inspire, mais plutôt le "chemin" ou elle m’entraîne: La crainte, puis la lutte, vient alors ce que j'appel "le plafond de verre" (ce moment ou la douleur semble insoutenable)et enfin la délivrance: Un sentiment d'invulnérabilité, de toute puissance sur mon propre corps qui n'est plus alors que le réceptacle de la puissance de celle qui me Domine... Un moment d'une telle vérité que plus rien n'existe autour. Ou chaque coup qu'elle assène à ce corps qui s'est abandonné me dit combien j'ai de l'importance pour elle, et combien elle veille sur moi. Et ou chaque coup que je reçois lui hurle sans l'ombre d'un doute combien je l'aime...Alors je ne sais pas si aimer la flagellation est "grave docteur", mais je m'en fou! lol. Je ne pourrais pas m'en passer! Et paradoxalement, même si je connais ce chemin par coeur, je le redoute toujours...