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Carpo
.Posté dans Histoire de pseudo et fin de relation,
Le pseudo qui a été donné à la soumise lui a sans doute permis de vivre des expériences, de se découvrir, de se construire. Bref, elle en a fait une part d'elle. Donc j'aurais tendance à aller dans le sens de Gitane sans Filtre et à dire que ce pseudo lui appartient. N'en gardez qu'une partie est une manière intermédiaire de garder cette trace, en marquant la transition. Si elle se retrouve impliquée dans une autre relation, peut-être gardera-t-elle ce bout de pseudo en y ajoutant une autre composante ? Ou alors partira-t-elle dans une autre direction ? Mon pseudo n'a pas été choisi par ma Maîtresse, mais par moi en discutant avec elle et en en expliquant les raisons. Il m'est très ancré au corps et colle parfaitement à notre relation. J'ignore ce qu'il adviendrait de lui dans le cas d'une fin de relation... (comme dit précédemment, votre question initiale gagnerait sans doute à se voir alléger de certaines considérations extérieures au sujet du pseudo)
En fait à qui appartient un pseudo . à celui/celle qui le donne ou celui/celle qui le reçoit ? et dans ma réflexion j'ajouterai qu'il en va aussi de notre prénom : je ne l'ai pas choisi , ce sont mes parents qui l'ont fait et pourtant je le porte  (Pour le reste de votre questionnement, je ne connais pas voter histoire et ne me permettrai pas d'émettre une opinion)   
LeFleuve
.Posté dans Libre et soumise ?
#Carpo, votre réponse me parle. Nous savons profondément que nous sommes Variations et c'est en cela que le terme "libération" est plus ajusté. En ce qui me concerne, évidemment. Une réflexion (ou réflection, qui sait?) que j'ai pu avoir avec cette personne avec laquelle je souhaite aller plus loin se situe aussi autour des limites. Pas celles du cadre qui serait donné à cet espace-temps D/s dans la relation (pas encore peut-être, sans doute), les limites qui m'ont bridées, ou encore qui m'ont construites, les siennes, le dépassement dans chacune de nos vies au long cours, les résistances, les blessures, les volontés d'explorer plus loin ou autrement, bref, se lbérer encore et sans aucun doute choisir de poursuivre ensemble.
Bonjour, La douleur aux tetons tres fortement pincés agit comme un interrupteur chez moi et une fois cette douleur installé je suis incapable de refuser quoi que ce soit et j'en demande plus .. divulguer cela à une Maitresseou un Maitre  est une jolie clé qui se merite :-) humblement, soumis stef
Intime Photographie
.Posté dans Présentation
Oui, il y en a. Mais si vous imaginez vous connecter, ouvrir un post, et trouver, vous vous leurrez :)
Intime Photographie
.Posté dans Libre et soumise ?
Comment ne pas se sentir libre, en devenant soumise ? Je pense qu'on peut largement s'interroger sur la liberté des femmes, et sa trajectoire descendante, avec un point commun aux trois situations citées, en restant en France. À quoi faites-vous allusion ?
Bonjour à tous,  En guise de réponse, je livre ici mon témoignage qui, je vous préviens, ne propose aucune solution :  J’ai la soixantaine, j’ai toujours eu des fantasmes de domination, mais pour diverses raisons, éducation, timidité maladive, manque de courage aussi certainement, je n’ai jamais osé franchir le pas et vivre une sexualité épanouie. Ma femme est vanille, et il m’a fallu plusieurs années pour oser lui en parler. Nos échanges ont évolué, la communication est établie, mais elle avance difficilement. Non pas que nous soyons en conflit, mais parce que les mots n’ont pas le même sens. Si je lui explique que la soumise trouve son plaisir dans le plaisir de l’autre, elle me répond que c’est exactement ce qu’elle pense, et qu’elle éprouve du plaisir à m’en donner. Ce sont les mêmes mots, mais on ne parle pas de la même chose, et je ne sais pas comment le lui expliquer. Au-delà des mots, c’est du ressenti, et ce n’est pas facile à faire comprendre. Elle me propose parfois d’essayer. Nous l’avons fait une ou deux fois, mais cela ne s’est pas déroulé comme prévu. Si avant la séance, je me réjouis de pouvoir enfin me laisser aller à ressentir le plaisir que peut procurer la toute-puissance, dès la première minute, dès le premier ordre donné, je sens qu’elle n’est pas du tout dans ce jeu très sérieux qu’est la domination-soumission. Nous ne sommes pas du tout dans le même univers. D’un côté, j’en éprouve une grande frustration, et en même temps, ses efforts « maladroits » sont tellement émouvants que, pris d’une infinie reconnaissance, je lui fais le cadeau d’un moment de tendresse et de plaisir rien que pour elle, (même si j’en éprouve aussi du plaisir). Au final, le loup alpha maître absolu de sa femelle s’est transformé en amoureux transi. Nous avons certes passé tous les deux un très beau moment, mais il me reste de la frustration.   
MisterTaurus916
.Posté dans Libre et soumise ?
Pour cela que je mettais quasi philosophique, tout dépend la sensibilité de chacun. Mais j'aime ce duo de mots si savoureux, soumis(e) et liberté 😈
Silla
.Posté dans Libre et soumise ?
Pour moi on est bien sur de la philosophie de bienheureux occidentaux gâtés derrière nos écrans. Je pense qu'en regardant un peu autour de soit (au hasard, chez les talibans ? en Iran ? Gaza ?), se demander si on est libre en étant soumise trouve vite réponse. Et vous avez raison, c'est un sujet d'actualité. On le voit également dans le recul des droits LGBTQ+ dans de nombreux pays, ou aux États-Unis, l'interdiction de l'avortement dans de nombreux états. Qui dit perte de droits, dit perte de liberté. Alors nos histoires de bdsm... oui je suis soumise, oui je suis libre ! Et j'use de ma liberté d'expression pour le dire 🙂 car ma liberté je l'avais perdue à un moment de ma vie (violences conjugales et harcèlement) alors tout ça me hérisse. Sans rien de personnel et je ne lirai même pas la suite de ce fil 😉