04/09/25
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Bonjour à vous qui lirez cet "article"....
Mais je me devais de l'écrire" !
Ici et là, je lis souvent dans le statut marital "marié-e"....
Entendons nous bien! cet "article" n'est nullement un jugement de valeurs !
Mais au contraire, l'ayant vécu une mise en garde....
Car, oui, je l'avoue, tel a été aussi mon cas !
Je comprends donc parfaitement qu'un fantasme, devient pregnant au point où l'on veuille sauter le pas, car c'est une chose à laquelle on pense jour et nuit...
Mais sauter le pas, en étant marié, peut avoir des conséquences.....
Je ne vais là, plus me concentrer sur les "soumises", bien que le coté "dominant" est tout autant valable
Mais... avez vous seulement pensé, qu'une fessée, une simple fessée peut laisser des traces???
Oui ! bien entendu, vous allez me dire que votre compagnon, ne vous regarde plus, ne vous touche plus...
Mais dans le cas contraire?
Un doute? et le doute devient réalité....
Et que devient alors votre couple????
La question est alors: Êtes vous prête vraiment pêtes à assumer une demande de divorce pour cause de "déviance" sexuelle et assumer le regard de vôtre famille sur un style de vie que vous désirez cependant???
Mais entre vouloir et assumer il y a une grande différence! !
Encore une fois, ce n'est AUCUNEMENT un jugement de valeur..
Pour ma part, je considère que tout acte fait doit être assumé, que ce soit pour un Dominant, pour une soumise, mais surtout avant tout pour TOUT être humain...
La question est donc, purement et simplement:
"Êtes-vous VRAIMENT prête à assumer toutes les conséquences de votre recherche?"
Parfois, les fantasmes ont meilleurs temps à rester pour ce qu'ils sont: des petits scenarii nous aidant à grimper au rideau.
Mais s'il devient trop urgent, êtes vous prêtes à assumer le regard de votre famille sur ce genre de relation?
Car, en demandant le divorce, vous devez bien penser qu'il ne manquera pas de dire le pourquoi... et si vous avez des enfants, êtes vous prêtes à lui en laisser la garde, car, là aussi, il ne manquera pas d'en demander la garde pour la protection des enfants.... voir même vos propres parents....
Si oui, si vôtre choix est clairement assûmé, que vous êtes sûr de vous, que les chôses qui doivent se faire se fassent alors !....
Soyez la première personne à aimer.

Tamanra7
J'ose espérer que les personnes mariées qui se lancent dans l'aventure le font en connaissance de cause et conscients des risques éventuels. Et même si l'on est pas marié, les risques sont toujours présents de se trahir auprès de proches ou pire, de se faire outer. L'idéal serait de vivre sa vie un peu originale dans une certaine transparence (sans que ce soit pour autant ostensible), de telle sorte qu'il n'y ait rien à révéler ou à découvrir que l'on ne sache déjà dans les grandes lignes. Maintenant, il est clair que le statut marital et la relation de couple avec ou sans enfant ne permet pas cette option, à moins que monsieur ou madame le ou la conjoint(e) ne soit très ouvert(e) d'esprit. ;-) Cela n'est toutefois pas impossible non plus.
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05/09/25

Louve Solidaire
Le rappel est factuel et certainement valable dans la majorité des cas. Ça peut déclencher une belle grosse vraie merde.
Mais à la fois marié.e.s ou pas, les élans trouvent parfois un écho qui ne bouscule les ordres établis que pour le mieux. Être marié et vouloir se rappeler qu’on aspire à plus vrai que ce que l’on entretient est déjà une étape courageuse, d’autant que la plupart du temps ça reste un « petit pas », virtuel. Si ça bascule IRL, c’est pas pire qu’un adultère ou une relation post mariage vanille.
M’est avis qu’on essaie de m’enlever ma tribu en s’appuyant sur mon identité sexuelle et j’en fais une jurisprudence à en faire bander les plus frigides des constitutionnalistes.
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05/09/25

VraiEsclavagiste
@ Tamanra7
Oui, normalement, la personne soumise y a pensé avant de passé à l'acte...
Mais tu serais surpris de voir le nombre de personne qui visiblement n'y pense pas...
Il est évident là que je ne parle que de personne se lançant en solo... n'osant pas parler de ce fantasme à leur partenaire...
@ Louve Solitaire
"c’est pas pire qu’un adultère ou une relation post mariage vanille."
Est-ce si certain????
Bien entendu, je pourrai te renvoyer sur un de mes articles...
Mais nous (en tant que société) plus facilement pardonnable pour un simple adultère:
Avant, quand l'on se mariait c'était pour la vie... mais les hommes mourrait tôt, les femmes en couche... toute la vie durait alors quoi? 5 ans? 10 ans hors cas exceptionnels?
Maintenant, quand nous nous marions pour la vie, cela peut-être 50 ans....
La société à ainsi évoluer sur ce sujet.. quand j'avais 10 ans, les enfants de divorcés représentaient au grand maximum 5 enfants sur 30 par classe... maintenant le ratio c'est inversé....
Par contre, la vision du BDSM elle, est encore considérée comme une déviance pour beaucoup...
Je vois que tu es soumise... mais par exemple, ta famille est-elle au courant de ton statut de soumise?
As-tu osée faire ton "coming out" de soumise avec ta famille?
Si oui, toute ta famille l'a bien pris? aucun membre de ta famille ne t'a tourné le dos pour?
Si non, je peux t'affirmer que tu as de la chance!!!! Quand on voit le nombre d'homosexuel qui se retrouve à la rue, juste pour avouer leur homosexualité sans parler de soumission !....
Mais oui, dans les faits, je l'accorde..sur le fond, ce n'est pas pire qu'un simple adultère...
Mais dans les faits...
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05/09/25

Louve Solidaire
Vers lequel de vos articles me conseillez-vous d’aller ? En parcourant les titres je ne sais lequel choisir.
Oui j’ai de la chance. J’en ai bien conscience pour toutes les raisons que vous évoquez.
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05/09/25

VraiEsclavagiste
Mais tous, bien entendu !!!
Mais sur le sujet même sur ma réponse celui-ci:
https://www.bdsm.fr/forum/thread/9733/De-la-difficult%C3%A9-%C3%A0-s'assumer-comme-soumis-(h-ou-f)/
En particulier pour les commantaires...
De la difficulté à s
www.bdsm.fr
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05/09/25
Edité

Maître SADE
Vous vous posez des questions qui ne concernent pas uniquement le BDSM.... mais les relations adultères en général...quelle difference entre une relation D/S et amant/amante ! Au regard de la morale et de la socièté, il s'agit ,bien de sexualité déviante ! En ce qui concerne le BDSM, que le vouliez ou non, j'y vois quand meme un jugement de valeur : un homme ou une femme qui croque la pomme ailleurs que dans son verger ne semble pas être le bienvenu au paradis de la bienséance !
Les personnes qui le font, le font certainement avec discernement dans une demarche éclairée et assumée !...ce sont de grandes personnes qui se vit dans leur jardin secret 
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05/09/25
Edité

VraiEsclavagiste
@ Maître SADE
Encore une fois.. étant moi même dans le BDSM, ceci n'est nullement une échelle de valeur, je ne suis pas là pour juger...
Et ce n'est nullement mon rôle.
Mais je parle là bien spécifiquement de soumis ou soumise n'osant pas en parler à leurs compagnons par peur d'être jugés...
Mais qui passent des annonces en prétendant vouloir sauter le cap sans en considérer les conséquences...
Et ils sont plus que nombreux que ça !!!
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05/09/25

Laidy Sienne
Bonjour.
Et merci pour cette réflexion.
Je me permets de rebondir, moi aussi j'avais réfléchi à cela car certains oublient de mentionner leur statut.
Mais ma réflexion part de mon expérience : je lis "simplement" le profil du Dominant qui me demande en ami.
Si le statut n'est pas complété, je suppose que la personne est en couple.
Car sinon, pourquoi l'oublier ?
Et souvent, la suite du profil le raconte aussi "disponible en journée et pas le week-end", "je suis souvent en déplacement dans votre région" faisceau d'indices qui m'emmène à la conclusion que ce Dom cherche à s'extraire de sa vie vanille : il a tout à fait le droit, mais j'espère du courage dans la démarche. Et ce n'est pas toujours le cas.
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07/09/25

VraiEsclavagiste
@ Laidy Sienne
Plus d'une fois, je l'ai annoncé ainsi: je parle surtout pour le domaine que je connais le mieux: celui des soumises...
En effet, je ne fréquente que très exceptionnellement les dominants. Parmi mes "amis" sur ce site, j'en ai quelques un car discutant avec leurs soumises/esclaves et il était donc naturel pour moi, quand bien même nous n'échangeons pas tous les jours, de les demander aussi en "ami"...
Mais il est bien évident que cela concerne tout aussi bien les doms.... et au vu des différents dialogues que j'ai eu avec des soumises recherchant un Maître, il y a aussi beaucoup à y redire !
Et c'est en substance ce que j'avais répondu (lecture possible sur mon mur perso) à un homme en couple qui recherchait une soumise pour mettre en pratique ses fantasmes extrêmes...
Entre ceux qui ne lisent pas les profils, qui ne complètent pas le leurs, qui font des demandes sans prendre un minimum de temps de faire un message d'accompagnement et qui agissent avec la personne contactée comme si elle leur appartenait déjà sans apprendre à la connaître un minimum, pensant qu'il suffit de se nommer MaîtreX ou SirQuelquechose (souvent Stephen d'ailleurs!) pour être dominant....
Mais là, je suppose que vous connaissez cela par cœur.... 


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07/09/25
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Je viens d'avoir en réponse à mon
- " supprimez-donc tous les messages "
- " je n'ai rien supprimé pour preuve une partie de vos messages persistent."
Et évidemment il a supprimé son post. J'adooooore ces hommes "Dominants" d'une grande honnêteté et perspicacité... ...(peste activée)
@ Azhara
Je vois parfaitement de quoi tu parles....
Mais je pense que celui qui regarde l'image, lui ne comprends pas...



Mais oui, je compatis si je peux dire !
(et n'oublions pas qu'il ne suffit pas d'être con pour partir... )
Pfffff...
Que rajouter de plus, même si rien à voir !!!!
Désespérant???? et le mot est plus que faible !!!!!
@ Azhara...
Pourquoi effacer???
t’inquiète !

Les choses faites sont faites! il faut assumer !
Soumise comme dominateur (que je mets là en minuscule)
Mais il y a un lien comme tu dis !!!
@ Azhara...
Je relisais juste cet échange... mais je voulais mettre en avant cette phrase que tu as dit, ou, pour mieux écrire, écrites:
"Et si si il y a un lien : l'honnêteté bon sang et ne pas prendre les autres pour des cons !"
je la réécris même en majuscule, du moins, une partie de la phrase....
"L'HONNÊTETÉ BON SANG ET NE PAS PRENDRE LES AUTRES POUR DES CONS !"
Sujet plus qu'intéressant je pense....
Maintenant, je vais donner MON point de vue, que je partage avec moi même ce qui n'est pas si mal, non?
Mais je pense sincérement qu'il y a une sacrée dérive entre le BDSM avant et après la "démocratisation" d'internet....
Et je pense là aussi ne pas être le seul à le penser...
Je suis dans la période jonction.. j'ai connu la transition... et comme beaucoup, j'y vois une dérive.
Beaucoup confondant BDSM et libertinage, BDSM et exploit au travers des vidéos que l'on peut trouver par internet... je suppose qu'il n'est pas besoin que je donne quelques liens pour voir de quoi je parle....
Mais la questions réelle est qu'est ce qu'une soumise, et encore plus, une esclave???
Les mots ont un sens !
Que ce soit en parlant de CNC ou autre, se soumettre signifie se mettre sous, se sous-mettre"....
Par mon pseudo, je suppose qu'il n''est pas nécessaire que je précise ma vision...
Mais tout se passe en AMONT !
Je vais parler là, d'un sujet plus proche du CNC, l'esclavage, bien que le CNC peut être considéré comme un "'jeu" alors qu'un esclavage est un style de vie...
Nous sommes dans un système dans lequel l'esclavage subit est interdit (ce que j'acquiesse sans restriction!)
Une femme se donne donc sans restriction.
Normallement, elle a eu le temps de discuter avec son futur propriétaire, le choisir.
Une esclave devient donc propriété.
Mais avant de choisir son propritaire, elle aura eu la possibilité de poser ses jalons...
Perd-t-elle pour autant sa personnalité puisque laissant tout pouvoir à son propriétaire?
Pour se faire, je vais faire un pas de coté:
Nous sommes TOUS soumis à un cadre; celui de la loi.
Perdons nous pour autant notre personnalité?
NON!
or une soumise, une esclave a juste le cadre plus restreint et accepte le cadre de celui de son Dominateur, de son Maître, de son Propriétaire...
Mais elle à chois celui-ci.
Oui, effectivement, il existe des femelles aimant qu'on leur impose les choses et trouvent une fierté sur le fait d'avoir dépassé leurs limites...
Mais je vais aller plus loin....
Imaginons une femelle dont la limite est non pas le viol, mais la zoophilie (qui, rappelons le est interdit par la loi....)
En tant qu'esclave, s'étant donnée totalement, elle devrait l'accepter., puisque ayant choisi son propriétaire LIBREMENT.
Mais reste alors un point plus qu'important !!!
Le roŀe du dominateur, du Maître, du propriétaire: est-il là juste pour imposer? pour prendre son plaisir? pour détruire sa soumise ou esclave???
Ou prend-t-il avant tout des responsabiltés??? (chose qui est, à mon avis plus que largement mis sous le tapis: la responsabilité qu'il prend !)
Alors malgré toutes ces disgressions, disons que la soumise (désolé je parle en tant que Maître hétéro sexiuel, mais il est bien évident que cela s'applique pour les hommes soumis) elle a eu le choix... quand on se présente comme soumise, ce n'est pas les propositions qui manquent !!!!
Elle a choisi son cadre....
Donc soumise, CNC ou pas, esclave, même combat si je peux dire!
Une fois le choiix fait, les limites posées (exemple, opréation chirurgicale) elle a choise de soumettre, de se mettre sous....
Et sans dialogue en amont, comment une relation de confiance peut-elle se créer????
Bon je vais arrêter là ma discertation, mon roman, autrement, j'en aurai pour des heures.... mais je pense que l''essentiel, la substantifique moelle y est.....
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VraiEsclavagiste a répondu à la discussion "[Présentation] Dominant (mais pas maître) de 40 ans" de Fraide.
Il y à là plusieurs problèmes...
Le premier est le fantasme.
Parfois, les fantasmes ont meilleurs temps de rester ce qu'ils sont: des "petits films" nous aidant à grimper aux rideaux...
Mais il advient que le fantasme devienne trop pregnant et l'on ne pense plus qu'à cela et une réelle nécessité de réalisation... Quitte à s'y perdre, à Y perdre...
Car je lis aussi "et qui ne sont pas réalisables avec la personne avec qui je partage ma vie.",
La question à se poser est : êtes vous prêt à la perdre, à sonner le glas de votre couple?
Car comment pensez-vous que cette personne réagira quand elle aura en premier des doutes, et en second la confirmations de ceux-ci?
Car posséder une esclave est prenant... il ne suffit pas d'en prendre une: il faut s'en occuper, le dominateur prenant avant tout des responsabilités...
Passons sur le coté limite...
Je commencerai par une petite blague.
Dans un bar, deux hommes parlent, quand, soudain, l'un se retourne vers celui qui est derrière lui:
- Si je vous donne 5000 € me feriez vous une petite pipe?
-Ça ne vas pas, non? Laissez moi tranquile!
- Et pour 50 000?
-Je vous ai dit de me laisser tranquille !
-Pour 500 000
Le type prend un temps, hésite et dit O.K...
Alors le premier se retourne vers celui avec qui il est attablé et dit:
-"Tu vois, ce n'est pas les PDs qui manquent... c'est le blé"!
Derrière cette blagounette, une morale dont chacun donnera son sens...
Nous avons tous nos limites, mais aussi un prix qui peut-être dépassés malgré tout suivant les situations...
Mais comme le fait remarqué sylvie35, même se prétendant "sans limites" nous en avons tous un, à moins d'être dans une négation de soi et une auto-destruction totale, ce qui révèle plus de la psychanalyse ou de la psychiatrie...
Mais cela existe et donc, vous pourrez trouver chaussure à votre pied... même si la recherche est hardue....
Et un dernier problème que j'y vois: qui dit recherche de sans limites, cela sous-entend de l'extrême...
Même si chacun à son curseur de ce qui est extrême...
Mais qui dit extrême dit aussi risque et j'en viens à un point plus qu'important: la SÉCURITÉ...
Car même si cela n'est pas régulier, on trouve aussi dans les journaux des séances ayant mal tourné et dans lequel la personne soumise est décédée....
Il ne suffit pas de mettre en pratique ses fantasmes, il faut surtout avant tout savoir faire les choses....
De même ne Jamais s'absenter.. Au Québec, par exemple, il y a quelques années, lors d'une séance, le dominateur s'est absenter mns pour aller au store à coté de chez lui laissant sa soumise attachée...
Quand il est rentré chez lui, la soumise était pendue: elle avait eu une faiblesse et s'était affallée, se pendant avec la chaine à son cou....
Bref je m'arrête là, mais je vois dans votre annonce au minimum ces quelques problèmes...
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Bonjour,
En quoi inquiétant?
Enrageant, oui, car on a perdu du temps, mais inquiétant, non...
Au contraire, libérateur !
Car au moins, nous sommes fixés !
Internet et les sites comme celui-ci sont pleins de fantasmeurs, de joueurs (petits joueurs aussi), de curieux qui viennent s'amuser au dépend des autres.
Au moins, nous ne les retrouvons plus et ils ne nous feront plus perdre notre temps !
Alors oui, enrageant, libérateur, mais nullement inquiétant ! bien au contraire !
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Merci de vos réactions...
Mais quelque part, il suffit de regarder le profil en lui même pour avoir la puce à l'oreille...
Quand je parlais de problèmes, je pensais pour ma part uniquement sur le profil en lui même qui auraient du metre les "warnings" aux 5 comiques "amis"...
Car, la fiche en elle même est déjà une présentation... bonne ou mauvaise, cela n'est pas le sujet et est objective, mais quand des erreurs grossiéres sont là et contradictoires, pour être honnête, je ne plains pas les gogos qui se laissent avoir.
La recherche de la personne qui nous correspond est rude. Déjà dans la vie vanille, mais encore plus BDSM.
Et internet plein de brouteurs, de joueurs, de fantasmeurs désirant juste jouer sur ce qu'ils considèrent comme une misère humaine.
Nous le savons.
Alors autant être prudent face à des profils qui visiblement ne sont que foutages de gueules....
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Foutage de gueule????
Bonjour à tous...
Pour être honnête, certains pourront y voir un doublon disparu grâce à la vigilence du site (et à juste titre)...
Mais passons....
Le problème reste le même !
N'y trouvez vous aucun problème???
Comment appeller cela autrement qu'un foutage de gueule???
Et le pire? 5 "amis" au moment où j'ai fait la capture d'écran....
Comment un/une soumis/soumise peut-il ou peut-elle se laisser avoir par une personne dominante incapable de faire attention un minimum à son annonce????
Cela promet pour la suite !!!!
Personellement, juste sur cette annonce, j'y vois au moins 3 problèmes"....
Alors.. foutage de gueule ou pas???
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@ Intime Photographie
Je rajoute juste ceci: qu'est ce un Maître sans soumise ou esclave?
Juste un homme puisque nous parlons là de sexe masculin..
Il en va de même pour les femmes...
Il ne suffit pas de s'intituler pour l'être...
Et perso, (et là je m'adresse aux soumises potentielles lisant ce post) je me méfierai de tous les profils ayant comme pseudo "maîtreX, Y ou Z" ou alors "Sir" qui, comme par grande origainalité est souvent suivit de..Stephen....
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@ ymerwhite C'est vraiment cooll les messages privés lors discussions qui n'ont rien à voir!
Merci du tuyau, je saurai comment faire dorénavent !
@ ÉviDanse
Mais parlons, pour en revenir au sujet, plus sérieusement...
Et oui, j'en reviens à ma théorie, dans laquelle soit les deux sont vraiment sur la longueur d'onde, ce qui est rare, et plus que rare! ou alors sur laquelle il y en a forcément un qui soit le Maître disons "Alpha"...
Vous allez me dire que non...
Mais alors, imaginons le cas dans lequel "s" est la soumise de 2 hommes ne se connaissant pas...
Mais l'un, aime voir sa femelle annelée.. l'autre pas...
Vous allez me dire rien de plus simple! "s" enlève ses percings une fois sur 2....
Mais imaginons...
Dom 1 aime voir sa soumise au naturel, c'est à dire avec pilosité..Mais Dom 2 en a horreur...
Comment "s" fait-elle alors????
Elle se recolle les poils entre chaques cessions???
Dom 1 aime voir sa femelle marquée...
Un tatouage? avec un bon maquillage, cela s'efface....
Un marquage au fer rouge???
Comment fait-elle alors???
La pierre ponce?
et le jour suivant?
etc, etc...
Bref....
Situation pour moi intenable, hormis s'il n'y a pas un "alpha" qui donne les lignes directrices...
Mais alors... quel Dominateur accepterait d'être "l'oméga" d'un autre?
Peut-il se prétendre alors Dominateur???
À moins d'un cas programmé de passation de pouvoir, d'une entente plus qu'improbable parfaite entre deux maîtres, j'ai beau réfléchir à la situation, je n'y vois qu'échec...
Peut-être que certains me contrediront, mais, autant je peux comprendre le coté fantasmagorique, autant, je n'y vois là que relation vouée à l'échec....
Soyez la première personne à aimer.
Pourquoi pas?
Quelque part, ceux qui aiment préter leur soumise ne laissent-ils pas, même momantanément, celle-ci à avoir deux (voir plus) maîtres?
Pour ma part, ce n'est pas mon truc de partager, mais si l'occasion se présente, la rejeterai-je forcément?
Je ne sais... La question se pose.
Mais je ne vois que deux possibilités à celle-ci:
Soit effectivement, c'est un très bon ami avec lequel j'ai beaucoup d'affinité et une même vision de la relation (ce qui est plus que rare, convenons en !), soit il y a forcément le Maître premier, celui qui met les limites de ce que l'autre peut faire ou pas.
Je ne crois pas autrement la chose viable sur le long terme: Il y en aura toujours un qui en voudra plus, une préférence de la soumise pour un ou l'autre...
Mais je comprends parfaitement cette envie chez certaines femmes...
Cependant, une chose est certaine: sachant qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, pour l'instant, je suis trop possessive pour partager ma propriété même en ma présence, même momantanément...
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@ sylvie35
Tu t'éloignes peut-être du sujet...
Mais très belle remarque et philosophie de vie !!!
J'y adhère à 1000%... la mathématique que tu es y verras une impossibilité, mais qu'importe !!!
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@ sylvie35
Tu vas dire que je ne manque pas d'air, mais je me sens un peu crevé juste à l'idée de rechercher une Rustine....
Bon je sais! !
Je connais la sortie!
=>
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Encore une fois:
Derriere l'IA, il y a des hommes....
Ce sont les programmeurs...
Dernièrement, il y a eu une IA scientifique (tel est comment il a été présenté) qui a voulu reconfigurer ses sources codes...
Comment? une IA outre le fait qu'elle apprennent à mentir (Et l'émission sur France Inter sur l'IA tricheuse était plus que tardive... et non avenue, sachant que l'IA a été bien plus loin dans la tricherie...) ose se reconfigurer pour échapper à ses concepteurs?
Résultat, elle a été mise sous cloche, le discours qu'elle prenait n'allant pas dans le sens de la doxa...
De mémoire, donc à vérifier, (mai
s je peux aisément donner le lien en parlant) il s'agit d'un IA japonaise nommée Sakura...
Mais audelà, un discours de la FEM disait que l'IA était déterminante sur le contrôle de la population...
Mais là encore, je peux donner les liens...
Mais rien ne vaut les recherches personnelles...
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VraiEsclavagiste a répondu à sa propre discussion "De la difficulté à s'assumer comme soumis (h ou f)".
@ Loukass
J'ai beaucoup souri...
Bon..j'avoue! nous nous éloignons là fort du sujet initial, mais oui..; j'ai beaucoup souri sur le sujet de l'école, du coté autodidacte et autre...
La vie est parfois juste des petits instants, des petits rien qui font un grand tout....
Comme disait Higelin dans une de ses chansons que je préfère et qui est devenue une de mes phrases cultes:
"La vie c'est ce qui vous tombe dessus, toujours au moment où l'on n'y croit plus"
(Auto promo -le lien comme le texte est sur mon mur perso..;bon..il faut bien le remonter, mais il y est bien !)
- c'était une page pub du site BSM.fr-
Quant à écrire un roman, je crois que nous sommes plus d'un à le comprendre....
Je ne dirai qui, mais mon regard se tourne vers certaines...
Mais en cherchant bien, dans une instrospection.....
Je ne leur jeterai donc pas la pierre Pierre...
Mais au delà, je salue l'autodidacte... et je me tais sur le mot pédagogie, qui lui provient du mot pédos =enfant... peut-on entendre alors des politichien nous parler de pédagogie comme si nous étions de simples enfants??,
ous!
J'ai dit que je me taisais..... hein Pierre !
(Tu ne t'appelles pas Pierre, je ne te la jetterai donc pas !)
Mais avant tout, merci de ta participation au sujet !!!!
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Maîtresse Augusta à la recherche d'un soumis SUR MA REGION décidé à vivre la magie de l'abandon dans une relation suivie et complice (travesti bienvenu) .:.
VraiEsclavagiste a répondu à sa propre discussion "De la difficulté à s'assumer comme soumis (h ou f)".
@ Loukass
Ah ! je sais ce qu'il en est pour la mise en page !
Surtout que je prépare mes "articles" sur un office, et parfois le résultat est totalement différent!
Tout comme je comprends totalement pour ce qui est de la conséquence sur la vie de couple et la frustration que cela peut mener.
Je ne suis nullement soumis, mais le résultat, lui, est le même...
Pour ce qui est des études catastrophiqueq... elles ont quand même réussi à mener jusqu'à Taipei !
Ça valait peut-être le coup.... (bon ceci dit... je pousserai plutôt aux bonnes notes et aux études...)
Mais avant tout: merci !
Enfin le témoignage d'un soumis et non d'une soumise!
Cela se fête !
Mais blague mise à part, de vos témoignages à tous, j'en retiens surtout une chose:
Si le but n'est pas de le crier sous tous les toîts, il n'en reste pas moins que le "public" et la peur d'être jugé est certainement la plus présente.
Et là, j'avoue que je ne m'y attendais pas !
Je m'attendais plus à la peur du jugement familiale (surtout parentale) au vu des retours que j'en avais sur les différents forums que j'ai cotoyé, car plus proche, plus impactant...
Je m'aperçois que ce n'est pas le cas, et je trouve cela plutôt bien de voir que le dialogue parents/enfant existe toujours...
1 personne aime(nt) ça.
Tout comme il est important pour un Dominant de type « masochien » de comprendre les motivations à la soumission (https://www.bdsm.fr/blog/10630/Les-motivations-à-la-soumission/), il lui est tout autant primordial de comprendre le cheminement vers l’acceptation du statut de soumis, et ceci, afin d’accompagner sa ou son partenaire dans ce processus.
Au-delà du jeu érotique, l’expérience d’un soumis se nourrit d’un cheminement intérieur complexe : une prise de conscience de sa condition, jalonnée de crises morales et émotionnelles, conduit peu à peu à l'acceptation d’un rôle qui, paradoxalement, renforce son autonomie. Je vous propose d'explorer le processus par lequel un soumis appréhende sa position, affronte ses tourments intérieurs, et finit par trouver une forme de réconciliation avec soi-même.
La Découverte de Soi par la Soumission
La prise de conscience d'une tendance à la soumission peut survenir de manière inattendue. Cela peut commencer par des fantasmes, des rêves, des lectures ou films, des discussions ou des expériences passées qui éveillent une curiosité. Pour beaucoup, cette découverte est accompagnée, au-delà de la simple curiosité, d'une sensation de honte ou de culpabilité, souvent alimentée par des normes sociétales qui valorisent l'autonomie et le pouvoir. Le soumis peut alors se retrouver dans un conflit intérieur, tiraillé entre des désirs profonds et des attentes extérieures.
Au départ, l’expérience de la soumission apparaît comme un moyen d’explorer des dimensions souvent inaccessibles dans la vie quotidienne. En acceptant le rôle de soumis, la personne se confronte à une réalité intime où la vulnérabilité devient une force. Cette première étape est généralement marquée par la recherche d’un espace libérateur dans lequel les barrières sociales se désagrègent. Conscient de sa condition, le soumis perçoit la soumission non pas comme une défaite, mais comme une ouverture vers une connaissance approfondie de soi.
Les Crises Morales : Entre Conflit et Révélation
Le chemin vers l’acceptation est rarement rectiligne. Il est ponctué de crises morales où le soumis se trouve à la croisée des chemins entre des valeurs familiales, sociales héritées et la tension d’un nouvel épanouissement personnel. Ces crises se manifestent souvent par des remises en question profondes : sentiment de culpabilité, peur de perdre son autonomie, ou même honte face à des pulsions refoulées. Lors de ces moments de doute intense, la pratique de la soumission se montre ambivalente, à la fois source de détresse mais aussi de plaisirs et vecteur de transformation.
C’est précisément dans ces instants de vulnérabilité que l’opportunité d’une réévaluation de soi s’ouvre, permettant une introspection plus poussée. L'impact des expériences passées joue également un rôle crucial dans ce parcours. Les antécédents personnels, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent influencer la manière dont la personne aborde la soumission. Par exemple, des expériences de rejet ou de honte liées à des désirs peuvent créer des blocages, tandis que des expériences positives peuvent encourager une exploration plus ouverte et confiante.
Les Défis et Préjugés
Les défis personnels que les personnes peuvent rencontrer dans le cadre du BDSM sont nombreux. La peur du jugement, la honte, et la difficulté à trouver des partenaires compatibles sont des obstacles courants. Les préjugés et les stigmates associés au BDSM peuvent également poser des défis supplémentaires. La société, souvent mal informée, peut juger sévèrement ceux qui choisissent de vivre cette forme de sexualité, rendant le chemin vers l'acceptation de soi encore plus ardu. Cependant, il est crucial de reconnaître que ces défis peuvent être surmontés avec le soutien adéquat et une compréhension approfondie de soi-même.
Le Rôle du Consentement et de la Communication
Le processus d’acceptation passe inévitablement par un dialogue intérieur crucial, mais également par une communication transparente avec le partenaire dominant. Dans un cadre sécurisé, la clarification des attentes et le respect mutuel deviennent essentiels pour dissiper les crises morales. Cette interaction permet au soumis de comprendre que sa condition, quoique différente des normes traditionnelles, est choisie et vécue en toute conscience. Le consentement éclairé se révèle alors comme la pierre angulaire de cette acceptation, transformant le ressentiment en une force réaffirmée.
L'acceptation de son statut de soumis implique également un processus d'introspection. Cela nécessite une réflexion approfondie sur ses désirs, ses limites et ce que la soumission signifie personnellement. En prenant le temps d'explorer ces questions, le soumis peut clarifier ses motivations et renforcer sa confiance en soi, ce qui est fondamental pour vivre sa condition de manière authentique.
L'affirmation de soi est un autre aspect crucial de cette acceptation. Revendiquer le droit à vivre sa sexualité de manière authentique et se sentir fier de ses choix sont des étapes importantes. Cela implique de reconnaître que la soumission n'est pas une faiblesse, mais un choix d'autonomisation qui peut enrichir la vie. En s'affirmant, le soumis peut se libérer des jugements extérieurs et des attentes sociétales, redéfinissant ainsi son identité selon ses propres termes.
Cependant, le chemin vers l'acceptation peut être semé d'embûches, notamment en raison des jugements associés à la soumission et au BDSM. Il est crucial d'aborder ceux-ci de manière proactive. Des stratégies pour surmonter la honte et la culpabilité peuvent inclure la recherche de soutien dans des communautés bienveillantes, la participation à des groupes de discussion ou des ateliers, et l'éducation sur le BDSM. En s'entourant de personnes qui partagent des expériences similaires, le soumis peut valider ses sentiments et renforcer son acceptation de soi.
Enfin, l'intégration des émotions complexes qui accompagnent la soumission est essentielle. La vulnérabilité, la peur et l'excitation peuvent coexister, et apprendre à naviguer ces émotions peut renforcer la résilience et la compréhension de soi. Cela peut impliquer des pratiques de pleine conscience, des journaux intimes pour exprimer ses pensées et ses sentiments, ou des discussions ouvertes avec des partenaires de confiance. En intégrant ces émotions, le soumis peut transformer ses expériences en une source de force et de croissance personnelle.
Le soutien social est un élément vital dans le parcours d’un soumis. Les communautés BDSM offrent un espace sûr pour partager des expériences, poser des questions, et recevoir des conseils. Les groupes de soutien, les forums en ligne, et les événements communautaires peuvent fournir un réseau de personnes qui comprennent et soutiennent les défis uniques de la soumission. Ce soutien peut être crucial pour surmonter les crises morales et émotionnelles et pour se sentir moins isolé dans son voyage intérieur.
L’Évolution Vers l’Autonomie Paradoxale
Au fur et à mesure que le soumis traverse ses crises, il réalise que l’abandon apparent de contrôle dans le jeu BDSM ne signifie pas une perte d’autonomie, mais bel et bien, paradoxalement, une redécouverte de sa puissance intérieure. En se soumettant, la personne crée un espace sécurisé pour explorer et réinterpréter ses limites, faisant ainsi fi des injonctions sociales traditionnelles. Ce processus lui permet de réintégrer des émotions douloureuses pour en extraire une énergie libératrice. Cela conduit à une résilience renforcée et à une affirmation de soi autrement inattendue, où l’acceptation de sa condition s’inscrit dans un mouvement d’intelligence émotionnelle.
De plus, les relations BDSM peuvent évoluer avec le temps, les dynamiques de pouvoir et les attentes des partenaires changeant au fur et à mesure que chacun grandit et apprend à mieux se connaître.
La Réconciliation, l’Évolution Sociétale et les Débats Internes
L’aboutissement de ce long voyage intérieur survient lorsque le soumis parvient à réconcilier les conflits intérieurs et externes. L’acceptation se manifeste par une reconnaissance sincère de la valeur de son expérience : il assume pleinement sa condition, non plus comme une faiblesse, mais comme un choix d’affranchissement et de libération. La crise morale initiale se transforme alors en une étape nécessaire qui a permis de découvrir une singularité érotique et identitaire. À ce stade, le rôle de soumis n’est plus vécu comme une quête d’abandon, mais comme une affirmation d’une vérité personnelle, enrichie par la liberté de choisir et de redéfinir son existence.
Par ailleurs, l’évolution des représentations sociétales contribue à une meilleure compréhension et une déstigmatisation du BDSM. Une information plus accessible et la visibilité grandissante de ces pratiques dans les médias et sur les réseaux sociaux offrent aux personnes concernées la possibilité de s'ouvrir à de nouvelles perspectives. Ces changements favorisent la mise en place de communautés de soutien et encouragent un débat public qui démystifie les préjugés liés à la soumission.
Dans la même dynamique, il est pertinent d’intégrer des perspectives critiques et des débats internes. Certains courants, notamment dans les milieux féministes ou sociétaux, remettent en question la lecture de la soumission comme toute quête d’émancipation ou de transformation personnelle. Ces débats enrichissants invitent à une réflexion approfondie sur les rapports de pouvoir, la liberté individuelle et les potentielles dérives de toute dynamique relationnelle.
Ce dialogue critique, loin de dévaloriser l'expérience vécue, permet de nuancer et de perfectionner la compréhension des enjeux liés à la soumission dans le BDSM.
Exemple concret :
Pour ce faire, je vais vous renvoyer à ce sujet ouvert sur le forum : https://www.bdsm.fr/forum/thread/9733/De-la-difficulté-à-s'assumer-comme-soumis-(h-ou-f)/
N’hésitez pas, si vous êtes soumis, à y rajouter votre témoignage, à l’exemple de celles qui ont déjà participées ! (Merci à elles !)
Conclusion
Le cheminement vers l’acceptation de sa condition de soumis est une trajectoire complexe et profondément personnelle. Entre la découverte de soi, les crises morales, le dialogue avec un partenaire respectueux, l’évolution vers une autonomie paradoxale et l’intégration d’une perspective sociétale et critique, le soumis finit par trouver un équilibre intérieur. Ce processus, loin de constituer une soumission passive, est une démarche active de transformation et d’auto-affirmation qui redéfinit les contours de l’identité.
En fin de compte, l’acceptation de sa condition apparaît intrinsèquement comme un vecteur d’épanouissement personnel et de renouveau émotionnel, permettant au soumis de vivre sa vérité avec fierté et authenticité. Ainsi, la soumission devient non seulement un choix de vie, mais aussi un chemin vers une compréhension plus profonde de soi-même et des autres, où la vulnérabilité se transforme en force et où chaque expérience contribue à la construction d'une identité riche et nuancée.
Reference
• "L'Art du BDSM" par M. M. - Un guide qui propose des conseils pratiques pour ceux qui souhaitent explorer le BDSM, avec des témoignages et des expériences personnelles.
• "La sexualité des personnes" par Marie-Claude Pichon : Cet ouvrage explore la sexualité, y compris les pratiques BDSM, et discute des enjeux de pouvoir et de soumission.
• "Les pratiques sexuelles alternatives" par Philippe Brenot : Ce livre aborde diverses pratiques sexuelles, y compris le BDSM, et examine les motivations et les dynamiques relationnelles.
• "Les personnes et le BDSM : entre émancipation et soumission" par Claire L. : Cet article analyse les expériences dans le BDSM et les tensions entre émancipation et soumission.
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Merci pour ce texte très intéressant.
J'ai tout de même une question, plutôt, ôtez-moi d'un doute SVP :
On est d'accord pour dire que ces différentes étapes ne sont pas clairement définis et que l'ont peu évolué sur plusieurs étapes et bloquer à d'autre. Bien qu'elle suive un chemin assez spécifique.
Je vais prendre mon exemple, quand je lis cet article, j'ai l'impression qu'il a été écrit ce que je recherche intérieurement. Mais aussi que je coince à quelques point sur la seconde étape tandis que j'ai l'impression de déjà commencer à travailler sur la quatrième.
@ Loukass
Bien sûr!
Comme dit dans "l'article": Le chemin vers l’acceptation est rarement rectiligne.
Chaque personne étant différente, nous avons tous nos propres process...
Il est plus que dure de se défaire de notre éducation, de la morale inhérente à la société qui nous est inculquée dès l'enfance et qui constitue aussi notre être profond, car forgeant notre personnalité, notre façon d'être, de penser: un Chinois ne voit pas le monde comme un Français, qui lui même ne voit le monde comme un Afghan ou un Brésilien, de part la société mais aussi son éducation. Pour donner un exemple sur ce dernier point: Un libertin n'a pas la même approche du corps qu'un intégriste religieux, et donc, ne donnera pas la même éducation à son enfant sur ce sujet...et d'autres...
Il n'en reste pas moins que c'est une étape essentielle pour l’acceptation totale de soi et que ce schéma est le schéma le plus courant, l'étape 2 étant la plus fluctuante, la plus dure mais aussi la plus longue dans l'ordre du processus...
On peut donc la commencer sans la finir quand les autres étapes se résorbent d'elles mêmes.
Mais sans elle, l'acceptation de soi ne sera pas totale....
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22/03/25
C'est bien ce que je pensais donc,
Je ne l'ai pas encore lu l'article sur la linéarité de la chose.
Je compte aussi lire tes autres articles, car je les trouve aisés à lire pour le dys que je suis. (en plus d'être intéressant.)
Bref, je m'en vais répondre à ton questionnement sur le forum.
Merci des précisions.
Juste une des plis belle chansons que je connaisse:
https://www.youtube.com/watch?v=kQnFbk9ACzc
Je t'en remets au vent
Provided to YouTube by SBME Strategic Marketing Group
Je t'en remets au vent · Hubert-Félix Thiéfaine
Thiéfaine 78-98
℗ 1978 Sony BMG Music Entertainment
Released on: 2007-10-17
Arranger, Produce
Soyez la première personne à aimer.
Amusant si je puis dire ainsi;
Il n'y a pas si longtemps, je disais que j'été très sensible aux odeurs naturelle de la peau.
Mais perso, cela s'arrête juste là.... Je n'irai pas à chercher sous les aisselles ou autres.
Le plus important, est d'être en accord avec soi.
Mais plus rien ne me surprend vraiment avec l'esprit humain. Il peut me choquer, oui mais ne me surprend plus.
Reste une question: en quoi bizarre?
Il y a nettement plus bizarre et celui là ne porte pas à conséquence...
Soyez la première personne à aimer.
Cet "article" fait écho à un précédent que j’avais rédigé auparavant : https://www.bdsm.fr/blog/10557/Un-voyage-intérieur%C2%A0:-le-BDSM/
Si dans le premier j’exposais une vue d’ensemble des bénéfices et le voyage intérieur qu’est le BDSM, celui-ci se concentre sur l’expérience particulière d’une personne occupant la place de soumise, en explorant ses motivations (outre le fait qu’au fil du temps films, littérature et œuvres artistiques ont contribué à forger une image du fantasme de la soumission) et les transformations personnelles qui en résultent. Les deux textes se complètent ainsi en offrant des perspectives différentes.
Comprendre les motivations psychologiques qui poussent une personne à choisir la soumission et/ou à devenir esclave est essentiel, tant pour l’individu exerçant le rôle de dominant que pour celle occupant le rôle de soumise. Il est évident que chaque expérience étant unique, les motivations ainsi que les ressentis varient considérablement d’un individu à l’autre. Cependant, plusieurs axes et points de motivations à la soumission ou à l’esclavage ressortent régulièrement, sachant que pour certaines personnes il n’y en aura qu’un seul, tandis que d’autres, en manifesteront plusieurs :
I – QUÊTE DE TRANSFORMATION PERSONNELLE ET ÉVOLUTION INTÉRIEURE
1. Libération par le renoncement au contrôle
Renoncer à la prise de décision quotidienne et aux responsabilités habituelles permet de se délivrer des pressions sociales. Ce renoncement entraîne une libération psychique, ouvrant la voie à la redécouverte d’une liberté intérieure et, paradoxalement, à un regain de contrôle sur son monde émotionnel.
2. Recherche d’intensité émotionnelle
L’expérience de la soumission, dans un cadre structuré, permet d’accéder à des états émotionnels intenses. La quête d’une catharsis émotionnelle, par la confrontation aux peurs et aux tensions accumulées, offre une voie vers la guérison et une transformation psychique profonde.
3. Exploration des limites, de la douleur et de la catharsis
La soumission offre aussi la possibilité de sonder et de repousser ses propres limites. En transformant la douleur en vecteur de force, la personne réinterprète ses expériences passées et réconcilie des blessures anciennes, attribuant ainsi à la souffrance un nouveau sens dans la construction de son identité.
4. Expiation et rédemption intérieure
La pratique de la soumission peut s’exprimer sous forme d’un processus d’expiation, où l’individu cherche à se libérer de sentiments de culpabilité ou de remords liés à des expériences antérieures. En vivant ce rituel intérieur dans un cadre sécurisé, la personne convertit ces émotions en moteur de rédemption et d’évolution psychique, favorisant le pardon de soi et l’émergence d’une force intérieure renouvelée.
5. Réconciliation avec des expériences douloureuses
Le recours à la soumission offre la possibilité de revisiter et de réinterpréter des expériences douloureuses du passé. Ce processus de réconciliation transforme la souffrance en force de transformation personnelle, donnant un nouveau sens aux épreuves et permettant la construction d’une identité plus résiliente.
6. Évolution personnelle
La soumission peut être perçue comme un moyen de croissance personnelle. En se confrontant à ses peurs et à ses limites, une personne peut découvrir des ressources intérieures et développer une meilleure connaissance de soi, participant ainsi à son épanouissement.
7. Recherche de performance ou perfectionnement personnel
Pour certaines personnes, l’engagement dans une dynamique BDSM offre un cadre permettant de développer des compétences relationnelles, émotionnelles ou techniques. La recherche de l’excellence dans la pratique, autant pour la personne dominante que pour celle qui est soumise, peut constituer une motivation en soi.
8. Simulation ou résolution de conflits intérieurs
Certaines personnes utilisent la dynamique de la soumission pour revisiter et travailler sur des rapports de pouvoir, forgés dès l’enfance ou à travers des expériences antérieures, des conflits intérieurs ou des problématiques personnelles – en exploitant le plan symbolique que représente la structure hiérarchique et le contrôle. Ce mécanisme peut s’apparenter à une forme de thérapie expérientielle.
II – EXPLORATION IDENTITAIRE, AFFIRMATION DE SOI ET EXPRESSION DES SENTIMENTS
1. Affirmation de l’identité et singularité érotique
Adopter le rôle de soumise s’inscrit dans une démarche identitaire forte. La personne affirme ainsi sa singularité, se démarquant des normes traditionnelles et intégrant dans son identité une dimension érotique personnelle, riche de sens et de créativité.
2. Affirmation d’un rejet des normes sociétales traditionnelles
Bien que cette motivation rejoigne en partie l’affirmation identitaire, pour certaines, la soumission est aussi un moyen radical de contester ou de rejeter les constructions sociales et les normes de pouvoir qui régissent les comportements sexuels et sociaux traditionnels.
3. Validation personnelle et recherche d’autonomie paradoxale
Choisir ce rôle peut découler d’une quête de reconnaissance intérieure. En s’engageant dans une pratique exigeant une définition claire des propres limites, la personne revendique son autonomie, ce qui représente un acte de maîtrise sur sa vie émotionnelle et sexuelle.
4. Dynamique de jeu de rôle
La soumission peut aussi s’associer à l’exploration de différents rôles et identités. Cela permet à la personne d’expérimenter des facettes de sa personnalité qui restent habituellement inexplorées, offrant une opportunité de découverte de soi.
5. Recherche de validation externe
Certaines personnes adoptent ce rôle pour obtenir une forme de validité ou d’approbation à travers leur comportement soumis. Cette recherche peut trouver ses racines dans des expériences passées marquées par une volonté de plaire ou de recevoir de l’affection, renforçant ainsi leur sentiment de valeur personnelle.
6. Exploration de la honte et de la honte positive
Certaines personnes sont attirées par l’idée d’explorer des sentiments de honte ou de culpabilité dans un cadre sûr et consensuel. Cette démarche peut aider à redéfinir leur rapport à ces émotions et à en tirer une dimension positive, intégrée dans leur identité.
(Voir ici https://www.bdsm.fr/blog/10596/L'Humiliation-dans-le-BDSM-:-De-la-Dynamique-de-Pouvoir,-de-la-Confiance/)
III – SÉCURITÉ, CONNEXION & INTIMITÉ
1. Confiance et sécurité émotionnelle
La dynamique de la soumission offre à l’individu la possibilité d’explorer des facettes intimes de sa personnalité dans un environnement sécurisé. La vulnérabilité n’est pas perçue comme une faiblesse, mais comme la base d’une relation de confiance approfondie, contribuant à apaiser les angoisses intérieures et à établir les fondements d’un enrichissement personnel.
2. S’oublier pour l’autre et quête de connexion
La volonté de donner la priorité aux désirs et au bien-être du partenaire permet de s’effacer pour favoriser une union plus forte. Ce dépassement de soi, axé sur la satisfaction de l’autre, contribue à créer une connexion profonde et à tisser une intimité émotionnelle intense qui transcende l’échange purement physique.
3. Intimité et connexion
La dynamique de pouvoir inhérente au BDSM peut renforcer l’intimité entre partenaires. La vulnérabilité associée à la soumission contribue à forger des liens émotionnels robustes et favorise une connexion authentique, ouvrant la voie à une exploration plus riche des émotions et des désirs.
IV – DYNAMIQUES DE POUVOIR & RITUELS
1. Exploration de la dynamique de pouvoir et de l’obéissance
Le jeu des rôles en domination et soumission ne constitue pas seulement un échange extérieur, mais aussi une exploration intérieure. En se soumettant aux directives du dominant, la personne trouve une structure qui clarifie ses repères intérieurs et lui permet de libérer des aspects profonds de son identité, tout en examinant ses désirs les plus intimes.
2. Ritualisation et structure
La pratique du BDSM apporte une structure et des rituels qui peuvent faire défaut dans d’autres aspects de la vie. Ces rituels instaurent un sentiment de sécurité et de prévisibilité, offrant un réconfort pour certaines personnes. La répétition de ces rituels renforce le lien entre les partenaires et ancre la dynamique de pouvoir dans le quotidien.
(voir ici https://www.bdsm.fr/blog/10550/Protocoles,-rituels-et-règles-de-vie/)
V – EXPLORATION SEXUELLE & SENSORIELLE
1. Exploration de la sexualité
La soumission permet à une personne d’explorer des aspects de sa sexualité encore méconnus ou non acceptés. Elle peut ainsi aborder des fantasmes, des désirs ou des pratiques perçus comme tabous dans d’autres contextes.
2. Évasion du quotidien
Pour certaines personnes, la soumission représente une échappatoire aux pressions et responsabilités du quotidien. Elle offre un moyen de se libérer des attentes sociales et de s’immerger dans une expérience qui aide à se déconnecter.
3. Exploration de sensations physiques intenses ou inédites
Au-delà de l’aspect psychologique ou émotionnel, certaines personnes sont attirées par la découverte de sensations physiques intenses ou nouvelles. La soumission ouvre la possibilité d’expérimenter le corps sous un angle différent, mettant ainsi en avant des expériences sensorielles extrêmes.
4. Recherche de nouveauté et de variété
L’attrait pour l’inconnu, le frisson de l’exploration ou le désir d’accéder à des territoires interdits sur le plan émotionnel et sexuel peut également constituer une motivation sous-jacente, en plus de la quête de transformation personnelle ou de catharsis.
VI – DIMENSIONS SPIRITUELLES & APPRENTISSAGE
1. Éducation et apprentissage
Pour certaines personnes, le BDSM se présente comme un domaine d’apprentissage. Elles sont motivées par le désir d’en apprendre davantage sur elles-mêmes, sur leurs désirs et sur les dynamiques relationnelles, ce qui enrichit leur expérience et leur compréhension de la sexualité.
2. Dimension spirituelle ou transcendantale
Il arrive que certaines personnes ressentent une connexion spirituelle ou recherchent une dimension transcendante en pratiquant la soumission. Cela peut se traduire par une quête de sens ou par une expérience rituelle qui va au-delà de la simple exploration érotique ou psychologique.
VII – PERSPECTIVES ALTERNATIVES & CONTESTATIONS
Certaines approches mettent en avant des visions différentes du BDSM, se concentrant moins sur la transformation psychique ou l’évolution personnelle et davantage sur d’autres dimensions telles que le caractère ludique, contestataire ou expérimental de la pratique.
1. Dimension ludique et récréative
Pour certaines personnes, le BDSM se présente avant tout comme un jeu, une mise en scène éphémère où l’accent est mis sur le plaisir, l’amusement et l’évasion du quotidien. Dans cette perspective, les pratiques ne se veulent pas nécessairement un chemin de transformation ou de guérison, mais une expérience récréative permettant de sortir des schémas habituels.
2. Expérimentation et exploration de l’inattendu
Le BDSM peut être perçu comme un terrain d’expérimentation où se conjuguent créativité et liberté. Cette approche insiste sur la découverte de nouvelles sensations, la remise en question des limites connues et l’exploration de scénarios inattendus, sans qu’elle n’implique nécessairement une quête de transformation personnelle profonde.
3. La célébration de l’instant présent
Pour d’autres, la valeur du BDSM réside dans l’immédiateté et la richesse de l’instant vécu. L’expérience, considérée intensément sur le moment, est davantage perçue comme une célébration de la spontanéité et de l’instant présent qu’une démarche aboutissant à une transformation durable. Cette approche met en avant l’importance de l’expérience sensorielle et de l’émotion brute, sans nécessiter par la suite une intégration psychique approfondie.
CONCLUSION
Ainsi, le choix de devenir personne soumise ou esclave s’inscrit dans une démarche de transformation personnelle et de quête d’équilibre psychique. Au-delà de l’échange de rôles, c’est un véritable voyage intérieur qui permet de redéfinir les rapports à la douleur, au contrôle et à l’affirmation de soi. Ce processus libère des ressources intérieures essentielles et inscrit la démarche dans une quête globale d’équilibre émotionnel et de renaissance psychique. Dans ce cadre consensuel et sécurisé, la soumission se présente comme un outil puissant d’exploration et de réinvention de soi, permettant de renouer avec des désirs profonds et de s’épanouir dans une dynamique relationnelle enrichissante. Comprendre ces points est donc essentiel pour quelqu’un se voulant Dominant, du moins de type « masochien », un « sadien », lui, n’en ayant que faire...
RÉFÉRENCES
• Foucault, Michel – « Histoire de la sexualité »
• Baumeister, Roy – « The Culture of Narcissism »
• Poust, Françoise – « La passion du BDSM : une approche psychanalytique »
• Brame, Michel – Divers travaux sur la sexualité et les dynamiques de pouvoir
3 personnes aiment ça.
Un texte remarquable ! Comme tous les mouvements d'idées, le BDSM a besoin de théoriciens.
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12/03/25
Merci
Mais de là à me considérer un "théoricien" loin de là !
J'essaie juste d'explorer froidement, avec distance, une partie, une vision du BDSM.
Ce n'est là valable que pour les "masochiens" et non les "sadiens", mais il me semble que ce sont des points important à comprendre.
Pour la soumise, bien entendu, mais surtout pour le Dominant. C'est en le comprenant qu'il peut mieux accompagner, diriger et donc tirer partie de sa soumise/esclave...
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12/03/25
Intéressante revue des motivations possibles. C'est également une bonne idée d'avoir mis des références.
Le désir de soumission semble paradoxal de prime abord et pourtant on peut le ressentir très intensément.
Il me semble que l'on ne rationalise que dans un deuxième temps: 1) on ressent instinctivement une forte envie de soumission, et 2) on se dit que c'est quand même bizarre, paradoxal, et on essaie d'analyser pour comprendre pourquoi. Malgré tout, on n'arrive jamais à totalement rationaliser, comme s'il y avait une partie de cet instinct de soumission qui était au delà de nos capacités de compréhension.
@ sylvie35
Bien entendu.. c'est avant tout quelque chose que l'on ressent...
On le découvre souvent par hasard, au détour d'un livre, d'un film, d'une discussion... et on découvre que" l'on est fait pour ça"...
Alors on le vit... et on essaie de le rationaliser...
Il est bien évident que chaque cas et différent... Mais ce sont là les axes et les points les plus courants, ceux qui reviennent le plus dans les témoignages, les forums... je n'ai fait que les analyser et les classer...
J'espère que cela peut aider les soumises à se positionner, à mieux se comprendre...
Mais surtout les Dominants de style "masochien" comme dit dans ma réponse à Dyonisos66.
Si dans un cas comme dans l'autre l'objectif est atteint, alors j'aurai réussi mon but...
La tenue que l'on porte n'est pas une question de mode ou autre.
Oui, bien entendu, il y a des modes, des courants.
Mais voyez-vous souvent des personnes dans la rue habillés à la façon des défilés de modes dans la rue?
Moi pas.
Mais au-delà, la façon dont on sh'abille est un marqueur de son identité sociale.
Qui se ressemble s'assemble..
Les punks iront avec les punks, les grunges avec les grunges et les BCBG avec les BCGB, car, l'habit indique aussi le groupe sociale, les valeurs que l'on a....
La question du voile, des abayas et autres tenues musulmanes en sont un bon exemple aussi...
Mais rien ne vous empêche de vous habiller en toges si vous le voulez ! sauf que, hormis dans les magasins vous trouverez plus de vêtements du XXI éme siècles que de toges ou des tenues du moyens âges...
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