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VraiEsclavagiste

Homme Dominateur. Vit à Bretagne, France. 56 ans.
Extrait de son book
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La tenue que l'on porte n'est pas une question de mode ou autre. Oui, bien entendu, il y a des modes, des courants. Mais voyez-vous souvent des personnes dans la rue habillés à la façon des défilés de modes dans la rue? Moi pas. Mais au-delà, la façon dont on sh'abille est un marqueur de son identité sociale. Qui se ressemble s'assemble.. Les punks iront avec les punks, les grunges avec les grunges et les BCBG avec les BCGB, car, l'habit indique aussi le groupe sociale, les valeurs que l'on a.... La question du voile, des abayas et autres tenues musulmanes en sont un bon exemple aussi... Mais rien ne vous empêche de vous habiller en toges si vous le voulez ! sauf que, hormis dans les magasins vous trouverez plus de vêtements du XXI éme siècles que de toges ou des tenues du moyens âges...
Soyez la première personne à aimer.
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@ sylvie35 (et par là à Azhara) Oui effectivement, il y a un coté #jeracontemaviesurbdsm.fr Mais ce faisant, merci d'avoir jouer le jeu !!! Le dernier message de sylvie35 étant parfaitement dans l'état d'esprit du pourquoi j'ai crée le sujet, outre qu'il est complémentaire comme dit, de mon article sur les dangers...Car Car c'est justement en la racontant que vous pouvez aider certains... Du moins je l'espère...
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@ sylvie35, @ Silla Merci encore pour votre retour et votre comlément d'information ! @ StellaMaris de Ngus59fr Merci là aussi du retour. Mais une question me vient à la lecture: vos enfants, s'ils connaissent l'existence du Maître, connaissent-ils la nature de la relation? Où là aussi, vous considérer que c'est quelque chose de totalement intime, ne les concernant pas? @ Azhara Retour là aussi très intéressant ! Qui démontre bien que chaque parcours est personnel, différents, mais qui démontre bien qu'il n'est pas toujours facile de s'assumer comme soumise, mais, surtout que des relations vanilles peuvent être plus destructrices qu'une relation BDSM, quand, la relation BDSM peut-être libératrice... Merci encore à toutes pour votre retour qui, j'espère, pourra aider des lecteurs éventuels. Mais je remarque que, pour l'instant, ce sont surtout des femmes qui donnent leurs retours... Il serait intéressant d'avoir celui de soumis. Ce que j'espère adviendra. Et un merci supplémentaire, votre retour m'aidant dans la rédaction de mon prochain "article" :)  
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femme maitresse cherche son chien larbin pour la servir et obeir a ses ordres .:.
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@ sylvie35, @ Silla Merci à toutes les 2 d'avoir répondu! Surtout pensant que ce sujet peut en aider certaines se posant la question ... Je trouve amusant que l'une l'a dit à ses parents, mais pas à ses amis, tandis que l'autre, c'est l'inverse ! Mais puis-je vous demander à l'une comme à l'autre -et éventuellement à ceux qui réagiront- comment vous êtes vous senties après? Vous êtes vous senties "soulager d'un poids" sachant que ceux qui ont eu cette "confession" l'ont bien pris? ou pas du tout? @ sylvie35, Effectivement, la chose pouvait se résumer ainsi "assumer sa nature de soumise vis-à-vis des autres, et l'assumer vis-à-vis de soi-même". Et comme dit en conclusion: "Enfin bref, la soumission me rend très heureuse et finalement c'est le principal. " Personnellement, je ne vois pas non plus l'intérêt d'ordonner quelque chose d'absurde. Reste à savoir ce que l'on appelle réellement quelque chose d'absurbe... Mais juste pour la punir? dans le cas de l'esclavage, a t on alors besoin de cette excuse? Mais surtout quelque chose de manifestement contraire à ses intérêts fondamentaux! Mais quand bien même de la fiction, sachant que la question ne se pose pas, comment penses-tu que tu aurais réagis si tes parents l'auraient mal pris? (c'est d'ailleurs une sacrée chance our toi !) @ Silla. Très intéressant aussi! Surtout que tu as eu cette dissonance... car tu en parles au passé.. Où t'arrive-t-il encore de les avoir? ou bien as-tu fais totalement "la paix avec toi même" ? Et outre le coté d'avoir "envie de garder ainsi ton maître pour toi", pourquoi ne pas être prête à expliquer et assumer ça auprès de tes parents?  À cause de l'expérience des amies qui ne comprennent pas la dynamique pour ne voir uniquement l'aspect sexuel et les pratiques, les "coquineries". et donc peur du jugement sur ce sujet? ou plus globalement? Mais merci à toutes les deux d'avoir jouer le jeu !
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Toute bonne émission à un instant pub, non? https://www.bdsm.fr/blog/10609/Effets-du-BDSM-sur-le-Cerveau,-le-Système-Hormonal-et-les-Relations-Biopsychosociales/ Ceci est pour la partie biochimique de l'addiction. Reste le coté psychologique... et là, je rejoins parfaitement Azhara, y compris dans le terme "exploît" ou "performance". Sans compter le "calme après la tempête", l'aftercare, le coté recentrage et de plénitude... Mais c'est aussi le travail du "Maître" de savoir réfréner sa soumise. Car certaines sont aussi dans un masochisme extrême, tant physique que morale et n'ont aucun amour propre. Ce qui peut présenter un véritable danger si elles tombent sur un sadique sychopathe... (et non, là, je ne terminerai pas par de la pub :D )  
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VraiEsclavagiste
@ Azhara Très intéressant! Surtout l'analyse suivante. Je n'ai pas pris le temps de répondre avant, étant dans la rédaction de mon article, mais je vais cependant le faire maintenant... Pour commencer, voyons ce qu'il en est des Dominants... Pour ma part, dans mes "Amis", je n'ai que très peu de dominants. Et à vrai dire, assez peu d'échanges avec. Pour certains, c'est juste de la correction de ma part de les demander en ami, discutant avec leurs soumises/esclaves en MP. Et j'accepte parfaitement leurs remarques s'ils considèrent que je vais trop loin avec leurs soumises ou leurs esclaves... Ou alors, nous échangeons des idées, voir des conseils, des avis... Mais avec AUCUN d'eux, comme avec ceux du site en général, je ne me sens en "compétition"... déjà, parce que soit ils ont trouvé leurs compléments (et j'en suis content pour eux) et  que je ne suis pas là pour leur piquer leurs soumises ou esclaves, soit parce que si cela ne passe pas avec une "potentielle", peut-être que cela passera avec un autre... ainsi va la vie! Mais je n'ai rien à prouver, et le choix revient à la soumise... c'est à elle de voir si je lui conviens ou pas... Pour ce qui est des soumises... Ce ne sont pas les miennes. Soit car ayant un collier, soit nous sommes juste en discussions (et + si affinité) mais nous pouvons parler de tout, y compris cuisine!... Et je ne pense pas me tromper en affirmant qu'aucune ne puisse se plaindre que je lui ai manqué de respect.... Mais je ne vois pas pourquoi je leur manquerai de respect sous prétexte qu'elles sont soumises... Alors est-ce que je parle différemment avec un dominant qu'avec une soumise? Non.. je suis juste moi. J'ai tendance à tutoyer, exepté les personnes plus agés que moi, ce qui ne veut pas dire que je manque de respect. Mais parce que nous avons le même centre d'intérêt, comme on tutoie un collégue de travail... tout simplement... Je ne vais pas imposer non plus que l'on me vouvoie parce que je suis Dominant. Et ne me formaliserai pas qu'une soumise ayant collier me tutoie.. ce qu'aucune fait, d'elle même... Je pense donc sincérement que je ne parle pas différemment avec les dominants qu'aux soumises. Si ce n'est que plus d'affinités avec les soumises, les dominants s'occupant de leurs soumises et je n'ai à y interférer, soit recherchant leurs propres soumises et donc occupés ailleurs... Mais le sujet et surtout l'analyse étaient très intéressants !!!  
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VraiEsclavagiste
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Cruz
Bonsoir vrai esclavagiste. Merci pour ce beau travail. Il me semble que vos deux articles devraient figurer carrément sur une zone fixe. Ou remonter régulièrement dans l actualités. Merci. Et bravo pour la synthèse.
J'aime 06/03/25
Karl Sarawa
Ça sent le texte écrit par tchat GPT a plein nez ! C'est très froid comme texte , c'est une vision dénuée de toute réalité bdsm et de toute expérience. Beaucoup de therme anglo-saxons, de blabla .
J'aime 07/03/25
Cruz
Tchat GPT ou pas, le texte est là. Les mots sont là aussi. Peut être faudrait il apporter une critique argumentée pour démontrer que ces mots sont vides de sens. Je serai le premier à les lire et à me remettre en question.
J'aime 07/03/25
Karl Sarawa
Tout d'abord, lorsqu'on fait un texte pour expliquer quelque chose à propos du BDSM, la moindre des choses est de faire un texte personnel et non pas un copier-coller ou alors l'utilisation d'IA. Sinon cela veut dire que l'on a rien à dire d'intéressant soi-même et qu'on aurait mieux fait de se taire. Ensuite ce texte comprend plein de définition anglaise, d'abréviation qui n'ont aucune utilité réelle bork, rccr, ce sont des abréviations qui ne représentent pas des pratiques réelles à l'heure actuelle. Ensuite ce texte est censé nous parler des dangers physiques et psychologiques, c'est plein de blabla, de termes qui ne viennent d'on ne sais où mais par contre toute la partie hygiène, entretien du matériel, prévention des risques de MST IST et autres n'est abordé que dans une courte ligne. Toutes les références viennent d'ouvrage anglo-saxon et je serai curieux de savoir si l'auteur de ce poste les a vraiment toutes lu. Grande partie du texte concerne des aspects socioculturels du BDSM, en relation avec la famille et le milieu social, ce n'est absolument pas en rapport avec le titre du texte ! Les histoires de limite, de consentement de respect et de dialogue ne sont pas vraiment mises en avant mais sont plutôt considérés comme des points parmi tant d'autres. Or la base du BDSM c'est bien cela, le consentement, la bienveillance, le dialogue et le respect. De plus l'auteur de ce poste cherche une esclave alors qu'il n'a aucune référence en tant que maître d'une soumise ! Et il cherche à reprogrammer à l'aide de l'hypnose son esclave ! Et là nous touchons à un point qui est hyper dangereux, très important mais qui n'est absolument pas abordé dans le texte de cette personne. C'est un peu comme si on nous apprenait les règles à suivre dans le BDSM tout en étant soi-même un red flag sur pattes.
J'aime 07/03/25
VraiEsclavagiste
@ Karl Sarawa Désolé de décevoir, mais non , ce n'est écrit par chat GPT. Ni un copié/collé... Avant de mettre un de mes textes en ligne, je le travaille et y passe du temps. Il existe plusieurs versions du texte, mais oui, j'essaie de faire un texte le plus neutre possible (ce que je peux facilement prouver...) Tous les éléments ne peuvent être développés dans un texte court. Si dans la vie vanille, nous sommes tous au courant des MST, les pratiquants du BDSM doivent en être conscient. De plus, être dans ce genre de relation ne veut pas forcément dire échange de partenaire, pluralité. Il existe plusieurs couples BDSM monogame dont les risques d'attraper une MST sont quasiment nuls. Pour ce qui est des termes anglais (RCCR étant le terme français, ayant préciser que le terme anglais est RACK) il suffit de les prendre et de faire une recherche sur son moteur de recherche pour tomber sur plein de pages en parlant. Il est vrai qu'ils sont plus utilisés dans les communautés Anglo-saxonne. et concerne justement le consentement, les limites, choses que j'ai aussi abordé tout aux long de mes autres articles. Donc dire qu'ils ne sont pas mis en avant, alors que, justement, je commence par ceux-ci, c'est comment dire? Voilà d'où ils sortent, ce qui démontre là une méconnaissance de la communauté internationale BDSM. Sur les dangers familiaux, oui, j'en parle. Ce qui est d'ailleurs plus que rarement abordé. Mais n'est abordé là brièvement contrairement à ce qui est affirmé. Quant à mes références. Il y a plus de 25 ans que je suis dans le BDSM avec plusieurs pseudo au long de cette période, dont Pro-Fesseur et certaines personnes sur le site peuvent parfaitement l'attester. Libre à elles de le faire si elles lisent ce post. Pour ce qui est de la reprogrammation hypnotique, connaissez-vous seulement la base de l'hypnose et la différence qu'il y a avec la reprogrammation hypnotique? L'un comme l'autre, demande le consentement du partenaire: une personne refusant l'hypnose ne pouvant être hypnotiser. Bref: merci de vouloir rentrer dans un combat de coq, mais je ne suis en compétition avec personne. Cela sera donc sans moi. Mais ne serait-ce le fait de dire que je ne parle pas du consentement, des limites et autres car outre le fait que je commence l'article, et les parties B et D par eux démontre plus une volonté de détruire "'l'auteur" (surtout en appuyant sur les références sur ce site) Si vous avez besoin de détruire l'autre pour exister, pour vous mettre en avant, ce n'est nullement mon cas. Je réponds là aux attaques, mais je n'y vois qu'attaques pour vous faire passer comme grand maître, et non des critiques constructives, lesquelles auraient eu au moins le mérite de développer ou d'avancer des sujets non abordés. Ce qui sont deux choses différentes. Deux concepts différents. Mais que visiblement vous ne comprenez pas...
J'aime 07/03/25 Edité
Good Girl 佩玲
Hello, je pense qu'un risque non cité (ou alors, je ne vois plus ri=en à 3h du mat,) c'est l'addiction. Les pratiques BDSM quelles qu'elles soient, incitent continuellement à une forme de dépassement de soi. Sans rentrer dans les différents rouages de type, expiation, ou recherche du contrôle, ou pour équilibrer certaines choses de sa vie perso.... les sensations, émotions ressenties peuvent vite devenir, à mon sens, addictives. Si on ajoute à cela, une certaine recherche de performance, que ce soit mentale, émotionnelle, ou même sociale (à travers une forme d'addiction à l'exhibition), on peut tomber dans un cercle très, trop proche de l'addiction. La question que je me pose, du coup, c'est : " Et après? Jusqu'où?" Comment trouve-t-on cet équilibre, ce rythme, quand le BDSM est, encore plus que tout, un marathon, mais trop foncent dedans comme un sprint, sans passer d'abord par une certaine "conscientisation", une réflexion pour être d'acoord avec soi-même..
J'aime 08/03/25
Karl Sarawa
Ce texte ressort à 85 et à 89 % sur les détecteurs d'IA.
J'aime 08/03/25
Karl Sarawa
Good girl, je trouve que ce sujet est très intéressant à explorer et assez peu exploré de manière générale. Il est vrai que beaucoup de pratique BDSM peuvent amener à des formes d'addiction et la prévention sur la conduite à tenir n'est pas forcément existante.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ Karl Sarawa. Alors... Il n'en reste pas moins qu'il reste un autre pourcentage. Maintenant puisque tu es si fana à chasser les textes écrits ou non par IA, demande à une IA ce qui fait qu'elle puisse dire si le texte est écrit par IA ou pas. Maintenant le texte est "froid", sans émotions? Oui il l'est. Il est fait pour ! C'est une analyse froide, une prise de distance... Maintenant, tu as mon mur perso. Dedans, tu as plein de mes réactions.. dont des discutions sur l'IA...et savoir ce que j'en pense... Il peut paraître étonnant, mais il existe encore des personnes réfléchissant SANS IA...
J'aime 08/03/25 Edité
Good Girl 佩玲
Merci Karl Sarawa, c'est un sujet qui me "travaille", j'ai parfois posé ce constat dans des fils de commentaires, sans avoir de retour. Je vais en faire un sujet dans le forum. Je vous y attendrai^^.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ Good Girl 佩玲 Exact ! Et c'est peut-être d'ailleurs le plus grand danger ! Comment ai-je pu l'oublier? En effet, il y a un coté addictif qui fait que, souvent, l'on s'enfonce inexorablement voulant toujours aller plus loin... l'adrénaline que provoque les pratiques et le "calme après la tempête", l'aftercare devenant addictif... Surtout si la personne soumise a atteint le "subspace". Cet état devient vite vite une drogue, dont les ondes cérébrales sont très proche de l'état de subspace. le terme d'addiction n'en est donc que plus vrai ! Mais c'est aussi le travail du Maître: savoir aussi réfréner la soumise. J'aime bien aussi l'image du sprint et du marathon ! Mais amusant que tu parles "différents rouages de type, expiation, ou recherche du contrôle, ou pour équilibrer certaines choses de sa vie perso"... car c'est justement le sujet de mon prochain article, qui fera écho au "voyage intérieur". Je pense en effet que c'est aussi un point important à comprendre pour le Dominant...
J'aime 08/03/25
sylvie35
@VraiEsclavagiste: Le fait que vous ayez écrit le texte ne prouve pas qu'il n'a pas été écrit par une IA. Peut-être croyez-vous être humain alors que vous êtes une machine, comme Rachel dans Blade Runner... Quel choc ce sera le jour où vous découvrirez la terrible vérité! Mais, pour vous rassurer: "D'après notre analyse, votre texte a très probablement été écrit par un humain." C'est ce que dit https://detector.dng.ai/
J'aime 08/03/25
sylvie35
Blague à part, je trouve que ce genre de texte neutre et structuré enrichit la rubrique articles du site, et participe à la diversité des contenus, donc c'est très bien !
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@ sylvie35 J'avoue que là, je commence à avoir de gros doute sur la réalité.. Peut-être suis-je dans la matrice?...dans quel étagère? Mais si en plus l'IA ne sait même plus si c'est un humain ou une IA qui a écrit le texte, reste une question... peut-on lui faire confiance ? Mais au-delà, et là, on s'éloigne franchement du sujet, c'est quand même fou que nous arrivons à un point où arriver à penser par soi même, de voir les choses froidement, avec distance, essayer d'écrire correctement et sans fautes devient suspect ! Et l'image ci-dessous montre bien ce que nous sommes devenus:
J'aime 08/03/25 Edité
sylvie35
Un dessin en dit souvent plus qu'un long discours. 1f44d.png Je crains que la société dans son ensemble ne tende vers ça, malheureusement... Mais, bon, je referme la parenthèse de la digression car ce n'était pas le sujet de l'article.
J'aime 08/03/25
VraiEsclavagiste
@Laquaisdesbrumes, Je comprends parfaitement... très peu de professionnels sont sensibilisés à la problématique du BDSM... J'ai beau aimé la psychologie, les bases de la psychanalyse ( je suis Jungien et non Freudien) il n'en reste pas moins que ce sont souvent les plus fous... est-ce d'ailleurs pourquoi ils se sont lancés dedans? ceci est un autre sujet... Mieux vaut parler de cela sur des forums comme celui-ci.... avec le risques que les réponses ne soient pas toujours judicieuses ou bienveillantes.... "Quand à ma compagne vanille, la révélation bdsm fut un séisme. Rien n'y fit. De l'espace." Je compatis, l'ayant vécu... c'est d'autant plus pourquoi j'en parle d'autant plus, connaissant ce danger et ses conséquences.... Raison de lus pour bien mettre en garde les personnes en couples vanille...
J'aime 14/03/25
VraiEsclavagiste
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Cruz
Intéressant. Merci.
J'aime 02/03/25
VraiEsclavagiste
Mais.. j'espère bien que tous mes "articles" sont intéressants... Mais merci de ce retour positif ! 1f60a.png Cependant, ne pas oublier (et ce sera mon prochain article) que le BDSM comporte aussi des risques, tant que physique que psychologique...) Bon teaser, non? 1f602.png
J'aime 02/03/25
Cruz
Pas mal 🤣...je trouve ça bien de chercher un peu de ref scientifique dans tout cela...bon courage à vous.
J'aime 02/03/25
PhatBrat
Je trouve la partie sur le ré-encodage de la douleur particulièrement intéressant, notamment vis-à-vis des douleurs chroniques voire des douleurs fantômes persistantes après certains traumatismes. Passionnant et plutôt plein d'espoir même !
J'aime 30/03/25
VraiEsclavagiste
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VraiEsclavagiste
Dans cet article, je parle de certaines recherches... Je vous en propose là quelques une: •"The Impact of BDSM Practices on Psychological Well-Being" par Richard Sprott et al. (2016) : Cette étude examine comment les pratiques BDSM, y compris l'humiliation, peuvent influencer le bien-être psychologique des participants. Les résultats montrent que de nombreuses personnes trouvent ces pratiques bénéfiques pour leur santé mentale et leur satisfaction relationnelle. •"BDSM and the Pursuit of Pleasure: A Study of BDSM Practices and Their Impact on Sexual Satisfaction" par Justin Lehmiller (2015) : Cette recherche explore comment les pratiques BDSM, y compris l'humiliation, peuvent affecter la satisfaction sexuelle et la qualité des relations. Les résultats indiquent que les participants trouvent souvent ces pratiques enrichissantes et satisfaisantes. •"The Role of Consent in BDSM Practices" par David Ortmann et al. (2017) : Cette étude se concentre sur l'importance du consentement dans les pratiques BDSM, y compris l'humiliation. Elle examine comment le consentement explicite et informé peut influencer l'expérience des participants et minimiser les risques de traumatisme. • "BDSM and Mental Health: A Review of the Literature" par Christian J. Jernigan et al. (2013) : Cette revue de la littérature examine les effets des pratiques BDSM sur la santé mentale. Elle conclut que, pour de nombreux participants, ces pratiques peuvent être bénéfiques et ne sont pas nécessairement associées à des problèmes de santé mentale. Si cela intéresse, je peux donner des références pour les autres articles écrits...
J'aime 27/02/25
Azhara
Pu*** que je n y arrive pas avec cette particularité qui relie souvent bdsm et humiliation. Ça fait partie de mes limites fixes, archi fixes, je suis en pleine réflexion en ce moment sur mon schéma familial, l'autodetruction recherchée pendant des années, et la dévalorisation constante dans ma vie qui font que je bloque totalement sur le fait que mon bdsm ne peut être que valorisant et non-humiliant. Entendons-nous je fais certainement pleiiiiin de trucs qui pourraient paraître humiliant à des yeux non-avertis mais qui ne le sont pas pour moi... Je crois que je refuse ce qui pourrait me sembler humiliant car ça impacterait forcément ma vie personnelle aussi, je me sentirais aussi humiliée en temps normal. Et c'est super contradictoire avec mon rapport au masochisme physique (qui pourrait être perçu comme une manière de s'autodetruire) or c'est aussi lui qui me sort de mon autodestruction naturelle dans la vie en générale. En vous lisant j'ai l'impression que c'est exactement le même processus, sauf que je n'arrive pas à l'entendre dans les pratiques dites humiliantes. Bref merci de me faire voir les choses autrement...
J'aime 27/02/25
VraiEsclavagiste
Mais comme dit soit dans "l'article", soit dans ta réaction: qu'est ce qui est une humiliation? Ce que tu (tu général) peux considérer comme humiliant ne l'ai pas forcément vécu comme tel par un autre... Être tenue en laisse par exemple peut paraître une véritable humiliation pour certains, quand pour d'autres une véritable nécessité... Pouvoir vivre ces humiliations dans un cadre consensuels peut aussi devenir une véritable force... après avoir vécu celles-ci avec son propriétaire, l'esclave n'est plus touchée par les petites humiliations de la vie quotidienne ayant vécu pire avec son propriétaire... Mais c'est là aussi le "travail" du Maître: savoir pousser son esclave sans la détruire, tant physiquement que mentalement... à quoi lui servira-t-elle alors? Mais reste une question: l'autodestruction n'est-elle pas une forme d'auto-humiliation? Et en dépassant tes propres humiliations, n'est ce pas aussi valorisant, pouvant en tirer une certaines fierté? Mais merci aussi de ta dernière phrase: "Bref merci de me faire voir les choses autrement..." ! Outre le fait que j'exprime là ma vision du bdsm tout au long des "articles", j'essaie aussi d'amener des éléments de réflexions...
J'aime 27/02/25
Laquaisdesbrumes
Intéressant. Ce qui me fait tiquer dans nombre d'articles, c'est cette apparence idéale des pratiques. Quid des incidents ? de séances mal vécues? ... Je ne pense pas à des dérapages de dom mais plutôt à des soumises ou soumis qui "digèrent" mal une séance tout en ne l'ayant pas arrêtée avec leur sw. Ca peut être borderline, on veut dépasser une limite à tout prix, on y va et on est mal après... Le débriefing ne suffit pas toujours à apaiser . "Mais reste une question: l'autodestruction n'est-elle pas une forme d'auto-humiliation?" Je comprends bien ce que signifie s'autodétruire : quoique le masochiste se sent vivre en ayant mal, son corps est bien là, présent,...vivant! Mais peut-on s'auto-humilier ? L'humiliation ne ressort-elle exclusivement pas d'une relation à l'autre ? C'est la question qui je me suis posée à votre lecture...
J'aime 27/02/25
VraiEsclavagiste
@ Laquaisdesbrumes Merci là aussi pour le retour... (y compris dans les "critiques" - une "critique" pouvant être faite de façon constructive et non de façon à détruire- Et tant qu'elle est faite ainsi, cela me va !) Mais je suppose que pour ceux qui osent lire mes écrits, il est évidant que je me suis lancé là dans une série d'article explorant une certaine vision du BDSM... quand bien même la mienne...Quand bien même "idéalisée"... Ici où là, cependant, en filigrane , j'essaie aussi de mettre en garde contre certaines dérives.... Mais oui, je reviendrai plus tard sur les risques tant physiques que mentaux sur les dangers du BDSM... je ne peux me lancer dans une "exploration" du BDSM sans en parler... ou alors, cela serait manquer d'une certaine honnêteté intellectuelle de ma part... Ne serait-ce pour le regard que la personne soumise peut porter sur elle même, ou la peur du regard de son entourage. (J'ai, dernièrement, eu le cas d'une soumise qui a reculé face à cette difficulté, ne supportant pas ceux-ci, ce qui peut-être compréhensible !) Reste une question: faut-il mieux que j'en parle en priorité? ou plus tard, en continuant ma logique? Mais je vais tenter là de répondre, puisque c'est le sujet, à cette remarque: "Mais peut-on s'auto-humilier ? L'humiliation ne ressort-elle exclusivement pas d'une relation à l'autre ? C'est la question qui je me suis posée à votre lecture..." Effectivement, l'humiliation n'est avant tout qu'un ressenti autocentré du regard que l'autre peut avoir sur soi (à tort ou à raison!). Sur le regard même que l'on porte sur soi même: "comment puis-je accepter de subir cela?... car ce n'est pas moi ! je vaux mieux que cela ! et que vont penser les autres de moi !" Il peut y avoir plusieurs raisons du pourquoi une personne soumise recherche à l'être ! Que ce soit physique, car la douleur lui permet de se sentir "vivante" ou de dépassement au travers de l’humiliation par exemple... Mais une personne soumise en acceptant de son dominant certaines pratiques, ne s'auto-humilie-t-elle pas, outre le coté physique, les réactions biochimique du corps que peuvent provoquer la douleur? En acceptant, par exemple, d'être fessée comme une gamine sur les genoux? alors qu'elle est adulte? d'être tenue en laisse? de manger à 4 pattes (et la liste et sans fin !) N'est ce pas là quelque chose qu'elle accepte de vivre de son plein gré? Car un besoin aussi en elle.... que ce soit par désirs de se dépasser ou par masochisme intellectuel.... Mais en l'acceptant volontairement, ne s'auto humilie-t-elle pas avant tout? Car l'acceptant !... La question reste ouverte....
J'aime 28/02/25 Edité
sylvie35
Je pense, effectivement, que l'humiliation n'existe que dans le rapport à l'autre et que l'on ne peut pas s'auto-humilier en solitaire. Merci d'avoir donné une vision positive de l'humiliation, car elle est souvent présentée comme une pratique dévalorisante voire destructrice. L'humiliation est un thème délicat à aborder car il y a humiliation et humiliation: (a) Il y a l'humiliation explicitement réclamée. Par exemple, en parcourant le site, on trouvera fréquemment des profils de soumis qui réclament de manière précise certaines pratiques à titre d'humiliation, pour leur plaisir. Je me demande d'ailleurs si une humiliation réclamée est réellement humiliante. On est peut-être là dans un mécanisme psychologique qui relève d'une autre catégorie. (b) L'humiliation contrôlée, réelle, possiblement malaisante sur le moment, mais qui avec de la perspective peut être vue positivement. C'est, il me semble, ce type d'humiliation que vous détaillez ici. (c) L'humiliation qui vous blesse profondément. Cela peut être quelque chose d'apparence anodine, mais qui touche un point sensible et vous fait très mal, détruit l'estime de soi et vous fait vous sentir ridicule. Les conséquences peuvent être dévastatrices. En complément à cet article, il est intéressant de consulter le sujet qu'avait proposé Lady Spencer https://www.bdsm.fr/forum/thread/7528/L'HUMILIATION-:-POUR-QUI-ET-POURQUOI-?/ Il n'en reste pas moins que c'est une pratique à utiliser avec précaution. La frontière entre (b) et (c) est ténue.
J'aime 11/04/25 Edité
VraiEsclavagiste
Plusieurs points... Cela n'aura nullement échappé à beaucoup d'entre nous, il y a une différence morphologique entre les hommes et les femmes... Or, la sodomie chez un homme stimule la prostate... donc décuple la jouissance de l'homme.. (Bon, j'avoue ! étant hétéro à 100%, cela reste pour moi de la théorie) Il y a aussi un coté humiliant pour certaines. Pour plusieurs raisons. L'une d'elle étant comme dit dans l'un des commentaire précédent, une "voie" non autorisée pour la reproduction... Une des positions prise aussi pour est considérée par certains, comme humiliante... Ne pas oublier le pouvoir du "backround" éducationnel, qu'il soit religieux, civilisationnel ou familial (les 3 se mélangeant souvent) L'un dans l'autre, se sera surtout des hommes qui y trouveront de la jouissance, bien que, certaines femmes y trouvent aussi de la jouissance, surtout pour le coté domination, voir humiliation que peut amener l'éducation....  
soumise soft et cerebrale pour dominant la 30 aine .:.
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VraiEsclavagiste
Il faut toujours se méfier des poules ! On dit "quand les poules auront des dents"... Pourtant, j'en connais qui ont des dents... et c'est elles qui te plument !!!
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sylvie35
Merci pour cet exposé sur un sujet souvent négligé et pourtant essentiel dans la dynamique de pouvoir. Un juste équilibre est en effet à trouver: il ne faut pas que ce soit purement protocolaire (mécanique, sans émotion) ou, inversement, que ce soit la porte ouverte à des demandes qui s'apparenteraient à des tentatives de négociation. On peut éventuellement ajouter, bien que ce ne soit pas l'essentiel, le fait qu'il y a dans certaines demandes de permission un côté humiliant que la personne soumise peut ressentir plus ou moins fortement selon sa psychologie, et qui participe aussi à matérialiser la hiérarchie de la relation.
J'aime 10/04/25
VraiEsclavagiste
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Game
Sage femme ça veut dire personne connaissant le corps des femmes. C’est pour ca. Et du coup je trouve cela un peu contre son camp comme argument.
J'aime 24/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Game Oui et non.. je m'explique. Le langage est une chose fantastique qui permet de faire passer un message. L'écrit, juste avec 26 lettres pour l'alphabet français permets de mettre les mots par écrits. Vous me lisez, que vous soyez d'accord ou pas avec moi, vous arrivez à lire ce que je pense exprimer. Avec une différence prêt, c'est que entre ce que je veux dire, que ce que je pense dire, ce que vous voulez comprendre, ce que vous comprenez , 70 % passe à la trappe... Si dans le langage "face à face", il y a en plus le langage corporel qui est inconscient, le langage écrit, lui, permet au contraire, quand il est réfléchit, de peser ses mots, d'essayer de préciser sa pensée... Mais nous nous éloignons me direz-vous... Pourtant, un.une lecteur.trice voir des lecteurtrices sera.seront content.s.e.es.d’apprendre la signification du mot sage-femme. Car tel était aussi le fond de la boite de Pandore que j'ai ouvert... 3/4 des élèves de 3éme, à l'heure actuelle ne comprennent pas un texte simple. Ce n'est pas moi qui le dit... Alors pourquoi compliquer les textes comme avec la phrase que je viens de dire en inclusif? Et rendre un message simple, clair, illisible? Derrière, il y a aussi une idéologie visant aussi à "genrer" les noms. Je ne plaisante nullement avec le mot sage-femme ! La question a été posée, et non pas avec le terme ci-dessus donné par Azhara et proposé par l'Académie Française... Mais justement, par des ignorants voulant tout révolutionner avec une idéologie inclusive... Or, les élèves de 3éme, biberonnées avec cette idéologie, deviennent rapidement des adultes... Et l'idéologie priment pour eux que le bon sens du mot, la signification du mot... Avec toutes les dérives qui vont avec... dont celle-là.. Et, pour terminer cette diatribe (ou leucorrhée verbale pour certains), le terme sage-femme a été longtemps en compétition avec le terme sage-"mère". Personnellement, c'est en faisant de la généalogie que je me suis penché sur ce métier, une de mes ancêtres ayant été une des premières à avoir la formation d' Angélique du Coudray et de sa "machine" afin de passer de simple "matrone" à sage-femme... Tandis que son mari..était croque-mort ! La boucle était bouclée....
J'aime 24/02/25 Edité
Laquaisdesbrumes
VraiEsclavagiste Au risque de vous heurter, je dois avouer que ce n'est pas la féminisation des noms de métiers qui me choque le plus .. Rappelons ici qu'un nouveau mot doit encore passer dans le langage courant, dans "l'usage" pour passer ensuite dans le dictionnaire et parfois inversement. > Smart, bachot, zazou sont passés de mode depuis pas mal d'années . En revanche sonal (= jingle) n'a jamais pris. L'usage commande...Peut-on imposer un usage ? Les combats lexicaux suivent les combats de leur époque. "Gaucho" a disparu, "prolétaire " n'est plus vraiment employé à tout bout de champ, le marxisme s'éloigne... Le combat actuel se porte donc sur le genre. Qu'en restera-t-il quand ce combat sera retombé et quand retombera-t-il ? Il y a un effet de distinction pour certains. Quand la plupart des français disaient :" le covid", il est apparu peu après un changement de genre avec "la covid ".Et j'ai eu l'impression que l'emploi du féminin était un moyen pour certains de se distinguer du troupeau qui usait encore, pauvres ignares que nous autres!, du masculin. Certains et surtout certaines militent pour une plus grande représentation et visibilité des femmes . Il convient de remarquer que certaines femmes tiennent au masculin de leur métier. Il est vrai que la féminisation de certaines professions passe mal . ( Maîtresse-nageuse ne me choque pas mais il renvoie à l'école et aux signifiants de " maîtresse" qui parasitent le signifiant professionnel visé... La féminisation procède souvent au cas par cas, selon l'acceptation par le milieu professionnel ....et surtout l'usage !) L'euphonie s'invite dans la question. Je ne suis pas sûr que: "proviseuse" plairait beaucoup.) Là où j'hurle le plus, c'est le "iel "... qui ne prend pas, heureusement. Si j'en parle c'est qu'il est intéressant d'aller voir comment à certaines époques et sous certains régimes, on a voulu changer le langage pour des raisons idéologiques. A la Révolution , sous le Nazisme, pour paraître moderne durant les Trente Glorieuses, l'abus d'anglicismes dans le management ... C'est parfois assez drôle ... comme sous le Fascisme en Italie : L'Italie fasciste a voulu supprimer sa forme de politesse "Lei" qui correspond à "elle" ( = notre seigneurie) , un féminin insupportable et de plus inspiré de l'espagnol ( de l'étranger!) . - Réforme, décret, interdiction, et recommandation du "tu".... mais problème : Il n'est pas question de tutoyer son supérieur ! Dans l'armée et l'administration, c'est un festival de cas de conscience ... et de contorsions langagières. Les autorités proposent alors d'user du " voi" ( vous pluriel) comme formule de politesse. Certains mauvais esprits rebaptisèrent alors Galilei ( en français Galilée ) en "Galivoi ", ce qui eut pour effet de fâcher le Duce qui s'emporta contre ses "plaisanteries crétines". [ Les milieux militants d'aujourd'hui, tout comme les extrémistes - et il est des féministes radicales ! - sont d'ailleurs plutôt hermétiques à l'humour...] - Le magazine LEI, le magazine ELLE italien de l'époque fasciste fut donc sommé de changer son titre ! Les journalistes eurent beau expliquer que ce LEI correspondait bien à "elle" puisque leur magazine était destiné aux femmes, les autorités restèrent inflexibles. Le magazine dut désormais s'appeler ANNABELLA. Quant à l'influence des genres sur le machisme ou contribuant une plus grande égalité h /f , rappelons qu'il n'existe pas de genres ni en persan : la langue iranienne ( pays où les droits de la femme sont exemplaires...) ni en Turc, ni en Dari : la langue afghane ( paradis des femmes comme chacun sait hélas.) ! Le volontarisme militant pour modifier la langue et s'attaquer aux genres des mots n'échoue pas à chaque fois mais les diktats militants et les accusations de réac et d'indécrottable mâle dominant aussitôt que l'on ose tiquer ou plaisanter me font sourire. Beaucoup de réformes de la langue ont échoué complètement ou partiellement.
J'aime 27/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Laquaisdesbrumes Mais je ne suis nullement heurté ! Bien au contraire! j'ai même beaucoup appris à la lecture de cette réponse !!!! Mais c'est bien ce que je disais sur ma réponse précédente! Peut-être me suis-je mal exprimé, car entre ce que je pense dire, etc... Je n'ai ABSOLUMENT rien contre sur la féminisation d'un nom de métiers quand elle suit la société. Par exemple: institutrice. Pendant longtemps,il n'y a eu que des hommes instituteurs. Là, je n'ai absolument rien contre. Bien qu'étant un titre, pourquoi, ne pas préciser femme instituteur... car.. pourquoi ne pas appeler alors "Maîtresse" les avocates? Mais là où cela me gène, c'est quand une idéologie derrière essaie de tout chambouler (exemple avec l'écriture dite inclusive -car n'oublions pas que c’était avant tout le fond du sujet-, qui complique la lecture et donc exclue plus qu'elle n'inclue, le "iel", ou, pour reprendre l'exemple de sage-femme (il suffit de faire une recherche pour se rendre compte que le sujet à réellement été lancé!!!), quand des ignares mais de bons lavés du cerveaux, sans tenir compte de l'origine des mots mais avec une bonne idéologie chevillée au corps, veulent revoir les choses... au détriment du bon sens! Oui, effectivement, une langue évolue. Et se doit d'évoluer... Pour être honnête, je regrette certaines évolutions de langage, comme la perte de différenciation entre amoureux (celui qui aime sans être aimer en retour) et amant (celui qui aime et est aimé en retour), le mot amant ayant pris un autre sens... Mais ainsi va la langue.... Cependant, ce qui me gène le plus, c'est quand, alors que malgré les interdictions de cette foutue écriture inclusive, des journaux, des écrits universitaires, jusqu’à des administrations continuent à nous les imposer... quittent à exclure ceux qui ne comprennent même pas un texte simple... Or, cela commence comme cela... Et c'est justement aussi, grâce à quelques vieux cons comme moi et nos coups de gueules que certaines dérives s'arrêtent... Mais je suis tout aussi content quand celles-ci adviennent! Par exemple; pédophile qui commence à être de plus en plus remplacé par pédocriminel. En effet, la "philie" ne veut pas dire une déviance sexuelle. car que dire alors des aquariophile? Qu'ils ne se tapent que des aquariums? Ou des anglophiles? qu'ils ne se tapent que des anglais (bon, d'accord! dans ce dernier cas, cela peut-être discuté, et convenons-en, alors, c'est une véritable déviance !)
J'aime 01/03/25 Edité
Laquaisdesbrumes
L'Anglais, la " perfide Albion", reste " l'ennemi héréditaire" de Crécy à Mers-El-Kébir en passant par la perte des comptoirs de l'Inde. Une déviance indubitable, ...homosexualité coupable que même Edith Cresson avait stigmatisée en son temps, c'est tout dire !. Rires
J'aime 28/02/25 Edité
isabel38
Eh ben quand je vois la longueurs de toutes ces réactions négatives à l'écriture inclusive, parfois sans même que les personnes aient compris (ou même lu ?) le post /commentaire extrêmement clair et pédagogique de Game (merci à lui/elle, je ne suis même pas encore allé voir son genre), je me dis qu'on est pas sortie du masculinisme/virilisme/peur des hommes de perdre leurs avantages. Il est vrai que nous sommes sur un forum bdsm, sans doute y a t-il un biais à ce sujet.... Perso, je suis un homme (malgré l'apparence de mon pseudo), certes soumis dans le jeu (pas dans la vie), et si je trouve que parfois la langue est trop déformée, je ne suis absolument pas dérangé (et depuis longtemps) par modérateur-trice das des textes un peu officiels et non littéraires. Bisous à toustes :-)
J'aime 30/03/25
isabel38
Et bien sur, Game est une femme (merci à elle donc, et je souligne que son premier commentaire est très factuel, ce qui me semble être le bon moyen de convaincre). Je suis donc fier d'être le seul homme de ce "forum" à défendre (un peu, pas systématiquement) l'écriture inclusive. Et moi aussi je n'aime pas l'idéologie. Mais je n'aime pas non plus que l'on nomme "idéologie" tout ce qui ne nous arrange pas, et qui n'est en fait pas de l'idéologie. Bisous :-)
J'aime 30/03/25
sylvie35
Cela illustre bien le fait que tout échange sur le sujet est difficile car il faut quand même de sacrées œillères pour ne pas voir qu'il s'agit avant tout d'idéologie. Quel avantage voyez-vous dans l'écriture inclusive (hors idéologie) ? Pensez-vous qu'elle sera adoptée par le plus grand nombre grâce à son élégance et sa simplicité d'usage ? Pourquoi n'en faites-vous pas usage vous-même? Par exemple, si j'ai bien compris les règles on doit écrire modérateur·rice pas modérateur-trice, iel pas il/elle, "pas de gros·ses" et non "pas de gros" (cf profil). Je reste sur ma position (jusqu'à preuve du contraire) que tout cela part (peut-être) de bonnes intentions, mais que comme dans beaucoup d'autres domaines (écologie, anti-racisme, santé publique, ...) on parle là de ce qui est à l'origine une cause noble (féminisme, en l’occurrence) qui a été complètement dévoyée par des intérêts sans rapport avec la cause initiale.
J'aime 30/03/25
isabel38
@Sylvie35 Quel avantage voyez-vous dans l'écriture inclusive (hors idéologie) ? Game a répondu dès le début, et très clairement, très factuellement. Pensez-vous qu'elle sera adoptée par le plus grand nombre grâce à son élégance et sa simplicité d'usage ? Pour moi ce n'est pas une bonne question puisque cette convention ne concerne pas nos écrits de tous les jours, mais des écrits "officiels" et non littéraires
J'aime 30/03/25
sylvie35
Je suis d'accord pour l'essentiel avec ce qu'a écrit Game, mais je ne vois pas en quoi l'écriture inclusive (complexe, illisible, et à connotation militante extrême) serait une bonne solution. Donc, selon vous, des écrits officiels illisibles (alors qu'une bonne partie de la population a déjà des difficultés à comprendre des textes simples) est chose souhaitable?
J'aime 30/03/25
isabel38
@Sylvie35, je pense que c'est une tentative pour lutter contre le sexisme systématique de la société, mais je ne dis pas que c'est LA solution. Je disais juste qu'il me semble très inquiétant (pas seulement sur ce forum, sur plein d'autres) de lire tous ces mâles qui sont effrayés en réalité d'une quelconque évolution de la langue pour favoriser l'égalité femme-homme. C'était le sens de mon commentaire, en fait. Après est ce une idéologie ? Les idéologies peuvent elles parfois être utiles ? On risque d'ouvrir un grand débat ! :-)
J'aime 30/03/25
sylvie35
Le truc vicieux avec l'idéologie c'est que dans le fond nous ne sommes probablement pas vraiment en désaccord, mais là où nous divergeons en réalité c'est sur l'appréciation des moyens mis en œuvre et surtout (de mon point de vue) sur la lucidité quant à l'exploitation perverse qui en est faite (à des fins qui sont à mon avis très éloignées de l'objectif affiché). Je suis persuadée que les plus ardents promoteurs de ce type d'écriture n'en ont strictement rien à faire de la place des femmes dans la société. Pour vous donner une analogie qui sera peut être plus parlante, c'est comme les "militants" qui parcourent le monde en jets privés pour nous expliquer que nous devons nous comporter de manière "éco-responsable" et accepter sans broncher toutes les contraintes et taxes mises en place "pour notre bien". Si vous osez questionner leur discours de manière pragmatique, vous êtes présenté comme opposant à la cause officiellement affichée (cause dont ils se moquent éperdument en réalité).
J'aime 30/03/25
Azhara
Moi je ne crois pas qu'on lutte contre le sexisme en féminisant quoique ce soit. Nom de métier, écriture inclusive... ... Pour moi ce truc là de féminisation de tout c'est comme cueillir un bouquet de fleurs dans un terrain miné dans un pays en guerre et se dire : je lutte contre la guerre. Ça nous fait de belles jambes ! Le "combat", l'évolution à mener est ailleurs./ Et je ne suis pas viriliste ^^.
J'aime 30/03/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Azhara il n'est pas la question de "virilisme" ou autre... Aussi étonnant que cela puisse paraître, je suis féministe! Mais pas néo féministe à la sardine ruisseau... Et là je réponds juste à isabel38 Des gamins, à l'école ont déjà du mal à apprendre à lire, à écrire correctement... Google est ton meilleur ami (enfin, non, mais faisons comme si...) Il suffit juste de taper sur son moteur de recherche pour se rendre contre que, non seulement, ils ont du mal à apprendre, mais aussi, et surtout à comprendre les textes qu'ils lisent... La question est simple: POURQUOI COMPLIQUER alors la chose? Oui... TOUTES règles, TOUTES lois sont injustes ! Il y aura FORCÉMENT quelqu'un de léser! Qui plus que dans la relation BDSM, Dominant/soumise, Maître/esclave peut comprendre ce fait? "L'inclusivité" n'est qu'une vague utopie, fumisterie !: Mais bon délire idéologique! Et oui, j'ose affirmer que je suis féministe!... Mais quand il s'agit non plus de féminisme mais de combat idéologique EXCLUANT et non incluant tous ceux qui ont du mal à apprendre à lire, à comprendre à lire un texte, non, je n'y vois nullement un progrès, mais au contraire une régression... Oh!!! bel est bien enrobé de sucre, à la manière de "bien-pensance" (qui exclut tous ceux qui ne pensent pas comme eux -il n'y a pas pire fachos que les "antifas" ) Apprenons, appliquons déjà des règles de bases avant de complexifier la chose... Si elles sont alors appliquées, faciles à comprendre, alors oui, allons plus loin... Mais déjà, que les gamins à l’école apprennent à lire, à comprendre un texte simple avant de leur imposer cette merde d'écriture dite inclusive quand elle exclue... Et reprenons juste l’exemple: modérateur.trice... lisons le à haute voix... qui parle ainsi: modérateur trice??? lecteur trice ??? Oui, les politichiens, aiment nous donner du "français, française"... Mais sont-ils des exemples à suivre? Mais au moins ils ont le méritent de reprendre le premier nom (bien qu'en français la règle du masculin emporte sur le féminin et donc en disant juste français, cela inclue les françaises...) mais non ne disent: Français. e; es... et encore! encore une chance alors que français s'écrit de la même manière au singulier qu'au plusieurs ! Car que dire de cette phrase écrite de façon inclusive... est-elles simple à lire??? Il n'y a que le.les Con.s ne.nes pour apprécié.és.ee.ées l'écriture dite inclusive (tians! la par contre, écriture inclusive passe car déjà au féminin?..) Quant à sylvie35... Je ne peux qu'applaudir qu'à ce qui est écrit, y compris le début!...
J'aime 31/03/25 Edité
Azhara
Je faisais de l'ironie avec l'association virilisme et anti écriture inclusive mentionnée plus haut avec laquelle je ne suis pas en adéquation. (Ceci dit je n'avais pas songé à certains arguments qui me parlent bien. - Si on dit "je m'adresse aux soumis", le femmes ne vont pas se sentir concernées, je crois que c'est Sylvie35 qui en parlait. - Invisibilité des femmes dans les règles orthographiques et dans les noms de métier. (Game et Sylvie35) - Inconsciemment non identification des femmes à certaines professions. ... )
J'aime 31/03/25
VraiEsclavagiste
@ Azhara Ma réponse, bien que commençant par "@ azhara" s’adressait là plus isabel38. Maintenant, oui, je comprends parfaitement les arguments... Oui effectivement, ils se tiennent... Mais... qu'est ce qui empêche de préciser "homme ou femme"??? Par exemple... "je m'adresse aux soumis" pour reprendre l'exemple... pourquoi alors ne pas dire "je m'adresse aux soumis hommes ou femmes" trop long à écrire? Alors h ou f? "je m'adresse aux soumis h ou f"... 4 lettres.. soit autant que .trice... d'accord ! juste 2 espace à rajouter..; enlevons le ". " de trice... Quelle différence! que c'est dur !!!! insurmontable à écrire! d'ailleurs..je suis exténué rien que de l'avoir écrit !!!!
J'aime 01/04/25 Edité
bonjour
J'aime 06/06/25
il a fallu depuis l'arrivée de la bien pensente holigarchie pour detruire la france et sa langue pour en faire un dialecte afin de favoroiser les nuls a l'école nos chances pour la france .
J'aime 06/06/25
Même avec des fôtes le message passe .
J'aime 06/06/25
Game
En même temps c’est marqué dans le pseudo ^^
J'aime 06/06/25
VraiEsclavagiste
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maitreleon
J'ai obtenu le 15 et en partie le 16, en tant que dominant je n'en etais pas plus heureux, la soumise l'était !!
J'aime 19/02/25
VraiEsclavagiste
@ maitreleon Cela fera parti d'un de mes prochains "article" .... La "psychologie" de l'esclave.... disons plutôt, une tentative d'explication, qui, pourtant, pourtant.... à son importance! Car ne pas le comprendre est passer à coté d'un point essentiel!!!! Du moins, de mon point de vue qui peut être discutable, je l'avoue fort volontiers !!! (j'y vends -t -y pas bien la chose??? crévindiou! ) PS: je suis allé voir la fiche de profil... J'ai beaucoup aimé le : "Ben non pas de retour, il me semble que vous devriez voir un psy" 1f602.png1f602.png1f602.png Excellent !!!!
J'aime 19/02/25 Edité
maitreleon
Merci
J'aime 19/02/25
sylvie35
Bonjour VraiEsclavagiste, Je commence par un détail pour ne pas oublier: les niveaux 4 et 6 sont identiques, ou, du moins, s'il y a une nuance je ne l'ai pas saisie. A la première lecture, j'ai été gênée par le fait que chaque niveau n'englobe pas strictement les niveaux inférieurs, d'où une hiérarchie (traduite par la numérotation) pas facile à appréhender. Mais en relisant, je vois que dans l'introduction vous mentionnez le fait que ce n'est pas strictement une hiérarchie. OK, donc au lieu de me placer dans un espace à une dimension, dans lequel la relation d 'ordre est implicite, je me place dans une espace à deux dimensions, et je positionne les différentes catégories dans cet espace, pas nécessairement de manière linéaire. Ça devient plus clair, du coup 🙂 Suggestion: le terme "culte de la personnalité" (14) est connoté négativement (cela fait penser aux dictateurs et pervers toxiques...). Une autre expression est sans doute à trouver (je n'ai pas d'idée sur l'instant). De manière générale, il me semble que l'admiration du Maître est quelque chose qui doit venir naturellement et qui ne se décrète pas. Je me demande d'ailleurs si c'est à mettre en tant que catégorie. C'est plutôt quelque chose qui peut venir se rajouter (ou pas) à n'importe laquelle des autres catégories, dans l'évolution naturelle de la relation. J'ajoute mon petit témoignage personnel, mais qui n'a rien de généralisable (au cas où ce serait utile à d'autres - sait-on jamais): Globalement, la lecture m'a donnée l'impression d'être une extra-terrestre, car je suis passée directement au niveau 15 ou 16, sans passer par un certain nombre d'étapes intermédiaires. Et pourtant, je ne qualifierais pas cette relation d'extrême - pas de mon point de vue en tout cas. Peut-être est-ce parce que la notion d'extrême est très subjective: on qualifie souvent d'extrême ce que l'on ne comprend pas, ce dont la logique nous échappe, ce qui nous demande des efforts psychologiques gigantesques, ... Mais quand la relation nous correspond, que l'on s'y sent bien, et que sa logique nous saute aux yeux, on ne la qualifie pas spontanément d'extrême, même si elle peut être très dure par certains aspects. Avant de m'engager dans la soumission, j'y avais beaucoup réfléchi, et il m'était impossible d'envisager une soumission qui ne soit pas totale. Je ne me voyais pas soumise à temps partiel, ou engagée dans une relation dans laquelle je pourrai négocier ceci ou cela. Psychologiquement ce serait extrêmement perturbant de par la confusion que cela impliquerait et (bien que ça puisse sembler paradoxal) c'est dans une certaine mesure ce genre de relation qui serait extrême de mon point de vue. Extrême de par la nécessité de faire des efforts psychologiques colossaux pour m'adapter aux changements permanents de statut, pour passer sans arrêt d'un contexte à l'autre, pour savoir quand négocier et comment, ... Dans la démarche, je suis donc partie de ce que je voulais comme relation, et j'ai cherché en conséquence, un Maître qui partage la même vision de la relation et dont les qualités humaines font que je me sens en totale confiance.. Grosse galère, car malgré les apparences, peu d'hommes sont en réalité intéressés par ce type de relation, ou alors se disent intéressés mais n'en comprennent pas vraiment le principe et les responsabilités que cela implique. Avoir tout pouvoir ne signifie pas en abuser comme un idiot, créer une relation étouffante et faire n'importe quoi. Mais ça c'est une autre histoire. La notion de 24/7 est avant tout un état d'esprit. Même quand on ne vivait pas encore ensemble, dans ma tête je me sentais soumise tout le temps et le sentiment d'appartenance était omniprésent. Dernier point, pour revenir à la notion d'extrême. Ce que j'ai appris, même si je m'en doutais déjà un peu, c'est que le mental est essentiel. Même si j'avais beaucoup réfléchi avant, et que mon Maître m'avait prévenue, j'avoue avoir été surprise par la sévérité du dressage. Mais comme je savais ce que je voulais, que la relation était claire et harmonieuse, que je m'y sentais incroyablement bien, je l'ai abordée avec un mental d'acier et j'ai constaté que la puissance de l'esprit est assez incroyable.
J'aime 10/04/25 Edité
VraiEsclavagiste
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VraiEsclavagiste
la légende de la photo : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » Citation d'Étienne de La Boétie (1530 – 1563) dans « Discours de la servitude volontaire ou le Contr'un »
J'aime 17/02/25
VraiEsclavagiste
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