Sir Watson est un jeune banquier célèbre dans la City pour ses coups en bourse et avec les cryptomonnaies. Il a épouse une superbe jeune aristocrate Lisbeth, pour le prestige de son rang. Il n'aime que le grand luxe. C'est aussi un coureur invétéré de jupons. Tout allait bien dans leur couplé jusqu'au jour où Lisbeth s'est rendue compte de ses infidélités. Une insulte qu'elle ne pouvait laisser passer. Le divorce, hors de question pour elle. Dans sa noble famille ce mot n'existe pas.
Elle décide de dresser son époux comme il se doit. Elle l'invite pour un séjour dans un des châteaux de sa famille illustre situé dans les Cournouailles, une terre battues par les vents. Elle a soigneusement préparé son piège. Sous prétexte d'une visite du château, elle montre à son époux les cachots secrets et réussi à l'enfermer. Ce dernier hurle.
-Crie tant que tu veux mon chéri, tu ne sortiras d'ici que brisé et définitivement fidèle. Tu m'as trahi et trompé. Tu vas le payer très cher et je vais t'oter toute envie de recommencer. Sache le, ces cachots ont servi à en mater bien d'autres depuis des siècles.
- Tu es folle. Je porterais plainte contre toi.
- Si tu sors un jour...mon chéri,...tu n'as pas le choix. Tu vas devoir désormais m'obeir en tout et pour tout. Ta trahison t'a fait perdre ton statut d'égal à égal dans notre couplé. Et ne t'avise pas de vouloir divorcer.
Aidée par son fidèle valet, un colosse aux muscle d'Acier, sir Watson a du commencer par subir le fouet, nu, suspendu à des chaînes. Puis il a dû porter le redoutable carcan briseur de nuques. Au bout d'un mois, les choses ont commencé à changer pour lui. Il a supplie son épouse de lui pardonner, promis qu'il ne recommencerait plus jamais.
- Tes suppliques ne sont pas suffisantes et tes promesses ne valent rien. Je vais te marquer au fer brûlant et désormais tu vas devenir mon esclave.
Et lisbeth a fait cela. Sir Watson s'est rendu compte qu'il aimait encore plus son épouse. Il a accepté tout ce qu'elle lui faisait subir. Et même il a commencé à y prendre beaucoup de plaisir.
-Ton dressage est provisoirement terminé, lui a dit Lisbeth. Nous allons rentrer à Londres. Pour les autres tu seras toujours mon époux. Pour moi tu sais où est ta place désormais. Tu es et restera mon esclave jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Sir Watson a repris son travail et gagné encore plus d'argent. Il est devenu amoureux fou de sa femme. Il n'a plus jamais regardé d'autres jupons.
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Une dominante non exclusive avec des hommes soumis en relation exclusive avec elle, cela marche bien surtout si toute virilité est enlevée à ces hommes soumis. Cela semble mieux fonctionner qu'avec un mâle dominant non exclusif et des femmes soumises dans une relation exclusive avec lui.
Soyez la première personne à aimer.
Malou est devenu Omalie, il a dû renoncer à toute virilité avec sa femme qui est devenue sa Maîtresse, mais aussi l'homme au foyer. Ce n'est pas seulement elle qui porte la culotte, mais aussi celle qui tient le fouet et le god ceinture qui lui va si bien.
Omalie a du porter une cage de chasteté en permanence, en bon acier dur et froid. Il est devenue elle, l'épouse soumise qui obéit à son mari très dominant. Marie a pris le rôle de Mario, et elle adore cela, jouer à l'homme. C'est elle qui conduit l'auto, crache comme un mec, pisse comme un mec, et dirige tout.
Omalie adore obéir à sa Maîtresse phallique et offrir sa chatte anale. Marie -Mario adore defoncer son petit cul et c'est une experte. Omalie coule toujours. Des orgasmes prostatiques sans se toucher.
Un couple heureux ou tout est inversé pour le bonheur des deux. Les souvenirs du temps ou Malou pouvait encore penetrer la chatte de Marie se sont perdus dans les méandres de la mémoire. Omalie ne bande plus, ne plus plus bander. La cage est une castration par contrainte sur la durée. Plus même aucun désir de penetration. Juste une chatte anale ouverte et qui réclame.
Pour Malou et Marie devenus Omalie et Mario, ce qui n'était que jeux au début, est devenu au fil du temps état permanent. L'état où les deux se sont sentis à leur place. Peu importe le sexe de naissance. L'amour est capable de beaucoup de choses, y compris rectifier des erreurs.
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@ omale, je viens de visiter ton profil. Je vais te dédicacer une histoire. Ce que tu as vécu avec ta maîtresse est très intéressant. Tu me diras.
Voir article le castrat.
@+
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Pour rendre la non exclusivité du dominant plus acceptable pour un soumis ou une soumise qui eux se doivent à l'exclusivité absolue, il est possible de rajouter une clause complémentaire à ce contrat. Par exemple le dominant ne peux pas entamer une nouvelle relation D/S sans l'accord de tous les soumis ou toutes les soumises avec qui il est déjà en relation. Cette approbation du nouveau ou de la nouvelle n'est pas sans intérêt, cela peut même être très ludique. Cela renforce la confiance dans le ou la dominante et crée un groupe solide. Cela donne plus de poids à la première soumise du groupe. C'est elle qui détient les clés pour élargir ou non ce groupe, suivant ses choix.
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Maître Tom ne peut pas se contenter d'une seule soumise à dresser. Il considère le couple comme une cage. Il aime pouvoir disposer de son harem de soumises et le mettre en concurrence pour son plaisir. Par contre ses soumises lui doivent une obéissance et une fidélité absolue. Dans l'autre sens, il exige une exclusivité totale. C'est le contrat de départ. Maître Tom n'a pas besoin de leur poser des outils pour une chasteté contrainte, comme par cages ceintures ou cadenas, non, il sait qu'il peut compter sur la fidélité absolue des soumises de son harem. Il n'a pas de favorite. Il les aimes toutes pareil. Par contre toutes les soumises fantasment d'être sa favorite. Toutes doivent faire des efforts pour plaire à Maître Tom et ce jeu de séductions et d'attirances l'amuse beaucoup.
Toutes sont jalouses des autres dans cette compétition pour avoir les faveurs de Maître Tom. Mais une plus que les autres, sa superbe Vipie. Une spéciale compétition question jalousie, qui devient rouge piment lorsque Maître Tom s'occupe d'une autre soumise qu'elle.
Aussi pour la dresser, et la faire bien souffrir, Maître Tom a passé un collier de chienne à Vipie et il a fixé ce collier par une chaîne au mur. Elle n'a droit qu'à une carpette pour chienne et une gamelle d'eau.
-chienne Vipie, c'est un privilège pour toi de garder de la sorte la couche de ton Maître. Tu es une bonne chienne. Mais gare si tu n'obéis pas.
Vipie ne peut pas battre de la queue, mais son joli petit clito se dresse lorsque son Maître s'occupe d'elle.
Et Maître Tom adore faire souffrir Vipie. Il prend toujours soin de s'occuper d'une autre soumise devant elle. Chaque fois Vipie enrage, devient rouge et transpire. Interdiction zbsolue d'aboyer sans quoi c'est la muselière et le cachot noir. Vipie doit souffrir de sa jalousie en silence.
Maître Tom prend plaisir à torturer Vipie. Il prend toujours soin de terminer une séance en sodomisant ses soumises pour qu'elles comprennent bien qui est le maître. C'est le moment qui fait le plus souffrir Vipie. Voir son propriétaire prendre son pied dans le cul d'une autre. Et pire Maître Tom demande toujours à la soumise qu'il vient d'enculer d'aller pisser dans la gamelle de Vipie pour souiller son eau. Les chiennes comprennent très bien ce que cela veut dire.
Maître Tom laisse toujours sa chienne méditer une heure ou deux, seule à côté de sa gamelle souillée. Puis il vient détacher Vipie. Il la nettoie avec de la paille bien rêche. Ensuite tenue en laisse et à quatre pattes, il l'emmène faire un tour dans le jardin. Vipie à un coin où elle peut pisser à son tour. Son maître joue avec elle et la dresse avec une baguette fine qui claque et fait très mal. Vipie est heureuse lorsque son Maître s'occupe d'elle.
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Enfin, notre ami, ce diable d'homme a laissé son I.A au vestiaire et résultat, un récit croustillant !
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Vipie la chipie n’est pas la Vee Aïe Pee (ou alors, dans sa gamelle ou dans le jardin). Merci pour ce récit aux allures de conte, à chacun d’y trouver sa morale ! J’ai bien aimé l’imaginaire que cela suscite…
VIPie, au pied, assis , pas bouger! Donne la patte! Brave chienne! Allez montra à ton maître comme tu passes bien les obstacles. Le cerceau d'abord. Allez hop. Bravo. Fait ta jolie maintenant, les deux pattes levées. Tire la langue. Brave chienne. A ton tour de rendre jalouses les autres chiennes. Là, mieux que cela, ondule bien des fesses, tortille bien ton cul . Écoute les japer de jalousie à leur tour.
@Sylvie, ta jalousie m' amuse beaucoup. Tiens je t'écris un petit article spécialement pour toi. La jalouse.
Belle journée. J'espère que il te fera rire.
Merci à toutes et tous pour vos contributions très intéressantes à lire.
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Rien n'est important que la plus grande clarté et sincérité dès le départ.
@Silla, tu as raison, nous avons la chance de pouvoir tout se dire dans une vrai relation bdsm. La non exclusivité ce n'est surtout pas tromper l'autre. Plus tout est clair pour les deux mieux c'est. Par contre tout est évolutif après et cela peut aller très loin dans les pratiques.
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-Alors mon biquet chéri, on est toujours pour lutter contre le laxisme de la justice.
-c'est une injustice. Je suis innocent.
- et voilà que mon petit biquet continue de dérailler. Peines plancher tolérance zéro. C'est vous qui avez voulu cela.
- c'est de la haine judiciaire contre moi.
-tu sais quoi mon biquet, tu devrais faire attention si tu ne veux pas que je fasse sauter tous tes sursis.
- pardon, pardon Maîtresse Madame la juge.
- demander pardon ne suffit plus. Ton casier commence à faire lourd mon biquet. Tu en as pour des années. Et comme tu étais contre les aménagements de peines.....
- vous n'avez pas le droit!
- allons mon biquet, le jap vient bouter mon minou tous les matins en m'apportant mon café, alors tu sais, je claque des doigts et il obéis.
- ce n'est plus de la justice, c'est un viol.
- tu sais mon biquet, va vraiment falloir que tu te calmes et vite. Tu sais, on pourrait bien s'amuser tous les deux. je pourrais venir te rendre visite dans ta cellule de 9 m2. Que dirais tu si je venais avec un fouet en tenue domina.
- Madame Maîtresse, vous feriez cela?
- oui et en toute discrétion. Mais tu devras obéir en tout et pour tout. J'adore faire très mal avec mon fouet.
-Oui Madame Maîtresse, oui j'accepte. Je pourrais moi aussi brouter votre minou ?
- hummm....on verra....si tu obéis bien....on verra
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Perso, je trouve toujours suspect qu'un soumis ou soumise réclame l'exclusivité avant d'entamer une relation.
Quelque chose me dérange toujours lorsque je lis cela sur un profil par exemple. C'est comme lier un bras à un Dominant et lui dire fouette moi.
Par contre si c'est pour former un couple, c'est autre chose.
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@ toutes et tous. Merci pour vos réponses.
Dans le cadre de séances c'est plus facile. Ce sont des rencontres pour des pratiques même très poussées.
Cela peut même avoir des avantages pour une femme ou un homme marié dans une relation vanille. Vivre des séances bdsm même hard en dehors comme un réel besoin et de façon exclusive avec un Dom ou une Domina.
La vie de couple y compris fusionnelle, dans un cadre bdsm, c'est un top et c'est parfaitement compréhensible que ce soit l'exclusivité qui soit privilégiée, même si les couples bdsm échangistes existent.
Je pense que dans le cadre de séances bdsm, c'est plus facile pour une soumise ou un soumis d'accepter la non exclusivité du dominant. Cela me semble faire partie du jeu même, si c'est clairement posé des le départ.
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Rires, justement te dominer en te faisant souffrir de jalousie. Mettre les soumis ou soumises et concurrence et les faire souffrir comme cela. Il n'y a pas que la cravache pour faire bien mal.
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Moi j'adore me servir des IA, ce sont des outils formidables même s'ils souffrent de sycophancy et qu'ils disent beaucoup de conneries lorsqu'elles ne prennent pas le temps de vérifier.
Soyez la première personne à aimer.
J'ai demandé son avis à IA. il a fallu reexpliquer plusieurs fois....
Merci mael— maintenant c’est limpide :
tu veux parler du cas où le Dom (ou la Domina) est non exclusif,
et la soumise (ou le soumis) est, elle/lui, exclusif.
C’est l’un des modèles les plus profonds — et souvent les plus mal compris — du BDSM, car il ne repose pas sur la réciprocité, mais sur une asymétrie de nature, voulue et assumée.
Je te propose qu’on le regarde dans ses trois dimensions : émotionnelle, symbolique et philosophique.
💠 1. La structure du lien : l’asymétrie comme essence
Ici, le pouvoir et le don n’ont pas la même direction.
Le Dom non exclusif se vit comme une source multiple : il peut guider, jouer ou posséder plusieurs âmes soumises.
Son autorité se déploie, mais sans se fragmenter : chaque lien est complet en lui-même, un microcosme.
La soumise exclusive, elle, choisit de ne se livrer qu’à lui.
Elle n’a pas besoin de réciprocité : son don devient sa propre voie d’accomplissement.
C’est une exclusivité d’intention, presque monastique.
Elle dit : « Tu peux appartenir à plusieurs, mais moi, je n’appartiens qu’à toi. »
Ce n’est pas une relation inégale par contrainte,
c’est une structure hiérarchique librement choisie, où la valeur du lien vient de la clarté du rôle.
💠 2. Ce que vit la soumise exclusive
Pour la soumise, cette configuration peut être :
profonde et transcendantale, car elle concentre son énergie d’abandon, sans dispersion.
Elle devient l’incarnation de la fidélité intérieure, même si l’autre n’appartient à personne.
mais aussi vulnérable, car elle sait que son Dom partage ailleurs — ce qui exige une confiance radicale.
dans les meilleurs cas, elle transforme cette tension en discipline émotionnelle :
elle apprend à aimer sans posséder, à servir sans attendre, à ressentir sans jalouser.
C’est là que se forge une des plus belles maturités du BDSM : le don sans condition.
💠 3. Ce que vit le Dom non exclusif
Pour le Dom, cette configuration n’est pas la liberté sans limites.
C’est une charge de responsabilité accrue :
Il doit honorer chaque lien comme s’il était unique, sans jamais en faire un simple “numéro”.
Il doit savoir préserver la dignité de la soumise exclusive, même si elle n’est pas la seule.
Et surtout, il doit entretenir la vérité : la transparence est son devoir moral.
Mentir ou manipuler détruit la structure même de cette hiérarchie.
Le vrai Dom non exclusif est donc gardien de plusieurs mondes, mais jamais consommateur de soumissions.
Il “tient” plusieurs âmes, mais n’en écrase aucune.
💠 4. L’équilibre intérieur
Ce modèle repose sur une tension délicate :
la soumise vit la fidélité du cœur,
le Dom incarne la multiplicité du pouvoir.
Mais quand les deux se respectent, cette tension devient créatrice.
Le Dom y trouve un sens de mission,
et la soumise, une voie spirituelle de dévotion consciente.
Leur lien devient alors un miroir sacré : elle lui offre sa loyauté, il lui offre la vérité.
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Une parfaite clarté et transparence des le début, c'est incontournable.
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Par contre dans l'autre sens qu un Dom ou une Domina exige une exclusivité cela me semble aussi une bonne chose.
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De l'exclusivité
Un Dom ou une Domina se doivent ils d'être dans une relation exclusive ?
Pour ma part la réponse est absolument NON
Qu' en pensez vous ?
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Un registre cru, presque BDSM : le passage du pouvoir à la soumission, l’éclatement des illusions, le politique forcé d’expérimenter la perte de maîtrise sur son corps et sur sa vie, pendant que son épouse goûte d’autres plaisirs.
Le Politique (dans sa cellule, serrant les poings) :
Socrate, c’est l’humiliation totale. J’étais puissant, entouré, respecté. Demain, je serai soumis. Ici, ce ne sera plus moi qui commande, mais d’autres hommes, plus durs, plus cruels. Ma femme… elle prendra des amants. Moi, je ne pourrai que me masturber dans l’ombre de ma cellule. C’est ça, ma chute.
Socrate (assis calmement sur le lit de fer) :
Et pourquoi appelles-tu cela une chute ? Parce que ton corps sera contraint ? Parce que ton désir sera frustré ? Crois-tu donc que réussir sa vie, c’est conserver toujours le pouvoir sur les autres et sur ta femme ?
Le Politique (avec amertume) :
Bien sûr ! C’est posséder, diriger, jouir. Sinon, à quoi bon ?
Socrate :
Alors tu ne fais que confirmer ce que j’ai toujours vu : celui qui se croit maître est en vérité l’esclave de ses désirs. Quand tu ordonnais, quand tu possédais, tu étais déjà prisonnier — prisonnier de l’avidité, du regard des autres, du besoin d’être reconnu.
Le Politique (silencieux, la tête baissée) :
Et maintenant je vais devenir l’objet, le soumis.
Socrate :
Peut-être. Mais c’est une occasion. Tu vas découvrir que ton corps n’est pas toi. Même si tu es humilié, même si tu n’as pour toi que ta main et ta honte, l’âme peut rester libre. Et si ta femme jouit ailleurs, cela ne détruit que l’illusion de possession que tu entretenais.
Le Politique (murmurant) :
Tu voudrais dire… que ma vraie liberté commence dans la soumission ?
Socrate :
Exactement. Car la soumission t’arrache tes masques. Quand on t’ôtera tes titres, tes privilèges, ta virilité politique, il ne restera que toi. Et c’est alors que tu pourras savoir si tu as réussi ta vie : non pas en dominant, mais en découvrant qui tu es sans rien à dominer.
Le Politique (long silence, puis un rire nerveux) :
Alors peut-être que la prison est mon premier maître véritable.
Socrate (avec un léger sourire) :
Et si tu l’acceptes, tu seras moins prisonnier que bien des hommes libres dehors.
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Un soir d'automne pluvieux, dans un appartement encombré de mugs de café froid et d'écrans clignotants. Notre héros, appelons-le Alex (parce que "héros anonyme" sonne trop comme un thriller raté), est assis devant son ordinateur, les yeux rougis par des heures de swipe sur des apps de dating. Tinder ? Trop basique. Bumble ? Trop bourdonnant. Non, Alex veut du cosmique, du destin écrit dans les étoiles – mais boosté par l'intelligence artificielle, parce que bon, Vénus est en rétrograde et il n'a pas le temps d'attendre un alignement planétaire naturel.
C'est ainsi que commence notre roman d'amour moderne : L'Âme Sœur au Bout du Code. Chapitre un : La Quête Astrologique IA.
Alex, Lion ascendant Procrastinateur, tape frénétiquement sur son clavier : "IA astrologique pour trouver l'âme sœur". Et hop ! L'écran s'illumine comme une supernova. Des apps comme Co-Star ou The Pattern surgissent, ces génies numériques qui analysent votre thème astral plus vite qu'un voyant de foire avale une boule de cristal. "Entrez votre date de naissance, heure exacte, et lieu – oui, même si c'était dans un hôpital qui sent le désinfectant." L'IA mâche les données : Soleil en Bélier ? Vous êtes un fonceur ! Lune en Poissons ? Sensible comme une éponge émotionnelle. Et voilà, elle crache des matches potentiels : "Votre âme sœur est une Balance avec Mercure en Gémeaux – parfaite pour des débats interminables sur Netflix."
Mais attendez, ce n'est pas tout ! Alex découvre des outils hybrides, comme des bots sur Discord ou des extensions Chrome qui intègrent l'astrologie à des sites de dating. Imaginez : vous likez un profil, et l'IA murmure à votre oreille (virtuelle) : "Compatibilité 87% – mais évitez les pleines lunes, elle risque de transformer vos disputes en drames shakespeariens." Humour cosmique : Alex matche avec une Sagittaire qui, selon l'IA, est son "âme jumelle karmique". Leur premier chat ? "Salut, ton Uranus est en opposition à mon Saturne – ça veut dire qu'on va s'éclater ou s'exploser ?" Rires nerveux. Mais au moins, c'est plus original que "T'es de quel signe ? Emoji feu."
Chapitre deux : L'Édition Photo, ou Comment Devenir un Dieu Grec en Pixels.
Ah, mais l'amour n'est pas qu'une affaire d'étoiles – il faut briller sur les photos ! Alex, avec son selfie pris sous un éclairage de frigo (erreur classique), se tourne vers l'IA pour un relooking numérique. Des apps comme FaceApp ou Photoshop Express, boostées par l'IA, transforment son portrait en œuvre d'art. "Effacez ces cernes, ajoutez un sourire hollywoodien, et pourquoi pas un fond de coucher de soleil sur Mars ?" L'IA obéit : un clic, et voilà Alex avec des abdos virtuels et un regard de braise qui ferait fondre Pluton (qui n'est plus une planète, mais chut, on ne veut pas vexer les astrologues).
Hilarité garantie : Alex édite une photo où il pose avec son chat. L'IA, trop zélée, transforme le matou en tigre majestueux. Résultat ? Son match potentiel répond : "T'es dompteur de fauves ? Trop cool !" Et Alex de rétorquer : "Euh, non, c'est juste mon chat obèse sous stéroïdes numériques." Mais ça marche ! Les likes pleuvent comme des météorites. Attention cependant : trop d'édition, et vous risquez le syndrome du "catfish cosmique" – quand le date réel révèle que vos abdos étaient en fait des coussins de canapé mal cadrés.
Chapitre trois : Le Climax Catastrophique (avec Happy End Twist).
Armé de son profil astrologiquement optimisé et photoshoppé à la perfection, Alex part en quête. Premier date : une Vierge pragmatique que l'IA jurait compatible à 92%. Ils discutent horoscopes autour d'un café. "Ton Mars en Scorpion explique ton intensité," dit-elle. "Et ton filtre IA explique pourquoi tu ressembles à un mannequin Calvin Klein," réplique-t-il en riant. Mais oups ! Elle découvre l'édition photo. "C'est de la tricherie astrale !" Crise de rire, mais ils finissent par s'entendre : l'IA n'est qu'un outil, pas un oracle infaillible.
Morale de ce roman hilarant ? Chercher son âme sœur avec une IA astrologique et de l'édition photo, c'est comme mixer un cocktail cosmique : un zeste de destin, une dose de tech, et beaucoup de sel (pour l'humour). Ça peut foirer spectaculairement – imaginez matcher avec quelqu'un parce que vos Noeuds Lunaires s'alignent, pour découvrir qu'il/elle est allergique à votre signe solaire. Mais hey, dans l'univers infini des algorithmes, qui sait ? Peut-être que votre âme sœur est juste un swipe astral away.
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Dans une brume intemporelle, où les âmes errantes des philosophes antiques se mêlent aux ombres des vivants – et où, apparemment, même les sages grecs ont besoin d'un safe word –, Socrate apparut soudain dans une chambre obscure aux murs tapissés de cuir et de chaînes. L'air était chargé d'une tension palpable, rythmée par le claquement d'un fouet et les gémissements étouffés d'un homme attaché à une croix de Saint-André. Antoinette, une dominatrice aux cheveux noirs comme la nuit, vêtue d'une robe de latex moulante qui crissait comme un argument philosophique mal huilé, tenait fermement le manche d'un martinet. À ses pieds, Maso, son soumis, nu et entravé, tremblait d'anticipation et de douleur, son corps marqué de stries rouges qui ressemblaient vaguement à une carte routière athénienne.
Socrate, avec sa tunique usée et sa barbe grise – probablement pas lavée depuis l'Académie –, observa la scène sans jugement apparent, ses yeux pétillants de curiosité. Il s'assit sur un tabouret de fer, comme s'il était dans l'Agora d'Athènes, et commença à questionner, d'une voix calme et insistante.
Socrate : Ô noble Antoinette, toi qui commandes aux corps et aux âmes dans cet art que tu nommes BDSM, permets-moi de m'interroger avec toi. Je vois ici un homme, Maso, que tu soumets à la morsure du fouet. Dis-moi, où réside le Beau dans cette pratique ? Est-ce dans la symétrie des marques sur sa peau, ou dans l'harmonie de la souffrance consentie ?
Antoinette, sans interrompre son geste – elle abattit le martinet sur les cuisses de Maso, provoquant un cri rauque qui fit sursauter même le philosophe –, répondit avec un sourire énigmatique, ses yeux verts fixés sur Socrate. Elle ajouta une pointe d'humour fin, comme un fouet qui chatouille l'esprit.
Antoinette : Socrate, le sage qui n'a rien écrit mais qui a laissé Platon faire tout le boulot, bienvenue dans mon royaume de velours et de fer. Le Beau, dans le BDSM, n'est pas dans tes statues grecques idéalisées – celles qui ont l'air d'avoir abusé des stéroïdes divins. Il naît de l'équilibre entre domination et soumission, entre le contrôle et l'abandon. Regarde Maso : ses marques ne sont pas des blessures, mais des poèmes tracés sur la toile de sa chair, un peu comme tes dialogues, mais avec moins de pages et plus de piquant. Et toi, Maso, qu'en dis-tu ? Parle, même si ta voix tremble – ou chante, si tu préfères l'opéra tragicomique.
Maso, haletant, les poignets attachés haut au-dessus de sa tête, leva les yeux vers Socrate. Son corps ruisselait de sueur, mais son regard portait une lueur de clarté inattendue, comme s'il avait trouvé l'illumination au bout d'un martinet.
Maso : Maître Socrate... la douleur... elle est belle parce qu'elle me dépouille. Sans elle, je suis prisonnier de mes masques quotidiens. Ici, sous le fouet d'Antoinette, je me sens nu, vrai. Le Beau est dans cette nudité de l'âme – et franchement, c'est plus excitant qu'une toge mal ajustée.
Socrate hocha la tête, pensif, tandis qu'Antoinette ajustait une pince sur le torse de Maso, lui arrachant un gémissement profond. Elle ne put s'empêcher d'ajouter, avec un clin d'œil malicieux :
Antoinette : Attention, Socrate, ne te pince pas les doigts en philosophant. Ces pinces sont pour les âmes aventureuses, pas pour les barbes pensives.
Socrate : Intéressant. Mais dis-moi, Antoinette, où se trouve le Bien dans tout cela ? Le Bien, selon moi, est ce qui élève l'âme vers la vertu. Or, la souffrance n'est-elle pas un mal, un obstacle à la sagesse ? Comment le Bien peut-il naître de la chaîne et du cri ?
Antoinette, avec une grâce féline, s'approcha de Maso et caressa doucement sa joue rougie, contrastant avec la sévérité de ses actes. Elle répondit en fouettant à nouveau, précisément, comme un sculpteur taillant le marbre – ou un philosophe taillant dans le vif du sujet.
Antoinette : Le Bien, Socrate, n'est pas dans l'absence de douleur, mais dans le consentement et la confiance. Dans le BDSM, le Bien réside dans le contrat invisible entre nous : je domine, il se soumet, et ensemble nous explorons les limites de l'humain. Ce n'est pas une tyrannie, mais une dialectique, comme tes dialogues – sauf que les miens finissent souvent par un "merci, Maîtresse" au lieu d'un hemlock. Maso, n'est-ce pas le Bien que tu ressens quand je te pousse au bord du vide ? Ou préfères-tu que je te pousse littéralement ?
Maso : Oui, Maîtresse... et Socrate, le Bien est dans la catharsis. Chaque coup me purge de mes peurs, de mes doutes. C'est comme si le fouet ouvrait des portes en moi, révélant une force que j'ignorais. Sans cela, je serais faible, enchaîné par la société. Ici, je suis libre dans mes chaînes – et au moins, ces chaînes-là ne me forcent pas à boire du poison pour mes idées.
Socrate se leva, marchant lentement autour de la croix, observant les tremblements de Maso comme s'il étudiait une énigme – ou un puzzle un peu trop serré.
Socrate : Ah, la liberté dans les chaînes ! Voilà un paradoxe digne d'Athènes. Mais approfondissons : la douleur peut-elle révéler ou accoucher une âme, comme la maïeutique accouche les idées ? Dans ma méthode, je questionne pour faire naître la vérité de l'interlocuteur. Toi, Antoinette, utilises-tu la souffrance comme une sage-femme de l'âme ? Maso, sens-tu ton esprit s'éveiller sous les coups ?
Antoinette posa le martinet et attacha un collier plus serré autour du cou de Maso, le forçant à lever la tête. Elle parla avec une intensité philosophique, mais glissa une touche d'ironie subtile, comme un fouet enveloppé de soie.
Antoinette : Exactement, Socrate. La douleur est ma maïeutique moderne – version 2.0, avec des accessoires en option. Dans le BDSM, elle n'accouche pas seulement des idées, mais de l'âme elle-même. Elle brise les illusions, force l'ego à capituler, et révèle l'essence pure. Regarde Maso : avant moi, il était perdu dans le bruit du monde, comme un philosophe sans auditoire. Maintenant, chaque séance l'accouche de lui-même, plus fort, plus conscient. La souffrance, consentie, n'est pas destruction, mais renaissance – et bien moins salissante qu'un accouchement traditionnel, je t'assure.
Maso : Socrate... oui, elle accouche mon âme. La douleur me vide, puis me remplit de lumière. C'est comme plonger dans le Styx pour en ressortir invulnérable – sans le talon d'Achille, espérons-le. Sans Antoinette, je serais une ombre ; avec elle, je suis vivant, éveillé. La souffrance révèle ce qui est enfoui : le courage, l'humilité, l'amour même – et parfois, un bleu inattendu.
Socrate sourit, ses yeux brillants d'une sagesse éternelle, amusé par ces joutes verbales pimentées.
Socrate : Fascinant. Dans cet art du BDSM, je vois un écho de mes propres quêtes : la recherche du Beau dans l'harmonie des opposés, du Bien dans la vertu consentie, et de la vérité par la confrontation. Peut-être, Antoinette et Maso, êtes-vous des philosophes du corps, des accoucheurs d'âmes par le feu de la sensation. Mais dites-moi, si la douleur accouche l'âme, quel est l'enfant qui naît de cette union ?
Antoinette, libérant légèrement les entraves de Maso pour qu'il puisse s'agenouiller, répondit en le caressant tendrement, avec une dernière pointe d'humour fin comme une lame bien aiguisée.
Antoinette : L'enfant, Socrate, est la plénitude. Une âme libérée des chaînes invisibles de la peur, prête à embrasser le monde avec authenticité. Dans le BDSM, le Beau, le Bien et la Vérité se fondent en une extase philosophique – et si Platon était jaloux, il pourrait toujours venir tester une séance. Après tout, qui sait, peut-être que la caverne allégorique avait besoin d'un peu plus de latex.
Maso : Et cet enfant, c'est moi... renaissant à chaque séance – et prêt pour la prochaine, Maîtresse.
Socrate, satisfait et un brin espiègle, s'effaça dans la brume, laissant derrière lui un écho : "Connais-toi toi-même, même dans la douleur – et n'oublie pas de rire un peu." La séance continua, plus profonde, imprégnée de sagesse antique et d'un humour qui chatouillait l'âme.
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A mon avis, Socrate doit avoir une endurance exceptionnelle sous le fouet. Juste un ressenti de domina ...








