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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Pendant le confinement, c'était plus pesant, déplacements réduits, visites triées et limitées, mes Maîtres qui ne rentrent plus à midi... Je me trouve très seul, je m'occupe de la maison ok mais j'en ai fait le tour, tout est propre, rien ne traine, il y a bien le petit jardin mais là aussi c'est bronzer tout seul.
-La seul vraie distraction c'est quand un nouveau livreur vient à la maison, voir sa tête quand j'ouvre la porte c'est un vrai bonheur. Les premières fois j'avais un peu honte d'être nu, c'est la règle ici 24/24,7/7, maintenant j'éprouve un petit plaisir à dérouter les livreurs. La majorité reste là, bouche ouverte parfois 2 minutes sans sortir un mot, peu se barre en courant mais reviennent ensuite pour livrer.
Ceux que je préfère ce sont ceux qui après la surprise, demandent si je veux bien les sucer ou si j'accepte de me faire prendre, si ils peuvent entrer tout de suite...
-Mes Maîtres n'ont pas interdit, juste exigé la prudence.
-Alors si le gars me plait je le fait entrer. Là chacun sa façon, en majorité, ils ouvrent la braguette et attendent la queue à l'air, un petit nombre se déshabillent de suite et voudraient engager directement la chose au bon endroit. Plus rare ceux qui demandent un préservatif.
-Voilà pourquoi j'ai toujours envie de me faire livrer quelque chose...
-C'est surtout pour me distraire et aussi parce que j'aime ça, je suis une vraie salope, la pute de la maison.
-Dans le quartier, certains voisins on remarqué la chose, j'ai trouvé très cool de leur part de venir le dire, j'ai bien compris que c'était dans l'espoir d'en profiter un peu, j'ai jamais caché ces aventures avec les voisins à mes Maîtres ça les fait souvent rire... "Ah on ne pensaient pas cela du voisin en face..."
-J'ai eu droit à la visite, un mercredi, du fils des amis de mes Maîtres qui habitent 3 villas plus loin, les parents sont souvent invités pour des soirées. Il nous a vu ou entendu...?
-C'est peut-être idiot de s'amuser de ça mais j'ai pas beaucoup d'autres solutions en ce moment, si ce n'est d'écrire pour raconter ces petites histoires qui émaillent ma nouvelle vie d'esclave soumise...
Bisous à tout le monde et soyez prudent.
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385 - 25 Puceron.
Je sais qu'on va me dire "Tu es dure avec les esclaves, si on ne leur permet pas de se laver, elles puent." D'accord avec vous, faudrait les laver tous les jours et pas seulement avant de les vendre. C'est pas moi qui suis dure, c'est eux.
Les filles sont des princesses, mais elles doivent pisser et se laver de temps en temps. On sort du hangar. Tex me dit :
— Ça te dit de voir notre repaire secret ?
Non ! Je veux être avec lui... comme des amoureux et qu'il me donne son chewing-gum à terminer... Oui, je suis une fille romantique, mais comment dire "non" à un homme qui vous fait mouiller ? D'autant plus qu'il ajoute :
— Il y a 3 copains et 6 esclaves.
Ça, c'est traître... Il ajoute :
— On te fera membre de notre petit clan, mais tu ne dois en parler à personne.
— Même pas à Summer ?
— Elle en fait partie.
Bien sûr, j'accepte. D'ailleurs, les promenades romantiques sur la plage, c'est le bon moyen pour avoir du goudron sur les plantes des pieds ! On va à l'arrière d'un autre hangar dissimulé dans la végétation. Il y a un grand poulailler avec des poules, des canards et des volailles dont je ne connais pas la marque, malgré que je vienne de la campagne. Il n'y a pas de dindons, heureusement. Petite, je me suis fait attaquer par un dindon, pour de vrai, et c'est vraiment méchant !
Avec Tex, j'ai peur de rien. Les volatiles ont un dortoir pour pioncer et faire la sieste. C'est là que Tex déplace une plaque de contreplaqué, dégageant un petit boîtier avec des chiffres et des lettres. Il tape "slave 69" et le panneau coulisse. On se croirait dans un roman d'espionnage. D'accord, la porte coulissante est au fond d'un poulailler et pas dans une grotte dissimulée par une cascade, mais ça me plaît quand même.
On entre dans une petite pièce très sombre, tandis que le panneau se referme derrière nous. Je me colle à Tex, oui, j'ai quand même un peu peur. Ben, il fait noir et il y a sûrement des araignées : ça fait beaucoup étant donné que j'ai peur des deux. Tex ouvre une porte et là on se retrouve dans un bordel de Las Vegas. Une assez grande pièce avec une table, des chaises, plusieurs divans-lits, une lumière douce et de la musique. "Dua Lupa", je crois. Il y a 3 gardes que je connais et 6 esclaves. Elles sont mixed, c'est-à-dire de différentes couleurs, sauf deux qui se ressemblent comme ma fesse droite ressemble à ma fesse gauche, sans doute des sœurs jumelles. Tex dit :
— Chers amis, voici un nouveau membre.
Les gardes me souhaitent la bienvenue et m'embrassent. Ensuite les esclaves viennent me déshabiller et embrassent tout ce qu'elles découvrent, y compris mes pieds... j'aime... Tex dit à ses amis :
— Je la chauffe un peu, puis on jouera ensemble.
Tex se déshabille. Quand il est nu, il me prend contre lui et m'embrasse. Ce n'est pas facile, vu notre différence de tailles... Il recule et se laisse tomber sur un lit en me tenant toujours contre lui. C'est mieux, je peux me mettre à hauteur de sa bouche. On s'embrasse, il a un goût de menthe. Une bouche fraîche, c'est très important pour moi... J'adore sentir sa peau contre la mienne. Quand notre baiser se termine, ma bouche descend de son cou vers les poils de son torse. Ses poils me chatouillent le nez. Il a une odeur virile et animale. Ma chatte et moi, on raffole de ce genre d'odeurs, surtout quand on est excitées... Ma bouche descend sur les petites bosses des abdos, jusqu'aux poils de son pubis d'où émerge son sexe dressé, frémissant. Une pucelle serrerait les fesses d'appréhension en voyant ses dimensions, mais je ne suis plus pucelle du tout et ma chatte rêve de pénétration énergique en le voyant. Un peu de patience Pussy, on va vérifier son goût d'abord. Ma bouche remonte le long de la hampe du sexe jusqu'au bout tout humide d'intérêt pour moi. Une belle bite me rend lyrique. Je fais coulisser la peau qui recouvre le gland. Il est énorme mais attendrissant avec sa couleur rose pâle qui tranche sur la peau brune du ventre. Je hume le gland et le goûte à petits coups de langues. Il est sauvage mais très comestible. Tex me donne une claque sur les fesses en disant :
— Arrête de jouer, suce.
J'ouvre grand la bouche et le gland fait la connaissance de mes amygdales, ils sympathisent.
Bon, j'arrête de jouer, sinon je vais prendre une autre claque. Ma tête va et vient sur son sexe... Il me caresse la nuque, genre "tu es une bonne petite chienne".
Lors de soirées avec votre épouse, vous avez sûrement dû remarquer qu'elle ferme les yeux quand elle suce la bite d'un Monsieur. C'est ce qu'on fait toutes, sinon on louche, ce qui n'est pas glamour. Après l'avoir longuement léché, Tex me prend par la nuque et ôte sa bite de ma bouche en disant :
— Je vais te prendre en levrette...
J'ouvre les yeux et je m'aperçois que les gardes et leurs esclaves sont autour de nous. Mon Dieu ! C'est très gênant ! Mais non, je rigole, j'adore ça.
Je me mets à quatre pattes et je remue les fesses comme une chienne en chaleur. Tex vient se mettre derrière moi et il frotte son gland tout propre le long de ma fente mouillée. Ce qu'il ignore, c'est qu'il y a un piège : au moment où il passe à la hauteur de mon vagin, ma chatte l'aspire jusqu'au cou... Je veux dire jusqu'aux couilles. Il aurait bien voulu taquiner ma fente encore un peu, mais maintenant, il n'a plus qu'une solution : me baiser à grands coups de reins. Il me dit :
— Tu te crois maligne, mais tu vas jouir dans pas longtemps.
Je réponds :
— Toi... avant... moi.
Mon débit est un peu haché à cause de ses coups de reins. Il dit :
— Occupez-vous d'elle, les filles.
Quoi ? Obéissant à la seconde à la voix d'un de leurs Maîtres, les filles me sautent dessus comme... des anguilles. L'une d'elles se glisse sous moi et tandis qu'il me baise, elle colle sa bouche à mon clito. Ouch ! Deux filles viennent des deux côtés et sucent le bout de mes seins, tandis que deux autres lèchent la plante de mes pieds et sucent les orteils. La dernière vient contre moi et me souffle à l'oreille :
— Tu sens la grosse bite de mon Maître qui te défonce ?
Eh ! Mais elle me tutoie ! Elle continue :
— On se ressemble, mon Maître va nous échanger ce soir. Tu seras dans une cage à supplier qu'on ne te fouette pas et à sucer les bites de tous les gardiens.
C'est censé m'exciter, ça ? Hélas, oui... c'est trop ! Autant participer. Je dis à l'esclave :
— Embrasse-moi.
Quand sa bouche qui suce les bites de n'importe qui se pose sur la mienne, qui fait pareil, je jouis.... En poussant des petits gémissements de chienne... Tex tapote mes fesses en disant :
— C'est bon, petite ?
— Tricheur !
Il rigole. Comment voulez-vous résister à autant de stimulations ? Un des gardes me dit :
— C'était très beau, Ashley. Tu jouis comme une reine !
Oui, je sais, la reine d'Égypte. Je lui souris. Ils sont tous les trois autour de moi, les bites dressées vers moi. Je dis à Tex :
— J'avais envie que tu jouisses en moi...
— Les copains vont te baiser et ensuite, je jouirai en toi.
— Promis ?
— Promis. Tu veux une bière, d'abord ?
Un regard de Tex et une esclave m'apporte une bière fraîche. Ça fait du bien, je la vide en deux fois. Un des gardes vient se coucher sur le lit, Tex me prend sous les genoux comme si j'avais 3 ans et qu'il veuille me faire pisser. Il m'assied délicatement sur la bite de son copain. Il est nettement moins bien monté que Tex, je le sens à peine. Le suivant vient s'agenouiller derrière moi et il s'enfonce dans mon cul. Ouch ! Là, je le sens... Le troisième vient se mettre à genoux au-dessus de celui qui est couché, il lui caresse le visage avec ses couilles, mais ce sont des copains, alors, ça va. Je sais ce qu'il veut, évidemment : que je le suce...
Heureusement, il me reste le nez sinon j'aurais été complètement bouchée. On se synchronise bien : quand il y en a un qui sort de ma chatte, l'autre entre dans mon cul. Je veux jouir avec Tex, pas avec eux, alors je suce bien la bite qui est dans ma bouche et je contracte mon vagin et mon cul... Ça marche, celui qui est dans mon cul jouit le premier, suivi de près par son copain qui est dans ma chatte et enfin le troisième jouit dans ma bouche. C'est vrai qu'il y a une satisfaction à faire jouir rapidement les autres.
Tex dit :
— Les filles, nettoyez-moi cette jeune fille. Puceron, tu t'occupes de la chatte !
Les esclaves ont des noms marrants. Puceron est une belle brune, elle me dit :
— Si vous voulez bien vous accroupir au-dessus de ma bouche, Maîtresse.
Elle se couche par terre et je m'accroupis au-dessus de son visage, la chatte au-dessus de sa bouche. Je pousse et des bulles de sécrétions et de sperme mêlés font les délices de Puceron. Ou pas, mais on s'en fout, c'est une esclave.
Quand je me suis vidée en elle, elle met sa bouche sous mon anus et je pousse aussi. De l'air lui arrive en pleine figure, puis du sperme. Bon appétit, Puceron !
Voilà, je suis quasi propre et je me couche sur le dos. Tex vient sur moi. Je lève les jambes et croise mes chevilles sur ses reins. Tandis qu'il m'embrasse, il me pénètre. Voilà ce que je voulais. Qu'il me baise comme si j'étais une jeune mariée... ou une épouse amoureuse ou une jeune indigène sous son missionnaire. Pas que je souhaite que Tex m'épouse. Physiquement, il me convient, mais un garde, non merci. Je veux un mari riche, puissant, avec des propriétés pleines de pucerons, je veux dire d'esclaves... Tex baise bien et depuis que tout le monde est vacciné contre les MST, j'adore sentir un homme jouir en moi. Je vais aussi le taquiner et, tandis qu'il me baise à grands coups de reins, je crie :
— Puceron, viens lécher son cul.
— Oui Maîtresse.
J'écarte bien les fesses de Tex qui me regarde en souriant. Il me dit :
— Même avec la langue de Puceron dans le cul, tu vas jouir avant moi...
— Jamais de la vie.
— On parie ?
Merde, je ne veux pas parier avec lui. Surtout qu'il fait des mouvements tournants avec son sexe et ma chatte adore ça... Je réponds :
— Suite à un voeu, je ne parie... plus.
— Dégonflée.
— Je na suis pas... ooohh...
Il donne un bon coup de reins et se retourne sur le dos, moi toujours fichée sur sa bite. Il me colle à lui c'est à son tour d'écarter mes fesses en disant :
— Lèche son cul, Puceron.
Quel traître ! J'ai l'impression que la langue de puceron investit complètement mon derrière. La langue de cet insecte est magique... Évidemment, je gémis et je jouis comme n'importe quelle écolière (de 18 ans) devant le show de son chanteur préféré. Dès que je jouis, il ouvre en grand les vannes et m'inonde. Son jet puissant arrose le fond de mon vagin. Je reste sur lui, jusqu'à ce qu'il me dise :
— Tu veux que Puceron te nettoie ?
— Non... Je veux garder ton sperme en moi.
Il m'embrasse... Ça devient tendre entre nous... mais c'est un garde et moi une future star...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Valeri a toujours aimé l'armée et la guerre. Depuis tout petit il ne rêve que d'aller se battre sur tous les fronts, entendre les obus éclater, les chars rugir comme des fauves d'acier. La chute de l'Union Soviétique a été un traumatisme pour lui. Quel con ce Gorbatchev a croire les balivernes de l'occident. Quel ivrogne cet Eltsine à laisser dépecer l'héritage de Staline. Il s'est engagé tôt et a demandé à rejoindre les forces spéciales, les redoutables spetnaz. Il a combattu partout, Tchétchénie, Ossétie, Syrie. A présent il est toujours en première ligne en Ukraine. Il est bardé de décorations et ses hommes l'appellent le loup de l'Oural. Il adore se glisser seul et de nuit dans les lignes ennemies, repérer les positions adverses et les signaler à l'artillerie qui écrase tout ensuite dans un déluge d'obus.
Il aime joindre l'utile à sa passion pour la guerre. Il drague les ukrainiennes pro russes de l'autre coté de la ligne de front et part les retrouver de nuit. Il apporte toujours du caviar et de la bonne vodka. Le danger lui donne toujours envie de baiser.
Il fait nuit noire. il se glisse entre les arbres tel une ombre. c'est un as du camouflage. Il adore le no man land, cette zone étrange et si paisible parfois. Il est déjà sur la ligne des ukrainiens. il repère les sentinelles, observe et se glisse. il est bien le loup de l'Oural, il voit mais lui reste invisible. Il signale les coordonnées précises de toutes les positions qu'il observe, là un nid de mitrailleuses, là un obusier, là une batterie anti char. Dans quelques heures, ses potes de l'artillerie feront le travail de nettoyage à l'obus de 122 mm. Il est temps pour lui de rejoindre la belle Elena.
Ce doit être là, dans cette maison. Il se méfie. Une fois les commandos adverses lui ont tendu un piège avec une fausse annonce sur Tinder. Visiblement ils voulaient le choper et lui couper les couilles. Mais bon, on ne coince pas comme cela le loup de l'Oural. Il les a tous envoyé dans l'Hadès avec son noir couteau plus coupant qu'un rasoir.
Personne, il se glisse dans la maison, Elena est là, nue sur son lit. Il pose sa main sur sa bouche. Elle ne se débat pas. Elle offre sa croupe généreuse. Valéri deteste les péliminaires. Il ouvre son pantalon, sort son gros sexe tendu et il la sodomise d'un coup. Elena voudrait hurler tant la douleur est forte mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent ...et c'est chose étrange, comme une ombre de mort sur elle et au plus profond d'elle. La douleur se dissipe. Elle s'offre et s'ouvre. Les coups de pilon lui arrachent des ondes de plaisir. elle se pisse dessus. Cde n'est pas une femme fontaine, c'est une femme piscine. Valéri explose de plaisir dans ses reins.
Pas un mot. ils boivent la vodka et dégustent l'excellent caviar. Puis Valéri la prend debout, toujours par derrière. Il adore sodomiser une nana au joli cul bien bombé. Il explose encore. Il l'a reprend a quatre patte sur le parquet, toujours dans les fesses. un vrai marteau piqueur. Il jouit encore lorsque les premiers obus russes tombent sur les positions qu'il a signalées. Une douce musique pour lui.
- tu peux brailler maintenant.
Elena ne se prive pas et hurle ses orgasmes. Les bombes qui pleuvent, la mort qui rode, cela l'excite beaucoup. Valéri a prévu de rester toute la journée avec elle. A présent il fait jour. l'artillerie s'est tue. On entend les cris et les ambulances. Elena se love contre son amant.
-fouette moi fort, j'aime cela.
Valeri ne s'est pas fait prier. Il attache Elena avec des câbles électriques et prend le temps de bien la rougir. C'est vraiment une jeune femme superbe. Le danger omniprésent les excitent au plus au point.
Là nuit est de nouveau là. Il est temps pour le loup invisible de l'Oural de repartir. Il laisse un paquet de roubles sur la table de nuit d'Elena. Ce n'est pas une prostituée, mais Valeri est généreux, surtout avec les fonds spéciaux.
-A bientôt Elena, et reste prudente. Dans quelques jours nous viendrons te libérer de ces $£"# urkrainiens shootés à la propagande occidentale. Patience, nous sommes en train de réparer les conneries de Gorbatchev et de l'ivrogne.
La morale de cette histoire c'est qu'un ivrogne sur le dos d'un faible, c'est pleurs, larmes amères et pluie de 122mm.
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Bonjour, je suis nouveau sur ce site, et ayant vu qu'il est possible d'échanger des textes... voici un conte que j'avais publié dans mon seul roman BDSM "La soumission" (je suis éditeur-artisanal, certes, mais aussi écrivain)... alors voilà :
Tout le bien
—Denis—
ps : la photo me représente... elle date cependant de 1995 (sourire)
LA CARESSE DE L’ESPRIT
Conte érotico-homosexuel SM
C’était l’autre jour, en pleine réflexion pour savoir quel prochain livre j’allais éditer. Un verre de jus de citron à portée de main, ma tétine aux lèvres... Il faut vous dire que j’ai arrêté de fumer depuis près de deux mois, et que pour avoir quelque chose en main ou que je puisse porter à la bouche, j’utilise une ancienne pipe, évidemment vide ; et évidemment je l’appelle “ma tétine”. Bref, dans ce grand moment de réflexion intense, dans un silence total...
J’ai senti une main se glisser sous mes fesses. Quand je dis “une main”, c’était une caresse, donc forcément d’une main, mais une sensation de caresse.
Ma pensée c’est immédiatement tournée vers... Didier. Mon ancien amour, mon ancien Maître, du temps où j’ai vécu quelques envies. Quinze ans ensemble. Le crabe. La mort. La douleur. L’espoir. La vie.
Et là de nouveau, lui. Ce n’était pas la première fois que je sentais sa présence contre moi. À chaque fois c’est un frisson de joie et de plaisir, comme une lumière invisible, un vent qui ne souffle pas, une respiration silencieuse. Il est présent, ici, et pas là, il est en moi, contre moi, à côté de moi, au-dessus de moi.
Et là dans mon fauteuil je sens l’un de ses doigts s’infiltrer dans l’interstice de mes fesses. Je me cale au fond du fauteuil pour mieux le sentir. Et soudainement une main contre ma poitrine, des doigts qui prennent mon téton et le tourne, le retourne.
Je suis complètement lové.
Extase.
Il me fait ce que j’ai toujours adoré chez lui avant de me retrouver à genoux entre ses cuisses, sa queue dans la gorge et ses mains prenant mes cheveux pour me forcer, ou me donner l’impression d’être forcé. Mais là, juste cette sensation de doigt qui n’existe pas. Cette sensation d’appartenir et de se laisser porter par la tendre jouissance.
Mes tétons, tout durs, sont la proie de quatre mains, de huit mains, de centaines de doigts. Je me laisse totalement faire.
Sans m’en apercevoir vraiment, je sais que je dois me mettre à genoux. Délaisser mon fauteuil pour lui en laisser la place. Ma tête reposée sur le bord du fauteuil, et des caresses dans mes cheveux, la sensation d’une cravache glissant sur mes fesses. Comme il y a dix ans. Je n’ai pas besoin de baisser mon pantalon aujourd’hui, comme je le faisais autrefois pour m’offrir à son plaisir. Puisqu’il est partout, devant moi assis et tendre, derrière moi debout et sadique.
Je sais que je dois m’offrir, je retrouve cette sensation d’abandon consenti, de don entier et de confiance totale. Je lui appartiens.
Je sens la cravache fouetter mon cul. J’écarte les cuisses pour mieux m’offrir... c’est si bon de retrouver ce bonheur.
Au même moment une queue pénètre mes lèvres et s’enfonce dans ma gorge, je sens mes cheveux pris par une main forte et puissante. Je me laisse faire. Ce sexe est énorme et me sonde au plus profond. Mais j’adore ça. Je me laisse simplement porter. Mes fesses, la proie de son sadisme et ma gorge la proie de son envie.
Je ne sais combien de temps cela a duré, mais un long jet chaud et humide s’est enfoncé en moi. Un frisson de joie m’a pénétré... la lumière invisible s’est éteinte.
Je suis resté comme ça durant de longues minutes. À genoux, la tête posée sur le bord du fauteuil, les jambes écartées, les bras ballants, comme une poupée désarticulée.
J’avais retrouvé mon homme, mon Maître, mon amour, pour un moment de joie et de partage. J’étais heureux de son passage, que son esprit me visite et qu’il me donne ce que je n’ai plus : Lui.
C’est avec un grand sourire satisfait que je me suis remis au travail... et si je publiais “Histoires grotesques et sérieuses” d’Allan-Poe ?
FIN
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Apprenez le plaisir de la patience
Quelle drôle de phrase ! Pour moi, de prime abord antinomique. Mais à bien y réfléchir ... C'est quoi la patience ? D'après le "Petit Robert" c'est l'aptitude de quelqu'un à persévérer dans une activité, un travail de longue haleine sans se décourager. Bien ! A savoir si j'y prends du plaisir ? Toujours d'après le "Petit Robert" le plaisir est une sensation, une émotion liée à la satisfaction d'un désir, d'un besoin.
Aïe ! sans se décourager ! j'avoue je suis pugnace mais je passe également par une échelle d'émotions diverses et variées ... doute, abattement, colère. Je peste, je fulmine, j'enrage de me sentir en échec. Et puis revient la force, le courage, l'espoir, galvaudés par le plaisir de la réussite finale. Parce qu'il est aussi là dedans le plaisir, dans la constance de cette ferme volonté à tenir ses engagements , la fierté que l'on retire dans l'aboutissement. Ne dit on pas qu'à vaincre sans péril on triomphe sans gloire ?
Souvent quand on parle de patience, on parle de cette capacité à se positionner dans l'attente avec calme, à se maîtriser face à une attente également. Elle permet donc de relativiser une situation , de l’appréhender de façon positive, et d'utiliser ce temps d'attente de façon constructive , d'y prendre du plaisir. Il semblerait donc que la patience soit une belle valeur pour atteindre une certaine forme de sagesse. Comment ? Je pense que cela
s'apprend et se cultive. Il est question là de travail sur soi même.
Le problème de l'impatience tient dans le fait qu'il vient d'un élément extérieur à moi, sur lequel je n'ai aucun contrôle (encore lui !). Le seul pouvoir que j'ai c'est d'agir sur moi même, de changer mon regard, ma perception sur ce qui arrive, sur ce que je vis et comment je le vis. En effet j'ai toujours le choix de faire un pas de côté par rapport à mon schéma mental et réaliser que cet imprévu, cette épreuve qu'on m'impose me donne l'occasion de faire autre chose, de corriger ma perception et d'analyser toutes les options qui s'ouvrent à moi. Peut être que pour finir ce temps ne m'est par retiré, mais plutôt accordé, gage à moi de l'utiliser de façon utile. De m'octroyer ce temps pour faire quelque chose qui me plait. Un délai de réflexion, d'introspection pour mûrir et corriger ma position de soumise, un temps où je m'invente auprès de vous, où tout est possible.
Alors il temps que je ferme les yeux, que je pose mes pieds au sol et que je m'ancre dans le plaisir de la patience !
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Bonjour à vous.
Je crée cet article afin de regrouper les conseils de bases que je donne à chaque fois, ils semblent logiques mais pas forcément évidents quand on commence dans ce milieu.
1 Nous sommes avant tout des êtes humains et donc des femmes et des hommes avant d’être des Maîtresses et des soumis. Respectez vous et vous serez respecté. Une femme Dominatrice est avant tout attirée par l'homme que vous êtes et ensuite par le soumis. En faisant la carpette vous n'attirerez pas grand monde car il n'y a pas d'intérêt d'avoir du pouvoir sur une personne qui dit oui à tout au bout de 5 minutes de conversation.
2 Ne JAMAIS appeler une femme Dominatrice Maîtresse sans son accord, vous n'êtes pas son soumis, cette place se mérite et c'est elle qui décidera si vous en digne ou pas. Donc TOUJOURS Madame ou Dame Y, si jamais elle souhaite que vous l'appeliez autrement elle ne se gênera pas pour vous le dire.
3 Quand vous souhaitez contacter une femme Dominatrice, faites attention à bien lire son annonce ou son profil (que ce soit ici ou ailleurs) ainsi qu'ajouter un mot expliquant votre démarche. Vous augmenterez radicalement vos réponses positives au dialogue de cette manière. Une demande d'amie sans mot est refusée à 95% quand on ne connait pas la personne. Veuillez aussi à correspondre un minimum à la recherche de la personne que vous voulez contactez.
4 Pour complétez le 3, quand vous faite une demande contacte et qu'elle est acceptée, ne fait pas une liste de pratique que vous voulez qu'une femme Dominatrice vous fasse "Je cherche une Maîtresse pour qu'elle me fouette, me sodomise tout en m'attachant, etc..." Quel intérêt pour la Maîtresse en question de le faire vu que vous avez tout prévue et qu'elle n'a au final qu'à se soumettre à votre plaisir. N'oubliez jamais qu'en tant que soumis vous êtes la pour son plaisir et non l'inverse. Il y a une ENORME différence entre "j'aime ceci et je suis curieux à propos de ça" et "je veux qu'on me fasse ceci comme cela". Vous avez le droit d'avoir vos préférences et vos kinks mais pas de les imposer à l'autre, soyez obéissant et dévoué et vous les vivrez, car les femmes Dominatrices ne sont pas des monstres, justes des femmes qui aiment diriger les choses et les faire à leur façon.
5 Dernier conseil basique, évitez tout ce qui est photos de parties intimes et ce genre de choses. Ce n'est pas très élégant et ce n'est pas ce que l'on souhaite savoir sur vous dans un premier temps. Si jamais l'autre est intéressée par cela alors vous lui enverrez les images en privé mais ne les mettez pas à la vue de toutes et de tous.
Voilà si vous suivez ces conseils de bases, vous augmenterez grandement vos chances de dialogues et de rencontres car beaucoup trop de soumis font les erreurs listées plus haut et donc vous sortirez du lot. De ce fait messieurs calmez vos ardeurs, pensez avec votre esprit et votre cœur et non avec votre entre jambes, soyez courtois et vous même. En faisant cela vous verrez que votre situation va grandement s'améliorer.
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Un peu désoeuvré ce jour-là, je suis arrivé presque par hasard dans ce club libertin. Un gang-bang y était organisé, ce que j’ignorais totalement. Je n'avais jamais participé à ce genre d'évènement. Un groupe d’hommes est déjà là. La Déesse arrive juste après moi. Pourquoi la Déesse ? Ce moment m’a semblé beaucoup plus qu’une simple séance de baise. Une sorte de rite religieux sacré, acte sexuel collectif en l'honneur d'une divinité, réminiscence inconsciente de temps très anciens. Elle est aussitôt entourée, pressée, touchée, palpée même. Elle a une trentaine d’années, elle est brune, et très belle. Très peu de paroles sont échangées. Elle se dégage doucement, en souriant, et se dirige vers la douche. Le groupe l’y rejoint. Il s’agglutine à la vitre transparente. J’ai suivi le mouvement. Sans comprendre comment, et sans avoir bousculé personne, je me retrouve devant la porte vitrée. Elle l’entrouvre et m’invite à entrer avec elle. J’ai donc l’immense privilège de passer ce moment avec une Déesse devant une trentaine d’hommes envieux. Peut-être a-t-elle remarqué ma timidité, ma distance. Cela me met de bonne humeur. J’ai envie d’entrouvrir la porte de la douche et de lancer june plaisanterie : « Vous ne pouvez pas rester là, Messieurs, c’est une soirée privée. » Quelque chose me dit que ce serait mal venu. Ils sont l’air très sérieux. Et sans doute ion peu jaloux.
Puis nous entrons dans une grande pièce sombre. Tout le monde est nu maintenant, sauf un homme chargé d’escorter et protéger la Déesse. Au milieu de cette pièce se trouve une table, une sorte d’autel. L’homme habillé nous invite à nous disposer en cercle à bonne distance du centre de la pièce. La Déesse entre à son tour et entreprend de nous saluer un par un en nous claquant trois bises à chacun, comme si nous étions bons copains, ce qui ne manque pas de me surprendre. Puis elle s’allonge sur l’autel. Le maître de cérémonie nous donne quelques consignes élémentaires : un seul à la fois, pas de brutalités, attendre son tour, tout le monde pourra passer … Une file d’attente se forme. Le silence est lourd, l’instant semble solennel, comme lors d’une cérémonie religieuse primitive. Chacun des hommes de la tribu va honorer la Déesse. Je tente une blagounette : « Ya la queue ! » A part un ou deux sourires discrets, je ne gagne que des regards réprobateurs. Je comprends que nous ne sommes pas dans la simple gaudriole. Quelque chose ici relève du sacré.
Le premier d’entre nous est invité à s’avancer et pénètre la Déesse. Il jouit en quelques minutes, un autre le suit. Parmi la trentaine d’hommes présents, certains sont jeunes et vigoureux. Ils reviennent aussitôt dans la file d’attente, prenant la place des moins téméraires. La Déesse n’intervient pas, elle semble même apprécier ces resquilleurs plus virils que les autres. Le gardien du temple n’intervient pas non plus, tant que la vestale ne le lui demande pas. Dans un silence religieux seulement troublé par les ahanements des accouplements, les hommes se succèdent. La pénétration se fait toujours de la même façon, l’homme debout devant les jambes écartées de la femme enfonce son sexe dans le sien, doucement d’abord, puis de plus en plus fort, jusqu’à la jouissance. Pas de préliminaires. On entend distinctement la respiration de la femme à chaque coup de boutoir, sans qu’on puisse savoir si elle en tire un quelconque plaisir. Soudain, elle s’arrête. Elle veut un coussin. Son garde du corps se précipite. Ses désirs sont des ordres.
Alors que les plus acharnés passent plusieurs fois – il se murmure dans l’assemblée que ceux-là prennent des "substances" – un des hommes éjacule très vite, avant même d’entrer dans le Saint des Saints. La Déesse bienveillante lui dit doucement: « C’est compliqué, n’est-ce pas ? » Puis murmure quelques mots de réconfort à son oreille. Un autre, obèse et doté d’un micro-pénis, a du céder plusieurs fois sa place aux mâles alpha, mais, persévérant, il finit par se glisser jusqu’à la fente de la déesse qu’il parvient enfin à honorer. Les plus âgés d’entre nous ont été priés de passer les derniers, sans doute pour éviter une attente trop longue aux plus jeunes. L’un d’eux a visiblement dépassé les 80 ans. Son effort est très long, et tout le monde retient son souffle. Enfin, il parvient à ses fins. Un mouvement d’approbation admirative parcourt l’assemblée. On entend même quelques applaudissements que la Déesse interrompt d’un geste de la main et d’un regard qui recommandent la décence. Lorsqu’est venu mon tour, elle a inscrit mon numéro de passage sur ma poitrine, au-dessus du cœur, avec un tube de rouge à lèvres à paillettes. C’était le numéro 16. Elle m’a murmuré en souriant : « Si tu veux, tu peux revenir ». Je ne sais pas pourquoi, j'en ai éprouvé une immense fierté. Je n’ai pas repris ma place dans la file d’attente. J'ai attendu le lendemain matin pour me doucher, juste pour garder ce chiffre magique un peu plus longtemps au creux de mon épaule. J’étais initié.
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De son appartenance à sa Maitresse, elle s'apercevait qu'il lui fallait un constant effort
d'attention pour se conformer à cette discipline, dans l'espoir secret de la satisfaire enfin.
Charlotte passa enfin dans la salle de bain, se fit couler un bain, vérifia la température.
Tout en traversant la chambre en direction de la coiffeuse, elle ôta ses boucles d'oreilles
en or. Dans sa trousse à maquillage, elle prit un rasoir et une savonnette, puis se déshabilla
devant la commode. Depuis qu'elle était jeune fille, on lui disait qu'elle était ravissante et
qu'elle possédait un charme ravageur. Elle s'observa dans la glace: un corps ferme et bien
proportionné, des seins hauts placés et doucement arrondis, le ventre plat et les jambes
fines. De sa mère, elle avait hérité les pommettes saillantes, la peau toujours hâlée et les
cheveux bruns. Mais ce qu'elle avait de mieux était bien à elle, ses yeux, des yeux comme
les vagues de l'océan ou le ciel, d'un bleu azur, se plaisait à dire Juliette. Dans la salle de
bain, elle posa une serviette à portée de main et entra alors avec plaisir dans la baignoire.
Prendre un bain la détentait. Elle se laissa glisser dans l'eau. Quelle agréable journée. Elle
avait le dos crispé, mais elle était contente d'avoir terminé ses courses si rapidement. Elle
se couvrit les jambes de mousse, entreprit de les raser, songeant alors à Juliette, à ce qu'elle
penserait de son comportement. Elle le désapprouverait sans aucun doute. Elle resta encore
un moment allongée dans le bain, avant de se décider à en sortir. Elle se dirigea bientôt vers la
penderie pour se chercher une robe. La noire avec un décolleté un peu plongeur ? Le genre
de toilette qu'elle portait pour des soirées. Elle la passa et se regarda dans le miroir, se tournant
d'un coté, puis de l'autre. Elle lui allait bien, la faisait paraître encore plus féminine. Mais non,
elle ne la porterait pas. Elle en choisit une moins habillée, moins décolletée, bleu clair, boutonnée
devant. Pas tout à fait aussi jolie que la première, mais mieux adaptée aux circonstances. Un peu
de maquillage, maintenant un soupçon d'ombre à paupière et de mascara pour faire ressortir ses
yeux. Une goutte de parfum, pas trop. Une paire de boucles d'oreilles, des petits anneaux. Elle
chaussa des talons hauts que Juliette exigeait, comme elle exigeait qu'elle soit nue sous sa robe,
d'autant plus nue qu'elle était toujours intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou
à ceux des inconnues auxquelles elle la destinait. Depuis son infibulation, elle ne portait plus
aucun sous-vêtement, la culotte la plus légère irritait sa chair et lui faisait endurer de véritables
tourments. Sa Maîtresse l'obligeait à en porter lorsqu'elle n'avait pas été assez docile pour la punir.
Il fallait que Charlotte soit sans le moindre obstacle constamment et immédiatement toujours accessible.
Elle portait fièrement deux anneaux d'or sur ses petites lèvres, signe de son appartenance à sa Maîtresse.
Les marques imprimées sur son pubis, étaient creusées dans la chair. Rien que de les effleurer, on pouvait les
percevoir sous le doigt. De ces marques et de ces fers, elle éprouvait une fierté insensée presque irraisonnée.
Elle subissait toujours les supplices jusqu'au bout, faisant preuve en toutes circonstances d'une abnégation totale.
Qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté. Mais elle pensait
que sa Maîtresse cherchait moins à manifester son pouvoir qu'à établir une tendre complicité, de l'amour avec
les sensations vertigineuses en plus. Charlotte n'avait jamais compris, mais avait fini par admettre, pour une
vérité indéniable, l'enchevêtrement contradictoire de ses sentiments. Toujours docile, elle aimait le supplice, allant
jusqu'à regretter parfois qu'il ne soit pas plus long et plus féroce, voire inhumain. Mais sa nature masochiste ne
suffisait pas à expliquer sa passion. Elle aimait cette partie obscure qui faisait partie d'elle et que sa Maîtresse
nourrissait. Juliette la hissait, la projetait en révélant les abysses de son âme, en les magnifiant, la sublimant
en tant qu'esclave, en lui faisant ainsi accepter son rôle d'objet. Elle avait créer entre elles un lien indestructible.
Les genoux qu'elle ne devait jamais croiser, les lèvres toujours entrouvertes, et surtout les yeux toujours baissés.
Elle ne pourrait jamais oublier le jour de ses vingt ans. Ce jour-là, Juliette quitta tôt les cours qu'elle donnait à la
Sorbonne pour venir la chercher à la sortie de la faculté. La soirée s'annonçait douce, agréable. Charlotte écoutait
le bruissement des feuilles, en songeant à la beauté naturelle du jour. La nature vous rend plus qu'elle ne vous prend
et ses bruits obligent à penser à son destin. Le grand amour vous fait cet effet-là. Les nuages traversaient lentement
le ciel du soir. Ils s'épaissirent un peu. Désormais, la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité.
Chez elle, Juliette lui demanda de se mettre nue, la regarda sans un mot lui obéir. N'avait-elle pas l'habitude d'être
nue sous son regard, comme elle avait l'habitude de ses silences. Elle l'attacha et lui demanda pour la première fois,
son accord. Elle voulait la fouetter jusqu'au sang. Elle lui dit seulement qu'elle l'aimait. Alors elle la battit si fort qu'elle
suffoqua. Au petit matin, Juliette était allongée près d'elle et elle ne pouvait penser à meilleure occupation que de
la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les lamelles du store rehaussait le brun
luisant de son corps. Elle était assoupie sur le ventre. Le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé
et ses aisselles blanches. Juliette glissa un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée se couvrit
d'un frisson. Elle était grande et très blonde. Une femme idéalement belle. Bientôt, son regard s'attarda sur ses
cuisses écartées et immanquablement, une tension sourde s'empara d'elle. De ses lèvres, elle lècha sa peau tout
en dessinant ses omoplates avant de laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Elle frôla l'œillet secret
qui déjà cédait aux effleurements. Les chairs se distendirent, pour se raffermir aussitôt comme déjà brusquées.
Comme une sorte prosternation intérieure, une soumission sacrée, comme si un dieu, et non Juliette lui avait parlé.
Ses doigts contournaient les formes plissées qui sertissaient l'anus. Ils lissèrent les veinules lentement, les unes
après les autres, consciencieusement. Elle la vit approuver d'un mouvement de reins, une cambrure pour l'instant
étudiée, maîtrisée. Rien du domaine de l'abandon. Ils se confinaient encore dans la séduction. Ou en tout cas, le
crut-elle. L'amante ne trichait pas. Elle était sexuelle. Mais Charlotte se l'imaginait elle, bien trop jeune pour le savoir.
Bientôt l'anus ne se défendit plus. Il rougit en acceptant, s'humidifia, larmoya une liqueur d'acquiescement, frémit au
moindre toucher et enfin sursauta. Elle ressentit la naissance d'une jouissance s'inscrire dans les va-et-vient de ce
ce trou qui appelait. La sève s'écoula, lubrifia l'orifice pour permettre le passage. Voilà, elle ne joue plus, elle le sait.
Elle peut alors tout imposer, froidement, à ce corps qui ordonnait l'intromission. Elle supposa qu'elle aimerait être
capable de hurler les mots et les actes qu'elle attendait. Elle se rembrunit, chercha à dégager son visage d'entre les
draps. L'amante s'irritait parce qu'elle ne supportait pas l'affront d'un quelconque échec. Elle devait la soumettre.
Charlotte demeura immobile. Au même moment, sa Maîtresse l'appelait à voix basse et la prenait à pleine main.
La douleur vive s'était évanouie alors Juliette la vit qui hésitait. Devait-elle reprendre le fil de ses paroles susurrées ?
Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme.
Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela. Elle se tairait.
Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante, raidie sous ses doigts. Il courtisait ses
hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser comme une
éclaboussure. Le cœur s'était déplacé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme l'aorte qui
donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Juliette sentait
la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu à la prochaine salve en la dévorant.
Elle se tenait droite, elle avait le regard plus clair, mais ce qui frappait Juliette était la perfection de son immobilité.
L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit
subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attendit à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième.
Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force. La
prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis,
profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre.
Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le
soleil, soudés et parfaitement imberbes. Maintenant, Charlotte allait supplier. Il fallait qu'elle se livre totalement.
Juliette n'ignorait pas, que la prendre par son orifice le plus étroit la rendrait forte, mais elle s'y résigna.
Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents
de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne
soupçonnait pas l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le
chercher, elle même si Juliette ne cédait pas. Elle vit la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer
toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Sandra lui dit :
— Je suis un peu surprise de te voir jouer les nounous.
— C'est un service que je rends à Monsieur Sam et il me paye en conséquence.
Voilà, grâce à moi, elle se fait des couilles en or ! Oui, quand il s'agit de Summer, on peut parler de couilles. Sandra lui dit :
— Avec moi, elle a été sage...
— Je lui ai fait la leçon, sinon, on pourrait croire qu'elle a 6 ans. Je dois tout lui dire, comme à un enfant : apprends ton texte, lave-toi les dents, change de tee-shirt, va faire pipi, on part...
Sandra rigole. Non, pire, elle prend des notes dans un petit cahier. Summer ajoute en me regardant :
— Arrête de bouder, sinon je te donne une fessée et tu ne pourras pas t'asseoir pendant trois jours.
Les deux filles me regardent, je fais un grand sourire forcé. Sandra lui dit :
— Qu'est-ce qu'elle fait bien ?
— Elle fait bien la salope. Elle se fait baiser par n'importe qui, elle séduit, elle lèche bien... Tu veux l'essayer ?
Non, mais elle dépasse les bornes, là ! Je vais lui dire... rien, bien sûr. Sandra répond :
— Pas ce soir... mais je viendrai volontiers pour te présenter mes nouvelles esclaves : des sœurs jumelles. On fera une compétition, "qui lèche le mieux". Ce qui est troublant, c'est qu'elles sont cathos et...
Je dois demander quelque chose à Sandra :
— Des vraies sœurs ?
Mais c'est Summer qui répond :
— Tu coupes la parole aux gens ?
— Mais... euh...
— Mets-toi à genoux, embrasse les chevilles de Sandra, ensuite excuse-toi.
Je partirais bien, mais il y a l'ascenseur. Non, pas que ça. Summer est tellement... décidée... que ça m'excite. Et puis : on joue !! On joue Maîtresse et esclave. Summer est payée pour être à mon service... Alors... euh... je me mets à genoux et j'embrasse la cheville de Sandra, puis je me mets à genoux devant... non, contre elle, parce qu'elle a écarté les jambes et je lui dis :
— Pardon de vous avoir interrompue...
— Oh, putain, j'adore la façon dont tu l'as dressée, Summer... J'accepte ta proposition... Enlève ma culotte, petite....
Elle se soulève de son siège pour que je puisse la lui enlever, puis elle met un pied sur la table. Ensuite, elle pousse ma tête avec son pied et j'atterris contre sa chatte mouillée. Je le fais parce que j'aime lécher une chatte., sinon je partirais, si j'avais pas envie de le faire... Oui, même seule en ascenseur : il m'a l'air solide après tout. Bon, je lèche sa chatte trempée, elle sent la fille excitée qui a pris sa douche la veille, un peu fort mais pas trop... Je la lèche soigneusement, je mélange ses sécrétions à ma salive... Elle gémit et son bassin vient au-devant de ma langue. J'ai jamais léché une fille aussi réceptive... Elle est peut-être la fille de "Speedy Gonzales" ? Bon, ça m'arrange, le bout de ma langue tourne autour de son clito et ça y est, elle jouit en serrant mon visage entre ses cuisses.... Mais lâchez-moi, Madame ! Elle doit faire de l'équitation, la garce, ses cuisses me serrent comme un étau... Ouf, ça y est, progressivement, elle desserre son étreinte. Je reprends mon souffle, elle, aussi. Puis elle se redresse, prend mon visage entre ses mains... Non, pas serrer ! Non, elle m'embrasse sur la bouche, puis elle dit :
— Tu es une formidable lécheuse, petite...
— Ah... euh... merci...
— Tu me plais, je vais te pousser.
Pousser où ça ? Summer lui dit :
— On doit y aller. La petite doit encore apprendre son texte pour demain.
On prend l'ascenseur à trois, moi collée à Summer qui explique :
— Ashley a peur parce qu'il paraît que l'ascenseur s'est déjà écrasé deux ou trois fois.
Ça les fait rire... Je m'en fous, on n'en peut rien si on a le vertige.
On quitte Sandra, qui m'embrasse avec fougue, peut-être parce que je suis parfumée à sa chatte. Par contre, en rentrant, Summer me dit :
— Lave-toi le visage, tu pues plus qu'un congrès de gouines.
Oui, ça, c'est Summer tout en délicatesse. Elle ajoute :
— N'empêche que tu lui as plu, elle va te pousser.
Qu'elle me pousse !
***
Ce matin, Lee a une autre fournisseuse, une fille... comment dire ? Genre hard-rockeuse : jeans et tee-shirt déchirés, cheveux rasés sur un côté, baskets trouvés dans une poubelle. Si elle s'assied sur son visage après avoir pissé, il va prendre un méga-pied !
Aujourd'hui, on tourne une scène très importante. La reine décide de punir ses esclaves. Pas moi, donc, mais mon personnage. Elle estime que les esclaves sont moins attentives depuis un moment ou alors ça l'amuse de les fouetter. Des esclaves punies régulièrement sont beaucoup plus attentives à obéir servilement à n'import quel ordre, aussi humiliant soit-il. Les esclaves fouettées n'ont pas de fierté.
Pour cette scène, Lee et Madame Wolf ont vu grand. Un garde arrive avec une camionnette bourrée d'esclaves. C'est d'ailleurs indiqué en grand sur la camionnette. Il y a une esclave enchaînée, sous la mention "Slave Paradise". Il y a d'autres indictions : "Vente d'esclaves tous les jours à partir de 11 h." À l'arrière de la camionnette, il est indiqué "Transport d'esclaves".
Je connais le garde, on a mangé avec lui à Venice. Surpris de me voir en reine d'Égypte, il ose à peine me caresser les fesses en m'embrassant. Il me fait beaucoup de compliments. Je l'aime bien, lui.
Il m'apprend le maniement du fouet. Ce n'est pas évident, il faut un petit mouvement du poignet à la fin, pour que le fouet ait le maximum de vitesse quand il atteint la cible. Je m'exerce sur... des pastèques. C'est marrant. Enfin, pas pour les pastèques, mais ce sont des pastèques esclaves ! J'apprends vite et Lee qui a assisté à la scène me dit :
— Tu vas t'exercer sur les deux esclaves du studio.
On ne les utilise pas pour la scène, car elles sont colorées. Pour le film, il faut des fesses bien blanches pour qu'on voie les marques rouges. De plus, ces filles ont certainement besoin d'être punies régulièrement. Lee leur dit de se mettre à 4 pattes et je m'exerce, le fouet siffle et claque sur les fesses tandis que les esclaves piaillent. Je vise de mieux en mieux et je suis grisée par les cris plus intenses quand je fais le mouvement correctement. J'arrêterais bien pour ménager leurs derrières, mais il "faut" que je m'exerce. Quand je m'arrête, les fesses des filles sont couvertes de jolies marques rouges. Le fouet se termine par une partie de cuir large, le but est que ça fasse mal, mais sans blesser. Attirés par les cris des filles, beaucoup de gens sont venus admirer le spectacle. On m'applaudit... Il paraît que je suis une bonne fouetteuse. On va passer à la scène. Pour ça, on va dans un joli jardin qui a servi pour un péplum.
Les esclaves sont déjà en position. Je marche entre les rangées en parlant avec Jules César. Il me dit :
— Ma chère Cléopâtre, venez à Rome avec moi, vous deviendrez la reine du monde.
Cléopâtre envoie deux coups de fouet sur les fesses d'une blonde, faite pour être fouettée. Comme elle crie un peu fort, elle reçoit deux autres coups de fouet. Je réponds à César :
— Seigneur, c'est mon rêve de vous accompagner à Rome... et de devenir Impératrice.
Il y a un petit silence, ce qui agace Cléopâtre. Elle envoie plusieurs coups de fouet sur les fesses d'une rousse qui est à sa droite, puis d'une brune à gauche.
Un centurion arrive, courbé en deux. Il donne un parchemin à César et part en reculant. César lui dit :
— Un problème urgent à régler, ma chère Cléopâtre, j'en ai pour peu de temps...
Il sort. Encore plus agacée, Cléopâtre fouette les filles alternativement. Elle donne une dizaine de coups de fouet à chacune... Elle s'arrête en sueur, jette son fouet et va s'asseoir sur un trône. Deux esclaves agitent des palmes à toute allure pour l'éventer.
— Coupez !
Lee me dit :
— Bravo Ashley, excellente scène.
— Merci, c'est gentil.
Pour dire vrai, je suis un peu déçue, j'espérais recommencer la scène plusieurs fois. Pas parce que j'aime fouetter les esclaves, mais pour des raisons... professionnelles. Les esclaves quittent le jardin en gémissant et en se frottant les fesses. Quelles pleurnicheuses !
On va manger... puis on tourne des scènes beaucoup moins amusantes.
On finit tôt et Summer vient me chercher à 17 h pour aller au "Slave Paradise". Elle me dépose, Tex me reconduira. Elle me dit :
— Ne picole pas.
Je vais à la petite porte secrète, vous savez celle qu'on a prise la dernière fois. Je téléphone à Tex et je lui dis :
— Je suis là.
Un garde ouvre, on s'embrasse et il me dit :
— Tu viens te vendre ?
— J'ai déjà un acheteur.
On rigole... Je vous ferais remarquer que je n'ai plus peur. Tex vient à notre rencontre. Il est grand, costaud et il a une grosse bite. On s'embrasse mais bien... Ensuite on va voir les esclaves, ce sont les familles qui m'intéressent. On va dans le hangar où elles sont en cages. Il me montre deux sœurs dans une cage. Les pauvres, elles ont l'air affolées. Mais ce sont des délinquantes, donc elles sont mieux ici qu'en prison. Ici elles seront vendues et elles rapporteront de l'argent à l'Etat, au lieu d'en coûter en prison.
D'accord, elles vont se faire fouetter. Ce sont des fouets qui font mal mais ne blessent pas. D'ailleurs, elles ne sont fouettées que si elles sont maladroites, insolentes... ou si leur maître est énervé, c'est vrai. Tex me montre des jumelles serrées l'une contre l'autre. Je les prendrais bien pour jouer, mais Tex me dit :
— Viens, je suis ici tout le temps et ça pue.
C'est vrai que ça sent un peu la ménagerie.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Dominant Féministe.
Je sais, cela parait un impossible antagonisme, et pourtant je le revendique totalement.
Celles qui ont été mes soumises sont des femmes fortes dans leur vie, libres, artistes pour la plupart et même assez rebelles, farouches et indépendantes (je m’ennuierais profondément avec une soumise sans personnalité, sans reliefs…).
Ce qui a rendu d’autant plus beau leur souhait de m’être soumises, et le fait de s’agenouiller pour s’en remettre à moi. J’ai toujours été profondément ému par ce moment, ce geste, par ce don de soi en consciente et en confiance. Cela me rend d’autant plus responsable, conscient de la préciosité de cette soumission, et de ma responsabilité de Maître, de guide, de Mentor, de confident, d’ami, d’amant…
Vous comprendrez que pour moi, un homme ne peut que respecter totalement la femme qui se remet aussi pleinement à lui, et ne peut que souhaiter la voir s’épanouir en tant que femme, à tous points de vue, tout en étant pleinement soumise. La voir vivre sa vie professionnelle, sociale, amicale, familiale sans rien empêcher, en étant présent et en accompagnant, en étant là pour écouter et pour donner conseil, tout en étant toujours le Maître qui décide quand il le faut.
Un Maître désireux que sa soumise soit une femme libre et indépendante dans sa vie en général, tout en étant pleinement sous sa coupe. Un Maître défenseur du droit des femmes, et du droit des soumises (combien de fois me suis-je battu pour ça !), et pourtant désireux d’une appartenance totale de sa soumise.
Alors oui, j’aime les femmes à la fois libres et soumises, et je suis un Dominant Féministe.
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les jours se passent, et le rythme est pris, retour du travail, message à Madame pour qu'elle m'autorise à enlever le plug qu'elle commande à distance afin de le recharger, et recevoir ses consignes.
Hier, la consigne a été de mettre le body, avec le plug, pour aller reconnaitre un nouveau lieu qui se veut un bar Berlinois. Je prévient Madame de mon arrivée au lieu.
A mon arrivée, il y a un sas ou on doit se deshabiller, seul le slip reste autorisé.
Je suis gêné, avec le body, ne connaissant pas le lieu, ni la permissivité des autres clients.
J'enlève le lien qui tien le body aux épaules, et le roule pour qu'il ressemble à un slip.
J'ai mon collier comme Madame me l'a ordonné.
Je rentre dans le lieu, rempli de jeunes, la plupart sur mode culture gay, et pas du tout BDSM comme je m'y attendais.
Mon plug se met à vibrer, et je m'aperçois qu'il vibre en fonction de la musique techno du lieu.
Message de Madame "rires, tu aimes?".
"oui, Madame", en fait c'est très gênant, le body étant très fin à cet endroit la. je vais au bar qui est face à 5 ou 6 personnes qui regardent, et je suis obligé de me pencher pour commander.
Ont ils vu?
je serre mes fesses, et j'assume. Je n'ose aller aux toilettes pour l'enlever, car je ne saurait ou le mettre, et ça déplairait à Madame.
au bout de 3 gyn tonic pour me donner du courage, je visite le lieu: c'est rapide: une zone chill encombrée, lieu ou on ne peut être sans se toucher, puis retour dans la pièce principale, pas très grande, surpeuplée, et une zone entourée de grillage avec une douche, obligent à s'exhiber lord des ablutions.
Décidément, ce lieu ne sera pas du gout de Madame.
je me rhabille, et je sort. le plug vibre moins, au fur et a mesure que je m'éloigne de la source sonore.
je fait mon rapport à Madame. "ce ne sera pas en ce lieu que je t'amènerais en laisse". Je sais que Madame aime me tenir en laisse en public, la dernière fois, j'ai été en laisse pour faire les deux kilomètres qui nous séparais du club, en passant au travers des terrasses des restaurants.
Arrivé chez moi, Madame m'a ordonné de recharger la plug.
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Un petit souvenir d un moment avec mon ancienne maitresse, celle qui m a initiée. A l époque, j avais environ trente ans.
Nous étions chez elle. C était l été, il faisait très chaud et elle m avait reçu pour l après-midi.
Notre rendez-vous avait très vite dégénéré en véritable séance de dressage.
J étais en dessous féminins à quatre pattes sur le canapé et elle avait longuement joué avec moi : fessée, cravache, martinet, puis sodomie avec un gode ceinture.
A un moment, elle m'a fait me retourner et j'ai découvert deux de ses amies qui nous regardaient depuis la cuisine , en buvant leur café !
Elles nous avaient observé silencieusement depuis presque une heure.
Ma maitresse et elles se sont moquées de moi, de ma tenue. Elles ne se sont pas gênées pour faire divers commentaires sur ma tenue, la taille de mon sexe, disant que je n'étais qu une bonne salope, etc...
Ma maitresse leur a proposé de profiter de mes services. L une d elles a voulu que je lui fasse un cunnilingus, ce que je me suis empressé de faire. L autre s est contentee de se masturber en nous regardant. Au final, ma maitresse m'a de nouveau sodomisé devant elles.
Ce moment constitue un de mes plus beaux souvenirs de soumission.
D autant plus, que j'ai été amené à recroiser ces deux femmes à plusieurs reprises par la suite, dans la vie de tous les jours.
Elles m'ont toujours regardé avec un grand sourire, s'amusant de mon malaise.
Je croise l une d elles de temps en temps encore aujourd'hui.
Du coup, ça me rappelle à chaque fois ce moment très excitant pour moi.
Marc
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