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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Voilà cela me reprend. J'ai des picotements au bout des doigts, de l'electricité dans le ventre. Il faut que j'explose un cul de lopette agenouillée, que je fasse cingler mon cruel fouet. Ne me demandez pas de safe Word. Vous pourrez supplier, pleurer appeler votre mère, prier cela ne changera rien au tarif, celui de mon bon vouloir. Solidement ligoté, vous pourrez hurler tant qu'il vous plaira. Cela ne fera qu'attiser ma furie. Mon fouet sifflera encore et encore. Je vous briserai complètement. Vous ramperez à mes pieds. Vous les lècherez avec délectation, votre dos encore en sang. Après zou...dans la cage Louis XI, dans le noir, vous pourrez méditer longuement. Chercher les secrets du mushin, du non esprit. Cela vous ira très bien...
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Le fouet marquera votre âme à jamais. Je vous désire fier, fort et guerrier. Vous ne serez plus vile lopette mais combattant. Vous me montrerez votre courage à supporter la douleur. Votre sexe se redressera et sera bien tendu. Vous montrerez à votre maitresse votre force et votre virilité. Mon fouet sifflera plus fort et vous me direz merci.
Je ferai de vous un vaillant, un coeur pur et sans reproche, un dévoué total. Vos fesses seront bien fermes et bien irriguées par les afflux de sang brûlant.
Parfois mon beau guerrier, vous partagerez ma couche pour me donner du plaisir. Vous serez alors mon jouet sexuel et vous devrez vous retenir pour me procurer des orgasmes à répétition. Vous devrez ne point faillir à cette tache. Parfois au petit jour, s'il me plait ainsi, je vous laisserai exploser de jouissance en moi. Le fouet sera notre pacte. J'écrirai mon nom sur votre peau avec votre sang. Je vous souhaite en extase mon beau guerrier tout dévoué à votre Maitresse impitoyable.
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Madame est derrière moi, je la sais enfoncée dans le vieux fauteuil de cuir. Celui dont le coussin usé se lézarde, et je prie en secret pour qu’elle s’assoie sans culotte sur ces craquelures et que sa cyprine y opère une cure de jouvence ; car je crois fermement qu’au contact de sa mouille, le fantôme de la bête qui subsiste encore dans la peau tannée frémira de toute son échine et ses écailles se lisseront sous le nectar. Ce fauteuil dont les accoudoirs larges et ronds comme des chevaux d’arçon accueillent régulièrement mon ventre plaqué, rehaussant à merveille mes fesses pour la correction qui rougeoie. Ce fauteuil-là exactement, dont ma peau sait le grain et la râpure, où mon nez s’est empli de la poussière tannique accumulée dans les replis, dont la structure ferme et trapue contrarie toute bandaison.
Ce fauteuil là au pied duquel j’ai vu, avant de me retourner sur ordre, la petite esclave italienne prendre place à quatre pattes le dos bien droit. Il n’y a presque pas de creux entre ses flancs si minces et ses fesses si sèches, les vertèbres hérissent sa peau brune et tracent une ligne défensive de sa nuque à sa fente, sa fente encore plus brune et plus bas la forêt de poils. Sur le dos de la petite Madame a posé son verre et son cendrier. J’ai vu pendre entre les bras les minuscules seins et leurs gros bouts foncés. La petite gémit. Je ne serais pas surpris que Madame y ait donné quelques coups de pieds et enfoncé la pointe de ses escarpins. La petite étouffe une prière en italien, et à l’odeur je devine que Madame a approché sa cigarette de la touffe luxuriante pour le plaisir de voir les poils friseler et roussir.
La petite se tait, aux aguets je n’attrape qu’un petit crissement de bas nylon contre le cuir du coussin. Madame est derrière moi, moi nu jambes ouvertes et bien cambré comme elle aime, Madame derrière moi dont j’entends maintenant les talons aller et venir, Madame si près de moi dans des cliquètements. Je ferme les yeux pour me concentrer sur les indices de sa présence, l’air qui vibre le long de ses déplacements, qui se réchauffe quand ses gestes m’approchent, qui se parfume quand ses cheveux passent à ma portée, qui frémit quand son souffle me frôle. Les yeux toujours fermés, je sens son arrêt, son intention, le mouvement calculé juste au bord de s’élancer. Mon torse se creuse un instant quand les pinces s’arriment âprement à mes tétons. Puis je me retiens de tout mouvement quand je sens l’anneau lourd et épais se refermer à la base de mes testicules.
Madame retourne s’asseoir et je m’efforce de tenir ma posture aguicheuse, car elle m’a dit une fois qu’elle n’aimait rien tant que voir mes couilles serrées et étirées pendre sous mon cul rond et blanc. Par quelque perverse analogie, elle avait prétendu qu’ainsi je lui rappelais la pendule comtoise de son enfance ; et toute à sa comparaison, pour en éprouver la justesse, elle m’avait enfoncé dans l’anus un gode vrillé à manivelle, exactement -me disait-elle- comme quand il fallait remonter la pendule en tournant la clé dans le cadran. Madame est derrière moi dans le grand fauteuil de cuir patiné, et moi, les fesses offertes, les testicules alourdis, les seins mordus, je fais face à la porte-fenêtre, au jardin, à l’abbatiale juste de l’autre côté du mur.
C’est vêpres sans doute et l’Alléluia s’élève. Madame s’en trouve d’humeur musicale et sacrée. Elle se lève pour fouiner dans un de ses coffrets d’ivoire et d’os, et brandit fièrement un jeu de petites cloches de bronze verdi, chacune pendant au bout d’une courte chaîne. Elle les fait tinter une à une à mon oreille. Do. Puis « un ré bémol, tu noteras ». Je note Madame. Et les cinq suivantes pour finir la gamme. Chaque pince sur mes tétons s’embellit de deux cloches. Le poids me fait grimacer tant les pinces tirent douloureusement désormais. Les trois autres, plus lourdes encore, viennent agrémenter mon ball stretcher, judicieusement muni d’anneaux qui autorisent tous les amarrages au gré des fantaisies de Madame. Je lutte pour ne pas plier les genoux tant j’ai l’impression que mes testicules balancent au ras du sol.
Mais Madame veut plus. Elle a l’âme transportée par les hymnes qu’on entend monter de l’abbatiale et me veut aussi mélodieux, aussi céleste, aussi pur. Je dois faire tinter les cloches harmonieusement et en rythme, je me tortille et me contorsionne pour que résonne la note juste. Voilà Madame enragée de dévotion, un accès impérieux de spiritualité s’empare d’elle et s’incarne dans les coups de baguette dont, chef d’orchestre inspirée, elle me ponctue allegro pour m’indiquer les cloches à faire tinter. Les servants chantent désormais le Kyrie. Madame, prends pitié de moi. Mais ma pénitence dure encore plusieurs cinglements, entre les cuisses ou sur le torse. Jusqu’à ce que Madame estime que je maîtrise suffisamment le jeu de cloches.
Satisfaite, elle me gratifie d’un baiser fougueux qui me fait chavirer plus sûrement que le gros kilo qui me leste. « Il faut donner à manger au juke-box ». Je sens qu’elle pousse brutalement, à sec, un objet froid entre mes fesses ; elle force et la hauteur de l’objet distend mon anus, puis je l’avale d’un coup. « C’est une de ces grosses pièces d’or trouvées dans les trésors du grenier. Joue encore, j’en ai toute une provision ». Dans l’abbatiale silencieuse l’office est terminé, et je tente d’improviser une ritournelle qui pourrait plaire à Madame. Hasard heureux, ou conséquence de son choix judicieux d’un ré bémol, ou un peu des deux, voilà que je réussis une sixte napolitaine qui colore ma mélodie d’une mélancolie brûlante. La petite esclave italienne aussitôt éclate en sanglots, elle est d’une famille de facteurs de boîte à musique de Sorrente et cela lui donne la nostalgie du pays. Madame qui n’a pas le goût des attendrissements lui administre aussitôt quelques coups de cravache sur la fente afin qu’elle ait une bonne raison de pleurer. Puis lui ordonne de se rendre utile en allant chercher de la glace pour faire retomber mon insolente érection.
Ainsi, pendant que Madame remplit mon cul de pièces d’or comme une tirelire, pendant que la petite enveloppe ma queue de poches gelées, je continue à faire tinter les cloches qui martyrisent mes seins et mon scrotum. Lorsque j’ai l’arrière-train farci de lourdes pièces et le sexe complètement glacé et recroquevillé, Madame m’ordonne d’arrêter la musique. Elle détache les cloches qui pendaient à mes testicules mais laisse l’anneau en place. Puis elle prend bien son temps pour enlever les pinces à seins l’une après l’autre, guettant avec gourmandise sur mon visage les signes de la douleur fulgurante qu’occasionne le retrait. Elle m’habille sommairement d’une tunique de bure et me tire par la cordelière qui fait office de ceinture. Je la suis, fesses serrées autour du tas de métal qui m’envahit et dont le poids distend mes sphincters, mes tétons encore ultra-sensibles irrités par le tissu rêche. Elle me conduit à travers le jardin jusqu’à l’entrée de l’abbatiale. Au groupe de mendiants qui s’installe pour la nuit dans l’embrasure du portail, elle promet une bonne affaire s’ils nous rejoignent dans quelques minutes à l’intérieur.
En attendant, elle me tire vers un des bas-côtés de la nef où subsiste encore un confessionnel à l’ancienne. Elle me débarrasse de ma tunique, non sans la frotter vigoureusement sur ma peau au passage pour me faire constater à quel point elle gratte. Puis elle me fait entrer dans la partie close au centre du confessionnal, celle qui est réservée au prêtre. A un mètre du sol environ, un petit panneau ajouré et amovible permet au confesseur et au confessé agenouillés de se parler. Madame me fait mettre debout dos contre le panneau qui est à la hauteur de mes fesses, puis le retire. Elle m’ordonne de bien écarter les jambes et de me pencher en avant pour que mon cul soit bien offert à travers l’ouverture. Pour s’assurer que je conserve bien la position, elle relie par des lacets de cuir très tendus mon ball stretcher aux petits crochets qui, au bas de l’ouverture, permettaient de fixer le panneau. Ainsi tenu par les testicules, impossible pour moi de dérober mon cul à qui voudrait le prendre. Le seul moyen de soulager la tension est de rester bien écarté et de me cambrer pour pousser mes fesses à travers l’encadrement.
Cette installation aurait pu satisfaire Madame, mais je suis de nouveau en érection et cela la contrarie fortement. Faute de glace, elle décide d’au moins conférer un peu de dignité religieuse à ce sexe vicieux. Elle rallume un encensoir et le suspend par ses chaînettes à ma queue en érection. L’encensoir se balance à la même hauteur que mes testicules, je sens sa chaleur et la fumée qu’il dégage remonte le long de mon entrejambes. L’arrivée de mendiants coupe court aux autres pieuses idées que Madame aurait pu avoir. « Voici la poule aux œufs d’or.» leur dit-elle en leur présentant mes fesses tendues à travers l’ouverture ; « Si elle ne pond pas toute seule, allez chercher, vous ne le regretterez pas ». Avant de partir, elle me caresse la tête et me susurre avec un clin d’œil « Il va falloir pousser…» Elle referme la porte et je ne suis plus qu’un cul à piller.
S’ouvre alors une séquence éprouvante. Les visiteurs commencent par repérer le théâtre des opérations en s’éclairant d’un gros cierge d’église dont la flamme puis les gouttes de cire me brûlent la raie. Je fais de mon mieux pour restituer les pièces, mais l’impatience des chercheurs de trésor les pousse à explorer avidement mes tréfonds. Le pire est pour la fin, car ce n’est qu’après une fouille profonde et minutieuse qu’ils admettent que je n’ai plus d’or à donner. Ils m’abandonnent béant, les yeux pleins de larmes, l’encensoir à terre et les couilles distendues. La petite italienne alors vient me détacher et me ramène à Madame pour que, prosterné dos au vieux fauteuil en cuir, j’exhibe ma croupe et lui fasse admirer comme j’ai été dilaté et vidé. A son rire de plaisir je sais que je peux enfin m’abandonner en paix, à ses pieds, à son pied droit dont elle essuie la semelle sur ma fesse, à son pied gauche qui de petits coups presque tendres fait balancer mes testicules, à ses pieds avec pour seul horizon le tapis, et au bout du tapis la porte fenêtre par laquelle je vois monter sur l’abbatiale une lune énorme et dorée, une super-lune du tonnerre comme disent les astronomes. Demain ce sera le défilé du 14 juillet. Je ne doute pas que Madame ait un projet. Le sabre après le goupillon.
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Vers 10 h, Summer dit :
— On doit y aller, la petite travaille demain.
Donc j'ai le choix, je suis soit une esclave, soit "la petite". On embrasse tout le monde, sauf les esclaves bien sûr : on n'embrasse pas un sex toy qu'on vient d'utiliser. J'ai déjà fait une comparaison du même genre mais j'aime l'idée... On va dans le parking. Je me doute qu'elles vont encore s'amuser à mes dépens... et ça ne manque pas : Sarah ouvre le coffre de sa voiture en disant :
— C'est ta place, non ?
Je m'y attendais. Je vais dans le coffre. Summer soupire et dit :
— Elle est incapable de jouer, cette gamine ! Tout ce qu'elle arrive à faire, c'est jouer les martyrs. Allez, monte à l'arrière, pôv' petite. Et cesse de bouder.
— Je ne boude pas, mais c'est violent de voyager dans un coffre, bâillonnée, pieds et poignets liés et puis d'être enfermée dans une cage. Je ne suis pas aussi courageuse que vous.
Là, elles ne répondent rien. Ah si, Sarah me dit :
— On t'a dit que c'était un jeu. Arrête de jouer les victimes...
Summer ajoute :
— D'autant que tu t'es bien amusée avec Steve et mulot...
Aaah, Tex s'appelle Steve... Je préfère Tex. Summer ajoute :
— Elle va bouder, mais subtilement, pas trop pour ne pas être punie, hein Ashley ?
— Steve m'a dit que tu avais été quatre ans dans les Marines et Sarah dans les forces spéciales israéliennes. Moi, je viens de familles d'accueil. Alors, c'est facile pour vous de me terroriser.
Voilà, je l'ai dit. Elles ne disent plus rien, peut-être pas fières de me tourmenter. Elles ne disent rien, mais... elles éclatent de rire. Quelles garces sans cœur ! Quand elles sont un peu calmées, Sarah me dit :
— Tu veux voir ce que c'est, terroriser quelqu'un ?
— Non, je vous en prie...
Summer lui dit :
— Raconte.
— Quand j'étais à l'armée, on a voulu donner une leçon à une fille qui avait la langue trop longue avec les officiers. Une nuit, on l'a attachée et bâillonnée. Puis, on l'a amenée en haut d'un pont et on a enlevé son bâillon. Elle criait bien ! On a attaché un élastique autour de ses chevilles et on l'a balancée dans le vide. Une fille a crié : « Merde, on a oublié d'attacher l'élastique ». Putain ! Ce cri qu'elle a poussé, on se marrait comme des folles. Par la suite, elle a fermé sa gueule. Ça te dirait, petite ?
— Si vous me faites ça, je meurs.
Elles rient à nouveau ! Elles s'amusent bien avec moi. Elles continuent à se raconter leurs exploits. J'écoute plus leurs conneries. Sarah nous dépose au motel. Elle me dit :
— Sors de la voiture et dis-moi qui je suis.
Cette fille, c'est un démon femelle ! Je sors et me mets à genoux devant elle en disant :
— Vous êtes ma Maîtresse.
Oui, j'ai été conditionnée. C'est ce qu'elle voulait.
On rentre au motel. Là, Summer prend la relève des blagues idiotes. Quand je reviens de la salle de bains, je me couche dans mon lit, je n'ai pas envie de dormir avec elle. Elle me dit :
— Tu as bien regardé sous ton lit ?
— ... Euh, non.
— Il paraît qu'il y a une invasion d'araignées recluses.
Trop drôle... mais aussi trop effrayant. La morsure de ces araignées laisse d'horribles cicatrices. Je lui dis :
— Je peux venir dans ton lit ?
— J'sais pas...
— Steupléééé...
— Allez, viens, mais moi je dors.
Près d'elle, je ne crains rien, même les araignées en ont peur.
***
— Aïe !
Il est 6 h du matin et je suis réveillée par la méthode Summer : elle tire le drap et elle me donne une bonne claque sur les fesses en criant :
— Il est 6 h, tu as une heure et demie pour apprendre ton texte !
Elle allume sa tablette et ne s'occupe plus de moi. Je vais me mettre de l'eau froide sur le visage. Ensuite, je prends mon texte et je l'apprends. Je sais bien que sans Summer et la crainte que j'ai d'elle, je n'apprendrais pas ce texte en 1 h et demie. À 7 h 30, elle me fait répéter, je n'ai oublié qu'une phrase. Je lui dis :
— Je le saurai, je te jure. Je vais tout relire au maquillage.
— J'espère. Bon, j'ai un boulot à faire. Tu vas seule au studio. Vas-y directement et ne parle pas aux inconnus.
— Oui m'man.
Elle m'embrasse sur le front et s'en va. Je m'habille et je sors. Quand j'arrive devant le studio, le garde me dit :
— Vous êtes seule aujourd'hui, mademoiselle Ashley ?
— Oui, je deviens une grande fille.
— Une grande fille ravissante.
Le l'aime bien, lui. Kim arrive et je l'embrasse. Je vais au maquillage et elle m'apporte un petit déjeuner. Ensuite, je vais chez le coiffeur et l'habilleuse qui me colle quelques voiles sur les fesses. Je continue à lire mon texte et ça va, je le connais. Quand je suis déguisée en reine d'Égypte, je vais au studio avec Kim. J'ai toujours un franc succès quand je circule d'un studio à l'autre, vêtue de quelques voiles et parée de bijoux.
Lee Varella m'embrasse. Il est devenu... très amical. Mes partenaires m'embrassent aussi et tous ceux qui veulent, je suis une reine proche de son peuple. Bonne nouvelle, la "snipeuse" israélienne n'est pas là. J'en ai plus peur que de Summer. Je suis terrifiée par son histoire de saut à l'élastique de nuit !
Première scène, je suis couchée sur un canapé, une esclave m'évente à l'aide d'une palme, tandis qu'une autre me masse les pieds... Elles sont très peu vêtues. Je discute de l'avenir de l'Égypte avec mon frère et mon général en chef. Mon frère me dit :
— Accepte les avances de César, il deviendra fou de toi...
Il s'agit là de la scène normale. Monsieur Varella me dit :
— Pour la version érotique, j'ai pensé...
Il bloque. Je l'aide en disant :
— Vous avez pensé que je devais être nue ?
J'enlève mes quelques voiles. Il n'y a plus un bruit dans le studio, c'est ma nudité qui produit cet effet. Varella s'éclaircit la voix et il me dit :
— J'ai pensé que... la reine a un besoin urgent et... une esclave apporte un récipient en or pour que la reine... euh...
— Pisse dedans ?
— Ouiii...
— Eh bien voilà, pas de problème !
— Tu veux que je demande une équipe réduite ?
— Ben non, pourquoi ?
Bon... Je reprends la scène, mais nue cette fois-ci. À la fin du dialogue, je dis :
— Une envie pressante, Messieurs. Lydia ! Un récipient !
Aussitôt, une esclave arrive avec un pot de chambre... ou plutôt un délicat récipient en or ou doré. Elle s'assied par terre et tient le récipient contre ses seins. Je m'accroupis en lui tournant le dos. Ce n'est pas très poli, mais c'est une esclave.
Ce qui est encore moins poli, c'est que je pisse en reculant, donc j'arrose un peu son visage. Je pousse pour bien vider ma royale vessie, et ça s'accompagne d'un petit bruit. Un peu gênant, sauf si vous êtes la reine d'Égypte et que vous faites ça dans le visage d'une esclave. Je me relève en lui disant :
— Maladroite, tu as bougé, tu mérites d'être fouettée.
Oui, c'est injuste, mais on est en 50 avant Jésus Christ. Je dis à l'autre esclave, celle qui est sèche :
— Couche-toi par terre, sur le dos.
Elle obéit aussitôt et je m'assieds sur son visage. Je me frotte sur elle pour me sécher... je suis bien comme ça... La fille va connaître mes pensées.
Je reprends mon texte :
— Voilà, je me sens plus légère, alors Messieurs....
Quand la scène se termine, je me relève... Dommage, j'étais bien. Je regarde mon esclave-siège et, oui, elle vit toujours. J'ai des fesses, mais pas au point de tuer les gens en m'asseyant sur leur visage. Lee vient m'embrasser la main en disant :
— Magnifique, Ashley.
Je pisse sur le visage d'une esclave et je m'assieds sur le visage d'une autre et lui, il est ravi : facile, le cinéma. Ensuite, on repasse à la version convenable, c'est nettement moins marrant. Vers 1 h, on arrête pour aller manger. Lee Varella me dit :
— Tu es vraiment très bonne, Ashley...
Il me prend par le bras, on s'éloigne et il me dit nettement plus bas :
— Est-ce qu'à l'occasion, tu pourrais refaire la scène de tout à l'heure... en petit comité ? Je te revaudrai ça...
Par moment, j'ai l'air pas trop maligne comme lorsque j'ai peur des araignées sous mon lit, mais en fait, je suis beaucoup moins conne que j'en ai l'air. J'ai compris ce qu'il voulait, je lui réponds :
— Vous aimez le champagne tiède, Monsieur ?
— Ouiiii...
— Demain matin, si vous voulez.
Il embrasse ma main en disant :
— Tu es un amour.
J'ai entendu dire que Lee Varella était un grand amateur de pieds de filles... Il pourra aussi me sucer les orteils. On va manger. J'envoie un SMS à Monsieur Sam : "Pourrais-je vous voir 5 minutes." Trois minutes plus tard, j'ai la réponse : "Monte".
Je montre le SMS de Monsieur Sam à Lee. Je vais l'appeler par son prénom. Pas besoin de faire des manières avec un Monsieur qui va s'abreuver à votre source... joli, non ? Je lui dis :
— Je peux monter 5 minutes ?
— Oui, bien sûr, Ashley.
On est amis. Je dis à Kim :
— Viens avec moi.
— Oui Mademoiselle.
Pas besoin de lui dire où on va : c'est mon assistante. Je suis toujours vêtue de mes voiles transparents. On va dans le grand building. Un garde me dit :
— Monsieur Sam vous attend, Mademoiselle Ashley. Et vous êtes très belle en Cléopâtre.
Je lui fais un grand sourire, je l'aime bien aussi, lui. On prend l'ascenseur extérieur transparent. Je me colle à Kim ! Surtout ne pas regarder le vide qui augmente sous nos pieds. Ouf ! On arrive saines et sauves au sommet du building, dans la forêt.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink:
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De 2012 a 2015
Je suis en terminale, fraichement célibataire et plutôt déçue du sexe, je ne suis plus autant en quête d'un pénis pour combler ma vie ...
Je me réfugie auprès de mes copines et dans mes loisirs choisissant de me concentrer sur mes études pour le BAC en fin d'année !
Il y'a pourtant dans ma nouvelle classe un garçon qui ne me laisse pas indifférente, il a des yeux bleus à tomber, de beaux cheveux mi-longs blonds et il me fait beaucoup rire mais je ne me projette pas dans une quelconque relation pour le moment.
Plusieurs garçons me tournent autour ayant appris ma rupture durant l'été et certains se montrent assez grossier en se comparant à Clément, ils sont d'emblés à mes yeux inintéressants en s'y prenant de la sorte mais pensent avoir une chance.
Mon Crush discute de plus en plus avec moi par messages, nous avons beaucoup de points communs et une complicité rare, il flirte de plus en plus ouvertement, me complimente souvent le soir sur ma tenue du jour, me dit qu'il va rêver de moi quand il va dormir ...
Je m'amuse en retour a lui dire que je suis en pyjama dans mon lit quand je lui parle ou bien que je sors juste de la douche (alors que souvent ce n'est pas vrai), je fais en sorte de lui mettre des images plus ou moins sexy de moi dans la tête pour attiser son désir et voir comment il réagit dans ses messages suivants.
Je me caresse régulièrement avant de dormir en l'imaginant se branler en pensant à moi, un soir alors que je me touche pendant que nous échangeons par messages, il me dit le plus spontanément du monde, qu'il me laisse-là car il doit aller se branler avant de dormir et qu'il est tard !
J'hésite entre lui répondre un simple "d'accord, bonne nuit, à demain" ou le chauffer mais ma chatte qui supplie que je continue de jouer avec elle me pousse à choisir la seconde option, je lui réponds alors "c'est moi qui te mets dans cet état ?"
Son texto mets quelques instants a tomber ...
"Truc de mecs ma belle, faut faire sortir le venin pour bien dormir, n'y voit pas là un rapport avec toi, tu n'es pas le centre du monde"
Je le prends un peu mal car il refroidit l'ambiance mais je sais qu'il cherche a me taquiner et me faire parler de sexe ou manifester par écrit une quelconque déception, je m'amuse alors de cet affront et décide de surenchérir !
"Je parie que t'as déjà la main dans le calbar pourtant puisque t'as mis un peu de temps a répondre, pas joli-joli de m'envoyer un message alors que tu secoues Popol !"
" J'avoue que j'ai peut-être commencé mon affaire, après-tout je te l'ai dit, il se fait tard et on se lève tôt demain ..."
" Ah tu vois, bon garçon j'aime quand tu es honnête, du coup ça se branle sur quoi ?"
(Je me frotte le clito comme une folle sur notre conversation quand je ne lui réponds pas et attends son message)
" Qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est un peu gênant en plus; tu trouves pas ?"
" Oh voilà qu'il fait le timide maintenant, je sais pas, je pensais que t'assumerais puisque c'est toi qu'a commencé a parler branlette !"
" Je regarde une scène porno, t'es contente ?"
" Ok, quelle genre, petit cochon ?"
" Pourquoi tu veux en regarder un aussi peut-être, petite cochonne ?"
(Je mouille comme une folle depuis plusieurs messages, il m'excite carrément trop, j'ai envie de lui, de le voir se branler ...)
" Qui sait ? Peut-être que je vais m'en faire un petit avant de dormir aussi ..."
" Ah ouais, tu regardes des pornos toi ?"
" Moi aussi je me caresse souvent avant de dormir pour ta gouverne !"
" Charlotte ... T'es en train de carrément m'exciter là, faut pas me dire des choses pareilles !"
" De ? Savoir que je me frotte la chatte ça te rends fou ? Y'a pas que les mecs qui aiment le porno et prendre du plaisir avant de dormir"
" C'était pas le moment pour me dire des choses comme ça, je me branlais petite idiote, maintenant je t'imagine le faire ..."
" Bah justement si je peux aider, je vois pas où est le problème ..."
" Ah ça te dérange pas de savoir que je suis en train de me branler en discutant de ça avec toi ? Que tu m'excites ..."
" Non au contraire surtout de savoir que ça t'excite est flatteur et puis je fais peut-être la même chose ..."
" Jure ?! Tu te touches là ?"
" Peut-être, peut-être pas, en tout cas, je t'imagine t'acharner sur ta queue mon cher et ça m'amuse"
" Bordel, je viens de finir, tu m'as complétement fait vriller, j'en ai mis partout, je me sens un peu honteux "
" Faut pas, ça restera notre petit secret, j'espère que c'était bon en tout cas"
" Ok, on fait ça, je te promets d'en parler a personne, j'ai kiffé mais a la fois je me dis qu'on a dérapé, allez bonne nuit la miss"
" Yep a demain et y'a pas de mal a se faire du bien, dors bien"
Je me caressa encore quelques instants totalement en transe avant de m'endormir avec un peu de remords d'avoir été aussi cru.
Le lendemain matin, Thomas arrive dans la cour du lycée, me prends par la main, m'entraine avec lui en me disant qu'il faut qu'il me parle, il me plaque contre le mur derrière les toilettes, me regarde fixement dans les yeux "Je t'aime, petite cochonne" me dit-t-il avec aplomb, je rigole et lui réponds "moi aussi petit cochon", il me roule une pelle des plus intenses en me prenant dans ses bras, je fonds littéralement et tombe inéluctablement folle amoureuse de lui.
Thomas et moi étions un couple très fusionnel, il était beau garçon, populaire et très apprécié, je l'étais aussi donc nous devînmes l'un de ses couples stars d'un bahut. Plusieurs de mes copines m'enviait notre relation, plusieurs de ses copains jalousait celui qui profitait de mon corps et ça, pour en profiter, il en profitait ... Thomas fut une révélation, il répara les dégâts de Clément (le précoce) avec lui je redécouvris cette passion que j'avais pour la queue, j'adorais sa bite, l'avoir dans ma main, dans ma bouche, dans ma chatte !
Thomas était endurant, mieux membré, plus sauvage, plus pervers, il me prenait dans toutes les positions, dans plusieurs pièces de nos maisons, à l'extérieur, il avait toujours envie de moi et c'était à chaque fois un réel plaisir que de satisfaire ses besoins !
Le sexe était un fondement de notre relation, on baisait tout le temps, on parlait de cul tout le temps, on était des animaux en ruts qui se découvrent une sexualité et la consume a toute vitesse ! J'adorais le voir en érection, savoir qu'il bande pour moi. J'adorais embrasser son gland, couvrir ses boules de baisers et dévorer son chibre de longues minutes en l'écoutant gémir de plaisir. J'adorais quand il dévorait ma poitrine, bouffait ma chatte et me léchait le cul, sentir son envie pour mon corps. J'adorais par dessus-tout ses coups de reins violents, sa bite raide qui tapait si fort et profondément en moi, la fougue qui le caractérisait et nos parties de jambes en l'air digne des pornos que nous regardions ! Thomas réveilla de nouveau la salope qui dormait en moi, il me rendit accroc a sa bite, au sexe et me déprava !
Totalement en confiance avec ce garçon qui me témoignait tout son amour et tous ses désirs, je me laissais aller et oubliait petit a petit la conception de pudeur, tabous ou limites. Thomas avait instauré une règle dans notre couple, nous devions toujours tout faire pour le plaisir de l'autre et ne rien lui demander que nous ne pourrions faire nous-même ! Si tu m'aimes, pourquoi m'empêcher de prendre du plaisir ou faire ce que j'aime ? C'était un peu son crédo et dans le fond ça se tenait. Je me dévouais a le faire prendre son pied et m'assurer qu'il exprime toutes ses envies et en retour il s'assurait également que je jouisse avant lui et communique sur mon ressenti ou ce dont j'avais envie. Thomas me fit découvrir le véritable plaisir, il m'emmena aux portes de l'orgasme que je ne franchissais pas mais nous n'étions pas loin, il savait me faire jouir et je vénérais sa queue.
Il fut le premier garçon que je présenta a ma mère, elle l'appréciait beaucoup.
Quelques semaines après avoir officialisé mon couple auprès de ma Maman elle m'offrit mon premier string en me disant que maintenant j'avais l'âge d'en avoir un, elle se doutait que j'étais devenue sexuellement active avec mon petit-copain alors elle me posa la question, je lui confirma que je couchais avec Thomas. Monsieur souhaitait que je prenne la pilule pour que l'on se passe du préservatif, j'en parla a ma mère en lui disant que je souhaiterais avoir une contraception plus sûre, elle m'encouragea a prendre en effet la pilule. Les premières baises sans capotes furent incroyables, la sensation du peau contre peau me fit redécouvrir sa queue ou la bite de manière plus générale, tout était plus doux, sensuel, meilleur et le sentir jouir en moi était une satisfaction totale, les jets chauds qui se déversaient dans mes entrailles me donnait l'impression de servir de vide-couilles, accomplir ma fonction jusqu'au bout.
Au fil des mois, Thomas me baisait de manière plus brutale et j'aimais cela, ces mots devenaient plus crus, il parlait de mon corps de manière obscène, de moi en des termes peu élogieux mais dans les situations que nous vivions, il disait toujours vrai ...
Comment contester le fait que j'étais une salope ? Moi qui adorait le sucer, m'étouffer sur sa queue raide pleine de salive, m'empaler dessus pour m'y remuer sans pudeur, gémir sans honte sous ses coups de bites, me faire remplir de sperme ...
Comment contester le fait que j'étais une chienne ? Moi qui voulait toujours me faire baiser, qui en prenait plein la chatte tout le week-end, qui cambrait mon cul à m'en déboiter le dos et écartait mes deux fesses pour lui offrir la meilleure vue sur mes trous ...
Comment contester le fait que j'étais une pute ? Moi qui obéissait à toutes ses envies, me faisait baiser en extérieur avec le risque d'être surpris, jouissait avec ses parents dans la pièce d'à coté, lui gobait les deux boules en même temps pendant qu'il se branle, lui léchait le cul s'il me le demandait, avalait son sperme ou le laissait me recouvrir le visage ...
Au lycée et devant nos amis, j'étais sa petite amie. A la maison ou chez ses parents, j'étais sa copine. Entre nous, j'étais sa femme, sa meilleure amie, sa confidente, sa partenaire mais au lit quand les vêtements tombaient je n'étais plus qu'une salope bonne qu'à se faire défoncer la chatte, une chienne docile vouée a lui vider les couilles et une pute dépravée qui ferait tout pour satisfaire sa queue ...
J'aimais cela, j'aimais être cette salope, j'aimais le sexe, la bite, sa bite et j'aimais ce qu'on était, c'était parfait ainsi !
Durant l'année de mes 18 ans, j'ai discuté un jour a cœur ouvert avec ma mère sur l'abandon de mon paternel, elle me raconta qu'ils ne s'entendaient plus du tout, qu'elle ne le comblait pas assez sexuellement selon lui mais aussi qu'elle savait qu'il avait une maitresse, fréquentait des établissement libertins et avait une double vie. Les révélations de ma mère me poussèrent a m'investir encore plus sexuellement avec Thomas, à le combler et ne rien lui refuser. Avec le recul, je pense que ma soumission trouve ses origines dans cet instant, mon rapport aux hommes a toujours été influencé par l'absence d'une figure paternelle dans ma vie mais mon rapport au sexe a aussi toujours été influencé par ce besoin d'affection et cette volonté de combler l'autre pour m'assurer qu'il reste a mes cotés.
Savoir que mon géniteur était un salaud infidèle a la libido insatiable qui faisait passer ses besoins sexuels avant tout le reste m'aida a le détester encore plus mais je releva aussi les points communs que nous commencions à avoir ... Pire encore, parfois quand je me masturbais, j'imaginais cet homme qui baisait autrefois ma mère, elle qui m'a éduqué de façon plutôt stricte, que je ne vois jamais se relâcher, qui n'a jamais refait sa vie et que je ne peux imaginer avoir eu ne serait-ce qu'une aventure depuis leur séparation. A quoi pouvait bien ressembler leurs parties de jambes en l'air ?
Un fantasme commença à germer en moi, celui d'un jour aller en club libertin !
Je m'informais régulièrement sur le milieu, ses codes, son fonctionnement et consommait de temps en temps du porno en lien avec le libertinage, l'échangisme ou les glory-holes.
Quand je me caressais, Il m'arrivait de fantasmer sur une soirée dans un club avec Thomas, de voir des gens en train de baiser, de nous joindre à eux mais je n'en étais pas capable, ce n'était que des pensées obscènes quand j'étais trop excitée ...
Pourquoi cela m'excitait autant d'ailleurs ? Est-ce que j'avais réellement envie de sexe a plusieurs ? Que Thomas me voit coucher avec un autre homme sous ses yeux ? De sucer la bite d'un parfait inconnu sans savoir à quoi il ressemble physiquement en le pompant à travers le trou d'un mur ? Un soir, je pris conscience que ce qui m'attirait autant dans ce fantasme du club libertin ce n'était pas tant le milieu décomplexé sexuellement et tout ce qui va avec mais plutôt l'idée de marcher sur les traces de mon paternel, que ce qui m'excitait c'était de me dire que je pourrais tomber sur lui, que je ne le reconnaitrais pas et lui encore moins, que je pourrais me faire baiser par mon propre père ou sucer sa queue sans le savoir ...
Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis faites du bien avec des pensées pareilles dans la tête ...
Je fantasmais sur le fait d'entrer dans un club, de voir une femme se faire prendre sous mes yeux et de me dire que c'est peut-être mon père qui est en train de la baiser.
Je fantasmais sur le fait de me faire baiser par Thomas devant des voyeurs et que mon paternel serait peut-être dans le groupe d'hommes qui me regarde, qu'il constate la chienne que je suis sans que lui ou moi ne le sachions.
Je fantasmais sur le fait de sucer des bites dont je ne sais rien, d'en voir de toutes les tailles et diverses formes, de m'atteler à en vidanger plusieurs sans avoir la moindre idée de la beauté de l'homme derrière le mur, sa corpulence ou son âge.
J''étais excitée par l'idée de sucer des mecs repoussants, qu'ils soient moches, gros ou vieux mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de pomper un gars de mon bahut, un de mes profs, le père d'une amie mais que je n'en sache rien.
Que je sois en train de vider les couilles de mon propre père dans ma bouche mais que je n'en sache rien.
Je fantasmais sur le fait de me faire prendre par de parfaits inconnus, que Thomas m'offre à des mâles en rut, m'échange à un gars contre sa copine, de n'être qu'un corps dont des hommes dont je ne sais rien disposent pour leurs besoins. Il y'avait de la perversion en moi qui aimait l'idée que mon père soit un jour l'un d'eux, qu'il pénètre dans la chatte de sa propre fille, celle qu'il a abandonnée dont il ne connait rien et surtout pas le manque dont elle a souffert, qu'il profite de ce qu'il a engendré, que son égoïsme et ses vices comme ma dépendance aux hommes et ma dépravation nous conduisent a baiser ensemble comme les obsédés maudits que nous sommes.
Ce fantasme était irréalisable et bien trop immoral, il se manifestait dans un coin de ma tête quand j'étais très excitée et perdait le sens des réalités avant de jouir, je ne pouvais pas en parler à Thomas tant il était obscène, difficile a comprendre sans une parfaite connaissance de mes blessures psychiques et je ne voulais pas que mon petit-ami voit cet aspect de moi ...
La vie suivait son cours, j'étais épanouie tant socialement, émotionnellement que sexuellement !
Depuis les révélations de ma mère et ma décision de m'offrir sans aucune limites a mon petit-ami, je ne faisais plus l'amour, je me faisais baiser. Je ne suçais plus simplement une bite, je m'exerçais a la gorge profonde. Je ne recrachais plus le sperme après une pipe, j'avalais son foutre, le laissait venir sur mon visage, ma poitrine, mon cul ou la plupart du temps, au fond de ma chatte !
Thomas était un conquérant, celui qui annexait mon corps, lui faisait vivre diverses premières fois mais surtout celui qui me ferait tout faire, tout vivre, tout essayer ne serait-ce qu'une fois juste pour voir ! Il ne cachait plus sa part d'ombre et me délivrait toutes ses envies, à chaque fois que nous repoussions nos limites ou faisions quelque chose de nouveau, il se tournait instantanément vers la prochaine étape, c'était comme une liste de pratiques, perversions, situations, jeux de rôles qu'il voulait cocher comme pour se dire, on l'a fait !
Mon obsédé de petit-ami m'avait convaincu de me laisser prendre en photos totalement nue et filmer en plein acte pour qu'il se branle sur moi/nous plutôt que du porno pendant la semaine. Il vouait un tel culte a mon corps que j'avais acceptée par amour de lui faire confiance pour garder ça pour lui. Je me disais que si ça l'aidait à rester focus sur moi même dans ses moments solitaires, il n'en serait que plus bouillant le week-end lorsqu'il retrouverait "la came" sur laquelle il se branlait toute la semaine ! Je me fis violence au départ pour lui offrir le contenu qu'il recherchait pour ses branlettes, les premiers shootings furent éprouvants et gênant mais quand il me filmait en train de le sucer c'était excitant de me dire que je devais fournir une belle prestation car elle était enregistrée et qu'il allait la revivre en solo. Au fil des mois, je me pris finalement au jeu et il amassa plusieurs centaines de photos allant de shootings complets dédiés a une tenue ou un ensemble de lingerie a des photos prises a la va-vite pendant nos ébats. Une baise sur deux, il sortait dorénavant son téléphone pour me filmer, il se filmait en train de se faire sucer, de me baiser et d'éjaculer sur mon visage ou mon corps. Déjà bien dépravée et sans pudeur, le fait de savoir qu'il détenait autant de photos/vidéos compromettantes sur moi où il avait la preuve que j'étais bel et bien une salope fit voler en éclats ma capacité a garder encore quelques limites ou lui refuser quelque-chose ...
J'étais déjà soumise à cet homme sans le dire, nous ne mettions pas de mots sur cela mais dans les faits ma dévotion était totale depuis des mois, mes tabous presque tous envolés et la notion de limites, il savait la faire disparaitre.
La semaine nous avions maintenant du sexe virtuellement, allant des sextos/appels cochons où on se touchent avant de dormir aux échanges de nudes, il n'y avait plus de temps morts avec le week-end où nous passions aux rapports plus concrets.
J'aimais envoyer des photos de mon corps a mon mec, qu'il me réponde avec une photo de sa queue en érection ou me dise que si j'étais face a lui, il boufferait la chatte que je venais de lui envoyer ! J'aimais qu'il me promette "de me détruire" ce soir quand je lui envoyais une photo de moi dans mon bain m'épilant la chatte pour lui. J'aimais me réveiller et avoir une photo de ses jets de sperme sur le parquet de sa chambre où il me disait que c'était le résultat de sa masturbation devant notre vidéo du week-end dernier ! J'aimais aussi me toucher sur nos vidéos, parfois je lui demandais de m'en envoyer certaines quand j'avais trouver le moment génial pour pouvoir me masturber devant. Je ne m'en suis pas rendue compte à cette époque mais je pense que c'est à cette période que je suis devenue nymphomane, le sexe était présent chaque jour.
Ma dévotion totale à mon petit ami, sa recherche constante de nouveautés et notre volonté de tout essayer nous poussèrent à aller très loin pour des jeunes de nos âges.
Lorsqu'il m'avait demandé de lui faire un anulingus par exemple, j'avais au départ émis des réticences mais il avait argumenté en me disant qu'il me le faisait bien lui, alors pourquoi pas l'inverse ? J'avais rétorqué le fait de n'avoir rien demandé mais avec le couplet sur le fait de donner du plaisir à la personne qu'on aime en veillant a son épanouissement, j'y étais allé !
Les premiers coups de langues furent fébriles mais il s'était entièrement épilé pour l'occasion alors je lécha le pourtour de son anus et appuya légèrement sur son entrée, les gémissements de plaisir de mon copain m'encouragèrent a poursuivre cette mascarade. Dans les minutes qui suivirent, je recevais des ordres clairs et autoritaires me disant d'embrasser ses fesses, de lécher plus vite, de remuer de haut en bas ma langue, de la laisser sortie et de ne bouger que ma tête, de lui limer la raie dans son ensemble ! Son cul était baveux, le bas de mon visage recouvert de salive, j'étouffais parfois entre ses fesses, cherchant a reprendre une respiration contre son cul, il se branlait lui-même en me regardant et appuyais parfois sur ma tête pour me maintenir entre ses fesses. Il m'ordonna de rentrer ma langue dans son cul, je ne voulais pas le faire, lécher l'extérieur était une chose mais j'avais peur du goût ou d'un accident ...
En exprimant un refus, il argumenta aussitôt sur le fait qu'il me le faisait, qu'il rentrait sa langue dans mon cul mais aussi dans ma chatte alors il prit ma tête et l'enfonça entre ses fesses en m'ordonnant de lécher, "mets-la dedans" me dit-il plusieurs fois alors que je léchais l'entrée puis j'obéis et pénétra son anus de la pointe de la langue ! "Fais des vas et viens, je veux te sentir entrer et sortir en moi" me dit-il en m'agrippant les cheveux. "Plus loin s'il te plait" me dit-il en appuyant derrière mon crâne pour m'enfoncer le visage dans ses fesses alors que ma langue était en lui. "Encule-moi avec ta langue" me dit-il pendant que je gardais ses fesses écartées et que j'y mettais des hochements de tête la langue enroulée pour en faire une pointe qui le gode ...
Voici comment je suis passée en moins de dix minutes de quelqu'un qui ne s'était jamais approchée d'un anus a quelqu'un qui raclais l'intérieur d'un trou de balle avec sa langue !
Après cette première fois, je lui léchais le cul un week-end sur deux pendant nos préliminaires et cela ne me dérangeait plus.
L'anus de mon mec était copieusement léché s'il soulevait ses jambes pour m'y laisser l'accès et j'aimais que ma langue remonte en continu de sa raie à ses couilles pour revenir à sa queue. L'anus de mon mec était habilement sollicité s'il se mettait à quatre pattes, je lui écartais bien les fesses et l'enculait avec ma langue tout en masturbant sa queue qui pendait dans le vide. L'anus de mon mec était violemment frotté contre ma langue et sur mon visage quand il s'asseyait sur moi pour que j'étouffe entre ses fesses alors qu'il se remuait sur la pointe de ma langue tout en se branlant et m'agrippant parfois par les cheveux pour enfouir mon visage dans son cul.
Nous avions 18 ans et je bouffais le fion de mon petit-copain comme une actrice de gonzos !
Je pense que le plus hors du commun ou inavouable c'est quand nous nous sommes mutuellement pissés dessus ...
Thomas m'avait plusieurs fois fait part de son envie de m'uriner dessus, sur le visage plus précisément mais j'avais évidemment tout de suite décliner la proposition et bien qu'il en reparle parfois sur ce sujet il ne me forçait pas la main sachant que c'était bien plus hardcore. Je lui avais demandé ce qu'il cherchait là dedans et il m'avait expliqué vouloir voir jusqu'où je pourrais aller pour lui, si ma dévotion était réelle et que c'était une façon de se sentir supérieur à moi sur l'instant, une envie d'humiliation, de dominer. Un soir après une bonne baise chez lui, nous avions tous les deux envie d'aller aux toilettes pour pisser puis a la douche, nous venions de passer un bon moment et lorsqu'on se chamaillait pour la première place aux WC, il me dit que je n'avais qu'à pisser dans la douche puisque je devais y aller, je lui concéda alors les toilettes en acceptant de le faire sous l'eau de la douche. Alors que je déclenchais l'eau, Thomas s'engouffra dans la salle de bain, la ferma a clé et me chuchota (parents dans le salon au rez de chaussée) que si j'étais capable de me pisser dessus moi-même dans la douche et bien nous n'avions qu'a nous pisser dessus à tour de rôles dans la douche. Je lui demanda pourquoi ça et il me rappela qu'il ne me demanderait jamais de subir quelque-chose qu'il n'est pas prêt à faire aussi donc que s'il me pissait dessus, il subirait l'expérience en retour ! Je ne sais pas si c'est l'euphorie de la soirée sympa que nous passions ou le fait que j'avais trop envie de pisser pour que l'on débatte mais j'accepta si c'était juste sur le corps. Thomas coupa l'eau, se positionna dans le bac de la douche et me dit de mettre un pied sur son épaule puis de me laisser aller, je fis ce qu'il dit et commença à uriner. Au début je me pissa plus le long de la jambe qui me servait d'appui que sur lui, je me retins alors de nouveau pendant qu'il se positionnait davantage sous moi bien collé à ma cuisse alors qu'il maintenait mon autre jambe sur son épaule. La seconde tentative fut aussi calamiteuse mais fonctionna, ma pisse coulait sur lui, sur son bras, une partie de son ventre et ses cuisses, il me demanda d'orienter ma chatte de la main alors je tira dessus pour tenter de viser avec le jet et lui en mettre un maximum dessus, on rigola énormément lorsqu'il me dit que "c'était très bizarre la sensation, chaud et que ça puait" alors que j'arrosais son torse et savourait ses grimaces. Monsieur se rinça puis m'invita a prendre place. C'était mon tour, je m'accroupis jambes écartés en étant bien appuyé sur mes talons, il me demanda de tenir et écraser mes seins l'un contre l'autre puis il débuta, c'était tout de suite bien plus facile pour un homme de viser ... Il s'amusa à pisser sur mes seins, mes épaules, mes cuisses, c'était brulant et ça démangeait, l'odeur était forte, je puais la pisse ! Il me fit me retourner a quatre pattes pendant qu'il retenait ses derniers jets puis il urina sur mes fesses et mon dos. Je me mis debout, puante avec des relents de dégout devant l'odeur de l'urine, on prit un fou rire en concédant tous les deux que ça puait et que c'était n'importe quoi ce qu'on venait de faire puis je me rinça en vitesse à grand renfort de gel douche !
Il est difficile de vous conter toutes les parties de jambes en l'air et diverses pratiques que nous avons vécues au sein de cette relation mais si je devais encore vous partager quelques anecdotes, je vous parlerais de notre penchant pour le sexe en extérieur !
Déjà c'était pratique, deux adolescents/jeunes adultes chez leurs parents c'est pas toujours simple pour baiser discrètement chez nous donc le faire à l'extérieur était un bon plan en plus de terriblement nous exciter avec le risque d'être surpris.
Il y avait un petit bosquet derrière le quartier de Thomas, je ne sais pas combien de fois je me suis faites baiser contre un arbre ...
Au lycée, nous nous éclipsions parfois le midi pour faire nos affaires entre les buissons d'un parc à coté du bahut ou dans une ruelle.
Chez moi, nous partions nous promener dans les champs et mes premières exhibitions furent devant un troupeau de vaches.
Il y'a aussi une anecdote honteuse, un week-end où les parents de Thomas n'étaient pas a la maison, il me fit part d'une découverte !
Monsieur avait trouvé dans l'un des placards de sa mère, un gode vibromasseur et il voulait que l'on essaie ...
J'ai au départ comme souvent tenté de refuser en lui expliquant que c'était à sa mère, qu'elle se l'enfonçait dans la chatte et qu'il était hors de question que je fasse de même avec son jouet a elle !
"N'importe quoi, y'a rien de sale, je vais le passer sous l'eau avant de toute façon et on le nettoiera aussi après ! C'est qu'un jouet et puis tu faisais pas toutes ces manières quand on a baisé dans le lit de mes parents le mois dernier !"
Thomas continua de me forcer la main en m'expliquant qu'on avait l'occasion d'essayer et de voir ce que ça me ferait, il alluma le sex-toy qui commença a vibrer et en regardant ce jouet en forme de pénis fuchsia vibrer, j'eue en effet envie de savoir ce que ça faisait.
Mon pervers de petit-copain enleva ma culotte et me fit me coucher sur le dos, les jambes bien écartées, il frotta la tête du jouet contre mon sexe, les vibrations étaient agréables et stimulaient bien mon clitoris, je mouillais sur le sex-toy de ma belle-mère !
Thomas commença alors à me lécher, à insérer ses doigts puis fit entrer le gode en moi, au début il me pénétra avec le sex-toy à l'arrêt, il faisait des vas et viens en moi, j'étais trempée et très excitée. Thomas me goda de longues minutes avant de me défoncer littéralement la chatte à la force de son avant-bras, si le jouet n'était pas aussi bon que sa queue en sensations, la vitesse de pénétration et la cadence des vas et viens qu'il pouvait imposer à ce pénis par la force de sa main était bien supérieur à celle de ses coups de reins ! Je serra les cuisses et voulu interrompre la folle cadence ne tenant plus devant tant d'intensité, il me retourna, suréleva mes fesses et reprit de plus belle bien agrippé a mon postérieur qu'il tenait coincée entre son torse et ses bras ! Il alluma le vibromasseur qui commença alors à vibrer et résonner en moi, mes parois étaient chatouillées mais c'est plutôt la pénétration effrénée que reprit vite Thomas qui me faisait péter un plomb, trop de plaisir se mêlaient en moi.
"Je croyais que t'en voulais pas ? Ecoute les bruits obscènes que fait ta chatte maintenant ! T'aimes te faire goder ma salope, regarde comment tu mouilles sur le sex-toy de ta belle-mère, tu vois que t'es qu'une pute !
- Oui, je suis qu'une pute qui aime s'en prendre plein la chatte !"
Je gémis comme une chienne en chaleur, plusieurs fois je tente de fuir l'intensité de ma jouissance mais mon masturbateur ne me laisse pas bouger, je ne peux qu'encaisser sa fougue tant que son poignet en a sous le coude !
Thomas cessera ce divin supplice après d'intenses minutes, relâchant mon cul et me laissant inerte avec le sex-toy éteint mais encore plantée dans la chatte c'est un ordre qui me fit revenir a moi.
"Allez maintenant, je veux que tu le suces bien fort et nettoie toute la mouille que t'as mis dessus"
Thomas retire le jouet de ma chatte dilatée, il l'approche de ma bouche et je l'avale, il le remue entre mes lèvres et me demande de bien le lécher, je m'exécute et goute à de la mouille tout sauf délicieuse, il sort alors sa queue et me dit de manger de la vraie bite.
Je me souviens que je l'ai sucé avec application, qu'à un moment j'ai repris le sex-toy de sa mère pour me goder moi-même pendant que je le suçais ... J'avais conscience d'être une dépravée mais j'ai eu du mal a regarder sa mère dans les yeux quelques temps après cet épisode.
La dernière anecdote qui sort du lot et mérite d'être racontée serait qu'on se racontait des histoires de culs fictives avec des potes à nous dedans pour nous exciter ... Thomas fantasmait sur un plan a trois avec deux filles, moi sur mon club libertin donc souvent nous aimions nous masturber en écoutant l'autre nous raconter des obscénités sur nous et quelqu'un qui nous excite mais cet aspect sera plus amplement évoquer dans un chapitre bonus.
Thomas était un pervers insatiable et moi j'étais devenue une salope dévergondée, nous nous comblions tellement !
Le seul point noir dans notre sexualité était le sexe anal, lui en raffolait et en regardait énormément en vidéos, moi pas plus que ça.
Il avait forcé de longues semaines pour que je le laisse me sodomiser, j'avais fini par accepter d'essayer !
De longs préliminaires, beaucoup de lubrifiant et une pénétration patiente et progressive n'avait pas réussit à me détendre suffisamment pour que j'y prenne du plaisir, la sodomie avait été douloureuse et déplaisante. Une seconde tentative avait eu lieu le mois suivant de mémoire et c'était encore moins bien passée, il m'avait enculée jusqu'à se finir alors que je n'en pouvais plus et j'avais pris sur moi pour le laisser finir en me cramponnant au matelas de longues minutes ...
Depuis ce jour, la sodomie avait été proscrite de nos ébats et si j'autorisais le doigt dans le cul, je lui refusais dorénavant l'accès à ce trou avec sa queue qui était synonyme pour moi de mauvais quart d'heure !
On ne pouvait pas dire que j'avais peur de la douleur ou que je ne laissais pas mon mec me violenter, les fessées franches en levrette, le tirage de cheveux pendant la pénétration, les claques pendant la pipe ou la baise, les étranglements et les jeux de salives étaient monnaies courantes après notre première année de couple mais l'anal restait a l'écart.
Alors que nous approchions de nos deux ans de relation, je commis une grave erreur, toujours folle amoureuse de mon copain et épanouie, je ressentais néanmoins qu'une routine s'installait entre nous et passant tout mon temps avec lui, je ne me sentais plus que comme la copine DE alors je me demandais si je plaisais encore aux autres hommes ...
Comme un besoin de séduire, de me rassurer ou de braver un interdit, j'alla flirter par messages avec un garçon qui prenait mon bus et que je trouvais pas mal, nous discutions de temps en temps et je le chauffait légèrement pour m'attirer ses compliments. Thomas le découvrit un jour en fouillant dans mon portable (chose qu'il ne faisait jamais mais il avait senti que quelque-chose se tramait) s'en suivit une dispute dévastatrice où je m'excusa à ses pieds et le supplia de ne pas me quitter, que je ne faisais que jouer pour me rassurer, que je ne l'aurais jamais trompé, il ne l'entendait pas ainsi et considérait que je l'avais trahi, il me quitta ...
Ce fut un week-end à pleurer, m'en vouloir et tenter de le reconquérir, il était blessé, trahi et vexé. Mes déclarations d'amour, mes excuses, mes promesses de me racheter ne changeaient rien et alors que je le pensais perdu a jamais, il me donna rendez-vous chez lui le week-end suivant en me disant de venir que si j'étais prête à tout pour le récupérer ...
Je rejoignis mon petit-copain blessé qui me faisait la gueule depuis plus d'une semaine, nous sauvâmes les apparences devant ses parents et montèrent vite à l'étage pour nous enfermer dans sa chambre et discuter. Thomas affichait toujours une mine grave, je le prit dans mes bras en m'excusant et lui rappelant que je l'aimais plus que tout, il me rassura en me disant que lui aussi et qu'il avait énormément de mal à vivre sans moi, que cette séparation le dévastait mais qu'il n'en était pas la cause, juste la victime suite a ma trahison, que si je voulais regagner sa confiance, je devrais lui prouver que je suis prête a tout pour lui et que je lui appartiens !
Je lui confirma être folle de lui et ne pas vouloir le perdre, que je saurais me racheter alors il me répondit d'un ton froid et autoritaire "on va voir ça, enlève ta culotte" ...
Je m'exécuta avec un peu d'appréhension mais en me disant qu'il voulait sûrement se réconcilier par le sexe.
"Voilà" dis-je les fesses à l'air devant lui, il me positionna a quatre pattes sur le matelas, baissa son jogging, cracha sur son sexe, sur mon anus et commença à y engouffrer un doigt, "Non pas ça ..." suppliais-je, notre dernière sodomie remontait a plus d'un an ...
"Ta gueule, t'as pas le choix ! T'as dit être prête à tout ! Vouloir prouver que tu m'aimes ! C'est une bien maigre punition vu que ce que t'as osée faire, salope !" sa voix était différente, agressive, en colère, pleine de rancune !
"Alors j'entends rien ? Tu veux te faire pardonner ?"
"Oui mais tu sais que je vais avoir mal, que j'aime pas ..." sa bite s'enfonce en moi, il me la mets sans prévenir et plus franchement que d'habitude, son gland entier entre d'un coup et il continue de la plonger dans mon anus sans aucune forme de retenue.
Je pousse un cri et tente de faire ressortir sa bite, il m'agrippe le cul et les bras avec fermeté !
"J'espère bien que tu vas avoir mal, tu crois pas que j'ai eu mal, moi, hein ?"
J'hurle de douleur, sa bite vient d'enflammer mon cul, d'habitude déjà, j'ai du mal a encaisser mais alors sans préliminaires ni lubrifiant, je dérouille ... Il me bouche la bouche, me dit de "fermer ma gueule", je me mets à pleurer ...
"C'est ça, chiale pour une bonne raison, c'est facile de pleurer quand on se fait chopper a draguer un autre mec, là au moins t'as une bonne raison de pleurer" me dit-il revanchard et culpabilisateur !
Sa bite va et viens dans mon cul sans pitié, il me baise par ce trou si difficile pour moi comme si c'était ma chatte, je suis en larmes et pleure bruyamment ...
"Allez mords donc dans l'oreiller, je veux pas t'entendre Charlotte, souffre en silence, a chaque fois que t'as mal, dis-toi que c'est rien comparé à ce que tu m'as fait et comment moi j'ai mal de découvrir que ma copine est une sale pute infidèle"
Je pleure dans l'oreiller, mords dans le tissu et étouffe mes cris pendant qu'il m'encule sans la moindre retenue, pitié ou tendresse !
Je comprends ce qu'il me dit, je ne nie pas l'avoir blessé et devoir faire amende honorable, s'il a choisit mon cul pour cela, alors soit ...
Je sens sa haine pour moi sur l'instant, que je n'ai surement que ce que je mérite, il me dit que ça lui fait du bien et qu'au moins après ça, il pourra sûrement me pardonner si je le laisse m'enculer à fond comme il en rêve depuis toujours, il ira mieux !
Il m'encule avec vigueur, se cramponne à mes hanches et mes fesses, me demande parfois d'écarter mes fesses, il filme la scène en commentant des obscénités très humiliantes du genre "Voilà ce qu'une chienne en chaleur mérite, ça t'apprendra à allez remuer du cul auprès d'un autre", "Sale pute t'as que ce tu mérites", "Dis moi merci de te punir et te pardonner, je devrais même pas t'enculer, tu mérites même plus d'avoir un gars comme moi" les minutes passent, la colère de Thomas redescends, je baigne dans mes larmes et ma salive avec le visage enfoui dans l'oreiller, je ne suis plus là depuis plusieurs minutes, mon cul me brule, il est en feu mais je ne sens même plus sa bite qui se déchaine. Il est désormais couché sur moi; il se termine avec des coups violents et profonds, je sens une éruption de lave coulée en moi, se mêler au brasier qu'est mon anus, Thomas se retire, prends en photo la destruction de mon fion et me laisse pleurer quelques minutes en me regardant. Je suis détruite psychologiquement comme physiquement, ma culpabilité me dévore et m'empêche de le détester pourtant je ressens bien de la haine et de la colère pour lui, mon anus me lance et son sperme qui en coule me fait me sentir encore plus souillée, je me sens sale, abusée, meurtrie. Je me tiens les fesses et pleure de nouveau à chaudes larmes maintenant que c'est enfin fini, je réalise a quel point cela a été éprouvant.
"Voilà ce que ça fait, la trahison, la souffrance, je pense qu'on est a peu près quittes" a-t-il osé me dire pour briser le silence.
"T'es qu'un connard" lui lançais-je haineuse a mon tour !
"Ouais c'est bien le minimum pour être avec une pute comme toi, maintenant soit on se pardonne, soit on va se faire foutre mais au moins, on est quittes"
Je quitte la chambre part prendre une douche, expulser son sperme qui coule de mon cul en feu, j'ai mal, je pleure encore une fois sous la douche partagée entre les remords de l'avoir autant blessé pour l'avoir rendu aussi méchant lui qui était un amour et la honte de ce qu'il vient de me faire subir ...
En sortant de la salle de bain, il me prends dans ses bras, m'embrasse et me demande si on est quittes, je lui dit qu'on l'est, il me réponds que dans ce cas, nous allons aller de l'avant.
Les semaines suivantes je retrouva mon Thomas, le petit ami doux et amusant, l'amant sauvage et super bon coup mais dans les mois qui suivirent plusieurs choses dans son comportement changèrent au lit ...
Adepte des jeux de soumissions et du sexe plutôt hard, Thomas était assez dominant et plutôt brutal au lit mais depuis cette "tromperie" je le trouvais plus dur dans sa manière d'être et plus tourné sur son plaisir dans les pratiques que nous faisions !
En bonne chienne docile que j'étais, j'obéissais et comblait toutes ses envies mais moi qui aimait particulièrement sucer je me retrouvais presque exclusivement à me faire baiser la bouche, la gorge profonde ou le baisage de gueule étaient quelque-chose que j'avais appris à maitriser et qui parfois me reposait (rien a faire, juste laisser monsieur aller et venir dans ma bouche) mais quand cela représente 90% de vos rapports buccaux ce n'est plus la même chose ...
Thomas m'insultait constamment au lit alors qu'autrefois c'était une manière de pimenter nos ébats qui se manifestait ponctuellement, il n'éjaculait plus que sur mon visage ou dans ma bouche, il marquait au Stabilo sur mon corps des injures ou "Propriété de Thomas", "Sac a foutre de Thomas", "Pute de Thomas", nos rapports contenaient maintenant toujours une part d'humiliation ou de violence qui autrefois étaient des événements irréguliers et donc appréciables, cela devenait malsain et dégradant ...
J'aimais toujours le sexe, j'aimais toujours qu'il me baise, j'aimais toujours le hard mais je n'aimais pas la façon qu'il avait de parler de moi au lit, l'image que je me renvoyais à moi-même dans le miroir, je perdais petit a petit confiance en moi et commençais a subir mon couple au point de ne plus me sentir à l'aise avec lui ...
Quand nous baisions, j'incarnais mon personnage et remplissais ma fonction avec brio mais quand nous étions le reste du temps simplement nous, un couple, Charlotte et Thomas, j'avais l'impression qu'il ne restait plus grand chose ...
N''étais-je pas devenue qu'une salope, une pute, une chienne, un sex-toy, un vide-couilles à ses yeux ?
Après presque 3 ans de relations, je décida de le quitter formulant mes envies de profiter un peu plus de ma jeunesse, la sensation d'avoir perdu nos sentiments l'un pour l'autre et de n'être plus que des partenaires attachés l'un a l'autre, il confirma moins m'aimer et n'avoir jamais vraiment réussit à pardonner mon faux-pas mais me témoigna son attachement et sa reconnaissance pour notre histoire.
Je quitta Thomas quelques semaines avant de partir étudiée dans une autre ville, je fis le choix d'un nouveau départ, je venais d'avoir 19 ans, j'allais avoir mon premier appartement, je devrais me trouver un petit job étudiant, prendre ma vie en main et c'est une Charlotte dépravée mais amochée par sa précédente histoire qui allait devoir se reconstruire seule afin de devenir celle qu'elle voulait être ...
A suivre ...
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Gange déversait son flot argenté dans le petit matin déjà chaud. Un héron prit son envol, dépassa les roselières des berges avant de plonger au cœur du fleuve sacré et d’y revenir un poisson au bec. Heureux de sa prise, l’oiseau s’apprêtait à engloutir le malheureux piscidé lorsque des cris et des lamentations venus de l’autre rive lui firent lâcher sa proie.
Sur la berge d’en face, un noble cortège escortait la dépouille du Maharajah Abishek vers le bucher funéraire. Suivie de son aéropage de courtisans et de conspirateurs, la princesse Asha marchait fièrement derrière son défunt prince. En ce moment, elle n’écoutait ni les cris de douleurs des 36 pleureuses ni les conseils de l’ambassadeur anglais qui, servant les intérêts de la couronne, avait jugé bon de venir à la crémation. Lord Keningthon, d’ailleurs, ne voyait pas d’un mauvais œil le décès de ce jeune prince, mort en pleine nuit, dans le lit conjugal. Emporté, dépensier, il était jugé par ses paires comme par le peuple comme un homme superficiel qui aurait mené la région à sa perte. Pour l’heure, il convenait de compatir. Asha, à peine âgée de trente ans, aurait besoin de conseillers avisés pour administrer l’une des provinces agricoles les plus fertiles des indes. Keningthon, en était persuadé, sa carrière au service de sa Majesté, allait enfin décoller.
Il jeta un regard compatissant sur la princesse nouvellement veuve. Elle était fière et marchait avec résolution vers le bucher. La foule s’était amassée pour partager la souffrance de cette femme. Tous voulaient voir leur nouvelle souveraine, elle était si jeune et si belle. Saurait elle gouverner la région sans avoir les mêmes travers que son mari ? Saurait elle refuser l’aide intéressée des anglais tout en coupant l’herbe sous le pied aux différentes factions religieuses ?
A la fin de la prière, des fleurs furent jetées sur la barque funéraire de Rajyhv le prince abhorré. Contrairement aux usages, Asha se saisit du brandon que tenait le prêtre. Celui-ci se garda de protester mais un murmure parcourut la foule. Décidée, la princesse s’avança avec gravité vers le Gange. Elle se tourna vers la foule avec solennité avant de bouter le feu au vaisseau qui emmènerait son mari vers Shiva. Une ère nouvelle démarrait.
01 juillet 1922
Les hérons, dans le bassin du palais, se rafraichissaient à la recherche d’insectes. Le soleil, en pleine été, mordait les habitants, les bêtes et les cultures. Pourtant, depuis un an, la région prospérait. Un système d’irrigation assurait une eau abondante. Des dispensaires, négociés avec la couronne anglaise, partout se construisait mais la fierté de la princesse était d’avoir multiplié les écoles. Les filles, désormais, avaient non seulement le droit mais aussi l’obligation de se rendre chaque jour en classe. Asha voulait faire de sa région un modèle économique et social. Les hommes seraient occupés par les travaux des champs, la construction d’édifices publiques, l’assainissement des villes et des villages. Elle avait eu, au début de son règne, maille à partir avec une administration masculine peu encline à céder leurs privilèges mais d’habiles combinaisons politiques dont elle était la reine avaient écarté ses males dominants et paresseux hors des postes importants. Le peuple l’appréciait, elle le savait. Souvent, lors de ses visites, des enfants jetaient des pétales de roses sur son chemin. Les femmes la remerciaient, leurs rôles dans la société peu à peu évoluaient. Bien sûr, ces réformes en avaient froissé certains. Les communautés de fanatiques étaient traquées et leurs dirigeants effroyablement tués en place publique. Les nobles, les anglais, les fanatiques religieux perdaient leur influence dans cette région prospère à la population heureuse.
Ainsi allaient les pensées d’Asha en cette chaude matinée. Aujourd’hui, pas de conseil, pas de réunion, pas d’inauguration, cette journée serait oisive. Destinée à elle seule. Elle sortit du lit et défit son sari. La soie épousa un instant ses seins, s’attarda sur ses hanches avant de tomber sur le parquet. Elle s’assit face à sa coiffeuse et énuméra mentalement le nom des parfums et des onguents alignés. Groseilles et jasmin, ambre et benjoin, poudre de coton, fleurs d’oranger, baume apaisant, khôl, maquillage venu de France défilaient sous les doigts de la délicate princesse. Son doigt s’arrêta sur un bocal noir qui prenait la poussière. Un bocal qu’elle n’avait pas eu à utiliser depuis un an. Un bocal qui avait libéré son peuple et fait d’elle la femme la plus puissante du Kerala et peut être même des Indes. Ce bocal quelconque, qu’elle époussetait en souriant, contenait de la poudre de digitales et de laurier. Deux puissants poisons qui avaient eu raison du cœur de son époux. Elle se contempla dans le miroir, agrandit son regard d’un trait de khôl avant de sonner un domestique. Un bruit mât retentit dans le couloir suivi quelques secondes plus tard par l’arrivée d’une jeune femme tremblante malgré la chaleur. Comme le protocole l’exigeait et pour des raisons évidentes de sécurité, elle se déshabilla à l’entrée de la pièce. Asha apprécia la jeune femme du regard, son corps frêle échappé de l’adolescence, son sage chignon maintenu par une pointe en os traduisait son appartenance à un village en bordure de la ville.
« Comment t’appelles-tu ? »
Dit doucement princesse pour rassurer cette jeune paysanne qu’on envoyait à la capitale pour trouver un complément de revenu.
« Fraya »
Chuchota celle dont le dos était recouvert de tatouages rituels.
« Qui t’as fait ça ? »
Lança la princesse en désignant les glyphes étranges qui marquaient la peau délicate de sa femme de chambre.
« Des gens du village, des gens méchants »
« Nous verrons cela plus tard, masse-moi le dos veux-tu. »
La jeune fille contemplait les courbes de sa maitresse. Elle posa ses doigts sur la peau délicate et parfumée, glissa quelques gouttes d’huile dans le creux des épaules d’Asha qui l’invita à monter sur le lit. La princesse se doutait du trouble qu’elle suscitait mais préféra l’ignorer pour le moment.
« D’habitude, c’est Aajay qui a ce privilège. C’est le plus merveilleux des eunuques qui soit, ses mains valent de l’or tu sais ».
La jeune fille marqua un temps d’arrêt, un peu confuse puis se rattrapa.
«Ajaay m’a fait dire qu’il ne pourrait pas venir maîtresse, il est au chevet de sa mère qui est gravement malade ».
« Tu le remplaces à merveille Fraya »
Elle plaça quelques gouttes d’huile entre ces fesses et demanda à sa servante de masser.
« Je veux être parfaitement détendue »
L’autre comprit ce que sa maîtresse attendait, tremblante d’excitation, elle écarta avec délicatesse les magnifiques lobes fessiers avant de masser sa princesse. Elle sentait les lèvres se détendre sous ses doigts, le clitoris doucement gonfler. Elle glissa un doigt dans le sexe humide puis entama un long vas et viens. La princesse écartait davantage les cuisses, son bassin remuait en quête de plaisir. Aussitôt Fraya enfourna un deuxième doigt dans les profondeurs parfumées d’Asha. Selon les principes du Kama Sutra, son pouce vint titiller l’anus brillant d’huile de massage. L’anneau rapidement s’ouvrit et se referma sur le pouce de celle qui n’était plus une simple servante ou une paysanne et qui devenait amante et concubine.
Fraya cessa ses massages pour introduire sa langue dans le Yoni de sa maitresse. Sous ses habiles caresses, Asha sentit son sexe s’électriser puis fondre. Elle se cambra davantage pour permettre l’accès à son clitoris. Aussitôt, la féline Fraya pompa le dard érigé, sa langue aspirait le nectar qui s’écoulait de sa bienfaitrice. Elle sentait sa compagne proche de la jouissance, le moment était venu. Elle plaqua sa bouche sur le clitoris et l’embrassa avec volupté tandis que son majeur s’enfonçait profondément dans le cul d’Asha qui s’agrippa au lit, crispée, par une jouissance intense et fulgurante.
Repue par le plaisir, l’esprit d’Asha vagabondait. Elle contemplait la pièce d’un regard brumeux, perdu de plaisir. Les cris des hérons, le bruit de l’eau, les croassements des grenouilles et le tumulte du palais se mélangeaient aux tapis, aux étoffes, aux parfums sur la coiffeuse.
Fraya, toujours sur elle, défit son chignon, ses cheveux noirs de jais tombèrent sur ses frêles épaules. De la détermination s’affichait dans son regard lorsqu’elle brandit la broche en os acéré dans le dos de la princesse. Pour qui se prenait cette idiote, de quel droit pouvait-elle défier les Dieux et les coutumes ancestrales. Il fallait qu’elle paie. Elle voulut abattre le poignard entre les omoplates mais la princesse l’interrompit froidement.
« Tu crois que je ne sais pas qui t’envoie ? Tu crois que je n’ai pas compris ? Le bruit dans le couloir, ce bruit sourd à peine masqué, c’était le corps d’Ajaay que tu venais d’assassiner, n’est-ce pas ? Et tes tremblements à ma vue provenaient non pas de ton trouble mais de la peur que tu eus en égorgeant cet homme ? »
Fraya troublée par les déductions d’Asha ne vit pas partir le coup puissant que la princesse lui asséna au visage. Quand elle se réveilla, elle était enchainée dans un sombre cachot.
Chapitre 2
Le 02 juillet 1922
Le regard d’Asha embrassait la cour de son palais, les artisans s’activaient en contrebas, un dais immense se dresserait dans les jardins d’ici quelques jours. Sur une estrade, une femme au sari vaporeux dansait autour d’un cracheur de feu. La saltimbanque, d’une rare beauté, semblait planer aux sons d’un joueur de veena, sorte de guitare indienne. Ses poignets et chevilles portaient des clochettes de cuivres qui rythmaient la représentation. L’ensemble onirique hypnotisait quelques paysans venus discuter le prix de moutons, de poulets et d’autres victuailles qui seraient dégustés lors d’un important gala réunissant l’ensemble des protagonistes de la région. Il fallait afficher sa puissance et sa prospérité sans en faire trop. Il fallait faire en sorte que chaque convive apprécie les mets qu’il avait dans l’assiette car un bon repas fait souvent mieux passer les réformes qu’une armée de diplomates. Les plans de la princesse s’affinaient mais une ombre passa sur ce regard qu’on pourrait croire d’une infinie douceur. Il lui fallait trouver deux nouveaux domestiques pour remplacer Fraya et le pauvre Aajay. Elle sonna un domestique et reçut quelques minutes plus tard son plus fidèle guerrier, Padmahdar. La montagne de muscles, comme l’appelaient ses détracteurs, pénétra dans le bureau, se prosterna aux pieds de sa maitresse. Asha sourit, elle savait que ce noble guerrier, loin d’être une simple machine à tuer, était un brillant stratège et un homme de cœur. A la façon prolongée qu’il avait de rester à genoux, à son regard peut être également, elle devinait qu’il lui portait un amour profond et sincère. Elle le fit relever et l’invita à s’assoir.
« Aujourd’hui Aajar est mort, sa meurtrière croupit dans les geôles du palais ».
Elle connaissait bien Padmahar et pouvait voir sous ses traits impassibles bouillir le désir de laver l’offense faites à sa princesse. Elle prit les devant comme pour le rassurer.
« Ne t’inquiète pas, Je punirai personnellement la coupable. En revanche, je te charge de me trouver deux nouveaux domestiques. Une jeune femme et un jeune homme. Je les veux en bonne santé, apeurés et reconnaissants »
Dit celle qui tournait autour de la chaise de son guerrier l’obligeant ainsi à la chercher du regard. Délicatement, elle se plaça derrière la chaise et lui susurra à l’oreille ce à quoi étaient destinés les nouveaux domestiques. L’impassible guerrier rougit visiblement troublé par les paroles d’Asha qui affichait un sourire étrange. L’entretien se porta ensuite sur l’intendance puis les préparatifs du sommet où siègeraient les anglais, les principales factions du Kérala ainsi que quelques religieux dont certains s’étaient élevé contre les lois affirmant la liberté des femmes. Une fois Padmahar congédié, Asha se changea. Habillée de cuir, elle descendit dans les profondeurs du palais. Ceux qui la croisèrent ce jour-là purent voir cette femme aux formes envoutantes, réputée pour sa bienveillance, afficher un regard sombre et déterminé. Elle ne tint aucun compte des supplications des prisonniers de droits communs qui essayaient, en vain, de l’apitoyer. Son parcours la menait plus bas encore, dans les tréfonds du palais, dans un endroit oublié de tous, un endroit sombre, un endroit humide où nul homme ne méritait de séjourner. Arrivée devant une porte blindée mangée par la rouille, elle décrocha un lourd fouet d’une patère proche. Le châtiment allait débuter.
Elle ouvrit la porte du garde mangé et appela ses enfants. Il ne restait à la famille de Sunita qu’un maigre sac de riz et quelques fruits secs pour tenir jusqu’à la fin du mois. Agée de quarante ans mais en paraissant soixante, la cheffe de famille n’arrivait plus à subvenir aux besoins de ses 5 enfants. Les réformes de la nouvelle princesse allaient dans le bon sens. Scolariser les filles, astreindre les hommes aux tâches agraires et à l’artisanat bénéficiaient aux femmes. Elles pourraient, une fois éduquées, revendiquer les plus hautes fonctions administratives, entrer dans le négoce et pourquoi pas à la avec la compagnie des Indes. Mais, pour le moment, Sunita voyait surtout ces changements de façon négative. Mira sa fille de 25 ans pouvait déjà travailler mais Arya et Neela âgées de 10 et 13 ans ne pourraient plus aider aux champs. Si l’éducation était nécessaire, elle prenait du temps. Temps dont la mère de famille ne disposait plus. Elle fit part aux ainés de ses soucis et tous cherchèrent une solution pour pouvoir passer ce mois difficile. On vendrait quelques meubles. On braderait l’uniforme et le sabre de Samkar, le père tué lors d’un conflit avec les sectateurs de Kali. En rationnant encore davantage, on passerait probablement la fin du mois. Mira soupira, elle savait que dans un mois, les ennuis les rattraperaient. Une idée traversa son esprit empli de tristesse. Elle avait une décision à prendre, elle n’avait que trop tardé. Une fois le conseil familial passé, elle se rendit directement dans le quartier le plus mal famé de Kochi. On murmurait que, là-bas, l’air était empoisonné par le vice des habitants. Des pactes avec les démons étaient scellés dans le plus grand des secrets et que les sacrifices humains étaient monnaie courante. La garde, elle-même, n’osait y mettre les pieds. Discrète, Mira gagna pourtant une taverne qu’elle connaissait de réputation. Elle avait choisi de donner son corps pour les besoins de sa famille. Mais la pauvre n’eut pas le temps de rentrer dans l’établissement sordide. Un homme immense s’avança vers elle. Il portait une mante dont l’ombre masquait le haut du visage. Elle chercha à s’enfuir dans le labyrinthe des ruelles mais chaque fois, l’homme apparaissait au loin. Prise de panique, elle s’enfonça dans le dédale de ce quartier formé de bric et de broc lorsqu’une main puissante lui saisit le poignet.
« Que cherches tu par ici ? »
L’interrogea l’homme qui, sous sa cape, portait le coutelas de la garde princière.
« Laissez-moi. Vous avez très bien ce que je fais ici »
Lança Mira les yeux pleins de colère. L’homme, la regarda plus calmement. Elle était gracieuse, s’exprimait bien pour une fille du peuple. Au lieu de lâcher sa prise, il la serra un peu plus fort.
« J’ai besoin d’argent…Ma famille doit se nourrir…Lâcher moi monsieur, je ferai tout ce que vous désirez ».
Touché, Padmahar répondit que les raisons qui le poussait à fréquenter ce quartier étaient secrètes. Il recherchait des domestiques pour la princesse Asha afin de la servir en toutes circonstances. Cela impliquait, hélas, qu’elle ne verrait plus jamais sa famille mais qu’une somme mensuelle serait allouée pour permettre à ses frères et sœurs de vivre honorablement. Asha était sur le point d’accepter lorsque son frère sortit d’une ruelle adjacente. La crainte l’avait poussé à suivre sa sœur puis la peur s’était emparée de lui lorsqu’il vit cet homme à la musculature imposante empoigner sa sœur. N’ayant pour arme que sa colère, il courut droit vers Padmahar qui ne semblait pas vouloir bouger. Au moment de l’impact, le militaire esquiva le jeune homme qui s’effondra dans un amas de caisses et de détritus. D’un geste rapide le chef des gardes assomma le jeune homme à l’aide du pommeau de son coutelas. Refusant de se calmer, Mira se mit alors à crier alertant quelques mendiants qui erraient en quête de nourriture. Padmahar n’eut qu’à monter son arme pour faire détaler les curieux. Il attacha Mira et son frère avant de les bâillonner et de les hisser dans une charrette. Pour lui, la journée n’avait pas si mal commencé.
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Nue
Les yeux bandés
Liens serrés sur ses fins poignets
Attachés à la chaîne au-dessus de sa tête
La barre d'écartement
Fixée à ses étroites chevilles
La maintient fermement
A sa place, docile, non servile
Sa place
Là où elle aurait toujours dû être
Là où elle a toujours voulu être
Son corps et son esprit
Sollicite pour qu'on l'y laisse
Tout son être pour lui
Elle gémit
La morsure du fouet
Un claquement sec qui fracasse le silence
La douceur d'une main calmant l'incandescence
Puis le fouet de nouveau, qui marque sa peau
Le 05 07 2022
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Parce qu’il y a ses fesses, et son désir de punition…
Ses fesses, son cul, son derrière, son postérieur, son derche, sa lune…
Elle vient.
Ou je cours pour la retrouver.
Elle vient en train. Je l’accueille à la gare. Je la prends dans le parking en sous-sol de la gare, derrière le pilier, contre lequel j’ai garé mon véhicule à moteur (il m’arrive parfois de penser à tout).
La première fois que nous nous sommes vus, dix minutes après l’avoir accueillie : j’étais en elle. Appuyée contre ce pilier de béton, troussée, le cul nu. Fourrée. Baisée.
Mais elle n’aime pas risquer d’être vue, surprise.
Elle peut parfois en frôler la crise de nerfs : lorsque je l’ai attachée, à moitié nue, contre un arbre en montagne, pour la fouetter… mais si près d’un chemin…
Je cours vers elle.
Je roule : plus de 600 km pour la rejoindre. Passer dix jours avec elle.
Je roule. La nuit. Pour la rejoindre le temps d’un week-end. Je la réveille à 3 heures du matin. Son visage plein de sommeil. Elle. Dans mes bras.
*
Parce qu’il y a ses fesses et son désir de punition : je la corrige.
Je la corrige… je corrige la « vilaine fille ».
Accroupie sur le lit, le cul tendu – ou allongée en travers de mes cuisses : je la fesse. Son cul nu. Ou avec sa culotte.
Elle porte une culotte sous sa robe. Ou n’en porte pas.
Quand elle vient, elle la retire toujours dans le train. Je l’accueille : le cul nu.
Quand nous nous promenons : c’est selon mon désir.
Mais quand nous rentrons, chez moi : elle sait qu’elle doit retirer soutien-gorge et culotte si elle en porte. Elle sait qu’elle doit être «accessible », disponible… Je veux pouvoir, quand je le désire, caresser ses fesses nues, voir et empoigner ses seins… elle est ma putain… elle est ma putain pour moi…
*
Ses fesses, son derrière, son cul…
Là où tend mon regard, où se dirige ma main…
Fessée rituelle… pour la préparer…
Fessée pour la faire avouer… la préparer à subir : d’autres sévices… supplices…
La voir se coucher en travers de mes cuisses…
Son désir, son acceptation… de cette posture… elle m’offre son postérieur… son impudeur…
Sa face cachée… elle s’offre… elle me fait confiance… elle s’en remet à moi… entre mes mains…
C’est comme ça.
La fesser, la caresser, l’ouvrir.
Caresser ses fesses… son sexe… vérifier si elle est trempée… ouverte… bonne à prendre…
La fesser… plus ou moins fort… plus ou moins vite… ou lentement…
Sur quelle fesse frapper ?
Où ?
Comment ?
Frapper au même endroit ?... là où ça fait si mal…
La fesser pour la marquer…
Et si elle tente de mettre sa main, elle sait qu’elle sera reprise, tenue… et que je frapperai encore… au même endroit…
Je le lui dois.
*
La fesser.
La corriger.
La châtier.
La battre.
« punition physique », « châtiment corporel » : je cite ses mots.
*
Je frappe fort avec la badine ou la cravache.
Nous allons « cueillir des verges » : des branches fraîches de noisetier que je « vole » dans un bois, effeuille, prépare… elle en a pleuré…
*
Il y a eu ce jour, chez elle, sur sa terrasse, où le l’ai « collée contre le mur ».
Soudain il y a ce mur. Le mur de sa maison. En crépi blanc.
Alors que nous buvons un verre sur la terrasse. Soudain ce désir : le mur existe.
Alors vite : remonter sa robe, dénuder ses seins, baisser sa culotte sur ses cuisses. Refermer le volet qui gêne.
Et la coller face au mur. Contre.
Le crépi griffe.
Et je soulève ses seins pour qu’ils soient bien contre.
J’appuie sur sa nuque, ses reins. Et je la fesse. Là dehors. Face à la vallée en contrebas de la terrasse. Face aux montagnes. Les claques résonnent.
Je la fesse.
Je voudrais qu’elle s’incruste dans le mur. Chaque claque un peu plus.
Ensuite, la mener par la main, sa démarche entravée par la culotte, la mener jusqu’au bureau sous le toit. La faire avancer. Et dans la pièce, la dénuder.
Quand je reviens, après être allé chercher dans la chambre « le matos », elle tient la poutre, les bras levés au-dessus de la tête. Inutile de l’attacher.
Je la frappe avec la badine en bambou. Je la baise. Je la fous.
Et elle m’annonce : « 55 coups ». Elle les a comptés dans sa tête. Sans me le dire.
Plus tard, le soir, je la fesse et la cravache. Elle compte encore mentalement les coups.
*
Combien de coups donnés, reçus…
Des dizaines, des centaines, des milliers…
Je pense à ce titre du roman d’Apollinaire : « Les onze mille verges »…
*
Parce qu’il y a ses fesses, son cul…
Il y a les orties, la badine, la cravache, le fouet… et tous ces objets que j’ai détournés : en cuir : une patte d’épaule, une sangle, la spatule, la règle en plastique… les martinets que j’ai fabriqués, bien sûr…
Je la travaille au corps…
Corrections, punitions, plaisirs et jouissances.
Parce qu’elle est une vilaine fille.
Je la baise.
Je baise la vilaine fille qu’elle est.
Je la corrige.
C’est très compliqué.
*
Perversité.
*
Quand nos voix changent.
Quand elle fait silence au téléphone et que je lui parle, lui reproche son comportement, ses manques, ses fautes… elle m’écoute… elle se tait… sa voix change…
Elle redevient la petite fille… contrite, fautive…
Elle écoute… elle imagine… elle attend…
*
Ses fesses, son derrière, son cul…
Je l’encule.
Je l’encule à vif.
Je l’encule.
« Tu me fais mal ». Je passe outre.
Je l’encule.
*
Nous nous sommes trouvés.
La sodomie a longtemps été, pour moi, un trou noir. Un point aveugle. Un fantasme.
Puis une banalité.
J’encule.
Avec elle : c’est différent.
Parce que nous savons tout ça.
Parce qu’elle adore être enculée.
Nous nous sommes trouvés.
*
Alors, je la fesse, je la punis, je la corrige.
D’une main ferme.
Fermeté.
Sévérité.
Autorité.
Rires.
Nous rions, nous nous amusons beaucoup…
Mais il y a ces mots : fermeté, sévérité, autorité. Et leur réalité.
*
C’est très compliqué…
*
Dire, écrire, lui parler publiquement… publier ce texte, ces mots… alors que je sais qu’elle déteste ça…
Et pourtant…
Il le faut.
*
Parce qu’il y a son sourire… elle doit être corrigée…
C’est un paradoxe.
Son sourire me fait tout oublier.
Son sourire : mignonne à croquer.
Et pourtant : la vilaine fille qu’elle est parfois sera corrigée. Il le faut.
C’est comme ça.
Il y a cette évidence de ce que nous sommes, de ce que nous vivons.
C’est comme ça.
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Si je devais me fondre en une couleur
Je me poserais sur dégradés harmonieux
Mesurant les gammes intenses des saveurs
Dévoilées en les subtiles fragrances du bleu
Je me couvrirais au gré de mes tempérances
Sur cette symphonie aux volutes infinies
En échantillonnage successif de nuances
Aux symbioses ineffables de mes euphonies
Au clair obscur de mes états d’âme
Il s’accorde sous le ciel de mes pensées
Profond ou de transparence le porter en oriflamme
Son cristal miroitant sa légion de tonalités
Quantifié en couleur froide et primaire
Il se joue de pastel, saphir, pétrole, acier
De marine, indigo, Prusse, outremer
Céruléen, turquoise, myosotis, azuré
Vaste panoplie sur ses partitions où il prend rôle de père
Donnant multiples naissances au rouge et jaune mélangés
Il figure la sagesse, le rêve, la vie qu’il tempère
Une couleur qui au demeurant reste ma préférée
Le 02 07 2022
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Rita est une superbe métis, née d'un père métallo alcoolo blanc et d'une mère femme de ménage black. Un jour, son oncle, encore plus alcoolo que son père a voulu la violer dans la cuisine. Une bien mauvaise idée. Rita a saisi un couteau et l'a émasculé net, en totalité. L'oncle a hurlé. Il a pissé le sang. La police a embarqué Rita sans ménagement. Elle n'a pas pu prouver la tentative de viol et la bite d'un blanc, c'est protégé. Alors, comparution devant un juge avec un avocat commis d'office....qui ne trouve aucune excuse à Rita qu'il condamne par avance coupable et indéfendable. Le juge admire les jolies courbes de rita et fait hum hum, ....affaire en délibéré. Quelques jours plus tard, il convoque Rita.
-hum, hum, c'est soit la prison à vie, couper la bite d'un blanc est un crime et une tentative d'assassinat, soit....
Le juge mate encore un coup les jolies jambes fuselées de Rita.
-soit, je vous considère comme psychiatrique lourde et je vous fait interner à vie dans une prison privée où vous aurez un travail intéressant, vu vos aptitudes. Que choisissez vous?
-Je préfère être folle a répondu sans hésiter Rita, et bosser.
La voilà partie pour le meilleur des mondes où les lois n'existent plus, ou ni avocats, ni journalistes, ni rien même ne peut entrer sans autorisation: une prison privée administrée par des milliardaires. C'est un lieu bien pire que la mort pour certain détenus. Un vol de pizza, une mauvaise réponse à l'agent venu constater et c'est la prison à vie. Rita s'est de suite vue proposer un job de matonne. Quelques heures de formation et la voilà déjà avec un képi sur la tête et une matraque en bandoulière. Pour elle c'est la prison 24h sur 24 et 7 jours sur 7 avec juste le droit de la fermer. Une prison modèle ou le voleur de Pizza condamné à la prison à vie va bosser, bosser, bosser pour un salaire moins élevé que celui d'un ouvrier dans les pays les plus pauvres du monde. Les milliardaires ont trouvé une juteuse combine. Pas besoin de délocaliser les usines. Il suffit de construire une prison privée et la faire remplir par le système judiciaire de tous les pauvres pour avoir la main d'œuvre la plus exploitée et corvéable au monde. Et comme si cela ne suffisait pas, le travail est obligatoire pour un détenu qui doit payer son gite, ses repas et plus.
Rita a commencé à faire sa vie dans cet univers clos. Aucune ouverture sur l'extérieur, plus aucune communication possible. Même la télé est privée est interne. Elle a la chance d'avoir sa petite chambre perso de matonne. C'est minuscule, avec vue sur la cour en béton et les barbelés. Alors elle s'est mise à bosser et elle a vite su devenir Kapo en chef de son unité. Sa réputation d'émasculeuse l'a suivie dans cette prison. Un jour, un détenu montagne de muscles a tenu des propos déplacés sur ses jolies jambes, juré qu'il allait se la faire avec des gestes obscènes. Un pauvre con qui n'avait rien compris. Une escouade de matons, tous d'anciens loubards des rues, reconvertis avec uniformes, képis et matraques, est allée le coincer dans la douche. Rita s'est faite un plaisir de l'émasculer net, sans bavure.. Le détenu montagne de muscle s'est effondré. Depuis cela, dès que Rita passe, les détenus baissent les yeux et obéissent. Les milliardaires à qui appartient ce monde clos se frottent les mains. C'est la section dirigée par Rita qui donne les meilleurs résultats financiers.
Les jours se suivent. sans cesse de nouveaux détenus à vie arrivent, tête basse, broyés. Qu'ont ils fait? Des crimes abominables ? Celui ci est condamné à vie pour s'être moqué du caniche de madame P...., l'institutrice, qui l'a aussitôt dénoncé. Il a eu tord de protester devant la police. Celui là a râlé trop fort lorsque il a été viré de son job. Là encore la police est venue et ils ont vite su en faire un dangereux rebelle communiste. Tout peut servir de prétexte pour alimenter ces modèles de réussite et d'intégration sociale que sont les prisons privées dans ce meilleur des mondes.
Le soir, Rita se caresse la chatte et sait se faire jouir seule. Parfois aussi, elle aime faire des inspections des cellules des détenus qui lui plaisent. Ce sont tous des castrés chimiques avec des produits mis dans la nourriture et les boisons pour les priver de tout désir sexuel et d'érections. Les castrats bossent mieux, c'est bien connu. Rita se fait lécher le minou. Elle jouit fort dans leurs bouches. Au moins cela ils peuvent encore faire.
Tout n'est que glace, acier et béton. Les milliardaires parlent de remplacer les matons et matonnes par des robots et si besoin par des terminators. Ils ont fait leurs calculs. Rita va peut être devoir quitter son képi et rejoindre les chaines de production. Pour combien de temps là aussi? Dans un jour proche, les plus riches n'auront plus besoin des plus pauvres....
La morale de cette histoire c'est qu'il n'existe souvent aucune morale dans une histoire.
Et cool, ce sont des fictions...toute ressemblance...etc...etc...
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En pension dans un collège catholique, l'éducation des garçons et des filles était le prolongement de ce que l'on avait connu à l'école primaire : châtiments corporels, humiliations, punitions diverses. Je me souviens de ce printemps, j'étais en 3ème et les copains et moi étions joueurs ! dans les escaliers nous nous amusions à soulever la jupe des filles pour voir leur culotte... les filles râlaient bien sur mais bon, dans l'ensemble ça se passait pas trop mal, quelques gifles des fois, par une fille qui se rebellait, des fois aussi on était dénoncé et les fessées dans le bureau de Madame le Censeur pleuvaient. Mais ce jour là, allez savoir pourquoi, on a fait des paris à celui qui soulèverait le plus de jupe et montrerait le plus de culotte possible... A la fin d'une récréation, mes copains derrière moi pour bien voir les culottes, je me suis mis à soulever des jupes, découvrant des culottes plus ou moins jolies, plus ou moins ajustées, bref la routine pour nous, petits garnements que nous étions. Devant moi, je vois une fille, enfin je vois juste sa jupe légère et évasée, et suivant mon instinct, j'ai soulevé en grand la jupe devant moi, découvrant uen magnifique et grande culotte blanche avec des fleurs roses. j'avais encore le bas de la jupe dans la main quand la fille s'est retournée, et là, avec stupeur j'ai vu qu'il s'agissait de l'assistante d'espagnol qui venait en renfort de notre professeur. Je suis devenu tout rouge, la jeune femme, étudiante, m'a demandé mon nom et ma classe. En bégayant je lui ai répondu et elle est partie en sens contraire, dévalant les escaliers. Mes copains et moi on ne savait plus quoi faire alors on est monté en classe et le cours a commencé. Au bout d'un moment, Madame le Censeur est arrivée et est entrée sans frapper dans la classe, suivie de l'assistante d'espagnol, qui de suite m'a désigné du doigt. Je me suis suis recroquevillé sur ma chaise pendant que les copains et copines de la classe chuchotaient entre eux car bien sur ce que j'avais fait avait fait le tour de la classe .
Madame le Censeur m'a alors demandé de me mettre debout, et elle m'a demandé de lui raconter ce que j'avais fait. Je me suis expliqué autant que je le pouvais, j'ai dit que je ne savais pas que c'était l'assistante d'espagnol mais que je croyais que c'était une fille du collège, je dis que je m'excusais, que je ne recommencerais plus jamais. Madame le Censeur m'a fait venir sur l'estrade, et là, les jambes tremblantes, je l'ai vu prendre une chaise, la poser au milieu de l'estrade devant le grand tableau noir, et elle s'est assise. Etrangement elle ne s'est pas assise face à la classe mais face à la porte. Puis elle m'a demandé de m'approcher. J'ai compris ce qui 'arrivait. je me suis mis à supplier, et je me suis mis à pleurer. je savais que dans ce collège on donnait la fessée, j'en avais reçu tellement depuis la 6ème, mais toujours dans son bureau. Elle m'agrippa, défit ma ceinture, descendit la fermeture éclair et fit descendre mon pantalon sur mes chevilles. Je me retrouvais en culotte devant toute la classe, j'entendais les filles glousser, les garçons se moquer, je pleurais à chaudes larmes quand Madame le Censeur me coucha sur ses genoux, les fesses face à la classe. Et elle se mit à e fesser à la main, d'une main puissante, sèche, et je criais, suppliait, et elle continuait accélérant le mouvement. Au bout d'une quarantaine de claques sur mes fesses brulantes, elle s'arrêta et demanda à l'assistante d'espagnol de prendre sa place et de finir le travail ! Celle ci me coucha sur ses genoux et avant que je comprenne quoi que ce soit, elle me baissa la culotte d'un geste vif et me dit "tu voulais voir ma culotte, et bien maintenant toi, tu vas montrer tes fesses !" et elle m'a fessé rageusement, se vengeant de l'offense subie. La fessée a duré dix minutes, pas plus, mais quelle humiliation ! Puis, la Censeur m'a relevé, j'étais tout tremblant, et elle m'a fait retourné vers la classe qui non seulement avait vu mes fesses passer du blanc au rouge mais qui maintenant voyait mon petit sexe tout rabougri. Je fus conduit au coin, la culotte et le pantalon aux chevilles et j'y suis resté jusqu'à la fin du cours. Madame le Censeur m'a dit en quittant la classe suivie de l'assistante 'à tout à l'heure pour la suite de ta punition"...
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Je sort, je part travailler, je me dirige vers le bus, ma démarche me semble très différente avec le plug
J’ai l’impression que c’est visible, que tout le monde peut le voir.
Je m’assis dans le bus., surprise, le plug vibre en fonction du déplacement du bus.
Au bout d’un moment, je n’en puis plus, je descend du bus…, message: tu aimes? Je répond à Madame que je suis à elle,
Je me met à marcher, mais il se met à vibrer, en fonction de mes déplacements…, au bout d’un moment il s’arrête.
J’arrive au travail, réunion ce matin.
En plein milieu il se met à vibrer à un rythme que je découvre. J’ai peur que l’on entende le bruit qu’il fait, je me déplace pour m’éloigner un peu des autres.
Ouf, la réunion se termine. Mon cul m’obsède, et mon sexe est gonflé, je me sent indescent.
Je sort du bureau, me dirige vers le restaurant.
Un message: tu sait ce que tu vas manger? C’est donc vrais, Madame sait où je me trouve.
Une petite vibration ponctue son message.
Je mange, et je ressort, message: tu vas au 22, tu entre, et tu attend. J’entre, je passe la porte cochère, et un jeune homme m’y attend:
Ouvre ton pantalon! J’hésite, vite, je ne vais pas le répéter, sinon, je le dit à M.
J’ouvre mon pantalon, descend le, le le descend, il saisit son portable. Photographie mon entre jambe, sans sous vêtement, avec les bas, me dit de me retourner, vérifie le plug, et s’en va:petite vibration: message. Tu vois, à tout moment, je saurais si tu obéi.
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Samedi 25 juin, je déambulai seul, au hasard, dans les rues de Rambouillet. Mon ami m'avait planté, à la dernière minute, dans cette fête de la musique bruyante et colorée. Maudissant les pitoyables excuses de mon ancien camarade d'université, je fis contre mauvaise fortune bon coeur et décidai de flâner d'un groupe de musiciens à l'autre. La gaieté d'un jazz manouche côtoyait des nappes de synthé new wave d'adolescents depressifs sortis du lycée. Plus loin, une bière à la main, je me laissai porter par quelques notes de Blue lorsqu'une batucada assourdissante vint disperser ma mélancolie et le petit attroupement nous formions. Fuyant cette agression auditive, je me repliais sur une placette, une sorte de renfoncement qui donnait sur un joli palais au nom napoléonien. Là, de jeunes artistes réinterprètaient des standards de la scène française. Brel en reggae, Brassens revisité à la guitare électrique, Gainsbourg en accoustique attiraient un public de plus en plus important. L'ambiance nacquit devant moi. On dansait, on reprenait quelques refrains connus, les rires se propageaint, la bonne humeur se faisait contagieuse. Un peu esseulé dans cette foule complice, j'allai au bar le plus proche commander un verre. C'est là que je la vis, pour la première fois, juste derrière moi.Elle était là, juste derrière moi, ses longs cheveux bruns cascadait sur ses épaules nues et venaient s'enrouler sur une rose écarlate qu'elle avait tatoué sur sa peau bronzée. Je me retournai, le plus discrètement possible au passage de mon inconnue. vêtue de nuit, elle portait un bustier sombre où s'entrelaçaient des motifs complexes ainsi qu'un pantalon de cuir qui mettait en valeur ses hanches superbes. Conscient du trouble que me procurait cette vision trop parfaite, je baissai aussitôt les yeux conscient. Une beauté sauvage et vénéneuse ne pouvait s'intéresser à moi, elle devait avoir une foule de prétendants plus jeunes, plus beaux à la conversation bien plus passionnante. Contre toute attente, elle posa son regard dans le mien, ses lèvres pulpeuses esquissèrent un sourire et émirent des paroles que je ne parvins pas, sur le coup, à comprendre. J'étais happé, je plongeais dans l'abyme sombre de ses prunelles et imaginai, naïvement, m'y noyer tel le marin en contemplant les sirènes. Les lèvres d'un rouge profond remuèrent encore me sortant de ma rêverie.
"Ton sac est ouvert" dit elle en s'approchant davantage.
"Oh pardon" bredouillai je en le refermant maladroitement avant de laisser ma place au bar.
Regagnant la scène, je me remémorai le parfum de la belle. Des notes florales lourdes, capiteuses constituaient une essence qui ne me laissa pas indifférent. Cette effluve subtile devait imprégner chaque partie de son corps, se perdre dans sa chevelure, s'épanouir sur ses seins.
"Pouvez pas faire attention?!" Pris par la foule, un ado venait de me donner une bourrade renversant à demi mon gobelet de bière. le jeune maugréa un début d'excuse avant de s'éclipser, anonyme, dans la foule. J'épongeai comme je pus ma main mouillé et vis la mystérieuse inconnue me sourire. Maladroit, je lui renvoyai une moue dépitée mais la brune était passé à autre chose et entamai quelques pas de danses aussi subtiles que maitrisés. Je m'en voulus aussitôt d'être aussi timide. Si j'avais su surpasser ce défaut, je l'aurai abordé, peut être même aurai je même entamé quelques pas de danse pour briser la glace. Mais, accablé par une récente rupture, délaissé par les copains, j'avais, à l'époque, assez peu confiance en mes capacités de séducteur. Entrainé par l'ambiance, je "suivais le groupe" applaudissant et chantant aux reprises de "la bombe humaine" et de "l été indien". Parfois, je lançai un regard discret vers celle qui avait réveillé en moi cette envie que je croyais disparue et à chaque fois, il me semblai qu'elle aussi me fixait. Ses regards, loin d'être rieurs, étaient longs, insistants, presque intimidants. J'étais troublé. Comment cette femme splendide et hautaine pouvait jeter son dévolu sur quelqu'un comme moi, ou plutôt, quelqu'un d'aussi insignifiant que moi. Esprit cartésien, je mis mes visions sur le compte de la bière, de la fatigue et de mon imagination. Je passai la soirée à ignorer celle qui bientôt changerait ma vie. Vers minuit, le groupe nous salua et acheva son tour de chant par mistral gagnant. Tandis que les derniers projecteurs s'éteignaient, l'odeur enivrante du parfum de la belle me fit me retourner. Elle était là, face à moi et me dominait par sa taille et son regard. Sans un mot, elle me prit par la main et m'entraina entre les groupes de badauds. Nous gagnâmes la rue principale, laissâmes le passage fleuri derrière nous pour entrer dans une cours pavée. La sombre inconnue libéra son étreinte tandis qu'une fille en tenue de soirée pailletée regagnait son logis. J'étais seul dans cette cours pavée éclairée par la pleine lune. Celle qui m'avait amené là avait disparu derrière une porte à l'étage. Je compris que je devais prendre cette ultime décision moi même.
Je la suivi.
Les escaliers gravis, je perçus des cris étouffés provenant de cet ancien corps de ferme bâti à la renaissance. Je montai les marches, intrigué, et franchit la porte entrouverte. Face à moi, la belle inconnue languissait dans un canapé tendu de velours rouge. Des bougies disposées sur les meubles et la table basse éclairaient faiblement le salon renforçant le côté irréel de la scène. Peut-être en était-ce un? Si tel était le cas, je devais en profiter car même les plus beaux rêves ont une fin. J'affichai un sourire séducteur et me dirigeai vers la belle qui, maintenant se caressait langoureusement de ses mains gantées de noir. Enfin j'arrivai face à l'égérie de mon rêve, celle-ci me toisait d'un regard dur, presque carnassier. Décontenancé, je rougis. je sentais que ma place n'aurait pas dû être ici. J'allais bredouiller une quelconque excuse ou me pincer très fort pour revenir à la réalité lorsqu'une main puissante m'agrippa pour me faire une clé de bras. La poigne était si forte et la douleur si vive que je tombai à genoux.
"Attache-le solidement mais ne l'abîme pas trop, nous aurons encore besoin de lui" lâcha mon inconnue d'une voix cassante à l'homme de main derrière mon dos occupé maintenant à me menotter.
"Tu es vraiment trop naïf toi. Comment crois tu qu'une femme de mon importance puisse s'enticher d'un type aussi quelconque" railla t elle avant de m'ordonner de lécher ses bottes. Comme je refusai, l'homme derrière moi plaque ma bouche contre le cuir récemment ciré. Je ne voyais plus ma tortionnaire mais devinais qu'elle se délectait de cette soumission forcée.
"Ta mère ne t'a -t- elle jamais dit de ne jamais suivre les inconnues?" poursuivit celle qui serait bientôt ma maitresse.
Servilement je tendis ma langue et vint lécher le haut de ses bottes. Curieusement, je sentais mon bas ventre réagir à cette situation humiliante. Mon sexe se dressait et tendait vigoureusement la toile de mon jean. J'étais perdu.
"Tu m'appelleras Madame désormais; tu ne mérites pas de connaître mon prénom et encore moins mon nom. Tu seras désormais mon esclave, ma bonniche où ce dont je jugerai bon". Joignant le geste à la parole, elle me tendit les semelles à nettoyer. Comme je m'y refusais, l'homme derrière moi me plaqua au sol et "Madame" écrasa ma joue de ses bottes.
Une jeune femme entra alors dans la pièce. La coupe à la garçonne, la jeune femme ne devait pas avoir plus de 20 ans. Elle était nue ou presque, De fines lanières de cuir soulignaient les formes parfaites de la nymphette, un collier et des piercings sur ses aréoles témoignaient de sa servitude. Elle disposa un plateau avec une coupe de champagne et divers instruments à portée de la maîtresse des lieux. Je voulus protester, prendre la jeune fille à témoin mais celle-ci prit un air résigné face à mes protestations tandis que l'homme de main derrière moi me tirait par les cheveux pour me faire lever la tête. Ma bouche fut forcée et Madame y plaça une balle de latex rouge.
"A ta nouvelle condition!" lança-t-elle tandis que mes protestations se perdaient, grotesques, assourdies par le baillon. Pendant ce temps, je réalisai, stupéfait, que l'on découpait mes vêtements. Enquelques secondes je fus nu et commençais ma nouvelle existence.
Celle que je devais maintenant vénérer se saisit d'un objet sur le plateau d'argent apporté par sa servante. Il s'agissait d'un martinet tressé de cuir noir et rouge. L'objet, qu'elle soupesait dans sa main, semblait particulièrement lourd. Je voulus me relever pour protester mais les mains fermes de type derrière moi me maintenirent au sol. Là, sans raison aucune, une pluie de coups me cingla le corps. Affalé par terre, la tête plaquée au sol par le pied de l'homme de main, je ne distinguai que les bottes de celle qui tournait autour de moi et me tannait la peau. Parfois, le martinet tournoyait et venait meurtrir mes fesses, d'autrefois, des frappes puissantes s'abattaient sur mes cuisses et mon dos. Le supplice sembla durer des heures, les larmes me montaient aux yeux sans que mes tortionnaires ne manifestent de la pitié. Brutalement, la punition prit fin. Je restai sans pouvoir bouger affalé sur le sol. J'imaginais les morsures des lanières de cuir qui boursoufflaient horriblement mes chairs. Je sentais la douleur et la chaleur sourdre des plaies. Anéanti, je me laissai passer un collier autour du cou, une cagoule de cuir ainsi que des bracelets de cuir aux chevilles et aux pieds. J'étais plongé dans le noir, à la mercie de ce trio étrange et pervers mais je savais que protester était vain. il fallait que j'attende la fin de ce mauvais rêve.
Mes pensées furent interrompues par Madame qui tirait sur ma laisse. Je tatonnai dans les ténèbres de ma cagoule vers le canapé jusqu'à ce qu'elle me saisisse la tête pour la plaquer sur sa chatte épilée.
"Lèche moi et fait ça bien sinon..." Elle ne termina pas sa phrase et joignit le geste à la parole. une badine déchira l'air et vin met s'abattre sur mon dos.
Ma langue vint lapper les grandes lèvres de Madame qui poussa un soupir d'aise. Elle mouillait déjà abondamment. A croire que les supplices qu'elle m'imposait lui donnaient du plaisir... J'appliquai de longues caresses profondes et m'imprégnai de l'odeur enivrante de ma nouvelle propriétaire. Je pouvais sentir les mouvements larges du bassin sur le canapé, je percevais les cris contenus prémices de la jouissance. La moindre caresse sur son clitoris pouvait la faire jouir. Je pompai cette tige dressée lorsqu'un mouvement de la laisse me projeta en arrière.
"Sonia, viens ici". Des talons claquèrent sur le parquet tandis que la jolie garçonne s'approchait.
"Il ne mérite pas de me faire jouir, n'est ce pas?"
"Non Madame" dit Sonia de la voix la plus neutre possible.
"Et pourquoi donc ma petite" répliqua faussement ingénue celle qui m'avait privé de son nectar.
"Parce que ce n'est qu'une petite salope, Madame. Un trou à bites qui ne rêve que d'être tringlé." poursuivit Sonia sur le même ton.
"C'est vrai Sonia, tu as raison, ils sont tous les mêmes" se plaignit Madame.
"Sébastien approche et t'assieds toi." Il s'exécuta et vint auprès de maitresse déjà assaillie par les coups de langue de Sonia.
Elle plaque ma bouche sur le sexe mou de l'homme de main. Comme je refusai de le prendre en bouche, elle me cingla de nouveau le dos. Mes lèvres roulaient du sexe aux couilles. Il se servait de ma tête pour se branler. Lorsque sa queue fut de bonne taille, il me plaça un bâillon qui me maintenait la bouche ouverte puis vint engouffrer sa queue en moi. Il me forçait littéralement et se servait de ma bouche comme d'une chatte. Ses mains guidaient ma tête en impulsant des mouvements de vas et viens puissants. Sa bite grossissait sous ma langue, son odeur forte me dégoûtait. Lorsque je finis par m'étrangler sous les coups de butoir, Madame rit franchement.
'Cette petite traînée manque d'expérience mais elle semble t'exciter. Sonia, öte lui sa cagoule, il faut qu'il voit comment aimer une femme".
La lumière tamisée des bougies éclairait Madame. A demie étendue sur un lit à baldaquin, non loin du canapé, elle prenait en main la queue de Sébastien. Le sexe énorme, au gland démesuré, tenait à peine dans les mains de celle qui le dirigeait vers sa chatte. Vicieusement, Sonia me conduisit devant le couple. J'étais à quelques centimètres du coît et pouvait voir le pieu de chair pénétrer profondément ma perverse tortionnaire. Elle poussa un long feulement de satisfaction avant de frapper d'une cravache les fesses musclés de l'Apollon. La cadence des coups imprimait le rythme voulu par ma domina. De là où j'étais, je pouvais voir son sexe se distendre, se dilater de plaisir et de mouille. Je pouvais voir les efforts crispés de Seb pour ne pas jouir dans cette chatte tant désirée. Je pouvais voir le plaisir des deux monter. Soudain, Madame se cambra et lacéra violemment le dos de son partenaire. Son emprise se figea, ses yeux se perdirent au loin. Ses ongles constituaient maintenant les seuls points d'amarrage à la réalité. Madame était loin, sur les rivages de la jouissance. En quelques assauts Seb partit dans un râle viril. Ils restèrent ainsi un moment, arrimés l'un à l'autre, partageant un sentiment que je ne connaîtrai sans doute jamais. Puis, lentement, ils se désunirent. Sonia accompagna le colosse culturiste à la salle de bain tandis que je restai agenouillé face à Madame et sa perversité.
"Approche et embrasse-moi" dit-elle, sensuelle.
Je lui donnai un baiser sur ses lèvres pulpeuses puis un autre dans le cou, sur les joues. Je retrouvai avec plaisir le parfum de notre rencontre. Un parfum suave et capiteux qui m'avait littéralement hypnotisé. Sa main traîna à proximité. J'embrassais sa paume avec dévotion, je baisais chaque doigt avec douceur. Je suivais de mes lèvres le trajet de sa main, je m'attardai sur ses seins aux tétons dressés par l'amour, mes lèvres descendirent dans le creux de son ventre pour y découvrir un piercing au nombril. Enfin, Madame me prit délicatement par les cheveux et m'indiqua son entrejambe.Un filet blanchâtre de sperme et de mouille s'écoulait paresseusement sur les draps souillés.
"Maintenant, lèche salope" ordonna-t-elle sèchement.
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