La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 26/12/16
C'était une de ces après midi d'hiver, j'étais sortie pour l'accueillir comme il se doit. J'aime les arts de la table, la décoration, chaque détail à une signification et je sais qu'il y sera sensible. D'ailleurs c'est ce qu'il aime chez moi. Je porte des chaussettes hautes noire avec cette robe noire en laine et son col bénitier, laissant deviné mon cou. Mes cheveux noirs et brillants font ressortir mes lèvres toujours parés de ce rouge. J'ai décidé de me faire plaisir, un magnifique bouquet de roses. J'adore cette fleur, des pétales au toucher de velours, des couleurs pastels, à la blancheur au rouge bien plus profond sont comme un poème, elle n'ouvre son coeur qu'à celui qui prend le temps de la voir éclore. Ses épines montrent son piquant, seule la délicatesse et le savoir faire d'une main bien attentionnée permettent de la saisir. Je l'attend... lui. J'ai pris soin d'allumer le feu de cheminée, ainsi que quelques bougies. Sur ma table avec son plateau en chêne, belle vaisselle, verre en crital, un magnifique bougeoirs surplombe cette table avec ses bougies dorées. L'ambiance est baroque. J'ai particulièrement pris soin d'élaborer un choix musical pour nous emporter dans cet univers qui nous appartient et où il me fait chavirer, où deux êtres entiers se sont trouvés. Je l'entend monter les escaliers, je reconnaîtrais ses pas parmi tant d'autres. J'ouvre la porte et il me détaille de la tête au pied. Je porte une longue robe noire parsemée de dentelle avec un léger dos nu, les cheveux sont légèrement attachés, et je porte mon collier, celui que nous avons choisi ensemble, et qui est unique. Tout comme notre relation. Je sais qu'il regarde mon décolleté, il passe sa main sur mon cou et s'empare d'un de mes seins. Il m'empoigne les cheveux et me fait déguster ses doigts. Je les dévore, les honore comme s'il s'agissait de sa queue. Il s'installe confortablement sur le canapé, je lui sers un verre de vin rouge. Je m'installe à ma place, à ses pieds. Il me caresse les cheveux pendant que nous échangeons. Il m'ordonne de défaire la ceinture de son pantalon, et de le mettre à l'aise. - Baisse tes yeux, ma queue attend tes lèvres. Applique toi! - Oui mon Maître. Me délectant de sa queue, il profite de son verre de vin. Puis de sa main puissante sur ma tête m'enfonce tout son sexe dans ma bouche. - Ne bouge pas", reste ainsi. Au bout de quelques minutes, il me demande de me lever, il passe ses doigts sur ma peau, sur mes lèvres puis défait brutalement ma robe. Elle tombe autours de mes pieds. Il me félicité du choix de ma lingerie. Un soutien gorge qui réhaussent mes seins, mais qui lui laissent mes tétons à vue, tout comme cette culotte ouverte, lui donnant libre accès à ce qui lui appartient. Ma bouche, Mon cul, ma chatte sont à son entière disposition. Il me fait mettre à quatre pattes sur la table du salon: " Ecarte ton cul de chienne" Rien que le son de sa voix m'excite. Il sort un plug, et me l'installe sans ménagement dans mon cul. Voila le bijou qu'il te manquait, Scarlett. La soirée ne fait que commencer me dit il. Je t'ai prévu un cadeau de Noël que tu n'es pas prête d'oublier. Habille toi chaudement, nous sortons! Il me met ce bandeau sur les yeux et m'installe dans la voiture, les mains attachées dans le dos. J'en ai complètement perdus mes sens. Il m'attache les mains au dessus de la tête. Et que ce soir je reçois mon cadeau et que je serai également un cadeau. Je sens mes tétons pris par des mains inconnus. Voila, qui est plus présentable me dit il. Mon maître m'ordonne de le remercier. Merci Monsieur, dis je. Puis je sens une autre paire de main écarter mes fesses puis mettre deux doigts dans ma chatte. - HUmm qu'elle est ouverte cette putain.. J'adore. - Mon maître n'ordonne de le remercier. - Merci Monsieur Dis je. Un autre s'amuse à jouer avec le plug dans mon cul et me dit. - Hum ton cul aussi va bien être ouvert comme il se doit. Puis il me fesse. Mon maître indique à ses messieurs que tous mes trous leurs sont disponibles. Il me détache et m'installe sur un canapé à moitié assise. On m'attache les chevilles en l'air, offrant ainsi à la vue de tout le monde ma chatte, mon cul. De là, je sens les mains de mon maître venir retirer mon plug et insérer quelques doigts. - Il m'interdit de gémir ou de jouir. - Un homme décide de me baiser par la bouche, pendant que je sens des doigts dans mon cul, dans ma chatte. Je me sens écartellée de partout. Honteuse de mouiller ainsi. Ils prennent soin de bien me dilater. Il me détachent et me fait mettre à quatre pattes. "Cambre toi comme une bonne chienne", "Allez mieux que ça" " Montre nous comment une bonne chienne se branle" Je me sens honteuse car quand je me masturbe, je deviens presque timide. Mon maître le sait. "Dis nous que tu es une putain" - Je suis une putain, Maître. Maintenant, tu vas dire à ces messieurs qu'ils peuvent venir te baiser par tous tes trous. " Messieurs, Venez me baiser par tous mes trous" Plus fort, me dit il, nous ne t'entendons pas. Je me sens honteuse mais j'en ai terriblement envie. "Messieurs, venez me baiser par tous mes trous" Pendant toutes la soirée ils me prendront comme la bonne chienne que je suis. Une fois leur cadeau reçu, mon maitre m'attachera à nouveau. Il me dit être fier de moi. Il me fit ma toilette Je dormirai attachée à ses cotés, lui me tenant par ma laisse. Je me réveillais fatiguée de ma soirée. Il me détacha et me mis sur le ventre. Il me caressa le dos. Je gémis et j'en frisonne. Il me pris ainsi par la chatte. Entre douceur, et violence il me pris par ma chatte. Puis me défonça mon cul élargi par la nuit précédente. Puis il me caresse à nouveau dans une infinie douceur. " Ne bouge pas", repose toi tu l'as bien mérité.
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Par : le 26/12/16
BÉNARÈS, la ville la plus sacrée de l'Inde, appelée aussi Kashi par les hindous en pèlerinage, ou VARANASI officiellement, est la ville habitée la plus ancienne au monde. Lorsque les Aryens ont envahi le nord de l'Inde au 2ème ou 3ème millénaire avant JC, c'était déjà une ville très ancienne. On y trouve le Gange, fleuve sacré, et des milliers de temples hindous. J'y suis allé trois fois en quinze ans, dont la dernière ce mois de novembre 2016 avec ma sorcière Mu. Ce fut un séjour enrichissant culturellement, mais aussi sexuellement (vanille, car Mu n'est pas BDSM, mais elle compense par une énorme intensité) : pendant un mois nous avons fait l'amour 4 fois par jour en moyenne, portés par je ne sais quelle énergie incroyable. Evidemment j'ai rapporté plein de photos, et en voici une centaine, sur mon site Filographies : http://filodeva.wixsite.com/filographies/inde-varanasi Il y a quelques photos que j'ai préféré ne pas poster sur mon site, car plus intimes puisque nous représentant nous-mêmes, et les voici : Mu dans notre compartiment de train qui nous amenait de Delhi à Bénarès ...et moi de l'autre côté du compartiment. Sitôt à Bénarès, nous nous dorons sur les ghats (terrasses-quais au bord du Gange) Je me suis vite procuré une tenue locale (kurta & longhi) Mu a posé pour moi dans notre chambre à Bénarès, mais mon aquarelle n'était pas très réussie et je ne l'ai pas finalisée (en bas de l'image) Mu et moi assis le soir au bord du Gange, assistant aux préparatifs d'une fête. Crevés après une randonnée à vélo de 25 km. Nous avons trouvé pas cher une chambre d'hôtel (guest house) avec douche d'eau chaude, ce qui est le grand luxe (et évidemment Mu m'a shooté par surprise) Encore shooté par surprise, quelques minutes après une séance de sexe de plus d'une heure et des orgasmes à gogo On prenait tous nos ptits déj sur la terrasse au soleil, avant 10h si possible car après il faisait trop chaud. Et beaucoup de balades au bord du Gange, le long des ghats (Mu est à droite) Monté sur un cyclo-rickshaw (pousse-pousse), qui fonçait comme un malade dans la circulation du centre-ville, on hallucine et on joue au turbo Un passage agréable chez le barbier à qui j'ai demandé de me raser totalement le crâne et la barbe. Tout un poème. Incontournable avant de repartir : la balade en barque le long du Gange (entre 2 et 3h pour longer tous les ghats de la ville du sud au nord) -------------------- Et rentrés en France, on profite des derniers rayons de soleil de décembre chez Mu dans les Pyrénées : Et on s'est gavé de fromage, pain et vin !
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Par : le 24/12/16
Vous, debout, portant une simple culotte, les yeux bandés. L'Invité entre dans la pièce. Pas un mot n'est prononcé. L'Hôte retire votre frêle étoffe. D'une main sur l'épaule, il vous incite à vous agenouiller. Vous obtempérez. L'Invité se déshabille, perceptiblement. Il s'approche. L'Hôte desserre votre mâchoire. L'Inconnu propose son sexe, à l'orée de votre bouche. Les lèvres tendues, investie de votre meilleure volonté, vous n'enveloppez guère davantage que le gland. Vous vous crispez ; vous comprenez. La taille du membre est hors norme. Car, à cet instant, l'Hôte vous rêve... Pouliche. A genoux, face contre terre. L'Hôte est à vos côtés ; votre tête pose sur ses cuisses. L'invité se déplace, se positionne. L'Homme-Etalon vous pénètre. Lentement, progressivement. L'intromission est totale. Vos traits se tendent. L'acte se veut intense, brutal. Les râles se font cris. La culotte surgit dans votre gorge. La verge-centaure s'impose, exulte, répand, se retire. Haletante, recroquevillée, centrée. Le pouls s'apaise ; le bandeau glisse ; la culotte s'échappe. Mais pas l'Hôte. L'Invité s'est évanoui, ailleurs. Pourtant, une Bête se tapit, proche. Car le dédale de vos souvenirs possède , désormais, son Minotaure.
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Par : le 24/12/16
Le joli texte "Convictions" de Carcosa me fait penser à un texte sur les réunions sécrètes que j'avais écrit dans le passé. En voici une copie ci-après. . . . Me voici à la porte de mon Palais. J’ai revêtu le plus riche de mes costumes, fait d’étoffes rares aux couleurs de la nuit, noirs soyeux, bleus profonds, liserés mauves, parsemé d’étoiles scintillantes et de fils d’or, chemise à col de dentelle du Béguinage de Bruges. Je couvre mes épaules d’une large cape, ceins ma tête d’un tricorne noir brodé d’or, place sur mon visage un masque aux motifs complexes marqué d’un L mêlé aux armes de ma noble maison. Je saisis fermement ma canne-épée au pommeau d’argent. J’aime son contact dans ma main. Je monte sur la gondole qui m’attend et la laisse filer sans bruit vers la réception donnée par mon ami le Duc de Lodi. Je suis maintenant dans la grande salle richement décorée. J’aime le ballet des éclairs des peaux diaphanes des femmes nues, fragiles et envoûtantes flammèches se détachant sur les habits sombres des hommes masqués. Mais voilà qu’un frémissement parcourt l’assemblée. Il se dit qu’une femme à la beauté admirable vient de faire son entrée provoquant, à la découverte des courbes voluptueuses de son corps l’émoi des premiers invités qu’elle vient de croiser. La foule s’écarte. Elle avance, à la fois intimidée et brave, inquiète et noble. Ce doit être la première fois qu’elle est conviée à une de ces fêtes de tous les interdits. Je redresse ma tête, intéressé, attentif. Elle semble chercher une aide, un mentor. Bien sûr elle ne reconnaît personne. Elle doit faire un choix. Tourne sa tête de toutes parts. Nos regards se croisent. Ils se fixent. Ses pas changent de direction, ils la conduisent sur moi. Je suis immobile. Elle vient presser son corps contre mon flanc, en signe de choix, de demande, d’allégeance. Je penche légèrement ma tête afin de percer son regard et lire dans son âme. J’y vois une grande noblesse et une sorte d’abandon propice à l’entraîner, pour peu qu’elle soit bien guidée, dans la plus étourdissante des débauches. Les appâts de son corps lascivement dévoilés appellent mes mains. Mes doigts s’emparent d’un de ses tétons impudiquement érigés et le pincent délicatement. Je sens l’exquis frémissement de son corps tout au long de mon côté. Sensation délicieuse. En signe de possession, je passe ensuite son bras autour de sa taille d’une extrême finesse, effleure sa croupe d’un mouvement lent. Moments délicats et troublants des premiers contacts. La belle s’abandonne. Voulant tester son obéissance avant la décision d’en faire ma partenaire pour cette nuit à nulle autre pareille, j’abats ma main en une claque sèche et sonore sur l'une de ses fesses magnifiques. Quelques rires feutrés semblent vouloir débuter. Je relève imperceptiblement la tête, ils s’arrêtent net. Je l’entraîne alors dans une valse folle prélude à la folie de nos proches ébats et aux exaltantes dépravations que je me promets de lui faire . . .
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Par : le 21/12/16
Une scène de domination : Elle paraissait si fragile et si vulnérable, seins nus, ne portant pour tout habit que des bas soutenus d'un porte-jarretelles. Elle devait garder ses mains derrière la tête et ce n'était vraiment pas facile. En effet, son dominant, à deux mètres d'elle, tenait fermement un fouet à la main et lui assénait des coups violents au niveau du bassin et de la taille. La lanière du fouet s'enroulait à chaque fois rapidement autour de son corps et terminait son action par un claquement sonore, imprimant une strie rouge sur la peau. Pleine de courage, elle gardait tant bien que mal sa position mais ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs dont son dominant se délectait. Puis de temps en temps il redoublait les coups jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir et plie son buste en avant dans un frêle effort pour protéger son corps. Et alors, dans une entente parfaite, sans qu'aucun ne donne un signe à l'autre, ils se jetaient dans les bras l'un de l'autre et se perdaient dans une folle étreinte. Et là, l'émotion était palpable, omniprésente, puissante. Elle s'imposait à tous les spectateurs. Et la tendresse que chacun vouait à l'autre leur conférait une force que nul n'aurait pu briser... Quelques questions : Peut-être au vu de cette scène, au vu surtout de vos expériences, pensez-vous que la domination (et parfois elle peut se révéler cruelle) puisse être compatible avec l'expression de la tendresse ? Mesdames et Messieurs les soumis(es), la tendresse est-elle présente dans vos fantasmes de soumission, ou préférez-vous imaginer un partenaire ténébreux et sévère ? Mesdames et Messieurs les dominants(es), souhaitez-vous être habité de ce sentiment, savez-vous, même souhaitez-vous l'exprimer auprès de votre partenaire ?
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Par : le 20/12/16
J’ai caressé ton sexe pour le réveiller, le faire durcir entre mes doigts, assouvir mon désir de sexe. A califourchon, mon sexe tout contre le tien, que je branle dans mes mains, tu durcis, te tends. Je commence un va-et-vient de ton membre entre mes lèvres qui se gonflent, je frotte mon bouton sur la peau lisse de ton sexe; je me branle langoureusement avec ta queue… Je fais monter le désir, emprisonne ton sexe, et joue avec ton gland à l’entrée de ma chatte humide, je te rentre à peine et te fais ressortir aussitôt. Je joue au bord de mon sexe, t’empêche de t’enfoncer au fond de moi… J’aime ce jeu, l’attente avant de te sentir pleinement au fond de moi, mon corps ondule doucement, tète ton gland… ma main entourant fermement ton membre… avant te laisser t’engouffrer entièrement en moi, ma chatte cogne sur tes couilles, tu me remplis, glisses en moi. Je m’abandonne au plaisir, m’empale sur ton sexe, ondule, me frotte sur toi… mes seins caressent ton torse… tes mains sur mes fesses m’encouragent à poursuivre, tes ongles sur ma peau me font frissonner… J’ai envie de plus, plus fort… je guide ton sexe, dans mon cul, je prends le temps de laisser mon cul t’accueillir, s’ouvrir, avant de m’empaler un plus sur toi, je te demande de me caresser en même temps, envie de sentir tes doigts en moi, qui me fouillent…On se caresse mutuellement, jusqu’à ce que l’orgasme nous libère.
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Par : le 20/12/16
PRÈS DU BUREAU Il lui avait donné rendez-vous devant l’entrée de son bureau, dix minutes avant sa sortie habituelle. Cela l’avait rendue nerveuse. Non pas les dix minutes d’avance, mais le fait qu’il vienne la chercher au bureau. Ces collègues n'allaient pas tarder à sortir. La suite n’allait pas lui donner tort. Il la rejoignit et l’embrassa dans le cou pour ensuite la prendre par le bras et déambuler lentement avec elle sur le trottoir en restant en silence. Cela ne lui ressemblait pas. Il mijotait quelque chose. Elle n’osait rien dire, appréciant chaque pas qui l’éloignait de ses collègues de travail. Malheureusement, il s’arrêta au premier coin de rue et dit : « - Voilà, je pense que nous sommes assez loin. " - Assez loin de quoi, Maître ?" " - As-tu besoin de vider ta vessie ? » « - Heu… Pas vraiment Maître. » « - Ce n'est pas grave, dit-il dans un sourire, accroupie-toi sur Le trottoir, écarte ta culotte et ne bouge plus, lorsque tu auras envie, soulage-toi directement comme une bonne petite chienne. Nous avons tout notre temps, n’est-ce pas ? » (Illustration via une œuvre de Sandokan, un dessinateur que j'adore et que l'on peut trouver sur son blog)
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Par : le 20/12/16
J’aime rêver, imaginer des histoires, des situations… A toi ma soumise, je t’imagine devant moi, un serre taille pour faire ressortir ta poitrine, et tes hanches pulpeuse. Un plug trône sur une chaise, je te demande de t’assoir, tu t’approches et t’empale lentement dessus, nos regards l’un de l’autre, j’imagine le plaisir un peu étrange qui t’envahit. Je t’invite à me rejoindre, tu te lèves et viens me rejoindre, je te murmure ma satisfaction au creux de ton oreille et t’invite à retourner à ta place. Tu recommences, t’appliques à t’empaler sur le plug… je te tends mon pied que tu masses avant de le porter à ta bouche. «La prochaine fois, je mettrais le plug au sol…» Je sors une corde et commence à t’attacher, mes mains caressent ta peau à mesure que mes cordes t’emprisonnent. Tes mains dans le dos, tes pieds fixés à la chaise… je joue avec tes tétons, les pince doucement, avant de faire couler un glaçon dessus. Je me penche pour lécher l’eau qui coule… ma langue s’amuse sur ton téton, mes lèvres le pincent, l’aspirent… Je sors une bougie que j’allume, tu observes. la flamme qui danse doucement. La cire tombe sur ton sein, fige. Je place un vibromasseur entre tes cuisses, ton bouton ainsi excité ne te laisse pas de répie, l'orgasme te submerge... Je te détache et t'allonge au sol... le vibromasseur retrouve sa place, tandis que je glisse deux doigts en toi... tu es humide et détendue... je te caresse....de doux va et vient... un autre orgasme s'annonce... un troisième doigt s'enfonce en toi... tu t'ouvres... ma main glisse en toi... ton corps palpite... et tu jouis à nouveau violament...tu ruisselles sur moi...
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Par : le 15/12/16
J’aime nos jeux, où parfois nos rôles se mélangent et s’inversent. Je me laisse aller dans tes bras, dans ta douceur… je te laisse prendre le contrôle, jouer à faire vibrer mon corps. Je lâche prise, je coule entre tes doigts… avant de revenir pour prendre le dessus, à moi de jouer avec ton corps, faire frémir ta peau, m’en délecter… nos regards se croisent, nos lèvres se rejoignent… tourbillon qui nous envahit, nous submerge…
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La "Birdlocked" est en silicone, ce qui implique intrinsèquement les éléments suivants : Le matériau est souple, un peu élastique (mais nettement moins que du caoutchouc ou du latex), et ne glisse pas sur une peau sèche. Il transmet très bien les vibrations, résiste bien à la chaleur et en est bon isolant. Aucune déformation plastique : le matériau revient immédiatement à sa forme initiale quand il n'est plus contraint. Eviter les lubrifiants à base de silicone. C'est d'autant plus important ici que la peau reste en contact prolongé avec le dispositif lubrifié. Pas d'odeur, pas de produit chimique, donc non toxique. Lavage et stérilisation (une fois enlevée) très simple (porosité faible, hydrophobe et lipophobe). Plutôt stable dans le temps (les modèles transparents jaunissent et s'opacifient sensiblement avec le temps, mais pour autant, sans déformation ni dégradation des propriétés mécaniques). Le dispositif est d'une pièce, SAUF la lanière et le petit taquet pour la fixer, qui se perdent facilement, mais qu'on peut aisément remplacer. Rien à redire sur la qualité de fabrication de ce modèle. Le silicone est de bonne qualité, et son moulage aussi. Assez épaisse (environ 3 mm). Un 'pont' relie le dessous de la tête à la partie inférieure de l'anneau, séparant les bourses au passage. Ce pont est nécessaire, sinon, étant donné la souplesse du matériau, on pourrait retirer le pénis en soulevant la tête. C'est d'ailleurs comme ceci qu'on l'enfile, avant de verrouiller le tout avec la lanière en plastique. Cette séparation des testicules, plus la largeur significative de l'anneau la rendent un peu encombrante : on ne peut pas vraiment la serrer entre ses jambes, elle se maintient donc en place naturellement un peu en avant, et il ne vaut mieux pas la contraindre. Ce qui pénalise significativement sa discrétion sous des vêtements étroits ou moulants (oubliez le lycra ou les jeans serrés). Outre la remarque précédente, elle est très confortable du fait de sa souplesse et qu'elle isole de la température. Cette souplesse lui permet d'ailleurs de s'ajuster naturellement à la plupart des morphologies, et de se sentir à l'étroit sans être trop serré. Un point fort indéniable. Une remarque quand même : la friction silicone/peau, si elle permet à l'anneau de bien tenir, donne également des sensations de brûlure au niveau du scrotum en cas d'érection (la nuit, typiquement). Astuce : utiliser une crème hydratante pour la nuit. Puisqu'on parle d'érection, c'est aussi un point fort dû à la souplesse : hormis cette sensation de brûlure (qu'on peut traiter), l'érection est contrainte de façon progressive, donc progressivement inconfortable, mais sans douleur insupportable (moi, je trouve ça positif ) Prendre sa douche avec ne pose pas de problème, mais on ne peut pas vraiment nettoyer l'intérieur / le pénis. Par ailleurs, elle s'enlève très facilement sous une eau chaude et savonneuse (la remettre est un peu plus compliquée, en revanche). Donc, je déconseille pour un port de plus de quelques jours, s'il y a interdiction formelle de l'enlever sous la douche. La mise en place est délicate, étant donné la friction importante peau/silicone. En fait, si vous avez la taille correcte, vous ne pourrez pas la mettre 'comme ça' : il faut soit utiliser un lubrifiant (à base d'eau, donc), soit sous la douche, ou bien avec un bas nylon pour mmhh... 'chausser' Voilà ! Donc je la conseille plutôt pour un port chez soi et occasionnel ou supervisé. Selon votre mode de vie. Si vous avez un expérience différente, que vous voulez me voir modifier ou compléter ce petit test, faites le moi savoir dans les commentaires ! John D. PS : Vous pouvez reproduire ce texte librement, mais merci de citer son auteur et/ou de référencer le lien
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Par : le 09/12/16
Fiancé de voiles, chamarrée, le vent jette tes couleurs, l'océan promène nos odeurs, tes pas nus sont glissés. Fiancée au lever de l'amour dans le rouge soleil vibrant de sommeil, j'attends, ton doux retour. Thé fumant et cardamone grain de sucre roux tes lèvres ont ce goût ton regard me sermonne. Fiancée, J'arrête le temps, épousons nous, à corps, la lune au ciel est la encore, n'en parlons pas à nos parents. Tu pleures fiancée chamarrée et moi aussi, si tu savais, les regrets se brisent au quais, et les pierres nous ont blessés. Tu glisses a jamais bel amour pied nus dans mon corps envoûté du plus bel or, fiancée du point du jour.
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Par : le 07/12/16
Je te regarde avec malice Glisser ta main sur ma cuisse Elle va pour un doux supplice Satisfaire à tous tes caprices Seras-tu spectatrice Ou seras-tu ma complice Me guidant vers ton calice Attendant de moi des délices Je m'applique sans sacrifice A ce plaisant exercice Et d'une langue profanatrice Je goute à tes parfums d'épice Puis à ton tour sans avarice Tes doigts saisissent l'appendice Il se dresse sans artifice Vers ma douce tentatrice De mon bonheur l'ambassadrice Ta main douce est bienfaitrice Ton glaive est droit et lisse Il te laisse admiratrice Il faut que tu te ressaisisses Et bien maintenir l'édifice Que notre extase se tisse Et que nos corps gémissent Le 6 décembre 2016
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