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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Un soir ma compagne après une petite séance très agréable me dit :
-tu veux toujours m’attacher mais tu ne te rend pas compte à quel point c’est contraignant.
( ma belle si tu savais)
Si tu étais à ma place peut-être que tu arrêterais de vouloir faire ça.
-Si tu tiens vraiment à ce que je sache ce que tu ressent, tu n’a qu’a m’attacher, ça me va.
-non, je ne saurais pas faire ça et en plus je ne saurais pas quoi faire de toi.
-Ce n’ai pas un problème je vais te montrer comment monté un harnais et ensuite si vraiment tu ne sait pas quoi faire de mon corps je te dirigerai, te dirai quoi faire.
-Non, je te l’ai dit, je ne saurai pas faire ça et je ne me sentirai pas à ma place.
-Peut m’importe, je vais te montrer, je suis sûr que tu va adorer ça, de plus, après ça, tu ne pourra plus me dire que je ne sait pas ce que c‘est d’être dans le cordes.
-Comme tu voudras.
J’ai donc passer quelques heures à lui apprendre à faire un single et à monter un gote simple,histoire d’être bien verrouillé quand même, pour qu’elle ne puisse pas me dire que je n’étais pas attaché comme elle l’est habituellement, c’est une maligne, je la connaît bien ma petite soumise.
Nous voici donc prêt pour un session très spéciale, j’en frémis de plaisir.Je commence donc par me dévêtir entièrement et lui ordonne de faire de même ( je tiens absolument à ce quelle voie ma réactions aux divers actions qu’elle sera amenée à faire sur moi) mais elle hésite, je le vois bien, il n’est pas dans sa nature de diriger l’action.
Je la rassure et lui dit qu’elle n’a qu’a m’obéir comme elle le fait si bien habituellement.
-Maintenant attache moi.
-Oui
Elle est intimidée, je le sens, mais elle s’exécute et me voilà pris dans les cordes.
-Maintenant fais de moi ce que tu désir, contraint moi, donne moi tes ordres.
-Tu veux que je fasse quoi ?
-A toi de décider, tu dois bien avoir une petite idée.
-Non, je ne sais pas, enfin je n’ose pas.
Bon, ça va être plus compliqué que prévu.
-Fais moi mettre à genoux.
-D’accord
Elle m’attrape par le harnais et tente de me tirer vers le bas.
-J’ai 3 fois plus de force que toi, ce n’ai pas comme ça que tu y arrivera. Ordonne moi et oblige moi.
PAF une grande claque sur la fesse droite
-Met toi à genou (hmm, putain c’est bon, j’adore ça, elle commence à comprendre)
-Merci maîtresse.
-Non, ne dit pas ça.
-Et pourquoi pas ?
PAF( toujours la droite)
-Parce que je n’aime pas ça.
-Comme tu voudras, je ne suis toujours pas à genoux.
PAF,PAF
-A genoux
(C’est bon elle a compris cette fois, et moi je commence sérieusement à monté)
-Je le crois pas, t’es déjà tous tendu !
-Oui, alors ne me laisse pas retomber.
PAF
-Alors met toi à genoux.
Cette fois je m’exécute, je ne voudrais pas lui casser son élan.
-Et maintenant, je fais quoi ( bon sang,elle recommence)
-Approche.
-Encore.
-Met ta main derrière ma tête et tire moi entre tes cuisses.
Elle s’approche encore, ouvre légèrement les cuisses et me tire vers elle.Putain! j’adore .
Je me cambre un peu, penche la tête en arrière et glisse ma langue entre ses lèvres, je la lèche, je la suce, je joue avec ses lèvres, avec son clitoris. J’entends son souffle qui s’accélère, elle retient des petits gémissement, mais je sens que ça l’excite. J’accentue mes caresses, je sens ses cuisses qui commencent à trembler. Je tend ma langue, la durcit au maximum et me glisse en elle.
-Oh, oui, comme ça.
Humm, elle en veux encore, je sens sa main qui tire sur ma nuque pour me faire entrer encore. J’accélère le jeu de ma langue, ses cuisses tremblent de plus en plus.Je suis de plus en plus dur, la tension va commencer à devenir douloureuse.
Elle me lâche soudain, m’attrape par le harnais.
-Lève toi.
Elle me pousse en arrière, je tombe assis sur le lit. Elle me pousse encore, monte sur le lit, à genoux, et pose sa vulve sur ma bouche, Je suis aux anges, elle se lâche enfin complètement. Je lui offre ma langue avide de son plaisir.
-Encore.
Je la suce je la lèche encore et encore, elle se met sur ses pieds, s’accroupit, ses lèvres s’ouvrent, ses fesses s’écartent.
-Oui comme ça, met ta langue, oh oui, vas-y.
Je la pénètre avec ma langue, me glisse en elle, encore, je me tortille un peu, je descend pour faire glisser ma langue vers son anus.
Petit cri de surprise.
-Oui.
Je titille son anus, je le sens se dilaté doucement. Je durcit la langue et la pénètre légèrement.
-Oh mon dieu, oui. Attend.
Elle se retire et me laisse, pantelant, Je suis tendu comme un dingue, cette fois c’est vraiment douloureux.Elle s’approche à nouveau, m’enjambe prend mon sexe dans sa main.
-Dit donc t’es dans un bel état.
Elle pose son sexe sur mon gland et s’assoie sur moi, m’enfonce en elle.Putain comme c’est bon.
Elle bouge les hanches, elle se frotte contre mon ventre, je sens son plaisir monté rapidement. J’aimerais l’attraper par les fesses, lui donner le rythme, prendre ses seins dans mes mains, mais je suis coincé dans les cordes. Sa me rend dingue mais en même temps ça fait monté mon plaisir, je suis tendu c’est dément. Son rythme s’accélère, son souffle également, ses gémissements deviennent des plaintes, son plaisir la submerge complètement, je sens ses ongles qui griffe, qui s’enfoncent dans mes abdominaux (la vache, vas-y doucement) mais je ne dit rien, je sens qu’elle viens, je me retient, pas question qu’on en reste là, après ça je vais avoir besoin de la prendre, de la posséder, la sentir s’abandonner encore.
Je la sens qu’y s’appuie sur moi de ton son poids, elle m’enfonce en elle aussi loin que possible appuis son clitoris sur mon bas ventre.
-Oui, oh oui. Han.
Je sens son orgasme, sa jouissance, son corps se tend, ses reins se cabre sur moi, ses cuisses à nouveau se mettent à tremblées. Et subitement, le relâchement, les derniers gémissements.
-Détache moi.
-Tu as mal ?
-Non, je veux te posséder maintenant.
Elle me tire vers elle pour m’asseoir, je suis toujours en elle, tendu de désir. Elle décroche le harnais. Mes muscles son tout endoloris, mais ça ne va pas m’empêcher de la baiser comme elle le mérite.
Je l’attrape par les bras, la fait pivoter pour la mettre sur le dos. Je m’allonge sur elle, elle m’ouvre ses cuisses, m’attrape par les fesses. Elle s’approche de mon oreille
-Viens, prend moi, baise moi.
Bon sang, je deviens dingue, c’est la première fois qu’elle le dit spontanément.Je l’attrape par les hanches, la soulève légèrement , mes reins donnent la cadences, ses hanches mes suivent, nous entrons dans une danse infernale, je me perd entre ses cuisses, son plaisir me submerge, le mien également, je ne vais plus me retenir très longtemps.
Je lâche ses hanches, je l’attrape par les poignets, lui bloque les mains au dessus de la tête, je la possède totalement, je m’enfonce en elle, mes coup de reins sont de plus rapides, de plus en plus puissants, ses cris, ses gémissement n’en finissent plus, je ne contrôle plus mon plaisir, je veux m’abandonner, mes perdre en elle. Ma langue remonte le long de sa nuque, je suce le lobe de son oreille, je sait que sa la rend dingue elle va jouir à nouveau et je vais la rejoindre. Lorsque son plaisir éclate, je sens ma queue qui enfle en elle, mon plaisir me submerge complètement, j’explose en elle, je sens les parois de son vagins qui enserrent ma queue, ma semence qui se déverse en elle. Je suis terrassé, repus, épuiser.
Je me retire, doucement. Je m’allonge auprès d’elle et la prend dans mes bras, elle me souris et m’embrasse.
-Merci Monsieur.(enfin elle accepte le jeu complètement)
-Merci ma belle.
-Les cordes ne vous ont pas fais mal?
-Non, je me sens bien, c’est inconfortable mais pas insupportable, ni franchement douloureux.
-Je sais.
-C’était un stratagème, n’est-ce pas ?
-Oui, je voulais juste voir si vous le feriez.
-Tu ne me fera plus de reproche au sujet des cordes ?
-Non Monsieur
Voilà pour ma petite histoire, le début d’une relation, un apprentissage commun, une histoire très agréable, des souvenirs inoubliables.
Je ne suis pas un très bon écrivain ( voir pas douer du tout), mais j’espère malgré tout que ma petite histoire vous à plus, même si c’est plus « vanille » que DS, l’expérience était super agréable.
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L’amour est un dessin plein de couleurs
Malgré les cicatrices, les douleurs
Il faut croire à ce foutu bonheur
Mais nous le devons à nous même, sans peur
Ne pas sévir, mais servir à notre cœur
Ce sentiment si fort, petites douceurs
Construire, vivre, crier haut les chœurs
Que l’envie et l’en vie ne se meurent
Trouver sans chercher cette âme sœur
La laisser venir, elle aura les mêmes valeurs
Car elle est là, quelque part, avec pudeur
Se méfiant d’un monde plein de manipulateurs
Se protégeant de tous ces arnacoeurs
Mais au milieu de cette jungle, vivent des conteurs
Qui rêvent d’une histoire, de devenir créateur
Et donner sans compter, toutes leurs faveurs...
Le 03 12 2021
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J’aime sucer mon Maître.
Peut-être parce que de toutes les manières de le faire jouir, c’est celle qui m’est toujours apparue comme la plus ambiguë.
J’aime le sucer pour le sentiment d’humiliation désirée que je ressens à m’agenouiller devant son membre viril, puisque c’est à genoux que je procède le plus souvent.
Et aussi pour lui témoigner le respect, la vénération que je lui voue, à lui et à sa queue.
En même temps, le sucer, c’est aussi une façon de prendre le pouvoir sur lui, de contrôler son plaisir.
Avec le sentiment que sa jouissance ne dépend plus que de moi, de la manière dont je le suce, du rythme que je donne à la fellation.
L’inverse en somme de ce qui se passe en temps normal, quand c’est lui qui « m’impose » son désir.
Même si je sais qu’il peut reprendre la main a tout moment 😀.
Et me faire re-basculer dans un fonctionnement plus « normal ».
Où il m’impose son rythme à lui.
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J’aime prendre mon temps quand je le suce.
Profiter de son sexe,
Commencer par le sentir, humer son odeur.
Lécher ses couilles, les prendre en bouche.
Parcourir sa bite avec ma langue.
Puis remonter le long de sa queue, le regard levé vers lui.
Insister sur son gland, goûter à sa mouille.
Et finalement avaler jusqu’au bout sa bite raide, dure.
La prendre au fond de ma gorge, quitte parfois m’interrompre pour revenir à son gland.
Pour éviter qu'il ne jouisse trop vite.
Pour en profiter, encore et encore.
Lui laissant le choix quand même de s’abandonner jusqu’au bout pour jouir de mes caresses.
Ou au contraire de me priver du plaisir de le boire, parce qu’il aura décidé de passer à un autre de mes orifices pour exercer ses prérogatives de Mâle.
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Mais si j’aime prendre mon temps, parfois le désir, le sien, le mien est trop pressant.
Et il arrive que le temps manque, que les circonstances, le lieu ne soient pas appropriés.
Me servir de ma bouche devient alors un moyen commode de le satisfaire.
Cela donne des endroits parfois étranges, une cage d'ascenseur, un parking sombre, des toilettes de restaurant ou d’aires de repos.
Ou des postures acrobatiques dans la voiture 😀.
J’aime tout autant cette façon de le faire jouir.
A la manière d’une pute, de ces filles auxquels certains ont recours, payées quelques dizaines d’euros pour permettre aux Mâles de se soulager vite fait.
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Ma bouche est un point de passage obligé.
Mais c’est toujours lui qui décide à la fin.
Où et comment il entend jouir de moi.
Et s’il lui plaît parfois de s’abandonner jusqu’au bout.
pour se vider dans ma bouche en me laissant le boire jusqu’à la dernière goutte.,
à d’autres moments, il préfère finir de jouir ailleurs, autrement.
C’est aussi son privilège de Mâle.
Qu’il ne sera jamais question pour moi de contester 😀.
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Suite de l'article suivant : De pervers narcissique à soumis
IV Ma reine au plus profond de moi
Plusieurs jours après avoir joué avec mon anus ma reine me donna sa carte d'identité. Tu dois récupérer un colis après le travail me dit-elle sans rentrer dans les détails. Elle a pour habitude étant tous les deux au travail en journée de faire livrer ses colis en points relais donc rien d'inhabituel. Une fois ma journée de travail terminé je m'exécute récupère le colis et rentre immédiatement retrouver ma reine. Une fois rentrée, ma reine était plongée sur son ordinateur pour répondre à ses mails, je dépose le colis à l'entrée me rend à ses pieds pour les embrasser tendrement tout en attendant qu'elle m'autorise de disposer à mes tâches domestiques. Quelques minutes plus tard en se redressant sur la chaine elle me demande de lui apporter le colis et de préparer le diner du soir. je m'attelle à la tâche, pendant ce temps ma reine déballa le colis et m'ordonna de venir. Je vis un énorme gode, une vingtaine de centimètres et d'une largeur incroyable mes yeux sont immédiatement remontés vers le visage tout sourire de ma reine.
-Il était temps d'inverser les rôles dit-elle
Je reste sans voix, il était accompagné d'un harnais qui avait l'air extrêmement solide. Ma reine me tenda cette réplique d'un sex que je n'avais vu que dans des films porno, il était lourd, pas très élastique mais maniable à souhait. Ma reine n'avait qu'une idée en tête le tester, après le diner elle alla s'installer dans le lit il ne fallut que 5 minutes pour l'entendre m'appeler. Je rentre dans la pièce en me faisant tout petit tout était prêt le harnais était solidement attaché à sa taille, le gode pointait comme un sex en erection prêt à transpercer mes orifices.
Elle me fit monter sur le lit, allongé sur le ventre, elle s'allonger sur moi et je sentis la lourdeur de son sex posé sur mon derrière. Elle me demanda si j'allais être sage, je ne veux pas avoir à t'attacher et te punir me dit-elle. Je n'avais qu'une seule solution dire oui ma reine remonter mes fesses et lui offrir ma virginité anale. Une fois mon anus enduit de gel je l'ai senti s'enfoncer légèrement tentant de casser ma virginité . J'avais à présent une forte douleur de pincement, par reflexe ma main a bloqué son bassin pour qu'elle ne s'enfonce pas un millimètre de plus. Elle m'attrapa par les cheveux immédiatement pour m'ordonner de laisser mes deux mains dans le dos, elle reprena son mouvement de bassin ses deux mains bloquant mes bras dans le bas de mon dos. J'étais totalement à sa merci, je me faisais baiser de plus en plus fort on entendait ses cuisses claquer contre mes fesses cela a duré une bonne quinzaine de minutes avant que ma reine ne s'effondre sur mon dos. Elle releva légèrement son bassin pour m'embrasser le cou me mordre l'oreille je l'ai senti terriblement excitée, elle s'amusait à me pénétrer totalement d'un coup sec de façon cruelle parfois même restant totalement au plus profond de moi pour remuer de gauche à droite et de bas en haut pour me montrer que les rôles étaient désormais changé.
Une fois retiré mon érection était si puissante qu'elle m'en faisait mal, il était hors de question pour ma reine de me voir me vider ce soir. Une fois le harnais retiré je pris place entre ses cuisses laissant apparaitre son sex trempé et bouillant. L'excitation me fit plonger ma bouche sur son sex pour me délecter immédiatement de ma reine, ma seule obsession l'entendre jouir je plongeais ma langue, je l'embrassais, sa main sur ma nuque me maintenait si fort et si fermement que je me sentais emprisonné entre ses cuisses. Après plusieurs orgames ma reine était s'est totalement relâchée je sentais ses caresses sur le haut de ma tête, elle se redressa et me fit comprendre de prendre cette habitude de me donner corps et âme.
V Recadrage strict et humiliant
En dehors de notre intimité ma reine est discrète sur nos rapports de soumis à maitresse. Que ça soit entre amis en famille en public il lui arrive de me recadrer discrètement, avec une remarque un regard, je comprends assez vite que je dois me remettre à ma place. Un soir d'anniversaire d'un ami en commun, je fis l'erreur de lui répondre sèchement à une remarque désobligeante à mon encontre. Son regard changea immédiatement et tout le long de la soirée, je sentis la correction arriver de loin.
En rantrant tout était calme, il était tard nous nous sommes mis au lit et endormi immédiatement mais je savais qu'elle n'allait pas en rester là, elle aime me faire réfléchir à mes erreurs me faire maronner et préparer sa punition sur la durée. Au petit matin comme tous les dimanches je prépare le petit déjeuner pour servire ma reine au lit, mais aujourd'hui elle préféra se mettre à table. Les deux plateaux étaient servis, au moment de nous mettre à table elle me fit un geste de l'index me demandant de venir à elle puis saisi mes poignets et m'attache les mains dans le dos la seule consigne était de me mettre à quatre pattes de ne pas bouger et de me taire. Elle prit son petit déjeuner tout en mignorant, de longues minutes s'écoulent puis elle se leva sans rien dire pour revenir 30 secondes plus tard je ne comprenais pas tout se passa dans mon dos. J'entendis ma reine se saisir de mon assiette et y mettre son contenu en petits morceaux dans un récipient métallique. Elle se leva et saisit mon oreille et me releva fermement, je me retrouve à genoux droit devant elle j'aperçois de suite la badine dans l'autre main tenue fermement. Droit dans les yeux elle m'annonça ma punition qui durera jusqu'au dimanche suivant :
-puisque tu m'as parlé comme à un chien, je vais te considérer comme tel.
-Retournes-toi et rampe.
Je sens la badine s'écraser contre mes fesses à chaque pas, je ne savais pas ou aller la douleur était puissante. Cette ronde était menée au rythme de ses talons qui claquaient sur le carrelage et au son que faisait la badine avant la rencontre avec mes fesses. Il ne me faut pas longtemps pour tomber de coté et supplier ma reine de stopper cette douleur brûlante. La punition n'était pas terminée elle m'ordonna de me redresser et placer mes mains derrière la tête, il était temps pour elle de s'occuper de mes cuisses de mon dos la douleur était à la hauteur de sa colère. Après un énième coup je vis la badine tomber au sol, nul besoin de dire que je devais m'en emparer pour la ranger à sa place comme un bon soumis.
Je n'ai que quelques secondes pour ranger cet instrument de torture et reprendre mes esprits, je rentre dans la salle à manger à quatre pattes les yeux baissés pour y retrouver ma divine reine. À peine entré dans la pièce j'entendis "au pied" d'un ton sec, je m'exécute lèche le bout de sa chaussure et la remercie de la correction reçut quelques minutes auparavant. Elle déposa devant moi une gamelle, les restes de son petit déjeuner, je reste bloqué quelques secondes devant ce geste humiliant mais je m'exécute. Je penche ma tête pour prendre ma première bouchée, elle m'annonça comme à son habitude les tâches du jour, je relève la tête la gamelle est vide. Fais le beau dit-elle avec un petit sourire, assis debout va chercher, elle joua avec moi de longues minutes puis me laissa reprendre ma journée de domestique.
Après le diner mangé dans les mêmes conditions que le petit déjeuner et le déjeuner, ma reine m'emmena dans le couloir de notre entrée elle m'attacha au radiateur et s'en alla chercher une couverture et un oreiller. Elle installa ma place pour les nuits de la semaine à venir. Avant de repartir à ses occupations elle ria en me disant de bien monter la garde et d'aboyer en cas de danger. Ce fut la première longue journée d'une semaine d'humiliation que j'avais bien cherchée. Merci ma reine.
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La saga comprend à ce jour 34 volumes écrits par John Norman entre 1975 et 2016. Les volumes de 1 à 15 ont été traduits en français. Les volumes ne le sont pas pour de sombres histoires d'éditeurs et de droits d'auteurs.
Au-delà de l'histoire de science-fiction développée dans chacun de ces volumes, l'auteur, John Frederick Lange Jr de son vrai nom, y développe une certaine philosophie de vie dont certains aspects peuvent être repris au sein de relation Ds.
1. Le tarnier de Gor
2. Le banni de Gor
3. Les nomades de Gor
4. Les prêtres-roi de Gor
5. Les assassins de Gor
6. Les pirates de Gor
7. Les esclaves de Gor
8. Les chasseurs de Gor
9. Les maraudeurs de Gor
10. Les tribus de Gor
11. La captive de Gor
12. Les monstres de Gor
13. Les explorateurs de Gor
14. Le champion de Gor
15. Le forban de Gor
16. Guardsman of Gor
17. Savages of Gor
18. Blood Brothers of Gor
19. Kajira of Gor
20. Players of Gor
21. Mercenaries of Gor
22. Dancer of Gor
23. Renegades of Gor
24. Vagabonds of Gor
25. Magicians of Gor
26. Witness of Gor
27. Prize of Gor,
28. Kur of Gor,
29. Swordsmen of Gor,
30. Mariners of Gor,
31. Conspirators of Gor,
32. Smugglers of Gor,
33. Rebels of Gor,
34. Plunder of Gor
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Le groupe est un extension du site Lucrétia , Cercle Goréen parisien.
Le site permet
- d'avoir une première approche de l'univers goréen
- d'avoir quelques connaissances sur les différents statuts (Libres, esclaves ...).
- de connaître les grandes lignes du protocoles
Il permet également la réflexion et les échanges qui pourront évidemment commencer dans ce groupe.
N'hésitez pas à nous faire part de vos remarques ou propositions d'amélioration du site. C'est ainsi qu'il évolue !
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Bonjour à tous,
Je vous propose aujourd'hui un nouveau chapitre.
Selon les retours, je continuerais, ou pas, à publier ce récit.
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Dans cette cellule, j'ai perdu rapidement la notion du temps. Au bout d'un moment compris entre 20 minutes et 2h, la porte s'est rouverte et une femme en bustier noir est entrée, cravache à la main, suivie de Maitresse Sylvie.
Cette dernière s'est approchée de la porte de la cellule.
- "Isabelle pour Maitresse Anna"
Une femme en combinaison orange, les mains attachées dans le dos s'est approchée de la porte. Maitresse Sylvie a ouvert la cellule, en a tiré la prisonnière et a refermé la cage. La pauvre prisonnière est sortit de la pièce, poussée par la cravache de Maitresse Anna.
Tout cela s'était passé sans un seul mouvement de mes co-detenus. J'ai compris que chaque maitresse venait chercher sa proie dans cette cellule. Qui allait donc venir pour moi ?
Je commençais à fatiguer à rester debout aussi longtemps. En plus, le bruit que je faisais à chaque mouvement à cause de la chaine commençait à énerver les autres prisonniers. Ils ne disaient rien mais je voyais leurs regards réprobateurs.
Au bout de plusieurs heures (en tout cas, c'est l'impression que j'avais), Maitresse Sylvie est revenue accompagnée d'une nouvelle domina.
- "Xavier pour Maitresse Lucy"
Surpris, je me suis redressé et me suis approché de la porte. Maitresse Sylvie a rattaché la laisse à mon collier et l'a tendu à Maitresse Lucy.
Je l'est suivie à 4 pattes jusqu'à une nouvelle pièce. Maitresse Lucy était une belle femme, de 30 ans environ, vêtue d'un bustier noir mettant en valeur sa poitrine généreuse, des collants en dentelle et des escarpins.
Elle m'a mis à genoux et a détaché la laisse.
- "Je suis Maitresse Lucy, tu ne t'adresses à moi qu'en disant "Maitresse." Sinon, tu ne parles pas si je ne t'y autorises pas. C'est clair ?"
- oui
- Oui qui ?
- Oui maitresse
- Bien, maintenant, lève toi et viens par ici.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le mur que me désignait Maitresse Lucy.
A suivre...
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LE PETPLAY
Le BDSM comporte une myriade de pratique, allant du plus soft jusqu'à l'extrême, de l'ordinaire en passant par l'exotique. Parmi les pratiques les plus anciennes de l'homme, il y en a une qui a su se démocratiser au cours des années 90 / 2000 : Le Pet Play, le fait d'incarner plus ou moins un animal que l'on a au fond de nous. Le Pet Play généralement se découpe en plusieurs archétypes d'animaux récurrent, mais rien empêche la personne d'en choisir un qui n'est pas dans la liste (mais qui sera en contrepartie forcément moins documentée, voir inexistant en termes de communauté).
Les Canidés [Chiot / Chien / Loup]
Félins [Chat / Chaton / Lion]
Équidés [Poney / Cheval]
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DIVERSES ORIGINES
Le PetPlay à beau paraitre neuf au regard de beaucoup de personne, elle est pourtant une des pratiques les plus vieilles du monde au sein de l'humanité. Les premières tribus humaines possédaient toujours un shaman qui incarné le croisement de la vie sur terre, faisant le lien entre le terrestre (la faune et la flore) et le Divin (aspect céleste / spirituel immatériel), ne faisant qu'un avec l'ensemble et formant ainsi un tout réunie en son sein.
Si la figure du Shaman c'est quelque peu perdu au fil des siècles en Occident, elle perdura du côté de l'Afrique et de l'Amérique Amérindienne (Animisme). Le PetPlay peut se retrouver aussi dans une commune mesure dans l'antiquité, que cela sois à travers la figure des Amazones, femme farouche comme des "lionnes", ou encore et surtout, de par la figure du Minotaure revêtant à la perfection la notion de (demi) Dieu Homme - Animal. L'histoire de sa conception fait elle-même écho à sa propre nature. Puisque la légende raconte que Minos pour obtenir le trône, fit intervenir Poséidon en personne qui lui envoya un taureau ayant son nul autre pareille au monde. Plutôt que d'honoré sa promesse, Minos se moqua de Poséidon en sacrifiant non pas le taureau envoyer par ses soins, mais un vieil animal malade. Le Dieu rentra par la suite dans une colère noire lorsqu'il se rendit compte du vulgaire subterfuge. Il decida d'échafauder un stratagème pour punir Minos de son inconduite : Envouter sa femme Pasiphaé pour la faire tomber amoureuse du taureau. Avec l'aide de l'architecte Dédale, elle conçut un costume sous forme d'habitacle afin qu'elle puisse être en phase totale avec son nouveau rôle et enfin assouvir sa passion dévorante... 9 mois plus tard je vous laisse devinez la surprise.
En dehors de l'aspect historique, c'est bien entendu dans l'art que l'on peut retrouver une certaine représentation de Petplay et ce, jusque dans la pop culture. On pourrait parler des Fury, sans l'aspect sexuel voir comportemental mais avec une simple projection d'eux même en animal virtuel, tout autant que l'aspect filmique, à l'instar de long métrage comme Cat People. Dans le film en question une femme a le pouvoir de se changer en Panthère, entrainant tout un tas de situation allant du plus burlesque au plus dramatique. Je vous épargnerai bien entendu la figure du Loup Garou, la synthèse parfaite entre un homme et un loup.
Mais, cela serait oublié que dés notre enfance nous sommes aussi exposé à ce genre de représentation : Les Comics en simple exemple. Et la ce n'est pas ce qui manque niveau diversité, entre Spiderman, Le Fauve, Wolverine, Catwoman, Stargod (l'homme loup), Black Cat, Batman... Difficile de faire la fine bouche ou, de ne pas trouver chaussure à son pied lorsqu'on est un tant sois peu sensible au sujet.
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LES DIFFÉRENTS PROFILS
Le PetPlay dans le BDSM compte comme adepte les PetGirl (femme) et, PetBoy (Homme), il se découpe généralement en 3 catégories : Chien, Chat, Cheval généralement. En termes de proportion, difficile d'établir une base de donné en l'absence de chiffre, mais de mon expérience personnelle, je découperai cela ainsi: 60% de Chien / 30 % de Chat / 9 % de cheval / 1% de autre. Ressentir le fait d'être un animal n'est pas anodin, et il est rare que quelqu'un décide d'en incarner plusieurs à la fois. Le PetPlay permet de se rapprocher d'une animalité que l'homme a perdu avec le temps, à chaque animal son tempérament et sa nature qui correspond à un adepte en qui cela résonnera.
Dog Play:
Il est ici question de comportements canins ou, plus communément appeler "chien" ou "chienne". On lui associe souvent le cuir mais ce n'est pas un impératif, loin de là. Le PetPlay est loin d'être uniforme, on pourrait associer cela à des paliers d'animalité. Certaines personnes se contenteront d'être promener en laisse, tandis que d'autre iront un cran au dessus en mangeant en gamelle, voir en faisant ses besoins en litière ou dehors. On peut encore aller plus loin pour les plus investies, en faisant en sorte que la personne adopte totalement et entièrement le rôle d'un chien. Celui-ci fonctionne en attachement avec son Maitre certes, mais il doit aussi pouvoir s'inclure dans un groupe de Petplay, avec une attitude à avoir selon le profil du ou, de la soumise (Alpha / Bêta / Omega) au sein de la meute. Quelque sois le niveau du pratiquant : Le dressage est de mise pour pouvoir parfaire ou, évoluer dans sa pratique. Un os peut être fourni, une niche de construit, seule vos limites et votre imagination mettront un frein à tout cela (et peut être aussi votre portefeuille ;)
Cat Play:
Nos amis les chats sont à l'honneur ici, et même si une large partie des personnes joue le rôle d'une chienne, certain préfère celui d'une petite chatte... Avec ses différences de comportements à noter. Un chat par nature est bien plus indépendant qu'un chien qui restera la plupart du temps aux pieds de son Maitre. Le PetPlay en incarnant / dirigeant un chat, est bien plus observateur qu'acteur. On intervient mais peu en tant que Maitre, le chat fait sa vie, viendra se blottir à vous ou non. Vous pouvez bien entendu tenter de dresser votre chat comme un chien, mais rappeler vous avant tout de son caractère et surtout, de la nature de son rôle choisie. Pour les plus rigoureux, les gamelle d'eau et de nourriture sont à prévoir, ainsi qu'une litière et, peut être, si vous avez de la chance : une chatière afin de bien faire les choses jusqu'au bout (ainsi que quelque bout de carton, les chats adorent s'amuser avec).
Pony Play:
Cas plus rare mais on ne peut plus intéressant : Le Pony Play. Assez différent du Dog et du Cat Play, le Pony Play s'accentue davantage comme un faire-valoir d'usage pour son Maitre (on peut en tout logique chevaucher son cheval ou sa jument). L'adepte au niveau de sa pratique peut rester soft (léger accoutrement, quelque tour dans la nature en galopant), voir aller plus loin en recevant des coups de cravache ou,en ayant une grange aménager voir, un charriot tiré pour son Maitre pour les plus engagés.
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VIE QUOTIDIENNE :
Comme pour toute pratique lier au BDSM, cela rentre dans le contrat qui lie le ou, la soumise à son Maitre / Maitresse. En d'autre terme : il n'y a pas d'obligation à respecter pour dire que votre pratique est valable ou non (c'est plus votre engagement lorsque vous décidez de l'incarner qui fera la différence). Vous pouvez très bien définir avec votre Maitre / Maitresse que vous ne ferez cela uniquement que le week-end, quand d'autre demanderons quelque chose de plus soutenu et donc, déborderont sur la semaine... Sans oublier ceux pour qui tout cela est une évidence, désirant vivre cela H24 en dehors de leur obligation (pro, ami, famille etc...). Le plus important, est votre bien être, prenez le temps de réfléchir si cela vous parle et, si c'est le cas : jusqu'à quels degrés ? En faisant cela vous éviterez les déconvenues avec votre Dominant, tout en profitant de ce que vous aimez vraiment sans retenu.
Giovanni Scaletta
*Le dessin fut réalisé par mes soins pour illustré l'article, afin qu'aucune ressource artistique ne soit volé.
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Une femme incroyablement belle, athlétique, souple, raffinée, c'est la patronne des bains d'Ephèse et elle adore son job qui consiste à procurer détente et plaisirs. Une femme indépendante et très riche qui ne veut pas dépendre d'un homme. Non, leur place est à ses pieds. Elle aime dominer et c'est une experte en fouets. Il est préférable de ne pas la contrarier. Elle est impitoyable. On vient de loin pour gouter au charme de ses bains, aux plats raffinés et aux bons vins. Généraux et officiers de passage, préfets et magistrats, riches marchands, les bains sont le lieu ou se décide le sort du monde et où se traitent les meilleures affaires. Romeca gère cela comme une artiste devant un métier à tisser. Il doit n'en sortir que les plus belles étoffes. Qui baise qui ou quoi dans ses bains, c'est sans importance. Le riche visiteur doit se sentir chez lui, en toute confiance et pouvoir assouvir tous ses fantasmes. Romeca veuille à son plaisir et à sa sécurité. Les bains c'est aussi beaucoup d'esclaves, une vraie ruche souterraine pour chauffer l'eau, préparer les repas et boissons, entretenir les locaux, laver, astiquer. Une patronne c'est efficace. Les ordres sont toujours clairs et le fouet est toujours prêt à cingler si tout n'est pas parfait. Le luxe c'est beaucoup d'exigence. Les prostituées males ou femelles sont aussi des esclaves. Romeca adore faire le marché pour ne choisir que le meilleur. C'est dans ses bains que l'on trouve les plus jolis petits culs d'Asie, les plus grosses verges bien dures et endurantes.
Tout cela était trop beau. Il a fallu que Romeca fasse la bêtise d'engager l'Apotre Jean et son fidèle Procope comme esclaves pour entretenir la chaufferie des bains. Deux fous de leur Dieu, crucifié en Judée. Deux mystiques insensibles à ses charmes et à son autorité. Le fouet ne marche pas sur eux. Ils passent plus de temps à prier qu'à bosser ces deux là. Et l'amour est une chose qui ne suit aucune logique. Romeca est tombé folle amoureuse de Jean qui l'ignore et plus Jean feint l'ignorer et plus Romeca est amoureuse.
Sublimer l'amour...s'enfoncer dans la mystique. Existe t'il une paix véritable et un bonheur plus grand? Jean est fort bel homme, c'est un athlète. Il aime les femmes, se sent bien avec elles, il forme un couple étrange avec la sublime patronne des bains d'Ephèse. Romeca n'a jamais aimé la pénétration comme bien des véritables dominatrices. Sa sexualité est très cérébrale. Là, elle est face à un mur et elle enrage au début. Jean aime sa compagnie mais ne la désire pas physiquement. Elle lui reproche de ne pas bander pour elle comme tous les autres. Le fouet ne fait rien à l'affaire. Elle déteste au début son Dieu crucifié. C'est une pragmatique. Les croyances elle s'en fout. Elle sait que personne ne touchera à Jean et Procope, ces deux timbrés mystiques. Tant qu'ils sont ses esclaves, ils sont sous sa protection et donc intouchables. C'est de cette façon qu'ils vont échapper aux chasses contre les chrétiens.
Tout va changer pour Romeca lorsqu'elle va voir Jean faire des miracles. Il a été le plus proche des disciples. Il sait poser les mains et lorsqu'il demande à son Dieu, il obtient tout ce qu'il demande. C'est mystère. Romeca est encore plus amoureuse. Elle se converti et libère Jean de son esclavage. Il devient son Maître. Pas besoin de fouet. Une domination par la mystique pure.
Le Christianisme n'a pas su rendre la place qui convient aux femmes. Les délires verbiaux de Paul ont été préférés à la mystique douce et subtile de Marie Madeleine. Une histoire incompréhensible. Qui était au pied de la croix? A part Jean, où étaient les autres disciples?
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Les bruits de l'avion me bercent, l'esprit s'évade, en quête d'un plaisir incertain, inavouables, ici et maintenant, jouir en silence... Juste par les fantasmes, les souvenirs... Dans mon siège j'imagine mes doigts, cachés sous mon manteau... Ils s'aventurent ... Mon sexe déjà humide, gonflé... Impatiente de parvenir à mon but... Doucement un doigt s'attarde sur mon bouton qui s'érige... Mon masque cache le pincement de mes lèvres ... Les yeux clos, je me concentre sur mon corps, il se crispe ... Et je ne résiste pas à me pénétrer de 2 doigts, la chaleur humide de mon sexe, ses crispations... Ici je sens mon plaisir monter... Mon corps se crispe... En quête de plaisir, d'évasion...mes cuisses s'ouvrent, ma mains se cale... Ne pas trop bouger... Juste mes doigts caressant, intrusifs... Un pincement et une vague de plaisir... Je suis trempée... Je poursuis... Mon corps se crispe un peu plus, ma respiration s'accélère ... Je sens que j'atteins mon but... Mes cuisses se referment, sur ma main... un contact plus appuyé sur mon sexe gonflé.... les vagues de plaisir de succèdent...
Je reviens doucement à moi, j'observe les nuages en dessous...
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L’amour est comme un funambule au sommet d’un gratte-ciel.
Équilibriste cherchant à croiser une âme jumelle.
Sur un fil, quitte ou double, l’attraction hypnotise, réelle ou irréelle.
Jouant de haut en bas et de bas en haut l’ascenseur émotionnel.
Au bord d’un précipice où les sentiments font du rappel.
Souvent sans filet, tel le saut d’un ange vers son éternel.
Sans peur du vide, sans crainte d’une chute éventuelle.
Il fait vivre et donne vie, se fait rencontrer des sens essentiels.
Mais parfois, du haut de cette tour, le contrôle se perd, à se brûler les ailes.
Être sur un petit nuage, tourne à l’orage, le miel devenant fiel.
Un clash, un crash, la colère crachant ses décibels.
Un vol écourté, sans escale. Pas de feu, ni d’étincelle.
Et un jour, au détour d’un couloir, ils se croisent, sans appel.
Embarquement, sans billet d’où, sans chercher à tout prix celui ou celle.
Les cœurs s’accordent, lui, écoutant son battement d’elle.
À la dérive, planant, direction le septième ciel...
Le 28 11 2021
fiction
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Mon Dieu, comme c’est agréable d’être du bon côté du fouet et d’en tenir le manche... J’ordonne à Pearl :
— Appuie le haut de ton corps sur la table, avec les jambes écartées et bien droites, les pieds sur le sol.
Elle me regarde stupidement. Je la prends par la nuque pour l’obliger à se pencher, puis à se coucher sur la table. C’est pourtant pas très compliqué. Comme elle est grande et qu'elle a des longues jambes, son buste est plus bas que ses hanches, ce qui met bien en valeur ses fesses. Je les caresse, elles sont chaudes et fermes... Elles seront nettement plus chaudes encore dans cinq minutes. Les filles et Alan me regardent faire tandis que Billy me dessine. Je ferais bien encore un peu durer ce moment agréable... Non, j’y vais. Mon bras se lève et ça fait :
Fffffzzzziiiii !
C’est le sifflement du fouet dans l’air, juste avant de s’abattre sur ses fesses.
Pearl crie :
— Aiiiieeeeee ! Un, merci Maîtresse.
Elle compte en plus ! Une belle marque lui barre les fesses.
Fffffzzzziiiii !
Le fouet vient à nouveau de frapper ses fesses, mais la trace est décalée.
— Aiiiieeeeee !... Deux, merci Maîtresse.
Fffffzzzziiiii !
— Aiiiieeeeee ! Trois, merci Maîtresse.
Là, le fouet a atteint la base des fesses. Ça doit être douloureux, car, elle commence à gémir nettement plus fort. Je dis aux autres :
— C’est amusant, quand je lève le fouet, ses fesses montent comme pour diminuer la distance entre les lanières et elles. Ensuite, elles essayent de s’enfoncer dans la table. Alan répond :
— Oui, c’est ce qu’on appelle la danse des fesses.
Je lève le bras.
Fffffzzzziiiii !
— AaaIIIiiiieeeeee !... Quatre, merci Maîtresse.
À nouveau la base des fesses. Cette fois, elle commence à pleurer, la pauvre... Mais ce n’est pas le moment de s’attendrir, il faut lui apprendre à faire plus attention.
Fffffzzzziiiii !
— Aiiiieeeeee !... Cinq, merci, Maîtresse.
C’était le haut des cuisses ! Elle pensera à moi chaque fois qu’elle va s’asseoir... Bien sûr, une esclave ne peut pas s'asseoir, mais à chaque pas, elle se souvenir de cette correction. Oui, euh... c’est du vécu.
Je lui demande :
— Tu ne seras plus maladroite ?
Elle crie presque :
— NOOON... non, maîtresse, je vous jure...
— Bien, la punition est finie, tu peux bouger et me remercier de t'avoir corrigée.
Elle se met aussitôt à genoux devant moi et, en se baissant complètement, elle couvre mes pieds de baisers mouillés de ses larmes... Au bout d’un moment, je la repousse du pied et Victoria lui dit :
— La lessive va se faire toute seule, Pearl ?
— Non, Maîtresse.
— Tu t’es assez amusée, vas travailler.
— Oui Maîtresse.
Elle s’en va en frottant discrètement ses fesses qui portent ma signature.
Pour tout dire, lui faire ça m’a excitée. D’autant plus que Billy me montre son dessin : c’est moi corrigeant Pearl, bien sûr... Il me dit :
— C’est pour toi.
— Merci, c’est très gentil. Est-ce que je peux faire quelque chose pour te faire plaisir ?
Ses yeux fixent ma chatte. OK, j’ai compris. Je dis aux filles et à Alan :
— Ça ne vous dérange pas si je remercie Billy dans la chambre ?
Victoria répond :
— Tu peux faire ça ici.
Encore mieux... Je demande à Billy, qui est devenu tout rouge :
— Comment as-tu envie de faire ça, poussin ?
— Je vais vous montrer.
C’est le seul qui soit habillé, enfin, il a un maillot. Il l’enlève et se couche par terre sur la terrasse en demandant :
— Vous pourriez venir sur moi ?
Je cherche le meilleur endroit de son corps pour m’asseoir. J’ai trouvé : sa bite ! Bon, ce n’est pas le sexe d’Alan, mais dans mon état d’excitation, je me ferais bien enfiler par un lapin... Euh... non, ils font ça trop vite. Disons plutôt par un Danois (le chien !) Billy a envie de me baiser, mais il veut surtout me regarder. Bon, je m’assieds sur sa bite qui entre dans ma chatte aussi facilement qu’un pickpocket visite votre poche quand vous êtes bourré. C’est la faute de Pearl si je suis aussi mouillée, il faudra que je la punisse !
Billy commence à avoir du spectacle : moi, qui vais et viens sur son sexe dressé en faisant bien bouger mes seins... Ensuite, je les caresse... Billy me dit :
— Tu es trop belle ! Je peux te demander quelque chose ?
Ça y est, il me tutoie. Est-ce qu'il ne deviendrait pas trop familier, lui ? D'un autre côté, un mec qui a sa bite dans votre chatte, on n’a plus grand-chose à lui refuser, Je réponds :
— Vas-y.
— Je voudrais te voir de dos.
OK, après m’être un peu redressée, je me retourne et j’enfonce sa bite dans mon cul. Faut varier les plaisirs et j’aime ça par derrière. Après mes seins, je fais danser mes fesses pour lui. J’imagine déjà les dessins qu’il va faire. Ah ! Je sens que la bite de mon artiste grossit un peu et il pousse des petits gémissements. J’accélère légèrement et il jouit en moi... J’ai besoin de davantage pour jouir aussi... Je demande aux filles :
— Je peux utiliser Pearl pour me... nettoyer ?
Wendy répond :
— Le nettoyage, c’est son boulot.
Juste ! Alors, je crie :
— Pearl, aux pieds !
Elle arrive en courant. Ah, vous voyez comme le fouet est utile ! Je me couche sur le dos et je lui montre ma chatte du doigt. Pas besoin d’insister pour qu’elle m’obéisse en collant ses lèvres sur ma chatte.
Je sens sa langue pénétrer dans mon vagin. Vas-y, petite esclave, avale tout ! Quand elle m’a bien sucée et léchée, je lui donne un petit coup de talon sur les fesses, en disant :
— Plus haut !
Elle lèche aussitôt mon clito. Il ne me faut que quelques minutes pour jouir sur son visage. La vie est belle en dehors de Notasulga ! Elle lèche encore mon sexe, voulant vraiment me faire plaisir. Ou alors, elle veut vraiment éviter le fouet ! Je lui dis :
— C’est bon, dégage !
Je suis bien... Il ne manque que les filles à mon tableau de chasse, mais elles sont fidèles, d’après ce que je sais. J’ai pourtant bien l’impression qu’elles donneraient volontiers un coup de canif dans leur contrat de fidélité. D’ailleurs, elles me font un cadeau. Victoria me dit :
— Wendy et moi, on a commandé un livre pour toi et on l’a reçu ce matin. Tiens !
Elle me tend un livre, c’est "Les vies secrètes de Marilyn Monroe" de Anthony Summers. Je les embrasse pour les remercier, en dérapant un peu sur leurs bouches. J’ouvre le livre pour regarder les photos... C’est vrai qu’elle est très belle... que toutes les deux, on est très belles. Je lis un passage au hasard : « Durant son mariage avec Arthur Miller, elle arrêta de se montrer nue devant les invités, sauf si c’était des femmes. » Oh ! J’adore l’idée ! Aussitôt, je me plonge dans le livre. Bientôt, j’ai une idée précise de nos points communs :
1 - on se ressemble comme deux gouttes d’eau, l’une plus brune que l’autre avant décoloration
2 - on a une mère droguée, ou folle, ou toxico
3 - on a été dans des familles d’accueil
4 - on n’a pas fait d’études
4 - on adore se montrer nues
5 - on couche facilement et un peu avec n’importe qui
6 - on est toutes les deux narcissiques, mais ça, c’est normal quand on est aussi belles.
Il ne me reste plus qu’à suivre la voie qu’elle m’a tracée : aller à Hollywood pour apprendre à jouer, à chanter et à danser. Je deviens une star, j’épouse un homme très riche et je m’envoie tout ce qui a une queue ou une chatte. Par contre, je décide de contrôler ma consommation d’alcool et de ne pas toucher aux drogues sous n’importe quelle forme...
Je suis sortie de ma lecture par la voix d’Alan :
— On doit y aller dans 15 minutes, Ashley ! Si tu allais faire une petite toilette ?
— Oui, j’y vais.
Je viens de lire que Marilyn n’aimait pas trop se laver, mais là, je ne vais pas l’imiter, je veux une chatte vraiment fraîche... Elle ne le restera pas longtemps, surtout si Pearl fait une connerie...
***
Au club, c’est toujours assez fatigant, mais ça me plaît et j’imite de mieux en mieux Marilyn. Il ne se passe rien de spécial, sauf que je gagne nettement plus d’argent. Bientôt Hollywood ! En rentrant, Alan me baise... C’est la fête à mon cul, ici !
Le lendemain, je me lève vers midi. Alan est déjà descendu. Aussitôt que je fais un peu de bruit, on toque à la porte de façon très discrète, le genre de toc-toc que pourrait faire une souris si elle mesurait 1 mètre 50 et qu’elle ait des doigts... Euh, oublions la souris. Je réponds :
— Entrez.
C’est Billy qui me dit :
— Bonjour Ashley, j’ai entendu du bruit et...
J’attends la suite... qui ne vient pas. Pour finir, il me tend un paquet de photos. Je les regarde. Il y a quelques paysages, puis des nus et... des photos de moi, qu’il a faites sans que je le remarque. Il me demande :
— Tu n’es pas fâchée ?
— Mais non, elles sont vraiment belles. Tu as beaucoup de talent.
— Tu pourrais poser pour moi ?
— Oui, bien sûr, surtout si tu m’en donnes.
— OK et je te ferai un book photo pour Hollywood.
Il est au courant de tout, lui ! Je sens qu’il a envie de me dire quelque chose, mais qu’il n’ose pas. Je le rassure :
— Si tu as autre chose à me demander, vas-y.
— Hier, c’était merveilleux, mais j’aurais tant voulu te....
Ça y est, il bloque !
— Me quoi ?
— Te lécher...
— Oh, ce n’est que ça ! Mais je n’ai pas encore pris ma douche, tu sais....
— Ça ne fait rien. S’il te plaît...
Je m’adosse à l’oreiller et j’écarte les jambes. Si je peux lui faire plaisir avec une chatte collante, pourquoi l’en priver ? Marilyn serait à 100 % d’accord avec moi.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessin.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Les planches originales des dessins signés de Bruce Morgan en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr
Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be
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Mon mec/Maître fait partie des 34% de mâles qui préfèrent les « passages étroits », pourcentage légèrement inférieur à celui des adeptes des plaisirs buccaux (selon un sondage que j’avais posté il y a quelques temps déjà).
N’en déplaise à certaines, ça ne me gêne pas.
Évidemment, ça génère quelques contraintes, une hygiène parfaite me concernant et que l’instrument dont il se sert soit suffisamment dur, raide pour ce faire.
La première n’est qu’affaire de discipline, à laquelle je me plie volontiers.
Quant à la seconde, ça n’a jamais été un problème.
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La sodomie, longtemps le propre (en théorie :smile:) des invertis, a toujours eu une réputation sulfureuse.
Interdite par l'Eglise, qui acceptait la procréation tout en rejetant le plaisir, elle était passible du bûcher au temps de l'Inquisition.
Aujourd'hui preuve éclatante, pour les néo-féministes, de la brutalité de l'oppression masculine et démonstration évidente de l'égoïsme absolu des hommes, elle ne vaut cependant plus dans nos sociétés dites civilisées condamnation à celui-ci.
Alors, retour à l'ancienne coutume d'Orléans (1260, « celui qui est sodomite prouvé doit perdre les couilles »), la castration pour ceux qui la pratiquent ?
Pour vous, Messieurs, comme pour moi, j’ose espérer que non :smile:.
Parce que j'aime la brutalité des Mâles (de l'un d'entre eux tout du moins) et qu'il ne me déplaît pas qu'il me prenne ainsi.
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Mais, même en cas d’usage régulier, l'orifice utilisé pour ce faire n’étant pas prévu à l'origine pour cela, il reste plus étroit, moins souple que les autres.
Ce qui rend la pénétration douloureuse au départ, en dépit de la position que j’adopte le plus souvent pour lui faciliter la chose.
Accroupie, cuisses largement écartées, les mains écartant mes fesses pour m’ouvrir à lui de mon mieux
La douleur ressentie est d’autant plus violente au début que la taille de son membre est conséquente.
Et qu’il est depuis toujours adepte de la pénétration à sec.
Ni lui ni moi n’aimons les lubrifiants autres que « naturels », la mouille de son gland, s’il en demeure après que j’y ai goûté ou ma salive sur sa queue.
Ce doit être notre côté écolo 😀.
Désolée, Madame Rousseau.
_______________
Cette douleur initiale, j’ai appris à l’aimer.
Cet instant où je lui présente mes reins,
où il m’agrippe par les épaules,
et se colle à moi
pour me pénétrer en force.
Ensuite, une fois le passage forcé, la douleur s’estompe,
pour laisser place à un sentiment de plénitude,
qui me fait vibrer à l’unisson de son membre viril,
puisque nos corps alors ne font plus qu’un.
Lui, en moi, moi possédée par lui.
C’est toujours l'homme qui décide, qui contrôle le rythme.
Alors, souvent, il choisit de ressortir de moi,
pour éviter de jouir trop vite.
Avant d'y revenir ensuite,
quand son désir s’est quelque peu calmé,
mais à chaque fois plus profond, plus loin.
Jusqu’au moment où il ne peut plus se retenir
que survient l’explosion finale,
qui le laisse épuisé,
et qu’il s’effondre sur moi,
m’écrasant sous le poids de son corps.
En restant ainsi, en moi,
désormais remplie de lui,
jusqu’à ce que sa queue perde sa raideur précédente.
_______________
Alors tant pis pour les moralistes et les néo-féministes.
L'usage que mon Maître fait de mon corps ne regarde que nous.
Et je n'ai rien contre les postures "contre-nature".
Mais si "c'est par la femme que le péché a commencé et c’est à cause d’elle que tous nous mourons » (L'Ecclésiaste, siracide 25/23), je n'ai pas l'intention de l'en faire mourir :smile:.
Parce que pour mon plaisir et pour moi, j’ai besoin de lui.
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Héliogabale ou Élagabal (Varius Avitus Bassianus) (v. 203 - 11 mars 222) fut empereur romain de 218 à 222 sous le nom de Marcus Aurelius Antoninus.
Descendant des Bassianides, une grande famille d'Émèse (Syrie), Varius Avitus Bassianus est dépositaire dès l'âge de treize ans de la charge de grand-prêtre du dieu Élagabal.
Lorsque Caracalla est assassiné, le 8 avril 217, à la tête des armées dans une plaine voisine de l'Euphrate, toutes les femmes de la branche syrienne de la famille impériale, chassées de Rome, se replient dans leur fief d'Émèse.
Julia Mæsa, sa grand-mère, Julia Soæmias, sa mère, et Julia Mamæa, sa tante et mère du futur empereur Sévère Alexandre, parviennent à convaincre l'armée de proclamer Varius, en raison de sa ressemblance physique avec Caracalla, empereur sous le nom de Marcus Aurelius Antoninus.
Les femmes, qu'on appelait « les princesses syriennes », sont indissociables du destin d'Héliogabale.
Héliogabale laisse les rênes du gouvernement à sa grand-mère, Julia Mæsa, et à sa mère, Julia Soæmias : « Il fut tellement dévoué à Semiamira sa mère, qu’il ne fit rien dans la république sans la consulter. » dixit Ælius Lampridius
L’ambition de sa mère semble si dévorante qu’elle manque de prudence face aux lois romaines qui relèguent les femmes à l’arrière-plan ; elle impose même sa présence au Sénat.
Ce détail, par-dessus tout, choque les contemporains : « lors de la première assemblée du sénat, il fit demander sa mère.
À son arrivée elle fut appelée à prendre place à côté des consuls, elle prit part à la signature, c’est-à-dire qu’elle fut témoin de la rédaction du sénatus-consulte : de tous les empereurs il est le seul sous le règne duquel une femme, avec le titre de clarissime, eut accès au sénat pour tenir la place d’un homme. » dixit Ælius Lampridius
Cette mise en place d'un « sénat des femmes » sera considérée par ses contemporains comme l'un des nombreux exemples de la « corruption morale » d'Elagabale.
Sa réputation a souffert sous la plume des historiens pendant des siècles, pour cacher le fait qu'un empereur romain ait été parmi les premières personnes de l'histoire à demander une chirurgie de réassignation sexuelle.
Il est arrivé au pouvoir à quatorze ans, et selon les archives historiques, Elagabalus a rapidement développé une réputation d'excentricité extrême, de décadence, de fanatisme et de promiscuité sexuelle.
Ces préjugés ont persisté à travers l'histoire jusqu'à nos jours :
Au XVIIIe siècle, Edward Gibbon, a écrit qu'Elagabalus "s'est abandonné aux plaisirs les plus grossiers avec une fureur incontrôlée".
Barthold Georg Niebuhr, a déclaré que "le nom Elagabalus est marqué dans l'histoire au-dessus de tous les autres" en raison de sa "vie indiciblement dégoûtante".
Officiellement, Elagabalus a été marié cinq fois (et deux fois à la même femme) avant l'âge de 18 ans....
Mais, peu porté sur la gent féminine, Héliogabale ne consomme pas le mariage et s'en sépare rapidement.....
Ses « mariages » homosexuels, notamment avec deux « colosses » grecs prénommés Hiéroclès et Zotikos, choquent les historiens romains.
Dans ses écrits, Cassius Dio ( en latin Lucius Cassius Dio ( v. 155 – id., après 235) homme politique, consul et historien romain d'expression grecque ), fait notamment référence à Elagabalus par des pronoms féminins et déclare que l'empereur voulait épouser un ancien esclave et conducteur de char nommé Hiéroclès. ( Des rumeurs disent qu'il aurait également épousé Zotikos, athlète de Smyrne.)
Dio note qu'Elagabalus était ravi d'être appelé la maîtresse, l'épouse et la reine de Hiéroclès.
Selon Dio, l'empereur portait du maquillage et des perruques et préférait s'adresser en tant que « dame » au lieu de « seigneur ».
L'historien moderne Eric Varner note :
« Elagabalus serait également apparu sous le nom de Vénus et(....) un portrait peint a été envoyé à la capitale avant l'arrivée du jeune empereur afin d'habituer les habitants de Rome à son apparence "exotique" »
Heliogabale se travestissait au quotidien; dans la Rome antique, le travestissement était pratiqué pendant les Saturnales, mais était interdit en dehors de ce rite.
À tel point INTERDIT ou TABOU que les Romains l'avait érigé en une punition, ordonnant aux déserteurs de porter des vêtements féminins pendant trois jours avant leur exécution, afin de les couvrir de honte; les identités de genre étant fermement établies.
Au delà du travestissement, Heliogabale cherchait à changer de sexe en proposant des sommes importantes à tout médecin qui pourrait lui donner l'équivalent des organes génitaux d'une femme au moyen d'une incision chirurgicale; ce qui ne fut jamais réalisé pour des raisons évidentes de maintien en santé et des risques mortels pour l'Empereur....
La fin de son règne fut rythmée par des orgies homosexuelles avec des prostitués mâles (exolètes) recrutés pour l'occasion, selon Aurelius Victor (v. 320 – v. 390), historien et haut fonctionnaire impérial romain.
Dio rapporte qu'Elagabale se serait " prostitué dans des tavernes et des bordels"....
Le 11 mars 222, Heliogabale est assassiné par la garde prétorienne qui lui préfère son fils adoptif et cousin.
Le cadavre de l'empereur déchu est jeté dans le Tibre et il subira la "damnatio memoriæ" littéralement « damnation de la mémoire » qui fera casser, marteler, etc. toutes les représentations d' Heliogabale, mais aussi de tous ces proches, ex épouses comprises.
Statue de Julia Aquilia Severa (musée archéologique d'Athènes) vraisemblablement victime de la damnatio memoriæ de son mari.
Héliogabale laissera par ailleurs probablement le premier témoignage de "pony play" sur un camée....
Le cabinet des médailles de Paris possède un camée représentant Héliogabale nu, se présentant dans de « triomphantes dispositions intimes », sur un char tiré par deux femmes nues et à quatre pattes.....
Mais c'est là une autre dimension, histoire...
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Ma première sodomie... avec un trans
je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert.
Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Bonjour, voici le récit de mon expérience.
Il faut savoir qu'il s'agit d'un condensé de plusieurs années de vie dans quelques paragraphes.
La première année a été plutôt soft et tout est monté crescendo. Ce premier article résume 2 ans de vie commune avec ma reine.
La suite arrivera assez vite, j'espère que cela vous plaira.
Bonne lecture.
I Rencontre
Nous étions dans les mêmes classes tout le lycée, on se connaissait, elle était très discrète on se voyait tous les jours mais nous ne faisions pas partie du même groupe d'amis, elle me plaisait et sans même se parler j'avais l'impression d'être tombé amoureux au premier regard. Elle c'est Anais et moi Florian, nous avons le même âge. Au fil des années j'ai continué mes études de commerce et nous nous sommes perdus de vu sans jamais avoir eu l'occasion de réellement se connaitre.
je me rendais régulièrement sur les comptes de ses réseaux sociaux par curiosité. Un beau jour alors âgé de 24 ans j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de lui envoyer un message des plus banals
- Salut tu te souviens de moi ? tu deviens quoi?
Je n'ai jamais été à l'aise pour aborder une femme. Plusieurs jours sans réponse à regarder si elle avait daigné lire mon message je me suis dit tant-pis en voyant que non. Puis un beau jour je reçois une notification il s'était écoulé plus d'un mois, j'ai à peine eu le temps d'ouvrir mon téléphone que j'ai compris qu'elle avait enfin vu et répondu à mon message. Mon coeur s'est mis à battre très vite, que pense-t-elle de mon message ? Est-ce qu'elle répond uniquement par politesse ? Puis je me suis vite rendu compte qu'elle avait l'air agréablement surprise.
S'en est suivi des échanges de messages à n'en plus finir des jours durant. J'avais l'impression de revivre mes flirts d'adolescents, nous n'avions pas pu nous revoir les premières semaines de discussions car nos agendas ne nous le permettaient pas mais c'était un mal pour un bien, il est toujours plus facile de se livrer virtuellement puis ce n'était que partie remise et nous vivions pas très loin l'un de l'autre.
Notre première rencontre a eu lieu au marché de Noël de notre ville. Dès que je l'ai aperçue j'étais sous le charme rien n'avait changé si ce n'est qu'elle était devenue une femme, nous avions longuement marché et discuté puis nous avions décidé de diner dans un restaurant non loin du marché. À la fin du diner nous nous sommes quittés, le lendemain elle se réveillait tôt et je ne voulais pas paraître trop entreprenant. À peine installé dans la voiture je reçois un SMS d'Anaïs me remerciant de l'avoir invité à diner et de lui avoir changé les idées. Cela m'a provoqué un déclic il fallait que je lui dise que je lui avoue j'ai donc décidé de lui dire que j'avais eu un coup de foudre pour elle depuis le lycée et que cette soirée m'a permis de me rendre compte que ça n'avait jamais changé. Dans les minutes qui ont suivi je me suis dit mais qu'est-ce que tu as fait pourquoi avoir tout déballé par SMS c'est ringard bref la panique. Une panique qui s'est vite transformée en soulagement puis qu'elle m'a proposé de la revoir cette fois-ci chez moi.
Nous nous sommes revu deux jours plus tard pour ne plus jamais nous quitter, le coup de foudre absolu, plus les jours les semaines et les mois passés plus nous étions fou amoureux.
II Disputes réconciliations et vie sexuelle
Comme dans le cas de beaucoup de couples, nous avions nos défauts, nos désaccords, qui se sont vite transformés en disputes parfois même au bord de la séparation mais notre amour reprenait le dessus toujours, se séparer était hors de question.Mais malgré ça les disputes étaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus fortes et au fil du temps je me suis renfermé et je n'extériorisais plus rien, ni mes sentiments ni mes envies. je l'a faisait culpabiliser de nos disputes,je n'étais jamais la base du problème de nos désaccords et je me rendais pas compte de ce comportement destructeur. J'étais dans une sorte de revanche sur le fait d'avoir du attendre toutes ces années pour que cette femme s'intéresse à moi.
Malgré ça elle restait toujours très directive, l'un comme l'autre essayait de prendre le dessus dans nos prises de décisions dans nos discutions etc.. et parallèlement à tout ça, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Nous étions ouverts à essayer des choses à pimenter notre couple et très vite la domination a pris le pas dans nos jeux au lit. On aimait se rendre jaloux, parler de nos anciennes relations se provoquer s'attacher mais nous restions toujours soft. Nous avons également envisagé l'échangisme les plans à trois mais nous n'avions jamais franchi le pas.
Elle aimait prendre le dessus, elle me faisait plus ou moins comprendre que le rôle de maitresse c'est quelque chose qui lui fait envie, qu'elle a sa en elle. A ce moment la je ne comprenais pas trop ce que cela signifiait, qu'elles sont ses intentions ses envies, ses limites, puis elle s'est mise à m'envoyer des articles sur l'art de la domination le BDSM. J'ai assez vite compris que j'avais fait des erreurs qu'elle voulait me les faire payer et me façonner à sa façon, tout contrôler, décider être le seul centre de ma vie et me rendre parfait à ses yeux.
III Premiers ordres premières restrictions premières punitions
Les jours qui ont suivi ont été assez soft, je devais l'appeler ma reine, la prévenir de chaque faits et gestes lorsque nous n'étions pas ensemble (travail, rdv etc.) je me voyais assez tranquille sans me soucier de ce qui allait arriver, elle continuait secrètement de se documenter sans cesse sur comment dominer, comment faire de moi l'homme idéal. La suite a été plus restrictive pour moi, elle s'est mise à vouloir gérer entièrement l'administratif, mes rendez-vous, à chaque ligne ajouté à celui-ci je devais passer par ma reine. S'en sont également suivi des restrictions et des ordres plutôt softs facilement gérables individuellement mais l'accumulation me donnait des journées bien remplies. A ce moment la elle a voulu également gérer mon temps libre, les tâches étaient écrites sur un post-it ou une feuille sur le frigo, je devais lui dire combien de temps me prenait chaque étape de cette liste.
Au bout de quelques semaines, je gérais la maison, les repas, le ménage, le linge son service, j'étais en assez peu de temps devenu son domestique. Toutes ses premières bribes d'ordre et de restrictions ont également amené les premières punitions. Des mises au coin pouvant durer plusieurs heures, un nettoyage de sol à la brosse à dents, des punitions physiques comme des séries de gifles, de fouet de ceinture etc. Mon dressage prenait forme au fil du temps et j'aimais ça tout autant que ma reine. Nous faisions toujours autant l'amour, cette fois je ne prenais plus le dessus elle aimait m'utiliser comme esclave sexuel elle pouvait m'attacher me mordre me griffer. Un soir elle m'avait attaché les mains et les chevilles choses qu'elle n'avait jamais faite j'ai senti qu'elle préparait quelque chose. Elle m'a d'abord demandé de me mettre sur le ventre j'ai senti des caresses dans le bas de mon dos et ses doigts se sont vite retrouvé entre mes fesses, il n'a pas fallu longtemps pour les sentir s'insérer l'humiliation était à son maximum moi l'ancien macho égoïste me retrouvant pénétré. C'était ma hantise la pénétration anale je ne voyais pas comment cela était possible d'accepter et pire d'aimer ça, elle savait et dans un ton très pervers elle m'a averti que les rôles allaient bientôt être inversé et que je n'étais pas au bout de mes surprises…
A suivre très vite.
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ll y a certains instants que l'on aimerait revivre éternellement.
Nul ne veut oublier la rencontre qui a tout changé, la plus belle histoire.
Souvenirs qui s'étioleront petit à petit par le fil du temps.
Trésors qui s'enfoncent incontestablement dans les limbes de notre mémoire.
Alors la magie se dissipe, mais l'attachement est toujours présent.
Nos premiers échanges, nos premiers émois, l'envie d'y croire.
Totale inconnue, la découverte de l'autre se fait presque timidement.
Soutenue par l'envie de plaire, et la peur de décevoir.
Magique ! Il n'y a que ce mot pour décrire ces incroyables moments.
A ces regards qui se noient l'un dans l'autre, emplis d'espoir.
Guidés dans un monde d'intensité, nous devenons espérant.
Incendie tout feu tout flamme qui se propage, invincible territoire.
Quand se tissent les premiers liens, il n'y a aucun doute sur nos engagements.
Un partage, une promesse. Rien n'a alors d'importance tout est dérisoire.
Entendre, goûter, sentir, voir...Les sens sont au firmament.
Sur un petit nuage plane la réalité d'un rêve qui est illusoire...
Texte écrit pour Mon Maitre le 31 octobre 2021
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Nous avons attendu que les vacances scolaires passent pour nous retrouver quelques jours à une période de l’année où l’arrivée du froid incite à rester dedans, voire même d’inventer d’originales manières de se réchauffer, ou du moins des peu banales méthodes pour le commun des mortels. Oui mais voilà, nous ne sommes pas ainsi…
En ce mercredi soir, tu décides de commencer en douceur avec des cordes. Aujourd’hui ce sera les rouges et seulement elles. Du coup, je troque mon collier personnalisé pour le petit et simple rouge, bien mieux coordonné. Tu te lances dans une sorte de harnais de bras dans le dos, délicatement organisé autour d’un axe central « tressé » le long de ma colonne vertébrale. Tu réussis un savant équilibre entre esthétisme et contrainte modérée. Bien sûr, le résultat s’est un peu éloigné de l’inspiration de départ. Mais après tout, c’est ta touche personnelle qui ressort ainsi.
Après cette prise en main tout en douceur, tu me débarrasses des nœuds et liens pour la suite. Les nouveaux bracelets de poignets et de chevilles constituent ma nouvelle parure, finalisée par la cagoule épaisse en cuir. Tu termines tes préparatifs en me fourrant le bâillon gode dans la bouche. Bien que la cagoule ne s’y prête pas trop, tu arrives à tes fins et le boucle derrière ma tête. Tout ceci pourrait laisser présager la visite prochaine de lanières et une cagoule humide à la fin. En attendant, tu me fais prendre position à quatre pattes sur le lit recouvert de notre désormais traditionnel drap violet en vinyle, le croupion tendu vers toi. Une fois n’est pas coutume, tu ne t’arrêtes pas là. Les bracelets n’étaient pas là que pour la décoration. Tu me tires la main droite vers le pied du lit le plus proche. Une corde va assurer que je ne puisse plus trop la bouger. La main gauche subit le même traitement : je ne risque pas de beaucoup me déplacer ainsi arrimé au lit. En revanche, il faut que je trouve une position pour ma tête qui me permette de respirer sans mal, sans me noyer dans une salive qui s’annonce abondante avec ce bâillon aux conséquences si perverses. J’ai dû oublier de cocher la case « confort » avant de monter.
J’entends que tu « bricoles » dans mon dos. A quoi m’attendre ? Mystère ! Je sens bien que tu viens insérer quelque chose dans mon fondement. Mais impossible de dire quoi. Je ne reconnais rien de connu. Un « ne bouge plus » accompagné du crissement caractéristique d’un briquet me fournit un indice. Tu dois être en train de m’allumer ;-) ….à ta façon … C’est ce qu’on appelle avoir le feu au cul …. mais l’allumage n’est que fugace. Il ne faudrait pas non plus enflammer son jouet. En revanche, tu ne tardes pas à la rallumer histoire de consteller mon dos d’une modeste mais néanmoins remarquable constellation dite du nounours. J’ai beau connaitre cette sensation, les impacts me picotent et m’arrachent de petits couinements, au moins au début, avant que je ne profite à fond.
De la profondeur, voilà que tu en reprends, et sans prendre de gants … une fois n’est pas coutume. Tu tentes une introduction sans douceur. Malgré la présence du préservatif et d’une dose de lubrifiant, ce manche de martinet peine à pénétrer. Il faut dire qu’il est plus gros que ton habituel gode. La première boule m’arrache un cri, la deuxième aussi d’ailleurs. Je ne te connaissais pas brutale. J’ai l’impression d’avoir le fondement en feu. A posteriori, je découvre que cela me fait néanmoins une amusante queue de cheval ! La douleur initiale baisse très légèrement, mais pas suffisamment avant que tu ne retires rapidement l’intrus. Néanmoins, j’ai pendant plusieurs minutes la sensation de toujours être possédé par cet envahisseur. C’est troublant comme sensation quoi que temporaire.
Tandis que celle-ci se dissipe lentement, ce sont deux pincements sur les couilles qui mobilisent mes sens. Je suppose que cela doit être l’effet de ta toute dernière acquisition. Bizarrement, je ne les trouve pas aussi douloureuses que ce que tes propos avaient pu me laisser imaginer. Méfiance quand même … Affaire à suivre.
Le contact qui vient claquer à de multiples reprises sur mon dos, mes épaules, mes flancs, et mes fesses ne peut être que l’œuvre de ta nouvelle langue de dragon à tige courte. Tu sembles t’éclater avec. Et, si j’en crois tes marmonnements de satisfaction, tu dois même être en train de laisser des marques. Et après, on va encore dire que je ne marque pas. Comme quoi, cela tient plutôt de la légende urbaine. Comme nous semblons tous deux en phase, tu fais durer le plaisir. Je crois que cette nouvelle acquisition est validée par les faits ;-) Pratique, efficace … sauf pour faire sauter la cire. Elle s’accroche sur mon dos malgré les multiples allées et venues de ta langue de feu.
Tu me laisses perplexe avec tes derniers impacts. Je peux simplement dire que cela claque fort sur mes fesses sans pouvoir dire quoi. Mais là encore, je perçois ta satisfaction, comme si tu avais de nouveau réussi à laisser ta marque. Deux fois dans la même heure, ce serait une grande première. Et a posteriori, je découvre que c’était bien le cas. Et tout ça naturellement, sans substance « illicite » ! Pour la petite histoire, la photo des marques me révèlent la coupable : une bien traditionnelle cravache.
La soirée se termine avec une douce séance de griffes qui me font toujours autant d’effet. Mais avant de conclure, tu souhaites faire un essai de tes nouvelles pinces sur mes têtons. Comme tu l’avais identifié, l’une d’elles est particulièrement transperçante à cet endroit-là. L’autre doit être supportable un poil plus longtemps ;-)
Le lendemain matin, j’avais comme consigne de revêtir ma dernière parure, un ensemble boxer et bas en wetlook, tout de noir vêtu. Et rien d’autre bien évidemment si ce n’est mon collier. Visiblement, ma nouvelle tenue semble te plaire. Surprise quand je débarque dans la cuisine, la pièce a légèrement été réaménagée. Deux chaises sont ficelées dos à dos au milieu de la pièce. Sans aucun doute, elles sont là pour moi. Tu me demandes de m’agenouiller sur la première tout en prenant appui avec mes coudes sur la seconde, le ventre reposant sur les deux dossiers. Au cas où l’envie me prendrait de fuir mon trône d’un jour, tu viens nouer le bas de mes cuisses au dossier. De la même manière, mes poignets se retrouvent noués. J’ai un peu l’impression d’être sur un prie-Dieu revisité par tes soins ! Ma tenue, bien que réduite, semble néanmoins ne pas être totalement adaptée pour la suite. Je suppose que l’accès à mon fessier est incontournable vu que tu descends le boxer sur mes cuisses. Cela se confirme quand une des baguettes naturelles vient flageller à plusieurs reprises mon postérieur. Finalement, ce n’est pas si mal cette position, limite confortable, selon les standards qu’on retient ;-) Je me demande si cette mise en bouche avait pour but de m’ouvrir l’appétit. Si c’est le cas, je risque d’en redemander ;-)
L’après-midi je reprends ponctuellement la main pour t’immortaliser dans cette délicieuse tenue qui te va de mieux en mieux à chaque mois qui passe. Le chapeau noir dissimule subtilement ton regard, mais celui-ci parvient si nécessaire à bien accrocher l’objectif, et moi avec, par conséquence. Le corset noir, souligné de dentelle met avantageusement en valeur ta poitrine. Des longs gants noirs viennent souligner un standing certain. Vient ensuite cette magnifique jupe noire, si longue qu’elle dissimule tout autant qu’elle révèle tandis que tu te déplaces. En particulier, elle me laisse apercevoir de temps en temps de bien alléchantes plateformes rouges sang qui apporte la touche de couleur indispensable pour compléter ta tenue de parade. Ta canne à pommeau rappelle ton côté autoritaire et majestueux. Le photographe que je suis devenu pendant quelques minutes ne peut pas rester insensible : je prends un plaisir certain à te « mitrailler » sans idée préconçue. Je mesure la chance que j’ai d’avoir un modèle comme toi.
En ce vendredi soir, après ta longue journée de travail, je ne m’attendais pas à passer à la casserole une dernière fois avant de repartir pour quelques semaines. C’est une bien agréable surprise quand tu m’invites à te suivre jusqu’à l’étage. Après quelques préparatifs pour tout avoir sous la main dans le feu de l’action, tu m’invites à te rejoindre non sans m’avoir fait mettre les bracelets de cheville. Hop, à quatre pattes sur le lit, toujours paré de violet. La première épreuve consiste à mettre en place le humbler. On a beau avoir identifié un semblant de méthode, cela reste tout sauf facile. Malgré tout, tu parviens à me le mettre en place. Désormais mes mouvements sont plutôt restreints. Je ne risque pas de quitter la position du pénitent. Je perçois un serrement certain au niveau de mon intimité. Suis-je bête, c’est un des buts recherchés ! Ce soir, tu as enfilé des gants pour apporter un peu de douceur à ce qui suit. Je sens un liquide frais couler entre mes fesses, un puis deux doigts s’évertuent à préparer mon fondement, de l’assouplir un minimum. Merci pour cette attention. Malgré tout, l’envahisseur d’avant-hier reste toujours aussi envahissant ce soir. Mais j’ai l’impression de moins gémir sous la pression de la première puis de la deuxième boule. Cette nouvelle douleur me fait oublier la pression du humbler, non pas qu’il ne soit plus là, mais son étreinte se fait moins mordante. Puis c’est le manche du martinet qui, petit à petit, se fait accepter. J’ai juste un manche planté dans le cul. Quoi de plus normal ? Me voici de nouveau avec cette apparence quasi chevaline. Ainsi équipé, je devine à certains contacts fugaces, ou certains cliquetis que tu es en train de mettre en scène une nouvelle aventure de mininours à mes dépens, ou plutôt avec moi comme toile de fond contrainte. J’ai l’impression que cette boule de poils prend son temps, histoire de faire durer mes tourments. Jusqu’à ce que je sente la mine d’un feutre sur le bas de mon dos. C’est vrai que tu avais une idée en tête. Une fois encore, je sers volontiers d’écriteau. Certes dans ma situation, je n’avais pas grande latitude pour m’y opposer, des fois que l’envie me serait venue par un improbable mystère. Une fois ton œuvre terminée, voilà que tu m’administres une dernière fessée avec la main de cuir. Astucieuse façon de détourner mon attention pendant que tu me libères de mon gode improvisé. Etonnamment, cette fois, je n’ai pas l’impression de l’avoir encore en moi une fois libéré. J’ai dû finir par m’y habituer avec le temps qu’a duré ta distraction peluchée ;-)
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Ma première sodomie... avec un trans
je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert.
Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Gamine déjà, je préférais les garçons aux filles.
Ado, j'ai compris que les mecs permettaient d'autres "jeux" que ceux que je pratiquais jusqu'alors avec eux.
Les filles, les femmes n'ont jamais été ma tasse de thé.
Et mes quelques incursions sur les rivages saphiques m'en ont définitivement convaincue.
Longtemps, je considérais mes amants comme de "simples" objets sexuels, qui pensaient me dominer alors que leur seule fonction était de me donner du plaisir, dans le cadre et selon les modalités que je leur imposais.
Et puis, j'ai rencontré mon Maître.
Et s'il ne me déplait pas, pour ce qui me concerne et dans nos relations intimes, de me voir comme un "objet sexuel" à sa disposition, il n'est pas question pour moi de l' "objectifier", puisque je ne le considèrerai jamais comme je considérais les autres.
Parce qu'il n'est pas, à mes yeux, un "moyen" mais bien une fin.
Que si j'ai besoin de me savoir l'objet de son désir, de son plaisir, de me sentir et d'être possédée par lui, je n'ambitionne pas de "le posséder" lui.
Puisqu'il est mon "Maître" et que mon plaisir dépend du sien.
Faisant de lui non plus l'objet, mais le sujet de mon désir.
_______________
J'aime son corps, l'odeur, le goût de sa peau.
son torse en V, ses tétons plantés dans une pâle aréole,
ses poils sombres sous les aisselles,
ses muscles fins et puissants.
le noir de sa toison pubienne largement fournie.
.
J'aime sa queue, à la fois symbole, justification et instrument du pouvoir que je lui ai conféré sur moi.
J'aime la contempler, la vénérer, raide, tendue, dressée et le faire bander.
Et la manière arrogante dont se manifeste son désir de Mâle.
J'aime aussi tout ce qui en sort, qu'elle qu'en soit la consistance ou le goût.
Ce sentiment de plénitude qui m'emplit quand je le fais jouir, lorsque je recueille ce je ressens comme l'essence de lui.
Et aussi l'excitation que lui procure le fait que je m'astreins à boire aussi cette liqueur dorée qui provient de la même source.
Cet autre liquide, qui n'est qu'un sous-produit, un déchet dont son corps de débarrasse mais que j'aime tout en en détestant le goût, parce qu'il vient aussi de lui.
_______________
Mais si j'aime son corps, son sexe, je ne l'aime pas comme un "objet", un "instrument" mais pour l'usage qu'il en fait, la manière dont il se sert de mon corps, de ma bouche, de mes reins, de ma chatte.
Alors, non, Maxime, tu ne seras jamais pour moi un "objet" de désir.
Mais bien le sujet de mon désir.
Puisque c'est toi qui le rend possible.
Cela dit, me savoir, moi, "l'objet" du tien ne me gêne en rien.
Au contraire :smile:
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