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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Ouais… C’est la fête au village !
Pour les ceusses du sud, tous les ans on lâche les taureaux dans les rues. Ça s’appelle une fête votive. On boit, on chante, on rebois et on baise aussi ^^
Moi j’aime bien faire des surprises. Il se trouve que ma rue est sur le passage des taureaux et que la fenêtre de ma chambre donne directement sur celle-ci au premier.
Alors une petite pipe d’entrainement et une petite baise au-dessus des gens en bas déclenche une petite montée d’adrénaline sympa.
Ca dérange personne, ils sont occupés ailleurs ;-)
Tu viens quand pour la prochaine fête ? On peut être plusieurs hein ?
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Aventure au Maroc.
Elle s’appelle Sanna, célibataire et a 25 ans, prénom d'origine arabe. Signifie: "élévation, grandeur". Ça lui va bien. Elle est masseuse au SPA du Riad ou nous sommes descendus au Maroc à Marrakech, pour quelques jours de repos et affaire un ami et moi.
Sanna est beaucoup plus grande que la moyenne de son pays (1m78), de corpulence normale pour sa taille très fine avec un petit ventre tout petit et mignon. Brune, cheveux mi- longs aux yeux noirs bien sûr, des seins opulents vraiment comme des obus, un fessier harmonieux et ferme mais moins dodu que la moyenne des marocaines, vous verrez pourquoi plus loin je le sais.
C’est vraiment une belle femme intimidante.
Il faut savoir que dans ce pays musulman très libéral cependant, la prostitution est interdite. Les clients pris sur le fait vont en prison direct et ça coute très cher pour un touriste bien sûr. Ce genre de pratique est donc très discret et on prend des risques des 2 cotés. La moyenne des salaires étant de 250 € par mois, la vie est dure et pour s’en sortir, ils ont plusieurs petits boulots.
Je suis un cérébral, j’adore faire des scenarii pour faire monter l’adrénaline mais celui-ci n’était pas prévu. J’ai eu des massages poussés des fois déjà dans des salons mais là…
Compris dans le forfait du séjour, un gommage du corps avec une autre employée, Ind, et un massage avec Sanna pour 50 € j’en ai donc profité.
Après que la première m’ait bien arraché la peau, on me met dans une alcôve ou on me sert le célèbre thé à la menthe. Après 10 minutes arrive Sanna qui vient me chercher.
Une musique douce envoutante vous permet de vous mettre à l’aise. Une douche et hop, étalé sur le ventre, nu bien sûr, la tête dans un trou, les bras le long du corps, elle commence par les jambes, les pieds. Elle prend son temps. La serviette cachant le haut de mon corps se déplace en bas, elle s’attaque à mon dos et remonte vers mon cou et ma tête. Ca endort, on est ailleurs…Sanna est douce et ferme en même temps. Je ne cherchais que mon bien être.
Elle masse en passant mes bras et mes mains et c’est là que le jeu commence… Je lui attrape doucement la main dans mon demi-rêve, bercé par la musique. Elle revient et je suis plus ferme en la serrant comme un enfant qui tend la main. Elle accentue le massage, le prolonge, ça dure longtemps comme quelqu’un qui se cherche, ma main alors touche son intimité qu’elle a approchée au bord de la table. Je rêve toujours. Je ne veux pas sortir de ce jeu qui commence et me plait. Elle accentue la pression sur son sexe avec sa main et relève même une jambe.
La pièce étant fermée par un rideau et du monde à coté, il faut rester discret. Elle m’aide à me tourner et me fait signe un doigt sur la bouche de ne rien dire. Je lui fais comprendre que j’ai des euros. Elle cligne un œil et m’embrasse sur la joue. La suite est bien meilleure que vous pouvez penser. J’ai rarement joui aussi vite.
D’ailleurs, j’y suis retourné la veille de partir. On s’est compris rapidement. Elle n’avait pas de sous-vêtements, enlevés, avant mon arrivée programmée par l’accueil. . J’ai même réussis à la faire jouir.
Célibataire, apparemment ça ne lui est pas arrivé souvent. Elle me l’a confirmé. J’ai encore la marque de sa morsure sur ma main.
On a eu l’occasion de discuter de façon discrète ensuite. Ce n’est pas une pute comme on pourrait penser. Je sais qu’elle a aussi pris plaisir à nos jeux. Il y avait la partie plaisir et l’échange d’argent est une reconnaissance.
Bien à vous
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A partir de cette journée ou Maître m'avait livrée à son ami, ma vie a complêtement changé. Notre relation était bien établie, j'étais devenue sa pute vide couilles quasiment à temps complêt. il avait su faire exploser la salope qui était en moi et en usait , abusait à volonté. De une à deux fois par semaine, c'était maintenant quotidiennement que j'allais chez lui le sucer ou me faire enculer et j'adorais ça. Quand il invitait une relation, toute honte avait disparue en moi, je m'occupais de la personne comme si c'était mon Maître car c'était sa volonté et son envie. les moments ou je n'étais pas à le servir, il était constamment dans ma tête, une véritable obsession de sa domination et de sa queue. Surtout qu'il avait fait venir des usa un gros plug que je du apprendre à porter en permanence et là aussi, la torture du début se transforma en un plaisir et un besoin de le sentir en moi pour me garder bien ouverte et je ne portais que des slips de femme. Peu à peu, je perdis mes amis car je n'avais qu'une hâte c'était de le retrouver.
Les week ends ou mes parents étaient absents, il organisait des soirées poker. En tenue de soubrette achetée en sex shop, jupe ample mais très courte, bas et talons et maquillée comme une prostituée, évidement sans slip mais plugée je portais mon colier de chienne avec fierté. Je faisais évidement le service et le reste du temps je le passais sous la table à sucer l'un d'entre eux. Les pauses étaient plus intenses car j'avais toujours une bite plantée dans mon cul et une autre en bouche. Ce fut lors d'une de ces soirées ou je fus sodomisée par deux à la fois. J'étais devenue très ouverte si bien qu'il dut commander un plug plus épais. c'est à partir de là également qu'il prit gout à me fister régulièrement ce qui me rendait dingue de plaisir.
Puis vint le grand jour que Maître et Monsieur avaient plusieurs fois envisagé. Un samedi il m'emmena à Marseille et me déposa devant un petit hotel pas très reluisant. Il ne me donna qu'un numéro de chambre et la consigne de me déshabiller totalement avant de frapper à la porte.
Obéissant, je traversais le hall tête baissée, la honte revenait mais je voulais par dessus tout le satisfaire. La chambre était au 1er étage. Devant la porte, j'otais mon survêtement et, une fois nue je toquais. Rapidement quelqu'un vint ouvrir. Un homme d'une soixantaine d'année me fit entrer.. son peignoir entre ouvert laisser voir une queue d'une belle taille. Ce fut sans fioriture excessive. Il s'assit dans un fauteuil et je le sucais comme Maître me l'avait appris en y mettant tout mon coeur. Coeur qui s'emballait car la situation faisait naître en moi d'énormes sensations, j'étais très excitée de sucer un inconnu dans une chambre miteuse. Cela ne dura pas très longtemps. Il me fit mettre à genoux sur le lit, s'amusa un instant avec le plug qu'il finit par enlever et m'encula sans trop de délicatesse.. Au bout de quelques minutes, son ventre claqua contre mes fesses et il lacha son foutre tout au fond de mes entrailles. je dus le sucer un peu afin de lui nettoyer la queue, j'aimais pas du tout mais je le fis , puis il me demanda de me rhabiller , me tendit 200 francs et me mis à la porte. J'avais du mal à réfléchir et un peu aussi à mon cul car il n'y était pas allé de main morte. Je retrouver Maître dans sa voiture. Il avait les yeux brillants quand je lui remis les billets, je voyais bien qu'il était ravi de ma docilité. il me félicita et me pris la queue et me branla doucement. 'pour te récompenser me dit il" et il me fit jouir. comme cela faisait plusieurs jours qu'il me privait de jouissance, ce fut très fort. Je criais en projetant mon foutre qui gicla sur le tableau de bord. Eviemment je du lécher mais j'étais aux anges surtout qu'il me laissa poser la tête sur sa cuisse pour le chemin du retour. Je me suis toujours souvenu de cette première passe pour 200 francs et du plaisir pervers que j'en avais tiré. j'étais réellement devenue sa pute
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Agrafe, agrippe, agrège
Griffe, grogne, greffe
Délasse-toi, enlace-moi
Délaisse tout, laisse-moi
A cran
Accroche-toi, attache-moi, accorde-nous
Prends-moi, rends-toi, étends-nous
Détrempe-moi, détrompe-toi, étreins-nous
Mords sans remords
A crocs
Abuse, appuie, épaule, éponge
Bouscule, bascule, balance
Caresse, carotte, cartonne
Répands-toi, réponds-moi, repose-nous
A cru
Epouses mon corps, pouilles moi
Eprouves mon cœur, propage-toi
Epuise, épure, épreuve nous
Dépouille-nous des poussières passées
En cris
Façonne-moi, frissonne moi, défaille moi, défrise-moi
Qu’on déraille, dérape, déraisonne
Et résonne
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Suite à ma première expérience homosexuelle et de domination, j'ai pris goût aux jeux masculins et aux jeux de domination.
Depuis que nous avons joué ensemble, je n'ai pas revu Yohann, c'est bien dommage. J'ai cependant fait de belles rencontres.
Dans le village où j'ai grandit, deux potes sont devenus, l'espace de 2 ou 3 ans, des partenaires sexuels réguliers. L'un d'eux est même devenu le guitariste de mon groupe .. mais j'en parlerai plus tard.
Donc un jour, avec mes deux compères, Alex et Axel, nous passons la journée chez Alex à jouer dehors, à la console, faire de la musique... bref on s'amuse et on décide de dormir chez Alex dont la chambre est spacieuse. Sa mère nous installe des matelas et couvertures et nous finissons la soirée tous les trois à bavarder et se taquiner.
Arrive le moment de se déshabiller (il est genre 1h du matin) pour aller se coucher. Alex, 1m85 pour 100kg sort de son lit direction la douche tandis qu'Axel, 1m70, 60kg tout mouillé, prépare ses affaires pour aller à la douche. Il commence a se déshabiller dans la chambre et reste en caleçon. Je peux voir sa bite durcir doucement à mesure que je la regarde, comme hypnotisé. Pas le temps d'en voir plus, Alex reviens de la douche, serviette autour de la taille. Axel va donc dans la salle de bain, je prépare mes affaires et au moment où j'enlève mon t-shirt, le vois Alex, penché sous son lit, la serviette laissant voir son cul et sa bite qui semble plus grosse que celle d'Axel.
Celui ci sort de la douche et je le remplace à contre cœur car j'aurai bien profité du spectacle qui m'était offert.
Au sortir de la douche, en caleçon, je rentre dans la chambre et vois mes deux camarades nus, se rouler des pèles. Je range mes affaires dans mon sac et je sens une main me peloter les fesses avec insistance. Quand je le retourne, je vois Axel , un grand sourire aux lèves, en train de se faire sucer goulûment. Il le retire mon caleçon et j'ai un mouvement de recul. Je complexe toujours sur la taille et l'aspect de mon penis, surtout que c'est ma deuxième expérience et avoir 2 beaux garçons devant moi à un effet intimidant. Il commence a m me caresser les cuisses, le ventre et finalement je le laisse faire. Il commence a me branler et la prend en bouche avec un grand sourire. A ce moment, Alex se redresse et se dirige vers ma queue en me disant "t'inquiète, on va bien s'occuper de toi".
Me voilà donc debout, avec deux bons suceurs à genoux devant moi prêts à le satisfaire. A un moment, je demande à Axel de se diriger vers le cul d'Alex et de lui lécher. Non sans vice dans la voix, il me dit "à tes ordres" et s'exécute. A ce moment, Alex se met à gémir et à accélérer sa fellation. Je lui demande de se mettre sur le dos, jambes écartées. Dans cette position, la langue d'Axel semble faire plus d'effet. Voyant cela, Axel quasiment à bout se met à se branler et jouit rapidement sur la bite d'Alex. Je suis toujours en train de me faire sucer quand je me penche pour sucer Alex qui arrive très rapidement dans ma bouche. Surpris, je n'arrive pas à ravaler et je laisse le sperme couler sur le magnifique engins présent dans ma bouche. Aussi, j'ordonne à Axel de ne pas laisser une goute de sperme sur Alex. Il s'exécute rapidement et en profite pour sucer un peu Alex. Celui-ci augmente la cadence, Alex aussi et je viens sans pouvoir le retenir dans la bouche d'Alex.
la soirée s'achève ainsi, les deux compagnons fatigués mais heureux, moi excité et comblé.
Vivement la suite!
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Cette chronique en quelques épisodes a comme volonté de partager mes expériences sexuelles qui m'ont, peu à peu, entraînées dans le monde du BDSM et de la domination.
mise en contexte : né avec une malformation du penis, j'ai toujours complexé quant à sa taille. Au fil des rencontres j'ai appris à l'accepter et à développer de nouvelles manières de donner du plaisir à mes partenaires.
L'action ou vérité de la découverte
Adolescent, j'ai fait de nombreuses expériences avec d'autres garçons. Toutes étaient plus ou moins mêlées de cet aspect de domination. Mettez des jeunes hommes pas encore matures seuls dans une pièce, l'un prendra le dessus sur l'autre.
Un soir, alors qu'on était avec mes parents chez un collègue de mon père, je joue à GTA avec le fils du collègue (appelons le Yohann ) que je fréquentais souvent. Il avait toujours été un peu efféminé et ce soir là, alors qu'on est plongé dans la partie de console, il me sort une phrase qui m'interpelle comme quoi c'était dommage qu'il n'y ait pas de prostitués hommes dans le jeu.
Nous commençons à en discuter puis nous en rigolons et passons à autre chose. Plus tard dans la soirée, une action ou vérité débute et très vite ça parle de cul, quand je choisis action il me demande de lui montrer mon torse, mes fesses... et quand je dis vérité est toujours sur des pratiques soit homosexuelles soit violentes. Mes questions sont plus naïves jusqu'à ce que je lui demande s'il a déjà aimé être frappé. Il me répond "oui, une fois". Quand je choisis action à mon tours, il me demande de lui donner une claque. Je fais de même et lui prends plus de plaisir que moi à la recevoir. on commence a se déshabiller puis quand je choisis action, non sans excitation, il me dit de lui donner des claques fortes sur différentes parties de son corps. Chaque fois il gémit et cela augmente quand, caleçon baissé, le lui mets des fessées.
le jeu continue et inévitablement cela arrive à ce que l'on se suce mutuellement. Alors qu'on est en 69, je lui mets des fesses et des claques de plus en plus fortes. Il augmente le rythme de la fellation allant de plus en plus loin.
pour le finir en beauté, je le mets sur le dos et tout en le branlant, je continue de la claquer, cette fois sur les testicules, sans attendre sa demande. Je frappe aussi ses cuisses et son ventre qui rougissent à vue d'œil alors même qu'il étouffe ses cris dans son oreiller.
l'ejaculation ne tarde pas et, comme récompense, je récupère son précieux liquide et lui fait avaler en enfonçant mes doigts bien profond dans la gorge avant de l'embrasser goulûment.
cela ne lui suffit pas et il veut que j'ejacule mais mon plaisir est déjà pris et le frustrer après un si bon moment était un régal...
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En soirée, Maitresse m’a mis une cagoule et m’a attaché sur la croix .Elle m’a laissé une main libre pour que je me masturbe. J’ai en fait l’obligation de me masturber et de présenter tant mon sexe bien raide que mes couilles étroitement serrées par un lien à ceux qui sont là.
Se masturber 5 minutes est facile, mais le faire longtemps en résistant à l’éjaculation est bien plus difficile. Je suis parti dans une bulle où je m’auto excite en pensant que je dois tenir dans la durée, que c’est un challenge. Quand elle m’a demandé de m’entrainer à la maison, j’avais réglé le chrono sur 10 minutes mais je me doute que là, cela va être bien plus long et j’essaye de gérer en fonction.
Après un bon moment, je la sens qui m’attache la main libre à la croix et se mets à me travailler les seins comme elle sait si bien le faire. Je pars quasi immédiatement au nirvana et je vois à travers la cagoule ses yeux brillants d’une perversité que j’adore accompagner ses mains qui m’arrachent tant de plaisir dans la douleur.
Après quelques divines caresses sur l’ensemble de mon corps offert à ses caprices, elle s’arrête , détache l’autre main et m’ordonne de reprendre ma masturbation.
Ce manège masturbation : travail des seins recommence plusieurs fois.
Puis durant une dernière masturbation, elle m’ordonne d’éjaculer dans ma main et de bien la lécher
Je laisse donc mon plaisir monter encore plus loin pour la satisfaire ce qui n’est pas si facile car la fatigue se fait sentir. Mais cette fatigue décuple mon plaisir et j‘éjacule en hurlant mon plaisir sans pudeur devant tous ceux qui sont là
Comme ordonné , je lèche ma main puis à sa demande me frotte le visage avec . Elle me rattache la main et je reste là , planté au milieu comme un objet inutile.
Merci Maitresse
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(Exercice d’écriture thème : visite surprise sous l’eau, histoire vraie ; mots : tissu, moindre, déluge, tambouriner ; texte de 300 à 350 mots )
Elle a pris ses clés, mis ses escarpins et son manteau et s’est dirigée vers sa voiture. Ne pas réfléchir, y aller
En mettant le moteur en route, quelques gouttes viennent s’écraser sur son pare-brise. Elle connait le chemin par cœur, sourit à cette expression. Nue sous son imperméable, elle frissonne et démarre
Radio jazz pour l’accompagner. La pluie arrive et dessine des rigoles entre ses essuie-glaces. Elle est pressée d’arriver. Elle sent ses seins se durcir et ses reins se cambrer : se soumettre, se laisser aller, être son objet dont il use à sa guise. Le voir bander, le sucer en redemander
Elle a chaud, sa chatte commence à mouiller. Sous le tissu ses tétons sont sensibles. S’offrir à lui, nue sous son imperméable. Sous la pluie torrentielle, qu’il la traine, la traite comme une chienne. Elle ressent le besoin d’être sa putain, son pantin, de jouir de sa queue de ses mains. Elle s’imagine sous les cascades d’eau, eux nus trempés, dans l’urgence du moment, baiser comme jamais, baiser sauvagement
Arriver, vite arriver et défaire son imper, sentir son cœur tambouriner et son corps s’abandonner
Elle dégouline, elle sait qu’à la moindre caresse là dans son habitacle elle pourrait jouir, gémir de plaisir. Elle veut être gerbe d’eaux, ondée, un affluent coulant sous ses assauts
Se concentrer sur sa conduite, rester calme, respirer à fond, elle se rend compte qu’elle caresse le levier de vitesse, que ses hanches et son cul bougent au rythme de la musique
Elle est dans sa rue. Elle se gare et prend le temps d’attacher ses cheveux. Elle descend sous le déluge, trempée , frissonnante, elle se dirige vers sa maison. Ses jambes flageolent un peu. Elle a peur et son cœur s’affole. Un semblant de raison, se demander ce qu’elle fait là . Son doigt s’approche de la sonnette, tremblant.
Elle sonne ou pas .
L’histoire est vraie, tout le reste est inventé
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Là, tout se noue, depuis ma gorge jusqu'à mon vagin. Pourquoi ai-je épousé ce clown pervers et stupide ? Un cameraman filme la scène. Je dois faire pipi, j'ai faim, j’ai soif et bien sûr, je suis terrifiée. Je savais que le risque augmentait de jour en jour... J'aurais dû partir, mais je ne sais pas où est Summer. Je demande à la femme :
— Mon mari est ici ?
— Non, il n'y a plus que toi, ici.
— Vous voyez, ils m'ont laissée parce que je n'ai rien à voir avec ce que faisait le Président. J'étais juste là pour son image.
— C'est possible... on verra...
— On pourrait m'enlever les menottes, que je puisse passer une robe ? Et puis, je dois faire pipi... ça presse, je vous jure.
— La robe, non... Pipi, OK. Tu filmes Jacky ?
— Oui...
— On va dans la salle de bain et il filme. Quand j'ai fini, je me secoue un peu, impossible de demander à la femme de m'essuyer ! Je lui demande :
— Qu'est-ce qui va m'arriver ?
— On va t'interroger, puis tu passeras en jugement...
— On va me condamner à mort ?
Ça les fait rire tous les deux. Elle répond :
— Certainement pas, mais sans doute à une peine de prison pour que tu sois hors des pieds.
La prison ! Summer va me faire évader. La femme me conduit dans une grande pièce. Plusieurs hommes sont assis autour d'une table. Il y a quatre Noirs et deux Blancs. La femme leur dit :
— Je vous amène la Première Dame
— Merci, Jackie.
Ils continuent à parler entre eux. Le cameraman s'assied et moi j'attends debout, aussi nue que le jour de ma naissance.
On attend quoi, là ? Au bout de cinq minutes, je demande :
— Je peux m'asseoir ?
Un gros homme répond :
— Non.
— Mais je n'ai rien fait, je n'étais pas au courant de ce que faisait mon...
— Tu as envie d'être fouettée ?
— Non, Monsieur.
— Alors, tu te tais.
Il ne me traite pas du tout comme si j'étais la Première Dame et pourtant, je n'ai rien fait... On ne me parlait jamais de rien ou presque... Après une bonne demi-eure de station debout, un homme entre dans la pièce. Aussitôt, les autres se lèvent, comme à l'école ! Oh ! Je le connais, c'est Dany Prince, l'adversaire de mon mari. Il tourne autour de moi en disant :
— Les rats ont quitté le navire qui coulait, en ne laissant que toi derrière eux. Pourquoi ?
Putain ! Qu'est-ce que je dois répondre !
— Mon... mon mari m'a épousée juste pour mon physique et pour m'obliger à partouzer.
— Tu veux dire que tu n'as jamais participé à un complot contre moi ?
— Non, je n'étais au courant de rien, je vous jure.
Il sort un téléphone de sa poche et pousse sur une touche, j'entends ma voix dire :
— Il faut organiser un scandale sexuel bien crade...
Merde ! Je lui dis :
— Il y en a qui voulaient vous faire descendre, moi j'ai juste dit ça.
Prince bâille, puis il me dit :
— Je crois que tu n'avais pas grand-chose à dire... Ta seule qualité étant tes fesses.
Sympa ! Il se tourne vers ses conseillers en disant :
— Qu'est-ce qu'on en fait ?
À tour de rôle, ils prennent la parole et suggèrent de faire un grand procès télévisé, de me faire disparaître ou encore de me vendre comme esclave. Prince dit à celui qui vient de suggérer de me vendre :
— Développe.
— Il ne faut pas en faire une martyre, du genre on s'acharne sur la pauvre épouse abandonnée par son mari... On la vend un bon prix.
Je ne veux pas être vendue, mais je veux encore moins disparaître. Je dis à Prince :
— Vendez-moi, Monsieur le Président, vous n'entendrez plus parler de moi.
— Président, c'est pour bientôt. Esclave, ça te plairait ?
— Pas du tout, mais disparaître encore moins.
Il sourit et répond :
— D'accord, on met le film qu'on vient de tourner en "secret défense" et pour la presse, il n'y avait plus personne à la Maison-Blanche. Ils se sont tous enfuis comme des lâches. Toi, on te vend.
Ce qui m'empêche de m'écrouler en sanglotant, c'est un nom... vous savez de qui je parle. Prince ajoute :
— Faites-la voyager discrètement.
Là, les choses vont vite. J'ai toujours les mains enchaînées derrière le dos et on me conduit dans une voiture aux vitres teintées... On va l'aéroport de Washington. Là, on me met dans une petite cage pour chien. Imaginez : de la Maison-Blanche à une cage pour chien ! Les hommes qui sont là n'ont pas l'air étonnés... c'est sans doute comme ça qu'on fait voyager les esclaves...
Un Black vient m'examiner. Il me dit :
— Tu as un beau cul pour une Blanche.
— Merci Monsieur... Dites, j'ai soif.
Il regarde autour de lui, puis il sort son sexe de sa salopette et le passe entre deux barreaux en disant :
— Suce-moi et je te donnerai à boire.
Ça ne me change pas tellement de ce que je devais faire avec ce salopard de président. Je tire sur la peau et découvre un gros gland tout rose qui tranche sur sa peau ébène. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe, dans la limite où la petite cage le permet... Je dois me concentrer sur ce que je fais.
Il lui faut bien une dizaine de minutes avant d'inonder ma bouche de sperme. Il presse son sexe de la base vers le sommet pour mettre les dernières gouttes dans ma bouche. Ensuite, il ouvre un instant la cage pour y mettre un bol d'eau en disant :
— Je vais te donner un peu à manger.
— Merci Monsieur.
Enfin, merci... c'est un grand mot, car il ouvre un sachet et le vide dans un autre bol. Il le met dans ma cage en disant :
— C'est de la nourriture pour chiens, ce qu'on donne aux esclaves.
Il y a deux jours, j'aurais dit « Les esclaves devraient être contentes qu'on les traite comme des chiennes ». Mais quand on a le nez dedans, c'est différent ! Et je crains de ne pas être au bout de mes mauvaises surprises.
Je me force à manger cette pâtée qui sent fort. Je ne sais pas quand je mangerai à nouveau. Quoique... il faut que les esclaves soient en forme pour être vendues. C'est vrai, je vais sans aucun doute être vendue comme esclave de plaisir !
Dans les cages à côté des miennes, un chien aboie.
Je termine ma pâtée et mon bol d'eau... Je voudrais me coucher mais la cage est trop petite... J'arrive juste à me mettre sur le dos, les jambes... je veux dire les pattes repliées... Des hommes viennent me chercher, ils me chargent dans la cale. L'avion décolle. Je suis dans le noir... à broyer du noir !!! La seule bête consolation, c'est ceci : ce que je craignais est arrivé, donc ça n'arrivera plus. Et puis, il y a Summer...
Quelques heures plus tard, on atterrit. On me charge dans une camionnette. Je ne vois rien. On roule un moment, puis on décharge la cage et on l'ouvre... Un homme m'aide à sortir, j'ai du mal à marcher tellement j'ai des courbatures. Je regarde autour de moi, on est sur un quai, devant moi, la mer... Je pensais me retrouver au Slave Paradise où des amis auraient pu m'aider à m'évader... L'homme me met des menottes, mais devant heureusement, puis il met un collier en métal autour de mon cou. Il y a une chaîne accrochée au collier et il me tire derrière lui. Un peu comme s'il promenait son chien... On se dirige vers un petit bateau et on y monte. Un homme demande au garde :
— C'est la dernière ?
— Oui... on peut y aller, je vais l'attacher avec les autres.
Je lui dis :
— Pardon Monsieur, mais je dois faire pipi et j'ai soif.
— Oui, viens...
On entre dans une toilette. Quand c'est fait, il me tire par ma chaîne vers un homme qui doit être le capitaine. Il lui dit :
— T'as pas une bière ?
L'homme lui donne une Coors. Il boit la moitié et me la donne. Je le remercie et la vide en deux gorgées. C'est la première chose agréable depuis la fin du monde. Ensuite, il me conduit à l'arrière du bateau. Oh ! Il y a une série de filles réunies par une chaîne attachée aux colliers qu'elles ont autour du cou. Elles sont assises par terre mais elles se lèvent dès qu'elles voient le garde. Elles ont aussi les mains menottées vers l'avant. Le garde attache ma chaîne au collier de la dernière fille. Elles sont sept, toutes Blanches et toutes jolies. Le garde nous dit :
— Asseyez-vous.
On obéit et dès qu'il va vers l'avant, quelques filles se parlent tout bas. Je murmure à la fille qui est devant moi :
— On m'avait dit que j'irais au "Slave Paradise".
Elle répond :
— On va à Alcatraz.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Dans l'univers BDSM, la notion d'abnégation est souvent rapportée, comme une configuation extrème et idôlatrée d'une relation SM. De nombreux philosophes et écrivains se sont intéressés à ce sujet. Tel, Gilles Deleuze ou Pablo Neruda. “Si rien ne nous sauve de la mort, que l’amour nous sauve au moins de la vie.” Pour la psychanalyse, la sexualité et l’organisation du psychisme sont totalement interdépendantes. Selon la conception, la sexualité humaine est une psychosexualité, organisatrice du psychisme, des conduites, ne se réduisant pas au biologique. Plus précisément la théorie des pulsions place la sexualité au centre du psychisme, ce qui constitue la révolution initiée par Freud. La sexualité n’est pas un reliquat animal, vestige malpropre à laquelle l’humanité est soumise pour la seule survie de l’espèce. Elle est la condition même du devenir humain, c’est-à-dire du développement du psychisme et de la culture. Il n’y a pas chez l’homme de sexualité sans culture, le développement de l’une est consubstantielle à l’évolution de l’autre. Sacrifiées, sacrifiantes, une troisième version de la scène sacrificielle s’esquisse à côté des deux premières, celle de l’auto-sacrifice, au plus près de la première. Ainsi, Cordélia, la plus jeune fille du "Roi Lear" de William Shakespeare, lointaine cousine d’Iphigénie, se sacrifie par amour, au lieu de le sacrifier par haine, comme ses sœurs aînées. Cordélia se laisse ainsi détruire pour ne pas le détruire lui. Une femme se fait alors l’agent et l’objet de la mise à mort par le père. Les places changent dans le scénario du parricide originaire, mais le scénario ne change peut-être pas fondamentalement. Une fille est sacrifiée par son père, sacrifiée à ses propres idéaux puisqu’elle ne dérogera pas, sacrifiée à son omnipotence infantile de vieillard, mais, telle la silencieuse déesse de la mort, feu divin féminin, elle est aussi l’agent de son élévation. La symbolique du destin sacrificiel colle aux femmes et les illustrations de tuer de façon tragique une héroïne se bousculent sur la scène. Antigone qui, avec son désir de mort, sacrifia sa vie pour enterrer son frère, Iphigénie qu’Agamemnon son père, sacrifia pour que les vents enfin poussent les grecs vers Troie et la guerre, Médée qui sacrifia ses enfants pour se venger de Jason. Sans oublier le sacrifice que, bien obligée, la Vierge Marie fait de sa féminité, ni les petits sacrifices qui additionnés mènent les mères à la sainteté ordinaire et à la folie maternelle, ordinaire elle aussi. Médée n’est pas seule à le faire savoir.
"Elle me rendait amour pour amour, elle m'aimait avec toute l'énergie d'un cœur innocent et neuf, elle m'aimait comme les femmes savent aimer: s'ignorant, se se sacrifiant elle-même, sans savoir ce qu'est un sacrifice". Dans la langue même, sacrifice n’équivaut pas à passivité, ou alors il faudra préciser laquelle. Comme le deuil et le désir, dont il partage l’ambiguïté du génitif, le sacrifice en français est grammaticalement tantôt passif, tantôt actif. La demande de sacrifice d’Isaac par Abraham, mis à l'épreuve, est aussi le sacrifice d’Abraham, le sacrifice d’Iphigénie par Agamemnon est aussi le sacrifice d’Agamemnon. Dieu sait qu'Abraham le craint mais ne souhaite pas son abnégation. Les dieux qui demandent à Agamemnon de sacrifier sa fille le laissent seul avec son meurtre, auquel Iphigénie consent. La plainte mélancolique que le dehors réveille peut conduire jusqu’à la mise en acte sacrificielle. Il faudrait comparer de plus près les deux voies, celle du masochisme et celle du sacrifice, mais la mise à mal et le bénéfique narcissique qui en découlent se retrouvent dans l’une et l’autre, même si dans le masochisme la mise à mal est retournée sur soi, parfois jusqu’au suicide, avec un gain moindre en libido narcissique et plus souvent sous la forme du déchet que de la statue. Il faudrait aussi reprendre les trois masochismes, érogène, féminin et moral, que Freud décrit en 1924, pour examiner où et comment, dans laquelle de ces formes, le sacrifice jouerait sa partie. Montrer comment, dans le masochisme érogène, la douleur œuvre à l’élévation. Il faudrait expliquer comment dans le masochisme moral, le sacrifice viendrait satisfaire le besoin de punition réclamé à cor et à cri par le moi, objet du sacrifice. L’agent du sacrifice serait alors le surmoi, ou la réalité extérieure, sous le masque parfois des nécessités de la vie. L'abnégation serait-elle le sacrifice ultime de soi ? Pour répondre à cette question, il resterait à préciser la manière dont le sacrifice se situe entre le masochisme et la mélancolie, comme entre les deux rives de son cours, avec ses eaux mêlées de meurtre et de narcissisme, de mort et de libido, tout en touchant ces rives il se sépare et de la mélancolie, déliée et devenue pure culture de la pulsion de mort, et du masochisme où primerait la libido objectale, du moins à travers le fantasme de fustigation, version du fantasme de séduction. Concevoir le sacrifice comme une offrande à la divinité sacrée ou comme une communion avec elle, c’est se représenter le rite comme une relation ternaire dont les éléments constitutifs, le sacrifiant, la victime et le dieu, serait en quelque sorte homogènes. Or, si les deux premiers éléments de la relation sont immédiatement donnés à l’observation, l’existence et le statut du troisième ne vont pas de soi. Entre le sacrifiant et la victime, il y a bien, un troisième terme irréductible et surplombant, mais ce n’est pas le dieu, c’est-à-dire un tiers extérieur, c’est tout simplement la relation rituelle qui associe le sacrifiant et la victime et détermine chacun d’eux en tant que tel. Dans l'abnégation, même schéma. Décrire le sacrifice comme un don aux dieux, ou un acte de communion avec eux, est une chose, construire une théorie du sacrifice, une tout autre chose.
"L'acte d'amour le plus parfait est le sacrifice, cacher ses sentiments pour pouvoir être bon ami. Je t'aime et je crois que je t'aime depuis que nos regards se sont croisés". En effet, car une théorie ne doit pas expliquer les pratiques des hommes par les croyances qui les accompagnent, mais remonter aux causes communes des unes et des autres. C’est un point de méthode sur lequel des auteurs aussi divers que Marx, Freud ou Deleuze, s’accordent, et que l’on peut tenir pour acquis, même si l’on rejette par ailleurs toutes leurs thèses sur la nature de la vie sociale ou de la vie psychique. Rien donc n’autorise le théoricien à identifier la portée et le sens d’un rite accompli par des hommes avec les raisons que ceux-ci peuvent invoquer pour le justifier. Au demeurant, dans maintes religions, les croyances et les dogmes se réduisent à l’idée qu’il faut accomplir scrupuleusement les rites traditionnels. Car, si la divinité est seulement une représentation symbolique des institutions sociales, qui transcendent les individus, et leur apportent non seulement la sécurité matérielle mais les qualités spécifiques qui les distinguent des animaux, tout devient clair. La société, les dieux, et les rites où ils demeurent présents, ont autant besoin, pour subsister, des hommes et de leurs activités cultuelles, que les individus, de leur côté, ont besoin de la société et de ses dieux pour conduire durablement sans trop d'angoisses une vie proprement humaine. D’une part, l’individu tient de la société le meilleur de soi-même, tout ce qui lui fait une physionomie et une place à part parmi les autres êtres, sa culture intellectuelle et morale. Qu’on retire à l’homme le langage, les sciences, les arts, les croyances de la morale, et il tombe au rang de l’animalité. Les attributs caractéristiques de la nature humaine nous viennent donc de la société. Mais d’un autre côté, la société n’existe et ne vit que dans et par les individus. Que l’idée de société s’éteigne dans les esprits individuels, que les croyances, les traditions, les aspirations de la collectivité cessent d’être senties et partagées par les hommes, et la société mourra. Il est clair que, dans cette perspective anthropologique, le sacrifice est, par essence, tout autre chose qu’un don aux dieux. Il s’agirait plutôt d’un procédé d’autorégulation de la vie sociale, d’un des moyens les plus efficaces que les hommes aient découvert pour contenir la violence, pour borner la violence par la violence, tout comme dans l'univers du BDSM complice tirant sa force de son aspect psychologique qui est renforcé par la solennité des pratiques. Chaque étape de la relation, chaque progrès significatif est marqué par une cérémonie et des règles.
"Si un sacrifice est une tristesse pour vous, non une joie, ne le faites pas, vous n'en êtes pas digne". Tout est précisé par écrit et la soumise est ainsi guidée dans chaque étape de sa relation. Lorsque la soumise atteint un niveau supérieur elle devient dame du donjon. Elle peut elle-même fixer de nouvelles règles, écrire des protocoles, des cérémonies et les proposer au Maître pour faire évoluer la relation. Le rituel de fin de séance est très important. L'esclave est une soumise qui a atteint le niveau suprême de la soumission mais qui ne veut pas de responsabilité par humilité. Elle abandonne toute limite, elle laisse au Maître le choix de contrôler la relation, de fixer les objectifs et des limites. Elle se donne totalement sans condition, sans exigences et sert avec dévotion. Elle est la sœur de soumission des soumises et un modèle à suivre de perfection et d’abnégation. Les astreintes et les obligations sont pour la Maîtresse ou le Maître des moyens d'évaluer l'abnégation de la femme soumise en éprouvant ses motivations et sa dévotion selon son niveau d'avancement dans sa soumission. Le respect de ces attentes et demandes est associé à l'obéissance et a contrario le non respect à la punition. Il ne faut néanmoins pas confondre, ni répondre, de la même manière selon le niveau des déviations constatées. Seule l'expérience et le caractère du partenaire dominant lui permet de rester crédible aux yeux de la personne soumise. Ainsi, tous les écarts ne doivent pas entraîner une punition basique et dépourvue d'imagination. Il ne faut pas confondre l'erreur et la faute. Si la faute est un manquement à une règle établie, comprise et déjà appliquée, l'erreur est une inadéquation temporaire de l'attente par rapport à la demande à exécuter. Charlotte, tout de blanc vêtue, me fait penser à ces collections de plâtres façonnés par le sculpteur Rodin. Des vases antiques recyclés d’où sortent des formes naissantes, des figures d’étude fragiles, des êtres en devenir, des ébauches de femmes encore siamoises, des esquisses collées au ventre du vase dont elles tentent de s’arracher, de se décoller. Charlotte, comme une pièce de musée, se rend pour le moins intouchable. Elle se sent dans un carcan , une sorte de cercueil d’accueil. Elle est encartonnée, me dit-elle. Et sa voix se déforme et devient métallique quand elle accueille et garde à demeure le fantôme de son abnégation et sa fierté d’esclave sexuelle. Elle se donne corps et âme, toute dévouée à mon plaisir. L’abnégation est un sujet tellement abstrait, tellement loin des faits parfois. Je pense qu’il est facile d’en parler, facile d’écrire ce mot magnifique, mais il est sans doute plus difficile de le ressentir véritablement tant qu’on n’est pas face à la situation qui le démontre.
"Une vie de sacrifice ou d'abandon, est le sommet suprême de l'art. Elle est pleine d'une véritable joie. Ce qui compte, c'est la grandeur du but que l'on s'assigne". C’est un peu comme de dire que l’on est prêt à tout, jusqu’à ce qu’on réalise l’ampleur que peut prendre ce tout et alors on se met à douter de ce qu’on a promis. Lorsque, justement, il n’y a plus aucune question, juste de l’abandon. Elle avait beau toujours vouloir repousser ses limites et s’enfoncer un peu plus loin dans sa condition de soumise, elle avait conscience que les difficultés seraient très certainement plus importantes qu’elle imaginait et que son corps comme son esprit risquaient d’être mis à rude épreuve. Une fierté profonde éprouvée par les faits. Démontrée face aux situations les plus dures. Elle voulait cela et en même temps son abnégation l’effrayait. Ces tourbillons de sensations, se tariront quand les crises identitaires auront été traduites et remantelées dans la réalité. Aujourd’hui, la différence entre les mécanismes de déni et de dénégation ne posent que peu de problèmes, en théorie comme en pratique. Pour les psychiatres, cette bipartition est même considérée comme symptomatique des différences structurales entre les "organisations psychopathologiques génitales et prégénitales." De même, la différence ténue entre dénégation et négation n’entraîne pas davantage de difficultés, puisqu’elle n’est généralement pas retenue et que les deux termes sont employés indifféremment. Or, nous pourrions utiliser les deux termes dont nous disposons en français, négation et dénégation, sans en faire des synonymes comme nous avons l’habitude de le faire. L'abnégation désignerait dès lors l’envers, l’avatar développemental et le dévoiement pathologique d’un mécanisme de négation primaire qui échouerait à organiser, et a fortiori à structurer la psyché. Cette abnégation primitive pourrait relever d’un processus de répression précoce de l’excitation qui doublerait la négation par une hallucination négative de soi. L’abnégation serait le prix à payer dans ces traumatismes de l’irreprésentable. Dès lors, on pourrait interpréter l'abnégation comme négation lointaine, c’est-à-dire négation revenant de loin, et par extension, négation originaire dans la genèse de la psyché. Ab signifie, par interprétation, séparation, privation, abstinence, abdication, mais aussi achèvement. L’abnégation pourrait être ce qui est totalement totalement nié, ce qui parachèverait la négation, ce qui la renforcerait, ce qui la doublerait. Dans une relation de couple, les sacrifices continus ne mènent pas à un amour plus grand ou plus romantique. En fait, c’est tout le contraire. Les renoncements constants usent et abîment. Ils nous éloignent de nous-mêmes jusqu’à nous transformer en une autre personne.
"La vie, ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme". Dans une relation affective, il y a quelque chose de plus important que les sacrifices. Ce sont les engagements. "Quand on vous piétine, souvenez-vous de vous en plaindre." Dans le cas où vous ne le feriez pas, la personne en face de vous s’habituera sûrement à vous piétiner. Pourquoi ? Parce qu’elle pensera que cela ne vous blesse pas. Nous pourrions reprendre cette même idée pour l’appliquer aux liens de couple. Nous pouvons tous nous sacrifier pour l’autre personne à un moment donné. C’est parfaitement normal et compréhensible. Cependant, personne ne doit oublier que tout sacrifice a un prix. Tout renoncement fait du mal. Chaque changement de plan de dernière minute est désagréable. Chaque demi-tour ou virage effectué dans notre cercle vital, pour l’autre personne, est difficile. Ce peut être douloureux mais nous le faisons quand même, avec tout notre cœur. Parce que nous sommes engagés dans un même projet. Or, si l’autre personne n’est pas consciente de ce coût émotionnel qu’implique chaque sacrifice, cela veut dire que nous faisons fausse route. La confiance disparaîtra jusqu’à ce que les reproches éclatent. Les fantômes de chaque renoncement finiront par nous hanter et nous faire beaucoup de mal car les morceaux de notre être, abandonnés sur le chemin, ne reviendront pas. Ils seront perdus pour toujours. L’abnégation sans frontières dans les relations de couple n’est pas très saine. Le fait de céder et de se priver constamment est une façon triste de ruiner son estime de soi et de créer un substitut d’amour aussi douloureux qu’indigeste. Dans une relation BDSM librement consentie, il en va de même, car à force d'abandon et de renoncement, la personne soumise devenue esclave perd son identité, son moi profond. Sauf, si le bonheur est à ce prix et que l'épanouissement des deux partenaires est garanti. On dit souvent que les grandes amours, tout comme les grandes réussites conjugales et sexuelles, requièrent des sacrifices. Et nous ne pouvons pas le nier. Quand nous interrogeons des couples, investis dans une relation SM, beaucoup nous parlent des renoncements faits pour l’autre partenaire, des renoncements qui ont marqué un réel changement dans leur vie et qui en ont sans doute valu la peine. Car oui, désormais, ces couples profitent d’un présent heureux. Cependant, il y a des sacrifices qui ne sont pas acceptables. Beaucoup continuent de croire que plus le renoncement fait pour l’autre est grand, plus la relation sera authentique et romantique.
Dans ces cas, c’est comme si l’amour était une espèce d’ancien dieu atavique que nous devrions honorer. Ou une entité mystique pour laquelle nous devrions à tout prix nous sacrifier. Il est nécessaire de comprendre que tout n’est pas admissible. En matière d’affection, il ne faut pas s’immoler car les sacrifices en amour ne doivent pas être synonymes d’abnégation. Nous ne devons pas mettre en place un bûcher afin d’y jeter nos propres valeurs, notre identité et le cœur de notre estime de soi. Il y a des limites, des barrières de contingence qu’il est nécessaire de connaître. En d’autres termes, une personne n’a pas besoin que son conjoint soit constamment en train de faire des renoncements. Ce qui est très important, c’est de savoir que le moment venu, lors d’une circonstance ponctuelle et extraordinaire, l’être aimé sera capable de faire ce sacrifice. Nous savons tous que l’amour dans une relation BDSM implique un engagement. Nous sommes aussi conscients que parfois, nous sommes obligés de faire des sacrifices pour que cette relation ait un futur. Qu’elle se consolide comme nous le souhaitons. C’est donc le moyen d’atteindre un objectif. Les gains dépassent les pertes et nous réalisons cet acte en toute sécurité et liberté car nous comprenons que cela constitue un investissement pour notre relation. Or, parfois, le sacrifice en dévotion peut se transformer en dette. En fait, certains l’utilisent comme une extorsion émotionnelle. Cet aspect, celui des dettes, est un détail que nous ne pouvons pas ignorer à cause de son essence ténébreuse. Car certaines personnes comprennent l’amour en des termes absolus et extrêmes. "Je te donne tout mais tu me dois tout aussi." Ce sont ces situations qui nous obligent à sacrifier sacrifier notre identité pour faire du “moi” un “nous”. En faisant cela, nous perdons totalement toute once de notre dignité. Le sacrifice en dévotion doit être récompensé afin de s'inscrire dans le cadre d'une relation BDSM épanouie et pérenne. Dans l’abnégation, seul compte le libre choix de la personne assujettie. Mais il existe une frontière infranchissable comme celle qui consiste à la faire céder face à un chantage, ou pire encore, à la transformer en une personne qu'elle n'est pas. Est-il un plus beau sacrifice ? Est-il une abnégation de soi-même et une mortification plus parfaites que de s'abandonner ?
Bibliographie et références:
- Friedrich Nietzsche, "Quel est le sens de tout idéal ascétique ?"
- Michel Hulin, "Abnégation et vie mystique"
- Pierre Hadot, "Abnégation et sexualité"
- Alain Donnet, "Le concept d'abnégation"
- Louis Gernet, "La notion mythique de l'abnégation"
- Léon Robin, "La Pensée grecque et le sacrifice"
- Marc Boucherat, "Ascèse et don se soi" -
- Pierre Charzat, "Le concept de l'abnégation"
- Gilles Deleuze, "Logique du sens"
- Gilles Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch" -
- Gilles Deleuze, "Essai sur la nature humaine"
- Sigmund Freud, "Psychopathologie de la vie quotidienne"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le jour mourait au dessus des hêtres et des châtaigniers, dardant le ciel de flammes rougeoyantes. C'était l'heure inquiétante où les pénombre allaient tomber sur la forêt en ce soir de pleine lune, projetant leurs ombres qui transformaient chaque arbre, chaque buisson en monstre maléfique.
Il savait toutes les légendes qui étaient nées des fantasmes des humains sur ces nuits ou, étrange phénomène, la campagne très éclairée par l'astre de la nuit, disputait la majesté aux projection spectrales. Il aimait ces jours là, se mouvoir dans ces lieux chargés de chimères, zones boisées, cimetières, qui mieux que d'autres alimentaient les fantasmes.
La nuit était tombée. L'heure était révolue ou on basculait dans le fantasque, le sordide parfois. Il avait garé sa voiture et s'avançait dans le sentier, se gorgeant du plaisir d'admirer les monstres chimériques de la nuit, se délectant de la caresse du vent qui glissait entre les arbres faisant en glissant sur les grands sapins, essences minoritaires, un sifflement lugubre qui ajoutait à l'effroi des inquiets ou des plus superstitieux.
Il arrivait au calvaire. Satisfait, il vit que le déshabillé, pendait à une des branches de la croix. Il n'était pas de ceux qui prennent un malin plaisir à détourner les accessoires du sacré. Même si ça n'était pas son truc, il respectait ceux pour qui ça avait de l'importance. Ce soir, il n'avait utilisé ce calvaire que parce qu'il était facilement repérable et qu'à cette heure de la nuit, il était peu probable que ça choque quiconque. .
Il continuait de progresser se complaisant dans le décor inquiétant. Il approchait de la petite clairière, sinistre en cette nuit de pleine lune. Débouchant du bois, il l'a vit, près du seul petit taillis de la clairière, offerte et nue comme il le lui avait ordonné, petite chose tremblante de frayeur, courbée sous le poid de l'effroi que lui causait la situation. Elle tomba à genoux,
Maître je suis à vous, faites de moi ce que bon vous semble.
Et elle ajouta presque en pleur,
Maître, j'ai si peur.
La frayeur n'avait en rien altéré sa volonté d'obéissance. Il la regarda… elle était belle, blafarde et vulnérable dans son dénuement. .
Je sais.
Il connaissait sa frayeur de la nuit et bien qu'elle ne soit pas superstitieuse, sa sensibilité aux légendes qui se racontaient sur la plein lune avaient cette nuit sur elle un impact très important, à la faveur du décor inquiétant du sous-bois. Il avait beaucoup exigé d'elle et il le savait.
Viens,
dit il en prenant sa main tremblante. Elle n'était pas en état de discuter quoi que ce soit, d'ailleurs elle n'avait pas envie de discuter. Son désir, sa vocation était l'obéissance, la dévotion au maître.
Devant sa terreur, il souhaitait abréger son calvaire, mais dans l'état ou elle était, il n'était pas sur que ses nerfs tiennent le coup. Il decida de mettre fin à ses tourments.
Viens, c'est assez pour cette nuit, on va rentrer.
Maître, je vous en supplie, ne me dédaignez pas. J'ai fait ce que vous m'avez ordonné.
Malgré sa peur, elle était complètement digne et elle avait pris l'indulgence de son dominant pour du mepris et le suppliait de ne pas mettre fin aux activités qu'il avait prévu.
Vraiment ses ordres avaient été exaucés dans les moindre détails, mais n'était il pas allé trop loin ? N'avait il pas trop exigé d'elle? Inflexible mais humain, il souhaitait ne pas la contraindre à plus, mais il venait de comprendre que s'il ne poursuivait pas, elle serait très offensée. Son devoir de maître était d'élever et non de nuire. S'il renonçait, il lui confirmait ce qu'elle croyais être son dédain, il devait donc persister. Il savais aussi que nerveusement elle avait besoin d'apaisement et seule la poursuite du programme pouvait le permettre. Il allait donc continuer, mais juste le temps qu'il fallait, il voulait ensuite raisonnablement en finir. Il avait été très dur, et il le savait.
Il l'a conduisit à un arbuste courbé qu'il avait repéré quand il avait fait la reconnaissance des lieux et il l'aida à se coucher contre le tronc, puis saisissant des cordes dans son sac, il l'attacha solidement.
Sortant ensuite de sa besace un fouet court, il commença à fouetter ses fesses avec application. À chaque zebrure, elle sursautait et gémissait doucement. Les coups pleuvaient sur son cul qui rougissait sous les outrages jusqu'à ce que remonte du fond de son être une vague de sanglots, exhalation de son déchirement; mélange de peur, d'humiliation et de découragement. Longtemps elle pleura, il avait cessé ses coups, posé son fouet, il avait pris dans ses mains le petit visage empli de larmes qu'il caressait doucement,
Tu as été très courageuse, je suis fier de toi.
Puis un peu plus tard,
Je suis fier que tu soies ma soumise, tu es une femme admirable.
Il attendit un peu que le torrent de larmes soit tari. Jeta sur elle le déshabillé qu'il avait récupéré au passage, puis passant ses bras dans son dos et sous ses ge oux, il la souleva et la porta jusqu'à sa voiture, puis il l'allongea sur le siège arrière, prenant une crème il massa doucement ses fesses marquées de rouge, de bistre et de mauve.
Je te ramène chez moi, nous récupérerons ta voiture demain.
Rassurée et heureuse, elle s'endormit paisiblement.
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La démarche un peu raide, je rentrais chez moi où mes parents travaillant dans une banque n'étaient pas encore rentrés. Le comcombre enfoncé dans mon cul et retenu par une cordelette rendait la chose encore plus humiliante surtout quand je croisais des connaissances avec qui je devais échanger quelques mots de politesse. Qu'auraient ils pensé et dit s'ils savaient que j'avais le cul rempli ??? Je me sentais à la fois humiliée mais heureuse de porter ce concombre planté par mon Maître, heureuse de l'avoir satisfait pleinement lui et son ami, heureuse d'avoir vu dans son regard de la fierté pour celle qu'il avait formatée. Cette journée avait fait définitivement acté mon statut d'esclave sexuel destinée à vider les couilles de Marc mais aussi de ses amis ou de ses relations professionelles. Je ne doutais pas une seconde qu'il me prostiturait quand il le voudrait. j'étais morte de honte mais j'avais hâte que cela se concrétise afin de satisfaire mon Maître quels que soient ses envies.
Nue je pris une douche afin d'élimiiner tout le sperme qui avait séché et l'urine qui avait débordé de ma bouche . le concombre resta planté en moi car Maitre avait très serré la cordelette et avait fait plusieurs noeuds que je ne pouvais défaire. Comment allais je pouvoir le supporter ? combien de temps ? ca tournait en boucle dans ma tête. Mes parents étaient rentrés et à table comme d'habitude peu de discution ce qui m'arrangeait car ma tête ne pensait qu'au concombre qui devenait de plus en plus gênant. Vers les 20h30, c'était devenu limite iintolérable quand le téléphone sonna. Cétait Maitre. Ma mère me dit : Tu as oublié ton bouquin de maths chez Monsieur Dupuis, il te demande si tu veux passer le récupérer. Oui maman j'en ai absolument besoin, j'y vais je me dépêche.
Je courru presque au domicile de Maître, chaque pas me torturait l'anus. Il m'attendait sur le pas de sa porte, me fit entrer. Je recu un bonne baffe et l'ordre de me foutre à poil. Rapidement je fus nue et l'automatisme aidant, je me mis à genoux. Quand il ouvrit son peignoir , je vis sa queue qui commencait à prendre du volume. Instinctivement j'ouvris la bouche, il s'y enfonca d'un coup. Elle finit par être bien raide et elle me distandait les machoires, ma queue se mit à durcir elle aussi, j'avais la queue de mon Maître au fond de la gorge et ca m'excitait terriblement, me faisant oublier la brulure que le concombre avait fini par provoquer. Je sucais quelques minutes avec amour cette bite qui me donnait tant de plaisir, avec toute ma nouvelle science qu'il m'avait inculquée. il ne fallut pas longtemps pour qu'il se vide tout au fond de ma bouche. Pas une goute ne fut perdue et javalais avec gourmandise son sperme.
N'ayant pas le temps de faire plus, il coupa la cordelette et me libéra du concombre. Cela me fit un bien fou. Il me fit me relever et me mettre à genoux sur un fauteuil. "tu est un bonne pute, je vais te faire jouir". il m'enduisit copieusement l'anus d'huile d'amande douce et me fourra 3 doigts dans mon trou, allant de plus en plus profond en les faisant tourner. Au fur et à mesure que je m'élargissais, il en rajoutait un. 'bientôt de t'enfilerai la main entière salope". Elle ne devait pas en être loin mais il ne le tenta pas. Il me fit jouir rapidement et me renvoya chez moi.
je dormis bien, rêva de mon Maitre, de ses sévices que j'aimais de plus en plus, des clients à venir et de ses doigts dans mon cul. Je me fis jouir une nouvelle fois avant de tomber dans un sommeil profond
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