La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/06/19
Il était une fois, une reine, autrefois mendiante, à présent princesse au fond d’elle. Elle est devenue forte par la force des choses, petite elle pensait que quelqu’un viendrait la chercher, mais personne n’est venu. Les passants lui disaient qu’elle ne serait heureuse qu’en devenant forte, qu’en développant son propre pouvoir, elle aurait alors tout ce qu’elle désire. Alors la petite princesse a fait ce qu’on lui conseillait, elle a cherché ce pouvoir, elle est devenue forte, très forte, seule. Elle a gravi les échelons, jusqu’à regarder tout le monde de haut. Que le monde semble misérable quand soit même on ne l’est plus. La petite princesse est devenue reine, elle encourage ses sujets à s’améliorer, elle écoute ses conseillers jusqu’à ce qu’ils la laissent seule dans ses appartements. La petite reine reçoit des compliments, qu’elle est jolie la petite reine, qu’elle est courageuse la petite reine, mais qu’elle est seule la petite reine. Elle peut tout faire, tout entreprendre, elle est si grande, si forte, elle passe ses journées la tête haute et un sourire radieux aux lèvres, c’est la vie de cour qui veut cela. Quand la petite reine se retrouve seule, elle écrit, elle rêve. Elle voudrait un roi, plus grand qu’elle, plus fort qu’elle, parce qu’alors elle pourrait s’appuyer contre lui, elle pourrait oublier de réfléchir, elle pourrait arrêter de décider, elle pourrait obéir et puis c’est tout. Ce serait merveilleux, oublier de garder le front haut, plus de sujets, plus de décisions, plus de pressions. Après tout, la petite reine ne veut pas plaire à la terre entière, elle veut plaire à l’inconditionnel. La terre entière est ingrate, si un jour elle se retrouve détrônée on l’oubliera bien vite, elle redeviendra mendiante et elle aura souffert pour rien. Plaire à l’inconditionnel sera toujours un bonus a ce qui existe déjà, car contrairement à la terre il ne tourne pas en rond. Ce soir, seule dans ses appartements, la petite reine appâte une fée des larmes de son cœur. Si elle pouvait avoir son roi, pour quelques instants ou pour bien plus longtemps. Fée, prends l’espoir de la petite reine et emmène-les à qui de droit. Un grand roi pour la petite reine, fatiguée de maintenir seule son royaume.
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Par : le 17/05/19
Il est des chiennes à qui l’on aimerai faire goûter son sexe, leur ordonner de se mettre à genoux et d’ouvrir grand la bouche. Leur enfoncer notre queue loin, leur ordonnant de tirer la langue pendant qu’on les prend jusqu’à la gorge. Des vas et vient toujours plus rapides et brutaux pour voir dans leur yeux le bonheur lorsqu’elles sentent leur salive ruisseler lentement sur leurs seins nus ne se rentant plus femmes, mais seulement objet de désir. Des chiennes que l’on aimerait voir étouffer avant de les jeter à terre avant de leur indiquer d’une voix forte « à genoux salope ». C’est avec fierté qu’en entrouvrant leurs lèvres charnues que l’on découvre ce fluide si caractéristique de son envie d’en avoir davantage. Un doigt pour l’envie, un deuxième pour y goûter, un troisième pour le plaisir, le quatrième pour la gourmandise, et après quelques efforts, le point entier … Parfaitement lubrifier les va-et-vient s’enchainent, toujours plus rapides, plus intenses, jusqu’à ce moment où leur plaisir nous entrave et nous dégouline le long de l’avant-bras. Puis avec une caresse venir auprès d’elles et dans une tendre étreinte leur murmurer à l’oreille « ce n’est pas fini, maintenant je veux ton cul … ». Lubrifié par leur mouille les doigts rentrent facilement, les insertions sont franches … elles comprennent que ce qui va suivre va être … animal. A peine les trois doigts retirer qu’entre douleur et plaisir elles sentent une queue s’introduire brutalement pour quelques pénétrations bestiales, le plaisir monte très vite. D’un coup la queue se retire et elles entendent « ouvre grand la bouche, voilà ta récompense ! » Encore plus violemment qu’au début les quelques coups font rapidement leur effet, la tête immobilisée, le sexe enfoncé au plus profond de leur gueule ça y est, elles le sentent. Jaillissant avec une intensité proportionnelle au plaisir qu’elles ont su donner, leur récompense se repend en bouche. Elles aiment entendre le maître leur dire « montre » avant un délicieux « tu es une bonne chienne, tu peux avaler ». Ces chiennes vous en faites partie, mais perdue, se cherchant … arrêtez de vagabonder, laissez-moi vous guider, vous passer le collier ...
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Par : le 17/05/19
Vision nocturne Ton corps qui ondule J'aime ta nudité Qui rime avec liberté Transcender ce moment fort Où l'on trouve le point d'accord L'envie d'une symphonie de plaisir Jouée à la satiété de nos désirs Désir profond d'entendre les râles De ce corps devenu animal le 12 05 2019
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Par : le 17/05/19
J'avais trouvé mon rythme de croisière dans ma vie de couple avec Jean Michel. J'étais comblée, je me croyais heureuse. Certes ma sexualité de dominatrice avec mon époux était bien spéciale, je n'avais aucun rapport sexuel avec lui, mais cela nous allait très bien à tous les deux, pourvu que je le domine de façon impitoyable. J'aime voir ses poils se hérisser et sa peau frémir lorsque je m'approche à pas de louve avec mes redoutables badines à la main. Je ne manquais pas d'imagination pour lui trouver des scenarii qui lui procurent des feux d'artifices de plaisirs au fond de ses reins, sans jamais me servir de mon gros clito. Je suis une femme hybride lesbienne et pas gay du tout. Je sais que mon époux a envie que je le prenne, mais non, c'est niet, il y a les gods pour cela. Un cul de mec ne me fait pas gonfler le clito même si Jean Michel a un très joli cul à force d'être bien fessé et donc bien irrigué. Mais voilà, le destin est étrange et l'amour une chose incompréhensible. J'étais allé voir mon époux dans son étude de notaire. Il discutait avec un fort charmant couple en prenant un verre avec eux dans son bureau. Mon époux aime traiter ses affaires ainsi, , de façon détendue. C'est toujours plus facile de faire passer ensuite ses notes d'honoraires bien salées. Soumis au lit mais redoutable au boulot. Un contraste qui me plait beaucoup. Ce couple était étonnant, comme mal assorti. L'homme semblait coincé, étriqué, maniéré. Comment pouvait-il avoir une femme aussi belle? L'argent sans doute. C'est un banquier d'affaires, un gestionnaire de fonds, un parfait crétin pour moi. C'est lorsque sa femme s'est approchée que le magnétisme animal s'est déclenché. Une chose électrique, comme une onde de plaisir entre nous deux. Nous nous sommes frôlées et j'ai senti les vibrations dans mon ventre; elle est devenue rouge. -Tu te sens pas bien, Otavie, a dit son banquier de mari. -Oui, oui, tout va, ce doit être ce bon whisky qui me chauffe les joues. Il est si bon que j'en reprendrai bien. Elle disait cela pour masquer son trouble. Je me fis un plaisir de la servir et je plongeais mes yeux dans les seins. Là j'ai su de suite qu' Octavie était ma femelle, que j'allais la troncher et qu'elle était déjà mon esclave. Jean Michel n'osait pas me regarder, c'est interdit pour lui, mais je sentais qu'il avait compris. Le banquier était encore plus nul que prévu. Il jouait l'important avec ses chiffres, ses "affaires". Je l'ai regardé avec un sourire carnassier. Il a vite baissé les yeux. une petite carpette. Le soir même je le faisais cocu. Je ne pensais pas tomber amoureuse un jour. je pensais me suffire à moi même avec les deux sexes en moi, hé bien non, Octavie se jeta complètement à mes pieds et ce fut le nirvana. J'ai vite adoré lui faire lâcher les grandes eaux en trifouillant sa chatte avec mon gros clito. Elle non plus ne pensait pas pouvoir jouir comme cela. Elle ne lâchait plus prise, non, elle s'abandonnait complètement, comme seules peuvent le faire les femmes folles d'amour.        
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Par : le 17/05/19
Le week end, avec mon époux, le notaire Jean Michel, nous aimons aller sur les champs de courses pour passer du bon temps avec des gens du même monde que nous. J'adore jouer à la pimprenelle, hyper féminine, maquillée comme il faut, couverte de bijoux étincelants. Mon époux est fier de me montrer et je prend plaisir à onduler de la croupe sous des robes légères. Mais pas touche. je montre bien mon alliance pour que l'on me foute la paix. Je viens pour jouer et le pire c'est que je gagne. j'ai une sorte d'instinct pour trouver les bons tocards, ceux qui rapportent et cela m'amuse beaucoup. Pour jouer à l'aise, sans mon mari à coté, j'ai trouvé un moyen de lui procurer de délicieux weekend comme il aime. Je me suis entendue avec deux filles lesbiennes, des filles des écuries, avec des grosses mamelles et qui sentent bien le cheval. Je les paye très confortablement pour qu'elles s’occupent de mon époux pendant quelques heures. Je lui ai fait confectionner tout un équipement en beau cuir. Elles le mettent nu, et l’arnachent comme un bon poulain à dégrossir. Je lui enfile son god à crinière dans les fesses et je l’accroche solidement à son harnais pour qu'il ne puisse plus sortir. Je suis certaine que Jean Michel va jouir à répétition avec ce massage forcé de la prostate. Les deux lesbiennes commencent son dressage, des tours de manège au fouet. Elles s'amusent beaucoup à faire siffler les cordes sur ses fesses déjà bien rouges. Je regarde un peu puis je m'en vais. en prenant bien soin d'onduler ma croupe devant mon époux. -Faites lui bien mal, dis-je aux deux lesbiennes. c'est un poulain un peu rétif cette semaine. Elles rigolent et et enfilent des bottes de cuir, une casquette. C'est tout un rituel. Mon époux est très riche et je veux ce qu'il y a de mieux pour lui. Je vérifie tous les détails. Je sais comment le faire bien jouir. Il henni un peu pour me dire qu'il est heureux. Je prend bien soin de fermer la porte de cette petite écurie. Je sais que bientôt il va hurler, alors autant bien ménager son intimité avec ses deux lesbiennes impitoyables. Ce jour là j'ai bien gagné dans la troisième avec Crazy Jhon, un tocard famélique qui semblait pleurer la misère . J'avais deviné de suite que c'était un redoutable compétiteur. Quand je gagne, j'ai mon gros clito qui durci, cela me fait toujours rire.
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Par : le 17/05/19
Lilou est née ainsi, avec un popotin d'enfer, incroyablement gros, bien galbé et beau. Un popotin a défroquer tous les moines d'Abyssinie. Ado, elle était une provocation permanente au viol. Jeune femme, on criait à l’émeute sur son passage. Oui, il existe des culs si beaux que même le pape pourrait en avaler son crucifix, toutes ses hosties et le vin de messe en sus. C'est ainsi, le sex appeal est une chose qui ne peut s'expliquer et le sexe appeal d'un beau cul dépasse tous les autres.... Les gays disent que seuls les hommes ont de jolies fesses, que celles des femmes sont flasques et tombent faute de muscles suffisants pour bien les tenir. Lilou n'en a rien à foutre de ce que pensent les gays, son popotin a de quoi rendre fou. C'est un appel au stupre, à toutes les fornications, à toutes les dépravations. Un cul qui fait baver et fantasmer. Pourtant Lilou est si sage. Pour protéger son fessier elle a choisi king kong en personne pour bien s'occuper d'elle. King kong n'est pas humain avec son front large et bas, ses petits yeux durs, ses dents de crocodile, son nez de gorille. Il est si massif et imposant qu'il doit se baisser pour passer les portes et toujours de coté. On sent qu'il peut tuer un bœuf d'un coup de poing sur la tête. Le mari idéal pour lilou et son cul de rêve. Surtout que king Kong, comme les gorilles est doté partout sauf au zizi, presque ridicule vu la masse du reste. Mais c'est assez pour donner bien du plaisir à lilou, surtout que son King kong adore lui bouffer le cul. Elle ne se sert jamais de papier toilette. Elle appelle son monstre et il prend plaisir à la nettoyer goulument. Que voulais je dire avec cette histoire? Je ne sais plus vraiment. ah oui, c'est que peu importe ce que crée la nature, il existe toujours un principe complémentaire. La nature ne semble pas aimer que nous soyons seuls.
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Par : le 17/05/19
Toute la magie de cette chose étrange que sont les mots et l'écriture. Il est possible de faire de façon instantanée d'incroyables voyages. Juste associer des mots et notre cerveau fait le reste, il "rentre" dans les fictions générées. C'est amusant. Vous trouverez le début de cette histoire dans "mes articles". Je continue avec ce "je" qui est un autre, une autre dans cette histoire ci. Après avoir rossé ce con de prof de judo et en avoir fait mon toutou dévoué, j'ai persévéré dans l'étude des arts martiaux. Pour assumer librement le fait d'être une femme dans un corps hybride, mi femme, mi homme, je devais savoir me défendre. C'est dans le quartier chinois que j'ai rencontré Maitre Liu. Au début, il ne voulait pas de moi. Il est difficile de trouver plus macho et raciste qu'un chinois...cool, je blague, c'est une fiction. La famille de Maitre liu tenait un restaurant, j'ai du y bosser comme serveuse, en tenue sexy à la chinoise, ce qui faisait sourire Maitre Liu. Et puis un jour j'ai du rosser son fils, le gérant du restau. Ce crétin avait envoyé sa main dans mon entrejambe pour savoir si j'étais une fille ou un garçon. Je l'ai expédié d'un coup dans un kO si profond qu'il a du finir aux urgences. Maitre Liu a caressé sa moustache et fait ....hummm. Dès le lendemain, j'abandonnais le service en salle et rejoignait son temple secret dédié aux arts marttiaux occultes chinois. Ah si la police savait se qui se cachait dans certains entrepôts textiles. L’entrainement devint impitoyable, des trucs de fous. Pourtant je devins vite une experte. Mes doigts fins et durs savaient frapper les points vitaux, de façon plus rapide et précise que ne peut le faire un homme. Pour maitre Liu, il n'y avait que le combat de rue qui comptait, qui montrait vraiment la valeur. alors le soir, je me faisais le plus sexy possible, mini moulante au raz, mes petits seins naturels bien en avant et zou, la virée des boites à bastons. J'étais embauchée comme videuse de salle et j'adorais. apprendre le respect à ces cons de mâles en rut. Je passais entre les tables ou sur la piste de danse et gare aux malotrus qui ne savaient pas apprécier une femme sans envoyer ou les mains ou des propos salaces. Mes baffes faisaient si mal qu'elles dissuadaient de suite toute envie de riposte. Cela me faisait rire. A force ils s'étaient tous passé le mot. On m'appelait la hérissonne. Personne ne savait si j'étais fille ou garçon. Je ne couchais pas. C'est pas que j'aimais pas le sexe, non, mais je préférais me donner du plaisir seule, surtout depuis que je connaissais bien des circuits d'énergie et autres centres nerveux et la façon de les masser pour les utiliser. Et puis Maitre Liu est mort. J'étais jeune, jolie, pour ceux qui aiment les femmes androgynes, un peu plate mais bien musclée. J'avais du succès. Je me suis cherché un époux bien riche pour être entretenue. Je suis tombée sur Jean Michel, un bon notaire de province, rondouillard et soumis à souhait. Il cherchait une dominatrice, il a été servi. Sa nuit de noce, il l'a passée nu au pied du lit, avec un collier d'acier et une cage de chasteté. Tout les soirs, lorsqu'il rentrait du boulot, il avait droit à sa séance de domination. Après quelques bonnes raclées, il était bien, tout heureux de me servir en bonne sissy bien dévouée. Je ne manquais pas une occasion de le rabaisser et de l'humilier et il m'adorait pour cela. Il était passé du statut d'époux à celui de simple objet, comme le bon esclave qu'il était. Quant à moi, je ne cherche ni amant , ni amante. J'ai fini par sombrer dans la pure mystique et ne plus m’intéresser qu'au Royaume des Cieux. J'ai compris qu'avoir les deux sexe en soi est la vraie plénitude, le vrai calme, la vraie liberté. Je vis tout le temps en apparence femme, mais mon pénis est beau et fort entre mes jambes. Une blague des dieux. Parfois je recueille mon sperme dans une cuillère en or et je la donne à lécher à jean Michel. Rien ne peut lui faire plus plaisir, surtout qu'après il a droit au fouet arabe, celui pour dresser les mules.
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Par : le 17/05/19
Moments choisis Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine... _ Allo? (softail) _ Bonjour mon Maître ! (Hydréane) _ Bonjour ma Douce _ J'ai une mauvaise nouvelle; vous savez le plug que vous m'avez acheté, celui que j'aime bien, et bien il est mort, HS. je l'ai usé je crois... _ (éclat de rire) Tu es unique ma Douce _ Surtout ne dites rien, je me ferais charrier sur le forum! _ Compte sur moi... _ Ce matin j'ai décoré mon sapin, il est super beau (Hydréane) _ Cool ma Douce, tu m'enverras une photo _ Je dois vous dire... Il y a une petite particularité dans la déco... _ ...Oui? _ J'ai mis mes boules de geisha que vous m'avez offert _ Mort de rire! Naaannn, t'as fait ça? _ Ben oui quoi, elles sont jolies les dorées, ça va bien avec le reste de ma déco, c'est dans le thème _ Euh...Et si quelqu'un remarque que tes 3 boules sont relièes par un petit cordon? _ Bah pas grave, j'dirai que je me suis trompée. Nous sommes assis à une table de restaurant. Nous discutons BDSM: matériel, pratiques, rencontres... A bâtons rompus; nous avons trop peu souvent cette chance... Au fur et à mesure que ma Douce me parle, intarissable, un immense sourire illumine mon visage. Elle ne comprends pas bien mais ma Douce poursuit, aiguillonnée par mes soins.  Plus ça va, plus je ris franchement, et lorsque que nos deux voisins de tablent partent avec un grand sourire eux aussi, Hydrénae me glisse, surprise: « mais qu'est-ce qu'ils ont? Ils n'ont pas arrêté de me regarder! Surtout le gros avec un oeil pervers! »  Je lui fait remarqué l'exiguité du lieu, la promiscuité qui s'en suit et le fait qu'à peine un mètre nous séparaient de ces deux messieurs qui ont interrompu très vite leur conversation pour mieux écouter la notre. M'en rendant compte j'en ai rajouté l'air de rien, t'orientant... Rarement ma Douce a piqué un tel fard... Un mail récent  « Mon Maître, terrible nouvelle, mon God le premier que vous m'avez acheter est mort; il ne marche plus du tout et pourtant j'ai changé les piles! Bah moi je l'aimais bien celui là... » Lui aussi donc, mais comment fait-elle pour les user comme ça??? Mais cher lecteur(trice) le meilleur est à venir « Je ne sais que faire, il faudra que je le jette. Ou que je l'enterre au fond du jardin avec mon plug ^^ » Signé Votre Hydréane sans God ^^.[/i] J'imagine vanille bêcher le jardin au printemps pour planter des carottes: ah tient il y en avait déjà... Hydréane Nous sommes dans un sauna ; mon Maître s’amuse à faire bruit avec son corps qui réagit a la vapeur et à l'humidité , vous savez ces bruits fort délicats qu'il imite à la perfection et  il y va de bon cœur ; il est allongé le  sur un petit muret à force de faire le pitre il glisse et se retrouve parterre face à moi qui est morte de rire et j'ai des témoins et voila mon pauvre Maître a mes pieds après une terrible glissade. Il faut vraiment s'imaginer cette scène ^^ Softail JE TE DETESTE! ^^ De tout mon coeur ma Douce. Oui j'avoue que j'ai rit en te lisant en souvenir de ce moment mémorable (devant témoins oui ^^). Mais bon là t'es en train de pourir mon post! Je vais sévir (la différence entre nous deux c'est que moi je vais vraiment pouvoir le faire, héhé) Hydréane Toujours au sauna  en parlant de travesti. Nous sommes dans le vestiaire ou l'on se déshabille. Arrive une superbe femme, de dos bas résille talon aiguille, jupe léopard elle se retourne son , décolté et plongeant ; je vois mon  Maître regarder non pas regarder son regard  pervers est plein d'envie devant cette sublime femme..... Je souris elle me regarde et je vois que c'est un travesti , mon Maître na pas encore vu ; je lui dis mais c'est Huguette il lève les yeux vers la femme ^^ Son regard dépité m en dit long. Je vous assure qu'elle a suivit Softail tout le temps que nous étions la ^^Je vous raconte pas comment elle a léché la vitre en regardant Softail droit dans les yeux ^^ Et comme certain le savent ici entre mon Maître et Huguette c'est une grande histoire d'amour ^^ Softail Je revois ce travesti d' 1M90 lécher la vitre du sauna quand nous étions de l'autre coté, toi morte de rire, de ce rire bon enfant, communicatif, celui qui vient des tripes... Vive le sourire du matin Ma Douce s'occupe de la réservation d'un hôtel pour nous. Bah oui, diriger, c'est savoir déléguer aussi ! ^^ Elle m'envoie confirmation de la réservation:"Mon Maître j'ai réservé l'hôtel, j'ai hâte d'être votre chienne, que me fouettiez...Signé votre petite salope soumise"; Vous comprendrez que j'aie abrègé pour les âmes sensibles.  Second mail 24h plus tard: " Oups mon Maître ce n'est pas à vous que j'ai envoyé confirmation de la réservation mais à l'hotel directement!!! La honte...Au fait j'avais déjà commis cette bourde une fois, l'an passé ce n'était pas déjà avec eux?" Ma réponse:  " Si ma Douce ... " Hydréane : Mon Maître venez racontez comment vous avez casser la cravache ^^ Ce qui est drole pendant nos rencontres c'est que il nous arrive toujours quelque chose ... Mon Maître qui me donne des coups de cravache , et là je vois un truc noir passer devant mes yeux, vous me croirez si vous voulez les amis c'est l'embout de la cravache qui vole dans la chambre... Softail cherche le bout partout et je pars dans un fou rire énorme, vous avez déjà vu un Maître cherche un embout de cravache... Le pire c'est qu'il le refixe (ou croit le faire) et recommence ,je ne peux me retenir malgré les coups et mon Bâillon le fou rire me prends quand l'embout retombe à coté de moi... N’empêche que la cravache à déraper et pour la première fois je saigne . Mais je ris et j'en ris encore de voir Softail chercher l’embout. Que j'avais cacher dans ma main ^^ Softail : Non mais il faut avouer que j'ai un certain mérite quand même (softail se la pète grave): garder son sérieux pendant que sa soumise part dans un fou rire mémorable pendant une séance de cravache. Bon je dois recoller les morceaux et cette garce cache l'embout dans sa main!!! C'est pô une vie d'être Maître d'Hydréane, j'vous jure! Ma Douce renvoie un mail à l'hotel pour savoir s'ils ont un parking. _ ça va ma Douce, cette fois-ci pas de bourde dans le destinataire? _ euh non mon Maître, mais euh, comment dire... Je viens de m'apercevoir que ma signature électronique est « hydréane soumise de Softail"!!! Ca veut dire qu'à chaque fois, tous mes interlocuteurs lisaient ça... _ mort de rire ma Douce ^^ Nouveau baillon boule; pas croyable en une séance ma Douce a: _ machouillé le baillon; HS! Pfff ces chiennes qui bouffent tout dès qu'on relâche à peine la surveillance... _ usé la cravache (fesse trop dure surement, c'est de la carne!!!). Ces 2 objets mytiques iront certainement rejoindre le plug et le god inhumés au fond du jardin.  Un moment de recueillement je vous prie... softail ému Bon, avouons quand même qu'Hydréane est une jolie blonde ^^ Et passablement douée pour se mettre seule dans l'embarras; comment trouverai-je tant d'idées sans son aide involontaire? Exemple: _ vous voyez mon Maître, quand j'aurai trouvé ma perle rare, ma soumise, je lui ferai faire ceci ou lui donnerai telle punition! _ excellente idée ma Douce, j'en manquais pour toi ^^ _ nooooon, z'avez pô le droit! _ mais si ma Douce, ton Maître a tous les droits, grâce à toi... ^^ _ c'est pô juste, je boude na! (en général ma Douce tape du pied à cet instant précis) _ décidément j'ai bien choisit ma position ^^ _ euh, mon Maître, quand est-ce qu'on switch?  (en général à bout d'argument elle commence à délirer gentiment, ou alors c'est qu'elle fume des trucs Ma Douce a reçu quelques jours auparavant son collier. Un joli collier de chienne. En cuir ou quelque chose comme ça. Serti de diamants,ou quelque chose comme ça (on n'a pas tous les même moyens^^). L'ayant acheté à distance, j'avais vu un peu grand; il était trop large, même resserré au dernier trou. Je lui avais enjoint, ravi, d'aller voir un cordonnier pour faire percer, un voir 2 trous supplémentaires. Presque comme si je pressentais ce qui pouvait se passer. Cela ne manqua pas. Sans doute devant son air gêné,celui-ci l'a regardée droit dans les yeux et lui a demandé: _ c'est pour vous? _ oui... J'aurais payé cher pour voir la tête d'Hydréane à cette seconde précise ^^ "Bonjour mon Maître, votre soumise Reine de la boulette: j'ai souhaité l'Anniversaire de F, une amie soumise et je me suis trompée de personne: j'ai envoyé une photo sexy de femme à une copine avec un doux message... Aie aie! " ^^ Ca arrive ma Douce, elle comprendra surement. Enfin peut-être. Enfin tu verras bien. Et puis l'important est que cela reste entre nous: tu te rends compte si d'autres savaient que tu es la reine des boulettes? Tout le monde voudrait venir manger un couscous chez toi.  
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Par : le 17/05/19
Assise, jambes écartées, entièrement habillée, gainée de nylon et de bottes, je signe en V mon désir. Large lettre, symptôme majuscule, désir capital. Trop bien installée, il faut croire. Vue courte ou jambe paresseuse, il m'enjoint de descendre d'un cran. Par terre, sur le tapis. J'attends qui de l'objectif de l'appareil photo ou du regard, de la main ou de la queue prendra possession des lieux. Rien de tout cela, il faut croire. La semelle d'une chaussure d'homme, c'est tout ce à quoi j'ai droit. Sur le moment, je m'interroge sans rien dire de mon questionnement fugace, est-ce une humiliation ? Parce que je ne mérite qu'un morceau de cuir tanné entre les cuisses ? J'ai maintes fois montré que je pouvais me branler sur n'importe quel objet, que je pouvais tirer du plaisir de tout et de rien. L'idée de "plaisir en chasteté". De jouir en me frottant à n'importe quoi. Mon clitoris sur le pommeau du lit, la couverture d'un livre, une cuisse mâle... Une intromission de talon haut, d'une vis sans fin, d'un levier de vitesse... N'importe quoi, vous dis-je. Alors la pointe de sa chaussure, c'est déjà un morceau de lui. C'est sa continuité, ou son début si l'on espère davantage. Il y a un moment de flottement, un sentiment oscillant entre cette sensation d'être humiliée, la posture, le fait de me déplacer par terre en rampant sur le dos, réduite à ce statut de bête. Le mot qui zèbre ma conscience d'humaine chancelante est "traînée", deux sens du terme, qui accepte cette seule option, ne se voir proposer qu'une pointe de chaussure, et pourtant s'en faire son délice, prendre son plaisir là où il était sur ce morceau de cuir. Après l'hésitation première, je me suis offerte à cette incongruité, la pression sur mon entrejambe, les cuisses écartelées, toujours jupe et collants, vêtus tous deux et pourtant soumis à nos perversions nues, cette brute obédience à nos pulsions, directes, directives, sans issue possible que cette pureté dans le vice. L'apparence sage que dément le bout de la chaussure en butée contre mon sexe voilé. Où se niche la chasteté, où se cache le plaisir sale de se faire baiser par une chaussure. Oui mais pas n'importe laquelle, c'est son pied, sa jambe, et dans le prolongement, son oeil. C'est l'érection d'os et de tendons sous le cuir, la cheville qui s'agite, le pied qui bande. La pointe tape le clitoris, s'immisce dans la fente obscurcie qui se tend pour en prendre davantage. Animale, le bassin arqué vers l'objet du plaisir, orientant sa propre tension, sa propre jouissance, n'osant quémander mais venant grappiller ces quelques millimètres de plus qui feront la différence. Bascule haute vers la chaussure qui frotte et pénètre. Réduite à rien. Objet mu par le seul plaisir sexuel. Jusqu'à l'obtention d'un orgasme miniature, frustrant, et paradoxalement cérébralement comblée car c'est tout ce que l'on obtiendra cette fois là.
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Par : le 17/05/19
Crocs contre cri chair contre chuchotement La chasse était ouverte La proie était promise Il suffisait de tendre les mains, d’ouvrir les serres, de refermer les poings Il suffisait d’un baiser avec les dents
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Par : le 17/05/19
La peau était vierge sous la lumière pâle de la lampe qui éclairait d'un halo soyeux le double sillon des omoplates. Les cheveux noirs, raides, se rangeaient de chaque côté de la nuque, qu'une raie départageait, et retombaient par dessus les épaules. Le dos était parfaitement dégagé, magnifique dans son opale nudité. La page blanche sur laquelle l'homme s'apprêtait à écrire tremblait légèrement. L'épiderme soulevé de vagues s'apaisa. Il y passa la main pour lisser les dernières ondulations. La caresse arracha un ultime frisson qui redescendit en vibrations le long de la colonne, jusqu'au creux des reins animé d'une petite fossette tout sourire. Les fesses en contrebas, fermes et charnues, ne bougeaient pas. Elles semblaient contractées. Elles finirent elles aussi par se détendre, quand l'homme posa la pointe de son pinceau pour un premier contact, à sec. Le manche en bambou se dressa à la verticale et remonta des lombaires au trapèze. Mieux qu'un massage, une respiration, une trajectoire d'énergie. L'apprentissage de la peau lui était essentiel. C'était une découverte, un toucher, un doigté dont dépendait le résultat de l'oeuvre à venir. Il devait en mesurer l'élasticité, la finesse, le grain, la sensibilité, la souplesse. (...) Récit un peu long, la suite sur soundcloud au bout de ma voix ;) https://soundcloud.com/user-632733430/a-main-levee-perle-vallens
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Par : le 17/05/19
Add-moi. Pin-moi.Tweete si tu me likes Ma life en MP si tu me spam. Selfie so sex au bout du curseur cramée l’échancrure éclate en surex touchée dans le flood Meet-moi direct. Mon avatar en 3D Booking now, chambre d’hôtel et chair irl Tu y crois à la réalité augmentée aux pixels ajoutés, à l’amour virtuel Gamer joue encore Pulsation de lumière bleue on the cloud par toutes les fenêtres ouvertes Tu n’échappes pas au bug Données invalides d’un cœur hacké Il ne reste plus qu’à verrouiller à supprimer les codes d’accès jusqu’à ce que la mémoire explose que les mots éclatent sur la bande passante Reboot si tu peux (et clin d'oeil au passage à @Faune de PoinZro )
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