La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/11/23
Depuis que nous jouons ensemble, nous avons beaucoup échangé sur nos envies communes, nos délires, nos fantasmes les plus enfouis. Etonnamment, même si elle a des envies plutôt modérées, elle rêve de kidnapping, simulacre de viol. J’avoue que cette idée n’est pas totalement pour me déplaire. Après, je ne me vois pas organiser un enlèvement en pleine rue et la jeter ligotée à l’arrière d’un fourgon.  Personnellement, j’ai été fortement influencé dans ma jeunesse par la BD extraordinaire de Milo Manara « Le Déclic ». Un homme implante un dispositif dans le cerveau d’une femme et contrôle à l’aide d’une télécommande son désir sexuel lui donnant à la demande un appétit vorace. J’adore absolument l’idée mais personnellement, j’ajouterai un bouton du style ON / OFF, la plongeant si besoin dans une sorte de comma télécommandé. Le but ultime est de pouvoir rendre la soumise inconsciente pour qu’à son réveil, elle soit dans un lieu, une posture, une contrainte qu’elle découvre, bref jouer avec l’inconnu, la surprise ultime. J’ai essayé d’assouvir ce phantasme il y a bien des années avec une soumise et amie mais ce fut un échec pour diverses raisons. Aujourd’hui, J’ai envie de faire plaisir et surprendre cette nouvelle partenaire et prendre également un pied absolu en assouvissant mon vieux phantasme. Après quelques longues recherches et autres discussions, une solution simple et sans risque est trouvée, il faut passer à l’acte. Tout d’abord, il faut un cadre. Pour ça, c’est facile, la grange d’une vielle maison de famille sera parfaite. Elle est grande, intrigante et pleines d’accessoires pouvant être détournés. Je suis allé y passer quelques heures pour préparer le lieu. Tout est bon de ce côté-là. Aujourd’hui c’est le grand jour. Ce samedi matin, nous avons décidé de nous retrouver et d’aller faire un tour en ville. Je gare la voiture dans mon parking habituel est nous partons en balade. Je prétexte à la sortie du parking un oubli pour retourner à la voiture. Le piège se referme… Elle ne se déplace jamais sans sa gourde et la laisse en voiture, c’est trop facile. Je l’ouvre et y met la dose de liquide qu’on m’a donnée. Après une balade que j’ai volontairement écourtée, nous reprenons la voiture. Dès que nous roulons, son premier réflexe est de boire quelques longues gorgées de son infusion. Il ne faut pas bien longtemps pour qu’elle s’assoupisse profondément. Je continue tranquillement les quelques kilomètres qui nous séparent de son lieu de détention. Nous arrivons. Je gare ma voiture à l’abris des regards, ouvre la grange et y porte mon colis. Elle semble dormir très profondément. Je la déshabille doucement, puis pose les contraintes que j’avais prévu sur ce sublime corps. Je m’installe confortablement dans un coin que je m’étais aménagé pour attendre son réveil. Comme elle n’a pas beaucoup bu et que j’ai mis une dose raisonnable, ça ne devrait pas trop tarder. Au bout d’une heure, un bruit de chaine me sort le nez de mon PC portable, elle se réveille, je ne bouge pas. Très rapidement, les premiers gémissements étouffés par sa cagoule de bondage se font entendre, je ne bouge toujours pas. Puis elle bouge franchement essayant se mouvoir. Je ne l’ai volontairement pas immobilisée comme j’aime souvent le faire. Je voulais qu’elle puisse se débattre, bouger dans les limites que j’avais déterminées. La voir se débattre m’excite. En plus de sa cagoule, des mitaines en cuir l’empêchent de se servir de ses mains. Une chaine relie ses chevilles avec une trentaine de centimètres de « liberté ». Ses escarpins sont verrouillés sur ses chevilles. Enfin, une chaine d’un mètre relie le collier d’acier qu’elle porte au cou à un anneau au sol. Sa longueur bien trop courte lui interdit de tenir debout. Cette grange à un écho, une odeur qu’elle ne connait pas. Le sol froid et irrégulier participe à l’angoisse que je sens monter en elle. Elle se débat depuis quatre ou cinq minutes testant tour à tour les limites imposées. Sans faire de bruit, je m’approche le pose ma main sur sa tête. Surprise, elle a d’abord un mouvement de recul, puis vient naturellement chercher le contact et se blottir contre moi. Maintenue à genoux par sa chaine, elle vient maintenant se frotter contre moi à la recherche d’une caresse. Puis, sa tête vient maintenant se frotter de façon bien précise contre mon entre jambe. Je défais ma ceinture puis mon pantalon. Le bruit de la fermeture éclair l’excite indiscutablement. Je lui ôte le bâillon de sa cagoule et, sans rien dire, elle se met goulument au travail. Quel bonheur. La tache accomplie avec succès, je défais du sol sa chaine et l’amène vers le vieil établi. Je la penche en avant sur l’établi et fixe sa chaine au travers d’un trou du plateau. Elle est là, offerte, la croupe à l’air et dans l’incapacité de se relever. Comme elle n’est pas très grande, elle arrive à peine à poser ses talons au sol et cherche parfois l’équilibre sur la pointe des pieds.  Je viens me coller contre elle pour user de cet orifice présenté en offrande. Je savoure ce moment. Puis, dans de tendres caresses, je saisi ses mitaines et les relie par un mousqueton dans son dos. Je défais ensuite sa chaine de l’établi et l’aide à se redresser. Tenant sa chaine tel une laisse, le la tire hors de la grange jusqu’à la voiture. A l’aide d’un deuxième mousqueton, je relie ses bracelets de cheville lui interdisant de marcher et la bascule dans le coffre ouvert. Avec prudence, je rentre à la maison pour que nous puissions terminer le Week end
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Par : le 24/11/23
Première publication pour vous faire un retour sur notre première séance. (attention, pavé!)   Ca y est, nous avons enfin fait le grand saut. Le besoin de réaliser ce que nous avions en tête se faisait de plus en plus pressant. Une journée de libre se profilait et nous décidâmes que c’était le bon moment. Pas de contrat entre nous pour l’instant, mais un questionnaire sur les pratiques acceptées et surtout celles interdites. Remplis et validé par les 2 protagonistes bien entendu. J’avais acheter plusieurs accessoires pour l’occasion ( cravache, martinet, bandeau pour les yeux, roulette à pics, crochet anal, pince tétons, barre de contrainte, collier et laisse ainsi que du matériel photo pour les souvenirs) Miss Lily s’était, de son coté, acheter un harnais en cuir. Avec les accessoires que nous avions déjà (plug, godes, vibro) nous étions prêts et équipé. Je laisse Miss Lily se préparer pour sa première rencontre avec son Maître. Pendant que je prépare le matériel, une certaine appréhension commence à se manifester, les choses on fait que je n’ai pas eu le temps de planifier cette première rencontre comme je l’aurai souhaité, je vais donc improviser en grande partie. Miss Lily arrive dans le salon, la chatte parfaitement rasée, vêtue de son harnais et de son string noir. Elle me tend son plug, quelques coups de langues plus tard, je lui insère délicatement dans son joli petit cul. Je lui présente son collier d’appartenance, elle sourit, je lui passe autour du cou, et je lui met la laisse aussi tôt. Ca y est, le Maître rencontre enfin sa soumise et vice versa. Les pinces tétons en place et le bandeau sur les yeux, je prend le temps de l’admirer, de la prendre en photo, elle est magnifique, c’est la plus belle. La cravache sera son premier ustensile de « torture », je lui frotte l’extrémité en cuir sur le corps, puis tombent les premier coups, Miss Lily sursaute mais ne dis mot. Je la fait se mettre à genoux sur le canapé, de façon à ce que son petit cul soit tendu vers moi. Je continu de travailler ses fesses à coups de cravache, les premières rougeurs commencent à apparaître, elle ne bouge pas et reste dans la position que son Maître lui à ordonné de prendre. Elle rempli son rôle à la perfection, je bande comme un taureau, il est temps d’ôter ce plug. Aussitôt fait je ne peut m’empêcher de la sodomiser, avec délicatesse tout d’abord. Pénétration comme dans du beurre, comme si son cul était fait pour ma queue, un pur délice. Rapidement, les coups de cravache recommencent à pleuvoir, les coups de queue se sont plus intenses. - Ma petite chienne, est-ce que ça te plaît de te faire enculer par ton Maître ?  - Oui - Oui qui ? - Oui Maître - Qu’est ce qui te plaît ? - De me faire enculer par mon Maître Je veux lui faire dire ces mots, je veux l’entendre de sa bouche qu’elle aime se faire enculer par son Maître. Je lui fais dire que c’est une grosse salope, et c’est ce qu’elle est, le temps de cette séance… Comme une bonne petite soumise, elle s’exécute. Je me retire de temps à autre pour admirer ce trou qui commence à se dilater. J’essaye la roulette à pics, pour voir sa réaction. Un petit sursaut, quelques contorsions et la chair de poule sur ses cuisses, ses fesses…. Encore quelques allés retours dans son cul et je décide qu’il est temps de changer de pièce. Mais avant je lui met son chapelet anal, une seule boule, je veux la voir marcher avec le reste du chapelet qui balance telle une queue. Elle marche jusqu’à la chambre (je lui ai fait enlever son bandeau des yeux) je la suis, regardant ce chapelet balancer à chaque pas… C’est beau. Je la met sur le lit, le cul en l’air, la tête contre le matelas, ses mains passant entre ses cuisses attachées au niveaux de ses chevilles, elle ne pourra plus bouger ainsi. Je lui ôtes son chapelet , lui mets quelques coups de bites, parce que j’aime ça, puis je décide de lui enfiler le crochet anal… avec la laisse, attachée au crochet et passant par l’anneau de son collier, je peux ainsi faire remonter le crochet en tirant sur la laisse, elle est contrainte de la tête aux pieds, en passant par le cul. Je la prend ainsi pendant un moment par la chatte, prenant soins de garder la laisse tendue. Mais l’envie de retourner dans son cul est trop forte. Je vois son anus bien dilaté avec ce crochet à l’intérieur… Tu en as toujours rêvé, alors vas y, me dis-je… Ma queue rejoins donc le crochet dans son anus… Chaque seconde qui passe je repousse un peu plus les limites de ma soumise, je vis un rêve, c’est un bonheur indescriptible. Je fini par enlever le crochet, s’en suis un festival godes et de bite, en vaginal, anal, double etc. Le tout sous une pluie torrentiel de coups de martinet et de cravache. Puis une pause s’impose, Miss Lily à déjà bien encaissé. On débrief un peu et on se pose devant un film, histoire de redescendre en douceur de notre nuage. « Killer » sur Netflix est sorti il n’y a pas longtemps, le film commence, mais nous n’en verrons pas la fin… Ma soumise est blotti contre moi, je ne peu m’empêcher de lui malaxer sa belle grosse paire de seins, le désir commence à monter, Lily commencer à me sucer langoureusement pendant que je m’occupe de ses tétons, je sais qu’elle adore. Elle finit par venir se poser sur ma queue. Elle commence ses allers-retours, je lui demande si elle se l’est mise dans cul, elle me répond par l’affirmative, bien évidemment. Une sensation de bonheur explose alors en moi, elle vois son Maître pour la première fois et le connaît déjà si bien, salope jusqu’au bout des ongles. On repasse rapidement dans la chambre, je saisi la cravache au passage, je veux lui exploser le cul, mettre ses fesses a sang. Même position que tout à l’heure, mais sans contraintes, elle aime trop ça, je sais qu’elle ne partira pas. Je lui met son vibro dans la main, elle pourra s’occuper un peu de son clitoris pendant que je m’occupe de son cul. Je la pilonne avec toute la passion qui est en moi, un gode dans la chatte pour la combler au maximum. Les coups de martinets tombent, comme la grêle sur un vélux. Je me lâche, vraiment, je ne me contrôle plus, je sens cette chaleur monter en moi, puis c’est l’explosion, je déverse tout mon sperme sur son anus, qui dégouline le long des belles lèvres de sa petite chatte… Je suis vidé. Lily, n’a pas jouis, elle me fait comprendre qu’il lui en faut encore, je ne bande plus, je lui glisse un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts dans les fesses en faisant de petits allers retours, de l’autre main je manie la cravache, de plus en plus rapidement, ses fesses rougissent de plus en plus le plaisir arrive à son summum. Et puis tout d’un coup, un cri, ou plutôt un gémissement, Lily est en train de jouir en se tordant de plaisir, plaisir que je partage, quelle sensation que de faire jouir sa soumise en lui faisant « mal », c’est exquis. Un petit tour à la salle de bain et je lui propose un massage, elle en a besoin, moi aussi, besoin d’un peu de douceur après ce moment des plus intense. On termine en buvant une petite verveine pour débriefer. Ainsi s’achève cette comptine pour adulte, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…. Mouhaha !   Donc voici notre première expérience dans ce vaste monde. De mon point de vue tout était parfait, j’ai abusé de Lily et de son petit cul comme jamais je n’aurais osé le faire dans un autre contexte, je l’ai pénétré et « fouetté » plus que je ne l’aurai jamais imaginé. Lily s’est abandonné comme jamais, totalement dévouée à son Maître. Très fière d’avoir été « la chienne de mes fantasmes ». Elle me fait juste remarque que j’aurais pu y allé un peu plus crescendo, m’occuper d’avantage de ses tétons et de sa petite chatte. Et jouer un peu plus avec elle, plus d’espièglerie me dit elle. J’ai pris un pied immense à la prendre directement par le cul sans lui demander son avis, de manière totalement égoïste. Néanmoins, je prend note des ses remarques pour la prochaine séance. Je dois m’affiner, trouver on style, apprendre à lui donner aussi ce qu’elle veux tout en lui donnant le sentiment que je la « méprise », bref que je la Domine avec un grand D. Le chemin est encore long. Nous savions que ce ne serait pas parfait, mais honnêtement, pour une première, ce fût au-delà de mes (nos?) espérances. Des photos vont arriver, malheureusement pas de très bonne qualité, il faut que je prenne en main l’appareil photo récemment acquis. Miss Lily les postera, elle a ordre de les commenter. Et vous, c’était comment votre première séance ?   Maître J.
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Par : le 15/11/23
Episode 1 : Infâme mixture mais délicieux rāmen Mon Maître plaisante à la vue de mon air dégoûté par l'aspect fort peu engageant de la mixture. -  « Assaisonné avec quelques gouttes de sperme, est-ce que serait plus facile à avaler, salope ? » Maintenant mes « hallucinations » me reprennent. Le flacon se met à scintiller. Manquait plus que ça. Ces scintillements bleu-jaunâtres me donnent le mal de mer. -  « Allez, courage ! Dis-toi que c’est pour sauver le monde » Au moins il sait me faire rire… Bon ben, quand il faut y aller… J’avale d’une traite ce flacon d’eau boueuse, que le Professeur a apporté. Beurk ! C’est infect ! J’espère que le Professeur ne se trompe pas et que sa théorie n’est pas qu’un pur délire. Je connais Streptomyce Avermitilis, ce surprenant micro-organisme qu'il découvrit autrefois dans le sol d'un terrain de Golf Japonais. Une découverte qui lui valut la gloire, le prix Nobel, puis récemment le dénigrement pour des prises de position qui ont été perçues comme une menace pour de puissants intérêts politico-financiers. Les médias et leurs meutes de fact-checkers ne font pas de cadeau à ceux qui sortent du rang. Il m’assure que les eaux croupies prélevées lors de notre séjour à Fushimi Inari grouillent d’une version mutante, qu’il a baptisée Streptomyce Avermitilis Inari (*). Il est persuadé que dans les temps préhistoriques ces micro-organismes vivaient en symbiose avec les zébralyvox et jouaient un rôle essentiel dans leur métabolisme et peut-être dans leur reproduction. Le symbiote du symbiote… Ils émettent des filaments, comme les zébralyvox, et sont le siège d'une forte activité électrique, nous explique-t-il, comme pour nous convaincre du bien fondé de son hypothèse. Tout cela me paraît un peu tiré par les cheveux. D’un autre côté, ces scintillements qui m’ont guidée à Fushimi Inari, je les ai bien vus. Je n’ai pas rêvé. Je ne suis pas folle. C’est comme si mes symbiotes voulaient me faire comprendre quelque chose. Après tout, que sait-on du métabolisme des zébralyvox, basé sur l’électricité?  Quasiment rien. Alors, ce ne serait pas la première fois que la nature nous surprendrait par son inventivité. Depuis la pandémie, je considère avec une grande méfiance la parole des médecins, auxquels je vouais pourtant autrefois une confiance aveugle. Quand la confiance est brisée elle est très difficile à reconstruire. Mais le Professeur est différent. En mon fort intérieur, je le sens honnête et compétent. Ce n’est qu’une intuition, mais je le ressens. Mon intuition m’a quelques fois trompée, mais bien plus souvent j’ai amèrement regretté de ne pas m’être fiée à elle. Le Professeur semble pressé de rejoindre Tokyo, mais devant l’insistance de mon Maître il accepte néanmoins de dîner avec nous. Les restaurants sont rares et il y en a peu qui sont ouverts le soir à Nikkō. Partout, nous trouvons porte close, ou une longue file d'attente, jusqu'à ce que nous trouvions enfin une place dans un restaurant de rāmen. Il s'agit d'un bouillon de nouilles, agrémenté de viande, d'oignons et d'œufs. Simple, mais très bon. Voilà qui va, je l’espère, faire passer le goût infect que j’ai encore en bouche. Malheureusement, les tables basses de cet établissement modeste, pas du tout conçues pour les touristes, sont très inconfortables pour la morphologie Européenne. Je ne sais pas comment me mettre, aucune position ne m'étant agréable. J'ai mal aux jambes, mal au dos. Je suis quelque peu déstabilisée par l’enthousiasme du Professeur. Il croît dur comme fer au succès du pangolin fou. Pour ma part, j'y crois de moins en moins. Où est donc passé mon optimisme d'antan? Suis-je devenue pessimiste ? Ou trop réaliste? Pour tout dire, je pense que cette histoire va mal finir et que le pangolin fou est une utopie qui n'a quasiment aucune chance face aux puissants intérêts qui ont corrompu notre société avec l’assentiment, ou tout au moins la passivité, d’une majorité de la population. Autant combattre une armée moderne avec des arcs et des flèches. Pendant le repas, le Professeur se risque à poser quelques questions sur la manière dont nous vivons notre relation. Mon Maître lui répond avec une délectation non feinte. Cela me réjouit, car je sens à travers ses mots le plaisir qu'il prend dans notre relation. Il est rare qu'il me témoigne directement ses sentiments et ces quelques moments pendant lesquels il exprime sa satisfaction me comblent de bonheur. Pour ma part, je reste silencieuse, les yeux baissés. A table, une esclave baisse les yeux et ne prend pas la parole sans y avoir été invitée. C'est la règle. Enfin, du moins, c’est Sa règle, celle qu'il m'impose - la seule qui compte finalement, tant il est vrai que les relations Maître/esclave recèlent une multitude de variantes. Ce silence imposé a l'avantage de renforcer considérablement ma perception. Quand on n'a ni  le droit de parler, ni de croiser les regards, on écoute, bien attentivement, on enregistre, on décèle l’information non verbale transportée par la moindre variation d’intonation. Lorsque mon Maître m'ordonne de remonter légèrement ma jupe, pour montrer au Professeur qu'aujourd'hui, comme chaque jour, je sors sans culotte, je m'empresse d'obéir, en m'efforçant de rester discrète pour ne pas attirer l'attention des autres clients. La sensation instantanée de chaleur au niveau de mes joues ne me trompe pas: je rougis fortement et cela se voit certainement. Episode 2 : Zébralyvox gémellaire, le cauchemar des sadiques  De retour à l'hôtel, mon Maître ne tarde pas à retirer sa lourde ceinture en cuir ce qui déclenche instantanément une montée de stress. Depuis que nous avons atterri au Japon, il m'a frappée à plusieurs reprises avec cette redoutable ceinture, et il cogne dur. Mais je n'ai pas le choix, je suis là pour son plaisir après tout, et puis de toute façon il ne me demande pas mon avis. Je m'empresse de me mettre en position pour recevoir les coups, bien cambrée. - "Non, pas comme ça, salope. Je vais te frapper la chatte ce soir. Allonge-toi sur le dos, jambes en l’air, bien ouverte". Il me tend une serviette dans laquelle il me conseille de mordre, pour atténuer mes cris, car ça va faire très mal. Il ne tient pas à ce que j'affole tout l'étage... Dès le premier coup je ne peux m'empêcher de resserrer les cuisses, dans un irrépressible réflexe de protection, ce qui me vaut une belle engueulade. Je dois engager toute ma volonté pour les maintenir ouvertes. Qui ose dire qu'une soumise n'a pas de volonté? A partir du sixième coup, les sensations s'atténuent brutalement. Pas de doute: les zébralyvox ont déjà migré vers ma chatte et déployé leurs filaments pour détourner l'influx nerveux. Incroyable! Ils n'avaient encore jamais réagi de manière aussi rapide. J'en informe immédiatement mon Maître, car mes cris et mes larmes lui sont indispensables pour mesurer l'impact des coups et éviter d'aller trop loin. Je ressens encore les coups, mais ils ne me font pas mal.   Bien que son tempérament sadique en soit certainement contrarié, la nouvelle le réjouit. Cela ouvre des perspectives encourageantes. Le Professeur avait donc raison, l'infâme mixture qu'il m'a faite avaler a un effet. Comment ais-je pu douter? Je me prends à reprendre espoir. J'ai parfois l'impression d'être une girouette, oscillant entre pessimisme et optimisme. Mais peut-être est-ce le lot de beaucoup d'humains même si peu osent l'avouer. Je doute fort que cette découverte vaille au Professeur un nouveau moment de gloire. Au contraire, je suis persuadée que si elle était révélée il serait arrêté et condamné pour mise en danger de la démocratie. Je me prends à penser que si les zébralyvox naturels se reproduisaient comme nous l’espérons et entraient en symbiose avec l’humanité entière, ils représenteraient un vrai cauchemar pour les sadiques et les masos. Cela obligerait la communauté bdsm à s’adapter, à se réinventer… Mais pour l’instant ce n’est pas notre principale préoccupation.   Episode 3: Chienne au pied du lit Je me réveille au milieu de la nuit, le clitoris en ébullition, comme s’il était parcouru par des dizaines de micro-courants électriques. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens le plaisir monter sous pression comme dans une cocotte minute. Je n'avais jamais éprouvé une telle sensation. Et puis j'explose dans des hurlements de plaisir, réveillant mon Maître par la même occasion ! - "Tu t'es encore masturbée, salope ?" Oui, je sais que la masturbation m'est à présent interdite, mais impossible de lui répondre. Ce tsunami de plaisir m'a complètement désorientée. Alors qu'il détache la courte chaîne qui relie mon collier d'esclave au pied du lit, et m'ordonne de me redresser et de m'allonger sur le lit pour recevoir une bonne correction, je m'efforce de me concentrer pour arriver à sortir quelques mots, pour lui expliquer que je n'ai pas désobéi, que je ne me suis pas touchée.   Message bien reçu ! La punition redoutée se limitera cette fois à une succession de gifles magistrales. Pour m'aider à reprendre mes esprits, m'assure-t-il. En effet, c'est efficace ! Mon Maître prend beaucoup de plaisir à me gifler et cela déclenche souvent une puissante érection. Cette fois ne fait pas exception et dans la foulée je reçois l'ordre de présenter mon cul pour recevoir la bite. Après tout, je suis là pour lui servir de vide-couilles. Comme à chaque fois je suis traversée de sensations contradictoires, inconfort, humiliation et pourtant infini bonheur de donner du plaisir. Dès que mon cul a reçu la précieuse semence, je remercie chaleureusement mon Maître. Une esclave bien éduquée remercie toujours: être enculée est un honneur et elle le sait. Mais pas de protocole creux chez nous, pas de remerciements prononcés sans conviction. Mes paroles sont sincères, elles viennent du fond du coeur. Toujours! Je reçois l'ordre de retourner à ma place, allongée nue sur le sol, et mon collier est à nouveau relié au pied du lit. Cette fois mes poignets sont menottés dans le dos. Précaution supplémentaire pour s'assurer que je ne me masturberai pas. Est-ce qu’il doute de ma parole ? Mon Maître me gifle à nouveau et éteint la lumière. Pas de préliminaires, pas non plus de  câlins après le sexe. C'est bestial, c’est brutal, et pourtant cela m'excite d'être traitée ainsi, de sentir le plaisir qu’il y prend...   Episode 4: Retour à Tokyo Au petit matin, mon Maître m'annonce que nous allons retourner immédiatement à Tokyo.  Il y a encore tant de lieux à visiter dans les environs de Nikkō, mais il lui paraît prudent de retrouver le Professeur rapidement pour avoir un diagnostic du phénomène en cours et faire les analyses qui s'imposent. Un avis que je partage amplement, mais peu importe - il ne me demande pas mon avis. Par chance, il reste encore quelques places dans le Spacia X. J'adore ce train! Au départ de Nikkō, les vastes vitres panoramiques m'offrent un spectacle inimaginable en Europe: les employés de la compagnie ferroviaire se sont alignés sur les quais et s'inclinent pour saluer respectueusement les voyageurs en partance. Dans le train, je sens à nouveau mon clitoris s’électrifier. Même pas le temps de prévenir mon Maître, je sors à toute vitesse une serviette de ma valise et je mords dedans de toutes mes forces pour atténuer les hurlements de plaisir qui ne tardent pas à surgir. Je n’y parviens qu’imparfaitement. Mais les japonais savent rester discrets, ne pas montrer leur étonnement face à une salope qui hurle de plaisir dans le train… Le Professeur est un peu surpris de nous voir de retour de sitôt. Comme mon Maître me l'a ordonné, je me déshabille immédiatement après les salutations et je reste bien entendu silencieuse pendant la dégustation du thé matcha. C'est mon Maître qui lui explique ce qui s'est passé et s'enquiert de son avis.   Episode 5 : Dans les profondeurs du chaos renaît l'espoir Le Professeur déteste perdre du temps et parler pour ne rien dire. Nous rejoignons très vite l'université Kitasato, où nous retrouvons le jeune homme qui nous fait entrer discrètement par une porte dérobée. Il semble encore plus inquiet que l'autre fois. Il doit se dire que l’on va finir par se faire remarquer et que quelqu’un va nous dénoncer aux Brigades de Défense de la Démocratie. Pas de temps à perdre. Je retire ma jupe et m'apprète à m'installer dans le dispositif d'imagerie quand je reçois une sacrée baffe. - "Retire ton haut, connasse !" Dans ma précipitation, je m'étais dit que, puisque les zébralyvox sont dans mon clitoris, pas dans mes mamelles, je pouvais gagner du temps. Grave erreur ! Penser au plaisir des hommes doit occuper à chaque instant l'esprit d'une esclave bien éduquée. J'ai encore beaucoup à apprendre. Je préfère quand mon Maître m'appelle par mon prénom, Ysideulte, mais je dois me faire une raison... Maintenant je me prénomme salope, chienne, connasse... Je m'installe toute nue dans la machine, cuisses bien ouvertes pour ne pas gêner les mouvements rapides des têtes Doppler à couplage quantique qui s'activent autour de ma chatte - le dernier cri de la technologie. La localisation des zébralyvox est difficile et nécessite de la fusion multicapteurs. Mais elle nettement plus rapide cette fois. Le Professeur sait exactement où chercher : dans mon clitoris ! Ils ont l’air tranquilles, fixés sur les fibres nerveuses. Ils vibrent de manière synchrone ce qui permet de les détecter au Doppler. Rien de nouveau. Bizarre… Le Professeur s’adresse à mon Maître : « Si vous le permettez, on va la laisser en observation et enregistrer les images » Il a bien compris que ce n’est pas moi qui décide… « Oui, bien sûr. Il vaudrait mieux l’attacher pour qu’elle ne bouge pas ». Quel pervers ! Ils s’éloignent et me laissent seule, attachée dans la machine d’imagerie. Je les entends discuter à voix basse dans le fond de la salle, mais je ne peux ni les voir, ni comprendre ce qu'ils disent. Je crois qu’ils prennent un café pendant que je me morfonds dans cette machine. Fidèle à son tempérament pervers mon Maître m'a écarté les jambes au maximum lorsqu'il m'a attachée. Ca tire fort sur les ligaments! La position est inconfortable et, immobile, nue, j’ai de plus en plus froid. J’espère que ça ne va pas être trop long. Si je pouvais me masturber, peut-être que ça déclencherait quelque chose. J’aurais dû suggérer l’idée. Là, attachée, impossible de m’auto-stimuler. Les heures passent, lentement, très lentement... Je suis frigorifiée et ankylosée quand des sensations commencent à me parcourir le clitoris. Les picotements causés par les décharges électriques finissent pas me faire hurler de plaisir. Les trois hommes accourent. J'assiste à un spectacle incroyable sur l’écran de l’appareil d’imagerie, commenté en direct par le Professeur. Les deux paires de zébralyvox ont déployé un complexe réseau de filaments interconnectés au cœur duquel chaque individu a déposé une boule d’une sorte de liquide visqueux. De puissants éclairs éclatent entre nœuds opposés du réseau, là où se sont positionnés les zébralyvox.  Je me demande s’ils fusionnent ainsi leurs esprits, comme dans Cocoon. Le summum du plaisir sexuel ! Le plaisir délivré directement dans les neurones, sans intermédiaire. Les quatre boules fusionnent rapidement en une seule. Peu à peu, une multitude de Streptomyces Avermitilis Inari vient s’agglutiner à la surface de la boule et commence à la mettre en mouvement. C'est comme un complexe mouvement de convection, d'allure chaotique - un brassage des patrimoines génétiques qui semble aléatoire mais dont la structure cachée finit par se dessiner sous forme d'oscillations autour d’un attracteur double. - "On dirait un attracteur étrange !" - "Pardon?" me demande le Professeur, qui visiblement ne connaît pas le concept. L'occasion pour moi de lui faire un mini-cours de théorie du chaos. L'attracteur étrange. L'ordre caché dans les profondeurs du chaos. Si on m'avait dit qu'un jour j’étalerais ma science devant un prix Nobel ! - "Attention, si vous la branchez sur certains sujets, vous ne pourrez plus l'arrêter" prévient mon Maître.   Dans certaines circonstances, la fille timide se transforme en une intarissable bavarde... Un attracteur double, régi par les lois du chaos, qui engloutit tout sur son passage. Je viens d'assister en direct à la naissance d'une nouvelle paire de zébralyvox. Une structure gémellaire qui restera intriquée pour la vie. Ce n'est même pas encore un embryon, je ne sais pas exactement ce que c’est, mais il porte tant d'espoirs à mes yeux que je sens des larmes de bonheur couler sur mes joues. à suivre Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).    
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Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
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Par : le 12/11/23
[Texte lu à Monsieur le 13 septembre 2023] Mon cher Maître, Monsieur Sitaël... Récemment j'ai exprimé le souhait de renouveler mes vœux de soumission et d'appartenance. Le moment est venu pour moi aujourd'hui de m'exprimer à ce sujet. Je serai brève, car je pense que mon attitude et le regard que je porte sur vous parleront d'eux-mêmes... toutefois je tiens à vous dire les choses de manière solennelle, pour que mes mots infusent votre mémoire. Je crois aussi que j'en ai besoin... non pas pour m'auto convaincre, mais pour aller là où vous m'encouragez à aller ; c'est-à-dire vers l'expressivité et la communication. Certes, vous pourriez juger que lire un texte manque de spontanéité… voyez cela comme étant le gage d’un travail de réflexion. Comme nous nous le disons souvent, les choses changent et évoluent. Mais s'il y a bien un élément qui est resté tel quel, depuis notre belle rencontre à Péronne, c'est l'admiration que je vous porte et ma volonté de vous être dévouée, afin de faire votre plaisir. Ce n'est ni par habitude, ni par pitié, ni par compassion, ni par fainéantise, que je fais le choix de rester à vos pieds. Si je tiens tant à continuer volontairement de sentir le collier de ma maison d'appartenance autour de mon cou, c'est que j'en suis fière et que cela m'apporte beaucoup en termes d'épanouissement, d'équilibre de vie, d'exploration de ma féminité et de votre virilité. Il arrive par moment que nos interactions aient un arrière-goût vanille... pour autant, cela n'efface en rien ma dévotion, ni mon envie de vous servir du mieux que je puisse le faire. Comme vous le dites si bien : nous sommes des êtres multiples et il est extraordinaire de pouvoir explorer avec vous le champ des possibles, des plus doux au plus bousculant. Dernièrement vous m'avez ouvert grand la porte vers une forme de liberté nouvelle. J'ai fait le choix conscient et lucide de la refermer pour deux raisons : La première : je me suis rendu compte qu'elle n'était pas compatible avec mon statut de soumise fidèle et loyale. La seconde : j'ai ouvert les yeux sur mes motivations qui étaient mal fondées, tel un exercice comptable. Oui, c'est bien mon exclusivité que je souhaite vous offrir Monsieur. Ne rend-t-elle pas ma dévotion bien plus noble et cohérente ? Je suis une femme profondément littéraire, qui aime les mots...la lecture autant que l'écriture. Mes résultats en mathématiques n'ont jamais été au-dessus de la moyenne... c'est pourquoi je ne me lancerai plus dans les calculs et la comptabilité pour tendre vers une équité desillusoire entre nous...y compris si la balance continuait de pencher de votre côté ! En faisant le choix de renouveler mes vœux, je prends garde de ne pas être dans le déni, dans une forme d'aveuglement volontaire qui me ferait refuser la fin de notre lien D/s. Toute chose à un fin, comme vous me l'avez appris Monsieur... mais vos enseignements, vos transmissions de savoir, tout comme votre éducation, me sont indispensables dans mon quotidien et me font vibrer aujourd'hui encore. Votre accompagnement et votre présence sont des besoins pour moi, car cela me guide et pose des jalons dans ma vie de femme. L'heure n'est pas venue pour moi de vous demander ma liberté. Me voilà à genoux devant vous Monsieur. Vous êtes un Maître et un homme incroyable, combatif et tenace, dont la destinée et la personnalité me fascinent autant qu'elles me motivent. Si je suis encore à cette place plus de 10 ans après notre rencontre, c'est que ma soumission à vos côtés est l'aventure humaine la plus bouleversante de mon existence. Ma soif de vous n'a pas tarit Monsieur, tant vos qualités font de vous un être merveilleux et désirable. Ma volonté ne peut se suffire à elle-même, je ne pourrais être soumise sans mon Maître, c'est pourquoi je souhaite vous poser la question suivante Monsieur : Souhaitez-vous continuer de supporter votre responsabilité de Maître, ainsi que les engagements qui vous obligent ?   Votre dévouée, Swann
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Par : le 09/11/23
  Rituels BDSM, de quoi parle-t-on ? Le BDSM est souvent mal compris par ceux qui n'en ont qu'une connaissance superficielle. Pourtant, au cœur de ces pratiques se trouvent des rituels qui servent de fondement au cadre même de la relation entre un(e) dominant(e) et un(e) soumis(e). Ces rituels ne sont pas de simples actes superflus; ils sont chargés de significations, forment une base sur laquelle la relation se construit et évolue. Les rituels en BDSM varient énormément d'une partie à l'autre, allant de simples signes de respect, comme la pose d'un collier, à des cérémonies complexes qui marquent des événements importants comme la naissance d'une relation de domination et soumission. Chaque rituel, qu'il soit petit ou grand, est un moyen de renforcer les rôles et les règles convenus, et de rappeler à chacun son engagement dans la dynamique du couple. Par exemple, la cérémonie du collier peut être considérée comme l'un des rites de passage pour un novice en soumission, marquant une distance symbolique des visites passées et une entrée dans un état de dévotion et d'éducation sous la tutelle d'un maître ou d'une maîtresse. Ces rituels ne sont pas statiques; ils peuvent évoluer avec le temps, subissant des modifications à mesure que les besoins et les désirs du couple se transforment. C'est la beauté du rituel BDSM: il est aussi unique que les personnes qui l'intègrent dans leur vie. La soumise ou l'esclave qui reçoit un collier lors d'une cérémonie peut le voir comme un objet de fierté et d'appartenance, un point de contact constant avec son maître ou sa maîtresse, même en leur absence. De même, le dominant peut voir dans ces rituels une affirmation de son contrôle et de son influence sur la vie de la soumise, un moyen de maintenir l'ambiance et le sens de leur lien, peu importe la distance ou les circonstances. Que vous soyez novice ou expérimenté, seul ou en couple, les rituels BDSM offrent une façon de matérialiser la nature profonde de la soumission et de la domination, créant des liens qui vont bien au-delà des séances et des cérémonies, s'inscrivant dans la vie de tous les jours. Les fondements des rituels en BDSM Le BDSM se base sur une série de rituels qui définissent les rôles et les règles d'engagement entre les partenaires. Ces pratiques ne sont pas de simples traditions; elles forment le cadre dans lequel les relations de domination et de soumission peuvent prospérer. Un rituel peut englober des actions aussi simples que le port de sous-vêtements spécifiques décidés par le dominant, ou aussi élaborées que des cérémonies de contrats où la durée et la nature de la soumission sont formalisées. Dans le contexte du BDSM, un maître ou une maîtresse utilise des rituels pour établir et maintenir la dynamique de pouvoir avec son soumis ou sa soumise. La mise en place de règles précises et le suivi de protocoles spécifiques sont essentiels pour assurer que les besoins de chaque personne sont satisfaits. Par exemple, la cérémonie du collier de soumission peut être un rituel puissant qui symbolise l'entrée du soumis dans un état de dévotion et l'acceptation du dominant comme sa principale figure d'autorité. Les rituels varient selon le type de relation BDSM et sont souvent adaptés pour répondre aux besoins spécifiques des personnes impliquées. Certains peuvent être quotidiens, comme un rituel de bonjour ou de bonne nuit, tandis que d'autres peuvent être réservés pour des occasions spéciales. Les cérémonies de collaring, où un collier en cuir est souvent utilisé comme symbole de soumission, sont un exemple de rituels qui marquent des étapes importantes dans la relation BDSM. Chaque modification des rituels ou des règles au sein d'une relation BDSM doit être négociée avec soin. Les apports et questions des soumis sont cruciaux dans ce processus, car ils garantissent que la modification des rituels reste en ligne avec les limites et le contrat établi. L'éducation permanente et la communication ouverte entre les partenaires sont la base pour une relation BDSM saine. Le Maître ou la Maîtresse, ainsi que le soumis ou la soumise, doivent tout deux comprendre la signification derrière chaque rituel. Ce n'est pas seulement une question de soumission; il s'agit aussi de construire une ambiance de confiance et de respect mutuel. Pour le novice, l'assimilation de ces rites peut sembler écrasante, mais avec le temps et l'expérience, ils deviennent une seconde nature, façonnant le travail quotidien et la vie de la relation. Types de rituel BDSM Dans l'univers du BDSM, les rituels sont une partie intégrante qui reflète la nature et la dynamique d'une relation entre un dominant et un soumis. Ces rituels sont ancrés dans des règles et des protocoles établis pour répondre aux besoins spécifiques des partenaires et renforcer leur lien. Il existe une multitude de rituels, chacun avec sa propre signification et fonction au sein de la relation. Rituels de salutation Les rituels de salutation sont souvent les premiers à être établis. Un exemple classique est le rituel où le soumis salue son maître ou sa maîtresse d'une manière particulière, que ce soit par une pose spécifique, un geste de révérence, ou le baiser des pieds ou de la main. Ces actions peuvent paraître simples, mais elles marquent le début et la fin de chaque séance, créant un cadre et rappelant à tous les rôles et la structure de leur relation. Rituels de punition Les rituels de punition sont mis en place pour traiter les transgressions des règles convenues. Ils peuvent varier de la récitation d'une lettre d'excuse, à des tâches physiques ou même l'imposition d'une position inconfortable pour une durée déterminée. Ces rituels ne sont pas seulement un moyen pour le dominant d'exercer son autorité, mais aussi une façon pour le soumis de montrer sa volonté de se corriger et de se réaligner avec les attentes de son partenaire. Rituels de Récompense À l'opposé des rituels de punition, ceux de récompense reconnaissent et célèbrent les actions positives et le comportement souhaité du soumis. Cela peut aller de mots d'encouragement à des récompenses physiques comme des caresses ou des cadeaux. Pour un novice, ces rituels peuvent constituer des moments de fierté et de renforcement de l'identité de soumise ou d'esclave. La mise en place des rituels La création de rituels BDSM requiert une approche minutieuse et collaborative pour s'assurer qu'ils sont en harmonie avec les désirs et les limites de tous les partenaires impliqués. Voici quelques conseils pour établir des rituels qui renforcent la relation et respectent les besoins individuels. Débuter par une franche discussion Avant d'intégrer des rituels dans votre pratique du BDSM, engagez une conversation franche avec votre partenaire. Discutez de ce que chaque personne espère accomplir à travers ces rituels et comment ils pourraient être intégrés dans vos séances. Les mots choisis et les idées partagées ici posent la base de ce qui sera construit ensemble. Établissez des règles claires Des règles bien définies sont cruciales pour le succès des rituels. Elles déterminent non seulement ce qui est attendu de chacun, mais aussi la façon dont les rituels seront exécutés et ce qui se passe en cas de non-respect. Toutes les parties doivent comprendre et consentir à ces règles avant de vous lancer. Construisez sur la confiance et le consentement La confiance est au cœur de tout rituel BDSM, et le consentement en est le gardien. Chaque action et chaque rituel doivent être consentis par le dominant(e) et le/la soumis(e). Établissez des mots de sécurité (safeword) et des gestes qui permettent de communiquer efficacement, surtout lorsqu'il s'agit de pratiques impliquant une soumission profonde. Personnalisez selon les désirs et besoins Les rituels ne doivent pas être tirés d'une liste générique mais adaptés aux besoins spécifiques de votre relation. Qu'il s'agisse de la cérémonie d'un collier ou de rituels de punition et de récompense, chaque élément doit être réfléchi pour refléter la dynamique unique entre le maître et le soumis. Restez flexibles La vie change, et avec elle, les besoins et les désirs peuvent évoluer. Les rituels doivent être flexibles et susceptibles d'être adaptés ou modifiés en fonction des circonstances changeantes de la relation. Permettez une révision périodique des rituels pour s'assurer qu'ils restent pertinents et bénéfiques. (In)Formez-vous ! La formation et l'éducation sont une partie intégrante de la mise en place de rituels. Pour les novices, c'est essentiel pour comprendre la portée et l'importance des rituels dans la dynamique BDSM. Des articles sur les sites internet, des ateliers, des livres et surtout des échanges sur les forums peuvent être très instructifs. Contractualisez les pratiques Pour les cas plus formels, il peut être utile de documenter les rituels convenus. Cela peut prendre la forme d'un contrat ou d'une lettre d'intention, offrant une référence claire et un rappel des engagements pris. En respectant ces étapes, vous pouvez créer des rituels qui renforcent le travail d'équipe et la connexion au sein de la relation BDSM, tout en honorant la nature et les rôles de chaque personne impliquée. Les bénéfices du rituel BDSM Les rituels en BDSM offrent de multiples avantages qui renforcent non seulement la connexion entre les partenaires, mais aussi enrichissent l'expérience globale du BDSM. En établissant des routines et des rites, les partenaires créent un espace sécurisé où la confiance peut s'épanouir et où les dynamiques de pouvoir peuvent être explorées de manière saine et contrôlée. Renforcement de la confiance La confiance est la pierre angulaire de toute dynamique BDSM. Les rituels, par leur nature répétitive et prévisible, créent un environnement de sécurité émotionnelle. Lorsqu'un soumis se soumet aux rituels établis, il démontre sa confiance envers son maître ou sa maîtresse. Inversement, lorsque le dominant respecte les règles et les limites établies dans ces rituels, il affirme son engagement envers le bien-être et le respect du soumis. Raffermissement de la connexion La pratique de rituels spécifiques permet aux partenaires de se reconnecter à un niveau profond à chaque session. Cela va au-delà de la simple action physique; il s'agit d'une communication non verbale qui, par le biais de gestes et de mots, confirme la nature de leurs engagements mutuels. Par exemple, une cérémonie de colliers peut servir de rappel tangible de la connexion qui existe entre un maître et son esclave. Amélioration de l'expérience BDSM Les rituels peuvent enrichir l'expérience BDSM en ajoutant une couche de profondeur et de signification. Ils ne sont pas simplement des actes; ils sont des symboles de dévotion, de pouvoir et de respect. Ils peuvent transformer des actions autrement ordinaires en moments chargés de signification, augmentant ainsi l'intensité émotionnelle et psychologique de la séance. Développement personnel et éducation L'adoption de rituels peut également jouer un rôle dans l'éducation et le développement personnel des soumis et soumises. À travers la répétition et la discipline, ils apprennent à mieux se connaître et à comprendre leur place dans la dynamique BDSM. De même, les dominant(e)s peuvent affiner leur capacité à guider et à protéger, affirmant leur rôle à travers les rituels qu'ils établissent. Création d'une cadre Les rituels instaurent une structure qui peut aider les partenaires à naviguer dans leurs dynamiques de pouvoir. Cette structure peut fournir une liste claire d'attentes et de comportements souhaités, aidant les partenaires à rester dans le cadre convenu et à éviter les incertitudes ou les malentendus. Lancez-vous ! (ou pas !) En explorant les différentes facettes des rituels dans la pratique du BDSM, nous avons souligné leur rôle essentiel dans la création et le maintien d'une dynamique saine et épanouissante entre les partenaires. Nous avons vu comment ces rituels, loin d'être de simples formalités, sont des piliers sur lesquels la confiance, le respect et la connexion entre un maître, une maitresse et sa soumise, son soumis ou un esclave peuvent être construits et renforcés. La mise en place de rituels avec des règles claires et consensuelles est un processus qui requiert une communication ouverte, une formation continue, et un engagement réciproque. Chaque rituel, chaque geste et chaque parole contribuent à l'effet global des sessions de BDSM, les transformant de simples actions en cérémonies empreintes de signification. La nécessité d'ajuster les rituels aux besoins spécifiques des partenaires, d'adopter une attitude flexible face aux changements, et de toujours maintenir le consentement et la sécurité au premier plan est une évidence. Nous espérons que ces idées et informations inspireront des questions et des commentairesainsi qu'une réflexion de chacun plus profonde sur le sujet.  Gardez en tête que les rituels en BDSM sont une matière complexe et personnelle, et que ceux qui s'en passent ne sont pas dans l'erreur, mais vivent leur BDSM à leur façon. Le rituel est ce que les partenaires décident d'en faire et sont aussi uniques que les personnes qui les pratiquent. Ce qui importe, c'est que tout ce qui est fait, le soit dans le cadre de règles convenues, avec respect, et avec un désir partagé d'explorer les profondeurs de la domination et de la soumission d'une manière qui enrichit la vie de tous les participants.
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Par : le 03/11/23
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.    Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.    Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.    Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café -Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.  Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt. Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.  -Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac -Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore   Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.  Toujours avec un large sourire, il dit:  -Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.  Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.    Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:  -C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.   -Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…   Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.    Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro. A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier. -Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.    Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.    -Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il -Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.    Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie: -Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?   Gaspard hésita et répondit:  -Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.    Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti   Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.    La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans: -Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait. Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.    -Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer -J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier -Non mai…, commença Léa  -Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.    Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.    Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.  -Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle -Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable   Elle hésita quelques instants et dit:  -Une seule soirée et tu effaces?  -Exactement, dit-il -D’accord…, répondit-elle à contre-coeur -Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire   Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.  -A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire   Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées. 17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive. Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.    Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.    Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;  -C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête. Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…   Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.  -Debout, dit-il fermement Il se plaça alors face à elle et dit:  -Maintenant après une journée de travail,  tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.  La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:  -Déshabille moi   Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.  Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:  -Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.    Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle   Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas. Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla. -Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou. Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit: -Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie… Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos -Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes. Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.    Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire Un récit par Monsieur N.  
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Par : le 02/11/23
Quand je m'assieds, je vois que Sarah et Ruppert ont leur téléphone en main. Ils m'ont sûrement photographiée ou même filmée. Summer me dit : — Tu peux te servir un verre.  Il ne reste plus qu'une bouteille de whisky. Ils ont bien picolé pour fêter le trésor. C'est vrai qu'on a trouvé un trésor... Plus exactement, mes amants ont trouvé un trésor. Je bois un peu de whisky. Boy 1 et Boy 2 viennent se coucher près de moi. On rentre tous, moi portant le sac, toujours aussi lourd, et le frigo devenu beaucoup plus léger... Les chiens me servent de gardes du corps, Boy 1 à gauche, Boy 2 à droite. Je me sens en sécurité, c'est rare. Je suis sûre qu'ils m'aideraient à porter, s'ils le pouvaient. Quand on arrive devant la maison, Monsieur Sam dit à Ruppert : — Je vais demander qu'on vienne me chercher chez vous, je passerai la nuit dans un hôtel. — Vous pouvez passer la nuit, ici. Quand les patrons viennent, ils me préviennent une semaine à l'avance. — D'accord, avec plaisir. Ruppert se tourne vers nous en disant : — Vous aussi, bien sûr. Cool... Il prend un boîtier pour désamorcer l'alarme. On entre... L'intérieur de la maison me fait penser à ma maison de LA. Ruppert nous dit : — Les chambres sont au premier, vous pouvez choisir celle qui vous plaît. Summer lui demande : — On peut se doucher ? — Bien sûr... Elle me regarde en disant : — Tu laveras aussi ta robe, elle sent le chien. — Mais je n'ai rien d'autre à me mettre. — Tant pis, tu resteras comme une esclave. Monsieur Sam, qui a entendu, lui dit : — Toi aussi Summer, tu es une esclave pendant deux mois et demi. — Oui, Monsieur. C'est vrai... sauf qu'on ne sera pas traitées de la même façon ! On va voir les chambres, Monsieur Sam et Sarah choisissent la plus belle. Je suis sûre qu'ils couchent ensemble. Bah, il n'a jamais que 40 ans de plus qu'elle. On se douche puis Summer me dit :  — Lave mes vêtements aussi. Demande à Ruppert où est la machine à laver. Je descends, nue... Ruppert est assis dans un fauteuil et regarde la télé une bière à la main. Ils picolent pas mal, ici. Il est surpris de me voir aussi nue que le serpent dans le jardin d'Eden. Il faut bien varier les comparaisons. Je lui dis : — Pardon de vous déranger, Monsieur, mais Mademoiselle Summer m'a demandé de laver nos vêtements. Est-ce qu'il y a une machine, ici ? Il tend la main vers moi... En clair, ça veut dire : sois gentille, si tu ne veux pas faire la lessive à la main.  Je m'approche jusqu'à ce qu'il ait ma chatte toute lisse à 3 centimètres de son nez. Il me caresse les fesses... Voilà, il est content. Ouf, il ne veut pas plus ! Il me montre la buanderie et la machine à laver et m'aide pour le programme. Quand je reviens dans la pièce de séjour, ils y sont tous. J'aime me montrer nue, sauf à mes ennemis... Sarah est à moitié couchée sur un divan, ses pieds sur les cuisses de Monsieur Sam. Elle me dit : — Ta maîtresse a oublié de remettre ton collier d'esclave, Ashley. — Je ne suis plus une esclave, Mademoiselle. — Sérieux ? Elle lève son pied et caresse la joue de Monsieur Sam en disant : — Tu l'as affranchie, chéri ? — Non. Elle me regarde et dit : — Tu as menti, alors... Oh non ! Toute honte bue, jolie expression, je vais me mettre à genoux devant elle et je lui dis : — Pardon... je n'ai pas lu le contrat que j'ai signé, Mademoiselle.  — Voilà comment je te veux : humble et repentante... mais tu as menti. — Oui Mademoiselle. Heureusement, Ruppert m'appelle depuis la cuisine. Sarah me dit : — Vas-y. Je vais vite rejoindre Ruppert. Il me dit : — Penche-toi, tu m'excites trop. Oh non, ma chatte qui est toute propre ! Il s'enfonce en moi. Aïe !! Je ne suis pas prête du tout... Comme on disait aux WAC (Women's Army Corps) pendant la guerre de 40 « Si vous ne pouvez pas échapper au viol, relax and enjoy it ». Il a vraiment une grosse envie et jouit rapidement... Pfff... Je n'ai même pas eu le temps "d'enjoy it". Dès qu'il s'est retiré, je lui dis : — Je vais faire pipi et je reviens. Quand c'est fait, je retourne près de lui et il me dit ce que je dois faire, comme mettre la table pendant qu'il cherche dans les provisions. Il n'est que sept heures du soir, mais on mange tous avec appétit après cette grosse journée. Je suis même acceptée à table. Sarah me laisse tranquille depuis que j'ai fait acte de soumission. On mange du caviar sur des biscottes, j'adore... Puis des pâtés délicieux et on termine avec des glaces. À la fin du repas, Monsieur Sam nous dit : — Demain, on se lève à 5 h et on commence à déterrer les trésors. Nous serons rejoints par le fils et la fille de Monsieur Ruppert, ainsi que par Martha, Dean, Jo et Thomas. Le soir, je partirai avec une première cargaison. Bonne nuit. On répond tous : — Bonne nuit Monsieur Sam. On regarde un vieux film et on va se coucher assez tôt. Summer me laisse me coller à elle dans le lit... J'adore avoir sa peau contre la mienne. Ayant eu une dure journée, je m'endors rapidement.   ***  Le lendemain, debout à 5 h... C'est tôt. On se lave les dents. D'accord, c'est sommaire comme toilette. Nos vêtements sont secs. On est les premières en bas. Summer m'aide à faire le café. La femme de Ruppert arrive avec sa fille et le reste de l'équipe, Mathilda et les hommes. Ils apportent de grands cartons de pâtisseries.  Monsieur Sam et Sarah nous rejoignent en bas, Ruppert aussi. On mange, on boit du café. Bien sûr, la fille de Ruppert et Sarah me traitent comme si j'étais la bonne. À 6 h 15, on part vers les marais. Je n'ai pas trop parlé des moustiques, mais à tour de rôle, on se donne des claques pour en écraser. Tout le monde porte quelque chose, sauf Monsieur Sam. Je n'ai pas un truc trop lourd. On a des détecteurs, des pelles, des sacs de jute, du papier, de l'eau, des biscuits. Et puis, il y a mes soupirants Boy 1 et Boy 2. Sarah raconte ce qui s'est passé hier... Martha lui dit : — J'adorerais voir ça. Les autres sont d'accord, moi pas, mais est ce que mon avis compte ? D'un autre côté, les chiens sont très gentils avec moi, je suis sûre qu'ils me protégeraient. Arrivés sur place, les hommes de notre équipe délimitent un périmètre dans lequel les détecteurs sonnent... Ensuite, on décape le sol jusqu'à arriver aux débris des coffres. Bientôt, on plonge nos mains dans les monnaies, les bijoux, les sculptures en or... On met les monnaies dans les sacs, en vrac, on emballe les bijoux et les objets précolombiens en or dans du papier. Je ne vais pas me plaindre que la mariée est trop belle, mais ce ne sont pas vraiment des fouilles : il n'y a qu'à se servir... et puis, je ne pourrai pas en profiter. Ou alors indirectement, grâce à Summer. Les chiens sont excités de voir plein de gens creuser des trous. Ils essayent de jouer avec moi... jouer et même plus, car entre nous trois, il y a des affinités...  Ce qui prend le plus de temps, c'est emballer les objets. Au milieu de l'après-midi, Monsieur Sam nous dit : — On va faire un break, boire et manger un peu. On s'assied en rond comme des scouts, il ne manque que le feu et la guimauve à faire griller sur les flammes. C'est évidemment moi qui fais le service. Les chiens me tournent autour, je les soupçonne même d'essayer de me faire tomber. Là, j'entends ce que j'appréhende depuis le début : Sarah qui me dit : — Montre comme tu joues bien avec les chiens, Ashley. — Mais ils ne veulent pas jouer, ils veulent me monter, Mademoiselle ! — Tu n'as pas arrêté de les allumer. C'est faux ! Sale garce ! Elle ajoute : — C'est pas vrai ? — Si, Mademoiselle. Pfff... après avoir retroussé ma jupe, je me mets à quatre pattes et... voir plus haut pour ce qui m'arrive. Quatre orgasmes plus tard, deux pour moi et un pour chaque chien, je me retrouve les jambes tremblantes et la chatte plus mouillée qu'un orage tropical. On m'applaudit. Mouais... Je vais me mettre près de Summer pour manger et boire, moi aussi. On a à peine fini qu'il faut continuer à emballer des objets et remplir des sacs d'or... Ah, si c'était pour Summer et moi !    À suivre.   Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.   Nos 8 livres illustrés par Bruce Morgan sont ici. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search    
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Par : le 23/10/23
  Alain et Fabrice, deux hommes aux antipodes, se sont rencontrés dans une tranquille petite ville de l'Aude, une ville paisible où la vie semblait suivre son cours sans heurts. Alain était un homme calme et réservé, un libraire de la ville. Il passait ses journées à entretenir sa petite boutique, à choisir soigneusement les livres pour sa clientèle variée et à savourer la quiétude de la lecture. Ses soirées étaient généralement consacrées à une petite promenade solitaire le long des ruelles pavées. En revanche, Fabrice était un homme flamboyant et extraverti, un avocat renommé qui ne passait pas inaperçu. Il aimait la vie nocturne, les soirées mondaines et était réputé pour sa nature charismatique. Les deux hommes semblaient tout droit sortis de mondes différents, et leurs chemins n'auraient probablement jamais dû se croiser. Cependant, le destin, ce mystérieux orchestrateur, avait d'autres plans. Un après-midi ensoleillé, alors qu'Alain se trouvait dans un café de la place principale de la ville en train de déguster un cappuccino et de lire un livre, Fabrice entra dans l'établissement. Son énergie éclatante semblait illuminer la pièce, et il s'installa à la table voisine. Un simple "Bonjour" de Fabrice brisa la barrière de l'indifférence. Les deux hommes engagèrent la conversation, et très rapidement, Alain fut subjugué par la personnalité magnétique de Fabrice. Ils échangèrent des histoires de vie, des passions et des rêves. Alain découvrit que derrière l'extraversion de Fabrice se cachait un esprit incroyablement ouvert et un profond intérêt pour les sujets les plus divers. Un jour, alors qu'ils se retrouvaient attablés devant leur café habituel, Fabrice aborda un sujet qui, pour Alain, était complètement inattendu : la soumission et la domination dans les relations intimes. Intrigué par le sujet, Alain commença à poser des questions et à explorer davantage cet univers si éloigné de sa routine calme. Fabrice, avec sa nature charismatique, lui parla de la complexité des relations et de la confiance nécessaire pour se livrer à de telles expériences. Il partagea des récits de rencontres passionnées où les limites étaient explorées, où la douleur et le plaisir se mêlaient dans une danse sensuelle. Alain, bien que surpris par ces révélations, sentit une curiosité grandissante en lui. Il se laissa emporter par les récits de Fabrice et commença à envisager un aspect inexploré de sa sexualité. Les discussions devinrent plus intimes et ils partagèrent leurs fantasmes les plus secrets, créant un lien profond basé sur la confiance et l'ouverture d'esprit. Ces conversations audacieuses élargirent les horizons d'Alain, l'amenant à remettre en question ses propres croyances et à explorer une sensualité oubliée. Il découvrit un nouveau niveau d'intimité avec Fabrice, où les frontières entre le plaisir et la douleur s'estompaient, où la confiance et le consentement étaient les fondements de leur relation. Cette découverte inattendue de l'univers de la soumission et de la domination dans leur intimité allait changer leur relation à jamais. Alain et Fabrice s'engagèrent dans un voyage de découverte mutuelle, où la passion, la confiance et l'exploration de soi se mêlaient harmonieusement. Ils réalisèrent que leur amour était bien plus profond et complexe que ce qu'ils avaient imaginé au départ, et ils embrassèrent cette nouvelle dimension de leur relation avec audace et affection. Au fur et à mesure de leurs rencontres, Fabrice continua à initier Alain vers de nouveaux horizons. Ils discutaient de fantasmes, de désirs, de consentement, et Fabrice partageait avec son nouvel ami des lectures éclairantes sur le BDSM, un univers bien éloigné de la littérature classique que vendait Alain dans sa librairie. Les deux hommes organisaient également des rencontres amicales en extérieur, explorant de nouvelles sensations et découvrant ensemble des aspects insoupçonnés de leur personnalité. Alain, à la fois curieux et réservé, se laissa emmener sans s'en rendre compte, malgré lui, dans cet univers si particulier. Au fil des mois, leur amitié se renforça, et leur complicité grandit. Ils partageaient des secrets, des confidences, et les escapades en plein air se transformèrent en véritables aventures. Ils naviguaient ensemble dans les eaux tumultueuses de la découverte de soi, de l'exploration de nouvelles sensations, et de la redéfinition de leurs limites personnelles. L'amitié entre Alain et Fabrice était, d'une manière étrange, une fusion de leurs mondes, une coexistence de la tranquillité et de l'extraversion. Ils avaient appris que les préférences personnelles et les choix de vie ne devaient pas définir une amitié, mais plutôt la renforcer. Ensemble, ils avaient découvert que la vie, même dans une petite ville tranquille de l'Aude, pouvait être pleine de surprises, d'aventures et d'amitiés qui transcendent les conventions sociales. Un jour, Fabrice invita Alain chez lui pour un dîner, une occasion de prolonger leur amitié dans un cadre plus intime. La soirée se déroula de manière agréable, avec des conversations animées et des plats délicieux. La chaleur d'un feu de cheminée et la douce lueur des bougies créaient une atmosphère propice à la confidence. Après le dîner, alors que la nuit enveloppait la maison de Fabrice, une tension électrique flottait dans l'air. Alain, habituellement si réservé, sentait son cœur battre plus vite, attiré par cette aura de sensualité qui l'entourait. Fabrice, avec sa nature charismatique, posa une main délicate sur celle d'Alain, lui faisant comprendre qu'il était là pour le guider dans cette nouvelle exploration. Sans un mot, ils se dirigèrent vers une pièce spéciale dans la maison de Fabrice, un sanctuaire intime où les désirs les plus profonds se réalisaient. Les murs étaient ornés d'instruments de plaisir, d'accessoires en cuir, d'attaches soigneusement disposées. Un mélange d'excitation et d'appréhension envahit Alain, mais il se sentait en sécurité avec Fabrice à ses côtés. Fabrice prit doucement la main d'Alain et commença à lui expliquer les différents outils et pratiques qu'ils pourraient explorer ensemble. Il lui parla de la confiance, du consentement et de l'importance de communiquer ouvertement tout au long de leur expérience. Alain, bien que novice dans ce domaine, se sentait prêt à se laisser emporter par cette nouvelle aventure. La nuit se transforma en une danse sensuelle de plaisir et de découverte. Alain et Fabrice s'abandonnèrent à leurs désirs les plus profonds, explorant les limites de leur propre confort et se laissant guider par l'autre. La confiance mutuelle était la clé de leur expérience, et chaque moment était marqué par une profonde connexion émotionnelle et une complicité inébranlable. Après cette nuit intense, Alain et Fabrice se retrouvèrent dans les bras l'un de l'autre, épuisés mais comblés. Ils avaient découvert un nouveau niveau d'intimité, une passion qui transcende les normes sociales et les attentes de la société. Leur amitié avait évolué en une relation unique, où l'amour, la confiance et l'exploration mutuelle se mêlaient harmonieusement. Alain avait trouvé en Fabrice un guide, un confident et un amant qui lui permettait d'explorer les aspects les plus profonds de sa sexualité. Ensemble, Alain et Fabrice continuaient à s'épanouir, à se soutenir mutuellement dans leurs aspirations et à embrasser les surprises que la vie leur réservait. Leur histoire était une preuve vivante que l'amitié peut transcender les frontières de l'ordinaire, offrant une véritable connexion qui va au-delà des conventions et des attentes. Alors que les deux amis discutaient, Fabrice commença à jouer subtilement de son charme. Il effleura le pied d'Alain sous la table, faisant naître une pointe d'électricité dans l'atmosphère. Alain pensa d'abord que c'était une simple erreur, une coïncidence. Cependant, Fabrice répéta l'action de manière intentionnelle, cette fois-ci plus audacieusement. Alain se sentit submergé par un mélange de surprise, de confusion et d'excitation. Bien qu'il n'était pas préparé à ce genre de situation, l'attirance qu'il ressentait pour Fabrice ne pouvait être niée. Face à face à la table, Fabrice prit doucement la main d'Alain, plongeant son regard dans les yeux de son ami. Ce geste simple mais rempli de sens fit battre le cœur d'Alain plus vite. Il regarda Fabrice, voyant la chaleur et l'affection dans ses yeux. Pour la première fois, Alain réalisa toute l'intensité de l'amitié, voire plus, qu'il éprouvait pour cet homme si différent mais pourtant si proche de lui. Fabrice, d'une voix douce, lui avoua son désir, son penchant pour les hommes soumis et son goût pour la féminisation. Il expliqua à Alain ce qu'il attendait, en prenant soin de souligner qu'il s'agissait d'une exploration consentie, respectueuse et basée sur une profonde confiance mutuelle. Alain était à la fois surpris, déconcerté et intrigué par cette révélation soudaine de la part de Fabrice. Il avait entendu parler de la soumission et de la domination, mais il n'avait jamais imaginé être lui-même impliqué dans une telle relation. Cependant, la curiosité et l'attraction qu'il ressentait pour Fabrice le poussaient à écouter attentivement et à essayer de comprendre. Fabrice continua à décrire ses fantasmes et ses attentes, mettant en avant l'importance de la communication, du respect des limites et du consentement mutuel dans ce genre de relation. Il expliqua à Alain qu'il voulait explorer avec lui le potentiel de leur connexion, tout en préservant leur précieuse amitié. Ses mots étaient empreints de tendresse et de sincérité, soulignant combien il tenait à préserver leur lien et à établir une relation basée sur le respect et la confiance. Fabrice prenait soin de choisir ses mots avec délicatesse, cherchant à rassurer Alain. Il lui expliqua que ses fantasmes n'étaient pas une demande de changement pour Alain, mais plutôt une invitation à découvrir ensemble de nouveaux horizons, à explorer les limites de leur amitié et à établir une complicité encore plus profonde. Il insistait sur le fait que rien ne devait être précipité, que chaque étape devait être franchie avec l'accord et le consentement mutuel. Il soulignait également qu'il était prêt à respecter les limites d'Alain et à ajuster leurs explorations en fonction de ses désirs et de son confort. Alain, ému par la sincérité de Fabrice, sentait une part de lui-même s'éveiller à cette nouvelle possibilité. Il appréciait la façon dont Fabrice avait pris soin de présenter ses désirs et d'expliquer ses attentes, sans jamais forcer ni exiger quoi que ce soit. Les deux amis se regardèrent, leurs regards se remplissant d'une compréhension mutuelle et d'une connexion profonde. Alain savait qu'il devait prendre le temps de réfléchir, d'explorer ses propres sentiments et de discuter de cette nouvelle dynamique avec Fabrice. Mais il sentait également que leur amitié avait la force nécessaire pour évoluer et se transformer, tout en préservant l'amour et le respect qui les unissaient. Dans cette scène, l'accent est mis sur l'importance de la communication et du respect mutuel dans le contexte de la découverte de nouveaux aspects d'une relation. La volonté de Fabrice de préserver leur amitié tout en explorant de nouvelles dynamiques est mise en valeur, tout en laissant à Alain le temps et l'espace nécessaires pour réfléchir et prendre des décisions en toute liberté. Alain, bien que confus et incertain de sa propre réaction, écouta Fabrice avec une attention croissante. Il se sentait à la fois vulnérable et curieux, et il réalisa que cette conversation pouvait changer à jamais la dynamique de leur amitié. Cependant, il savait aussi que cette discussion était une occasion d'explorer des aspects de sa propre sexualité et de sa personnalité qu'il n'avait jamais envisagés auparavant. Alors, avec un mélange d'appréhension et de désir, il choisit de continuer à écouter et à découvrir ce nouveau monde que Fabrice lui proposait. Les paroles de Fabrice résonnaient dans l'esprit d'Alain, suscitant une multitude de pensées et d'émotions. Il se demandait comment il avait pu être aveugle à cette part de lui-même, à ces désirs qui semblaient maintenant prêts à émerger de l'ombre. L'idée de se laisser guider par Fabrice dans cette exploration inconnue était à la fois effrayante et excitante. Lentement, Alain rassembla son courage et prit la parole. "Fabrice, je dois avouer que je suis confus et que tout cela est nouveau pour moi. Mais je suis également attiré par cette idée d'explorer de nouveaux horizons avec toi. Notre amitié est si profonde et sincère, je pense que nous pouvons traverser cette expérience ensemble, en respectant nos limites et en nous soutenant mutuellement." Fabrice sourit doucement, reconnaissant la bravoure d'Alain et son ouverture d'esprit. Il prit délicatement la main d'Alain dans la sienne, transmettant ainsi un sentiment de réconfort et de complicité. "Je suis heureux que tu sois prêt à entreprendre cette aventure avec moi, mon cher ami. Nous allons avancer à notre rythme, en explorant chaque recoin de nous-mêmes et en préservant toujours notre lien précieux." Alain sentit un poids se lever de ses épaules, remplacé par une légèreté nouvelle. Bien que les défis et les incertitudes les attendaient, il savait qu'ils avaient maintenant une chance de se découvrir mutuellement d'une manière qu'ils n'auraient jamais imaginée. Leur amitié, profonde et solide, était le socle sur lequel ils pourraient construire une relation exploratoire, empreinte de confiance, de respect et d'amour. À la fin du repas, Alain et Fabrice se retrouvèrent dans le confortable canapé du salon de Fabrice. L'atmosphère était chargée d'anticipation et d'excitation, alors que Fabrice se montra de plus en plus entreprenant, déposant des baisers délicats sur le cou d'Alain. Les caresses subtiles et les murmures sensuels enveloppaient la pièce d'une aura chargée d'érotisme. Alain, incapable de résister à l'attraction magnétique qu'il ressentait pour son ami, se laissa emporter par le moment, ses inhibitions s'évanouissant au fur et à mesure que Fabrice approfondissait son contact. L'expérience était nouvelle, intrigante et incroyablement excitante pour lui. Les frissons parcouraient le corps d'Alain alors que Fabrice continuait d'explorer chaque parcelle de sa peau avec une tendresse et une passion troublantes. Les caresses se faisaient de plus en plus audacieuses, les souffles se mêlaient dans une danse enivrante. Les lèvres de Fabrice se posèrent doucement sur celles d'Alain, déclenchant une vague de désir intense. Leurs baisers étaient à la fois doux et ardents, révélant une connexion profonde qui transcendaient les mots. Leurs corps se rapprochèrent, se pressant l'un contre l'autre, cherchant à se fondre ensemble dans une fusion passionnée. Les mains de Fabrice parcouraient avec assurance les courbes d'Alain, explorant chaque recoin de son être avec une attention délicate. Les soupirs et les gémissements témoignaient de leur désir mutuel, d'une alchimie enflammée qui les consumait. Dans cette intimité partagée, Alain se sentait libre d'explorer ses propres désirs, de se laisser guider par les mains expertes de Fabrice. Chaque sensation, chaque contact, était un voyage intime vers la découverte de soi et de l'autre. Ils se perdaient dans l'étreinte passionnée, leurs corps s'entremêlant dans une danse de plaisir et de complicité. Leur exploration se prolongea mélangeant rires, soupirs et étreintes dans une symphonie sensuelle. Ils avaient franchi une frontière inconnue, mais le sentiment de confiance et de respect mutuel les guidait tout au long de cette expérience. Ils savaient que cette nuit n'était qu'un début, le début d'une aventure inoubliable qui allait redéfinir leur amitié et leur sexualité. C'est alors que Fabrice fit une pause, ses yeux plongés dans ceux d'Alain. Il lui demanda avec une voix douce, empreinte de désir, s'il pouvait aller plus loin. Cependant, il posa une condition avant de poursuivre, voulant s'assurer qu'Alain comprenait bien ce à quoi il s'engageait. Fabrice commença à expliquer en détail ce qu'il attendait d'Alain dans cette relation. Il parla de la soumission, décrivant avec précision les scénarios sensuels et les jeux de rôle qu'il avait en tête. Il précisa qu'il aimait la féminisation, la douceur et la confiance mutuelle qui devaient être au cœur de leur exploration. Il rassura Alain sur le fait que son amitié resterait intacte, quoi qu'il décide, et qu'ils pourraient maintenir une communication ouverte et honnête tout au long de leur parcours. Alain écouta attentivement, absorbant chaque mot, et sentant son désir monter encore plus. Les détails que Fabrice lui donnait éveillaient en lui une curiosité et une excitation qu'il n'avait jamais ressenties auparavant. Il était partagé entre l'excitation de l'inconnu et la peur de franchir cette étape. Cependant, Fabrice était compréhensif et patient, lui donnant le temps de réfléchir, de poser des questions et de décider s'il était prêt à explorer cet aspect de lui-même. Les pensées d'Alain étaient tourbillonnantes, oscillant entre l'envie de se laisser aller à cette nouvelle expérience et l'appréhension des conséquences. Mais alors qu'il regardait Fabrice, il voyait la confiance et l'amour dans ses yeux, et cela le rassurait. Il savait qu'il ne serait pas seul dans cette aventure, qu'ils iraient de l'avant ensemble, main dans la main. Finalement, Alain prit une profonde inspiration et répondit à Fabrice, sa voix légèrement tremblante mais remplie de détermination. "Je suis prêt à découvrir cet aspect de moi-même avec toi, Fabrice. Je suis prêt à t'offrir ma confiance et à explorer ces nouvelles frontières, à condition que nous restions toujours sincères l'un envers l'autre et que nous respections nos limites." Un sourire radieux illumina le visage de Fabrice, et il entrelaça ses doigts avec ceux d'Alain. "Je suis honoré que tu acceptes de partager cette expérience avec moi, mon ami. Je serai là à chaque instant, pour t'écouter, te guider et t'aimer. Ensemble, nous allons explorer des horizons insoupçonnés et vivre une passion qui transcendera tout ce que nous avons connu jusqu'à présent." Alain et Fabrice continuèrent leur soirée, mêlant leur complicité amicale à leur nouvelle dynamique. La tension sexuelle qui flottait dans l'air créa une atmosphère chargée d'excitation. Ils se lancèrent dans des conversations plus intimes et explorèrent plus en détail les désirs et les fantasmes de chacun. Fabrice partagea avec Alain sa passion pour la soumission, expliquant comment elle pouvait être une source de plaisir et d'accomplissement. Il décrivit plus en détail son goût pour la féminisation, pour la douceur et la confiance. Alain écouta avec attention, désireux de comprendre ce monde encore inconnu pour lui. Il posa des questions, cherchant à approfondir sa compréhension et à se familiariser avec les concepts et les pratiques dont Fabrice parlait. Chaque explication de Fabrice éveillait en Alain une curiosité grandissante, un désir de connaître ses propres limites et de se laisser guider par cette nouvelle expérience. Les mots de Fabrice étaient empreints d'une sensualité troublante, et Alain sentait son corps réagir à chaque description. Les images évoquées dans son esprit suscitaient une excitation grandissante, mêlée à une certaine appréhension face à l'inconnu. Mais il était déterminé à explorer ces aspects de lui-même, à se découvrir d'une manière qu'il n'avait jamais envisagée auparavant. Fabrice, voyant l'étincelle dans les yeux d'Alain, savait que leur connexion devenait de plus en plus profonde. Il était heureux de partager cette part intime de lui-même avec son ami, de l'inviter dans ce monde de plaisir partagé. Il promit à Alain d'être patient, de l'accompagner dans ses découvertes et de respecter ses limites à tout moment. Fabrice était patient et attentif à ses questions, et ils établirent des règles claires pour leur nouvelle aventure, garantissant que leur amitié et leur bien-être restaient au centre de tout ce qu'ils entreprenaient. La nuit avançait, et Alain se laissa guider par Fabrice dans cette exploration de soi, établissant un équilibre délicat entre la confiance et le respect. Ils se découvrirent mutuellement, franchirent des frontières et s'épanouirent dans leur nouvelle relation naissante. Leurs corps s'entrelaçaient dans une danse sensuelle, chaque caresse étant un pas de plus vers une intimité profonde et enivrante. Les murmures échangés entre eux étaient empreints d'une complicité grandissante, et chaque regard échangé était chargé d'une connexion intense. Alain se sentait libre d'explorer ses propres désirs, ses propres limites, sachant qu'il était soutenu et aimé par Fabrice à chaque instant. Les sensations qui parcouraient son corps étaient à la fois familières et nouvelles, un mélange exquis de plaisir et d'excitation. Chaque toucher, chaque souffle, était une exploration de soi, une découverte de leur chimie unique. Fabrice, doux et attentionné, guidait Alain avec une délicatesse incroyable, respectant ses limites et écoutant attentivement ses réactions. Chaque moment partagé était une symphonie de sensations, une fusion de désirs qui les enveloppait dans une bulle intime, loin du monde extérieur. Ils s'abandonnaient l'un à l'autre, en se laissant porter par les vagues de plaisir et de désir qui les submergeaient. Les soupirs et les gémissements se mêlaient, créant une symphonie envoûtante qui remplissait la pièce de leur passion partagée. La nuit s'étira, et les étreintes se firent de plus en plus passionnées, les frontières entre leurs corps et leurs esprits s'estompant progressivement. Ils se perdaient dans une extase mutuelle, explorant les profondeurs de leurs désirs et créant des souvenirs qui resteraient gravés dans leur esprit et leur cœur pour toujours. La nuit avançait, et Alain se laissa guider par Fabrice dans cette exploration de soi, établissant un équilibre délicat entre la confiance et le respect. Ils se découvrirent mutuellement, franchirent des frontières et s'épanouirent dans leur nouvelle relation naissante. Leur complicité grandissait à mesure qu'ils se plongeaient dans cette expérience inattendue. Chaque instant était empreint d'une intensité palpable, d'une connexion profonde qui les enveloppait dans un cocon d'érotisme et de désir. Fabrice, avec une assurance mêlée de tendresse, guida Alain dans une danse sensuelle. Leurs corps se mouvaient en harmonie, explorant chaque recoin de leur être avec une passion dévorante. Chaque caresse était un écho de leur complicité grandissante, chaque souffle échangé était une promesse de plaisir partagé. Dans l'intimité du salon, Fabrice fit preuve d'une audace de plus en plus enivrante. Il demanda à Alain de se lever du canapé, créant une dynamique nouvelle entre eux. Alain, mêlant excitation et anticipation, obéit à sa demande, se mettant debout à côté de Fabrice. Le regard intense et perçant de Fabrice se posa sur Alain, avec une tendresse mêlée de désir brûlant, Fabrice défit lentement le bouton du jean d'Alain, faisant glisser la braguette et descendant délicatement le tissu jusqu'aux chevilles d'Alain. Chaque geste était empreint d'une sensualité troublante et d'un appétit insatiable, chaque mouvement calculé pour provoquer une excitation grandissante et pousser Alain vers de nouveaux horizons de plaisirs inexplorés.tandis que Fabrice manipulait la cage de chasteté, la faisant glisser sur le membre d'Alain avec une précision infinie. Les sangles se resserraient progressivement, enserrant fermement le membre d'Alain et le maintenant en captivité. Alain ressentait un mélange de sensations intenses, entre l'envie irrépressible de jouissance et la frustration délicieuse de sa liberté entravée. Alors que son esprit s'ouvrait à cette nouvelle facette de leur relation, où le contrôle et le consentement se mêlaient dans une danse sensuelle et provocante. Chaque détail était soigneusement pris en compte, chaque sensation savourée avec une intensité troublante. L'atmosphère était chargée d'une excitation électrisante, où le moindre geste, le moindre souffle, amplifiait le désir brûlant qui les consumait. Ils étaient prêts à explorer ces territoires inconnus, à se laisser guider par leurs pulsions les plus profondes, dans un voyage riche en émotions et en plaisirs enivrants. C'était une expérience qui dépassait les limites de la convention pour Alain. Une union où la confiance et le consentement se mêlaient à une exploration audacieuse du plaisir. Les deux amants se perdaient dans cette étreinte passionnée, se laissant emporter par la délicieuse torture de la chasteté et la promesse de libération ultime. Ils étaient prêts à se découvrir mutuellement, à repousser les frontières du plaisir et à s'abandonner à l'extase de l'inconnu. Dans ce moment de connexion intense, Fabrice ressentait une excitation mêlée d'une profonde affection pour Alain. Son regard pénétrant exprimait à la fois la confiance qu'il avait en Alain et l'excitation de se lancer dans cette aventure inexplorée. Alain, captivé par le regard intense de Fabrice, sentait son cœur battre plus vite. Il comprenait que ce moment marquait le début d'une exploration profonde de leur relation, une exploration qui allait les conduire vers des territoires inconnus et excitants. Leur complicité grandissait à mesure qu'ils se regardaient, leurs yeux se perdant dans une communication silencieuse. Ils étaient prêts à se laisser guider l'un par l'autre, à se découvrir mutuellement dans cette expérience partagée. Ce moment était chargé d'une énergie électrique, d'une promesse de découvertes et de plaisirs à venir. Fabrice, avec un sourire complice, prit doucement la main d'Alain, lui signifiant qu'ils étaient prêts à franchir ensemble les limites de leur imagination et à explorer les profondeurs de leur désir. Fabrice dit doucement à Alain: "Tu n'es plus Alain, mais elle, et je t'appellerai Pat." La transformation symbolique était complète, et Pat se laissa emporter par ce nouveau nom, se sentant vulnérable, mais aussi libéré d'une manière inattendue. Les mots de Fabrice résonnaient dans l'air, créant une atmosphère chargée d'excitation et de découverte. Pat se sentait à la fois ému et intrigué par cette nouvelle identité qui lui était attribuée. C'était comme si une porte s'ouvrait vers un monde inexploré, où les limites de l'expression de soi étaient repoussées. Fabrice, conscient de l'importance de ce moment, se leva avec précaution. Il savait que chaque geste, chaque contact, serait empreint de sens et de significations profondes. Avec une grande délicatesse, il commença à déshabiller Pat, retirant ses vêtements un par un. Chaque vêtement qui tombait révélait la peau nue et vulnérable de Pat. Chaque mouvement de Fabrice était calculé pour susciter une excitation grandissante, mais aussi pour créer un sentiment de confiance et de sécurité. Pat se sentait à la fois exposé et protégé, prêt à se laisser guider par Fabrice dans cette aventure singulière. Leurs regards se croisaient, transmettant une connexion profonde et une compréhension mutuelle. Fabrice était conscient de la responsabilité qui lui incombait, celle de prendre soin de Pat, de l'accompagner dans cette exploration de soi. Chaque geste était empreint d'une tendresse infinie, d'un respect mutuel. Alors que les vêtements tombaient un à un, Pat se sentait de plus en plus libre, débarrassé des contraintes et des attentes de la société. Chaque morceau de tissu qui tombait était comme une libération, permettant à Pat d'embrasser pleinement cette nouvelle identité et de se laisser emporter par les sensations et les émotions qui se déployaient. Après avoir dénudé Pat, Fabrice sortit de sa garde-robe une jolie nuisette en dentelle, soigneusement choisie pour mettre en valeur la féminité de Pat. Il l'aida à enfiler la nuisette, ajustant chaque détail avec soin. Chaque contact de la dentelle sur la peau de Pat provoquait une sensation délicieusement sensuelle. La douceur du tissu caressait sa peau nue, amplifiant l'éveil de sa féminité. Fabrice prenait le temps de s'assurer que chaque ajustement soit parfait, veillant à ce que Pat se sente à l'aise et belle dans cette nouvelle parure. Pat ressentit un mélange de gêne, d'excitation et de découverte. Cette expérience était une exploration de soi, une redéfinition de son identité. Mais il se laissa guider par Fabrice, se laissant aller à cette transformation. Chaque geste de Fabrice était empreint d'une tendresse infinie, d'une compréhension profonde de la vulnérabilité et de la beauté de cette expérience. Cette nouvelle expérience redéfinissait leur amitié, tout en approfondissant la confiance et la complicité entre eux. Ils se soutenaient mutuellement dans cette aventure singulière, s'encourageant à embrasser pleinement cette exploration de soi. Chaque instant était empreint d'une connexion profonde, d'une intimité partagée qui les rapprochait davantage. La soirée se poursuivit, et Pat, désormais dans la peau de cette nouvelle personne, se laissa emporter par la découverte de sa propre féminité et de cette aventure unique. Chaque pas, chaque mouvement était une exploration, une affirmation de soi. Pat se sentait à la fois vulnérable et puissante, se dévoilant progressivement à travers cette transformation. Après avoir aidé Pat à enfiler la délicate nuisette en dentelle, Fabrice laissa échapper un soupir d'approbation, ravi du résultat. La nuisette mettait en valeur la silhouette de Pat, soulignant sa féminité naissante. Chaque détail de la dentelle accentuait la beauté de Pat, faisant ressortir ses courbes avec élégance et sensualité. Ils se rapprochèrent, leurs corps se frôlant délicatement, et échangèrent des regards empreints de désir et de complicité. Les lèvres de Fabrice se posèrent doucement sur celles de Pat, scellant cette nouvelle étape de leur relation avec des baisers tendres et passionnés. Leurs étreintes se firent plus intenses, empreintes de cette connexion profonde qui se renforçait à chaque instant. Dans cette soirée chargée d'exploration et de sensualité, chaque geste était empreint de douceur et de respect. Leurs corps se mouvaient en harmonie, explorant les contours et les sensations de l'autre. Chaque caresse, chaque contact était intensément ressenti, faisant monter en eux une vague d'excitation et de plaisir partagé. Les caresses étaient douces et pleines de désir, chaque geste chargé de la promesse de quelque chose de nouveau et d'excitant. Les lèvres de Fabrice cherchaient celles de Pat, les effleurant avec tendresse avant de s'enfoncer dans des baisers passionnés. Leurs corps étaient enflammés par une passion dévorante, leurs souffles s'entremêlant dans une danse sensuelle. Les mains de Fabrice parcouraient chaque centimètre de la peau de Pat, explorant avec ardeur les contours et les courbes qui éveillaient en lui un désir insatiable. Les vêtements de Pat glissaient lentement sur son corps, révélant petit à petit sa nudité brûlante. Chaque caresse était un feu qui s'allumait, chaque contact un écho de plaisir qui se propageait entre eux. Les murmures de désir se mêlaient à leurs soupirs de plaisir, créant une symphonie érotique qui remplissait la pièce. Fabrice et Pat partagèrent ces moments intimes, laissant le désir monter, mais aussi laissant place à la tendresse et à la connexion émotionnelle. Leurs corps se mouvaient en harmonie, dans une danse passionnée qui éveillait des sensations enivrantes. Chaque toucher, chaque frôlement était une invitation à explorer les limites de leur sensualité, à s'abandonner à cette expérience érotique qui les unissait d'une manière inoubliable. Finalement, Fabrice, le visage empreint d'anticipation, prit la main de Pat et l'emmena jusqu'à son lit, où ils s'allongèrent doucement. Leurs corps se rapprochèrent, laissant place à une proximité électrisante. La tension sexuelle était palpable, chacun d'eux étant conscient de l'intensité de ce moment. Fabrice, les yeux brillants d'excitation, caressa délicatement le visage de Pat, laissant ses doigts effleurer chaque courbe avec une tendresse infinie. Il murmura à l'oreille de Pat avec une voix rauque : "Tu es maintenant une femme, et nous ferons l'amour comme tel." Ces mots résonnèrent dans l'air, créant une atmosphère chargée de désir et de passion. Pat sentit son cœur s'emballer, mêlant l'excitation et l'appréhension de cette nouvelle expérience. Chaque fibre de son être était éveillée, prête à se laisser emporter par les sensations et les émotions qui allaient suivre. Les lèvres de Fabrice cherchèrent celles de Pat, s'unissant dans un baiser torride et langoureux. Leurs langues dansaient en parfaite harmonie, explorant chaque recoin de leurs bouches avec une intensité enivrante. Les mains de Fabrice se déplaçaient avec assurance, caressant la peau nue de Pat, provoquant des frissons délicieux qui se propageaient dans tout son corps. Ils se découvraient mutuellement, mettant en pratique leur désir d'explorer cette nouvelle dimension de leur relation. Chaque toucher, chaque effleurement était empreint d'une délicatesse enivrante, amplifiée par l'amour et le respect qu'ils éprouvaient l'un envers l'autre. Les vêtements glissèrent lentement, révélant la nudité brûlante de leurs corps enlacés. Fabrice prenait son temps, savourant chaque instant de cette union charnelle. Les caresses se firent plus intenses, les soupirs se mêlaient aux gémissements dans une symphonie de plaisir partagé. dans une intimité passionnée et consentie. Alors que leur exploration se poursuivait, Fabrice éprouva un plaisir intense et finit par jouir dans l'anus de Pat. Pat ressentit une sensation nouvelle et agréable d'être pénétré pour la première fois. Chaque mouvement de Fabrice était empreint de douceur et d'attention, procurant à Pat une expérience à la fois excitante et pleine de découvertes. La cage ajoutait une dimension de jeu et de restriction à leur expérience, intensifiant les sensations ressenties par Pat. La sensation du sperme coulant le long de ses fesses ajouta une pointe de sensualité et de connexion intime à leur expérience partagée Cette promesse était chargée d'émotion, de désir et de confiance. Les deux amis devenus amants savaient qu'ils s'engageaient dans un territoire inconnu, mais ils le faisaient ensemble, dans le respect et l'amour mutuel, avec la conviction que cette nouvelle étape de leur relation les rapprocherait davantage, tout en les emmenant vers des horizons sensuels et émotionnels encore inexplorés pour Pat. Le lendemain matin, alors qu'ils partageaient leur petit déjeuner, Fabrice posa son regard sur Pat avec un sourire chaleureux. Il rompit le silence en disant : "Pat, ce que nous avons vécu hier soir n'était que le commencement. Nous allons continuer à explorer cette nouvelle dynamique." Pat, un mélange de nervosité et d'anticipation dans les yeux, écouta attentivement ce que Fabrice avait à dire. Fabrice continua : "Je pense qu'il est temps pour toi de t'habituer à ton nouveau statut. Bientôt, tu t'habilleras en femme, et nous ferons notre première sortie en ville. Ce sera une expérience pour toi, une chance de t'immerger dans ce nouveau rôle et de te sentir plus à l'aise dans ta peau." Les mots de Fabrice résonnaient dans l'air, créant une excitation palpable chez Pat. L'idée de se présenter au monde en tant que femme était à la fois intimidante et exaltante. Pat se demandait comment les autres réagiraient, comment elle se sentirait dans ce nouveau rôle qui se dessinait devant elle. Cependant, Fabrice était là pour la soutenir, pour la guider dans cette nouvelle aventure. Son sourire bienveillant et son soutien inconditionnel lui donnaient la confiance nécessaire pour se lancer dans cette expérience. Pat savait qu'elle pouvait compter sur Fabrice à chaque étape de cette transformation, et cela lui apportait un sentiment de réconfort et de sécurité. La perspective de cette première sortie en ville était à la fois excitante et terrifiante. Pat imaginait déjà les regards curieux des passants, les chuchotements et les regards interrogateurs. Mais elle se rappelait aussi les paroles de Fabrice, l'encourageant à être fière de qui elle était et à embrasser cette nouvelle identité. Fabrice et Pat commencèrent à planifier cette sortie, choisissant avec soin les tenues et les accessoires qui mettraient en valeur la féminité de Pat. Chaque détail était pensé avec soin, chaque choix fait avec amour et respect. Pat se sentait soutenue et aimée à chaque étape de cette aventure. Le jour de la sortie arriva enfin. Pat se tenait devant le miroir, vêtue d'une tenue élégante qui reflétait sa nouvelle identité. Elle se regarda avec fierté, réalisant à quel point elle avait parcouru un chemin incroyable avec l'aide de Fabrice. Main dans la main, Fabrice et Pat sortirent dans la rue, prêts à affronter le regard du monde. La confiance de Pat grandissait à chaque pas, se nourrissant de l'amour et du soutien de Fabrice. Cette première sortie marquait le début d'une aventure passionnante, d'une exploration de soi et d'une découverte de la véritable essence de Pat. La ville était animée, avec ses rues commerçantes bondées de passants et ses cafés en terrasse où les gens profitaient du soleil. Pat, mélange de nervosité et d'excitation, ressentait les regards curieux de quelques passants, mais aussi les sourires bienveillants de ceux qui semblaient apprécier sa démarche. Ils déambulèrent lentement, s'arrêtant de temps en temps pour explorer les boutiques et les vitrines. Fabrice, avec son charisme habituel, l'accompagnait avec une présence rassurante, partageant des conversations légères et distrayantes pour détendre l'atmosphère. Ils s'installèrent finalement à une terrasse de café pour déjeuner, où Pat se sentit de plus en plus à l'aise dans son nouveau rôle. Les serveurs les accueillirent avec gentillesse, et le déjeuner se déroula de manière agréable, renforçant la confiance de Pat dans cette nouvelle réalité. Le soleil caressait doucement leur peau, ajoutant une touche de chaleur à cette journée déjà empreinte d'émotions. Les conversations animées se mêlaient aux rires qui s'échappaient de leurs lèvres, créant une ambiance joyeuse et complice. Pat admirait les passants, observant la diversité des personnes qui peuplaient les rues. Elle se sentait partie intégrante de cette mosaïque de vies, d'histoires et d'expériences. Chaque sourire, chaque regard bienveillant qu'elle croisait renforçait sa confiance et sa fierté. Fabrice, toujours aux petits soins, partageait avec enthousiasme ses découvertes et ses coups de cœur. Il encourageait Pat à exprimer ses préférences, à choisir des vêtements qui reflétaient sa personnalité et à s'approprier pleinement son nouveau rôle. Chaque décision prise était un pas de plus vers l'acceptation et l'expression de soi. Après le déjeuner, ils se promenèrent main dans la main le long des rues animées. Les regards curieux se transformèrent en sourires complices et en signes de reconnaissance. Pat se sentait de plus en plus à l'aise dans sa peau, embrassant sa féminité avec grâce et détermination. La journée se termina avec un coucher de soleil magnifique, illuminant le ciel de teintes chaudes et dorées. Pat et Fabrice s'assirent sur un banc, contemplant le spectacle avec émerveillement. Ils partagèrent un moment de silence, bercés par la beauté de l'instant et la satisfaction de cette première sortie réussie. Pat se rendit compte qu'il s'agissait d'une étape cruciale dans son processus d'adaptation à ce nouveau statut. Il était reconnaissant envers Fabrice pour son soutien constant et sa compréhension. De retour à la maison, la journée en ville avait été à la fois stimulante et épuisante pour Pat. Fabrice avait été présent à ses côtés à chaque instant, offrant son soutien silencieux et sa compréhension. Alors qu'ils s'installèrent confortablement dans le salon, Fabrice demanda à Pat comment il se sentait après cette première sortie en tant que femme. Pat exprima sa gratitude envers Fabrice pour son accompagnement, mentionnant les regards curieux, mais aussi les sourires bienveillants des passants qui avaient marqué sa journée. Ils discutèrent des moments forts de leur expérience, et Pat exprima sa confiance croissante dans son nouveau rôle. La douce lueur des lampes éclairait le salon, créant une atmosphère intime et chaleureuse. Pat se blottit confortablement dans le canapé, savourant la sensation de sécurité que lui procurait la présence de Fabrice à ses côtés. Les émotions de la journée tourbillonnaient dans son esprit, tandis que son corps se détendait peu à peu. Fabrice, avec une tendresse palpable dans les yeux, écouta attentivement les paroles de Pat. Il comprenait l'importance de cette première sortie, le mélange d'excitation et d'appréhension qui l'accompagnait. Il prit doucement la main de Pat dans la sienne, offrant un soutien silencieux mais puissant. Les mots s'échappaient des lèvres de Pat, exprimant sa gratitude envers Fabrice pour son rôle essentiel dans cette transformation. Chaque sourire bienveillant, chaque regard encourageant des passants avait renforcé sa confiance et sa détermination à embrasser pleinement cette nouvelle identité. Ils revécurent ensemble les moments forts de leur journée, partageant les anecdotes, les rires et les émotions qui avaient marqué cette expérience. Fabrice écoutait attentivement, offrant des mots de réconfort et d'encouragement lorsque c'était nécessaire. La connexion entre eux s'intensifiait, renforçant leur lien d'amitié et leur complicité. Pat se sentait de plus en plus à l'aise dans son nouveau rôle, dans cette identité féminine qui s'épanouissait peu à peu. La confiance grandissait, nourrie par l'amour et le soutien de Fabrice. Ils savaient qu'ils étaient sur un chemin unique, une aventure qui les rapprochait et les transformait en même temps. La soirée se poursuivit dans une atmosphère paisible, remplie de conversations profondes et d'échanges sincères. Ils partagèrent leurs espoirs, leurs aspirations et leurs craintes, renforçant leur complicité et leur confiance mutuelle. Après cette discussion, Fabrice prit doucement la main de Pat et l'invita à le suivre dans la chambre. Ils s'engagèrent dans cette pièce intime, leur cœur battant la chamade alors que l'excitation montait en eux. Fabrice guida Pat jusqu'au lit, où il l'assit avec précaution. Une pause s'installa, remplie d'une tension électrique qui les enveloppait. Leurs regards se croisèrent, fixant intensément l'autre, les yeux reflétant à la fois le désir et la curiosité. Avec une voix chargée de désir, Fabrice ouvrit lentement le bouton de son pantalon, l'atmosphère se chargeant d'une excitation palpable. Chacun des gestes de Fabrice était empreint d'une sensualité captivante, captivant l'attention de Pat. Son regard ne quittait pas Fabrice, absorbant chaque détail et se préparant pour ce qui allait suivre. Fabrice se rapprocha lentement de Pat, leurs corps se trouvant à une distance si proche que l'air semblait électrifié. Il murmura à l'oreille de Pat avec une voix suave et envoûtante : "Maintenant, Pat, nous allons continuer notre voyage dans cet univers. Je veux que tu comprennes ce que cela signifie d'embrasser pleinement cette nouvelle réalité. Comporte-toi comme une femme, montre-moi que tu as bien compris." Ces mots résonnèrent dans l'air, créant une tension érotique qui s'empara d'eux. Pat sentit son pouls s'accélérer, mêlant l'excitation et une pointe d'appréhension face à l'inconnu. Néanmoins, la confiance en Fabrice et le désir de se laisser emporter par cette expérience nouvelle l'encouragèrent à se laisser guider. Le regard de Pat se teinta d'une lueur d'assurance et de détermination. Elle comprenait l'importance de se comporter comme une femme, d'incarner pleinement cette nouvelle réalité pour eux deux. C'était un acte d'amour et de confiance, une façon de montrer à Fabrice qu'elle était prête à explorer ce territoire inconnu avec lui. La scène se déroula dans une aura de mystère et de passion, avec Fabrice prenant l'initiative et Pat se laissant guider par ses désirs et ses attentes. Chacun des gestes, chaque regard échangé, était chargé d'une électricité sensuelle qui les enveloppait. Ils étaient prêts à se perdre dans les profondeurs de cette nouvelle réalité, prêts à explorer ensemble les limites du plaisir et de l'intimité. Pat, se trouvant maintenant devant le sexe tendu de Fabrice, ressentait un mélange de désir et d'anticipation. Pat acquiesça, consentant à se laisser guider par Fabrice dans cette aventure érotique. Fabrice, conscient de l'excitation de Pat, guida doucement Pat jusqu'à ce que sa bouche soient parfaitement synchronisés. Pat sentit la chaleur et la pulsation du sexe de Fabrice dans sa bouche, tandis que Fabrice atteignait les sommets de l'extase. Chaque mouvement de Pat était une caresse sensuelle qui ravivait le plaisir de Fabrice, le conduisant inévitablement vers l'apogée de la jouissance. Alors que Fabrice se déversait dans la bouche de Pat, Pat ressentit un mélange de goût salé et sucré, une sensation à la fois nouvelle et délicieuse. L'expérience était intense et passionnée, Cette étape marquait une nouvelle profondeur dans leur relation, une exploration de leur désir mutuel et une acceptation complète de cette nouvelle identité de Pat. Ils savaient que ce voyage les emmènerait encore plus loin dans un monde d'intimité, de découverte de soi. La scène se déroula dans une atmosphère chargée de sensualité et de connexion profonde. Les gestes de Pat étaient empreints d'une volonté d'offrir du plaisir à Fabrice, de se laisser guider par les désirs de l'autre. Chaque mouvement était empreint d'une douceur et d'une attention dévouée, créant une symphonie d'érotisme et de passion. Pat ressentait un mélange incandescent de désir et d'excitation alors que Fabrice était à la fois son guide et son partenaire dans cette exploration intime. La sensation de la jouissance de Fabrice se déversant dans sa bouche fut à la fois enivrante et gratifiante, une preuve tangible de leur connexion profonde et de leur confiance mutuelle. Cette étape marquait un tournant dans leur relation, une acceptation complète de cette nouvelle identité de Pat. La satisfaction et la fierté se mêlaient alors que Pat prenait conscience de la profondeur de leur amour et de leur désir mutuel. Ils savaient que ce voyage ne faisait que commencer, que chaque étape les rapprocherait davantage l'un de l'autre et les emmènerait vers de nouveaux sommets de plaisir et de découverte de soi. Après cette étape et avoir discuté des aspects de leur nouvelle relation, Fabrice prit Pat avec douceur et l'allongea sur le lit, mélange de nervosité et d'anticipation, le suivit. Fabrice, avec prévenance, commença à ouvrir la robe de Pat, révélant sa lingerie soigneusement choisie. La tension sensuelle entre eux grandissait, et Fabrice alluma une bougie pour créer une ambiance romantique. Les flammes vacillantes éclairaient doucement la pièce, créant une atmosphère de mystère. Les ombres dansaient sur les murs, ajoutant une touche de séduction à l'instant présent. Le regard de Fabrice se perdait dans les courbes délicates de Pat, s'attardant sur chaque détail de sa lingerie qui soulignait sa féminité. Il caressa doucement la peau de Pat avec ses doigts, faisant monter l'excitation à chaque contact. Les frissons parcouraient le corps de Pat, mêlant le plaisir à une légère appréhension. Fabrice tenait dans sa main une bougie parfumée, la cire chaude se liquéfiant au-dessus de la flamme. D'une manière délicate mais audacieuse, il versa lentement la cire chaude sur la peau de Pat, créant des gouttes qui se figeaient instantanément en un frisson délicieux. Pat ressentait une sensation de chaleur et de douceur contrastée, un mélange exquis de plaisir et de légère sensation de brûlure. Chaque goutte de cire qui touchait la peau de Pat était un éveil des sens, un symbole de confiance et de soumission consentie. La douleur douce se transformait rapidement en une sensation de plaisir, envoyant des vagues d'érotisme à travers tout son être. Pat abandonnait complètement le contrôle, se laissant porter par les sensations et la passion qui les enveloppaient. Fabrice observait attentivement les réactions de Pat, veillant à ne jamais dépasser les limites du plaisir et du consentement. Chaque geste était empreint de respect et de sensualité, renforçant leur connexion intime. La pièce était imprégnée d'une atmosphère enivrante, où la cire chaude devenait un symbole de leur complicité et de leur désir partagé. Les flammes dansaient toujours, jetant des ombres suggestives sur leurs corps enlacés. Dans cet instant de passion et d'intimité, ils se découvraient mutuellement, explorant les profondeurs de leur désir et de leur amour Pat se sentait libre d'être guidée, laissant sa confiance en Fabrice la mener vers de nouveaux horizons. Le lâcher-prise total permettait à Pat d'explorer cette nouvelle facette de son identité, et elle répondit avec enthousiasme aux mots de Fabrice, signifiant ainsi son consentement et sa volonté de poursuivre ce voyage ensemble. Fabrice retourna Pat sur le ventre, dévoilant son dos nu et sensuel à la lueur tamisée de la bougie. Sa main caressa avec tendresse le fessier de Pat, créant des frissons de plaisir. Il commença à tapoter doucement, rythmant les battements de leur cœur. La caresse se fit de plus en plus insistante,  Le fessier de Pat prend une teinte rosée sous l'étreinte sensuelle de Fabrice. Chaque claque résonne dans l'air, créant une symphonie érotique de passion et de plaisir. Les soupirs de Pat se mêlent habilement au rythme des fessées, exprimant un mélange de désir et d'extase. Chaque coup fait monter en Pat une vague d'excitation et de plaisir, intensifiant l'expérience partagée entre eux. Les sensations se propagent à travers le corps de Pat, créant une connexion profonde entre la douleur et le plaisir. Fabrice, attentif aux réactions de Pat, ajuste l'intensité de chaque claque pour maintenir le juste équilibre entre stimulation et sensation, créant ainsi une expérience érotique unique et personnalisée. Ils se perdent tous deux dans ce ballet sensuel, où la fessée devient une forme d'expression intime et consentie, renforçant leur connexion physique et émotionnelle.Les soupirs de Pat deviennent une musique enivrante, exprimant à la fois le désir ardent extase. Fabrice glisse avec sensualité sur la peau de Pat, parcourant chaque centimètre carré avec une douceur enivrante. Les doigts de Fabrice explorent le corps de Pat, éveillant les sens et provoquant un tourbillon de sensations électriques. Chaque caresse délicate fait frissonner Pat de plaisir, créant une connexion intime entre eux. Puis, avec une tendresse infinie, Fabrice glisse un doigt dans l'anus de Pat, effectuant des va-et-vient doux et progressifs. Chaque mouvement fait monter en Pat une vague de plaisir qui se propage dans tout son être. La combinaison des caresses sensuelles sur la peau et des mouvements délicats dans l'anus crée une expérience érotique intense. Pat se laisse emporter par cette exploration intime, ressentant une fusion de plaisir, entre excitation et extase. Les sensations se multiplient, amplifiant le désir qui brûle en eux. C'est un moment de complicité profonde. La chaleur de la bougie qui baignait la pièce créait une atmosphère envoûtante, amplifiant les sensations ressenties par Pat. Les frissons parcouraient son échine à mesure que les tapotements se faisaient plus intenses. Le rythme régulier des battements de cœur semblait se synchroniser avec les mouvements de Fabrice, créant une danse sensuelle et hypnotique. Le fessier de Pat, sous les mains expertes de Fabrice, prenait une teinte rosée, témoignant de l'intensité de cette étreinte sensuelle. La douceur des caresses se mêlait à une pointe de fermeté, procurant à Pat une excitation grandissante. Chaque tapotement était une invitation à lâcher prise, à se laisser emporter par le tourbillon de plaisir qui les enveloppait. Les soupirs de Pat, à la fois empreints de désir et d'extase, se faisaient entendre dans la pièce, créant une symphonie envoûtante de passion et de plaisir partagé. Chaque souffle était une expression de la connexion profonde entre Fabrice et Pat, une communication silencieuse qui renforçait leur intimité.  Fabrice, animé par une passion dévorante et une exploration audacieuse de leur sexualité, décide d'attacher Pat au lit. L'atmosphère est chargée d'une tension sensuelle alors que Fabrice prépare le lit pour cette nouvelle expérience. Les draps soyeux et les coussins moelleux ajoutent une touche de confort et de luxe à la scène. Avec précaution, Fabrice attache les poignets de Pat aux montants du lit à l'aide de menottes en satin. Les mains liées, Pat se sent vulnérable mais excitée, prête à se laisser emporter par les sensations et les limites qu'ils s'apprêtent à explorer ensemble. Fabrice s'éloigne momentanément du lit pour chercher quelque chose dans le tiroir de sa table de nuit. L'anticipation grandit alors que Pat observe curieusement chaque mouvement de Fabrice. Puis, Fabrice réapparaît, tenant un fouet dans sa main. La vue du fouet provoque une montée d'adrénaline chez Pat, mêlée d'excitation et d'appréhension. Les yeux de Fabrice se remplissent d'une lueur d'excitation mêlée d'une affection profonde. Il caresse doucement le visage de Pat avec le fouet, créant une sensation légère et chatouilleuse. Le contact de l'objet sur la peau de Pat éveille une multitude de frissons et de désirs.Chaque coup du fouet est précisément calculé, alternant entre des caresses légères et des sensations plus intenses. Lorsque les coups de fouet effleurent la peau de Pat, une cascade de sensations se déclenche à la fois physiquement et psychiquement. Les sensations physiques varient en intensité, allant d'une douleur délicieuse à une sensation de picotement et de chaleur qui se propage à travers le corps. Chaque coup du fouet laisse une marque éphémère sur la peau de Pat, créant une empreinte sensuelle qui se mêle à l'excitation croissante. Chaque impact du fouet provoque un mélange complexe de douleur et de plaisir, déclenchant une montée d'endorphines qui inonde le corps de Pat. Les sensations se propagent comme des vagues, éveillant les nerfs et intensifiant le désir. Les coups du fouet sont précisément calculés pour stimuler les zones sensibles, créant une symphonie de sensations qui transcendent le corps de Pat. une libération émotionnelle, permettant à Pat de se laisser aller et de se perdre dans l'instant présent. Lorsque l'ensemble du corps de Pat eut pris une teinte bien rougie sous les gestes suggestifs de Fabrice, ce dernier se pencha tendrement vers elle, caressant doucement son visage. Il admirait la beauté de Pat, tout en exprimant son admiration. Fabrice était fasciné par chaque courbe et chaque détail de Pat. Son regard était empreint d'amour et d'appréciation, reflétant l'admiration qu'il ressentait pour elle. Ses doigts effleuraient doucement sa joue, explorant chaque centimètre de sa peau avec une tendresse infinie. La lueur tamisée de la pièce accentuait la beauté de Pat, créant une aura mystérieuse qui enveloppait leur intimité. Fabrice se perdait dans les profondeurs de ses yeux, captivé par la passion et l'amour qui brillaient en eux. Le contact délicat de Fabrice sur le visage de Pat était une caresse d'affection, un langage silencieux qui exprimait tout ce qu'il ressentait. Il admirait la douceur de sa peau, la perfection de ses traits et la manière dont chaque émotion se reflétait sur son visage. Les mots d'admiration s'échappaient des lèvres de Fabrice, exprimant son émerveillement face à la beauté de Pat. Il louait sa grâce, sa sensualité et la manière dont elle illuminait sa vie. Chaque mot était empreint d'une sincérité profonde, témoignant de l'amour et de l'admiration qu'il éprouvait pour elle.  Les gestes doux et les mots sincères créaient une connexion profonde entre eux, renforçant leur lien d'amour et de complicité. "Tu as été merveilleuse, ma chère Pat," murmura Fabrice, laissant Pat profiter de l'après-scène. Puis, Fabrice annonça : "Demain, nous irons plus loin dans notre exploration, découvrant de nouvelles étapes de notre aventure sensuelle. Mais pour l'instant, il est temps que tu te détendes et te ressources, ma chère." L'anticipation de la prochaine étape créait une ambiance excitante, laissant Pat imaginer les délices à venir dans ce voyage unique. Le lendemain, alors que les premières lueurs du soleil baignaient la chambre d'une douce lumière, Fabrice prit délicatement un collier de soumission en cuir noir. Chaque centimètre du collier était soigneusement travaillé à la main, témoignant de l'attention et du dévouement de Fabrice envers cet aspect particulier de leur relation. Les boucles en métal argenté ajoutaient une touche de sophistication et de force à l'ensemble. Avec une tendre détermination, Fabrice passa le collier autour du cou gracieux de Pat, sentant la douce pression du cuir contre la peau délicate. Ce geste symbolique annonçait leur engagement mutuel dans un jeu de rôle érotique, où Fabrice endossait le rôle dominant et Pat embrassait son rôle de soumise consentante. Lorsque le collier fut attaché, une vague de sensations électrisantes parcourut le corps de Pat. La présence du collier renforçait le lien physique et émotionnel qui les unissait. Chaque mouvement, chaque contact avec le collier rappelait à Pat sa place dans cette dynamique de pouvoir consensuelle, créant un mélange enivrant d'excitation et de confiance. Fabrice, le regard empreint d'amour et de respect reconnaissant son engagement dans ce jeu de rôle intime. Il admirait la beauté de Pat, tout en exprimant son admiration pour sa volonté de se laisser guider et explorer de nouveaux territoires sensuels. Pat avait traversé une transformation profonde, passant de l'identité d'un homme à celle d'une femme, et désormais, vers celle d'une femme soumise et docile. Cette métamorphose était bien plus qu'une simple évolution physique. Elle avait découvert une facette d'elle-même qu'elle n'aurait jamais imaginé explorer auparavant. Au fur et à mesure de ces expériences, elle plongeait au plus profond d'un océan d'émotions complexes, naviguant entre les vagues tumultueuses de la nervosité initiale et les courants puissants de l'excitation et de l'anticipation. Chaque fois qu'elle se trouvait face à ce seuil de l'inconnu, une boule d'excitation se formait dans son ventre, faisant palpiter son cœur avec une intensité électrisante. Le lâcher-prise total, cette sensation enivrante qu'elle avait découvert dans cette nouvelle dynamique avec Fabrice, était une révélation pour elle. C'était comme si elle avait trouvé une clé secrète qui ouvrait les portes de son âme, libérant toutes les inhibitions et les contraintes de son ancienne identité. Elle se sentait légère, comme si elle flottait dans les airs, prête à s'abandonner complètement à de nouvelles sensations et à se laisser guider par les désirs ardents de Fabrice. Chaque rencontre était une danse sensuelle et passionnée, où les corps s'entrelaçaient avec une harmonie envoûtante. Les caresses devinrent des poèmes érotiques, tracés avec des mains expertes sur la peau frissonnante. Les soupirs se mêlaient aux murmures de plaisir, créant une symphonie intime qui résonnait au plus profond de leur être. Elle se laissait guider par les désirs de Fabrice, se soumettant volontairement à son contrôle, savourant chaque sensation nouvelle qu'il lui offrait. Chaque geste de domination était un cadeau, une preuve tangible de l'affection et de la confiance qu'ils partageaient. Dans ces moments de soumission consentie, elle se sentait libre, libérée des chaînes du quotidien, plongée dans un océan d'extase où seule l'essence de leur passion existait. Les mots crus et les supplications douces se mêlaient dans un ballet langoureux, érigeant un pont entre le désir et la réalité. Chaque mot prononcé était un écho de leur connexion profonde, une manifestation de leur intimité partagée. Dans ces instants de vulnérabilité partagée, elle trouvait une force insoupçonnée, se sentant plus vivante que jamais. Au fil de ces expériences, elle découvrait des recoins inexplorés de son être, embrassant sa sexualité avec une audace nouvelle. Elle se sentait puissante et vulnérable à la fois, une fleur épanouie dans le jardin secret de leur amour. Chaque étreinte était une fusion des sens, une évasion vers un monde où les limites étaient repoussées et où la passion débordait sans retenue. Elle avait découvert que se soumettre à Fabrice ne signifiait pas un abandon total de son pouvoir, mais plutôt une exploration de nouvelles dimensions de la relation. Elle avait appris à trouver sa force dans la vulnérabilité, à se connecter avec une profondeur émotionnelle et à s'épanouir dans cet espace de confiance mutuelle. Chaque expérience leur permettait de se comprendre davantage, de communiquer d'une manière différente et de renforcer leur complicité. Ils apprenaient à lire les signaux subtils, à répondre aux besoins et aux désirs de l'autre sans même avoir besoin de mots. C'était une danse intime et harmonieuse, où chaque mouvement était guidé par l'amour, le respect et la bienveillance. À travers cette exploration continue, ils se découvraient mutuellement, repoussant les limites de leur confort et trouvant de nouvelles facettes de leur sexualité et de leur identité. C'était une aventure partagée, une quête de découvertes et d'épanouissement personnel. Elle avait réalisé que cette exploration n'était pas seulement une expérience sexuelle, mais aussi un moyen de se connecter plus profondément avec soi-même et avec Fabrice. C'était un voyage vers l'acceptation de soi, vers une compréhension plus profonde de ses propres désirs et besoins. C'était une occasion de grandir en tant qu'individu et d'évoluer dans la relation. Dans cette dynamique de soumission consentie, elle se sentait libre d'exprimer ses désirs les plus profonds, de les partager avec Fabrice sans crainte de jugement. Ils créaient ensemble un espace où chaque émotion, chaque fantasme était accueilli avec amour et compréhension. Dans leur exploration continue, elle avait découvert un monde de sensations intenses et de plaisirs inexplorés. C'était une aventure sans fin, une danse passionnée et enivrante qui les transportait vers de nouveaux horizons. Et dans cet univers de soumission et de découverte, elle avait trouvé sa véritable essence, une femme épanouie et libre d'explorer tous les aspects de son être. Son désir de continuer ce voyage, de se transformer en une femme soumise et docile, était alimenté par la confiance et la sécurité qu'elle ressentait aux côtés de Fabrice. Elle savait qu'elle pouvait être authentique dans cette nouvelle identité. Elle était prête à poursuivre cette aventure avec ouverture, confiance et désir, à la découverte de ce que l'avenir leur réserverait. Le lendemain, Fabrice fit mettre à Pat une tenue à la fois audacieuse et captivante. Un corset noir en satin, orné de dentelle délicate, épousait parfaitement les courbes de son corps, accentuant sa silhouette féminine avec élégance. Des jarretelles en dentelle noire s'accrochaient à des bas résille, soulignant ses jambes galbées avec sensualité. Chaque détail de cette tenue mettait en valeur sa féminité et sa beauté, créant une aura de confiance et de séduction. Ensuite, Fabrice emmena Pat dans un club, un lieu empreint de mystère et de désir. Les portes s'ouvrirent sur un espace sombre et sensuel, où flottait une ambiance électrique. Les murs étaient tapissés de cuir, les lumières tamisées créant une atmosphère intime et mystérieuse. Des couples, vêtus de tenues évoquant à la fois le pouvoir et la soumission, se déplaçaient avec grâce et assurance. Des regards ardents et complices se croisaient, transmettant des promesses silencieuses d'exploration et de plaisir partagé. La musique sensuelle et hypnotique s'élevait dans l'air, créant un rythme envoûtant qui résonnait dans les corps de chacun. Les murmures des conversations intimes et les soupirs de plaisir se mêlaient, formant une symphonie érotique qui semblait embrasser tout l'espace. Pat pouvait sentir l'excitation monter en elle alors qu'elle prenait conscience de l'atmosphère chargée de désir qui régnait dans le club. Les sensations étaient à la fois familières et inconnues, un mélange enivrant de nervosité et d'anticipation. Fabrice la prit par la main, l'entraînant plus profondément dans ce monde de plaisirs interdits. Ils s'approchèrent d'une zone où des jeux de domination et de soumission se déroulaient. Des cordes, des fouets et des accessoires variés étaient utilisés avec assurance et expertise. Pat sentait les regards des autres invités se poser sur elle, mélange de curiosité et d'admiration pour sa beauté et son audace. Elle se sentait à la fois exposée et protégée, entourée d'une atmosphère de respect et de consentement qui régnait dans ce lieu de liberté sexuelle et d'exploration. Les sensations qui l'envahissaient étaient intenses, un mélange de désir et de fascination pour cet univers qui s'ouvrait devant elle. Elle était prête à se laisser guider par Fabrice, à découvrir de nouvelles facettes de sa sexualité, tout en sachant qu'elle était en sécurité et soutenue dans cette aventure. Dans ce club, elle trouverait un espace où elle pourrait embrasser pleinement son désir, explorer son côté soumise et plonger dans un monde où les limites étaient repoussées. C'était une invitation à la découverte, à la confiance et à l'ouverture, où elle pourrait se connecter avec Fabrice d'une manière profonde et intime, tout en s'abandonnant aux plaisirs inexplorés qui les attendaient. après avoir bu un verre au bar. L'atmosphère est chargée d'une tension palpable alors que Fabrice s'approche d'elle, un sourire vicieux étirant ses lèvres. Son regard brûlant transmet à Pat une combinaison de peur et d'excitation, faisant monter en elle une vague d'émotions contradictoires. Dans l'intimité de cette pièce, le désir est palpable. Fabrice, avec une confiance arrogante, commence à baisser la culotte de Pat, révélant une intimité déjà marquée par les jeux précédents. C'est un moment où le contrôle et la soumission se rencontrent, où les limites sont repoussées et les frontières de l'interdit sont explorées. La peur qui serre le cœur de Pat se mêle à une excitation indéniable. Elle se sent prise au piège, mais elle a embrassé cette soumission volontairement, prête à tout pour découvrir les profondeurs inexplorées de ses désirs. C'est une expérience à la fois excitante et terrifiante, où les émotions s'entremêlent dans une danse passionnée. Pat réalise que son appétit pour l'inconnu et l'interdit ne connaît plus de limites. Elle obéit à Fabrice, plongeant dans un océan de sensations intenses, prête à se perdre dans le tourbillon de ce voyage passionné. Pat, obéissant à Fabrice, se met à genoux et prend le sexe d'un premier homme en bouche. Elle ressent la réaction de son membre qui grossit et durcit, et elle s'applique à le sucer avec détermination. d'autres hommes se rapprochent, certains la touchant sans retenue pendant que Fabrice continue de la caresser et d'exciter son corps exposé.  Pat était complètement offerte aux désirs des hommes, prête à faire tout ce qui était demandé d'elle. Elle se retrouvait dans une situation inversée, où elle était à leur merci entière. Mais elle savait qu'elle était prête à payer n'importe quel prix pour découvrir davantage sur cette nouvelle vie de soumission et de domination. Dans cet état de vulnérabilité, elle se sentait à la fois effrayée et excitée, un mélange tumultueux d'émotions qui alimentait son désir ardent d'exploration. Être à la merci de ses  hommes lui procurait une sensation d'abandon et de libération, où elle pouvait se perdre dans l'exploration de ses propres limites. Chaque demande, chaque geste, était accueilli avec une détermination sans faille de la part de Pat. Elle était prête à se donner corps et âme pour satisfaire les volontés des hommes présents a la demande de Fabrice, consciente que cette expérience ouvrirait les portes d'un monde inconnu et fascinant. Pat embrassait cette nouvelle vie sans réserve, sachant que cette exploration de la soumission et de la domination lui permettrait de découvrir des facettes d'elle-même qu'elle n'avait jamais explorées auparavant. Elle était prête à se laisser guider par les désirs des hommes, cherchant à repousser ses propres limites et à plonger dans les profondeurs inexplorées de sa sexualité. Pat toujours à genoux, entourée d'hommes nus. Le regard satisfait de Fabrice fixé sur elle, elle sentit son souffle chaud lui caresser l'oreille alors qu'il lui murmura : "Tu es ma petite pute maintenant, tu vas satisfaire ces messieurs." Ce simple mot, prononcé avec autorité, fit frissonner Pat de désir et d'anticipation. Elle sentait son corps s'électriser, parcouru par un mélange de peur et d'excitation. Les mots de Fabrice résonnaient en elle, éveillant une part sombre et inconnue de sa sexualité. À travers le voile de soumission qui enveloppait son esprit, Pat percevait le pouvoir qui lui était conféré. Elle se sentait à la fois vulnérable et libre, prête à se donner entièrement à ces hommes, en quête de plaisirs inexplorés. Son esprit embrassait cette nouvelle identité, celle d'une femme qui se dédiait entièrement à la satisfaction des désirs et fantasmes des autres. Le sourire satisfait de Fabrice était le reflet de sa propre satisfaction. Il avait trouvé en Pat une partenaire consentante, prête à se laisser guider dans ces eaux troubles de la passion et de la soumission. Il savait que cette expérience allait les emmener tous les deux vers des sommets de plaisir inconnus, où les limites seraient repoussées et les tabous brisés. Dans cette pièce, les corps se mêlaient dans une danse sensuelle et débridée. Pat se laissait porter par les mains expertes qui l'exploraient sans retenue, chaque contact électrisant son être. Elle était prête à se perdre dans le tourbillon de cette nouvelle réalité, où la domination et la soumission se confondaient dans une symphonie de désirs inassouvis. Les heures qui suivirent furent un mélange enivrant de plaisir et d'extase. Pat se découvrit des réserves insoupçonnées de passion et de désir, repoussant ses propres limites avec chaque nouvelle expérience partagée. Elle se sentait vivante, libérée de toutes inhibitions, embrassant pleinement sa sexualité. Pat était complètement offerte aux désirs de ces hommes. Alors que la tension montait, certains des hommes succombèrent à leur plaisir et éjaculèrent dans la bouche de Pat, laissant échapper des gémissements de satisfaction. D'autres choisirent de libérer leur extase sur son corps, marquant sa peau de leur désir ardent. Cependant, la sensation la plus intense et intime vint lorsque Pat sentit l'un des hommes qui était en train de la pénétrer atteindre son point de non-retour. Elle ressentit une chaleur brûlante se répandre en elle tandis qu'il éjaculait profondément dans son anus, provoquant un mélange d'extase qui la submergea. C'était un moment de lâcher-prise total, où Pat se sentait à la fois vulnérable et puissante. Elle avait embrassé cette soumission et cette exploration des plaisirs les plus sombres de sa sexualité, prête à tout pour découvrir davantage sur ses propres limites et désirs. Avec confiance et détermination, Fabrice guide Pat vers la croix. Il la fait se tenir debout devant elle, observant chaque aspect de sa beauté. Il admire la courbe de ses hanches, la douceur de sa peau et l'envie qui brille dans ses yeux. Puis, avec précaution, il attache ses poignets et ses chevilles aux sangles en cuir. Fabrice s'approche d'elle et dépose un doux baiser sur ses lèvres. « Maintenant, ma belle, tout ce qui compte, c'est mon plaisir et ton obéissance. Oublie tout le reste et laisse-toi aller à l'extase. »  t obéit et se laisse emporter par les sensations qui la submergent. À mesure que les coups de fouet caressent sa peau, elle sent sa liberté intérieure augmenter. Chaque gémissement, chaque marque devient un symbole de sa soumission et de son amour pour Fabrice. Pat ressent une excitation intense mêlée à une profonde connexion avec son dominant. Elle se sent vivante, pleinement engagée dans cet acte de confiance ultime. Attachée fermement à la croix de Saint-André, Pat ressent un mélange de douleur et de plaisir qui la transporte dans un état d'extase. Chaque coup de fouet est une libération, une façon pour elle de se libérer de toutes les inhibitions et de se plonger dans un monde de sensations intenses. Fabrice, son partenaire dominant, sait exactement comment repousser les limites de Pat tout en veillant à son bien-être. Il est à l'écoute de ses réactions, ajustant l'intensité de chaque coup pour lui procurer un plaisir exquis. Pat se sent en sécurité, pleinement consentante à chaque instant. Dans cet instant de soumission, Pat explore les profondeurs de son être, découvrant de nouvelles facettes de sa sexualité et de sa personnalité. Elle embrasse son rôle de soumise avec une passion dévorante, se laissant guider par les désirs de Fabrice. C'est dans ce club, dans cette pièce secrète, que Pat trouve une liberté totale, dépassant les frontières traditionnelles de la sexualité et de la domination. Chaque instant est une aventure pleine d'intensité et de passion, où Pat se perd et se trouve à la fois. Pat, épuisée de toutes ses émotions et marquée par les coups de fouet sur son fessier et son dos, est détachée par Fabrice. Il l'aide à se rhabiller avec précaution, prenant soin de ses blessures. Une fois prête, ils décident de prendre un verre ensemble au bar. Ils s'assoient sur des tabourets, laissant leurs corps se détendre après cette expérience intense. Pat ressent une combinaison de satisfaction et de vulnérabilité, reconnaissant l'amour et la confiance qui existent entre elle et Fabrice. Au bar, ils commandent leurs boissons préférées et se plongent dans une conversation calme et réconfortante. Fabrice prend soin de Pat, s'assurant qu'elle se sent en sécurité et respectée. C'est dans ces moments de calme après la tempête que Pat réalise à quel point leur relation est unique et spéciale. Ils partagent une connexion profonde et intime qui va au-delà des jeux de domination et de soumission. Alors qu'ils sirotent leurs boissons, ils rient, partagent des regards complices et se projettent dans l'avenir. Ils savent que leur voyage ensemble ne fait que commencer et qu'ils sont prêts à explorer de nouvelles facettes de leur sexualité De retour dans le confort de leur foyer, Fabrice regarde Pat avec admiration et affection. Il exprime sa fierté envers elle, reconnaissant sa confiance et son engagement dans leur relation de domination et de soumission. Autour d'une tasse de café fumante, ils prennent le temps de se reconnecter émotionnellement. Fabrice encourage Pat à partager ses émotions, à exprimer ce qu'elle a ressenti pendant leur expérience au club. Pat boit une gorgée de café, prenant une pause pour rassembler ses pensées. Elle exprime à Fabrice la profondeur de ses émotions, décrivant la combinaison de douleur et de plaisir, d'excitation et de libération qu'elle a ressentie. Fabrice écoute attentivement, offrant un soutien et une compréhension sans jugement. Il encourage Pat à explorer ses sentiments plus en profondeur, à s'exprimer pleinement sans retenue. La conversation se poursuit, les laissant se découvrir mutuellement à un niveau plus profond. Ils partagent leurs pensées, leurs désirs, et renforcent leur connexion en tant que partenaires. C'est dans ces moments de partage sincère et d'écoute attentive que Pat et Fabrice renforcent leur lien, Pat se dirige vers sa chambre pour se changer en tenue de nuit. Elle choisit une chemise de nuit en satin rose pâle, légère et fluide, qui épouse délicatement les courbes de son corps. La chemise de nuit a de fines bretelles réglables et est agrémentée de dentelle délicate sur le décolleté et l'ourlet. Elle est à la fois féminine et confortable, offrant une sensation de douceur et de sensualité.t. Elle se glisse sous les draps, prête à se reposer et à se ressourcer après une journée intense. Fabrice rejoint Pat, se dénude et se glisse sous les draps. Avec douceur, il glisse sa main sous la chemise de nuit en satin de Pat, caressant délicatement sa peau. Ses doigts parcourent lentement les contours de son corps, éveillant des frissons de plaisir sur son passage. Pat se laisse emporter par les sensations, son corps réagissant aux caresses expertes de Fabrice. Elle ressent une combinaison de désir et de tendresse, se laissant aller à l'intimité partagée entre eux. Les mains de Fabrice explorent chaque centimètre de la peau de Pat, créant une connexion profonde et sensuelle entre eux. Les gestes sont empreints de respect et de consentement, renforçant le lien de confiance qui les unit. Dans l'obscurité de la chambre, les soupirs de plaisir se mêlent aux murmures de douceur. Pat se sent aimée et désirée, en harmonie avec Fabrice. Leur intimité se poursuit dans une danse passionnée, où les caresses se font de plus en plus intenses. Ils se perdent dans le plaisir partagé, explorant ensemble une fois de plus les limites de leur désir. Fabrice pose sa main sur le sexe de Pat, qui est encagé, et lui dit d'une voix dominante : "Tu seras tout le temps et pour toujours une femelle soumise." Pat ressent un mélange d'excitation et de soumission face aux paroles de Fabrice. Elle se sent désirée et accepte pleinement son rôle de soumise dans leur relation. une histoire d'amour et de passion qui transcende tous les tabous et les limites. Une histoire qui les conduira vers des sommets inexplorés de plaisir et de bonheur, où leur amour brûlera avec une intensité qui ne pourra jamais être éteinte. Un goût de jouissance la promesse d'un avenir rempli d'une passion qui ne pourra jamais être éteinte.
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Par : le 19/10/23
Elle était assez intelligente pour savoir qu'on ne s'improvise pas femme politique. Il faut apprendre. Elle se contenta alors à plaire au roi vieillissant. "Vous connaissez Madame du Barry. Elle n'a nulle haine, elle connait votre esprit et ne vous veut point de mal. Le déchaînement contre elle est atroce et à tort. On serait à ses pieds si. Et, laissant en suspens sa phrase, Louis XV ajoute à Choiseul: "Ainsi va le monde. Elle est très jolie, elle me plaît, cela doit suffire". Jeanne Bécu, restée dans la postérité sous le nom de comtesse du Barry, fut la dernière maîtresse officielle du roi Louis XV. Elle s'est gardé de le conseiller dans les affaires publiques mais lui a rendu la joie de vivre et l'a aidé à prendre confiance en lui-même. Mais la Cour ne lui en sera aucunement gré et elle n'arrivera jamais à se défaire de ses origines populaires et de son passé de courtisane. Jeanne Bécu, dite "de Cantigny", mais aussi Mademoiselle de Vaubernier", était issue par sa mère d'une famille de haute domesticité attachée à la cour de Lorraine à Lunéville. Une de ses grands-mères, Anne-Jeanne Husson, avait elle-même vécu à Versailles où, avec son mari Fabien Bécu, dit de Cantigny, ancien maître rôtisseur, elle fut au service de la "belle Ludres", une des maîtresses de Louis XIV. Dans l'histoire de France, peu de femmes ont connu une ascension aussi spectaculaire. Ayant pour seuls torts son origine et sa réussite, elle a été méprisée et traînée dans la boue par ses adversaires à Versailles, alors même que tout était en elle que bienveillance à l'égard des autres. Jeanne le doit autant à son caractère qu'à son extraordinaire beauté. Elle sera victime des affres de la Terreur sous la Révolution, et conduite à l'échafaud comme symbole de la monarchie par le peuple dont elle était pourtant issue. L’histoire aurait gardé de sa fin le souvenir de déchirantes supplications qui sont loin d’être avérées lorsque la comtesse Jeanne du Barry gravit les marches de la guillotine. Un fait est réel cependant, attendant son jugement à la Conciergerie, Jeanne laissa passer une possibilité d’évasion qui s’offrait à elle au profit d'Adélaïde de Mortemart, aristocrate recherchée. Madame de Mortemart put ainsi quitter sa cachette et gagner l’Angleterre. Jeanne du Barry, petite modiste devenue "La du Barry", favorite royale, fut guillotinée le 8 décembre 1793 par le bourreau Charles Henri Sanson, un de ses anciens amis du temps des galanteries de la rue du Bac. "Il est un sujet que Jeanne aborde rarement avec le roi: la non-consommation du mariage du dauphin. Le fait ne trouble pas outre-mesure le monarque".   Exit l'égérie bafouée et vilipendée, place à l'amoureuse. "Mon petit-fils n'est pas fort caressant, a-t-il écrit à l'infant de Parme, mais il aime bien la chasse. Jeanne en revanche juge cette situation si anormale que, lorsque le duc de Saint-Mégrin la prie d'intercéder auprès de Louis XV pour qu'il admette le dauphin aux soupers intimes, elle accepte volontiers". Appelée à Paris auprès de familles de la haute aristocratie, Anne Bécu, la mère de la future favorite, entra vers 1742 au service de Claude-Roch Billard du Monceau, receveur des finances de Lorraine, lequel pourrait avoir été le père de Jeanne, mais refusa formellement d'endosser cette paternité. Lors de son mariage avec le comte Guillaume du Barry, Jeanne dut justifier de ses origines paternelles, aussi fut-il suggéré de la déclarer fille d'un certain "sieur de Vaubernier" où chacun voulut reconnaître Jean-Jacques-Casimir Gomard, "de Vaubernier", dit aussi "frère Ange", moine du couvent de Picpus à Paris, qui fut en effet témoin au mariage. La jeune Jeanne Bécu bénéficia d'une éducation soignée chez les dames de Saint-Aure, dans le couvent de la rue Neuve-Sainte Geneviève, à partir de 1753, grâce à Billard du Monceau ou à son beau-père Nicolas Ranson de Montrabé, receveur des gabelles, que sa mère épousa en 1749. Elle sortit de ce couvent vers 1758 pour entrer au service d'une famille de Lagarde issue de la Ferme générale. Elle acquit la distinction de manière qu'on lui connaissait. "Ainsi pourra-t-elle étudier en toute quiétude ce grand garçon malingre, guère séduisant malgré ses yeux bleus pleins de douceur et assurément mal dans sa peau". Le roi ayant accédé à sa demande, Louis-Auguste est désormais convié aux petits voyages à Saint-Hubert. Contrairement à la version donnée par Mercy-Argenteau à l'impératrice, il n'y renonce pas dès qu'il apprend de la bouche de ses tantes, à qui il va, lui aussi, rendre visite, le passé de la favorite. Sans doute par crainte de leur déplaire et de provoquer alors un conflit avec son épouse. À dix-sept ans, elle devint vendeuse dans une luxueuse boutique de mode située rue Saint-Honoré à Paris, les traits galants, appartenant à un notable parisien, Jean-Baptiste Buffault, échevin, qui a laissé son nom à une rue de Paris. Ce personnage dont un des fils fut plus tard co-fondateur et régent de la Banque de France, fut aussi administrateur de l'Opéra puis devint plus tard l'homme d'affaires et le confident de la comtesse du Barry. La beauté de la jeune fille la fit remarquer et elle fut reçue dans divers salons dont certainement le "bureau d'esprit", fort connu, de Mme Buffault, née Barbe Peeters, où, probablement, Jean Baptiste du Barry l'aperçut. Jean-Baptiste Dubarry, dit Le Roué, gentilhomme toulousain, connu dans les milieux de la galanterie parisienne, la remarqua alors qu'elle n'avait que dix-neuf ans. Il en fit sa maîtresse et, pendant un temps, elle fit les honneurs de l'hôtel du Barry à Paris où, selon Fabre de l'Aude, venaient beaucoup de personnages remarquables, appartenant au monde de la littérature et des arts. C'est le début de l'ascension de Jeanne.   Elle avait acquis la conviction qu'il fallait qu'elle se rende nécessaire au roi de France. "Il vient pour la première fois à Saint-Hubert le neuf mai 1770 et y reste souper. Il y retourne trois fois en juin et deux fois en juillet. Puis deux fois en mai, six fois en juin et quatre fois en juillet 1771. En 1772, ses venues à Saint-Hubert prennent une cadence accélérée. Huit fois en mai, sept fois en juin. Il y reviendra encore en mai Or, il y a beau temps qu'il est fixé sur la vie de Jeanne avant qu'elle ne devienne la favorite de son grand-père". Du Barry était en effet un amateur de musique et surtout de peinture, doublé d'un mécène, c'est à son contact que Jeanne, dite Mlle de Vaubernier dans le monde, se forma à la culture des beaux-arts. Lors d'un dîner, Jean-Baptiste du Barry aurait fait l'éloge de la jeune femme au maréchal de Richelieu qui imagina de la présenter à Louis XV. La rencontre se fit par l'intermédiaire de Lebel, premier valet de chambre du roi. Cette opération n'était pas indifférente à Richelieu qui voulait contrer le projet que préparait le clan du premier ministre. En effet, élevé au ministère par la grâce de la défunte marquise de Pompadour, le duc de Choiseul caressait l'espoir de placer auprès du roi sa sœur, la duchesse de Grammont, ou toute autre femme à leur dévotion. La déconvenue et le ressentiment des Choiseul à l'égard de Mme du Barry, qui leur fit perdre une part d'influence auprès du roi, fut immense. Car en peu de temps, Louis XV s'était épris de Jeanne qui avait à ses yeux un charme infini et certains talents qui lui donnaient une nouvelle jeunesse. Son amour pour le roi était d'une profonde sincérité. On peut donc penser que ces repas de chasse, dans une ambiance dénuée d'un strict protocole, constituent alors pour le jeune homme intelligent mais complexé qu'est le futur Louis XVI des moments de détente physique et morale. Ému par la beauté mais aussi la bonté de Jeanne, il prend plaisir à la voir rire, à l'entendre discuter. Dans son orbe il se heureux. Il oublie "l'Autrichienne" comme sa tante Adélaïde surnomme Marie-Antoinette". L'année 1768 avait clos pour le roi une décennie parsemée de deuils. Louis XV, ayant en effet souffert dans les années précédentes de la mort de ses proches. Sa fille la duchesse de Parme, morte en 1759, son petit-fils aîné, le duc de Bourgogne, mort à dix ans en 1761, sa petite-fille l'archiduchesse Isabelle, élevée à Versailles, morte en couches en 1763, sa favorite en titre, la marquise de Pompadour, morte en 1764, son gendre Philippe Ier de Parme et son fils et héritier le dauphin Louis-Ferdinand, morts en 1765, sa belle-fille Marie-Josèphe de Saxe, morte en 1767, laissant cinq enfants ayant entre treize et trois ans. Le dauphin, futur Louis XVI avait alors treize ans, ce qui suffisait pour monter sur le trône sans régence mais était tout de même bien jeune, ce qui devait alors causer beaucoup de souci au roi et sa femme la reine Marie Lesczynska décédée elle-même en 1768.   Elle s'efforce d'adopter en tout et pour tout le point de vue du roi. Il lui arrivera de se tromper, bien sûr, dans ses amitiés comme dans ses haines. Mais jamais elle ne s'asservira à un clan comme à un autre. "Un homme de mes amis fut chargé, malgré lui, de dire au duc de Choiseul que Mme du Barry désirait vivre en bonne intelligence avec lui et que, s'il voulait se rapprocher d'elle, elle ferait la moitié du chemin". Ce furent les paroles de la favorite. Le négociateur représenta que les maitresses chassaient les ministres et que les ministres ne chassaient pas les maitresses. L'orgueil et l'humeur du duc furent inflexibles. Aussi l'hostilité permanente de Choiseul commence-t-elle à l'agacer. Lors d'un séjour à Compiègne, elle l'a prié par lettre d'intervenir en faveur de l'un de ses protégés. Il n'a pas daigné répondre. Et lorsque à l'instigation du Roué, le duc de Lauzun, neveu de Choiseul, a tenté d'aplanir l'atmosphère entre elle et son oncle, ce dernier l'a reçu "avec la fierté d'un ministre persécuté des femmes et qui croit n'avoir rien à redouter. Malgré l'exemple donné par Mme de Pompadour, Jeanne n'aspire pas à jouer un rôle politique. Ce qu'elle souhaite: demeurer auprès d'un monarque qui tient à elle et pour lequel elle s'est prise d'affection, être entretenue et vivre en bonne harmonie avec ceux qui l'entourent". Le roi, toujours très beau mais vieillissant, alors âgé de cinquante-huit ans, désira faire de cette jeune femme de vingt-cinq ans sa nouvelle favorite officielle, ce qui ne pouvait être sans une présentation officielle à la cour par une personne y ayant ses entrées et sans qu'elle fût mariée. L'inconvénient était que le chevalier Jean-Baptiste du Barry était déjà marié, aussi tourna-t-on la difficulté en mariant Jeanne au frère aîné de Jean-Baptiste, le comte Guillaume du Barry, qu'elle épousa en effet le 1er septembre 1768. Quant à la marraine, on dégota la comtesse de Béarn, un très grand nom mais très vieille et surtout très endettée, qui accepta la "besogne", contre paiement de ses dettes, au grand dam des bien-pensants. Jeanne pouvait désormais être officiellement présentée à la cour, ce qui fut fait en avril 1769. Pour Louis XV, le pari était gagné, sa favorite était enfin intégrée à la cour. "Dans l'après-dîner du deux mai, Louis XV et sa maitresse se rendent à Bellevue afin d'admirer, de la terrasse du château, le feu d'artifices que la ville de Paris offre aux nouveaux époux et qui va être tiré sur la place Louis XV, future place de la Concorde, alors en travaux entre les bâtiments à colonnade construits par Ange-Jacques Gabriel". Cependant, le clan Choiseul n'avait pas désarmé et c'est à une de ses créatures, Pidansat de Mairobert qui fut le rédacteur des "Mémoires secrets après la mort de Bachaumont" que l'on doit les premières attaques, souvent triviales, dont Mme du Barry fut l'objet pendant sa vie entière. Il diffusa ou suscita des chansons grivoises et même des libelles pornographiques. Par la force des choses, Madame du Barry se retrouva soutenue par le parti dévot, par le fait même qu'il était hostile à Choiseul qui, pour avoir conclu le mariage du nouveau Dauphin Louis-Auguste et de l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche, semblait encore pour très longtemps intouchable. Prévenue contre Madame du Barry dès son arrivée en France, la dauphine, jeune et entière, lui voua d'emblée un mépris profond en ne lui parlant pas, ce qui était grave quand on vivait à la cour, moins parce qu'elle était favorite royale que parce qu'elle était non agréée par le parti Lorrain de la cour. En effet, Marie-Antoinette était de la Maison de Lorraine. En 1771, à la suite d'humiliations répétées contre Mme du Barry, au théâtre de Fontainebleau, Louis XV décida le renvoi de Choiseul et des siens, et le fit remplacer par le duc d'Aiguillon, ce qui accrut la rancœur de Marie-Antoinette à son égard. S'ajoutait à cela une querelle de préséance, car Marie-Antoinette prétendait être la première dame du royaume, et ne céderait en aucun cas sa place à une ancienne prostituée, fut-elle favorite.   Elle avait compris que l'amitié pouvait créer des liens aussi forts, et plus sûrs, parce que non soumis aux turbulences de la passion. "Jeanne est trop fine pour n'avoir pas réalisé qu'en faisant nommer le duc d'Aiguillon à un poste clé, elle renforçait l'équipe Maupeou-Terray qui lui est toute acquise, donnant ainsi naissance à un triumvirat éminemment influent et consolidant le triomphe du parti dévot". En revanche, cette nomination a été mal ressentie par Marie-Antoinette qui voit en d'Aiguillon l'ennemi juré de Choiseul et l'homme lige de Mme du Barry. Aussi, dès l'intronisation du nouveau secrétaire d'Etat, la dauphine a-t-elle fait preuve envers lui d'une grande froideur tandis qu'elle redoublait de morgue avec la favorite. Informée par Mercy du comportement de sa fille, Marie-Thérèse s'inquiète et le charge de veiller à ce que la dauphine "traite bien, sans affectation, les personnes du parti dominant, comme des gens que le Roi veut distinguer et dont elle doit ignorer tout ce qu'il y a de méprisable dans le caractère et la conduite". Mais c'est dans le domaine des arts que Madame du Barry a particulièrement brillé et mérite qu'on lui rende hommage, comme cela a été fait à l'occasion d'une exposition organisée à Marly en 1992. Elle a véritablement joué le rôle de mécène, contribuant à développer et faire connaître l'artisanat d'art français. Elle inspira les plus grands artistes dont le sculpteur Boizot, directeur de la manufacture de Sèvres, et elle contribua à l'essor du néo-classicisme en révélant Ledoux qui bâtit son pavillon de musique de Louveciennes, ou en passant des commandes importantes aux peintres Vien, Drouais, Greuze ou Fragonard, aux sculpteurs Lecomte, Pajou ou Allegrain, d'autres encore. D'un goût très sûr, comme en témoignent ses collections décrites par Charles Vatel, Mme du Barry a d'une certaine manière inventé le style Louis XVI. "Madame du Barry fut une courtisane, amie des lettres, des artistes, et qui passa sur terre en répandant libéralement autour d'elle or et consolations." "Après quoi, dans ce style qui lui est propre, elle écrit à Marie-Antoinette: "Je dois vous avertir qu'on n'était pas content comme vous avez reçu ce nouveau ministre, et généralement que vous marquez à tout ce parti trop d'éloignement. Il vous suffit que c'est le Roi qui distingue une telle ou un tel, que vous lui devez des égards, point des bassesses. La réprimande maternelle fait alors de l'effet. Lors du séjour fastueux de la Cour à Compiègne, Marie-Antoinette parla à la favorite, et cela de bonne grâce, sans affectation et sans qu'il y eût trop ou trop peu". À la mort de Louis XV, le dix mai 1774, son petit-fils et successeur, probablement inspiré par Marie-Antoinette, fit délivrer toute affaire cessante une lettre de cachet contre Madame du Barry. C'est ainsi que Lamartine relate les faits. " Jeune encore à la mort de Louis XV, Madame du Barry avait été enfermée, quelques mois, dans un couvent par la décence: caractère du règne nouveau. Affranchie bientôt de cette clôture, elle avait vécu, dans une splendide retraite auprès de Paris, au pavillon de Louveciennes, au bord des forêts de Saint-Germain.   Pourquoi exclure tout sentiment sincère ? Elle donna au roi maints témoignages d'un amour vrai, il ne s'y trompait pas, et de le rendre heureux. Le duc de La Vrillière, ministre de l'Intérieur, la fit conduire de nuit au couvent du Pont-aux-Dames à Meaux. Puis il fit saisir ses papiers qui arrivèrent en partie entre les mains du clan Choiseul. Certains furent utilisés pour publier une correspondance apocryphe, mêlant le vrai et le faux, et qui parut quelques années plus tard. Ainsi naquit la légende selon laquelle Madame du Barry serait sortie du bordel de Madame Gourdan, une légende que la favorite, grande dame, eut la sagesse d'ignorer mais qui, malheureusement, a été reprise et amplifiée par erreur ou par calcul. La comtesse du Barry put retourner chez elle à Louveciennes en octobre 1776". À quelque temps de là, lors d'une chasse au daim que la dauphine suit toujours en calèche, elle fait dire à la duchesse d'Aiguillon, l'épouse du nouveau secrétaire d'Etat, de l'y accompagner, "ce qui fit très bon effet auprès du ministre", assure Mercy à l'impératrice. Seulement, sous l'influence de Mesdames chez qui, par désœuvrement, elle continue de se rendre fréquemment, Marie-Antoinette reprend alors vite ses airs de hauteur envers Jeanne". Victime d'un vol de bijoux, Madame du Barry avait dû se rendre à Londres pour authentifier ceux de ses joyaux qui y avaient été retrouvés et qui étaient entre les mains du fameux espion Nathaniel Parker-Forth qui les conserva jusqu'à leur vente, à son profit, chez Christie, quelques années après l'exécution de la comtesse. Après la mort de Louis XVI, à la veille de la déclaration de guerre avec la Grande-Bretagne, Mme du Barry revint de Londres en France pour éviter l'apposition des scellés sur sa propriété. Elle fut dénoncée par un nommé Greive identifié plus tard comme étant un agent d'influence anglais en France. Cet individu, acharné à sa perte, semble avoir convoité ses papiers, notamment sa correspondance avec Brissac, qui donnait de précieuses indications sur les efforts des royalistes de l'intérieur pour tenter de sauver feu le roi Louis XVI. "Pour l'autre portrait, dont il ne subsiste que la gravure de Jacques Firmin Beauvarlet, elle a posé en tenue de chasse: jaquette de coupe masculine en soie grise, gilet de même ton laissant entrevoir le chemisier blanc à bord de dentelle. Tous deux ont fidèlement reproduit les quatre grains de beauté dont s'orne le visage de la favorite. L'un au-dessous de l'oeil gauche, l'autre au-dessus du sourcil droit, un troisième près de la narine droite, un quatrième sous la lèvre inférieure. Elle confiera plus tard que ces "mouches" naturelles étaient jugées par son royal amant, Louis XV comme un de ses plus grands charmes, qu'il les couvrait sans cesse de baisers. C'est moins ce qui restait de fortune à Madame du Barry que son ancienne condition de maîtresse royale qui en firent une cible parfaite pour les révolutionnaires. Malgré les nombreux témoignages des habitants de Marly et de Louveciennes en sa faveur, elle devint vite suspecte dès le vote de la loi de ce nom, le sept septembre 1793, fut déclarée ennemie de la Révolution et, après un long procès prédéterminé, elle fut condamnée à être guillotinée. L'exécution eut lieu le huit décembre 1793 après des retards pour enregistrer des révélations que Madame du Barry prétendait faire, au sujet de ses bijoux, pour obtenir sa grâce. Le courage qu'elle avait montré au moment de son procès l'abandonna sur la charrette. La peintre Élisabeth Vigée-Lebrun rapporte. "Elle est la seule femme, parmi tant de femmes que ces jours affreux ont vues périr, qui ne put avec fermeté soutenir l'aspect de l'échafaud. Elle cria, elle implora sa grâce de la foule atroce qui l'environnait, cette foule s'émut au point que le bourreau se hâta de terminer le supplice." Ses derniers mots au bourreau, sans doute apocryphes, furent: "De grâce, monsieur le bourreau, encore un petit moment." Attitude moins digne que celle de Marie- Antoinette, mais pas moins humaine. Si Jeanne du Barry s'est ainsi accrochée à la vie, c'est parce qu'elle a espéré jusqu'au dernier instant, un sursaut du destin, comme elle en avait tant connu au cours de sa vie.   Bibliographie et références:   - Michel Antoine, "Le règne de Louis XV" - Édouard de Barthélémy, "Jeanne du Barry" - Danielle Gallet, "Madame du Barry ou le plaisir au féminin" - Mathieu-François de Mairobert, "Lettres originales de la comtesse Du Barry" - Barthélemy-François-Joseph Moufle d'Angerville, "Vie privée de Louis XV" - Alexandre Dumas, "La Femme au collier de velours" - Charles Vatel, "Histoire de madame du Barry" - Jacques Levron, "Madame du Barry ou la fin d'une courtisane" - René de La Croix de Castries, "Madame du Barry" - André Castelot, "Madame du Barry" - Jacques de Saint Victor, "Madame du Barry, un nom de scandale" - Jeanine Huas, "Madame du Barry" - Cécile Berly, "Les femmes de Louis XV" - Christiane Gil, "La comtesse du Barry, favorite de Louis XV" - Pierre Verlet, "Le château de Louveciennes"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/10/23
Nue. A genoux. Comme une trainée. sa culotte mouillée de désir à demie baissée sur ses cuisses écartées. ses cheveux finement relevés par un élégant élastique. Un rouge à lèvre subtilement provoquant enflamme d’une couleur vive cette bouche à plaisir dont les lèvres finement mouillées se languissent de prendre en leur étreinte le gland juteux inconnu présenté à elle au par le biais d’un trou dans ce mur. Au Glory Hole, je l’ai amenée. Pour faire d'elle une pute à jute. sa main remonte doucement vers ce collier autour de son cou pour en toucher l’inscription sertie et en deviner ses termes. « Pute » peut-on lire. elle en aimes la définition. elle se sens comme une pute. elle a envie d’en être une. son regard se tourne alors vers moi, son salopard et maitre de sa laisse, pour me montrer la honte qu'elle ressent et le plaisir  qu'elle éprouve en ce moment même à l’idée d’être une bonne petite salope en chaleur, une bonne suceuse de bite. J’attends cela avec impatience. la voir à l’ouvrage. Provoquante et soumise, vicieuse et joueuse, pute et chienne à la fois. Je vais faire d'ele  une trainée, une grosse salope à plaisir dont les trous vont être abusés, utilisés pour faire juter de bonnes bites. Sans mot dire, d’un regard, je lui indique de commencer. sa bouche chaude s’empare alors de cette belle verge que sa langue s’applique à lécher langoureusement de bas en haut. J’aime cela. la voir faire la salope, cochonne perverse en quête de plaisir interdits. Mon sexe grossit au fur et à mesure de ses va et viens sur ce gland qu'elle s’appliques à rendre luisant de salive, léchant et bavant sur ces 20 cm de dureté. Grosse pute. Je la sais mouillante, vicieuse à l’idée de sucer en laisse et de recevoir bientôt de grosses giclées de foutre chaudes et abondantes qui dégoulineront de ses lèvres vers son cou et souilleront ses seins. D’une main, je cale sa tête et accompagne son mouvement, maintenant fermement sa bouche à plaisir. Je veux qu'elle lèche, qu'elle suce, qu'elle sois souillée par ce gland plein de jute et que tu saches qu’il n’y a pas d’échappatoire possible. Je suis au comble de l'excitation maintenant . Je te dis de sortir ma queue et de la branler en même temps devant toi pendant que j’observe tes lèvres rouges pulpeuses s’agiter sur cette bonne bite durcie par le plaisir, sucée par une trainée d’un soir dans ce glory hole. L’homme que tu pompes gémit, grogne, tandis que je lâche calmement « c’est bien, petite pute, continue…, tu nous excites…suce le encore comme la cochonne à jus que tu es…et branle ma bite, rends nous bien durs ! Tu es une cochonne en chaleur et tu n’es bonne qu’à çà …» Esquissant un petit sourire pervers, tu prends plaisir à me répondre par quelques obscénités dont tu sais les provocations excitantes qu’elles créent en moi. Je tire alors sur ta laisse et attrape tes cheveux te forçant à retirer cette bite de ta bouche pour te la baiser en y collant mon gros gland. Hum, c’est bon. Tu es chaude et pleine de salive, cela glisse tout seul. J’aime çà. Te baiser ta bouche à foutre. Tes lèvres de pute. Sur lesquelles je passe mon gland de droite à gauche, de haut en bas pour t’humilier, te souiller davantage, te rabaisser comme de la chiennasse docile et éduquée. Bonne salope, va ! Je retire ma queue et replace ta bouche sur la bite du glory hole. « Suce. » Alors tu suces. Alors tu pompes. Alors tu mets cette bite dans ta bouche et lèche bien comme il faut, bien comme je t’ai appris. Je continue à t’insulter, te traitant de trainée, de pute, branlant plus fortement mon gros gland près de ton visage, sentant le plaisir chaud venir. J’ai hâte de me répandre sur toi,d’étaler mon foutre juteux sur ta bouche de garce suceuse de bonnes bites. Mais je ne le ferai pas. Tu vas d’abord recevoir la jute de cet inconnu. Et d’autres surprises. Le masturbant furieusement, ta main empoignant fermement son sexe, ta bouche, ta langue pompant ce gland, tu gémis, garce,…. Pousse des cris… l’homme que tu branles explose de plaisir en se finissant sur toi, souillant, utilisant ton beau visage de chienne. De longues saccades chaudes sur ton visage et ta bouche, récompensés de giclées abondantes de foutre. Salope que tu es ; tu viens de comettre ton premier "adultere" forcé et tu as aimé cela . Pleine de sa jute chaude dégoulinante, je te force à continuer la pipe comme une bonne pute docile. T’agitant, gémissant, excitée d’être traitée comme une vulgaire trainée, ta langue imprégnée de salive, remonte vers ce gland et le nettoie. J’aime te voir ainsi. Comme une petite pute, une sale pute, une catin vicieuse chaude du cul, bonne salope à baiser par tous les trous quand bon me semble. Mise à quatre pattes, du foutre sur la bouche, je sors alors un god que je nargue volontairement autour de ton sexe mouillé de plaisir …. Et l’enfonce dans ton cul pour te faire jouir comme une salope…
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Par : le 13/10/23
Voici le deuxieme texte j'espere qu'il vous plaira autant que le premier               Nous sommes le 24 juillet 2017, Lucie, une très jolie rousse de 21 ans, est enfin à la maison après plusieurs annulations de dernières minutes. Au mois de juin, je lui ai fait part de mes sentiments envers elle, mais elle a décliné ma « demande ». Alors dans ma tête c’est monté un scénario de domination soumission.                Oui car j’ai oublié de préciser, que je suis sadomasochiste et que je suis switch (je peux être soit dominant, soit soumis) mais plus a tendance soumis. J’ai d’ailleurs eu plusieurs expériences, mais nous verrons ça une autre fois. J’ai aussi installé des caméras espionnes dans la salle de bains, le couloir et ma chambre.                Donc, le lundi nous rentrons dans l’après-midi, après avoir fait la route depuis paris. Je lui montre l’appartement, lui explique 2-3 trucs et nous nous posons devant la télé, pour jouer à la console. On joue aussi au UNO, notre jeu préféré XD, bref une  fin d’après- midi banale en sommes. Le soir, elle part prendre sa douche, je lui montre comment activer le pommeau pluie, et en profite pour mettre les caméras en route. Sur certaines je peux, via mon pc ou mon tel, voir le flux vidéo en direct. Et je dois dire que je ne suis pas déçu, une fois fini, nous mangeons  et regardons la télé tout en discutant de banalité.                Le mardi, nous avons passé l’après-midi à la plage. Je reconnais en avoir profité pour mater son corps, fort bien sympathique avec une poitrine qui convient à son corps, un joli petit cul, et quelques kilos de trop mais rien de bien méchant, en soit elle est très jolie. Le soir, nous faisons comme la veille, discuter devant la télé ou un jeu. L’alcool aidant, la discussion en arrive à la partie sexe, je sais qu’elle est encore vierge, et je dois avouer bien que j’ai 32 ans cela ne fait 4 mois que je ne suis plus vierge, cela est une autre histoire. Donc elle me dit que pour l’instant ça ne la perturbe pas plus que ça et qu’elle ne se sent pas prête pour une relation.                Voyant que l’on peut tout se dire, j’ose lui avouer mon côté sadomaso, en lui parlant des différentes expériences que j’ai vécu. Je lui montre des photos et des vidéos de moi, mais aussi celle trouvé sur internet. Ça n’a pas l’air de la choquer, je dirai même qu’elle me posait beaucoup de questions comme si elle était intéressée par la chose, je lui propose que je lui montre à quoi je ressemble en vrai quand je suis en femme et bondagé, elle me répond qu’elle souhaiterait effectivement voir ça en vrai. Je monte donc à l’étage, me transforme en Sophie (c’est mon nom de soumis).                Une fois dans la chambre je déposai sur le lit, les affaires de Sophie. Voici la liste : 1 robe de soirée 4 bodys 1 nuisette avec menotte intégré 1 bâillon bite de 10 cm 1 crochet anal 3 boules de 19 mm à 35 mm 1 paire de talon aiguille avec une plateforme de 4 cm et haut de 14 cm 1 paire de faux seins 2 rosebud (1 métal : 7 cm de long et 2.8 de large ; 1silicone : 8.5 cm de long et 4.4 de large) 1 ceinture menotte 2 contrainte pieds et mains ensemble velcro 1 combinaison résille fendue a l’entre jambe 1 stimulateur de prostate a accroche au pénis 1 martinet 1 bâillon boule casque 1 bâillon boule 2 paires de pinces à tétons en métal reliées par une chaine 2 shortys 1 cage de chasteté en plastique ajustable 1 cage de chasteté en métal 2 paires de menottes (1 poignet et 1 cheville) 1 cravache Quand je redescends, elle me trouve ravissante et que je sais bien m’habillé quand je suis en femme. Elle demande, alors à voir comment est composée cette tenue. Je commence par défaire mes menottes de poignets et de chevilles, mon bâillon, ma robe. A ce moment-là, je la vois écarquillé les yeux de surprise, je lui demande pourquoi elle fait ces yeux -là, et m’explique qu’elle ne s’attendait pas à me voir encordé comme cela (j’avais réalisé un shibari) et que c’était harmonieux. Je continu, je défais donc ce shibari, enlève le soutien-gorge où les faux seins viennent avec et je retire le string. Je suis donc nue devant elle, avec un collier où est cadenassée la chaine des pinces sur mes tétons, ma cage de chasteté et un rosebud dans l’anus. Elle me demande de tourné sur moi-même pour mieux admiré ce qu’elle voit, et elle remarque un truc brillant au niveau de mon cul et me demande ce que c’est, je lui dis que c’est un rosebud. C’est alors, avec le cœur battant à 100 à l’heure, que je lui propose un truc totalement fou, mais sur lequel je fantasme depuis le mois de juin, c’est qu’elle devienne ma Maîtresse et qu’elle m’éduque en tant que soumis.                Je la vois réfléchir, et je lui propose que pendant qu’elle essaie de prendre une décision, de se rapprocher de moi pour mieux voir, de touché les pinces, la cage, enfin ce qu’elle veut. Elle me demande alors de me pencher en lui présentant mes fesses, et là elle fait une chose complètement inattendu, elle retire le rosebud d’un coup sec. Je n‘étais pas forcément préparé à ça, ça m’a tellement fait mal que je suis tombé à genou mais malgré cela bien que mon sexe se sentait à l’étroit dans sa cage il se mit à gonfler au maximum de ce qu’il pouvait, c’était douloureux mais tellement jouissif. Elle a eue peur et me demande si ça va. Je lui oui et que j’ai juste été surpris de son action. Je me prosterne à ses pieds et lui demande pardon de lui avoir fait peur, c’était aussi dans le but de lui montrer qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi et « forcer » sa réponse dans le positif. Je ne pourrais pas dire combien de temps je suis resté à ses pieds, mais après un long silence, elle lâche ces mots, plus que surprenant mais qui resterons a jamais gravé en moi, et qui m’ont rendu heureux jusqu’à présent.  « Je suis refuse d’être ta maitresse car je ne m’en sens pas capable, mais te voir ainsi m’intrigue et j’aimerais bien essayer. Alors je veux être ta soumise. » Je me suis relevé, abasourdi par ce que je venais d’entendre, en essayant de bien comprendre cette annonce très inattendue. Je me vois alors lui dire, «  tu en es sûr car moi je sais ce que c’est d’être soumis à quelqu’un, mais toi ?». Elle me oui et que si elle est honnête avec elle-même et moi, son caractère est celui d’une personne qui suit, pas qui dirige. Je lui réponds que je comprends et que si c’est ce qu’elle veut, alors ça sera ainsi. « Alors voici mon premier ordre », lui dis-je ; «  déshabille-toi complétement ». Un peu hésitante, elle s’exécuta, un peu trop lentement, ce qui ne me plait pas, je prends la cravache qui est sur la table et lui claqua ses fesses, en lui intimant de se dépêché. Un peu choqué, elle redoubla de vitesse et en 5 secondes, elle était nue devant moi, je la trouve magnifique. C’est alors que je me souviens que j’avais encore ma cage sur mon sexe, car j’en avais mal à mourir. Je lui ordonne de prendre la clé du cadenas, et de me libéré la bite. Je sais qu’elle n’as jamais vu de bite avant aujourd’hui, et encore moins d’en avoir touché une. C’est avec une main hésitante, qu’elle enleva le cadenas puis la cage. J’en profite pour lui demander de finir de m’enlever l’équipement restant sur mon corps. Elle saisit la pince située sur mon téton droit. Je lui dis d’y aller doucement car je ne veux pas avoir mal, et que si ça arrive, elle sera punie. Je la vois se concentrer sur la tâche qui lui incombe, mais malheureusement pour elle, la pince se referma sur mon téton, en m’arrachant une grimace. En effet, ayant l’habitude de ces pinces je sais qu’il faut les ouvrir avec les 2 mains. Une qui appuie sur la pince et l’autre qui maintient le ressort compressé, au cas où la première doit reprendre une position plus confortable pour continuer. Je dois dire que je suis content, malgré la douleur, car elle observe bien et apprend vite, car juste après avoir raté sa tentative, elle se mit à genou et me présenta ses excuse en se prosternant à mes pieds, comme je le fis peu de temps avant. J’accepte ses excuses, lui intime l’ordre de se relevé et lui montre comment les enlevé sans trop de souffrance. Car oui, et ceux qui en porte le savent aussi, la réalimentation en flux sanguin des tétons est douloureuse, et j’avais décidé de ne pas lui en tenir compte. Donc une fois que je lui ai montré comment retiré une pince, elle essaya côté gauche, ce qu’elle réussit grandement. Je l’informe aussi, car il est de mon devoir de maitre, de cette douleur quand le sang revient pour qu’elle ne soit pas surprise quand cela lui arrivera. Elle passa derrière moi, pour défaire le collier. Et enfin se remit à genou pour m’aider à enlever mes talons aiguilles. Je suis débarrassé de tout mon attirail, nu devant elle avec une gaule comme je n’en ai pas le souvenir et elle à genou et nue aussi, j’avais une grande envie de lui demander de me sucer. Mais je sais que sexuellement elle est vierge en tout point. Alors je ne lui dis rien et je retourne dans ma chambre pour me rhabiller, en montant les escaliers je la vois me suivre du regard, inquiète, cela m’amuse et m’excite beaucoup. Une fois rhabillé, je redescends et je la retrouve toujours à genou, avec une mine de quelqu’un qui réfléchit et qui ne sait pas trop ce qui lui arrive. Je la regarde un moment, je lui demande si tout va bien et si elle veut continuer, que si elle veut arrêter, je ne lui en voudrais absolument pas et que on ferait comme si rien ne c’était passé. Elle me répond que oui ca aller, qu’elle avait un peu peur de ce qu’il allait se passer et que ça lui faisait bizarre d’être comme ça devant quelqu’un. J’essaie de la rassurer, en lui disant que sa réaction est plus que normale, que moi aussi je suis passé par là et que si elle ne réagissait pas comme cela, ça aurait été bizarre. Je pense que ça a marché, car elle semble plus détendue d’un coup. Je lui demande de se rapprocher de mon PC à 4 pattes, avec le dos bien cambré. Je la suis et j’en profite pour regarder ce magnifique corps, en pensant que j’ai une chance inouïe. Elle qui quelque mois auparavant « se refuser » d’être ma copine, maintenant se retrouve nue et soumise devant moi, je bandais comme un fou. Mais je devais me calmer, car il fallait signer les contrats qui nous lieraient, bien qu’ils n’aient aucune valeur juridique, c’était plus pour la forme et qu’elle connaisse les règles et ce que j’attends d’elle. Une fois lu elle les signa et rempli une checklist de soumise destinée à connaitre ses limites. Je la regarde droit dans les yeux, elle comprit qu’elle devait baisser la tête. C’est alors que je lui dis que je n’ai pas oublié qu’elle devait recevoir une punition pour tout à l’heure. Je la vis se crisper et avoir peur de ce qu’il allait lui arrivé. Ne voulant pas la choqué et ainsi la brusqué et qu’elle décide d’arrêter tout. Je lui dis que vu qu’elle est vierge, et que moi-même ne voulant pas que sa première fois soit mal vécue par elle, nous n’irons pas loin sexuellement ce soir. Je la fis mettre alors debout, jambes écartées, les mains sur la tête, et je commençai sa punition. Pour la mettre à l’aise je lui annonçai que pour les premières punitions, je lui décrirais ce que je lui ferais. Je pris des pinces à linges, pas celle que j’avais quelque instant plus tôt, car je trouve cela trop dur pour une première. Ce n’est pas parce que j’ai une esclave maintenant que je ne dois pas en prendre soin, bien au contraire, plus elle se sentira en sécurité et à l’aise mieux elle me servira. Et c’est ainsi que je posai une première pince sur le téton gauche, tout en douceur, ensuite le droit avec un peu moins de douceur. Je me mets à genou, et je commence à déposer des baisers sur ses cuisses tout en me dirigeant vers sa chatte, un peu trop poilue à mon gout et je me dis qu’il va falloir y remédier rapidement, elle a un petit mouvement de recul que j’arrête en lui maintenant les cuisses avec mes mains. Je commence alors à la lécher, je sens un peu de mouille et je me dis que finalement cela l’excite un peu. Sans rien lui dire, j’accroche une pince sur sa grande lèvre droite, en la regardant, elle grimace et ça m’amuse. Je fais de même sur la gauche et me relève, je viens coller mes lèvres sur les siennes pour qu’elle goute à son jus et je lui dis qu’elle y goutera souvent alors autant commencer tout de suite. Je lui dis de tourner sur elle-même pour que je puisse admirer son joli corps. Une fois qu’elle me tourne le dos, je lui dis de ne plus bouger. Je prends le martinet et lui annonce que sa punition va réellement commencer, et que pour ne pas avoir obéit a mon ordre, elle allait recevoir 10 coups sur chaque fesse. Sans lui permettre d’assimilé ce qu’elle vient d’entendre, je lui assène un coup, un peu trop violent par rapport à ce que je voulais, elle mit ses mains sur ses fesses comme pour essayer d’échapper à sa correction. Je me place devant elle et lui fait comprendre que si elle re bouge ses mains, je doublerais la punition. Elle se remit en place, moi aussi et je recommence, mais cette fois les coups sont plus maitrisé et c’est à la limite de la caresse et du picotement. Les 20 coups fini, je regarde mon ouvre et je m’aperçois que son cul marque vite et on voit bien les zébrures due aux lanières du martinet. Je prends une photo et lui montre, en lui disant de regarder comment son petit cul est joli rouge comme ça. Je lui ordonne de se mettre à genou, et de me remercier pour la punition et de me baisers les pieds. Je lui dis aussi qu’après chaque punition, elle devra toujours faire ça. Je lui demande alors de me masturber, je la rassure en lui disant que comme c’est une première elle ne me sucera pas et je n’éjaculerais pas sur elle, mais que par la suite elle n’y échappera pas. Sans que je la rappelle à ses devoirs, elle me dit « merci maitre d’être aussi compréhensible avec votre soumise ». Je la récompense en lui caressant les cheveux,  comme on caresserait un chien. Me sentant au bord de la jouissance, je lui donnai un verre pour me faire éjaculer dedans. Je joui, quasiment 2 secondes après qu’elle est pris le verre, de long jets remplissant facilement un quart du verre. Je me dis que c’est con de jeter ça. Je l’attrape par le menton, la forçant ainsi à me regarder, et je lui dis que je n’avais pas l’intention de lui faire subir cela pour une première, mais que en voyant le contenu du verre et que  gâcher c’est mal, je lui dis donc de boire le contenu de ce dernier. A ce moment-là, j’ai cru qu’elle allait tout arrêter, en regardant son expression de dégout quand elle regardait le verre. Mais au final elle le bu cul-sec, je lui signalai que c’était bien et que j’étais fier d’avoir une soumise aussi obéissante. A cette annonce son visage s’illumina, comme si elle avait reçu un cadeau. Je lui dis que vu l’heure on allait se coucher, qu’elle doit me suivre à 4 pattes, elle porte toujours les 4 pinces. Une fois en haut, je me demandai comment la faire dormir, parterre attaché ou juste parterre libre de ses mouvements ou encore dans mon lit. Vu qu’elle a été  plus qu’à la hauteur de mes attentes, je décidai de la récompenser, en la faisant dormir dans mon lit avec moi, tout en l’informant que c’est parce que c’est la première et que elle avait été très forte ce soir. Mais que à partir de demain, je passerais la vitesse supérieure, qu’elle soit prête ou pas. Je pris la décision de n’enlever que les pinces qui sont sur sa chatte et nous nous couchions. Juste avant d’éteindre, je l’embrassai langoureusement et lui dis je t’aime ma soumise rousse. Elle répondit qu’elle aussi m’aimer. Je lui donnai le dernier ordre de la journée, qu’elle doit se lever avant moi, je précise que je ne veux pas entendre le réveil, pour me préparer le petit déjeuner et me réveillé à 11 heures. Lucie, n’arrivait pas à dormir à cause des pinces sur ses seins, ça lui faisait mal. Je me fâchai, en lui disant que si elle n’arrête pas de bouger, elle dormirait au pied du lit. Ça eu son effet, elle s’endormi 5 minutes après. Le lendemain, je fus réveillé par une étrange sensation, je dus mettre 1 bonne minute à comprendre que Lucie était sous la couette et qu’elle me suçait la bite. Je ne vous dis pas ô combien j’étais heureux qu’elle prit cette initiative. J’écartai la couette et elle me regarda, puis à mon grand étonnement me dit, « que mon maitre m’excuse, mais il est 11 heures, conformément à l’ordre reçu je vous réveille ». Je la félicitai en caressant sa joue, et lui dit de terminer ce qu’elle a commencé. 5 minute après je joui dans sa bouge, je maintien sa tête et lui dit d’avaler, puisqu’elle y a déjà gouté hier. Elle se releva et ouvrit la bouche pour me faire voir qu’elle avait bien avalé. Je l’embrassai et me leva, nous descendîmes, dans la cuisine pour déjeuner. Je lui demandais ce qu’elle prenait le matin. Elle me répondit, une tasse de thé avec pain et du beurre. Je lui fis signe de se servir et au moment où elle voulut s’assoir à table, je lui rappelai sa condition de soumise et tant que telle, elle doit manger parterre, et qu’elle s’estime heureuse que je ne lui attache pas les mains dans le dos. Une fois qu’on a fini de manger, elle fit la vaisselle pendant que moi, j’allais sur mon PC, pour regarder mes mails etc. En l’entendant finir dans la cuisine et revenir dans la salle pour attendre de nouvelles instructions. J’ouvris le dossier la concernant et balança la vidéo d’elle sous la douche de lundi. En entrant dans la salle, elle fut surprise de se voir sur la télé et me lança un regard interrogateur. Je lui dis alors que vu qu’elle ne voulait pas sortir avec moi, et que moi je voulais « un lot de consolation », que j’avais caché plusieurs caméras dans la salle de bains. Elle voulut dire quelque chose, mais je la coupai net, en lui rappelant sa condition actuelle et que dans le contrat qu’elle avait signé, elle acceptait d’être filmé et photographié, et que je pouvais en faire ce que je voulais. Je la rassurai quand même que mon but, n’est pas de la détruire socialement, que ces fichiers sont stockés sur un disque dur externe non connecté au réseau, donc pas de risque de fuite en cas d’un potentiel piratage de mon PC. Par contre je lui dis que certaine capture d’écran de la vidéo, et peut être même la vidéo se retrouve sur le site d’Xhamster, mais que je ferai un montage pour que son visage et sa tache de naissance n’apparaisse pas sur le rendu final, pour ne pas qu’on la reconnaisse. Là, elle me surprit encore une fois en me disant « si c’est ce que veut mon maitre, j’accepte ». Je ne pensais pas qu’elle était à ce point une soumise refoulé. Je décidai qu’il était l’heure d’aller prendre un bain, alors nous montons dans la salle de bains. Je retire les pince sur ses seins, elle grimace de douleur, je sais plus que très bien le mal que ça fait pour l’avoir moi-même vécu. Je prends mètre ruban, et je prends ses mensurations, 84-65-88. Ainsi que son poids : 58kg. Je fis couler l’eau, et mis du bain moussant, nous rentrons dedans et j’en profite pour la caresser et lui demander son état d’esprit par rapport à ce qu’elle vivait maintenant. Elle me répondit que bizarrement elle se sentait sereine et qu’elle me faisait entièrement confiance pour la suite. Mais elle avoua qu’au début cela lui paraissait irréel, que jamais elle avait pensé que je pouvais avoir cette tendance. Mais qu’au final elle était contente que je lui en fasse part, cela lui avait permis de mettre le doigt sur des réponses aux questions qu’elle avait pu se posait dans le passé. Je lui fis part aussi de mon ressenti, à savoir qu’au début je ne voulais pas lui révélé cette part d’ombre de moi. Mais qu’au fil de nos discutions, je sentais qu’on pourrait aborder ce sujet, et que j’ai donc saisi l’occasion. Qu’en revanche, j’étais plus que surpris du résultat final, qu’au début j’ai pensé que notre amitié allait s’arrêter une fois la révélation, mais la plus grosse surprise est qu’elle refusa de devenir ma maitresse, qu’en fait elle préférait devenir ma soumise. Nous nous lavons mutuellement, et une fois bien propre je sors de la baignoire. Lucie voulu me suivre, mais je l’arrêtai net et lui imposa de se mettre à 4 pattes dans la baignoire et de bien se cambrer. Elle s’exécuta un peu paniqué, j’allais chercher la canule dans ma chambre et le mis sur le flexible de la douche. Et je lui dis que comme elle est vierge, et que je sens qu’elle ne sent pas prête à le faire, que de tout façon sa première fois sera fait normalement, il fallait bien que je profite un peu de son corps. Elle allait donc subir un lavement anal, afin de lui mettre un rosebud de petite taille. Je pensais qu’elle allait refuser, mais elle se résigna et accepta « son destin ». J’insérai donc la canule tout doucement dans son anus, prépara l’eau pour qu’elle soit tiède froide, et enclencha le mode douche. Je lui dis de se détendre, et que lorsqu’elle ne pourra plus supporter, elle le dise pour que j’arrête l’eau.au bout d’une minute, elle me signale qu’elle a atteint sa limite. J’arrêtai donc l’eau, enleva la canule en lui disant que je ne veux pas d’eau s’échappe, sinon elle sera punie. « Oui maitre », fut sa réponse. Une fois retiré, il n’y a pas d’eau qui sorti, je lui dis que j’étais fier d’elle, je la relève lentement, et lui dis d’attendre un peu avant de se vider. Car je veux une soumise sans poils, par conséquence j’allais la rasée au niveau du sexe et du sillon inter fessier. Je pris ma tondeuse à barbe pour dégrossir un peu, puis je mis de la mousse à raser et commença à la rasée. Une fois fini, je l’autorisai à aller sur les toilettes, il ne fallut qu’une seconde pour entendre le contenu de son cul tomber dans les toilettes. Une fois vide, je l’emmenai sur mon lit, son cul tourné vers moi. Je pris mon plus petit rosebud, l’enduit de lubrifiant et le présenta à l’entrée de sa rondelle. Elle se crispa au contact du froid du lubrifiant, je lui dis de se détendre sinon elle allait avoir mal et je poussai doucement mais en continu. Il me fallut 5 minutes pour le faire rentrer entièrement. Je laissai quelques instants de répits à Lucie, pour qu’elle s’y habitue. Je la relevai, et lui donna un string blanc en dentelle et une robe noir assez transparent à enfiler. Le résultat était magnifique, on voyait bien le string et ses tétons à travers la robe, et pour finir lui donna des talons aiguilles, je pris mon APN et la mitrailla. Je vis sa gêne dans ses yeux et m’en amusa, pour continuer à la faire paniquer, je lui annonçai qu’on allait sortir se promené sur le bord de la plage. A ce moment-là, elle paniqua fortement et on redescendit dans la salle je me dirigeais vers le placard a chaussures, et je me retournai en lui riant au nez. Je lui dis que je ne peux pas lui faire ça, enfin pas encore. Je m’installai devant la télé, elle à mes pieds, je m’amusais à lui demander un verre d’eau, un gâteau, je la forçai à me sucer. Et quand j’arrivai au bord de la jouissance, je l’arrêtai net, lui réservant une surprise pour tout à l’heure. Il me vint alors une idée de jeu, pour se faire, nous montâmes dans la chambre, lui demanda d’enlever sa tenue de soumise et de s’habiller normalement. Je lu une interrogation sur son visage, ce qui me fit sourire. Dès qu’elle eut fini de s’habiller, je lui dis qu’on va jouer au strip – uno. Quand elle gagne, il ne se passe rien tant qu’elle est pas nue intégralement. Dès qu’elle serait nue entièrement, et que si elle gagne la manche, elle pourra remettre un vêtement perdu. Si elle perd, elle enlève le vêtement que je lui dirais, et que lorsqu’elle est totalement nue, elle aura des gages à réaliser. La partie commence, et pour la mettre en confiance, je fis exprès de perdre la première manche. Cela marcha, car elle me regarda avec un petit sourire en coin voulant dire c’est bon je ne perdrais pas beaucoup. C’était mal jugé car elle perdit les 4 manches suivantes, elle se retrouva plus qu’avec son débardeur, car j’avais pris un plaisir à lui faire enlever ses sous-vêtements en premier, et que pour le soutif, elle ne devait pas retirer son top. La manche d’après eut été en sa faveur, elle commença à vouloir reprendre sa culotte. Mais je la rappeler à l’ordre en lui signifiant qu’elle n’était pas nue intégralement. Elle reposa sa culotte, un peu triste. Les 2 suivantes je gagnai, et vu qu’elle était complètement nue, les gages commençaient. Pour le premier je lui donnai le choix, entre soit avoir une pince sur le téton de son choix, soit une pince sur la lèvre de sa chatte de son choix. Un choix qui me surprit, elle demanda la pince sur la lèvre gauche. Elle m’indiqua que ses tétons étaient encore un peu sensibles. La manche d’après, elle gagna, et elle remit son soutif. La partie continua ainsi pendant un moment, si bien que pendant une manche, elle était de nouveau habillée, mais elle portait toujours les effets des gages précédents, c’est-à-dire que sous ses vêtements, elle avait des pinces aux seins, à la chatte,  un plug dans le cul, un bâillon et jouait les mains attaché dans le dos. En gentleman, je n’en profitais pas pour regarder ses cartes à chaque fois qu’elle se tournait pour savoir qu’elle carte jouer. Enfin jusque-là, puisqu’elle s’était « refaite », je décidai de tricher pour qu’elle se retrouve à nouveau nue. Là je lui annonçai, que c’était la dernière manche, et que si elle perd le gage serait le plus dur à réaliser de la soirée. Jusqu’au dernier moment, je lui laissé l’espoir de pouvoir vaincre, et au moment où elle crut remporter la victoire, je lui assénai ma botte spéciale (2 cartes +2 suivi de la carte couleur adéquate). Je remportais donc la partie et là je me mis à rire genre malsain, ce qui l’inquiéta. Je la fis mettre debout, je pris la corde dans le sac et nous descendîmes dans la salle. Je remontai le volet roulant, ouvrir les portes fenêtres en grand. Je la vois essayer de se cacher de la fenêtre, mais je m’approchai d’elle, me baissa, retira les menottes à ses chevilles. Mais je lui reliai tout de suite, en les joignant avec de la corde. Puis je la pris dans mes bras et la passa par-dessus la rambarde de la fenêtre. Je repris la corde qui pendait à ses pieds, la fit passé derrière la barrière (du côté salle) et la noua autour de sa taille. De telle sorte qu’elle ne pouvait plus tomber, je continuai de nouer la corde autour de son corps. Et je lui dis bonne nuit et referma le volet. Elle voulait implorer pitié mais je ne comprenais rien avec le bâillon. Au bout de 5 min je ne l’entendais plus, et j’attendis encore 5 minutes de plus pour la ramener dans l’appartement. Je la déposai sur le canapé, pour finir de la libérer et je vis qu’elle pleurait. Une fois le bâillon enlevé, je lui demandai si tout aller bien. Elle me répondit pas trop, que ce gage lui a fait peur, je la rassurai en lui disant que ce qu’elle subissait, eh bien qu’en fait je l’avais testé avant. Que je ne lui ferais pas subir quelque chose sans que moi je l’ai essayé. Ça la rassura un peu, et on s’aperçu que nous n’avions toujours pas mangé. Elle prépara le repas, et au moment de se mettre à table. Je lui ordonnai de me sucer, juste avant d’éjaculer je me retirai de sa bouche et joui dans son assiette, la posa à terre et lui souhaita bon appétit en rigolant. Vaincue par la dernière épreuve, elle mangea sans protester, à 4 pattes. Le repas fini, elle fit la vaisselle, et je décidai qu’on allait se coucher. Je réalisai qu’elle avait eu une journée chargée en émotion forte, aussi je décidai de la récompenser. En lui disant que cette nuit si elle voulait, elle pouvait redevenir la Lucie normale, et dormir habillé. Où elle continuait d’être la Lucie soumise, mais qu’elle dormirait à terre, attaché écarter, avec pinces aux seins et à la chatte, et plug au cul. Je lui donnai 5 minutes de réflexion, et lui dis que vu la journée intense qu’elle a subie, elle ferait mieux de redevenir Lucie normale, que je lui en voudrai absolument pas. Encore une fois, sa réponse me surpris et me confirma que c’est bien une soumise refoulé, car elle me dit qu’elle reste la Lucie soumise et me présenta son cul pour l’insertion du plug. Je l’envoyai aux toilettes avant, pour qu’elle n’est pas de problème à force de se retenir. Quand elle est revenue, je l’équipai et l’attacha en lui souhaitant ce coup-ci une vrai bonne nuit. Je me couchais et mis le réveil pour 10H, car elle repartait à midi le lendemain. Au réveil je la détachai, l’aida à se relever, et la massa pour détendre ses muscles. Nous prîmes notre douche ensemble en nous lavant mutuellement. Elle se mit à genou et me fit une pipe du tonnerre. Je giclai dans sa bouche et elle avala sans en perdre une goutte. Pour la féliciter, je lui fis un cunni, elle jouit en 10 minutes. Nous déjeunons, et je lui dis de redevenir la Lucie normale pour qu’on puisse discuter de ces 2 jours tranquillement. Je lui dis que j’étais plus que fier de ce qu’elle a accompli, que je ne pensais pas qu’elle irait si loin. Je n’avais pas imaginé la tournure que ça a pris, que j’étonnai car je pensais qu’une fois qu’elle aurait appris, mon penchant sexuel, elle voudrait rentrer chez elle de suite et ne plus jamais entendre parler de moi. Mais au contraire qu’elle l’est acceptée et retourné ma demande sur elle. Je suis aux anges, je lui posais enfin la question, veux-tu continuer à être ma soumise, si oui es-tu prête à emménager avec moi, pour continuer ton dressage. Je fini en la regardant droit dans les yeux et lui « je t’aime ». Elle m’avoua que lorsque je lui ai dit que j’étais sadomaso et en voyant les photos et vidéo de moi, elle a pensé à partir. Mais que au final, cette approche allait peut être répondre à ses questions personnelles, qu’elle décida donc d’écouter ce que j’avais à dire jusqu’au bout, et lorsque je lui ai proposé de une « démo », elle voulait voir car elle était curieuse. Que son déclic d’être soumise, fut quand elle me retira le rosebud de mon anus, où elle s’est excusée de suite. C’est là, qu’elle comprit que son rôle n’était pas d’être une maitresse, mais une soumise. Elle me dit aussi qu’elle prit 10 minutes de réflexion, pour peser le pour et le contre et qu’elle avait un peu peur que je sois trop brutal. Mais qu’au final j’ai été calme, attentionné, mais juste. Par contre, le seul moment où elle a été à 2 doigts de tout arrêter, c’est quand je l’ai attaché à la rambarde de la fenêtre. Pour finir me dit-elle, « je veux continuer à être ta soumise et oui je suis prête à venir vivre ici ». Je l’informe que je ferais appel, à mon ancien maitre pour m’aider à devenir un véritable dominant, et qu’il risque de se faire payer en nature avec toi. Elle me répond qu’elle est ma chose maintenant et que j’ai les pleins pouvoir sur elle corps et âme. Je l’emmène à la gare pour qu’elle puisse repartir chez elle et aller bosser. Son contrat ce fini le 1 er septembre, et qu’au plus tard le 5 elle débarque ici avec ses affaires. Je lui dis que je continuerais à la dominer par message. Elle accepta, on s’embrassa et elle monta dans le train. Cette histoire est une fiction, basée sur quelque faits réel, comme le fait que Lucie m’ai recalé, le fait que je sois un sado maso et le fait que je possède réellement le matériel qui apparait dans l’histoire. En sorte une version d’un fantasme d’une relation avec Lucie que je rêve depuis presque un an maintenant                                                                                                                                                     FIN
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