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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Mes aventures… …mésaventure.
C’était sur un site de rencontre.
Je cherchais l’aventure, et ma vie me laissant plus trop de temps pour laisser de la place au hasard, j’avais opté pour cette solution… …facile.
De profil en profil, j’errais plus que je ne dialoguais. Quand un échange se faisait au-delà d’un « bonjour », il était facile de soupçonner des « animatrices », afin d’être garder captif du site, business oblige. Le site était payant pour les hommes, pas pour les femmes. Sur internet il est admis : « Quand c’est gratuit… … c’est vous le produit ». Là, sans la moindre ambiguïté, elles étaient le produit, le sujet des convoitises : objet rare de nos profusions de désirs, depuis la simple envie de ne plus être seul jusqu’à la plus urgente et basse de nos libidos mal assumées de mâles.
Malgré cela, peut-être la chance, sans doute aussi par une photo de profil avantageusement passée au travers de photoshop, j’ai pu nouer un dialogue. Contrairement aux animatrices, qui vous plongent dès les premières lignes dans la luxure, nous échangions d’abord simplement, sur nos quotidiens dans un premier temps. Des bonjours, bonsoirs… Sans plus, quelques mots de météo… de la retenue. Etait-ce là la recette pour ne pas la faire fuir ? je ne sais pas, mais cela nous a conduit sur des échanges peu à peu plus intimes et réguliers, en direct sur le site, parfois continuant par mail, peu de fois par téléphone… …Elle était une femme mariée.
Elle se confiait prudemment. Au début c’était des envies simples, se sortir de la routine, d’un mari la délaissant, d’envies s’émoussant peu à peu pour elle comme pour lui. La routine du samedi soir sans doute, après le show télé, avant de s’endormir. Pour elle, le net était une bonne solution, pas de trop risques, un frisson de l’interdit au début, la crainte d’être surprises, le gout de l’interdit. Mais… Mais comme toutes les saveurs épicées, passé l’effet de surprise, chaque bouchée avalée en appelait une autre, puis une autre, avec ce besoin de ne pas perdre la force de la première. Cette nécessité de ressentir ce qui à l’origine vous a mis cette boule dans le ventre qui en disparaissant laisse un trop gros vide, à combler au plus vite.
Et se vide grandissait chaque jour, nos échanges devenaient de plus en plus intimes, de plus en plus sexuels. Je n’ai pas honte d’avouer que ces derniers souvent se terminaient en masturbation effrénée pour moi, et caresses discrètes pour elle prenant soin de ne pas être découverte. Un soir de solitude, pour elle, l’urgence de nos désirs me fit perdre pied. Elle venait de me confier ses fantasmes les plus intimes. Elle avait un besoin de SM. SM ? oui, je sais bien de quoi il s’agissait, j’avais bien vu « 50 nuances de gris » quel idiot j’ai été ! L’urgence m’avait fait perdre le sens commun, aveuglé par les images, les stéréotypes, et les hormones…
150km nous séparaient, tant pis, je lui proposais de venir… de franchir le pas du virtuel
- Allo ?
- Je viens, prépare-toi, je suis là dans 1h.
- Tu viens ?
- Oui, mon fils est assez grand, il se gardera seul pour la soirée.
- Non tu n’y penses pas !
- Je suis sérieux.
- Non, je suis seule, mais rien ne peut être chez moi, les voisins, c’est un petit village de campagne tout ce sait ici !
- On va à l’hôtel
- Non ! tu ne comprends pas ? le premier hôtel est trop loin, je sors, je prends la voiture je suis grillée.
- J’ai besoin de te voir, je te veux, tu comprends ?
- Oui, je le comprends, mais…
- S’il te plait ! On ne peut pas rester ainsi derrière nos claviers, je viens il fera nuit, personne ne te verra. Je te veux, même à l’arrière de ma voiture ! Une rencontre folle oui, intense, comme nous la désirons ! A coté de chez toi, il y a le parking de cette usine, nous y serons à l’abri des regards…
- Tu ne comprends pas…
- Je ne comprends pas quoi ? tu viens de me dire vouloir te soumettre ! Tu en as l’occasion ! Saisis-la !!!
- Tu ne comprends vraiment pas…
- Mais quoi ? Je te veux, là, maintenant ! Oui même en voiture, même si cela peut paraitre fou.
- Non ! tu ne comprends rien !
- Explique moi alors !!!
- Me soumettre ce n’est pas qu’obéir à ta pulsion ce soir. Oui, j’ai besoin t’appartenir, j’ai besoin d’avoir mal, d’être nue, de te sucer, de me faire prendre, de pouvoir en crier, en pleurer. Oui j’ai besoin de toi qui puisse m utiliser pour jouir. Oui, à tous cela, mais en voiture ce n’est pas possible, je n’ai plus 20 ans ! Tu n’as rien compris, tu es comme les autres... Pas grave tant pis…
Elle a raccroché, elle n’était plus en ligne sur le site, et mes sms sont restés lettre morte. Le lendemain son profil avait disparu.
Je ne l’ai pas comprise, je n’ai même pas compris ce qui m’a poussé à cette folie, cette proposition insensée, cette précipitation… On dit toujours « saisir sa chance », j’ai cru que la chance passait par là ce soir-là…
Ce soir-là, j’ai cependant appris une chose, quel que soit la situation le cerveau doit rester maitre des pensées, sans délégation possible aux testicules. Puisse ma mésaventure servir de leçon.
(Faut il préciser que ceci est un texte purement fixionnel ?)
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Dans l'ancienne Grèce, Artémis, la déesse de la chasse et de la nature sauvage, régnait en tant que puissante divinité. Sa beauté était légendaire, avec des cheveux sombres comme la nuit et des yeux étincelants comme les étoiles. Elle était vénérée pour sa force et son indépendance, mais au fond d'elle-même, un désir brûlant grandissait, un désir de pouvoir et de domination.
Artémis se sentait attirée par les récits des pratiques sensuelles qui se déroulaient dans les temples dédiés à Aphrodite, la déesse de l'amour et de la passion. Les murmures de ces histoires éveillaient en elle un besoin insatiable d'explorer les plaisirs interdits, de trouver un soumis qui succomberait à ses désirs les plus sombres.
Un jour, alors qu'elle se promenait dans les bois, Artémis aperçut un jeune homme du nom d'Alexandros. Il était beau et vigoureux, avec des traits qui rappelaient les héros légendaires des mythes grecs. Intriguée par sa présence, Artémis sentit une énergie magnétique se développer entre eux, une connexion qui ne pouvait être ignorée.
La déesse décida de mettre à l'épreuve Alexandros, de voir s'il serait capable de répondre à ses attentes érotiques les plus intenses. Elle le conduisit dans un lieu secret, un temple oublié où les murs étaient ornés de fresques dépeignant des scènes de plaisir et de domination. L'air était empreint d'une sensualité enivrante.
Artémis, vêtue d'une robe légère qui soulignait sa silhouette divine, se dévoila peu à peu devant Alexandros. Elle lui raconta ses fantasmes les plus sombres, ses désirs de contrôle et de soumission. Alexandros, subjugué par la déesse, se sentit attiré par cette aura de pouvoir et d'érotisme.
Dans le temple sacré, Artémis et Alexandros se livrèrent à des jeux intenses de domination et de soumission. Artémis utilisait des chaînes en or pour attacher Alexandros, l'immobilisant dans une position de totale soumission. Elle prenait plaisir à le taquiner, à le caresser avec des plumes douces avant de le punir avec des lanières de cuir.
Les scènes se succédaient, mêlant douleur et plaisir dans une danse sensuelle. Artémis guidait Alexandros vers des sommets de jouissance qu'il n'avait jamais connus auparavant. Elle explorait chaque recoin de son corps, découvrant ses zones les plus sensibles et les utilisant à son avantage.
Les échos des gémissements d'Alexandros résonnaient dans le temple, se mêlant aux prières des dévots qui vénéraient les dieux. Artémis, dans toute sa puissance et sa beauté, trouvait enfin un équilibre entre sa nature sauvage et son désir de domination.
Chaque rencontre entre Artémis et Alexandros était une célébration des plaisirs les plus profonds et les plus tabous. Ils transcendaient les limites du temps et de l'espace, plongeant dans un royaume où le passé et le présent se confondaient, où le plaisir et la soumission étaient éternels.
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Ce matin, j'étais tout exité. Après plusieurs semaines de realtion par messages, j'allais enfin rencontrer pour de vrai ma Maîtresse. On a beaucoup échangé, et je suis certain qu'elle saura être attentive et en meme temps suffisament sévère, une bonne Maîtresse. J'arrive devant son appartement, je sonne, et la, elle ouvre la porte : Elle est très belle dans sa robe de latex, et elle respire la domination et la fermeté. Elle me dit "Entre !". Je m'execute, et elle referme la porte sans rien dire de plus. Puis, elle me dit "Mets toi nu, a genoux et les mains sur la tête, Je vais chercher tes nouveaux habits !". Nous étions convenu pour trois jours de soumission de ma part, pour voir si le courant passe, et je trouve que ça commence très bien, je sens que je vais avoir du plaisir à être aux pieds de cette divine Maîtresse. Après plusieurs minutes, elle arrive, avec une robe de soubrette , des talons hauts, une couche et des menotes de tailles variées. Mon sexe est déjà, comme convenu, en cage de chasteté, et il le sera pour les trois prochains jours. Elle me fait mettre debout, m'enfile la couche, la robe, me met les chausures à talon, et puis me menotte. Après ça, elle me dit "A quatre pattes", et je la sens me mettre un collier. Puis, attachant une laisse à mon collier, elle commence a m'emener ver l'interieur de son appartement. Tout en marchant, elle commence à me parler : "Voila, ma chienne, tu t'apelle dorénavent petite pute, ou tout autre surnom qu'il me plaira de te donner. Tu as pu remarquer que tu porte une couche, ça veux dire pour toi que les toilettes sont interdits. Si tu veux faire tes besoins, c'est dans la couche. Tu devra m'appeller Maîtresse, te prosterner pour me parler, et répondre à toutes mes exigences, sans jamais désobéire; je sais punir les rebelles et les insolents de ton genre. Tu dormira dans une cage, et ton plaisir n'est pas toléré, seul compte le mien, c'est bien compris ?", je répond "Oui Maîtresse.".Elle reprend : "Bien, ma salope, je vais sortir, je veux que tu fasse le menage.". Puis, sur ces mots, elle prends son manteaux, et sort, me laissant seul. Ma première mission, trouver les outils de ménage, est rapidement accomplie. Les deux heures qui suivent, je brosse, balaie, netoie et range son appartement. Quand elle revient, je suis en train de terminer, et là, elle arrive et me dit "C'est l'heure de changer ta couche, viens", et elle me remet ma laisse. Elle me mene dans une piece ou trone un pilori et d'autres meubles bdsm, elle s'alonge sur un lit recouvert d'un drap en plastique, et me dit : "Allez, esclave, enleves ma couche, et prends en soin". Surpris d'abbord, je vois à son regard qu'elle ne plaisante pas. "Moi, je porte une couche pour le plaisir, contrairement à toi, toi tu en a besoin, espece de petite pute incapable d'être propre" rajoute-t-elle. Docile, j'enleve sa couche, et la mets de coté, puis, avec des lingetes, j'entreprend de netoyer ses fesses et son sexe. Alors que j'ai presque fini, elle tire fort sur ma laisse, me met la tête dans ses fesses, et me pête au visage. Sans me laisser de répit, elle met mon visage sur son sexe, et m'ordonne de lecher. Je m'execute, soumis a sa volonté. Quand elle a atteint son orgasme, elle m'ordonne de lui mettre une nouvelle couche, et, apres m'être executé, j'amorce un mouvement en direction de la couche salle, dans l'objectif de la jetter. Elle me met alors une giffle, puis, en tirant fort sur ma laisse, elle me hurle "Qui t'as dit de faire ça, salope ?"; puis elle me crache au visage, et me tire vers la croix de saint-André, qui était au fond de la salle. Après m'avoir solidement attaché, elle entreprend de m'enlever ma couche. elle la pose par terre, elle me netoie les fesses, et le sexe, puis elle saisi sa couche sale, qu'elle vient de porter, et me l'enfile. Quelle humiliation, et quelle plaisir, de sentir sa couche encore tiède, et souillée, quel bonheur de sentir ses excrements s'étaler sur ma peau. Après ça, elle me laisse attaché pendant plusieurs minutes, puis revient, me détache, et, toujours en laisse, m'amene vers le salon. Elle me pose une gamelle, par terre, remplie de nouriture, et m'ordone de la manger. Une fois mon repas fini, elle m'annonce que je vais être puni pour ma désobéissance de tout à l'heure. Elle me montre un pilori de contrainte, et m'attache dessus. Elle s'assoie sur le canapé, pose ses pieds sur moi, et commence a regarder la télé en mangeant. Plusieurs heures plus tard, elle a fini de regarder son émission, et me mene dans une cage, puis éteind la lumiere et me laisse là pour la nuit.
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Nous nous sommes rencontrés sur un site BDSM,nos échanges d'idées et de désirs ont débuté. Nous avons ensuite décidé de développer nos scénarios et envies à travers des conversations enflammées sur WhatsApp.
Chaque message était une nouvelle étape dans notre exploration mutuelle, une plongée audacieuse dans les profondeurs de nos fantasmes.
Nos voix se sont découvertes lors de nos premiers échanges téléphoniques, et bien que le ton de notre discours verbal soit moins enflammé que celui de nos échanges écrits, nos désirs étaient toujours palpables.
Les mots prononcés à voix haute étaient teintés de promesses et de désirs.
Après des semaines d'échanges intenses, nous avons décidé de nous rencontrer autour d'un verre
Nous avons choisi un lieu discret, propice à l'exploration de nos pulsions les plus profondes.
Nous nous sommes salués avec une complicité évidente, conscients de l'intensité de nos échanges en ligne.
Je vous ai appelé Madame, et vous m'avez appelée Pat, respectant les rôles que nous avions définis lors de nos échanges.
Le désir brûlait dans nos regards, et nos sourires en disaient long sur nos intentions.
Pendant cette rencontre, vous avez pris doucement votre place de dominante, et j'ai savouré chaque moment.
Nos conversations étaient ponctuées de regards intenses,de gestes suggestifs et nos mots évoquaient les actes les plus audacieux que nous avions imaginés.
Mais,comme toutes les bonnes choses,notre rencontre touchait à sa fin. L'heure de nous quitter approchait.
j'ai voulu vous embrasser tendrement sur la joue. Cependant, vous avez tourné votre visage et nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser passionné.
Votre morsure douce mais déterminée sur ma lèvre a renforcé l'intensité de notre connexion,confirmant mon engagement en tant que futur soumis à vos désirs.
Nous avons continué à échanger des textes et des photos perfectionnant notre futur rendez-vous dans les moindres détails.
Chaque message était une promesse de plaisir et d'excitation alimentant notre anticipation pour notre prochaine rencontre.
Et ainsi,le jour tant attendu est arrivé.
Nos corps frémissants, nos esprits embrasés, nous nous sommes retrouvés
Dès mon arrivée,vous m'accueillez avec un regard brillant d'une lueur dominatrice. D'un geste impérieux,vous me guidez vers un espace que vous avez préparé pour notre rituel de soumission.
Sans un mot vous commencez à déboutonner lentement ma chemise,vos doigts glissant avec une précision calculée. Chaque pression légère de vos doigts sur ma peau fait naître en moi un mélange d'excitation et d'appréhension.
Une fois ma chemise retirée que vous laissez tomber négligemment au sol,votre regard se fixe sur mon torse dénudé.
Vos mains expertes continuent à m'explorer,dégrafant ma ceinture et ouvrant lentement mon pantalon.
Puis tirez délicatement dessus le faisant glisser lentement le long de mes jambes jusqu'à ce qu'il repose en un amas de tissu à mes pieds.
Je me retrouve alors en sous-vêtements,exposé devant vous,ma vulnérabilité grandissante à chaque instant.
Vos yeux scrutent chaque centimètre de ma peau, parcourant chaque détail avec une attention obsessionnelle.
Votre regard s'attarde,vous approchez votre visage près de mon cou,laissant vos lèvres effleurer ma peau,me faisant frissonner d'anticipation.
D'une main ferme vous caressez mon torse,vos doigts dansant sur ma peau avec une précision hypnotique.
Vous explorez chaque courbe,chaque creux,comme si vous cherchiez à graver mon image dans votre esprit.
Votre toucher est à la fois doux et possessif,éveillant en moi un mélange de désir et de vulnérabilité.
Descendant ensuite lentement vers mon bas-ventre,vos doigts traçant des cercles sur ma peau, provoquant des frissons le long de ma colonne vertébrale.
Votre main glisse plus bas,atteignant l'élastique de mon sous-vêtement.Vous tirez dessus avec une lenteur calculée révélant peu à peu dans toute ma nudité.
Vos yeux fixés sur mon intimité dévoilée,vous ne laissez rien échapper à votre inspection.
Vous observez chaque détail captant la moindre réaction de mon corps sous votre regard intense.
Je me sens complètement exposé, vulnérable à vos yeux avides d'exploration.
Satisfaite de votre inspection,vous vous reculez légèrement un sourire étirant vos lèvres. Vous avez complètement pris possession de mon corps,l'ayant exploré en détails.
Les moments ardents que nous partageons renforcent notre connexion et dévoilent la dynamique de votre domination.
Vous me guidez nu vers la salle de bain,votre main fermement posée sur mon épaule. Chaque pas que nous faisons renforce votre contrôle sur moi,ma soumission grandit.
Vous allumez l'eau chaude,créant une atmosphère de chaleur et de vapeur.
D'une voix ferme et dominante, vous me commandez de me placer sous le jet d'eau,m'ordonnant de me tenir droit et les bras le long du corps.
Je me sens vulnérable et exposé,conscient que vous avez le plein contrôle sur moi et que vous allez me laver selon vos désirs.
Une fois terminé vous me guidez hors de la douche d'un geste ferme et déterminé m'enveloppant dans une serviette douce et moelleuse.
Vous ne laissez aucun centimètre de mon corps humide échapper à votre attention. Votre regard intense fixé sur moi, vous prenez le temps de sécher chaque parcelle de ma peau,
vos mains fermes glissant avec une précision calculée,chaque contact de la serviette sur ma peau est empreint de votre fermeté
Séché, je me tiens là,exposé et vulnérable.Je suis pleinement conscient de ma place,entièrement à votre disposition.
Mon corps nu étant un symbole tangible de votre contrôle absolu.
Vous me prenez par la main et m'emmenez dans la salle à manger,chaque mouvement étant empreint de votre autorité dominatrice.
Lorsque nous arrivons,vous m'ordonnez de me tenir au centre de la pièce les jambes légèrement écartées,une position qui me rappelle ma vulnérabilité à votre égard. D'un geste autoritaire,
vous sortez de votre poche une cage de chastet un symbole puissant de mon entière dépendance à votre contrôle.
Avec une lenteur calculée, vous en ajustez la taille pour qu'elle s'adapte parfaitement à mon sexe,une manipulation qui ne fait qu'accentuer mon excitation grandissante.
Je vous observe attentivement captivé par chaque mouvement de votre main ferme, conscient que chaque clic de la cage se refermant est un rappel cinglant de ma soumission complète et de mon incapacité à jouir sans votre permission.
Je suis maintenant prêt à me soumettre pleinement à vos désirs les plus profonds, à me perdre dans l'abîme de votre contrôle,à trouver une satisfaction totale dans mon abandon à votre pouvoir.
Une fois la cage verrouillée, vous placez les clés dans une petite boîte,scellant ainsi mon sort et symbolisant votre contrôle absolu sur mon plaisir.
Un sourire satisfait se dessine sur votre visage
Vous savez que je suis désormais à votre merci,incapable de me libérer de cette cage sans votre consentement.
Je réalise avec une pointe d'excitation mêlée à une légère appréhension que je devrai attendre votre permission pour être libéré.Chaque instant passé avec cette cage resserrera les liens de ma soumission.
Votre regard pénétrant me fixe, m'envoyant des ondes d'obéissance et de soumission.Je ressens une grande excitation mêlée à une vulnérabilité palpable,conscient que je suis entièrement à votre merci et prêt à vous obéir aveuglément.
Je suis prêt à me perdre complètement dans l'abîme de votre contrôle et me laisser guider par votre volonté incontestable.
Vous me surprenez en me passant un gode ceinture par-dessus ma cage, créant ainsi une double sensation de restriction et de stimulation.
Je ressens la pression de la cage qui emprisonne mon sexe,tandis que le gode ceinture se presse contre moi rappelant ma totale dépendance à votre contrôle.
Vous m'attachez ensuite fermement sur une chaise ne me laissant aucune chance de mouvement ou de libération.Mes poignets sont liés par des cordes solides m'immobilisant complètement.
Mes jambes sont également attachées, mes chevilles maintenues par des sangles serrées.
Je me retrouve complètement captif, incapable de résister.
La chaise devient mon univers restreint, où je suis à votre merci.
La cage de chasteté et le gode ceinture sont des rappels constants de ma soumission totale et de mon incapacité à ressentir du plaisir sans votre autorisation.
Dans cet état d'immobilité forcée je suis à votre entière disposition, prêt à subir toutes les sensations et expériences que vous choisirez de m'infliger.
Mon corps immobilisé devient un terrain de jeu, un moyen de vous exprimer pleinement.
Vous prenez le temps d'admirer votre œuvre, Votre sourire satisfait témoigne de votre plaisir intense à me voir ainsi,complètement à votre merci.
Vous savourez l'idée de pouvoir contrôler mes sensations et mon plaisir.
D'un geste lent et provocateur, vous commencez à vous dévêtir, faisant tomber chaque vêtement avec une sensualité délibérée.
Chaque pièce de tissu qui quitte votre corps dévoile un peu plus de votre peau douce et désirable.
Votre silhouette se dessine progressivement devant moi, révélant chaque courbe, chaque ligne sculptée à la perfection.
Mes yeux sont captivés par votre beauté envoûtante, chaque détail de votre corps éveillant en moi un désir intense et une excitation grandissante.
Devetue a votre tour gardant une nuisette à demi transparente caressant délicatement votre peau.Le tissu léger met en valeur vos formes, accentuant la promesse de plaisirs à venir.
Chaque mouvement que vous faites est empreint de grâce, un véritable ballet sensuel qui enflamme mes sens.
Votre assurance et votre puissance rayonnent à chaque instant me rappelant à quel point je suis à votre merci.
Alors que vous vous approchez de moi,votre parfum envoûtant m'envahit créant une atmosphère enivrante.
Je sens mon cœur s'emballer,l'anticipation et l'excitation faisant monter en moi une vague de désir.
Chaque pas que vous faites est calculé pour intensifier cette tension électrique entre nous,renforçant le contraste entre ma captivité et votre liberté.
Votre regard brûlant se pose sur moi, me transperçant de désir et de domination.
Je me sens nu, non seulement physiquement mais aussi émotionnellement,exposé à votre regard impérieux.
Chaque fibre de mon être est consciente de votre puissance qui émane,une puissance qui me submerge et me consume.
Votre corps dévoilé et votre présence magnétique s'affirmant, c'est une véritable torture délicieuse pour moi.
Je suis captivé par votre charisme, votre domination évidente, et je me perds dans le tourbillon de sensations qui m'envahit.
Dans une ambiance brûlante et chargée d'érotisme, vous vous approchez de moi avec une assurance déconcertante.
D'un mouvement gracieux, vous vous asseyez délicatement sur mes genoux, positionnant votre corps face au mien.
Je sens votre présence dominante s'imposer sur moi,votre souveraineté évidente qui éveille en moi une combinaison enivrante d'excitation et de frustration.
Votre regard intense se verrouillé sur le mien capturant mon attention et mon désir.Un sourire malicieux se dessine sur vos lèvres, révélant votre plaisir à me voir dans cet état de vulnérabilité totale.
Chaque expression de votre visage affirme votre contrôle absolu sur moi, renforçant encore davantage l'emprise que vous avez sur mes sensations et mes émotions.
Le gode ceinture en place symbole de votre pouvoir et de votre désir de me dominer accentue mon excitation déjà à son comble.
Je sens sa présence,cette promesse de plaisir et de soumission qui fait battre mon cœur plus rapidement.
Chaque mouvement de votre corps, chaque pression de vos hanches contre les miennes, me rappelle ma place,celle d'un soumis prêt à se plier à vos désirs les plus profonds.
La chaleur de nos corps en contact dégage une sensualité qui parcourt chacune de mes fibres.
Je peux sentir la pression du gode ceinture contre moi, une sensation à la fois délicieuse et frustrante, qui renforce mon désir.
Chaque mouvement que vous faites sur mes genoux est calculé pour intensifier cette tension érotique entre nous, un jeu de pouvoir qui fait monter en moi une excitation inébranlable.
Dans une ambiance sensuelle et intense, vous commencez à me pinçer les seins avec une fermeté délibérée. Chaque pincement fait monter en moi un mélange exquis de douleur et d'ardeur.
Chaque pincement est comme une délicieuse torture, créant une symphonie de sensations contradictoires qui se mélangent dans mon esprit.
La douleur mordante se transforme peu à peu en un plaisir presque insupportable qui fait naître en moi une excitation inébranlable.
Je me retrouve pris entre deux feux,dévoré par le désir et celui me soumettre à vos volontés.
Vous continuez à me pincer les seins avec une précision calculée, variant l'intensité et la localisation des pincements pour explorer mes limites et me pousser toujours plus loin.
Chaque contact entre vos doigts experts et ma peau sensible provoque une réaction en chaîne de plaisir et de douleur m'amenant à un état de vulnérabilité extrême.
Vous jouez avec cette dualité de sensations, alternant entre des pincements plus doux qui font naître un frisson délicieux et des pincements plus fermes qui provoquent une douleur exquise,une souffrance plaisante.
Vous exploitez ma vulnérabilité, me rappelant à chaque instant que je suis complètement soumis à votre volonté et incapable de bouger, enchaîné par les cordes de notre jeu de domination.
Mon corps réagit avec une ardeur indomptable à chaque pincement, chaque pression que vous exercez sur mes tétons. Chaque sensation intense que vous me procurez est un rappel puissant de mon statut.
Mes seins deviennent un terrain de jeu où vous explorez chaque recoin, où vous mêlez habilement douleur et plaisir.
Dans une atmosphère chargée de désir et de domination,vous vous relevez légèrement de mes genoux pour vous y reposé delicatement laissant glisser votre corps sur le gode ceinture que vous m'avez soigneusement enfilé auparavant.
Chaque centimètre de votre peau effleure le jouet, créant une friction délicieusement provocante. Je suis captivé par cette vue captivante,
incapable de participer activement à cette expérience en raison de mes liens et de ma cage de chasteté.Je suis réduit à un observateur impuissant.
Votre silhouette se profile devant moi,votre corps se mouvant avec une grâce sensuelle et une confiance inébranlable.
Le gode ceinture symbole de votre pouvoir et de votre domination devient le prolongement de mon être,renforçant l'intensité de cette scène.
Je sens mon excitation monter,tandis que je vous observe mon corps enchaîné et ma virilité emprisonnée dans une cage de chasteté.
Mes yeux sont rivés sur vous absorbant chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui se dessine sur votre visage.
Chaque va-et-vient de vos hanches sur le gode ceinture est une démonstration de votre pouvoir absolu sur moi, une démonstration de votre capacité à vous donner du plaisir sans que je puisse participer activement.
La frustration mêlée au désir consume mon esprit, alimentant le feu brûlant qui couve en moi.
Je suis témoin de cette expérience érotique avec une intensité presque insupportable.
Vous contrôlez mon plaisir, vous le dirigez et le modulez à votre guise.
Mon corps est en éveil,chacune de vos caresses,de vos mouvements est ressentie avec une intensité exacerbée.
Mes sens sont en alerte, captant le moindre frisson,la moindre expression de plaisir qui se dégage de vous.
Je me sens à la fois excité et frustré désirant ardemment participer activement à ce jeu de plaisir,mais suis réduit à un simple spectateur de votre domination.
Chaque seconde qui s'écoule est une torture délicieuse, une démonstration de votre pouvoir à vous procurer du plaisir sans que je puisse y participer activement.
Mon esprit est embrasé par le désir, la frustration et l'excitation qui se mêlent en une symphonie enivrante.
Vous vous délectez de cette expérience,les va-et-vient de vos hanches s'intensifient,votre rythme s'accélère traduisant votre désir de plus en plus ardent.
Vous vous penchez vers moi, vos lèvres se mêlant aux miennes dans des baisers à la fois tendres et passionnés.
C'est un mélange enivrant de douceur trompeuse et d'ardeur brûlante qui évoque toute l'intensité de notre connexion.
Pendant que nos lèvres s'entrelacent, vous ne manquez pas de continuer à jouer avec mes tétons, les pinçant,les caressant,les mordillant avec une combinaison exquise de douceur et d'ardeur.
Chaque contact de vos mains expertes sur ma peau sensible enflamme mes sens.
Je suis transporté par cette étreinte sensuelle,captivé par chaque sensation qui se propage dans mon corps,mais en même temps je suis frustré par mon incapacité à vous toucher pleinement,à vous donner le même plaisir que vous m'offrez.
Je suis à votre merci incapable de bouger ou de contrôler le rythme effréné de notre étreinte.
Chaque mouvement de vos hanches est une démonstration de votre pouvoir,de votre capacité à me dominer pleinement.
Je suis pris dans un étau de plaisir complètement englouti par la force de vos va-et-vient.
Le gode ceinture que je porte est le symbole de votre domination absolue sur moi.
Je suis attaché sur le siège,ma virilité enfermée dans une cage de chasteté me laissant à votre merci incapable de participer activement à cette expérience.
Mes yeux ne peuvent s'empêcher de fixer votre silhouette gracieuse alors que vous vous mouvez avec une ardeur grandissante.
Chaque va-et-vient de vos hanches témoignant de votre excitation croissante.
Je suis témoin de votre plaisir captivé par la vision de votre corps s'offrant avec détermination et passion.
Mes sens s'enflamment alors que je vous observe impuissant et attaché. Chaque mouvement de vos hanches,chaque gémissement de satisfaction qui s'échappe de vos lèvres renforce ma frustration et alimente mon propre désir.
Votre excitation grandissante se manifeste dans des mouvements de plus en plus rapides et profonds.
Je ressens chaque poussée du gode ceinture,chaque mouvement vibrant à travers mon corps attaché.
Mes sens sont en émoi,mes nerfs à vif alors que je suis emporté par le spectacle envoûtant de votre extase.
Je peux voir l'excitation briller dans vos yeux, vos mouvements devenant plus frénétiques,chaque contraction de votre corps alimentant mon propre désir et ma frustration.
Je suis spectateur silencieux de cette expérience ressentant chaque vague de plaisir qui vous traverse.
Dans cet instant d'étreinte passionnée je suis témoin de votre puissance et de votre contrôle absolu.
Mes yeux se délectent de chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui traverse votre visage.
Je suis à la fois honoré et tourmenté d'être le témoin privilégié de votre plaisir.
Je suis subjugué par la vision de votre extase capturant chaque détail de ce moment intense et inoubliable.
Vos ongles effleurent ma peau avec une légère pression créant une symphonie sensuelle de plaisir et de douleur.
Chaque caresse, chaque griffe parcourant mon corps font naître une sensation délicieusement contradictoire.
Vos doigts continuent leur exploration s'aventurant vers mes épaules.
Chaque caresse,chaque pression légère sème le feu de l'excitation dans mon corps éveillant mes sens d'une manière enivrante.
Je me perds dans cette danse sensuelle abandonnant tout contrôle désirant chaque contact de vos doigts, chaque sensation qui parcourt mon corps.
Vous êtes la maîtresse de mes sens,la créatrise de mes extases les plus profondes.
Je me laisse emporter par cette symphonie sensuelle savourant chaque caresse,chaque griffe,chaque frisson qui fait vibrer mon être tout entier.
Chaque mouvement de vos hanches,chaque pénétration profonde rythmés de vos va-et-vient sur ce gode font monter en moi une multitude de sensations extrêmes,je suis captivé par la vision de votre corps en mouvement.
Les sensations oscillent entre une profonde satisfaction et une envie toujours plus grande de vous sentir en moi.
Je peux sentir chaque centimètre du gode ceinture de vos mouvements de plus en plus rapident écho de votre excitation grandissante alimentant ma propre montée de plaisir.
Chaque va-et-vient font naître des gémissements de plaisir et de désir qui s'échappent vos lèvres.
La tension sexuelle dans la pièce est palpable,le spectacle de votre excitation grandissante,de votre plaisir qui se dessine sur votre visage ajoute une dimension supplémentaire à cette expérience enivrante.
Votre satisfaction est contagieuse alimentant encore davantage mon propre désir.
Je me sens comblé par la sensation de vous voir prendre du plaisir, même si je suis limité à être le récepteur de vos mouvements passionnés.
Je me laisse emporter par cette danse passionnée me perdant dans les vagues de plaisir qui me submergent.
Je suis spectateur de cette expérience ardente ressentant chaque pulsation de plaisir qui vous traverse.
Dans cet instant nous sommes tous les deux transportés vers un état de béatitude sexuelle.
Les frontières entre le plaisir et la douleur s'estompent laissant place à une extase pure et inaltérée.
Nous sommes enveloppés dans un cocon de passion,de désir où le temps s'arrête et où seul compte le lien profond qui nous unit.
Je suis comblé par cette connexion unique, par cet échange de pouvoir.
Puis vous decidez de vous rélevez avec grâce de mes genoux,votre corps enveloppé dans cette nuisette séduisante accentue votre allure captivante.
Votre démarche est empreinte d'une confiance inébranlable alors que vous vous éloignez légèrement pour préparer la prochaine étape de notre jeu sensuel.
Vous revenez vers moi tenant entre vos doigts délicats des pinces à seins.
Votre regard brûlant de désir transmettant une promesse de plaisir intense.
Avec une précision calculée vous fixez fermement les pinces sur mes tétons variant la pression et l'intensité pour me procurer un mélange exquis de plaisir et de sensations douloureuses.
Chaque mouvement que vous faites est délibéré,chaque caresse est pensée pour me faire perdre le contrôle dans un tourbillon de sensations enivrantes.
Vous êtes maîtresse de l'art de la stimulation, sachant comment explorer les limites de mon plaisir et de ma douleur avec une adresse remarquable.
Vous observez attentivement mes réactions, lisant chaque frisson, chaque gémissement de plaisir mêlé de douleur.
Votre satisfaction est palpable,votre plaisir décuplé par l'effet que vous avez sur moi.
Vous êtes à la fois dominatrice et artiste, créant une symphonie de sensations qui me transporte.
Chaque instant est un mélange exquis de douleur,de jouissance,d'excitation et de désir.
Vous me poussez au bord de l'abîme, jouant avec mes limites me faisant ressentir des émotions intenses et contradictoires.
Malgré la douleur qui se mêle au plaisir, je ne peux nier que le fait de m'offrir cette expérience vous procure également une satisfaction profonde.
Votre visage s'illumine d'un sourire de plaisir, vos yeux pétillent d'une lueur de jouissance.
Vous appréciez le pouvoir que vous exercez sur moi,le contrôle absolu que vous avez sur mon plaisir et ma douleur.
Chaque caresse calculée,chaque sensation délibérée renforce notre lien et alimente le feu ardent qui brûle entre nous.
Puis vous décidez de me détacher des cordes qui me maintiennent solidement attaché au siège.
Avec une aisance déconcertante vous défaites les nœuds qui maintenaient mes poignets et mes chevilles captives.
Chaque mouvement de vos mains expertes est précis et calculé démontrant votre contrôle absolu sur la situation.
Une fois libéré, je me retrouve à vos pieds, à votre merci.
Vous me fixez d'un regard dominateur,votre autorité incontestable.
Vous décidez du déroulement de notre jeu,de ce qui va se passer ensuite.
Je suis prêt à me soumettre à vos moindres désirs,à me plier à vos volontés
vous approchez votre corps du mien créant une proximité troublante,vos mains se promènent sur ma peau effleurant chaque parcelle de mon être.
Votre voix résonne dans la pièce, commandant mon obéissance, dictant les règles.
Vous me guidez avec autorité, me disant comment vous voulez que je me comporte, comment vous voulez que je vous serve.
Je suis prêt à me donner entièrement à vous,à répondre à vos moindres exigences.
Dans cet instant, je suis votre jouet, votre objet de plaisir.
Vous décidez de mon sort,de la façon dont vous allez me ravir et m'emmener au-delà de mes limites.
Je suis prêt à vous suivre dans les recoins les plus sombres de notre exploration,à me perdre dans l'abîme de votre domination.
Alors que vous me regardez avec un sourire satisfait,je sais que notre voyage dans le monde de la domination ne fait que commencer,
je suis à la fois effrayé et excité de découvrir jusqu'où vous êtes prête à me mener.
Vous me guidez à m'allonger sur le dos.
Votre regard dominant fixe le mien, transmettant une excitation électrisante.
Vous retirez lentement la cage de chasteté qui emprisonnait mon plaisir libérant mes sens et réveillant une anticipation palpitante.
Avec une confiance calculée vous m'écartez les jambes, révélant ma vulnérabilité totale.
Une vague d'excitation parcourt mon corps alors que je me prépare à succomber à vos désirs et à votre contrôle absolu.
Dans cet instant vous saisissez une corde fine, prête à explorer de nouveaux horizons de plaisir et l'enroulez autour de mon sexe créant une sensation à la fois sensuelle et stimulante.
Chaque contact enflamme ma peau mes sens, m'invitant à me perdre dans cette danse sensuelle.
Vous prenez votre temps pour y attacher mes testicules comme si vous vouliez les désolidariser.
Chaque nœud que vous faites est précis et calculé créant une tension délicieuse sur mes bourses tendues.
Les cordes serrant mes testicules, les laissant bien en évidence à votre vue.
Je suis totalement exposé à votre merci,ce qui amplifie mon excitation et mon sentiment de vulnérabilité.
Vous prenez plaisir à observer votre œuvre, votre regard dominant fixé sur ma réaction,tandis que je suis à la fois captivé et ému par cette sensation.
Les sensations intenses se mêlent à un mélange de plaisir créant une expérience érotique qui transcende les limites conventionnelles.
Dans un moment intensément érotique, vous me laissez dans cette position vulnérable,mes testicules attachés et exposés à votre vue.
Vous vous munissez d'une bougie, allumant la mèche avec une lenteur délibérée.
La flamme danse devant vous éclairant votre visage d'une lueur sensuelle.
Vous savourez l'instant,prenant le temps de créer une tension palpable.
La cire chaude de la bougie commence à fondre goutte après goutte, les laissant tomber avec soin sur mon corps en choisissant délibérément les endroits où la sensation sera la plus intense.
Chaque goutte qui touche ma peau fait naître une brûlure délicieuse, une combinaison exquise de plaisir et de douleur.
Mon corps réagit avec une intensité croissante se délectant de l'érotisme de cette expérience.
Je suis complètement à votre merci et cette sensation de soumission m'envahit mélangeant l'excitation dans une danse captivante.
Vous observez attentivement mes réactions, cherchant à lire les signes de plaisir et de consentement dans mes yeux.
Chaque goutte de cire versée est un acte de contrôle, une exploration de mes limites et de ma confiance en vous.
Vous savourez chaque instant, consciente de l'effet hypnotique que cela a sur moi.
Chaque détail est soigneusement orchestré pour créer une expérience intense et captivante
Le mélange de la chaleur et de l'inconfort me fait gémir de plaisir, tandis que vous savourez l'image de votre satisfaction.
Vous continuez à verser la cire, alternant entre douceur et intensité explorant les limites de mon plaisir.
Vous m'observez, attentivement, cherchant à me pousser toujours plus loin dans cette extase torride.
Alors que la cire continue de couler mêlant plaisir et douleur, vous me murmurez à l'oreille que je suis à votre merci, que je suis complètement à votre disposition.
Vous prenez plaisir à voir mon abandon total à vos désirs.
Et dans un mouvement de commandement vous me demandez de me mettre à quatre pattes, assumant ainsi une position de soumission,je m'exécute, sentant l'excitation monter en moi.
La posture à quatre pattes accentue mon sentiment de vulnérabilité
Dans cette position, je suis à votre entière disposition.
Vous saisissez un fouet et avec une douceur calculée,vous laissez glisser les lanières du fouet sur mon dos, effleurant ma peau d'une manière créant une sensation de caresse sensuelle.
Chaque mouvement est pensé, chaque contact est soigneusement orchestré pour faire naître en moi une anticipation palpitante
Les lanières se promènent avec une grâce sinistre sur mes fesses et mes jambes, faisant frissonner tout mon être.
Je peux sentir le contact délicat de chaque lanière, éveillant mes sens les plus profonds.
Et puis, sans le moindre avertissement, vous faites claquer le fouet sur mes fesses
Encore et encore,les coups alternent entre douceur et intensité, créant une symphonie de sensations.
Les lanières frappent ma peau avec précision, trouvant leur cible à chaque fois.
Une douleur délicieusement mêlée à une onde de plaisir se propage dans mon corps,m'enveloppant dans une extase indescriptible.
Mes fesses,commencent à rougir sous l'impact, les marques de votre domination se dessinant sur ma peau.
Chaque coup du fouet résonne dans l'air créant une atmosphère électrique chargée d'excitation et de désir.Je me retrouves pris au piège entre la douleur et le plaisir dans un état de vulnérabilité totale.
Mon esprit est submergé par cette expérience, mes sens sont en ébullition.
Chaque coup de fouet me pousse plus loin dans les abysses de la soumission, m'abandonnant un peu plus encore.
Vous êtes là, observant avec un sourire les marques de votre oeuvre se dessiner sur ma peau.
Chaque coup est une preuve tangible de votre supériorité et de mon assujettissement.
Vous savourez cette scène,vous enivrant de mon désarroi et de mon plaisir mêlés.
Une fois votre fouet posé,vous me demandez de rester bien cambré offrant ainsi une cible parfaite.
Vous approchant de moi avec une lueur dans les yeux, prête à poursuivre cette exploration.
D'un geste ferme, vous prenez position derrière moi, capturant mon corps dans vos mains en laissant une posée sur ma fesse.
Puis, sans prévenir, vous la soulèvez,la laissant retomber avec force sur ma peau déjà rougie.
Les claques résonnent dans la pièce créant une symphonie de douleur et de plaisir vous assurant de marquer chaque centimètre accentuant la rougeur déjà présente.
Vos mains dominantes frappent avec une précision calculée, alternant entre des gifles douces et des claques plus intenses.
Ma peau réagit à chaque impact, vibrant sous la sensation de vos mains possessives.
La douleur se mêle au plaisir créant une danse délicieuse ou je ne peux m'empêcher de gémir sous l'intensité de chaque coup, sentant mon corps se soumettre davantage à votre volonté.
Vous savourez chaqu'une de mes réactions, chaque marque rouge qui se dessine sur ma peau.
Voir mon désir se mêlant à la douleur vous ne pouvez vous empêcher d'être excité par cette vision.
La vue de mes fesses rougissantes sous vos coups, de mon corps cambré offert à votre volonté, est un spectacle qui enflamme vos sens
Lorsque vous me voyez cambrer davantage, offrant mon corps en une parfaite soumission, vos pulsions sont amplifiées.
Cette position met en évidence ma vulnérabilité et ma dépendance à votre égard renforçant ainsi le lien de domination qui nous unit.
Admirant mom postériure rougi, vous décidez de passer à l'étape suivante en enfilant votre gode ceinture.
Mais avant cela vous prennez un moment pour lubrifier vos doigts.
Vous vous approchez de mon anus, caressant délicatement cette zone sensible avec votre doigt lubrifié.
Le contact de votre peau contre la mienne combiné à la sensation du lubrifiant provoque une onde de plaisir et d'excitation.
Vous me pénètrez doucement avec un premier doigt,sentant ma résistance initiale se mêler à une envie grandissant,me préparant à vous recevoir.
Sans relâche vous insèrez un deuxième doigt élargissant progressivement mon anus pour y accueillir ce gode.
Chaque mouvement est calculé, chaque caresse interne est destinée à m'ouvrir davantage à votre domination.
Vous sentez mon corps réagir à chaque pénétration,mes soupirs de plaisir se mêlant à une légère douleur.
Votre objectif est de me préparer,de me faire ressentir une plénitude totale sous votre domination.
Chaque pénétration de vos doigts me rapproche de cet état de soumission ultime, où je vous recevrais avec dévotion et abandon.
Avec une lenteur calculée vous guidez le gland de votre strapon vers mon anus lubrifié me faisant ressentir une légère pression à l'entrée.
Puis, d'un mouvement déterminé, vous vous enfoncez en moi, sentant les parois de mon anus s'ouvrir pour vous recevoir.
Vous commencer à bouger votre bassin, faisant le faisantvglisser en moi avec une précision calculée.
Chaque mouvement crée une symphonie de sensations, où douleur et plaisir s'entrelacent dans une danse infernale.
Sans ménagenagement, vos pénètrations se font grandissante, sans relâche.
Chaque poussée du gode ceinture est empreinte de votre soif insatiable de pouvoir et de contrôle.
Vous sentez mon corps réagir à chaque mouvement, à chaque centimètre qui s'enfonce en moi.
Chaque pénétration profonde et vigoureuse devient pour vous un moyen de canaliser ces sentiments refoulés.
Vous vous laissez emporter par une frénésie passionnée laissant votre frustration se transformer en une énergie brute et libératrice.
Chaque mouvement est une explosion de désir et de pouvoir, une libération totale de vos propres tensions.
Mais ce n'est pas seulement vous que vous libèrez.
Chaque mouvement que vous faites résonne en moi, libérant une vague brûlante de désir ardent et une extase enivrante qui consume mes sens.
Vous vous déchaînez avec des mouvements de plus en plus forts, de plus en plus profonds abandonnant toute retenue pour nous perdre dans cette étreinte ardente.
La fusion de nos énergies de nos désirs brûlants crée une symphonie de plaisir et de libération,un acte de délivrance, une explosion de sensations qui nous transporte.
Vos pénétrations deviennent de plus en plus rapides, de plus en plus puissantes créant une frénésie qui transcende les limites du plaisir physique.
Vous sentez dans cet acte une libération psychologique, une exaltation.
En inversant les rôles prenant la position du mâle, une transformation s'opère en nous.
Nous nous libèrons psychologiquement, nous débarrassons des pressions de la société .
Me pénétrer devient un moyen de vous d'affirmer et d'explorer vos propres désirs.
C'est une libération des tensions psychologiques qui nous entrave.
Nous délivrant ainsi de la pression sociale, des inhibitions et des contraintes imposées par les normes.
C'est un voyage vers l'acceptation de soi, vers la découverte de vos véritables désirs et de votre puissance.
Vos mains se crispent sur moi,agrippant à mon corps avec une fermeté dévorante, marquant ma peau de votre passion déchaînée.
Les claquements sur mes fesses résonnent comme une symphonie sensuelle accompagnant vos va-et-vient de plus en plus puissants.
La chaleur entre nos corps s'amplifie créant une véritable fournaise de désir.
Nos peaux se mêlent dans une danse enivrante transpirant l'abandon. Chaque mouvement est empreint d'une énergie brute d'une frénésie qui nous consume et nous pousse au-delà de toutes limites.
À mesure que l'excitation monte, Vous sentez vos propres inhibitions se dissoudre.
Emporter par l'intensité de l'instant,c'est un véritable exutoire psychologique, une occasion de vous laisser aller et de vous perdre dans l'acte.
Chaque griffure laissé sur mon dos, chaque claque sur mes fesses, représente une libération de vos propres tensions vous donnant l'opportunité de vous exprimer pleinement.
Vous sentant enfin libre, débarrassé des barrières qui vous on retenu pendant si longtemps.
Cette désinhibition psychologique vous fait du bien, vous procure une sensation de légèreté et d'euphorie.
Vous lâchant encore plus dans l'acte, laissant vos désirs les plus sombres et les plus profonds prendre le contrôle.
C'est une véritable catharsis.
Nous trouvons une connexion troublante où la libération psychologique s'entremêle au plaisir physique.
Chaque gémissement extatique qui s'échappe de mes lèvres est comme une décharge libératrice pour vous.
Vous pouvez enfin exprimer pleinement cette part de vous même.
Après quoi,vous vous retirez de mon être, laissant un vide en moi.
L'expression de satisfaction sur votre visage en dit long sur le plaisir que vous avez pris à me posséder.
Nos regards se croisent empreints d'une complicité.
Alors que vous savourez l'image de ma soumission et de mon abandon,vous vous asseyez avec grâce sur le canapé, laissant une lueur de malice.
Vous sentez mon regard brûlant sur vous alors que vous ouvrez délicatement vote nuisette, révélant vos courbes voluptueuses.
Le tissu glisse le long de votre peau dévoilant maintenant en totalité votre corps
Vos gestes sont lents et calculés,accentuant le suspense et l'excitation qui règnent dans l'air.
Vous me fixez intensément,vos yeux pétillant d'une lueur de désir.
Vous savez que je suis captivé par cette vision et par l'anticipation de ce qui va suivre.
Vos jambes légèrement écartées, votre corps offert à mon regard avide,vous m'invitez d'un geste à m'approcher, à me rapprocher de vous pour profiter de cette intimité partagée.
Le désir brûle en vous, prête à être libéré dans une explosion de plaisir.
C'est a cette instant vous me dites:
-"Laisse-moi te montrer tout ce que je suis prête à offrir, à te faire découvrir,les délices que nous pouvons partager ensemble.
Dans cette atmosphère chargée de désir, nous allons créer une symphonie de sensations et d'extase, explorant les recoins les plus intimes de nos fantasmes.
Prépare-toi à plonger dans un océan de plaisir à te perdre et à vivre une expérience inoubliable.
Je suis prête à te guider.
Viens à moi, laissons-nous succomber à nos désirs les plus profonds et à cette passion ardente qui brûle entre nous."
Je m'approches de vous positionné entre vos jambes,mon regard s'embue d'excitation.
Avec un sourire malicieux vous prenez doucement les cordes attachés autourt mon sex les défaisant délicatement,libérant mon intimité de leur emprise.
Chaque nœud qui se défait représente une nouvelle forme de liberté, une invitation à explorer des plaisirs encore plus intenses.
Vous pouvez sentir mon souffle s'accélérer alors que je ressens la libération de mon corps laissant place à une sensation de légèreté et de vulnérabilité.
Ma peau frissonne sous vos doigts, révélant mon excitation grandissante.
Vous voyez l'anticipation dans mes yeux, ma volonté de goûter à cette nouvelle liberté que vous m'offrez.
me demandant de me mettre a genoux entre vos jambes
Vous me guidez doucement la tête vers votre intimité.
Votre regard est rempli de désir et d'attente sachant que je suis maintenant prêt à vous donner du plaisir.
D'une voix sensuelle, vous me dictez les mouvements que je dois effectuer, me guidant dans l'art de vous satisfaire,vous m'encouragez à prendre mon temps, à explorer chaque recoin de votre féminité.
Vous sentez ma douceur sur votre peau, laissant ma langue se faufiler avec délice entre vos plis intimes.
Vous gémissez de plaisir alors que je me délectes, répondant à chaque mouvement que je fais avec une intensité grandissante.
Vous m'encouragez à jouer avec votre clitoris, à le caresser avec habileté, créant des vagues de plaisir qui se propagent à travers tout votre corps.
Vous me dites alors:
-"N'hésites pas à explorer à varier les rythmes et les pressions, à me donner autant de plaisir que tu le désires.
Je suis là pour te guider, pour t'encourager à me faire atteindre des sommets de jouissance.
Alors, plonges-toi dans cette expérience, savoure chaque instant de cette intimité partagée.
Je suis prête à me laisser emporter par les vagues de plaisir que tu créeras.
Montre-moi tout ce dont tu es capable avec ta bouche et ta langue, donne libre cours à ton imagination "
Vous me guidez avec douceur, me montrant les angles et les mouvements qui vous procurent le plus de plaisir.
Je suis attentif à vos réactions, à vos gémissements, ajustant mes mouvements pour vous donner une satisfaction toujours plus intense.
Vos mains se glissent dans mes cheveux, les caressant avec tendresse, amplifiant les sensations qui parcourent tout votre être.
Nous sommes enveloppés par cette intimité partagée, cette connexion unique qui transcende les limites du plaisir.
Vous êtes inondée d'une extase délicieuse, vous laissant emporter par des vagues de sensations.
Alors que nous sommes tous les deux pris d'une d'excitation ardente, vous décidez de mettre un terme à mes caresses.
Vous sentez ma frustration grandir, mais ce n'est que le début de quelque chose de plus intense.
Avec une grâce sensuelle vous m'allonger délicatement. Vous positionnant au-dessus de moi, à califourchon.
Sentant mon sexe tendu de désir contre votre peau chaude et humide.
Vous vous frottez lentement, créant une friction délicieuse faisant monter encore plus notre excitation
Vos mains parcourent mon torse avec douceur, vos doigts effleurant ma peau brûlante.
Vous vous penchez en avant, vos seins frôlant ma poitrine créant une stimulation supplémentaire faisant monter notre désir à son paroxysme.
Nous sentons la tension sexuelle entre nous augmenter et nos corps sont en parfaite harmonie.
Frémissant d'excitation vous décidez de passer à l'étape suivante.
Vous vous redressez légèrement permettant à mon sexe ferme et impatient de s'introduire en vous.
Vous sentez mon désir grandir à chaque centimètre qu'il pénètre nous connectant d'une manière intime et profonde.
Enfoncer entierement avec grâce et délicatesse en vous, chaque mouvement de nos hanches s'entremêlent.
Vous vous cambrez légèrement offrant une vue délectable sur nos corps en fusion.
Nos souffles se mêlent dans un rythme effréné, nos gémissements emplissent la pièce alors que nous nous laissons aller à cette danse passionnée.
Vous sentez mes mains se poser sur vos hanches guidant nos mouvements,amplifiant notre plaisir commun.
Vos ongles griffent légèrementmon torse laissant des marques éphémères de notre passion dévorante.
Nos corps sont en parfaite osmose se mouvant avec une synchronisation parfaite créant une symphonie de sensations envoûtantes.
Chaque mouvement chaque va-et-vient fait monter notre plaisir.
Dans un instant de pure extase,nous sommes submergés par l'orgasme.
Nos corps se raidissent,nos soupirs s'intensifient et nous nous abandonnons à cette délicieuse libération.
A l'apogée de notre plaisir partagé vous sentez l'orgasme vous envahir,les vagues de plaisir déferlent.
Vous êtes submergée par les sensations les plus délicieuses sentant ma semence chaude se répandre en vous.
Chaque pulsation de mon éjaculation vous fait frissonner, vous rappelant la puissance de notre passion partagée.
Vous savourez l'extase de notre union nos corps vibrant d'une satisfaction totale.
Les spasmes de votre orgasme se fondent avec les miens, créant une symphonie de plaisirs inoubliables.
Nous nous laissons aller, puis nos souffles s'apaisant peu à peu épuisés et comblés.
D'un geste délicat, vous passez votre doigt sur le bout de mon pénis pour y recueillir les dernières gouttes de notre plaisir partagé,le portant délicatement à mes lèvres.
Ce geste symbolique soulignant notre lien profond et notre complicité dans cette relation de soumission.
Il est une marque de votre possession de mon plaisir et de ma soumissions.
Il est le symbole de notre passion partagée et de notre engagement mutuel dans ce jeu de domination
Nos regards sont remplis de satisfaction et de complicité.
Nous avons créé un souvenir inoubliable, une expérience qui restera gravée dans nos mémoires et nourrira nos fantasmes futurs.
Nos peaux encore chaudes se caressent doucement, nos doigts s'entrelacent dans un geste tendre et réconfortant.
Nous nous regardons avec des sourires complices, nos yeux reflétant la satisfaction
Nous évoquons notre expérience, partageant nos sensations et nos émotions.
Nous exprimons nos ressentis, nos désirs et nos envies créant un espace de communication profonde.
Nous partageons nos moments de vulnérabilité et nous nous émerveillons de la connexion que nous avons pu créer renforçant ainsi notre complicité tant physique qu'émotionnelle.
Nous savourons chaque détail de notre aventure, revivant les moments les plus intenses
Nous sommes reconnaissants l'un envers l'autre pour cette aventure inoubliable pour avoir créé un espace où nos désirs les plus profonds on pris vie.
Nous en discutons,bâtissant un monde de plaisir et d'extase, où nos fantasmes futurs les plus audacieux se réaliserons.
Que notre passion continue de brûler, toujours plus ardente et toujours plus intense.
Après avoir partagé une douche sensuelle,d'une main ferme mais délicate, vous me remettez ma cage de chasteté, scellant ainsi notre jeu de pouvoir et de contrôle qui me rappellera constamment ma soumission envers vous.
Vous vous enveloppez dans votre nuisette.
Vous vous sentez puissante, confiante dans votre rôle de dominante, prête à m'emmener vers de nouveaux sommets de plaisir et de soumission.
Nous prenons place sur le canapé, nos corps à peine couverts par nos vêtements et nous prenons un café.
Vous me demandez de vous raconter comment j'ai vécu notre première expérience de domination, comment j'ai ressenti chaque moment, chaque geste de pouvoir que vous avez exercé sur moi.
Vous écoutez attentivement, cherchant à comprendre mes désirs, mes limites et mes envies.
Puis, nous tournons notre regard vers l'avenir, évoquant nos futurs ébats et les nouvelles frontières que nous souhaitons explorer.
Vous me partagez vos envies, me décrivant les scénarios qui enflame vos pensées. Les images se bousculent dans votre esprit, alimentant notre feu ardent de passion et de plaisir.
Nous sommes complices, deux âmes qui s'ouvrent l'une à l'autre, prêtes à se perdre dans un monde de fantasmes et de désirs inassouvis.
Alors que nous savourons notre café, nos regards étincelants de désir et de complicité, nous sentons que ce ne sont que les prémisses de nos futurs ébats qui nous attendent.
Impatients de plonger dans ces nouvelles expériences,vous me dites :
-"Mon cher soumis, maintenant que nous avons échangé nos paroles intimes, je te demande de te souvenir de ta nouvelle position dans notre jeu de domination.
Désormais, tu es entièrement mien, et lors de nos jeux passionnés, tu devras m'appeler "Maîtresse".
C'est ainsi que je souhaite être honorée et vénérée par toi.
Chaque geste, chaque mot que tu prononceras, sera une preuve de ton dévouement envers moi.
Je serai ton guide, ton inspiration, ta source de plaisir et de discipline.
Je t'apprendrai les délices de l'obéissance et de la soumission".
Avec un sourire malicieux, vous me murmurez à l'oreille les règles que je devrais respecter :
-" tu devras me servir avec dévotion, être à mon écoute et répondre à mes moindres demandes. Ta seule mission sera de me satisfaire, de me rendre heureuse et de te soumettre à mes caprices les plus audacieux.
Dans notre intimité, tu seras mon jouet, mon objet de plaisir.
Je te guiderai à travers des jeux de soumission, t'offrant une expérience unique et inoubliable.
Tu seras à mes ordres, prêt à combler mes désirs avec une dévotion totale.
Mon cher soumis, prépare-toi à entrer dans un monde où les frontières du plaisir seront repoussées",
Maintenant Répète après moi :
-"Je suis ton soumis, Maîtresse. Je me soumets entièrement à toi. Avec ces mots, tu scelleras ainsi notre pacte de soumission et d'adoration mutuelle".
En prononçant ces paroles, je sais que je me livre corps et âme à sa domination. Mon cœur bat plus vite, empli de l'anticipation des plaisirs que qu'elle me réserves.
En acceptant ce pacte, je me sens libéré de mes inhibitions
Apres avoir prononcé ses paroles, je vous dit :
-"Je suis rempli d'une gratitude profonde d'avoir été choisi pour être votre soumis, Maîtresse.
Je serai à la hauteur de vos attentes, prêt à vous satisfaire et à vous combler à chaque instant.
Vous me repondez a votre tour
-"Prépare-toi, mon cher soumis, car notre aventure ne vient que de commencer
Je vais te guider vers des horizons inexplorés de soumission et d'extase."
"Maintenant, tu m'appartiens, tu es à moi..."
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Nous nous sommes vus deux fois uniquement.
Pour être franc, nous nous sommes perdus de vue pour 2 raisons: elle avait des choses à régler avec son précédent Dom et j'ai dû repartir à Bucarest plusieurs mois pour mon travail
Dommage pour moi bref...
Après notre 1ere rencontre, nous avons bcp échangé sur ce qu'elle avait ressenti, sur ce qu'elle avait plus aimé et souhaiterait pour la prochaine fois.
Nous nous sommes donc donnés RDV dans mon hôtel du moment, dans le 9e.
Elle devait arriver vers 19h. 19h15 puis 20, puis 25, tjrs pas de nouvelle.
Puis elle m'envoie un sms: je me gare et je vous appelle lorsque j'arrive à l'hôtel.
5 minutes, 10 minutes, 15 minutes passent. Je lui envoie un sms, pas de réponse.
Je m'inquiète.
Et le téléphone de ma chambre sonne: "bonjour, Madame X vous attend à la réception".
Surpris, je descends. Elle est assise devant le réceptionniste en jupe courte et talons. Il avait une vue imprenable sur ses jambes.
Elle me voit et vient à ma rencontre. Elle est très gênée: elle n'avait plus de batterie et ne pouvait m'appeler. Je me suis senti con de ne pas être aller à sa rencontre plus tôt. Ce n'était pas gentleman...
Le réceptionniste nous regarde avec un sourire coquin.
Nous montons dans l'ascenseur et je la prends par les cheveux pour l'attirer à moi. Je l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se mélangent, sa bouche est douce et humide.
Nous arrivons, je la relâche et nous entrons dans la chambre.
Je l'invite à mettre son sac, son manteau sur une chaise.
Elle pose son sac et avant d'enlever son manteau, elle ôte sa culotte en premier.
Dans nos échanges avant ce rdv, elle devait venir en jupe et sans culotte.
Elle m'explique qu'elle n'avait pas osé marcher dans la rue sans culotte.
Elle semble très gênée de me l'avouer. Je souris parce que finalement à ce moment là, je me rends compte que de la voir ôter sa culotte devant moi, pour moi dès son arrivée m'excite.
Par ce geste, elle me fait passer le message qu'elle se donne à moi.
Loin de la réprimander, je suis au contraire excité.
Elle enlève son manteau et se positionne devant moi en attente.
Je la regarde et l'embrasse de nouveau. Une main tenant ses cheveux, l'autre glissant sur ses fesses.
Je soulève sa jupe et empoigne ses fesses.
Puis je glisse vers sa chatte. J'aime les femmes épilées, c'est ainsi, mon choix.
Et nous étions d'accord qu'elle serait inspectée à son arrivée.
Sa chatte est douce, vraiment douce.
"parfait"lui dis-je. Elle comprend bien sûr.
"Déshabilles toi". Elle s'exécute sans attendre.
Elle est nue devant moi.
"J'ai rapporté mon collier et ma laisse, Mr" me dit-elle et me tent ses accessoires sortis de son sac.
Je suis ravi et lui mets son collier, l'attache à sa laisse. Elle m'est alors reliée Je tire sa laisse pour lui faire sentir mon emprise et l'approcher de moi.
Je suis plus grand qu'elle. Je la regarde de haut, elle n'ose pas lever le regard.
"À genoux"
Elle se positionne mais elle n'a pas le temps de rester ainsi, je l'entraine par sa laisse à 4 pattes dans la chambre. Elle n'est malheureusement pas très grande alors je lui fais faire des ronds. Elle se dandine. Ses fesses sont à ma vue, ma merci.
Je la fesse sans violence mais qu'elle sente sa domination.
Je m'arrête "mets-moi nue pieds"
Elle est à genoux et retire chaussures et chaussettes avec attention.
Je prends sa tête par les cheveux et l'amène sur mes pieds
"Embrasse-les, leche-les". Je sais qu'elle aimait cet acte. Elle m'en avait bcp parlé.
En tant qu'homme, je me rend compte qu'une femme est en train de lécher, embrasser mes pieds: c'est tout de même un instant assez incroyable.
Je réalise un fantasme une nouvelle fois: lors de notre 1er rdv, elle avait déjà réalisé ce désir. J'ai une chance énorme de l'avoir rencontrée.
Je reprends mon récit avant que mes souvenirs s'effacent...
Elle est là, à genoux, à embrasser et lécher mes pieds.
Je profite de ce moment de domination et cette sensation de sa bouche sur mes pieds.
C'est une sensation agréable.
"Ça suffit, relève toi" elle reprends sa place à genoux. Elle n'ose me regarder alors que je n'attends que ça. Elle rougit: a-t-elle honte de son acte? De son envie d'embrasser les pieds d'un homme ? Plus tard, je lui dirai que j'ai aimé cet instant. Je veux qu'elle se sente en confiance, qu'elle se lâche, qu'avec moi elle peut être celle qu'elle souhaite être. Nos désirs sont nos plaisirs. Je ne la juge pas, bien au contraire je l'accueille volontiers.
"Enlève mon pantalon" lui ordonne-je toujours tenue en laisse.
Elle enlève ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait glisser sur mes jambes. Elle soulève un pied et passe le pantalon, soulève le second et me débarrasse de ce vêtement superflu.
Elle se remets en place. Elle attends.
"C'est très bien, enlève mon boxer"
Elle prends mon boxer de chaque côté et le descend avec précaution. Mon sexe jaillit droit vers elle. Ce n'est pas une surprise, je gardais tellement que s'en était évidemment visible et prévisible.
Elle me débarrasse enfin...
Elle se remets en place et attends.
Je m'occupe de ma chemise seul. Je veux qu'elle reste ainsi dans l'attente d'un ordre. Je me débarrasse de ma chemise.
Je suis nu devant elle. Sensation agréable d'être soi tout simplement sans arrière pensée.
Je tire sur la laisse doucement pour qu'elle s'approche de mon sexe.
"Prends mon sexe en bouche. Ne suce pas".
Elle pose ses mains sur mon sexe dur.
"Sans les mains". Elle les retire et avale mon sexe. Ses lèvres sont toujours aussi douces et sa bouche chaude, humide. Un VRAI plaisir.
Je suis dans sa bouche, elle ne bouge pas. Elle n'en a pas le droit.
Je profite de cette bouche offerte. De son souffle sur mon sexe.
"Suce maintenant doucement"
Elle entreprend son va et vient. Ses mains sur ses cuisses. Juste sa bouche.
Au bout de quelques minutes, je lui autorise d'utiliser ses mains.
Et ses doigts fins caressent mon sexe pendant qu'elle continue son office.
Je m'associe sur le lit juste derrière moi, elle me suit et continue sa condition.
Je suis assis, jambes écartées, nu, ma soumise en laisse me suce.
"Crache sur mon sexe, mets ta salive, je veux sentir ton humidité".
Elle crache ce qu'elle peut, glisse sa langue encore plus qu'avant.
Mais clairement, elle ne sait pas cracher (je ne lui en veux pas naturellement, elle démontre son savoir-vivre).
"N'oublie pas mes couilles". Et elle glisse sa tête entre mes jambes pour les lécher, les sucer, les gober, les malaxer... Je me couche sur le lit.
Je profite de cet instant intense de cette femme à genoux pour moi, en laisse pour moi, faisant de son mieux pour me satisfaire. Quel plaisir.
Je sens sa salive couler sur mon entrejambe :-)
Je me lève.
"Ça suffit, monte sur le lit à 4 pattes". Je l'aide à se relever et elle se mets en position. Elle sourit: Je vais m'occuper d'elle.
"Écartes tes jambes ". Imaginez la scène : elle est en laisse, cul et chatte offerts, jambes écartées, sa bouche humide de mon sexe, ses seins pendant. Rien que d'y repenser...
Je me place derrière elle. Je caresse ses fesses, ses cuisses, ses mollets, ses pieds. Je prends mon temps. Et doucement je la fesse sur une fesse, puis l'autre. J'alterne. Elles rougissent doucement. Je n'ai aucune envie de lui faire mal mais juste lui faire ressentir mon emprise. J'alterne avec des caresses pour apaiser le feu des claques. Puis je passe ma main entre ses cuisses, je passe sur sa chatte humide, lisse, douce.
J'entreprends des va et vient sur ses lèvres. Je ne la pénètre pas encore.
Puis je m'arrête et j'enfonce doucement un doigt en elle, puis deux. Elle est trempée.
Et je prends ainsi, avec mes doigts. Doucement ou fort, j'alterne pour la surprendre.
J'arrête et je me place à côté d'elle pour enfiler une capote. Je la regarde en même temps. Ses seins pendant m'attirent. Je les prends à pleine main, les caresse, les maltraite, pince ses tetons. Elle sourit ou grimace légèrement selon le moment.
Puis Je monte sur le lit derrière elle, toujours en laisse.
Je prends mon sexe et je m'enfonce en elle. Elle gémit de cette introduction.
Je la prends alors par les hanches et je la baise ainsi.
Elle retient ses gémissements, son souffle. J'aime. Mais encore plus, j'aime lorsqu'un rale s'échappe de sa bouche. Petit à petit elle se lâche et elle gémit plus fortement. Doux son que celui d'une femme qui gémit de plaisir.
Je tire sur sa laisse pour qu'elle se cambre, je prends ses cheveux et d'une main sur son cul et l'autre tirant sur ses cheveux, je la possède.
La suite dans le second article...
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Depuis les années 1970, Olivia De Berardinis donne à decouvrir des œuvres qui célèbrent la féminité sous toutes ses différentes formes. Née à Long Beach en Californie, elle a grandi sur la côte est des États-Unis. Après avoir étudié à la New York School of Visual Arts entre 1967 et 1970, Olivia s'est installée à Soho, New York, où elle a commencé à créer des peintures minimalistes.
Elle se fait remarquer lors de l'exposition "Contemporary Reflections" de 1972-73 au Aldrich Museum of Contemporary Art dans le Connecticut. Elle se fait sa place et côtoie alors des artistes établis tels qu'Eva Hesse, Agnes Martin et Frank Stella.
Néanmoins, en 1975, pour des raisons "alimentaires", elle se tourne vers des créations plus commercialles, exploitant ses compétences acquises dès son plus jeune âge en peignant des femmes. Elle créer alors des illustrations pour la presse magazine, pour les éditeurs de livres de poche, pour la publicité et crée des des affiches de films. C'est à cette époque qu'elle commence qu'elle explore artistiquement les fantasmes érotiques pour des magazines pour hommes. Ces créations "alimentaires", elle ne les envisages que comme moyen temporaire de subvenir à ses besoins et n'aspire pas à travailler durablement dans le domaine.
Pourtant, sa capacité à capturer et retranscrire la sensualité féminine est rapidement reconnu dès 1985, Olivia contribue régulièrement au magazine Playboy, où ses illustrations pin-up sont souvent accompagnées de légendes écrites par Hugh Hefner lui-même. Olivia se met à allier érotisme et art, une fusion qui a caractérisé une grande partie de son travail dans ce qui devient une vraie démarche créative.
Parmi ses créations, certaines offre une interprétatio fétichiste, une tendance qui s'exprime dans les postures ou les tenues. Ces œuvres ne se contentent pas de célébrer la forme féminine ; elles invitent également à une réflexion sur la nature du désir et de la sensualité.
En 1977, avec son partenaire Joel Beren, Olivia a fondé O Card Company pour publier ses œuvres sous forme de cartes de vœux. Deux ans plus tard, le couple se marie et crée Ozone Productions, Ltd., pour vendre et licencier les créations d'Olivia. En 1987, ils déménagent de Manhattan à Malibu, en Californie, où ils résident actuellement.
Les œuvres d'Olivia ont été exposées dans des galeries d'art à travers les États-Unis et au Japon. L'artiste est également active sur les réseaux sociaux et sur son site web www.eOlivia.com où il est possible d'acheter certaines de ses oeuvres.
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l'homme entre dans une pièce sombre et mystérieuse. Chaque pas qu'il fait sur le sol s'ajoute à son inconfort, mais il sait que ce n'est qu'une partie essentielle de cette expérience unique. Les murs de la pièce sont tapissés de peintures macabres et de symboles énigmatiques, créant une atmosphère sinistre qui envahit ses sens. L'odeur enivrante de la cire brûlée et de l'encens flotte dans l'air, ajoutant une sensation étrange et captivante.
Alors qu'il avance, le son de ses pas résonne dans la pièce, créant une tension palpable qui semble le serrer dans son étreinte. C'est alors que trois dominatrices, Sophia, Isabella et Victoria, se tiennent devant lui dans toute leur puissance et autorité. Leurs tenues mettent en valeur leurs formes séduisantes, accentuant leur pouvoir. Leurs yeux brûlent d'une lueur malicieuse, révélant l'intensité de leur sadisme. D'une voix ferme, elles ordonnent à Pat de s'agenouiller devant elles, lui faisant prendre sa place de soumis.
Les dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique, leurs mains gantées de cuir s'enfonçant dans le tissu de ses vêtements. Elles les tirent violemment, déchirant les coutures avec une force dérangeante, dévoilant petit à petit sa nudité. Chaque déchirure est accompagnée du son strident des tissus qui se séparent, amplifiant l'humiliation de Pat. Sous leurs mains impitoyables, sa chemise est réduite en lambeaux, son pantalons baissé sans ménagement. Il se retrouve ainsi nu et vulnérable, exposé à leur regard avide.
Sophia, Isabella et Victoria saisissent avec délectation une tenue de soubrette, leurs doigts longs et fins glissant sur les tissus doux et soyeux. Avec une précision cruelle, chaque pièce de la tenue est ajustée sur le corps nu de Pat, accentuant sa soumission et sa vulnérabilité. Le corset étroit est lacé avec une force implacable, comprimant sa taille lui coupant presque le souffle. La jupe courte et évasée, exposant ses jambes tremblantes à leurs regards. Les bas en résille sont tirés avec une précision calculée, mordant légèrement sa peau, marquant son corps comme leur propriété.Elles lui mettent une perruque bouclée, une touche finale qui marque sa transformation complète en soubrette obéissante, prête à satisfaire les moindres de leurs desirs
Pat se tient là, a demi nu et vêtu de cette tenue humiliante, une vision de soumission et de vulnérabilité. Son cœur bat la chamade, mêlant l'excitation et la peur dans une danse enivrante. Il sait qu'il est désormais à la merci de ses dominatrices, prêt à obéir sans poser de questions. Elles sourient avec satisfaction, leur pouvoir et leur autorité s'affirmant davantage.
La pièce sombre et mystérieuse est maintenant remplie d'une énergie électrique, chargée de la tension entre le désir et la soumission. Ses dominatrices se délectent de ce contrôle absolu sur Pat, prêtes à explorer et à repousser les limites de ses fantasmes les plus profonds.
Puis elles se prélassent confortablement sur leurs chaises, commandant à Pat de les servir. Chaque désir et caprice est exécuté avec diligence par Pat, qui se plie à leurs moindres volontés. Pendant qu'il s'affaire, elles le scrutent avec mépris, le taquinant en se délectant de sa soumission.
Soudain, Sophia se lève d'un air autoritaire. Son visage rayonne d'une cruauté sans limites. Sans prévenir, elle assène à Pat une gifle retentissante, sa main claquant contre sa joue avec une violence déconcertante. La douleur se propage instantanément, laissant une marque rouge et brûlante sur sa peau, témoignant de son pouvoir absolu sur lui.
Pendant ce temps, Isabella, s'amuse avec un plaisir sadique à soulever la jupe de soubrette de Pat. Elle révèle ainsi son intimité, l'exposant à leurs regards impitoyables. Elles éclatent de rire, savourant chaque seconde de son humiliation.
Pat, quant à lui, est à la fois envahi par la douleur de la gifle et le sentiment d'humiliation intense d'être exposé ainsi. Son esprit est rempli d'un mélange d'excitation et de crainte. Il sait que sa place est d'obéir et de satisfaire leurs désirs.
La tension dans la pièce est à son comble. Pat est à la merci de Sophia, Isabella et Victoria, prêt à répondre à tous leurs caprices. Elles savourent chaque instant de leur pouvoir, profitant de leur domination totale sur Pat.
Pat reste à la merci de ses dominatrices. Isabella avide de sa domination, décide de lui donner une fessée avec une ardeur implacable. Elle attrape fermement les fesses de Pat, exposées et vulnérables, et les claquent avec une force brutale. Chaque claquement résonne dans la pièce, amplifiant sa douleur et sa honte.Ses dominatrices se délectent de ses gémissements de souffrance.
Malgré la douleur et la honte qui l'envahi, Pat reste captivé par l'excitation mêlée à son humiliation. Il est complètement sous l'emprise de ses dominatrices, prêt à subir tous les châtiments qu'elles lui infligent. Son corps et son esprit sont entièrement à leur disposition.
Les humiliations sont savamment orchestré. Chaque action, chaque regard méprisant, renforce son statut de soumis.
Nos trois dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique. Leurs yeux pétillent de malice, annonçant l'humiliation à venir. Elles se tiennent devant lui. Leurs doigts effleurent sa peau a demi nu avec dédain, provoquant des frissons d'humiliation mêlée à l'excitation. Chaque caresse annonçant les jeux pervers qui vont suivre.
Avec un sourire, Sophia glisse ses mains sous la jupe de soubrette de Pat. Sans la moindre hésitation, elle la soulève, révélant ses attributs masculins au grand jour. Pat se retrouve vulnérable, exposé à son regard impitoyable. Elle savoure chaque instant de cette mise à nu. Son intimité exposée sans pitié.
Sophia joue avec ses attributs masculins, le ridiculisant sans relâche. Elle les manipulent avec une cruauté déconcertante, les taquinant et les moquant. Ses paroles cinglantes s'ajoutent à l'humiliation de Pat, soulignant son statut de soumis à ses yeux.
La honte envahit Pat, se mêlant à son excitation. Il se sent réduit à un simple jouet.
Elles prennent un malin plaisir à rabaisser Pat, à le ridiculiser sur ses attributs masculins. Ils deviennent le terrain de jeu de leur sadisme, amplifiant son humiliation à chaque instant. Pat est complètement sous leur emprise, offrant son corps et son esprit.
Dans un acte d'humiliation ultime, Victoria ordonne a Pat de s'agenouiller, de se prosterner devant elle, lui rappelant ainsi sa position inférieure. Pat obéit.
Une fois à genoux, Victoria décide de se concentrer sur l'intimité la plus intime de Pat, son anus. Elle affirme qu'elle va en faire une "femelle" à leur service, intensifiant ainsi son humiliation. D'une main ferme, elles écartent ses fesses, exposant son intimité vulnérable. Ses doigts lubrifiés glissent avec facilité, pénétrant son anus avec une détermination cruelle. Chaque mouvement est accompagné d'une sensation douloureuse et humiliante, lui rappelant qu'il est à son entière merci.
Chaque pénétration anale est un rappel brutal de son statut de jouet entre ses mains expertes, de sa dépendance à sa domination impitoyable.
Pat se retrouve pris au piège de sensations douloureuses et humiliantes, mêlées à une excitation indéniable. Son esprit est rempli d'un mélange de honte et de désir, se soumettant pleinement. Il est conscient que son corps et son plaisir sont désormais sous le contrôle absolu de Victoria.
L'humiliation anale devient le symbole de sa soumission totale, de son abandon à sa volonté.
Sophia, Isabella et Victoria ne se contentent pas de la pénétration anale, elles se moquent et ridiculisent Pat sans relâche, lui rappelant qu'il est désormais leur "femelle" soumise, destinée à servir leurs besoins. Leurs mots cruels et dégradants résonnent dans la pièce,chaque pénétration, renforce son statut de jouet sexuel entre leurs mains impitoyables.
Leurs rires sadiques, mêlés aux gémissements de douleur et de honte de Pat, créent une symphonie qui remplit l'air. Ses dominatrices se délectent de sa réaction, savourant chaque instant. Les mains expertes de Victoria continuent de stimuler son anus, alternant entre des mouvements lents et profonds, et des coups rapides et violents. Chaque sensation, chaque douleur, est un rappel constant de son statut d'objet sexuel à sa disposition.
Ses dominatrices n'ont aucune pitié pour Pat, jouant avec lui comme avec une marionnette entre leurs doigts. Elles explorent chaque recoin de son intimité, l'humiliant encore plus en le forçant à exprimer son plaisir face à l'humiliation qu'il subit. Les caresses dégradantes et les mots cruels se mêlent à ses gémissements.
Alors que l'humiliation atteint son paroxysme, Ses dominatrices décident de faire participer d'autres soumis présents dans la pièce, les invitant à se moquer et à ridiculiser Pat. Ils se rassemblent autour de lui, témoins de sa soumission totale et de son humiliation extrême. Les rires et les moqueries fusent de toutes parts, élevant l'expérience à un niveau de perversion inimaginable.
Pat est plongé dans un mélange de douleur, de honte et d'excitation, se soumettant pleinement à leurs désirs
. Il est désormais leur jouet, leur "femelle" soumise, destinée à satisfaire leurs besoins les plus pervers. Les limites sont repoussées, l'humiliation est poussée à son paroxysme,
Ses dominatrices décident de lui attacher une ceinture spéciale, un symbole physique de sa soumission. Elles serrent fermement la ceinture autour de sa taille, marquant ainsi son corps comme leur propriété. Chaque boucle et chaque claquement de la ceinture sont une nouvelle marque de son statut d'objet sexuel à leur entière disposition.
Une fois la ceinture bien attachée, Isabella continue à le ridiculiser avec une cruauté délectable. Elle tire sur la ceinture, le forçant à se courber encore plus bas, lui rappelant avec chaque geste qu'il est à sa merci absolu. Chaque mouvement qu'il fait est contrôlé par Isabella, chaque respiration est dictée par sa volonté.
Ses dominatrices jubilent de leur pouvoir, riant aux éclats alors qu'elles continuent à jouer avec Pat. Leur plaisir se mêle à sa douleur et à sa honte. Leurs rires résonnent dans la pièce, mêlés aux gémissements soumis de Pat, formant une symphonie qui alimente leur excitation et leur plaisir.
Marqué physiquement par la ceinture qui rappelle constamment sa position inférieure. Sa douleur, sa honte et son désir se mêlent dans un tourbillon intense, le conduisant à se perdre dans un océan de sensations troublantes.
Victoria et Isabella s'approchent de Pat, leurs mains puissantes le maintenant fermement, l'empêchant de bouger. Leur force combinée est suffisante pour le maintenir en place, incapable de résister à leur volonté. Leurs regards sont emplis d'une lueur malicieuse, savourant l'idée de ce qui va suivre.
Sophia, la dominatrice attache son gode-ceinture, s'avance avec une assurance déconcertante. Son regard refléte sa volonté de prendre le contrôle absolu sur Pat. Elle se penche vers lui, ses lèvres effleurant son oreille, lui susurrant des mots d'humiliation qui font frissonner sa peau.
"Désormais, tu es notre femelle, notre jouet à notre disposition", susurre Sophia d'une voix rauque, sa voix porteuse de pouvoir. "Tu n'es rien d'autre qu'un objet de plaisir à soumettre et à dominer selon notre bon vouloir."
Le souffle de Pat se mêle à l'excitation et à la peur alors que Sophia guide le gode en direction de son intimité, le pénétrant avec ardeur. Les mouvements sont rapides, puissants, remplis d'une intensité qui le font vaciller . Chaque pénétration est accompagnée de mots cruels et dégradants qui résonnent dans la pièce, lui rappelant de manière brutale et inébranlable qu'il est totalement soumis à leur volonté.
Victoria et Isabella se délectent de sa vulnérabilité et de son humiliation, savourant chaque instant de leur pouvoir sur lui. Leurs sourires malicieux ne font que s'accentuer, leurs rires emplissant la pièce alors que Sophia le pénètre sans relâche.
Pat se retrouve pris au cœur d'une tempête émotionnelle. Les sensations s'entremêlent dans son esprit tourmenté, éveillant des désirs enfouis et des émotions contradictoires. Il est à la merci de ses dominatrices, un simple jouet dans leur jeu de domination et de contrôle.
La scène se poursuit, un ballet pervers où les limites sont repoussées, où les mots d'humiliation se mêlent aux gémissements de Pat. Victoria et Isabella continuent de le maintenir immobile, renforçant ainsi son sentiment d'impuissance et de soumission totale.
Après avoir été pénétré par Sophia, Pat reste se remet à genoux devant elles, les yeux baissés, attendant leurs prochaines instructions. Ses dominatrices se regardent avec satisfaction, savourant leur pouvoir sur lui. Leurs regards brûlants de désir et de domination le maintiennent dans un état de soumission totale.
Avec un sourire Sophia s'approche de Pat. Attrape son menton avec fermeté, le forçant à la regarder dans les yeux. Puis, avec une ardeur dominante, elle l'embrasse passionnément, lui montrant ainsi sa supériorité totale. Leurs lèvres se mêlent dans une danse sensuelle, démontrant la fusion de la douleur et du plaisir qui règne entre eux.
Isabella et Victoria observent avec amusement.Après cette embrassade passionnée, Victoria ordonnent à Pat de se rhabiller. Il obéit, se levant avec difficulté, ressentant à la fois une honte profonde et un étrange sentiment de bien-être. Les marques sont visibles sur son corps,un rappel de son statut de soumis.
Les émotions se mélangent en lui, créant une expérience complexe et troublante. Il ressent une douleur persistante, les marques et les empreintes de leur domination gravées sur sa peau, mais il éprouve également une certaine satisfaction d'avoir pu servir ses dominatrices, même si cela signifie être leur objet de plaisirs pervers. Cette contradiction entre la honte et le plaisir le trouble profondément.
Alors qu'il se rhabille, une pointe de tristesse l'envahit, sachant que cette expérience de domination et de soumission est terminée, du moins pour le moment. Mais en même temps, une part de lui est soulagée, libérée de l'emprise. Il se sent vidé, physiquement et émotionnellement, mais également transformé par cette expérience intense.
Sophia, Isabella et Victoria, quant à elles, se retirent avec un air de satisfaction, laissant Pat seul avec ses pensées tourmentées.
Cette expérience a laissé une marque indélébile en lui, une empreinte mêlée de honte, de douleur et de plaisir. Chaque sensation, chaque mot d'humiliation et chaque acte de domination ont laissé une empreinte profonde dans son esprit et dans son être. Il ne peut s'empêcher de ressentir une excitation troublante, un désir ardent de revivre cette expérience intense malgré les règles établies par la société.
Les règles établies par la société deviennent des barrières qu'il souhaite briser, des limites qu'il désire repousser. Il ressent un besoin intense de s'affranchir des conventions et d'explorer les profondeurs de ses désirs les plus sombres. Il est conscient que cela va à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable", mais l'appel de la soumission est plus fort que tout
Cette expérience, bien qu'empreinte de honte, de douleur et de plaisir, a également éveillé en lui une envie irrésistible de vivre selon ses propres règles, de s'épanouir dans sa sexualité sans compromis. Il est prêt à embrasser cette part de lui-même, à s'accepter pleinement et à trouver le bonheur dans l'exploration de ses désirs les plus profonds.
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Dans les sombres méandres de mon château, j'ai minutieusement préparé l'arrivée de ma prochaine victime, un homme soumis prêt à être féminisé et totalement offert aux plaisirs sexuels les plus extrêmes et honteux. En tant que Maître Cavaliere Demone e Schiavo, je suis un expert incontesté de la domination et de l'exploitation, et je ne reculerai devant rien pour tirer plaisir de la soumission totale de mes sujets.
Lorsque vous aurez l'audace de franchir les portes de mon royaume, vous serez confronté à une réalité déchirante et dépravée. Mes serviteurs dévoués à leur mission de me servir et à vous humilier sans relâche, vous accueilleront immédiatement. Riant bruyamment de votre vulnérabilité, ils ne cesseront de vous rappeler votre nouvelle identité féminine. Leur mépris écrasera votre masculinité, vous condamnant à un rôle de poupée sans volonté, totalement prête à exécuter mes moindres désirs.
Je vous guiderai, avec une délectation perverse, vers la pièce principale de mon château, un vaste donjon sombre, rempli d'équipements de domination et de jeux de sexe des plus dépravés. Vous serez soigneusement attaché, exposé à tous les regards lascifs qui vous observeront et vous attendrez de subir une série d'épreuves humiliantes et dégradantes.
Je vous mettrai à genoux, votre visage magnifiquement maquillé et vos lèvres pulpeuses prêtes à recevoir les membres dressés de mes invités les plus pervers. Vous serez contraint de les satisfaire avec une passion abjecte, vos mains et votre langue agissant avec zèle pour les exciter. Vos gémissements de soumission rempliront la pièce, mêlés aux rires sadiques de ceux qui vous utiliseront comme un simple objet de plaisir.
Cependant, mon cher soumis, ce n'est qu'un début à votre calvaire. Vous serez ensuite conduit dans une autre salle, spécialement aménagée pour des pratiques encore plus extrêmes. Un lit de supplice vous attendra, exposant votre corps à des instruments de douleur et à des accessoires de domination. Des fouets marqueront votre peau, vos fesses rougiront sous les coups cinglants. Mes invités prendront un plaisir malsain à vous utiliser comme leur jouet, vous soumettant à des actes de perversion humiliables et déshumanisants.
Préparez-vous également à vous engager dans des jeux de rôles dégradants. Vous serez contraint de revêtir des tenues provocantes, tels que des corsets serrés et des bas résille, vous transformant en une créature hypersexualisée, prête à satisfaire tous les désirs tordus de ceux qui vous entourent. Vous deviendrez leur objet sexuel, disponible pour toutes sortes de fantasmes pervertis et de pratiques dégradantes. Votre corps ne vous appartiendra plus, il sera utilisé à volonté pour le plaisir sadique de ceux qui vous entourent.
Sachez que votre humiliation sera totale, votre fierté brisée et votre identité réduite à néant. Vous serez réduit à un état de soumission totale, prêt à écouter mes moindres ordres et à répondre à mes moindres supplications. Votre existence sera entièrement dédiée à me servir et à satisfaire mes caprices les plus sombres.
Si vous êtes réellement prêt à vous engager sur cette voie de la dépravation la plus extrême, je vous invite à me contacter. Je vous attendrai avec un mélange exquis d'excitation et de cruauté, prêt à vous écraser sous les rouages impitoyables de ma domination. Dans mon château de débauche et de honte, vous découvrirez la véritable essence de la soumission et de la perversion. Une fois que vous aurez franchi ce seuil, il n'y aura plus de retour en arrière possible. Vous serez à jamais marqué par l'empreinte de la dégradation. Bienvenue dans mon royaume de dépravation et d'humiliation...
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La pièce était faiblement éclairée, l'air était lourd d'anticipation.
La porte grinça en s'ouvrant, une silhouette émergea des ombres. C'était le diable lui-même, un sourire séducteur jouant sur ses lèvres. Il s'approcha de Pat, ses yeux brillant d'une joie perverse. "Bienvenue dans un monde au-delà de ton imagination, Pat", chuchota-t-il, sa voix envoyant des frissons dans le dos de Pat.
D'un geste de la main, le diable transforma Pat qui etait homme en une femelle soumise. Le corps de Pat devint doux et courbé, ses vêtements se métamorphosant en une tenue révélatrice qui accentuait sa féminité nouvellement acquise. Le diable ricana, conscient du pouvoir qu'il détenait sur les désirs de Pat.
"Maintenant, ma chère, il est temps de réaliser les fantasmes les plus sombres des autres", déclara le diable, conduisant Pat dans une société souterraine secrète où le plaisir ne connaissait aucune limite. Des hommes et des femmes de tous horizons s'y rassemblaient, leurs yeux affamés de désir.Pat fut remis au plus offrant, une femme dominante assoiffée de contrôle. Elle prenait plaisir à explorer les limites de Pat, le poussant vers de nouveaux sommets de soumission. La pièce était remplie des sons de gémissements et de cris, une symphonie de plaisir et de douleur.
Pat passait d'une personne à l'autre, chaque rencontre étant plus intense que la précédente. Il était soumis à une multitude de désirs, allant du bondage à la fessée, au fouet, aux jeux de rôle ,la privation sensorielle. Le plaisir qu'il ressentait dépassait tout ce qu'il avait jamais connu.
Mais au milieu du plaisir, une question restait dans l'esprit de Pat. Est-ce réellement ce qu'il désirait, ou était-il simplement perdu dans le monde enivrant de l'interdit ?
Seul le temps le dirait.
Le regard de Pat se promenait dans la pièce, s'imprégnant des scènes de désir et de domination qui se déroulaient tout autour de lui. Des couples enchaînés, des fouets claquant dans l'air, des murmures de plaisir et de commandes. C'était un spectacle à la fois fascinant et troublant.
Pat se sentait à la fois attiré et révolté par ce monde. Les sensations fortes qui l'envahissaient étaient indéniables, mais une part de lui se demandait s'il devait continuer à céder à ses désirs les plus sombres. Une voix intérieure criait que tout cela était mauvais, immoral.
Pourtant, le diable était là, toujours présent, observant Pat avec un sourire satanique. "Ne résiste pas, Pat. Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", chuchota-t-il d'une voix envoûtante.
Pat se demandait s'il devait suivre cette voix tentatrice ou écouter la voix de sa conscience. Mais dans cet instant, il se sentait si vivant, si libéré de toutes les contraintes et les inhibitions du monde quotidien.
Alors, sans plus hésiter, Pat se laissa emporter par le tourbillon du plaisir interdit. Il se soumit pleinement aux désirs des autres, explorant les recoins les plus sombres de sa propre sexualité. Chaque rencontre, chaque expérience était un pas de plus vers la découverte de soi.
Et ainsi, le voyage de Pat dans le monde du BDSM et de la soumission commença véritablement. Il était prêt à explorer les limites de son corps et de son esprit, à se perdre dans les délices de la soumission.
Alors que Pat s'enfonçait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à découvrir des nuances insoupçonnées de son propre être. Chaque expérience, chaque rencontre lui révélait une facette différente de sa sexualité et de sa personnalité.
Il rencontra des dominants et des dominatrices aux personnalités variées. Certains étaient doux et attentionnés, prenant plaisir à guider Pat dans les méandres de la soumission. D'autres étaient plus sévères, utilisant la douleur et la discipline pour atteindre de nouveaux sommets de plaisir.
Pat se rendit compte que le BDSM était bien plus qu'une simple expérience physique. C'était un jeu psychologique complexe, basé sur la confiance, la communication et la compréhension mutuelle. Chaque acte de soumission était un acte de volonté, un choix conscient de se laisser aller et de se perdre dans les bras du désir.
Mais tandis que Pat plongeait plus profondément dans ce monde, il commença à se poser des questions sur ses propres limites. Jusqu'où était-il prêt à aller pour satisfaire les désirs des autres ?
Jusqu'où était-il prêt à sacrifier sa propre dignité et son intégrité ?
Ces questions troublaient l'esprit de Pat, mais en même temps, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une excitation indéniable. Chaque nouvelle expérience était un défi, une opportunité de découvrir de nouvelles facettes de lui-même.
Le voyage de Pat dans cet univers érotique et inexploré ne faisait que commencer. Il était prêt à se perdre dans les délices du BDSM, à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs et à repousser ses limites pour atteindre l'extase ultime.
Pat se trouvait maintenant au cœur d'une soirée dédiée au BDSM, entouré de personnes qui partageaient les mêmes désirs et fantasmes. Des cordes s'enroulaient autour de corps enivrés par la passion, des murmures d'ordres et de supplications emplissaient l'air.
Alors que Pat observait, un homme s'approcha avec un regard intense. Il était beau, charismatique, et il semblait dégager une aura de dominance irrésistible. Sans un mot, il prit la main de Pat et l'entraîna dans une pièce à l'écart, loin des regards indiscrets.
La tension était palpable alors que Pat attendait, se demandant quelles épreuves allaient se présenter à lui. L'homme commença par lui bander les yeux, plongeant Pat dans l'obscurité totale. Chaque sensation était amplifiée, chaque caresse, chaque contact, chaque coup.
Des frissons couraient le long de sa colonne vertébrale, lorsqu'il sentit les lanières d'un fouet glisser sur sa peau. Chaque coup était une explosion de plaisir mêlé de douleur, un mélange délicieux qui le faisait se sentir plus vivant que jamais.
L'homme savait exactement comment repousser les limites de Pat, comment lui offrir un plaisir intense et exaltant. Il jouait avec les cordes de la soumission, alternant entre douceur et fermeté, procurant à Pat une montée d'excitation qui le faisait frissonner d'anticipation.
Dans cet échange de pouvoir, Pat se sentait libéré de toutes les contraintes de la vie quotidienne. Il se laissait emporter par les vagues du plaisir, abandonnant toute résistance, se perdant dans le tourbillon de la soumission.
Chaque nouvelle expérience le rapprochait de la découverte ultime de soi. Jusqu'où serait-il prêt à aller pour atteindre l'extase totale ?
Seul le temps le dirait, et Pat était plus que prêt à explorer chaque recoin de son désir.
La rencontre avec l'homme dominant avait laissé une empreinte profonde dans l'esprit et sur le corps de Pat. Une part de lui était fascinée par la puissance et la maîtrise que cet homme avait démontrées, mais une autre partie se demandait s'il était prêt à se soumettre totalement à quelqu'un d'autre.
Pat avait toujours été attiré par les jeux de pouvoir, mais cette expérience avait soulevé des questions plus profondes sur ses propres désirs et limites. Jusqu'où Pat était-il prêt à aller pour trouver le plaisir ultime ?
Ces interrogations tourbillonnaient dans l'esprit de Pat alors qu'il continuait à explorer le monde du BDSM. Chaque nouvelle rencontre, chaque nouvelle expérience était un pas de plus vers la compréhension de soi. Pat se rendit compte que c'était bien plus qu'une simple pratique sexuelle, c'était un moyen d'explorer les recoins les plus sombres de son être et d'embrasser sa véritable nature.
Au fur et à mesure que Pat se plongeait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à rencontrer des personnes qui partageaient ses propres désirs et fantasmes. Des liens se tissaient, des connexions se formaient, et Pat trouvait un sentiment d'appartenance et de compréhension qu'il n'avait jamais ressenti auparavant.
Mais alors que Pat se perdait dans les délices du BDSM, une question persistait : est-ce que cette quête de plaisir et d'exploration de soi était réellement ce dont il avait besoin ?
Ou bien était-ce simplement une échappatoire temporaire à ses problèmes et à ses frustrations ?
Le chemin vers la découverte de soi était semé d'embûches et de défis, mais Pat était prêt à les affronter. La recherche du plaisir ultime et de l'acceptation de soi-même était un voyage sans fin, mais c'était un voyage qui en valait la peine.
Le doute continuait de hanter Pat alors qu'il avançait dans son exploration du BDSM, se demandait si ce chemin qu'il avait emprunté était réellement celui qui lui convenait, ou s'il était simplement emporté par les désirs et les fantasmes des autres.
Pat se rappela des paroles du diable lors de leur première rencontre. "Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", avait-il dit. Mais qu'en était-il du véritable plaisir de Pat, de ses propres désirs et besoins ?
Le monde du BDSM était vaste et diversifié, offrant une multitude de possibilités et de pratiques. Pat commença à se poser des questions sur ce qui le stimulait réellement, sur ce qui le faisait vibrer au plus profond de lui-même.
Il décida de prendre du recul, de faire une pause dans son exploration. Il devait se reconnecter avec lui-même, s'écouter et comprendre ce dont il avait vraiment besoin pour trouver le véritable plaisir. Au cours de cette période d'introspection, Pat commença à réaliser que le BDSM n'était pas seulement une question de soumission et de domination, mais aussi de confiance, de respect mutuel et de communication. Il comprit que pour vivre pleinement sa sexualité, il devait trouver un équilibre entre ses propres limites et celles des autres.
Armé de cette nouvelle compréhension, Pat reprit son voyage dans le monde du BDSM. Cette fois-ci, il aborderait les rencontres et les expériences avec une nouvelle perspective, en se concentrant sur la recherche de son propre plaisir authentique.Le chemin de Pat dans le monde du BDSM était encore long et parsemé d'incertitudes, mais il était désormais prêt à affronter ces défis avec une nouvelle force et une clarté d'esprit renouvelée.Les séances de domination et de soumission devenaient des moments de partage et d'exploration, où chaque partenaire pouvait s'abandonner en toute confiance et trouver le plaisir dans la réciprocité de leurs désirs.
Alors que Pat continuait à se perdre et à se trouver dans ce monde du plaisir interdit, il embrassa cette nouvelle facette de sa sexualité avec détermination et ouverture d'esprit. Il était prêt à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs, à satisfaire ses fantasmes les plus profonds.
Le diable incitait Pat à aller plus loin, à explorer les profondeurs inexplorées de ses fantasmes les plus interdits. Il chuchotait à son oreille, susurrant des promesses de plaisir et de satisfaction ultimes. Pat sentait une attraction magnétique envers cette tentation démoniaque, mais il se demandait si céder à cette incitation était la bonne chose à faire.
Le diable était un maître manipulateur, capable de jouer avec les désirs et les peurs de Pat. Il savait comment flatter son ego et le pousser à franchir les limites qu'il avait autrefois considérées comme infranchissables. Pat était tiraillé entre la fascination pour cette proposition alléchante et la crainte des conséquences.
Mais alors que Pat réfléchissait à la tentation du diable, il prit conscience que le choix lui appartenait. Il pouvait décider de résister aux appels du diable La décision était difficile, car Pat était attiré par l'inconnu et l'excitation de se laisser aller complètement. Mais il savait aussi que le chemin du plaisir interdit pouvait être périlleux et semé d'embûches.
Pat écouta les tentations du diable et décida de plonger plus profondément dans cet univers du plaisir interdit. Il se laissa emporter par les sensations intenses et la libération que cet univers lui offrait. Chaque expérience était une échappatoire des limites et des contraintes morales de la société.
Dans cet univers de BDSM, Pat se sentait enfin libre d'explorer ses désirs les plus profonds sans jugement, sans honte. Les rôles de soumission lui permettaient de se libérer de toutes les conventions et de vivre pleinement ses fantasmes les plus secrets.
Les chaînes, les fouets, les menottes, tout cela était devenu des symboles de plaisir et de libération, plutôt que de soumission et de douleur. Pat découvrit une nouvelle dimension de bonheur dans ces jeux de pouvoir, où il pouvait se perdre dans les bras du désir sans aucune inhibition.
Dans cet univers, les notions de bien et de mal semblaient obsolètes. Les règles étaient redéfinies, les tabous étaient abolis. Pat se sentait véritablement vivant, en harmonie avec ses propres pulsions et désirs.
Il réalisa que la morale des hommes était souvent construite sur des préjugés et des peurs irrationnelles. Ici, dans cet univers du BDSM, il trouva une communauté qui acceptait et célébrait la diversité des plaisirs et des identités sexuelles.
Pat, immergé dans l'univers du plaisir interdit, décida de poursuivre son exploration avec une confiance renouvelée. Il embrassa pleinement son rôle de soumis, se laissant guider par le diable qui semblait être le catalyseur de sa véritable libération.
Le diable devint son guide, son confident et son amant dans cet univers sensuel et interdit. Pat découvrit que sa relation avec le diable était bien plus profonde que de simples jeux de pouvoir. Il y avait une connexion intense et une compréhension mutuelle qui transcendaient les apparences.
À travers cette relation, Pat se sentait pleinement accepté et désiré, libéré de toutes les inhibitions et les conventions de la société. Le diable comprenait et nourrissait ses désirs les plus sombres, lui permettant d'explorer les recoins les plus profonds de sa sexualité sans jugement ni culpabilité.
Dans cet univers, Pat trouva un bonheur authentique et une forme de plénitude qu'il n'avait jamais connues auparavant. Il se sentait enfin complet, connecté à une part de lui-même qu'il avait longtemps réprimée.
Alors que Pat poursuivait son exploration de l'univers du plaisir interdit, il réalisa que le diable l'avait emmené dans un monde qui le libérait de toutes les chaînes morales oppressantes.
Le diable lui avait ouvert les yeux sur la véritable nature de la moralité. Il avait brisé les barrières de la société qui étouffaient les désirs les plus profonds de Pat, révélant une vérité troublante : la moralité n'était rien de plus qu'une illusion restrictive.Les frontières traditionnelles du bien et du mal s'estompaient, laissant place à une exploration sans entraves des désirs et des fantasmes. Il avait découvert une libération totale, une véritable connexion avec sa propre sexualité et une compréhension nouvelle de lui-même.
Il savait que le diable était son guide, mais il était également conscient de l'importance de ne jamais perdre de vue son propre pouvoir de choix et de consentement.
Le diable, en tant que guide et amant, l'entraînait dans des abysses de jouissance et de soumission. Pat se laissait emporter par cette spirale de passion et de libération, découvrant en lui des aspects cachés et inexplorés. Il se sentait vivre pleinement, sans peur ni restriction.
Dans cet espace de soumission et de transgression, Pat se réalisait pleinement. Il embrassait sa nature soumise et trouvait une forme de libération totale. Les limites traditionnelles du bien et du mal s'effaçaient progressivement, laissant place à une exploration sans retenue de ses désirs les plus profonds.
Le diable, en tant que gardien de ce sanctuaire, lui offrait une compréhension profonde et une acceptation inconditionnelle. Il l'encourageait à se laisser aller, à se perdre dans les plaisirs interdits, à vivre chaque instant avec intensité et abandon.
Pat savait qu'il avait enfin trouvé sa place, son refuge où il pouvait être pleinement lui-même. Il se délectait de chaque expérience, conscient que c'était dans cet univers de transgression qu'il pouvait se connecter à sa véritable essence.
Ainsi, Pat continuait son voyage sans aucun doute ni hésitation. Il se sentait enfin en harmonie avec lui-même, acceptant et célébrant sa nature soumise. Dans ce sanctuaire du plaisir interdit, il avait trouvé sa véritable liberté.
En pactisant avec le Diable, Pat était libèrè de ses contraintes et à découvert son véritable potentiel. ¨Pata osé aller à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable" pour suivre notre propre chemin.
En embrassant cette voie non conventionnelle,il a pu découvrir une liberté et une authenticité qu'il n'aurait jamais connues autrement.
Ainsi Pat remercia le diable d'avoir éclairé son esprit et de l'avoir libéré des chaînes de la moralité et des règles oppressantes établies par l'homme.
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Pour une premiere fois je decide de decouvrir ses club dit "privés" En franchissant les portes du club, je suis immédiatement frappé par l'ambiance électrique qui règne dans cet endroit. Les lumières tamisées, la musique envoûtante et les conversations à voix basse créent une atmosphère mystérieuse et séduisante. Je me sens à la fois attiré et un peu intimidé par cette nouvelle réalité qui s'offre à moi
Alors que je m'aventure plus profondément dans le club, je laisse mes sens s'imprégner de l'atmosphère enivrante qui règne dans cet endroit. Les lumières tamisées baignent les lieux d'une aura sensuelle, créant des ombres suggestives qui dansent le long des murs. La musique qui résonne dans mes oreilles est hypnotique, pulsant au rythme de mes battements de cœur accélérés.
Je me promène parmi les convives, observant les corps qui se déhanchent avec grâce et abandon sur la piste de danse. Les conversations à voix basse créent un murmure constant, comme des secrets murmurés à l'oreille. Chaque regard échangé est chargé de promesses et de mystère, alimentant mes désirs les plus profonds.
Je ressens un mélange d'excitation et d'intimidation alors que je réalise que je suis plongé dans une nouvelle réalité, un monde où les inhibitions sont laissées de côté et où les désirs les plus sombres peuvent être explorés. Je suis attiré par cette atmosphère de liberté et de sensualité, mais en même temps, je me sens vulnérable face à l'inconnu qui m'entoure.
Les personnes que je croise dans ce club sont toutes uniques, chacune avec sa propre aura magnétique et sa propre histoire à raconter. Leurs vêtements audacieux et leur langage corporel suggestif attirent mon attention, éveillant en moi des pulsions que je n'ai jamais explorées auparavant
Je me laisse guider par mes instincts, m'engageant dans des conversations intimes qui explorent les désirs et les fantasmes. Les mots échangés sont chargés de séduction et de tentation, poussant les limites de la propre compréhension de moi-même. Je réalise que dans cet univers, la manipulation et la séduction sont des outils puissants pour susciter le désir et l'excitation.
Cependant, je reste conscient des dangers qui peuvent se cacher derrière les portes de ce club. Je sais que la frontière entre le plaisir et la manipulation peut être mince, et je dois rester vigilant pour m'assurer de ne pas me laisser emporter dans des jeux de pouvoir destructeurs.
Puis nous nous sommes croisés au milieu de la foule animée du club, nos regards se sont entrelacés dans une tension électrique. J'ai été immédiatement attiré par votre présence élégante et mystérieuse, qui émanait d'une aura envoûtante. Votre charme et votre allure m'ont captivé, et sans dire un mot, vous avez pris la décision de m'emmener dans un coin plus intime de cet endroit fascinant.
Nous nous sommes éclipsés du tumulte de la piste de danse et des conversations animées, nous enfonçant dans l'obscurité d'un coin secret du club. Les lumières tamisées accentuaient notre solitude, créant une atmosphère intime et mystérieuse. Le silence enveloppait nos échanges, amplifiant notre connexion.
Dans ce coin intime, nous avons commencé à explorer nos désirs les plus profonds, sans aucune inhibition. Votre domination naturelle se révélait, votre présence autoritaire m'envahissant de sensations nouvelles et excitantes. La tension sexuelle était palpable, éveillant en moi un mélange d'excitation et d'appréhension.Votre contrôle sur la situation me laissait à la fois vulnérable et désireux d'explorer davantage. Vous avez utilisé votre charme et votre charisme pour me guider dans un voyage sensuel et passionné.
Ce coin intime du club etait devenu notre sanctuaire secret, un endroit où nous pouvions nous perdre dans une danse envoûtante de plaisirs interdits. Les émotions intenses et les sensations inédites nous ont transportés dans un monde où seules nos envies et nos pulsions comptaient.
J'ai ouvert mon être, vous révélant ma vulnérabilité et mon désir ardent de vous plaire.
Vous avez ressenti un frisson d'excitation en découvrant ma soumission et mon désir de vous satisfaire. Vous avez pris le contrôle de la situation avec une autorité puissante, me guidant fermement dans le monde de la soumission. Chaque geste, chaque parole de votre part m'a incité à repousser mes limites et à me donner entièrement à vous.
Je me suis senti captivé par votre présence dominante, prêt à tout faire pour vous satisfaire et répondre à vos moindres désirs. Chaque contact de votre main sur ma peau a provoqué des frissons d'excitation qui se sont propagés dans tout mon être. Je me suis abandonné à vos instructions, cherchant à vous plaire et à satisfaire vos désirs les plus sombres.
J'étais tombé sous votre charme envoûtant.
Vous avez commencé à dévoiler tout votre pouvoir de séduction, et mes défenses se sont effondrées devant votre beauté captivante. Chaque geste, chaque regard était calculé pour me faire succomber à vos désirs.
Pendant que ses doigts glissaient avec grâce sur ma peau, provoquant des frissons de désir qui se propageaient dans tout mon être. Je me sentais complètement sous son emprise, incapable de résister à son charme magnétique. Chaque interaction avec elle était un mélange enivrant de passion et de vulnérabilité.
Son pouvoir de séduction était si puissant que mes pensées étaient embrouillées, mes résistances brisées. Je me suis laissé emporter par cette expérience intense, incapable de me soustraire à son emprise hypnotique.
jusqu'au moment ou elle me demande de m'agenouiller devant elle,j'obéis docilement à sa demande. Ressentant un mélange d'excitation et de soumission alors que je me mets à genoux devant elle, prêt à me soumettre à son autorité.
Son regard dominant, brûlant d'intensité. Je me sens captivé par son pouvoir et son contrôle sur moi. Chaque ordre qu'elle émet est une invitation à m'abandonner complètement à ses désirs.
Elle me demande de me relever lentement, son regard rempli de désir et de domination. Je m'exécute, sentant l'excitation monter en moi à mesure que je me tiens debout devant elle.
D'un geste séduisant, elle s'approche de moi et commence à déboutonner ma chemise un à un. Ses doigts agiles glissent le long des boutons, révélant progressivement ma peau à chaque ouverture. Je peux sentir son souffle chaud sur ma peau nue, créant des frissons électriques qui se propagent dans tout mon être.
Une fois ma chemise ouverte, elle la fait glisser le long de mes épaules, la laissant tomber négligemment au sol. Ses yeux se délectent du spectacle de mon torse dévoilé, sa respiration s'accélérant légèrement.Son regard brûlant se pose sur mon pantalon, et d'un geste audacieux, elle défait lentement le bouton, puis tire la fermeture éclair vers le bas, libérant ainsi la pression qui monte en moi. Je peux sentir son regard qui explore chaque centimètre de ma peau exposée.
Elle fait descendre mon pantalon le long de mes jambes, révélant ainsi mon sous-vêtement. D'une main experte, puis elle fait glisser délicatement mon sous-vêtement, le laissant rejoindre le sol. Je me retrouve entièrement nu devant elle, exposé à son regard avide et à son désir grandissant.
Chaque geste, chaque contact de ses mains sur ma peau nue enflamme mes sens et fait monter le désir en moi. Je suis complètement à sa merci, prêt à me soumettre à ses désirs
Je me sens vulnérable et exposé, mais cette vulnérabilité ne fait qu'attiser mon désir et mon excitation. Chaque contact de sa main sur ma peau nue fait naître en moi des frissons d'anticipation, amplifiant le désir qui brûle en moi.
Je sais que je suis entièrement à sa merci, prêt à satisfaire tous ses désirs. Mon corps est à sa disposition, prêt à être exploré et à lui apporter le plaisir qu'elle recherche. Chaque caresse, chaque effleurement de sa main sur ma peau crée une connexion électrique entre nous.
Son regard brûlant et son sourire satisfait me montrent qu'elle apprécie le contrôle qu'elle exerce sur moi. Je me laisse emporter par l'excitation de la situation, prêt à me soumettre à ses envies les plus intenses.
Alors que je me tiens là, exposé et vulnérable devant elle, elle sort des menottes avec un sourire malicieux. D'un geste doux mais ferme, elle attache délicatement mes poignets, scellant ainsi mon engagement total et ma soumission à ses désirs.
Je me sens à sa merci, totalement vulnérable, mais aussi prêt à explorer de nouveaux horizons. L'excitation monte en moi, mêlée à une légère appréhension qui ne fait qu'ajouter une saveur délicieuse à cette expérience intense.
Elle caresse tendrement mon visage, cherchant à me rassurer et à me montrer sa volonté de me guider à travers cette expérience. Son toucher doux et attentionné contraste avec le contrôle qu'elle exerce sur moi. Je peux sentir la confiance grandir en moi, me permettant de me laisser aller à ses commandes.
Chaque caresse, chaque contact de sa main sur ma peau, est empreint de désir et de complicité. Je me perds dans le mélange de sensations, à la fois physiques et émotionnelles. Je suis prêt à suivre ses instructions, à explorer les profondeurs de cette expérience intense et délicieuse.
Elle prend ma main et me guide, nue, dans une pièce sombre et mystérieuse. L'atmosphère est chargée d'excitation et d'anticipation. Mes sens sont en éveil, prêts à découvrir ce que cette pièce renferme.
À mesure que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je peux distinguer des accessoires BDSM soigneusement sélectionnés qui ornent la pièce. Des fouets, des pinces à seins, des cordes de bondage... Chaque élément a été choisi avec soin pour susciter des sensations intenses et m'immerger encore plus profondément dans cet univers de plaisir et de soumission.
Mon cœur bat la chamade alors que je prends conscience de l'ampleur de cette expérience. Je me sens à la fois excité et vulnérable devant ces objets qui symbolisent le jeu de pouvoir et la volonté de se laisser aller à ses désirs les plus sombres.
Après m'avoir attaché à une croix de Saint-André, mes bras et mes jambes écartés, elle expose chaque centimètre de mon corps à sa vue et à sa domination. Je me sens à sa merci, totalement soumis et prêt à me laisser emporter par le plaisir et l'érotisme qui émanent de cette situation.
Ses mains expertes explorent chaque recoin de mon anatomie, découvrant et caressant mes zones les plus sensibles. Chaque effleurement fait naître en moi des sensations intenses et électrisantes. Je peux sentir mon corps réagir à ses touchers, mes gémissements de plaisir emplissant l'atmosphère.
Elle ne néglige aucun détail, explorant avec délicatesse et précision chaque partie de mon corps. Ses doigts s'aventurent, avec douceur, dans mon intimité, provoquant des vagues de plaisir qui se propagent à travers moi. Les sensations se mélangent, mélangeant douleur et plaisir dans une danse enivrante.
Elle saisit un fouet, l'objet emblématique du jeu de domination et de soumission. Sa main serre fermement la poignée, prête à déclencher une symphonie de sensations sur ma peau. L'anticipation monte en moi, mélangeant l'excitation et une pointe d'appréhension. Le fouet se balance dans l'air avec une grâce sinistre, créant un sifflement menaçant qui fait monter l'adrénaline en moi. Chaque mouvement précis et calculé promet une décharge électrique de plaisir et de douleur. Je suis à sa merci, prêt à me soumettre à chaque coup.
À mesure que le fouet s'abat sur ma peau, une décharge de sensations se propage à travers moi. La douleur se fait ressentir, mais elle est équilibrée par une vague de plaisir qui m'envahit. Les marques rouges laissées par le fouet témoignent de notre jeu intense, créant une toile d'érotisme sur ma peau.
Ne me laissant de répis elle pose son fouet et saisi des pinces à seins, elle les examinent attentivement, comme un artiste qui choisit ses pinceaux. Je sens mon cœur battre plus rapidement, mêlant l'anticipation et une pointe de nervosité. Elle s'approche de moi, son regard empreint de domination et de désir.
Elle prend le temps de caresser mes seins, les faisant durcir sous ses doigts experts. Puis, avec une détermination calculée, elle place délicatement les pinces sur mes tétons, créant une sensation de pincement intense mais exquis.
La douleur, mêlée à une étrange forme de plaisir, se répand dans tout mon être. Chaque mouvement, chaque respiration, accentue la tension exercée par les pinces, créant une symphonie de sensations sur mes seins. Les pinces deviennent un lien physique entre elle et moi, un rappel constant de son emprise sur mon corps.
Mon ressenti oscille entre une douleur délicieuse et une excitation brûlante. Je suis à la fois transporté par le plaisir et défié par la douleur. Mes sens sont en éveil, chaque stimulus amplifié par les pinces qui se serrent sur mes tétons. Je suis totalement à sa merci, abandonné à ses désirs et à son contrôle.
puis Elle se saisit d'une sonde urétrale, un objet fin et lisse qui suscite à la fois l'excitation et une pointe de nervosité. Elle se rapproche de moi, son regard rempli de dominance et de désir. Avec une assurance calculée, elle me demande de me détendre, de me laisser aller entre ses mains expertes.
Elle lubrifie soigneusement la sonde, veillant à ce que tout se passe en douceur. Puis, avec une précaution délicate, elle guide l'extrémité de la sonde vers mon urètre.La fraîcheur du lubrifiant sur ma peau ajoute une sensation agréable à l'ensemble.
Je sens une légère pression, un mélange de douleur et d'excitation alors que l'objet commence à pénétrer mon corps.
L'insertion se fait lentement, centimètre par centimètre, faisant monter en moi une sensation étrange et nouvelle. Je me sens rempli, envahi, comme si une partie de moi-même était explorée d'une manière inattendue. La sonde glisse avec aisance, suivant les contours de mon urètre, créant une stimulation intense et intime.
Mes sens sont en ébullition, chaque mouvement de la sonde provoque une réaction électrique qui se propage dans tout mon corps. Je suis à la fois captivé par cette sensation unique et fasciné par la façon dont elle contrôle mon plaisir et mon expérience.Les frontières entre douleur et plaisir s'estompent, et je m'abandonne pleinement à cette exploration audacieuse.
Elle me détache de la croix de Saint-André avec un mélange de douceur et de fermeté, libérant mes mains et mes pieds qui étaient solidement attachés. Je ressens un sentiment de libération et d'excitation qui monte en moi. Son regard brûlant de désir me promet des moments intenses à venir. Je suis prêt à me laisser guider par elle et à explorer de nouveaux horizons de plaisir.
Elle me guide ensuite avec douceur pour m'allonger sur une tablette, le ventre contre le matelas. Une sensation de douceur et de confort m'enveloppe alors qu'elle prépare la prochaine étape de notre exploration sensuelle. Ses mains expertes parcourent délicatement chaque centimètre de mon dos, suscitant des frissons d'anticipation le long de ma colonne vertébrale. La pression de ses doigts est à la fois ferme et douce, préparant ma peau pour les plaisirs à venir.
Son souffle chaud caresse ma nuque, envoyant des décharges électriques de désir à travers tout mon corps. Ses murmures, remplis d'excitation et de promesse, trouvent écho dans mon esprit, alimentant le feu ardent qui brûle en moi. Je me laisse totalement emporter par ses gestes, me laissant guider par ses désirs et ses envies. Je suis prêt à plonger dans cet océan de sensations intenses et à découvrir les délices exquis qui nous attendent.
Avec une main ferme et déterminée, elle commence à écarter lentement mes jambes, écartant les barrières de ma résistance. Son toucher est à la fois doux et possessif, me faisant ressentir une étrange combinaison de désir et d'anxiété. Je abandonne à cette sensation de soumission, me laissant guider par ses désirs
Consumée par sa dominance, elle sait exactement comment me pousser au bord de l'extase. Elle utilise ses doigts pour stimuler mon anus avec une précision troublante, alternant entre des mouvements doux et des pressions plus fermes. Chaque toucher est calculé pour me faire ressentir un mélange exquis de douleur et de plaisir intense.
Je me retrouve complètement envoûté par cette expérience, mon corps se tend dans l'attente de la prochaine sensation. Les frontières entre plaisir et douleur s'estompent, me transportant dans un état de transe érotique où seule la satisfaction compte.
Avec une détermination implacable, elle poursuit ma dilatation anale, allant au-delà de ce que j aurais pu imaginer.
Elle commence par masser doucement mon anus avec ses doigts, les lubrifiant abondamment pour faciliter la progression. Chaque mouvement est précis et calculé, cherchant à détendre mes muscles et à préparer mon corps à cette extrême dilatation.Lentement mais sûrement, elle insère un doigt, puis deux, puis trois, me faisant ressentir une combinaison intense de douleur et de plaisir. mon corps réagit, se contractant et se relâchant au rythme de ses mouvements, s'adaptant progressivement à la taille et à la pression croissantes.
Avec une dextérité impressionnante, elle continue d'élargir mon anus, écartant les limites de ma résistance. Elle utilise je pense alors des techniques de relaxation musculaire et de stimulation précise pour m aider à accueillir sa main entière.
Enfin, le moment tant attendu arrive.Je sent son poignet glisser lentement à l'intérieur de moi, mon corps se tend sous la sensation de plénitude absolue. La douleur se mêle à une forme pervertie de plaisir, créant une expérience indescriptible et troublante. Mon esprit poujours empli d'une soumission totale.
Après avoir retiré sa main de mon anus, elle me demande de me relever, me permettant ainsi de récupérer de cette expérience intense. Je me mets debout, tremblant légèrement, me sentant à la fois vidé et une sensation par cette expérience indescriptible.
toujours emplie de dominance, elle m'examine de nouveau dans mon ensemble. Son regard scrutateur parcourt chaque centimètre de mon corps, capturant chaque marque de ma soumission et de mon désir.Je ressent un mélange de vulnérabilité et de satisfaction, sachant que vous j'ai pleinement donné de moi-même.
Elle observe attentivement les marques et les traces laissées par l'exploration de mon intimité, cherchant des signes de mon excitation et de mon plaisir. Son regard se pose sur chaque partie de mon corps, prenant note des réactions et des effets de cette expérience intense.
Je me tiens là, exposé et vulnérable, tandis qu'elle continue de m'inspecter. Elle prend son temps pour apprécier chaque détail, chaque réaction de moin corps. Je suis à sa merci, offert à son regard scrutateur et à son jugement
Avec un sourire, elle me tend une tenue féminine coquine, une magnifique lingerie en dentelle noire. Le soutien-gorge orné de délicats motifs floraux, accentuant mes courbes et soulignant subtilement ma poitrine. Les bonnets rembourrés ajoutent une touche de sensualité, tandis que les fines bretelles ajustables promettent un ajustement parfait.
Le bas assorti était tout aussi séduisant, avec une culotte en dentelle transparente qui dévoilait subtilement mes formes féminines. La ceinture en satin accentuant ma taille, créant une silhouette délicieusement sensuelle. Les lanières élastiques sur les côtés ajoutent une touche audacieuse, donnant un aperçu de ma peau douce et invitante.
Pour compléter l'ensemble, elle me tend des bas en résille, leur texture délicate caressant mes jambes. Les jarretières en dentelle ajoutant une touche de sophistication, me conférant une allure de femme.
Alors que je tenais cette tenue entre mes mains, je sentais l'excitation monter en moi, sachant que cette lingerie allait intensifier mon expérience
je fis glisser la culotte en dentelle le long de mes jambes, la laissant reposer délicatement sur mes hanches. Le tissu doux caressait ma peau, accentuant ma féminité et m'invitant à explorer cette nouvelle facette de moi-même.
En tenue, , je savais que cette aventure serait un voyage de découverte et de plaisir sans précédent. Avec un sourire complice, elle me murmure à l'oreille : "Maintenant, tu es prête." Elle prit délicatement ma main et m'emmena dans la salle principale du club, où l'ambiance était électrique et envoûtante.
La pièce était plongée dans une semi-obscurité, les lumières tamisées créant une atmosphère sensuelle. Le son enivrant de la musique résonnait dans mes oreilles, créant une pulsation rythmée qui faisait vibrer mon corps.
Elle me guide vers un coin plus intime du club, où des canapés confortables invitants à l'abandon et à la découverte attendaient. Les couples et les groupes étaient engagés dans des jeux de séduction et d'exploration, chacun embrassant sa propre quête de plaisir.
Nous nous installons sur l'un des canapés, nous imprégnant de l'atmosphère enivrante qui nous entour. Elle prend ma main et la porta à ses lèvres, déposant un doux baiser dessus. Ce geste rappelait notre connexion, notre complicité dans cette aventure érotique.
Le club était un lieu de liberté et d'exploration, où chacun pouvait vivre ses fantasmes les plus secrets sans jugement. En cet instant, j'étais prête à me laisser emporter par cette expérience, à me perdre dans le plaisir et la découverte de mes désirs les plus profonds. Et elle serait là, à mes côtés, pour m'accompagner dans cette aventure sensuelle.
Alors que nous nous installions sur le canapé, deux hommes élégamment vêtus s'approchèrent et s'assiés à côté de moi. Je sent mon cœur s'accélérer dans ma poitrine, sachant que ma Domina d'un soir avait approuvé leur présence.
Elle me lançe un regard complice, un léger hochement de tête qui me confirmait qu'elle était d'accord pour que nous poursuivons cette expérience à trois. Son approbation m'emplissait d'excitation et de confiance, sachant que je pouvais me laisser aller en toute sécurité entre les mains de ces hommes.
Sans dire un mot, les hommes commencèrent à me caresser doucement, leurs mains expertes explorant chaque centimètre de ma peau. Leurs gestes sont empreints de désir et de respect, suivant les limites établies par ma Domina.
Je me laisse alors emporter par leurs touchers, les sensations se mélangeant dans un tourbillon de plaisir. Leurs mains se promenent sur mon corps, éveillant des frissons de désir et faisant monter en moi une vague d'excitation inégalée.
Ma Domina observe la scène avec un sourire satisfait, prenant plaisir à voir le plaisir qu'elle m'offre. Elle est le lien entre nous, la force qui orchestre cette expérience unique et mémorable.
Dans cet espace de désir partagé, je me sent libre de m'abandonner complètement, de laisser mon corps répondre aux caresses et aux murmures de plaisir. Ma Domina est là pour me guider, pour m'encourager à explorer mes désirs et mes fantasmes, tout en respectant mes limites.
Et ainsi, nous nous lancons dans cette aventure à trois, où la sensualité et le plaisir se mêlent dans une danse enivrante. Je suis prêt plutot prête à me perdre dans les bras de ces hommes, à découvrir de nouvelles dimensions de plaisir et de satisfaction. Ma Domina est là, veillant sur moi, prête à mener cette expérience vers des sommets inexplorés.
Alors que nous nous laissons emporter par nos pulsions, l'un des hommes me guide doucement à me mettre à quatre pattes devant lui. Mon cœur bat la chamade, mêlé d'excitation et d'appréhension. Il ouvre son pantalon, révélant son sexe dressé, prêt à être exploré.
La sensation de le glisser dans ma bouche est nouvelle pour moi, un mélange de douceur et de fermeté, de désir et de soumission. Je me laise guider par mes instincts, trouvant un rythme qui plait à mon partenaire. Les gémissements de plaisir remplissaient l'air, mêlés aux encouragements de ma Domina.
C'est une expérience intense et audacieuse, une exploration de mes limites et de mes désirs les plus profonds. Chaque mouvement, chaque caresse est empreint d'une énergie sensuelle et passionnée. Je me sent vivante, libérée de toute retenue, embrassant pleinement cette expérience unique.
La suite de cette aventure passionnante se dessine devant moi,encore tant de plaisirs à explorer et de fantasmes à réaliser. Les limites semblent s'évanouir, laissant place à une intensité et une connexion profonde .
Puis le deuxieme homme m attrape
'obéis à ses ordres me dis ma Domina, me laissant ramener à la position préalable. Je suis prête pour ce nouveau partenaire, pour cette nouvelle étape de mon parcours.
Quand il me pénétre, je sent un frisson de douceur et de terreur me parcourir le corps. Je m'accroche à lui, à sa peau, cherchant à me fondre dans cet instant.
Notre rythme est différent, mais il est aussi intense que le premier. Nous nous laissons guider par nos instincts, nos désirs, et je sent mon corps se révéler au contact de sa chair.
Les cris de mon partenaire résonnent dans la pièce, mêlés à ceux de mon premier. Je suis partagée entre le désir de satisfaire l'un et l'autre et la peur de ne pas y parvenir.
Les minutes passent, nos corps s'unifiant de plus en plus, jusqu'à ce que nous atteignions le sommet de la volupté.
J'obéis à leurs ordres, m'abandonnant à ces sensations nouvelles. Je prête à vivre cette expérience, à en apprendre davantage sur ce monde érotique.
Le premier sentit sa jouissance arriver et laisse échapper son sperme dans ma bouche, mélangeant ainsi nos émotions. Je laisse filtrer le liquide dans ma gorge, savourant son goût unique.
Puis le second m'envahit de sa chair, me pénétrant dans mon anus avec ardeur. La sensation est différente, mais aussi excitante que celle du sexe oral.
Je suis partagée entre la douceur de leur contact et l'appréhension de cette nouvelle expérience.
Lorsque le second sentit sa jouissance approcher, il se mit à me caresser doucement, me guidant vers le plaisir. Je fus submergée par une sensation intense, inoubliable.
Cette nuit fut une confirmation de mon amour pour cet univers, de ma soumission à ce jeu sensuel. Je m'en félicitais, car ces aventures m'avaient apporté un équilibre, une force intérieure qui me faisait sentir libre, complète.
Je me redressai, me rhabillant en silence. Ma maîtresse m'observait attentivement, le visage impassible. Je me sentis pétrifiée par la peur et l'excitation, ne sachant pas quoi attendre de sa réaction.
Elle me claqua doucement les fesses, son sourire moqueur me rassura un peu.
"Ce sera suffit pour cette nuit, ma chère. Rentre chez toi, profite de tes émotions et revient demain pour un nouveau tour
Je ne dis rien, me contentant de hocher la tête. Ma maîtresse est une femme d'expérience, elle sait maintenant comment me faire fonctionner.
J'empruntai le chemin du retour, les yeux brillants de larmes et de sueur. J'étais épuisée, mais aussi exaltée. Cette nuit m'avait révélé des sensations inconnues, des facettes de ma personnalité que j'ignorais jusqu'alors.Arrivant à la maison, me laissant tomber sur mon lit, les draps mouillés de sueur et de sperme. Je fermai les yeux, essayant de digérer cette expérience, de la réintégrer dans mon quotidien.
Ce n'était pas fini, je le savais. Il y avait encore tant de choses à explorer, à vivre. J'avais hâte de me retrouver dans cette salle, avec ces hommes, pour en vivre de nouvelles aventures.
Cette vie était une partie d'un rêve, une chance inouïe de vivre au-delà de mes limites. J'en profitais.
Mais pour l'instant, je m'abandonnais à cette liberté, à ce jeu sensuel, à cette soumission totale.
La sensation était une mélange de douceur et de puissance. J'étais immergée dans un état de bonheur et de soumission totale, emportée par les mouvements de mes partenaires.
J'essayais de trouver le sommeil et de me laisser aller à ces sensations, mais je n'y parvenais pas.J'étais comme suspendue entre deux mondes, entre le réel et le rêve. Mes pensées vagabondaient de l'un à l'autre, essayant d'intégrer toutes ces expériences inoubliables dans mon esprit.
En me rappelant chaque instant de plaisir et de souffrance, je comprenais l'intensité de cette vie que j'avais choisie. J'avais eu des rencontres épiques, des expériences incroyables, j'avais vécu des émotions que peu de gens pouvaient envisager.
Le sommeil finalement m'avait gagnée, mais je rêvais encore d'exploits à venir, de soumissions inédites. J'étais prêt enfin maintenant prête pour le lendemain, pour mes prochaines rencontres, car je savais qu'elles me réserveraient d'autres émotions, d'autres expériences, d'autres souvenirs incroyables.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
Fin 2016
Ce chapitre bonus est là pour vous dévoiler un événement important qui s‘est déroulé au nouvel an 2016/2017 alors que je commençais à enchainer les plans culs dans la ville où je faisais mes études.
Cet élément n’ayant pas sa place dans le récit relatant ma première année de coups d’un soir, j'ai fait le choix de vous raconter l’évolution de cette relation année après année dans des chapitres annexes.
Je vous dévoile donc dans ce chapitre des informations complémentaires sur cette époque.
Cela faisait deux mois que j’avais débuté les plans culs lorsque les vacances de fin d’année arrivèrent et que je rentra chez ma mère pour les fêtes. Je passais Noel comme chaque année en famille où nous avions l’habitude d’aller chez mon grand-père pour y retrouver mes tantes et leurs enfants. Pour ce qui est du nouvel an, j’avais également l’habitude de toujours le passer avec ma bande de potes du collège et j'avais hâte de les revoir.
Je profite de ces vacances pour me ressourcer étant loin de mes proches dans cette nouvelle école, je ne rentre jamais chez moi le week-end.
Ma mère me félicite pour mon début d’année et semble soulagée de me voir enfin épanouie, on passe de bons moments mère/fille et le reste du temps je le passe avec Clara (ma meilleure-amie) et une autre copine à faire du shopping ou seule a jouer aux jeux-vidéos et regarder des séries que j’ai en retard.
Les jours passent et mon envie de sexe commence a se faire ressentir, je me masturbe de plus en plus et regrette de ne pas avoir pris un ou deux sex-toys avec moi …
Je me frotte contre mon oreiller le matin au réveil ou me caresse le clitoris en repensant à mes plans de ces dernières semaines.
Je regarde des scènes hards de gang-bang sur mon téléphone en me doigtant et me stimulant plus fort avant de dormir.
Quand je reste seule à la maison en journée ça dérape souvent sur une session sites de culs où je calme mes ardeurs …
Je prends conscience que je me suis habituée à me faire sauter par un inconnu toutes les semaines et que cela me manque !
J’ai besoin de ma dose, de découvrir une nouvelle bite, de me faire baiser ...
Je m’interdis d’avoir ce type de rencontres dans ma ville, je préfère faire la salope loin de chez moi et m’impose de me retenir la douzaine de jours que je passe chez ma mère. Je ne raconte même pas mes aventures à Clara qui avant savait tout de ma vie sexuelle et mes frasques donc ce n’est pas pour faire n’importe quoi parce-que je commence à avoir le feu au cul !
Aucune rencontre pendant les vacances, je me l'étais imposé, je tiendrais !
De toute façon, j’ai quelqu’un en tête ... Je sais sur quelle bite je vais m’empaler pour assouvir mes besoins.
Mon meilleur ami, Kévin. Je ne l'ai pas revu depuis qu’il m’a baisée quelques jours avant mon départ pour la rentrée.
On s’est échangés plusieurs messages ces dernières semaines où il s’inquiétait beaucoup pour moi vis-à-vis de mes blessures de l’année dernière et je l’ai énormément rassuré sans jamais lui parler de mes plans-culs ! Il ne se doute pas un instant de tout ce que j’ai pu faire ces derniers temps ni de ce que je prévois de faire avec lui durant ces vacances …
Je lui ai envoyé un message pour lui souhaiter un joyeux noël, il m’a retourné la politesse et j'ai alors proposé de se voir (sans manifester aucune arrière-pensée bien que j’en avais) mais il m’a répondu ne pas être disponible avant le soir du nouvel-an …
Je patienta donc jusqu’au réveillon que nous fêtions chez les parents de Gabriel (un copain de la bande) où toute la bande du collège et leurs mecs/nanas (pour ceux en couple) se retrouvaient pour une soirée arrosée dans une maison rien que pour nous.
Vers 17 heures, j’écris à Kévin en lui demandant s’il pouvait passer me chercher pour m’emmener chez Gab (ayant envie de le voir en tête a tête pour éventuellement faire un bail avant la soirée). Il me répondit qu’il était chez Laura (sa copine depuis 5 ans) et qu’ils pouvaient passer me prendre vers 19h45 pour aller à la soirée, j’accepta frustrée qu’elle l’accapare déjà …
Je suis clairement une garce d’avoir autant manquer de respect à Laura, la pauvre bichette était déjà cocue a deux reprises à cause de nos conneries. Il l’avait trompée deux ans après le début de leur relation quand je l’avais branlé et l’avait laissé me bouffer les seins alors que j’étais moi aussi en couple avec Thomas puis une seconde fois quand j’avais égoïstement insistée pour qu’il me fasse l’amour quatre mois auparavant …
Laura était une copine, elle trainait dans nôtre bande de potes depuis 5 ans et même si elle était avant tout la « meuf de » Kévin, ça restait une fille sympa avec qui je délirais beaucoup et que j’appréciais pourtant je n’arrivais plus à me freiner pour elle depuis qu’on avait déconnés. Je me disais que le mal était fait …
Je m’habille donc en bombe ce soir-là, bien décidée a rendre fou son mec et en profiter une nouvelle fois ...
Je porte un soutif et un string motif léopard, une robe noire et moulante avec un bon décolleté qui est assez courte puisqu'elle m'arrive juste au-dessus des genoux. De beaux talons aiguilles avec sandales a lanières noires, du vernis rouge tout frais d’il y’a une heure et j’emprunte le fer a friser de ma mère pour me boucler les cheveux bref j’envoie du lourd et m’assure qu’il ne puisse pas me résister mais fais attention a un détail, ne pas mettre de rouge a lèvres, pour pas qu’on se fasse cramer …
Laura sonne à la porte, je prends mes affaires et va a sa rencontre, elle me reluque de la tête au pied et me dit que je suis trop belle, je lui retourne le compliment. Je monte à l’arrière de la voiture de Kévin qui nous attends garé devant chez moi, on se salue et se fait la bise, il s’amuse de me voir avec des bouclettes et démarre le véhicule.
Je suis frustrée qu’il n’est pas eu un mot pour ma tenue ou me dise que je suis jolie, il semble mal à l’aise en présence de Laura et je ne retrouve pas mon meilleur pote comme je le connais, cela me tends et me mets mal à l'aise également.
Nous arrivons chez Gabriel, nous saluons tout le monde et plusieurs personnes me complimente sur ma tenue et ma coiffure, cela me fait plaisir mais renforce ma frustration de ne pas avoir eu une réaction similaire de la part de celui pour qui j'ai fait tout ça. Kévin ne m’approche pas vraiment durant la première heure et cela commence à m’agacer, j’hésite entre aller crever l’abcès au plus vite ou lui faire la gueule toute la soirée s’il continue et ne plus le calculer …
J'évite l'alcool depuis mes soucis de l'année dernière mais cette fois-ci je craque et décide de déroger a la règle pour le nouvel an même si dans le fond c'est sûrement pour ne pas affronter les pensées qui m'assaillent vis a vis de mon meilleur-ami, je me doute que cela le forcera a s'en inquiéter et venir me parler.
Je trinque avec mes amis en leur expliquant faire une exception pour cette soirée a part et m'engage a ne pas reboire de l'année suivante, Kévin ne dira rien ...
Plus tard dans la soirée, je surprends une conversation entre Laura et la copine d’un pote a nous où elle se confie en disant qu’en ce moment ça ne va pas fort avec Kévin et qu’ils ont faillis faire un break le mois-dernier …
Il ne m’en a jamais parlé par messages quand nous prenions des nouvelles l'un de l'autre et instantanément je m’inquiète en me demandant si j’en suis responsable …
J’attrape Clara dans une chambre pour lui demander si elle est au courant de quelque-chose de son côté et elle m’assure que je lui apprends, qu’il n’en a jamais parlé avec elle non plus.
La soirée se passe et j’enchaine les verres, je vois Kévin partir chercher des bouteilles avec Gab dans le garage et décide d’aller lui parler !
« Tu vas faire la gueule encore longtemps ?
- Je ne fais pas la gueule, pourquoi tu dis-ça ?
- Je ne sais pas, tu m’ignores depuis le début et a chaque fois que je m’approche, tu t’en vas alors qu'en général tu passes la plupart de ton temps avec moi donc je ne comprends pas cette distance !
- Je vais vous laisser, dit Gab en rigolant, prenant les bouteilles et quittant le garage ...
- Pourquoi je te ferais la gueule ? Y’a rien t’inquiète, je n’ai pas dû faire attention.
- Ouais c'est ça et pourquoi tu ne m’as pas parlé de vos soucis avec Laura ?
- Comment tu sais-ça ?
- Je l’ai entendue en parler tout a l’heure dans la cuisine.
- Y’a pas grand-chose à en dire puis c’est normal des hauts et des bas dans un couple quand ça fait aussi longtemps, je n’avais pas envie de parler de mes problèmes qui d’ailleurs se tassent …
- Je n’aime pas ça, depuis quand notre amitié s’est délabrée comme ça pour que tu ne me confies plus tes problèmes …
- Elle ne s’est pas délabrée, juste t’es peut-être plus la mieux placée pour qu’on parle de Laura, tu ne crois pas ? »
Un silence s’installe, je suis choquée par ce qu’il vient de dire et a la fois je le comprends.
Cela me vexe et me déçoit sur le plan amical mais c’est logique du point de vue « amants » … Cela fait mal a entendre mais je reconnais qu'il n'a pas tord.
« Je ne pensais pas que ce qu’on avait fait changerait des choses entre nous …
- Cela n’a rien changé c'est juste que si j’ai des soucis avec ma meuf, j'ai moins envie d’en parler avec ma pote que j’ai sautée dans son dos.
- Tu as peut-être raison mais maintenant qu’on en parle, tu t’en veux du coup ?
- De ?
- Bah tu sais, ce qu’on a fait ...
- Non ! Enfin vis-à-vis d’elle, SI ! Disons que je porte une culpabilité mais c’est moi qui avais commencé la première-fois et j’avais toujours voulu le faire avec toi donc je ne regrette rien même si ça devait niquer mon couple, fallait que je le fasse …
- Je vois mais si c’était à refaire ?
- Je le referais et toi ?
- Pareil et pour rien te cacher, j’avais envie de le refaire … Je voulais que tu passes y’a des jours, cette aprèm ou qu’on se capte avant que je reparte mais je voulais qu’on le refasse …
- Ouais, je … m’en doutais ...
- Comment-ça ?
- C’est pour ça que j’étais « fuyant », « pas dispo » ces derniers jours bref que tu me trouvais distant tout a l’heure ... Je sais que si tu t’approchais trop, j’allais avoir envie de remettre le couvert ! Je compte plus le nombre de fois où je me suis branlé en repensant a ton corps depuis qu’on l’a fait … Tu sais que j'ai toujours été très sensible à tes charmes ...
- On a vraiment une relation a part toi et moi, j'arrive plus a mettre un mot dessus et je m'en fiche mais il faut pas que ça te fasse du mal !
- En fait, je ne voulais pas refaire ça à Laura, mettre mon couple en danger… Je l’aime mais le sexe est devenu plus ennuyeux avec elle, c’est plat, routinier et je crois que j’en ai fait le tour, je me demande si je ne rate pas une partie de ma jeunesse et elle-aussi donc ça me terrifie ...
- C’est délicat de te répondre mais je ne pensais pas que ça polluerait ton histoire comme ça qu’on couche ensemble …
- Pour être franc, j’ai préféré coucher avec toi qu’avec elle, je trouve ton corps plus bandant que le sien, j’ai plusieurs fois pensé a toi pendant que je le faisais avec elle et j’ai envie de toi encore et encore depuis qu’on a franchi le cap !
- Arrête, tu m’excites trop quand tu me dis des trucs comme ça !
- Viens-là ! »
Il s’approche d’un coup et m’embrasse, nos langues se mêlent, un tsunami déferle dans ma culotte comme si je contenais mon excitation depuis des heures et pouvait enfin la laisser m’envahir, il agrippe mon cul et me relâche soudain pour plonger ses yeux dans les miens.
Je brise vite l’instant avant qu’il ne se ravise en lui disant « je veux que tu me baises ! »
« Pas ici, pas ce soir, trop risqué !
- On va trouver un moment, des jours que j’y pense et que je veux ta queue !
- On peut se faire gauler par nos potes, par Clara ou pire Laura qui ferait un scandale et ça tournerait au drame ... Pleurs, baston entre vous la connaissant, bref on niquerait la soirée de tout le monde …
- Le risque m’excite encore plus, je veux être vilaine ce soir, des jours que j’attends de te voir ... »
Je me mords les lèvres en lui faisant des yeux de biche tout en posant la paume de ma main sur son entrejambe.
« Ecoute, je vais y réfléchir et on se voit demain ou après-demain si on est encore chauds mais clairement faut se tenir chez Gab, y’a trop à perdre ... »
Je prends sa main et la glisse sous ma robe, il sourit et frotte ma chatte avec son majeur à travers mon string
« Arrête-toi, t’es bourrée ou quoi ? dit-il en rigolant
- Rentre-un doigt ! »
Il s’exécute et insère le bout de son index dans ma chatte humide après avoir écartée mon string avec son majeur.
« T’es trempée, me dit-il
- Tu vas me regarder toute la soirée et à chaque fois que tu poseras les yeux sur moi, je veux que tu penses a cette chatte trempée qui n'attends que toi ! Tu pourras la prendre quand tu veux et où tu veux, trouve une pièce, un timing, une excuse et isolons-nous autant de fois qu’on le pourra pour être de vilains cachotiers »
Il sourit toujours et commence à me doigter faisant aller et venir son index en moi
« Ah ouais ? Je ne te savais pas si coquine !
- Oh arrête, t’en sais tellement ! En tout cas ce n’est pas que ton doigt que je veux !
- Tu sais bien que je ne peux pas te résister … »
Il rigole une dernière fois, retire son doigt et quitte la pièce sans se retourner.
Je repositionne mon string correctement et retourne dans la maison a mon tour. Des gens me parlent sur le trajet mais je n’ai qu’une envie, poser de nouveau mes yeux sur lui pour voir s’il va pécher ou non ! J’écourte la conversation et pars à sa recherche. Je me prends une bouffée de chaleur en arrivant dans le salon, la salope en moi est en train de bouillonner, c’était trop intense pour que j’en reste-là !
Je le retrouve dehors avec Laura dans ses bras, il l’enlace par derrière alors qu'elle discute avec Clara et son mec.
Mon regard capte celui de Kévin qui n’est plus fuyant mais assez lubrique, un brin provocateur comme s’il guettait ma réaction.
Une pointe de jalousie se fait sentir mais son regard me prouve qu’il n’est plus dans l’état d’esprit du début de soirée, je m’isole alors pour prendre un verre seule et rassembler mes pensées.
Un pote vient me parler mais je n’y prête pas vraiment attention, je suis en train de réfléchir à cette pointe de jalousie ...
Laura est sa meuf et je n’ai pas de soucis avec ça, je comprends alors que je suis plus piquée dans ma fierté de femme qu’il aille se blottir contre elle l’air de rien alors qu’il avait son doigt en moi il y’a deux minutes ! Je prends cette action comme une manière de me "décourager" de sa part, de m’envoyer une image forte pour me dire « regarde, c’est elle ma copine et tu fais de la merde » et ainsi me culpabiliser. Cependant vu son attitude en quittant le garage et son regard quand il l'enlaçait, n’était-ce pas plutôt une façon de me "challenger" pour voir si j’en avais vraiment "rien à foutre" et comptait courir après sa queue quoi qu’il en soit ?
J’avais trop envie de sexe, de le refaire avec lui et de continuer a entretenir ce lien unique que l’on tissait.
C’est mon meilleur pote, mon frère, il sait presque tout sur moi et on partage tout même nos corps et nos envies.
Il est la seule personne dans ma vie actuelle à connaitre les deux facettes de moi ...
J’ai envie de lui en montrer plus sur ma seconde nature et surtout de découvrir la sienne que j’avais plusieurs fois entrevue et que je semble avoir réveillée ce soir … J'avais envie de sexe avant la soirée et ce n'est pas maintenant que je venais de me faire brièvement doigter que ça allait s'apaiser ... S'il voulait jouer a qui est le plus faible, on va jouer !
Je me remets dans la soirée et profite un peu des festivités avec tout le monde, Kévin et moi échangeons comme a notre habitude devant les autres mais je cogite de plus en plus a des façons de m’isoler avec lui. J’ai une sorte de radar qui sait précisément où il se trouve dans la maison même si je ne le regarde pas, surveillant la moindre occasion de " le coincer" tout en réfléchissant a des manières de le chauffer sans que les autres ne nous voient/comprennent !
Ma première action aura été de lui toucher la queue a travers son pantalon en le croisant dans un couloir alors qu’il suivait Laura et un pote !
Il s’était retourné pour me jeter un regard qui en disait long alors que je continuais ma route et lui, la sienne ...
Ma seconde provocation fut un geste de la main façon félin « grrrrr » quand il me regarda ce qui le fit rire (je le fis discrètement mais tout de même devant tout le monde, sachant que personne ne comprendrait si on me voyait, se disant au pire qu’on délire).
C’est lui qui opéra ensuite une manœuvre risquée en me touchant le cul pendant que nous parlions avec des potes dont Laura …
Nous étions tous les deux dans la cuisine à se préparer un verre et eux étaient dans le salon. La cuisine des parents de Gab comportait un bar ouvert sur le salon donc nous ne voyions que le haut du corps de nos interlocuteurs et eux de même. Je discutais avec Laura et deux potes quand il posa sa main droite sur ma fesse droite, je fût très surprise qu’il initie un geste comme celui-ci en présence de nos potes et plus particulièrement sa copine …
Sa main resta posée sur ma fesse au départ puis il commença a la remuer de haut en bas alors qu’il prit la parole. Il était en train de discuter avec eux et moi d’écouter tout en préparant mon verre, personne ne se doutait de rien et cela aurait dû m’exciter mais j’étais trop paniquée, je ne quittais plus Laura des yeux. Sa main palpait ma fesse a travers ma robe, il agrippait parfois pleinement ma fesse, je m’extirpa dès que mon verre était prêt pour rejoindre nos amis dans le salon et ainsi continuer la conversation face a lui. J’étais mal à l’aise, il me fit rougir et me donna un coup de chaud ...
Minuit pile arriva quelques minutes plus tard, on se souhaita tous « bonne année » avec des accolades, je regarda Laura et Kévin se rouler une pelle et s’enlacer, on ne fit rien de spécial quand vient nôtre tour étant en présence de tout le monde.
Dans les minutes qui suivirent, plusieurs d’entre-nous sortirent dans le jardin pour prendre ou passer des appels afin de souhaiter la bonne année a des amis. Certains restèrent a discuter en terrasse et d’autres se promenaient dans le jardin pendant leurs conversations téléphoniques, je raccrocha d’un coup de fil avec Ines ma coloc et vit que Kévin était au téléphone a côté de moi et que nous étions seuls dans le noir au fond du jardin.
Il n’y avait plus que deux personnes dans le jardin et elles étaient proches de la terrasse, je m’approche donc de Kévin qui était au téléphone avec un pote et commence a lui déboutonner son pantalon, il jette instantanément un regard vers la terrasse ! Ma main froide extirpe sa queue chaleureuse hors de son caleçon et commence a le branler, il tourne autant que possible le dos a la terrasse et pose sa main sur mon épaule alors que je lui fait face, il se laisse faire tout en cherchant a écourter son appel. « Je dois te laisser, bonne année mon pote, on se voit à la rentrée » dit-il en raccrochant alors qu’il a ses yeux dans les miens et que mon poignet frappe en rythme contre ses couilles.
Depuis quand ce mec m'excite-t-il autant ?
« Bordel t’avais la main froide, me dit-il directement
- J’avais justement envie de me réchauffer les doigts, répondais-je
- T’es folle, on pourrait se faire voir …
- Ah ouais ? Et quand tu me touchais le cul dans la cuisine aussi ... T’as vu, ça surprend !
- Non, ils ne pouvaient rien voir !
- T’as osé me tripoter le cul alors que tu parlais avec ta meuf !
- C’était excitant …
- Salaud, tu me baises quand ? demandais-je tout en lui faisant une léchette dans son cou
- Laura commence à être bourrée, fais-la bien picoler qu’on la couche et quand ils seront tous ivres, on devrait se trouver un moment ...
- Ok, je vais la faire boire »
Je lâche sa bite sans prévenir et retourne dans la maison sans me retourner, le laissant la queue a l’air au fond du jardin (petite vengeance pour le garage).
J’entreprends alors nôtre plan machiavélique et demande à Laura de trinquer avec moi, dans l’heure qui suit c’est trois verres que je fais boire à la miss alors que je me sers dorénavant des cocktails sans alcool.
Je vois Kévin l’inciter à boire un verre avec lui a un moment alors qu’elle commence à être K.O, il est dorénavant plus que motivé !
Tout le monde commence à être déchirés, on approche de 3 heures du matin et certains comatent dorénavant sur le canapé alors que d’autres dansent, que quelques mecs continuent de boire a table et que les fumeurs passent maintenant la plupart de leur temps en terrasse, le groupe est dispersé et certains vomitos sont déjà au lit dans les chambres a l'étage.
Laura est inerte dans les bras de Kévin, il la laisse un moment pour aller pisser et la couche sur le canapé puis part aux toilettes.
Je le suis sans qu’il me remarque et l’attends devant la porte, je l’entends pisser malgré la musique et patiente une minute devant la porte lorsqu’il l’ouvre enfin pour sortir. Je m’engouffre à l’intérieur en le poussant, ferme la porte a clé et commence à l’embrasser.
« Je viens de pisser, tu ne vas quand même pas me sucer maintenant ?
- Non, c’est toi qui vas me bouffer la chatte, je tiens plus et je ne quitterais pas ces chiottes sans que tu me fasses jouir ! »
Je soulève ma robe, retire mon string que j’accroche a la poignée de la porte et tends mon pubis en avant, il se mets a genoux sans un mot et commence à m’embrasser les lèvres puis il aspire mon clito et bientôt entre sa langue dans ma chatte qui dégouline de plaisir sur sa bouche. Je me retiens autant que possible de gémir mais quelques sons s'échappent alors qu’il dévore mon entre-jambe, heureusement la musique et les murs étouffent tout ce qui peut sortir de ces toilettes. Je mets mon pied droit sur la cuvette des WC, je m’appuie le dos contre le mur alors que mon talon glisse sur la cuvette, cette position est la plus obscène que j’ai jamais prise pour me faire bouffer la chatte, ça m’excite trop. J’agrippe mon meilleur pote par les cheveux, j’écoute la musique et nos potes qui chantent, je suis une trainée, sa petite-amie est dans le salon, je suis en robe avec mon string léopard sur la poignée de porte et le visage de mon meilleur ami entre les cuisses … Il glisse un doigt en moi et me masturbe pendant que sa langue frotte dans tous les sens mon clito, je me redresse alors et empoigne ses cheveux a deux mains pour écraser son visage contre ma chatte, je pousse un cri que j’étouffe instantanément de la main droite relâchant les cheveux de celui qui n’arrête aucunement de me lécher alors que je jouis comme la trainée que je suis ! Mes jambes sont en cotons, je m’appuie au mur alors que je recule pour libérer Kévin, il est décoiffé et son menton recouvert de cyprine/salive. Il s’essuie le menton du poignet et se relève, on rigole en se prenant dans les bras puis je rebaisse ma robe, remets mon string et nous constatons que mon talon aiguille a rayé le dos de la lunette des WC ... On la remet en position debout pour que personne ne le voit et on se promet de garder ça secret, le pauvre Gab comme ses parents n’en connaitront jamais la cause ni les responsables ... Nous quittons les toilettes.
Il se recoiffe de la main devant un miroir et nous regagnons le salon, je titube un peu dans le couloir lors de mes premiers pas puis je m’installe dans un des canapés pour me remettre de cette péripétie, le meilleur cunni de ma vie ...
Kévin rejoint Laura dans le canapé à coté du mien, elle est couchée exactement comme il l'a laissée, il la redresse et elle le prend dans ses bras, elle se met alors à l’embrasser et je regarde la scène avec une certaine appréhension proche de la panique ...
"Est-ce qu’elle va sentir qu’il pue la chatte ou qu’il a un certain gout ? "
Mon cœur fait un bond et leur baiser me coupe la respiration, j’attends de voir plus qu’inquiète de ce qui va suivre …
Laura retire enfin sa bouche de celle de Kévin et couche son front sur son épaule, elle le chevauche et semble s’endormir sur lui.
Il me regarde par-dessus son épaule alors que je lui fais de grands yeux, il sourit et lui touche les fesses alors qu’elle est sur lui.
Je viens de jouir et pourtant me voici de nouveau très excitée, elle vient d’embrasser la bouche sur laquelle j’ai dégoulinée ...
Les lèvres de son mec étaient sur mon clitoris et la pointe de sa langue a l’intérieur de mon vagin il y’a quelques instants et elle vient indirectement de goûter à ma cyprine ... Pour avoir embrassée maintes fois mes partenaires après qu’ils m’aient bouffés la chatte, je sais qu’il y’a un goût, Laura est sûrement trop bourrée pour se rendre compte que son mec venait de bouffer une chatte mais c’est quelque-chose qui se sent à un intervalle aussi court après l’acte …
Je regarde Kévin qui a les mains sur le fessier de la pauvre Laura qui ne se doute pas un instant de ce qu’il vient de faire avec moi, il me regarde d’un œil lubrique et je me rends compte que ce mec cache bien son jeu, qu’il est un pervers qui a su me cacher sa vraie nature toutes ces années …
Il soulève alors Laura et l’emmène à l’étage pour la coucher, elle est complètement torchée et a besoin de prendre appui sur lui pour monter l'escalier. Les deux/trois potes qui étaient dans la maison sortent tous dans le jardin en m'invitant a les suivre, je décline en disant attendre Kévin et vouloir rester au chaud.
Il redescend seul l’escalier et vient s’asseoir à côté de moi qui l’attendais, on se dit qu’on est « enfin seuls » et je me sens soudainement intimidée par la situation. Je suis comme une proie qui s'amusait a se jouer de son prédateur, lui filant entre les pattes au dernier moment mais cette fois, je sais qu'il va me chasser sérieusement et que plus rien ni personne ne pourra m'aider a lui échapper ...
J'ai lancé cette partie de chasse et réveillé son instinct primaire pourtant bien que je souhaitais être prise dans ses filets c'est au moment où je le suis que je réalise que je ne connais rien de cette partie sombre de mon meilleur-ami, qui est ce male que rien ne semble pouvoir arrêter dorénavant ? Je me sens comme un bout de viande qu'il voulait dévorer, plus rien d'autre ne semble compter pour lui que d'user de la femelle que je suis et une curieuse sensation de malaise s'entremêle a un profond désir d'être sa chose.
Clara rentre alors dans le salon, elle revient de la terrasse, je ne l'ai pas vu depuis un moment et elle semble ivre comme rarement, "vous êtes-là !" s'écrie-t-elle alors qu'elle retire son manteau et cours vers nous pour nous sauter dessus et s'avachir sur ses deux potes.
Elle est bourrée, nous dit qu'elle nous aime et nous fait des câlins, Kévin redevient le gars que je connais et nous discutons un long moment avec notre meilleure pote saoule. Elle se demande a un moment où est Laura, il lui explique l'avoir couchée car elle était trop bourrée et elle le taquine en lui disant de ne pas trop profiter d'elle cette nuit si elle est ivre. Il lui rétorque que son mec ne devrait rien lui faire aussi vu qu'elle est pompette et elle s'esclaffe de rire en disant qu'elle espère bien qu'il va pas raisonner ainsi, on lui fait remarquer que c'est contradictoire avec ce qu'elle disait pour Kévin puis elle rigola toute seule avant de retourner dehors chercher son mec.
« J'en connais une qui va se faire limer comme il faut ...
- Pfffff, t'es con, elle est bien bourrée en tout cas !
- Si tu veux filer en douce, c'est quand elle ira se coucher, c'est la dernière ici qui fera a peu près attention à ce qu'on fait ...
- T'as peut-être pas tort, je commence à me dire que c'est risqué voir très probable que quelqu'un nous crame.
- Tu te dégonfles ?
- Euh ... Non, juste je commence a être fatiguée et je vois plus trop où on pourrait se mettre ...
- Dans ma voiture ou on marche un peu et on fait ça dehors dans un coin discret !
- Ah ouais ? Je vois que t'as réfléchi
- Je suis chaud bouillant !
- Intéressant, dis-moi tout, comment on fait ?
- Ils sont tous torchés, même moi je le suis pas mal d'ailleurs, la plupart sont couchés et ceux qui restent sont dans un tel état qu’ils ne feront pas gaffe d'où on est et qui est encore debout ! Une fois Clara au lit, on file par la porte d'entrée et on se fait du bien un peu plus loin ?
- Plus loin dans le sens petit-coin discret ? La voiture est plus une option ?
- Bah disons qu'on est a l'étroit dans une bagnole et je suis pas libre de mes mouvements, on va crever de chaud et on peut se faire griller par un con qui irait fumer devant, c'est toi qui disais vouloir être vilaine ce soir et que ça t'excitais le risque d'être surprise !
- On va se les cailler dehors mais tu marques un point, ça rendra cette soirée encore plus inoubliable.
- On s'éclipse dès que Clara monte se coucher, faut juste que je trouve une capote avant, je crois que Gab en a dans sa chambre et il est dehors pour l'instant donc je vais aller voir !
- Pourquoi faire ? On en a pas mis la dernière fois et rien a changé !
- T'as pas couché avec des mecs ?
- Juste un et on a mis une capote donc y'a qu'avec toi que j'en mets pas car tu couches qu'avec ta meuf depuis des années !
- Sérieux, on refait sans ?
- C'est bien meilleur !
- Ouais, c'est clair ...»
Si vous avez lu le chapitre précédent, vous savez que je me tapais un mec par semaine a cette période et que je commençais a augmenter la cadence donc j'ai menti en lui disant que j'avais couché qu'avec un garçon néanmoins JAMAIS je n'ai couché avec un seul coup d'un soir sans préservatif. Kévin sait que je prends la pilule et que je ne jouerais ni avec sa sécurité, ni la mienne. Lorsque nous avions couchés ensemble il y'a quatre mois j'avais fait un dépistage suite au regrettable accident qui m'avait servit de déclic et il savait que j’étais clean, que j'obligeais toujours le port du préservatif a mes partenaires hors petit-ami et qu'il était l'exception.
Clara et son mec partirent se coucher aux alentours de 4 heures du matin, un pote a nous se la joua pot de colle et je m'impatientais commençant a fatiguée. Ma chatte humide réclamait la queue de Kévin et je ne pouvais plus m'empêcher de penser a Clara qui devait être en train de se faire fourrer délicieusement par son mec sous la couette dans l'intimité d'une chambre rien qu'à eux !
De longues minutes plus tard, on réussit à s'en débarrasser et nous filèrent instantanément par la porte d'entrée en veillant a embarquer les clés pour ne pas nous faire enfermer dehors, on courrait dans la rue trop excités d'avoir enfin réussit a prendre la fuite sans témoins.
Il m'attira au fond d'une impasse au croisement du quartier de chez Gab et m'embrassa fougueusement contre la clôture d'une maison.
« Je commençais a me dire qu'on y arriverait jamais !
- Quel enfer, j'ai jamais autant attendu pour du sexe ! »
Je m'empresse de déboutonner son pantalon et sortir sa queue, elle se fait engloutir par ma bouche immédiatement et je commence a la travailler avec appétit. Il se laisse aller et passe une main dans mes cheveux alors qu'il regarde l'heure sur son portable et que personne n'arrive. La rue est plongée dans l'obscurité, elle est calme, aucune des maisons aux alentours semblent encore éveillés, les fêtards sont absents ou endormis par ici mais je n'y prête pas vraiment attention trop heureuse d'être a quelques rues de chez Gab et nos potes ...
J'en ai plus rien a faire si des inconnus nous voient ... On les connaient pas donc on s'enfuira et puis c'est tout !
Kévin me montre qu'il est bientôt 5 heures du matin en plaisantant que nôtre pote bavard aura bien retardée notre évasion, je le suce alors plus fort pour qu'il oublie son portable et de surveiller les alentours, crétin concentre-toi sur nous, on est enfin seuls !
Il agrippe mes cheveux et commence a me baiser la bouche, pas un mot n'a été prononcé mais il semble avoir ressenti et compris le message. Je pince ses couilles du bout des doigts pour lui éviter qu'elle ne frappe mon menton alors qu'il s'en donne a cœur joie avec ma gueule. J'écarte mon string sous ma robe et commence a me frotter le clito tout en lui tenant toujours les couilles de l'autre main et le laissant me défoncer la gorge, je constate que je suis trempée ...
Mon meilleur ami est en train de me baiser la bouche en pleine rue à 5 heures du matin à quelques mètres d'où sont tous nos potes pendant que sa meuf dort ... Je me masturbe comme une trainée accroupie alors qu'il insère sans ménagement son sexe dans ma bouche et me réduit a un sex-toy buccal, je ne respire plus et mes jambes flanchent lorsque je me retire tombant sur les fesses.
Je reprends mes esprits en regardant la queue de Kévin pleine de salive a peine éclairée par un lampadaire au bout du croisement, il allume le flash de son téléphone et m'aide a me relever, il relève alors totalement ma robe au-dessus de mon nombril, baisse mon string en me plaquant contre la clôture a mon tour sauf que c'est mon visage et mes mains qui sont faces au grillage. Je passe mes doigts entre les mailles rigides de la clôture que j'agrippe alors qu'il me pénètre et entame ses coups de butoirs a l'intérieur de mon antre. J'exprime mon plaisir sans trop de retenue étant en confiance dans cette impasse, je l'ai tellement attendue sa bite, qu'elle en est divine ! Ma chatte l'absorbe pleinement et semble ne plus vouloir la laisser ressortir, je contracte mes muscles pelviens souhaitant resserrer les parois de ma chatte sur sa queue afin de la lui compresser autant que possible pour mieux le sentir, il se régale et me baise comme un lièvre en s'acharnant contre mon petit cul bien tendu ! J'ai le front dans le grillage, mon dos et mes jambes font un angle droit, je cambre et lève mon postérieur qui subit des assauts vifs et puissants, mon string pends entre mes cuisses m'empêchant de trop écartées les jambes me forçant a rester bien étroite, je beugle comme une pute avec un client trop violent ! On devait nous entendre a deux rues d'ici, je pense que nos potes auraient presque pu nous entendre du jardin ... Kévin cracha de longs jets chauds tout au fond de moi avant de se retirer, je resta quelques secondes cramponnée au grillage avant de me redresser et sentir son foutre dégouliner en moi, je me vida sur le trottoir alors qu'il me regardait et cela m'excitait autant que ça me dérangeait, on en avait fait du chemin dans notre amitié ...
Je remis mon string, rebaissa ma robe et il me demanda de faire un détour avant de rentrer, je pris la main qu'il me tendait et le suivit.
On discuta sur le chemin, il passa un bras par-dessus mon épaule et je me fit la réflexion que je tenais beaucoup a lui.
Nous finîmes par arriver dans une sorte de petit parc ou plutôt une énorme parcelle de pelouse entre deux quartiers, rien que de l'herbe avec un sentir de sable/terre devant et rien autour. Il m'expliqua qu'il passait souvent ici en vélo au collège quand ils allaient chez Gab et que ce serait un coin parfait pour le refaire.
« Premièrement je suis plus en état, tu m'as démolie la chatte et puis on est parti depuis un moment, faut rentrer maintenant !
- Tu crois vraiment que tu vas t'en tirer sans que je goûte à tes seins ?
- Fallait-y penser avant de me plaquer contre une clôture !
- Allez, c’est toi qui m’a dit que je pourrais avoir cette chatte où et quand je le voulais ce soir, autant de fois que je le souhaitais …
- T’en rates pas une, c’est quelque-chose …
- Je t'ai baisée comme une salope en pleine rue, maintenant laisse-moi te faire l'amour comme une princesse !
- Qu’est-ce que …
- Je vais être doux avec ta petite chatte ce coup-ci, en douceur, comme la dernière-fois ...»
Ses paroles s'accompagnent d'une main entre mes cuisses qui frottent mon clitoris à travers mon string qui en voit de toutes les couleurs.
Ses mots me renvoient a notre première-fois si fusionnelle, il m’embrasse et arrive a ses fins, je m’incline.
Il m'allonge dans l'herbe avec lui, elle est humide à cause du froid de la nuit, c'est désagréable mais ses baisers et ses caresses ne le sont pas. Il baisse les bretelles de ma robe et extirpe ma poitrine hors de mon soutif sans me le retirer, il tète mes seins avec douceur.
Il insère par la suite un doigt dans ma chatte visqueuse qui contient encore un peu de son foutre, "arrête c'est dégueu" lui dis-je ...
Il retire son doigt en faisant une remarque obscène sur son éjaculation en moi puis déboutonne a nouveau son pantalon pour frotter sa queue contre ma chatte. Il manie son sexe en érection contre mes lèvres le remuant pendant que son gland est écrasé sur mon clito, il attise mon désir et se joue de ma chatte en la faisant réclamer un second round, je mouille et n’attends plus qu’une chose, qu’il entre en moi ...
C’est alors qu’il se couche sur moi et me pénètre petit a petit, je serre mes bras autour de lui et émets un soupir de douleur, il me dit que ça va aller alors qu'il va et vient délicatement en moi. Il est doux, il n'a pas menti et me prends avec calme décomposant ses mouvements lentement, je sens sa queue gonflée de désir qui me ramone ...
" C'est trop bon, elle est si chaude et visqueuse, j'aime trop !
- Elle est surtout sale et usée ...
- J'ai toujours aimé baigner dans mon foutre, remettre ma bite dans une chatte que j'ai remplie ...
- Ah ouais ? Bah contente d'apprendre que Laura se fait fourrer à ras bord ...
- Hahaha plus depuis longtemps, c'était a nos débuts qu'elle me laissait le refaire plusieurs fois !
- Décidemment, je suis un exutoire pour toi.
- T'es la meilleure, ma meilleure amie, mon fantasme et ce soir tu es mon sac a foutre !
Il m'embrasse a pleine bouche en prononçant ses mots et me roule une pelle profonde et ferme alors qu'il accélère la cadence et que ma chatte fatiguée ressuscite, cela ne me fait plus mal mais du bien, il me fait de nouveau gémir comme une salope ...
Il relâche ma bouche et me dévore dorénavant le cou, je le laisse me baiser a sa convenance, je suis excitée par la situation sortant encore une fois de mon corps pour voir la scène dans son ensemble ...
"Tu peux y-aller plus fort maintenant si tu veux, vide-toi les couilles encore une fois dans ta salope de pote !
- Putain, t'es trop la chienne dont je rêve !"
Il s'étale de tout son poids sur moi et me pénètre alors en profondeur, il passe un bras derrière ma nuque pour surélever ma tête et avoir plus d'amplitude dans ses coups de queues. Je lève alors mes jambes et les referme sur lui pour le garder bien contre moi.
Il est encore doux la plupart du temps, sa queue frappe parfois fort et profondément, souvent elle glisse lentement en moi et parfois elle se déchaine avec de vifs allers-retours. On s'embrasse tour a tour dans le cou, on se susurre des mots doux ou obscènes, l'instant est aussi beau que pervers, j'ai du mal a réaliser que c'est mon meilleur-ami avec qui je vis de tels instants.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés là a jouir dans le creux de l'oreille de l'un et l'autre.
Je ne sais pas combien de coups de bites j'ai pris couchée dans l'herbe humide d'un premier janvier.
Je ne sais pas a quels animaux en rut nous devions ressembler si vous étiez passés sur ce sentier et aviez surpris deux jeunes en plein acte.
Je sais juste la pute que j'étais de jouir d'une telle situation, d'aimer me faire culbutée dehors contre le sol, de faire l'amour habillée en ayant encore ma robe et mes sous-vêtements. Qu'est-ce que c'était bon d'être une salope, de sentir son sperme dégouliner hors de ma chatte alors qu'il me baisait, de me faire souiller ainsi par l'homme d'une autre, ma jouissance n'était pas que charnelle ...
Il avait commencé a me baiser, nous étions dans le noir le plus total mais lorsqu'il s'affala sur moi pour reprendre son souffle après avoir éjaculé, le jour commençait à se lever.
On se redresse, je replace mon soutif et remets les bretelles de ma robe, son sperme coule déjà dans mon string.
Il range sa queue dans son pantalon, frappe mes fesses et mon dos de la main pour me retirer de l'herbe que j'ai partout et là c'est le drame ...
Ma robe noire est foutue, elle est tachée par l'herbe contre laquelle j'ai frottée encore et encore lors de ses multiples va et viens ...
Je n'ai qu'une seule tenue et je sais qu'au réveil tout le monde va se demander pourquoi je suis dans cet état ...
Je lui demande l'heure qu'il est sur le chemin de la maison de Gab, il me dit qu'il est 6H20. Je décide d'appeler ma mère pour lui demander de venir me chercher, je sais qu'elle se lève habituellement vers 8/9h donc qu’elle ne m’en voudra pas trop ...
Heureusement ma mère décroche et me dit qu'elle arrive, j'ai prétexté ne pas réussir à dormir et vouloir mon lit.
On se dit aurevoir devant la porte de chez Gab, il m'embrasse une dernière-fois et on décide de devenir des sex-friends, on se promets de le refaire aux prochaines vacances scolaires quand je reviendrais dans le coin.
Il entre a l'intérieur discrètement, me rapporte mon sac et j'attends seule devant la maison que ma mère arrive (on habite pas loin).
J'ai réussi a ne pas me montrer de dos pour que ma mère ne voit pas l'état de ma robe, je fonce a la douche pour me nettoyer et découvre que mon string léopard a été mis a rude épreuve, je vous passe les détails mais il était vraiment souillé ...
Je fonce au lit et m'endors aux alentours de 7 heures et demi du matin.
A mon réveil vers 16 heures, j'ai de multiples messages de Clara, Gab etc ... qui me demandent pourquoi je n'ai pas dormi sur place.
J'explique que je ne me sentais pas bien et que je préférais décuver chez moi donc ma mère est passée me prendre.
Je resta au lit quelques minutes à me demander si tout était réellement arrivée, c'est quoi cette nuit de fou ?
Je toucha ma chatte et constata qu'elle était bien K.O mais c'est en tombant de nouveau sur ma robe tachée d'herbe et mon string léopard recouvert de taches blanchâtres que je pris la mesure de la salope que j'avais été hier soir ...
On s'échangea quelques messages avec Kévin pour savoir si tout allait bien, il m'expliqua n'avoir croisé personne sur la route de la chambre et avoir pioncer jusqu'a 11 heures avec Laura. On se chauffa pas mal sur notre prochaine baise et ni lui, ni moi ne regrettèrent cette nuit qui marquait le début d'une relation à part, une relation qui marquerait la fin de son couple et un tremplin pour nos deux sexualités.
Je commença l'année 2017 dans le péché et comme vous le savez avec le chapitre précédent, ce n'était que le début de mes aventures ...
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"Un artiste est un explorateur. Nul n’est artiste du premier coup. L’œuvre d’art que je ne fais pas, personne ne le fera. Un conseil, ne copiez pas trop d’après nature. L’art est une abstraction. Tirez-la de la nature en rêvant devant et ne pensez plus à la création qu’au résultat. Le laid peut être beau, le joli, jamais. Le public veut comprendre et apprendre en un seul jour, une minute, ce que l'artiste a mis des années à comprendre". Voyageur infatigable, peintre itinérant et solitaire, Paul Gauguin (1848-1903) a peint la Bretagne et la Polynésie comme personne avant lui. Sûr de sa force et de son talent, celui qui abandonna tout pour devenir artiste ne connut jamais le succès de son vivant. Il est aujourd’hui l’un des peintres les plus chers au monde. Y croirait-il lui même ? Paul Gauguin naît à Paris en 1848. En 1851, son père fuit le coup d’État de Napoléon III et l’emmène au Pérou, où il passe quatre ans. Revenu en France, Gauguin s’engage dans la marine marchande, puis militaire. Il mène la vie de mousse pendant six ans et participe à la guerre de 1870. En rentrant à Paris, il s’établit comme agent de change à la Bourse. Gauguin s’enrichit rapidement. Il mène une vie de parfait bourgeois parisien et collectionne les impressionnistes. Il se met au dessin en dilettante et commence alors à fréquenter Pissarro. Ses premières toiles sont assez banales ("Les Maraîchers de Vaugirard", 1879) mais elles laissent déjà transparaître une perspective recourbée qui fera la renommée de ses chefs-d’œuvre. Il peint le portrait de ses proches dans le même esprit ("Clovis endormi", 1884). De plus en plus absorbé par la peinture, Gauguin s’ennuie de sa vie policée, et entre dans une crise de la quarantaine sans retour. À trente-huit ans, il quitte femmes et enfants pour se consacrer à l’art. Du jour au lendemain, le peintre se retrouve sans revenu, et se sépare alors de sa collection pour survivre. Sur les conseils d’un ami, il quitte Paris pour s’installer en Bretagne, à Pont-Aven. "Un trou pas trop cher", comme il le dira lui-même, où vivent déjà de nombreux artistes. Gauguin s’émerveille de la lumière et des paysages du bord de mer, d’où jaillissent le jaune, le vermillon et le bleu scintillant. Sa peinture devient brute, à l’image de son environnement. En observant Émile Bernard peignant "Bretonnes dans la prairie verte" (1888), lui vient une révélation. Il peint aussitôt "Vision après le sermon" (1888) et représente la vie de la population locale dans de nombreuses toiles ("Bretonnes dansant", 1888). Le périple breton se coupe de fuites chroniques en Martinique ou à Arles, où il cohabite orageusement avec van Gogh. En 1891, Gauguin effectue son premier séjour en Polynésie. Cédant alors au mythe de Rousseau, il espère retrouver la condition première de l’homme, loin de la civilisation. Il fait l’expérience des tristes tropiques bien avant l’heure. Jusqu’où l’artiste poussera-t-il ainsi sa quête de pureté ? Sous leur aspect idyllique, les grandes toiles paradisiaques cachent une réalité crue. À Tahiti, Gauguin trouve alors sa muse en la personne de Teha’amana, âgée de treize ans. Le peintre en a quarante-trois. Le talent ne s’embarrasse pas de considérations morales. Tout s’adoucit sous les tropiques, et l’artiste développe autour de lui un harem d’adolescentes qu’il pare bientôt des atours de l'érotisme. Une sensualité pour les enfants qu’il représentera dans de nombreux tableaux ("Merahi metua no Tehamana", 1893). Gauguin recompose ainsi un Éden originel alors bien éloigné de la réalité de la colonisation. Il construit des cabanons, grave des bas-reliefs en bois, renoue avec la "vie sauvage" qu’il décrit dans un journal, "Noa Noa". Qu’importe si tout n’est que pur fantasme. En 1893, le peintre rentre à Paris. Il organise une exposition chez Durand-Ruel, mais le succès reste mitigé. Même pour quelques centaines de francs, ses tableaux restent invendus. Il finit par les brader pour repartir dans les îles. Rentré aux Marquises, il reprend ses habitudes et aménage dans la "Maison du Jouir". En 1897, il réalise l’un de ses plus grands chefs-d’œuvre, "D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?" Malade, Gauguin décède à Atuona en 1903, âgé de cinquante-quatre ans.
"Un grand artiste, c’est un grand homme dans un grand enfant. L’art n’a pas de limite et aucun artiste ne possède la perfection. Un artiste sans inspiration est comme un navire sans gouvernail ni pilote, qui ne sait où se trouve le port. Copier la nature, qu'est-ce que cela veut dire ? Suivre les maîtres ! Mais pourquoi donc les suivre ? Ils ne sont des maîtres que parce qu'ils n'ont suivi personne. J’aime la Bretagne, j’y trouve le sauvage, le primitif. Quand mes sabots résonnent sur ce sol de granit, j’entends le son sourd, mat et puissant que je cherche en peinture". Paul Gauguin nait à Paris, le sept juin 1848, son père collaborait au "National", d'Armand Marrast, avec Thiers et Degouve de Nuncques. Sa mère, Aline Chazal était la fille de Flora Tristan et la petite fille de Thérèse Laisnay et Mariano de Tristán y Moscoso, un militaire membre d'une famille de propriétaires terriens nobles espagnols du Pérou. Le peintre a d'ailleurs passé sa plus jeune enfance à Lima, où son père, mort en 1851 durant le voyage depuis la France, au large de Punta Arenas et enterré à Puerto del Hambre, venait fuir le régime politique de Napoléon III, auteur d'un coup d'État qui conforta son pouvoir. Le jeune enfant ne retourna en France qu’à l’âge de sept ans avec sa mère et sa sœur. Un exil péruvien qui développa probablement le goût du voyage et de l’exotisme chez Gauguin. De retour en France, le jeune Paul fit ses études dans le Loiret, fréquentant notamment le petit séminaire ou le lycée Pothier par lequel différentes personnalités d’hier et d’aujourd’hui sont également passées, comme l’essayiste Charles Péguy, l’avocat Jean Zay ou bien encore le compositeur Philippe Fénelon. Ce retour en terre natale fut un dépaysement pour Gauguin qui, pendant six ans, avait évolué selon la vie péruvienne. D’ailleurs, il parlait mal le français et une partie de lui était restée là-bas. Après son échec au concours d'entrée à l’École navale, il revient à Orléans, et s'inscrit, durant l'année scolaire 1864-1865 au lycée impérial de la rue Jeanne-d'Arc, futur lycée Pothier. À seize ans, Paul Gauguin s’engagea dans la marine marchande. La situation financière de la famille n’était plus la même depuis le décès du père. En retrouvant alors le continent de son enfance, le jeune matelot fut heureux. Il se rendit sur la tombe de son père, enterré à Puerto del Hambre (Chili), puis se dirigea vers le Panama, les îles polynésiennes. Il découvrit des mondes inconnus ou oubliés et profita de ces instants malgré un métier éreintant. Il occupa ses rares moments de repos par la contemplation et un peu de dessin. Mais il n’était pas encore touché véritablement par la fibre artistique, dessinant plus pour tuer le temps que par passion.Ces nouveaux paysages lui constituèrent une bibliothèque mentale d’images qui lui fut très précieuse par la suite.
"En désaccord avec son temps, c’est là ce qui donne à l’artiste sa raison d’être. Tout portrait qu‘on peint avec âme est un portrait, non du modèle, mais de l‘artiste. Le meilleur succès d'une œuvre c’est de faire du bien à son auteur. Voyez-vous j'ai beau comprendre la valeur des mots, abstrait et concret dans le dictionnaire, je ne les saisis pas en peinture. La vérité ne se dégage pas de la polémique, mais des œuvres qu'on a faites". Après ces quelques années dans la marine marchande, il effectue son service militaire dans la marine nationale. Il obtient le grade de lieutenant et embarque, en 1866, sur le trois-mâts "Chili", dont il est le second lieutenant puis sur la corvette Jérôme-Napoléon. Il participe à la guerre de 1870 et prend part à la capture de navires allemands. Après son retour à Toulon, le vingt-trois avril 1871, il quitte la marine. Il devient agent de change à la Bourse à Paris et connaît un certain succès dans ses affaires. Il partage alors une vie bourgeoise confortable avec son épouse danoise, Mette-Sophie Gad et leurs cinq enfants. Son tuteur, Gustave Arosa, homme d'affaires et amateur d'art, introduit Gauguin auprès des impressionnistes. En 1882, il abandonne son emploi de courtier en bourse qui est dans une phase de mauvaise conjoncture, avec la faillite de l'Union générale pour se consacrer alors à sa nouvelle passion, la peinture. De janvier à novembre 1884, il s'établit à Rouen, où Camille Pissarro, qui l'avait guidé dans son approche de l'impressionnisme, vit également. Pendant ces dix mois passés à Rouen, il réalise près de quarante tableaux, principalement des vues de la ville et de ses alentours. Cela ne suffit pas pour vivre, il part vivre avec sa femme et ses enfants dans la famille de celle-ci à Copenhague. Il abandonne la peinture pour devenir représentant en toile goudronnée. Mais il n'est pas doué pour ce travail, ses affaires vont mal et sa belle-famille lui reproche son mode de vie bohème. Il retourne donc à Paris en 1885 pour peindre à plein temps, laissant femme et enfants au Danemark, n'ayant pas les moyens d'assurer leur subsistance. Il est déchiré par cette situation. En mars 1885, Paul Gauguin commence à travailler la céramique et il s’associe avec Ernest Chaplet pour produire cinquante œuvres en céramique. Cette même année, il fréquente le café-restaurant "Au Tambourin", tenu par Agostina Segatori, une modèle italienne, au soixante boulevard de Clichy. En 1886, sur les conseils d'Armand Félix Marie Jobbé-Duval, il effectue un premier séjour à Pont-Aven en Bretagne, où il rencontre Émile Bernard, le tenant du cloisonnisme. De retour à Paris, il rencontre alors pour la première fois Vincent van Gogh, en novembre de la même année. En avril 1887, il s'embarque avec le peintre Charles Laval pour le Panama où ils vont travailler au percement du canal. Ils y rencontrent des conditions de vie particulièrement difficiles et décident de partir dès qu'ils auront réuni suffisamment d'argent pour la Martinique, que Gauguin avait découverte lors d'une escale. Sous l'influence du peintre Émile Bernard, novateur et très croyant, son style évolue. Gauguin devient plus naturel et plus synthétique. Il cherche ainsi son inspiration dans l'art exotique, les vitraux médiévaux et les estampes japonaises, pour peindre des œuvres modernes qui soient spirituellement chargées de sens. Cette année-là, il peint "La Vision après le sermon" aussi appelée "La Lutte de Jacob avec l'ange", œuvre qui influencera Pablo Picasso, Henri Matisse et Edvard Munch. Cette œuvre est pour l'artiste le moyen de représenter "une hallucination collective" en retournant à un certain primitivisme de l'art, en questionnant le thème du sauvage.
"L’artiste doit nécessairement aimer la vie et nous montrer alors qu’elle est belle. Sans lui, nous en douterions. Elle était peu jolie, en somme, selon les règles européennes de l’esthétique. Mais elle était belle. Tous ses trait soffraient en revanche, une harmonie très raphaélique dans la rencontre des courbes de son corps". Gauguin rejoint Vincent van Gogh qui l'a invité à venir à Arles, dans le sud de la France, grâce au frère de celui-ci, Théodorus. Il découvre les estampes japonaises à travers Vincent van Gogh, alors qu'ils passent ensemble deux mois à peindre. Ils peignent alors la série sur les "Alyscamps", des portraits, des paysages et des natures mortes. Les deux confrères sont très sensibles et connaissent des moments de dépression. Gauguin, comme Van Gogh, tentera de se suicider. Rapprochés par un intérêt commun pour la couleur, les deux peintres entrent en conflit personnel et artistique, qui culmine quand Gauguin peint Van Gogh peignant des tournesols, portrait dont Van Gogh dira: "C'est bien moi, mais devenu fou". Leur cohabitation tourne mal et se termine sur le fameux épisode de l'oreille coupée de Van Gogh, le vingt-trois décembre 1888. En 1891, ruiné, il habite un temps à Paris, à l'hôtel Delambre, au trente-cinq de la rue du même nom dans le quatorzième arrondissement. Inspiré par l'œuvre de Jacques-Antoine Moerenhout et grâce à une vente de ses œuvres dont le succès est assuré alors par deux articles enthousiastes d'Octave Mirbeau, il s'embarque pour la Polynésie et s'installe à Tahiti où il espère pouvoir fuir la civilisation occidentale et tout ce qui est artificiel et conventionnel. Il passe désormais toute sa vie dans ces régions tropicales, d'abord à Tahiti puis dans l'île de Hiva Oa dans l'archipel des Marquises. Il rentre en métropole une seule fois. La légende de Gauguin a façonné notre image de l’artiste moderne, figure antinomique de toute activité commerciale et a fortiori étrangère au fonctionnement du marché international. Or, il fut conscient très tôt de l’enjeu des expositions à l’étranger. On a beaucoup écrit sur son génie, sur son œuvre et ses écrits, sur sa vie de misère, ses rêves et ses espoirs, son innovation artistique radicale. On a décrit aussi, un peu moins, le mythe constitutif de sa gloire. Gauguin aurait incarné l’espérance d’un "Paradis perdu", à l’âge de la modernité rationaliste, ou encore le retour aux valeurs primitives, suivant l’appel d’une nature bafouée par la civilisation technicienne et marchande. On n’a quasiment pas analysé, cependant, le processus par lequel se constituèrent ce mythe et cette gloire, et par quels canaux sa réputation de génie put s’étoffer très tôt à l’échelle internationale. La face oubliée, ou occultée, d’un Gauguin véritable affairiste des arts, n’est pas séparable du peintre des Tropiques, celui qui avait choisi l’exil et la barbarie. La construction, par l'artiste et ses soutiens, de sa figure d’exilé, participait de la même stratégie que ses tentatives pour exporter ses toiles. Le génie fêté aujourd’hui n’aurait pas existé sans une intense activité d’exportation de son œuvre, qui fut alors au centre même de la construction de son image de marginal radical.
"Honneur à tous les artistes qui s‘avancent dans l‘arbitraire et laissent après eux la nécessité. Ils sont la vie. Sa bouche avait été modelée par un sculpteur qui parle toutes les langues de la pensée et du baiser, de la joie et de la souffrance. Et je lisais en elle la peur de l’inconnu, la mélancolie de l’amertume mêlée au plaisir, et ce don de la passivité qui cède apparemment et, somme toute, reste dominatrice". Dès son entrée dans le champ de l’art français, Gauguin tenta d’exposer ses toiles à l’étranger. Dix ans plus tard, sa réputation commençait à percer. Il avait su activer l’efficace réseau international, médiatique et littéraire des milieux symbolistes qui pouvaient voir en lui un homologue de leur situation dans le champ de la littérature. Puis le peintre misa immédiatement sur ces liens à l’étranger pour construire sa réputation de prophète incompris. Après sa mort, cette image fut à l’arrière-plan de sa consécration parisienne. Elle accompagna encore l’expansion de son art vers l’étranger, sur fond d’activité fébrile de marchands décidés à faire monter ses prix. Si Gauguin fut capable d’envisager très tôt sa carrière dans une perspective internationale, c’est probablement parce qu’il avait été sensibilisé, dès son enfance, aux pays étrangers. Ses parents, mariés depuis 1846, partirent avec leurs deux enfants, Marie et Paul, chercher fortune au Pérou. Revenu en France, Paul s’engagea en 1865 comme pilotin à bord d’un navire de commerce sur la ligne "Le Havre-Rio". En 1868, il se dirigeait vers Valparaiso. La mort de sa mère arrêta son voyage. Il s’engagea alors sur le "Jérôme-Napoléon", naviguant sur les côtes de Norvège et du Danemark, pour ne rentrer en France qu’en 1871. À cette date, il renonça à la marine, entra à Paris chez un agent de change, et se mit alors à la peinture. Le nouvel artiste commença à exposer dès 1876, Paris étant bien sûr le pôle de ses préoccupations. N’était-ce pas la capitale mondiale de l’art, où se créaient les réputations, la bourse des valeurs artistiques ? Il fut admis au Salon de 1876 mais se détourna vite de la voie officielle. Son cosmopolitisme refit surface, qui le porta vers le milieu d’avant-garde constitué dans le quartier des Batignolles depuis les années 1860. On y parlait, d’après la presse populaire, toutes les langues. On n’y peignait "pas français". Gauguin misa tout d’abord sur le réseau impressionniste soutenu par le marchand Paul Durand-Ruel. Son caractère difficile le brouilla avec le groupe rapidement, et il lui fallut trouver d’autres pistes de vente. Il choisit immédiatement l’étranger. Ses relations familiales lui fournissaient de bons atouts. Sa femme, Mette, était norvégienne, et son beau-frère de même nationalité, Fritz Thaulow, était peintre. Chez Thaulow, Gauguin entra en contact avec la colonie scandinave à Paris. Il espérait trouver des débouchés au Norvège. En 1884, il envisagea d’y transporter alors ses activités. Thaulow l’avait fait participer début janvier à une exposition à Christiania, (Oslo) où il avait envoyé huit toiles.
"Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant. Il me fallut revenir en France. Des devoirs impérieux de famille me rappelaient. Adieu, terre hospitalière, terre délicieuse, patrie de liberté et de beauté ! Je pars avec deux ans de plus, rajeuni de vingt ans, plus barbare aussi qu'à l'arrivée et pourtant plus instruit. Oui, les sauvages ont enseigné bien des choses, ces ignorants, de la science de vivre et de l'art d'être heureux". En décembre 1884, il rejoignit sa femme à Copenhague. Le séjour s’avéra malheureux. Ses peintures, exposées à la Société des Amis de l’Art grâce au peintre Kröyer, rencontré à Paris chez Thaulow, scandalisaient le public. D’où une violente dispute avec la famille de son épouse. En juin 1885, Gauguin se sépara de sa femme et s’en retourna à Paris. Que faire ? Gauguin se brouillait avec tout le monde. À son retour en France, l’artiste hésitait entre deux stratégies. Fallait-il miser sur ses propres forces ? Ou s’attacher au réseau impressionniste soutenu par des marchands d’implantation parisienne et internationale ? Gauguin opta pour les deux solutions à la fois. Du côté étranger, il continuait sa tentative pour se faire connaître au Danemark, utilisant encore sa femme comme médiateur pour exposer alors des tableaux à Copenhague. Un nouveau scandale ne le désarma pas. Il le retourna, au contraire, pour travailler à sa réputation de prophète incompris. "Il faut constater la malveillance, voilà tout et pour cela n’en pas faire un secret", écrivit-il à sa femme en décembre 1885. "Si tu peux même le faire constater par la presse, c’est de la publicité et un jour on verra quel est le bon côté". Ce genre d’attitude détachée n’était tenable que parce que Gauguin misait aussi, de l’autre côté, sur le marché parisien, où il commençait à mieux s’intégrer. Il s’était, en effet, réconcilié avec les impressionnistes. Réconciliation fragile. Le marchand Durand-Ruel n’estimait pas son travail suffisant pour le montrer en Amérique, encore moins pour organiser une exposition Gauguin à Paris. Quoi qu’il en pensât, Gauguin n’était pas une valeur d’exportation. Est-ce à dire que l’artiste n’était doué pour l’international que lorsqu’il côtoyait alors des milieux cosmopolites déconnectés du monde des affaires ? Parti vivre à crédit à Pont-Aven, il y fut accueilli à l’été 1886 par une population dont la variété réveillait ses instincts d’homme d’affaires. Mais alors les artistes de Pont-Aven pouvaient-ils faire plus pour Gauguin que lui ne faisait pour eux ? Dettes et hôtels à crédit, déménagements très fréquents, mévente, tous subissaient le même lot. Gauguin ne plaisait d’ailleurs pas à tous. C’est peut-être pour cette raison que Gauguin misa de nouveau sur le réseau impressionniste. Il avait participé ainsi à la huitième et dernière manifestation du groupe, en 1886. Degas le soutenait dans son opposition farouche à la théorie des nouveaux jeunes, les "pointillistes" menés par Seurat et Signac. Bonne occasion, d’après Gauguin, pour se faire remarquer par la prestigieuse galerie Goupil, qui s’intéressait depuis quelque temps aux toiles impressionnistes.
"S’il veut être alors en paix avec lui-même, un musicien doit faire de la musique, un peintre peindre, un poète écrire. Chaque jour se fait meilleur pour moi, je finis par comprendre la langue assez bien. Mes voisins, trois très proches et les autres nombreux de distance en distance, me regardent comme des leurs. Mes pieds, au contact perpétuel du caillou, se sont durcis, familiarisés au sol". Pourquoi Gauguin s’investit-il si énergiquement dans la vente de ses toiles à l’étranger ? La logique de l’avant-gardisme parisien excluait des ventes aux amateurs français. L’art de Gauguin déplaisait, certes mais encore il était impensable d’envisager de vendre à Paris, car vendre aurait impliqué un art commercial, des compromissions avec Mammon et un nécessaire renoncement aux options esthétiques radicales de l’avant-garde symboliste. À l’étranger en revanche, on pouvait faire ce qu’on voulait. Paris n’en saurait rien. Une vente à l’étranger n’apportait que des bénéfices. On pouvait proclamer chez soi son succès à l’étranger, succès que peu sauraient mesurer, tant étaient encore séparés les champs artistiques nationaux. Gauguin fut l’un des premiers artistes de l’avant-garde parisienne à exploiter systématiquement la logique du "nul n’est prophète en son pays". Il sut miser, mieux que les autres, sur les logiques de distinction propres au champ de l’art moderne. Un artiste était d’autant mieux consacré chez lui, qu’il avait su prouver qu’il était accueilli ailleurs. Gauguin fut ainsi un véritable professionnel de l’exil: envoi de ses toiles alors à l’étranger, exil de lui-même et de son art, référence incessante à un au-delà qui participa de manière essentielle à la construction de son mythe. L’exposition de Bruxelles fut pour Gauguin une occasion de se faire mieux connaître du milieu littéraire franco-belge, alors queles marchands refusaient de prendre ses toiles. La génération symboliste franco-belge était relativement unie. Lors du Salon des XX (1889), une conférence de Teodor de Wyzewa sur "Les origines de la littérature décadente (Verlaine, Laforgue, Mallarmé)" marqua cette alliance entre les milieux d’avant-garde bruxellois et la littérature française novatrice. À Paris, le Mercure de France était l’homologue de la revue L’Art moderne, plate-forme des XX à Bruxelles, et Maus y avait d’ailleurs ses entrées. Au "Mercure de France", Albert Aurier et Charles Morice s’étaient imposés comme les théoriciens du symbolisme littéraire. Gauguin devint pour eux le héros de la peinture symboliste. En 1890, de retour à Paris après un séjour en Bretagne, Gauguin fut alors sacré "chef des peintres symbolistes", de façon tout à fait paradoxale, par les jeunes écrivains et poètes, mais pas par les peintres.
"En tant qu’artiste, votre loyauté est envers votre art. Si ce n’est pas le cas, vous serez un artiste de second ordre. Aucun grand artiste ne voit les choses telles qu‘elles sont réellement. S‘il le faisait, il cesserait d‘être un artiste. Mon corps, presque constamment nu, ne souffre plus du soleil. La civilisation s’en va alors petit à petit de moi. Je commence à penser simplement, à n’avoir que peu de haine pour mon prochain, mieux, à l’aimer. J’ai toutes les jouissances de la vie libre, animale et humaine. J’échappe au factice, j’entre dans la nature". La peinture de Gauguin représentait alors, par son exotisme, son refus des sujets contemporains, ses aplats et ses couleurs assombries, une rupture typique, et visuellement identifiable, avec l’esthétique impressionniste. Gauguin pouvait donc incarner un pôle fédérateur de l’opposition à l’impressionnisme, tout comme à l’esthétique littéraire qui lui était systématiquement associée: le naturalisme. Si bien que même le romancier Octave Mirbeau, qui avait embrassé le naturalisme et se moquait bien à l’époque du symbolisme littéraire, put, dans sa rivalité avec Zola, prendre parti lui aussi pour Gauguin, sans contradiction avec ses propres choix esthétiques. Lui-même introduit auprès des avant-gardes littéraires belges, Mirbeau poursuivait la logique de son propre détour par l’étranger, puisqu’il n’obtenait pas la place qu’il briguait dans le champ littéraire français. En prenant Gauguin sous sa protection, il étendait ce détour au champ de la peinture, de manière similaire à la stratégie de Gauguin. Ainsi, de même que "Mirbeau et consorts", entendons la nébuleuse naturaliste du champ littéraire, étaient un pilier pour la nouvelle légende de Gauguin, de même Gauguin était lui aussi un pilier des stratégies des avant-gardes littéraires de l’époque. L’originalité de la réputation de Gauguin était de reposer nécessairement sur les épaules des autres. Champ étranger, champ littéraire, ou l’épouse de l’artiste, mais jamais Gauguin directement. Gauguin, lui, avait embrassé son rôle d’artiste éloigné dans toutes ses implications. C’était à Mette, revenue à Paris, de vendre les tableaux de Gauguin pendant qu’il était à Tahiti. Mais Gauguin pouvait-il tirer profit d’une carrière conduite par d’autres ? À son retour à Paris, en août 1893, son œuvre commençait à intéresser les marchands. Durand-Ruel organisa une exposition Gauguin. Le retour de l’artiste vers le champ artistique était donc entamé. Un retour non seulement symbolique, celui de ses œuvres dans les galeries de peinture, mais aussi physique. Gauguin l’exilé ne pouvait alors laisser complètement sa réputation en des mains étrangères. Charles Morice lui proposa de faire un ouvrage sur ses souvenirs polynésiens. Ce fut "Noa-Noa". Désormais, il ne s’agissait plus d’une prise en charge du peintre par un homme de lettres, mais d’une collaboration. L'artiste Gauguin devait enêtre la figure centrale. Le peintre Gauguin se lança alors plus clairement, dans une diffusion plus personnelle.
"Il faudrait renaître une vie pour la peinture, une autre pour l'art. En quatre cents ans, on pourrait se compléter. J’ai connu la misère extrême, mais ce n’est rien ou presque rien. Ce qui est dur, c’est vraiment l’empêchement du travail. L’art est une abstraction, c’est le moyen de monter vers Dieu en faisant comme le divin Maître, créer". Mais cette initiative n’aboutissait pas du tout à l’indépendance vis-à-vis du champ littéraire. Elle se reliait, en effet, à la valorisation individualiste de la décadence et de la barbarie, lancée par Paul Verlaine puis par Maurice Barrès dans "Sous l’œil des Barbares" (1888). Dans cette perspective, elle restait dépendante du système de valeur et d’oppositions du champ littéraire. Le moi était barbare, radicalement autre. Gauguin s’inspirait implicitement de la figure d’Arthur Rimbaud, dont l’avant-gardisme avait abouti en une rupture totale, exil radical jusqu’à l’abandonde la poésie. Le mythe de Rimbaud s’était constitué en partie sur son absence et sa référence incessante à une altérité toujours décapante. Gauguin ne pouvait-il reprendre à son compte la genèse de ce mythe ? La référence de Gauguin était d’ailleurs mal conçue, et l’on y sent la non-familiarité du peintre avec les subtilités de la littérature de son époque. La disparition de Rimbaud avait accompli, aux yeux des milieux avant-gardistes, sa vocation de poète. Gauguin, lui, tirait parti des conséquences symboliques de sa proximité de "barbare" avec le poète. Mais il continuait de peindre. Pour que le système fonctionnât, il aurait fallu qu’il disparaisse lui aussi. Gauguin le comprit-il ? Il s’en retourna à Tahiti. De fait, depuis 1893 et son exposition chez Durand-Ruel, Gauguin était alors considéré par le marché comme un artiste posthume. À Paris, son art devint une affaire de marchand, quittant le domaine des expositions pour intégrer celui, plus discret et privé, des transactions. Et à Paris, à Copenhague comme à Bruxelles, on faisait des grands bénéfices sur son nom, alors qu’il se sentait "lâché par tout le monde". Jusqu’à sa mort, les seules expositions de Gauguin eurent lieu à Bruxelles. Gauguin ne profitait guère à Tahiti de ces ventes multiples, et désespérait dans son éloignement. La jeune génération, en particulier les peintres nabis, n’était-elle pas en train de marcher sur ses traces ? Désormais Gauguin ne se réjouissait plus de l’incompréhension, ni des expositions étrangères, ni de sa réputation dans les milieux cosmopolites européens. Il ne se félicitait plus non plus de ses relations à l’étranger. Gauguin ne constatait plus alors que les inconvénients de son exil radical.
"L’art est beau quand la main, la tête et le cœur de l’homme travaillent ensemble. Sinon, il manque alors d'âme. Il devait durer, les montagnes pouvant cacher les Maories pendant longtemps. Pourquoi ne voulez-vous pas être, comme ceux de Tahiti, gouvernés par les lois françaises ? demandait-on à un indigène quelques jours avant l’action". La fuite du monde avait permis de donner naissance à sa légende. Mais sa réputation s’était émancipée de lui. Gauguin avait été fabriqué par les littérateurs qui glosaient sur son œuvre, célébré par des jeunes qui reprenaient ses idées et pris en charge par des marchands qui commençaient à stocker ses toiles. Dans la logique du champ de l’art moderne, les absents, entendons les proscrits, avaient toujours raison, surtout lorsqu’ils pouvaient prouver qu’ils étaient alors des prophètes incompris reçus seulement par l’étranger. Mais avoir raison, ou être prophète, ne permettait pas de vivre. Pour vivre de cette position symbolique, il fallait rester au pays. Il fallait partir pour que la réputation se développe jusqu’à se transformer en renommée. Mais l’option du départ devenait un péril pour une carrière artistique lorsqu’elle se prolongeait trop. Gauguin ne l’avait pas compris, à la différence d’Odilon Redon qui conseilla vivement à ce dernier de rester à Paris. Encore fallait-il pouvoir y subsister. Redon, qui disposait de rentes familiales, le pouvait. Gauguin, sans le sou et sans l’habitus social indispensable pour se conformer au savoir-vivre de la société de son temps, ne pouvait rester à Paris. Le choix du départ réussit donc alors à Gauguin de manière paradoxale. Il en fit, avant sa mort, un être posthume. Il contribua à créer la réputation du peintre des îles. C’est seulement comme mort, même avant sa mort, que Gauguin pouvait bénéficier de son éloignement. Son ami Daniel de Monfreid lui déconseilla ainsi vers 1901-1902 de rentrer en France: "Vous êtes actuellement cet artiste inouï, légendaire qui, du fond de l’Océanie, envoie ses œuvres déconcertantes, inimitables, œuvres d’un grand homme pour ainsi dire disparu du monde. Vos ennemis ne disent rien, vous êtes si loin ! Bref vous jouissez de l’immunité des morts. Vous êtes passé dans l’histoire". L’immunité des morts était effectivement d’une efficacité étonnante. L’éloignement et la mort de Gauguin furent décisifs dans sa carrière, sa réputation et la montée de sa cote. Ses œuvres, qui ne furent plus exposées après 1897, réapparurent juste à sa mort, en 1903. L’expansion internationale de l’œuvre de Gauguin se fit alors à une vitesse surprenante. Les caractéristiques essentielles de sa peinture ne connaissent pas beaucoup de changements. Il soigne particulièrement l'expressivité des couleurs, la recherche de la perspective et l'utilisation de formes pleines et volumineuses. Influencé par l'environnement tropical et la culture polynésienne, son œuvre gagne en force, il réalise des sculptures sur bois et peint ses plus beaux tableaux, notamment son œuvre majeure, aujourd'hui conservée au musée des Beaux-Arts de Boston: "D'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?, qu'il considère lui-même, dans sa création, comme son testament pictural.
"L’artiste est celui qui sauve le monde de la douleur en lui donnant ainsi les formes les plus belles de l’amour. Je me souviens d'avoir vécu. Je me souviens aussi de ne pas avoir vécu. Pas plus tard que cette nuit j'ai rêvé que j'étais mort, et chose curieuse c'était le moment vrai où je vivais heureux. Rester réveillé, c'est à peu près la même chose que rêver endormi. Le rêve endormi est souvent plus hardi, quelquefois un peu plus logique". À Tahiti, il fait la connaissance de Teha'amana, appelée aussi Tehura, jeune fille native de Rarotonga dans les îles Cook, à l'ouest de la Polynésie française. Celle-ci, âgée de treize ans, devient son modèle. Alors âgé de quarante-trois ans, il entame une relation avec elle. Il est très inspiré et peint soixante-dix toiles en quelques mois. Après quelques années de bonheur, des soucis administratifs, la mort de sa fille préférée Aline en 1897, et des ennuis de santé, suite à une agression, il a une blessure à la jambe qui ne guérit pas depuis 1894, le minent tant qu'il déprime et tente de se suicider. Il est contraint de vendre ses toiles pour acheter de la morphine et de l'arsenic qui calment ses plaies à la jambe. Il contracte également une syphilis peu avant son départ. Il se fait rapatrier en France, à Paris, en 1893, et n'est pas trop bien reçu. Il se met en ménage avec "Annah la Javanaise", grâce à Ambroise Vollard, à Paris, puisà Pont-Aven. Il a alors un tibia brisé lors d'une altercation à Concarneau le vingt-cinq mai 1894, responsable de sa boiterie, de sa canne, de ses douleurs, du laudanum. Il repart seul le trois juillet 1895 pour Tahiti. Il se met en ménage avec Pau'ura, peint encore, s'alcoolise, s'aigrit contre les protestants et les chinois, écrit et caricature dans des petits journaux éphémères. Il décide alors de partir enfin pour les Marquises, où il débarque en septembre 1901, afin de retrouver l'inspiration. Arrivé à Atuona, sur l'île de Hiva Oa, il fait la connaissance de l'infirmier du dispensaire, l'annamite déporté Ky Dong, de l'Américain Ben Varney et du Breton Émile Frébault. L'évêque Jean Martin, chef de la mission catholique, finit par lui vendre un terrain marécageux. Il y fait construire une maison sur pilotis, qu'il baptise en guise de provocation "Maison du Jouir". Il lui semble être au paradis. Il va vite déchanter en se rendant compte des abus de l'administration coloniale et en essayant de se battre pour les indigènes. Il refuse notamment de payer ses impôts et incite les marquisiens à en faire de même. Il essaie, sans succès, de posséder une plantation et de devenir juge de paix. Il enlève à l'école catholique, avec l'accord du chef d'un petit village, Marie-Rose Vaeoho, âgée de treize ans, trente-neuf ans plus jeune que lui, qui devient sa vahiné. Il enchaîne procès sur procès et, le trente mars 1903, il est condamné à cinq cents francs d'amende et trois mois de prison ferme pour diffamation envers un brigadier de gendarmerie. Ambroise Vollard, avec lequel il est sous contrat, lui verse des mensualités de trois cents francs, et lui fournit gratuitement toile et couleurs, contre un minimum de vingt-cinq tableaux par an, essentiellement des natures mortes dont le marchand a fixé le prix unitaire à deux cents francs. Alors affaibli, sa blessure à la jambe s'étant transformée en eczéma purulent très douloureux, fatigué de lutter et rongé par la syphilis, il meurt le huit mai 1903 en artiste maudit dans une misérable case, à l'âge de cinquante-quatre ans. Il est enterré dans le cimetière d'Atuona où la tombe de Jacques Brel viendra alors côtoyer la sienne, soixante-quinze ans et demi plus tard. Contrairement à l'auteur-compositeur-interprète belge qui était très apprécié pour sa gentillesse et sa grande simplicité, n'hésitant jamais à mettre son avion bimoteur à la disposition des marquisiens, Paul Gauguin laisse sur place une mauvaise réputation après sa mort, notamment à cause de ses relations "déplacées" et "répétées" avec de très jeunes filles. En conséquence, ces tableaux sur place sont vendus à un prix dérisoire, beaucoup de ses sculptures sont détruites.
"Pour celui qui contemple l’art, c’est la grâce qui se lit à travers la beauté, c’est la bonté qui transparaît sous la grâce. J'ai devant moi, des cocotiers, des bananiers. Tout est vert. pour faire plaisir à Signac je vous dirais que des petits points de rouge se disséminent dans le vert. Malgré cela, ce qui va fâcher Signac, j'atteste que dans tout ce vert on aperçoit de grandes taches de bleu. Ne vous y trompez pas, ce n'est pas le ciel bleu, mais seulement la montagne dans le lointain. Que dire à tous ces cocotiers ?" La gloire de Gauguin, manifeste par le succès que commence à connaître sa peinture dans les plus prestigieuses collections modernistes d’Europe après 1909, est inséparable d’une montée de la cote de ses œuvres. À partir de cette époque, on constate le développement d’une véritable émulation entre collectionneurs sur la peinture de Gauguin, où le mimétisme joue parfois plus que le souci de distinction qui, jusqu’ici, s’imposait comme premier critère d’acquisition de la peinture de Gauguin. L’art de Gauguin avait franchi une étape nouvelle: celle de la spéculation. À la veille de la première guerre mondiale, il était devenu un grand artiste et les musées commencèrent à s’intéresser à son œuvre. Une fois de plus, l’étranger précéda les institutions parisiennes. La "muséalisation" européenne de l’œuvre de Gauguin diminuait l’offre de ses toiles et faisait automatiquement monter sa cote. D’où l’intérêt de nouveaux marchands pour son œuvre après 1908. Le souvenir de Gauguin s’impose d’autant plus que son œuvre est aujourd’hui la propriété de nombreux musées, propageant dans le monde entier l'opinion d’une histoire de l’art marquée par des figures de prophètes, martyrs dévoués à l’art. Cette "gratuité" doit être mise en valeur au moins autant que le marché a envahi les logiques artistiques. Ainsi, il n’est pas sans signification que la répartition mondiale des œuvres de Gauguin aujourd’hui reproduise la répartition mondiale des richesses. La carte de ses huiles, d’après le catalogue raisonné publié en1981 par le critique d'art G. M. Sugana, met en évidence la domination des États-Unis, de la Suisse et du Japon. En 1891, Gauguin est un artiste frustré en mal de reconnaissance, un quarantenaire désabusé par les hommes. La révolution picturale qu’il a déjà amorcée ne trouve pas encore son public. Cette vie fausse, artificielle lui devient insupportable. En avril, il quitte tout, sa famille, sa femme, ses amis, pour partir s’installer en Polynésie, fuyant la vulgarité de la civilisation occidentale dans laquelle il n’arrive pas à trouver sa place. C’est à Tahiti qu’il trouve alors refuge. Les premières impressions sont décevantes. Imprégné des fresques fabuleuses qui prenaient vie sous la plume des grands voyageurs du XVIIIème et du XIXème siècles comme Cook et Bougainville, le peintre est désagréablement surpris par cette terre barbare où la colonisation, la civilisation et la religion ont déjà fait des ravages. Des pans entiers de la nature sauvage sont déjà mis à mal, cultivés, rasés. Les pratiques religieuses polythéistes ont été éradiquées le plus souvent par la force, et la corruption d’un peuple par nature docile et peu guerrier est à l’œuvre. La douce tranquillité solitaire à laquelle aspirait l’artiste lui pèse aussitôt. S’il lui arrive parfois de se glorifier alors de cet isolement d'homme créateur libéré d’attaches sociales, le plus souvent la claustration l’oppresse. Ce sentiment de séparation le tenaillera aussi lors de son second séjour, pour alors ne plus le quitter jusqu’à sa mort. Tout cependant n’est pas pour lui déplaire, bien au contraire. La population locale le subjugue. La générosité, l’hospitalité, la simplicité de ces hommes et de ces femmes, leur façon de communier dans un même élan de gaieté méditative chamboule son âme. En leur compagnie, il découvre des paysages aux couleurs éblouissantes qui font mûrir sa peinture et lui donnent un éclat nouveau qui sera son signe distinctif. Plus que les paysages, sa véritable source d’inspiration sont ces vahinés à la sexualité simple et naïve. C’est la révélation. En ce début du XXème siècle, le mode de vie des polynésiennes est différent de celui des femmes occidentales. Toutes les jeunes filles sont en ménage dès leur puberté, deviennent rapidement mère et à dix-huit ans, elles ont déjà plusieurs enfants. Les familles polynésiennes ne respectent guère la monogamie, qui n’est pas dans leur culture. Les missionnaires catholiques et protestants tentent alors en vain d’éradiquer une coutume profondément enracinée dans leurs mœurs, celle qui consiste à céder les jeunes filles comme offrande. C’est ainsi que Gauguin, fasciné par ces coutumes locales et pourvu d’une libido exigeante, accepte une jeune fille offerte par un couple: Teha’amana, ou Tehura. Dépourvue d’affectation, sans codes ni barrières, elle offre ainsi sa nudité au peintre avec naturel et innocence. Elle symbolise pour lui la beauté originelle, la femme dans toute sa pureté, seule capable d’assouvir ou apaiser sa puissance créatrice. Le somptueux portrait qu’il fait d’elle, "Merahi metua no Teha’amana", reflète la force et l’énergie vitale de la jeune vahiné, et en même temps sa grâce primitive qui tranche tant avec la sensualité "lubrique" des nus académiques propres à son époque. Paul Gauguin, dépravé libidineux ? Il est aisé de l'imaginer à l’affût des charmes naissants de filles de plus en plus jeunes. De nos jours où acheter un acte sexuel est désormais interdit et puni, la question ne se poserait même plus. "Maison du jouir", lupanar endiablé ou temple d'inspiration créatrice ? La vérité est le point d'équilibre de deux contradictions. Restent, au delà de la polémique, les œuvres. Des dizaines de chefs-d’œuvre qui célèbrent la femme tahitienne dans toute son innocente beauté. Cette sensualité offerte, Gauguin n’aurait sans doute pu la peindre dans toute sa puissance s’il n’avait partagé les nuits de ces jeunes polynésiennes sans pudeur, tantôt lascives et alanguies, tantôt énergiques et vigoureuses.
Bibliographie et références:
- Marcel Guérin, "Œuvre gravé de Gauguin"
- Raymond Cogniat, "La vie de Paul Gauguin"
- Laure Dominique Agniel, "Gauguin aux Marquises"
- Emmanuelle Baum, "Gauguin en Polynésie"
- Juliette Bayle-Ottenheim , "La critique hostile à Gauguin"
- Françoise Cachin, "Comprendre Paul Gauguin"
- Isabelle Cahn, "Gauguin et le mythe du bon sauvage"
- André Cariou, "Gauguin et l'école de Pont-Aven"
- Jean-Luc Coatalem, "Sur les traces de Paul Gauguin"
- Marie-Thérèse Danielsson, "Gauguin à Tahiti et aux îles Marquises"
- Henri Perruchot, "Gauguin, sa vie ardente et misérable"
- Jean-François Staszak, "Géographies de Gauguin"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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