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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Little baby doll, ma délicieuse friandise ex-fan des nineties… Pudique poupée de son, qu'il me plaît tant à souiller, de quelques notes de cire… Mon impétueuse puppy girl, à la senteur toujours laiteuse, qui suggère la tentation du péché…
On se découvre encore toi et moi…
Tu te découvres, à travers l’action de mes sévices, nos interactions perverses… Tes réactions à mes vices…
On partage, beaucoup, tellement toi et moi...
Je te partage, mes nuances, et d'autres... Celles des relations verticales, entre autres… Jusqu'à leurs plus subtiles rouages...
Je te dévoile, l'envers du décor, la face cachée d’un astre noir, pour mieux révéler ton côté obscur…
Alors…
…
En conséquence…
…
Tout naturellement, tu commences à trouver tes marques dans cet univers de luxure...
Tu t'enhardis, deviens plus téméraire ( à défaut de raisonnable… )
Tu te sens pousser des ailes aux accents anthracites, tel un croisement génétique incertain de Punky Brewster et de l’ange Azraël ( faisant de moi le Dr Frankenstein… )
Tu prends la confiance diraient certains ( ils n'auraient pas tort… )
Ainsi soit-il, tu me rends extrêmement fier... Et plus encore…
J'aime à te voir éclore sous l'impulsion de ma lumière décidée et ténébreuse…
Néanmoins prends garde à ne pas faire fausse route, parfois, je crains que tu ne t'égares sur les chemins du questionnement...
Désorientée par le flux incessant d'émotions contradictoires, noyée dans un océan de sensations nouvelles et inconnues… Submergée par les larmes du désarroi…
Alors...
....
En conséquence…
…
Je n’ai d’autre choix, que de réanimer l’ardent de ta flamme… Afin que l’incandescence chromatique de ses reflets pétrole dans mon regard, puisse sereinement te guider dans la bonne direction ( la mienne, à l'évidence… )
Je n'ai d'autre option, que de te confronter brutalement ( et devant témoins ), à la sombre réalité de ta condition...
Je n’ai d’autre alternative, que celle de te renvoyer au fait que quand bien même tu gigotes, et te débats telle une petite chatte en cage ( au point de rendre mes clichés un peu flous, ce qui n'est pas dénué de charme… ), pour autant, ta vaine tentative d'évasion fût un cuisant échec ^^ ( une issue fatidique, dont tu a bien été la seule à douter... )
Alors...
....
De la sorte...
…
Tu te rappellera sans nul doute, qui tire les ficelles... ⛓️
Avec toute la complexité de mes sentiments à ton égard... 🕸️
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INSPIRATIONS MUSICALES :
The Hives
▶ Puppet on a string📻
Jane Birking
▶ Ex-fan des sixties📻
France Gall
▶ Poupée de cire, poupée de son📻
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BONUS TRACKS :
France Gall
▶ 夢みるシャンソン人形📻
Good Girl 佩玲
▶ Ses Chaînes📻
▶ Ses Chaînes📝
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CRÉDIT PHOTO : Le Sombre 鐵厲
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*( Texte et photo datant de juin 2024, re-publication à des fins d'archive )
My Good Girl... Ma p’tite 🅲🅴🅽🆂🅾🆁🅴🅳 🅲🅴🅽🆂🅾🆁🅴🅳…
My little cheeky girl, fraîchement dévanillée… Ma p’tite 佩玲...
Comme tu l’as soulignée récemment, nous avions bien 16 ans le weekend dernier… 16 ans quand nous nous sommes enfin retrouvés, et tout autant 45, lucides et rêveurs, forts et fragiles de nos 29 ans d’expérience…
Tu avais bien 16 ans quand sur le parvis de la gare de Naoned, sans que je ne le vois venir, audacieusement tu pris ma bouche pour me rouler un patin, accompagné d’une main au cul ( ndlr : c’est bien ce qu’il s’est passé… ), comme si tu voulais me déniaiser… Il est vrai qu’à cet âge, les filles sont souvent plus avancées… Moi j’en avais clairement 45 quand j’ai souri doucement en conséquence, pensant intérieurement qu'en faisant cela, tu ne réalisais pas encore vraiment où tu mettais les pieds…
On avait effectivement 16 ans quand j’ai regardé ce serveur qui n’en avait pas plus de 20, et que je lui ai demandé “Un Breizh Cola avec deux pailles svp !”... Un serveur médusé, autant qu’amusé, par la requête de ce couple de quadras aux regards espiègles...
Assumé comme je le suis toujours, en toutes circonstances, j’ai insisté en lui faisant comprendre qu’aussi incongru que ce soit, c’était important pour nous, une affaire à régler… Une affaire importante… “Un Breizh Cola avec deux pailles svp !”
“Un Breizh Cola… Avec deux pailles svp !”, parce que du haut de nos 45, avec nos casseroles, nos enfants, nos vies passées… On a choisi, accepté, d’avoir 16 ans à nouveau… Parce que nos 29 ans d’expérience, nous ont déjà appris que la vie est trop courte, que quand le bonheur frappe de nouveau à la porte, il est mature et pertinent de ne pas le laisser filer…
Oui… On avait 16 ans à se bécoter et se tenir la main comme des teens, en sirotant un Breizh Cola… Avec deux pailles… 16 ans on était heureux, amoureux même un peu (beaucoup, à la folie…), n’ayons pas peur des mots…
On avait 16 ans, et on étaient insolemment cucu, n’ayons pas peur des mots…
J’en avais sûrement encore 16 quand j’ai kidnappé ta culotte comme un sale gosse… Mais j’en avais bien 45, quand sur le plan de travail, j’ai empoigné brutalement ton cul… N’ayons pas peur des mots…
À l’évidence, tu avais 16 ans dans ma cuisine quand cette chipie effrontée m'as mordue pour tester mes limites… À l’évidence, j’en avais bien 45 quand je l’ai giflée comme une gamine pour te montrer où se situait la limite… Tu avais rattrapé tes 45 quand suite à cela tu t’es rappelée pourquoi tu désirais être là… J’en avais à mon tour 16 quand au fond de moi, j’ai jubilé de te voir si facilement abdiquer…
45 ans, à l’évidence, c’est l’âge que tu as quand tu me motives à créer, quand tu comprends que j’ai besoin de geeker, mais que tu me rappelles avec une incommensurable bienveillance que je dois aussi me nourrir, dormir…
16 ans… 45 ans…
45 ans, conscient, sadique et déterminé, quand j’ouvris ma boîte de Pandore afin de te dévoiler l’arsenal de mes perversions… Toi tu deviens hors d'âge, propulsée dans un autre espace temps… Comme une renaissance quand pour la première fois, je fus découvrir à ton épiderme le contact glacé d’une lourde chaîne en acier… Quand tu eus compris, que derrière mon approche progressive et démystifiée, je n’en avais pas moins des ambitions décidées à ton égard… Que derrière ta pudeur et une certaine candeur, c’est avant tout toi-même, que tu es venue rencontrer chez moi… Moi, tu ne faisais que me retrouver…
45 ans… 16 ans…
16 ans tous deux, comme des gamins, quand je te fais redécouvrir PIMP de 50 cent dans une version so horny… 45 ans tous deux autour d’un verre de Saint Chinian, quand je te fais ressentir toute l’émotion et la souffrance dans la voix de Bettye LaVette, qui nous pleure Let me down easy… 45 ans, quand je me demande si tu n’en aurais pas vraiment 16, levant les yeux au ciel quand tu me parles des NKOTB…
45 ans ou 16, quand je joue les poètes façon Gainsbourg, afin d'illuminer tes yeux… Je ne sais plus… Peu importe… 16 ans ou 45, quand je te parle crûment tel Gainsbarre, pour faire grimper ton taux d'humidité… Peu importe… Je ne sais plus…
16 ans… 45 ans… Peu importe tant qu’on est heureux, qu’on s'épanouise ensemble dans notre complémentarité, notre verticalité… Peu importe puisqu’on a attendu 29 vies pour se retrouver… Peu importe parce que du haut de nos 16 ans, avec 29 ans d’expérience, on fait fi du manichéisme, on savoure pleinement nos nuances…
45 ans… 16 ans… Peu importe où l’on va, tant qu’on y va ensemble… The journey is the destination… Peu importe le coût, tant que le blues sonne juste… Peu importe, rien à foutre… Fuck that… Nous deux c’est l'évidence…
16 ans… 45 ans… Peu importe tant que tu es là… Peu importe, rien à foutre… Fuck that… Tant que tu puisses m’entendre dire à nouveau… “Un Breizh Cola… avec deux pailles svp !”
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INSPIRATIONS ( ET DIGRESSIONS ) MUSICALES :
Patti Smith
▶ Smells like teen spirit📻
50 Cent
▶ Pimp (Prince of Ballard OG Flip)📻
Bettye LaVette
▶ Let me down easy📻
NKOTB
▶ You got It “The right stuff”📻(🙄)
Serge Gainsbourg
▶ L’eau à la bouche📻
Lucien Gainsbarre
▶ Love on the beat📻
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CRÉDIT PHOTO : Le Sombre 鐵厲
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Séance Châteauvallon.
Il y a presque un mois disparaissait le chanteur Herbert Léonard, ce fut pour nous, ma soumise et moi, l'idée de lancer un scénario sur lequel j'avais commencé à plancher. Ce scénario, que j'ai appelé Châteauvallon est directement inspiré par Amour gloire et beauté, puissance et gloire(dont le générique est justement chanté par Herbert Léonard), les feux de l'amour et bien sûr la parodie des inconnus satebarbera. Depuis que l'enfance, j'ai toujours eu l'impression que ces séries étaient une forme de torture pour les gens qui les regardaient, mon esprit était donc prêt à associer ce genre de série à une séance SM.
Nous avons retravaillé l'ébauche de script que j'avais fait pour monter une séance SM à notre petit maso.
Voici un petit résumé de l'histoire
"Kewin, riche Texan propriétaire d'une société d'exploitation pétrolière et de 5 puits pétrole a dévissé.
Persuadé que son comptable trafic les chiffres et manigance contre lui au profit du complot mondial, il a décidé de l'enlever et de le ramener chez lui pour l'interroger et lui extirper des aveux.
La séance commence avec le comptable attaché, couvert d'électrodes et Kewin dans son salon qui boit un verre de whisky en réfléchissant à comment il va se débarrasser du corps de cet imbécile une fois qu'il en aura fini avec lui.
Kewin est persuadé que son comptable est un juif franc-maçon, manipulé par des puissances pedosatanique.
Vanessa, fille adoptive de la meilleure amie de la mère de Kewin sonne soudain chez Kewin.
Kewin va lui expliquer la situation et son futur problème de corps, Vanessa va essayer de le raisonner tout en lui apprenant qu'en fait son comptable est également l'amant de sa femme Barbara et son mari à elle.
La rage de Kewin à l'encontre de Jonathan son comptable va atteindre son paroxysme. Pris de rage, il s'empare d'une paire de griffes que son ami "Wolverine gaz de schiste" lui a offert, il commence à lacérer le comptable pendant que Vanessa essaie de le raisonner avant de basculer elle aussi dans la folie et de l'électrocuter. Kewin et Vanessa se retrouvent à torturer le comptable, avec elle qui raconte ses histoires de couple, de famille et d'amants.
Quel sort funeste sera réservé au comptable ?
Vanessa va-t-elle continuer d'exaspérer Kewin ? Comment se finira cet épisode pour elle ?"
La séance était à 90 % de l'improvisation et nous n'avons pas arrêté de raconter des conneries tout en le torturant . Dès le début, l'électricité a été assez violente, il y a eu toute une phase de couteau où nous avons appuyé certaines zones jusqu'à en faire des zones hypersensibles sur lesquels ensuite nous nous sommes acharnés à coup de cravache et de claques. La zone des cuisses a été particulièrement ciblée et présentait de multiples marques.
Dès le début, nous avions imposé la contrainte qu'il n'avait pas le droit de rire, nous avions chacun des particularités psychologiques à nos personnages qui les rendaient très irrascible aux rires qu'ils prenaient pour des moqueries.
Tout au long de la séance il c'est mordu les lèvres mais a réussi à se raccrocher à la douleur afin de ne pas rigoler et de ne pas subir encore plus à cause de cette rigolade. Nous avons fait un gros travail pour avoir un jeu d'acteur complètement pourri avec des dialogues qui même s'ils étaient en grande partie improvisée devait être assez incohérent, pour ma part je faisais des gros efforts pour mettre la ponctuation orale au mauvais endroit et ma soumise elle faisait des liaisons totalement improbables.
Nous avons partagé de bons moments de rigolade et quelques fous rires évités de justesse ainsi que des grands moments de cohésion, par exemple lorsque nous avons tapé sur les cuisses de notre maso à coup de cravache sur la musique d'amour gloire et beauté.
Lorsque la séance pris fin et que nous avons parlé ensemble, nous étions mort de rire en nous remémorant certaines scènes et certains dialogues. Au moins ces séries à la c.... auront eu le mérite de nous avoir inspiré !
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Ce texte est un fragment de vie, à la fois intime, douloureux et humain. Il ne parle pas directement de sexualité, de domination ou de jeux, mais de ce que l’on porte en nous, parfois sans l’avoir choisi.
Dans le monde BDSM, on parle souvent de trauma comme point d’origine ou comme moteur. Voici le récit d’un homme, moi, confronté deux fois à l’IVG, à la prématurité, au handicap, à la perte.
Ce témoignage s’inscrit dans la suite de mon texte "Certaines personnes pensent que les hommes sont insensibles…", pour rappeler que la sensibilité masculine existe, même si elle prend parfois des formes silencieuses ou viriles.
Ce n’est pas un appel à la pitié. C’est une parole déposée, pour ceux que cela pourrait toucher, faire écho ou simplement inviter à réfléchir.
Merci à ceux qui prendront le temps de lire.
À 20 ans, j’étais un étudiant un peu bohème, amoureux et insouciant. Ce fut l’été des grands départs : un vieux combi Volkswagen bricolé avec amour, ma compagne, ma petite sœur de 17 ans et mon meilleur ami. Direction la Grèce, via l’Italie, Venise, la côte adriatique, Thessalonique, Athènes… des paysages inoubliables, des galères mécaniques, des moments suspendus hors du temps.
Ma sœur et mon meilleur ami sont tombés amoureux pendant ce voyage. Ils sont toujours ensemble aujourd’hui, mariés. De mon côté, tout semblait aller pour le mieux avec ma compagne, jusqu’à ce qu’elle commence à vomir sur le chemin du retour. Verdict du médecin : elle est enceinte.
Nous étions jeunes, étudiants, pas prêts. Ce fut notre décision à tous les deux : l’IVG. Ce n’était pas la première fois pour moi. J’avais déjà vécu cela auparavant. Mais cette seconde fois a laissé une empreinte plus profonde, plus sombre.
Nous avons continué notre vie malgré tout. Mariés, diplômés, nous sommes partis enseigner à Tlemcen, en Algérie. J’y faisais mon service militaire sous le statut de coopérant. Là-bas, nous avons décidé d’avoir un enfant. Après plusieurs fausses couches, Anne tombe enceinte.
Nous rentrons en France pour les vacances d’été, elle en est à quatre mois et demi. Le gynécologue nous dit qu’un cerclage aurait été nécessaire mais… il part en vacances. Alors, on fait au mieux. Jusqu’à cette dernière consultation, juste avant de repartir. Là, tout s’accélère : fauteuil roulant, perfusion de sulbutamol. Je m’en souviens comme si c’était hier.
Anne-Sophie naît à cinq mois et demi. 900 grammes. Elle tient dans une boîte à chaussures. Trois mois et demi d’hôpital, de soins, d’attente. Et puis un verdict, tombé comme une enclume : à 14 ans, nous avons appris qu’elle ne marcherait jamais.
Anne-Sophie a aujourd’hui 43 ans. Elle est mariée, elle travaille, elle a fait construire sa maison. Une battante, forgée par la volonté et l’amour de sa mère, décédée d’un cancer quand notre fille avait 16 ans. Nous étions déjà divorcés, et c’est elle, Anne, qui a fait l’essentiel de son éducation. Elle lui a transmis cette force.
Pourquoi je parle de tout cela sur un site BDSM ?
Parce qu’on oublie trop souvent que les hommes aussi vivent des traumas. Parce qu’on invisibilise la douleur de celui qui ne porte pas l’enfant, mais qui accompagne, qui souffre, qui doute, qui perd aussi. Parce qu’il faut parfois toute une vie pour comprendre ce qui s’est inscrit en nous à ce moment-là.
Un feedback médical, bien après la naissance d’Anne-Sophie, a mis en lumière tous les facteurs de risque d’une naissance prématurée. Parmi eux : l’IVG. Pourtant pratiquée dans les règles. Pourtant décidée à deux.
C’est peut-être là que réside le paradoxe le plus cruel. Un choix fait pour préserver la vie, qui plus tard revient comme un boomerang. Pas comme une faute, non. Mais comme une cicatrice. Une faille. Une empreinte silencieuse.
Alors oui, j’avais 25 ans. Et cette histoire reste, encore aujourd’hui, un traumatisme.
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Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.
Quand je rentre à la maison après le travail, la nuit commence à tomber, sur le trajet je me pose quelques questions, qu'allons nous faire ce soir. Allons nous sortir en club, boire un verre chez des amis bref aucune réponse tant que je ne me suis pas concerté avec madame. Une fois arrivé à la maison je retrouve ma femme ravissante en tenue super sexy j'aperçois sous sa jupe et son chemisier blanc une tenue encore plus excitante. Ravi de cette vision je lance un que veux-tu faire ce soir? A partir de là elle me sert un verre, prend un sac où elle y met de quoi attaché du lubrifiant un collier, une laisse et de quoi se déshydrate. Le tout avec un sourire qui donne envie d'entendre sa réponse. Une fois mon verre terminé elle me dit de me rendre dans la voiture et qu'elle me guidera pour le trajet. Ni une ni deux nous nous mettons en route et je suivis à la lettre ses consignes d'itinéraire qu'elle me donna au fur est à mesure. Nous nous engageons sur l'autoroute et à une aire de repos elle me demande de m'arrêter et de stationner. Je m'exécute, une fois arrêté elle m'annonce que l'on va rester ici un long moment et que j'allais devoir l'écouter et lui obéir. À partir de ce moment je ne comprends pas tout, elle me demande de me mettre entièrement nu, elle me passe le collier autour du cou, y attacher la laisse et sert 2 verres pour ambiancer la soirée.
L'air d'autoroute était sombre un petit éclairage un peu plus loin pour éclairer les toilettes, quelques camions garer sur le côté et un petit bois arboré l'aire d'autoroute. Quelques minutes plus tard une voiture s'arrêta près de nous un homme descend de sa voiture après un peu d'hésitation et s'approche de notre voiture elle ouvrit la fenêtre et me demanda de la lécher pendant qu'elle discuter avec cet homme. Je m'exécute tout en gardant les oreilles attentives sur leurs discussions. Elle proposa à cet homme de se faire sucer par moi et ensuite une fois bien bandé qu'il la prenne devant moi. L'homme a priori déjà excité accepta sans discuter. Elle me dit de descendre de la voiture me mets à genoux à ces pieds le dos bien droit et m'ordonna de prendre en bouche cette queue qui se Tenez juste devant moi. Je pris ma main sans sourciller, je glissai son gland dans ma bouche et commençai à le sucer délicatement, mais avec passion cette verge qui gonflait au fur et à mesure des va-et-vient dans ma bouche. Je relève les yeux pour apercevoir cette femme à qui je devais entièrement obéir et je l'aperçois discuter avec un autre homme. Je ne sais pas d'où il vient je suis perdu que va t'elle faire ? Et là elle lui propose la même chose que le premier. Tout en ayant cette queue dans ma bouche qui a su être bien raide il échangea sa place avec le premier homme et s'empressa d'appuyer ma femme contre le capo de la voiture il lui écarte les jambes pendant qu'elle me regarde en me disant il va me baiser me rentrer sa grosse bite bien au fond de ma chatte pendant que je te regarderais préparer cette seconde bite pour moi et chaque mec qui est intéressé tu devras les sucer pour moi.
Ces paroles associées à cette nouvelle bite dans ma bouche la vision de ma femme qui se fait prendre par un inconnu et les grognements de cet homme derrière ma femme qui a chaque coup de rein la fait grimacer avec un regard provocateur me démontrant qu'elle s'adonne à m'humilier devant ces inconnus me procure une excitation inimaginable. Le premier ayant fini son affaire près a remballé elle lui demande d'aller se nettoyer dans ma bouche car n'ayant plus de bite à mettre dans ma bouche elle souhaitait que je sente et que je goûte le mélange de leurs plaisir. Et cela se reproduit avec le 2e.
Une fois ces deux hommes partie elle s'approcha de moi et me mis sa chatte contre le visage laissant couler la jouissance de ces deux inconnus mélangés à son plaisir pendant quelques minutes. Nous retournons dans la voiture et continuons à boire un verre pensant que nous allions repartir elle m'informa que ce n'était pas du tout son désir de s'arrêter en si bon chemin. Quand une voiture s'approchent une nouvelle fois avec à son bord 4 hommes qui a la base s'arrêter pour squatter ou fumer et comme personne ne descend de la voiture elle m'ordonna de descendre à quatre pattes comme un chien de me diriger vers eux et leur demander de bien vouloir baiser ma femme. Les 4 hommes rigolaient et sont également descendus de la voiture, m'ont accompagné jusqu'à la nôtre pour voir ma femme si elle valais le coup comme l'un des 4 l'avait fait remarquer. Une fois proche de ma femme je me remis à genoux le dos droit à son pied. Ma femme pris la parole et leur expliqua qu'il pouvait si je les sucer avant pour les préparer que c'était non négociable et qu'ensuite il pourrait y avoir une surprise. Je levai les yeux une surprise?? De quoi parle-t-elle? L'un des 4 individus s'avance sort sa bite et me l'enfourne directement dans la bouche profondément bloquant ma respiration en regardant ma femme et lui disant "c'est ça que tu veux après je te fais la même salope", ma femme lança un sourire provocateur a cet homme et se meta contre la voiture position levrette jambe bien écartée en lui répondant viens me baiser tels une grosse salope les 3 autres surpris regarder son ami baiser ma femme elle se retourna et leur dit vous attendez quoi je veux de la bite messieurs. En même pas une seconde j'avais ces 3 bites devant mon visage j'en pris une en bouche et mes mains prises les deux autres alors que le premier allait finir il regarda ma femme la metta au sol lui ouvrit la bouche pour lui jouir dedans je voyais ce beau liquide blanc couler le long de ses lèvres elle s'approcha de moi et me cracha tout dans la bouche pendant que les trois prirent ma femme devant mes yeux il lui boucha tous les trous son cul s'ouvrait lorsqu'il ressortait son gland elle goba l'autre bite et la troisième remplit sa chatte bien mouillée je sentais le plaisir qu'elle prenait en la regardant prendre ses coups de bite et se faire remplir comme une vraie salope. Au bout de 25min les 4 hommes avaient fini leurs affaires elle les envoyer vers moi pour effectuer un nettoyage complet de chaque verge. Je sentais ces différents goûts de sperme dans ma bouche que je léchais avec désir et passion quand l'un des 4 demanda quels étais la surprise je continue à lécher et avaler ses verges quand elle leur dit que s'ils voulaient il pouvait me pisser dessus 2 d'entre eux n'ont pas hésité à me pisser sur le visage m'obligeant certaines fois d'ouvrir la bouche pour me faire avaler leur urine le tout en rigolant.
Une fois leur départ nous avons repris la route pour un retour à la maison où j'ai dû nettoyer tout son corps avec ma langue et engloutir tous les restes de leurs jus pour enfin qu'elle me pisse dans une gamelle et m'oblige à boire toute la gamelle.
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Chapitre 10:
Le Silence de l’Après
La nuit était encore tiède lorsque nous avons quitté cet endroit hors du temps. Dans l’intimité feutrée de la voiture, elle s’était blottie contre moi sans un mot, son corps encore empreint des sensations de ce que nous venions de vivre.
Sa joue reposait contre mon torse, son souffle lent caressant ma peau à travers ma chemise. Je sentais son abandon total, cette manière qu’elle avait de se lover contre moi, cherchant la chaleur, cherchant à prolonger l’instant.
Ma main glissa doucement sur son bras nu, effleurant sa peau avec la même tendresse qu’après chaque tempête. Elle frissonna légèrement mais ne bougea pas, se contentant de se serrer un peu plus contre moi.
Dehors, les lumières de la ville défilaient en silence, projetant des ombres fugaces sur son visage apaisé. Elle avait fermé les yeux, son expression relâchée, comme si le monde extérieur n’existait plus.
Je déposai un baiser sur le sommet de sa tête, respirant son parfum, encore imprégné de l’intensité de notre nuit.
Aucune parole n’était nécessaire.
Le silence entre nous n’était pas une absence, mais une présence. Un langage à lui seul.
Et tandis que la voiture poursuivait son chemin vers chez nous, je savais que cette nuit resterait gravée en elle. En nous.
La voiture ralentit en s’engageant dans l’allée menant à la maison. Elle ne bougea pas, toujours blottie contre moi, son corps totalement relâché, bercé par le confort de ma présence.
Lorsque le chauffeur coupa le moteur, je déposai un dernier baiser sur ses cheveux avant de murmurer :
— "On est arrivés."
Elle inspira profondément avant de lever doucement les yeux vers moi. Son regard était trouble, encore perdu entre la fatigue et les réminiscences de notre nuit. D’un geste lent, elle se redressa légèrement, mais sa main trouva aussitôt la mienne, comme si elle avait besoin de ce contact pour revenir à la réalité.
Je descendis le premier, ouvrant la porte pour l’aider à sortir. Ses jambes vacillèrent à peine lorsqu’elle se redressa, et un sourire effleura mes lèvres en voyant ce subtil déséquilibre. Elle me lança un regard entendu, mi-amusé, mi-épuisé.
La nuit nous enveloppait encore, complice de nos silences. La porte d’entrée se referma doucement derrière nous, coupant le monde extérieur, nous replongeant dans une bulle hors du temps.
Je lui retirai son manteau et le laissai tomber sur le dossier du fauteuil. Elle frissonna légèrement, non pas de froid, mais sous le poids du regard que je posais sur elle.
— "Viens."
Elle obéit sans hésitation, laissant mes doigts guider les siens alors que nous avancions à pas feutrés vers la chambre.
Là, dans la pénombre tamisée, je me retournai vers elle. Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes, son souffle toujours incertain. Je glissai une main dans sa nuque, effleurant la peau délicate sous ses cheveux relevés.
— "Tu es fatiguée ?" murmurai-je.
— "Un peu…" avoua-t-elle dans un souffle.
Mais je voyais autre chose dans son regard. Un éclat qui n’avait pas totalement disparu. Un désir encore tapi sous la fatigue, prêt à renaître au moindre effleurement.
Je l’attirai contre moi, savourant la chaleur de son corps pressé au mien, avant de murmurer à son oreille :
— "Alors repose-toi…"
Elle s’enroula dans les draps, son corps encore empreint des émotions de la soirée. Son regard croisa le mien, plus doux, plus profond. Il n’y avait plus seulement du désir entre nous à cet instant, mais quelque chose de plus subtil, plus intime.
Je m’assis au bord du lit, observant ses paupières mi-closes, sa respiration lente qui trahissait à la fois l’apaisement et une étrange fébrilité.
— "Cette soirée nous a rapprochés." murmurai-je en effleurant son bras du bout des doigts.
Elle ne répondit pas tout de suite, mais un sourire léger naquit sur ses lèvres. Puis, d’une voix presque murmurée :
— "Oui… plus que je ne l’aurais cru."
Un silence complice s’installa, mais il n’était pas vide. Il était chargé de tout ce que nous n’avions pas besoin de dire.
Je me glissai à ses côtés, la couvrant de mon bras, et elle se lova instinctivement contre moi. Sa main s’accrocha doucement à ma chemise, comme si elle voulait s’assurer que cette proximité ne disparaîtrait pas avec la nuit.
Je déposai un baiser sur son front, fermant les yeux en savourant cet instant. Ce soir, il n’y avait plus de jeu, plus de rôle à jouer. Juste elle et moi, dans cette bulle fragile et puissante à la fois.
Et tandis que la fatigue nous gagnait, je savais que rien ne serait plus tout à fait comme avant.
Qui veut savoir comment ça continue?
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Les chiffres du GPS semblaient battre la cadence de son cœur. 21h49. Treize minutes. Douze. Elle n’arrivait plus à détourner les yeux de l’écran qui décomptait inlassablement. Chaque minute écoulée la rapprochait de ce moment où il lui faudrait franchir un seuil — pas seulement celui d’un bâtiment oublié du centre-ville lyonnais, mais celui de ses propres limites.
Le cuir de la banquette collait légèrement à l’arrière de ses cuisses nues sous la robe, la chaleur de son excitation trahie par les moiteurs successives qu’elle peinait à contenir. Ses jambes croisées n’étaient qu’un prétexte de plus pour dissimuler les tensions de son sexe vibrant à chaque cahot de la route. Le regard du chauffeur dans le rétro était une lame discrète : pas intrusive, mais tranchante, insistante. Était-ce son parfum, sa tenue, ou cette aura de fauve en cage prête à bondir qui l’intriguait tant ?
Il ne posait pas de question. C’était mieux ainsi.
Lorsque la voiture ralentit rue de la Martinière, le cœur d’Élise menaçait de s’échapper de sa cage thoracique. À travers la vitre, elle ne distinguait rien de particulier : quelques immeubles aux façades sombres, quelques graffitis ternis par le temps, des stores métalliques baissés dont certains semblaient ne pas avoir été ouverts depuis bien longtemps au regard de l’affichage sauvage dont ils étaient le support. Un lampadaire clignotait par intermittence, comme s’il hésitait lui aussi à témoigner de ce qui allait peut-être se jouer ici.
La voiture s’arrêta devant un porche noir, anonyme, sans enseigne. Rien qui n’indiquait la moindre vie. Rien, sauf peut-être cet interphone sans nom, d’un noir brillant presque suspect.
— Nous sommes arrivés, Madame.
Elle sursauta presque en entendant la voix grave du chauffeur. Le monde extérieur lui revenait d’un coup. Elle sortit du véhicule avec une lenteur tout en fébrilité, ses talons claquant sur le trottoir comme des coups de marteau. Une seconde. Elle inspira.
Elle ne regarda pas la voiture repartir. Elle ne voulait pas de témoin. Pas même de souvenir.
Il n’y avait qu’une fine lumière blanche autour de la touche “appel” de l’interphone. Ses doigts tremblaient légèrement. Elle appuya.
Rien. Silence. Mille doutes lui passèrent par la tête. Le VTC se serait-il trompé d’adresse ? A moins que ce carton d’invitation eut été finalement une blague… un piège pour l’éloigner de chez elle et la cambrioler ?
Mais un clic, presque sensuel dans sa sécheresse se fit entendre. La porte s’ouvrit lentement, comme poussée par une invisible volonté.
Un couloir. Sombre. Le parquet craquait à peine sous ses pas. Une musique feutrée, lointaine, à peine perceptible, lui parvenait par vagues. Un parfum d’ambre et de cuir flottait dans l’air, troublant, enveloppant. Élise avançait comme en transe. Elle mouillait de plus belle, ses tétons dardaient. Elle avait envie. Chaque pas était un renoncement. Chaque mètre, un abandon.
Elle atteignit un escalier. En contrebas, une lumière rougeoyante découpait la pénombre. Elle hésita juste un instant. Et descendit.
Au bas des marches, une double porte capitonnée. Rouge bordeaux. Luxe discret.
Elle avança la main, mais avant qu’elle ne touche la poignée, la porte s’ouvrit d’elle-même. De l’autre côté, une femme se tenait droite, élégante, dans une tenue aussi sobre que dérangeante : chemisier noir opaque jusqu’au col mais manifestement porté à même la peau, sans soutien-gorge, jupe fendue à la verticale, jusqu’au haut de la cuisse, escarpins impeccables. Son regard était perçant, mais dépourvu de jugement. Elle inclina à peine la tête.
— Mademoiselle Ménard. Vous êtes attendue.
Aucune surprise dans la voix. Comme si sa venue était une évidence. Comme si son désir avait une adresse depuis toujours.
La femme s’écarta pour la laisser entrer. Élise franchit le seuil. La porte se referma derrière elle presque sans bruit.
Elle était maintenant dedans.
Un vestibule feutré. Éclairage tamisé, presque en infrarouge. Un long rideau noir de velours fermait la perspective.
— Laissez-moi votre veste et votre téléphone, dit l’hôtesse, de manière courtoise mais assez directive. L’inconnue tendit la main, paume ouverte.
Élise obéit. Mécaniquement. Laisser son téléphone lui fit l’effet d’un vertige. Plus de GPS. Plus moyen d’appeler à l’aide. Plus de dehors.
— Vous êtes ici sous l’œil du Cercle. Vous n’avez plus rien à décider ce soir, sauf de franchir ou non ce rideau. Si vous le faites, vous vous engagez à obéir aux règles. À vous exposer. À vous soumettre. Pas à quelqu’un. Pas encore. Mais à l’expérience. Et à votre propre vérité.
La voix était douce, mais le ton n’invitait pas, là encore, à la négociation.
— Si vous entrez, on vous verra. Peut-être même on vous dénudera. On ne vous touchera pas. Pas ce soir. Mais on lira en vous. Et vous ne pourrez rien cacher.
Un silence.
Élise fixait le rideau noir. Elle déglutit. Elle sentit sa culotte collée à ses lèvres intimes, comme une injonction silencieuse.
Ses doigts effleurairent le tissu. Elle écarta le rideau.
Derrière, le monde bascula.
Une vaste salle, à l’éclairage bas et chaud, comme un théâtre sans scène. Au centre, un espace vide, cerclé de canapés de velours pourpre, de fauteuils profonds, de tables basses garnies de coupes de champagne. Des silhouettes élégantes y étaient installées. Certaines masquées, d’autres non. Toutes vêtues avec une sophistication sobre, mais évocatrice.
Et au centre, une femme.
Elle était nue. Nue et fière. Son visage n’exprimait aucune gêne d’être ainsi exposée. Debout, sur une estrade basse, éclairée par un halo de lumière orangée. Son corps était tatoué d’un seul mot, peint sur son ventre en lettres calligraphiées : Obéir.
Autour d’elle, deux hommes en noir. Aucun ne la touchait. Ils tournaient autour d’elle comme des prédateurs lents. L’un murmurait quelque chose à son oreille, l’autre la contournait lentement. Ils l’observaient, l’inspectait dans les moindres détails. Elle frémissait. Et tout le Cercle, silencieux, regardait.
Élise retint son souffle. Le contraste entre le raffinement de la salle et la tension animale, hautement sexuelle de la scène la bouleversa. Elle sentit ses jambes faiblir, s’appuya contre un mur.
Puis un frôlement sur son bras. La femme de l’entrée était revenue. Elle tendit une fine chaîne d’or, terminée par un anneau discret.
— Ceci est la marque des invitées. Il vous place sous l’observation du Cercle. On ne vous parlera pas. On ne vous touchera pas. Mais on vous verra. Et ce que vous offrirez, ils sauront le lire.
Elle attacha l’anneau autour du poignet d’Élise. Celui-ci était léger. Et pourtant, Élise sentit son poids symbolique la marquer au fer.
Elle avança dans la salle. Lentement. Le bruit de ses talons sur le parquet semblait résonner dans tout son être. Plusieurs regards se tournèrent vers elle. Aucune parole. Juste des yeux. Qui scrutaient. Qui jaugeaient. Qui l’envisageait.
Elle vit un homme assis dans un large fauteuil, masque vénitien noir sur le visage, qui leva une coupe en sa direction, presque imperceptiblement. Une femme agenouillée nue à ses pieds, le regard baissé. D’autres couples. Les femmes étaient plus ou moins dévêtues. D’autres configurations.
Elle n’avait plus de repères. Et pourtant, elle sentait son corps s’adapter. S’ouvrir. S’abandonner.
Élise était entrée dans un monde où le désir n’était plus murmure, mais langage. Où chaque geste, chaque posture était signifiant. Et elle allait devoir apprendre cette grammaire-là. Ou s’y perdre.
Elle s’avança encore.
Et sut que la nuit serait longue.
Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/
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Ces six mois de pause m'ont permis de faire le point sur le chemin que j'avais parcouru jusque là et sur ce que je voulais encore découvrir. Arrivée dans le milieu en tant que jeune fille joueuse aimant l'adrénaline liée au bondage et à la douleur , je m'étais dit que je voulais limiter ma soumission à la soumission physique et sexuelle lors de séances ponctuelles. Je faisais attention lors du choix de partenaire pour savoir qu'il n'y avait pas de risque. Quels risques? Ceux liés à ma sécurité physique et émotionnelle.
Je me connais assez bien et je sais qu'une nouvelle rencontre a pour effet sur moi celui d' une étincelle. Etincelle de passion que quelques déceptions amoureuses m'ont apprise a contrôler. Etincelle de passion que je controle pour pas qu'elle ne devienne feu flamboyant. Etincelle de passion qui fait que je m'attache et ce assez rapidement.
Il est difficile de rentrer dans mon cercle restreint , mais une fois que l'autre y est, je veux danser avec lui autour du feu jusqu'à ce que la dernière braise s'éteigne, et ce ,même si c'est au risque de m'y brûler les ailes. Même une fois le feu éteint, j'aime me souvenir de la chaleur qu'il procurait et je garde un œil sur les traces de pas de l'autre et sur le chemin qu'il emprunte.
Alors je choisis avec attention, pour minimiser les risques : distance géographique, homme déjà en couple ou indisponible émotionnellement, tout était bon pour m'assurer le fait de ne pas finir cramée dans ce foutu feu. Si je ne sais contrôler la flamme, quelqu'un d'autre la domptera pour moi... Ah autosabotage quand tu nous tiens... Je faisais donc attention mais les risques étaient toujours là et ce qui était initialement la pour me protéger se révèle être une barrière qui m'empêche d'avancer.
Il parait qu'après quelque temps la passion s'affaiblit , c'est même une chanson qui le dit. Pas toujours apparemment, mais tout de même assez souvent. Et que reste t il une fois la passion affaiblie..? Les cendres d'un ancien feu ou la possibilité d'un attachement plus profond à construire. Alors me voilà ici aujourd'hui , a la recherche d'un architecte prêt a construire avec moi un beau donjon de soumission. Cet architecte doit savoir que la terre a un passé et un caractère qui fait que le feu fait toujours partie de sa vie. Non seulement architecte , mais également cracheur de feu pour apprendre à danser ensemble en jouant avec les flammes et en prenant en compte les ombres de l'un et de l'autre.
Cher architecte, le cahier des charges n'est pas simple a prendre en main mais j'ai confiance en votre esprit et en vos mains habiles. Cher cracheur de feu, je vous montrerais fièrement ma gueule pour que vous puissiez y cracher ce que vous voulez.
Fière, je le suis, notamment du chemin que j'ai parcouru. Pourtant, la route ne s'arrête jamais vraiment. L'ancienne jeune fille est devenue jeune femme plus confiante, plus affirmée et prête à découvrir la soumission psychologique. L'exercice ne sera pas rapide ni facile pour l'un comme pour l'autre. L'esprit est bien plus compliqué à dominer que le corps, surtout lorsqu'il se montre aussi effronté et alambiqué que le mien. Il y aura des doutes et des questionnements, de longues discussions, de possibles retours en arrière mais l'étincelle est là et nous prendrons le temps et les efforts pour nourrir ce feu naissant. La nuit était calme jusque là, une lueur se devine désormais dans le ciel.
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Acte 10 le dernier
Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir.
Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments.
Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau.
La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable.
Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination.
"Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?"
"Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir"
La conversation s'arrête là.
Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène?
Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer.
Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir.
Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part.
Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure.
Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.
C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine.
Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures.
Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais….
La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées.
Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore.
Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien.
Tu a encore le sourire. Il va vite partir.
"Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?"
Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler.
Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux.
"Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…."
Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là.
De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon.
"Au moins, avec ca tu la fermera!"
Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses.
Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup.
J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent.
Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc.
J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir.
Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur.
Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte.
"Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser."
Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher.
Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change.
"Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra."
Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais.
Je t'entends crier une bonne partie de la nuit…. Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete.
Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.
Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures.
Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir.
Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte.
A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer.
"Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu"
"Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!"
Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux.
J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau.
Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre.
Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard.
Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant.
Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.
Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.
Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave.
Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final.
Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles.
Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné.
Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore.
Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi.
Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer.
Je tire et compte. 1..2..3..4...
Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis.
5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol.
Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge.
Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin.
J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi.
L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi.
C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer.
Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche.
Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse.
Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir.
Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin….
8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon.
Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Acte 7
Le temps passe. Je n'ai plus vraiment de nouvelles de ta part depuis la dernière soirée.
Un dimanche matin, tu sonnes chez moi. Je suis surpris, je n'attendais pas vraiment ta visite et ne pensais pas te revoir.
Tu m'expliques avoir eu besoin de temps, de réfléchir, de savoir si tu voulais continuer ou pas.
Nous passons le dimanche à parler de tout, nos vies vanilles, passions, hobbies, personnalités et sexe ainsi que de BDSM bien sur.
De cette discussion, j'ai un peu avancé mais pas vraiment te concernant. Je ne connais toujours pas tes limites et tes envies.
Cela dit, il en ressort des dualités profondes:
* Que les châtiments, le sexe, ne t'intéressent pas sans qu'un contexte les justifient. Pourtant tu en parles beaucoup.
* Une envie de te mettre en danger, d'avoir peur. Mais d'un autre côté, ce danger doit être "safe", comme si on devait te garantir une happy end.
* Le contexte compte plus que les pratiques. Tu expliques que vivre des choses qui te répugnent/dégoûtent, peut être jouissif pour toi, en fonction du contexte.
Vaste dichotomie, qui subsiste dans ton esprit. Des choses totalement contradictoires entre elles. Je prends le temps de la réflexion.
Quelques jours plus tard, je te parle de "role play" et de CNC. Le role play te parle, tu aimes les jeux de rôle (jeux de plateau).
Le CNC en revanche tu sembles ne pas savoir ce que c'est. Je te l'explique. Les deux idées semblent te plaire.
Je te mets en garde, le CNC, il n'y a plus de garde fou, plus de safecode, ton consentement n'existe plus.
Tu poses juste 3 "conditions". Pas de sang, pas de mise en danger de ta santé, rien de permanent (pas de tatouage, branding, etc).
Le côté CNC te fait peur et te plaît. Ne pas avoir ton mot à dire est pour toi terrifiant et excitant.
Le cadre, les règles, et les limites sont posées. Je te demande de me donner toutes les informations te concernant.
Tes horaires, ton lieu de job étudiant, ce que tu fais, un double de tes clés. Dans le même temps, je cogite à des scénarios, en rédige quelques uns.
De tout ce que je te propose, rien ne semble te faire spécialement peur tant que tu sais que c'est moi ton "bourreau".
Tic, tac, le moment opportun arrive. Soirée filles/copines. Parfait. Je t'envoie un texto "Ne mets pas de vêtements auxquels tu tiens ce soir"
Avec ton double, je m'introduis chez toi pendant que tu es en soirée. Je mets un peu de désordre, comme si quelqu'un avait fouillé.
Le disjoncteur électrique? Dans le placard de l'entrée, derriere la penderie à manteaux. Parfait, cela te fera perdre du temps.
Le ruban adhésif, les serflex, cagoule, le faux cutter sont prêts. J'ai plus qu'à attendre ton retour de soirée. La fin de soirée risque d'être mouvementée pour toi.
Minuit moins dix, je vois ta voiture se garer, je t'observe de chez toi, dans le noir.
Le temps que tu arrives, je coupe le courant, laisse la porte d'entrée légèrement ouverte, et file me cacher en enfilant ma cagoule.
Je t'entends pousser la porte, le cliquetis caractéristique de l'interrupteur. J'observe le bon moment, la lumière tamisée du couloir aidant.
La tête dans le placard, tu remets le courant en marche. Manque de pot, je suis derrière toi. Pile au moment où tu sors la tête du placard, je te saisis par les cheveux et place le cutter sur ta gorge.
Apres avoir claqué la porte, je te déplace vers le plan de travail de ta kitchenette. Je te sens trembler, commencer à sangloter, sûrement de peur. Je dois trouver un moyen vite, de te calmer.
Le but n'étant évidemment pas de réellement te traumatiser.
"Si tu essayes de lutter, tu es morte" dis-je. Je me dis que tu connais ma voix, tu devrais donc savoir que c'est moi.
Je te plaque la tête sur le plan de travail, te mets les mains dans le dos, passe le serflex, et le serre. Puis ruban adhésif sur la bouche.
Je t'emmène et te jette dans ton lit. Les sanglots se calment, la peur avec.
Je continue à faire comme si je cherchais quelque chose. Je fais mine de m'agacer de rien trouver.
J'éteins à nouveau la lumière et allume la tv sans le son. La lumière de la tv fera office de lumière tamisée.
Je fais mine de m'agacer de rien trouver..... Je vais dans la cuisine chercher un ciseau.
La peur revient dans ton regard. Je passe la pointe plusieurs fois sans appuyer sur ton cou, ton nez, tes bras.
"Arrête de bouger ou je te plante!"
Tu marmonnes un truc. Je comprends pas. Puis je découpe avec le ciseau, déchire tes vêtements un à un.
Tu es nue..... je sors mon téléphone de ma poche, je prends quelques photos de toi nue... tu essaies de te cacher.
Une claque arrive sur ta jambe. "Ecarte!"
Tu refuses, je reprends le faux cutter et le remets sous ta gorge. "Ecarte j'ai dit!"
Tu le fais non sans mal. En maintenant le cutter, je continue comme je peux ma petite séance photo.
Je finis par poser mon téléphone, et à jouer avec ton clitoris.... Celui-ci devient vite humide, les grognements étouffés se changent en gémissements.
Je m'amuse, enfonce un doigt, puis deux, ressort jouer avec ton clitoris....
Bon ça suffit, assez joué. J'enlève enfin ma cagoule. Ton regard exprime le "je savais que c'était toi"....
Je te souris, me lève, reprend mes affaires. Me dirige vers la porte.
Je t'entends grogner, essayer de crier, de m'interpeller.
Sans te regarder, je te dis "tu passeras la nuit ainsi, je viendrai demain te délivrer. Bonne nuit Hannah."
Je prends le temps de bien fermer ta porte à clé et je m'en vais. Je reviens 1h plus tard, vérifier que tout va bien. Tu dors.
Je m'installe à côté de toi, et je m'endors à mon tour. Le matin tu me réveilles à coup de coudes.
"Bonjour Hannah, bien dormi?.... Ah oui tu peux pas répondre."
Je te sen un poil énervée. J'en souris.
"Arrête de t'énerver ou je te libère pas."
Petit soupir de ta part. Je finis par couper le serflex et t'enlever le ruban adhésif.
Tu passes de longues minutes à ronchonner, pester, pour enfin me dire que tu as vraiment eu peur au départ, que c'était intense, mais qu'avec le recul, c'était excitant et sympa à vivre.
Acte 8
"Maître, je suis en manque.... bientôt 3 semaines sans sexe"
Je te réponds pas mais j'en souris d'avance. Ne t'inquiète pas, j'ai prévu quelque chose pour toi à ce sujet.
Le temps de tout mettre en place. Ça va venir.
Je passe un temps fou, à essayer de reproduire des billets. De près on voit que c'est des faux, de loin en revanche, ça fera illusion.
Ça y le jour J est arrivé. Tout est en place.
"Hannah, habille-toi classe, et sexy ce soir! Je passe te prendre à 19h, sois prête. Ah et tu m'attendras dehors et sans parapluie"
Il est 19h... Il pleut des cordes. Tu es dehors, devant ton batiment, tu m'attends, sans parapluie....
Je te vois, mais j'attends. Petit plaisir sadique, de te voir comme une conne dehors sous la flotte.
Bon 19h08. On va être en retard. Je viens enfin te chercher.
"Ah ben merci de m'avoir fait attendre sous la pluie.... "
"Pardon? Tu peux répéter Hannah?"
"Mes excuses Maître. Bonsoir"
"C'est mieux"
Nous prenons la route, direction un hôtel. Plutôt chic. Tu me suis, sans rien dire. Tu sembles un peu surprise qu'on ne passe pas par l'acceuil.
Chambre 259.... Chambre 259.... Elle est ou cette putain de chambre. Ah ça y est! Nous y sommes.
Je tape, un homme nous ouvre, et nous fait entrer. On se salue.
L'homme a la cinquantaine, plutôt ventru, un regard libidineux. Tu ne le sais pas, mais il s'appelle Thierry. C'est un habitué d'un club échangiste que je connais depuis un moment déjà.
"Hannah enlève ton manteau. Et viens te mettre à genoux, là" au milieu de la chambre face au lit.
Thierry a commandé à manger. Mais toi tu n'y as pas droit. Nous mangeons.
"Elle ne mange pas?"
"Elle mangera quand elle aura fait son devoir, pas avant."
Tu nous regardes manger, et parler de toi comme si tu n’étais pas là. Le repas est fini.
Thierry se lève et va chercher sa sacoche et me tend les "faux billets".
"On avait dit combien? 700?"
"700€ oui.... Enfin si tu veux la totale?"
"Parfait, tiens!"
Tu nous regardes, surprise, médusée, tu sembles à la fois comprendre et ne pas comprendre ce qu'il se passe ou va t'arriver.
"Hannah, je viens de vendre tes services à Monsieur. Sois gentille, et fais ce qu'il te dit."
Je reste assis à table à vous observer. Thierry se déshabille tout seul et va s’allonger dans le lit.
"Debout, et déshabille-toi ma petite"
Un moment d’hésitation, je claque un doigt pour te rappeler à l'ordre, et tu te lèves pour te déshabiller.
Tu regardes Thierry. A la moue que tu fais, il ne semble pas vraiment à ton goût. Âgé, ventru, poilu, sexe court mais épais.
Une fois nue, Thierry t'invite à le rejoindre dans le lit.
"Viens ma petite, viens m'embrasser et me caresser"
Tu y vas, à reculons comme on dit. Tu fais sans faire, on sent réellement que tu ne prends aucun plaisir.
"Va falloir mettre du tiens ma mignonne, c'est nul là"
Je sens que ça va pas. Je me lève, te sors du lit sans ménagement.
"Hannah, c'est bien ce que tu voulais vivre non? Me force pas à devenir méchant. J'ai vendu tes charmes, tu n'as pas le choix!"
Thierry nous regarde, avec une demi-érection. Je te dis d'y retourner d'un signe de la tête.
Retour dans le lit, retour aux caresses.
"C'est bien, ma mignonne, c'est mieux. Suce-moi"
Tu descends et commence ta fellation. Tu ferme les yeux, comme si tu imaginais être avec quelqu'un d'autre.
Thierry est doux, il ne cherche pas à te forcer en gorge profonde. Ça semble te ressurer. Petit à petit, tu y mets plus d'entrain.
Thierry te stoppe, te pousse sur le côté du lit, puis descend te faire un cunnilingus. Lui en revanche semble prendre un plaisir certain à déguster ta petite chatte.
Un peu trop, il semble surexcité...
Le moment fatidique arrive. Thierry met un préservatif. C'est l'heure de passer à la casserole.
Il a côté tres doux, essaye de ne pas te brusquer. Les va-et-vient sont lents, amples.
Puis il s'accélère. Les coups de rein sont plus secs, plus durs, on entend vos corps claquer à chaque coup.
Je vous regarde, assis dans mon fauteuil. Thierry semble s'emballer. Il ne tiendra pas longtemps sur ce rythme.
Chose qui devait arriver, arriva. Thierry, dans un grand râle de jouissance, se bloque au fond de ton vagin. Ne bouge plus 1 seconde ou 2 puis se retire et s'effondre sur le lit.
Tu demandes pas ton reste, sors du lit, et vas dans la salle de bain.
Tu ne le vois pas mais Thierry se rhabille et quitte la chambre. Il l'a payée. Nous pouvons y rester.
Je te retrouve, prostrée dans la salle de bain.
"Hannah?"
"Quoi?"
"Comment te sens-tu?"
"Sale, salie, dégueulasse, souillée, meurtrie...."
Je souris. Te relève. Te dis que je suis fier de toi. Que moi, je n'aurais jamais eu le courage de faire ce que tu viens de faire.
Je vois un petit sourire de fierté poindre.
Je t'entraîne à nouveau dans la chambre, et dans le lit, on parle, fait notre aftercare. Je t'explique que tout était faux et que je connaissais Thierry, d'où ma confiance en lui.
La soirée n'est pas finie, à mon tour de me faire plaisir..... Je vais terminer de combler ton manque.
Acte 9
Nous sommes le lendemain. Le téléphone nous réveille.
Nous n'avons pas commandé le petit-déjeuner. Je suis ailleurs. Physiquement, je suis là, mais mon esprit est absent.
Tu le sens, tu me demandes à quoi je pense. Je ne réponds pas. Une deuxième fois, tu me poses la question.
Je te réponds être en proie aux doutes, aux questionnements, suis-je allé trop loin? Trop vite?
Ça te fait éclater de rire. Tu me dis que jusque-là, tout va bien. Tant que je suis là, tu te sens en sécurité, peu importe quoi.
Ça me rassure. Mais ton calvaire va se durcir.
Cinq jours plus tard, nous sommes invités. Cette fois-ci, tu sais que tu sera vendue. Je te l'explique. Oui je sais encore....
Jour J. Nous arrivons devant une somptueuse villa surplombant les hauteurs de Nice.
A l'entrée, il n'y a que des voitures de luxe. Seule ma Clio Williams fait tache.
Soit. On me remet un masque type "carnaval de Venise" à mettre. C'est jamais pratique à mettre ces machins. Encore moins à respirer avec.
Toi, on te donne un numéro. Nous rentrons dans le salon. Il est bondé. Environ une cinquantaine de personnes sont présentes.
Quelques amuse-gueules, du champagne (ce que je déteste) à boire, puis on vient te chercher. C'est l'heure de la vente des esclaves.
Tu disparais pour réapparaître nue sur le podium avec le numéro autour du cou.
Un à un, vous êtes appelés par votre numéro. Soumises/Soumis même combat ce soir. Pas de différence.
Vous défilez chacun votre tour, puis en ligne vous venez vous positionner sur l'estrade centrale.
Tous les convives peuvent voir, regarder, vous examiner, une seule règle. On touche qu'avec les yeux. De mon côté, je sais déjà qui va t'acheter.
Elle te reluque de la tête aux pieds. Elle ne regarde que toi.
Elle s'appelle "Mercedes". Elle est argentine, a le regard froid, le visage inexpressif, elle a une attitude de matonne de prison. C'est mon ancienne Maîtresse.
Les enchères commencent. Peu de doutes concernant ton cas. C'est fini. Elle a remporté la mise, tu es à elle pour une heure environ.
Elle t’emmène dans une chambre/salle. Elle te fixe les mains à un pilori qui est lui-même attaché à une poulie au plafond.
Je te sens trembler, être pas bien, faire une crise d'angoisse. Tu me cherches du regard mais me trouves pas. Moi je te vois.
Je viens, demande à "Mercedes" 3 mins avec toi.
"Hannah, du calme, respire. Tout va bien. Je connais Mercedes, elle sait ce qu'elle fait. Elle a 30 ans d'expérience derrière elle. Fais-lui confiance, fais-moi confiance. Tu sais que je suis là et que je t’abandonne pas."
Ça va mieux. Enfin un peu.
Mercedes commence avec une Badine. Elle marque tes fesses, tes cuisses, tes mollets, ton bas-ventre. Cela te semble interminable et insupportable. Mais tu fais de ton mieux pour subir.
Elle te détache, t’emmène sur une table. Tu y es fixée par les mains et les pieds. Jambes ouvertes, sexe offert.
Elle enfile des gants en latex, je sens à nouveau que tu vas craquer. Je viens. Je te murmure que ça va, tout va bien. Respire. Tu es entre de bonnes mains.
Elle t'explique qu'elle va te "coudre la chatte". Je te caresse la tête, je reste présent. Ça va aller Hannah.
Elle commence, le passage de l'aiguille se fait non sans mal, mais tu essaies de gérer. Un point après l'autre, te voilà suturée. Chatte fermée.
Nous admirons le travail. Tu restes allongée à ne rien dire.
"Gap, tu l'as bien formée, bravo. Beaucoup auraient renoncé."
"Merci Madame".
"Je te laisse le soin de couper les points, voici le ciseau médical. Fais attention. Et voici des compresses stériles au besoin"
Je retire un à un les points. Pose des compresses sur les quelques gouttes de sang qui perlent.
Je te détache les mains et te tends un sextoy. De quoi enfin prendre un peu de plaisir. Fini, tu me le rends.
Mercedes te regarde dans le fond de la pièce. Je te détache, et te demande d'aller dire merci.
"Merci Madame"
"De rien jeune fille."
Nous repartons dans le salon. Tu te rhabilles.
"Hannah veux-tu rester?"
"Non trop d'émotions pour ce soir, rentrons"
Retour chez moi. Poches de glace et bombe de froid. Ça va. Tu sembles bien résister à la douleur.
J'examine à nouveau ta chatte. Ça va, plus de sang. Nous pouvons faire notre aftercare et dormir.
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Acte 4
Moins de 24 heures se sont écoulées, et te revoilà chez moi. Toute fière.
Vanessa te fait entrer.
Je suis sur la table du salon, en train de trier et vérifier mes affaires de sport.
Tu viens me voir, avec tes deux feuilles A4 griffonnées recto verso. Tu me les tends.
Je lis même pas, je déchire tout, sous tes yeux médusés.
"Bonjour Hannah, assieds toi".
Pas un mot, tu t'assois.
Je te tends un stylo et une feuille.
"Je t'ai demandé quelques lignes, pas une dissertation. Recommence! Vanessa, fais lui un café s'il te plaît."
Le temps de trier mes affaires, tu as le temps de griffonner quelques lignes.
Je lis, ok la notion d'engagement est là, mais encore une fois, ça part dans tous les sens.
Je laisse cela sur la table, j'ai de toute façon pas le temps. Un match de handball important m'attend.
"Vanessa va te faire un cours. Elle t'expliquera les différents grands courants de pensée, le matériel, à quoi il sert, les pratiques. Vanessa, tu trouveras sur la table un exemplaire de check-list.
Cela pourra aider Hannah je pense."
Vanessa acquiesce d'un hochement de tête.
"Vanessa, tu es responsable de Hannah, si à mon retour cela me convient pas, c'est toi qui subiras mes foudres, sommes-nous d'accord?"
Vanessa acquiesce d'un hochement de tête, à nouveau, non sans un regard inquiet.
Un bisous et un câlin à Vanessa et je m'apprête à partir.
"On fait des câlins à une esclave?"
"Les relations BDSM n'empêchent en rien la douceur et la tendresse Hannah. Penses-tu que Vanessa accepterait certaines choses si j'étais seulement qu'un sombre connard?"
J'attends même pas ta réponse, je m'en vais.
Le temps tourne....
Minuit moins le quart, je rentre enfin. Je suis frustré, en colère, en rage, j'ai beaucoup de mal à me contenir.
Tu es toujours là.
Vous regardez une émission sur les serial killers. Curieuse fascination pour la mort.
Vanessa comprend vite que je suis pas d'humeur et tente de me faire un massage des épaules pour me détendre.
ça fonctionne pas.
"Hannah, qu'as-tu appris aujourd'hui?"
"Plein de choses gap!"
"Monsieur!"
"Pardon, plein de choses Monsieur."
"Bien, nous verrons plus tard, je suis pas d'humeur"
"Encore? Non mais je viens pourquoi moi? Sérieusement, ça te ferait chier de t'occuper de moi? Je fais tout ce que tu dis, et ta seule réponse, c'est me renvoyer chez moi."
Je retourne vers la table, où ton papier griffonné est encore là. Je le jette par terre avec le stylo.
"Note Hannah! Vite avant que je change d'avis"
Tu te lèves du canapé, t'assois par terre et attends.
"Je..... soussignée, Hannah, accepte trois expériences. Une basée sur le physique, une basée sur le psychologique et une basée sur le sexuel......
Je déciderai après si oui ou non et comment je souhaite que la relation évolue..... C'est écrit? Oui alors signe!"
Tu le fais, te relève et m'apporte la feuille, me la tends.
"Voilà, t'es content. Tiens ta putain de feuille."
Tu vas pour partir, et je te rattrape par le cheveux, tire dessus pour te ramener où je veux dans le salon.
En te tirant sur les cheveux pour te garder la tête haute, je te dis:
"A poil! Vite!"
Tu t'exécutes non sans un regard de défiance. Je te jette par terre, te maintiens la tête au sol avec un pieds, de manière à ce que ton cul soit relevé.
J'enlève ma ceinture en cuir. Vanessa dans un coin.
Le premier coup s'abat. Il est doux.
"C'est tout?! je m'attendais à pire" me dis-tu.
Je souris.
Attends, ca va venir.
2...3...4...5 coups atterrissent sur tes fesses. De plus en plus forts. Tu ne bouges presque pas.
6...7.... coups. Tu ploies une première fois. J'entends ta respiration s'accélérer, devenir plus profonde.
8 coups.... tu ploies encore. Revenir à ta position devient plus dur mais toujours pas un mot, rien.
Je fais le tour, je te vois serrer les dents. Une forme de "non, je lui donnerai pas ce plaisir".
9 coups.. un petit son sort enfin de ta bouche.
"En place! Dépêche toi! "
10 coups et tu t'affales sur le sol. Tu reviens difficilement à ta position. J'arme à nouveau le bras.
Là, j'entends ta respiration se saccader, renifler comme si tu pleurais.
J'arrête, jette la ceinture à Vanessa qui regarde sans rien dire.
Je te relève, tu me dis "fini?"
"Oh non rassure toi, j'ai pas encore fini avec toi". Un petit rictus sur ma bouche.
"Ton insolence de tout à l'heure mérite sanction. Mets toi droite mains sur la tête!"
Je prends des pinces à linge et une corde. Je joue avec.
Pose une à une les pinces en prenant soins de faire passer la corde dedans.
"ça va, tout va bien Hannah?"
"Oui c'est pas terrible, je m'attendais à pire"
"Attends, le plus dur reste à venir".
Tu as des pinces du bas des aisselles aux hanches de chaque côté.
J'ai les deux cordes dans les mains. Je joue avec. Puis soudain, je tire fort.
Les pinces sautent une à une.
Je t'entends enfin crier.
Une fois la dernière pince enlevée tu t'effondres sur le sol.
Je prends une bombe de froid et l'applique sur tes côtes.
"Vanessa va chercher les poches de froid s'il te plaît".
"Hannah montre moi tes fesses"
Je t'applique les poches froides sur tes fesses. Nous restons là, prostrés par terre, un long câlin s'en suis.
"ça va? Comment te sens-tu Hannah?"
"ça va, douloureux, mais ça va."
"Garde les poches, vu tes fesses bleu violacé, tu en auras besoin"
"Merci"
"Merci Monsieur, on dit!"
"Merci Monsieur"
Tu te rhabilles non sans mal et tu pars.
Deux jours après, j'ai un message "Bonjour Monsieur, j'ai encore les fesses en feu, j'aime bien mais c'est douloureux, merci pour les poches Monsieur".
"C'est que le début Hannah, c'est que le début."
Acte 5
Mon téléphone sonne. Il est 7h45 du matin, nous sommes mardi.
Hannah a une voix mi-affolée, mi-stressée.
"Hannah, qu'est-ce qu'il se passe? Pourquoi tu m'appelles à cette heure-là?"
"Bonjour, désolée Monsieur, ma voiture ne démarre plus, et je dois absolument être à la fac ce matin."
"On se calme, ça va aller, laisse moi le temps de m'habiller, j'arrive"
Je te dépose à la fac. Tu m'indiques l'heure pour venir te chercher.
Moins de deux heures plus tard, tu m'appelles à nouveau.
"Je suis dehors, peux-tu venir me chercher?"
"Comment ça tu est dehors?"
"Oui, je me suis faite virer du cours"
"J'arrive"
Sur les lieux, je te trouve devant le bâtiment principal. Je suis furieux, qu'as-tu bien pu faire pour te faire virer.
Tu me dis à nouveau bonjour avec le sourire... Je te réponds même pas. Je t'attrape par le bras et te tire comme une enfant à l'intérieur.
A l'accueil, je demande à parler à ton professeur.
"tu vas parler avec mon prof? Non mais...."
"Je suis pas d'humeur. Tais toi, ou c'est pas juste tes fesses qui seront violacées cette fois-ci"
Nous sommes assis sur les fauteuils de l'entrée. 10 mins d'attente.
Le hall ressemble à un hall de théâtre. C'est un ancien bâtiment. Une immense pièce de laquelle arrivent et partent des couloirs, des escaliers, et des passages surplombants le hall.
Le prof nous rejoint enfin. Tu t'écrases dans le fauteuil, en essayant de te faire la plus petite possible.
"Bonjour Monsieur, je suis le professeur de droit du commerce, puis-je savoir qui vous êtes?"
"Bonjour Monsieur, je suis son frère. Puis-je savoir pourquoi Hannah a été virée du cours ce matin?"
"Hannah répond, elle a été insolente, et a même décidé de danser en plein cours."
Surpris et consterné, la conversation se poursuit.
"Pardon?! Elle danse en cours?"
Je me tourne vers toi, avec un regard froid et noir.
"Tu danses en cours? Tu plaisante j'espère?...... Bah lève-toi et danse alors!"
Ton prof intervient "Non mais je ne crois pas que ce soit la peine maintenant."
"Si monsieur, c'est la peine justement, montre-moi, lève-toi tout de suite et danse."
"Je vais pas danser dans le hall, devant tout le monde et mon prof"
"Si si tu vas danser dans le hall, devant ton frère et devant tout le monde, comme tu l'as fait devant toute ta classe..... Lève-toi et danse, vite, je vais pas te lâcher!"
"Mais.... gap?!"
"Y a pas de Gap! Fallait y penser avant à Gap. Lève-toi et danse! Allez!"
Ton prof nous regarde, hébété, on sent qu'il est mal à l'aise, qu'il ne sait pas trop quoi dire ou comment réagir.
"Tu attends quoi Hannah? Danse! Tu veux quoi? Que je te mette de la musique? lève toi et DANSE!"
Tu te lèves, alors que tout le monde m'a entendu lever la voix, tous les regards sont sur nous et sur toi.
Tu te dandines, rouge de honte, ça ressemble à rien. Ton prof est désemparé, il te regarde affligé.
"Ah ben voilà! c'est bien ça! Bien, t'a le rythme, du talent! Donc au lieu d'apprendre le droit, toi, tu danses?!
En plus pour danser comme ça? Allez, rassieds toi Hannah, tu me fous la honte! Tu a intérêt à bosser tes cours, parce que dans un mois, je vais revenir et je voudrais voir l'ensemble de tes professeurs, savoir ou tu en es!"
Ton prof intervient à nouveau.
"Monsieur xxx, je pense qu'Hannah est intelligente et... "
Je le coupe et ne lui laisse même pas finir sa phrase.
"Intelligente? Elle confond cours de danse avec cours de droit, c'est de l'intelligence ça?"
Fin de la conversation , je te fais signe qu'on y vs.
Nous sommes sur le chemin du retour, après un long silence... Je reprends la parole.
"Ah tu veux danser? Crois moi, je vais te faire passer l'envie de danser, des moments non appropriés!"
Nous voilà le soir, tu as des sous-vêtements sexy assortis et une robe que Vanessa t'a prêtée.
Tu ne le sais pas encore, mais la particularité de cette robe, c'est que le fil de couture est conçu pour casser sans abîmer la robe. Les fils qu'utilisent les stripteasers.
Nous sommes dans le pub, une immense table centrale, la soirée avance, l'alcool coule à flot autour de nous.
Deux femmes montent sur la table et dansent.
"Rejoins les! Monte sur la table et danse!"
Je t'accompagne, m'assois devant à la table devant toi. Je te regarde danser, toute timide. Au bout de 2 minutes environ, je me lève, attrape et tire sur le bas de la robe. Comme prévu, elle se déchire aux coutures. Tu te retrouves à moitié nue devant tout le monde.
Les hommes te sifflent, ça crie, ça s'amuse de te voir en petite tenue.
7 mecs autour de toi éclatent de rire. Deux d'entre eux, par empathie et bienveillance te font descendre et te ramènent à notre table.
Vanessa te tend son manteau long, nous partons. Dans la rue, tu cries, tu m'insultes, tu laisses éclater ta colère.
Je marche sans rien dire. Une fois dans la voiture enfin je daigne te parler.
"Tu as encore l'envie de danser Hannah?"
"Non c'est bon!"
"Bien"
"T'es fou! Il aurait pu m'arriver n'importe quoi. Ils étaient tous bourrés, t'aurais fait quoi s'ils avaient été plus loin?"
"Hannah, je ne mets jamais en danger ma soumise. Ce que tu ignores, c'est que les 25 mecs qui étaient présents autour de la table, je les connais, c'est mes coéquipiers du Hand.
Ils savaient très bien ce que j'avais prévu pour toi. Je doute que quelqu'un ose venir te toucher s'il voient 25 gars allant de 1m70 à 2m10 te protéger, ce qui a été le cas.
Autre détail que tu ignores, je connais le patron et les videurs, depuis le temps que je viens ici."
Un long silence.... tu regardes dehors, la mine toujours en colère. J'en rigole.
"Je ne pensais pas que le volet psy allait arriver si vite! Comment te sens-tu?"
Une longue, très longue discussion terminera notre nuit. Elle partira du sentiment de colère pour en arriver au sentiment d'excitation d'être exposée à des inconnus.
Acte 6
Je passe chez toi, te livrer un colis. Tu m'accueille en m'offrant un café.
Tu me demande ce qu'il y a dans la boite. Je te la tends et te dis de l'ouvrir.
Il y a, 3 plugs (S, M, L), un tube de gel lubrifiant, et un gode (M).
"Qu'est ce que je dois en faire Monsieur?"
"A ton avis Hannah?"
"J'aime pas la sodomie, c'est hors de question!"
"Tu a déjà pratiqué Hannah?"
"Non, pas vraiment, ca m'attire pas."
"Alors comment peux tu savoir que tu n'aime pas? Moi je serais toi, je prendrais le temps de porter les plugs. Dans 9 jours, que tu aime ou pas tu y aura droit."
Un soupire de ta part et puis "Et le gode? Il sert à quoi?"
Je te montre ma gorge et te rappelant ce que tu avais vu dans la cuisine avec Vanessa.
Je te vois déglutir. Tu ne dis rien, mais je ne peux m'empêcher d'avoir un petit sourire en coin.
"Ah dans 9 jours Hannah, amuse toi bien avec tes nouveaux jouets!"
Tic, tac, tic, tac..... Les 9 jours sont passés.
La soirée est arrivée. Nous dinons. Tous les trois.
Un longue conversation est abordée. Vanessa t'explique que c'est sa dernière soirée. Elle a rencontré quelqu'un d'autre, elle souhaite revenir à une vie vanille.
L'homme en est question, est disposé à lui offrir ce que je ne souhaite pas. Une vie vanille avec perspective d'enfants.
Je l'ai accepté sans trop de difficulté. Je savais que le temps était compté entre nous. Il y a toujours un petit pincement au coeur mais ainsi va la vie.
Le repas est fini depuis un moment déjà. La digestion devrait être passé. Il est temps d'avoir la 3e et dernières expériences.
Vanessa t'entraine dans la salle de bain. Elle va te préparer.
Vous revenez environs 20 mins plus tards. Vous etes en string, bas, porte jarretelle, soutiens gorges, coiffées, maquillées.
J'admire la vue, en buvant mon déca. D'un signe du doigts je vous demande de vous tourner. Je constate que vous portez toutes les deux un rosebude.
Je bouge pas du canapé, cela te surprends. Ce que tu ignore, c'est que Vanessa avait été briefé avant. Elle savait ce qu'elle devait faire.
"Vanessa.... à toi l'honneur. C'est ta dernière soirée, profites en."
Vanessa part et revient avec dans les mains une caisse. Elle l'ouvre, attrape un foulard/bandeau noir en satin.
Elle te bande les yeux. Elle te retire ton soutiens gorge, non sans se laisser à quelques caresses. On sent que ca te perturbe un peu.
Vanessa, te fixe les mains dans le dos au moyens de deux entraves en cuir. Puis plus rien ne se passe.
Le temps que j'installe à terre, un sur matelas et un plaise à franges longues. C'est doux et agréable.
Vanessa te guide, t'allonge, et te retire ton strings. Tu est nue, allongé, les yeux bandés, à attendre.
Il est temps de découvrir si tu a un coté bi..... Un clin d'œil à Vanessa comme top départ.
Elle retire à son tour son string, et se positionne de façon à entourer ta tete entre ses cuisses.
De cette facon tu a son sexe coller à la bouche sans pouvoir tourner la tete pour l'éviter.
On entends des murmures étouffé, comme des protestations. Rien de ne passe, tu refuse il semblerait.
Je me lève, prend un magic wand, le branche et le donne à Vanessa. Elle se relève le temps de te laisser respirer puis se repositionne.
Elle s'en amuse. Tanto le pose sur ton clitoris, tanto l'enlève, elle joue aussi avec les vitesses...
3 mins se passent, et te voilà à gémir, ton bassin commence à bouger, à osciller. Doucement... Petit à petit les mouvements s'accélèrent, deviennent plus brusques.
Vanessa se positionne mieux. Se relève légèrement pour qu'il te soit plus facile de lui lécher la chatte.
Les premiers coup de langues partent, Vanessa gémi à son tour.....
Je vous regarde, admire le spectacle offert. Un cri de jouissance forte sort de ta bouche Hannah.
"Mince je me suis fais pipi dessus"
Je rigole...
"Assez joué entre vous les filles, à mon tour maintenant".
Je me met nue aussi et vous rejoins. Vanessa t'aide à te relever, et te met à genou.
Elle te place mon penis à l'entrée de ta bouche. Tu commence par lécher goulument, puis me suce.
j'attrape tes cheveux et gère le rythme des va et viens, parfois soft et parfois je pouce pour que cela rentre plus profond.
Tu éructe, bave, crache, tousse. Je te laisse respirer et reprendre ton souffle puis revient à la charge....
Puis j'arrête, je fais le tour, te pousse en avant. Les fesses en l'air, je te retire le rosebude.
Je récupère la bave qui dégouline encore de ta bouche, humidifie ton anus.
Je joue avec, le caresse, enfonce délicatement un doigt, puis deux, puis trois. Parfait tu est "ouverte".
Préservatifs mis, et gel mis je te demande "Hannah, est tu prête?"
"Non mais je ne le serais jamais donc allons y"
Je me lance, je pénètre ton cul, doucement, il faut forcer un peu..... une fois dedans j'attends quelques secondes que tu t'y fasse.
Puis les va et vient commence doucement, pour petit à petit aller crescendo. Dans un reflexe, je chope le magic wand qui traine, et te le colle sur le clitoris.
Les mouvements sont de plus en plus fort, tes fesses claques sur mes hanches. Tu grogne, râle, gémi, tout ca en meme temps.
Je fini par décharger dedans. Enfin. Ma libération. Je me retire en te laissant le magic wand posée. Tu gémis de plus en plus fort.
Un cri de plaisir et puis "Stop, j'en peux plus" arrive.
Nous finissons les trois allongée sur le sur matelas. Nous parlons, nous faisons notre aftercare sereinement.
Il parait que tu a aimé, malgré le coté désagréable des premiers instants.
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C’était cet été, il faisait chaud, très chaud, et je dialoguais sur un site web avec un monsieur qui me disait aimer donner des fessées aux garçons indisciplinés quel que soit leur âge. Lui en avait 73. Il aurait largement pu être mon père. Et puis au fil de la conversation, c'est devenu plus chaud, plus intense et j'avais envie de le taquiner, alors je lui disait des "pas cap', des même pas peur, ..;" alors il s'est fâché bien sur, et il est monté en pression, me donnant l'ordre de venir chez lui pour recevoir la fessée largement méritée. Je n'avais rien à faire ce jour là et j'ai décidé de lui dire oui. Il m'a bien prévenu que une fois arrivé, je n'aurais rien à dire, rien à demander, rien faire sinon me soumettre à lui et à ses fessées, où que ce soit. J'ai dit banco et j'ai pris ma voiture. Des fesseurs j'en ai connu beaucoup, vraiment beaucoup, et en fait bien peu ont été à la hauteur de mes attentes, de mes espérances, alors je me suis dit, on verra bien. Je suis arrivé après environ une petite heure de route dans un petit village en fête, il y avait des gens sur la place, des gamins qui jouaient et crier dans les rues, un 14 juillet quoi ! A peine arrivé, je descends de voiture, vêtu d'un petit short très court façon culotte courte, en velours, et dessous une culotte blanche en coton comme exigé, le reste, tee shirt et chaussettes de tennis. Je me dirige vers sa maison et là j'entends des gamins dirent "tiens il va chez le père fouettard" ... j'en suis resté un peu surpris quand même. au petit portillon, je sonne et je vois arriver un fort gaillard d'1m90 au moins, et bien ses 100 Kg. Il est habillé en bleu de travail. il ouvre et me fait entrer sous le regard amusé des gamins. S'en apercevant le monsieur leur dit d'aller voir ailleurs sinon gare à eux. Ils déguerpissent aussitôt.A peine entré dans sa cuisine, je reçois une énorme claque sur les fesses qui me fige direct ! il me prend par le bras, me pousse vers la table de cuisine, me penche dessus et sans dire un mot commence à me flanquer une énorme fessée sur les cuisses nues et les fesses protégées par le short en velours. Une vingtaine de claque après, il s'arrête, il va se chercher une bière, s'assoie, et commence à boire directement à la canette. je ne sais pas quoi faire alors je ne bouge pas. J'attends. Il se relève enfin, viens vers moi, et d'un geste brusque me descend le short et la culotte à moitié. il regarde mes cuisses, mes fesses, puis il prend enfin la parole et me dit que ce n'est que le début, que je ne suis pas venu pour rien et que, comme je l'ai bien énervé sur le "Chat", je vais déguster grave ! Il prend une chaise, et s'assoie dessus puis e dit de venir vers lui, j'avance à petit pas, entravé par mon short sur mes chevilles, il me couche sur ses genoux et là, je prends une de ces fessée mon Dieu comme rarement j'en ai prise. Les claques n'arrêtent pas de plus en plus en plus fort. Il s'arrête enfin, je suis toujours en culotte blanche, effondré sur ses genoux, il me relève et se lève aussi, il a chaud, il ouvre grand la porte et les deux fenêtres de la cuisine, celles qui donnent sur la rue. Il revient il me courbe sur la chaise, et me fait écarter les jambes un maximum...pas facile avec le short sur les chevilles... je le vois enlever sa ceinture, je sais que c'est pour mes fesses,je tremble de peur car il 'a déjà fait très mal, mais j'ai promis de ne rien dire de ne rien faire et de me laisser faire alors je me laisse faire. j'entends des gloussements derrière moi, sans doute des gamins devant les fenêtres ouvertes ! et le premier coup tombe, sur mes cuisses, ça fait mal, ça gifle ça cingle, je cris, je gémis, je sens des larmes monter dans mes yeux. Il continue, et alors que je ne m'y attends pas, il me baisse la culotte d'un coup sec, et la fessée reprend de plus belle, les coups de ceinture me vrillent les fesses, j'entends des rires, des gens qui parlent, qui se moquent, mais je ne vois rien. Je suis là, déculotté devant des fenêtres ouvertes, recevant la fessée et je ne réagi pas. Je subis. La fessée s'arrête. je respire un grand coup et sèche ms larmes qui coulent à flots tant j'ai mal... il quitte la pièce, mais revient vite avec des baguettes de noisetier dans la main... Il me dit que je vais goûter ça et que je vais apprécier leur souplesse !!! tu parles, ça fait encore plus mal que je ne pensais... je sens comme des griffures à chaque coup reçu, je me remets à pleurer à chaudes larmes, rien ne les arrêtent et j'entends toujours des rires derrière moi...Le spectacle de mes fesses écarlates et fouettées par les verges doit être magnifique tant j'entends des "ohhh" des "ahhh".... Puis ça s'arrête. La fessée est finie, il me le dit. Il me prend par le bras et m'entraîne vers sa salle de bains, et me plante devant un grand miroir et me dit "regarde tes fesses'. Je tourne la tête et découvre le spectacle de mes fesses rouges, mais rouges !!! et mes cuisses !!! les marques de la ceinture, les marques des verges de noisetier y sont incrustées limite ça saigne tant j'en ai pris... je suis effaré de l'état de mes fesses... Il m'ordonne de me reculotter, ce que je fais non sans douleur car le coton de ma culotte me brûle, me fait mal... et le short remonté je m'aperçois avec horreur et honte qu'il ne cache pas les marques et rougeurs de mes cuisses... comment vais je partir avec tous ces gens dans les rues, ces gamins qui ont sans doute tout vu ??? J'ai honte, terriblement honte d'avoir demandé et mérité cette fessée. Les fesses me cuisent, les cuisses chauffent... Et là, le monsieur me passe la main dans les cheveux et me dit 'viens, on va aller boire un coup". Il m'entraîne avec lui, on sort de la maison, on va sur la place, là où une buvette est installée pour la journée, là où des gens boivent rient et dansent... je me sens comme un petit garçon qui vient d'être puni et que tout le monde va voir les cuisses rouges ne laissant aucun doute sur ce que le "père fouettard ' m'a fait. dans la rue, les gamins nous suivent et se moquent, je ne dois rien dire, je me tais. Arrivés à la buvette il nous commande deux bières, On est là, debout face à la buvette, on boit ensemble, la fraîcheur de la bière me fait du bien, mais des gens arrivent bientôt derrière nous, j'entends des murmures, des chuchotements, et des rires d'adultes. Un gars dit au monsieur, "eh bien celui là tu l'as pas raté ! il a du t'énerver beaucoup !" et le monsieur répond "oh mais c'est pas fini, je fais une pause mais après il y aura encore droit !". là je dis stop. et je me retourne comme pour cacher mes cuisses zébrées à la vue des gens. je vois alors des hommes, des femmes, de tous âges, et une femme me dit "vous savez, c'est pas pour rien qu'on l'appelle le père fouettard, beaucoup ici y sont passés" !!! je ne sais plus où me mettre et ça rit autours de moi, et ça se rappelle des souvenirs du père fouettard !!! Une femme, jeune, qui vouvoie le père fouettard lui demande si les fesses sont aussi rouges que les cuisses... j'y crois pas, elle veut voir !!! et tous veulent voir. Pour sur comme dit un gars, il est pas d'ici çui là !!! alors le père fouettard me tire par le bras, et dit aux adultes présents, vous voulez voir, ben venez ! ... il 'entraîne derrière la buvette, près de l'église, et là, s'étant assuré qu'il n'y avait pas d'enfants, il me baisse le short et me déculotte complètement pour exposer mes fesses. j'entends des ohhhh de surprise et une femme dit "le pauvre il a du souffrir"... je me retourne, je suis en larmes, je me sens tellement humilié par ce vieil homme, par ces gens qui me regardent.... et là le vieux me flanque deux claques sur les fesses et il me reculotte lui même; me disant que e pouvais partir. J'ai traversé le village en larmes les fesses et les cuisses brûlantes sous les quolibets des gamins "il a pris la fessée euh il a pris la fessée euh ..."
Je monte dans ma voiture, je rentre chez moi...là il me faut me garer, et revenir à pied jusqu'à l'appartement... je croise un jeune couple et j'entends des rires derrière moi.... je monte l'escalier, et je croise la dame du deuxième étage, elle se retourne, et me lance un " e bien on eu droit à sa fessée aujourd'hui ? c'est pas trop tôt, avec le bruit que vous faites et votre impolitesse il y a longtemps que je rêvais de voir ça"... je suis rentré chez moi, n'osant plus sortir !
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