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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
C'est mon premier article, Soyez indulgent. Et une fois n'est pas coutume l'illustration est tirée d'internet.
J'ai beaucoup lu sur ce site de merveilleux textes où des soumises expriment leur ressenti. Je voudrais en retour leur dévoiler la tempête que déclenche dans ma tête et dans mon cœur, une soumise à mes pieds. Ce n'est pas facile, c'est chaotique. Je ne sais pas si je vais y arriver.
Te voir prosternée à mes pieds, offerte sans restriction uniquement parée de ton collier de servitude et de ta laisse remue mes entrailles, me fait exploser le cœur. Mon cerveau, court circuité est projeté hors du temps, mon cœur pompe mon sang au rythme de ta respiration. La bête de sexe feule son désir cruel au fond de moi cherchant à briser ses barreaux alors qu'un flot de tendresse se déverse en moi. Je suis conscient du don que tu me fais. Plus offerte qu'une épouse, plus érotique qu'une amante. Sans fierté ni pudeur, affamée de sexe et de douleur, à la fois chienne et reine. Tu rayonnes à mes pieds. Par ta séduction tu libère la bête en moi, délibérément. Le feu de ma passion brûle ta peau délicate, y laisse des traces douloureuses. Mes entrailles brûlent d'un feu inextinguible alors que ta souffrance y répond sans retenue. Mon cœur se meurt d'amour alors que la bête veut jouir. C'est toi qui m'a emprisonné.
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À un certain moment de notre histoire, quand j'avais déjà cru la perdre, je l'avais retrouvée là où je m'y attendais le moins. Quelque chose comme un certain bonheur, d'autant plus attachant et profond que le doute me cernait de toutes parts. Cette insaisissable alchimie entre un regard et un sourire, que l'on croirait de prime abord conquérants, mais qui ne tarde pas à vaciller pour finalement s'exténuer dans un aveu trop longtemps retenu. Réveillée de bonne heure par une lumière qui caressa mes paupières avec la douceur d'une mère, je me sentis reposée. Je me penchai à la fenêtre. Devant moi, le jardin était constellé de rosée, de petites perles enfilées sur chaque tige, serties sur chaque feuille, chaque pétale. Au loin ondulait la campagne, aride et luxuriante à la fois; avec ses collines mamelonnées hachurées du vert foncé des cyprès, des pins et des chênes, et ses étendues dorées de champs tachetés par la pâleur céladion des oliviers. Les brumes de la nuit s'étiolaient avec la montée du soleil quand un légèr bruit se fit attendre. Je me penchais davantage: Charlotte sortait de la cuisine, vêtue d'un monokini qui dévoilait ses seins et son nombril de jeune femme. Sur le gazon, elle enchaîna quelques mouvements de gymnastique, et je ne pus m'empêcher d'admirer la cambrure de ses reins et le dessin souple de ses jambes. Le désir monta en moi avec puissance. J'avais envie de sa peau chocolatée, envie de saisir à pleines mains ses seins ronds, ses fesses insolentes qui se trémoussaient. Je souris, ragaillardie par ces retrouvailles aussi soudaines qu'inopinées avec mon désir de la posséder et de la flageller. Mais, très vite, il se passa quelque chose d'étrange. Le corps à moitié nu de Charlotte, encadré par la profusion de fleurs aux couleurs délicates, jaune, bleu pâle, violet, rose thé, me parut soudain plus artistique qu'érotique. Le désir cédait la place à une inspiration d'une autre nature. Comme le peintre choisit les nuances de sa palette, étudie les perspectives, dessine une esquisse au fusain avant d'apposer une à une les touches de couleur, capte la lumière du bout de son pinceau pour la retranscrire sur la toile, je ressentais le besoin d'immortaliser la scène. On ne peut pas en vouloir à ceux que la chance a miraculeusement préservés du supplice auquel tous les autres ont été livrés. Ils ont l'intention de profiter du sursis que la providence leur a donné, et dont ils savent bien qu'ils ne l'on pas mérité mais que, la plus grande injustice régnant dans le monde, ils n'ont aucune raison de se sentir davantage coupables que n'importe lequel de ceux que la foudre, au plus fort d'un orage, a épargnés tandis qu'elle tombait sur la tête des autres. Ils reprennent le calcul de leur existence là où ils l'avaient abandonné, et ils le font avec une énergie qu'ils ne soupçonnaient pas, prenant tout le plasir qu'ils peuvent comme si le pire de l'épreuve les délivrait de tout autre exigence. Les ciels de Provence servaient de paysage à une campagne sauvage. Le relief des nuages dessinait des vallées bleues et les soirs d'été teintaient l'horizon de toutes les couleurs qui manquaient à la plaine couverte de chaumes gris, brûlés par le soleil. Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une fine brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Juliette tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Charlotte demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Charlotte avouait son amour dans la soumission et la douleur. Juliette la croyait. La brume l'aidait alors à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout parait étonnament vrai. Il y avait des reflets brouillés sur le lac. Le plus frappant était l'air de bonheur qui illuminait leur visage. Elles regardaient tout autour d'elles, très loin et intensément, comme si elles eussent douté d'être bien rentrées dans leur terroir. Il n'y avait plus de trace en elles des tumultes que produisent les désirs inassouvis ou les ambitions perdues. On sentait que la plénitude de leurs vie, y compris la chute qu'elles avaient subie, libérait l'instant présent de toute inquiétude et de toute frustration. Les yeux extasiés de Charlotte, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa maîtresse. Juliette avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces.
Ce regard la surprit. Pétrifiée, elle eut besoin de lourds instants pour retrouver sa maîtrise et se ressaisir. La jeune femme se crut sur le point de perdre l'esprit. De voler en autant d'éclats que son amante évoquait pour elle de couleurs. Avec ses yeux mi-clos, elle était la tentation faite femme. Le temps, dans sa vérité, était ce vertige de ciel obscur, semblable à celui auquel on se laisse aller par une nuit d'été, lorsque adolescente, allongée sur l'herbe, à l'écart dans le jardin où se sont effacés les formes habituelles du jour, on attend assez longtemps pour que la conscience de ce qui est en haut et celle de ce qui est en bas se trouvent interverties, avec les yeux écarquillés afin de recevoir des étoiles leur clarté pâle. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Charlotte la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Juliette imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus épais, la déchirait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Charlotte en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elles lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elle la supporte. Les outrages et les châtiments corporels, aussi. Elle les aime tant, que parfois, elle ne se reconnaît plus, elle s'invente pour se rendre semblable à l'autre, mais l'illusion est brève. Charlotte rêvait. Des êtres juvéniles étaient partis et c'étaient des adolescentes qui revenaient. Quelque chose d'apaisé, de doux, d'accompli émanait d'elles. Pendant ces trois semaines, elles purent prendre conscience de cette transformation. Mais lorsque elle s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante.
Des signaux plus légers que des signes à qui sait les percevoir. Rien ne pouvait mieux illustrer une certaine idée de leur liaison: un arrangement devenu un absolu. S'abreuvant à la lumière de son regard passionné, elle la posséda en douceur. Ensemble, elles tutoyèrent les sommets. Lorsque la foudre claqua, toute proche, l'amante s'illumina comme pour lui faire écho. Charlotte ne tarda pas à l'imiter, la bouche scellée à la sienne. Un grand puits tournoyant, sur lequel le regard s'incline et où l'on voudrait presque pouvoir s'abîmer, avalé par le vide, se laissant glisser au sein de cet établissement de clartés qu'on dirait adressé à soi seul par la vigie absurde de plusieurs phares brillants ensemble depuis la distance d'un archipel impensable. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être offensée, elle aurait dû s'accoutumer aux outrages, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au martinet à force d'être flagellée. En même temps, il y avait en elle la passion pour Juliette, sa sauvage origine, la force et la gravité qu'elle mettait. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qu'elle portait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des très jeunes femmes livrées comme elle. S'y ajoutaient bien d'autres griefs liés à ses souvenirs d'enfance. Avec le temps, elle avait fini par la comprendre et lui pardonner. Elle avait été roulée par un destin terrible, comme un nageur dans une vague, et elle avait fait de son mieux pour ne pas couler, accomplir ce à quoi sa nature l'avait préparée, en épargnant ainsi ses proches. Je t'approuve d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Le lac, au loin, était comme un bouclier d'argent sur lequel le soleil couchant plaquait le dessin des nuages et d'aveuglantes flaques de lumières. Elle comprenait mieux qu'en en un tel endroit la joie la plus éclatante pouvait succéder à la mortelle nostalgie que provoquait la tempête.
Elles avaient conscience que, après s'être simplement aimées, elles s'aimaient encore. Une certaine solidarité les maintenait de concert, même si l'adversité des premiers temps s'était dissipée. La conviction de se croire indispensable l'une à l'autre les cimentait plus sûrement que bien des serments. Derrière ses faiblesses perçait un respect un peu naïf et au-delà, une sensibilité extrême qu'elle cherchait à faire partager, sans avoir les moyens pour y parvenir. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Juliette sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. Elle se rappelait que, dans le long calvaire que fut sa vie, elle n'avait jamais exprimé ni plaintes, ni désespoir. Au plus noir des jours, elle cueillait des fleurs pour en faire un bouquet et elle respirait son parfum, les yeux fermés. Il n'y avait plus ni cabales à affronter, ni critiques à redouter. L'écho de ce bonheur passé se répandait bientôt en elle. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Juliette lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba. Charlotte craignit de subir une nouvelle colère. Mais Juliette se détourna, reprit sa marche, les yeux fixés loin devant elle.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Elles avaient au moins ceci en commun. Elles s'aimaient d'autant plus que leurs vies semblaient menacées. Elle arborait toujours le même air traqué et son visage était l'écueil de la beauté ou son affirmation la plus éclatante. Elle était comme une panthère humaine que la panthère animale éclipsait. Et la bête cruelle ne cessait de la déchiqueter et ne se contentait jamais de triomphe. Souple et puissante, elle ne manquait jamais de générosité dans le dressage de sa proie. De coups de fouet rapides comme l'éclair. La jeune femme ne pensait déjà plus à ce que son amante venait de lui vriller dans l'esprit, à son insu. Il est vrai que cette dernière avait parfois des pratiques de prestidigatrice, de voleuse d'attention. Mais de son chapeau, elle ne faisait surgir le plus souvent qu'un avenir souillé de souffrances furieuses. Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique.
Les hommes qui lui faisaient l'amour admiraient son endurance et sa résilience, qualités qu'ils prétendaient rares chez une jeune femme. Pour s'imposer, il lui fallut tout accepter. Aimer, c'est comme avoir la foi, on fait les gestes de la prière et on s'agenouille. L'amour ? ce serait pour plus tard, pensait-elle. Le secret de l'éclat de son visage était le masque de beauté que les hommes lui prodiguaient quotidiennement de leur semence. De fait, elle eut l'envie, qu'elle crut naturelle, d'apaiser elle-même ses désirs toujours vivaces. Elle résolut alors d'avoir raison de son incomplétude. Elle était prise. Le visage dégoulinant de sperme, elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Charlotte se sentit fondre et son ventre se liquéfia. Elle est folle, pensait-t-elle tandis qu'elle la prenait.
Sa solitude était totale. Par sa pâleur extrême, le tremblement fébrile de son corps, elle luttait contre un sanglot qu'elle avait du mal à refouler. Sous son masque de l'altruisme et de l'abnégation, elle ne savait plus où étaient sa bouche, ses reins, ni ses mains. Elle avait les lèvres brûlantes et la bouche sèche et une afliction de crainte et de désir lui serrait la gorge. Brusquement, la jeune femme saisit toute la réalité de son naturel désespéré, ce vieux fonds qu'elle s'était toujours ingénié à combattre, et les effets calamiteux de ce mensonge entretenu sur ceux qu'elle aimait. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. Elle était la plus heureuse des femmes. Son sourire de bonheur envahissait son visage. C'était bon de retrouver l'usage de son corps, indolore mais peu reluisant.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bastien et Maria s’étaient endormis dans le bain. Rêveurs tous les deux, les heures avaient défilé et après un réveil dans une eau désormais sans mousse et de froide température, ils s’affairaient à ranger le désordre causé par leurs fantasmes lubriques. Le confort de vêtements amples avaient remplacé les contraintes et autres vêtements collants et luisants.
Les efforts du «réveil matinal» avait aiguisé leur faim. Bastien proposa de préparer un bon repas chaud que les deux ingurgitèrent sans retenue. Le temps de digestion se déroula sur le canapé sous un plaid chaud où les partenaires se blottissaient l’un contre l’autre. Devant la pauvreté des programmes sur les plateformes, ils s’endormirent paisiblement.
Vers 17h Bastien émergea péniblement. Il réalisa qu’il était seul sur le canapé. Maria apparut. «Ah tu es tu enfin réveillé j’ai cru que tu allais faire ta nuit sous le plaid» dit elle en rigolant. «nous sommes attendus vers 18h30 chez mes amis, ce qui te laisse le temps de te préparer». Maria était déjà habillée. Ce n’était pas un repas formel mais juste un moment de partages avec des amis de longue date à qui elle tenait. Elle avait revêtu son jogging noir et portait un col roulé de même couleur. Ses sneakers blanches flamboyaient parmi sa tenue sombre. «tu peux prendre la salle de bain, je vais continuer à me préparer dans le salon. Je dois juste me maquiller et je serai prête».
Bastien sauta l’étape de la douche après le bain qu’il avait pris quelques heures auparavant, chercha la tenue la plus cool et la plus confortable mais aussi chaude car le temps était maussade et les températures peu élevées. Vers 18h le binôme était prêt et se mit en route.
Après un cheminement en transports en commun, ils arrivent à destination et la joie de retrouver les amis augurait une bonne soirée à passer. Les femmes se firent des compliments sur leurs apparats et les hommes se mirent à jour sur les faits récents.
Après un apéro où les rires se multipliaient, ils furent convier de se mettre à table pour un repas copieux préparé, selon les dires, durant toute l’après midi. Tous les sujets furent partagés dans un festin pantagruélique.
Alors qu’il prenait fin et que les hommes proposèrent de fumer une cigarette en terrasse couverte, la maîtresse de maison proposa de débarrasser la table. Maria aida donc son amie pour partir dans des conversations dont seules les femmes avaient le secret. Alors que l’hôte de maison démarrait sa deuxième tige en contemplant l’horizon qui se découvrait, Bastien sentit qu’il venait de recevoir un sms. Sortant, son portable, il vit que c’était Maria qui en était l’auteur. Il jeta rapidement un coup d’œil à l’intérieur voyant qu’elle n’était plus dans la cuisine. Lorsqu’il ouvrit le sms, plusieurs photos s’affichèrent. La première montrait Maria aux toilettes en train de descendre son jogging révélant une culotte en latex noir très luisante.
Les sens de Bastien s’affolaient. Et son hôte reprenait la conversation. «un problème Bastien ?». Bastien rougissait et sentait son sexe se réveiller. «non non» dit il. «Des potes qui m’envoient encore de nouvelles sorties bd». La deuxième photo s’ouvrit et cette fois ci Maria, le jogging à ses genoux tirait sur l’entrejambe de sa culotte révélant un petit plug diamanté au creux de son cul.
La salive descendait dans la gorge de Bastien qui n’arrêtait pas de déglutir. Un message disait en dessous des deux photos : que comptes tu faire maintenant ? avec un smiley moqueur. Les yeux de Bastien s’écarquillaient au même rythme que montaient ses envies.
Alors que son hôte l’invitait à rentrer pour prendre le dessert, Bastien ferma rapidement son portable de peur que l’on aperçoive la moindre photo. Une fois rentré Maria était assise face à son amie qui avait servi le gâteau agrémenté de quelques cafés. Bastien fixa Maria qui souriait de manière coquine. Bastien s’assit à côté d’elle faisant face à l’autre couple.
Les discussions reprirent et Bastien fit un effort gargantuesque pour resté concentré sur les sujets évoqués. Son esprit n’était plus qu’un vague souvenir dans ce corps qui se tenait assis à table. Lorsque le dessert fut bouclé, le couple d’hôtes partit dans la cuisine pour à nouveau débarrasser. Moment opportun où Bastien en profita toujours assis, pour passer une main dans le dos de Maria. Main qu’il fit descendre jusqu’au creux de ses fesses tâtant l’objet dur inséré. Maria se pencha vers lui pour l’embrasser dans le cou ce qui lui donna des frissons en plus de toutes les sensations qui ressentait désormais. L’hôte revint et demanda si Bastien et Maria n’avaient pas froid car lui oui. Maria répondit que non en le suivant du regard. Alors qu’il remontait son thermostat en tournant le dos aux invités Maria descendit discrètement son col roulé révélant un petit collier de cuir de soumise aux yeux de son partenaire.
Bastien n’en pouvait plus. Il n’avait qu’une envie qui était de quitter la soirée pour profiter de sa partenaire tentatrice dans tous ses états et joueuse invétérée. Coïncidence étrange puisqu’au moment de ces pensées, les amis proposèrent de faire un jeu. La femme cria «oui un twister !». Maria regarda inquiet Bastien et répondit automatiquement «un jeu plus calme non ? Suis un peu mal fichue aujourd’hui si vous voyez ce que je veux dire». Maria avait évidemment peur qu’en se contorsionnant dans la partie le moindre accessoire puisse se révéler aux yeux de ses amis. Bastien était hilare. Si Maria contrôlait les règles de son jeu elle n’en maîtrisait point toutes les contraintes. Bastien s’écria que pendant qu’ils choisissaient le jeu en conséquence une envie pressante se faisait.
Bastien entra, transpirant dans les petits toilettes de l’appartement et en enlevant son jean, révéla sa queue toute dure et toute rouge qui ne demandait qu’à sortir après les photos de Maria qu’il regarda à nouveau. Le portable dans la main, il prit son sexe en photo qu’il envoya à Maria en indiquant qu’elle ne perdait rien pour attendre et que ses bijoux de famille en remplaceraient un autre aisément.
Bastien fit défiler quelques photos de film et autre sujets légers pour faire redescendre la pression qui occupait son entrejambe.
Lorsqu’il rejoint les convives Maria le regardait le sourire aux lèvres et le portable à la main. Elle attrapa Bastien par le bras pour l’embrasser sur la joue et lui glisser à l’oreille «je n’attends que çà mon maître».
Bastien aimait jouer sur les mots et conseilla de haute voix à Maria de s’asseoir confortablement suite à ses réflexions. Ce que le couple qui invitait prit pour de sages recommandations mais qui fit sourire Maria. Les jeux commencèrent et les fous rires furent nombreux à nouveau surtout lorsqu’il abordèrent un action-vérité. Les heures passant, Bastien et Maria forts de leurs envies souhaitaient désormais quitter les lieux mais à leur grande surprise l’heure tardive ne leurs permettaient désormais plus de pouvoirs utiliser les transports en commun.
Les convives leur proposèrent alors de dormir à l’appartement dans leur chambre d’amis. Bastien était fort désappointé lui qui souhaitait
rentrer pour laisser aller ses envies qu’il avait du retenir le long de la journée. Sans aucun autre choix possible il fut contraint de rester.
Une fois qu’ils furent installés sur le lit gentiment prêté et la porte fermée. Maria ouvrit son sac cabas pour en sortir tonnes d’accessoires. Bastien était totalement surpris : «mais comment tu as su que…». «Shhhhh…» répondit Maria en posant son doigt sur les lèvres de Bastien. «une bonne esclave ne part jamais sans ses essentiels». Bastien retrouvait le sourire et savait que la nuit ne faisait que commencer…
Alors que le silence dans les pièces voisines s’installait et que la dernière lumière en bas de porte disparu, Bastien pris Maria de dos au creux de ses bras, la serrant fort et la couvrant de baisers hardants dessinant le corps de sa partenaire des lèvres. Ses mains descendirent jusqu’au creux de ses cuisses où il sentit la culotte de latex chaude des émotions de Maria.
Maria tourna la tête pour dire au creux de l’oreille de Bastien à voix basse : enfile moi mon masque de salope, j’ai été très vilaine en jouant avec tes désirs que je sens sur mon cul. Bastien lui tira la tignasse en arrière pour lécher son cou et pressa le sexe de Maria de son autre main. «ohhhhh» fit Maria.
Bastien dans le même volume pour ne pas éveiller leurs hôtes de voisin lui répondit : «oui tu m’as fait souffrir sale traînée mais je te rappelle que tu es à moi et que je décide ce que je veux te faire quand le je veux».
Maria qui se contorsionnait sous les différentes caresses et autres pincements était en attente de sa cagoule. Elle vouait une véritable passion pour cet accessoire qui, une fois revêtu la transformait en une autre personne : l’esclave des désirs de son maître. Forcément, face à cette dévotion elle avait accumulé une collection impressionnante de cet objet.
Bastien tout en la gardant près de son torse se pencha sur le sac de Maria ouvert pour l’occasion et révélant différents modèles dont sa belle s’était pourvu. Il en tira un en caoutchouc pourvu d’une ouverture sur le bas du visage. Remontant de ses mains sur le corps de sa partenaire, il enleva le collier délicatement. «que fais tu» dit elle. «tais toi et ne fais pas de bruit». Il lui enfila le masque doucement pour ne réveiller aucun soupçon dans la chambre avoisinante. La bouche de Maria seule partie visible de son visage laissa sortir un «mmmmmmmmmmmmm» tout en se léchant les lèvres. Bastien tendit ses doigts qu’il posa sur la bouche de Maria et qui les suça langoureusement. Après avoir sucer les doigts si précieux de son maître,Bastien lui remit son collier qu’il serra assez fort pour qu’elle sache qu’il la maîtrisait mais prudemment pour qu’elle ne subisse aucune gène à respirer. Puis il replongea ses doigts dans la bouche chaude et moite de celle qui était devenu son jouet. Lorsqu’il les retira à nouveau, bien humides, il les descendit dans son bas ventre avant de s’infiltrer sous la culotte zippée pour lui octroyer un doux et ferme massage du sexe. Maria par réflexe écarta ses jambes et sentit son plaisir se décupler. «mowwwww» fit elle incapable de rester silencieuse. Bastien lui tourna la tête et l’embrassa fougueusement dans un silence entrecoupé de murmures de leur corps victime de leurs désirs. Il enleva sa main de la culotte et descendit tout doucement la fermeture éclair faisant des craquements des crans de la fermeture le seul bruit dans cette nuit illuminant la chambre. Ne laissant sortir que le clitoris et le haut des lèvres du sexe de Maria. Il allongea son esclave et fit de même sur elle posant son membre sur sa bouche. Il sentait le souffle chaud de Maria sur son sexe raide à travers son boxer. Il se pencha sur l’entrejambe de sa victime et commença à alterner entre léchages du clito et aspiration de ses lèvres dont l’odeur se mélangeait désormais au textile plastique. Dans une furie, Maria déchira le boxer de Bastien pour accueillir son chibre dans la bouche qu’elle dégusta comme la baiseuse affamée qu’elle était. «mmmmm» fit Bastien tout en opérant des va et vient dans ce trou serrant que Maria lui offrait. Au plus profond de la gorge de sa partenaire Bastien se retint de la retirer et doigta le sexe de sa belle désormais complètement à découvert. Il sentait Maria osciller de la tête à la recherche d’un peu d’air pour exprimer son plaisir. La doigtant plus vigoureusement il assistait aux mouvements du plug anal sortant et rentrant selon les respirations de sa victime.
Lorsque les murmures jusque là devinrent des cris étouffés, Bastien arrêta net sa stimulation infernale en se relevant et laissant Maria exprimer un grand «ahhhhhhhhhhh» lors de sa reprise de respiration qui intervint en même temps que l’explosion de ses sécrétions. Il se remit derrière elle la serrant à nouveau. Elle murmura «ahhhhhh c’est bonnnnnnn». Il lui frictionna les bras pour atteindre ses poignets auxquels il attacha 2 bracelets de cuir sanglé. Les sangles furent attachés au collier de Maria la laissant les bras pliés au niveau de sa poitrine et joints à son cou.
«tu fais trop de bruits» lui fit il. Et il lui passa un bâillon boule de taille conséquente qui laissa Maria incapable de sortir le moindre souffle. «mmmmffffff» fit elle. Il remonta la fermeture éclair au maximum jusqu’aux reins de Maria et lui enleva délicatement son plug anal qui dans sa circonférence la plus large fit sursauter la partenaire cagoulée. Crachant dans un bruit sourd dans la main qui ne la serrait pas, il badigeonna son sexe raide qu’il fourra dans le trou du cul de sa partenaire mordant sa boule buccale. Une fois que son gland fut inséré, il fit descendre le bassin de Maria calmement mais lourdement. Maria avait de grandes respirations nasales qui faisait parfois gonfler son masque. Un grognement rauque sortit lorsque Bastien eu l’entièreté de son sexe rentré dans le rectum de Maria. Et dans une cadence lente mais assurée afin de minimiser les craquements du lit significatifs, Bastien percuta sa soumise tout en la doigtant à nouveau.
La douleur du départ laissa la place à l’excitation la plus extrême pour Maria aveuglée, perdue dans ses délices de plaisir. Bastien lui ne souffrait pas de la faible mesure de ses gestes pour repousser l’aboutissement de son effervescence sexuelle du à son sexe serré et stimulé. Lors d’un dernier claquement de fesses sur le bas ventre de Bastien la décharge électrique arriva, libérant son sperme entre les fesses de Maria qui suffoqua de plaisir aussi bien en réponse à sa chatte stimulée qu’à son cul dévasté. Bastien fit tous les efforts possibles pour contenir son cri de jouissance en serrant les dents retenant Maria de ses doigts crispés.
Avant de se retirer il détacha les poignets de sa belle qui automatiquement empoigna les jambes de son partenaire sur lequel elle était assise. Puis il détacha le baillon la laissant respirer et émettre un «ahhhhhhh « de soulagement. La prenant par le bassin Bastien remontra Maria de son sexe qui sorti naturellement face à l’épuisement de ses batteries. Maria se décala de son partenaire en lui murmurant «çà aussi c’était très bon. Avec ce genre de punition je n’ai pas fini d’être vilaine». Bastien plein de passion l’embrassa à nouveau en la remerciant d’être encore celle qu’elle était. Après lui avoir enlevé son collier, il attrapa le masque pour en faire de même. «Laisse le moi» le retint Maria. Je ne supporterai pas la luminosité de la nuit et je préfère encore continuer à rêver de ce qui vient de sa passer.»
Bastien ne s’en offusqua pas. «où est mon plug stp ?» lui dit elle. Bastien surpris attrapa le bijoux intime pour le réinsérer. «Non pas celui ci, maintenant que tu es passé, il va flotter». Bastien en conclut qu’un autre devait être présent dans son sac. Il en tira un autre en caoutchouc noir de grande taille par rapport au bijou proposé. Surpris il lui dit «tu en es sure ?». «Vite je commence à attraper froid» lui répondit elle en commençant à avoir la chair de poule. Par plusieurs à-coups il fit pénétrer l’objet dans le derrière de Maria encore humide de son sperme. «mmmmmm ouiiiii voilà» fit elle. A tâtons elle retrouva son jogging qu’elle ré-enfila pour se coucher sur le côté.
Bastien se pencha en lui disant «tu me dois un boxer ma chérie». Ce à quoi elle répondit «mmmoui on va t’en trouver un spécial dans une matière plus adéquate pour aller avec nos jouets…» puis s’endormit d’un coup.
Bastien rabattit la couette sur eux et se colla à elle tel un bulot sur un rocher. Maria ronflait déjà et il ne tarda pas à en faire de même après cette nuit qui sera de courte durée.
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Avant propos : Ce texte reprend le récit de ma Merveille Infinie d'Amour intitulé "Une semaine presque ordinaire - épisode 9" . Mais cette fois-ci narré non pas par elle, mais par moi son Maitre.
En voici la première partie. La seconde suivra très bientôt.
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Elle était là. Debout. Dos à la porte. Dans cet abandon volontaire que j’aime tant observer. Le silence qui emplissait notre salon amplifiait sa vulnérabilité et sa beauté. Je pouvais presque sentir ses pensées s’agiter, s’enfiévrer. Je sais désormais comment elle fonctionne. Je connais ses silences, ses hésitations, ses bouffées de désir et d’inquiétude qui jaillissent dans le vide que je crée parfois pour elle pour l’emmener plus loin, l’élever. Dans ces moments-là, elle n’est déjà plus tout à fait elle-même… elle se transcende … elle se jette dans l’inconnu … elle devient mienne, dans l’esprit, dans le corps, dans le souffle. Elle se sait être en confiance et elle devient alors ma parfaite complétude.
Elle l’ignore encore, mais je suis là. Derrière elle. Je l’observe. Depuis un moment. Elle est juste magnifique. Splendide. Troublante. A la fois forte et fragile. Ses frissons me parviennent. Elle est déjà perdue entre son désir d’en savoir plus, ses craintes et ses désirs. En ces instants, impatiente et curieuse, elle laisse son esprit vagabonder. L’excitation la plonge dans ses souvenirs. Je le lis dans le léger mouvement de ses hanches pleines et de son cul rebondi… dans sa respiration que je devine plus lourde et qui soulève sa lourde poitrine ...
J’ai su réveiller et développer en elle son coté lubrique et indécent. Elle l’assume désormais. Elle aime se comporter avec moi comme la petite salope qu’elle a toujours été mais n’osait s’avouer être. Elle aime aussi faire sa brat pour mieux faire surgir en moi le Loup primal, le mâle Alpha qui alors la domine et l’utilise à sa guise, juste pour son plaisir. Elle aime devenir cet objet sexuel, cette proie soumise aux perversités de son Loup. Elle y trouve un partie de son épanouissement.
Mais plus encore elle a su trouver et prendre toute sa place. Plus que ma soumise, elle est ma Sublime. Une Princesse Putain, une PP, comme elle aime à le dire. Elle est bien plus que ma soumise, elle est la femme que j’aime. A la fois Déesse vénérée et soumise utilisée ; Femme aimée et femelle offerte ; Chérie adorée et chienne dévouée. Elle est mon Tout. Sans elle je ne suis rien. Je ne suis son Maitre que parce qu’elle daigne être ma soumise.
Aujourd’hui encore elle m’a prouvé son amour profond, sa pleine dévotion, sa totale soumission. Pas seulement en se promenant en ville avec moi le poignet en laisse, fière d’être attachée ainsi à son Homme, son Maitre. Pas seulement en assumant avec fierté son statut de soumise découvert par la vendeuse du grand magasin. Mais plus encore en s’agenouillant devant moi. A mes pieds. En public. Dans ce restaurant étoilé où nous fêtions le 9e mois de notre vie commune. Un infini sentiment d’honneur et de fierté m’avait alors parcouru des pieds à la tête. Allant jusqu’à humidifier mon regard rempli d’amour en la voyant à mes pieds, tête posée sur ma cuisse.
Perdu dans mes pensées d’amour profond et d’admiration pour elle, je la regarde encore. Elle a choisi une tenue parfaite dans le grand magasin où je l’ai laissée cet après-midi. Et elle s’est préparée de manière exquise pour notre soirée. Elle a un goût sûr. A la fois élégant et délicatement indécent et suggestif. Cette longue robe noire aux fines bretelles en chaines dorées mettant son dos à nu jusqu’à la chute de ses reins et délicieusement ouverte sur les côtés lui va à ravir. Ses escarpins à talon doré au-dessus en résille noir enlaçant sa cheville ajoute une autre touche d’élégance et cambre plus encore sa silhouette, laissant à deviner ses fesses amples et rondes. Son chignon haut dégage son cou où je vois qu’elle a choisi de porter le premier collier que je lui avais offert, alors qu’elle n’était pas encore ma soumise : un collier ras du cou en or d’où pend au centre un anneau torsadé. Un cadeau message qu’elle avait alors immédiatement compris.
Je m’approche en silence. Elle ne bouge pas. Elle n’entend rien, portant les bouches-oreilles que je lui avais ordonné de mettre. Elle ne me voit pas, portant le bandeau de soie noire que je lui ai donné. Ses bras le long du corps, elle est là. Offerte. Immobile. Dans l’attente.
Lorsque je passe ma main le long de son dos, je la sens frissonner. Je lui retire un des bouchons d’oreille et me penche contre son oreille et lui susurre d’une voix chaude :
« Je t’observais depuis un moment … et tu étais loin dans tes pensées ma Mia … tu es déjà excitée et tu me raconteras plus tard ce qui te captivait. Tu es magnifique : tout ce que tu as choisi est superbe et te va à ravir ; une tenue parfaite pour te magnifier un peu plus. Nous allons commencer bientôt. Je vais te remettre le bouchon. Et je l’enlèverais une fois que Vivaldi viendra rompre le silence. Tu seras alors ma chose et tu obéiras, tu me rendras fier et honoré de te posséder. Et n’oublie pas ton safeword. Et surtout que je t’aime infiniment »
A ces mots, je la sens frissonner de plus bel. Je la saisis par le cou et l’attire contre moi, renversant sa tête. Tout en serrant son cou je l’embrasse langoureusement. Amoureusement. D’un amour absolu, possessif, exigeant et animal, mais aussi respectueux, protecteur, symbiotique et sacré. Je replace le bouchon d’oreille déposant un dernier baiser sur ses lèvres et je la laisse là. Je la vois se remettre en position. Ecartant légèrement ses jambes comme je le lui avais ordonné. Dos droit. Bras le long du corps. Tête baissée. Elle est superbe. Elle ignore sans doute combien je l’admire à cet instant : sublime dans son appartenance et sa confiance en moi, en Nous.
J’entends la sonnette de notre demeure carillonner et je me dirige vers l’entrée. J’ouvre la porte. Ils sont parfaitement à l’heure. Mes amis et complices Alban et Ousmane.
« Bienvenu chers amis » leurs dis-je en les saluant. « Merci d’être venus ».
« Merci infiniment à vous pour cet honneur, cher MJM » me lança Alban tout en me prenant dans ses bras.
« Oui, nous sommes heureux d’avoir été conviés à ce moment précieux » prolongea Ousmane.
Je les avais choisis pour cet instant unique. Pas au hasard.
Je connaissais Alban depuis fort longtemps. C’était un homme d’une cinquantaine d’années à la présence rayonnante et écrasante. Il émanait de lui une domination naturelle, ciselée comme un gant de cuir. Homme d’une grande classe, il avait ce calme glacial des hommes de pouvoir : il ne prenait jamais… il réclamait … et le monde s’ouvrait. Tout en lui respirait la maîtrise millimétrée : le pas mesuré, le regard toujours un demi-ton en retrait, les gestes précis. Il traiterait Mia comme un objet rare : avec une froideur élégante, mais une fermeté sans appel. Et je savais, par expérience, qu’il pouvait se transformer aussi en un Loup primal froid et bestial, oubliant toutes les convenances qui le caractérisaient au quotidien.
J’avais rencontré Ousmane plus récemment il y a quelques années dans une des soirées entre personnes averties que je fréquentais. Bien plus jeune – il devait avoir une petite trentaine d’années – c’était une jeune Maître noir aux muscles taillés comme une sculpture vivante. Plus jeune, plus chaud, plus direct. Il avait ce feu dans les hanches, ce magnétisme brut, une virilité que Mia ne verrait pas… mais qu’elle ressentirait dès le premier contact. Son sexe, lourd, épais, long, impressionnant même pour moi qui connaissais l’effet qu’il provoquait chez les femmes, serait pour elle un choc. Non visuel, non anticipé. Mais instinctif, viscéral. Une domination par la chair, par l’ancrage, par la densité.
S’ils étaient différents et donc complémentaires, ils étaient unis par quelque chose d’essentiel : le respect. Ils savaient que Mia n’était pas un jouet de circonstance, mais une femme offerte par amour. Une soumise forgée, sculptée, guidée par moi. Ils savaient que ce qu’ils allaient faire n’était pas de l’ordre du simple plaisir, mais du rituel, de l’éducation, de la louange par l’usage.
Elle, les yeux bandés, ne saurait pas (pas ce soir en tous cas) qui l’aurait prise, qui l’aurait fait trembler, qui l’aurait fait pleurer de jouissance. Mais elle porterait sur sa peau, dans son sexe, dans sa bouche, sur son corps et dans son âme la mémoire exacte de leurs contrastes. Et moi, j’allais bientôt la regarder vivre ce don. Guidée et tenue entre l’élégance de l’expérience et la force sauvage d’un Maître jeune et bien pourvu. Le tout sous ma direction, ma protection, mon ancrage et mon amour.
Je les fais entrer dans le salon.
Alban me prend le poignet, le regard vissé sur Mia.
« Elle ne vous entend pas cher Alban. Elle a des bouchons d’oreille » lui dis-je, pour lui permettre d’exprimer ce que ses yeux me disent déjà.
« Oh mon Dieu. Elle est superbe, MJM » me souffla Alban. « Quelle élégance dans sa position ! »
« On comprend mieux pourquoi vous vous faites si rare à nos soirées depuis plus d’un an » renchérit Ousmane dans un sourire.
« Merci Messieurs » répondis-je dans un sourire affirmé, fier de voir la convoitise et le désir dans leurs yeux. « Elle est effectivement splendide à tous points de vue ».
« Je vous sers un verre ? » continuais-je. « Un petit Dalmore de 35 ans d’âge, cher Alban ? »
« Avec plaisir. Vous savez définitivement bien recevoir, cher MJM » me répondit-il tout en gardant les yeux fixés sur la croupe de ma soumise.
« La même chose » dit Ousmane.
« Installez-vous dans le canapé chers amis. J’arrive avec vos whisky ».
Ils prennent place dans le canapé. Ils ne quittent pas Mia des yeux. Pour mon plus grand plaisir. Ma plus grande fierté.
Je leurs apporte leurs verres. Sans glace comme il se doit pour déguster ce divin nectar.
« Elle est encore plus excitante vue de ce côté » me lâche Alban en portant le verre à ses lèvres, tout en continuant à quasiment dénuder Mia de son regard empli de convoitise.
Je souris. « Mettez-vous à l’aise chers amis. Vous êtes ici chez vous » en leurs tendant leurs verres. « Nous allons bientôt commencer. Je vous ferai signe en temps voulu ».
Sur ce, je me dirige vers l’ampli B&O du salon et y place mon smartphone. Les Quatre Saisons de Vivaldi emplissent la pièce. Et je me dirige vers Mia, toujours parfaitement immobile devant la table basse de notre salon. Elle est définitivement magnétique dans cette position d’attente. Je sens mon sexe commencer à gonfler. L’odeur enivrante de « Dévotion » , son parfum, caresse mes narines. Je me déplace elle, juste devant la table basse et je caresse sa joue. Je la vois frémir. Et je lui retire ses bouchons d’oreille. Elle reste silencieuse, mais je vois sa bouche s’ouvrir. Et un léger soupir s’en échapper.
Je pose ma main sur son épaule et y applique une légère pression. Instinctivement elle se met à genoux, relevant légèrement sa robe pour pouvoir aisément se mettre en position Nadu. Par ce geste elle dévoile subrepticement le bijou absolument superbe qui orne sa cuisse : trois chaines dorées enserrent sa cuisse, reliées et fermées par une tête de loup … C’était donc cela le cadeau qu’elle voulait me faire … Sublime soumise … Ma petite louve adorée … Enchainée volontaire à son Loup … Dieu que je l’aime … Dieu que je suis fière d’elle ..
Je presse de nouveau son épaule et elle comprend : elle place ses mains dans son dos, lève la tête et ouvre largement sa bouche. Offrant son cou. Bombant sa poitrine. Je vois que son corps tremble doucement. Sans doute intimidée par l’instant. Je lui caresse la joue pour la rassurer. Je me déplace et m’accroupis derrière elle. Je dépose un baiser sur son épaule. Elle tremble de plus bel ; laissant échapper un gémissement. Je sens ma queue se raidir de plus en plus dans mon pantalon de lin. Je sors de la poche de ma veste en lin un bâillon O-Ring et le place sur elle. Je la sens se contracter. Faisant des efforts pour accueillir au mieux le bâillon qui ouvre sa bouche de façon indécente.
Alban et Ousmane ne perdent pas une miette de ce spectacle. Les yeux rivés sur Mia, ils caressent leur queue déjà gonflée qu’ils ont sortie de leur pantalon.
Je me relève et viens me placer devant ma soumise. Dans un geste volontairement bruyant pour qu’elle puisse anticiper l’instant, j’ouvre la boucle de ma ceinture. Je tire lentement ma ceinture et la fait glisser sur ses cuisses ouvertes. Je la vois tressaillir. Mais elle reste en position. Parfaite. Offerte. La salive monte déjà dans sa bouche.
Je défais le bouton de mon pantalon, tire la fermeture éclair et laisse tomber mon pantalon à mes chevilles. Dévoilant mon sexe déjà raide d’excitation.
Les notes divines de Vivaldi emplissent doucement la pièce, enveloppant l’instant d’une intensité quasi solennelle. Mia, à genoux, semble en absorber chaque vibration, chaque note, comme si la musique parlait à son corps. Je ressens l’émotion circuler en elle. Ce frémissement infime qui parcourt sa peau. Cette tension délicieuse entre l’appréhension et l’abandon.
Je saisis son chignon et guide sa bouche béante vers mon chibre turgescent. Sa bouche s’offre, avide et tendre, accueillant ma présence avec une dévotion silencieuse. Je pénètre ce sanctuaire qu’elle me réserve avec une autorité fluide et assurée. Elle m’engloutit avec un mélange de docilité et de passion, ses lèvres formant un écrin vivant autour de moi. Mon mouvement est d’abord lent et mesuré. Elle salive abondamment. Sa bouche est chaude. Je sens sa langue tourner sur ma queue.
Après quelques instants, plus besoin de la guider … elle vient d’elle-même insérer ma queue de sa bouche béante. Elle s’empale littéralement sur elle. L’amenant de plus en plus profondément en elle. Sa gorge s’ouvre à moi. Et je m’y glisse. Progressivement. Comme on entre dans une cathédrale faite de chair et d’extase.
Elle a un art confondant de la gorge profonde… Ma queue grossit encore … Des filets de salive coulent de sa bouche …
Avant de perdre pied et de lâcher les rênes de la bête qui monte en moi, je tourne la tête vers Alban et Ousmane et leur fait signe que le moment est venu. Ils s’approchent. Lentement. Solennellement. Conscients de la charge émotionnelle du moment, de cet instant sacré. Ils se placent à genoux de part et d’autre d’elle. D’un signe de la tête je confirme mon autorisation. Et ils commencent à la caresser.
Au contact de ces mains sur son corps, Mia se fige. Elle a un léger mouvement de recul et laisse échapper ma queue de son fourreau buccal. Elle a compris. Le moment est venu. Ce soir elle est offerte. Je l’ai préparée à cet instant. Lentement. Patiemment. Nous en avons parlé. Nous en avons rêvé. Nous avons écrit cette scène ensemble. Ce soir, je lui offre l’accomplissement d’un abandon ultime : être honorée par d’autres, sous mon regard, sous mon autorité, sous mon amour.
C’est une étape importante. Pour elle. Pour Nous. Un palier supplémentaire dans son abandon et dans la découverte de son moi.
Je regarde Alban et Ousmane. Respectueux, ils ont déjà retirés leurs mains. Le temps est suspendu. Je laisse le temps nécessaire à ma Merveille Infinie d’Amour d’utiliser son safe word. De décider elle-même si elle souhaite poursuivre ou arrêter là.
Mia reprend ma queue en bouche et l’enfonce en elle jusqu’à la garde. Signe sublime de son acceptation de poursuivre cet instant. Je grogne de plaisir.
Je la tiens par la nuque. Fermement. Ses mains restent derrière son dos. Elle ne bouge pas. Comme rivée à ma queue. Je sens sa gorge s’adapter dans de gros efforts pour me garder en elle sans suffoquer. Je sens le souffle de sa respiration s’échappant de son nez, un souffle chaud et humide qui caresse les poils de mon pubis. Les mains d’Alban et d’Ousmane ont reprise l’exploration de son corps. Caressant ses seins au travers de sa robe. Courant sur son dos. Palpant ses fesses rebondies.
Elle est magnifique dans son offrande. Elle s’offre. Entière. Abandonnée. Elle devient le prolongement de mon désir, une offrande vivante. Malgré sa vulnérabilité, elle rayonne d’un feu profond. Sa confiance me bouleverse.
Je la besogne de plus en plus fort. Lui permettant de reprendre sa respiration, avant d’enfoncer de nouveau mon chibre dans sa bouche dégoulinante de salive chaude. Je lui défonce la bouche et la gorge. Prenant possession de ce qui est mien. Je rugis comme un Loup en rut, encouragé par ses propres gémissements et sa respiration saccadée.
Après une dernière gorge profonde délicieuse, je me retire. Je la vois chercher ma queue comme une femelle aveugle en manque. Bougeant sa tête en avant de gauche à droite, en espérant la saisir pour l’engloutir de nouveau en elle. Elle est si belle lorsqu’elle a perdu toute pudeur ainsi. Lorsque seul son désir guide son être.
Je m’agenouille devant elle. J’écarte sa robe et dévoile ses cuisses. Je reste quelques instants stupéfaits par la beauté et l’élégance du bijou lupin qui orne sa cuisse. Je glisse ma main vers sa chatte. Elle est trempée. Ouverte. « Quelle bonne chienne elle fait ! Quelle putain magnifique ! » me dis-je en moi. Heureux de constater qu’elle profite pleinement de l’instant comme en témoigne son puits d’amour dégoulinant … mais aussi les gémissements qui sortent de sa bouche alors qu’Alban et Ousmane continuent de la caresser …
Je glisse deux doigts en elle. Je la pénètre avec une facilité déconcertante tant elle est ouverte. Comme un crochet je referme mes doigts contre sa paroi et la tire vers moi. Fermement. Dans un geste sans équivoque de pleine propriété. Sa tête part en arrière dans un râle rauque. Un râle de chienne soumise. Un cri d’appartenance. Un son de reconnaissance et d’acceptation de propriété envers son Maitre. Je sens sa cyprine recouvrir de plus bel ma main. Elle coule de manière indécente. Toute proche de l’explosion. Je sens qu’un sourire primal barre mon visage.
« Elle est prête à être votre objet Messieurs ! » m’exclamais-je en regardant Alban et Ousmane. « Cet ustensile lubrique m’appartient et vous l’honorerez comme il se doit. Vous avez 30 minutes » continuais-je, sachant que c’était à peu près le temps qu’il restait avant la fin des 4 saisons de Vivaldi.
« Quant à toi Mia, relève-toi. Je vais t’aider à enlever ta robe ». A ces mots je la prends par la main et l’aide à se relever. Alban et Ousmane se relèvent de même, abandonnant pour quelques instants le corps de ma soumise.
Mia se tient devant moi. Superbe. Je fais glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules. La robe s’effondre dans un mouvement fluide à ses pieds. Dévoilant toute sa nudité. Elle a choisi de ne rien porter. Ses seins sont gonflés. Ses tétons pointent avec arrogance. Témoignages s’il en fallait d’autres de son état d’excitation. Je remets bien en place son bâillon O-Ring. Sa salive coule encore le long de son cou … pour s’insinuer comme un delta de fleuve sur sa poitrine … Son souffle est court … Elle est sublime d’indécence … Je dépose un doux baiser sur ses lèvres gonflées, recouverte d’un reste de gloss brillant qui les rend presque impudiques en cet instant … Elle essaie de me rendre ce baiser, mais ne le peut à cause du bâillon O-ring. Alors elle sort sa langue et me l’offre dans un abandon plein d’amour et de reconnaissance … Dieu qu’elle est merveilleuse …
Alban lui prend la main. Aveuglée par le bandeau de soie qui recouvre encore ses yeux, il la guide avec bienveillance vers l’un des fauteuils de notre salon.
« Monte et mets-toi à quatre pattes » lui dis-je fermement.
Sentant et reconnaissant le fauteuil à tâtons, je la vois se mettre en position. Dans une démarche docile, mais encore hésitante, elle place ses bras sur les accoudoirs ; pose sa tête sur l’assise du fauteuil ; et cambre son dos pour bien offrir ses fesses, prenant soin de bien écarter ses jambes afin de ne rien cacher de son intimité. Dieu que je suis fier d’elle ! Elle a parfaitement appris à se mettre dans cette position d’une indécence totale ; d’une provocation absolue. Elle offre son intimité à nue. Offrant son cul dans une exposition, que dis-je, dans une exhibition lubrique. Sublime chienne que ma femme !
Je vois son corps trembler quelque peu. Je la connais. J’imagine qu’à cet instant elle oscille encore entre se cacher et se lâcher plus avant. Elle a tellement progressé dans son abandon depuis notre rencontre. Mais elle a encore cette pudeur qui parfois la rattrape. Mais qu’elle combat pour s’offrir chaque jour plus encore. Pour devenir cette Sublime qu’elle veut être à mes côtés. Ma Princesse Putain … Et là en cet instant elle me rend plus fier que jamais. Si honoré d’être aimé par une telle femme. Si heureux de la posséder. Si béni d’avoir reçu en cadeau sa pleine et totale soumission. Un don d’une valeur inestimable qui fait de moi le plus heureux des hommes.
En cet instant sacré je veux qu’elle découvre le plaisir d’être physiquement aimée par d’autres mains que les miennes. Que son corps découvre d’autres sensations. Que sa peau exulte sous les assauts d’autres sexes, d’autres mains. Cela n’enlève rien à notre amour exclusif. A notre lien unique. C’est un partage.
Alban s’est positionné sur le coté du fauteuil. Il a retiré son pantalon. Et il bande déjà dur. Sa queue est comparable à la mienne. Plus épaisse cependant. Il saisit son chignon qui est déjà flétri par nos ébats précédents et ne tardera pas à s’effondrer pour laisser s’épanouir sur ses épaules ses superbes cheveux couler ébène. D’un geste plein de domination il positionne sa queue à l’orée de sa bouche. Je la vois l’accueillir avec docilité. Elle passe sa langue sur son chibre tendu. Le goutant. L’enrobant de sa langue rose. Puis il glisse sa queue dans sa bouche. Avec autorité mais avec douceur pour débuter.
Ousmane lui s’est positionné derrière elle. Je le vois contempler son cul. Offert. Impudique. Il caresse ses fesses. Les malaxe. Les pétris. Il écarte ses globes plantureux pour mieux découvrir sa chatte fendue et baveuse … son petit anus palpitant … Il s’est totalement déshabillé. C’est un véritable Dieu d’ébène. Il irradie de puissance. Son sexe, énorme, est tendu à l’extrême. En cette fin de journée d’été, son corps imberbe et musclé luit de toute sa puissance sous la lumière des derniers rayons du soleil qui emplissent notre salon. Superbe contraste avec la blancheur immaculée de la peau frémissante de ma soumise.
Pour ma part je fais face à Alban de l’autre coté du fauteuil. Je suis en transe devant tant de beauté, d’abandon et d’abnégation de la part de ma femme, ma merveilleuse soumise. J’observe avec fierté ses seins lourds qui se balancent au rythme des coups de boutoir que lui assène désormais Alban. Je ne peux m’empêcher de les caresser. D’en pincer délicatement les tétons tendus. Je la sens répondre au contact de mes mains. Je ne doute pas qu’elle les reconnait. Elle qui aime tant que je m’occupe de ses mamelles … Elle qui vénère mes mains …
Je vois les doigts d’Ousmane caressant sa chatte, faisant des va-et-vient le long de sa fente. De mon autre main je pousse sur le bas du dos de mon amour, pour qu’elle se cambre plus encore et offre une ouverture plus facile encore à Ousmane. Elle réagit immédiatement pointant son cul de manière plus indécente encore .. ; écartant un peu plus ses cuisses …
Alors qu’Alban commence à pousser des gémissements de plus en rauques, répondant aux caresses buccales et à la chaleur étroite de sa gorge, j’entends le son caractéristique d’une main giflant avec force les fesses de ma Mia. Le regard de plus en plus fougueux, Ousmane venait de commencer à lui administrer de belles et lourdes fessées. D’abord surprise, je vois qu’elle tend plus fort encore ses fesses, accueillant avec grâce et envie les coups qui pleuvent et commencent à marquer de belles couleurs rose et rouge son fessier majestueux. Relâchant parfois la queue d’Alban pour reprendre son souffle, elle gémit de plus en plus fort. Son corps tremble. D’autant qu’Ousmane accompagne désormais ses fessées d’une pénétration de plus en plus profonde de la chatte de ma soumise de plusieurs des doigts de son autre main.
Me décalant légèrement, abandonnant quelques instants ma soumise, je regarde cet indécent mais si beau spectacle. Mia est juste sublime. Alban la tient par les cheveux et la défonce en rythme, lui déformant la bouche et la gorge. Ousmane, quant à lui, lui marque les fesses du martinet rouge qu’il a saisi et que je lui avais tendu en me relevant ; et investit en rythme sa chatte baveuse de quatre de ses doigts, tout prêt de la fister entièrement. Le corps de ma soumise n’est plus que tremblements et gémissements. Utilisée par ses deux hommes, elle s’offre totalement. Allant au-devant de la queue d’Alban, pour mieux ensuite s’empaler sur les doigts d’Ousmane en offrant ses fesses à ses coups de martinet. Sa salive et son nectar nacré coulent en abondance de sa bouche et de chatte. Une infinie fierté me remplit. Elle m’honore de son total abandon. De sa sublime indécence. Mais surtout je sens qu’elle y prend aussi plaisir. Qu’elle lâche prise. Qu’elle vit le moment avec intensité. Aussi pour elle. Et cela me comble de bonheur.
« Putain, elle mouille grave cette salope… Elle aime se faire baiser, se faire prendre. Elle sait faire monter la pression. Je vous félicite, cher Maître, pour votre soumise si parfaite ! » s’exclame soudain Ousmane, le regard plein de remerciement et d’envie.
« Sa bouche de pute est un pur bonheur. J’ai trop envie de la baiser… Belle prise et belle femelle que vous avez là, cher hôte. » renchérit Alban, toujours enfoncé au fonds de la gorge de ma femme. S’adressant du regard à Ousmane, une lueur de convoitise dans la voix il ajoute d’un ton définitivement dominateur : « Échangeons nos places ».
Puis il retire sa queue et caresse de sa main la joue de Mia, comme pour la remercier de ce don impudique, du plaisir qu’elle vient de lui donner. Je le vois recueillir la salive qui coule de sa bouche et recouvre son visage et son cou et s’en enduire la main. Comme d’une offrande. Ousmane quant à lui retire ses doigts maculés de son nectar nacré et les lèche avec délectation, me lançant un regard complice.
Quittant chacun leur place, ils laissent quelques instants ma Mia libérée de leurs jougs. Son corps n’est plus que tremblements. Elle luit de transpiration. Elle transpire de désirs et de plaisirs. Elle halète, le souffle court. Mais elle ne quitte pas sa position. Impeccable. Superbe. Je la regarde. Fier. Bouleversé par sa puissance dans l’abandon. Et terriblement excité par le moment comme en témoigne mon sexe qui est raide à m’en faire mal. Délicieuse douleur…
Je reprends ma place à ses côtés, caressant son dos et ses seins, alors qu’Alban et Ousmane prennent leur position. Instinctivement elle tourne sa tête vers moi. Oui ! Bien qu’aveugle avec ce bandeau de soie noir, elle reconnait ces mains. Celles de son Homme, de son Maitre, de son Tout. Son visage est serein. Et elle me sourit. Un sourire franc et total qui illumine son visage. Comme si elle voulait me dire en silence « Merci mon Maître. Merci mon amour ». Comme si elle voulait en silence me dire qu’elle se sentait bien. Offerte, utilisée, insultée mais sereine, heureuse, rayonnante. Fière de me rendre fier. Honorée de m’honorer de son don, de son abandon total. A sa place. Une émotion indescriptible me remplit et je sens un frisson courir le long de ma colonne vertébrale.
Alban s’est positionné derrière elle. De ses mains larges et pleines il caresse ses fesses. Je repositionne un peu ma belle chienne pour qu’elle tende un plus son cul de femelle, appuyant doucement sur le bas de ses reins. Ce qu’elle fait dans l’instant. Il se décale légèrement. Et je comprends ce qu’il va faire, vieux vicieux qu’il est …
Au même instant j’entends les gémissements d’Ousmane. Il a placé son énorme queue noire devant la bouche de ma femelle et elle lui lèche le gland avec dévotion de sa langue soyeuse …
« Putain elle est bonne cette garce … Sa langue est comme ses fesses : un délice. J’ai hâte de goûter sa chatte » souffla-t-il entre deux gémissements, me faisant comprendre qu’il avait hâte de pouvoir l’enfiler …
Alban quant à lui avait commencé son manège de pervers expérimenté. Il baisait littéralement ma Mia de ses doigts. Lui introduisant, deux.. puis trois … puis quatre doigts dans la chatte … et accélérant ses va-et-vient de manière exponentielle … Mia se mit à hurler de plaisir. Faisant rouler son cul de manière indécente comme pour mieux engloutir les doigts la fouillant.
« Mon bras coule de sa mouille ! C’est une belle salope que vous allez là cher hôte » s’exclame Alban, tout en ne relâchant pas la fouille violente de l’intimité de ma soumise.
« Ma soumise serait ravie de la boire » lâche alors Ousmane dans un sourire plein de perversités. Ce qui me fait sourire. Sachant qui est sa soumise. Et sachant qu’elle a aujourd’hui même été aux pieds de ma sublime … Mon esprit vagabonde … Et j’imagine Eva, la soumise officielle d’Ousmane, la bouche collée à la chatte de ma Mia … J’en bande encore plus fort. Et je ne peux me retenir de me branler en regardant ma femme ainsi offerte, hurlant de plaisir sous la main experte d’Alban. Quelle beauté ! Quelle sublime offrande ! Dieu qu’elle est superbe en cet instant !
« Je suis fière de ma soumise et sa dévotion est à la hauteur de nos perversités et de notre amour : incommensurable ! » m’exclamais-je. « Je vous remercie Messieurs, Elle en veut toujours plus, c’est un sextoy insatiable. Alors donnez et prenez mes amis. »
A ces mots, je les vois redoubler de perversités. Ousmane saisit ma Mia par les cheveux et enfonce son énorme bite dans sa bouche. Pendant qu’Alban accélère encore et réussit tout à coup à glisser sa main entière dans la chatte déformée de ma chienne, provoquant son premier orgasme. Elle gicle comme rarement je l’ai vu gicler. Abondamment. Et elle hurle. Elle crie. Dans un mélange de douleur et de plaisir. Je saisis ses seins de mes deux mains, abandonnant momentanément ma queue. Je les malaxe et les presse comme elle aime. N’oubliant pas ses mamelons que je prends le soin de bien étirer. Elle hurle de plus bel. Et réjouit de plus bel sur et dans la bouche d’Alban qui s’est retiré de sa chatte pour mieux en déguster le nectar nacré qui en coule à foison. Son corps tremble des pieds à la tête. Elle cherche son souffle. Elle aspire l’oxygène goulument. Haletante. Elle est magnifique !
Mais Ousmane ne lui laisse aucun répit. Et il enfonce de nouveau et de plus en plus loin son chibre dans sa gorge. Pendant que je vois Alban lécher sa vulve avec délice dans un geste de gourmandise mais aussi pour apaiser le feu qui couve en elle, montrant une fois encore la profondeur de son expérience et de son respect.
Saisissant un objet dans la trousse de nos objets de vices que j’avais pris le soin de déposer sur notre commode, je laisse courir sur son dos une roue de Wartenberg … Comme à chaque fois, je vois sa peau frémir et se couvrir d’une magnifique chair de poule. Je sais que ce petit instrument l’électrise et la rend folle. Et une fois encore, cela se produit. Pour mon plus grand plaisir. Son corps se tord. Ses seins se gonflent plus encore, au bord de l’explosion. Ses mamelons sont rouges d’excitation tellement ils dardent. Quant à moi, je suis en feu. Je recueille un peu de son jus de chatte pour mieux astiquer ma queue turgescente. Et la contemple avec bonheur : offerte aux assauts d’Ousmane et coulant dans la bouche d’Alban qui lui-même n’a pu s’empêcher de commencer à se branler avec insistance.
Je le vois se redresser. Enfiler un préservatif sur sa queue raide de désir. Il me regarde. Je lui fais un signe d’acquiescement de la tête. Il saisit les haches de Mia, la positionnant parfaitement. Elle se laisse guider avec une docilité qui m’émeut. Et qui m’excite plus encore. Prenant sa queue en mains, il la guide à l’entrée de la vulve de ma femme. Et dans un mouvement puissant et ample, il s’enfonce en elle jusqu’à la garde. D’un coup. Provoquant un nouvel hurlement chez ma Mia s’échappant de l’emprise d’Ousmane. Il se met à la pilonner. Il la défonce comme un vulgaire fucktoy. Il claque ses fesses au rythme de ses coups de reins. Ma femme n’est plus que gémissements, hurlements, tremblements. Ousmane s’est retiré de sa gorge pour la laisser respirer. Il lui caresse le visage d’une main, se branlant de l’autre. Spectacle absolument brûlant. Quasi infernal d’indécence.
Définitivement pervers, je ne peux alors m’empêcher de pousser l’expérience encore plus loin. Je me glisse entre les jambes d’Alban. Je vois son sexe entrer et sortir de la chatte baveuse de ma belle chienne. Je sens ma queue se raidir encore plus fort à cette vue. Lentement je viens positionner le Wand que je tiens à la main sur son clitoris, un sourire plein de perversions aux lèvres. Je vis le corps de ma merveille infinie d’amour se contracter. Je l’entendis pousser un cri. Et je sentis son nectar nacré couvrir mon visage … Elle n’avait pas résisté. Jouissant pour la troisième fois sous l’effet conjugué des coups de boutoir d’Alban dans sa chatte et des vibrations du Wand sur son bouton d’amour. Je vis son corps s’effondrer sur le fauteuil au-dessus de moi. Vaincue par le plaisir. Son corps tressaillant de tremblements par intermittence. J’entendais son souffle saccadé. Interrompu de petits pleurs.
Alban se retire, se défaisant de son préservatif. Je me relève. Ousmane est venu nous rejoindre. Je vois dans leurs yeux le plaisir qu’ils ont pris. Et la reconnaissance d’avoir pu être ceux qui ont eu l’honneur de « déflorer » ma Mia : lui faisant pour la première fois découvrir le bonheur d’être offerte et utilisée par plusieurs hommes sous le contrôle et la protection de son Maitre.
Pour clore en beauté cet instant de pur partage, d’osmose solennelle, de quasi communion ils se branlent avec énergie. Et l’un après l’autre ils déposent en offrande leur semence sur le cul rebondi de ma sublime soumise. Comme une bénédiction.
Pour ma part, je ne veux pas encore jouir. Je garde ma semence pour la suite. Pour un instant plus solennel encore. Un instant qui nous appartient. Mais là à l’instant, devant ce magnifique spectacle, je suis rempli de fierté. Et ému comme jamais je ne l’ai été auparavant dans ma vie sentimentale.
Ousmane et Alban vont s’asseoir de nouveau dans le canapé. Encore haletant. Leurs corps luisant de sueur. Ils saisissent les lingettes humides mises à leur disposition sur la table basse pour essuyer leurs queues. Et se rafraichir. Ils se servent un verre d’eau.
Quant à moi, après avoir saisi un verre d’eau et quelques lingettes humides, je vais couper la musique et je m’approche de ma femme. De ma Sublime. Elle n’a pas bougé. Elle tremble encore. Elle est belle à en mourir. Je m’agenouille devant le fauteuil. Je dépose le verre d’eau au sol. Et avec les lingettes humides je commence à laver ses fesses et son dos des souillures sacrées que mes amis Maitres ont déposé en offrande sur son corps. Je lave aussi son visage, son cou et ses seins couverts de sa salive. Je passe aussi entre ses cuisses immaculées de son jus intime. Je la sens frémir. Elle pleure encore. Doucement. Par intermittence.
Une fois lavée, je la prends dans mes bras. Je baise son front et ses mains avec infiniment d’amour. Je l’aide à se redresser et s’asseoir dans le fauteuil. Le sol et les bords du fauteuil sont couverts de son nectar nacré. Le dossier est trempé de sa salive. En moi je me dis que désormais ce fauteuil sera pour nous un lieu sacré. Et je souris.
Je lui retire son baillon O-Ring. Et je l’embrasse avec infiniment d’amour. Je sens sa langue se coller à la mienne dans une passion mutuelle. Interrompant ce baiser, je lui mets en main le verre d'eau. Je la laisse boire tranquillement. Elle me tend le verre vide. Je le dépose au sol et je l’embrasse dans le cou et lui susurre à l’oreille :
« Tout va bien ma Mia ? Tu me rends si fier et si heureux…. «
Je sens ses bras s’attacher à mon cou et me serrer fort contre elle.
« Oui mon Maître ! Et je vous remercie de m’utiliser. » me répond-elle dans un souffle.
Je me recule un peu et la regarde. Elle me sourit. Elle est définitivement la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie sentimentale. Et je me sens béni des dieux.
(A suivre)
Illustration : Dessin d'Erenisch
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[Reposté d'un ancien forum BDSM, délaissé depuis. Mais j'avais bien apprécié cet article :) ]
Le BDSM, souvent mal compris ou réduit à des clichés de douleur et de domination, recèle en réalité une beauté profonde et singulière. Pour celles et ceux qui le vivent consciemment, il est bien plus qu’un simple jeu de contrainte : c’est une voie d’exploration intime, un dialogue subtil entre confiance, abandon, pouvoir et liberté.
Derrière les accessoires et les rituels, c’est une expérience humaine, sensorielle et émotionnelle d’une intensité rare, où chacun est invité à se dévoiler, à s’accepter et à s’épanouir sans masque ni jugement.
Tout commence par la confiance. Il ne s’agit pas simplement de “se confier” à l’autre, mais bien de remettre entre ses mains ce que l’on a de plus précieux : son corps, sa volonté, son désir… et parfois ses peurs. Pour la soumise, s’abandonner demande du courage ; pour le dominant, recevoir cette offrande exige de la responsabilité et de l’écoute.
Le BDSM ne laisse aucune place à l’ambiguïté : tout doit être clair, consenti, discuté. Les mots de sécurité (“safe words”), les règles, les signes sont là pour garantir qu’à chaque instant, chacun peut arrêter, redéfinir ou ajuster le jeu. C’est sur ce socle que se construit la véritable intimité, une confiance rare qui permet d’oser, d’explorer, de s’abandonner… en toute sécurité.
Contrairement aux apparences, le BDSM n’est pas un rapport de force, mais un échange de pouvoir consenti. La soumise ne subit jamais : elle choisit d’offrir son obéissance, dans des limites claires, pour explorer ses envies, ses limites, ses fantasmes. Le dominant, loin d’être un tyran, devient alors le gardien bienveillant de ce don, responsable du bien-être de l’autre.
Chaque ordre donné, chaque geste, chaque refus ou chaque permission prend alors une signification profonde. La tension entre contrôle et abandon, la négociation constante entre les désirs et les limites, laissent place à une forme de poésie : on ne prend pas, on reçoit ; on ne subit pas, on s’offre.
Dans cette chorégraphie intime, chacun se découvre, se révèle, parfois bien au-delà de la chambre à coucher.
Le BDSM n’est pas qu’une question de pratiques : c’est aussi l’art de créer un cadre. Les rituels, les codes, les accessoires (collier, laisse, tenues imposées, postures, privations sensorielles…) participent à cette mise en scène rassurante et structurante. Dans ce cocon de règles claires, l’imagination et la liberté peuvent s’exprimer pleinement.
Les rituels permettent d’entrer dans un état d’esprit particulier, d’atteindre ce fameux “subspace” pour la soumise ou “Domspace” pour le dominant, où la conscience se modifie, où l’expérience devient totale.
Chacun joue un rôle, mais tout est vrai : sincérité, authenticité et intensité sont alors au cœur de la relation.
Parmi les multiples chemins que propose le BDSM, certains mènent à l’humiliation ou au rabaissement. Pour beaucoup, ce sont des zones taboues. Pour d’autres, ce sont de puissants leviers d’émotion et d’épanouissement.
Quand l’humiliation est désirée et consentie, elle permet à la soumise de s’abandonner sans honte, de révéler une part intime d’elle-même qu’elle n’ose montrer nulle part ailleurs.
Ici, le dominant n’est jamais un juge. Il incarne la sécurité, la compréhension, le respect absolu. Il accueille la vulnérabilité, accompagne le lâcher-prise, et garantit que jamais la soumise ne sera blessée ou dévalorisée de façon réelle. L’humiliation devient alors, paradoxalement, un espace de liberté : la soumise se sent autorisée à tout explorer, même ses désirs les plus inavouables, sans craindre d’être jugée.
Ce jeu de rôle, ce théâtre intime, n’est jamais une destruction : c’est une transformation, parfois même une source de guérison, d’acceptation de soi, de jouissance profonde.
La beauté du BDSM réside aussi dans cette promesse : ici, on ne juge pas, on accompagne, on célèbre la liberté d’être soi, dans toute sa complexité.
Au-delà du plaisir physique, le BDSM est une formidable école de connaissance de soi. Il invite à explorer ses limites, ses envies, ses ombres et ses lumières. Les discussions, les négociations, les retours après chaque session (“aftercare”) enrichissent la relation et l’expérience, renforcent la confiance et la complicité.
Le dominant apprend l’écoute, l’attention, l’empathie, la créativité. La soumise apprend l’abandon, l’honnêteté, le courage de se montrer vulnérable.
Chacun grandit, s’épanouit, apprend à mieux aimer… et à mieux se connaître.
Enfin, le BDSM ne s’arrête pas à l’instant du jeu. L’“aftercare” est essentiel : ce sont ces gestes, ces mots, cette douceur après l’intensité. On se serre, on rassure, on prend soin l’un de l’autre. C’est le moment où l’on se remercie, où l’on confirme la confiance donnée et reçue.
L’aftercare n’est pas un détail : il est la preuve ultime de l’attention et du respect mutuels, la clé qui permet de recommencer demain, plus fort, plus confiant, plus épanoui.
La beauté du BDSM réside dans cet équilibre subtil entre sécurité et transgression, échange de pouvoir et abandon, cadre et liberté. Il invite à la sincérité, à la création d’un espace où l’on peut tout oser, tout dire, tout vivre… sans jamais être jugé, ni par l’autre, ni par soi-même.
Être vulnérable devient une force. Donner, un pouvoir. S’abandonner, dans la confiance et le non-jugement, la forme la plus pure de la liberté...
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H. Concerto pour cris et gémissements en claquements majeurs
Vanessa ouvre la lourde porte en bois avec sur la partie haute une ouverture munie de barreaux qui ne permet pas de voir mais d’entendre ce qui se passe dans la salle.
Une longue et large bande de moquette traverse la pièce de gauche à droite, en face de la porte se trouve une fenêtre occultée par un lourd rideau noir, en dessous trois grands sièges qui ressemblent à des trônes et de chaque côté des fouets et des martinets en tous genres pendent le long du mur ainsi que des menottes, des chevillières et des barres d’écartement.
Sur la partie gauche de la moquette il y a une croix de Saint-André fixée sur le mur, au milieu un carcan sur pieds attend patiemment les prochains pénitents et vers la droite un palan manuel laisse pendre ses lourdes chaînes.
Jean en a le souffle coupé et Martin est comme un enfant devant la vitrine d’un marchand de jouets.
À peine entrés un duo de couples, environ la cinquantaine, entre dans la salle. İls ont l’air interloqués et à voir la façon dont ils sont habillés et leur hésitation Vanessa comprend que ce sont des débutants, elle s’avance vers eux en arborant son plus beau sourire et leur parle d’une voix douce, comme savent le faire certains médecins pour vous dire que tout va bien alors que vous êtes au plus mal et qu’il ne vous reste plus que quelques jours à vivre.
Vanessa – « Bonjour et bienvenue dans mon humble domaine. Je peux vous renseigner ? »
Un des deux hommes – « Oui, voilà, nous sommes débutants et ma femme aimerait que je la fouette et pour nos amis c’est l’inverse. İls n’osent pas parler car ils sont un peu timides ! »
Vanessa – « vous êtes au bon endroit pour soigner votre timidité ! » Elle appelle un soumis de service et lui demande d’apporter quatre fauteuils sur pieds, puis elle ajoute « On va parler un peu car je dois connaître vos besoins. Est-ce-que vous voulez que Maîtresse Sabine et ses soumis nous laissent seuls ? »
L’homme – « Non au contraire. Sans vouloir vous offenser je pense que deux expériences ne peuvent que nous être profitable ! » et, s’adressant à ses amis « Vous êtes d’accord ? » les amis acquiescent.
Le soumis ayant apporté les fauteuils Vanessa se lève et va fermer la porte en apposant une affichette « Occupé » et invite les couples à s’asseoir.
Vanessa – « Je suis Maîtresse Vanessa et voici Maîtresse Sabine. Vous pouvez me donner vos prénoms ? »
L’homme – « Gérard et… »
Vanessa – « A-t-elle le droit de me le dire elle-même ? »
La femme – « Karine ! »
Vanessa – « Et vous ? »
La femme – « Adeline ! »
L’homme – « Alexis ! »
Vanessa – « Bien, si j’ai bien compris Karine souhaite être fouettée par Gérard et Alexis aimerait être fouetté par Adeline. C’est ça ? »
Alexis – « C’est plutôt Adeline qui aimerait me fouetter ! »
Vanessa – « Ah ! et vous, vous ne le souhaitez pas ! »
Alexis – « Je veux bien lui faire plaisir mais il faut qu’elle apprenne d’abord ! »
Vanessa – « Et vous Karine vous souhaitez vraiment être fouettée ! »
Karine – « Oui mais j’aimerais bien qu’il apprenne aussi car ce peut être dangereux ! »
Vanessa – « Je confirme. Certains fouets sont de véritables armes ! » puis s’adressant à Sabine « Tu permets que je fasse témoigner petit chou ? »
Sabine – « Je t’en prie ma chérie, après tout tu es chez toi. Jean, tu peux répondre aux questions de Maîtresse Vanessa ! »
Vanessa – « Petit chou, tu as eu ta première expérience il y a quinze jours. Qu’as-tu ressenti ? »
Jean – « Au début ça m’a surpris. J’ai eu mal et j’ai serré les dents, mais en même temps j’ai déstressé, j’ai respiré lentement, profondément et ça ne me faisait plus mal. Puis quand Maîtresse Sabine a cessé j’avais le dos très chaud, un peu comme un léger coup de soleil et le lendemain dans la soirée je ne sentais plus rien, à mon grand regret car c’était le souvenir de ce moment qui disparaissait avec ! »
Vanessa – « la prochaine fois tu aimerais que ta Maîtresse te fouette un peu plus fort ? »
Jean – « Oui Maîtresse Vanessa ! »
Sabine – « Tu es prêt pour une séance, là, maintenant ? »
Jean – « Oui Maîtresse ! » İl s’est souvenu que Sabine lui avait dit que son comportement pourrait influencer sa décision de le prendre comme soumis attitré.
Martin est époustouflé par le courage de Jean. Accepter de se faire flageller plus rudement que ce qu’il a connu et devant des étrangers, bravo, il ne sait pas si lui-même aurait relevé ce défi.
Sabine attrape sa laisse, l’entraine jusqu’à la croix de Saint-André et le positionne face au mur. Elle décroche ses mains de la ceinture et les accroche à la croix, elle y fixe également la ceinture, puis elle va chercher des chevillières et une cravache. Elle lui fait écarter les jambes en lui donnant des coups de cravache à l’intérieur des cuisses jusqu’à ce qu’elle puisse fixer ses pieds au bas de la croix.
Vanessa aux couples – « Là, le soumis est pratiquement immobilisé. C’est plus confortable pour la personne qui fouette. Mais si on veut prendre plus de plaisir on utilise le palan où les mains sont accrochées au palan par une barre d’écartement et on lève pour que seules les pointes de pieds touchent le sol. À chaque coup le sujet va bouger et se dandiner, c’est ce qui m’excite le plus. Il faut donner du plaisir à la personne fouettée mais il faut en prendre à fouetter. Mais, comme on le disait tout à l’heure, si on dépasse les limites il peut y avoir un danger pour le soumis, pas tellement par des blessures physiques qui sont visibles mais par des blessures psychologiques qui ne se voient pas. Donc on va utiliser un safeword, un mot qui va indiquer à la personne qui fouette qu’elle doit arrêter. Cela peut être tout simplement « Stop » mais on peut convenir d’un autre mot, notamment quand il y a plusieurs personnes qui se font fouetter en même temps dans le même lieu par plusieurs doms, il sera difficile de savoir qui dit stop. Sabine, avez-vous défini ce code ? »
Sabine – « Non pas encore, mais pour aujourd’hui je propose galipette. À toi de jouer maintenant ! »
Jean comprend que c’est Vanessa qui va le fouetter, il est déçu mais il ne peut plus reculer.
Vanessa à Jean – « Tu te souviens du safeword ? »
Jean – « Oui Maîtresse Vanessa c’est galipette ! »
Vanessa – « Bien ! »
Elle va chercher un martinet en cuir avec des lanières larges et demande à Adeline de s’approcher.
Vanessa à Adeline – « Tu peux fouetter sur le haut du dos, de chaque côté de la colonne vertébrale de là à là, Sur le bas des fesses et les cuisses ainsi que la poitrine. Jamais sur le ventre, les reins, les doigts, le cou et toutes les parties de la tête ni sur les parties génitales sauf avec une cravache et avec modération. Je commence à faire tournoyer les lanières et j’effleure la peau pour l’habituer au contact du cuir puis je fais glisser le cuir le long de la colonne. Tu vois, il a des frissons de plaisir. Ensuite je saisi les lanières avec une main, je me positionne comme ceci pour avoir plus de précision et je fouette tout en ramenant le haut de mon corps en avant ! »
Les lanières claquent sur le dos de Jean qui sursaute mais il n’émet aucun son car il a retenu son souffle. Par contre il a confirmation que Sabine avait retenu sa main car cette fois la douleur est plus intense. Vanessa recommence à quatre reprises visant chaque fois une autre partie du corps.
Vanessa – « Regarde comme c’est beau cette peau rougie. Ça me donne envie de la caresser. Tu as compris Adeline ? »
Adeline – « oui je crois ! »
Vanessa – « Alors vas-y c’est à toi ! »
Sabine a envie de s’interposer, elle ne veut pas qu’on abime jean au point qu’il ne pourrait pas continuer à participer aux festivités. Elle ne dit rien mais elle est prête à bondir en cas de problème. Martin s’aperçoit de l’inquiétude de sa femme, il reconnait bien son côté à la fois maîtresse et mère poule et ça le fait sourire. İl se demande si elle ne prend pas Jean comme le fils qu’elle n’a jamais pu avoir, même dans cette relation très spéciale.
Jean est très inquiet, il n’avait pas prévu de servir de cobaye et craint qu’Adeline se rate et le massacre.
Adeline reproduit les gestes montrés par Vanessa mais retient ses coups de peur de faire mal.
Vanessa – « C’est bon, tu peux arrêter. C’est pas mal pour un début, ça manque un peu de précision et de conviction mais c’est normal. Tu vas vite prendre de l’assurance et n’oublie pas de communiquer avec la personne que tu fouette ! »
Elle reprend le martinet, s’approche de Jean, lui caresse le dos et lui chuchote « Tu te souviens du mot à prononcer ? »
Jean – « Galipette ! »
Elle fait à nouveau glisser les lanières sur le dos de Jean qui frissonne, puis elle fait deux pas en arrière et recommence à fouetter en augmentant progressivement la force des coups jusqu’à ce que jean prononce le mot qui va mettre fin à son supplice. Adeline est subjuguée, ce qu’elle a ressenti est encore plus fort que ce qu’elle avait imaginé dans ses rêves les plus fous. Elle avait déjà joui en regardant ce genre de scène dans des films, mais là, elle s’est mordu les lèvres pour ne pas hurler de plaisir car elle réserve cette jouissance pour le moment où ce sera Gérard qui lui demandera grâce et elle a hâte.
Vanessa détache Jean, elle le prend dans ses bras, lui demande s’il va bien et, tout en lui caressant la joue, elle le flatte pour son courage, puis elle le prend par la main et le rend à sa maîtresse qui le récupère avec une grande bienveillance, l’aide à s’asseoir, elle lui fait des petites bises sur l’épaule et lui dit à quel point elle est fière de lui ainsi que d’autres mots chuchotés échangés entre eux que personne ne peut entendre.
Adeline demande pourquoi tant de tendresse après cette violence.
Vanessa – « C’est ce que l’on appelle l’aftercare. C’est très important car la personne qui a été fouettée a fait un effort physique et psychologique important pour se prouver à elle-même qu’elle peut se surpasser mais aussi pour faire plaisir à la personne qui la domine. La personne dominante a, elle aussi besoin d’être rassurée sur l’état de santé de la personne soumise. Là en l’occurrence, ce n’est pas sa maîtresse qui a exécuté la flagellation mais toi et moi et je peux te dire que ça a été un mauvais moment pour Sabine, d’où ce moment câlin qui va les reconstruire tous les deux. Bon je te laisse voir avec Alexis s’il veut essayer maintenant ! »
Adeline comprend et elle espère que cela fera renaitre l’amour qu’elle a eu pour Alexis les premières années de leur relation, mais qui s’est effrité au fil des années et elle le voit aujourd’hui comme une chiffe molle, juste bon à regarder les matchs de foot à la télé avec une canette de bière à la main, oubliant qu’il a une femme qui a besoin de tendresse, de sexe, qu’elle existe tout simplement. Elle va le reprendre en main en soufflant le chaud et le froid, alternant le fouet et les caresses, l’autorité et la compréhension, faire en sorte qu’elle soit la principale obsession d’Alexis.
Vanessa se tourne vers Karine et Gérard « À vous maintenant. Karine, est-ce que tu veux que j’apprenne à Gérard à utiliser cet objet ? »
Karine – « Oui on est venus exprès sur les conseils d’un couple d’amis. Je pense que vous vous connaissez car je vous ai vu vous faire des signes ! »
Vanessa – « Je peux savoir qui est-ce ? »
Karine – « Keane et Janey ! »
Vanessa – « Ok ! justement ils doivent venir me voir. Si jamais ils viennent pendant que vous êtes là, vous acceptez que je les fasse entrer ? » Les deux couples se concertent et acceptent.
Vanessa demande à Adeline et Alexis s’ils veulent tester la technique maintenant mais Alexis préfère essayer chez eux pour se sentir plus à l’aise.
Vanessa se dit que ce n’est pas grave car elle a une idée en tête.
Puis elle présente aux deux couples les différents ustensiles, des plus doux aux plus durs, voir létaux s’ls sont mal maîtrisés. Ensuite elle se dirige vers un carcan sur pieds. Sur chaque pied il y a un rail coulissant avec un anneau et une goupille qui permettent de régler la distance entre les jambes du sujet et le carcan. Sabine demande à Karine de s’approcher, ouvre le carcan et aide Karine à s’y installer avant de refermer et bloquer le carcan, puis elle règle la distance des anneaux et place des chevillières aux jambes de Karine pour mettre ses fesses bien en évidence.
Enfin elle soulève la jupe de Karine et la rabat sur son dos, laissant apparaître un très fin string en dentelle rose.
Vanessa – « Alors Gérard, n’est-ce pas un beau spectacle que ce petit cul offert sans aucune pudeur ? »
Puis s’adressant aux autres personnes présentes « Venez admirer ces deux harmonieuses collines séparées par une charmante vallée. Voyons s’il n’y a pas aussi une source dans ce paysage ! » Elle glisse sa main sur le sexe de Karine « Ah ! il y a quelque chose qui coule mais il va falloir la faire jaillir cette source ! » Elle tend son doigt mouillé et le met dans la bouche de Gérard.
Karine ne peut rien voir, vu sa position, mais elle imagine tous ces gens regardant son postérieur offert impudiquement à qui veut s’en servir sans pouvoir se dérober. Cette humiliation la fait tressaillir, oui, mais de plaisir et elle sent sa mouille de plus en plus abondante et dégoulinante, ce que Vanessa ne manque pas de remarquer.
Au même moment on entend frapper à la porte.
« Vanessa, tu es là ? Ç‘est Keane et Janey ! »
Vanessa – « Entrez je vous en prie. Nous sommes en pleine séance d’initiation avec Adeline et Alexis ainsi que Karine et Gérard. Vous vous connaissez je crois ! »
Keane – « Oui mais pas dans cette situation ! »
Vanessa – « Je vous rassure ils sont d’accord pour que vous soyez présents. Mais peut-être voulez-vous aussi participer ! »
Keane – « Mais volontiers. On peut même leur faire une démonstration ! »
Vanessa – « Voilà quelque chose d’intéressant. Mais en attendant occupons-nous de Karine ! »
Keane – « Elle est magnifique dans cette position mais je la trouve un peu pâle ! »
Vanessa – « On va y remédier mais on va commencer doucement. On va débuter avec une cravache ! »
Keane – « Ç’est normal pour une belle pouliche ! » Ce qui déclenche des rires, même de la part de Gérard.
Vanessa, cravache à la main, s’approche de Karine et commence par faire glisser le cuir de la claquette sur ses fesses, l’intérieur de ses cuisses et son sexe afin qu’elle prenne conscience de la matière de ce qui va devenir l’objet de son martyr. Puis elle tapote les mêmes parties en accélérant la cadence et la force, Karine commence à se dandiner d’un côté à l’autre au fur et à mesure que ses fesses prennent des couleurs. De temps à autre Vanessa fait exprès de taper avec la tige comme elle le ferait avec une badine, laissant une marque rectiligne et arrachant un « Aïe » de la part de Karine, puis elle s’arrête et caresse les fesses, pas par compassion, mais pour comparer la différence de chaleur entre les différentes parties tout en expliquant à Gérard chaque raison de ses gestes. Ensuite elle cible les parties les moins touchées avec la même force que si elle voulait écraser une mouche, elle s’arrête à nouveau et glisse sa main sur le sexe de Karine et dit « Ce n’est plus une source mais une résurgence ! Tu vois Gérard elle a pris autant de plaisir à être tapée que moi à la taper. Maintenant c’est à toi. Fais en sorte que ces fesses deviennent écarlates, donne-lui le plaisir qu’elle attend et prend du plaisir à le faire ! »
Un peu hésitant Gérard prend la cravache et répète les gestes montrés par Vanessa.
Keane demande s’il peut utiliser le matériel de la salle et Vanessa acquiesce avec joie. Il ordonne à Janey de se déshabiller, il l’attache à la croix de Saint-André, choisit un fouet à longues lanières et frappe le dos exposé devant lui avec une force suffisante pour faire gémir sa soumise.
Sabine, qui jusque-là était restée inactive, armée de différents paddles, pousse Martin vers le palan, laissant Jean se remettre de sa prestation. Elle attache les mains de son mari à la barre d’écartement accrochée au palan, tire sur la chaîne jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds et commence à le fesser avec un paddle en bois.
Adeline et Alexis s’assoient près de Jean et tous trois regardent le spectacle et écoutent les claquements, les cris et les gémissements, parfois en décalé et parfois en simultané, faisant une étrange musique cadencée par la cheffe d’orchestre Vanessa.
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Deux...
C'était le nombre de jours à attendre pour se rencontrer enfin.
Deux...
C'est ce que nous sommes depuis hier enfin.
Un...
C'est ce que nous faisons depuis ce matin.
Et pourtant nous avons eu peur, en laissant toutes nos affaires à l'intérieur, en voulant pousser la porte pour boire un verre dans le jardin, oubliant la clé à l'intérieur.
C'est dire que l'on était perturbés par cette rencontre, sourire.
En attendant le propriétaire pour nous ouvrir, nous nous sommes installé et avons profité de ce moment pour boire notre verre (heureusement que tu avais déjà sorti le champagne et les verres) et discuter tranquillement. Nous ouvrir l'un à l'autre, avec sérieux mais aussi tinté d'humour et de rire à cette situation qui nous marquera pour toujours !
Marques ?!...
C'est ce qui c'est imprégné sur ta peau.
Je ne connaissais pas la canne et tu m'as fait confiance. Cinquante coups, c'est le rituel que tu souhaitais pour officialiser ton appartenance. Qu'il en fut ainsi, et nous avons triplé au résultat ce matin pour mon plus grand plaisir, pour ta plus grande douleur, qui me fit frissonner à chaque coup de canne percutant ce joli petit Cul que tu détiens. Qui aujourd'hui est le miens, car désormais tu m'appartiens.
Ce n'était pas jeu, pas une séance, pas juste une aventure. C'est l'ouverture officielle de notre unions. Ce don de toi, de ton corps, de ton appartenance, de ta dévotion, de tes futures jouissances, de ton âme, que tu me confis avec confiance.
La certitude que je serais là, pour t'accompagner vers ces chemins que j'ai à te faire découvrir moi aussi. Le soin que je prendrais à t'élever plus haut dans des domaines que tu ne connais pas encore.
À deux nous allons avancer, apportant l'un à l'autre ce que chacun à besoin. Et nous allons vivre enfin !
Ne faisant plus qu'Un.
#amz999
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En haut de l'allée, elle s'arrêta pour prendre son courrier. Il y en avait beaucoup: Elle n'avait pas ouvert sa boîte depuis trois jours. Mais hélas, pas de nouvelles de son amante. Elle avait renoncé depuis longtemps à ce qu'elle appelait autrefois sa "poésie", ces jeux continuels de son imagination et cette déformation, qui allait devenir machinale, de la réalité. Elle croyait ainsi par un dérèglement systématique de son imagination, atteindre de hauts états de conscience poétique. La rapidité avec laquelle disparurent ces fantasmes lui permit de mesurer leur peu de valeur. Jamais, elle n'avait connu un plaisir plus intense que ce jour où elle avait cru la perdre. Jamais elle n'avait mieux compris l'emprise que Juliette avait sur elle, et la revanche qu'elle prenait à en user. Et pourtant, elle avait trouvé dans ces caresses plus brutales ce jour-là, empreintes encore d'une volonté d'abaisser, de plier, presque de faire mal, un plaisir plus vif qu'elle n'en éprouvait d'habitude. Encore, en y pensant, et tout en détestant ce souvenir, tout en haïssant le regard de triomphe qu'elle avait eu en se penchant sur elle pour l'embrasser, tout en éprouvant réellement ce tressaillement de dégoût et de haine, Charlotte fondait d'un désir tremblant, elle se sentait toute prête à être encore vaincue, encore prise avec cette brutalité délicieuse. Sans aucune amertume, elle gardait au plus profond d'elle-même sa petite poésie. Ce sont des choses dont on ne parle pas. Durant huit ou dix jours, elles ressuscitèrent cet amour. Un soir sur deux ou sur trois, la jeune femme disparaissait. Son amante ne lui posa pas de question. Elle était douce-amère, plaisante et un peu ingrate. Les sentiments dont on parle n'ont jamais l'épaisseur qu'ils avaient dans le silence. Et le temps qui s'écoule entre l'évènement et le récit leur prête tous les reflets, toutes les réfractations du souvenir. Ce bonheur d'autrefois n'est-il pas chargé déjà de l'amour qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il pressent ? Pour ne mentir jamais, il faudrait vivre seulement. Mais les projets secrets, tous les desseins du cœur, ses souvenirs étouffés, tout ce qu'il attend sans le dire brisent déjà cette simplicité impossible. Laissons donc aux mots leur part inévitable d'imposture et d'ambiguÏté. La métamorphose fut délectable. Les souvenirs très précis de leur dernière étreinte la cambrèrent d'une délicieuse honte et courut en petits frissons dans son dos. Une bouffée d'orgueil l'obligea soudain à sourire et à respirer très vite. La première fois, c'est la promesse d'une longue série d'autres fois, mais c'est aussi le deuil de quelque chose qui n'arrivera plus. Il ne peut pas y avoir hélas plusieurs premières fois. Charlotte prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie noire. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta alors sans ménagement. Un touble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance la saisit à la fois. Il y eut une plainte, un sursaut de poitrine. Elle soupira, serra les dents, regardant intensément Juliette, alors animée du désir irrésistible de vouloir la dépecer, puis renversa la tête et attendit. À nouveau, une longue plainte jaillit des lèvres serrées, finit en un cri aigu. Endolorie et horrifiée, elle ne savait comment remercier Juliette de ce qu'elle venait de faire pour elle, mais elle était heureuse de lui avoir fait plaisir. Elle eut bien l'idée qu'elle voulait la battre encore, et elle se résignait déjà à tout subir. Mais sa Maîtresse mit le doigt sur ses lèvres pour signifier d'avoir à faire silence. Il y avait une certaine excitation, fit-elle remarquer d'un ton autoritaire.
Les femmes de pouvoir croient toujours que les autres ne savent pas ce qui se passe, qu'en matière de sexualité, elles sont ignares. Un grand soleil l'innonda. Ce qu'est l'amour d'abord, c'est une complicité. Une complicité et un secret. Parler d'un amour, c'est peut-être déjà le trahir. L'amour ne se passe qu'entre deux êtres. Tout ce qu'on y introduit d'étranger lui fait perdre de sa force et de sa pureté, le menace de mort. Lorsque Charlotte tourna la tête vers Juliette, alertée par le bruit d'une cascade qu'elle avait, à sa grande confusion, du mal à maîtriser et à diriger, il y avait sur son visage, non pas cette attention pointue et intimidée que sa Maîtresse attendait, ce guet presque animal, regard aminci, sourcils bas, lippe close et frémissante, mais une gravité douce, comme si soudain elle avait eu la pudeur de ses exigences, et honte qu'on les satisfît. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Elle laissa couler quelques larmes.
Des images défilèrent dans l'esprit de la jeune femme. Le cou marbré, dans le haut de la poitrine, les mamelons qui durcissent. Les changements dans le rythme de la respiration, une soudaine bouffée de chaleur, un déplacement des hanches, une liquéfaction du corps. L'amour le plus banal et le plus médiocre est un peu plus compliqué que la physique la plus ardue. C'est qu'il relève d'un autre ordre où les corps et l'esprit dansent les plus étranges ballets et dont la nécessité est toute faite d'imprévu. Qui pourrait deviner dans le premier sourire et dans les premiers mots adressés par une femme à une autre femme ce qu'elle sera ensuite pour elle ? Il sembla à Charlotte que Juliette l'acceuillait sans défaveur. Elle sut alors que la position de sa Maîtresse était plus difficile que la sienne, car on ne s'improvise pas meneuse de jeux érotiques, violeuse de tabous, dénonciatrice de routine. Sa résistance l'eût peut-être agaçé, ou déçu, mais réconforté. Elle avait obéi, et elle se sentait soudain dépassée par l'idée que le geste était un geste d'amour pour un bourreau étrange auquel on s'efforce de plaire. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. Les berges aveuglantes de la Seine en étaient toutes éclaboussées et, un instant, à Paris, elle se dit qu'elle aimait Juliette et qu'elle allait se jeter dans ses bras et que le monde serait merveilleux pour toujours.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma femme Annie et moi allons faire des achats à Euralille. Nous avons garé la voiture au parking souterrain. Après avoir passé une bonne partie de la journée dans le magasin, nous sommes repartis rechercher la voiture. Au parking souterrain.
À l’arrivée de l’ascenseur, ma femme s'est aperçue qu’elle avait oublié de prendre le ticket pour pouvoir sortir. De ce fait, je lui propose de rejoindre la voiture pendant que je vais régler le parking. Cela prit pas mal de temps : je rejoins l’ascenseur pour aller au sous-sol.
Et là, j’attends des voix dans le parking. Je me rapprochai donc tout doucement et j’aperçus alors ma femme en discussion devant notre voiture avec quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui tenaient un berger allemand en laisse. Je me cache derrière la voiture la plus proche et j’écoute un peu ce qui se dit. –
Alors, ma belle, on se promène toute seule ? Vous savez, un parking, ce n’est pas fait pour quelqu’un comme vous. On ne sait pas sur qui on va tomber. – Surtout quand on est fringuée comme une cochonne. Ça doit être joli à voir, ce qu’il y a en dessous.
– Vous savez, j’en croise presque tous les jours, des femmes comme vous, elles me font bander comme un cheval. Ce qui est dessous doit être très joli ! Oui, mais ce n’est pas pour vous ! Réponds, Annie. Je me demandais comment cela allait tourner et je me préparais à intervenir, mais intérieurement je me disais que je devais encore attendre un petit peu et voir la suite, et j’ai bien fait.
Si tu veux partir, il va falloir nous montrer ça quand même. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir une chatte. T’as mis des collants ou des bas ? Je suis sûr que tu es une belle cochonne et que ce sont des bas. Pas vrai ? rétorqua l'un d’eux. Oui, c’est bas, mais je ne peux pas vous montrer. Je suis mariée. répondit-elle. Cela me fit sourire…
— Allez, pour te décider, on va faire un geste. On va te montrer nos bites et tu n’auras plus qu’à nous montrer ta chatte !
À ces mots, les quatre jeunes sortent leurs bites circoncises et commencent à se branler. — Alors tu vois, on ne se moque pas de toi. Quatre belles bites bien raides et circoncis qui n’attendent plus que de voir chatte en chaleur.
On ne te demandera pas plus que de voir ta chatte, et de te voir te branler et de nous laisser cracher notre foutre pendant ce temps-là. Alors, d’accord ?
— Comme vous tenez ce que vous dites, je veux bien, mais faites vite, car il pourrait arriver quelqu’un ! répondit Annie.
Mon mari doit me rejoindre. Elle s’appuya alors sur le capot de la voiture et elle commença à relever sa jupe. À l’apparition de ses bas, les jeunes commencent à siffler et à accélérer leur branlette. Ils n’étaient pas au bout de leur peine.
Annie continua à remonter sa jupe et découvrit ainsi son tanga rouge qu’elle fit glisser le long de ses jambes gainées de ses bas noirs pour découvrir sa chatte naturelle. À 50 ans
– Petite salope, tu ne nous avais pas dit que tu étais toujours prête. Je crois qu’avec une telle vue, on va vite cracher. Allez, branle-toi maintenant et ne te retiens pas. Annie s’assit au bord du capot et commença à sucer ses doigts avant de se branler. Les jeunes n’en pouvaient plus. Je me demandais comment ils allaient pouvoir tenir sans aller goûter à cette chatte avec leur bite. Lorsqu’elle mit son doigt dans sa chatte, je vis leurs yeux s’écarquiller, mais ils tenaient bon. C’est Annie qui prit la parole : – Alors messieurs, c’est bon ?
Je m’installais donc, en position de voyeur, ce qui, je dois le dire, me plaisait beaucoup. Sachant ce qui allait arriver,
Je m’installais donc, en position de voyeur, ce qui, je dois le dire, me plaisait beaucoup. Sachant ce qui allait arriver,
Je commençais à me branler comme ces quatre jeunes.
Tu veux qu’on te saute ? Mais vous m’aviez dit que vous vouliez juste voir ma chatte simplement sans rien faire d’autre.
Oui, mais là tu nous excites, allez écarte tes jambes, elle commence à ouvrir son tailleur et à sortir ses seins imposants. En 115 D Puis elle se dirige vers les quatre jeunes, ma femme se baisse devant le premier, prend sa bite en main puis la prend en bouche. Elle le suçait divinement comme elle pouvait me le faire de temps en temps. À voir leur copain se faire tailler une pipe, les trois autres jeunes sentaient leur excitation monter. Ils se rapprochèrent d'Annie qui changea de queue. Elle les suce tour à tour tout en continuant de les branler. Elle s’occupait des quatre queues comme une véritable salope. Après cette belle séance de pipe, Annie se releva, se dirigea vers le capot de sa voiture, et ils la firent poser les mains sur le capot, offrant ainsi sa croupe aux quatre jeunes totalement excités. Des bites énormes, on va On vous baisera la chatte, les uns après les autres, et ensuite on goûtera à ton cul de salope. Le jeune avec le chien s’approcha le premier. J’ai envie de te foutre ma bite bien au fond, te voir bouger sur cette bite, alors aujourd’hui je vais bien en profiter. Je vais te sauter comme une vraie salope et, avec ce que je vais te mettre, tu vas vouloir que je te baise à chaque fois que l’on se croisera dans ce parking.
Le jeune s’approche alors d'Annie avec sa bite dans une main, lui écarte la chatte avec son autre main, présente son gland à l’entrée de ses lèvres et, d’un seul coup, s’enfonce en elle. Ce coup si soudain et surtout si puissant arracha à Annie un léger cri qui se répéta ensuite à chacun des coups de boutoir du jeune. Car, en effet, le jeune assénait à Annie des coups de reins phénoménaux qui prouvaient bien qu’il avait envie de lui faire sentir sa bite au plus profond de son vagin. Pour appuyer encore plus ses coups, il prit Annie par les hanches et la fit aller et venir encore plus vite et plus fort sur son membre. Annie était totalement dépassée. Elle était affalée sur le capot et accumulait les orgasmes. Après quelques instants, le jeune éjacula, ce qui valut encore à Annie quelques coups de bite encore plus durs. Une fois les couilles bien vidées, il se retire de la chatte de ma femme en lui mettant une grosse claque sur sa fesse, en la regardant, ma femme allongée sur le capot, la chatte dégoulinante de sperme, et crie. Au suivant, baisez-la, remplissez-la de foutre et après on l’enculera !
Et moi qui étais en train de tout filmer pendant ce temps.
Le deuxième jeune s’approche et sans aucun préliminaire profita du vagin bien lubrifié et « crémeux » pour s’enfoncer lui aussi d’un seul coup. Annie dut subir les assauts répétés des quatre jeunes à tour de rôle. Quand cette séance de baise à répétition fut terminée, après avoir joui à plusieurs reprises, Annie était affalée sur son capot et du foutre dégoulinait littéralement de sa chatte bien ouverte : le sperme coulait le long de ses bas après plusieurs pénétrations successives.
Le jeune se rapproche alors d’elle et lui dit : Alors, qu’est-ce que t’en dit ? Ça fait du bien, hein ? Ce n’est pas fini, reste comme ça et écarte bien tes jambes, je vais te défoncer ton cul salope et le préparer pour mes copains. Il s’approcha d’elle, lui mit un doigt à la chatte pour récupérer un peu de foutre et lui étala sur l’entrée de son cul avant d’y faire entrer un doigt. Il la branla quelques instants et, après l’avoir bien lubrifiée, approcha sa bite énorme et poussa sur le petit anneau. Annie laissait sortir des petits cris de douleur au fur et à mesure que la bite s’enfonçait dans son intimité, mais dès qu’elle fut totalement entrée, ces cris se changèrent en bruits d’acquiescement. Elle se faisait enculer une fois de plus et elle aimait ça. Pendant que son prédateur lui limait la rondelle, les trois autres jeunes s’approchèrent d’elle et lui mirent à tour de rôle leur bite dans la bouche. Elle qui avant n’aimait pas le goût d’une bite dans sa bouche était en train de se régaler de trois bonnes bites qui plus est recouvertes de foutre et de sa mouille. Je ne reconnaissais vraiment plus ma femme, mais je l’adorais de plus en plus. Au lieu de se contenter de sucer, elle se mit carrément à pomper les trois jeunes, ce qui eut pour effet de les faire jouir un par un dans sa bouche. Bousculée par cette bite qui l’enculait, son pompage ne pouvait être parfait et elle se retrouva donc avec une partie du foutre sur le visage. Elle était magnifique, salope, mais magnifique. Les trois jeunes bien vidés, le quatrième put accélérer ses mouvements et, après l’avoir limée et l’ayant fait jouir du cul quelques instants, c’était à son tour de lui éjaculer dans son cul.
Lorsqu’il sortit sa bite, Annie s’écroula une fois de plus sur le capot et resta là sans bouger, affalée, la chatte et le cul offerts recouverts et suintant de foutre. Les quatre jeunes se reculèrent sans rien dire pour se rhabiller, et je fus alors témoin d’une scène à laquelle je ne m’attendais pas du tout.
Le berger allemand qui était resté très calme jusque-là s’approcha d'Annie encore allongée sur son capot, le cul et la chatte offerts. Le chien approcha son museau de ces deux orifices et commença à renifler le foutre qui s’en échappait. Au premier coup de langue, Annie fut secouée d’un violent soubresaut qui se transforma vite en un puissant orgasme tellement la langue du chien était vigoureuse. Non seulement Annie venait de se faire baiser comme une véritable salope dans un parking par quatre inconnus, mais en plus elle prenait maintenant son pied avec ce chien. J’étais effaré, mais très excité. Les quatre jeunes aussi l’étaient, puisqu’ils avaient arrêté de se rhabiller et se branlaient de nouveau en regardant le spectacle. Le chien continuait le nettoyage du cul et de la chatte d'Annie pendant que celle-ci, littéralement allongée sur le ventre, appréciait les instants.
Ce qui devait arriver arriva : une fois tout le foutre nettoyé, le chien ne trouve plus rien à lécher. Excité par l’odeur émanant du sexe d'Annie, le chien mit ses pattes avant sur ses hanches et se dressa derrière Annie. Son sexe rouge turgescent s’approche du sexe humide de ma femme et s’y enfonce tout doucement, aidé qu’il est par tout ce mélange de foutre et de lèche. Le chien commença alors ses mouvements de va-et-vient. Annie était en train de se faire baiser par un chien et elle aimait ça. À chacune de ses pénétrations, elle laissait échapper un petit cri et tout se termina par un orgasme.
Oui, le chien la fit jouir jusqu’à son tour, le chien lâchant son foutre dans sa chatte. Excités à l’extrême par ce spectacle, les quatre jeunes laissèrent le chien s’écarter et vinrent tous profiter du cul d'Annie pour y lâcher leur foutre. Ils l’enculèrent tous un par un en se servant de son trou uniquement pour satisfaire leur besoin qui était réapparu par l’épisode du chien. Une fois leur action terminée, ils se rhabillèrent et s’éloignèrent après que le jeune eut lancé à Annie un « À bientôt ! ». Très prometteur. Après cela, Annie se releva et moi je continuais de l’admirer si sexy, si bandante dans cette tenue engluée de sperme même après s’être fait littéralement défoncer. Une seule chose me venait à l’esprit pendant qu’elle se rhabillait : j’ai mis un moment avant de rejoindre ma femme, j’ai attendu qu’elle se rhabille. Quand je suis arrivé, j'ai demandé si je n’avais pas été trop long ; elle m’a dit pas du tout. J’ai fait semblant de rien, mais j’ai bien remarqué les traces de sperme au sol ainsi qu’une énorme flaque de pisse ou de mouille qui avait dégouliné de sa chatte que de son cul après être montée dans la voiture. Quelques minutes plus tard, je sentais l’odeur du sperme et de chatte excitée, et moi, j’en avais déchargé dans le boxer, impossible de faire sans me branler.
Pour info, nous sommes retournés la semaine d’après. Les quatre jeunes étaient bien présents. Nous avons pris l’ascenseur. Quand nous sommes arrivés à l’étage, ma femme me dit : « J’ai oublié mon téléphone dans la voiture, j’arrive, je vais le chercher. » Je savais qu’elle avait envie de se faire baiser, j’ai attendu avant d’aller admirer une nouvelle fois ma femme se faire sauter par les quatre inconnus. Sauf quand je suis arrivé au parking, il n'y avait plus de voiture ni ma femme. Ils viennent de l’emmener au même moment, sur mon téléphone, un message pour me prévenir que ma femme ne rentrera pas ce soir, qu'elle va passer une ou deux nuits à Roubaix, pour bien la baiser, que ma femme était une bonne salope qui ne demande que ça, on la remmènera avec ta voiture. Tu as plus qu’à rentrer en taxi ou par le train, pendant qu’on, tous nos potes, profitent de bien la baiser et, surtout, de bien la remplir, ta femme. ANNIE. Je pense qu’elle ne va plus t’appartenir longtemps, on a quelqu’un qui va te proposer une demande de rompre les liens du mariage et de te rendre son alliance pour mieux s’offrir à nous.
Courage à toi, ta femme t'a bien fait cocu, une bonne salope, on a hâte de remettre ça.
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Va nous faire réchauffer les cafés Vanessa, ils doivent être froids, arrivera à dire Manon entre 2 râles de plaisir sur son apollo.n qui avait les mains sur son fessier pour le dirigé, mais aussi pour montrer a Vanessa une meilleure vue du vaisseau qui les emmenait dans les airs .
En effet, Ludovic écartait légèrement les paumes des fesses de Manon, aidé par le déhanchement de celle-ci ,qui se cambrait bien pour que Vanessa ne loupe rien du spectacle, de son spectacle.
" Les cafés Vanessa " insista Manon d'un ordre direct ce coup-ci , et agacée dans de si bons moments de devoir se répéter à celle-ci, toujours à genoux et qui comptait visiblement y rester.
Car ce soir Vanessa franchit barrière après barrière et descend marche après marche, elle n'est plus assise derrière Manon, mais à genoux.
Face à cette insistance de Manon, Vanessa se relève pour prendre le plateau ou était posée les cafés pour aller les faire réchauffer, sans y aller à reculons, et se dirigea vers la cuisine, une cuisine a l'Américaine qui donnait vue sur le salon, une vue pour Vanessa qui allait laisser les cafés froids encore un moment.
Vanessa apercevait cette fleur qui était nue, s'abandonnant de plus en plus a son mari, un début de transpiration commençait à apparaître dans la cambrure de ses reins, ce qui la rendait encore plus sexy, enfin plus Manon, car ce soir, elle transpire pour Ludovic, mais pour Vanessa, a cette distance elle brille.
On sent que Ludovic et Manon se découvre, ils veulent s'apprécier, l'arracheuse de chemise est devenu carresseuse de torse à bisous tendre, elle déguste son cadeau imprévu, essayant tout de même de le séduire avec tout les atouts qu'une hollywoodienne peut avoir.
Ses joues rougis, ses yeux si particulier et sa chevelure châtain qu'elle sait si bien balancer, auront raison de Ludovic qui aura un orgasme en même temps que Manon, qui jouira d'une façon bruyante et intense, et s'en rajouter ce coup-ci, après tant d'excitation accumulé .
Après que Manon ait planter son drapeau, et soit redescendu de la ou les Américains on planter le leur, Vanessa elle plane toujours, ramenant docilement les cafés aussi brûlant que l'ambiance, regardant Manon, toujours sur Ludovic reprendre son souffle et ses esprits, la tête posée sur l'épaule de ce dernier qui lui caressait les cheveux, mettant sa joue contre son front en lui donnant quelques baisers parfois.
Au bout d'une dizaine de minutes et les pulsations retombées, Manon se retire de Ludovic telle une cavalière dynastique qui descend de son cheval, retire le préservatif de son bel étalon, et le tend à Vanessa.
" Tiens Vanessa, tu en fais ce que tu veux, sois tu le jettes, sois tu le gardes en souvenir ", dit elle sans un rire de la façon la plus sarcastique et moqueuse, tout en fixant celle-ci dans le silence comme attendant sa réponse.
Mais Vanessa ne réfléchit plus, ou ne veut plus réfléchir à cette situation, pas maintenant, son shoot d'adrénaline est trop fort, pourquoi penserait elle a l'effet d'après en pleine euphorie.
Vanessa se lève sans un mot, prend l'arme du crime encore chaud dans les mains, fait quelques pas pour aller le jeter quand Manon la rappelle aussitôt." Tu sais Vanessa, hormis ton impolitesse, c'est ton ingratitude qui me dérange", dit cette dernière en allumant une cigarette et buvant quelques petites gorgées de son café, toujours nu et excitée, mais surtout toujours piquante.
Vanessa se tenait debout devant Manon, le préservatif dans le creux de sa main, ne sachant quoi répondre.
" Tu m'as bien demandé de coucher avec ton mari " , insista cette fleur à 2 cotés," oui Manon " répondit Vanessa d'un ton franc et audible, " c'est bien ce que je viens de faire, tu en as la preuve dans ta main que je me suis bien occupée de ton chéri ", continua celle-ci," oui Manon " répondit machinalement Vanessa, qui avait repris sa posture pathétiquement drôle, une main tendue et l'autre dans le dos, les yeux baissés.
" Alors ne penses-tu pas que la moindre des choses est de me dire merci " continua la fleur, comme si la douceur donner à Ludovic lui avait épaissi et rallonger ses épines, piquant plus fort et plus profond, et pourtant Vanessa ressent peu de douleur, anesthésié par son excitation .
Un secrètement psychique, mélanger au vagues océanique de plus en plus régulière dans la pauvre la culotte de celle-ci, et cela devient un cocktail anéstesiant puissant pour Vanessa , un cocktail qualifié de drogue dure dans le milieu muti goûts, mais strictement interdit dans le monde sucré, sans sel, pour cause d'effets secondaires indésirables, voir de dépendance.
" Je vous remercie Manon d'avoir couché avec mon mari ce soir ", dira elle sans bafouiller, comme une bonne élève qui a bien retenu la leçon , ou comme une bonne soumise qui s'applique à faire ses devoirs.
Après avoir écrasé sa cigarette, finit son café et ranger ses épines en voyant Vanessa revenir une main moite plus que l'autre, la fleur a 2 cotés , et même a 2 effets, n'en a pas fini avec Ludovic, certes elle pique Vanessa, mais elle enivre ce dernier.
Et puis Manon n'est pas la fille d'un soir habituellement, alors encore moins le coup de 10 min pris entre 2 en-cas dit vulgairement parlant, c'est même tout le contraire, l'en-cas c'est elle-même , bien décidé de faire goûter le menu à Ludovic tout en faisant payer l'addition à Vanessa .
Pendant que cette dernière buvait son café sans sucre, Manon était assise sur les genoux de Ludovic, tous les 2 nus ,
Elle lui passait la main autour de son cou et l'autre sur son torse , Vanessa pouvait apercevoir sa main vermiller d'un blanc discret parcourir le corps de son mari, qui se faisait recouvrir le visage et le coup de baisers tendrement venimeux de la fleur qui avait différentes façons de piquer.
Manon était assise sur Ludovic , lui chuchotant des mots a l'oreille,des mots que Vanessa n'entendait pas, des mots que Ludovic n'écoutait plus, ces mots étaient des frissons que Manon leur offrait , des frissons décuplés par les lèvres douces de l'actrice qui ne jouait plus.
Manon parcourait de baisers le torse de Ludovic , descendant lentement, entrecoupé par petit coup de langue, jusqu'à venir lécher les tablettes chocolatées de son pilote de ligne.
Voyant Manon à genoux écartant les jambes de son mari, Vanessa qui buvait maintenant son café froid, et non-fumeuse , resserra les siennes comme pour faire barrage aux rouleaux qui venaient s'échouer sur un tissu qu'il est déjà bien trop tard de protéger.
La fleur continuait de jouer de sa langue et de ses lèvres sur le sexe de son pilote, redevenu aussi dur et épais que lors de leur premier décollage, absorber cette fois-ci par la bouche, plus velours que gourmande de Manon,qui s'appliquait a tourner délicatement sa langue salivante autour de la fusée de Ludovic , s'assurant tout de même de ne pas vider le kérosène du réservoir qu'elle caressait .
La bouche de Manon redoublait de douceurs, elle regardait Ludovic dans les yeux entre 2 va-et-vient, comme pour y laisser une trace , autre que celle de son rouge à lèvres .
Une fois le sexe tendu de Ludovic et la langue bien humide de Manon , cette dernière se releva, pris la main de Ludovic qui se releva également et dit a Vanessa , " nous nous absentons quelque temps, hésite pas à mettre la télé si tu le souhaite " , dis elle machinalement et visiblement pressée d'aller revérifier si le drapeau américain ne s'était pas envolé," tu viens mon chéri " insista elle en emmenant Ludovic vers sa chambre.
Car la fleur a plus d'une épine a sa rose, mais aussi plus d'une flèche a son arc, a l'entente de ce mot si intime, Vanessa jusque la aneshtésier des épines qui la piquaient, ne le fut pas par cette flèche pointue qu'elle reçoit, une flèche faite pour toucher le cœur , pas pour faire couler le bas-ventre .
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Jubu est un petit caïd du 93. Toujours plein d'idées le Jubu pour se faire du fric facile. Il a créé un site sur le darkweb pour proposer ses services comme dresseur d'épouses casse couilles. Son slogan: ne tuez pas votre épouse, ne divorcez pas pour payer des pensions sans fins, dressez vos femmes. Avec nous services garantis. En huit jours nous vous matons votre femme pour l'obliger à vous obéir au doigt et à l'œil. Cinglé le Jubu ? Non, juste un opportuniste. 5000 euros le recyclage d'épouse pour 8 jours complet. Pour Jubu c'est presque cadeau comparé à la prison ou aux pensions.
Alfred est terrorisé par sa femme, la très belle Brigitte aux seins lourds. C'est elle qui porte la culotte depuis le début. Alfred a peur de sa femme qui le fait ramper comme un vermisseau à la maison. Il file droit, sinon il dérouille et il sait qu'il ne fait pas le poids.
Il a contacté Jubu via son site. Ce dernier a tout organisé. Alfred a offert une semaine de vacances à sa femme dans un coin idyllique qu'elle ne verra jamais. Le rendez vous est sur un parking discret. Jubu à garé son 4x4 et a empoigne Brigitte par les cheveux, l'a ligottee et jettee dans le coffre comme de rien. Brigitte a hurle au début mais Jubu lui a fait chut avec le doigt et elle a eu très peur et n'a plus osé rien dire. Jubu porte écrit sur son front le mot terreur. Et c'est vrai qu'il est terrifiant. Brigitte a pissé dans sa culotte de trouille. Ils ont roulé un peu. Les pneus ont crisse. La portière a claqué . Une main a empoigne Brigitte et elle a reçu deux baffes.
-Salope, qui t'a permis de pisser dans ma bagnole.
Brigitte était morte de trouille. Plus d'Alfred. Seule avec ce fou furieux. Elle a été conduite au garage et s'est retrouvée suspendue par les bras. Jubu l'a foutue à poil en découpant tous ses vêtements avec un gros couteau. Puis il a empoigne les poils de sa chatte et en a coupé une grosse mèche qu'il a reniflee.
- Très vraiment une salope toi, tu ne te fais pas assez ramoner.
Il a sorti un gros ceinturon de cuir et a commencé par lui frapper le cul. Et quand Jubu frappe, il ne fait pas semblant. Brigitte a hurlé, pleuré, supplié, autant parler à un mur. Et elle s'est encore pissée dessus de trouille. Cette fois elle avait vraiment peur.
Puis Jubu l'a attachée à une table avec du gros chatterton. Mains et pieds liés et son magnifique cul tout rouge offert.
Et Jubu l'a enculee d'un coup. Brigitte était vierge par là. Un coup terrible. Une douleur horrible. Et jubu a pris son pied. Il l'a baissée longtemps puis il a lâché son foutre en elle. Brigitte n'avait plus mal. Elle avait déconnecté. Elle était devenue une autre. Plongée dans le subspace ?
Le dressage a durée une semaine. Brigitte a été fessée, fouettée, enculee et elle n'a plus compté. Et surprise, au bout d'un moment, elle a commencé à prendre son pied et à jouir.
C'est même devenu de plus en plus jouissif pour elle. Pourtant Jubu ne l'a pas prise par la chatte. C'est dans son contrat de dressage. Au bout d'une semaine il a reconduit Brigitte, nue avec un collier et une laisse sur le parking. Elle a retrouvé son époux Alfred, qui de son côté avait reçu des consignes strictes.
Brigitte n'a rien dit pendant tout le trajet retour. Elle est restée sage, mains sur les cuisses ouvertes. Alfred a eu envie de sa femme. Il s'est arrêté dans un petit chemin forestier et lui a demandé de s'allonger sur le capot de la voiture. Ils ont baisé comme des malades et joui très fort tous les deux. Alfred a allumé une clope. Après s'être bien vidé les couilles dans la chatte serrée de sa femme il a eu envie de son cul. Elle lui avait toujours refusé cela. Brigitte le lui a offert cette fois sans dire un mot. Et ils ont encore joui très fort tous les deux. Enfin le couple faisait vraiment l'amour. Alfred n'a pas regretté ses 5000 euros.
Depuis Brigitte est heureuse à la maison. C'est devenue une parfaite épouse obéissante en tout et pour tout. Elle sait que si elle ne file pas droit, Jubu viendra s'occuper d'elle pour lui botter le cul ou pire, il enverra un de ses loubards le faire à sa place. C'est dans le contrat. Alors, il plus agréable d'obéir, surtout qu'Alfred à retrouvé toute sa virilité et la baise bien. Il n'oublie pas de la prendre sur ses genoux de temps en temps, pour lui flanquer une bonne fessée et la sodomiser le cul bien rouge après. Un mari qui sait donner du plaisir à sa femme est le plus heureux des hommes.
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