La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 22 heure(s)
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Par : le Hier, 17:58:07
Tout a réellement commencé le jour où j’ai découvert le site Omegle. Par simple curiosité, je m’y suis aventurée sans trop savoir ce que j’allais y trouver. Rapidement, j’ai commencé à y faire des rencontres virtuelles, parfois légères, parfois plus profondes, et certaines d’entre elles ont évolué vers des échanges intimes. C’est dans ce contexte que j’ai envoyé mes premières photos dénudées. Cette première expérience a marqué un tournant : elle m’a libérée d’une certaine retenue, et dès lors, je n’ai plus cessé de m’exposer publiquement, trouvant dans cette démarche une forme d’affirmation de moi-même. Avec le temps, à mesure que mes interactions devenaient plus variées, certaines personnes m’ont suggéré de me travestir. Au début, c’était une proposition anodine, presque un jeu, mais très vite, cela a éveillé quelque chose en moi. J’ai découvert un plaisir inattendu dans cette exploration de la féminité. Plus je m’investissais dans ces échanges, plus je ressentais le besoin – et l’envie – d’incarner pleinement une identité féminine. Cela m’a permis de mieux comprendre mes désirs, mes limites, et surtout, ce qui me procurait un véritable plaisir. C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris à quel point j’étais stimulée par le regard des autres, par leur désir, leur contrôle sur moi. Le fait de me sentir observée, utilisée même, m’apportait une forme d’excitation intense, difficile à expliquer mais profondément ancrée en moi. Progressivement, les demandes que je recevais sont devenues plus audacieuses, parfois extrêmes, et pourtant, je me suis surprise à les accepter, les unes après les autres, poussée par une forme d’abandon total. En m’immergeant davantage dans cet univers, j’ai découvert des aspects encore plus profonds de ma sexualité. L’un d’eux est le plaisir paradoxal que je ressens face au danger, à la perte de contrôle, à la sensation d’être à la merci d’un dominant. Être vulnérable, supplier, savoir que ses décisions pourraient avoir un impact réel sur ma vie privée… tout cela résonnait en moi d’une manière presque viscérale. Ce sentiment d’impuissance n’était pas effrayant, mais étrangement réconfortant, car il s’associait à une forme de confiance, de dépendance totale. Parmi ces pratiques, il y en a une en particulier qui a pris une place importante : l’urophilie, notamment dans un contexte d’humiliation. J’aime être rabaissée, qu’on me rappelle ma place, qu’on me déshumanise même, jusqu’à me réduire à l’état d’objet. Cela peut paraître extrême, mais pour moi, ce n’est pas synonyme de souffrance. Au contraire, c’est dans ces moments-là que je me sens pleinement connectée à mon rôle, utile pour mon maître, et cette utilité me remplit d’une joie profonde. Ce n’est plus seulement un jeu ou un fantasme : c’est devenu une part intégrante de mon identité.
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Par : le Hier, 08:42:15
Il était clair qu'on avait décidé de violer le rythme intime de son être, de briser cette pulsation volontaire qui régulait tous ses plaisirs. La lanière de cuir passant entre ses cuisses persécutait atrocement son clitoris, à croire que le modèle de ceinture de chasteté qui lui avait été imposé semblait être inspiré d'une scène de l'Inquisition espagnole. Mais elle craignait seulement que l'on devine la fierté et surtout le plaisir à la porter. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une femme qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses divagations, amener à la jouissance de jeunes oies blanches, consentantes et résignées en les flagellant, parfois jusqu'au sang, pour mieux révéler en elles leurs fantasmes de servitude et pour lesquelles la terreur semblait alors si douce. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. L'inconnue la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que l'inconnue exigeait d'elle. Il devait venir.   Tout était dit dans cet épisode cruel où, d'une difficulté assez courante imposée par son sort, on avait fait un drame aggravé en niant sa sensibilité, en lui refusant le droit d'avoir mal, aussi longtemps qu'elle en éprouverait l'affreuse nécessité. Elle ravalait ses sanglots, car elle n'avait pas droit de douter. Tout ce qui lui était imposé était voulu par elle. S'il convient de toujours conserver une certaine distance dans les relations amoureuses pour entretenir une part de mystère, elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, la jeune fille se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre fraîche du salon, par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire.   À nouveau, son irrespect aveugle éclatait, cinglant. Son orgueil était en vérité plus fort que son amour. Elle nourrit d'amers regrets et de sombres repentirs. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Son corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Fouettée, tu es éclairée comme par le dedans, et l'on voit sur ton visage le bonheur et l'imperceptible sourire intérieur que l'on devine aux yeux des esclaves.    Au fil des ans, elle s'était découvert une envie d'audace dans la façon d'être prise, de rupture dans les rythmes d'un érotisme fatigué, le besoin même d'être forcée, emmenée loin de ses balises ordinaires par la femme qu'elle aimait, conduite par elle seule jusqu'au cœur de ses peurs les plus tentantes. Elle lui en voulait qu'elle n'eût pas deviné qu'elle souhaitait désormais être sa chienne. Tout ce que tu imaginais correspond à tes fantasmes, sans doute inconscients. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse, fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Le fouet ne fut pas de trop pour la calmer mais Juliette entendrait, encore une fois bientôt Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/05/25
Tu entres dans la pièce comme on entre dans une église oubliée. Il n’y a pas de croix. Pas d’autel. Mais il y a la corde. Les pierres. Des bougies. Il y a lui. Et il t’attend. Tu es nue. Tu sais pourquoi. Ce n’est pas un jeu. C’est une offrande.   Il avait tout préparé : les cordes suspendues, les chandelles posées sur les pierres froides, l’encens lentement consumé. Une pièce hors du temps. Une cathédrale clandestine.   Il s’approche sans un mot. Ses gestes sont lents, précis. Tu présentes tes bras. Il les croise dans ton dos, les tire, les noue dans un gote shibari impeccable. La corde râpe ta peau, te prend les épaules, t’ouvre la poitrine. Déjà, ton souffle change. Tu n’es pas encore suspendue, mais tu commences à tomber.   Il fait glisser la cravache contre ta cuisse nue. Le premier coup est un murmure. Le second, un mot. Puis une phrase. Il écrit sur toi. À chaque impact, ton souffle se brise, tes gémissements s’échappent comme des prières. Les traits s’impriment sur ta peau — cuisses, hanches, ventre. Il monte plus haut. Tu cries sans mots. Offerte à l’obscurité.   Puis, il te suspend.   Ton corps quitte le sol. Lentement. En te mettant sur la pointe des pieds. Le vide te prend. Il te fait tourner. Ta chair suit. Les cordes vibrent. Tu n’es plus une femme. Tu es une forme une oeuvre d’art . Une offrande. Une vérité tendue entre douleur et extase.   Mais il ne s’arrête pas.   Il reprend la cravache. Plus dure. Il vise le haut des cuisses, le bas-ventre, la naissance des seins. Les tétons gonflés de désir. Les impacts sont plus lourds. Tu hurles ! Pas pour qu’il cesse, mais pour qu’il t’ouvre plus encore. Tu veux passer de l’autre côté. Tu veux la brûlure. Tu veux la lumière derrière la douleur.   Il te fait descendre. Tu trembles. Il te regarde. Tu es marquée. Mais pas assez.   Tu t’allonges sur le dos. Il déroule une corde plus longue, plus rêche. Il recommence.   Le Hishi Karada se dessine sur toi comme un filet sacré. Une ligne entre tes seins. Des losanges autour de ta poitrine, de ton ventre. Les nœuds serrent. La géométrie t’emprisonne. Tu n’es plus libre. Mais tu n’as jamais été aussi vivante.   Il te soulève à nouveau. Cette fois, juste au-dessus du sol. Flottante. Fragile. Vibrante.   Il approche. Il contemple les marques, les rougeurs, les hématomes naissants. Il effleure, puis frappe. À la main. Fort. Tes seins, ton ventre, l’intérieur de tes cuisses, ton sexe humide de désir et d’envie . Il frappe jusqu’à ce que tu pleures. Pas de tristesse. De libération. Les coups te percent. Ils t’ouvrent. Et puis, enfin, il glisse les doigts sur ton sexe.   Tu es brûlante. Trempée. Tu cries sans son. Tu te tords. Tu jouis, suspendue, marquée, tendue comme une corde elle-même.   Et il te rattrape.   Il défait les nœuds, lentement. Chaque corde qui tombe est un souffle libéré. Tu es rouge. Tachetée de douleur. Belle. Il t’enveloppe d’une couverture. Il te garde contre lui. Tu grelottes. Il est chaud. Il est là. Il ne dit rien. Tu pleures. Il t’embrasse la tempe.   Tu reviens. Minute après minute. Du gouffre. Du feu.   « Recommence… un jour », tu murmures.   Il comprend.   Ce n’est pas du sexe. Pas un fantasme. C’est votre langue. Votre confession. Votre vérité.   Tu ne lui appartiens pas. Il ne te possède pas. Mais vous êtes liés. Par les cordes. Par les marques. Par ce feu que vous seuls pouvez supporter ensemble.   Il la tient contre lui, encore. Elle ne parle plus. Mais son regard le transperce : brut, lucide. Un regard d’animal qui a vu le gouffre. Elle tend la main, touche son torse. Lui aussi est marqué. Par elle.   Chaque séance la fait entrer plus loin en lui. Elle sait quand un nœud est fait pour la beauté. Et quand il est fait pour l’adorer.   Elle a dit « oui » sans mot, avec chaque fibre de son corps. Et il sent déjà le vide que laissera son absence.   Mais il attendra.   Parce qu’il sait que ce n’est pas un jeu. C’est un pacte. Une religion secrète. Un feu.   Et elle… Elle brillera encore.
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Par : le 26/05/25
Il lui semblait qu'un peu de dignité lui était enfin rendue. Les consolations qui lui vinrent ainsi de souvenirs, parfois fort beaux et paradoxalement cuisants, sont tout à fait incroyables. Après de longs, longs mois, l'oubli qu'elle avait espéré et craint s'étendait sur elle. Il est difficile de décider où commencent les histoires et aussi où elles se terminent. Leur point de départ est toujours un peu arbitraire. Leur fin, même quand elle est brutale, traîne inlassablement dans les franges des souvenirs, dans les amertumes de l'oubli qui veut se faire et ne veut pas se faire. C'était comme un brouillard opaque qui se perçait brusquement. Elle était heureuse et malheureuse. Certaines nuits étaient encore un peu dures et elle s'éveillait brusquement en nage et elle pensait que sa sa bêtise et sa folie avaient été assez punies. Alors qu'il y avait au-dessus d'elle une grande glace, recouvrant totalement le plafond, que n'interrompait aucun luminaire, la jeune femme se voyait ouverte, chaque fois que son regard rencontrait le large miroir. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon total très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec violence.   Pour la première fois, elle réalisait qu'elle était heureuse. Elle oubliait sa colère, elle oubliait sa tristesse pour ne plus ressentir que du plaisir. Le monde de l'amour heureux est à la fois orienté et absurde: orienté, parce qu'il est tout plein d'un seul être; absurde, parce que cette présence envahissante n'est pour nous qu'une absence et qu'elle semble être là que pour nous faire subir un vide. Elle était sortie du monde de l'indifférence pour entrer dans un monde où la passion l'avait contrainte par la force à donner un sens aux choses. Elle continuait à croire  que n'importe quoi arrivait n'importe quand à n'importe qui. De temps en temps, elle parvenait à imaginer sans trop de déchirementd la vie de Juliette avec une autre. Elle trouvait des consolations dans son éventuel bonheur. Mais quand elle se disait qu'elle ne serait même pas heureuse, alors le désespoir reparaissait plus cruel et elle se reprenait à penser qu'elle n'était faite que pour elle. Plutôt alors mille fois voir Juliette morte que de la voir attachée à une autre ! Et non seulement parce que l'image de ces bras, de ces sueurs mêlées, de son corps étendu auprès d'un corps que l'anonymat ne protégeait pas de sa haine impuissante, était intolérable au-delà de ce que les mots sont capables d'exprimer, mais aussi parce que tant qu'il restait une chance, une seule, pour que Juliette lui revînt, cette chance était la pire douleur. La souffrance pure, la souffrance simple, la souffrance deuil n'était rien au regard de cette souffrance-sursis, aiguisée par les attentes et les résurrections. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but le suc délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Tout ne lui serait pas infligé à la fois. Elle aurait plus tard la permission de se débattre, de crier et de pleurer. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Elle s'agenouilla entre ses jambes et Juliette voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessous d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Juliette. Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Sous ses longs yeux fermés un cerne violet s'étalait et une seule larme avait roulé au creux de sa joue.   Au coin de sa bouche, ces deux  fines rides qu'avait tracées l'amertume se creusaient davantage et, de temps en temps, un soupir si doux, si las s'échappait de sa potrine. ll y a une logique propre aux amours heureuses qui donne aux mots une signification nouvelle. Lorsque la coquetterie du bourreau vient jouer en outre sur les doubles sens et raffine ainsi sur la cruauté naturelle des attitudes et des expressions, on imagine les ravages que font alors les malentendus. Le bourreau est toujours innocent. Il n'avait que de l'amitié, il n'avait rien remarqué: à la rigueur, si on le pousse à bout, il se déclarera inconscient. Et s'il y a un coup de feu final, ou un corps qui s'écrase, ou un somnifère à triple ou décuple dose, il balbutiera, avec une horreur qui aura quelque peine à remplacer la satisfaction, qu'il était fou et qu'il ne savait pas. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur, commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était alors tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Ses phalanges pénétrèrent son ventre. Les lèvres entre les jambes de Charlotte, qui la brûlaient, lui étaient interdites, car elle les savait ouverte à qui voudrait. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarrassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Tout en haïssant le regard de triomphe de Juliette, Charlotte frissonnait d'un étrange plaisir, d'un désir tremblant, toute prête à être encore vaincue, encore prise avec cette brutalité délicieuse.   Ses yeux brillaient dans la pénombre humide, et ses cheveux roux, à peine bouclés, lui donnaient un air de grand seigneur exilé, de libertin courageux. La jeune femme effleura de ses lèvres la dure pointe des seins, de sa main le creux du ventre. Juliette fut prompte à se rendre mais ce n'était pas à elle. Il était indifférent à Juliette que Charlotte admirât son visage lissé et rajeuni, sa belle bouche haletante, indifférent qu'elle l'entendît gémir, quand elle saisit entre ses dents et ses lèvres la crête de chair cachée de son ventre. Simplement Juliette la prit par les cheveux pour l'appuyer plus fort contre elle, et ne la laissa aller que pour lui dire de recommencer. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/05/25
Cela faisait quelques semaines que nous échangions, partageant nos envies, nos fantasmes, nos curiosités. Chaque message ajoutait un peu plus à cette tension qui montait doucement, une attente pleine de promesses. Le premier rendez-vous avait été manqué, pour des raisons complexes, mais jamais il n’avait été perçu comme un échec. Il avait simplement repoussé ce qui devenait inévitable.   Un second rendez-vous fut fixé. Cette fois, tout semblait aligné. Nous savions pourquoi nous venions l’un vers l’autre : pour explorer, ressentir, et surtout respecter chaque désir, chaque limite.   Le jour J, toute la matinée, je m’affaire. Je prépare l’espace, je pense à toi, à ce que tu pourrais aimer, à ce que nous avons évoqué. L’heure approche, tu m’écris : « J’arrive dans 5 minutes ». Je t’attends, debout, devant la baie vitrée, un verre de jus d’ananas à la main. Et je te vois.   Tu traverses l’allée, une valise à la main, ton allure irrésistiblement provocante. Talons hauts, collants résille, une jupe noire très courte qui souligne tes hanches, et un décolleté léger, à peine dissimulé par ta longue veste en jean. Tu avances, confiante, consciente de l’effet que tu produis. Je t’invite à entrer. Nos yeux se croisent. Tu souris, espiègle. Je ressens aussitôt cette alchimie revenir, encore plus forte.   Je t’accueille dans mes bras, je te glisse à l’oreille : « Qu’est-ce que tu es belle… ». Tu réponds, tout sourire : « Ça y est, on y est arrivé. » Et je te réponds, sincère : « Oui, et je suis ravi que tu sois là. »   Nous montons à l’étage, les regards s’alourdissent, nos corps se cherchent déjà. L’excitation est palpable. Une fois dans la chambre, tu poses ta valise. Ton regard se pose sur un objet posé sur le lit.   « Tiens, j’avais pas vu le martinet… » me dis-tu avec un sourire malicieux.   « Une surprise. Il y en a d’autres qui t’attendent », te répondis-je, amusé par ta réaction.   Nous nous rapprochons. Mon regard s’ancre dans le tien. Je te caresse le visage, puis t’embrasse. Un baiser d’abord doux, puis plus passionné. Nos langues se cherchent, se découvrent. Je glisse mes mains dans tes cheveux, t’attirant à moi avec fermeté, te dominant doucement, ressentant ton abandon. Mes mains explorent ton corps, caressent ta poitrine, tes fesses fermes, ton dos. Tu frissonnes, ton souffle s’accélère.   Nous prenons un moment pour parler, comme convenu. Consentement, limites, envies. Ce n’est pas un simple jeu — c’est une confiance mutuelle, un espace sacré que nous construisons ensemble. Puis je t’invite à découvrir les accessoires éparpillés ici et là : une balançoire de porte, des cravaches, des menottes, des rubans… Tes yeux brillent.   Je désigne ta valise. « Et là-dedans, qu’est-ce que tu as apporté ? » te demandai-je, curieux.   Tu éclates de rire. « Je me demandais quand tu allais poser la question ! » Tu l’ouvres, lentement, comme pour faire monter la tension. Et tu me montres, un à un, les objets que tu as choisis. Un plug à queue de diable, un autre en fourrure de renarde, un harnais, et deux godemichés XXL, auxquels tu as donné des prénoms. Intrigué, je t’interroge : « Tu les utilises souvent ? »   « Je suis une nymphe qui aime beaucoup se faire du bien », dis-tu avec un clin d’œil.   Je souris. « Tant mieux. J’adore les filles un peu trop curieuses et gourmandes. Je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi. »   Ton regard me dit tout : tu es prête, avide, et profondément consentante.   Je me glisse derrière toi, mes mains reprennent leur danse sur ton corps, effleurent tes courbes, s’attardent sur ta poitrine, tes hanches. Tu te cambres contre moi, ton souffle tremble, ton corps parle un langage que je comprends. Tes tétons se durcissent sous mes caresses. Je te murmure à l’oreille des mots que seul ton corps saura interpréter. Je descends mes doigts le long de ton ventre jusqu’à ton intimité… déjà humide.   Je ris doucement : « Déjà ? »   « Oui », réponds-tu, sans honte, les yeux pleins de feu.   Je te demande de te déshabiller. Tu obéis avec grâce, te dévoilant lentement, presque théâtralement. Une fois nue, je te tends ton corset, que tu enfiles, puis je te passe un collier fin autour du cou, comme une promesse silencieuse. Je t’installe à quatre pattes sur le lit. La cravache à la main, j’admire tes fesses, ton dos cambré, cette offrande assumée.   Je commence doucement. Des claques mesurées, rythmées, suivies de caresses qui apaisent. Ton corps réagit, tu gémis, ton souffle s’alourdit. Puis je change d’instrument. Le paddle vibre plus fort sur ta peau. Ton sexe est brûlant, gonflé de désir. J’alterne entre plaisir et tension, cherchant le point d’équilibre.   Je place un bâillon à tes lèvres, j’attache des pinces sur ta poitrine. Tes yeux s’assombrissent de plaisir. Tu es là, offerte, puissante dans ta vulnérabilité.   Je prends ta chevelure, t’incline vers l’arrière, et glisse mes doigts en toi. Un, deux, trois… tu es accueillante, ouverte, et bientôt c’est ma main entière que tu reçois. Tu cries à travers le bâillon, ton corps tremble de plaisir.   Je ressens chaque pulsation, chaque contraction. Je te tiens, fermement, te soutiens. Tu jouis dans mes bras, belle, indomptable.   Tu tends alors ton jouet XXL. Je comprends. Tu en veux plus.   Je te l’introduis lentement, te regardant, attentif à chaque réaction. Ton corps l’accueille sans résistance. Je commence à bouger. Tes gémissements deviennent chants. Je frappe doucement tes fesses, leur teinte rosée me ravi.   « Je ne vais pas te prendre », te dis-je, penché à ton oreille. « Je veux juste te voir jouir… encore. »   Je t’accélère, te pousse à bout. Et puis tu exploses. Tu jouis, tu te répands, ton plaisir devient une onde liquide. Tu es une fontaine, comme tu aimes le dire, et je me régale de te voir ainsi.   Je te fais t’allonger. Ma main se pose sur ton cou, et tu poses les tiennes sur la mienne. Tu veux sentir la pression, ce juste déséquilibre entre contrôle et abandon. Et tu jouis encore, intensément, libérée. Si excitant de voir un corps si joli avec un visage d'ange se transformer en une si belle petite diablesse.    Nous nous arrêtâmes pour nous désaltérer, puis nous avons pris le temps de discuter de ce moment et d'autres. Cependant, ce n'était pas la fin de notre rendez-vous, car nous avons continué la session encore plus intensément à prendre plaisir de chaque jeux   Quand enfin le calme revient, nos corps sont tremblants. Je défais les accessoires, avec douceur, presque tendrement. Chaque geste est un mot que je ne prononce pas : respect, soin, présence. Tu souris, les traits détendus.   Nous restons là, à nous parler, à nous toucher doucement, sans but, juste pour le plaisir du contact. Il y a dans ce silence une intimité rare, née de la confiance absolue. Nous avons partagé quelque chose de fort, de brut, et de beau.   Et c’est ainsi que notre rendez-vous trouva sa plus belle fin.
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Par : le 23/05/25
Me voici maintenant préférant restée seule jusqu'au jour où je trouverais celui qui sans rien me demander en échange, sans rien dire m'acceptera telle que je suis. En attendant, je parcours le mur, en silence. Il se peut qu'un jour quelqu'un(e) y perçoive le son qui en ressort. Ces mots je les ai posés le 21 avril 2025 dans mon premier article.   Puis il y a eu cet hommage, qui sans me l'expliquer moi même, à attirer mon attention. Une demande d'ajout d'ami, laquelle sur 1500 vue de mon profil ce jour là, a retenue ma curiosité. Je l'ai accepté, et nous avons commencés un échange. Très courtois de sa part, sans attente, ni de l'un ni de l'autre. Juste des mots, nos maux qui défilaient sur nos claviers. Une fluidité, une telle clarté, qui sans le vouloir nous rapprochait au fil de nos discussions.   Puis il y a eu ce voyage, ahhh ce voyage, lui dans son train, moi échangeant avec lui. C'est là que sans réfléchir, je lui ai suggérer ce que je lui demanderais s'il m'appartenait. C'est là que tout à commencé, c'est là qu'il a plié sans même que je lui ordonne.   Parce qu'il faut savoir lorsque cela se présente. Une pureté d'obéissance, de dévotion, loyal.   D'aventure en aventure, je le cherchais. Il se cachait dans mes plus grands fantasmes de posséder un jour un Soumis comme lui. J'ai rencontré de multiples « soumis » où chacun me soumettant leur exigence, me faisait fuir. Mais lui ! Je n'y croyais pas, je l'ai même mis face à mes doutes alors qu'il y croyait déjà. Aujourd'hui il est là. Il ne demande jamais rien que d'assouvir mes moindres désirs. A aucun moment il ne m'a fait part d'un souhait. Il reste là, dans l'attente de mes directives en silence, plié, à genoux. Et il s'exécute au plus vite qu'il le peut.   Nous nous nourrissons aujourd'hui l'un de l'autre, et notre appétit est bien présent. Il sait que le feu jaillit en moi, et il est prêt. Prêt à recevoir ces flammes sans reculer. Il est là et il attend prosterné à mes pieds, que le Volcan naisse enfin. Il a perçu le son de mon silence, et il accueille son bruit... Dédicace à @Elio
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Par : le 22/05/25
Ludovic voyait l'état de sa femme et savait parfaitement ce que se disait cette dernière, la fête et l'alcool aidant Ludovic en jouait et en rigolait sans vouloir franchir la limite, tout du moins c 'est ce que se disait Vanessa . A la fin du repas et continuant leur conversation très peu de fois couper pendant ce délicieux dîner, voyant les invités de plus en plus distrait par l'ambiance et la musique, Manon s'approcha de l'oreille de Ludovic et lui murmura de son souffle chaud et frissonnant une phrase que Ludovic entendit à peine et pas à cause de la forte sonorité, mais qu'il compris au mot cigarette. Nous allons assouvir notre vice du tabagisme dit Ludovic d'un air blagueur en quittant la table et en regardant d'un air complice Vanessa qui devenait de plus en plus rouge et transpirante comme si la température de la salle augmentait au gré de son excitation, vanessa avait de plus en plus de mal à parler, à réfléchir , à faire bonne contenance devant les invités, mais elle s'y forçait bien que son esprit soit si loin. Une quinzaine de minutes interminables plus tard pour Vanessa , celle-ci aperçoit son mari revenir à la table sans Manon parti sur la piste de dance,elle est rassurée de voir  Ludovic regagner sa place à la table. Une fois assis seul avec Vanessa a la table désertée par les invités pour quelques instants, ils se regardèrent avec un regard qui en dit beaucoup, ils se connaissent et s'aiment, c'est tout du moins ce qui en ressort de leurs conversations oculaires a cet instant. S'approchant de Vanessa d'une manière douce et rassurante, lui remettant la mèche de ses cheveux derrière l'oreille, lui déposa un bisou très furtif sur les lèvres et  posa la question droit dans les yeux de sa femme de la manière la plus sérieuse qu'il soit. Tu es sûr que c 'est ce que tu veux vraiment mon amour, tu en es bien certaine, réfléchis bien, tu sais cette femme me plaît beaucoup et nous avons l'air de très bien nous entendre elle et moi, donc je te le répète c 'est vraiment cela que tu veux, que je couche avec . A cet instant la bouche de Vanessa n'émet aucun son, voilà ce que l'on va faire repris ludovic , je te laisse réfléchir et m'envoyer la réponse au cours de la soirée sur mon téléphone portable, un oui et je serai que je pourrais là faire jouir longuement et m'occuper de cette jolie beauté, a l'entente de ses mots la ce ne sont plus des gouttes qui tombe sur la dentelle préférée de Vanessa , c 'est une rivière qui coule, et si c 'est un non nous continuerons la soirée normalement . Mais attention continua Ludovic, tu pourras toujours arrêter pendant si tu ne le supporte pas, mais dans ce cas-là, je voudrais plus jamais entendre parler de cela hormis nos rapports parfois, ce à quoi Vanessa répondit très rapidement, oui mon chéri c 'est parfaitement clair. Ok je retourne sur la piste de danse voir où est cette jolie Manon lança Ludovic avec un sourire complice et malicieux  à sa femme . Vanessa avait besoin de prendre l'air et de réfléchir au chemin à prendre , quel choix faire,  allait- elle franchir ce saut dans l'inconnu et répondre à ses pulsions, briserait elle ses barrières mentales ou allait- elle rester au niveau du fantasme . Vers 23h la fête bat son plein, l'ambiance est très festive, mais également très chaleureuse, Manon et Ludovic se sont retirer dans un coin plutôt discret sans être Suspect non plus aux yeux des autres, d'ailleurs pas grand monde n'y passe voir personne quand Ludovic entend une sonnerie de sms qu'il vient de recevoir. Oui mon chéri, je le veux, j'en suis sur je le veux, je t'aime et j'ai confiance en toi auquel Ludovic répondra, ok retrouve nous dans 15 min a l'endroit indiquer . Et revoilà Vanessa repartie pour 15 min encore plus interminables que celle de tout à l'heure, le temps d'un petit remontant, elle en a bien besoin . Après ce laps de temps et se rendant sur le lieu indiqué par Ludovic, Vanessa aperçu au loin et de plus en plus près et au fur et à mesure de ses pas, son mari enlaçant Manon dans ses bras par-derrière admirant le ciel étoilé, la joue contre la sienne, on dirait un parfait petit couple pour quiconque qui ne les connaîtrait pas . A cette vue que découvre Vanessa, les émotions sont trop nombreuses à se mélanger, sa jalousie lui donne un hypercut dans le cœur, mais son excitation remplace sa rivière par un océan, Vanessa n 'est pas décontenancé ni perturber, a ce stade elle ne l'est plus , Vanessa est dans un état presque Semi-hypnotique, rêve elle ? est ce la réalité ? se demandait son corps cérébral. Arrivant les jambes tremblantes et la culotte inondée, Vanessa baissa instinctivement les yeux et n'osa pas regarder Manon quand celle-ci et Ludovic se retournent après avoir tracé la grande ourse et prédit le temps ensoleillé de demain , un long silence s'installa ce qui déstabilisa encore plus Vanessa , en effet pourquoi Manon est si sur d'elle et décontracté dans les bras de son mari a la vue de la femme de celui-ci , était elle au courant, Ludovic l'avait elle mise au courant de ses envies , tellement de questions se posait elle  . Mais vanessa savait ce qu'elle voulait au fond d'elle-même , et depuis trop longtemps , elle savait ce qu'elle était venu chercher , elle était venu chercher ce genre d'humiliation même, cette humiliation qu'elle ressent a cette instant, rouge de honte, les yeux baissés , incapable de sortir le moindre mot de ses cordes vocales , parfois observer , parfois devisager par manon qui fait ressortir un multitude d'expression les plus moqueurs et sarcastique venant de ses magnifiques yeux marron vert si particulier auquel ludovic a été séduit . Vanessa c 'est bien ca lui posa comme question manon d'une facon la plus normal possible , un oui inaudible presque muet essaya d'emettre vanessa , pardon je n'entend pas insista manon , oui je m'appel vanessa , trés bien la coupa aussitot manon d'une voix calme et sur d'elle . Vanessa tu vas allez surveillez quelques instant au cas ou quelqu'un nous voit , tu voudrais quand meme pas qu'ont surprenne ton mari en train d'embrasser une autre dit elle en rigolant elle et Ludovic déjà visiblement complice, mais attention nous te voulons quand même dans notre champ de vision insista Manon  . Sans même se poser de question, Vanessa exécuta l'ordre dès l'instant, partis quelques mètres plus loin surveiller les alentours, sans entendre ce que pouvait se dire Manon et son mari a cette distance-là, elle pouvait simplement les voir s'embrasser, se goûter, se déguster même, leurs désirs était flagrant, leurs baiser de plus en plus fougueux, pendant que l'excitation de cette humiliation en donnait mal au bas-ventre de Vanessa, elle les entendait rire en là regardant , se moquait-il  , probablement se disait elle , voyant Manon sur les genoux de son mari assis sur le banc avec sa jupe cachant à peine sa dentelle rose qui masquait son intimité . Au bout d'une trentaine de minutes à surveiller les alentours ou plutôt à observer ce que faisait  Manon et son mari , Vanessa fut appelé au loin d'un geste de la main par Manon , une fois arrivé a leur hauteur du banc ou les 2 presque inséparables depuis quelques heures maintenant, semblait seul au monde . Vanessa, tu vas aller nous chercher 2 coupes de champagne pour fêter cette magnifique soirée dit Manon de la façon dont elle sait si bien faire,ironique et douce mais surtout subtil et fine, à l'inverse de Vanessa au travail qui elle est, sec cassante et arrogante , Manon elle est tout le contraire mais pas moins dur et surtout beaucoup plus humiliante , elle commençait à comprendre ce que voulait  vanessa ,le genre d'humiliation mental, cérébral qu'elle Recherchait . A ce nouvel ordre et sans dire un mot  vanessa tourna les talons instantanément pour aller chercher les 2 coupes de champagnes quand Manon la rappela aussi sec , avec un ton de plus en plus sur d'elle . Dis-moi Vanessa dit Manon comme si elle s'adressait à une adolescente timide, viens t'asseoir a coté de nous continua Manon , ce que fit Vanessa exactement comme une adolescente timide , sait tu que quand quelqu'un s'adresse à toi il est impoli de ne pas lui répondre poursuivi Manon .  Ce n 'est plus comme à une adolescente que s'adresse Manon mais comme à une petite fille à laquelle on éduque à apprendre la politesse . Devant cette humiliation grandissante au fil du temps qui s'écoule, Vanessa n 'est plus dans un état semi-hypnotique , mais presque hypnotisé, ces fantasmes, ces envies, ces désirs , ces pulsions, cette obsession constante qui lui parcourt son corps et sa boîte crânienne depuis tant de temps sont plus fort qu'elle , l'émotion corporelle l'emporte sur sa raison , a ce stade elle ne pense plus, ne réfléchis plus , son entre jambes  coulant tel une fontaine depuis le début de la soirée lui a fait comprendre qu'elle avait déjà perdu la parti face à sa conscience. Après cette remontrance enfantine de Manon et les excuses de Vanessa du même niveau, l'élégance de celle-ci a totalement disparu, sa docilité et son obéissance en Frôlerait même le pathétique en la voyant aller chercher d'un pas vif voir presque courir pour rapporter les remontants demandés par sa rivale . Que se passait-il dans la tête de Vanessa se demandait Ludovic , celui-ci savait les désirs profonds d'adultère de sa femme , il savait que Vanessa aimait être soumise Parfois  dans l'intimité, mais fut quand même surpris par la docilité et l'obéissance de celle-ci envers Manon . Était ce l'alcool, l'excitation d 'assouvir son fantasme , l'humiliation d'obéir a Manon , sûrement tout ce cocktail se disait il . Quand Vanessa revient une dizaine de minutes plus tard tenant les coupes de champagne a la main de façon machinal et toujours aussi docile, ce qu'elle voit pourrait presque lui faire tomber quelques gouttes de millésime qu'elle tient entre les mains, elle a comme une impression d'assister a un début de scène érotique, manon est à califourchon sur Ludovic , l'atmosphère est légèrement plus animalières , ils ne se dégustent plus , ils se dévorent, Ludovic remonte la jupe de manon de la main gauche pour caresser la cambrure de son fessier presque parfait il faut le dire  , qui d'ailleurs en joue bien et en rajoute plus qu'il en faut devant Vanessa , pendant que la main droite lui caressait l'entre-jambe , seulement 2 doigts avaient franchi la frontière protéger pas un tissu mouillé, les 2 doigts qui auraient probablement fait jouir à ce moment la Vanessa devant ce qu'elle voyait, Manon poussait des petits gémissements en embrassant Ludovic cette fois-ci plus langoureusement, parcourant parfois par petit coup de langue les lèvres de Ludovic comme le ferait une actrice chic et sexy d'Hollywood jouant le rôle d'une femme fatalement douce  . Pendant un instant Vanessa se demanda s'ils n 'allaient pas arriver ce qu'elle a tant de fois imaginer dans sa tête ici devant elle , mais ne voulant pas jouer avec le feu , ludovic et manon ineterrompu leur voyage auquel il était parti , demandairent les coupes a vanessa qu'elle tenait depuis aumoins 5 bonnes minutes et lui dit d'allez continuer  surveillez , ce que fit vanessa presque contente d'allez surveillez par sécurtié , mais presque tout aussi decu de ne pas assister a la suite des évements , qui sera fera toutefois avec beaucoup moins d'ardeur. Manon et Ludovic sirote leur grand cru accompagné d'une cigarette , rigolant se touchant s'embrassant comme un petit couple auquel vanessa les a trouver tout a l'heure sous les étoiles .Une trentaine de minutes plus tard , l'aiguille de la montre défilant toujours trop rapidement dans ce genre de situations, sauf peut- être pour Vanessa qui contente de revoir son mari mais également Manon marché de façon  normale pour regagner la soirée. Au fait mon amour dit Ludovic a Vanessa , qui a l'entente de ce mot reçoit un peu de réconfort dans cette épreuve volontaire ,Manon habite à une vingtaine de minutes de chez nous, je pense que cela ne te dérange pas que nous la raccompagnons ce soir  poursuivi Ludovic , ce qu'accepta Vanessa d'une manière de peur de décevoir son mari et Manon étrangement, en fait Vanessa se découvrait elle même , elle ne fuyait pas cette situation , au contraire, l'attirance d'allez plus loin était une nouvelle fois plus forte qu'elle . Après avoir dit au revoir a certains invités, Ludovic prit Vanessa  à part seul ,et d'un geste toujours aussi rassurant, carressant de sa main la joue de sa femme comme un mari aimant , pose une nouvelle fois la question a vanessa . Et tu sur que c 'est vraiment ce que tu veux mon amour , elle m'attire beaucoup , elle me fait beaucoup d'effet et nous avons l'air d'avoir beaucoup de points communs , es tu sur des conséquences mon amour si je passe la nuit avec elle , elle  peut etre dominante et humiliante avec toi tu l'as bien vu je suppose ,si c 'est cela que tu veux , je le veux bien aussi,  mais je te demande de reflechir une derniere fois  , alors quand nous irons à la voiture pour ramener Manon , si tu prends la place de devant cela voudra dire que  l'on arrête et nous raccompagnerons Manon de façon normal et courtoise ,si tu t'assois derrière cela voudra dire que je ferai l'amour ce soir a Manon , je la baiserais fort peut être , je ferais tout pour la faire jouir je veux que tu le sache mon amour .A ces dernières mises en garde de Ludovic , le cerveau de Vanessa était en ébullition et son bas- ventre une bombe à retardement . Ce fut une soirée ravissante et un joli mariage se réjouit Ludovic pendant la marche qui les ramena a la voiture Manon sa femme et lui , ho je dirais même encore mieux rajouta Manon d'un rire étouffé, et toi Vanessa qu'en pense tu demanda manon une fois arriver à la hauteur de la  voiture , dans un dernier gloussement et d'émotions nombreuses, Vanessa répondit , oui cela était une très bonne soirée mais  j'ai peut être un peut trop bu ce soir  , je vais  laisser la place de devant a Manon car j'ai peur d'être malade , je vais m'asseoir a la place de derrière dit vanessa a ludovic , tu es sûr que ça vas allez répondit Manon ,  sur  quoi Vanessa confirma ,  oui oui ne vous inquiétez pas Manon ça va allez  j' en suis sur , je vous en prie prenez la place  devant installez- vous..... 
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Par : le 21/05/25
Bonjour madame votre rendez-vous est déjà là et attend depuis 15 min vient s'empresser de dire Océane l'adjointe de Vanessa là Directrice de l'agence auquel elle travaille . Apportez-moi un café et faites-le attendre repondit Vanessa d'un ton aussi sec que la gorge de son adjointe Toujours pas habitué à l'arrogance de sa supérieure .  Vanessa est celle qu'on envie par sa réussite et son élégance, mais celle qu'on déteste par son attitude et son mépris qu'elle rejette même dans le silence et pourtant paradoxalement Vanessa est plutôt douce et bienveillante dans son foyer et envers ses proches. Mais Vanessa a toujours cette idée qui trotte dans sa tête, cette envie, ce désir, ce fantasme ,qui en devenait une  obsession , celle de voir son mari, celui qu'elle aime, celui auquel elle a toujours été fidèle depuis leur rencontre , celui qui a toujours été fidèle envers elle également, celui qui pourrait lui décrocher 2 étoiles supplémentaires si elle lui demandait la lune ,celui que plus de 51 pourcent de la gente féminine révérait, Vanessa voulait voir son mari dans les bras d'une autre femme .  Vanessa voudrait voir son mari faire jouir une autre, cette idée la faisait jouir elle-même et continuait de la faire jouir encore et encore dans ses plaisirs secrets et solitaires à elle . La perturbation de ses fantasmes obsessionnels était à la hauteur du plaisir qu'elle ressentait , le plaisir d'imaginer vivre ce désir si particulier , Tout du moins si particulier pour elle , en effet Vanessa se sentait tellement  différente des autres, tellement de questions se bousculaient  dans sa tête. Ce n'était pas cette différence qui la tracassait , mais cette anormalité profonde qu'elle ressentait. et le pourquoi était sa grande question . Vanessa décida de se documenter , de lire des articles sur le cuckquean , de parler sur des forums. Mais en essayant de vouloir comprendre pour pouvoir peut être s'en échapper , Vanessa pénétra la sphère sans s'en apercevoir ou voulant peut être pas s'en apercevoir . Son mari ludovic grand brun trés séduisant savait les désirs de sa femme , celle-ci lui avoua pendant certains rapports sexuels ,mais Ludovic prenait ça comme un fantasme , un jeu  qui apportait néanmoins des orgasmes beaucoup plus fort a sa femme , certeins pour même être qualifier d'explosif lors de leurs jeux de rôles imaginaires concernant le fantasmes de vanessa ,et sa ludovic le remarquait , d'autant que celle-ci ramenait le sujet de plus en plus et ceux méme en dehors de leurs rapports , ludovic retrouvait  souvent  des livres et magasines sur le sujet. . Après avoir étouffé pendant quelques temps ses fantasmes qui lui criait si fort dans la tête, Vanessa et Ludovic se rendaient dans la douceur de ce jour d'été à une soirée de mariage d'un couple d'amis qui ont loué pour l'occasion un domaine immense, un domaine d'une élégance mélangé d'une simplicité naturelle faite par les jardins entourant et les hectares que l'on peut voir à perte de vue. Une centaine de personnes sont attendues, les invités sont presque tous aussi chic que le lieu auquel il se retrouve. Aprés que les esprits se soient échauffés avec l'apéro et petits fours, les invités se rendent autour des tables de 7 personnes pour entamer ce joyeux festin.  Vanessa et Ludovic se retrouve accompagné à la table de 2 couples d'amis et d'une amie prénommé Manon que ni Ludovic ni Vanessa ne connaisse, Manon est l'ami d'un des couples qui vient s'asseoir a coté de Ludovic pour le dîner  , ce brun ténébreux qui ne laisse pas indifférente ces dames. Cette soirée ou plutôt ce fameux dîner allait être l'élément déclencheur pour Vanessa en voyant Ludovic et Manon se parler comme s'ils se connaissait depuis des années , leur complicité naturelle  transpirant autant que le charme de Manon qui en joue un peu devant Ludovic qui est loin d'être indiffèrent également . Le nombre de points communs et d'éclats de rire entre eux passe complètement inaperçu avec tout ce bruit de voix provenant des multiples tables qui se mélangent et ce champagne qui coule à flot et qui fait parfois augmenter le niveau sonore des conversations, personne ne s'aperçoit de rien sauf Vanessa qui reçoit a cet instant une décharge électrique dans le cœur comme toute femme jalouse et amoureuse , son souffle se coupe , son coeur bat aussi vite qu'un joueur de poker qui bluff , ce n 'est plus une décharge électrique que reçoit Vanessa dans le bas-ventre , c 'est un coup de tonnerre, un coup de foudre équivalent a celui qu'elle vient de voir entre Manon et ludovic , un coup de foudre qui lui fait pleuvoir fortement son trésor qui est encore exlcusif a son mari.......
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Par : le 12/05/25
Se reconnaîtrait-il en lisant un post sur l’attachement évitant-anxieux ? Réponse courte : probablement pas, ou alors il trouverait une façon de rationaliser. Pourquoi ? 1. Les évitants-anxieux sont des pros de l’auto-illusion Même face à une description qui colle parfaitement à leur comportement, leur cerveau va souvent : • Minimiser : « Oui, ça me parle… mais pas totalement. » • Dévier : « Peut-être que je fais ça parfois, mais c’est à cause des autres, ils sont trop collants. » • Intellectualiser : « Intéressant comme analyse, mais je suis quand même plus lucide que la moyenne. » Exemple évitant : En lisant : « Les évitants-anxieux veulent de l’intimité mais la rejettent en même temps », il pense : « Moi je veux de l’intimité, j’ai juste pas encore trouvé la bonne. » (Comme ça, il évite de voir qu’il est le point commun dans ses relations.) Comment un Dom réagit : Un Dom lucide ne fuit pas l’intimité. Il la dirige. Il dit : « Là, j’ai besoin de prendre un peu de recul. Voilà pourquoi. Et voilà comment on va avancer. » Il assume ce qu’il ressent et prend les devants avec clarté. 2. Il manque de conscience émotionnelle pour faire le lien Il réfléchit bien, oui. Mais émotionnellement ? Déconnecté. Il peut avoir un cerveau affûté, mais il ne voit pas ses propres schémas. Pourquoi ? • Parce qu’un évitant coupe le lien avec ses émotions. • Parce qu’il joue un rôle social qui masque toute vraie vulnérabilité. Exemple évitant : Il sait qu’il évite les relations, mais il se dit : « C’est parce qu’aucune ne me convenait vraiment. » Plutôt que d’admettre : « Je sabote quand je ressens trop de choses. » Comment un Dom réagit : Un Dom sait reconnaître ce qui se passe en lui. Il peut dire : « J’ai pris mes distances parce que j’étais dépassé. C’est pas ta faute. J’assume. » Sa force, c’est de savoir nommer ce qu’il vit sans disparaître pour autant. 3. Même s’il ouvrait les yeux, il ne changerait pas (sauf gros choc) Les évitants-anxieux ne changent que quand : • Ils touchent le fond (genre perdre une femme qu’ils ne pourront jamais remplacer) • Ou qu’ils s’engagent sérieusement en thérapie, sur la durée Son état actuel : • Il ne souffre pas assez (elle n’est pas vraiment partie, et il a encore d’autres sources de validation) • Il ne pense pas être le problème Conséquence : Même s’il pigeait son schéma d’attachement sur le plan théorique, il n’aurait pas l’élan intérieur pour changer. Comment un Dom réagit : Un Dom n’attend pas que ça explose pour évoluer. Il observe, il ajuste, il prend la direction des choses. Il n’a pas besoin de perdre pour grandir. Il choisit d’évoluer par lucidité, pas par douleur. 4. Le “meilleur scénario” (peu probable, mais possible) Si elle disparaissait pour de bon et qu’il ressentait le vide, peut-être qu’il : • Chercherait sur Google : « Pourquoi j’éloigne les gens que j’aime ? » • Tomberait sur un article sur l’attachement évitant-anxieux et aurait un petit déclic Mais même là : • Il blâmerait sûrement son passé ou ses parents, sans rien changer • Il penserait à elle comme « celle que j’ai perdue », sans jamais la recontacter vraiment Comment un Dom réagit : Un Dom ne reste pas dans les fantasmes ou les regrets. Il revient, ou il clôture proprement. Il laisse zéro ambiguïté. Il dit ce qui est, et il agit en conséquence. Il fuit ni ses responsabilités, ni l’impact de ses actes. Ce que ça veut dire pour elle : Attendre qu’il “comprenne” ? Une impasse. Et s’il est déjà adulte, ses schémas sont bien ancrés. Son vrai pouvoir, à elle, c’est de partir. Pas pour le punir, mais pour se libérer. Ce n’est pas un homme dominant. Il est détaché, pas maître de lui. Il évite l’intimité, non par choix, mais par peur. Un vrai Dom, lui, est présent, ancré et émotionnellement clair. L’évitant se dérobe. Derrière un faux contrôle, il agit sous panique. Conclusion : Les évitants ne changent que quand rester les mêmes leur coûte plus que changer. Mais un homme vraiment dominant, lui, n’attend pas la douleur. Il choisit la vérité, et avance avec elle.
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Par : le 08/05/25
Ce matin, le centre équestre était plutôt calme quand Juliette arriva. Dans son haras de Normandie, elle profitait d'une vie au grand air, tout en passant ses journées à enseigner l'équitation avec passion. Sitôt son Range Rover poussiéreux garé près de la barrière, elle se dirigea vers son bureau, longeant les boxes. Il lui fallut quelques minutes pour remettre la main sur son trousseau de clés, enfoui au fond des nombreuses poches de sa veste de randonnée. Elle commença par mettre en route la cafetière, rassembler des tasses et vérifier que la bouilloire était pleine. Les premiers arrivés appréciaient souvent de discuter un peu autour d'une boisson chaude avant de se mettre en selle. Soudain, deux chevaux au pré tournèrent la tête vers la barrière. Un nouveau véhicule venait d'arriver sur le parking. Comme ils se mirent en marche pour accueillir le visiteur, Juliette en déduisit qu'il s'agissait d'un habitué et continua à consulter l'emploi du temps de la semaine. Puis elle distingua des pas dans l'allée. Des bruits de sabots et de bottes en caoutchouc sur les graviers. Charlotte franchit alors la porte du bureau, le cheval restant comme d'habitude sur le pas de la porte. Sa plus fidèle cavalière, au caractère affirmé et au franc-parler connu dans les environs, se dirigea vers le bureau massif pour la saluer. Les deux jeunes femmes s'étaient rencontrées dix ans auparavant, alors qu'elles intégraient toutes deux la formation pour devenir cavalières professionnelles. Bien qu'assez différentes physiquement, elles avaient de nombreux traits de caractère semblables. Juliette était une jolie jeune femme brune, au teint hâlé par le soleil et les heures passées en extérieur, aux longs cheveux bruns nattés et aux mains restées fines malgré les travaux d'écurie. Elle savait faire preuve de réserve et de diplomatie, analysait finement le caractère de ses interlocuteurs.   Sa voix douce mettait en confiance les plus timides, aidait à surpasser les appréhensions. Mais la monitrice savait aussi faire preuve de fermeté pour conserver la sérénité de son centre. Charlotte, au contraire, avait une silhouette plus androgyne et n'avait gardé de la belle chevelure blonde de son adolescence que quelques boucles qui lui tombaient de la nuque. Sa peau claire lui donnait un air faussement fragile, vite balayé par son franc regard bleu. Les deux jeunes femmes entretenaient secrètement une relation amoureuse depuis six mois. Avant de la rencontrer, Juliette n'avait alors jamais eu d'expérience homosexuelle, mais depuis, elle n'éprouvait plus aucune répulsion à l'idée d'avoir des relations charnelles avec une femme, à plus forte raison, si elle était jeune et jolie. Dès le premier jour, Charlotte avait partagé sa vie. L'oisiveté n'était pas la règle car il fallait maintenir l'activité du centre, et s'occuper du haras. Mais entre deux reprises, elle était libre de monter à cheval, de se promener dans le parc ou de s'étendre au soleil pour se brunir. Parfois, elle restait assise, nue, sans rien dire aux pieds de Juliette. La nuit, elle se faisait caresser ou la caressait, avant de se rendormir dans leur chambre aux rideaux blancs, à demi tirés seulement, que le jour naissant colorait de doré. Charlotte disait que Juliette était aussi belle et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait qu'inlassable dans ses exigences. Il faut dire que depuis quelque temps, son amante avait pris l'ascendant sur elle au point, de ne plus se contenter de l'étreindre, mais de l'amener à merci dans la soumission, en la fouettant parfois, non pour lui faire mal, mais pour satisfaire son tempérament masochiste. Jusqu'à sa rencontre avec Juliette, il était impossible pour elle de s'imaginer dans une situation qu'elle jugeait alors scabreuse. Elle n'aurait jamais osé, à cette époque, jouer le rôle d'une soumise.   Elle s'y serait refusé, prétextant que cet état ne lui convenait pas, car il ne faisait pas partie de ses fantasmes. Son expérience avec Juliette lui avait appris que si elle était incapable de devenir une habile et authentique putain, elle acceptait avec joie de jouer ce rôle pour le plaisir de son amante. Sa fierté à sa soumission lui procurait maintenant une exaltation proche de la jouissance. Était-ce alors seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou le fait déjà de se livrer sans condition à un tabou et de le transgresser ? Ou simplement l'humiliation de se faire traiter de petite pute qui lui donnait ce plaisir et l'évasion dans un univers fascinant où elle n'aurait jamais osé pénétrer seule, sans elle ? Installée à l'ombre d'un hêtre pourpre, à l'une des tables de jardin, au bout du parc, Juliette terminait son café. La matinée avait été bien remplie, trois heures de cours et la visite du maréchal-ferrant, mais pour l'heure, le centre était désert, reprenait son souffle avant la nouvelle vague de l'après-midi. Elle appréciait ces moments où elle pouvait revenir en pensée sur les moments passés avec Charlotte. Quand elle arriva, il était deux heures de l'après-midi, le haras dormait. Elle portait une robe légère en coton bleu, dont la couleur mettait en valeur ses yeux azurés. Dessous, elle était nue, exauçant ainsi le désir de Juliette. Elle se leva et l'embrassa sur les lèvres et lui demanda d'aller dans la chambre et de se déshabiller. La pièce était fraîche, bien qu'éclairée par les rayons du soleil qui passaient au travers des rideaux. Charlotte fit glisser sa robe, et la posa sur une petite chaise devant la coiffeuse. Elle se regarda un instant dans la glace. Puis, elle ressortit lentement, éblouie par le soleil, avant de regagner l'ombre du hêtre. Juliette était toujours là, son chien à ses pieds. Ses cheveux noirs, pour une fois dénoués, brillaient comme s'ils étaient huilés. Elle était vêtue d'un jean et d'un chemisier blanc, une ceinture à la taille. Charlotte s'agenouilla, les bras croisés derrière le dos, la pointe des seins frémissante.   L'airedale terrier fit semblant de s'élancer sur elle. Juliette lui demanda de se coucher. "- Charlotte, consentirais-tu à te donner à un homme en ma présence ?- Oui, dit Charlotte. À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche et un chemisier blanc sous lequel elle était nue. Les bains de soleil avait rendu son corps intégralement bronzé. Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes nues mais des chaussures à talons hauts. Paul les attendait dans le salon plongé dans l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement, ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient sous le chemisier, Paul admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses de Juliette. Ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait, très prometteur. Juliette demanda à Charlotte de dégrafer son corsage pour faire jaillir ses seins. Elle lui prit ses mains et la força à se caresser les seins, qui frémirent sous le désir, et de se toucher le ventre, et l'anneau entre les reins. Elle obéissait en silence, et quand l'homme lui dit qu'il lui en ferait de même, elle n'eut pas un mouvement de recul. Charlotte tournait le dos à Paul légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cédant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement, Paul se reput de ce spectacle, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes.   Elle la regardait si intensément qu'elle était convaincue de récolter bientôt les fruits de sa patience. Elle ne se souciait plus d'être vue en état de tendre abandon. Paul admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions, de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile et musclé se colla au sien. Paul frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des cuisses écartées dans un gémissement de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos, cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter ses lèvres intimes. Paul, à genoux, baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun. Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Paul. Dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir, sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue, jusqu'au fond de la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée. Dans le silence, s'éleva le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Paul, lui offrit ses seins pour qu'il les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Paul était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Paul posa ses mains sur la tête de Charlotte. Il désirait se répandre dans sa bouche. Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble. Elle fit signe que oui et Paul s'abandonna. Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. Elle se redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les cuisses, et Paul, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée. Ils laissèrent Charlotte se reprendre. Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées, colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir.   Elle se blottit contre elle, haletante et grisée, respirant avec recueillement son haleine. Tout était grâce, délice, surprise venant  de cette fille admirable: même la sueur qui perlait sur sa nuque était parfumée. Paul, penché sur Juliette, lui caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes, tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Paul qui se glissait entre ses fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Paul penché sur le dos de sa soumise. Charlotte ne trichait jamais, même si le sort la condamnait plusieurs jours. Elle devait le subir jusqu'au bout. Il le comprit, lui appuya d'une main à la taille contre l'accoudoir pour qu'elle ne pût glisser, l'entrouvrant de l'autre. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise. Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais. Paul poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de Charlotte sur son sexe béant et celle-ci recommença à la sucer. Mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frôlèrent ses chairs exacerbées. Paul continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile, sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux, tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins.   Elle ne voyait personne, n'entendait rien sinon les battements de son cœur faisant écho à son désir. Avec la fluidité d'une eau, elle se laissait aller, établissant le contact avec tout son corps. Il était clair à cet instant que Juliette désirait rencontrer le regard de Charlotte. Ses yeux noirs brillants et durs fixés sur les siens, dont on ne savait pas s'ils seraient ou non indifférents, ou s'ils exprimeraient de la satisfaction, voire de l'amour. Elle décida seulement qu'une fois la nuit tombée, elle la flagellerait jusqu'au sang et la laisserait dormir seule. Paul s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples. Alors, il sodomisa la jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie. La chaleur montait à sa tête déjà chavirée. Ses mains libérées s'agrippèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Paul eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine. Paul sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il accéléra le coït dans les reins offerts. De la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus. Elle sombra dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un orgasme et sentit entre ses reins heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/05/25
Vieux récit encore brouillon épisodes exhumé du passé. Gorgé de fautes certainement puisque jamais véritablement achevé .   Ma chère tante Chère Tata, Cela fait quelques temps que je ne vous avais pas écrit, j’espère que vous allez bien et que vos déménagements se déroule comme vous voulez. Ce n’est jamais facile de quitter un endroit mais il faut surtout penser qu’une nouvelle vie commence, pleine de découvertes. Je viens vers vous car vous êtes la seule personne à laquelle je peux confier ce qui m’arrive et peut être vous pourrez m’aider et me conseiller. Je vous avais parlé de ma copine Lilou que je connais depuis l’âge de 6 ans, depuis que nous sommes inscrites au club de gym. L’année dernière, comme elle a les mêmes problèmes d’argent que moi depuis que ses parents ont divorcé, nous avons commencé par faire de l’animation dans les centres de loisirs et puis comme usant depuis qu’une nouvelle directrice était arrivée, nous nous sommes rabattues sur des petits jobs, baby sitting, aide aux devoirs qui permettent de gagner un peu d’argent et de poursuivre nos études au lycée. Elle et moi chaque mercredi, lorsque nous nous retrouvons sur le tapis du club, nous faisions le bilan de notre journée, savoir laquelle avait gardé les pires monstres, aidé aux devoirs les meilleurs cancres, bref on partage nos expériences bonnes ou mauvaises vécues durant la semaine écoulée. Parfois, une propose à l’autre une garde qu’elle ne pouvait faire ou un job d’opportunité. Mais voilà alors que de mon côté je poursuivais mon petit chemin pour gagner quelques économies, j’ai senti au fil du temps un changement dans son comportement, elle semblait ne plus avoir grand chose à raconter, pourtant elle portait des tenues nouvelles, devenait plus lumineuse mais quand je l’interrogeais elle me répondait vaguement, trop vaguement. Alors j’ai commencé à la titiller de questions, plus elle était évasive plus ma curiosité était attisée. J’ai bien senti que mes interrogations la dérangeaient, qu’en elle il y avait un secret, une énigme. Chaque mercredi je faisais exprès de lui raconter mes moments les plus drôles ou fatigants de la semaine et je finissais par la question croche pied, Et toi .... ça s’est passé comment ? De fil en aiguille, à force de l’aiguillonner j’ai obtenu des échantillons de réponses, des pistes que j’ai suivi pour voir si elles étaient bonnes ou s’il s’agissait de leurres. Et un mercredi soir, alors que nous rentrions à pied après la séance, elle a fini par mes tendre un fil d’Ariane que je n’ai cessé de tenir fermement entre mes mains pour m’y retrouver dans son labyrinthe obscur. Au départ elle m’avoua avoir cessé de garder des enfants, de faire de l’aide au devoir pour se consacrer à un nouveau type de boulot, moins fatigant, plus rémunérateur.... Elle finissait toujours ses phrases par des points de suspension qu’il me fallait transformer en interrogation si je voulais connaître la suite. Alors elle avança un peu plus m’entrainant derrière elle, me raconta qu’elle aidait des personnes âgées, un peu comme une auxiliaire de vie sans en avoir le statut ni la formation. Chaque mercredi, elle allait chez des personnes pour faire des petites tâches, courses, ménage, lecture..... J’ai été surprise par le fait qu’elle pouvait être mieux payée, simplement en faisant de la lecture. Et là, elle s’est assise sur le banc de l’aire de jeux devant son bâtiment et sans me regarder, elle a doucement soufflé sur la brume de mes questions pour qu’enfin je puisse y voir plus clair. D’abord elle m’a fait promettre de ne rien dire à personne, je sais que je pourrais vous faire confiance Tata pour garder ce secret de votre côté. Elle n’allait pas en fait chez Des, mais Une personne âgée, en l’occurrence un homme, qui avait passé une annonce cherchant une jeune femme pour l’aider certains jours de la semaine. L’annonce était vague, elle y avait répondu et depuis chaque mercredi elle se rendait chez lui avec une jolie somme d’argent au sortir. Evidemment j’ai creusé le sillon pour savoir combien d’heures elle passait chez lui, combien elle gagnait, ce qu’elle devait vraiment faire, si c’était crevant, intéressant, ce qu’elle entendait par faire de la lecture, bref j’avais la bouche comme une nuée de merles qui n’avaient de cesse de la harceler et picoter sa cervelle. J’ai senti que leurs becs étaient parvenus à déchirer le voile de sa gêne et elle finit par cracher le morceau, ce qu’elle doitlire à ce monsieur, Richard est son prénom, ce sont des romans érotiques. Tout de suite, comme pour se justifier, elle a précisé qu’elle ne se prostituait pas mais que chez cet homme l’érotisme était un art, une façon de faire, de vivre, de penser. Imaginez Tata, Lilou ne le sait pas mais vous OUI, combien ma fascination envers les hommes mûrs a été soudainement exacerbée par cette soudaine révélation !!! Doucement, le bas de mon ventre a pris les commandes de ma bouche et je ne sais pas vraiment qu’elles étaient mes lèvres qui ne cessèrent de lui poser des questions. Lilou aussi me précisa que cet homme lui donnait des devoirs à effectuer, des sortes de rédactions qu’elle devait rapporter le mercredi suivant. C’était confus mais je ne cessais de m’imaginer franchir le seuil de la maison de cet homme, assis au coin d’une cheminée, un chat sur les genoux pendant que la mienne serait à ronronner ma cyprine à force d’ânonner des chapitres entiers de romans à l’eau de vulve. J’ai voulu savoir qui il était, son âge, j’ai de nouveau interrogé Lilou sur combien il lui offrait et lorsqu’elle m’a dit la somme que parfois elle pouvait gagner, j’ai eu comme un tournis, 100 euros pour lire, faire des rédactions, un peu de ménage et l’accompagner parfois faire des courses !!!!! Tata moi qui en gagne 50 difficilement le cerveau et les oreilles rabotés par les cris d’un après midi entier de torture mentale !! Je ne suis pas jalouse ni envieuse Tata, vous le savez mais là, Si, j’avoue avoir ressenti une envie de vouloir une part de ce gâteau. Au moins passer un entretien, les samedis lilou n’étant jamais libre les samedis moi je pourrais aider ce brave homme à connaître la suite des romans sans attendre le mercredi suivant. Soudain Tata, j’ai tordu en tous sens, étiré, martelé d’un poing ferme mes points d’interrogation pour qu’ils se dressent en exclamation, fiers, droits, affirmés. J’ai des super notes en rédaction !! J’adore lire, c’est ma passion !! Je me ferai toute petite et discrète !! J’en ai marre de gagner des misères et de remplir mon porte monnaie de façon aussi maigre !! Et....... ET.... ( je kiffe les hommes mûrs si tu savais lilou !!) mais ça je n’ai pas pu lui avouer, le message ne pouvait être que subliminal. Elle finit à force de harcèlement, sans doute pour faire cesser le flot de mes mots par céder, me promettre au moins de lui parler de moi, lui suggérer de me faire venir à son domicile. J’attends sa réponse, j’ai hâte d’être à mercredi, peur aussi Tata, peur que la réponse soit négative voilà pourquoi je passe mes nerfs à venir en confession auprès de vous. Je peux vous l’avouer, lorsque je suis rentrée à la maiSon , une fois le dîner pris, j’ai dit à maman que j’étais crevée et voulait me coucher tôt et je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mes livres d’images, ceux dont je ne vous avais parlé pour stimuler mes doigts et m’évader au coin d’une cheminée et faire ronronner ma turbine à plaisir. Je dois vous laisser et filer à l’autre bout de la ville soutenir une sixième pour son français. Espérons que ce sera une des dernières fois avant mon nouveau travail... Kiss La puce <font _mstmutation="1" _msttexthash="1732319589" _msthash="446">Ma chère Tante épisode 2 Chère Tata quelle rapidité pour me répondre !! Merci pour votre compréhension, je savais que je pourrais vous faire confiance. Au moins, vous n’oubliez pas la mémoire de votre jeunesse et les tourments qui l’accompagnent. Non je n’ai encore aucune info de la part de Lilou, je n’ai pas envie de la harceler encore de peur qu’elle ne se recroqueville et perdre une chance de me mettre au service de Monsieur Richard. Je préfère attendre mercredi prochain. Le livre d’images ? Je pensais vous en avoir parlé un jour, il s’agit en fait de photos, dessins, tableaux que je collectionne depuis que je suis en âge de... Comme une boîte à madeleines, je l’ouvre certains soirs et je m’évade du bout des yeux, les ferme ensuite pour passer le relais à la pulpe de mes doigts. Peut-être un jour, je vous ferai entrer dans cet univers secret. Je tiens à vous prévenir, certaines images, sans les clés, risquent de vous paraître bien décevantes. Donc, puisque vous me le proposez si gentiment alors oui j’accepte de vous informer de tous les évènements qui pourraient arriver dans un avenir proche. Encore quatre jours d’impatience. Vous tutoyer ? Oh non, certainement pas, je ne pourrais ni le voudrais d’ailleurs, ce serait comme demander à Cendrillon d’abandonner ses parures de Princesse pour revêtir ses oripeaux. Concernant votre dernière question .... Oui, je le suis toujours. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 3 Tataaaaaa ,Il a dit OUIII !!!!!!!IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Oh mon dieu, Votre puce saute de partout en tous sens. Je n’arrive pas à y croire. Ce monsieur accepte de recevoir chez lui, en sachant si peu de moi, une parfaite inconnue !!! Bon, petit retour en arrière, de quelques heures car l’information est toute fraîche. Lilou est arrivée en retard à la séance de gym, à tel point que je pensais ne pas la voir du tout et me demandais si ma patience n’allait pas briser sa chaîne pour filer une fois les étirements achevés et le vestiaire quitté chez elle pour sonner à a porté et prendre de ses nouvelles et savoir si.... J’ai même idiotement pensé au pire, que son après midi avait été celui de trop que la générosité masquait une Barbe Bleue et je fus prise de vertige, déséquilibrée par mes pensées fantasques, au moment où j’arpentais la poutre pour finir sur les fesses sur le tapis. C’est à cet instant que je vis le juste au corps de Lilou apparaissant puis son regard me chercher parmi les autres filles et une fois en cible de ses yeux me regarder, former un cercle avec son pouce et son index et décocher du carquois de sa bouche un sourire complice. Imaginez Tata !! Oui, imaginez, toute la séance à devoir attendre, savoir, déglutir les questions qui me venaient en gorge, et Elle, pas un mot, juste des baillons de " je te dirais tout à l’heure « . Jamais séance fut aussi longue croyez moi et j’ai pas trainassé une fois l’heure arrivée, Lilou en parfaite Si. Elle prit un malin plaisir à papoter avec la prof de je ne sais quelle futilité. Puis s’attarda avec une fille pendant que j’étais en train de m’étrangler avec ma chaîne à tirer comme une forcenée sac à l’épaule blouson sur le dos, prête à partir sur le chemin et ouvrir grandes mes oreilles. Elle me regardait du coin de l’oeil subrepticement juste pour voir si mon visage n’était pas encore bleui d’impatience. Enfin, elle fût prête, une des dernières cependant à sortir du vestiaire, ce qui est rare chez elle. Elle est comme vous sur ce plan, elle connait certains de mes points faibles et n’hésite pas à en abuser . Une fois dehors, loin des oreilles indiscrètes, j’ai shooté dans son silence malicieux en assénant un " ALORS ???? Ensuite, ENFIN elle consentit à m’en dire plus. Que Oui..... et elle employa le mot Parrain comme s’il était un parent et devant mon air sans doute interrogatif m’expliqua que c’était ainsi qu’il aimait être nommé et que si je devais passer le seuil de sa porte régulièrement, je devrais moi-même m’adresser à lui en ses termes. J’étais prête à porter ce tablier de mots et passer le plumeau sur ses bibelots et lui faire la lecture. Elle poursuivit, m’indiqua qu’effectivement je pourrais en articulant l’EVENTUELLEMENT, prendre mes fonctions d’accompagnatrice les samedis mais qu’il me fallait avant toute chose, m’acquitter d’une lettre expliquant qui j’étais et la motivation qui me conduisait à proposer ma candidature. Alors là, à cet instant et maintenant encore, mes pieds ont vacillé. En fait tata je n’avais pas encore envisagé la suite et me voici devant une tâche immense. Peut être, étant donné que vous me connaissez, vous pourriez m’aider à rédiger ma lettre de motivation dans des termes qui lui donnent envie de me recevoir en vrai. Tata , s’il vous plaît, Lilou a reçu l’ordre visiblement de ne me donner aucune indication. Une des rares informations que j’ai obtenue, c’est que je ne devrai Jamais porter de soutien-gorge si j’accepte de devenir son auxiliaire de vie. Oui Tata, vous avez bien lu mais cela ne veut pas dire que je devrai ne rien porter du tout mais juste sa manie est de vérifier lorsqu’elle arrive chez lui, d’un geste furtif à son dos si aucune accroche n’est palpable. Une fois rassuré, il ne cherche pas, elle me l’a juré à voir ni toucher ses seins. Voilà ce que je peux vous dire ce soir et me voici devant une page blanche me demandant par quoi commencer. Quelques mots de vous, juste de quoi remplir mon encrier seraient les bienvenus. Kiss La Puce </font>Ma chère Tante épisode 4 Chère Tata ,Merci pour vos conseils toujours précieux , même si je ne vais pas les suivre à la lettre. Bonjour Monsieur, Je vous remercie de me donner une chance de vous rencontrer et juger de ma motivation pour accompagner vos samedis. Je ferai mon possible pour être disponible chaque fois que vous auriez besoin de moi. Je suis passionnée par la littérature, le français a toujours été une de mes disciplines favorites en classe alors pour vous faire la lecture comme Lilou me l'a dit, vous pouvez compter sur moi. Mes notes en récitations n'ont jamais été en dessous de 15......Tata , Je n'ai pas osé faire allusion au genre de roman qu'il fait lire à Lilou, ne sachant pas si elle devait m'en parler. Pour la partie ménage et courses, vous pouvez compter sur moi car comme maman travaille parfois tard, je me charge souvent de la soulager dans ce domaine......Bon là, Tata, j'avoue que j'ai été un peu menteuse, quand j'accompagne maman on devrait mettre les roulettes sous mes pieds plutôt qu'au caddy, et souvent elle me retrouve au rayon librairie. Si maman lisait ce que je suis en train de faire, Mon Dieu, je pense qu'elle n'en croirait pas ses yeux, sa fifille, si prude, sage et timide, pas un garçon à la maison, jamais la moindre sortie au-delà de 23 heures. Bon je m'égare je reprends Tata, voici comment ensuite je me suis présentée à lui, ce n'est pas un exercice facile que de parler de moi. J'ai toujours eu du mal, autant j'aime décrire les autres autant je suis plutôt indifférente à moi-même. Heureusement que vous avez su parfois m'aider à me mettre en valeur de façon plus aventureuse.....Pour ce qui est de mon physique, je suis un petit format de femme si j'ose dire je mesure 1.55 m et pèse 40 kg ....Tata j'ai failli écrire " toute mouillée " mais il aurait pu " mâle " interpréter l'allusion....Mais ne vous inquiétez pas, je pourrai porter vos sacs de commissions car comme Lilou je pratique la gym et j'ai dû souvent porter mon propre poids en faisant mes équilibres. Je suis blonde aux cheveux longs et mes yeux sont couleur noisette..... Voilà j'ai pas voulu en écrire de trop, en fait je n'y arrive pas, alors il devra se contenter d'un portrait succinct. Je suis prête à accompagner Lilou pour me présenter à vous et voir si mon profil vous intéresse et tenter de me prendre à l'essai un samedi.....Voilà Tata comment j'ai écrit mon courrier, j'avais vraiment du mal à faire cette lettre, je ne sais rien de lui ou si peu juste qu'il tâtonne dans le dos de Lilou, je prendrai soin de ne rien porter dessous au cas où ....Je vais maintenant passer ma langue sur la gomme de l'enveloppe et prier pour qu'il salive à son tour de moi. Vivement mercredi que je remette la précieuse enveloppe à Lilou, je crois que je vais aller chez elle la lui donner mardi soir afin qu'elle montre mercredi après-midi à monsieur Richard combien je suis motivée. OUI je vais faire ça !!! ce sera un bon point pour moi, j'en suis certaine. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 5 Chère Tata Je l’ai fait, j’ai apporté ma lettre il y a une heure à Lilou, chez elle, demain il pourra me décacheter et savoir un peu mieux qui je suis. J’espère vraiment lui donner envie d’étudier ma candidature. Lilou m’a regardée avec des yeux curieux et rieurs et n’a pas manqué de me dire que je prenais à coeur de rendre service moi aussi à son « parrain « . Elle m’a promis de plaider ma cause auprès de lui. Oui moi aussi Tata, je vous fait la promesse de Tout vous dire dans les moindres détails, Oui je vis faire attention à moi, ne vous inquiétez pas comme ça, vous savez très bien que je ne suis pas du genre à prendre des risques idiots. Je vous rappelle qu’être encore vierge à mon âge relève de l’exploit à notre époque à en croirecertaines de mes camarades de classes qui se sont vantées de ne plus l’être, pour certaines depuis les années collège. Oui tous les détails et toutes mes émotions, promis, Oui, comme si vous étiez mon cahier intime, d’accord sans aucun tabou je raconterai tout. Comment avoir des tabous avec vous après nos vacances passées ensemble. En ce qui concerne votre question à propos de mon livre d’images... C’est un peu gênant, je l’avoue, pour plusieurs raisons, d’abord c’est un truc hyper intime en fait j’ai peur qu’en vous montrant le genre de choses qu’il contient, il perde soudain de son pouvoir à mes propres yeux. Ensuite, ces images peuvent être n’auront aucun sens pour vous alors que chez moi c’est radical, de les voir, en parler seulement me fait fondre de partout et surtout du bas, c’est magique. Je ne les regarde pas souvent, juste parfois pour me stimuler, me faire partir comme un vieux film qui rappelle tant de souvenirs passés. Je vais réfléchir à votre demande. Je vais filer au lit et puisque vous m’en avez parlé, me replonger dans les archives, ma banque de données intimes, peut-être même que si l’envie vient je pourrais imaginer monsieur Richard à la place de certains personnages clés de ma serrure à envies. Je file au lit, m’entendre, me tendre, m’entendre et écouter mon ventre résonner de déraisons. Vivement demain et maintenant pour moi, ce sera à .... deux mains. Kiss La puce Ma chère Tante épisode 6 Chère Tata, J’ai passé ma journée, surtout l’après-midi à croiser les doigts pour Lilou, prier pour qu’elle soit persuasive, trouve les mots pour appuyer ma candidature. Je vous remercie pour le petit mot ce matin, ça m’a réchauffé le coeur. Alors, après avoir tourné dans tous les sens, être parvenue à faire mes devoirs, avoir pris ma douche, rangé deux fois ma chambre et lu quinze fois la même page du même roman sans me souvenir de ce qu’elle contenait, il était enfin l’heure d’aller sur les tapis et savoir enfin si c’était Oui ou Non. Je suis arrivée la première, Lilou n’a pas tardé cette fois, le visage fermé, grave, vous savez celui des nouvelles que l’on aime pas porter. Elle a commencé par me dire qu’elle avait bien donné ma lettre à son parrain, qu’il avait attendu presque qu’elle soit sur le point de partir en fin d’après-midi pour l’ouvrir. Je me suis dit que c’était cuit, s’il mettait si peu d’empressement, la réponse était-elle courue d’avance. Il a lu mon courrier sans dire un mot puis à la fin a remis avec précaution ma lettre dans son enveloppe, retiré ses lunettes..... Oh tata lilou me racontait tout, chaque détail alors que j’avais juste besoin qu’elle abrège mes souffrances. Pour finir elle me dit, en plongeant ses yeux droit dans les miens qu’il n’était pas vraiment satisfait du contenu de mon écrit et ....... Que samedi prochain, j’allais devoir venir passer l’oral !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! OUI Tata, vous avez bien lu, samedi je suis invitée à venir défendre chez lui et ratt****r mes points de retard !!!!!! Alors j’ai demandé à Lilou à quelle heure nous irions chez lui et mon enthousiasme s’est transformé en angoisse..... elle a sorti de sa poche une carte de visite avec l’adresse de son « parrain » et dit que je devrai me présenter à 14h précise, seule chez lui !! J’avais l’impression d’être sous une douche le corps à moitié aspergé d’eau froide tandis que l’autre était dans l’ébullition. Cette fois, j’ai les cartes de mon destin en main et je ne peux plus compter sur elle pour faire avancer les choses. J’ai pas pu m’empêcher de lui poser une tonne de questions sur ce que je devais faire ou ne surtout pas faire pour éviter de me vautrer dans l’exercice. Comme si je la croisais à la sortie de l’épreuve avant de rentrer dans la classe et affronter les profs. Glaner un maximum d’informations et éviter les pièges tendus. Pour toute réponse, j’ai obtenu qu’il me fallait rester naturelle, ne pas en faire trop, utiliser un vocabulaire correct, il est très à cheval sur les bonnes manières. Il a le titre de Comte même si n’aime pas trop en parler, il est issu d’une famille noble. La seule information importante de la part de Lilou fut de me prendre la main de me tourner le dos et poser le bout de mes doigts à l’endroit où devrait se trouver l’attache de son soutien-gorge. Elle n’en avait pas, elle sortait de chez lui, j’avais le bout de mes doigts là même où quelques heures avant, il avait posé les siens !! Je sentais presque sa présence sur le dos de Lilou, c’était magique, vraiment Tata. Alors voilà, j’ai passé ma séance de gym en équilibre sur la poutre de mes angoisses et une fois rentrée à la maison, j’ai ouvert ma garde-robe pour trouver ma tenue d’entretien d’embauche. Je ne sais pas, vraiment je n’ai aucune idée de ce que je porterai dans 3 jours. Oh mon dieu je vais passer trois jours d’angoisse à ronger mon frein, je me connais Tata je vais être sujette à renoncer, à aller en cachette voir où se situe sa maison pour tenter de l’apercevoir. Je n’aime pas cela et pourtant d’un autre coté j’avoue adorer me sentir torturer. Vous en savez quelque chose Tata, je ne suis bien que sur la bascule. Je vais me faire descendre la tension en m’allongeant, je suis trop chargée d’électricité. Je vous embrasse Baiser La Puce   Chère Tata, J’ai l’impression d’être à ma première communion, fébrile dans l’attente de la cérémonie, merci de me chaperonner. Oui c’est une très bonne idée de m’entraîner à lire à voix haute, on ne sait jamais si il me soumet à l’épreuve de la lecture. Je vais lire plusieurs pages de plusieurs romans pour avoir une élocution impeccable. Merci beaucoup je n’y avais même pas pensé. Par contre pour ce qui est de votre suggestion concernant ma tenue.... comment vous dire, la robe turquoise don’t vous me parlez, souvenez-vous... Lorsque la vendeuse est venue à votre demande donner son avis en nous rejoignant dans la cabine d’essayage, elle n’a pas osé vous contredire tellement vous vouliez faire cet achat mais ses yeux en disaient aussi long que la robe était courte, c’est peu dire !! J’avais du mal à m’asseoir ayant trop peur que tout le monde voit ma culotte. Vous semblez oublier que sur le marché, même si c’était par jeu, vous m’aviez tout de même dit dans le creux de l’oreille que je devrais avoir honte de me promener ainsi. Maintenant que c’est du passé, je peux vous dire qu’au retour de mes vacances, j’ai punie ma Barbie de la même façon en lui coupant une robe jusqu’à presque voir ses fesses et je lui faisais la morale comme vous avec moi, je prenais toujours une voix plus grave tellement j’avais honte d’employer les mêmes mots que vous. Tata chérie, si je veux arriver jusqu’à la porte, soit je pars de très bonne heure pour pouvoir traîner le poids de tous les pervers de la ville accrochés à mes chevilles ou plus simplement ,j’opte pour quelque chose de plus discret et moins moulant car depuis Tata , j’ai pris un peu de volumes. Je sais que je ne suis ni grande ni grosse mais quand même. Ceci dit je l’ai gardée même si je ne l’ai portée que deux fois et uniquement avec vous, elle est toujours là dans ma penderie, pleine de souvenirs mielleux. Je vais mettre un pantalon cigarette, ainsi mes jambes seront noyées dans le tissu, je ferais moins maigre du bas et pour le haut puisque je ne devrai pas porter de soutien-gorge, je vais mettre un chemisier large blanc. Je pense que ce sera pas mal et fera soigné. Par contre Lilou m’a dit de rester naturelle mais je ne sais pas comment interpréter cette info, maquillage ou pas, boucles d’oreilles ou non, cheveux lâchés ou stricts, c’est le flou total, donnez-moi votre avis en évitant de me conseiller les nattes et les boucles d’oreilles avec des nounours roses !! Je dois vous quitter, j’ai cours dans trente minutes je file. Mon dieu si les autres filles de ma classe savaient !! De toute façon, elles ne me croiraient pas. KissLa puce Ps : Oui je pense aux images Tata, mais j’ai vraiment du mal à ouvrir la boîte de Pandore, je suis désolée. <font _mstmutation="1" _msttexthash="5542643730" _msthash="447">Ma chère Tante épisode 8 Chère Tata ,Voilà c’est demain, lorsque je vais me lever si j’arrive à dormir cependant je vais me voir dans le miroir en m’imaginant le traverser pour plonger dans l’inconnu. Here j’ai été tentée d’aller voir Lilou lui demander des derniers conseils, sur si je devais mettre des talons ou plutôt rester en basket. J’ai finalement choisi la discrétion, de toute façon me promener dans la rue, il habite de l’autre côté de la ville en talons hauts, j’ai pas assez d’entraînement, je finirais aux urgences avec une cheville foulée. Here pour me rompre les amarres avec mes boulots d’avant, j’ai décommandé la séance de baby-sitting et celle de l’aide aux devoirs. Alea Jacta Est désormais, le Rubicon va être franchi. J’ai suivi votre conseil Tata, je ne me suis pas touchée depuis hier soir mais vous savez, si vous pensez que d’y aller sous tension de bassin pour garder mon inconscience, j’espère que ça ne me fera pas l’effet inverse !! J’ai lu encore ce soir, je suis devenue une vraie pro dans le domaine, j’espère juste que Monsieur le comte ne sortira pas de vieux grimoires poussiéreux en vieux François ou plus grave, ces trucs érotiques don’t Lilou m’a dit qu’il était friand d’écoute sans m’en dire plus car moi je me suis entrainée avec du Zola, Victor Hugo et Stephen King !! Mes affaires sont sur la chaise pliées prêtes à être enfilées, j’ai mis pour dormir chose inhabituelle un soutien-gorge, histoire que demain lorsque je n’en porterai pas, la sensation soit plus vive de sentir le frottement du tissu sur la pointe de mes seins. J’ai les bouts de doigts tout énervés mais je vais tenir bon Tata. Bon pour les images, j’avoue que ce n’est pas le moment de replonger dedans sinon je ne vais pas pouvoir tenir longtemps alors promis, si demain ça se passe bien, je vous en donnerai quelques-unes qui ont le pouvoir de presser ma petite cervelle comme un agrume et d’en récolter du jus par le bas. Je crois que vous devriez venir m’attacher les mains aux montants du lit ou me mettre des gants de boxe, dès fois qu’en rêvant mes mains veuillent accompagner mes songes. Kiss La puce Chère Tata, Il est 18h30, je reviens de là-bas.... mon message sera court mais vous en comprendrez le sens. Je file m’allonger j’ai trop chaud en bas des reins. A tout de suite Kiss La puce </font>Ma chère Tante épisode 9 Chère Tata , J'ai encore les doigts embaumés de moi, j'ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j'ai laissé des cristaux de désir au fond de la boite, lorsque j'aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j'irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui TOUT absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j'ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!!!!C'était !!!!! Hummmm c'était .......au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j'étais loin de m'imaginer vivre des moments pareils !!!!J'ai croisé celui dont j'ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m'emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir....Alors d'abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir j'ai regardé attentivement mes seins lorsque j'allais boutonner mon chemisier, j'ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c'était les siens. J'ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m'a dit que j'étais mignonne aujourd'hui sans se douter que j'allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j'ai senti mes tétons durcir sous l'effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j'aurais pu m'allonger à l'étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J'avais la sensation que malgré ma tenue somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d'Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!!!!»Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j'étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il? Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m'atteindre. Je n'ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l'entrée et j'ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée .La porte s'est ouverte, j'ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu'au moment d'effleurer la tétines sonore, la porte s'est ouverte et je l'ai vu !!!!!!Oh Tata ce n'est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noel me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l'envie de m'asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !!! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu'il vous capture dans ses filets, impossible de s'en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n'est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraiche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c'est profond moins je m'ennuie. J'ai toujours été passionnée par l'archéologie plus il y a de strates et d'humus plus je me réjouis de découverte à venir...Je poursuis Tata ...Alors il m'a invitée à rentrer, j'ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l'allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi,‌ il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes. ‌‌J'avais l'impression qu'il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l'onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu'au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l'oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m'inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d'ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l'usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j'entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J'étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu'il dû répéter une seconde fois la question que j'avais vu s'éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j'avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m'évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis. Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l'a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu'à mon visage pour fixer mon regard. C'était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c'est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j'avais le sentiment qu'il détaillait la moindre de mes courbes, qu'il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C'était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant voilà c'est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j'aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu'on lui fasse la lecture, les érotiques .Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j'ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m'indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j'aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j'ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !!! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j'en passe dont j'ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J'ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !!!!Bref j'étais sans avoir eu le temps de m'adapter mise en condition. En fait j'avais beaucoup de mal à imaginer cet homme lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu'ils voient ne serait-ce qu'un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j'ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n'y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l'étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l'emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boite en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n'était pas la peine, j'avais ce qu'il fallait à la maison et j'ai bien senti que lorsqu'il insista, j'avais la tête dans le collet alors j'ai ouvert la boite pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles Lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J'ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j'ai choisi d'emporter avec moi celle qui m'avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n'ai pas résisté à l'envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n'est pas nue mais c'est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs tellement ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu'elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l'on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d'oeil alentour et l'étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j'ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j'avais eu raison que je devais connaitre son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J'avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l'autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu'est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n'attendait pas de réponse, me demanda d'enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J'ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j'ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j'ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j'ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre.....Pour ce bref passage chez lui, j'ai tout de même gagné 20 euros, certes c'était moins que ce que j'aurais dû gagner si j'avais été faire de l'aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j'y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l'aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m'a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j'ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d'avoir la gentillesse et l'obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d'apporter une photo de moi nue !!!!Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j'étais le genre de fille à m'étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !!!!Je n'ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion .Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu'il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu'à la porte, avant que j'en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d'au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m'interpella d'une voix chaude alors que j'avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa: " c'est la règle pour venir travailler chez moi ".Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m'appelle depuis tout à l'heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j'ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !!!!J'ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu'elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l'argent appelle l'argent. Je file Tata, j'espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l'aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que......Kiss La puce Ma chère Tante épisode 10 Chère Tata , J’ai encore les doigts embaumés de moi, j’ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j’ai laissé des cristaux de désir au fond de la boîte, lorsque j’aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j’irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui tout absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j’ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants, je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!! C’était !!! Hummmm c’était ....... Au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j’étais loin de m’imaginer vivre des moments pareils !! J’ai croisé celui dont je n’ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m’emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir.... Alors d’abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir, j’ai regardé attentivement mes seins lorsque j’allais boutonner mon chemisier, j’ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c’était les siens. J’ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m’a dit que j’étais mignonne aujourd’hui sans se douter que j’allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j’ai senti mes tétons durcir sous l’effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j’aurais pu m’allonger à l’étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J’avais la sensation que malgré ma tenue, somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d’Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!! » Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs, ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique, et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j’étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il ? Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m’atteindre. Je n’ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l’entrée et j’ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée . La porte s’est ouverte, j’ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu’au moment d’effleurer la tétines sonore, la porte s’est ouverte et je l’ai vu !!!! Oh Tata ce n’est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noël me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l’envie de m’asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu’il vous capture dans ses filets, impossible de s’en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller, je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n’est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraîche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c’est profond moins je m’ennuie. J’ai toujours été passionnée par l’archéologie plus il y a de strates et d’humus plus je me réjouis de découverte à venir... Je poursuis Tata ... Alors il m’a invitée à rentrer, j’ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l’allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi, il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes.J’avais l’impression qu’il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l’onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu’au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l’oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m’inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d’ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l’usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j’entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J’étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu’il dû répéter une seconde fois la question que j’avais vu s’éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j’avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m’évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis. Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l’a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu’à mon visage pour fixer mon regard. C’était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c’est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j’avais le sentiment qu’il détaillait la moindre de mes courbes, qu’il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C’était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant, voilà, c’est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j’aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu’on lui fasse la lecture, les érotiques . Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j’ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m’indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j’aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j’ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j’en passe don’t j’ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J’ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant qu’elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !! Bref j’étais sans avoir eu le temps de m’adapter mise en condition. En fait, j’avais beaucoup de mal à imaginer cet homme, lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu’ils voient ne serait-ce qu’un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j’ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n’y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l’étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l’emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boîte en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n’était pas la peine, j’avais ce qu’il fallait à la maison et j’ai bien senti que lorsqu’il insista, j’avais la tête dans le collet alors j’ai ouvert la boîte pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J’ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j’ai choisi d’emporter avec moi celle qui m’avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n’ai pas résisté à l’envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n’est pas nue mais c’est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs Téléchargément ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu’elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l’on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d’œil alentour et l’étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j’ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j’avais eu raison que je devais connaître son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J’avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l’autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu’est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n’attendait pas de réponse, me demanda d’enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J’ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j’ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j’ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j’ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir, je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre..... Pour ce bref passage chez lui, j’ai tout de même gagné 20 euros, certes c’était moins que ce que j’aurais dû gagner si j’avais été faire de l’aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j’y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l’aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m’a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j’ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d’avoir la gentillesse et l’obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d’apporter une photo de moi nue !! Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j’étais le genre de fille à m’étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !! Je n’ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion . Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu’il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu’à la porte, avant que j’en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d’au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m’interpella d’une voix chaude alors que j’avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa : " c’est la règle pour venir travailler chez moi « . Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m’appelle depuis tout à l’heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j’ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !! J’ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu’elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l’argent appelle l’argent. Je file Tata, j’espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l’aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que...... Kiss La puce   Chère Tata, Si j’ai lu le roman ? Oui j’ai commencé à le lire, here soir, à voix basse pour m’imbiber des mots mais pas seulement avec des mots car pour répondre à votre seconde question, Oui aussi.... Je n’ai pas pu m’empêcher après. J’étais tellement tendue de ma journée passée. Je me suis réveillée en croyant presque avoir rêvé ce que j’avais vécu. C’est incroyable non ? Cet homme d’un autre âge ! Noble, excusez du peu. Sa classe, je l’imaginais m’interpeller, un porte cigarette aux lèvres, un haut de forme vissé sur le crâne, et me dire « Mademoiselle, songez à mettre une jupe afin que je puisse vous trousser impunément !! » Et moi de répondre " je n’y manquerai pas, Monsieur le Comte « Je rigole mais franchement j’adore sa façon de me vouvoyer, ce décalage étrange et terriblement érotique pour me faire la demande avec style de ne pas oublier de lui apporter un petit biscuit de moi à ranger dans sa boîte la prochaine fois. Franchement, j’avoue ne pas savoir avec quelle photo venir et je n’ose pas imaginer la tête que pourra faire lilou si elle me voit dans la boîte. Je ne vais pas pouvoir lui dire que j’ai rangé, sous ma pile de pull, à l’intérieur d’un roman érotique, ses seins à peine voilés et son visage d’ingénue. Impossible, vraiment impossible de lui en parler. J’espère que Monsieur Richard aura la délicatesse de ne pas le lui expliquer par quel tour de magie elle aura disparu de la boîte pour qu’une autre colombe y apparaisse. Non vraiment Tata je ne sais pas quelle photo apporter, j’ai encore le temps de réfléchir. En tout cas ce qui va être je le sais d’avance bizarre c’est ce sentiment d’excitation que je vais vivre, de devoir choisir de quelle façon, comme il le dit avec tellement d’élégance, il va me sentir plus que me voir nue et l’état inverse dans lequel je serai lorsque je vais apporter mon pur beurre pour rejoindre les autres filles !! Oui tata il n’y avait pas que lilou dans la boîte à gâté !! Je ne sais pas vraiment, je n’ai pas eu le temps de compter, ni de farfouiller, j’ai pas votre facilité avec ces choses-là moi. Peut-être quarante, cinquante photos, des filles brunes, rousses, métisses j’ai pu voir aussi bref cet homme aime les femmes, c’est indéniable et plutôt pas mal ce qui fait du bien je l’avoue à mon égo. Ben quand même Tata, j’ai le droit d’en profiter un peu je crois, je passe mon temps à voir les filles phares de ma classe jouer les tournes culs à la sortie du lycée, ne jamais monter dans les mêmes voitures, ni avoir les mêmes pères ou frères.... Alors pour une fois que Cendrillon est invitée au bal même si c’est pour faire le ménage et la lecture, je ne vais pas me priver. Oui je fais attention Tata, franchement il a plus l’allure du père Noel que du Fouettard et je suis même certaine que vous même vous auriez pris un malin plaisir à me faire aller sur ses genoux dans une jupe trop courte pour au pied d’un sapin, dans une galerie marchande ,nous prendre en photo !! Non, vraiment je ne prends pas de risques sinon de devoir changer de culotte plus souvent chaque samedi au retour. J’étais certaine que vous trouveriez Lilou craquante et merci de me dire votre préférence pour..... « ma p’tite gueule de fouine malicieuse ». Je le prends comme un compliment, ne vous inquiétez pas. J’ai toujours aimé votre vocabulaire même dans les moments torrides surtout dans ces moments là d’ailleurs. La façon soudaine où vous devenez ogresse. Je la redoute souvent mais presque implore le sacrifice sur l’autel de votre vice. Vous voyez bien Tata, je ne vous oublies pas, même si on est loin l’une de l’autre, la preuve vous êtes la seule avec Lilou et encore je ne lui avoue pas tout, à qui je puisse me confesser librement. Mais bien sûr Tata, si on se revoit, vous pourrez encore de temps en temps en cachette dans la cuisine pendant que le reste de la famille vous croira en train de touiller la salade glisser vos doigts dans ma culotte ou mon corsage pendant que je couperai le saucisson sans broncher. J’aime oui ces moments où de façon fugace la folie s’empare de vous sans savoir ni quand ni où sans crier gare vous allez soulever ma jupe et me tâter les fesses. Je ne peux pas vous dire mieux pour vous persuader de ne pas avoir à être jalouse de mon comte. C’est une façon de gagner de l’argent et joindre l’utile au très agréable. Depuis le temps que je ferme les yeux en imaginant un homme mûr, laissez-moi au moins le plaisir de savourer enfin ces instants magiques. J’adore votre réaction Tata, ce mélange de « vas-y mais pas trop « , comme quand vous exhibiez votre poupée dans la rue et deveniez soudain tigresse lorsque vous sentiez que d’autres voulaient jouer avec !! Je vais devoir partir en cours, rejoindre mes camarades, certaines seraient surprises si un jour j’arrivais en carrosse devant le lycée !! Oui, Tata, on peut dire que vous avez de la suite dans les idées vous, je n’ai pas montré toutes les images qui sont dans mon livre secret. OK, pour vous en offrir quelques autres, de toute façon ce sera bientôt que des souvenirs d'******* comme on regarde ces cahiers d’écolières avec un brin de nostalgie dans les yeux. J’entre dans une nouvelle ère !!!! Kiss La puce   Bonjour Tata, Oui, bien sûr que oui, certaines images doivent vous émouvoir et vous rappeler certaines choses. Vous n’allez tout de même pas penser qu’elles sont arrivées par hasard dans mon petit cahier de nuit ? Toutes ces photos, chacun des tableaux, des dessins sont autant de petits cailloux que j’ai déposés au fur et à mesure de mes découvertes, ce sont autant de petits cailloux égrainés de ma culotte qui me ramènent vers mon *******. Bien sûr qu’il y en a d’autres, mais sachez que ce ne sont pas forcément les plus torrides qui déclenchèrent en moi les plus grands remous. A bien réfléchir, suis-je si différente de monsieur Richard ? Certes mon cahier d’images est bien moins fourni que le contenu de ce placard mais la finalité reste la même, éveiller les sens. Et pour répondre à votre question, même si le biscuit de mon corps ne parait pas à mes yeux capable d’être savouré autant que les autres, et bien Oui si je pouvais contribuer à déclencher à ses yeux une émotion, j’en serais ravie et honorée. Je ne crois pas que cet homme puisse faire les choses don’t vous parlez si crûment. En tout cas si cela lui arrive, je ne pense pas qu’il le fasse avec moi, il préfèrera rejoindre les filles si avenantes en couverture plutôt que mon corps modeste. Je suis vraiment surprise par sa façon aussi rapide de me dévoiler son univers, ses secrets, il y a chez cet homme un savant mélange entre patience et immédiateté. Il ne s’embarrasse pas comme moi avec des pudeurs des secrets. En fait, il va exactement là où il souhaite aller, sait viser juste, il peut ainsi se permettre de perdre du temps, bien le répartir. Sa façon de viser juste là où devrait se joindre mon soutien-gorge est révélatrice. Cet homme me fascine, en une heure, il est parvenu à ouvrir tellement de portes, je ne sais pas laquelle il me fera franchir et je m’en moque je crois. Je ne vais pas me poser de questions, samedi je vais aller chez lui vêtue d’une jupe, poitrine libre sous mon chemisier, mon roman sous le bras avec glissé dedans lilou et ma contribution. Oui Tata, c’est une très bonne idée que de me suggérer de toujours lire à voix haute seule afin de maitriser ma diction. Vous auriez dû être prof, vous savez toujours trouver le mot, le conseil juste, comme la punition aussi lorsqu’il le faut..... Je vais tâcher, chaque soir de lire, reconnaître le terrain pour éviter les pièges et faire bonne figure samedi. Je n’ai toujours pas choisi quelle biscotte je vais glisser dans sa boîte à friandises, en tout cas merci pour vos suggestions, votre regard et plus affûté que le mien sur les émotions que ma plastique peut déclencher. Je vais éviter de réfléchir et oui peut être suivre vos conseils cela m’évitera de me torturer la cervelle comme vous le dites si bien, je sais combien vous préférez tendre les cordes. Bon ok, je vous laisse le choix. Je ne sais pas comment je vais être mercredi lorsque je retrouverai Lilou à la gym, cette fois, je risque d’être beaucoup moins bavarde et curieuse. Trop peur de dire des bêtises, je verrais sur place. Finalement, je me sens de moins en moins maîtresse de mon destin, moi qui disais que le hasard n’avait pas beaucoup de place dans mon univers intime, je suis en train doucement de lui entrouvrir la porte avec je l’avoue une certaine délectation. Comme une feuille tombée dans le cours d’une rivière, je me laisse emporter on verra bien où le courant m’entrainera. Je file Tata A bientôt. Kiss La Puce   Chère Tata, On peut dire que vous êtes réactif, je ne pensais pas avoir une réaction aussi rapide de votre part !!! Oh vous croyez vraiment que la photo dont vous parlez sera la plus, comment dire ... chargée en émotions ??? Je ne me trouve pas si ... Mais bon puisque j’ai dit précédemment accepter sans discuter votre choix, il en sera ainsi. J’espère parvenir à ne pas le décevoir !! Réponse samedi. Oui tata. Oui je vous ouvre encore un peu plus ma boîte à images, cela me fait drôle de mettre mon âme à nu, vous semblez avoir un tel appétit de secrets. Voilà encore de quoi le rassasier donc et tant pis si je passe pour une ...... comme vous le dites si bien lorsque vos yeux s’enflamment et que je devine combien il va m’en cuire . Oui pour Lilou je vais faire comme vous dites la laisser venir, c’est bien plus malin en effet Tata, ne pas dévoiler mes intentions comme dans une partie de poker. Encore merci de me conseiller aussi bien à distance. Non malheureusement je ne pourrai pas être là aux prochaines vacances, maman n’a pas prévu de partir, elle vient de trouver un boulot et moi j’ai l’intention de gagner pour me payer mon permis alors sans vouloir vous manquer de respect je pense que Monsieur Richard verrait d’un mauvais oeil si je devais lui dire que je devrais être absente. Je n’ai pas envie de couper le fil si fraîchement tissé entre lui et moi et voir mon biscuit couvert par la farine d’une autre. Merci de comprendre mais promis lorsque je pourrais j’irai en cuisine couper le saucisson et me faire..... Touiller la salade par vos soins. Kiss La Puce‌ Tata, Je reviens de la gym , j’ai fait comme vous me l’avez si bien conseillé, laisser le soin à Lilou de dévoiler son jeu, ne pas parler la première du Comte. Je n’ai pas eu besoin d’attendre longtemps . Elle m’a dit que son " parrain « , ça me fait toujours drôle lorsqu’elle parle de lui ainsi, j’ai l’impression de rentrer au service de sa propre famille sans savoir exactement quelle sera ma place et mon grade, était enchanté de m’avoir rencontrée et qu’il avait hâte d’être samedi pour voir si je lisais bien. Bon en fait rien de très précis. Je me demande si elle me cache des choses à la demande du comte, si elle joue à ne pas trop m’en dire ou si c’est lui qui cloisonne ainsi notre façon de travailler à son service, par souci peut-être de ne pas nous mettre en rivalité ou je ne sais quoi d’autre. Je me pose tellement de questions, toujours est-il que lilou n’a pas dit grand-chose même sur le chemin une fois la gym finie nous n’avons finalement pas du tout parlé de lui et de nous. Juste avant de nous quitter, elle m’a rappelé que je ne devais aller là-bas que vêtue d’une jupe ou une robe et jamais plus basse que les genoux. Moi qui n’en ai pas beaucoup, je vais essayer d’en trouver une pas trop chère que maman pourra me payer. Pas facile en ce moment côté finances à la maison, mais si cet investissement me permet de gagner plus.... J’ai bien lu le roman, déjà 100 pages, je répète à voix basse chaque fois que je peux. Ca va pas de passages trop osés, c’est de l’érotisme doux, je devrais m’en tirer pas trop mal et à lire c’est assez facile, fluide. Je me vois bien dans cette fille qui découvre le pouvoir qui apparaît avec ses formes naissantes. Bon maintenant je dois passer à..... confesse, le mot est finalement très juste, même si j’avais pu, vu vos questions et le ton employé le découper en deux parties. Oui tata j’aime ces dessins obscènes aussi sur lesquels on vOit les filles tartinées par du jus de sexe, même si jamais encore je n’ai pu voir et moins encore, reçu sur moi du sperme. Ce n’est pas parce qu’on a pas d’argent que cela interdit de saliver devant une meringue en vitrine si je voulais trouver une image !! Je ne sais rien de l’odeur, de la façon dont cela sort de la verge, de la consistance réelle, du parfum que cela dégage, BREF je suis plutôt en manque de connaissance sur le sujet, je veux dire concrètes en direct. Oui Tata Oui j’ai déjà fantasmé me faire tartiner la peau le corps avec du jus de ...., Oui j’ai mis un S au bout, plutôt qu’un préservatif. Je me souviens en sixième avoir surpris la conversation de deux grandes qui étaient en troisième, l’une disait à l’autre que le sperme avait le pouvoir si on se massait la poitrine avec, de la rendre plus ferme voir même de la faire croitre, alors imaginez ce que cela a pu engendrer chez moi d’images, lorsque je faisais faire à mes doigts leur promenade nocturne avant de tirer les volets de mes yeux !!! Combien de fois me suis-je imaginée passant sous des douches chaudes !!! Et toujours aspergée par de vieux tuyaux...... Oui c’est ainsi Tata, pour X raisons et des raisons X j’aime les sexes d’hommes mûrs, les autres filles se barbouillent les doigts avec les vedettes en couleurs, moi je trempe mes pinceaux dans le noir et blanc. Oui Tata, Oui je sais déjà par quels adjectifs vous allez m’affubler, j’assume mes rêveries, mes fantasmes et mes orgasmes qui en découlent. J’assume à ce point que oui monsieur le comte me verra dans mon deux pièces, que s’il veut en secret se donner du plaisir en s’imaginant tirer sur les cordeaux de ma culotte alors qu’il le fasse et que grand plaisir lui vienne de moi. Oui Tata oui j’ai encore des dessins, ils viennent de la fois où j’ai été en vacances chez un cousin de maman, quelqu’un les avait caché dans une malle du grenier, au dessus de bandes dessinées pour enfants. Drôle d’endroit pour une planque, je ne vous raconte pas le choc ressenti ce jour-là, je n’avais pas encore *********s !! Les voici ces images puisque vous ne manquerez pas de me les réclamer. Il se fait tard, mes doigts réclament leur promenade..... je vous laisse Kiss La Puce   Chère Tata Samedi, voilà enfin Samedi, que la semaine a été longue, j’attendais d’en arriver au bout et pouvoir écrire une nouvelle page. Je pense que ce soir j’aurais beaucoup à vous raconter. Il me tarde de me retrouver sur le perron, faire frémir le téton de sa sonnette. J’ai trouvé une jupe pas trop chère, maman a cédé sans trop résister, j’ai mis un chemisier blanc léger, il fait si lourd aujourd’hui, l’atmosphère est électrique. Non tata, je n’ai pas lâché mes cheveux comme vous me le demandiez et je ne pense pas que j’oserais le faire plus tard. Je n’ai pas votre malice pour l’obliger à fouiller ma crinière afin de trouver l’endroit exact où aurait dû s’agrafer mon soutien-gorge pour perturber son protocole. Désolée, c’est déjà terrible pour moi de lui dévoiler mon corps pas maquillé tel que vous l’avez souhaité. Je vais me sentir gênée de devoir lui tendre ma photo, mon dieu ce moment va être chargé d’émotions, je n’en doute pas un instant. Je ne vois pas pourquoi vous me demandez de vous la remontrer mais puisque j’ai refusé le caprice précèdent je vais céder au suivant... Je vous fais plein de bisous et merci de croiser les doigts pour m’éviter de me vautrer lorsque je serais en lecture. Un plus tard. Kiss La puce.   Chère Tata, Mon Dieu, quel après-midi mouvementé. J’ai l’impression que la semaine est si plate comparée aux quelques heures, bien trop courtes mais si denses du samedi !! Déjà tout avait mal commencé, maman avait besoin de moi pour faire des courses, il a fallu donc l’accompagner, elle a passé son temps à chercher les prix les plus bas, j’ai bien cru que nous finirions avec une pelle et une pioche dans les rayons du magasin. Et elle n’a pas trouvé son shampoing alors il a fallu aller dans l’autre supermarché pour enfin trouver le Graal. Pendant ce temps les aiguilles tournaient et lorsque je lui disais, en tapant du pied par terre que j’allais être à la bourre, elle me répondit que je n’avais qu’à passer un coup de téléphone pour prévenir les parents, ils comprendraient facilement. Sauf que je me voyais mal faire attendre la noblesse et me présenter à sa porte ne serait-ce qu’une minute en retard . Et cette mamy qui s’en mêla, elle n’arrivait pas à faire son créneau, bloquant ainsi la circulation, j’avais envie de lui arracher le volant des mains, la poser sur le capot et faire mes premiers essais de conductrice quitte à froisser de la tôle. Une fois enfin arrivée à la maison j’ai juste eu le temps de mettre ma livrée, de vérifier pour la énième fois que j’avais bien le goûter de Monsieur Le Comte, glissé dans les pages du Roman. J’ai zippé la fermeture , fait glisser les sangles du sac à dos sur mes épaules, le tout dans une chaleur exténuante et un énervement idoine. Le bus, et bien le bus je n’ai eu le temps que de voir ses fesses, oui il était déjà loin et je me voyais mal lui courir après alors j’ai commencé à marcher, je n’avais pas envie de patienter debout sous l’abri, en plus il y avait un groupe de jeunes plutôt agités et je me voyais mal dans ma tenue devoir m’impatienter presque 10 minutes pour que le suivant survienne. Alors j’ai marché d’un pas pressé, côté ombre, des gouttes de sueur commençaient à perler et l’aiguille de ma montre trottait plus vite que moi. Le ciel lui aussi entra dans la danse, à croire que le destin ne voulait pas de moi ou faisait tout pour me faire rebrousser chemin !! Maïs vraiment !! J’ai tout de même bénéficié d’une éclaircie en voyant le bus arriver alors que j’étais à dix mètres de son arrêt. Le temps de souffler quelques minutes avant de voir s’écraser lourdement les premières gouttes sur la vitre. Les premières car la suite fût dantesque, une averse orageuse au moment même où la porte s’ouvrit alors qu’il me fallait encore gravir la colline, courir car bien entendu je n’avais pas songé à prendre un parapluie ni un blouson avec capuche !! Alors j’ai couru sous la déferlante, comme une forcenée, par miracle la grille était ouverte, sans doute avait-il voulu m’éviter de prendre la saucée. J’ai ainsi pu quatre à quatre gravir les marches du perron pour me réfugier sous la verrière et ..... Rater la dernière marche, m’étaler de tout mon long sous la marquise de verre pour voir la porte s’ouvrir et me retrouver la bouche et les yeux à Comte d’hauteur. Je ne vous raconte ma honte !! Ah pour être à l’heure je l’étais mais de quelle façon !! Heureusement oui heureusement que cet homme avait le sens de la répartie et savait comment redresser les situations les plus embarrassantes, me tendant une main pour que mon corps retrouve sa dignité. Il me fit rentrer, en oublia même le protocole pour palper mon revers. Mais très vite, je compris son sourire en découvrant dans le miRoir le petit rat trempé que j’étais devenu. Et surtout, Tata, impossible de ne pas songer à vous, d’avoir ainsi convoqué le diable au bal, mon chemisier, sa blancheur immaculée était moulée à mon buste, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir mes médaillons rosés accrochés à mon buste !! Pourquoi n’avais- je pas obéis ? Lâchée, ma chevelure, même trempée, aurait pu masquer mon impudeur. Il me fit rentrer, me dit que j’allais pouvoir me sécher que j’aurais dû attendre que l’averse cessa, que j’étais bien imprudente d’avoir couru sous l’orage, bref réagit comme un père l’aurait fait, des mots doux, teintés de précautions, d’attentions.il me montra la porte de la salle de bain, afin que je me sèche, n’ayant pas de vêtements, J’allais devoir garder mes effets mouillés. Imaginez Tata, seule face à la glace de l’armoire au dessus du lavabo, chemisier collé à la peau, heureusement que ma jupe avait mieux résisté aux assauts de la pluie, rien pour me changer, juste une serviette pour sécher mes cheveux. Et j’allais devoir retrouver un septuagénaire pour lui faire la lecture, assise face à lui !! J’ai tout de même retiré mon haut, me suis épongée la poitrine, j’ai fait comme j’ai pu pour retrouver un peu de bienséance et de pudeur et j’ai fait tomber ma crinière sur le devant. C’est alors que je me suis rendue compte que dans le tumulte de mon arrivée, il avait abandonné le Vous au profit du Tu. Sans doute j’avais franchi un pas, en seulement deux visites j’étais parvenue à trouver mon espace auprès de lui. J’étais si fière Tata et troublée, je vous l’avoue de maintenir les règles de bienséances en continuant de le vouvoyer. Je trouve cela bien plus érotique, vouvoyer un homme mature qui me Tutoie. C’est presque d’un autre temps, comme ces histoires que je lisais autrefois, dans l’antichambre de l’opéra où de vieux bourgeois venaient conter fleurette aux ballerines. Combien de fois me suis-je imaginée en chaussons lassés, si vous saviez Tata. Dansant dans des salons privés avec mon plateau de tulle, sans rien dessous, ni dessus. Qu’ils admirent mes pointes et ma souplesse. Mais il me fallait le rejoindre, j’avais un travail à accomplir. Il était assis dans son fauteuil, venait d’allumer une pipe, me toisa et lâcha un énigmatique " Dommage « ,et enchaina de suite par cette phrase qui résolu mon questionnement. » Je constate avec joie que tu as songé à mettre une jupe et je remercie le ciel de t’avoir inspiré ce splendide chemisier. As-tu songé à apporter ce que je t’avais demandé ? « C’est totalement fou, Tata, mais à cet instant précis, j’ai ressenti la fierté de l’écolière en ouvrant mon sac, tirant de celui-ci le roman où j’avais glissé mon " devoir " dûment rempli sans presque me rendre compte que je lui tendais mon corps par vos soins emmailloté. Vous étiez là Tata, oui vraiment, je sentais votre présence chaude, par-dessus mon épaule, susurrant à mon oreille vos vils encouragements à tendre ma poitrine, mon visage sans fard et le bassin de mon corps. Un fil accroché à mon poignet, votre maîtrise de pour parvenir à tendre mon bras comme une poupée et obéir aux mouvements de l’attelle. Ma photo était entre ses mains, reliée à lui par vos soins. Comme pour me protéger de cette impudeur offerte et éviter de voir sa réaction, mon esprit s’est envolé, j’étais dans votre cour, je n’oublierai jamais cet après-midi ensoleillé et le lendemain, cette sortie étrange où passagère de votre véhicule et de vos envies, sans sourciller j’ai obéi à vos exigences surréalistes. Pendant ce temps, face à moi, sans un mot, il me regardait la photo dans sa main droite, le regard absorbé, il tira une bouffé de sa pipe sans succès, me posa sur la boîte à gâteaux, prit une allumette pour faire rougir le fourneau et me reprit en main, un épais nuage virevoltait dans le salon. Tata, ce silence était si pesant, si lourd. Pas le moindre mot, aucun commentaire, que les secondes étaient longues. Il finit tout de même pas ouvrir la boîte à biscuits pour m’y glisser dedans et rejoindre les autres. Oh Tata, quel soulagement ce fût pour moi, d’une part mon impudeur était sous cloche et ensuite cela voulait dire que la biscotte choisie par vos soins semblait en mesure de satisfaire son appétit. J’ai juste eu le temps de voir, avec je le confesse une certaine fierté, que mon modeste corps en deux pièces venait de couvrir le visage minaudant de Lilou dévoilant son poitrail vêtue d’un short en jean. Il sortit de l’antichambre du silence, me demanda si j’avais lu le roman et je pouvais lui faire la lecture. J’ai répondu par l’affirmative, retenant mon souffle pour ne pas me vautrer cette fois comme sur son perron. Il s’est levé, et me fit signe de le suivre en salle de lecture !! C’était bizarre, comme quand on change de salle au collège ou au lycée, il fallait donc que je lise dans une salle dédiée à cette matière. Je l’ai suivi jusqu’au grand escalier menant à l’étage. Nous pouvions monter côte à côte mais la galanterie et je l’espère le voyeurisme firent que je me retrouvais deux marches plus haute que lui. Tata que devait-il penser à cet instant croyez-vous ? Il faudra me raconter lorsque je devais gravir ceux de votre maison avec si peu de tissu pour couvrir mes jambes et vos yeux vissés sur mon derrière. Oh Tata , impossible de poursuivre mon écriture, mes cuisses ne cessent de se serrer, j’ai les doigts comme des hameçons, je dois aller.... Pécher. </font>Ma chère Tante épisode 16 Oh Tata !!!!!! Mon Dieu, vous êtes à ce point intéressée par mon odyssée !!! Je me remets à peine de mes émotions que déjà un message de vous !!! Oui Tata, Oui je me suis vidée mais juste un peu, mais pas assez, je ne crois pas y parvenir d'ailleurs, Mon berlingot ne cesse de tourner comme une soupape le ferait, vraiment Tata je me sens sous une pression constante avec mes vapeurs. Parfois je voudrais que l'on m'exorcise, m'attache en croix à un lit, m'égruge le vice, que ma peau soit enduite d'eau bénite gluante afin que le crucifix puisse coulisser au plus profond de mon ventre et puisse expurger mes luxures et que l'on plante tel des clous les orgasmes dans le creux de mon ventre jusqu'à mon dernier soubresaut. Je me sens prisonnière de ce double, comment puis-je être aussi sage en vitrine alors que dans l'arrière salle je me consume ? Oui Tata, je vous raconterai puisque vous m'en offrez l'occasion ce que j'ai ressenti lors de ces vacances si particulières, Oui vous saurez tout sans tabou aucun, pour une fois que la poupée peut enfin ouvrir la bouche pour un autre usage que celui utilisé par vos vices..... Alors Oui je parlerai, ou plutôt je viderai mes poubelles tellement je me suis par moment sentie sale et humiliée par le panel de vos débauches. Mais attention Tata, ne vous attendez pas à mon indulgence, ce n'est pas parce que j'ai joui que je vous épargnerai car il y a des choses Tata......., heureusement que j'étais excitée et manipulée par vous !!!! Pour répondre à votre insistante question, NON Tata, NON il ne m'a pas touchée, rassurez-vous, bien que ce que j'ai vécu était peut être pire que s'il avait glissé sa main sous ma jupe dans l'escalier ou l'enfouir plus tard dans mon corsage. Je découvre combien l'érotisme est un pays aux frontières sans fin, j'étais loin de m'imaginer tamponnée avec autant de visas. Je comprends le regard de Lilou, cette plénitude exprimée lorsqu'elle parle de "Son parrain ". Il me faut poursuivre mon COMTE rendu, nous sommes arrivés sur le pallier, j'avais mon sac à la main contenant le roman et la photo de Lilou là où j'avais cessé de lire. Il me précéda et tout au bout d'un long couloir, nous nous sommes retrouvés devant une porte en chêne, il sorti un trousseau de clés, je trouvais cela insolite pour un homme vivant seul à son domicile, à moins que de temps en temps de la famille vienne le visiter et que des enfants ne viennent jouer et déranger l'ordre de la pièce, les personnes âgées aiment l'ordre ou plutôt détestent faire le ménage ou chercher leurs affaires. Mais lorsqu'il ouvrit la porte je compris tout de suite que les enfants en question voir même les adultes non prévenus auraient été surpris de voir le mobilier et la décoration de cette pièce !!!! Oh Tata , jamais je n'aurais imaginé cela possible !!!! Seules les statues de bronze et de marbre représentant ces filles dans des poses alanguies et tendues, cuisses largement ouvertes sur des pubis lisses, sans compter ce bas ventre masculin coupé au nombril dardant une virilité extrême recouverte de veines si saillantes qu'on aurait pu les imaginer véhiculant du granit de ****, ce gland TATA, mon Dieu ce gland, il ressemblait à un champignon, si large et puissant. Qui avait pu sculpter pareilles oeuvres, qui avait pu poser ainsi, qu'il s'agisse des filles ou de ce promontoire, on aurait pu y pendre un manteau d'hiver tant le promontoire était solide et la courbe parfaite !!!! Il s'est assis dans un fauteuil, je n'ai pas remarqué tout de suite sa facture car il avait allongé ses bras sur les accoudoirs mais soudain j'ai découvert que l'accoudoir de gauche en bois sculpté représentait le corps d'une femme étendue nue de telle façon que les mains pouvaient d'un côté palper sa poitrine dardée vers le plafond tandis qu'à gauche la même sylphide offrait à la paume sa croupe. Des estampes et dessins d'un autre âge mais de moeurs légères couvraient les murs. Non Rien Tata vraiment rien dans cette pièce exprimait autre chose que l'érotisme, J'avais beau tourner les yeux, je ne voyais que stupre, impudeur, libertinage et lubricité. Tout était réuni pour inviter, exciter, sublimer les corps et les envies. Il a attendu quelques instants, sans doute que je digère l'environnement nouveau dans lequel il venait de me plonger puis me demanda de lui faire lecture, j'ai sorti le roman et maladroitement fit tomber Lilou à mes pieds. Alors que j'étais penchée pour la ramasser, il me stoppa, d'une voix nette et sans appel. "Ne bouge plus , reste ainsi !" J'avais la main à quelques centimètres du téton dressé sous le bustier de ma copine, le dos courbé et me rendit compte que de là où il se tenait, il avait vue sur l'entrebâillement de mon chemisier par conséquent ma poitrine offerte. Il ne put retenir un ...."que c'est beau " puis quelques secondes après m'invita à me redresser pour commencer à lire. Alors j'ai dégluti et ouvert le roman pour débuter mon travail, il m'invita à m'asseoir dans le fauteuil plus chaste à trois mètres du sien tandis que sa main droite semblait malaxer doucement la poitrine boisée de l'accoudoir et la gauche palpait les fesses de l'autre côté. Tata, j'avais la sensation qu'il était en train d'empaumer mes seins pendant que j'articulais mes premières phrases. C'était, hmmmm Tata , c'était !!!! J'ai bien lu, vraiment Tata, je ne sais comment vous remercier de m'avoir prodigué vos conseils, vous auriez pu être instit. Seul bémol, parfois j'avais du mal arrivée à certains passages, pourquoi ma main avait choisi ce roman, allez savoir......... On me laisse seule dans le cabinet contrairement à l'habitude, et le docteur me fait déshabiller complètement. - Oh! mais , on devient une grande fille ! Je rougis (je pense Tata que mes joues devaient s'empourprer) de toute ma surface. Qu'est-ce que le docteur peut bien voir ? Il applique son visage sur ma poitrine; dis trente-trois, respire, tousse.... Sa barbe blonde touche ma peau. Pourquoi les docteurs ont-ils des barbes. Je déteste cette sensation. A cet instant Tata, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pu empêcher de marquer un temps d'arrêt, Monsieur Richard m'interrompit pour me dire de ne pas laisser paraître mes propres émotions mais d'être la voix du personnage. ....Et en même temps que je la déteste, je commence à avoir chaud. - Tu as de l'appétit ? Tu n'as pas du mal à t'*******r ? Tu ne te sens pas énervée parfois le soir ? (Mon dieu Tata heureusement que ces questions concernent l'héroïne sinon y répondre moi-même aurait été chose délicate et trop intime) - Tu n'as pas d'insomnies ? A quoi penses-tu le soir ? ( A des mains qui s'aventurent sur mon corps, Tata, des yeux qui m'écartent les cuisses, des ventres qui se frottent au mien et finissent par m'écraser !!!!) C'est un médecin ou un confesseur ? Où veut-il en venir ? Il me saisit le menton et me regarde dans le fond des yeux. - Tu es sage ? Si je suis sage. Qu'est-ce que cela veut dire ? Je me sens l'objet de troubles soupçons, indéfinissables. Vous le savez, vous, Tata, si l'on m'interdisait l'usage salutaire de mes doigts, je serais bonne à interner. Je pense à ces femmes qui à travers les siècles durent subir les jugements des hommes pour mille raisons, seules le corps tendu à se donner bonheur ou enlacées intimement, elles finissaient parfois sur le bûcher de la vanité masculine tandis que les mâles pouvaient en meute battre campagne et violer à tour de bras. Finalement Tata, je suis fière d'avoir participé à vos chasses secrètes lorsque vous me faisiez monter en voiture. Vous agitiez fièrement l'étendard de notre liberté. Voilà, j'ai fini ma rédac, il est 23 heures.De plus maman m'a bien énervée, ne parvenait pas à quitter l'appartement, j'étaisdevant la télé à trépignerintérieurement, l'entendre se demander si ce chemisier irait avec cettejupe, si elle était bien coiffée, allait elle mettre ce bijou ou plutôt ce bracelet.Je n'avais qu'une hâte, quitter le canapé, m'enfermer dans ma chambre et chercher des mots, assembler des phrases, les ajuster... Finalement maman et moi sommes du même bois, elle tergiverse pour se vêtir tandis que moi je fais de même pour me mettre à nue.Enfin elle est partie, vêtue d'un jean et d'un pull, pas la peine de faire tout un cirque pour finir ainsi.Je me suis levée, dirigée vers ma chambre, tournée la clé dans la serrure puis j'ai tourné en rond me demandant quels mots j'allais employer, comment articuler mon texte pour donner du volume à mes seins et les rendre palpable à ses yeux.Qu'il est difficile de parler de soi,décrire son propre corps.Dommage que je n'y connaisse rien au braille, la chose aurait été plus aisée, il lui aurait suffi de glisser le bout de ses doigtssur mes picots pour découvrir le chant de ma peau.Durant 10 minutes j'ai rempli la corbeille à papier, je ne parvenais pas à aligner plus de trois lignes, comment parler d'une poitrine que je passe mon temps à masquer de peur qu'elle soit sujette à moqueries et quolibets.S'il savait combien il m'est difficile une fois sortie de son univers de l'enfermer de nouveau.De dépit je suis retournée au salon et me suis servie un fond de Porto,l'alcool aidant peut être que je parviendrai à débrider ma monture.Je suis retournée dans ma chambre, j'ai défait mon tee-shirt pour la voir, face au miroir, observer ses palpitations, de face, de profil, penchée en avant, ou le buste tendu, mais rien n'en sortait.Je me suis pincée les bouts,à plusieurs reprises, pour les réveiller, qu'ils me viennent en aide comme un styloque l'on presse pour activer le flux de l'encre.Mais rien... pas un mot, ni même de lait !Oh certes mes tétines étaient dressées, affûtées,mais à part une douleur devenue vive, elles avaient plus envie d'être dévorées par unebouche que me parler.Alors je me suis souvenue de ce conseil donné par mon institutrice...."Lorsque vous coincez sur un exercice, inutile de persister trop longtemps, passer au suivant".Aussi j'ai appliqué studieusement l'enseignementet sorti le second devoir que le Comte m'a donné, cette photo, ce maillot de bain, ma mine triste,mon regard interrogateur. Il veut savoir son histoire, qui l'avait prise et dans quelles circonstances.....J'ai longuement fixé mon propre reflet, me suis dévisagée la poitrine et j'ai décidé d'écrire en ricochet puisque mes seins avaient été à l'origine de l'émoi causé chez le photographe, je n'avais qu'à relater cette expérience. Le voyage de mes seins au pays du désir.Soudain, emplis de ces souvenirs, mes mamelons se sont mis à suinter et l'encre acoulé........ Monsieur Le Comte,Ce que vousm'avez demandé me parait difficile, disserter sur moncorps, de surcroit ma poitrine. Je pourrais par confort, aligner des mots, trouver des formules, mais très vite vous parviendriez à déceler derrière ce rideau de lettres, une gêne.Ce n'est pas qu'ils soient insensibles, loin de là, mais je n'ai pas l'âme d'une boutiquière pour les agiter en vitrine ou derrière une vitre à maculer.Je ne vous cache pas, Monsieur Le Comte, que chaque samedi, depuis que je me rends chez vous, ma poitrine se met à vivre, exister, vibrer même je l'avoue.Cette obligation dans notre contrat m'aura permis de mieux comprendre mes seins, les apprivoiser même. Ce n'est pas en enfermant que l'on saisit les choses.Quitter le domicile avec leur liberté ne m'est plus insupportable, le fait de traverser la ville nue sous mes chemisiers, affronter les vents, le soleil et les intempéries m'aide à mieux les connaitre, sentir parfois qued'autres regards aiguisésque le vôtre se détournent à leur passage me procure des frissons.Rien que de songer que je vais devoir samedi vous les dévoiler figés, déballés surpapier glacé me plongedans un exquis embarras.Vous voulez savoir qui est à l'origine de cette photo où j'apparais dans un deux pièces trop étroit ?Plutôt que m'affairer à creuser mon cerveau pour trouver l'inspiration, je préfère vousraconter cette émotion dont ma poitrine fût la source.Vous allez vite comprendre, Monsieur Le Comte, que mes seins ont plus à gagner lorsqu'ils ne m'appartiennent plus, aussi que finalement à bien réfléchir, je pourrais les poser sur un plateau puis quitter la pièce sans que personne n’en prenne ombrage.Ce qui leur est arrivé ce fameux jour n'aurait jamais dû se produire si un être n'avait manqué à sa parole.....J'aurais dû me rendre à Paris, unweekend promis de longue date par unpère si souvent absent, et plus enclin à honorer ses maitresses que les promesses faites à sa propre fille.MaisIl s'était engagé, avait juré tellement fort que je m'étais reculée de peur qu'il ne crache sur mes souliers pour sceller son serment.Leprogramme était alléchant, après quelques heures de route, nous serions allés de musées en boutiques, de restaurants en monuments, et le soir, cerise sur mon gâteau, il m'aurait préparé une surprise,sans doute un diner spectacle dans un de ces cabarets où Lautrec a posé son chevalet.Une bulle d'air, des retrouvailles si souvent avortées. Mon sac était prêt de la veille, il m'avait confirmé la semaine précédente notre rendez-vous.Levée tôt je m'étais apprêtée, maquillée et vêtue, prête à mettre la Capitale à mes pieds et déambuler à son bras sur les grands boulevards.Je guettais par la fenêtre sa voiture, maman s'exaspérait de me voir faire les cent pas et piaffer sans cesse. N'osant me dire que..... que l'aiguille des minutes allait céder sa place à celle des heures et assombrir mon regard jusqu'à ce que coulent sur mes joues les couleurs de la fête. A force de pousser les murs de ma patience, j'avais atteint le jardin des larmes. Son téléphone m'envoyait dans l'antichambre de la lâcheté. Après avoir vidé mon sac dans sa messagerie,j'ai éparpillé celui de mes affaires puis me suis allongée face contre mon oreiller pour éponger mes sanglots.Vous voyez, Monsieur le Comte, j'étais plus disposée à prier le Diable qu'à vouloir louer mes seins.Ma mère avait compris d'instinct, depuis bien longtemps, que cette promesse était un feu de paille, mais chaque fois qu'elle avait tenté de m'avertir, d'un revers de la main j'avais nettoyé son pupitre.Maman voyant ma peine, et pour m'éviter de rester prostrée la journée entière sur mon lit, en cachetteappelaune de mes copines pour lui demander de me changer les idées.Céline, sans me demander mon avis, m'informa queson père ne tarderait pasàvenir me chercher, je n'avais qu'à préparer un maillot de bain, la piscine était à température idéale.Comme une zombie j'ai saisi le premier qui me venait sous la main et attendu que l'on sonne à la porte, un vrai père cette fois, pas de ceux dont les promesses se dérobent au moindre courant d'air, emportant avec elles mes guirlandes d'illusions.Il me conduisit jusqu'à chez lui, tenta maladroitement, à l'aide de formules, d'éponger mon amertume, de trouvermille excuses à l'auteur de ma colère,mais le mal était bien plus profond, trop abyssal.Céline m'attendait déjà dans la piscine, son père ne devait pas rester, il avait à faire en ville et nous serionsseules elle et moi une bonne partie de l'après-midi. Ironie et provocation ultime du sort qui était le mien, sa mère était à Paris avec sa petite soeur. Je suis donc allée dans la salle de bain, j'ai revêtu mon maillot de bain, et penaude,suis sortie pour la rejoindre. Sauf que dans la salle à manger, son père était encore là, semblant attendre je ne sais quoi. Il me contempla des pieds à la tête comme un gamin désargentéface à la devanture du confiseur, à laper ma vitrine du regard. Le silence était lourd, ses yeux suaient. Seuls les plongeons de Céline à quelques mètres de nousparvenaient à le briser. Ilm'assuraque mon père, sans doute, n'avait pu faire autrement, qu'il allait seconfondre en excuses, etsans que j'encomprenne la raison, il tirade sa poche unappareil photo et me fixant, me demandade lui sourire, qu'il était dommage qu'un aussi beau minoispuisse être triste. Je suis restée figée jusqu'à ce que Célinem'appelle.Son père, lacinquantaine passée, revint alors à lui, sembladésappointé, retrouva ses esprits et glissa l'appareil dans sa poche. Sans un mot j'ai quitté la salle à manger, ses pupilles accrochées aux mouvement de mes hanches.Il est venu sur la terrasse, tandisque je plongeais rejoindre sa fille, nous souhaiter un bel après-midi, il reviendrait aux alentours de 17 heures.Nous étions donc seules, l'après-midi déroula sa moiteur, plonger dans l'eau, papoter de tout et n'importe quoi, nous taire, ouvrir un magazine, offrir à Hélios nos deux corps.Céline ôta le haut de son maillot, me dit que je pouvais en faire de même, pas de voisins. Alors j'ai fait glisser mon soutien-gorge.Il n'était pas encore 16h lorsque j'ai regardé ma montre, je ne voulais surtout pas que son père me voit ainsi dénudée. Mais alors que Céline était partie chercher des rafraîchissements en cuisine, j'ai entendu le même déclic que celui de la salle à manger.Tel un chat rentré plus tôt que prévu, son père était parvenu jusqu'à moi pour, muni de son troisième œil figé dans l'axe de mes cuisses, dérober de nouveau mon corps.Dans un geste réflexe, j'ai glissé sous mes seins mon avant-bras, gênée de me retrouver ainsi à découvert,sa fille pouvant revenir à tout moment, nous découvrir et me juger.Lorsque Céline, un plateau à la main et les mamelles toujours au vent, fit son apparition, il avait déjà pris place sur la terrasse, assis sagement comme si de rien n'était, je profitais de cet instant pour tendre le bras, saisir ma pudeur et la nouer à mon poitrail.J'avais à la fois envie de partir et d'acceptermaisCéline était là, clé de voute de ce temple.Nous avons passé un peu de temps à bavarder encore, elleme proposa de rester diner, je n'avais qu'à prévenir ma mère, je pouvais même rester dormir si je voulais, la chambre de sa soeur était libre. Son pèretenta aussi de me convaincre mais j'étais lasse de cette journée et bêtement j'ai décliné l'offre faite.Alors Céline replongea dans la piscine, son père rentra dans la maison et je me suis dirigée vers la salle debain pour m'ychanger.J'étais arrivée à la porte, lorsque dans l'encadrement de la chambre d'en face, il se tenait de nouveau à l'aguet, silencieux, le regard affamé, à portée de main.Il insista de nouveau pour que je reste, me montra le lit de sa fille cadette, balbutia tant il avait des yeux plein la bouche, tira de sa poche un billet de 20 euros, le tendit vers moi sans que je comprenne les termesdu contrat proposé.Puis m'annonça qu'il voulait les voir, juste quelques secondes en fixant mon coeur, cette fois, acculée danscette impasse le propos était clair. Il suffisait que je recule de deux pas pour que je puisse fermer la porte et ignorer l'indécente proposition.....Au lieu de cela, je pris l'argent et le regard baissé, honteuse de moi, humide de lui aussi, de ma main libre j'ai tiré le pan de mon soutien-gorge, ouvert le premier rideau, puis le second pour allaiter ses yeux assoiffés.Je n'osais lever la têtevers lui, pour ne pasdéranger son recueillement.Je vis alors un second billet apparaitre. Il voulait une de mes pommes, peut être comparer les deux commesur l'étal d'un marché, me demanda l'autorisation de les saisir, juste une seconde ou deux et alors qu'il s'apprêtait à insister, mon torse se dressa, et mes tétons aussi, nul besoin de parler quand on est seins nusface à des mains, il suffit de se tendre etaccorder faveur.Ses paumes se sont approchées de moi doucement, je pouvais presque les entendre respirer tant mes mamelons étaient à l'affût du moindre souffle de ses mains, puis elles me couvrirent totalement, mes seins disparurent, emportés, aspirés. Il serra pour apprécier ma fermeté ou tenter d'extraire du jus de paumes. J'étais regard fermé dans l'enclos du jardin des délices, ailleurs.... Il y avait des mains posées sur moi, un homme faisait ses premiers pas sur ma poitrine, me palpait, me malaxait.Si j'avais ouvert mes volets clos, nos regards se seraient croisés et peut être que mesbras ne seraient pasrestés ballants, et se seraient à leur tour animés.Mais étrangement je préférais savourer l'instant présent, ne pas bouger, laisser agirson expertise. Mais Céline claironna mon prénom du fond du jardin et rompit le charme, les deux belettes fuirent leur niddouillet, laissant mes mamelons, pas encore rassasiés, piailler tous becs dehors.Conscient que j'étais à vendre, prête même à me solder,mais que la boutique allait fermer et frustrer ses envies d'aller fouiller dans mes autres rayons,il réclama, supplia même que je lui offre un dernier régal, tendant le reste de sa bourse."Montre-moi en bas, s'il te plait je veux voir en bas, je ne toucherai pas, je te le promets, juste un peu, je veux voir, je t'en supplie, montre moi !!!!!"Alors sans un mot mes yeux, comme les gouttes de sueur qui coulaient de son front, glissèrent vers l'objet de sa quête, suivis comme des ombres par mes mains, là où j'avais les flots noués et j'ai impudiquement tiré sur les cordelettes pour déballer ma papillote et faire tomber le rideau.Maculotte gisait à mes pieds,chiffon humide jeté au sol,trop usé d'éponger mes émotions. J'étais à deux doigts de lancer en avant mon bassin pour qu'il puisse apprécier le juteux de mon alberge si..... Mademoiselle La Morale ne s'était de nouveau manifestée en hurlant, telle une louve le prénom de son père, elle devait se sentir seule, à moins qu'elle n'ait flairé un danger imminent.Elle allait sortir de l'eau, venir jusqu'à nous et briser le sortilège. Dans la panique je me suis penchée pour ramasser ma pelure, il effleura de nouveau mon sein le temps d'un adieu que déjà je tournais le dos, lui offrant mon postérieur pour qu'il glisse son âme errante dans la chaleur de ma raie.Voilà, Monsieur Le Comte, ce que je pouvais dire à propos de mes seins. J'espère être parvenue à satisfaire votre curiosité, peut-être serai-je hors sujet, c'est à vousde me le dire une fois mon devoir lu. J'ai éprouvé une grande difficulté à me confier sur mon enveloppe charnelle, mais sachez que lorsqu'ils m'accompagnent à votre domicile, ils se sentent si bien. Je n'avais jamais osé confier cet épisode, même Lilou l'ignore.Alors je vous remercie de m'avoir offert cette liberté surveillée.Voilà Tata.Il est inutile de vouloir me faire modifier le contenu de ma rédaction, elle est scellée dans son enveloppe.Les dés sont jetés. Je vais me rendre samedi à son domicile, munie de mes deux enveloppes, les lui remettre et m'offrir à son jugement.Je dois vous laisser, j'ai la tête engourdie par le Porto et la fatigue. J'ai peur et hâte de me présenter bientôt sur le pas de sa porte. C'est étrange comme cet homme se comporte avec moi, je serais curieuse de savoir comment il se conduit avec ma copine mais c'est tellement difficile d'aborder le sujet, elle est peu bavarde elle aussi, je pense que je vais un jour prochain l'inviter à boire un verre ou faire les boutiques afin d'avoir un peu plus de temps et éviter que des oreilles indiscrètes ne viennent écouter aux portes. Dites-moi donc comment je devrais procéder, elle est à son service depuis plus longtemps que moi, je voudrais savoir à quel stade elle est parvenue pour m'éviter tout faux pas ou commettre des erreurs. Cette aventure prend au fil du temps une tournure qui m'inquiète et me fascine. Je crois même secrètement que savoir, finalement, est un voile que je n'ai pas envie de lever. Non finalement je ne vais pas questionner Lilou. Je préfère ce brouillard qui m'enveloppe et me rassure. Je vous quitte, je vais dormir. Kiss - La Puce   Ma chère Tante épisode 17 Chère Tata, Je commence à vous connaître, j’ai appris à lire entre vos lignes, votre plume semble avoir quitté l’encrier de la fébrilité humide pour puiser dans celui de l’agacement. Vous savez maintenant que Céline n’était pas derrière l’objectif comme je vous l’avais laissé croire, mais que le doigt qui appuya sur le déclic était celui de son père. Bien sûr que je vous ai caché cet épisode de mon existence, il ne faut pas pour autant m’en vouloir. Comment aurais-je pu confesser cela sans craindre de passer pour une fille de mauvaise vie ? Oui j’ai accepté de..... louer mon corps quelques minutes durant, mais je n’ai pas couché avec pour autant. Ai-je pour autant ressenti de la honte ? Sur le coup, Non ,je ne crois pas, j’avais même le sentiment de participer à un bonheur. Ma seule honte serait d’être jugée, voilà pourquoi j’ai préféré grimer la vérité. Si je n’avais pas saisi l’opportunité offerte par cette rédaction imposée, je crois que jamais je n’aurais eu le courage de l’avouer, et le souvenir se serait dilué dans ma mémoire . C’est une communion : l’audacieuse demande de Monsieur Le Comte, la fatigue accumulée, et l’alcool sans doute qui aura fluidifié l’ensemble pour que s’écoule sur le papier la vérité mise à nue. Ce qui est écrit sera offert, je ne reviendrai pas en arrière. Si je n’ai jamais été honnête avec moi-même, alors avec lui j 'ai envie de l’être. Je veux et je peux oser enfin regarder mon reflet dans la prunelle de ses yeux. Chaque fois qu’il me demandera de dévêtir mon âme, je la dégraferai pour la lui offrir. Voilà Tata, ce que je ressens à cette heure, je grandis grâce à lui et suis heureuse de vous avoir pour confidente alors de grâce, n’ouvrez plus qu’un seul récipient désormais pour y griffer le papier de votre encre. Baiser Chère Tata, Que l’attente est longue, chaque mercredi commence pour moi lorsqu’arrive l’heure d’aller à la séance de gym et retrouver nos mutismes éloquents avec Lilou, toujours cette même sensation...... Je suis sur un plateau, lève la jambe, tend la pointe de mon pied droit, puis la pose sur un autre et doucement mon poids fait basculer ce dernier pour me retrouver ensuite de l’autre côté. Le vendredi est encore pire, cette fois je suis face à un miroir, le regarde du lointain de mon lit, me demandant quels rêves viendront habiller ma nuit et se refléter à sa surface ? Oserai-je demain me lever ? Regarder les scories de mes songes dans l’univers glacé ? Quelle sera la couleur de mes yeux, celle de mon corps ? Je ne sais jamais à l’avance dans quel âtre Monsieur le Comte jettera ma bûche d’âme et pourtant chaque samedi matin lorsque je pose mon premier pied au sol, je sais que le second sera celui qui me conduira aux suivants jusqu’à ce que mon doigt caresse le téton de la sonnette et que la porte s’ouvre. Oui à partir de mercredi je bascule et glisse vers l’inexorable porte, je me demande ce qu’il adviendrait si un jour je la trouvais close. Mais chaque semaine est différente de l’autre et ce mercredi, à ma grande déception, je n’ai pas vu Lilou venir, je l’ai attendue, sans même savoir si un jour j’oserai, à moins que cela vienne d’elle aborder le sujet, celui de notre tronc devenu commun, celui contre lequel nos corps nus se grattent à l’écorce. Pourquoi était-elle en retard ? L’a-t-il gardée plus longtemps qu’à l’accoutumée ? A-t-elle... ? J’aimerais savoir et ignorer à la fois, l’écouter une main sur les yeux ou la voir les oreilles closes !! Je suis passée devant chEz elle sur le chemin du retour, la lumière de sa chambre était absente elle aussi, elle devait dormir, oui c’est cela fatiguée, elle avait dû se coucher sans même pouvoir prévenir le club de son absence passagère. Avait- elle eu la force d’aller jusqu’à sa porte malgré son état ? Il me demandera samedi, c’est certain, de ses nouvelles, oui bien sûr, il sait que nous nous voyons sur les tapis et peut être en dehors également, alors il me demandera si elle se porte mieux. Mais s’il ne me disait rien !! Si même sa porte restait close !! Que je ne puisse lui rendre ma copie. Aidez-moi Tata, que dois-je faire samedi ou avant ? La puce Chère Tata, Nous voici Samedi, je me suis levée, cotonneuse, pas le moindre souvenir d’un songe, peut-être était-il trop leste à constater mes moiteurs, ma mémoire l’aura vite effacé afin de préserver ce qui me reste de pureté. Je tourne et vire, satellise sans repos autour de mon armoire, lorsque j’ouvre la porte, je me vois pendue dans mon éthérée tenue de travail, dans le tiroir de mon bureau, une enveloppe close comme la maison démon âme attendant l’ouverture. Je vais sans doute me maquiller légèrement sans excès, je crois que monsieur Le Comte me préfère nature, mais mes yeux sont trop petits pour qu’il puisse y plonger alors je vais m’arranger pour qu’il puisse venir y miroiter les siens. J’ai juste peur de sa réaction, de froisser davantage ses rides si belles en découvrant qu’avant lui j’aurais été dévoyée. C’est le risque de la sincérité, il doit bien s’y attendre, je sais que Lilou a connu des aventures avec des garçons, elle aura sans doute, à moins de mensonges, dévoilé la vérité. Chère Tata ...... Encore une fois, je ne sais par quoi commencer tant cette soirée fût !! J’ai la volière ouverte, des papillons volètent de toute part dans mon abdomen, je vous écris, sachez-le, totalement nue, me suis imposée cette posture cuisses ouvertes avec pour défi de ne jamais quitter les mains ni les doigts de mon clavier, voir combien de temps je serai capable de ne pas être coupable. Résister, voilà bien un mot dont Monsieur Le Comte m’aura appris la génèse ce soir. Oui vous avez bien lu, je suis restée chez Monsieur Le Comte jusque dans la soirée, j’ai même du prévenir maman que je rentrerai plus tard afin qu’elle ne s’inquiète pas et surtout qu’elle n’aille pas contacter la famille chez qui je suis censée apporter mes connaissances en français. Imaginez la scène, moi-même j’ai du mal encore à cette heure à croire que c’était moi qui poitrail nu face à Monsieur le Comte, était en train de lui expliquer qu’elle ne devait pas m’attendre pour le diner, que j’aurai certainement du retard en raison d’une dissertation plus longue que prévu. Oui, Tata, vous avez bien lu, j’étais face à cet homme qui pouvait être mon grand-père, les seins à l’air !!! D’y songer et vous le confesser ne va pas les aider à calmer mes bouts qui depuis bien deux heures ne cessent de piailler réclamant la béquée. Mais avant d’en venir à comment je me suis retrouvée dans cette situation, qui somme toute devait bien arriver un jour, à force d’approcher du grattoir votre allumette de nièce devait bien finir par rougeoyer. Ce n’est pas à vous que ..... Mais revenons au sujet qui nous lie. Je me suis donc préparée comme à l’accoutumée, presque religieusement, oui c’est étrange, j’ai toujours désormais ce rituel, d’abord je prends une douche, je m’arrange pour que jamais mon buste ne soit marqué par les traces du soutien-gorge, voilà pourquoI le plus tôt possible je m’en débarrasse désormais, c’est fou que j’accorde autant d’attention à mon corps depuis que je le fréquente, il semble tellement à l’affût du moindre détail, c’est un miniaturiste oui, voilà, c’est cela Tata, votre poupée a trouvé une nouvelle étagère sur laquelle se poser et se laisse admirer. Je me suis essuyée, j’ai enduit mon corps de lait hydratant, c’est étrange cette soudaine envie de m’enduire le corps, avant je me contentais de m’éponger, désormais j’aime me sentir crémeuse, onctueuse . Ensuite, j’ai mon rituel... celui des yeux, OUI Tata maintenant je ne me contente plus de me voir, JE ME REGARDE, enfin je devrais plutôt écrire je mets mon corps sur le devant de l’obscène . Un miroir face à moi, un autre plus petit déposé en haut sur l’étagère, sa prunelle orientée en contre-plongée, Monsieur le Comte étant bien plus grand que moi. Une fois les trous d’homme en place, je peux alors revêtir mon chemisier. Pas totalement non, d’abord les premiers boutons, ceux du bas puis commence le jeu des mouvements, des glissades, mon regard fixé sur les reflets, je me penche comme ceci ou plutôt de la sorte, je baille, un peu, beaucoup, passionnément, plus du tout, c’est incroyable le nombre de variations Tata que peut avoir une échancrure !! J’imagine ,si.... Si j’avais été plus fournie en matière... mais finalement serais-je entrée à son service si je l’avais été ? Peut-être est-ce pour cela qu’il m’emploie, la rareté fait le précieux. Lilou est mieux pourvue que moi, je lui ai même déjà dit jadis lorsque nous passions ensemble sous la douche après avoir sué sur les tapis, mais pour autant elle me dépasse de quelques petits centimètres. Un bouton de plus et soudain, il me faut vraiment me pencher pour qu’il puisse accéder au sacro-saint. Mon nombril n’est plus en vigie lui non plus. Encore un et le rideau se ferme, pudeur reprend ses droits pour que je puisse monter dans le bus et redevenir celle qu’on n’aurait pas remarquée lorsqu’elle serait montée, aurait fait tomber maladroitement à hauteur de ce retraité un objet quelconque pour ravir au lever les étoiles prisent au piège dans le filet de ses yeux. J’ai enfilé ma culotte, après avoir vérifié que mon buisson était taillé avec soin dans l’éventualité, Oui Tata, je peux vous le confesser, qu’il se sente l’âme d’un maraîcher. Oui, je me sens prête un jour à cette éventualité, combien de temps un homme peut-il résister à une telle tension ? Peut-être Lilou récolte-t-elle le mercredi ce que je sème le samedi, mais moi ? Oui moi !! ne suis-je pas digne de moissonner les siennes ? A t-il peur que je m’enfuie ? Ma fragilité l’effraie peut-être, s’il savait ce que mon corps peut endurer lorsque je l’emploie sur les barres et les poutres, je sais y faire, j’ai le poignet souple et ferme, suis capable de me tendre et me tordre en tous sens. Bien sûr, je n’ai aucune expérience en matière d’homme mais cela ne signifie pas que je ne sais rien faire de mes dix doigts. Oh Tata, la douleur de mes cuisses ouvertes et tendues appelle et attire mes doigts, mais je résiste, je veux terminer cette lettre avant de... A moins que ? Oui à moins qu’il n’ait plus de puissance que dans le regard et ces doigts qui effleurent mon dos... ? De toute façon, je dois me préparer à toute éventualité, ne serait-ce que si jamais il ne voulait que voir, oui, simplement me dire de remonter ma jupe et faire glisser mon voile blanche, je serais honteuse de lui présenter un désordre, voilà pourquoi je me pAsse en revue avant de tendre mes toiles et, rutilante de partout, me présenter à bon port pour venir à quai m’arrimer à sa . Un doigt de Trésor lèche ma nuque, un peu sur les poignets également, donner à mes yeux un peu plus d’éclat et me voilà prête à affronter les embruns, d’abord parvenir jusqu’à ma chambre sans croiser maman, qui ne comprendrait pas que je m’affuble ainsi pour donner la leçon à un *********. Vivement les jours ternes et frileux que je puisse mettre un manteau et cacher ma tenue d’apparat, même boutonnée au col, j’ai l’air d’aller arrondir mes fins de mois. Non je me suis regardée et non Tata, je ne pouvais sortir dans une telle tenue, si seulement la porte du Comte était adjacente à la mienne, il en était ainsi dans les châteaux jadis, de sombres souterrains par lesquels à la nuit venue, j’aurais quitté mon toit de chaume pour m’offrir devant l’âtre. Non Tata ce que j’ai pu faire avec vous, seule je ne le puis, j’ai besoin d’une main qui me tienne en laisse, me dise là où je peux faire et là où il ne faut pas. Ma jupe est trop cintrée, moulante, au moindre mouvement mes fesses ondulent, on voit même le creux tant le tissu m’épouse. Si jamais sur la route je croisais des garçons aventureux, voire pire, les harpies de ma classe, cela en serait fini de mes efforts quotidiens pour n’être qu’un spectre sans rondeurs ni formes. Vivement que les feuilles recouvrent le sol pour que je puisse sous de longs manteaux aller presque nue sunner à sa porte, j’ai déjà repéré, dans une boutique en ville, un bustier en satin qui dénude parfaitement le dos, comme j’aimerais sentir ses doigts effleurer malgré tout l’absence d’agrafes à même l’épiderme. Oui j’irai l’acheter avant qu’il ne quitte la vitrine, mardi sans aucun doute. Donc j’ai, par-dessus ma moulure de fesses, enfilé une autre jupe, plus large, plus longue aussi, je pourrais même mettre des hauts talons pour expliquer ma démarche prudente, due à la hauteur etnon à l’étroitesse de ma jupe lingerie. Une fois le portail passé, je n’aurais plus qu’à retirer l’écran derrière le grand buisson qui masque la rue et gravir les marches comme si j’avais osé, gorgée de bravoure, affronter les badauds en chemin. Mais alors, que pensera-t-il de moi en me voyant ainsi ? Que je suis une fille facile qui aime être sifflée dans la rue, abordée peut être, mon postérieur tendu attendant que de flatteuses mains me mettent le vent en croupe pour me rendre jusqu’à lui !! Tata,je n’y comprends rien aux hommes et leur façon d’interpréter les corps et attitudes, tout est tellement plus simple avec vous, je n’ai pas de questions à me poser, je déambule telle que vous le voulez, je fais les courbettes comme à la parade, je me penche au gré de vos caprices, je n’ai pas à réfléchir et me torturer, vous savez si bien le faire à ma place. Je dois vous laisser Tata, il fait moite et je dois détendre à tout prix mes adducteurs.... Je vous kiss là où vous aimez tant, La Puce   Chère Tata Je suis revenue à mon pupitre, je ne sais si c’est dû à la présence magnétique de l’astre de la nuit qui est apparu dans le cadre de la fenêtre mais je n’arrive pas à garder calme et sérénité. Qui de mon âme ou de mon corps est le plus tourmenté ? Difficile de m’y retrouver dans ce halo d’émois. Je reprends mes esprits, je vais tenter du moins. J’ai revêtu une jupe, c’est plus prudent, les tentations sont trop grandes et il y a encore des braises dans mon foyer, elle est plus ample que celle dont je n’étais parée cet après-midi..... J’ai regardé une dernière fois l’étrangère dans le miroir, chaussé un veston léger, ouvert mon sac en toile dans lequel j’ai glissé mon devoir dirigé, et je suis sortie de ma rassurante tanière pour aller au dehors me livrer à la faune.- tu rentres tard ?- non maman je serai de retour vers 18h30, j’espère qu’il sera plus enclin à faire ses devoirs aujourd’hui.- tu es bien patiente moi je ne pourrais pas. J’étais déjà la main sur la poignée de la porte lorsqu’elle me lança.....- Au fait, ta copine de la gym a téléphoné ce matin, tu dormais encore, je n’ai pas voulu te déranger, pense à la rappeler..... Lilou !!! Ce matin, pourquoi donc voulait-elle me parler ? Me prévenir ? M’alerter d’un danger, je dévalais l’escalier, manquant à plusieurs reprises, guindée dans ma jupe trop cintrée et juchée sur des talons trop hauts, de me tordre les chevilles. Elle voulait me dire de ne plus venir, Oui c’était cela, elle était parvenue enfin à le garder pour elle seule, l’avait détourné de mon attention !! Inutile de perdre mon temps, me faire des illusions. J’avançais néanmoins direction l’arrêt de bus, l’esprit tourmenté, n’osant l’appeler de peur d’entendre la sentence prononcée. A moins que le Comte l’ai chargée simplement de lui dire que la séance ne pouvait avoir lieu, Oui bien sûr, il l’avue en dernier, ne connait pas mes coordonnées. J’étais dans le bus sans même regarder autour de moi, absente et pensive. Et si ? Oh... et si elle avait voulu m’alerter, me dire de ne pas aller là-bas, qu’il avait quitté ses bonnes manières, qu’un piège m’était tendu, qu’elle n’avait pu l’éviter et ne voulait pas que je sois à mon tour victime de cet être trop pervers !!! Mon coeur battait fort le pavé de ma cage thoracique. Pourtant mon corps lui se foutait royalement de mes atermoiements, lui avançait, je l’ai même vu dans la vitrine de la boulangerie, comme s’il me défiait, me fixait pour me dire...... peu m’importe tes doutes, moi j’y vais !! Il était trop tard, et même si j’avais toutes les peines du monde à gravir la pente, la maison était là, de plus en plus là, quelques dizaines de mètres, non, moins encore, puisque j’étais déjà devant la grille. Elle était juste entrouverte, si peu d’ailleurs, qu’il me fallut la pousser avec difficulté tant elle est lourde et massive. Un coup d’œil alentour et je me suis faufilée vers le haut buisson pour dans l’angle de la demeure faire glisser ma jupe et me retrouver en tenue d’apparat..... Maïs.... Mais si c’était Lilou, moitié nue, encore échevelée, qui m’ouvrait soudain la porte, se gaussant avec dédain de mon accoutrement, me toisant avec mépris pour me renvoyer d’un index vengeur pointé vers la grille en direction de ma chaumière et mes espoirs rompus. Comment pourrais-je courir pour vite inonder mon traversin ? De la même façon que si Le Comte, devenu Barbe Bleu, se jetait sur moi, je ne pourrais faire dix mètres sans qu’il me saisisse par la crinière et me traine dans une cave pour profiter de mes chairs et les dévorer encore ruisselantes et poisseuses !! De toute façon, il était trop tard !! Pendant que je me tourmentais la cervelle, la de moi en avait profité pour titiller le téton de métal. J’entendis résonner mon glas... Mais rien, pas la moindre ombre, aucun bruit, juste celui du vent chaud et de la peau de mon coeur tendue comme une caisse claire avant le saut du trapèze. Et la d’insister de nouveau, encore et encore appuyer et dire qu’elle était là, les seins en émoi, prête au moment du contrôle, à le surprendre, tourner son buste brusquement pour que ses doigts sentent bien la fermeté de ses seins libérés de l’entrave. Non, vraiment je n’avais plus voix au chapitre, esclave de moi-même. Il n’y a pas plus pervers que son propre geôlier !! Non, ses efforts et sa furie n’y firent rien, la porte était close, elle n’aurait pas gagné de cause, il faudrait revenir. A moins de faire glisser sa culotte pour l’enfiler dans la boîte aux lettres pour dire j’étais là, je suis venue, sentez comme j’étais là, Monsieur, humez ma peine de ne pas être entrée, et voyez comme j’étais à point. Et puis, rageuse, écarter malgré la difficulté mes jambes enfermées dans l’étoffe de cette jupe de chasteté, et uriner à sa porte pour lui affirmer dévotion . C’était sans compter sur le vice chevillé à son âme, elle avait dans sa paume la poignée ronde de porte en bronze et la fit tourner, et la porte s’ouvrit, et elle m’entraina à sa suite sans me demander d’avis !! Oh Tata, j’étais entrée par effraction, je veux dire que j’étais chez lui, et que pendant quelques secondes, les yeux clos, j’ai attendu ses doigts sur mon dos en vain, mes seins étaient en ébullition pour rien. Je me suis sentie soudainement comme une voleuse. Il pouvait désormais apparaître et légitimement me pourfendre de sa colère, je n’aurais qu’à me plier à la sentence prononcée sans pouvoir me défendre ni supplier clémence. De toute façon, la petite catin, elle, aurait souri sous mes yeux, en s’allongeant à même le carrelage de l’entrée, sortant sa langue et enduire ses lèvres pour indiquer le pourtour de l’orifice ouvert. Pas un bruit, seulement le lourd balancier de la franc-comtoise dans le salon à biscuits. Appeler, signaler ma présence, dire que je ne suis pas celle qui... En ce moment, même avance comme une chat en chaleur vers le salon pour se faire punir. J’ai eu le temps avant qu’elle ferme la porte, de jeter un dernier regard vers la liberté et la chasteté du monde. Je regardais l’escalier, peut-être se tenait il au sommet, pipe en bouche, le corps enveloppé dans un peignoir, Lilou encore au lit, *******e après une nuit entière de doux tourments. Non, il n’était pas là, aussi je me suis aventurée dans le salon, caressant au passage la porte contenant les friandises à prunelles, j’étais encore les yeux posés sur la serrure que déjà mon corps m’avait entrainée en seulement deux entrechats vers le fauteuil de cuir. Pas eu le temps de ralentir l’outrecuidante, j’étais déjà intronisée, les mains frottant les accoudoirs, tentant d’ouvrir le compas de mes cuisses. Je moquais intérieurement la péronnelle de se retrouver ficelée ainsi dans cette jupe trop ajustée. Mouler ses fesses est une chose, ouvrir les cuisses en est une autre, il fallait mieux choisir ta garde-robe, ma fille !! La ne pouvait s’en tenir là. J’étais juchée sur moi-même, les cuisses serrées sur mes propres flancs tentant sans cesse de dompter cette fougueuse que je découvrais. Plutôt que me contraindre, m’échiner à retenir l’animâle, j’épousais ces rebonds, lâchais un peu la bride, elle finirait bien par se calmer, et retrouver raison. Lors mon âme laissa ma main faire glisser le bouton et entrouvrir le chemisier un peu plus. Si je ne m’étais retenue, sans doute par défi mon sein serait apparu, peut être même aurait- elle fait voler le chemisier en direction du canapé ou sagement je faisais ma lecture la semaine précédente !! Non juste la vallée offerte, elle se contenta de cela, l’entre monts. Elle se voyait sans doute recevoir quelques servantes, Comtesse cruelle ou Libertine, mandant celle-ci pour me faire la toilette devant le Maître de ces lieux, ou peut être Lilou que je savais endurante à la barre asymétrique, pour éventer mon entrechatte encore ruisselante de mâles assauts. Soudain un bruit me fit revenir à la raison, je me levais aussitôt, la peur au ventre d’être surprise à prendre ainsi mes aises et me faire congédier sur le champ. J’étais debout, aux abois, guettant d’une oreille attentive d’où était provenu le son, tandis que du regard je fixais le fond du salon d’où il aurait dû apparaître, je sentis la caresse poilue de l’auteur de ma frayeur, un chat était à se frotter sur mes mollets, ronronnant comme le faisait mon ventre depuis ma frauduleuse entrée. Oui Tata, à cet instant j’étais moiteur et les tétons en perce neige, Oui, j’aurais voulu qu’il me trouva ainsi et me réclame son droit de cuissage    
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