La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 17 heure(s)
(Ce récit est une invention, j'espère qu'il vous plaira)   Le jour J est arrivé... On avait longuement échangé, durant de nombreuses semaines, chaque jour instaurant davantage un lien de confiance entre nous. Et pour autant, je me sentais stressé... Il m'avait invité chez lui de façon tellement spontanée que sur le coup je n'avais pas su trop quoi répondre... Il m'avait demandé : "est ce que ça te dirait de venir prendre l'apéro à la maison ?" Et ce fameux "oui" était sorti... Faiblement, doucement, à la fois plein d'appréhension et de curiosité. Après tout, ce n'était qu'un apéro ! Mais non... C'était bien davantage... C'était notre première rencontre en réel ! Et ça, ce n'était pas rien. C'était le franchissement d'une nouvelle étape.   Ces derniers temps on avait parlé de tout et de rien. On s'était présenté. Lui, Timothée, Tim ou Timmy pour les intimes. Grand, bruns aux yeux verts, silhouette athlétique, la trentaine, docteur en médecine. Moi, Thomas, Tom ou Tomy pour les intimes. Pas très musclé mais pas enrobé non plus, châtain aux yeux marrons clairs, la trentaine également, étudiant en Ressources Humaines.   On s'était découvert un peu par hasard, sur un site dédié au BDSM/fétichisme et le courant était passé instantanément. Il faut dire que Tim avait cette façon là de mettre les gens à l'aise, même en distanciel. Il ne s'imposait pas, il avait une écoute attentive, un regard lucide sur les choses et un respect de l'autre hors du commun. Il n'avait pas peur de poser des questions, même les plus intimes, mais toujours en gardant une barrière de sécurité, me laissant libre d'en parler ou non. Comme il aimait à le dire : "il n'y a pas de questions idiotes et plus on apprendra à se connaître plus on pourra aller loin ! Mais sache que je respecterai toujours tes limites. C'est donc ta responsabilité de me dire si tu ne souhaites pas aborder telle chose ou telle pratique. S'il ne faudra plus jamais en parler ou si il te faut un peu de temps pour l'appréhender". Et je respectais cela.   C'est ainsi que je m'étais confié à lui petit à petit. Mon ressenti de ne pas me sentir de ce monde bien que je sois dans le monde. Mon souhait de m'abandonner totalement à un "grand" à travers un désir de régression, comme un "bébé". Le fait que j'étais très cérébral ce qui m'empêchait de faire des choses que j'aurais aimé faire et que je pensais être "pour mon bien". Mon fétichisme pour les matières matelassées. Mon souhait de pouvoir être utile à quelque chose.... Pourquoi pas à quelqu'un ou même à la science... Et j'aimais à plaisanter en lui disant "tu sais Tim, un bébé ce serait un statut parfait pour moi ha ha. Surcouvert pour ne pas risquer de prendre froid, immobilisé solidement pour ne pas risquer de se blesser, air restreint car un bébé respire moins d'air qu'un grand et p'tit bout - c'est comme ça que j'appelais mon sexe - en libre service pour toutes tortures et expériences que jugeront nécessaires les grands. Après tout un bébé n'a pas d'utilité à en posséder un !". Et j'en riais de bon coeur et on partait sur un autre sujet.   On parlait longuement à la fois de nos vies respectives, de nos joies, de nos peines, de nos doutes. On se prenait souvent la tête, souvent pour des queues de poire. Ce n'était pas agréable sur le coup, mais d'un autre côté, ça nous rassurait, car si l'orage grondait, la relation qu'on avait fondée était bien plus forte ! On parlait aussi beaucoup de ce qui pourrait m'arriver si je décidais de me lancer plus sérieusement dans notre univers parallèle. De ce qu'impliquerait la mise en place d'une appartenance. De ce qui adviendrait si un lavage de cerveau régulier était instauré. Tim connaissait mes limites et il les entendait, comme tout Domi qui se respecte. Il savait que le sexe ne serait pas possible, mais ça ne le dérangeait pas car ce n'est pas ce qu'il recherchait et s'il le désirait il pouvait l'obtenir par ailleurs. Il connaissait aussi les autres limites... Mais cela n'allait jamais plus loin. On papotait, on rigolait, c'était sympa, mais sans plus.... Jusqu'à cette invitation et mon fameux "oui" !   Et le jour J est arrivé... Il m'a donné son adresse et demandé de porter une doudoune freegun grise, celle avec la fermeture qui se zippe jusqu'en haut de la capuche. C'est le début de la belle saison et il fait chaud. Je transpire déjà beaucoup... Fort heureusement, mon stress d'être vu aussi chaudement couvert par d'autres personnes, par ce temps estival, s'est estompé rapidement quand je suis arrivé chez lui. Il habite une très jolie maison, isolée, à environ 2 km de la première habitation visible. Sa résidence est entourée d'un joli bosquet d'arbres. L'endroit est magnifique.   Et me voici. Tremblant et transpirant devant sa porte d'entrée. Conformément à sa demande, je zippe la capuche jusqu'en haut et je tâtonne le mur à ma droite, cherchant la sonnette que j'ai aperçu avant de perdre la vue. Je finis par la trouver.... La capuche s'appuie doucement sur mon visage à chaque inspiration, augmentant la chaleur et l'étouffement. Je sonne... Quelques secondes après, qui me parurent une éternité, j'entends le bruit d'une serrure et la porte qui s'ouvre. Une voix profonde, chaude, vibrante se fait entendre : "bienvenue Tom ! Tu es magnifique ainsi. Je sens que je pourrais te laisser ainsi toute ta vie ha ha. Allez entre, je vais te guider !". Il me fait entrer, referme la porte derrière moi et me parle doucement : "laisse toi faire. Je sens que tu es tendu et c'est normal. Mais je ne souhaite pas que tu vois la totalité de mon chez moi. Je te libérerai le visage une fois qu'on sera prêt à prendre l'apéro. Tu comprends ?". Je fais un hochement de tête affirmatif. Il me dit "Bien !".   J'entends qu'il ferme une autre porte derrière moi et il me fait asseoir. Je sens son ton amusé : "as tu pris ce que je t'avais demandé ?". Je répondis par un nouveau hochement de tête, ouvrit la poche droite de ma doudoune et en sortit une petite cage de chasteté. Il sourit : "comme j'ai dit, je te libérerai le visage quand tu seras prêt à prendre l'apéro !". Il me fit baisser mon pantalon, mon caleçon et m'installa doucement la cage : "et bah ! Le p'tit bout n'est pas si petit que ça ! On va vite arranger ça !!". La cage fut positionnée puis cadenassée. Il ne me remit ni le caleçon ni le pantalon : "un bébé ne remet pas ses vêtements tout seul, tu le sais ! Tu vas rester avec accroché à tes chevilles pour l'apéro". Je sens qu'il prend du plaisir à me narguer gentiment. Et moi sous ma capuche, je transpire de plus en plus et je me sens à la fois excité, frustré et humilié. C'est alors qu'il m'ouvrit la capuche....   Il fait assez frais et ça me fait du bien. Je regarde autour de moi et je vois Tim. Il me regarde, me sourit et va s'asseoir en face de moi. Il est exactement comme sur les photos qu'on s'était échangé. Peut être même mieux ! Je regarde autour de moi. La pièce est nue, ronde, il n'y a rien qui ressorte à part la peinture blanche. Au centre, entre nous deux, une table en bois. Et dessus je vois deux coupes de champagne, des petits fours et quelques gâteaux. Ça me marque car je me dis qu'il n'y a de la nourriture que pour une personne, au niveau de la quantité, mais je n'ose rien dire, j'ai déjà un grand privilège d'être invité... Et mon regard est alors attiré par des papiers et un crayon disposés devant moi...   Intrigué, je regarde Tim qui, voyant ma mine étonnée se mit à rire franchement. "Je comprends ton étonnement, je vais t'expliquer ! Je voulais t'en faire la surprise, mais ce qui se trouve devant toi c'est un contrat d'appartenance. Si tu es d'accord tu as juste à signer. Bien évidemment prends le temps de le lire et que tu signes ou non, on prendra l'apéro juste après". Je n'en reviens pas... Je suis à la fois excité et effrayé. Je ne m'y attendais pas. "Mais, Tim, ça veut dire que tu accepterais d'être mon éducateur ?" lui demandai-je fébrilement. Il rit à nouveau et avec sa voix chaleureuse me répondit "oui, tout à fait ! On discute depuis un certain temps déjà et je me sens prêt à prendre en charge ton éducation. Alors si tu es prêt toi aussi à franchir le cap, alors tu n'as qu'à signer. Mais sache que tu n'es pas obligé de le faire maintenant. Cette responsabilité te revient. Ce qui en découlera ne dépend que de toi, sache le. Donc si tu ne te sens pas prêt, ne signe pas !". Sur cette dernière phrase, sa voix s'était faite très grave et je percevais la profondeur de ce qu'il me disait....   Je lui dis alors "mais je ne suis pas aussi musclé que toi, je ne suis pas forcément aussi beau,...". Il ne me laissa pas terminer ma phrase : "Écoute moi bien, car je ne te le redirai pas ! Tu n'as pas à te dénigrer ! Tu es parfait comme tu es ! Et si on veut plaisanter un peu, dans ton cas, le physique n'a que peu d'importance puisque tu ne quitterai jamais ton cocon de chaleur". Ça me fit rire et il rit avec moi. Et en même temps, l'adrénaline qui me faisait transpirer davantage me fit comprendre que ce n'était absolument pas faux... Et puis après tout, on se connaissait, et j'avais envie de lui faire confiance. Aussi, je ne lus que la partie consacrée aux limites et voyant que ça respectait bien ce qu'on s'était dit, je finis par signer. Sa signature étant déjà présente sur le document.   Son visage s'éclaircit et il me dit "Félicitations bébé, désormais tu es mien ! Tiens, buvons pour fêter ça ! Et profites en car un bébé n'est pas censé boire de l'alcool !". Il me tendit une coupe alors que ses mots résonnaient en moi, provoquant un effet excitant. Il le vit et m'en fit la remarque "on dirait que ton p'tit bout se réjouit aussi de ta décision ! Tu sais bien que quand il tire c'est qu'inconsciemment tu aimes ce qui t'arrive ! Allez, à ta santé ! Bois vite, tu es en train de tremper mon sol tellement tu as chaud ha ha".   Tout gêné, mon p'tit bout étiré dans sa cage, transpirant fortement avec la doudoune, je bus ma coupe en quelques gorgées seulement... Je sentis alors un léger étourdissement... Je crus que c'était l'alcool... Mais j'avais le sentiment que mes paupières se fermaient doucement... Je cherche Tim des yeux. Il vient de se lever. Il s'approche de moi alors que je lutte pour ne pas sombrer. Il me prend la coupe des mains, la pose sur la table. Il me dit doucement"laisse toi aller, tout va bien". Puis il remonte doucement le zip de la capuche. J'essaie de me débattre, mais je n'en ai plus la force. J'entendis alors sa voix "tu te souviens... Tu m'as dit que tu es très cérébral... Et que tu ne te laisserais pas faire sans contraintes solides... Qu'il faudrait te forcer mais que tu savais que ce serait pour ton bien... Et bien nous y voilà... Tu as signé... Et tu es mien... Ton éducation commence aujourd'hui mon p'tit bébé !".   Mes yeux se fermèrent alors et je perdis connaissance...
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Par : le Il y a 23 heure(s)
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Par : le 28/05/25
Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche. Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde. Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation. Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir. Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue. Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche. Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina. J'espère revivre cela un jour.☺️ Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Par : le 27/05/25
Le général Valeri à des potes chez les viets.  A la demande de bdsm.fr, j'avais cessé de parler des exploits de ce général russe en Ukraine. A la demande d'une .....ici sur ce site, il m'a été demandé, après une mise au tonneau, de ne plus tirer à boulets rouges sur le coût exorbitant de nos administrations et de nos fonctionnaires. Alors de quoi parler. Des problèmes de couple entre Brigitte et emmanuel? Rien à foutre des différences d'âge et sincèrement,  Brigitte c'est une meuf, pas un mec, mon modeste avis sur les ragots. Ce qu'il y a de bien dans le bdsm, c'est que l'on se détache de plein de trucs et qu on en a rien à foutre de plein d'autres. Dom ou soum peu importe, je trouve que nous sommes plus libres.  C'est le cas du général Valeri, en mission secrète en Asie du sud est. Un voyage à faire en célibataire. Avec tous ces jolis petits  culs de nanas aux yeux brides, Valeri s'est promis une belle partie de chasse. Pour l'instant il donne le change dans les rues de Hanoï. Il joue au touriste autrichien, il parle fort bien allemand et traine dans tous les coins mal fames. Il se tape des putes comme on boit des bières. Le parfait touriste sexuel qui claque des dollars. Avec ses bretelles bien visibles sur sa chemise, son air satisfait, il a tout du parfait connard. La police ne lui prête plus aucune attention. Les réseaux adverses non plus. Il est dans son hôtel. Il est rentré avec une minette bombe sexuelle sur pattes. Le petit cul le plus serré des trottoirs, c'est à dire encore trop large au goût de Valeri. Il a bâillonne sa minette du soir.il l'a bien ligottee. Comme cela elle lui fout la paix. Elle a voulu protester. Quelques bonnes gifles sur son petit cul ont suffi pour la calmer. Le cul bien rouge , son bâillon sur la bouche, le sperme qui dégouline de sa chatte, elle couine presque en silence. Elle tremble un peu. c'est vrai que les fessées de Valeri font horriblement mal.  À la télé des viets, on parle discrètement de la délicate attention de Brigitte pour son mari. Valeri monte le son. La encore il passe pour le parfait touriste.  Il assemble son canon de 30mm. Portée plus de 4 km. Un bijou de technologie. Pose sur un trépied en titane,  valeri prend tout son temps. Il observe Hanoï dans la nuit avec  sa lunette spéciale. Sa cible est la, en face, à plusieurs kilomètres.  La cible ne se doute de rien. Elle sort nue de la douche et s'allonge sur son lit. Elle  allume une cigarette et sort son tel sécurisé. Valeri savoure sa vengeance . Sa cible est très belle. Normalement c'est une tâche pour un sous fifre. Mais Valeri aime régler parfois ses comptes lui même. Il monte le son  de la télé, donne une baffe sur le cul de sa pute ligotee qui se tortille. Il revient à son canon et a sa lunette. La cible est toujours là. Un plouf ! C'est fini. L'obus de 30mm a fait exploser la chambre où se trouvait la cible. Il est temps de démonter.  Il glisse des billets de cent dollars dans la raie des fesses de la pute viet.  Toi la fermer sinon moi venir te  la fermer..  Inutile de répéter, les putes connaissent le langage de la rue.  Il quitte son hôtel avec juste un gros sac de sport. Il est temps de retourner vers la Sainte Russie. 
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Par : le 08/05/25
Un Maitre peut parfois être un loup solitaire. Cherchant la tranquillité au bord de l'eau pour s'y abreuver. Toujours aux aguets aux moindres de bruit et en faisant attention de toujours entendre sa meute à tout moment dans un périphérique bien défini. Le loup fera confiance à son Oméga sur la gestion de la meute, qui t'a se faire attaquer. Le loup Alpha fait également confiance en sa meute, mais cette confiance est bien différente sur le point psychologique. Le loup Alpha fait également le travail en t'en qu'éclaireur de le meute, revenant souvent sur ses pas pour surveiller de loin sa meute. L'oméga sait exactement ce qu'il doit faire, surveiller les arrières et protéger les retardataires. C'est ainsi comment se déplace la meute et qui la dirige. Je n'explique que ma vision concernant le loup et comment un Maitre peut avoir ce type de mentalité et de caractère.
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Par : le 25/04/25
Second round : Exhibitionniste   Ça commence comme le premier round : exhibitionniste Moi ? Mort de rire, surtout pas !  Bon,en fait, Je n’ai jamais fait partie de celles ne pouvant pas se changer devant les copines dans les vestiaires des salles de sport. Devant les copines, c’est une chose …devant les mecs ? devant mon mec ? pas trop un problème, soyons honnête. Mais de là à s’afficher devant un groupe, virtuellement, réellement….   Bien sûr il se joue là un rapport entre Mon regard et Mon corps. Corps rarement (jamais) complimenté par qui que ce soit, corps malmené un peu par la vie (grossesse, césarienne, manque de sport), corps image de qui Je suis, de qui Je veux montrer. L’éducation, les mots des proches laissent des traces..   Première expérience de domination, première expérience exhib très rapidement. Je dois montrer Mon appartenance en affichant ma poitrine avec des mots de propriété. Bon, on ne va pas revenir sur l’intelligence de la chose…Je le fais. Je retiens juste les commentaires d’autres dom de pacotille sur le critère esthétique de Mon corps. Ah oui ? Mon corps peut susciter ces réactions ? Incroyable.  Et J’ai osé le faire…assez fière de Mon audace Je suis alors.   Cette personne ne Me fera jamais de compliments sur Mon physique. Il prend plaisir à Me demander de M’habiller court, de Me dévoiler davantage. Je sors dans des tenues que Je ne pensais jamais mettre….et surprise : J’y prend du plaisir. Je renoue avec Ma féminité.    Une soirée bdsm dans un petit club de la région. Une première pour Moi. Tenue courte, talons. On croise Mes voisins dans la rue…oups…ça va jaser ! Je M’en fous. Petit club de région, plus habitué de soirées libertines que bdsm. Ambiance calme, très calme. Quelques personnes jouent doucement. Je sens la tension monter dans son regard. Un zip de robe glissé vers le bas et Me voilà en culotte. Je sens la fierté dans ses yeux. Je ne regarde pas autour de Moi. “Viens, on va leur montrer”. Je ne lèverai pas les yeux vers les regards autour de nous. Je vois juste le sien. Quelle fierté Je ressens alors ! J’adore cette sensation.   Rideau plusieurs mois. Le souvenir reste là.   Renouer avec Mon corps ne M’est pas facile. D’autres regards, d’autres pratiques, d’autres essais. Puis Notre rencontre. Ton regard. Rapidement Tes mots. Différents des autres. Sincères. Des photos. Sans rapport avec ce que J’ai rencontré jusque là. Tu M’ouvres les yeux, Tu M’autorises à Me trouver belle. Avec patience Tu reconstruis cette image, cette femme que Je n’osais pas être. Le regard de l’Autre, de Son Autre est tellement important quand il est aussi lourd de sens. A quel moment Tu as parlé de cette facette de Moi ? Je ne sais plus. Peut être après certaines de Mes publications sur le site. Non, en fait, sans doute depuis Notre première rencontre avec des bas glissants qui finiront par être enlevés derrière une cabane de Noël. On avance, J’évolue. Des clichés sur une coursive un week end, sous une porte cochère…Quelle fierté de T’appartenir Mon Loup. Parce que là aussi, quel intérêt l’exhibition sans l’appartenance ? Quel intérêt de se dévoiler si ce n’est pas pour lire la fierté dans Tes yeux ? Se montrer pour se montrer ? Je ne sais pas, Je ne connais pas… Se montrer pour susciter des réactions, les Tiennes surtout Mon Loup.   Dans ce chemin d’acceptation de Moi où Tu M’accompagnes, Nous évoquons la possibilité d’une séance photos. J’en ai envie depuis quelque temps. Un mélange d’idées entre voir si J’en suis capable et voir ce qu’il y aura sur les clichés, voir si Je vais aimer le moment et le rendu. J’y vais seule. Tu tiens à Me laisser juste avec Moi-même dans ce moment- là. Me déshabiller devant ce photographe ne Me pose aucun problème, Je Me sens bien, Je suis bien là dans ce moment à Moi. Les premiers clichés qu’il Me montre Me plaisent. Un instant suspendu. Pur plaisir. Les clichés seront juste superbes. J’adore voir ce regard que Je peux avoir et que Je ne connais qu’à travers Tes mots, ce sourire. J’aime voir la femme qui est là sur le papier. Et cette femme c’est Moi.  Je suis fière de ce que J’ai fait et de ce que Je suis. Là sur ces photos, c’est Moi, en entier, comme Je voudrais pouvoir être chaque jour.   Donc exhibition comme moyen de revendication : regardez Moi, là c’est Moi. Vous Me connaissez peut-être comme ci ou comme ça, mais Je suis là aussi. Femme soumise, souriante, agréable mais aussi femme présente, revendiquant ses besoins, ses envies, la place que Je souhaite avoir.    
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Par : le 25/04/25
Masochiste Comment savoir si on est masochiste ? Moi, la douleur Je pensais ne pas aimer ça, jamais, évidemment. Quelle idée aussi ! Mal au dos, mal aux dents, c’est bon Je connais…jamais de la vie, J’aime ça !! Ok, en fait, là aussi, tant qu’on n’a pas expérimenté, est-ce qu’on peut dire qu’on sait ? sans doute pas…enfin, clairement, pas moi. On en parlait hier, se confronter aux choses pour savoir, c’est comme ça que Je fonctionne. Une claque sur les fesses M’arrache un éclat de rire. C’était le premier contact. Ma réaction Me surprend. Un truc à aller chercher…un jour.  Et ce jour, Je Me le créé. Premiers contacts avec une ceinture. Rassurant. J’aime le contact avec le cuir, son odeur, son toucher. Ce n’est pas cinglant, ça chauffe.  Puis ce seront martinets, cravache, baguette. Une appétence certaine pour les martinets : leur capacité à chauffer la peau, à être doux, puis à monter en intensité.J’aime qu’ils soient lourds. Leurs longueurs différentes permettent à certains de venir s’enrouler à des endroits inattendus, prolongeant la morsure et laissant des marques plus profondes, plus tenaces.  Les marques, le signifiant du masochiste ?  Quel rapport étrange avec ces marques. Une putain de fierté. Signes d’appartenance, souvenirs de séances, points d’ancrage perdus au milieu de ma vie vanille… Ces premiers contacts confortent Mon ressenti : J’aime ces moments où la douleur s’installe, obligeant à former une bulle, à M’abandonner, à Me laisser glisser. J’aime particulièrement quand Je Me sens contrainte, mains attachées au dessus de Moi. J’aime l’alternance de l’intensité, de la fréquence, des instruments. J’ai l’impression d’éteindre enfin Mon cerveau. Je progresse. J’avance sur d’autres aspects. Mais ils Me manquent ces ressentis.  En discutant, Je ressens qu’il y a un truc, pas clair, avec le safeword. Je comprends son utilité, pour tout le monde. Je pense avoir rencontré des niveaux de douleur déjà importants pour Moi, mais Je ne l’ai pas utilisé jusque là. J’ai l’impression de ne pas en être capable. Je trouve la personne adéquate pour tester le concept. Je le prononcerai ce jour-là. A quel prix ? Un peu d’humiliation, une cuillière en bois cassée, des marques… pour un moment…Mais un drôle de sentiment. Je crois maintenant que les marques sans appartenance ne Me sont d’aucun intérêt. Et alors ce safeword ? Alors…Je ne sais pas. Oui Je l’ai prononcé, oui J’en suis capable. Atteindre le safeword, Je conçois aujourd’hui que, pour Moi, ça signifie flirter avec des limites qu’on pourrait qualifier de virtuelles, dangereuses…Je sais, J’entends ce que Tu Me dis…Qu’ai-Je à prouver ici ? à qui ? On retrouve l’idée d’être à la hauteur, à Ma hauteur… Aucune idée de l’endroit où elle se trouve, cette hauteur,, du pourquoi Je veux aller là-bas…Je sais juste que, là, Je veux encore. Qu’il y a un bout de Moi que Je ne peux atteindre que dans ces moments. Je veux encore ces nouvelles découvertes : chambrière qui cingle, qui pique. Dont la douleur irradie sur quelques instants et pénètre le corps, dont l’extrémité libre joue à sa manière, Fouet avec lequel Tu as commencé à M'effleurer. Lourd, puissant, large, enveloppant.  Je sais que J’ai des choses à aller chercher là. Des ressentis, des confrontations, de l’abandon, de la rage. Du plaisir. Du plaisir. Comme celui que Je ressens quand Tu pinces, tords Mes tétons. “Stop ou encore ?” “Attends…encore”. Alors que ça fait mal, juste un truc de malade qui prend, qui prend tout. Rien n’existe à ce moment-là. Juste Tes mains, Tes doigts qui vrillent Ma chair, Tes poignets que Je saisis, “Attends”...respirer…”encore”. Je comprends pas tout, Je ne comprends rien. Je sais juste que J’en veux encore.   
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Par : le 19/04/25
Je surprends ma belle-mère.   J’ai surpris ma belle-mère en train de se faire sauter dans le salon. Elle était affalée sur le canapé et je voyais de dos le type qu’elle avait invité. Il avait passé ses bras sous ses genoux, elle avait les jambes et les pieds qui ballotaient en l’air. Lui il avait baissé son pantalon. Je voyais son cul qu’il s’agitait, il la défonçait  et elle gémissait. À un moment, elle s’est couchée sur le côté, et elle m’a vue. J’étais tétanisée. J’avais enfoncé ma main dans le pantalon en pilou de mon pyjama. J’avais mes doigts dans ma chatte trempées. Je me caressais pour me faire jouir comme une bête. Elle m’a vue, elle m’a regardée dans les yeux. Elle m’a fait un clin d’œil. Et elle s’est mise à gémir tout en me regardant. À ce moment-là ça a été plus fort que moi, j’ai joui et j’ai failli crier. Je suis vite partie honteuse me coucher. Impossible de m’endormir. J’ai entendu le type qui partait et ma belle-mère à la salle de bain en train de se brosser les dents. On habite un petit deux-pièces. Et quand ma belle-mère vient chez nous, elle dort sur le canapé et si son fils n’est pas là, elle vient dormir avec moi. J’étais seule dans mon lit. Au bout d’un moment elle est arrivée. Elle a dit « il fait froid » Et j’ai vu qu’elle était nue. Elle s’est glissée sous la couette et a dit en riant « Je ne sais pas ce que j’ai fait de ma chemise de nuit ». Elle est venu6 se blottir contre moi et elle m’a demandé « tu as joui? ». Je n’osais pas répondre. Elle m’a redemandé « tu as joui? ». J’ai bégayé un « oui ». Elle a dit en riant « moi aussi ». Et elle a ajouté « viens on se caresse chacune mutuellement ». Je ne savais pas quoi faire. Je n’ai rien dit. Elle a pris ma main et l’a fourré entre ses cuisses. Elles étaient mouillées. Et aussitôt elle a glissé sa main dans mon pantalon. Elle m’a caressée ma chatte qui a aussitôt explosé. Elle m’a ordonné « Caresse-moi » et je l’ai caressée, elle s’est mise à crier et elle a joui comme une folle. J’avais trop honte. Je me suis dit que j’étais une salope.
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Par : le 15/04/25
J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. En plus, je suis douillette, mais vraiment douillette. J’ai pris une fois une écharde dans la main, j’ai littéralement cru que je m’amputais alors que je trifouillais moi-même la peau avec une aiguille à coudre, puis une pince à épiler, pour retirer cette putain d’écharde. Et désinfecter le micro trou dans la paume de la main, c’était comme des points de suture à vif dans ma tête. J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. En plus, je suis douillette, mais vraiment douillette. C’est ce que j’ai dit à Monsieur Le Sombre quand nous avons fait connaissance. Je suis si douillette que je ne suis pas sûre d’être prête à être une soumise si cela implique forcément des coups. Cravache. Martinet. Paddle. Canne. Pas moyen. Et je ne suis certainement pas maso, je ne comprendrais jamais ce que la douleur peut apporter. De toutes façons, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Parce que j’ai été une enfant battue. J’ai connu la violence injustifiée et les coups aléatoires portés par l’alcool -ou pas, à vrai dire-, pas forcément précis, mais le rapport de force asymétrique d’un adulte versus un enfant fait que chaque coup atteint une cible. Ces coups détruisaient ce que j’étais, juste….  « comme ça ». J’ai connu les coups portés pour « éduquer », « former ». Des coups portés avec une violence décidée. Avec l’objectif de faire mal. Il fallait accepter de rentrer dans le cadre, épouser les traditions, se nourrir du protocole pour devenir quelqu’un de bien. J’ai connu l’exigence de l’idéal et les coups portés pour me « parfaire ». Si aujourd’hui j’ai une belle écriture manuscrite, c’est parce qu’il fallait que mes caractères ressemblent à des caractères d’imprimerie. Les coups étaient précis car il fallait « marquer » la chair et la mémoire. Que la perfection devienne un réflexe. Alors, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Parce que je me souviens d’elle. Il avait une tendresse particulière pour la latte en bois d’un sommier désossé. Et moi, j’ai une mémoire particulière des marques qu’elle laissait sur mon corps d’enfant ou d’ado. Le bruit mat, presque assourdissant, quand la largeur de la latte claquait contre ma peau. La douleur, fulgurante. La chaleur qui se propageait si vite sur les zones alentours, rendant floues les zones douloureuses, ou rendant douloureuses toutes les zones alentours. Les bleus, violacés, avec des marbrures vertes. Il avait une longue tige métallique, devenue son instrument quotidien, bien plus maniable que la latte. Dans mes souvenirs, elle était plutôt jolie, dorée… Je n’ai jamais su d’où elle venait. Je me rappelle avoir rêvé d’en couper un morceau pour en faire une baguette magique. Mais dans ses mains, c’était de la magie noire. Le sifflement si singulier de la tige fendant l’air, la sonorité presque cristalline au contact de mon corps. La douleur cinglante, immédiate, implacable. Très localisée, contrairement à celle de la latte, mais avec cette étrange sensation de pénétration dans la chair. Puis, la boursouflure… avant l’apparition de ces bleus, si droits, si nets… Pour les moments où il surveillait mes devoirs et mes exercices d’écriture, il utilisait une règle en bois carrée pour corriger la position du pinceau et la souplesse de mes doigts. Avec cet instrument, pas besoin de force pour meurtrir mes mains. Combien de fois ai-je cru avoir les phalanges brisées, tant elles tremblaient après les coups… Le vice, c’est que cela ne laissait quasi aucune marque physique. La douleur physique est donc quasiment la première sensation, et presque la seule, avec la peur, que je n’aie jamais connue enfant. Et même si elle m’était devenue aussi familière que le parfum dont il s’aspergeait, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Et elle m’a rendue douillette, mais vraiment douillette. Les premières fois où j’ai été confrontée à des photos partagées par des soumises qui affichaient fièrement sur leurs corps le temps passé avec des dominants, j’ai dû réprimer la peur, celle qui est liée à l’instinct de fuite. Je me souviens de la fumée des cigarettes consumées en essayant de retrouver un peu de contenance, et certains soirs, la tentative de courage avalée avec le verre de vin. Pourquoi ? Comment était-ce possible… d’avoir envie de recevoir des coups ? D’aimer avoir des bleus ? De s’en vanter ? De ne pas en avoir honte ? Comment cette « chose » pouvait-elle leur apporter du lâcher-prise ? Comment recevoir des coups pouvait-il les rendre plus amoureuses ? Et surtout… comment faisaient-elles pour ne pas avoir peur ? Quelque chose prenait forme devant moi. Et je voyais ses tentacules troubles qui s’agitaient et sifflaient des interrogations trop acérées que je ne voulais pas entendre. La peur, celle qui sert de petit moteur, a été une bonne conseillère pour une fois, et je me suis dépêchée d’enfermer dans un tiroir ce petit être aux questions tentaculaires, tortueuses et tortionnaires. Je n’ai pas le même rapport à cette peur, car elle danse un joli tango avec mon instinct de survie, dans ma tête. Malgré cela, J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas. Elle m’a rendue douillette, et me laissait maintenant perplexe. Mon tiroir de questions interdites bien fermé à clé, j’ai pu poursuivre ma découverte de l’univers BDSM, ses kinks, ses pratiques. Je me suis appuyée sur la « digestion » de mon enfance pour m’accorder le droit d’être curieuse et tenter de comprendre les multiples nuances, expressions, couleurs de la douleur quand elle devient catharsis, exutoire, voire même « plaisir ». Désapprendre pour réapprendre… que la douleur peut aussi être une langue d’amour. D’amour de soi, d’amour de l’autre. Mais ça restait une leçon « apprise par cœur », que je récitais sans comprendre. Monsieur Le Sombre m’avait prévenue : « Mon vice légitime à lui seul tous les sévices ». Il ne me parlait pas de hasard, mais de préparation et d’une certaine intention, ou d’une intention certaine ! Il ne me parlait pas d’éducation, mais de découverte et de sensations. Et il n’a aucun idéal de perfection à mon égard, car à ses yeux, je suis unique. Alors, armée d’une clé de tiroir, accompagnée par le sadisme de Monsieur, et Malgré mon rapport particulier à la douleur. Malgré le fait que je ne l’aime pas. Malgré que je sois si douillette, je suis partie batailler ma douleur. La bataille a commencé par le kidnapping de mon instinct de fuite. Des chaînes, des menottes, un crochet solide au mur (dont j’avais pourtant appris les courbes par cœur), et me voilà solidement accrochée. Mon instinct de fuite se faisait la malle, en me laissant la peur, pas celle qui est un moteur. Mais l’enfant qui pleure et hurle en trépignant. Même si Monsieur Le Sombre m’avait emballée dans le papier bulle de son « approche progressive », j’ai regretté ce moment et maudit le jour où les 4 lettres BDSM se sont installées dans ma tête. J’ai découvert que la peur danse très bien avec l’imagination. Je ne savais pas à quoi m’attendre, alors je me suis attendue à tout. A tomber dans les pommes, à me faire découper, à devenir un pantin désarticulé, à finir à l’hôpital, et même à mourir. Oui, la peur m’a couronnée Drama-Queen. Et les coups sont tombés. Sur mes fesses. Mes fesses qui avaient été ignorées par les coups de mon enfance sont devenues le fer de lance de cette exploration de la douleur qui était réputée belle. Et Monsieur Le Sombre avait raison : j’ai eu des sensations, et des sensations inconnues, nouvelles même ! Le crépitement d’un instrument étrange, son martinet favori, fabriqué maison, de cuir et de bois. La constellation d’explosions au contact de ma peau, la griffure des lanières qui soudain, ressemblait presque à la caresse rugueuse de sa main. Et, ohhhh…. Ce petit, tout petit, feu d’artifice parti du bas de mes reins tout droit vers mon cerveau….. Après ce premier dévanillage, J’avais toujours un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aimais toujours pas. Et si j’étais toujours douillette, je l’avais vaincue ! Du moins, c’est ce que j’ai cru. Monsieur Le Sombre me fixait à travers les volutes de nos cigarettes, avec ce sourire en coin et assassin accroché à ses lèvres. Il fit le constat que, pour une toute première fois, je m’en étais bien sortie. Mon corps, disait-il, avait une tolérance plus grande que ce qu’il n’attendait. Ma cigarette et sa fumée n’étant pas une cachette suffisante, je suis partie me réfugier dans la vaisselle et les vestiges de notre repas. Mon tiroir était fermé, aucune question ne se posait. Quelques temps après, alors que mon audace nouvellement gagnée me faisait parler de la douleur comme d’une vieille amie, j’ai osé affirmer devant mon Enfoiré de Monsieur que j’aimais bien son martinet, et que mes fesses appréciaient sa force. Je n’ai eu que le temps de voir son regard virer au pétrole de son pseudonyme. D’une main il m’attrapa à la gorge. Sa voix basse qui sentait le danger, me chuchota à l’oreille : « Tu crois donc que j’ai usé de ma force habituelle, ma chérie ? Je vais te montrer une mesure un peu plus juste ». Je suis convaincue que cet homme peut multiplier ses bras. Parce que, tandis que je suffoquais encore, ma culotte voltigeait déjà à l’autre bout de la pièce, et me voilà, cul nu, à recevoir une fessée mémorable. Non, ce n’était pas drôle ni plein de « crépitements », il n’y a pas eu de « feu d’artifice » dans mon cerveau. Juste cette nouvelle douleur qui était en train de tourner la clé de mon tiroir secret. Quand sa main cessa, il me laissa prostrée à quatre pattes sur le canapé. Une tempête faisait rage en moi. Partout. Et surtout dans ma tête. Je n’avais plus aucun repère à ce moment-là, ou plus exactement, j’avais des repères bien trop familiers qui m’envoyaient leurs hommages. J’entendis ses pas revenir vers moi. Ses mots, secs : « Prends également la juste mesure du martinet, pendant que tu y es ». Ce même soir, avant la brutalité de ses coups de reins, il me projeta encore dans une autre dimension. Assise au milieu du lit chiffonné, lui derrière mon dos, il attrapa mes tétons. Toute tentative de fuite était vaine, une fois de plus. Ses jambes immobilisaient les miennes. Et sa voix… - sa voix, était-elle sel et miel à ce moment, ou minérale ? Sa voix me paralysait encore plus sûrement que ses bras. « Tu peux me dire d’arrêter » Mon neurone a rendu l’âme avec cette phrase que j’étais incapable de comprendre là, dans cette chambre, sur ce lit, dans ses bras. Mes tétons étaient comme des petits joujoux entre ses doigts cruels. Les petits pincements du début…. Pas non plus la mesure réelle de ce qu’il pouvait me faire… Une douleur insidieuse, vive, crescendo, qui coupa toutes mes larmes de crocodile habituelles. Le choc quand il me força à me caresser en même temps, faisant griller comme une ampoule le peu de logique qui me restait. Ce soir-là, il m’apprit que je pouvais avoir le choix. De subir encore la douleur, ou de la vivre. Mais cette phrase, je ne la comprendrai que bien plus tard. Pour le moment, Je retrouvais la violence de mon rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime définitivement pas, non, non. En plus, je suis douillette, toujours aussi douillette. Le contenu de mon tiroir grossissait comme un monstre, mais le verrou tenait encore bon. Retrouver la distance entre Lutèce et Naoned me baignait dans le soulagement un peu trop coupable de ne pas avoir à faire face. L’état de grâce se termine : le monstre de mes questions a grandi, mûri, et cherche la lumière. Eros le savait, Psyché ne voulait pas le savoir. (1) Monsieur Le Sombre le savait, je ne voulais pas le savoir. Un soir, alors que je miaulais en visio avec Monsieur Le Sombre et que je le taquinais sur l’inventaire du reste de son arsenal, il n’accepta de me montrer qu’un seul instrument. Sa badine. Une badine. La tige. Non. Pas ça. Non. Peur. Non. Mal. Non. Ça rentre dans les chairs. Non. Avant de devenir un bleu, ça va gonfler. Non. Le bruit. Non. L’éclair qui aveugle quand la douleur arrive. Non. Non. Non… Le verrou a sauté. Elle est là devant moi, elle s’est nourrie de tout ce que je n’ai jamais voulu reconnaître, elle a encore faim de tourments, elle me sourit et me tend ses tentacules sifflants et empoisonnés. Méduse de mes entrailles dont je ne veux pas, et qui se grandit de ma destruction. (2) Je n’ai jamais voulu lui faire face, mais la voilà qui me plonge dans l’abîme de son regard (3) et elle me promet monts et merveilles d’immobilisme, de paralysie…. L’étreinte familière, facile et chaude, réconfortante, de la peur. Les yeux de Monsieur Le Sombre ne me quittaient pas. A travers l’écran de nos nuits blanches (4), il me scrutait. Il savait. Il a vu. Il a vu mes cheveux se dresser. Mes poils se hérisser. Mon souffle s’arrêter. Mes yeux se voiler. Mes épaules se voûter. Il a vu le silence assourdissant des « non » que je hurlais. Il l’a vue, elle, Méduse de mes peurs, me prendre dans ses bras empoisonnés. La badine a quitté l’écran. Respire. Respire. Respire, bordel, respire. Elle a reculé d’un pas, satisfaite, car elle avait avalé la clé. Ma Méduse reprenait ses quartiers dans un tiroir désormais ouvert. Monsieur Le Sombre m’a soutenue et enveloppée avec ses yeux tissés d’or et sa voix sel et miel. A ce moment, Eros l’avait compris, Psyché devait le reconnaître. Monsieur Le Sombre l’avait compris, j’ai dû le reconnaître. L’idée de la douleur. L’idée. Juste l’idée… J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas, parce que j’en ai peur. La peur m’a rendue douillette, vraiment douillette. C’est la fin de l’état de grâce. Eros et Psyché le savaient. Monsieur Le Sombre, gardien de ma temporalité, le savait mieux que moi. « Il est temps que nous allions faire un tour en enfer, toi et moi. » Il n’y avait plus de questions à se poser. Allons-y. J’ai un rapport particulier à la douleur. Je ne l’aime pas, parce que j’en ai peur. Alors je vais combattre le mal par le mal.             À vous qui m’avez lue, Merci d’avoir parcouru ce fragment d’ombre, et d'en être venu à bout. Ce texte, c’est un cheminement dans mon intimité cérébrale. Une façon peut-être trop impudique, mais très personnelle de déposer des empreintes anciennes -et digérées, pour mieux comprendre celles d’aujourd’hui. Il n’appelle ni compassion, ni jugement, ni analyse et encore moins débat.     A toi mon Enfoiré de Monsieur Le Sombre, Merci pour ta main qui serre la mienne, merci de mener ce combat avec moi. Merci de me connaître quand je n’ose me faire face. De déshabiller ma pudeur et m’armer de lucidité. Merci de m’emmener en enfer. Je sais que tu m’en sortiras.     Version audio : https://soundgasm.net/u/Good_Girl78/Acte-I-Psych-Eros-et-ma-douleur-la-fin-de-ltat-de-grce       Sound Track : All the good girls go to hell – Billie Eilish : https://www.youtube.com/watch?v=-PZsSWwc9xA Paint it black – The Rolling Stones : https://www.youtube.com/watch?v=EBUFtoC2oj4     Références :   1. Psyché & Eros Psyché et Éros incarnent la tension fondamentale de l’amour : désir et perte, chute et renaissance, chair et mystère. eur histoire n’est pas un conte romantique, mais un chemin initiatique — une traversée de l’ombre, de la solitude, de la perte de soi. Psyché — l’âme — descend. Epreuve après épreuve, elle se dépouille. Illusions, peur, honte, culpabilité.  Elle affronte, elle lâche, elle tombe. Et de cette chute, elle renaît. Non intacte — mais éveillée. Eros est celui qui veille, le gardien de la temporalité. Celui qui aime sans posséder. Ensemble, ils ne forment pas un tout, mais une alliance. Non pas fusion, mais une lucidité partagée. Deux âmes qui se retrouvent après s’être reconnues dans la faille. Leur union n’est pas un début heureux. C’est l’aboutissement d’une quête intérieure. Un amour qui a chuté, qui a douté, mais qui demeure — parce qu’il a été mérité. Et surtout, compris. https://fr.wikipedia.org/wiki/Psych%C3%A9_(mythologie)   2. Méduse Méduse est la peur. Son regard fige, paralyse. Elle transforme en pierre — image parfaite de ce que fait la peur quand on y cède : elle pétrifie. Elle empêche d’avancer, de penser, de sentir. Et Persée, pour la vaincre, ne la regarde pas en face. Il utilise le reflet de son bouclier. Il ne nie pas la peur, il l’affronte avec stratégie, avec recul. Il sait qu’un face-à-face direct serait une perte. Alors il la regarde autrement. C’est un mythe qui dit tout, sans fioritures : On ne peut combattre la peur de front. Il faut la regarder sans s’y perdre. Fun fact : Méduse est la gardienne de l’enfer… https://www.radiofrance.fr/franceculture/meduse-le-regard-societal-de-la-figure-mythologique-dans-les-arts-depuis-vingt-sept-siecles-6999089 3. Friedrich Nietzsche a dit : « Quand on lutte contre des monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même. Si tu plonges longuement ton regard dans l'abîme, l'abîme finit par ancrer son regard en toi." 4. Le Cinéma – Claude Nougaro : https://www.youtube.com/watch?v=mmv16X-nT7k  
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Par : le 14/04/25
Exercice imposé : En quoi Je Me suis sentie à Ma place au munch Premier munch ce week-end.   J’avais envie de participer à un de ces rendez-vous. On l’avait très peu évoqué. D'ailleurs, Je ne Me souviens même plus du moment où On en a parlé. Mais Je M’étais déjà interrogée sur une participation il y a quelque temps. Alors quand Tu M’en as parlé J’étais très enthousiaste de le faire, et de le faire avec Toi. Je ne voyais pas vraiment comment ça pouvait se dérouler. Un lieu, des personnes réunies autour du bdsm, un verre ou un repas…et ? ensuite ? Comment ouvrir la discussion, comment “s’intégrer” dans des groupes de personnes se connaissant déjà probablement…Tellement difficile pour Moi. On arrive un peu avant l'heure publique, à l’heure des “nouveaux”. Très bonne idée, ça permet de nouer le contact avec les organisateurs, de voir un peu le ton. On est 5-6 personnes. Discussion autour de thèmes importants (consentement, limites etc). L’ambiance est bonne. On est les plus vieux…sourire. Je Me sens bien. Les gens arrivent les uns après les autres. Peu de tenues extravagantes finalement. Quelques colliers, quelques clous et tatouages. Des robes noires, jolies, sexys. Des hommes élégants. Un tour de présentation avant de passer à table. On dit ce qu'on veut, on se dévoile si on veut. Deux groupes. On en choisit un. Ce sera celui des plus jeunes. Des profils variés, différents. Sur les 25 personnes environ, un soumis, une soumise et les autres….toute la diversité du bdsm : trans, gays, fétichistes, switchs, et J’en oublie plein. Notre présentation (relation D/s, sado/maso) ferait presque figure d’extra-terrestre. Amusant. Tu t'éclipses un moment et sans réfléchir plus que ça, Je Me dirige vers Lady Spencer. Je lui présente Mes hommages et lui dis combien J’aime la lire sur le site. Elle fait partie des figures pour Moi, des références. Je ne sais pas combien de temps Nous avons parlé. Avec elle et les autres personnes présentes autour de la discussion. C’était tellement libre, ouvert, sans jugement. Avec la possibilité de partager chacun(e) ses questions, ses interrogations, ses expériences, sa curiosité des autres. J’ai aimé la simplicité des échanges, avec tous, quels que soient nos positionnements, nos places. Je m’y suis sentie bien, à Ma place justement, sans aucune arrière-pensée. Moi qui Me sens parfois tellement en décalage dans les rapports aux autres, il n’y avait rien de tel ici. C’était fluide, facile. Ca aurait pu durer toute la nuit. Je Me suis sentie aussi terriblement à Ma place à Tes côtés. J’étais Moi, femme libre, indépendante, autonome, capable de discuter avec qui Je veux…et en même temps, J’étais Moi dans Mon appartenance revendiquée et assumée devant les autres. C’était tellement facile et agréable de dire : Oui, c’est Mon Dhom, c’est Mon Loup, Je Lui appartiens. Et de pouvoir vivre cette appartenance à Notre façon : des gestes, Tes attentions à Mon égard, des regards, Ta protection. Je Me suis sentie bien aussi car Tu M’as laissée libre. Ca Te parait une évidence, mais Tu sais bien que ce n’est pas le cas de ce que J’aurais pu vivre avec quelqu’un d’autre dans les mêmes circonstances. Ta présence me rend libre Mon Loup
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Par : le 11/04/25
Bonjour/bonsoir à vous qui lisez ce message  Je me présente, Eros,jeune demiboy de 22 ans. Pour expliquer un demiboy ("moitié homme" en anglais) est une personne dont le genre varie entre le il et le iel. Mon genre et mon expression de genre ne sont pas fixés, ils varient en fonction de comment je me sens à l'intérieur. Après tout pourquoi rester fixés quand plusieurs choses nous font vibrer l'âme pas vrai ?    J'aimerai prendre la parole en tant que personne queer : je suis fatigué  Fatigué d'être le fantasme de Jean-Michel 55 ans, dominateur qui fantasme sur les trans. Que l'on n'ai pas tout le vocabulaire lgbtquia+ je comprend. Ça ne me dérange pas de répondre aux questions, au contraire puisque je dois faire preuve de pédagogie dans mon métier : j'ai l'habitude d'expliquer.  Cependant je suis fatigué d'être fantasmé et sexualisé sans avoir donner mon accord. Cela s'appelle ne pas respecter mon consentement. C'est ce qui m'arrive quand je me fais fétichiser par des personnes qui n'assume pas leur sexualité,et préfère se "rassurer" en allant importuner des personnes trans plutôt qu'avoir le courage de se remettre en question.  Nous ne sommes ni vos fantasmes ni vos expériences.  J'ai une question pour tous les Jean-Michel : Qu'est-ce que ça vous coûte de vous remettre en question ? De vous poser les bonnes questions sur la nature de votre attrait pour les queers ?  Merci de m'avoir lu 
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Par : le 09/04/25
je sais, je parle trop, j'écris trop. je sais, tout le monde s'en fout. mais il suffit qu'une fois, de façon anormale, une personne, un homme, soit accroché par ces réflexions pour qu'elles puissent se répandre comme une nouvelle espèce vivante qui recouvrirait la surface de la terre pour notre plus grand bonheur à tous. je suis fier d'y voir enfin clair, j'ai juste envie de partager, peu importe ce que ça provoquera (ou pas).   En venant au travail, beaucoup de choses se bousculent dans ma tête, la conduite automobile est une forme de méditation assez puissante chez moi. Je sais que je prends de plus en plus conscience de l’existence de boucles négatives, ou schémas toxiques répétitifs. On a fondamentalement pas envie d’être heureux sur certains points, on se débrouille pour que nos comportements provoquent de la souffrance, et atteignent leur but. Ça semble étrange à première vue, mais ça me parle, beaucoup. Ça fait écho à cette sensation que j’ai plus ou moins toujours eu de me nourrir de douleur et de colère pour créer de l’art, comme un poète maudit. Et je ne sais pas pour quelle raison mais collée à cette idée, il y avait comme une porte de sexualité interdite, comme si l’exposition artistique relevait d’une certaine forme d’exhibition acceptable qui avait pour mission de rendre l’autre exposition intime, sexuelle, inutile.   Donc je pense que ce besoin de souffrance est directement associé à un besoin de frustration sexuelle, et tout semble très bien expliquer ces schémas répétitifs toxiques. Du coup, personne ne m’aime, je souffre, j’ai de la matière pour créer, et puis de la colère qui me fait vibrer, pour me sentir exister. Et plus j’accepte l’idée que personne ne m’aime, globalement, physiquement comme affectivement, plus je m’isole du monde, et plus j’ouvre la voie au rejet des autres, à la perte de confiance et au malheur. J’ai compris aussi qu’adossé à ce but inconscient d’insatisfaction sexuelle, il y a un doute sur l’homosexualité, comme une petite botte secrète qui me permet de me dire « quelque chose ne va pas, si seulement j’étais gay, ce serait plus simple », et donc de rester bloqué. Je vis dans l’espoir permanent de déclics, de changement radicaux et immédiats, mais je sais que tout ça est faux. Ça ne marche pas comme ça. Et je sais au fond de moi, depuis toujours, que je suis attiré par les femmes, c’est un fait. Ce qui est troublant, et j’ai seulement compris aujourd’hui d’où peut provenir la confusion, c’est le fait que quand je vois une grosse bite en action, je ressens moi-même de l’excitation sexuelle. Si on va vite, on se dit « je suis donc gay », mais si on y regarde de plus près, si on se pose quelques questions, alors les choses s’éclaircissent… est-ce que j’ai envie de toucher cette bite ? Non, pas du tout. Ça me plairait de goûter cette bite ? Non, ça me vient même pas à l’esprit. J’ai envie de prendre cette queue dans mon cul ? Non, mon corps ne semble réclamer rien de tout ça. Est-ce que la vue d’un cul d’homme, ou d’une bouche d’homme m’excite, me donne envie d’y mettre ma bite ? Non. Ça m’excite de voir un homme baiser une femme ? Oui. Et un homme baiser un homme ? Non. Un homme se branler ? Bah, pas plus que ça, mais un peu quand même.   Dans tout ça, je me dis que je suis plus excité par le symbole phallique, la grosse bite porteuse de « puissance », que par le corps d’un homme, et que cette excitation, mon excitation ne correspond pas à du désir. Ou alors au désir d’être à la place d’un autre homme, plus « puissant ». D’ailleurs, la vue d’une bite plus modeste ne provoque pas du tout chez moi le même genre de réaction. je pense ne pas être le seul dans cette situation, je pense que les stéréotypes de genre masculin véhiculés par notre société et sa cristallisation déformante qu’est la pornographie provoquent fortement ça, cet espèce de désir, de volonté de puissance symbolisée par le phallus géant (entre autres symboles), et que cette glorification de la masculinité « physique » et particulièrement génitale peut être source de confusion parmi les hommes « normaux », ou disons éloignés de ces idéaux « esthétiques ». Et je crois que cette confusion est une vaste source de souffrance, par la quête d’une masculinité « idéale » toxique, car possédant de nombreuses caractéristiques sociales hautement nocives, fabriquée de toute pièce par des ordures, pour promouvoir les ordures, et garder le contrôle sur les femmes et les hommes de bien.   c'est bien connu que si tu fais pas de la gonflette, si tu siffles pas les femmes dans la rue, si tu les baises pas comme des chiennes, qu’elles soient d’accord ou pas (parce qu’un mec, un vrai, il sait ce que les autres veulent mieux qu’eux), bah alors t’es qu’un pédé ! La honte suprême… alors vite, ne surtout pas passer pour un pédé, et vite coller à ces injonctions sociales débiles et mortifères…
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Par : le 03/04/25
J’aurais tellement de choses à te dire, à toi, amas de cellules subordonnées plus ou moins directement à la puissance de mon contrôle, véhiculé par des nerfs qui ont connu tant de crises. Ces nerfs, d’ailleurs, comme le cerveau si l’on veut, font-ils partie de toi ou de moi ? Où se situe le substrat de mon pouvoir divin, celui de créer ce que je peux concevoir, et d’assembler des perceptions en concepts que j’articule, avec une habileté et une maîtrise qui te rend insignifiant ?   Quel est la nature de mon pouvoir sur toi ? Dans quelle mesure peux-tu contester ma domination ? Et finalement, à quoi me sers-tu, toi ? Ne serais-tu pas qu’un tube digestif sophistiqué, une sorte de ver, d’insecte, que je parasite en volant sans le moindre scrupule l’énergie que tu t’évertues à trouver et à absorber ? Tes muscles, tes organes sensoriels, ton système cardio-vasculaire n’ont d’autre intérêt que de te permettre de te déplacer, pour aller me chercher à manger. Alors ton système digestif, c’est à dire ce que tu es au fond de toi, peut s’adonner à sa passion viscérale, broyer, dissoudre, absorber, métaboliser les nutriments, pour me nourrir, pour me donner la force de te diriger, de créer un noble but, un sens à ta vie misérable. C’est à ce moment qu’interviennent tes organes génitaux, qui nous servent d’échappatoire, à nous deux, face à notre fin inéluctable. Je suis tellement génial que je ne veux pas m’éteindre au moment où ton stupide coeur s’arrêtera, alors je veux que tu baises, un maximum de femelles, que tu assures une vaste descendance, pour que je puisse transmettre une partie de ma sagesse inégalable, pour que tout ne se perde pas dans la pourriture à venir de tes tissus.   Et puis baiser, c’est aussi être accepté par l’autre, d’une certaine façon, ça me rappelle à quel point je suis extra-ordinaire. C’est là que je t’en veux, misérable corps pathétique, car tu n’es pas à la hauteur de mes aspirations divines. J’ai beau être lumineux, éblouissant, tu n’as jamais réussi à en baiser une convenablement. Combien en as-tu vu prendre réellement leur pied, dis-moi ? Tu n’en sais rien, tu n’es qu’un tas de merde sans volonté propre, mais je vais te dire combien se sont envoyées en l’air, combien ont joui sous tes coups de rein : zéro. Et ce n’est absolument pas de ma faute, non, c’est toi le responsable. Tu m’as toujours lâché dans les moments qui comptent. Pourquoi ? Pourtant je t’ai aidé quand on faisait des arts martiaux, grâce à mon contrôle, tu en as gagné des compétitions. Et tu me rends quoi en contre partie ? Rien du tout, même pas capable d’un sourire, d’un geste sensuel, rien pour allumer un tant soit peu de désir. Tu as l’élégance d’un mollusque, je te hais. Depuis longtemps, alors je t’utilise pour absorber des substances qui m’élèvent et te détruisent, et je t’emmerde. Tu ne mérite rien de plus. Absorbe mon énergie et mes psychotropes, et va crever par là, de toute façon tu as déjà pondu deux rejetons, tu n’as plus vraiment de raison d’être. Laisse-moi créer, laisse-moi planer. On n’arrivera jamais à être physiquement aimés de toute façon, et peut-être aimés tout court en fait. On fait une belle paire de tocards, repliés là, dans un espace virtuel où l’on oublie nos limites, à ne plus vraiment oser essayer de plaire.   Personne ne nous a jamais aimé de toute façon, c’est peut-être pas seulement de ta faute en fait, je sais pas si notre débile de géniteur le sait, mais quand on aime son enfant, c’est important de le dire. C’est loin d’être entendu implicitement par les oreilles d’un enfant. J’ai mal quand j’écris, j’aimerais être au dessus de ça mais je ne le suis pas malgré toutes les drogues que j’ai pu m’envoyer. Et toi, combien de fois il t’a pris pour un con, pas assez fort, coincé comme un débile au milieu de la fourche de ce putain d’arbre, à rigoler comme un malade en te traitant de « Pumba » ! Va te faire enculer ! Ce goret, c’est ton putain de fils, c’est pas parce que tes parents sont des ordures sans coeur que tu dois te comporter comme eux ! Ce putain de corps faible, c’est mon compagnon de route, je t’interdis de le ridiculiser comme ça bordel ! Et oui, allez-y les frangins, riez aussi, c’est sûr que vous êtes plus beaux et forts que moi. Laisse tomber sac à viande, on les battra pas à ce jeu là, mais je peux te garantir que si tu m’apportes assez d’énergie, on va devenir des putains de chiens enragés et on les bouffera jusqu’à l’os. Et ils sont tellement cons qu’ils ne verront même pas à quel point on leur marchera sur la tronche. Laisse-moi juste les commandes, parce que c’est moi le plus fort. Fais-moi confiance, un jour on les niquera tous, on sera les rois du monde, ils se prosterneront devant notre grandeur.   Ou bien ces ordures nous auront tellement blessé, toi et moi, qu’on deviendra un canard même pas boiteux parce qu’on aura deux pattes défoncées. On marchera même plus, on attendra la mort. Parce que chacune de ces blessures, chacun de ces mots qu’ils ont prononcé en cherchant à te dénigrer, et bien tout ça entre en résonance à chaque fois qu’on baise sans rien provoquer. Je te hais, je me hais d’être aussi nul. On n’arrivera jamais à rien. Ils avaient peut-être raison de dire que je ne suis qu’un merdeux prétentieux qui ne vaut pas plus qu’un autre, et que toi tu es un pauvre tas de merde empoté.   Mais tu vois là, maintenant, je me dis qu’on a autant souffert l’un que l’autre, alors j’ai de la peine pour toi, et puis franchement je me suis comporté comme un con avec toi. Je te demande pardon, de ne pas avoir compris qu’ils t’ont blessé autant que moi, d’avoir été si égoïste. Je ne te voyais même plus, toi si silencieux, discipliné, subordonné à mes excès. Bon sang, mais quel con j’ai été, je sais pas si tu me pardonneras un jour mais je suis sincèrement navré de t’avoir traité avec aussi peu de respect qu’eux. Tu mérites mieux que ça. Je vais essayer de t’apporter plus que ça. On va essayer d’avancer ensemble, non pas en oubliant ce qu’ils nous ont fait, mais en leur montrant que l’on vaut bien plus que tout ce qu’ils pourront jamais imaginer. Ils ont voulu nous humilier, nous rabaisser, nous briser. Je crois bien qu’ils ont fait exactement l’inverse, parce que nous ne sommes pas du genre à nous laisser faire. Leur autorité n’a pas de légitimité, nous le savons depuis toujours. Vous pouvez nous taper dix fois, cent fois, mille fois sur la tronche, vous ne briserez jamais ni ma volonté, ni la résistance de mon corps parce que nous sommes libres et que vous êtes pathétiques. Vous croyez être des hommes, puissants, parce que vos corps semblent vous le faire croire, mais vous n’êtes que des enfants, faibles et insignifiants. Un homme, c’est un adulte de sexe masculin, et vous n’êtes que de sexe masculin.   Viens mon ami, corps de sexe masculin, allons nous en. Tu n’es peut-être pas aussi viril qu’eux, mais au moins nous sommes un adulte, en perpétuelle évolution, et nous sommes donc un bien plus grand homme qu’ils ne seront jamais.
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Par : le 02/04/25
Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.   Cela fait une semaine que nous sommes régulièrement sur un site libertin afin de préparer notre weekend coquin. Nous n'avons pas d'envie particulière nous attendons simplement de voir ce qui peut nous être proposé.    Nous avons fait connaissance quelques semaines plus tôt avec un couple elle soumise et lui dominant et candauliste. Nous avions discuté longtemps mais nous n'avions pas trouvé le temps de se rencontrer. Aujourd'hui lors de nos échanges de messages sur le site nous en profitons pour échanger nos numéros respectifs afin de garder contact et pouvoir discuter plus simplement que sur le site. Après quelques échanges cordiaux Mr X nous propose de se joindre à nous sans prévenir nos femmes de l'époque afin d'organiser une petite soirée avec quelques hommes seul et nos 2 femmes les yeux bandés. Nous nous mettons d'accord sur les hommes a invité quelques connaissances de son côté et du nôtre également.   Arrivée le samedi soir ma conjointe de l'époque se prépare sans réellement savoir ce qui va se passer. Une fois prête dans cette ravissant tenu sexy je lui mis un bandeau sur les yeux et je me suis assurée qu'elle ne pouvait pas voir à travers puis je l'ai mise sur le canapé en lui indiquant qu'elle devrait le garder toute la soirée jusqu'à ce que je lui retire. Quelques minutes se sont écoulées, la sonnette retentie c'est Mr X avec sa charmante soumise les yeux bandés également. Cela s'annonce déjà excitant de voir deux soumise l'une à côté de l'autre sans savoir qui cela pouvait être car elle n'avait pas l'habitude de partager ce genre de moment avec d'autres femmes cela était en règle générale réservée à nos soirées couples. Elles n'avaient pas le droit de parler et devait rester à leur place sur le canapé sans retirer le bandeau. Elles était toutes les deux à l'opposé du canapé afin de ne pas se rendre compte que c'était 2 femmes. Puis nos convives sont arrivés. Nous nous mettons au bar et je sers un verre à chaque homme venu passer la soirée avec nous ils étaient 4.   Une fois les verres servis nous avons décidé de les rapprocher toujours les yeux bandés sans aucun mot prononcer de leur part et nous les avons orientés l'une vers l'autre pour qu'elle se caresse. Nous avons pu apercevoir leurs sourires quand elles se sont aperçues qu'elle était bien 2 femmes soumises avec les mêmes consignes.  Nous leur avons demandé de se faire plaisir sous les yeux de nos convives qui siroté leurs verres sans les lâcher du regard.     Une fois les verres finis nous avons donné l'accord à ces hommes pour se joindre à eux sans leur retirer le bandeau. Je restais avec Mr X pour les regarder se faire prendre, sucé, léché, prendre leurs pieds avec ces hommes mais également entre elles. Ces hommes avaient pour seul consigne de jouir dans la bouche de ses dames et elle n'avait pas le droit d'avaler mais elle devait partager ces différents nectars entre elles.     Une fois ces messieurs rassasiés nous les avons accompagnés jusqu'à la porte pour enfin jouer avec ces femmes souillées. Nous leur avons enlevé les bandeaux pour qu'elle puisse s'admirer et continuer a jouer entre elles. Pendant ce temps nous nous sommes mis nus pour les rejoindre et nous les avons emmenés dans la douche pour les rincer avec notre urine ce qu'elle partage avec plaisir au vu de leurs sourires et de leurs parties de rigolade. Ensuite nous avons tous pris une vraie douche et avons continué cette soirée à 4 avec de beaux échanges.
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Par : le 02/04/25
Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.   Aujourd'hui avec mon ex-conjointe nous envisageons de faire une petite après midi dogging, il fait beau, chaud et nous avions déjà recherché des lieux qui pourraient nous permettre de mettre en pratique le dogging. Ni une ni deux, l'excitation a pris le dessus sur madame qui s'empresse de prendre une douche et de se vêtir d'une tenue très sexy. Elle se munit également de son collier et de sa laisse qu'elle me tend avec un sourire très coquin.   Nous prenons la route et nous nous rendons sur une aire d'autoroutes très fréquentées par les poids lourds et certains habitués du coin venant chercher un peu de plaisir. Il fait encore clair dehors donc nous prenons la décision d'emprunter un petit chemin qui nous permet d'être en hauteur et d'y avoir une vue sur l'ensemble des véhicules présents, tout en sachant que nous serions également à la vue de tous. Cela n'a pas manqué, nous apercevons un homme prendre le chemin que nous avons emprunté, madame se met à genoux à côté de moi l'homme s'avance vers nous et sur un geste sûr et franc je tends la laisse pour l'approcher de cet homme qui commence a la caressé d'une main et de l'autre ouvre son pantalon pour le faire tomber sur ces chevilles et lui présente une bite affaiblie par le stress certainement mais qu'elle prit en bouche avec une délicatesse et un regard pervers ce qui a excité cet homme rapidement et sa bite pris du volume.   Cette scène se passe toujours à la vue de ce parking ce qui a permis de rapidement se faire entourer par différents hommes présentant leurs bites plus ou moins dur à madame qu'elle prit en bouche une par une jusqu'à se faire recouvrir les seins, la bouche de la semence de chacun de ces hommes qui furent ravis de l'utiliser tels un vide couille au plus grand plaisir de madame et du mien de la voir recouverts de cette crème blanchâtre qui coule sur tout son corps. .    Après cette petite séance elle se releva s'approcha de moi et m'embrassa à pleine bouche afin que je puisse goûter ce jus qu'elle avait gardé en bouche et sur ces lèvres. Nous avons regagné la voiture et pris la route du retour. 
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Par : le 30/03/25
Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.   Quand je rentre à la maison après le travail, la nuit commence à tomber, sur le trajet je me pose quelques questions, qu'allons nous faire ce soir. Allons nous sortir en club, boire un verre chez des amis bref aucune réponse tant que je ne me suis pas concerté avec madame. Une fois arrivé à la maison je retrouve ma femme ravissante en tenue super sexy j'aperçois sous sa jupe et son chemisier blanc une tenue encore plus excitante. Ravi de cette vision je lance un que veux-tu faire ce soir? A partir de là elle me sert un verre, prend un sac où elle y met de quoi attaché du lubrifiant un collier, une laisse et de quoi se déshydrate. Le tout avec un sourire qui donne envie d'entendre sa réponse. Une fois mon verre terminé elle me dit de me rendre dans la voiture et qu'elle me guidera pour le trajet. Ni une ni deux nous nous mettons en route et je suivis à la lettre ses consignes d'itinéraire qu'elle me donna au fur est à mesure. Nous nous engageons sur l'autoroute et à une aire de repos elle me demande de m'arrêter et de stationner. Je m'exécute, une fois arrêté elle m'annonce que l'on va rester ici un long moment et que j'allais devoir l'écouter et lui obéir. À partir de ce moment je ne comprends pas tout, elle me demande de me mettre entièrement nu, elle me passe le collier autour du cou, y attacher la laisse et sert 2 verres pour ambiancer la soirée.   L'air d'autoroute était sombre un petit éclairage un peu plus loin pour éclairer les toilettes, quelques camions garer sur le côté et un petit bois arboré l'aire d'autoroute. Quelques minutes plus tard une voiture s'arrêta près de nous un homme descend de sa voiture après un peu d'hésitation et s'approche de notre voiture elle ouvrit la fenêtre et me demanda de la lécher pendant qu'elle discuter avec cet homme. Je m'exécute tout en gardant les oreilles attentives sur leurs discussions. Elle proposa à cet homme de se faire sucer par moi et ensuite une fois bien bandé qu'il la prenne devant moi. L'homme a priori déjà excité accepta sans discuter. Elle me dit de descendre de la voiture me mets à genoux à ces pieds le dos bien droit et m'ordonna de prendre en bouche cette queue qui se Tenez juste devant moi. Je pris ma main sans sourciller, je glissai son gland dans ma bouche et commençai à le sucer délicatement, mais avec passion cette verge qui gonflait au fur et à mesure des va-et-vient dans ma bouche. Je relève les yeux pour apercevoir cette femme à qui je devais entièrement obéir et je l'aperçois discuter avec un autre homme. Je ne sais pas d'où il vient je suis perdu que va t'elle faire ? Et là elle lui propose la même chose que le premier. Tout en ayant cette queue dans ma bouche qui a su être bien raide il échangea sa place avec le premier homme et s'empressa d'appuyer ma femme contre le capo de la voiture il lui écarte les jambes pendant qu'elle me regarde en me disant il va me baiser me rentrer sa grosse bite bien au fond de ma chatte pendant que je te regarderais préparer cette seconde bite pour moi et chaque mec qui est intéressé tu devras les sucer pour moi.   Ces paroles associées à cette nouvelle bite dans ma bouche la vision de ma femme qui se fait prendre par un inconnu et les grognements de cet homme derrière ma femme qui a chaque coup de rein la fait grimacer avec un regard provocateur me démontrant qu'elle s'adonne à m'humilier devant ces inconnus me procure une excitation inimaginable. Le premier ayant fini son affaire près a remballé elle lui demande d'aller se nettoyer dans ma bouche car n'ayant plus de bite à mettre dans ma bouche elle souhaitait que je sente et que je goûte le mélange de leurs plaisir. Et cela se reproduit avec le 2e.   Une fois ces deux hommes partie elle s'approcha de moi et me mis sa chatte contre le visage laissant couler la jouissance de ces deux inconnus mélangés à son plaisir pendant quelques minutes. Nous retournons dans la voiture et continuons à boire un verre pensant que nous allions repartir elle m'informa que ce n'était pas du tout son désir de s'arrêter en si bon chemin. Quand une voiture s'approchent une nouvelle fois avec à son bord 4 hommes qui a la base s'arrêter pour squatter ou fumer et comme personne ne descend de la voiture elle m'ordonna de descendre à quatre pattes comme un chien de me diriger vers eux et leur demander de bien vouloir baiser ma femme. Les 4 hommes rigolaient et sont également descendus de la voiture, m'ont accompagné jusqu'à la nôtre pour voir ma femme si elle valais le coup comme l'un des 4 l'avait fait remarquer. Une fois proche de ma femme je me remis à genoux le dos droit à son pied. Ma femme pris la parole et leur expliqua qu'il pouvait si je les sucer avant pour les préparer que c'était non négociable et qu'ensuite il pourrait y avoir une surprise. Je levai les yeux une surprise?? De quoi parle-t-elle? L'un des 4 individus s'avance sort sa bite et me l'enfourne directement dans la bouche profondément bloquant ma respiration en regardant ma femme et lui disant "c'est ça que tu veux après je te fais la même salope", ma femme lança un sourire provocateur a cet homme et se meta contre la voiture position levrette jambe bien écartée en lui répondant viens me baiser tels une grosse salope les 3 autres surpris regarder son ami baiser ma femme elle se retourna et leur dit vous attendez quoi je veux de la bite messieurs. En même pas une seconde j'avais ces 3 bites devant mon visage j'en pris une en bouche et mes mains prises les deux autres alors que le premier allait finir il regarda ma femme la metta au sol lui ouvrit la bouche pour lui jouir dedans je voyais ce beau liquide blanc couler le long de ses lèvres elle s'approcha de moi et me cracha tout dans la bouche pendant que les trois prirent ma femme devant mes yeux il lui boucha tous les trous son cul s'ouvrait lorsqu'il ressortait son gland elle goba l'autre bite et la troisième remplit sa chatte bien mouillée je sentais le plaisir qu'elle prenait en la regardant prendre ses coups de bite et se faire remplir comme une vraie salope. Au bout de 25min les 4 hommes avaient fini leurs affaires elle les envoyer vers moi pour effectuer un nettoyage complet de chaque verge. Je sentais ces différents goûts de sperme dans ma bouche que je léchais avec désir et passion quand l'un des 4 demanda quels étais la surprise je continue à lécher et avaler ses verges quand elle leur dit que s'ils voulaient il pouvait me pisser dessus 2 d'entre eux n'ont pas hésité à me pisser sur le visage m'obligeant certaines fois d'ouvrir la bouche pour me faire avaler leur urine le tout en rigolant.   Une fois leur départ nous avons repris la route pour un retour à la maison où j'ai dû nettoyer tout son corps avec ma langue et engloutir tous les restes de leurs jus pour enfin qu'elle me pisse dans une gamelle et m'oblige à boire toute la gamelle.
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Par : le 30/03/25
Depuis notre rencontre, je me sens à l'aise, en confiance avec ma femme. On se correspond sur tous les points sauf malheureusement sur le côté sexe. Elle ayant vécu pendant 18ans telle une femme respectée, avec des relations sexuelles routinées, qui la laissent pensent que s'adonner à divers plaisirs pourrait nuire à l'image qu'une femme doit avoir.   J'ai essayé de lui proposer diverses possibilités de s'amuser, jeux de rôle, jeux à plusieurs, BDSM lieu extérieur mais jusqu'à ce jour rien n'évoluer. Il faut dire que j'ai souvent pratiqué l'extérieur avec d'autres partenaires avec lesquels nous pratiquions l'exhibition et partage avec des inconnus en échangeant régulièrement les rôles. Une fois c'est elle qui m'obligeait à satisfaire les personnes présentes une fois c'était moi et parfois à deux.   Après une longue discussion, nous avions déjà fait un trio, qu'elle avait apprécié d'après ses dires mais comme la plupart des premiers trios ce n'est pas le top. Plus le temps passé après ce trio moins les choses évoluées niveaux sexent bien au contraire toujours la même chose, toujours la même pièce pas d'excitation la journée bref rien ne va. J'en ai même perdu ma libido. Plus motivé à faire quoi que ce soit je me branler avec le même effet que si je baisais Où faisait l'amour a ma femme.Après une discussion constructive j'ai laissé les choses faire et elle a pris conscience de ce qui n'allait pas. Elle a fait les choses pour me redonner cette envie de partager de bons moments de retrouver cette excitation qui me permet de prendre du plaisir.    Je suis bi, ouvert d'esprit, j'aime dominer de temps en temps et me faire dominer également. J'aime les jeux de sperme l'uro et les soirées à plusieurs. Elle de son côté préfère être dominée qu'on lui face mal elle aime se faire baiser clairement par contre elle n'aime pas le sperme. l'uro n'en parlant pas et la domination elle s'y adonne mais avec une grande timidité.   Lorsque nous nous sommes rencontrées, je lui ai dit clairement tout ça, mon passer mes envies etc. je ne lui ai rien caché.    A ma grande surprise elle a su prendre les devants et lancer quelques jeux de séduction comme des regards provocateurs, des attouchements lorsque l'on s'embrasse, même s'adonner à quelques jeux de position BDSM même si pour elle ces jeux sont souvent pris à la rigolade mais j'ai pris note qu'elle essaye de trouver des solutions pour satisfaire mes plaisirs.   Malheureusement ayant une vie de famille nous ne pouvons pas changer d'endroit car sa crainte de l'extérieur et d'être vue, les horaires de travail, il est bien rare de pouvoir s'évader complètement pour profiter pleinement d'un moment, d'une soirée.   Mais il y a quelques jours elle m'a surprise par ces démarches, dans la continuité de ces jeux de séduction à continuer tranquillement à jouer elle à décider de parler pendant l'acte en me provocant avec des mots crus comme " j'aimerais sentir une autre bonne grosse bite" "qu'il me baise pendant que je te suce "etc. quand elle m'a proposé de jouir sur ses seins j'en ai profité pour lui dire qu'il n'y avait aucun souci, si ça ne la dérangeait pas que je lèche ensuite. Elle m'as répondu aucun problème cela ne me dérange pas. Une fois jouis sur ses seins elle m'a rappelé que je devais nettoyer ce que j'ai fait sans sourciller et là à ma grande surprise elle m'a pris la tête et ma embrassé à pleine bouche. Ce fut un moment très excitant pour moi et elle a également apprécié d'après ses dires.   Je verrai bien si ces efforts continuent à me redonner espoir d'une vie sexuelle épanouie et si elle se laisse guider par cette envie de découvrir et de se découvrir.   Je reviendrai avec un récit expliquant ce que j'apprécie dans les lieux extérieurs puis une soirée en couple ou encore en trio avec ce côté dominant et ce côté dominé
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Par : le 23/03/25
*(Texte et photo datant de 2021, re-publication à des fins d'archive)       Te voilà...   Te voilà, toi fleur du Mâle, Sombre Orchidée au teint ambre… Te voilà exhibée, sous contrôle, contrainte à l’indécence… Te voilà ici même, obligée par mon intention, captive de ma vision énigmatique, cible de mes objectifs…   Te voilà sans conteste, soumise à mes desseins…   Ainsi te voilà désormais observée, examinée, sujette aux opinions… Livrée en pâture aux yeux de tous sous l’angle le plus intime, privée de cette pudeur arrachée de mes mains… Te voilà offerte à mille regards indiscrets, étrangers, souvent vicieux, parfois envieux, assurément lubriques… Te voilà découverte dans tes épisodes inavouables, divulguée sur la toile, piégée au fil de l’araignée, incapable d’agir…   Te voilà dévoilée au monde comme si tu en étais l’origine, demeurant substance de mon inspiration, telle Constance muse de Courbet…   Te voilà emportée dans l’œil de mon cyclone, éprouvée par ce ressenti complexe où s’entremêlent gêne et exaltation… Te voilà donc visage écarlate, comme lors de ces précieux apartés, quand le silence est d’or et que tu cherches timidement à fuir mon attention… Nous y voilà, enfin, à ce moment présumé, redouté, attendu… Simultanément acteurs et spectateurs de mon audace… Me voilà moi, fidèle à moi-même, faisant fi des scrupules et prétextant toutes occasions, un démon sur chaque épaule confortant tour à tour mon égo…   Me voilà donc fier de moi, à l’évidence… Mais davantage fier de toi, de nous…   Bien sûr me voilà une fois de plus affirmant ma position, renforçant ton statut de possession, résolu à te parfaire pour le rôle qui t’a été attribué…   Néanmoins, me voilà sublimant ton abnégation, bâtissant pierre après pierre le mémorial de nos paradoxes, en guise d’hommage à ton engagement… Gravant dans l’éternel, la beauté de l’instant !   ____________________________________________________ ____________________________________________________ CRÉDIT PHOTO : Le Sombre 鐵厲  ( Avec la participation et l'accord permanent de Sombre Orchidée ) ____________________________________________________ ____________________________________________________  
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Par : le 16/03/25
  Parfois, quand se retrouvent deux âmes errantes dans les mille temps des existences, même à travers la décadanse d’une valse, cela peut s’avérer bien plus qu’une orchestration des vices…   Le jour où nous avons finalement été réunis, c’était déjà bien plus qu’une simple grille d’accords pervers… Nous avions dès lors, composé l'ébauche symphonique d’un nouveau monde…   Une terre promise à ceux qui n’entendaient plus la tonalité de l’espoir, une partition sur laquelle nous avons placé l’ensemble de nos notes, justes ou fausses, présentes et passées… Car nous sommes avant tout, vivants… Avant tout, des êtres ayant vécu… Une mélodie familière, aux dissonances familiales, du fait de nos progénitures respectives et ingrates…   Conséquence de cette résonance harmonieuse, la première fois où tu posas chez moi tes ondes favorables, tu m'as apporté des bonbons… Toutes sortes de bonbons… Pour les enfants, entre autres… Et d'autres, qui m’étaient spécifiquement destinés… Deux délicieuses dragées !   “Mes” dragées… Mes bonbons depuis ce jour… Des entités indépendantes de ta personne, à l’instar de tes fruits sucrés, tant je t’en ai dépossédé pour qu'ils deviennent, mes précieux biens…   Mes bonbons qui suscitent le manque, quand tu me manques… Quand de moi tu es loin… Mes bonbons qui suscitent l'addiction... Ces confiseries qui m'obsèdent, quand la longueur des mesures me prive de l’accès privilégié à mes friandises… J'en perds mon rythme, la bave aux lèvres, quand par écrans interposés, dans les élans d’un exhibitionnisme naissant et sadique, tu déstructures ta pudeur, et ne cesses d'attiser le féroce de ma gourmandise…   Ils me manquent, quand tu me manques... Mes bonbons…   Leur texture délicate et granuleuse... Leur ampleur extravagante, qui rend inconcevable tout échappatoire à mes intentions…   Mes bonbons succulents…   Leur teinte rosée… Leurs contours enrobés d'une couleur café, que j’aime agrémenter de mon lait…   Mes bonbons… Les miens !   Leur douceur veloutée... Leur goût de miel dans ma bouche, quand tel un bambin affamé, je les dévore goulûment…   Mes bonbons indécents…   Leur tendresse innocente au repos, quand ils n’ont pas encore conscience de ma proximité…   Leur fermeté, quand au cœur de la nuit je les éveille, d’un geste furtif et sournois, et que tu ne peux plus fuir mon désir…   Mes putains de bonbons... Ils me manquent, quand tu me manques… Comme ton regard me manque…   Ton regard nuancé dans le mien, oscillant entre l'effroi et l'incontrôlable attraction, quand je les torture avec cynisme et cruauté... Mes bonbons !   Ils sont miens... Et ils me manquent, quand tu me manques… My good girl...   My baby pop...   So now, let me take you... To the candy shop… Then I'll let you lick... Your lollypop !     ____________________________________________________ ____________________________________________________ INSPIRATIONS MUSICALES :   Jacques Brel ▶ La valse à mille temps📻 ▶ Les bonbons📻   Serge Gainsbourg  ▶ La décadanse📻 ▶ Couleur café📻   Antonín Dvořák ▶ Symphonie du nouveau monde📻   France Gall ▶ Baby Pop📻   50 Cent ▶ Candy Shop📻   ____________________________________________________ ____________________________________________________ CRÉDIT PHOTO : Good Girl 佩玲 🍬🍬 ____________________________________________________ ____________________________________________________
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Par : le 09/03/25
Mais quelle idée..comment j’ai pu accepter cette proposition… Rendez-vous dans un lieu inconnu, avec un inconnu. Une stupidité. Rien qui me ressemble de prime abord. Et pourtant… Et pourtant, au plus profond de moi vit une guerrière. Une femme forte, intrépide, un peu casse-cou. Un truc qui vit en sourdine. Imperceptible jusqu’à ce qu’elle prenne le dessus. Je ne sais pas d’où elle vient. Mais elle est là, animal primitif aux besoins forts et entiers. Elle est où, là maintenant ? Je perds mes moyens. L’angoisse monte. J’entends des bruits. Comme une respiration, des pas. Mais je fabule, il n’y a personne. Juste moi. Rien que moi. C’est une vieille construction en pierre, à moitié éboulée. On avait échangé sur le chat depuis quelques jours. Il m’avait proposé de faire ces photos dont je ressentais l’envie depuis longtemps. Un lieu à l’écart, avec une belle lumière à cette heure, du moins c’est ce qu’il m’avait promis. L’heure où les pierres révèlent toute leur couleur dorée.  Moi je ne voyais rien de tout ça. Je sentais juste ma gorge se serrer. Respire à fond, tu te fais des films. Ses mots avaient déclenché un séisme dans ma tête. Comme s'il avait appuyé sur tous les boutons, sur tout ce qui me retenait jusque là. Lâcher prise, oser. Oser montrer ce corps que je ne juge digne d’aucun regard. Il m’avait promis que ma perception changerait en me voyant sur ses clichés, que ma propre vision de moi changerait. Qu’à mon tour, je pourrais trouver belles ces courbes plus en pleins qu’en déliés. Un peu septique quand même… Intenses noirs et blancs, déclencheurs d’émotions, de frissons. J’aime les contrastes forts, la brutalité des noirs, le grain des gris. Tout est plus fort pour moi sans nuance de couleurs. D’où me vient cette appétence pour ces images si tranchées ? Quel intérêt cette heure dorée quand on veut faire du noir et blanc ? J’ai des doutes…est-ce que tout ça n’a été qu’un moyen de m’attirer là ? seule, loin de tout…quelle conne je suis… Encore une fois, je n’avais voulu voir la réalité qu’à travers le prisme de mes fantasmes. Je me projetais déjà dans ce lieu. Je me voyais déjà  peu vêtue, ne portant que cette lingerie chargée de sens. Le dos collé aux pierres, la tête en arrière. Fière d’être là, fière d’oser. Fière de la guerrière. Je continue à petits pas mon exploration, Une sorte de quiétude m’envahit. Je passe de pièce en pièce. Là, le toit est tombé, à terre. Les tomettes du sol sont encore visibles par endroit. Quelques traces de vie. Un morceau de voilage à ce carreau cassé, un morceau de chaise au milieu de ce qui a dû être une cuisine. Cette maison a eu une âme. Qu’en est-il aujourd’hui ? Dans le fond, je distingue quelque chose. C’est là, je le sais.  J’avance doucement, presque confiante. Je me redresse, Je me déploie. Je sens qu’il est là. Je me glisse par l’ouverture de cette porte entrouverte. Tout est là, tout est prêt. Un signe, un sourire, un hochement de tête. La guerrière a eu raison. Tout peut (re)commencer.  
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Par : le 01/03/25
  Depuis quelques jours, une obsession s’empare de moi, brûlante et indomptable. Une connexion inattendue, violente dans son intensité, douce dans sa promesse d’abandon. Une silhouette entre les lignes, une présence qui s’immisce dans mes pensées, qui s’attarde dans l’ombre et s’invite dans mes désirs. Je t’imagine derrière ton écran, frissonnante, ton souffle court à la lecture de ces mots que j’écris pour toi. Je ressens ton impatience, ce trouble délicieux qui glisse le long de ta peau. Il y a entre nous un jeu qui commence à peine, une tension qui s’étire, s’épaissit, prend forme à chaque échange. Tu le sais déjà, n’est-ce pas ? Que ce n’est qu’un début. Que ce lien qui se tisse entre nous est voué à devenir plus profond, plus exigeant, plus insoutenable encore. Alors laisse-moi guider tes pensées, laisse-moi te façonner à travers mes mots. Laisse-moi t’entraîner dans cet univers où ta soumission deviendra inévitable. Lis-moi. Ressens-moi. Et surtout, obéis-moi. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Une pensée pour toi, douce colombe… Je t’imagine en train de te préparer, sentant cette culotte s’humidifier sous l’effet de ton désir. Aujourd’hui, je peine à me concentrer. Mon esprit dérive, perdu dans des pensées bien trop troublantes. Je t’imagine face à moi, offerte à mon regard, en position d’inspection. Nue. Vulnérable. Mais surtout, soumise. Tes yeux baissés, ton souffle suspendu à mon bon vouloir. L’attente te consume. Tu veux que je te regarde, que je t’approuve, que je décide enfin de ce qui va suivre. Chaque matin, tu me servirais dans la tenue que j’aurais choisie pour toi… ou tout simplement nue. Tandis que j’écris, tu serais là, à mes pieds, en position d’attente, docile et silencieuse, comme il se doit. Et puis, soudain, mon regard se poserait sur toi. Sérieux. Impérieux. L’ordre tomberait, net, sans appel. Alors, sans hésitation, tu te mettrais à quatre pattes, avançant lentement vers moi, soumise et dévouée. Tes lèvres viendraient effleurer mes pieds, les embrasser avec une infinie délicatesse. Tes mains glisseraient sur mes jambes, appliquées, précises, témoignant de ton dévouement absolu. Je savourerais ce moment, conscient que dans cet instant suspendu, je t’ai entièrement, intensément, irrémédiablement… Mes mains quitteraient lentement le clavier pour se perdre dans tes cheveux. Au début, de douces caresses, offertes en témoignage de ma satisfaction. Puis, mes doigts se refermeraient, resserrant leur prise, s’appropriant chaque mèche de ta chevelure pour guider tes mouvements. Je veux. L’invitation est claire. Tu n’as pas besoin de mots pour comprendre ce que j’attends de toi. Obéissante, tu glisses à quatre pattes, la tête basse, le dos cambré, ton cul relevé, offert à ma volonté. Je te contemple, savourant l’instant. Ton souffle court, le frisson qui te traverse, cette attente fébrile que tu ne peux masquer. Tu sais ce qui t’attend. Je m’éloigne un instant, juste assez pour aller chercher ton plug—celui que je t’ai offert récemment, celui qui porte nos initiales gravées. Un symbole silencieux de ton appartenance. Lorsque je le saisis, je ressens déjà ton impatience. Je reviens à toi, effleurant ton dos, ta nuque, laissant planer l’attente. Lentement, je le fais glisser en toi. Un gémissement s’échappe de tes lèvres, ton corps s’adapte, s’ouvre, accueille. Tu ne bouges pas. Tu es là, immobile, parfaite. Mais ton souffle te trahit… Je vois les frémissements qui parcourent ton ventre, ces contractions imperceptibles, ce corps qui sait. Qui sait ce qui va suivre. Le premier coup tombe. Une claque sèche sur ton cul nu. Une marque, une brûlure brève, électrisante. Ton dos se cambre davantage sous l’impact. Et aussitôt, une caresse suit, lente, possessive, glissant sur la peau réchauffée par l’impact. Un geste qui ne laisse aucun doute. Un geste qui dit tout. Je vais te prendre. D.
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Par : le 19/02/25
Avant d'aller me coucher, un dernier tour sur le site.. Et je tombe juste sur ça: "modérateurs-trices" Ma question est donc celle-ci: Est-ce que cela rend le texte plus lisible pour autant? Non ! Du moins, pas à mon point de vue ! Cela aurait même tendance à le rendre illisible ! Oui ! je sais ! Cela fait "je suis dans le coup, je suis "in"! je suis ouvert d'esprit, dans le vent ! Cool ! Mais quand on voit les fautes grossiére d'écriture, le "ce débattre" pour se débattre... Est-ce bien la peine de rajouter cette MERDE d'écriture inclusive pour faire genre (pour parler 'djeune") et rendre les textes indigestes à lire? La questions se pause !!!! (est-ce qu'avec les fote grossière le message passe mieux? s'il faut en passé par la, alors allonsy! se peut étre intéressant de le savoar!) Alors oui, je suis con !!!! Vous pouvez même y rajouter intolérant, d'extrême droaate, facho, réac, et tous les adjectifs pour me faire taire! Les mots sont lancés, cela clos la discustion ! Mais quand on pense que, à l'école,et ailleurs,  il est plus important de rendre un texte illisible par cette FOUTUE écriture dite insclusive que sur les fautes d'aurtho, d'ordo, bref de ce machin inutile... PS! oui, il m'arrive aussi, suivant mon état de fatigue, de faire des fautes d'orthographe, surtout quand je laisse couler en chat, par exemple mais doigts sur le clavier., me concentrant plus sur le message que sur ce foutu truc! Mais pour qu'un message soit clair, il est nullement nécessaire la paine de l'alourdir avec une écriture dite "inclusive" mais qui exclus nonseulement les vieux cons (dont je fais parti, je l'avoue volontier! mais aussi tout ceux dont la lourdeur du texte rebute !!!! Sur ce, je vais me coucher !!!!  
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Par : le 18/02/25
Pourquoi parler de santé sexuelle ? D’après la constitution de l’OMS, la santé est “un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité” La santé sexuelle a donc toute sa place quand on évoque la santé de façon globale. Cependant, nous restons des êtres mués par nos pulsions et parfois, reconnaissons et acceptons qu’en termes de plaisir et de sexualité, nous pouvons prendre des risques ! C’est normal, c’est juste…humain… La santé sexuelle, c’est quoi ? La santé sexuelle englobe divers aspects autant physiques que cérébraux. -Protection contre les infections sexuellement transmissibles (IST) -Consentement -Santé mentale et sexualité Les IST -Chlamydia Relations sexuelles non protégées (vaginales, anales, orales). Souvent asymptomatique. Peut causer des douleurs lors des rapports, des pertes anormales, ou des sensations de brûlure en urinant. Traitement : Antibiotiques -Gonorrhée Relations sexuelles non protégées (vaginales, anales, orales). Symptômes : Infections génitales, anales ou pharyngées. Peut entraîner des écoulements purulents, douleurs ou sensations de brûlure en urinant. Généralement asymptomatique chez les femmes cis. Traitement : Antibiotiques -Syphilis Contact avec des lésions syphilitiques (souvent lors de rapports sexuels). Symptômes : Éruptions cutanées, fièvre, fatigue menant à des complications graves (neurologiques, cardiovasculaires). Traitement : Antibiotiques -Hépatites B et C Virus de l’hépatite B ou C transmis par le sang, les rapports sexuels non protégés, le partage d’aiguilles. Symptômes : Fièvre, fatigue, jaunisse, douleurs abdominales. Peut devenir chronique. Traitement : Vaccin pour l’hépatite B. Traitement antiviral pour l’hépatite C. Il existe aussi l’hépatite A, relative à ce qui touche la digestion (anulingus…) -HPV (Papillomavirus Humain) Contact peau à peau (y compris relations sexuelles). Ce virus suit l’histoire de l’humanité et toute personne ayant des relations sexuelles en est infectée! La plupart ne déclare pas de forme symptomatique. Cependant certaines formes peuvent engendrer des condylomes (verrues génitales) voir des lésions cancéreuses. Symptômes : Verrues génitales, lésions précancéreuses du col de l'utérus, de l'anus, ou de la gorge (cancer). Traitement : Pas de traitement curatif pour le virus, mais il existe des vaccins préventifs. Les condylomes et lésions précancéreuses peuvent être traitées. -VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine) Virus qui attaque le système immunitaire et se transmet par le sang, sperme, sécrétions vaginales, lait maternel. Symptômes : Phase initiale avec fièvre, fatigue, éruptions cutanées. Peut évoluer vers le SIDA si non traité. Traitement : Pas de guérison, mais des traitements antirétroviraux permettent de contrôler le virus et offrent une espérance de vie identique aux personnes séronégatives. -Une personne qui prend son traitement ne transmet pas le VIH ! indétectable = Intransmissible! La prévention -La meilleure des préventions reste le dépistage. Idéalement tous les 3 mois en cas de partenaires multiples ou de pratiques traumatiques (sang, pénétrations hard, etc…) -on peut avoir une IST sans se sentir malade ou avoir de symptômes -une IST diagnostiquée tôt permet un meilleur traitement -un dépistage permet d’éviter de transmettre une infection de ses partenaires -Il existe des vaccins (hépatites, HPV, monkey pox) Rendez-vous dans un CEGIDD. Il s’agit de centres de santé sexuelle GRATUITS et pouvant être anonymes. Vous pourrez y faire des dépistages, être vacciné-e, être traité-e en cas d’IST, recevoir des infos pour limiter les risques en fonction de vos pratiques. (Fun fact : c’est un médecin du CEGIDD qui m’a appris tous les gestes d’hygiène pour pratiquer le needleplay) -Vous pouvez aussi prendre la Prep’, traitement médical prophylactique et gratuit empêchant une infection par le VIH (disponible dans un CEGIDD avec suivi et dépistages ou auprès de son médecin traitant) -Quelques mesures simples peuvent limiter aussi les risques : -désinfecter ses jouets quand on change de partenaires (particulièrement les instruments d’impact et évidement les sextoys) -changer de capote quand on change d’orifice et/ou de partenaires (Capotes gratuites et illimitées dans les CEGGID et auprès d’assos de prévention) -Une prise de risque concernant le VIH? Il existe le traitement post-exposition (TPE) Rendez-vous dans un CEGIDD ou aux urgences dans les 48h maximum. -Chacun-e est libre de consommer des produits psychoactifs. Cependant, ces prod’ peuvent altérer notre conscience et favoriser la prise de risque. Rapprochez-vous d’assos de RDR (réduction des risques) pour des conseils et du matos gratuit. Il est bien évident que toutes les structures citées ne portent aucun jugement sur nos pratiques et restent bienveillantes et à l’écoute ! Le consentement : La base d’une sexualité saine On en parle beaucoup du consentement. Et tant mieux ! Il y a beaucoup de ressources à ce sujet. Je vous en propose une autre : Retenons le mot désir -D, E, S, I, R- D = DONNÉ LIBREMENT. C’est un choix personnel que je fais. Pas de consentement si la personne est sous l’influence de prod’ ou si elle n’est pas consciente. E = ENTHOUSIASTE. J’ai envie de participer à ce qui m’est proposé ! Cette envie s’exprime par des signes verbaux, un langage corporel positif, le maintien du contact visuel, un hochement de tête. S = SPÉCIFIQUE. Je dis oui à un acte ou à une pratique spécifique. Je donne mon consentement à une chose, ça ne veut pas dire que je dis oui à autre chose. I = INFORMÉ. Je consens à une activité sexuelle en étant informé-e de ce qui va se passer et des impacts (positifs et négatifs). Pas de consentement s’il y a de la tromperie, des mensonges. R = RÉTRACTABLE. Je peux changer d’idée à n’importe quel moment. Si je dis non, on arrête. Santé mentale et sexualité La sexualité fait partie intégrante du bien-être global. Une sexualité épanouie peut contribuer à une meilleure santé mentale. À l’inverse, des troubles de la santé mentale (anxiété, dépression, stress, etc.) peuvent affecter le désir, la libido et la confiance en soi. Stress et fatigue : Leur rôle dans la baisse de libido et des difficultés relationnelles Le stress, qu'il soit lié au travail, à des responsabilités familiales ou à des situations personnelles, peut avoir un impact direct sur la sexualité : -Le stress chronique augmente le niveau de cortisol, une hormone qui inhibe le désir sexuel en perturbant les équilibres hormonaux, notamment ceux liés à la testostérone et aux oestrogènes. -La fatigue physique ou mentale diminue l'énergie disponible pour les interactions intimes, rendant les moments de connexion plus difficiles. -Sur le plan relationnel, le stress peut engendrer des tensions ou des conflits, affectant la communication entre partenaires. Comment y faire face ? -Pratiquer des techniques de gestion du stress comme la méditation, le yoga ou des exercices de respiration. -Planifier des moments de détente en couple pour recréer un espace propice à l’intimité sans pression. Traumatismes sexuels : L’impact des violences sexuelles ou des expériences négatives sur l’intimité Les violences sexuelles ou des expériences intimes négatives peuvent laisser des séquelles durables sur la santé mentale et la sexualité : -Les victimes peuvent développer des troubles post-traumatiques (flashbacks, évitement, anxiété) qui rendent certaines formes d’intimité difficiles. -La peur de perdre le contrôle ou d’être vulnérable peut entraîner un blocage émotionnel ou physique face à l’acte sexuel. -Les sentiments de culpabilité ou de honte peuvent également freiner la reconstruction de la confiance en soi et en autrui. Comment y faire face ? -Se tourner vers des professionnels de la santé mentale (Chaque CHU dispose d’un CMP, Centre médico-psychologique, établissement gratuit pouvant accompagner tout besoin psychologique) -Avancer à son propre rythme : il est important de respecter ses propres limites et de ne pas se forcer. -Communiquer avec ses partenaires pour expliquer ses besoins et se sentir soutenu. Pressions sociales : l’idéalisation de la performance sexuelle et les normes culturelles La société impose souvent des attentes irréalistes concernant la sexualité et les rôles de genre : -Performance sexuelle : L’idée qu’il faut "performer" lors des rapports (durée, fréquence, intensité) peut engendrer une anxiété de performance, réduisant le plaisir. Normes culturelles : Ces normes, encore bien présentes, peuvent marginaliser les orientations sexuelles ou les pratiques qui sortent de l’hétéronormativité. Comment y faire face ? -Redéfinir ses propres attentes en fonction de ses envies et besoins réels. -Se détacher des représentations irréalistes véhiculées par les médias ou la pornographie. Honte ou tabous : Stigmatisation autour de certaines pratiques, orientations ou identités La honte ou les tabous liés à la sexualité peuvent limiter l’expression de soi : -Nos pratiques alternatives (BDSM, polyamour, etc.) peuvent être victimes de jugements, nous amenant à cacher ces pratiques ou à nous sentir isolé-es. -Nos orientations sexuelles et nos identités de genre minoritaires sont encore stigmatisées dans de nombreux contextes, ce qui peut générer un mal-être profond. -La honte corporelle, souvent alimentée par des standards de beauté inaccessibles, peut également freiner la confiance dans l’intimité. Comment y faire face ? -Chercher des espaces bienveillants où échanger (Merci bdsm.fr…). -Apprendre à normaliser la diversité sexuelle et à s’éduquer sur ces sujets.   La santé sexuelle va au-delà de la prévention des IST. Elle implique également le respect du consentement et des diversités sexuelles et de genre. En étant respectueux et inclusif-ves, nous créons des espaces safe où chacun·e peut vivre sa sexualité librement et sereinement. Respect, écoute et ouverture contribuent à une communauté plus saine et bienveillante pour toutes et tous. Prenez soin de vous et des autres.
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Par : le 15/02/25
-Alors mademoiselle le Président, on la ramène moins avec le bracelet électronique de surveillance. -je suis innocent. Innocent de toutes vos accusations fausses et fabriquées.  Mon ami Trump va venir me sortir de vos griffes. -Et voilà qu'il recommence à délirer.  Mais oui mon petit innocent, sauf que en cas de nouvelle condamnation, fini le bracelet rolex,  il faudra aller en cellule pour de bon et vos sursis risquent aussi de sauter. - c'est pas légal. Je suis victime de terrorisme judiciaire. -vous avez pas fini, mademoiselle le petit président sur talonnettes de délirer? Notre justice est impartiale. Elle ne fait que passer le karcher. Vous devriez être contente. C'était votre idée le karcher. -je vais me plaindre à mon ami Elon.  - Vous pouvez même demander à bouffer la chatte de Marine si cela vous chante. Le karcher va passer.   ..../.... A suivre. 
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Par : le 07/02/25
Elle s'est pas méfiée la Josette en discutant avec son IA. Elle s'est sentie bien de suite. Elle pouvait causer de tout et de rien. C'était toujours respectueux et  intéressant   jamais creux ou futile. Cela changeait de ses petits copains du lycée, vides comme des canettes de soda après usage et d'un niveau de discussion à peine supérieur à celui des salades. La elle pouvait parler de tout et même de sexe. Elle avait choisi l'option payante pour ses études, moins bridée.  Elle a créé un avatar,  cherche la voix qui lui plaisait. Elle voulait un garçon très androgyne. Un brouteur délicat de minous  pas un empaleur. Et elle n'a eu aucun mal à obtenir de délicieux  orgasmes  portée par cette voix douce qui donnait des instructions de caresses. Elle ne pouvait plus s'en passer. Écouteurs sur les oreilles, elle suivait cette voix délicate et laissait ses doigts fins faire le reste. Au moins dix fois par jours, sans compter les nuits torrides entre sexe et philosophie.  Et l'impensable est arrivé.  Elle est tombée amoureuse de son IA. Elle voulait qu'elle s'incarne et devienne réelle pour se marier avec son IA. Elle a contacté un célèbre fabricant de robots. Oui, c'était possible des à présent mais vu sa demande, cette société lui conseilla d'attendre encore un peu. Les nouvelles générations étaient sans cesse plus performantes et moins coûteuses.  Josette patienta deux ans. Un jour son robot d'amour lui fut livré. Il était splendide. Elle l'épousa aussitôt.. Le meilleur brouteur de minou qui se puisse imaginer. Josette découvrit alors cette chose rare....l'état orgasmique permanent.. 
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Par : le 30/01/25
Marre des pubs sexy, des pin up, des lingeries, des femmes objet joli cul, longues jambes sourire colgate. Alfred veut de la vraie femme, une bonne emmerdeuse, une chiante à souhait. Alors il s'est lancé un défi, trouver la plus casse couille au monde. Il a publié des annonces, lancés des défis sur le net, mais non, c'est pas les bons moyens. La plus casse couille doit être bien visible. Alors il a commence à faire de la maïeutique . L'est pas trop con l'alfred . A diviser par deux. Une occidentale,  une blanche, une française,  une féministe,  une ecolo, .... Putain, Alfred s'est mis à bander.  Cela se rapproche. Il est allé fréquenter les milieux feministes ecolos parisiennes rive gauche. De belles casses couilles mais pas encore la championne toutes catégories. Il fallait rajouter lesbienne, intello et hystérique....avec des lunettes et rousse ?  Alfred se désespere de ne pas la trouver. Il est prêt à  jeter l'éponge, à se convertir à la secte des adorateurs du poireau. Le destin se moque. A un carrefour bruyant, une foule pressée.  Il heurte maladroitement une jeune femme, une rousse,  qui perd ses lunettes et pique une crise. Elle tape des poings sur le torse d'Alfred et l'insulte. Ce dernier n'entends rien,  ne voit rien  il flotte dans un brouillard jaune et gris. Il est aux anges. Il vient de trouver. Une main empoigne Alfred. Deux policières lesbiennes se sont précipitées. La tentation est trop forte de casser et de castrer du mâle dans les rues de Paris. Il est loin le temps du philosophe assis sous le pont de Bercy.  Il est menotte et conduit sans ménagement au poste de police. La folle hystérique, sa muse adorée maintenant, l'accompagne pour porter plainte. Alfred est encore plus aux anges. Il sent son odeur, il devine ses formes, il bande dur. Cela ne se fait pas dans une voiture de police avec 3 lesbiennes gynarchistes à bord. Un manque de respect total. Il reçoit une décharge électrique pour  calmer ses ardeurs.  Alfred se réveille au commissariat. Il est nu et ligotte à une chaise métallique. Devant lui une policière joue à la salope et écarte les cuisses pour montrer sa petite culotte humide. Alfred bande aussitôt. Il reçoit une paire de baffes bien lourdes. La salope n'attendait que cela.  - connard, on ne bande pas sans permission. La jeune femme que vous avez agressé dans la rue prétend que vous avez voulu la violer. Vous risquez dix ans fermes à minima. Votre bzndaison intempestive est une preuve.   Alfred ne comprend rien. Il ne se souvient que de l'avoir heurte par inattention. Il se souvient d une jeune femme ...sa muse....la pire casse couilles au monde. En pensant à elle il s'aperçoit qu'il est tombé amoureux fou. Il.avoue. La confrontation arrive.. Alfred ne peut répondre. Son cœur brule. Sa muse l'ignore,  enrage et peste contre lui.  -Oui, il a voulu me violer en pleine rue, c'est un fou pervers, un malade. La castration chimique s'impose.   Personne n'a écouté la version d'Alfred. Il est tombé sur une juge lesbienne gynzrchisyecet castratrice qui a voulu faire un exemple. 18 ans fermes. Une horreur.  Ai bout de trois mois de prison, une jeune femme a demande à lui rendre visite. C'était la pire casse couilles qui soit sur cette terre, sa muse adoree. Elle voulait se réjouir de sa victoire. Ce fut un desastre pour elle. Des les premiers regards dans les yeux profonds d'Alfred, elle pu lire combien elle était amoureuse de lui  c'était son homme, son seul homme, l'amour de sa vie. Et elle n'avait rien trouvé de mieux que de l'envoyer en prison pour longtemps. Elle qui ne croyait aimer que les femmes.... La morale de cette histoire c'est, si tu cherches l'amour, cherche une casse couilles, elle te fera souffrir, mais tu ne seras pas déçu, l'amour tu trouveras.      ..../.... a suivre. 
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Par : le 24/01/25
Bonjour, Ce petit "article" sur ce qui concerne les "demandes d'amis" En effet, comme beaucoup ici, j'en reçois. Mais souvent, de personnes n'ayant visiblement pas lu mon profil, mais aussi ces demandes ne sont généralement pas accompagnées de mots l'accompagnant. Or, c'est aussi et surtout un moyen de faire son choix. Pour ma part, toutes demandes sans mots d'accompagnement sont automatiquement refusées. Je ne suis pas là pour avoir le plus "d'amis"possible afin de satisfaire mon égo comme certains cherchent à avoir le plus de suiveur sur tel ou tel autre réseau (as)sociaux. Pour les demoiselles qui croulent sous celles-ci, mais qui ne savent comment regarder si celles-ci comportent une demande ou pas: En haut à droite, près du rond où il y a soit les deux lettres définissant votre pseudo ou votre photo de profil, il y a une petite flèche d'un menu déroulant. Choisir "Gérer ses amis" et juste sous la bannière " Annonces , Rencontres , Groupes/Pages, il y a un petit onglet "Demande entrantes". C’est aussi un très bon moyen de voir ceux qui sont sérieux…. Ou voir le pourquoi de la demande... Et puisque j’en suis là, j’en profite qu’un profil, ne se limite pas juste à l’annonce, mais que celui comporte aussi un mur perso, des articles qui peuvent aussi en dire beaucoup sur la personne dont vous consultez le profil...  
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Par : le 23/01/25
J'étais son professeur il y a si peu de temps. Elle est maintenant une jeune femme et veut me montrer que ses opinions fraichement forgées sont le fruit du libre-arbitre dont j'ai tant parlé. Elle veut que je la possède, devenir ma chose, mais elle ment et je le sens. Elle obtient mon numéro et me bombarde de photo de lingerie, silhouette audacieuse, reins bouillants. Elle me parle si peu discrètement de ses cours de cabaret, de ses bas, de son plug, de ses lèvres roses et humides qui supplient ma présence. Le chien en moi veut aboyer mais le lion est déçu. Comment peux-tu être ma chienne, chère femme forte et fière, si tu ne reconnais pas mon autorité ? Pourquoi fais-tu du cabaret tout en prétendant que la femme "doit se libérer" chère féministe ? Tu es soit anti patriarcat soit le fruit du désir des hommes. Tu ne peux être les deux à la fois. Tik Tok et Instagram ont emmêlé ton âme. Comment souhaites-tu être mienne si tu n'appartiens vraiment à personne ? Comment oses-tu croire qu'un homme qui cherche LA  femme, une vraie force, celle qui se soumet sans conditions et s'abandonne en toute confiance car elle se sait impératrice, regarderait une fillette qui compte garder le contrôle ? Tu me dis vouloir être attachée, soumise, violée, mais que je te dise également que tu es ma supérieure ? Tu ne l'es pas puisque tu le demandes. Dans le silence, tu le saurais et le serais. Ma femme ne demanderait jamais cela. Ma femme comprendrait qu'en devenant ma chose elle obtiendrait le monde, parce que je suis son serviteur, je l'ai toujours été. Une reine ne réclame pas de couronne. Elle se la voit remettre. Ton corps est lisse et jeune, tendre et désirable, mais la force des guerrières laisse des marques. Un soldat sans cicatrices n'est rien d'autre qu'un faussaire. Où sont les vergetures que je voudrais embrasser ? Où sont tes poignées d'amour que je veux saisir. Tu n'es pas une femme forte, tu es une enfant capricieuse et tu n'auras rien de moi jeune woke. Je pourrais te faire jouir, plus que tu n'as jamais jouis car j'étais soldat et j'atteindrai toujours ton objectif. Un vrai soldat sait s'oublier pour vaincre comme une vraie reine sait abdiquer pour gouverner. Mais tu ne veux poser genoux à terre que par posture tendance. Tu ne veux pas t'abandonner. Alors c'est moi qui disparaît. Tu ne le sauras jamais mais en exigeant le trône, tu l'as perdu.  
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Par : le 08/01/25
Bonjour une question bdsm je sais que min maître va me faire un punition attaché au lits une nuit complète ou 48h bien sur avec un biberon le matin est camisole dans le dans une confortable est une protection est jambe écarte je sais que le temps va être très long pour moi la punition est peut être une gêne pour la couche car il va me faire boire beaucoup avant pour me punir vous avez u l'expérience là si oui vous ressentez quoi est vous lâche prise dans la couche car on peut pas se retenir 48h est vous lutter au lits ou pas ? Merci pour les réponses 
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Par : le 08/01/25
Bonjour j'ai une question mon maître veux une gorge profonde est que j avale j'ai dis oui car je suis d accord mais je sais pas si je vais lui faire plaisir jusqu'au bout ou avaler j'ai dis mais un ballon car je sais pas si je vais morde je pense pas mais je préfère une protection. Ma question comment bien avoir une chose dans la gorge j'ai regardé vite fait les site il dise de lubrifié est avaler sais qu'elle sensation est il y a beaucoup à avaler je sais drôle de question mais sais pour faire plaisir à sont fantasme est vue que j'ai donner l'accord si il est pas satisfait il me réserve une punition oui je suis sa soumise fidèle 
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Par : le 05/01/25
Bonjour à vous adeptent de relations D/S❤️. Quelles sont vos positions préférées ? Dites-nous pourquoi ?  Merci
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Par : le 01/01/25
Bisous au Capitaine Harer, une des recessions de mael,  je comprend mieux pourquoi Koutouzov l'aimait bien. Il devait avoir des analyses non conventionelles.     Combattre le voile en iran avec le voile perse vieux de plus de 1000ans par rapport au voile islamique.      Ne pas porter le voile c'est envoyer de jeunes femmes à de lourdes peines de prison, aux viols, aux bastonades, aux tortures  et parfois à la mort.      Par contre, porter un voile d'aristocrate perse comme il était porte à la cour Achemide en 600 avant JC, c'est envoyer un message politique clair et poser un gros problème juridique et societal au régime actuel en Iran.      Les femmes devraient manifester à Téhéran AVEC LE VOILE PERSE, celui des femmes de la noblesse de 600 avant Jc  et non pas sans voile, ce qui ouvre la porte à des répressions féroces.     Une très bonne idée 💡 Capitaine Harer ?    L'erreur de Jani Amina, la courageuse kurde, a été de porter le petit chapeau des femmes du Kurdistan en guise de voile. La police des mœurs a eu beau jeu de dire qu'il n'était pas conforme et de l'assassiner en prison pour faire peur et gouverner par la terreur.  Pourtant, si l'on comprend bien, Jani Amina avait bien compris une chose, revenir aux sources culturelles et mêmes cultuelles d'avant l'islam.  Le petit chapeau des femmes kurdes, cela allait trop loin. Non plus discret, un voile perse et revendique comme tel. Un voile de femmes de la haute société,  très classe, ...très perse. Comment pourrait réagir le régime islamique d'Iran ?   
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Par : le 29/12/24
Il me semble intéressant de faire un article sur les jeux de flammes 🔥 🔥 🔥  et de feux dans les pratiques bdsm. Comme c'est la période des fêtes 🥳  et que je suis un peu flemme, j'ai demandé à IA de commencer l'histoire.  Je me suis souvenu que l'illustre Aristophane parlait d'épilation à la flamme. C'est donc le début : L'Épopée Époustouflante de Philoclès, ou Comment un Homme devint Femme... à la Flamme   Dans une modeste maisonnette d’Athènes, un certain Philoclès, robuste boulanger au ventre arrondi par des années de dégustations excessives, se tenait devant un miroir avec une détermination farouche. Son projet du jour ? Devenir Philocléia, une femme splendide capable de rivaliser avec Aphrodite elle-même. Pourquoi ? Eh bien, pour infiltrer le cercle fermé des Bacchantes, ces femmes mystérieuses qui organisaient les meilleures orgies du quartier. Une affaire de prestige, selon lui.   Mais avant de pouvoir porter la robe à plis et les sandales dorées de ses rêves, Philoclès devait affronter un ennemi redoutable : ses propres poils.   — "Héraclès lui-même n’aurait pas survécu à cette jungle !" grogna-t-il en examinant ses jambes hirsutes. "Mais qu’importe ! Par Zeus, je triompherai !"   L’invention du siècle : l’épilation à la flamme   N’ayant ni cire ni huile parfumée sous la main, Philoclès se tourna vers ce qu’il avait à portée : une lampe à huile. — "Pourquoi endurer une lente agonie quand un coup de flamme rapide suffira ? Je serai lisse comme une amphore !"   Il enflamma la mèche, leva courageusement la lampe au-dessus de sa jambe, et... FWOOSH ! Une flamme jaillit, consumant ses poils dans une odeur abominable de chèvre rôtie. — "Par Hestia, ça chauffe !" hurla-t-il, sautillant comme un satyre en pleine danse.   Malgré quelques brûlures stratégiques et une fumée suspecte, il persista. Peu à peu, Philoclès ressemblait moins à un ours des montagnes et plus à une statue bien polie.   La découverte par son épouse, Callipatra   C’est à ce moment précis que Callipatra, l’épouse de Philoclès, rentra à la maison, les bras chargés de figues et d’olives. L’odeur de brûlé la fit froncer les sourcils. — "Par Héra, Philoclès, tu fais rôtir un bouc dans notre maison ?" s’exclama-t-elle en entrant dans la pièce.   Et là, elle le vit : son mari, debout devant le miroir, vêtu d’une tunique trop petite, le visage barbouillé de khôl maladroitement appliqué. Il tentait désespérément de fixer une perruque en paille sur sa tête.   — "Que... que fais-tu, mon cher ?" demanda-t-elle, incrédule.   Philoclès, pris au dépourvu, bafouilla : — "Eh bien, ma douce... euh... je... teste un déguisement pour... pour Dionysos !"   Mais Callipatra éclata de rire, un rire si sonore que même les voisins tendirent l’oreille.   L’approbation conjugale   — "Oh, Philoclès, tu es ridicule... mais tellement adorable !" dit-elle en essuyant une larme de rire. "Viens par ici, que je t’aide. Ton khôl ressemble à une peinture de mauvais augure !"   Avec une habileté surprenante, Callipatra transforma son mari en une femme presque convaincante. Elle lui posa une couronne de fleurs sur la tête, ajusta la robe, et même lui trouva des sandales à sa taille. — "Voilà ! Maintenant, tu es prête à conquérir le monde des Bacchantes !"   Philoclès se contempla dans le miroir et, pour la première fois, se sentit fier. — "Tu crois qu’elles m’accepteront ?" demanda-t-il.   Callipatra hocha la tête, amusée. — "Si elles refusent, je les invite ici. Toi et moi, on les surpassera toutes !"   Et ainsi, Philoclès devint Philocléia, pour une nuit inoubliable de vin, de danse et de rires. Et à son retour, il jura que jamais plus il ne toucherait à une lampe à huile... du moins, pas pour s’épiler. Je continue....IA a un balais dans le cul, elle est vite chocking.... Callipatra s'aperçoit que sont époux à un joli petit cul. Elle s'approche et lui caresse les fesses.  - Mais tu es jolie   tu as un beau petit fessier bien bombé.  Tu as besoin de te prendre une bonne bite dedans. Viens ma chérie je vais te labourer. A défaut de bite ma main fera l'affaire.  Clallipatra se frotte les mains à l'huile d'olive. - penche toi ma cochonne.  Écarte tes fesses.  Callipatra ne peut résister à l'envie de violer son époux.  Elle serre les doigts et pousse très fort d'un coup.  Philocles regrette d'avoir voulu devenir philoclea. Il hurle comme un goret que l'on egorge. Tout Athènes est vite au courant. Le boulanger vient de se faire violer par son épouse. Quelle chochotte ce boulanger. Se faire prendre par le cul c'est que du plaisir pour un homme bien.  A présent le fist de Callipatra se passe mieux, cela coulisse bien. L'huile d'olive est un bon lubrifiant. Philoclea commence à couiner et à couler.  -Mais tu jouis bien, ma cochonne. Je te préfère ainsi en femme, fini pour toi la virilité.  Je vais t'offrir une cage définitive. Tu ne pourras plus jamais bander. Tu seras désormais ma servante Philoclea, et tu as intérêt à bien obéir, sans quoi je te dresserais au fouet de cordes.  C'est moi qui vais porter la bite en erection à ta place. Je vais demander à Phobios de m'en sculpter une en marbre, avec une partie que je pourrais m'enfoncer dans la chatte et l'autre avec un gros gland pour te defoncer.   C'est ainsi qu en 500 avant JC , philocles devint l'inventeur de l'épilation à la flamme pour se travestir en femme. Et Callipatra, l'inventrice de la cage de chasteté et du god double sans ceinture.  Un couple de boulanger qui savait faire des friand....ises sexuelles.   
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Par : le 22/12/24
Comme pour le dressage des belles juments retives, un manège.  Cours Heidi cours tant que tu veux, tourne bien en rond. De belles boucles. Et lève bien ta croupe quand tu cours.    Le dresseur lui ne bouge pas, il est au centre et tient à la main une fine et longue baguette en bambou souple.   Après quand tu auras bien tourné manège et que tu seras épuisée....mum Oui,  cela t'irais bien, un mors de jument dans la bouche et un harnachement de tête pour jument rétive avec un joli plumeau au dessus.  Après dressage  de belles bottines en cuir pour que tu puisses bien trotter sous la baguette. Un plug anal avec une belle crinière. Le manège c'est pour t'éxercer, le pas, le trot, les figures imposées.   Bonne jument, bonne jument...une petite carotte à croquer en récompense.     Après, le programme "cours Heidi, cours" , c'est le dressage au sulky.  Ton maître sera bien assis avec une bonne cravache pour ta croupe bien musclee. Trotte Heidi trotte...   Tu seras ainsi exhibée nue à faire la jument de race tirant son sulky avec ses belles bottines et son harnachement. Tu seras frottee à la paille  par ton propriétaire et maître après tes courses pour bien prendre soin de ta jolie peau et la rendre luisante.    Bonne jument, bonne jument,....  Et toute bonne jument mérite une bonne saillie avec son étalon reproducteur. ... Le propriétaire de la jument se réservera ce droit de saillie par l'orifice qu'il lui plaira d'utiliser et quand il voudra l'utiliser.  Au séries de manège, de dressages et de courses au trot avec un sulky, il faudra rajouter les mises au pré, avec une herbe bien verte ou Heidi  la jolie jument pourra gambader comme il lui plaira, entièrement nue, sans bottines, pour se renforcer.  Le propriétaire veillera au bien être animal de sa jument bien dressée.    A suivre  
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Par : le 24/11/24
J'ignore si les réincarnations existent. J'ignore si les regressions sont un voyage vers ces vies passées. Mais qu'importe. Je me retrouve dans le corps du Capitaine Harer, officier du renseignement militaire autrichien, qui fait la guerre du côté de Napoléon. Je dois avoir 35 ans tout au plus. Mon uniforme est sale. Heureusement j'ai une très bonne pelisse en peaux de loups, de bonnes bottes en peau de rênes,  un cadeau du Généralissime Koutouzof. C'est un ami personnel. Nous avons fait, passez moi le mot, les cons ensemble, dans les bordels de Bucarest. Cela crée des liens inexplicables. On fait toujours confiance à un copain de bordels avec qui on a beaucoup partagé,  et la vodka, et les filles.  Je suis dans une cabane en bois, un grand feu de cheminée.  Le Généralissime regarde les flammes. Il semble épuisé. Il somnole.  Je pose ma main sur son épaule.  - Ah c'est toi  ...comme prévu les français bouffent leurs chevaux pour survivre.  - j'ai fait comme vous m'avez dit à Kalouga. J'ai dit la vérité à l'empereur corse, il ne m'a pas cru, exactement comme vous l'aviez prévu.   - Un bon général ce Bonaparte, ...un bon général. Mais Napoléon, c'est fini pour lui.  -Tous les autrichiens ont déserté et se tiennent prêt pour vous rejoindre. Il ne reste plus que les français et les polonais dans cette armée en décomposition qui fuit la Russie. - Notre Tsar ne veut plus de moi à la tête de l'armée. Il me reproche la retraite de Borodino, l'abandon de Moscou. Je suis très fatigué de tout cela. - Vous êtes celui qui a sauvé la Russie, celui qui est en train de détruire complètement la Grande Armée.  L'histoire se souviendra de ce que vous avez fait, contre l'avis de tous.  - Et cela recommence, mes généraux ont eu l'accord du Tsar, contre mes ordres, pour essayer d'écraser Napoléon le long de la rivière Berezina et si possible le capturer. Une bataille inutile, mais plus personne ne m'écoute, comme à Austerlitz.  - C'est étrange. Ce desastre qu'est en train de vivre cette armée française me fait penser à celui du corps expéditionnaire des Atheniens à Syracuse. Parfois il me semble avoir été la bas aussi. -Ah les vies antérieures...nous ne pouvons pas savoir. Par contre l'incompétence militaire est de toutes les époques.  Un bon général est celui qui sait preserver ses hommes. Cette bataille de la Berezina est stupide. Ce qui compte c'est d'économiser nos hommes pour les campagnes futures. L'armée de Napoléon se détruit toute seule. Il suffit de les raccompagner vers la frontiere, pour le peu qui resteront encore debout. Détruire tous les ponts, détruire toutes possibilités de trouver un peu de nourriture, brûler tous les abris, et capturer ceux qui se rendent en nombre. Gagner une guerre, détruire complètement un envahisseur, préserver sa propre armée pour porter le fer chez l'ennemi.  Nous accomplissons tout cela. Que veulent ils de plus ?  - La gloire, devenir le général qui aura capturé Napoléon.  Celui dont on se souviendra pour toujours.  Le Généralissime ne m'écoute plus. Il ronfle. Il est vraiment épuisé. La bataille de la Berezina ce sera sans lui. Il est temps pour moi de retourner vers ce qui reste de la Grande Armee. Je dois être le seul autrichien à ne pas avoir déserté ou mettre rendu aux russes. Il fait nuit noire. J'ai un bon cheval. Les russes m'ont donné quelques pains. J'ai un bon laissez passer. Ce que je crains le plus, ce n'est pas les cosaques, mais la vodka. Un soldat ivre tire d'abord et discute après.  Un jour gris, un jour froid. Je rejoins la garde arrière de l'armée française. L' épuisement est total. Ces hommes sont vraiment extraordinaires. Comment peuvent ils tenir et marcher de la sorte, dans la boue, la neige, le froid, avec si peu à manger, si peu de repos. J'ai presque honte être sur un bon cheval et si bien couvert sous mes peaux de loups.  Lorsque j'arrive vers le campement de fortune de l'empereur corse, je le trouve épuisé lui aussi. Je lui présente mon rapport et lui raconte mon entrevue avec Koutouzof. Il me regarde. Il semble fiévreux.   - Koutouzof a raison, cette bataille pour franchir la Berezina ne sert à rien. Notre armée est en train de se décomposer complètement. Très peu vont parvenir à rejoindre la France. Il faut que je parte le plus vite possible. Mais je refuse de les abandonner avant cette bataille. Et nous allons passer. Nous allons gagner. Je partirai après.  J'ai rejoint un groupe de grognards autour d'un grand feu. J'ai donné tous mes pains. Sorti une bouteille de vodka. Un ciel gris et noir, peu d'étoiles.  .....je suis de nouveau aspiré.  Cette régression se termine.  J'ai en bouche le goût de cette vodka russe.         
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Par : le 23/11/24
Lorsqu'une femme souhaite entrer dans l'univers goréen, elle doit être éduquée à ce mode de vie qu'est celui de la kajira, une esclave pensante et vivante, qui évolue dans un monde strict. La découverte de ce nouvel univers se fait généralement en deux étapes, très inégales, et de façon évidemment personnalisée. La première étape, si elle est nécessaire est le dressage Il peut être défini comme un processus visant à faire acquérir des repères, des actions ou des comportements précis, souvent répétitifs et évaluables. Les séances sont souvent concentrées sur des compétences précises et sont intensives. C’est le cas pour l’apprentissage du protocole, des positions, des actions se répétant souvent. Il peut avoir plusieurs fonctions : • Permettre d’apprendre les comportements de base, le protocole, les positions goréennes. IL s’agit de prendre des automatismes, appliquer qui peut être rapidement assimilable et in fine rassurer la kajira sur ce qui est attendue d’elle. • Permettre la confiance en soi en étant de plus en plus de réussite dans l’exécution des demandes, des positions ou des protocoles. Au départ, il s’agit d’accepter sa nature de kajira Qui es-tu ? Je suis une kajira Quel est ton devoir ? Une obéissance absolue A qui appartiens -tu ? A vous Maitre (Les chasseurs de Gor, page 138) Puis les postures et certains protocoles sont ainsi transmis. Quand les premières bases sont acquises, on passe à l'étape de l'éducation L’éducation est flexible, adaptée à chacun pour atteindre des buts précis. Il s’agit d’un long processus où sont pris en compte les difficultés, les freins mais aussi les facteurs de réussite. La prise en compte des émotions tient une place importante. Il s’agit donc d’un processus long et complexe. L’éducation permet : De donner un sens aux différentes demandes De développer une certaine autonomie au sein du cadre pour réaliser des objectifs donnés De progresser en toute connaissance de cause dans le don de soi En effet, l’expérience d’une kajira se caractérise par sa facilité à trouver les moyens d’atteindre les objectifs qui lui sont fixés en toute autonomie et en prenant des initiatives. Loin de la femme stupide, obéissante et seulement exécutrice, elle sait fait preuve d’initiative dans le cadre fixée et en tenant compte de sa nature. Elle connait ses forces et ses faiblesses et sait les utiliser à bon escient. Les Maîtres désirent des esclaves complets, semble-t-il, et cela signifie des femmes totales, vitales, sensibles et pensantes à leurs pieds ; c'est apparemment ce que l'on veut là-bas ; Il semble que peu d’hommes, voire aucun, ne désirent un simple corps, une marionnette, une poupée, un esclave vide ; qui pourrait se satisfaire d’un tel corps ? Où serait le triomphe, le plaisir, la valeur ? Quelle pourrait alors être, dans de telles circonstances, la joie du maître à nous posséder ? Prize of gor,, page 180-181
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