La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/10/18
(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues) . Les preuves d’amour éclairent nos vies. Cette lumière nous invite à explorer, Ou nous pousse à l’envie de nous libérer. Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur. Elle nous met au centre de tout, Mais nous enveloppe d’obscurité. Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 27/09/18
(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues) . Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique. Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même. Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme. Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut. Etre Dominant ; Toujours plus vite. Etre Maître ; Toujours plus haut.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 24/08/18
Ceci est le jeu du portrait québécois. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ; 2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Oriane" ; 3) le publier dans la section "articles" ; 4) me le faire savoir. 1) j'ai un franc parlé qui choque depuis mes 5 ans du coup vive les bras de fer familiaux 2)J'étais le chevalier servant de ma mère du coup je n'avais pas le temps de penser à moi 3)je me suis fait botter le cul à l'âge de 8 ans et j'y ai pris plaisir au point que c'est devenu un jeu entre mon bourreau et moi, du coup il à été mon coup de coeur... les amours de jeunesses...sourire 4)Je me prenait des coups et des insultes à la place de ma mère... là par contre je ne prenait pas de plaisir 5) J'étais privée de loisirs et les punitions était mon quotidien parfois je ne savait même pas pourquoi j'etais punie du coup je m'en foutais 6) Dés mes 8 ans j'ai été accroc à la lecture, lire des livres était une drogue, ils me permettaient de me sentire libre 7) C'est mon père qui m'as appris à me sortire des pires situations auxquelles j'ai été confrontées et j'en suis fière 8) je n'étais pas une romantique contrairement à la majorité j'étais loin du ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, je voyais plus l'amour comme un outils de manipulation qui asservit les plus faibles, les crédules, les naifs, les romantiques 9)Mon premier petit ami m'as quittée parce que j'étais vierge, ça ne m'as pas déboussolée plus que ça 10) Mon 2eme plan à trois dus à ma bissexualité et mon jemenfoutisme était avec un couple bdsm une domina et un soumis, j'avais 17 ans. Je n'étais pas choquée juste curieuse 11) Par la suite j'ai pris un sexfriend qui était dominateiur sauf que je ne le savait pas. Il avait la réputation d'être un salop mais je l'ai trouvé adorable. Il est le premier à m'avoir appris à dépasser mes limites pour son plaisir... et pour le mien 12) c'est un grand nounours de plus de 40 ans aux griffes acérées qui m'as initiée aux griffures, je l'ai provoquée et il m'as fait mes premières griffures brûlantes, j'en étais folle et d'ailleurs nous sommes restés amis... c'est ainsi que je me suis rendue compte que j'aimais vraiment ce genre de choses et que c'était naturel pour moi 13) il m'as fallut du temps pour accepter mon corps du coup j'ai fais des photos dénudées sur un forum pour lesbiennes et bi fan de manga et surtout de yuri 14) Les photos ont tellement bien marchée qu'une canadienne est venue en France pour qu'on soit ensemble... 15) Cette relation n'a pas marchée car Tara était trop douce et gentille pour moi. Même si l'appréciait il me manquait une certaine force et je la bouffait à petit feu. 16)J'ai toujours eu une attirance très prononcée pour les hommes plus âgés que moi. J'avais plus en communs avec eux qu'avec les garçons de mon âge dont j'avais l'impression d'être la mère 17) Je suis maladroite parfois et il m'arrive de blesser les gens sans le vouloir que ce soit par mes gestes ou par mes mots 18)j'ai l'habitude de tout controler dans ma vie y compris ma famille, mes amis mais pas mon Maitre... sourire, ce qui fait que je suis tombée sous son charme 19) J'ai fais de mon attirance pour mon Maitre un jeu qui a duré 2 ans et pendant ce temps il n'a eu de cesse de me surprendre ce qui n'est pas une mince affaire 20) Je fais tourner en bourrique mon entourage avec mon honnêteté et mes penchants qu'ils ont du mal à comprendre 21) Je refuse de me cacher ou de faire semblant d'être quelqu'un que je ne suis pas. 22) La relation que j'ai avec mon Maitre est récente ça fait 3 mois que nous sommes ensemble ce qui fait peu 23)J'ai l'impression que mon Owenn et moi on se connait depuis toujours et juste un regard peu me faire frissonner ou sourire selon son regard 24) J'ai été plusieurs fois soumise mais je n'ai jamais reussie à me donner de façon aussi entière qu'avec Owenn car j'ai du mal à faire confiance. 25) Je m'ennuis facilement et je ne suis pas de tout repos 26) le shibari est un art qui me fascine, on m'en a fait trop peu à mon goût et j'espère avec le temps que ça arrive plus souvent car ça me mets en trance je me sens plus sereine 27) Je suis une voyeuse 28)j'adore être exhiber du moment que je ne suis pas à coté de chez moi... pas envie qu'on m'embête 29) Je suis une femme très fière, et je prends plaisir à ce qu'on sache que j'appartiens à Owenn tout comme je suis fière d'être soumise 30) J'aime les défis que mon adoré me donne régulièrement 31) j'aime les pervers autoritaire...Owenn ;) 32) La brutalité et les contraintes m'excite 33) je suis sensible à un tout...Les bruits, le goût, l'odeur, la vue, le toucher, je jouis de cette ensemble plus d'un état d'esprit 34) J'ai du mal à me canaliser au quotidien il n'y a que quand je suis soumise que je suis vraiment à l'aise, je n'ai pas à me soucier de comment je suis sensé réagire, ce que je suis sensé dire ou faire 35) J'aime les mots crus et dans l'intimité ça echauffe ma tête et mon corps 36) Je ne me juge pas intéressante et ce jeu n'est pas facile pour moi 37) Je suis maman 38) Je ne vouvoie pas mon Maitre et je le regarde dans les yeux car pour nous c'est important... Les règles habituelles ne nous correspondent pas et nous créons nos propres codes 39)Mon Maître à voulut me relire et valider avant que je l'envois... sourire
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 19/06/18
Animal rebelle, prédatrice... elle se promène, cherche sa proie, la repère et devient joueuse, féline... telle une succube qui use de ses charmes. Danse lassive, jeu de séduction, la femelle attire... Désir animal, le mâle ne resiste pas, il s'approche... la femelle s'éloigne, garde une certaine distance, tout en se pavanant. Jeu de regard, lutte silencieuse... moment de trouble, chacun savoure cet instant un peu particulier. La femelle se veut Maîtresse... devient soumise? Ne soyons pas dupe, c'est Son plaisir qu'elle choisit de prendre... d'un bon, sa proie est entre ses giffres, elle prend, se sert... L'homme est au sol, la femme sur lui, ses griffes sur sa poitrine... son pieu en elle, elle choisit Son rythme, Son envie, Son plaisir.
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Par : le 31/05/18
Dérouillons ce vermeil que tu as aux joues petite joueuse Fais pas ta plume à l'oeil d'ivoire face au corbeau de mon âme Tu n'as aucune horizon de lune ni oraison de lutte Ton sort est en accomplissement le con déplissé Exhibons ce lustré qui m'éclabousse le toucher Ma très chère enchainée du bout de ma chaire Mon trésor de finistère au goût de terre outrancière Mienne hôtesse amarée au quai de mes orfèvreries ! Quoi tes mains attachées Quoi s'il Te plait Maitre ? Mais puisqu'il me plait d'être injuste amant Pour t'apprendre à tenir ta place justement ! Non tu ne jouiras pas Aphrodisiaque môme agaçante Tu obéiras à la bouche qui te commande Tu te débattras peut-être dans les cordes Mais il n'y aura nulle miséricorde Pleures-tu maintenant mais de quels pleurs ? De ceux qui hurlent de frustration ? De ceux capricieux qui supplient ? De ceux d'une dignité déchirée ? De ceux trop longtemps endigués ? De ceux qu'une magie éparpille ? De ceux qui apaisent un feu cul tanné ? De ceux qui explosent comme une bulle ? De ceux de la libération des cellules ? Pleures-tu ta liberté ma désormais délivrée ? Rivée-là comme tu es, fragile et contrainte Avec ton petit coeur de fer fondant Avec ton petit volcan palpitant Privée de l'éruption de ton Vésuve Tu t'accroches aux pulsations de ta vulve Qui se réduisent comme rides sur un lac Ou pleures-tu ton ego sacrifié dans l'évasion ? Déverrouillons à présent ces pupilles Le bandeau t'aidera à entendre pulsatile La trille d'or de ton silence central Ce phénix spirituellement indestructible Miracle existentiel jailli de ta reddition même Une sérénité t'emporte enfin en un souffle Plus rien ne compte en toi les secondes Et tu flottes sur les débris de tes peurs Si légère d'être toi sans ton « Moi » Si légère d'être devenue cette inconnue Qui s'oublie en offrant son sourire nu Et Moi je vois et je sais à ton visage Que dans ce grand plaisir tout à l'heure interdit Tu as trouvé par bonheur ton trésor inédit Mais toi, tu ne peux voir mon sourire...
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Par : le 22/12/17
Mes talons claquaient sur le trottoir que je remontais rapidement pour me rendre au rendez-vous. Je me dirigeais vers l’appartement qui deviendrait peut-être mon prochain logement. Arrivée devant le porche, je sonnais. A son ouverture, je m’engageais dans un couloir encombré de vélos. N’ayant pas pris le soin d’enclencher la lumière et naviguant dans la pénombre, mon mollet droit heurtait une pédale que je n’avais pas calculé. La douleur me fit grimacer et je marquais une pause en bas des escaliers pour examiner la blessure. Cette satanée pédale m’avait entaillé sur 3 bons centimètres et ruiné définitivement mon collant, un filet de sang ruisselait sur le voile écartelé. La rage au ventre, je montais les marches 2 par 2. Au troisième palier, je m’engageai par la porte entrouverte d’où s’échappait le son de pas perdus. - Bonjour Madame, bienvenue Je devinais à contre jour le sourire de l’agent immobilier qui me tendait la main. Je la saisie pour le saluer tout en remarquant immédiatement la lumière éclatante qui éclairait naturellement les lieux ; ce qui adoucit mon humeur. - Comment allez-vous ? - Pas très bien, cette visite commence mal, je me suis accroché sur un vélo en bas. - Ah ! Oui, c’est le seul problème de cet immeuble, certains locataires ne font pas l’effort de les garer dans la cour à l’arrière, désolé, pourtant nous avons bien affiché un panneau et distribué une note à ce sujet dans les boites aux lettres, mais que voulez-vous… termina t-il dépité. - Auriez-vous un mouchoir ou quelque chose de semblable, je saigne. Je lui indiquais mon mollet. Il ouvrit grand le yeux en prononçant un « aie-aie-aie » - Ne bougez pas Il s’accroupit et sortie de sa sacoche un paquet de mouchoir en papier, en prit un, et tout en me maintenant la cheville d’une main, il commença à tamponner la petit plaie. Il leva les yeux pour trouver mon regard et me déclara - je reviens, il partit dans la cuisine humecter le mouchoir, revint et repris son entreprise de soin pour finalement exercer une pression ferme pour arrêter l’hémorragie. - Voila, c’est propre mais il faudra vous soigner, par contre pour le collant, je ne peux rien faire mais il me semble qu’il y a une boutique, en face dans la rue, où vous en trouverez un neuf je pense. S’en suivit une visite conventionnelle mais tout à fait professionnelle. J’étais séduite par les volumes et leur disposition, l’appartement correspondait à ce que je souhaitais et nous convenions d’un rendez-vous à l’agence pour compléter le dossier de location. L’agent m’adressa un mot de compassion avant notre séparation lorsque je me dirigeai vers la sortie. Une fois en bas de l’immeuble, je trouvais effectivement quasiment en face ce qui semblait être une mercerie, je traversais la rue pour m’y rendre et une fois devant j’eu la sensation que les éléments se trouvant en vitrine étaient là depuis bien longtemps. Le délicat tintement d’une clochette marqua mon entrée. - Bonjour, vous avez un rayon collant s’il vous plait ? - Bonjour, oui, vous trouverez ça sur le tourniquet. Je me dirigeais vers un présentoir à étagères rondes, le fit tourner jusqu’à ce que j’identifie une boite convenable. Taille 2, 15 deniers, voile de jour, teint gazelle, ça ferait l’affaire pour rentrer en bus. Je balayais du regard l’étagère se trouvant derrière le présentoir et mes yeux s’arrêtèrent sur un pile de boites blanches marquées au crayon « bas couture ». Bien que légèrement poussiéreuses, j’en saisie une et l’entrouvrit. Elle contenait des pochettes de bas Cornuel. La marque me parlait vaguement mais m’inspirait un sentiment de qualité. - Il faut des jarretelles pour ceux là, vous savez ? - Oui, je connais, ce sont des bas nylon, ce sont des vrais ? - Oui, c’est tout ce qu’il me reste, la marque n’existe plus depuis longtemps, je vous laisse la boite complète pour 10 euros Convaincue de tomber sur un véritable petit trésor, je n’hésitais pas deux secondes, refermait la boite, sous tirait les autres de la pile et posait l’ensemble avec le collant sur le comptoir - Je prends le tout, vous me laissez la cabine d’essayage que je puisse changer mon collant ? - Bien sûr, faites, c’est derrière vous, le rideau bordeaux. Une fois enfilé et ajusté, je réglais la vendeuse et prenais le chemin du retour avec hâte pour essayer sans tarder ces bas nylon couture prometteurs, d’autant que Stéphanie m’avait convié le soir même à venir diner. Xavier, son amant, serait là avec un ami à lui m’avait t‘elle indiqué. J’espérai que ce dernier serait à mon goût. A peine rentré, je posais sur la table les boites aux trésors et les ouvrait, j’en sortais pas moins de 10 pochettes par boite que j’ouvrais une à une. les bas était dans un état parfait, pliés, repassés et accompagnés d’une feuille les décrivant. J’adorais lire ces textes pleins d’emphase et légèrement surannés. Heureusement le lot comportait une belle variété de teintes. Il était déjà 18 h et je passais dans la salle de bain pour me préparer. J’en avais oublié ma blessure qui se révélait plus superficielle que je pensais. Après une chaude douche parfumée, je n’eu qu’à y appliquer un pansement fait de gélatine médicale pour masquer l’entaille. Je pouvais passer maintenant au choix de mes bas nylon. Je m’arrêtai sur la teinte « fumée », une couleur entre le marron et le noir, mais la finesse du voile ne faisait que teinter légèrement la peau en lui donnant un galbe et une brillance incomparable. J’allais dans mes tiroirs chercher un ensemble de lingerie assortie avec un serre-taille équipé de 6 jarretelles. Je le passais autour de ma taille et l’ajustait. Je m’emparai d’un premier bas que je fis délicatement rouler entre mes doigts pour ensuite le glisser sur la pointe de mon pied droit, j’emboitais le talon, et continuai de le dérouler sur ma cheville, mollet, genoux et finir de le tendre sur ma cuisse. Je contemplais le galbe brillant qu’il donnait à ma jambe. J’ajustai les jarretelles pour passer ensuite à ma seconde jambe. Je glissais mes pieds gainés de nylon dans mes escarpins à talon puis me dressait pour me regarder dans le miroir de plein pied. Je pivotais, fis passer mes doigts sur les coutures pour m’assurer de leur alignement sur mes jambes. Un sourire irradiait mon visage et un sentiment de joie m’envahit. J’étais trop heureuse d’avoir mis la main sur de véritables bas couture d’époque qui semblait n’attendre que moi. Je terminai de m’apprêter pour rejoindre Stéphanie et ses convives : jupe longue en polyamide aérien, légèrement brillant, chemisier beige semi transparent et lingerie marron glacé, le tout porté par des talons hauts mais pas trop. Je commandais un taxi. J’arrivai alors dans de parfaites disposition. Je sonnais et Stéphanie m’accueillait avec un large sourire. - Attends, je vais te débarrasser Je pivotais pour qu’elle prenne mon manteau sachant également qu’elle me détaillerait du regard - Oh, ils sont chouettes tes collants avec la couture, tu as trouvé ça où ? - Ce ne sont pas des collants et ensuite il est hors de question que je te révèle ma source, répondais-je pleine d’espiéglerie par contre j’ai ça pour toi, tu l’ouvriras plus tard. Elle m’accompagna au salon où se trouvait Xavier et son ami qu’il me présenta. Gilles se leva pour m’approcher avec l’intention certaine de me faire la bise, je l’arrêtait en lui tendant la main. Cet abruti pensa que je lui indiquait de me faire un baise main, ce qu’il tenta maladroitement. Une fois encore je l’arrêtai en lui prenant totalement la sienne et l’agitai pour le saluer. Ça commençait mal, mais je n’ai rien contre les ahuris, bien au contraire, ils sont évidemment facile à diriger. La table basse était garnie de nombreux amuses-bouche et je félicitais Stéphanie pour sa créativité. L’apéritif était lancé et nous nous racontâmes nos dernières journées. Chacun avait des épisodes cocasses à narrer sauf Gilles qui avait tendance à parler sport, ce qui était assez ennuyeux. Bien évidement je racontais pour ma part le fait d’avoir trouvé un appartement ainsi que l’épisode de l’accrochage, la découverte de la boutique et ses trésors. Gilles demanda où se trouvait le logement, et bien que je le trouvais bien indiscret, je l’invitai à me suivre sur la terrasse pour lui désigner approximativement le lieu de l’index . Sa proximité me révéla qu’il dégageait une odeur plutôt agréable, ce qui équilibrait sa lourdeur d’esprit. Il continuait de me questionner et passant du coq à l’âne me demanda si je portais des collants ou des bas en fin de compte. - Vous êtes bien indiscret, vous rendez-vous compte ? - C’est à dire que vous en parliez tout à l’heure alors je me posais la question - Et bien gardez la pour vous. Par exemple moi je vois bien que vous bandez, alors est ce que je vous demande pour autant si vous avez une érection ? Estomaqué, il se tût et se raidi, je devinais même une légère rougeur sur ses pommettes - Parce que je la vois bien cette bosse qui s’est formée sur votre entre-jambe, pas besoin d’en parler pour le comprendre. Sans hésiter je dirigeais mes mains vers sa braguette, la caressais de mes ongles et entrepris de l’ouvrir pour en dégager sa queue tendue. Il était pétrifié par mon audace, ce qui en était le but d’ailleurs. Excité comme un âne, je pris le contrôle de son plaisir sur le champ, encerclant d’une main la base de sa verge et de l’autre imprimant un savant mouvement du poignet. Je dégageai mon escarpin de mon pied droit, pour le rapprocher de ses narines afin qu’il hume le parfum du cuir mélé à celui de ma plante de pied. Continuant à le branler d’une main, je présentait maintenant la chaussure, tournée vers l’ouverture, devant sa bite. J’accélérai le rythme jusqu’a ce que l’abruti décharge sa semence qui atterrie dans la chaussure, comme je l’avait prévue. Tandis que Gilles, haletant, s’écroulait sur la chaise derrière lui, j’engluai mon pied de son foutre lorsque je l’engageai dans ma chaussure maculée. Je laissai Gilles pantelant et partais en quête d’une serviette pour essuyer mes mains, je traversais le salon étonnement désert et me dirigeai vers la salle de bain dont je poussai la porte. Je découvrais avec stupéfaction Stéphanie en appuie sur le baignoire en train de se faire pistonner le postérieur par Xavier. Ils ne m’avaient pas remarqué, tout en restant postée à l’entrée je tendais discrètement le bras pour me saisir d’une serviette et je m’essuyais lentement les mains sans perdre une miette de ce qui se déroulait devant moi. L’épisode précédent et l’actuel avait définitivement fait fondre mon abricot, je relevais ma jupe pour ensuite plonger mes doigts dans ma culotte et ressentir toute l’onctuosité de mes lèvres humides et stimuler mon bouton d’amour, mon corps se mit à vibrer au rythme de mes caresses. Le sixième sens de Stéphanie lui fit tourner la tête vers moi et entrouvrir les yeux qu’elle écarquilla en me découvrant me donnant du plaisir. Dans un râle, elle émis un « viens ». Sur ce, Xavier pensant recevoir un ordre s’écarta de Stéphanie pour lui arroser la croupe de toute sa semence en poussant à son tour des soupirs rauques. Stéphanie compris la méprise mais n’interrompra pas la jouissance de Xavier. Une fois terminée, elle déclara en riant : - Quel nigaud tu fais, ce n’est pas à toi que je m’adressais. Interloqué, Xavier tourna la tête pour me découvrir en pleine masturbation à laquelle je mis fin dans l’instant. Laissant retomber ma jupe sur mes jambes gainées, je me dirigeai ensuite vers le couple munie de la serviette que j’avais gardé en main. J’essuyais les fesses de Stéphanie puis le gland et la verge de Xavier encore dégoulinants de sperme puis jetais de coté la serviette imbibée. Nous rigolions tous les trois de la méprise cocasse. De retour au salon, Gilles attendait sagement en picorant dans les plateaux disposé sur la table basse. Il ne pouvait ignorer totalement la nature des sons perçu hors de la salle de bains. Il souriait lui aussi. - Après cet apéritif mouvementé, il serait peut être temps de passer à table. Déclara Stéphanie. « Béatrice s’assiéra en face de Giiles et moi en face de Xavier, une sorte de partie carrée si vous voulez » conclua t'elle d’un clin d’oeil tout en nous désignant la table de l’espace repas. Je rejoignis Stéphanie dans la cuisine pour l’aider tandis que les gars s’occupait des boissons. Nous disposions sur la table le gratin de poissons tout juste sortie du four ainsi qu’un accompagnement de riz parfumé. Les verres de vin blanc étaient remplis et nous portions un toast à cet agréable moment. Nous entamions le diner et les discussions reprirent autour de sujets nous concernant et Stéphanie voulu en savoir un peu plus sur ma découverte de l’après-midi. Je leur expliquait dans le détail comment j’avais pris possession de l’ensemble du lot de bas. Gilles risqua une fois encore une remarque qui révéla son manque de finesse. - tu portes donc bien des bas couture alors, asséna t-il avec assurance - On se tutoie maintenant ? rétorquais-je, mais puisque tu en prends l’initiative je t’invite à le vérifier par toi même en venant me lécher la chatte. Une fois encore, l’audace de ma réponse crue le figea et après un instant de silence, Xavier hilare lui indiqua : - Alors Gilles ? Je crois que tu viens d’avoir des instructions. Tout en nous regardant d’un regard éberlué, il compris qu’il devait s’exécuter, c’est alors qu’il passa à quatre pattes sous la table. Le voyant disparaitre, j’entrepris de relever ma jupe puis de saisir ma culotte de chaque coté et tout en basculant le bassin pour la faire chuter sur mes chevilles. Je m’en dégageai en soulevant lentement chacun de mes pieds par alternance. Je savais que Gilles assistait au spectacle avec un point de vue imprenable et j’écartais doucement mes cuisses en espérant le mettre en rut. Je sentis ses doigts de positionner derrière mes chevilles sur les coutures de mes bas et remonter lentement sur mes mollets où il marqua une pose, sa bouche déposait de petits baisers sur l’intérieur de mes cuisses puis ses mains commencèrent à caresser mes jambes. - Tu as trouvé réponse à ton interrogation Gilles ? Questionna Xavier sur un ton rigolard. - Je suis sur le point de l’avoir. répondit Gilles qui avait le souffle court. Je m’avançai sur ma chaise et basculait le pubis vers l’avant de sorte que Gilles puisse y avoir accès, il entama alorsl’exploration de ma vulve avec sa langue. Manquant clairement de finesse par le verbe, il se rattrapait par l’agilité d’une autre pratique orale. Je lui caressait la nuque et mon souffle devint court, je fermais les yeux pour me laisser emporter par des vagues de plaisir. Il fit une pause en embrasant mes cuises à travers le voile de nylon et me caresser le clito de son index. J’ouvrais les yeux pour découvrir à ma droite que Stéphanie engloutissait la bite de Xavier, cela me mis en appétit. Je me dressais, jambes tendus sur mes talons, fis chuter ma jupe, me tournais et me penchais de façon à offrir ma croupe à Gilles resté à genoux. Je pu ainsi me rapprocher de Stéphanie pompant le dard de Xavier, je le pris à sa base et Stéphanie me le laissa quelques instant. A mon tour, je le pris dans ma bouche et le serrant de ma main pour le faire gonfler plus encore, je remontais doucement afin de sentir ses veines irriguées. Tandis que je suçais Xavier, Gilles me lubrifiait en me léchant largement la fente et la raie du cul. D’un mouvement, Stéphanie réclamant le membre de son amant, je tournais le visage vers Gilles pour lui ordonner de me saillir sans tarder, il s’exécuta me prenant sans effort tant je dégoulinais. Je prenais appuie sur le torse de Xavier pendant que Gilles me burinait en m’emportant dans des vagues de plaisir semblant infinies. La salive m’envahissant la bouche j’eu une envie irrésistible de recevoir Gilles dans ma bouche, je me dégageais, me tournais et m’accroupissais pour me saisir de sa queue de la main gauche et de la droite je commençais un doux mouvement rotatif autour de son gland tandis que ma langue flattait son frein. Le salaud avait les couilles parfaitement rasées et lisses. Autant sa bite était dressée et tendue, autant sa paire de boules pendait lourdement, miam ! Sans attendre, j’en gobait une, la faisant rouler dans ma bouche. Je passais à la seconde lui réservant le même sort, puis revenait à la première. Enfin, je m’amusais à les faire sautiller sur le bout de ma langue agile. S’en était assez, j’attaquais le braquemart, tout en prenant les grelots de ma main gauche. Je remontais sa queue en mordillant la hampe, puis fit glisser le gland rubicond entre mes lèvres goulues. Tout en suçant, j’ouvrais les yeux pour observer mes voisins. Stéphanie chevauchait maintenant Xavier en lui dictant le rythme, celui-ci m’observait également, je lui fit un clin d’œil auquel il répondit. J’adore ces instants de complicité. Je quittais le regard de Xavier pour observer Gilles. Les yeux révulsés, la bouche entre ouverte, il râlait de plaisir. J’étais déterminé à le faire jouir dans ma bouche, il vint, gicla dans celle-ci, sur ma langue, mes lèvres, sa semence dégoulinant sur mon menton. Gloups ! Elle avait un goût de noisette, ce Gilles recelait d’agréables surprises et je m’en régalais en lapant attentivement sa verge. Je me redressais et saisie la première serviette de table à ma portée pour m’essuyer. Entre temps, Stéphanie chevauchait toujours son Xavier et son corps se cambra pour manifestement vibrer, elle jouit ainsi de longues secondes, à son tour Xavier la rejoignit en poussant un intense râle de jouissance. Chacun reprenait ses esprits pendant que moi je réclamais : - Est ce qu’il reste y a un dessert ? Tous sourire et Stéphanie gloussa : - Tu n’as pas eu ta dose ? Ouvre le frigo, tu trouveras les pâtisseries que Gilles a apporté. Décidément, ce mec remontait dans mon estime. Je restais ainsi, sans jupe, exposant mes dessous et mes bas nylon à couture au regard de tous, ouvrit la porte du réfrigérateur pour en ramener la boite affichant le nom d’un fameux pâtissier de la ville. Il était tard et après s’être réajusté, avoir repris des forces, non sans commenter notre entrevue, nous échangions quelques politesses amicales avant de nous séparer sur le palier. Je demandais à Gilles de me raccompagner tandis que Stéphanie me fit cette requête : - Te voir ainsi m’a donné envie de faire un après-midi shopping lingerie avec toi, tu me fourniras en bas nylon ? - Faut voir, tu sais mon stock est compté. En vérité je disposais dorénavant de plusieurs dizaines de véritable bas nylon vintage dont la qualité et l’attrait n’avait pas fait défaut ce soir. Mais l’idée d’un après-midi avec Stéphanie ne pouvait que m’enchanter, je lui promettais de planifier cela dans le mois Sur le chemin du retour Gilles se remit à me vouvoyer, et j’interprétais cela comme une victoire, celle d’avoir un nouvel amant soumis à mes exigences. Enfin, cela n’était pas non plus suffisant pour me satisfaire et me divertir totalement. Un homme avec une bonne queue mais sans cervelle était vite lassant, on verrait bien ce qu’il pourrait donner dans des situations demandant un minimum d’imagination et d’initiative...
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Par : le 30/06/17
1 je suis née un 2 octobre et j'ai reçu 5 prénoms 2 j'ai eu une enfance très heureuse et des parents aimants. En lisant certaines révélations, je me demande si dans le BDSM il y a beaucoup de personnes ayant connu une enfance malheureuse ou a tout le moins une épreuve émotionnelle marquante? Et si cela est en lien avec leur tendance au BDSM? 3 j'ai toujours admiré mes parents: mon père arrivé de Yougoslavie en vacances et hébergée chez l'amie d'un ami... Ma maman. Il l'a demandé en mariage après une semaine et ils sont toujours ensemble! Cela fait 42 ans. 4 première masturbation? Heu... J'étais petite 8/9 ans? Et je n'ai jamais arrêté depuis! 5 j'ai vu pleurer mon père une fois et cela m'a fendu le cœur: c'était pour la guerre de Yougoslavie. Un père ça peut pleurer? 6 j'ai décidé a 13 ans que je serai commissaire de police. J'ai fait tout mon droit pour ça. Un médecin a décidé en 10mn lors du concours que je ne le serai pas. 7 j'ai perdu une partie de mes cheveux a 8 ans. La Raison? Ché pô....aucun médecin n'a su me dire...Maintenant je suis boule a Z et je me plais comme ça. Et a priori... Ça me va pas trop mal. J'assume cette différence. Aussi au travers du regard des autres... 8 j'ai envie d'un tatouage sur le côté de la tête et qui descendrai dans le cou... 9 un jour de fin d'année 1992, une salle et un examinateur... Il me demande de traduire un texte espagnol en français. Et sort de la pièce... J'ai sorti mon dico. C'était lors de mon BAC ! Oui j'ai donc triché! Mais pourquoi il m'a laissé seule avec mon sac!!!!!! La tentation était trop grande! 10 dépucelée a 18 ans et 2 jours et ce fut une réussite! Suivi de 8 ans de passion avec ce jeune homme: Christophe. 11 je regardais des films érotiques dès 10 ans... Hummmmm 12 je ne voulais pas d'enfant: la grossesse était pour moi l'équivalent d'un alien dans le ventre ... Juste horrible. 13 je suis tombée enceinte par surprise ... De celui qui deviendra mon mari. Et ce fut la révélation. Alors que je me disais qu'être enceinte serait impossible au regard du 12, Au moment de l'annonce, Je pense avoir ressentie la même sensation qu'un croyant qui voit la vierge! 14 mon plus grand regret: ne pas avoir accouché de mes enfants... 2 césariennes. La loose. 15 j'ai eu un geste que je regrette envers mon premier fils qd il avait 2 jours: il ne tétait pas et la montée de lait était tellement douloureuse et j'étais si fatiguée ...j'ai fait le geste d'une "fessée" sur sa couche. Il n'a rien senti car franchement ce n'était qu'un geste sans le coup. Mais ce geste m'a fait peur. Je le regrette encore. Ce fut la seule "fessée" de sa vie. 16 qd on m'a amené mon premier fils après la césarienne je ne me suis pas du tout sentie sa mère. C'était pour moi un inconnu pour lequel je ressentais de l'indifférence.... Et cela a duré 3 jours. Je me suis dit que j'étais une mère indigne. Je n'en ai parlé à personne sur le coup 17 mes fils sont ce que j'ai fais de mieux dans ma vie (je ne suis pas si indigne que ça finalement!) 18 je ne porte jamais de montre. Mon grand père paternel est mort écrasé par un tram a Belgrade quand mon père avait 6 ans, car il se dépêchait... Il était en retard. 19 j'enveux a mon père de ne pas nous avoir transmis une culture yougoslave et la langue serbe... Parait qu'on est Français. Un point c'est tout... Mes enfants ont tous les 2 des prénoms serbes... Et TOC. 20 un 2 octobre j'ai été au salon de l'auto ... Et suis repartie en buggy. Je me suis offert un beau cadeau d'anniv... Plus tard, j'ai eu envie d'un bobber... J'ai visiter un atelier de moto... Promis on ne fait que regarder... Et je suis ressorti avec la commande d'un bobber sur mesure.... Rouge et noir. Quand j'ai une envie... Je fais tout pour qu'elle soit satisfaite 21 je n'ai jamais été fidèle à mon mari. Je sais c'est moche... Le profil de mes amants est toujours le même: grand/brun/musclé. Parceque tant que je peux avoir des beaux mecs ... Pourquoi s'en priver !!! Tant qu'on a l'embarras du choix et pas le choix de l'embarras!!! ;) 22 je ne fais que ce que je veux quand je veux... Je n'aime pas les contraintes... Et j'ai une haute conscience de l'importance de la LIBERTÉ 23 je n'aime pas être dans le troupeau. La pire phrase qu'on peut me dire c'est : fais ça! Pourquoi? Parceque ça se fait! Il faut se marier! Pourquoi? Parceque vous avez des enfants! A l'église! Pourquoi ? Parceque c'est comme ça! Il faut les faire baptiser! Pourquoi ? Parceque ça se fait! AAAARRGGHHH ma belle mère!!!!!! 24 lors de mon mariage (oui j'ai cédé.... Pour la robe... Mais pas d'église! Faut pas exagérer) et à la lecture des articles du code civil... J'ai croisé les doigts dans le dos quand le maire a parlé d'obligation de fidélité: parait que les croiser, ça permet de ne pas respecter la promesse faite... A ce moment là j'ai croisé le regard de mon pote notaire... J'me suis toujours demandé s'il avait vu... 25 il y a 6 ans j'ai avorté... J'me demande toujours si c'était une fille ou un garçon et comment ce bébé aurait été. Je regrette... Mais il n'était pas de mon mari... 26 J'aime les émotions fortes en tout genre car vibrer c'est se sentir vivant 27 j'aime sauter des avions en bon état de marche. Avec un parachute et à 4000m. J'ai passer ma PAC et j'ai qq sauts en chute libre à mon actif... 28 j'ai été une "autorité administrative" en protection de l'enfance pendant plusieurs années: j'ai vu les pires choses concernant des enfants: de la VRAIE violence et de la VRAIE perversion. Et la mort. A côté, le BDSM, c'est gentillet... 29 je pense souvent à M'rick N. et Irvin P... Aurais-je pu mieux faire pour les sauver? 30 j'ai détesté E. I. Substitut du procureur qui a classé l'un de mes signalements ... La suite a été dramatique pour le gamin et je savais que cela finirait ainsi. 31 je n'aime pas les gens qui se plaignent de leur vie sans se donner les moyens de la changer. j'ai changé de vie il y a un an et demi, et je n'exclu pas de la changer encore. N'écoutez pas les gens autour: ils vous freine toujours dans vos rêves. Sachez que tout est possible si on s'en donne les moyens. 32 je me demande si ce que je raconte intéressera quelqu'un? 33 j'ai rencontré un homme exceptionnel dont j'ai fait un Dom MON Dhom. J'aime savoir que j'ai changé le cours de sa vie... J'en suis amoureuse. D'un amour inconditionnel. 34 j'ai une peur terrible de l'électricité... ce qui a tendance à plaire à mon Dhom 35 je prends les gens comme ils sont et je n'attends rien de leur part... pour éviter d'être déçue. Parfois, j'ai de très belles surprises. 36 j'aime la photographie, c'est peut être génétique... 37 je suis bienveillante et j'ai appris à ne pas juger les gens ou a ne pas me laisser emporter par mes émotions, de par mes fonctions professionnelles... Et j'en ai rencontré des personnes en grandes difficultés ds mon boulot ...et fort détestables....qui m'ont insultée et menacée de mort. Mais je suis fière : je n'ai jamais changé (ou ne me suis jamais abstenue de prendre) une décision par peur. 38 je suis une passionnée, exaltée et curieuse de tout. Je n'aime pas l'ennui. J'aime apprendre. J'aime l'autre. 39 faut pas me faire chier. Je respecte les autres même (avec du mal) ceux qui sont irrespectueux. 40 j'ai vu Barbara en concert et je regrette de ne pas avoir croisé Jacques Brel... RÈGLES DU JEU Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sandra », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Par : le 22/06/17
J'ai gagné le droit de jouer .... Le principe : si vous likez cette publication, je vous donnerai un chiffre et vous devrez en faire de même. Bon et bien je me lance... Nous verrons bien. 1/ humaniste et surtout optimiste, j'espère que la race humaine ne me décevra pas, même si cela n'a pas toujours été le cas par le passé. 2/ Je suis marié et ma famille est ma priorité . 3/ Si j'étais autre chose qu'un homme, pas possible, je ne serais plus moi. 4/Si je suis de nature a m'éparpiller, non, je suis fidèle, mon cœur est une forteresse imprenable, pour mon sexe c'est moins sur, lol. 5/Cartésien, ouvert, volontaire. 6/ Un café sans sucre mais avec du lait peut me suffir, si c'est bien servi, mais je peux me servir seul si on ne veut me faire ce plaisir, lol.. 7/L'art, je n'ai pas choisi cette voie, aussi j'admire et je rêve de cette vie sans l'envier, je sais les sacrifices et renoncement que cela demande, et le manque d'objectivité de la discipline et surtout de certains juges, le vrai art n'est parfois pas reconnu du vivant, et il faut bien vivre, lol 8/Je suis dessinateur en mécanique, et père, ce qui prend du temps. 9/Je ne suis pas contrariant, conciliant, conciliateur, arrangeant, en discutant on peut, avec des compromis, satisfaire et combler au mieux possible, 10/La solitude, elle est au fond de nous, même au milieu d'une foule, il n'y a que moi dans mon cerveau, bienvenu dans mon monde, lol. 11/Le vertige est une peur irrationnelle que je combats, en hauteur il faut s'attacher ou s'accrocher, que la tête tourne ou pas, la vie et la sécurité d'abord. 12/J'aime observer les animaux, après tout nous sommes des animaux comme les autres. 13/Le don qui manque aux habitants de cette terre? le respect pour la terre elle même, et ses habitants, de mesurer tous les jours la chance que l'on a tous de vivre sur cette terre et d'en donner le meilleur à tous et pour tous. 14/Si je pouvais arrêter le temps, il serait 00h00... l'heure du crime, ne pas savoir quel jour on est, avoir le temps de profiter à l'infini des dons de la nature, des corps humains et des intellects qu'ils recèlent. 15/Je ne danse pas, je ne suis pas un bon danseur, même si j'ai besoin de musique et qu'elle m'inspire, la danse est trop frustrante, trop de faux semblant et de code, mais j'aime qu'on danse pour moi, mon coté plus voyeur qu'exhib sans doute, hihi. 16/Ma couleur préférée, le vert, relaxant, appaisant, naturel, sain. 17/Tant que faire les boutiques ou les courses reste un plaisir et pas une corvée. J'aime sans me presser. 18/Je veux choisir, mais les opportunitées franches et claires sont rares, j'aime quand c'est clair, affirmé, généralement le choix s'impose par mes critères et ma ligne de conduite, directrice, pour améliorer ou aider, tant que c'est bénéfique mais pas qu'à moi. 19/J'aime l'ordre même si j'ai du mal à ranger. 20/ Je ne met plus de sucre dans mon café, pas bon pour la santé, les dents et trop énergétique, faut que j'évite les excitants, je le suis bien assez naturellement (excité, excitant je ne peux me juger). a+ Al
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Par : le 08/06/17
(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues) . A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté. Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait. L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué. Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant). Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration. Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement. Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde). Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est). La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir. Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres. L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres... Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés. Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 19/04/17
Pfiouuu ... merde j'ai liké, me rappelais plus de la règle ... ça compte même si on a déjà fait ??? Allez, ok, je m'y met, vous aurez ainsi une lecture d'une évolution je présume ... 1- Je sors récemment d'un relation forte, une novice qui ne connaissais rien au BDSM mais qui n'avait peur de rien, qui a souhaité se vivre intensément 2- J'espère lui avoir rendu l'intensité qu'elle désirait (je crois que c'est le cas ... oui, j'aime la modestie aussi) 3 – Je crois bien qu’elle a pris goût au bdsm … faire une adepte, c’est déjà une belle victoire ;-) ! 4- Ma perversité ne cesse de progresser … je pensais pourtant avoir atteint un niveau indécent mais je m’aperçois que j’évolue encore 5- Même pas ça m’effraie … si, quand même, ma prochaine soumise, il faudra qu’elle ait une grande volonté quand même ^^ ! 6- J’admire chez tous les « déviants », « hors normes », cette façon d’aller concrètement vers leurs fantasmes, leurs envies … ce passage à l’acte est un acte admirable 7- J’y vais aussi à mon rythme, au rythme de mes rencontres également 8- purée 38 !! c’est sévère là … plus que 30 … pffiouuu 9- J’ai acheté de meilleures cordes récemment, j’ai commencé par les passer à la machine à laver … j’ai oublié de fixer les extrémités … la cata … effilochage !! pffff 10 – je sais faire des nœuds marins, ça compte pour le shibari ?? j’ai pas tant l’impression … 11 – plus que 27 ^^ 12 – je n’ai pas eu d’enfance (trop) difficile – l’enfance est toujours un peu un calvaire quand même. C’est pour contribuer au sondage « êtes-vous dans le BDSM pour rattraper votre enfance ou parce que vous avez eu une enfance difficile ? » … bah nan, j’ai eu de l’amour, des vacances, du bateau, de la mer, de l’amer aussi parfois évidemment, je me suis fait chier à l’école comme bcp, j’ai commencé à prendre mon pied à la majorité certes … mais rien de terrible ! 13 – Je suis né un 1er avril … cette bonne blagounette !! 14 j’aime bcp les femmes grandes, et pourtant là, je noue peut-être (c’est tellement neuf que le « peut-être » est important !) une relation avec une femme d’à peine 1m60 … Va falloir qu’elle aie plein de qualités !! mais elle semble avoir de la ressource … à voir ! 15 – Zèbre, à qui ça parle … mes deux chiards aussi, et bizarrement ils sont mal adaptés à ce monde ! 16- oui, j’ai 2 héitiers, sont adorables mais spéciaux quand même ^^ 17- le grand va faire des dessins animés, le deuze va être un champion du recyclage et de l’informatique (dans le futur c’est compatible, alors !!) 18- la vie est un jeu qui ne dure qu’un temps … 19- ma sexualité a commencé à vraiment s’enrichir à 38 ans … faut pas désespérer !! 20- j’ai découvert le bdsm à cette époque, sans m’y intéresser vraiment (pas autrement qu’un vague fantasme en tous cas) 21- une amante vanille m’a mise sur la piste sans le savoir … Elle a été le début de la réflexion 22- Quelques essais, heureux ou moins heureux, puis quelques soumises plus tard, de belles et fortes histoires, la puissance de ces liens … énorme ! 23- Aujourd’hui, je n’arrive plus à avoir une amante vanille 24- euh … j’ai effacé, je n’peux pas dire ça … 25- Je m’interroge sur mon avenir … pas professionnel, là je n’ai aucun souci, mais sentimental plutôt 26- j’enjoins tout le monde à écouter les rolling stones sur les derniers disques, ça balance, et une voix en fait incroyable j’ai réalisé 27- Pour ceux (celles) qui connaissent, Thutale m’a énormément touchée, je déplore qu’elle n’intervienne plus vraiment ici 28 – Un souvenir de ce club à Toulouse … Salomée attachée par Thutale, deux fois, une découverte pour cette première je crois 29- J’aime que les gens autour de moi soient heureux (heureuses), mais je connais pas mal de personnes à rassurer, entourer, récupérer éventuellement … bon je peux faire cela, mais je préfère quand les gens que j’aime sont heureux à dire vrai !! 30- J’ai évité le suicide d’une amie, ça compte ou bien ? 31- Je pense être fiable, pour mes amis / amies 32- A 10 ans, je massacrais la façade de la maison de mon institutrice, que je ne supportais pas … mauvaise graine je suis resté. 33- Je manie le martinet mais point le fouet … je vais m’acheter un fouet et m’entrainer ! 34- Le chat à 9 queues ça compte ? Je le manie de mieux en mieux, me manque juste un cul pour finir de m’exercer ! 35- J’adore les soumises … cette abnégation, ce don d’elles, je trouve cela magnifique 36- Instant émotion … Je voudrais remercier toutes les soumises pour leur don désintéressé, et tous les soumis également, vous êtes magnifiques, splendides, votre don force le respect. Merci à vous de nous donner autant de vous. Sans vous, nous ne serions que des frustrés. 37- Une pensée pour ma dernière soumise, une personne exceptionnelle. Le cœur me chauffe encore quand je pense à elle. 38- une pensée pour ma prochaine soumise, le cœur me chauffe déjà quand je pense à elle. J’espère quelle sera une personne exceptionnelle ! Terminato !!
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Par : le 13/02/17
Ceci est le jeu du portrait québécois. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ; 2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour luc" ; 3) le publier dans la section "articles" ; 4) me le faire savoir. 1. Je suis du sexe masculin, sans intention d’en changer, et hétéro, avec une seule rencontre, d’ailleurs assez plaisante, avec un homme. 2. A ce jour, j’ai eu un nombre de partenaires sexuels, hors fessée, à peine dans la moyenne française. 3. Je pratique le sport. 4. La fessée est un fantasme qui remonte à l’enfance. 5. J’ai été fessé une douzaine de fois, toujours par des hommes. 6. Je suis persuadé que la présidence de Trump va être un test des institutions américaines. 7. Les fessées trop douces m’ont franchement ennuyé; celles qui m’ont plu m’ont fait mal et laissé des marques pour quelques jours. 8. J’ai toujours été du côté du soumis, mais n’exclue pas d’essayer la domination. 9. Ma très heureuse relation actuelle m’empêche d’être fessé, ne pouvant exhiber des marques. 10. Je suis allé un peu au Québec. 11. Je vois plus les fautes d’orthographe des autres que les miennes. 12. Les photos de fesses d’un beau rouge uniforme me plaisent beaucoup. 13. Je n’ai rencontré que des fesseurs, sinon compétents, du moins fiables et respectueux, ce qui est le plus important, et leur en suis reconnaissant. 14. Je ne révélerai pas ici grand chose sur moi et, entre autres, pas que je trouve la pose de pinces à linges sur mes tétons très douloureuse, mais excitante. 15. La fessée, consentie et entre adultes, peut être une pratique très sensuelle. 16. Les hommes aussi peuvent avoir de belles fesses. 17. Le seul homme que j’ai “connu” m’a sucé dans sa voiture; j’avais malheureusement éjaculé trop vite. Il aurait bien voulu me revoir, mais pour des raisons oubliées, cela n’eût pas lieu. 18. Je suis très famille. 19. Ma consommation d’alcool est très modérée, je déteste la tabagie et n’ai jamais essayé aucune autre drogue que le chocolat. 20. J’aime me photographier nu. 21. Mes fesseurs sont restés habillés. 22. Les détails m’importent. 23. Quand je tenais un blog, j’avais rédigé un lexique de la fessée. 24. Une fessée commence par un échauffement progressif à la main, à la rigueur avec une tawse en cuir, d’une vingtaine de minutes. 25. Le racisme m’est incompréhensible. 26. Si j'éjacule, la fessée se termine; je prends donc mes précautions. 27. Le centralisme (jacobinisme) français m’exaspère. 28. L’humour est indispensable. 29. Le consentement est à la base de toute pratique sexuelle. 30. J’ai beaucoup travaillé. 31. Je rêve de recevoir à nouveau la fessée (flagellation) par un homme ou une femme qui saurait fixer mes limites et les faire progresser. 32. La musique est une nécessité. 33. J’entretiens une relation très amicale avec le martinet et très inamicale avec le tape-tapis, et ce pour la simple raison que je ne suis pas un tapis. 34. Tout comme une phrase se termine par un point, une fessée doit se terminer par une série de coups plus forts. 35. Je ne veux recevoir la fessée que nu, pour le sentiment d’être sans défense; la recevoir partiellement déshabillé me donnerait le sentiment d’être puni. 36. J’ai vécu dans plusieurs pays. 37. La guerre me fait horreur. 38. Mon dernier, et plus fréquent, fesseur, m’a trouvé endurant; il lui a manqué de savoir me faire accepter, entre autres par des caresses sur les fesses, plus que un ou deux coups de fouet. 39. Je suis très fesso-centrique. 40. Pour le reste, demandez-moi; je répondrai peut-être.
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