La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 25/03/20
Juste avant que la décision ne tombe (tu en étais informé en amont) et que nous soyons tenus de nous  confiner, tu m’as proposé de venir m’installer chez toi, pour, selon tes mots, que j’assure la «continuité du service sexuel que je te dois ». Jusqu’ici, nous nous étions toujours refusés à vivre ensemble, choisissant de conserver chacun notre appartement, même si, aux yeux des autres, de nos familles, de nos amis, nous étions, nous sommes « ensemble ». Ce choix, nous l’avions fait d’un commun accord. Ce n’était ni le tien, ni le mien mais bien le nôtre. Parce que nous nous pensions tous deux trop libres, trop indépendants pour supporter une cohabitation au quotidien, une vie de couple « normal», craignant malgré tout ce que nous avons construit ensemble de finir par nous lasser l’un de l’autre, et de nous perdre l’un l’autre. Malgré mon appréhension, j’ai accepté, sachant que le confinement était inévitable et je me suis installée chez toi. Nous en sommes désormais à notre deuxième semaine de cohabitation forcée, « télé-travaillant » tous deux, passant l’essentiel de nos journées « confinés », même si, toi comme moi, de par nos métiers respectifs, nous pourrions continuer de nous déplacer comme avant pour vaquer à nos occupations respectives. Ce n’est pas le choix que nous avons fait. Par civisme, respect des autres sans doute davantage que des consignes, pour ne pas courir ou faire courir de risque à autrui. D’entrée de jeu, tu m’as proposé de m’installer à ma guise. Je t’ai laissé ton bureau et j’ai choisi d’envahir le salon, installant mon pc, mon portable, mes dossiers. Et nous, qui jusqu’alors passions notre temps à courir après le temps, nous avons appris à vivre selon un rythme différent. Ensemble. Cette cohabitation, cette intrusion de chacun dans le quotidien de l’autre, qui jusqu’ici me faisait peur, non seulement je ne la crains plus, mais j’y prend goût chaque jour davantage. Nous continuons de travailler, nos journée sont bien occupées, entre courriels, téléphone et visioconférences, mais j’apprécie de te savoir tout proche, à mes côtés et moi aux tiens, qu’à tout moment tu peux venir me rejoindre, m’apporter un café, un thé, échanger, parler, vivre. Ni pour toi ni pour moi, télétravail ne signifie laisser aller. Nous nous respectons trop l’un l’autre pour cela. Même confinés, je m’habille comme si j’allais au cabinet et de ton côté la seule liberté que tu t’es offerte c’est de renoncer au port de la cravate. Ta femme de ménage ne venant plus, tu m’as proposé de partager les tâches ménagères. J’ai refusé. Non que j’adhère à la vision traditionnelle des rôles respectifs de l’homme et de la femme. Tu sais combien je hais les machos imbéciles pour qui la femme n’a d’utilité qu’au lit et comme domestique. Mais, même si je demeure femme, je suis aussi ton esclave, et j’ai voulu te le prouver, au quotidien, en prenant à ma charge toutes ces tâches ingrates que bien souvent les femmes n’ont d’autre choix que d’assumer, n’ayant pas la chance d’avoir comme conjoint ou partenaire un mec comme toi. Moi qui normalement emploie également quelqu’un pour ces « tâches subalterne », j’ai appris à faire les poussières, à passer l’aspirateur, à laver les sols, les toilettes, la salle de bains, à me servir du lave vaisselle et du lave linge, à repasser tes chemises, tes caleçons... Et puisque j’accomplis ces tâches en tant qu’ «esclave », je me met nue pour ce faire. Ce qui te permet aussi, si tu en as l’envie (fréquemment, ce qui n’est pas pour me déplaire !) de m’utiliser autrement, toujours comme « esclave » mais à d’autres fins. Nous cuisinons ensemble. Ni toi ni moi ne sommes très doués (enfin toi encore moins que moi ????). Mais j’aime ces moments partagés, nos rires, ce plaisir simple, aux résultats parfois surprenants quand tu t’essaies à des recettes élaborées et que nous finissons devant un plat surgelé compte tenu du produit final auquel tu es parvenu. Le reste du temps, nous parlons, nous lisons, nous échangeons, nous confrontons nos points de vue. C’était déjà le cas avant, mais désormais que le temps s’écoule autrement, nous en avons davantage pour « nous ». Surtout, même si j’avais le sentiment de bien te connaître déjà, j’ai appris à te connaitre différemment, dans ton environnement quotidien, ta manière d’être, de réagir, de te comporter. Et puis il y a nos nuits. Le bonheur de partager ta couche, corps et désirs entremêlés, ta violence et ta tendresse, cette envie qui nous habite de vivre, de profiter de ce temps que nous avons pour nous, de jouir l’un de l’autre, dans tous les sens de ce mot. Je croyais te connaître, pourtant grâce à ce confinement imposé, je continue de te découvrir, avec des aspects de ta personnalité que je ne connaissais pas et d’explorer avec toi, grâce à toi des territoires inconnus. Je ne sais pas ce qu’il adviendra demain. En tout cas, au terme de cette période étrange, de ce temps comme suspendu, je ne porterai plus le même regard sur la vie. Et je n’aurai plus peur.
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Par : le 06/03/20
C'est l'heure L'heure de la lèche La lèche-douche de Monsieur Est prête Sueur salée sucéé Nez à nu Bouche à fleur d'aisselles Poils à lustrer Salive sur la peau Peau mouillée aux lèvres Flux acides Lacis moites à laver La langue en torchon La langue éponge La langue savonne Fait briller le cuivre Des bras des jambes du ventre du dos du cou des mains des doigts des pieds des joues des paupières des oreilles du front du menton Et du sexe Du sexe de Monsieur Sécrétions acidulées Moustache baveuse autour de la bouche Saveur suave Coulées dans la nuque Cou collant Vapeurs voluptueuses Des tempes trempées Toutes les perles suintées Le long du dos Le long de la raie Entre les fesses Toute poisse est bue Coccyx couilles Velu velin de l'entre-cuisse Duvet soyeux de l'aine Touffes piquantes du pubis Tout est choyé Et bien sûr la tige glabre Le tigre en éveil L'oeil attentif du cyclope Et ses larmes sucrées Tout tout tout Tout est bien bu Hmmmm Elle aime cette heure L'heure de sa lèche Sa lèche-douche de Monsieur Son rendez-vous goulu Son moment précieux D'offrir la toilette à ce corps Assoupli après qu'il a fait son sport Quand enfin il s'arrête Se tient debout face à elle Les yeux comme deux braises Et qu'il laisse tomber ses habits au sol Devant sa servante à genoux Quand l'odeur musquée De son mâle échaudé Assaille de promesses épicées La souillon salivant à ses pieds Et que d'un geste il l'invite A lustrer du gant de sa langue Le carénage palpitant de son corps Elle y met tout son coeur Son propre corps en fête N'omet aucun recoin de la toile Elle aime cette heure Où docile elle se rend utile Au plaisir de son Maitre C'est l'heure de la soumise éprise Mais qu'il prise lui aussi Leur heure Leur intime antienne C'est l'heure L'heure de la lèche La lèche-douche de Monsieur Est faite !
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Par : le 04/03/20
De retour chez elle après avoir terminé sa journée de travail, elle jette négligemment son sac sur la méridienne du salon, allume la télé et choisit rapidement un album sur le podcast avec son smartphone, elle sait qu’il lui reste peu de temps pour se préparer, direction salle de bain pour d’abord prendre une douche. Sa petite robe bleue glisse à même le sol suivie par le petit ensemble Aubade qu’elle avait acheté en soldes la semaine passée. Elle fait glisser son tampon hors de son vagin pour le jeter machinalement dans la petite poubelle de la salle de bain. La lingerie a toujours été son petit péché mignon, elle ne les compte plus ses dessous depuis longtemps, mais tout est rangé avec soin dans les deux commodes de son dressing qu’elle a dédiées à cette petite passion intime. Dans la première se trouve les ensembles, dans la seconde les soutiens-gorge et les dessous chaque fois classés par couleurs, de façon à pouvoir les assortir au gré de sa fantaisie et de son humeur. Hell’s Bell d’AC/DC résonne dans son appartement, elle n’était même pas née lorsque ce morceau a été écrit, mais elle a toujours aimé écouter ce genre de musique avant de se rendre à l’un de ses « rendez-vous » … ça la change de la soirée de sa petite vie « vanille » qu’elle a passée avec quelques une de ses amies hier soir dans ce restaurant vietnamien qui fait partie de ses petites cantines favorites, elle y repense pendant que l’eau glacée de la douche coule sur son corps … elle n’oserait pas prendre une douche chaude en pareille circonstances, car elle veut se sentir prête à affronter tout ce qui pourrait lui arriver dans les prochaines heures, comme à chaque fois, elle sait déjà que ce sera intense, son Maître ne lui a donné que très peu d’indications. Elle passe rapidement une serviette pour se sécher, vérifie que ses ongles sont toujours impeccables avant de se brosser les dents. Elle remet ses petites boucles d’oreilles dorées, pour ce soir, elle a choisi un bijou très simple orné d’un saphir bleu aqua pour son nombril et va chercher le petit écrin en velours noir qui contient les piercings en or qui orneront ses tétons dans quelques instant et que son Maître lui avait offert après l’avoir fait piercée en sa compagnie … l’une de ses premières épreuves. Un magnifique modèle en or massif orné de serpents. Ensuite, elle met son pied gauche pour relever sa jambe sur le petit tabouret et introduit ses boules de Geisha qu’elle a légèrement enduites d’un gel intime en écartant doucement les lèvres de son vagin, elle a toujours apprécié la symbolique particulière de cet accessoire ancestral et son côté particulièrement érotique. Après, elle essuie délicatement l’entrée de son vagin avec une lingette intime qui rejoint le tampon qui se trouvait déjà dans la poubelle dont le clapet se referme dans un claquement sec. Heureusement elle n’a pas ses règles pour l’instant. Elle remet rapidement son petit ensemble Aubade, ajuste une des bretelles de son soutien-gorge blanc cassé et sourit en se regardant dans la glace, tout en se faisant la réflexion que de toute façon, ça ne sert pas à grand-chose vu que dans peu de temps, elle sera nue dans un endroit qu’elle ne connait pas encore, livrée à la merci du bon vouloir de son Maître. Personne autour d’elle ne pourrait imaginer la double-vie de cette jeune femme moderne, proches, amis, amies ou ses collègues qui l’adorent et encore moins ce voisin qui la reluque souvent avec un regard lubrique lorsqu’il la croise « par hasard » sur le pas de la porte … s’il savait … mais elle ne sera jamais à lui, il est bien trop fade. Elle lève les bras au ciel et la petite robe bleu foncé qui lui arrive juste au-dessus du genou et met en valeur sa taille fine se retrouve sur elle comme si elle ne l’avait jamais quittée. Dernier détail d’importance, elle ajuste avec soin son collier de jour autour de son fin cou de déesse. Elle ne va plus tarder à se mettre en route pour rejoindre ce monde parallèle qu’elle côtoie depuis son adolescence qui la rend fière et lui donne confiance en elle. Peu de jeunes femmes soumises possèdent déjà une expérience comparable à la sienne à son âge, son Maître est fier d’elle, elle le sait, mais chaque séance est une remise en question lorsqu’elle doit affronter l’inconnu, sa plus grande crainte finalement serait de décevoir le Maître. Ce n’est pas arrivé souvent, mais elle sait que cette éventualité lui pend au nez à chaque fois … A suivre …
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 16/02/20
Je ferme les yeux pour sentir votre présence pour voir ainsi devant moi votre beau visage que j'aime tant, Et comme à chaque nuit, la magie des songes, M’entraîne dans ce monde empreint d'érotisme... Vous me saisissez dès mon arrivée, ma tenue m'attend dans la salle de bain, Je me change, me maquille suivant vos instructions et vous rejoins, Vous apposez un bandeau sur mes yeux, me prenez mes mains tremblantes d'excitation Et m'amenez au milieu de la pièce sans un mot... Vous m'observez lentement, très lentement, dans un silence d'or Vous contemplez ce corps d'ébène, lisse à souhait qui vous met en émoi...   Vous avez déjà une respiration profonde, un peu saccadée, vous vous mordillez les lèvres; La musique déverse ses premières notes, sur cet air qui nous est propre Dès lors vous commencez par m'enlacer fermement, puis me faites danser, puis ployer, pour enfin m'écarteler...   Vous me faites me pencher en avant, me tenant en équilibre Pour ensuite me faire tournoyer en vous déplaçant autour de moi... Vous esquissez un sourire, exprimant ainsi tout le plaisir Que vous avez à soumettre votre soumis à vos folles fantaisies... Toujours penché en avant, vous soulevez ce voile qui recouvre mon corps, Mettant à nu mon intimité et faites courir vos mains, vos ongles sur mon corps, Le frôlant, le caressant, le griffant, agaçant mes tétons au travers de la soie de l'étoffe Je laisse échapper un râle de plaisir, à la venue des premiers frissons...   Vos mains et vos ongles virevoltent sur mon corps, Allant tour à tour sur mes fesses, mes cuisses, mon torse,mon dos, Générant cette étrange chaleur qui parcourt ton mon corps Et met mes sens en éveil... Vous m'enserrez délicatement la taille, m'obligeant à me contorsionner, A m'ouvrir de plus en plus, le voile ne couvrant plus grand chose...   Vous posez des pinces sur mes tétons qui dardent effrontément, Puis d'autres lestées sur les mes testicules que vous avez au préalable recouvert de cire, mêlant douleurs et plaisirs jusqu'au grand frisson...   Vous me faites basculer, à présent mes fesses se trémoussent en rythme sous vos yeux, Vous y déposez de tendres baisers avant de les gifler ardemment, Me faisant tressauté avec ce feu qui m'envahit qui trouble mes pensées... Puis vous écartez mes fesses afin d'admirer mon entre jambes, De vos doigts chauds et agiles vous parcourez mon orifice tout humide, En farfouillant entre mes fesses, à la recherche de ce petit anus gourmand, quand je sursaute au premier coup de martinet... Vous déposez votre salive sur mon doux orifice pour le lubrifier Et vous m'introduisez lentement mais sûrement, Pénétrant ma fente toute humide, d'un doigt, puis de deux, Puis de trois doigts inquisiteurs... Vous prenez possession de moi tout en me prenant les hanches. Vos mains s'agrippent maintenant à mes seins puis tirent tout Doucement sur la chaîne reliantt ces deux pinces qui enserrent mes deux charmants tétons... Je gémis de plus en plus fort, je perds pied, vous me chevauchez vigoureusement d'une main inquisitrice, tandis que de l'autre, A chacun de mes déhanchements, m'infligez des coups de martinet Sentant mon plaisir monter à mes feulements et mes contractions...   Pas encore, pas tout de suite... vous mordez alors mon épaule, Je me cambre et m'écarte encore plus, la sueur ruisselle sur mon Corps, la douleur lancinante à mon entrejambes dû à ses poids qui S'agitent, ces brûlures dans le dos, ses doigts inquisiteurs et votre voix envoûtante me font lâcher prise... Vous labourez mon dos de vos ongles et saisissez ma tête en attrapant mes cheveux Pour offrir la base de ma nuque à la morsure de vos dents... A votre demande, je m'allonge sur le côté, les jambes suffisamment écartées Pour que vous puissiez contempler cette petite chatte black qui s'offre à vous... Vous lubrifiez dès lors de votre salive, avec cette langue fouilleuse mon petit orifice, Tandis que de vos doigts vous vous m'occupez de mon gros clitoris, Vous déposant des pinces sur toutes sa longueur, le recouvre de cire Quand je sens ce vide, ôtant vos doigts, vous laissez mon orifice béant Mes contractions se font plus pressantes, mais il me faut encore attendre... Vous vous collez derrière moi et doucement vous enfoncez votre sexe Artificiel dans ma petite chatte étroite, restant à l'écoute de mes moindre réticences, Puis vous ondulez derrière moi par de petit va et vient, vos mains Labourant mon dos... Là, enfin, c'est le moment... cette délivrance tant recherchée, libre de tous nos sens, nous partons ensemble dans la plus belle des jouissances, à l'unisson porté par votre désir... Voici un nouveau songe empreint de cruauté, marqué par ce désir de fusionner avec vous...
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Par : le 16/02/20
Parti à la conquête d'une déesse, d'un diamant, je sème ces mots tel des pétales de rose sur votre route, Recouvrant à mon passage tous ces maux, qui dans le silence tourmentent ma tendre Muse... Des mots pour guérir, des mots pour sourire, miroir de pensées troublantes et envoûtantes, Pensées ayant pour dénominateur commun, la plus belle des Déesses, vous, Ma reine... Je rêve de cet instant où allongé sur la couche,le corps dénudé, les membres délicatement attachés, Laissant transparaître mon côté fragile et sensuel, les yeux bandés, je serai dans l'attente D'un émoi des plus intenses, ayant perdu toute maîtrise... A cet instant vous vous approcherez, dans le silence des corps en éveil, Jouant d'un glaçon, de votre souffle chaud, de métal dans un bal diabolique Vous partirez à la conquête de ce corps d'ébène offert à vous, n'omettant aucune partie... Après le chaud et le froid, extrêmes auxquels mon corps serait assujettis, Petits mordillages, baisers doux, sensations piquantes s'alterneront dans un beau balais, Faisant monter mon désir, faisant monter votre plaisir, jusqu'aux porte de l'extase,... Et d'un souffle haletant, bâillonné, je hocherai de la tête en remerciement de cette fusion tant désirée, Mais en guise de réponse, vous ferez glisser la roulette dans mon entrejambes, remontant le long de ma colonne, faisant croître ce désir jusqu'à son paroxysme... Et ce n'est qu'ensuite dans un véritable apothéose, que vous pénétrerez chacun de mes neurones avec la malice qui vous est propre, inscrivant par vous même la suite de cette scène...
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Par : le 12/02/20
Me voici à nouveau afféré sur cet étrange sentier parsemé de mots, Contrée magique où sévissent de doux et beaux songes, Dont la délicat harmonie qui se greffe à votre voix résonne en mon cœur, Et les yeux fermés, ils me transportent jusqu'à vous dans une pensée exquise... Je suis entièrement nu devant vous, portant votre collier de cuir  fièrement, C'est alors que vous décidez de me bander les yeux avec un doux foulard, Me prêtant au jeu, je vous laisses faire, sentant cette excitation grandir, Mon pouls s'accélère, aux premiers contacts de vos mains sur mon corps, Je me retrouves traversé par un premier spasme accompagné d'un petit frisson... Me voilà offert pour votre plus grand plaisir et avant de me conduire jusqu'au lit, Vous mes faites tournoyer sur moi même tant de fois que je perds tout repère, vacillant sans équilibre, pris de vertige... Vous me portez assistance évitant la chute et me conduisez jusqu'au lit, Vous m'aidez à m'allonger sur le ventre, puis délicatement Vous fixez chaque membres aux quatre extrémités du lit... Perdu dans le noir, pieds et mains ligotés, un morceau de Georges Gershwin en fond sonore, Je suis pris d'un second vertige sentant votre souffle chaud parcourir mon corps avant de disparaître à nouveau... J'attends un contact, une caresse quand je ressens une petite douleur Partir du creux de mes reins, remontant lentement puis à mis parcourt s'interrompre, A nouveau ce souffle chaud qui caresse ma peau quant tout à coup Je sens vos ongles lacérer mon dos , une sensation de chaleur mêlée à la douleur génèrent en moi des frissons, mon corps tremble en réponse... Puis à nouveau ce silence, mon cœur s'emballe, ne sachant ce qu'il adviendra de moi, Quand je sens un contact doux et humide parcourir mon dos, Décrivant des cercles, pris dans un torrent de frissons, je bous d'excitation face cette douceur subite.. Puis à nouveau le silence, absence de contact, alors que la musique fait écho à mon cœur tambourinant, quand ce bruit sec me perse les tympans et ce feu qui me parcourt le dos, j'ai le souffle coupé, cette douleur qui me lance, se mêlant à l'excitation, mon esprit se perd, Quant un second retenti, puis de nouveau cette brûlure, partant des cuisses jusqu'au bas du dos, je laisse échapper un cri... Mon cœur bat la chamade, j'ai le souffle court, je sens croître en moi une sensation nouvelle, plaisir nouveau où se mêle douleur et plaisir, J'appréhende ce prochain contact tout en le désirant ardemment, mes idées se brouillent... Puis de nouveau ce silence, je sens que je perds pied, que je suis tout à vous... Dans l'attente de nouveaux sévices, je savoure cette perle de pluie que vous avez déposée sur mes lèvres...
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Par : le 10/02/20
J’aime la manière arrogante dont tu exprimes ton désir. J’aime ton sexe en érection, tendu, dressé, prêt à me défoncer. J’aime te faire bander Je jouis de te servir, de t'exciter, et que tu me le montres avec ta queue. Je ne peux pas me passer de ton sexe. J'ai appris les postures, les attitudes, les gestes, les caresses pour cela. A être provocante, à me comporter comme une salope, une pute, une chienne en chaleur. Tout ce qui me permet de transformer ce que tu portes entre les jambes en une épée d'acier. Je sais qu'il me suffit pour cela de m' agenouiller, nue, devant toi, de te prouver mon désir pour ta queue, de caresser, embrasser, lécher l'emplacement de ton sexe, d’adorer ta virilité, avant de retirer ton pantalon, de renifler ton slip. pour profiter de ton odeur de Mâle, sentir ces effluves mélangés de sueur, de pisse et de foutre, qui suffisent à me faire mouiller. J'aime te faire bander, voir ta queue en érection jaillir de ton slip telle un volcan qui surgit de l'océan. J'aime parcourir de ma langue ton gland humide pour recueillir jusqu'à la dernière goutte de ta mouille comme un prélude au foutre dont tu vas me combler. Merci d'avoir fait de moi ta chienne et de m’avoir appris tes désirs de Mâle.
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Par : le 09/02/20
(Réédition du 09/02/2020 -> 31/03/2024 - 838 Vues) . Bref, Rien ne vaut un homme, pour exposer les penchants de La Masturbation Féminine. Si il y a bien une réalité lorsqu'une femme arrive sur un site BDSM, ce n'est pas tant le plaisir à regarder les photos ou lire des écrits BDSM, que de trouver un défouloir de l'esprit, à pouvoir être encore effrayée et stimulée par l'inconnu. De se questionner si l'on pourrait supporter maintes pratiques sexuelles et BDSM, en se mettant à la place d'une autre. Si la masturbation masculine est essentiellement portée sur la possession des femmes, il en est tout autre pour la masturbation féminine, portée sur l'utilisation et l'exploitation de leurs corps face à la pluralité. Le plus excitant dans le plaisir d'une femme, est de se représenter comme la catin que personne n'effleure du doigt (ou du poing :b), et de se sentir capable de l'avouer et de le dévoiler à son prétendant.. Tandis que pour l'homme, c'est dans sa puissance de mâle à prendre ouvertement le corps de la femme. Un plaisir venant simplement de sa propre valeur ajoutée, et de par toute son énergie innée primitive, à vouloir porter la femme vers la jouissance. En somme, une attirance, une excitation et un plaisir venant des projections sur que l'on peut faire de l'autre, ou ce que l'on peut faire de soi. L'accumulation du désir sexuel de la femme vient dans sa frustration et de son manque à dévoiler qui elle est véritablement, voulant faire fi de sa notion de sociabilité et de jugement en rapport aux autres. De plus, elles sont accompagnés dans toutes les étapes de leurs vies, par des hommes enfants et des chevaliers servants, bercés par leurs ignorances et leurs désirs utopique, que les femmes ont comme centres d'intérêt des êtres profondément protecteurs et rassurants à leurs yeux. Mais aussi, par des hommes entreprenants contant leurs récits épiques et héroïques, ayant pour vocation unique de les éblouir d'une fugace convoitise. Entre Coqs et Chapons, la femme n'a d'inspiration que dans le pouvoir de l'homme à s'exprimer librement et sans complexe, Ce que bien entendu la femme n'est pas par nature ! :b La femme n'aura de cesse de se torturer à ce qu'y est, ou aurait pu être la passion primitive de celle ou celui qui l'aura provoquée, rejetée, ignorée ou possédée ardemment. Remettant en cause sa "normalité", son expérience, son physique...dans une danse endiablée de l'esprit, et finir par se branler copieusement de sa fébrilité à vouloir succomber, s'abandonner ou se donner, par unique rédemption de ne pas savoir ce qu'elle veut ! Pour faire court, et si vous deviez vous arrêter qu'à une seule vérité ; La femme est une boisson gazeuse qui s'ignore. Jusqu'à tant qu'un mâle l'a secoue. Je ne peux que recommander le film "6 jours, 7 nuits" ( https://www.youtube.com/watch?v=uvBETmcVhjs ) représentant bien l'aspect routinier, tribal et fusionnel des relations hommes / femmes dans leurs approches respectives l'un envers l'autre. La complaisance des "touristes" qui se pignolent dans leurs feeling et leurs éloquences, et qui repartent littéralement la queue entre les jambes :b Dans la vie comme sur ce site, il y aura toujours un ratio de "pilotes" et de "touristes", ne vivant qu'à s'envoyer en l'air. Et quand certains y voient du haut de leurs "coucous", des opportunités d'acrobaties pour le plaisir, d'autres y voient un simple "charter" à se rediriger vers leurs désirs et espérances perdues. Pour le reste, c'est autre chose.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 06/02/20
Je suis à toi. Je l’ai été tout ce week-end. Je me suis donnée à toi, j’ai joui de toi. J’aime ta tendresse, ta bestialité, cette violence que tu portes en toi quand tu me baises. J'ai choisi ce que je suis désormais, ta femme, ton esclave. Je l'ai voulu. Je t’ai voulu. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle, mon Seigneur et mon Maître. Même si c’était hier, j’ai le sentiment que cela fait longtemps que j'ai renoncé à ce que j'étais avant, une femme soumise, vivant sa soumission en toute liberté, avec qui elle voulait, comme elle le voulait. Tu m'as imposé tes règles. Je t'ai offert l'exclusivité de mon corps. J'ai renoncé aux amants de passage, pour me consacrer uniquement à toi. J'ai appris la frustration, parce que c'est toi qui décide quand tu me baises, la jalousie, parce que je n'ai aucun droit sur toi, mais aussi le désir de toi, le plaisir d’être avec toi, pour toi. la jouissance d'être à toi. C’est si bon d’être ta femme, d’être ton esclave. Merci pour ce week-end passé ensemble. Merci Maxime, merci Maître.
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Par : le 27/01/20
Alors que j'erre en journée dans cette étrange obscurité, privée de mon doux soleil, Je profite de la venue de la nuit, quand le temps semble en suspend, pour arpenter De nouveau ce chemin de mots empreint de douces et sensuelles pensées, Pour glisser dans ce univers précieux, où je vous retrouve enfin tout près de moi... Je ferme encore une fois les yeux, pris de vertige par cette tornade de pensées, Je me laisse transporter dans ce songe merveilleux où vous m'irradiez de votre aura... Nous nous retrouvons côte à côte dans cette pièce familière, devant la fenêtre, Contemplant ce ciel d'un soleil couchant quand votre regard kaki croise à nouveau le mien, Comme vous approchez votre visage du mien, vous me saisissez par le cou, Vous m'attirez contre vous, me bander délicatement les yeux, me plongeant ainsi dans le noir Et dans la fougue qui vous anime, vous laissez votre langue aller à l’encontre de la mienne... Sans surprise, j'ouvre la bouche, un incroyable baiser nous uni, j'y réponds avec ardeur, continuant le pâlot que nous avons débuté, ma langue tourne dans votre bouche, bute contre vos dents, s'enfonce davantage, quand soudain je sens une douleur aiguë, Sur le bout de ma langue, vous en avez profité pour me mordre la langue, mêlant douleur Au plaisir, sensation aigüe qui amplifie ce désir qui me ronge peu à peu… Vous profitez de la situation pour baisser mon jogging, qui cache un gros clitoris, Vous me fouillez sans vergogne, serrant, tordant ce clito chocolat tout à vous, tandis que je me laisse aussi aller en gémissant doucement, perdant peu à peu prise au réel Quand une de vos mains se crispe sur la mienne, en réaction je souffle plus fort... Dès lors, vous avancez votre corps au dessus du mien, je sens sur mon visage votre poitrine Qui vient se balancer, comme pour un appel à la caresse, je ne résiste pas longtemps Et j’effleure de ma bouche l'endroit encore caché par ce tee short noir si familier Il ne reste pas en place longtemps, en un instant vous ôtez ce dernier rempart Dévoilant ainsi vos charmants obus, puis de la pointe de vos seins effleurez mon visage... Cet alors que je sens sur mon torse vos mains qui doucement s’agitent, virevoltent, Avant d’attraper mes tétons que vous malaxez, les faisant tourner entre vos doigts Sous le pincement mammaire, je sens que cette crampe qui m'envahit totalement Vous vous déchaînez de plus belle tandis que je laisse échapper de petits cris plaintifs, Pas si de douloureux, sentant ce plaisir monter doucement en moi, mes poils s'hérissent, Le souffle de plus en plus court, je dandine du bassin le sexe en feu, suintant de désir... Tout en me mordillant le cou et l'oreille, une de vos mains s'aventure le long de mes cuisses, Ne faisant que les effleurer au début, puis les caresses se font de plus en plus appuyées, Remontant jusqu'à mon appendice tout humide que vous esquivez volontairement Alors que je me déhanche de plus belle, exprimant ainsi cette excitation grandissante... Soudain une douleur des plus aiguës me sort de ma torpeur, sensation lancinante, Que je ressens sur mon torse, sentant mes tétons tiraillés et tirés vers le bas, Vous venez de déposer sur ces derniers deux pinces lestées de jolis poids Qui au moindre de mes mouvements amplifient la douleur et le tiraillement… Maintenant votre main se trouve à l'entrée de mon petit orifice tout ouvert, Ce sont plusieurs doigts qui lentement sont en train de coulisser dans ma petite chatte, Ma respiration du coup s'accélère entrecoupée par des soupirs de plus en plus forts, Mon anus est déjà extrêmement dilaté ayant hébergé au préalable RB sénior, Les envahisseurs tournent, s’agitent, investissent cette grotte que je ne peux refuser. Il se dilate encore davantage alors que j’ai le souffle coupé par l'intrusion D’un quatrième doigt qui s’octroie une place de choix… Vous tentez de forcer le passage, de faire franchir l'ensemble de vos phalanges, En tournant lentement, le muscle cède le passage, votre main me pénètre maintenant, Tandis que de votre autre main vous titillez mon clitoris déjà survolté, Ni une ni deux, un orgasme fulgurant vient de me traverser, Le souffle court, le corps en prise aux spasmes, je balbutie des mots crus Empreint au désir fulgurant qui maintenant me submerge... Le jeu commence à me plaire aussi, tu le constates à la manière dont je remue la croupe, Que je suis de plus en plus chaude, de plus en plus salope et offerte à vos caprices, Le filet qui s'écoule de mon sexe ne fait confirmer votre ressenti... J’ouvre et ferme les cuisses, emprisonnant votre main qui me donne du plaisir, Je perds totalement pied, impossible de retrouver mes esprits face à tant de sollicitation… Mon cœur bat à tout rompre, j’hésite, d'un coté, l'envie est là, dans mon ventre, Qui me fouille autant que vos doigts qui persistent dans leur excursion anale. De l'autre, la raison qui dicte à mon esprit : -« Que ce n'est pas raisonnable, que se laisser toucher, se laisser aller à de doux plaisir sans aucune retenue »... C'est mon corps qui prend le dessus, puis sans rien dire j’abdique ainsi pour un temps… -« Parfait, je te veux bien cochonne, salope au possible, soumise et ouverte, laisse aller la musique, je serai le chef d'orchestre ». Votre seconde main est entrée à nouveau en contact avec la peau de mon cou, Je sens vos ongles s’enfoncer dans ma peau, labourant mon dos, gravant votre nom, Comme elle ne trouve pas d'obstacle sur le chemin qu'elle trace, elle revient sur mon torse, Puis joue avec les poids fixés à mes seins, prenant plaisir à me voir tressauter… Sous la pression, j’ai le souffle un peu coupé, d'autant que c'est en même temps Votre main toute entière pénètre dans mon derrière, puis telle une poupée de chiffon, Je me laisse faire, vous en profitez allègrement, jouissant de cette scène qui vous est offerte... Votre main quitte mon cul, ce vide me fait sursauter, j’en veux encore et vous le fais savoir Par mes déhanchements, mes gémissements telle une pute totalement dévergondée… Je suis maintenant couché sur dos, les bras écartés et attachés à chaque extrémité du lit Quand vous posez votre main d'abord sur ma poitrine, puis elle descend sur mon ventre, Juste histoire de la placer sur ma verge tendue mais vos doigts restent inertes, Sur cette tige qui est raide, chaude, lisse, énorme clitoris tout à vous, -« je t’interdis de jouir et de bouger quoique je fasse, sinon tout s’arrête et tu repars… » Dites-vous et l’instant d’après, je ressens votre souffle chaud sur mon pubis… Vous vous présentez devant mon sexe tout dur et l’effleurez du bout de votre langue, Puis vous exécutez sur ma queue une fellation digne d'une professionnelle, Je sans mon clitoris happé par votre bouche chaude et accueillante, Vous laissez votre langue rouler sur mon gland, générant en moi mille frissons, Ce qui ne fait qu'amplifier mon désir, lâchant des râles de plaisir... Quand une sensation de brûlure me fait lâcher un petit cri, puis un déluge de feu S’abat sur mon torse, se répand sur mes cuisses, c’est de la cire que vous déversée D’une main sur mon corps tout en continuant de lécher avec délectation mon clitos Mon cœur s’emballe mais je tente de contenir tout mouvement, étouffant mes cris, L’esprit brouillé par tous ces stimuli, votre bouche, ce feu, je suis pris de vertiges… Cette scène vous amuse, vous en profitez pour saisir l’œuf vibrant et le portez sur votre clitoris Vous en délaissez mon mat, juste préoccupée maintenant par la montée de votre jouissance, Qui vous happe, vous ensorcelle, vous électrise aussi, vous faisant tout oublier du reste, Vos râles sont remplacés par des cris... Quand soudain vous me chevauchez, positionnez juste au dessus de mon sexe tout dur, -« interdit de bouger, c’est moi qui dirige sinon gare à toi ! Tu es mon sexe toy donc interdiction de jouir, je t’aurai prévenu ! » Puis vous présentez mon sexe à l’entrée de votre petit canal, millimètre par millimètre, Dans une extrême lenteur vous vous empalez sur mon sexe, savourant chaque instant, Vous sentez mon pieu doucement pénétrer votre petit canal, vous lâchez un cri de plaisir, Puis dans l'excitation imprimez des mouvements de va et vient, lent et profond... Vos mains se crispent sur mon torse tandis qu'un orgasme point à nouveau son nez, Vous haletez, puis saisissant la cravache, vous n’épargnez aucune parcelle de corps offert Calant la cadence des coups au rythme de vos va et vient, l’intensité à votre excitation De l'autre main vous vous frictionnez le clitoris encore électrique avec l’œuf, Quelques tremblements avant de sentir exploser dans foudroyante jouissance… Après vous êtes retirée vous m’invitez à me branler pour jouir devant vous, Ce qui ne tarde pas à venir, j'explose à vos ordres sur mon ventre, De vos doigts recueillez ma semences et les portez à mes lèvres : -« lèches et suces mes doigts, petite pute ! ». Je m’applique à la tâche quand vous retirez brusquement vos doigts Avant de vous assoir sur mon visage, portant votre fente à ma bouche… -« surtout ne perds pas une goutte de mon nectar et appliques toi bien avec ta langue ! » De ma langue gourmande je farfouille les moindres plis, à la recherche de ce nectar Puis j'engloutis délicatement votre clito avant de le faire rouler avec ma langue.... L'effet est immédiat vous en redemandez encore vous branlant sur mon visage... C'est sur ces mots que je vous quitte sommairement avant de revenir bientôt avec d'autres songes, Marqués par ce désir fou pour vous qui ne cesse de grandir et me rapproche de vous. J'espère que ces mots auront l'effet escompté qu'ils suffiront à faire renaître ce désir en vous
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Par : le 06/01/20
Cette année cela va faire deux ans que nous sommes ensemble. Jamais, sauf durant mes années d’adolescente, je n’ai été si longtemps avec un homme. Pour les autres, nos proches, nos amis, nos familles, nous somme un couple. Un peu étrange, certes, non pas parce que nous ne sommes pas mariés, ça c’est depuis longtemps entré dans les mœurs, mais par notre mode de vie, le fait que nous soyons « ensemble » sans l’être vraiment, chacun avec son appartement, sa vie, comme un jardin secret qui n’appartient qu’à lui. Pourtant, même s’ils ignorent tout de notre vie intime, de la façon dont nous vivons ensemble nos désirs, nos fantasmes et que nous les traduisons en actes, la plupart jalousent ce lien si fort qui nous unit. Je le lis dans leur regard, lorsque nous sommes ensemble. Quand ils nous envient ce que nous sommes l’un pour l’autre, Toi pour moi, moi pour toi. Toi à la fois tendre, drôle, attentif, ta façon de montrer ta fierté d’être avec moi, et le désir que tu éprouves pour moi. Et moi, libre et belle de lire ce désir dans tes yeux, fière que tu me présentes comme ta « compagne » et du désir des autres qui ne me posséderont jamais. Indépendante et libre je l’étais avant toi. Cette liberté, cette indépendance, je les porte toujours en moi mais transcendées désormais, grâce à toi. Maintenant que portes closes, dans le secret de l’alcôve, et les profondeurs de mon sexe, je suis ton esclave et que je t’appartiens. Depuis que nous nous sommes rencontrés, que pour la première fois, j’ai voulu « appartenir » à un Homme, tu m’as fait évoluer, grandir, mûrir. Tu m’as donné confiance en toi, en moi, en nous. Tu m’as ouvert de nouveaux horizons, en m’apprenant la jouissance de servir ton plaisir, et à m’assumer telle que je suis, rebelle et soumise, femme et femelle, ton égale devant les autres, ton esclave quand nous sommes seuls. Tu sais qu’il est des mots tels que « je t’aime » que j’ai du mal à prononcer. Parce que trop souvent ils sont faux, mensongers, ou juste incapables de rendre compte de la réalité, de la complexité des sentiments. Mais à l’aube de cette nouvelle année, ces mots je veux les crier à la face du monde. Je t’aime pour ce que tu es, ce que tu as fait de moi. J’aime ta façon d’être, ta tolérance, ton écoute. J’aime ton intelligence des êtres et des choses. J’aime être avec toi, que nous soyons ensemble. J’aime nos sorties, nos virées, nos ballades. quand tu me prends par la main, ton sourire, nos fous rires. J’aime nos échanges dont je sors enrichie. J’aime l’homme que tu es pour moi, respectueux, tendre, attentif. J’aime le Mâle que tu es pour moi, ton corps, ton sexe et la brutalité de ton désir. Oui, je t’aime, Maxime. Merci.
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Par : le 05/01/20
Cela fait une éternité que je ne fréquente plus les lieux "libertins". les saunas, club, ciné X. Tellement déçu. Je suis inscrit sur différent site de rencontre BDSM. Mais rien d'intéressant. Pour cette raison que je pratique en solitaire. Je commence par un passage en salle de bain. Grand nettoyage. Je frotte partout. Je rase mon intimité (pas toujours). Supprimer tout poil au niveau de la verge, du scrotum et de mes fesses. Bien dégager mon anus. Ensuite je dévisse le pommeau de douche et je fais glisser le flexible entre mes fesses pour effectuer un lavage complet de mon conduit anal. Qu'il soit parfaitement propre. Ensuite, je me parfume. En ce moment c'est "Bleu de Chanel". J'adore. Puis, une fois propre, je déambule dans la maison en imaginant la suite. Je récupère quelques pinces à linge. J’en fixe deux sur mes tétons. Je prends un lacet assez long (1,5m) que je noue à la base du scrotum et après un ou 2 tours je sépare mes testicules en serrant bien de façon à les compresser. Je continue d'enrouler le lacet sur mon scrotum afin de bien l'étirer. Je commence à ressentir une douce douleur. À ce stade, je libère mes tétons de leur pince. Une nouvelle douleur, plus prononcée. Plus délicieuse. Sans plus attendre, je repositionne mes pinces dans une position différente pour accroitre la douleur. Je vais ensuite libérer de sa cachette mon nouveau jouet commandé sur le net. Un joli gode ventouse d'une belle dimension. 7 centimètres de diamètre pour une longueur de pénétration de 20 cm. Je décide de le fixer sur le carrelage du salon. Je me place au-dessus de lui, les genoux au sol. Je saisis la ceinture que j’ai choisie large et sufisamant lourde et sans attendre, je m'inflige une série de coups sur mon fessier. Je compte les coups de ceinture qui claquent sur mes fesses. La peau me brule sous les coups, je serre les dents. Mon corps se contracte à chaque coup puis se détend, puis se contracte à nouveau. Les coups de ceinture sur mes fesses rougissantes provoquent une vague de douleurs mêlées de plaisir. Mon bras qui manie la ceinture devient douloureux. Je fais une pause et je glisse un doigt, puis 2 dans mon petit trou. Je commence à le masturber. Le prépare à recevoir les assauts de cet amant fixé au milieu de mon salon. Très vite, j'ai l'anus humide. Je le positionne au-dessus du gode et commence à le faire glisser dans mon rectum. Je le sens qui me dilate. Petit à petit, mon cul l'aspire. Une fois bien planté dans mes reins je commence une série de claques à main nue sur mes fesses. Les coups pleuvent. Ne pas réfléchir sinon la douleur va me commander d'arrêter. Mes fesses me brulent. Je fais des mouvements de piston sur cette queue qui ne fatigue jamais. C'est difficile de se concentrer sur les coups à porter sur son cul et se pistonner l'anus. C'est épuisant. Au bout de quelques minutes, impossible de me souvenir de la durer de ce traitement, j’ai perdu la notion du temps, je dégage le gode de mes entrailles et m'effondre sur le carrelage. Je libère mes tétons en tirant sèchement sur les pinces libérant une douleur intense. J’ai les yeux remplis de larme par cette douleur. Mon corps n'est que douleur. Je libère également mon sexe. Mes testicules compressés par le lacet me font atrocement mal. Les libérer me procure une nouvelle douleur. Je sens également mon sphincter anal entièrement relâché, ouvert et dégoulinent de mon foutre anal. Mon sexe en demi-érection dégouline également. Je fais glisser ma main sur mes fesses. Elles sont bouillantes et sensibles au touché. En même temps je caresse mon gland en faisant attention de ne pas jouir. C'est ma punition. Interdit de jouir. La journée va être longue.
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Par : le 22/12/19
Je suis consciente du risque que je prends en publiant ces lignes. Elles me vaudront sans doute d’être clouée au pilori par tous les bien pensants de tout poil et de tout sexe les féministes en tout genre qui veulent à tout prix que chacun(e) rentre dans leurs schémas prédéfinis. Peu importe. Pour moi, le bdsm c’est d’abord la liberté de choisir ce que l’on veut être, pour soi-même, et dans mon cas, pour celui qui me possède. Depuis l'adolescence, je suis accro au sexe et au Mâle. J'assume ce que je suis, une chienne, une salope, soumise, nympho, capable de se lâcher complètement lors de ses plans cul. En même temps, je suis d'un tempérament plutôt réservé, pudique. Avant de connaître Maxime, mes échanges avec les mecs qui me baisaient se limitaient à cadrer nos jeux, ce que nous allions faire, les limites à respecter pour celui auquel je donnais l’illusion de me dominer. La seule chose qu’ils connaissaient de moi c’était un prénom qui n'était pas le mien et un numéro de portable, où me joindre pour un plan cul. Hormis cela, je ne leur parlais jamais de mes désirs, des mes fantasmes, de mes craintes, limitant mon expression au dialogue des corps. En même temps, je n'en éprouvais pas le besoin. Mon rapport aux hommes était purement utilitaire, je ne me donnais à eux que pour jouir d'eux, le temps de nos ébats. Et il n'était pas question pour moi de leur offrir autre chose que mon corps et mes trous, puisque je n'attendais rien d'autre d'eux que leur sexe et du plaisir.   C'est Maxime qui le premier a voulu et su m'apprivoiser, voulant tout savoir, tout connaître de moi, avant même notre première rencontre. J'ai appris avec lui à parler de sexe, à lui confesser mes envies, mes désirs, mes craintes, parfois jusqu’au bout de la nuit, m'obligeant à exprimer ce que je n'avais jamais su dire. Et ce n'est que lorsqu’il a jugé en savoir assez de moi, qu'enfin il a accepté de me rencontrer. Grâce à lui j'ai compris la nécessité pour le Maître, de tout connaître de son esclave, de ses sentiments, de ses désirs, de ses doutes aussi. Parce que le pouvoir passe par la connaissance de l'autre, de ses rouages, de ses motivations intimes. Dominer une femme, au delà de la possession physique, c'est aussi pouvoir la manipuler, jouer de ses désirs, de ses frustrations, dans l'intérêt de celui qui la possède et in fine le sien. J’ai compris que mon Maitre avait besoin de tout savoir de moi, pour lui d’abord, pour tirer de moi le maximum de plaisir pour lui. Mais aussi pour moi, pour que dans l’usage qu’il ferait de son esclave il sache jusqu’où pouvoir aller trop loin. N’en déplaise aux bien pensants, une relation bdsm n’a rien à voir avec l’égalité des sexes. C’est un jeu de pouvoir, de manipulation et de séduction, dans lequel le Mâle recherche d’abord son plaisir, grâce auquel la soumise jouit de ce qu’elle est pour lui.
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Par : le 14/12/19
Tu es l’Homme, le Mec, le Mâle dorénavant mon Maitre, et ton sexe te donne tous les droits. J’ai désiré, souhaité, voulu devenir ton esclave. Tu m’as prise comme telle, tu m’as appris le culte de ton corps, la vénération de ta queue et tu me possèdes désormais. Je ne suis pas ton égale, mais ton esclave. Je l’ai voulu, choisissant librement de me donner à toi, renonçant pour toi à tous mes droits, parce qu’une esclave n’a pas de droits. Elle est à la disposition de celui qui la possède, courtisane, chienne, pute, dédiée au plaisir de l’Homme, à la jouissance du Mâle. Tu décides seul de l’usage que tu fais de mon corps, de mon sexe, de ma bouche, de mon cul. Il ne sont que les instruments de ton plaisir, sur lesquels tu exerces ton pouvoir, ce dont tu sers pour expérimenter tes désirs, laissant libre cours à ton imagination perverse. J’ai voulu, librement, que ton autorité sur moi soit absolue, que tu puisses jouir de moi sans retenue, exerçant tes prérogatives de Mâle, en tous lieux, à tout moment, en toute liberté. La seule liberté qui compte désormais pour moi c’est la tienne, celle du Mâle. J’ai décidé de ne me soumettre qu’à une seule loi, la tienne, celle de ton plaisir, de tes désirs, de ta jouissance. C’est la seule qui compte dorénavant pour moi. Elle n’est pas gravée définitivement dans le marbre, mais ne dépend que de toi, de tes envies, de tes pulsions. Elle est ce que tu décides, ce que tu veux, ce que tu m’imposes. Tu es en droit de tout me demander, de tout exiger de moi, de punir toute désobéissance, tout manquement de ma part de la manière que tu jugeras appropriée. Ton plaisir est un apprentissage. A toi de me dresser à te satisfaire, à coups de bite et de cravache. Tu es en droit de te montrer sévère, voire même injuste, et tes décisions sont sans appel. Si tu penses que je dois être punie je dois me soumettre au châtiment que tu as décidé, avant de te témoigner ensuite ma reconnaissance de faire en sorte que je progresse toujours et encore dans ma soumission à toi. Toi seul est en droit de me juger, selon les critères qui sont les tiens. Je te dois respect et dévotion, obéissance absolue peu importe ce que tu exiges de moi, puisque tu peux tout exiger. Ta violence est légitime puisque c’est celle du Mâle. J’ai accepté de la subir en me donnant à toi. Tu n’as pas t’en justifier, mais simplement à me l’imposer. « La propriété est un droit, inviolable et sacré ». Ce droit, c’est le tien désormais. Aucun homme avant toi ne m’a jamais possédée. Ils croyaient que je me donnais à eux, c’est moi qui les utilisait, décidant de ce qu’ils pouvaient m’imposer fixant le cadre, dictant les règles. J’ai appris d’eux le plaisir, la jouissance, les désirs et les perversités du Mâle, pour pouvoir me préparer à toi. Pendant longtemps, passant d’un mec à l’autre, je t’ai attendu, rêvé, désiré, fantasmé. jusqu’à ce que nous rencontrions enfin. Tu as su me séduire, m’apprivoiser, me conquérir, faisant tomber une à une toutes les défenses que je m’étais construites, pour me protéger, éviter de m’engager. Tu as pris le temps de me donner confiance, en toi, en moi, pour que je sois totalement libre de choisir de m’offrir à toi avant de m’accepter comme ton esclave. Je t’appartiens désormais. Par tous mes trous, toutes les fibres de mon corps. Tu es l’Homme, le Mec, le Mâle, mon Maitre. Tu as tous les droits sur moi. A toi d’en abuser, pour ton plaisir et le mien. Je me prosterne devant toi. Merci de me permettre d’exister pour toi.
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Par : le 09/12/19
J’aime ton sexe, ta queue, tes couilles, ton gland, et ce qui s’en écoule, ta mouille, ta semence. Je me prosterne devant lui pour l’adorer, le vénérer. J’aime sentir ses effluves, ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse, de foutre qui caractérise le Mâle. J’aime te montrer le désir qu’il m’inspire, en le caressant, l’embrassant, le léchant. J’aime te prendre en bouche, te sucer longuement. Faire durcir, se tendre ta virilité et faire monter en toi le désir de t’en servir pour me posséder et jouir de moi. J’aime le moment où tout bascule quand ton désir de Mâle en rut l’emporte sur tout le reste. Lorsque tu me prends la tête entre tes mains Pour me pilonner, me défoncer la gorge. Jusqu’au moment où tu ne n’en peux plus de te retenir. Et que le foutre jaillit, à longs traits saccadés, que je déguste au fur et à mesure que tu le répands en moi. Puis, lorsque tu t’es libéré, que la tension est retombée, que tu m’as comblée de ta semence, j’aime nettoyer ton sexe, ton gland avec ma langue pour ne gaspiller aucune goutte de ta liqueur sacrée. J'aime te sucer. Dans les lieux les plus insolites, dans ta voiture, un parking, les toilettes d'un restaurant, dans un ascenseur à l'arrêt, sur une aire d'autoroute. J'aime te sucer. Dans toutes les positions, à genoux devant toi, couchée sous toi, accroupie sur toi, allongée à tes côtés. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle. Parce que tu es mon Maitre et que je jouis de te faire jouir.
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Par : le 25/11/19
(Réédition du 25/11/2019 -> 31/03/2024 - 690 Vues) . (Lettre ouverte à une Masochiste Brat) Bonjour très chère, Je profite de ce court laps de temps que tu sois en dehors de ce site pour t'écrire ces mots "doux". En ces temps où les sites BDSM se découvrent moins actifs, et les membres / Animateurs/trices se voulant respectueux de la gente féminine, je comprends infiniment que tu passes, toi et tes congénères, de sites en sites à la recherche de matière. Loin d'être improductif, il est vrai que d'autres sites ont la chance d'avoir un tchat un peu plus actif de par leur ergonomie, et moi-même je suis conscient de perdre "des bonnes affaires" à ne pas migrer là où les "o" paraissent plus chaudes. Seulement voilà, la bonne santé de ce genre de site se révèle dans le professionnalisme de Ses Dominants et non dans des attroupements de femmes excitées ou en berne. Je sais que c'est dur de gérer l'ennui et le manque de stimulation dans ces moments là, et tu pourrais me poser la question : "Mais où sont les Sadiques Bordel ?!!". Et bien la réponse est : Ils migrent pour la plus part sur des adopteunequeuepointcom ou jelibertinemonculpointnet. La raison en est simple, la femme s'est battue dans son émancipation à également devenir plus casse-couilles et indécise qu'auparavant, et il est très difficile de faire la différence entre une Masochiste Brat dans son besoin d'être torturée, d'une femme frustrée se voulant insolente pour se faire simplement pilonner la chatte. Ce qui en revient à réécrire ce que je t'ai mentionné dernièrement ; Soit tu décides de t'investir dans une relation "relativement" conventionnelle, et ton compagnon est compatissant envers ta "cause". Et là tu t'arranges pour avoir des Dominants/Sadiques réguliers pour avoir ta dose. Tu survivras mieux aux hivers à rallonge. Soit je m'occupe de ton cas. Tu te veux ou t'improvise être la loi de la provocation et de l'emmerdement maximum, mais entre une Masochiste Brat et un Dominant, c'est une cohabitation qui s'impose... Ne serait ce que pour conserver nos plaisirs respectifs. Clairement, donne moi ce que je veux, et tu auras droit à tes récréations à vouloir m'emmerder. Lorsque tu me reviendras, et que tu verras cet article, j'attends de toi que tu postes sur le mur de mon profil une photo de toi dans Ta Soumission et de ton besoin le plus incessant (Je me contenterais d'une photo de toi via ma messagerie, si tu n'as pas avancé d'un pouce d'un point de vue exhibition). Pour t'aider, tu n'auras qu'à penser que pendant que mes mains te serreront fermement le cou, je te laisserais pénétrer mon regard, à te faire ressentir tout ce que je peux faire d'une femme si je m'abaisse à ne plus réfléchir moi-aussi. Au delà de ton rictus qui ne manquera pas de subvenir sur ton visage lorsque tu liras ces lignes, Ton sourire m'est acquis. Alors passe de bonnes fêtes de fin d'année si nous ne nous voyons pas d'ici là :b Et ne te fais pas BAN pour des conneries. ChatMOnYou.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 18/11/19
Pour moi, bdsm et sexe sont inséparables. J’ai besoin de sexe, je suis accro, sex addict. D’aucun(e)s pourront me qualifier de nympho, de salope, de pute, je m’en fous. Chez un homme, une forte libido est considérée comme un signe de virilité. Alors pourquoi devrait-elle être stigmatisée chez une femme? Peu importe la manière dont Maxime me prend. J’aime quand il me fait l’amour, tendrement, se préoccupe de mon plaisir. Mais je jouis tout autant (voire davantage) lorsqu’il me baise de façon bestiale, utilisant n’importe lequel de mes trous, ma chatte, ma gorge, mon cul, en laissant libre cours à son besoin de me posséder. J’aime quand il me prend dans des endroits improbables, un ascenseur à l’arrêt, une voiture, un parking, dans les toilettes d’un restaurant, sous la douche, sur une table. Peu importe la position qu’il m’impose, allongée, cuisses écartées, à genoux, la croupe tendue ou encore debout, accrochée à lui. Le sexe est magique quand mon Maitre me baise.
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Par : le 04/11/19
Samia. ***** La bonne me dit: — Merci et bon voyage, Mademoiselle. Entendons-nous, je n'ai pas fait ça par intérêt pour la bonniche, mais pour tester mon pouvoir sur Julien. On redescend. Son père nous attend. Qu'est-ce qu'il a décidé, le gros? Il donne des billets à Julien en disant: — Voilà ta semaine. Sa semaine? Il n'a plus 12 ans, quand même! Enfin si, par certains côtés. Julien me donne aussitôt l'argent. Bien... Je dis au père: — Au revoir, Monsieur. On sera là dans un mois, pour les préparatifs du mariage. Je dis à Julien: — Va dire au revoir à ta mère. — Oui, Samia. Quand il est sorti, le père me pose la question: — Tu ne demandes pas d'argent? — Non, je veux un mari soumis, pas de l'argent. Vous me ferez un cadeau quand je le ramènerai "clean". — Clean, ça veut dire? — Désintoxiqué. Le père me prend par la taille et me colle à lui en disant: — Tu me plais, toi. Je suis sûre que tu es vénale, mais qui ne l'est pas... Si tu réussis, je te proposerai un job dans mon usine. — Un job intéressant? — Je crois... Et là, il m'embrasse sur la bouche. Je me laisse faire un court moment, puis je me dégage doucement en disant: — Beau-papa, nous ne sommes pas seuls. La petite bonne nous regarde en souriant, mais ça ne le dérange pas. Il me donne une claque sur les fesses en disant: — Tu me plais de plus en plus. Dès qu'on est sorti de la villa, je récupère mon sac dans la jeep et je laisse les clés sur le contact. On prend la petite route qui va vers la ville. Bien sûr, je me dis: « Mais qu'est-ce que tu fous? » N'importe quoi! Bah, on verra bien... Je ne veux pas trop réfléchir, j'agis à l'instinct, je réfléchirai plus tard. J'entends une voiture arriver et je fais un signe de la main accompagné d'un grand sourire. Le conducteur s'arrête. Je lui dis: — On va vers l'autoroute, ce serait très gentil si vous pouviez nous déposer dans la direction. Il est d'accord, on monte dans la voiture. L'homme habite dans la région, ce n'est pas un Parisien en week-end. Il a une quarantaine d'années et il est plutôt sympa. Je m'assieds à côté de lui et on parle. Non, le jeune homme n'est pas mon petit ami, c'est mon demi-frère. C'est un tout petit peu plus crédible que mon frère, étant donné que j'ai des cheveux presque noirs et la peau ambrée, je suis la nuit, tandis que Julien est blond et pâle comme... la lune. Je remonte un peu ma robe rouge et la main du chauffeur s'égare sur mes cuisses. Je lui dis: — Vous pourriez peut-être nous déposer au péage de l'autoroute, M'sieur... — C'est que... Je prends sa main et la remonte jusqu'aux poils de ma chatte. Il me jette un rapide coup d'œil et dit: — D'accord... Je le laisse un peu jouer avec ma chatte, ça ne mange pas de pain. Au contraire, ça fait plaisir à tous les trois: ma chatte, lui et moi. Pourquoi dépenser de l'argent pour un taxi alors qu'on peut demander à des gens de vous déposer. Mon chauffeur peloteur nous amène au péage. Je lui donne un baiser et on sort de sa voiture. En descendant, je me trousse pour lui montrer mes fesses. Le pelotage, c'est le prix de la course, la vue de mes fesses c'est le pourboire! Je laisse passer quelques voitures immatriculées dans la région. En voyant arriver un petit autocar, je m'avance avec mon plus beau sourire. Merde! Il ne s'arrête pas. Ah, si. Il s'arrête un peu plus loin. Je crie à Julien: — On court. J'arrive à la portière du conducteur. Il baisse sa vitre et je lui dis: — Mon frère et moi, on va vers le Sud... — Montez. Les prêtres veulent bien vous prendre. Les prêtres?? Je fais le tour et on monte. Les passagers sont tous des gens d'un certain âge. Ils nous sourient, moi aussi. Dans le fond du bus, il y a deux prêtres... en soutane! Je leur dis: — Bonjour. Merci beaucoup de nous prendre. Un des prêtres est un gros homme chauve, ou alors on lui a raté la tonsure. Il a le nez assez rouge. J'ai l'impression qu'il doit abuser du vin de messe. À côté de lui, je découvre un prêtre beaucoup plus jeune. Le gros ecclésiastique nous dit: — Soyez les bienvenus, mes enfants... Ne soyez pas surpris de nous voir en soutane, nous sommes des intégristes et nous allons à un congrès à Marseille. — Oh, c'est une chance mon Père, nous allons aussi à Marseille. — Dieu nous a mis sur votre chemin, ma fille. Je me présente: père Martin, curé de Varennes-en-Argonne et voici le Père Lucas, curé de Stenay. Je réponds bien poliment: — Enchantée. Moi, je m'appelle Samia et mon demi-frère, Julien. J'ajoute un peu plus bas: — Il est un peu demeuré. Vu la tête d'ahuri qu'il fait pour le moment, c'est très crédible. À l'arrière, il n'y a qu'eux deux et un homme âgé dormant appuyé contre la fenêtre. Le père Martin est sympa. Il nous explique la raison de son intégrisme. Franchement, ça me saoule, mais je fais semblant d'être passionnée. Ils emmènent des retraités catholiques de la région des Ardennes passer quelques jours dans une maison mise à leur disposition par Monseigneur l'Évêque. De mon côté, je lui raconte un peu n'importe quoi. On était en vacances chez des cousins au Crotoy, mais mon frère rêve de voir la Méditerranée. De mon côté, j'ai eu une pneumonie et j'ai beaucoup prié Sainte Sara pour guérir, alors je voudrais aller aux Saintes-Maries-de-la-Mer pour la remercier. Belle petite histoire, non? En plus, c'est vrai, je veux remercier Sainte Sara, mais de m'avoir dégotté Julien. Il me demande: — Tu es une gitane? — À moitié mon père, ma mère est une Rom. — Ce n'est pas un peu dangereux de faire du stop quand on est une fille aussi belle que toi et qu'on a une robe aussi courte? — Je prie tous les jours le Seigneur pour qu'il nous protège... Nous ne sommes pas riches, on ne peut pas se payer le voyage en train. Le père Lucas intervient dans la conversation: — J'espère que vous restez sérieuse, mon enfant. En disant ça, il a tout à coup un petit air lubrique qui me semble de très bon augure. Je réponds: — Parfois oui, parfois non, mon Père. Je dois parfois faire certaines choses pour avoir de l'argent, afin d’acheter des médicaments pour mon frère épileptique. Comme on dit: " nécessité ne connaît pas de loi " Je pousse un peu pour avoir les larmes aux yeux, mais en réalité, j'ai plutôt envie de rire. Heureusement, Julien a pris une mine de circonstance. Le père Martin soupire, puis me répond: — Comme vous avez raison, ma fille... On est parfois obligé de faire certaines choses. Si je vous disais... Là, il baisse la voix: — Si je vous disais que le père Lucas et moi-même commettons parfois le péché de chair, mais nous nous confessons... l'un, l'autre. Ben voyons... Je sens qu'on va s'entendre comme larrons en foire, les pères et moi. On discute encore un peu. Il me dit qu'on va voyager toute la nuit et qu'on sera à Marseille demain, en fin de matinée. Ils ne vont pas à l'hôtel, car ils n'ont pas un gros budget pour emmener les pensionnés en vacances. Je remarque la montre du Père. Je lui demande: — Oh! vous avez une Rolex, mon Père? — Oui... euh... un cadeau d'un de mes paroissiens, certainement une fausse. Je prends son poignet et je regarde attentivement sa montre en disant: — Non, non, c'est une vraie Rolex. — Vous croyez? Comment voyez-vous cela? — Parce que l'aiguille des secondes est fluide, elle semble flotter sans à coup. Les aiguilles des secondes des fausses ont un mouvement saccadé. Ils sont impressionnés par mon explication. Il faut dire que j'ai déjà eu quelques Rolex dans les mains, quand... euh... passons. On s'arrête à une station d'essence pour faire pipi et manger. Le père nous conseille un sandwich. Julien a vraiment l'air à côté de ses pompes. Il faut dire que je le désintoxique à la dure: pas de joints, pas de coke et même pas d'alcool... C’est moi, sa drogue! On choisit des sandwichs et des bières. Dès qu'il a vidé sa bouteille, Julien me demande: — Je peux avoir une bière de la région? S'il te plaît, Samia. Je... ça me fait du bien, juste une s'il te plaît. J'adore quand il me supplie comme ça. Je le laisse un peu attendre. Si on était seul, je le ferais ramper et lécher les semelles de mes chaussures. Je finis par lui répondre: — C'est trop cher. Le père Lucas lui donne une pièce en disant: — Tiens, va chercher ta bière. Julien prend la pièce en remerciant, mais il me regarde... je vais dire, peureusement. Genre: « Je peux? » Je lui fais un petit signe de tête et il bredouille: — Merci Samia. Il va acheter ce qu'il y a de plus fort comme bière de la région. J'adore le contrôler. Le père Martin me fait remarquer: — Tu es sévère avec lui. Aah, on se tutoie? Je réponds: — Il a tendance à trop boire et il n'a pas fini sa croissance (surtout du côté de sa bite!). Je fais ça pour son bien. On parle encore un peu... de moi. Ils me font des compliments, je suis si belle, et puis mes yeux noirs et puis mes... Comme ils louchent dans mon décolleté, je propose: — Mes nichons? Ils pouffent comme des collégiens. — Oui... Vous êtes une très belle jeune femme. Le conducteur vient nous dire qu'on doit repartir. On remonte dans le car et on va s'asseoir à l'arrière. Il y a un retraité, le Père Lucas, moi, le Père Martin et Julien. La nuit tombe et dans la pénombre, la main du père Martin s'égare sur mes cuisses. Je le laisse faire. C'est un prêtre, après tout. Il fait de plus en plus sombre dans l'autocar. Tout le monde dort ou somnole ou fait semblant. Le père met ma main sur la bosse qui déforme sa soutane et me dit à l'oreille: — Ma chère enfant, jouons cartes sur table. J'ai envie de toi et tu n'es manifestement pas une oie blanche. Quatre cents francs pour une pipe au père Lucas et à moi. À suivre. Si vous voulez des renseignements sur mes livres, des photos et des dessins, écrivez-moi mia.michael@hotmail.fr
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Par : le 02/11/19
(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues) . Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent. Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise. La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein. Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre. Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o", avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées. Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 28/09/19
Je la connaissais bien, la bougresse, et j'entretenais une relation exécrable avec elle. Il faut dire que je n'avais que des mauvais souvenirs en sa compagnie. Je la trouvais laide, impitoyable, fondamentalement détestable. Je la haïssais avec passion, la chienne... Et puis un jour, sans prévenir, je l'ai embrassée. Nul récit saphique ici, celle dont je parle aujourd'hui se nomme la Douleur. Un grand mot, pour de grands maux. J'ai passé 20 ans à ses côtés, sans la connaître vraiment. À tenter de la repousser, de l'annihiler, et à défaut, de la museler. Et puis, un beau jour, tout a changé. Je n'étais alors coutumière que des fessées raisonnables, de celles qui mettent du piment dans un couple, mais ne laissent de trace ni sur le corps ni sur l'esprit. Mais ce jour-là, allez savoir pourquoi, il a mis plus de cœur à l'ouvrage. La sensation de brûlure s'est faite plus franche, plus nette. La Douleur est arrivée sur son cheval noir, désagréable, cinglante, et pour finir violente. J'ai décidé de tenir bon, serré les dents et enduré, pour ne pas capituler devant Elle. Et c'est là que le miracle s'est produit... Il y a eu un basculement dans ma tête, dans mon être. Un lâcher-prise salvateur. Tout à coup, j'ai cessé de lutter contre la Douleur. Je l'ai regardée, droit dans la noirceur de ses yeux, et je l'ai acceptée. Le prochain coup sur ma fesse rougie aurait dû être insupportable. Il l'a été. Mais la seconde d'après, la Douleur s'est faite douce, aguicheuse, et terriblement excitante. Il a senti le changement dans mon souffle, dans ma posture, et a porté un nouveau coup, plus fort. Encore cette brûlure intolérable, suivie immédiatement par un plaisir galopant, plus franc, plus sucré. Qui ne cessait de s'élever plus haut de seconde en seconde. Mon corps se fit alors plus chaud, plus dense, gorgé de sève. Je redoutais le prochain coup dans une attente fébrile, inquiète et impatiente à la fois. Deux nouveaux coups, très rapprochés. La Douleur, immense, éclatante, a pris toute la place. Je n'ai pu retenir un cri, suivi de près par des gémissements, d'abord ténus, puis de plus en plus vibrants. Le plaisir s'élevait en vagues puissantes, divinement ravageuses. J'ai creusé davantage les reins, offrant mon cul affamé, réclamé plus, encore. Plus fort ! Je n'étais plus que désir brûlant... Les coups se sont succédé, mordants, cruels. Les pauses se sont espacées, pour finir par disparaître, la cadence devenant somptueusement diabolique. Je ne supportais plus que ça s'arrête... Je priais, implorais, pour que les coups pleuvent. Je n'avais jamais tant perdu le contrôle de moi-même. La morsure dans ma chair était intolérable, mes cris, emplis de sanglots, se faisaient déchirants. La Douleur était omniprésente, immense, superbe, elle m'aveuglait de sa force et annihilait ma volonté. Le plaisir, incandescent, dévastateur, prenait tant de place que c'était à la limite du supportable. Mes gémissements s'étaient mués en râles, longs, profonds, suppliants, remontant des tréfonds de mon être. Jamais je n'avais ressenti une telle montée de plaisir, aussi entière, étendue, étourdissante. Plus rien d'autre n'existait que les coups et la Douleur. Et mon plaisir, toujours plus fort, au-delà de ce que je pensais possible. L'orgasme, salvateur, est enfin venu m'en libérer. Long, très long, démesurément fort, ne ressemblant en rien à tout ce que je connaissais jusque-là. Une sensation pure, nouvelle, presque trop puissante pour être supportée. Les coups ne cessèrent qu'après que mon corps, agité par de violents mouvements incontrôlables, ne finisse par s'effondrer. Je ne faisais plus un bruit, je ne bougeais plus, je ne respirais même plus. Je n'étais plus. C'est lui qui, inquiet, m'a ramené doucement à lui par la voix, me rappelant qu'il y avait un monde, dans lequel j'existais. Il m'a fallu un long moment pour reprendre pied, revenir à la réalité. Je planais... Haut, très haut. Je ressentais une sérénité pleine, absolue, comme je n'en avais jamais connue. Tous mes doutes, toutes mes peurs, toutes mes angoisses, tous mes regrets, tout s'était envolé, loin, très loin. L'abandon, la plénitude... La sensation d'avoir trouvé ce que je recherchais depuis toujours sans le savoir. D'avoir touché du doigt le Beau, le Sacré, la Vie. Je me sentais bien. Je me sentais moi. Il m'a fallu du temps pour me remettre du choc. J'ai mis longtemps à accepter ce qu'il s'était produit. Et ce que ça faisait de moi... Mais rien n'aurait pu m'arracher à ça. Ce que la Douleur m'a fait vivre, ce jour-là, transcendait tout. Les codes, la honte, les préjugés, rien ne pouvait faire le poids face à ça. J'avais regardé la Douleur en face, et je l'avais embrassée. Je l'avais aimée... Et dire que je la détestais tant ! Elle était belle, désormais, sur son cheval noir. Grande, puissante, redoutable... Une Reine. Je la respectais. Bien sûr, nous avons toujours nos différends, j'ai parfois du mal à supporter sa présence, mais je sais que lorsque je fais appel à elle, c'est une alliée incomparable. Elle est toujours mon fardeau, mais est devenue mon amie, mon amante... Mon amour secret.
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Par : le 23/09/19
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues) . Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes. Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! : -> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido.. -> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter. -> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens. Et tout s'avère possible ! Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue : 01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité. Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être. Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ? Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres. Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM. 03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ? Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre. Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience. Bon séjour sur le site !   *Trait d'humour caché dans le titre de cet article. Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.  
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Par : le 08/09/19
(Image du Net) Nous évoquons souvent nos histoires, nos passions, nos déchirements dans les affres des sens… Mais par-delà ces sens, il y a aussi l’à-côté, ce que nous sommes, quel que soit notre couleur, capables de faire. Et souvent, pour les "Guidants", nous évoquons peu cet à-côté…. Et je vous livre un de mes aspects…sur cet à cotés…qui je suis certains est loin d’être unique… Nous avions fait connaissance sur un site de rencontre spécialisé dans cette passion des sens, pour ne pas le nommer. Elle m’avait abordée, non pas pour répondre à mon annonce, mais plus dans le bût de mettre des réponses à ses maux de la vie de tous les jours, mais aussi de comprendre ce qu’au travers de mon « Château » était ma vision de ces affres, qu’elle avait connue d’une façon dans sa vie passée. Mariée depuis plusieurs années, elle se posait maintes questions sur ces maux, sur ces envies qui lui revenaient de ce passée de vie. Elle essayait de comprendre pourquoi, d’un mari, qu’elle me révéla violent, elle aspirait à autre chose…mais que de Violence cependant elle en appréciait certains aspects… Il était certain que de notre relation, nous ne pouvions présager de la suite…car de distances nous nous séparant, nous avions…et malgré sa ravissante personne, je n’en aspirai guère plus… Mais la vie ne peut être présagée…et de fils en aiguilles notre relation naquis et vit le jour par le hasard d’une rencontre des plus fortuite…mais le sujet n’est pas en cela…. Après un an de passions et de patiences, entre coupés de maux et de délicieux mots, j’avais réussi à lui faire comprendre la nécessité de se séparer de son mari… non pas pour que notre relation soit plus grande et unique…mais pour sa sécurité et celle de ses enfants Elle avait réussi à déménager sa petite famille, cependant elle ne resta pas loin de ce sombre personnage…. Mais j’étais rassuré d’une part par son chemin fait et que d’autres parts, elle avait emménagé juste à côté d’une amie commune… J’étais rassuré à ce pas et ceux qu’elle dessinait tant pour elle, divorce, etc., mais aussi que nous avions pris le partie que je me rapprocherai d’Elle dans les prochains temps…. Non pas pour vivre sous le même toit, mais non loin…. Ainsi, J’aspirai protéger davantage sa personne, le temps que tout soit finalisé pour Elle, et que son Mari ait pris le partie de cette nouvelle situation et pris d’autres vents… Et bien sûr, perdurer dans notre relation… Nous avions dessiné l’espoir de sa venue, durant le week-end précédent, le soir même pour que nous puissions profiter de ce 14 juillet sur Paris…. Ma journée devait être une succession de réunions, et m’offrait guère loisir de pouvoir suivre notre conversation, quant à sa venue et autres…. Nous avions l’habitude de parler d’échanger tout le temps, par tous les moyens que nous avions…un lien permanent que nous aimions entretenir, et qui comblait ce manque de présence physique entre chacune de nos rencontres…. Au départ de ma première réunion, le soleil brillait dans nos échanges…comme à chaque fois… Quand, au milieu de celle-ci… « Il est là,…il n’arrête pas de passer devant la maison…j’ai peur…que dois-je faire ? »….. Je pris congés rapidement de la réunion, pour l’appeler immédiatement…mais je ne pouvais guère m’absenter longtemps… Au téléphone, sa voix était tremblante et j’en fus encore plus blessé devant cette impuissance dont j’étais « victime »… Cependant, je fis en sorte de l’aider en lui conseillant de prendre le téléphone toujours avec elle et de mettre en « raccourci » le numéro de la Gendarmerie…ainsi que de celui de son amie, qui malheureusement n’était pas présente…. Je lui conseillai bien sûr de s’enfermer à double tour et de surveiller son approche… Je tentai de la rassurer avec le peu de moyens dont je disposais… Mais il n’en était pas à sa première intimidation, et déjà par le passé, il eut à faire à la Gendarmerie… après lui avoir volé son sac… et toutes ses affaires… Difficile de pouvoir, juste par l’argumentation, calmer, rassurer celle que l’on a, celle qui s’offre entièrement à Vous….Mais pas d’autres solutions dans l’instant… Cependant, elle me rassura après quelques minutes de discussions, en m’indiquant qu’elle suivrait mes consignes et que si d'aventure…elle me préviendrait Je dû me résigner à retourner en réunion, non sans avoir la tête à cet hypothétique malheur pouvant lui arriver… Pendant toute la matinée, je lui envoyais des sms, elle aussi pour nous tenir informé de l’évolution… La journée s’écoulât ainsi…entre sms, appels téléphonique…. Et l’angoisse certaine qu’un malheur peut, à chaque instant de la matinée, se produire… Je ne prenais pas la peine de regarder les horaires de trains, les connaissant déjà par cœur…et je réfléchissais, comment m’arranger pour m’éclipser de bonne heure pour prendre la route… Même s’il y avait 4 heures de route, même si, me trouver face à face avec son mari, bien mieux bâti que moi….et également l’inconfort de ma petite voiture…et même si je ne m'étais jamais rendu chez Elle....j’étais prêt à tout pour la protéger… En fin de matinée, elle me rassura, me prévenant qu’elle avait réussi, par téléphone, à calmer son Mari… Mais je lui évoquai le fait de ma probable venue…. Tout le reste de la journée fut ainsi…entre discussion et échanges de mots doux…sur cette probable venue, qu’elle n’aspirait pas…simplement pour éviter une quelconque confrontation… Il est certain, qu’en pareille situation…le cerveau bouillonne, les sens sont plus qu’en éveille…et le moindre vrombissement du téléphone en devient presque torture…. En fin de journée…il n’est plus question de ce 14 juillet ensemble…afin, une fois encore éviter le pire de son mari… J’en étais triste…mais comprenait son choix…. Résigné je me rentrai chez moi alors… Mais le doute persistait encore en moi de ce sombre individu et de ses actes… Je décidai, malgré son désir de me rendre chez elle, n’est-il que pour la savoir en sécurité… J’outre passais donc son choix… Pris mes affaires, et je pris ce chemin d’enfer…. À mi-chemin, je lui indiquai que je venais…Elle entra dans une rage…que je ne pouvais contenir en lui répondant tout en conduisant…. Je m’arrêtai plusieurs fois sur la route, essayant de la raisonner … Je pris aussi contact avec son amie, pour lui demander ce qu’il en retournait…mais elle n’était pas sur les lieux…. Ce qui me fit, que confirmer le besoin de « Savoir » par mes propres yeux que tout allait bien…. Il me restait encore une heure de route….et la nuit était déjà bien avancée Je l’appelai pour calmer sa « Rage » à nouveau…mais pas de réponse…. Je lui envoyai un dernier message « Je viens, Point…Tu es prête et tes affaires aussi, je t’emmène avec moi…Sinon j’aviserai »… Cette dernière heure me sembla interminable…entre les maux de la savoir potentiellement en danger, ceux également de me trouver devant ce dernier personnage… Une multitude de songes les uns plus rudes que l’autre…. Il me restait cependant un dernier point qui contribuait aussi à mes troubles… Je ne m’étais jamais rendu encore chez son nouveau « Chez Elle », certes je connaissais là où Elle demeurait précédemment, et avais sa nouvelle adresse…Mais j’étais dans l’inconnue de savoir si je trouvais… Elle venait d’emménager dans une résidence des plus récentes, et même les « Googles Map » et autres cartographies n’avaient su m’indiquer le chemin…. J’escomptai trouver une carte, un plan dans son village pour m’indiquer le bon chemin…Mais l’heure n’était pas encore à cela…. La route défilait, et j’arrivais enfin à la sortie d’autoroute… Je regardais mon téléphone…mais aucune réponse de sa part…. Je m’approchai de la ville, et mon premier trajet était de me rendre à son ancienne demeure pour constater ou non si la voiture de son homme était présente…. Passant devant la maison, j’y constatai la lumière encore allumée, une ombre de forte taille y était…me confirmant la présence de ce lugubre personnage…et qui fut rehaussée par la présence de la voiture de ce sieur…. J’étais rassuré déjà de le savoir ici et non près de mon Elle….Et j’étais rassuré aussi de ne voir sa voiture… (Il faut dire qu’elle avait le Don de se mettre dans des situations des plus ubuesques comme se rendre chez lui malgré ce qu’il lui faisait subir….) Je prenais alors la route vers l’endroit où elle demeurait….Il me restait plus qu’à trouver sa demeure… Mais ma peine ne fut guère récompensée…arrivant dans le village…je cherchai un plan… Mais pas de telle indication…. Vu l’heure tardive, hélas, personne ne se trouvait dans les rues… Je m’arrêtai alors une dernière fois, près de la Mairie, après avoir fait plusieurs fois le tour du village…. Regardant mon téléphone…sans aucune réponse…. Je pris le temps…de fumer une cigarette…contemplant avec une tristesse certaine ce beau ciel étoilé…Mais avec au moins le réconfort de savoir ce lugubre non chez Elle…. Je tentais un dernier appel…. Sans réponse… Je repris la route…simplement Et tout le long du trajet, je tentai de ne penser à rien… Mais les images de nos Passions revenaient sans cesse, accompagnées de ces questions que l’on se pose quand on se retrouve « Porte close »… 2h30 du matin, il me restait environs 150 klms…Mon téléphone sonne….un sms …C’était Elle…. Elle me demandait où j’étais…. Je pris la première aire d’autoroute… Me gara…. Et je l’appelai… Elle ne répondit pas de suite… Après plusieurs appels et SMS, Elle dérocha enfin… Elle m’expliqua qu’elle s’était endormie et n’avait pas entendu le téléphone…mais elle ajouta…qu’elle ne pensait pas que j’étais réellement venu… Mon sang bouillit instantanément… Je lui raccrochai au nez tout de Go… Une rage, un désappointement immense me submergèrent… Comment pouvait-elle penser pareille chose me concernant ? ? Comment pouvait-elle penser que je n’avais fait telle chose, alors que j’étais en train de faire tout pour me rapprocher (déménager) pour Elle ????? Comment, pourquoi…. Maintes questions qui fusent dans la tête…à une rapidité…. Le téléphone sonna à nouveau… C’était Elle qui rappelait J’ignorai son appel…. Elle rappela…plusieurs fois… Je fini par décrocher…. Elle s’excusa pendant une demi-heure…au téléphone…. Je lui proposai de faire demi-tour…malgré la fatigue…malgré les Maux…malgré…malgré…. Je me retournai donc, seul…chez moi… certes rassuré de la savoir sans Danger… Mais avec une amertume…certaine…et des dessins « gris » de notre devenir… A ses lumières vacillantes d'une si belle relation soufflée par la tourmente des incompréhensions .....
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Par : le 30/07/19
La chaleur avait été accablante. Tu es rentré épuisé, tu t’es déshabillé, pour t’allonger, nu sur le lit Je sortais de la douche, j’étais propre, fraîche Je me suis allongée à tes côtés Pour caresser, embrasser, lécher ton corps luisant de sueur tes aisselles, ton sexe odorant Chienne en chaleur enivrée de ton odeur animale, ton odeur de Mâle J’ai parcouru ton corps avec mon visage, ma langue, Je t’ai fait bander dans ma bouche. Pendant que tu te reposais, je suis retourné sous la douche Je me suis enduite de savon, m’en remplissant le cul Tu m’a rejointe, j’ai savonné ton corps en me frottant contre le tien Pendant que l’eau tiède coulait sur nous. Ta queue était dure, raide, Tu m’as retournée, plaquée contre le mur Je me suis cambrée, pour mieux t’offrir mes reins Tu m’as prise, brutalement, sauvagement Utilisant mon cul rempli de gel douche Pour nettoyer ton sexe tout en me possédant Allant et venant en moi Plus profondément à chacun de tes coups de bite Jusqu’à l’explosion finale, ta semence qui jaillit, me remplit, me féconde Nous laissant épuisés, me laissant comblée. J’aime la canicule qui me permet de jouir de toi
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