La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Hier, 12:11:25
J’aurai aimé t’aimer, mais désormais tu sais Qu’aimer ce que l’on fait n’est pas toujours aimé La personne avec qui l’on part dans les méandres Des tes cris, de mes cris, que nous aimons répandre.   Tu me dis, aujourd’hui, vouloir passer un cap Avant le Tour de France, de franchir une étape. Mais je ne le peux pas, non pas par volonté Mais par amour pour toi, je ne peux pas t’aimer.   On s’est ouvert un soir, dans ce très beau café, Tu m’as offert ton corps à ton lit attaché. Tu t’es soumise à moi et nos corps ont vibré Et lorsque l’on se voit, c’est pour recommencer.   C’est une belle histoire, mais pas un beau roman. Tu fais frémir mon corps, et réciproquement. Et le Divin Marquis, du fond de son enfer, Doit sans doute applaudir en buvant du Sancerre.   Mais, vois-tu, notre histoire est bâtie comme ça : On aime se surprendre et, vraiment, ça me va. Mais j’ai bien trop à perdre à te choisir pour femme Moins souvent allumée, plus intense est la flamme.   Retiens donc cette larme, écoute-moi encore : Ce n’est pas de l’amour mais c’est quand même fort. Nos soirées et nos nuits s’envolent vers des cieux Retiens donc cette larme aux abords de tes yeux.   Petite, si tu le veux, demain, nous parlerons De notre point commun : de fouets et de bâtons. Pas sûr que ça suffise, tu viens de l’avouer Mais désormais tu sais : J’aurai aimé t’aimer.
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