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Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cet épisode fait partie d’une série, « Antigravité ». Je vous invite à lire les deux premiers épisodes avant celui-ci.
Et sinon, en très résumé : Laura, une journaliste, a été introduite par Paul, bras droit du Pr.Milton, dans un labo top secret pour tester un prototype d’antigravité… ce qui l’oblige à être nue et porter « en elle » un nodule bio-médical. L'insertion du nodule s'est faite via une machine particulièrement lubrique.
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Paul n’a pas rêvé : il vient d’entendre très distinctement des cris de jouissance effrénés venant du bloc médical. Puis, plus aucun bruit. Au bout de quelques instants, la porte s’entrouvre et une Laura encore chancelante émerge de la pièce.
Elle n’a pas pris le temps de récupérer ; une chaleur résiduelle pulse entre ses cuisses, rappel de l'orgasme dévastateur qu'elle vient de vivre. N’ayant pu se résoudre à sortir du bloc médical entièrement nue, elle a remis à la va-vite son chemisier. Elle ne porte rien d’autre, oublieuse apparemment que cela exacerbe sa volupté et n’épargne en rien sa vertu.
Le fin vêtement, translucide là où il colle à sa peau moite, souligne plus qu’il ne dissimule un mont de Vénus soigneusement entretenu, ainsi que la pointe de ses mamelons, durcis par l’air frais du labo. Bien qu’il n’en laisse rien paraître, ce reste de pudeur stimule l’imagination de Paul.
— Eh bien, on dirait que vous venez de vous faire une nouvelle meilleure amie, là-dedans ! lance-t-il, en désignant la porte d’un signe de tête.
Laura s'arrêta net, le cœur battant. Un frisson d'embarras la traverse. Elle croise les bras sur sa poitrine, mais cela ne fait qu'accentuer la courbe de ses seins. Ses joues s'empourprent, et, feignant l'indignation tout en sentant une nouvelle vague de chaleur monter en elle, elle le foudroie du regard.
— Vous feriez mieux de pas trop la ramener, Paul. Après ce que cette … machine viens de me faire subir, je pourrais facilement vous traîner en justice pour… pour traitement inhumain. C’était ignoble ! lui dit-elle, scrutant sa réaction avec une intensité trahissant son trouble.
— Pourtant, mon petit doigt me dit que c'était loin d'être si terrible, plaisante-t-il d’une voix suggestive.
— Je vous remercie de changer de sujet ! rétorque Laura, évitant son regard.
Elle sent que son corps répond malgré elle, une humidité traîtresse se reformant entre ses jambes.
— On est là pour l'antigravité, pas pour... ça.
Elle ne sait pas s’il a quelque chose à voir avec ce qui vient de se passer… mais il hors de question qu’elle lui dise à quel point elle a apprécié son passage par le bloc médical. Le rouge aux joues, Laura détourne les yeux, mordillant sa lèvre inférieure. L'idée qu'il l'ait entendue hurler de plaisir la mortifie… mais l'excite aussi, bizarrement – une humiliation délicieuse qui fait pulser son intimité.
Paul n’est pas dupe une seconde. Il a tout entendu – les gémissements étouffés, les cris de plaisir qui ont traversé la cloison, trahissant comment Laura s'est abandonnée à l'assaut implacable de l'unité d'insertion. Cette machine l'a malmenée, possédant son intimité dans les moindres recoins. Et pourtant, à aucun moment elle n'a appelé à l'aide, n'a supplié pour que ça s'arrête.
Tu vas pas me jouer ta sainte-nitouche maintenant, ma belle ! pense-t-il avec un sourire intérieur.
À l'idée de cette journaliste si fière réduite à une boule de plaisir par une simple machine, il sent son propre désir s'éveiller, dur et intransigeant dans son pantalon. Mais il ravale les taquineries et ramène la conversation sur le cœur de leur visite nocturne.
— Et si on passait enfin aux choses sérieuses ? propose-t-il d’une voix calme, contrastant avec la tension palpable entre eux.
Son regard glisse sur ce corps à peine voilé, notant la façon dont ses cuisses tremblent encore légèrement.
— Maintenant que vous êtes... parfaitement équipée, on pourrait tester ce prototype. Qu'est-ce que vous en dites ?
— Pas trop tôt, rétorque Laura avec une pointe de défi, les joues encore rosies. Après tous ces… préparatifs, je pense avoir bien mérité mon tour de manège !
Le scientifique lui désigne la passerelle donnant accès à la plateforme. Tandis qu’elle se tourne, les yeux de Paul s'attardent un instant sur la courbe exposée de ses reins, à peine voilée par le chemisier froissé. Laura sent ce regard sur elle ; un frisson la traverse malgré elle – Pourquoi ça m'excite autant ? Je devrais être furieuse, pas... mouillée à nouveau.
Feignant l'indifférence, elle s'avança vers le prototype, sans chercher à dissimuler ses formes ondulantes, ses hanches se balançant avec une audace qu'elle ne se connaissait pas.
Quelle importance, de toute façon ? Dans quelques secondes, je serai nue, offerte à ses yeux voraces, et une partie de moi en redemande déjà.
Pendant qu’elle monte sur la plateforme, il passe d’un ordinateur à l’autre, s’affairant à mettre en branle tout le système. Paul pianote sur les consoles, l'air concentré, mais ses yeux glissent occasionnellement vers Laura, traçant les contours de son corps sous le chemisier fin.
Une vibration sourde s’élève dans le labo, tandis que les équipements finissent de s’initialiser, pompant goulûment des mégawatts de puissance dans l’enchevêtrement coloré des câbles d’alimentation.
— On est encore loin de la commercialisation, admet-il avec un haussement d'épaules. Notre bébé est un peu trop gourmand pour une utilisation raisonnable… Enfin, dans le cadre d’applications pratiques.
Laura croise les bras, sentant une chaleur traîtresse monter en elle. Il me regarde comme si j'étais déjà nue. Et si je l'étais ? Il verrait tout... l'humidité entre mes cuisses, la preuve que tout ça m'excite, malgré moi.
Elle rougit violemment, mais force un ton léger.
— J’en voudrais pas dans mon salon, si c’est ce que vous suggérez.
— Ce que je suggère surtout, c’est de vous dévêtir rapidement et de vous allonger. On n’est plus très loin du niveau critique – mieux vaut être prête.
Laura déglutit, imaginant déjà ses doigts sur les boutons de son chemisier, exposant sa peau moite, ses seins tendus... et plus bas, la trahison humide de son excitation. Il va voir ça, et il saura à quel point je suis... prête. Elle proteste pour la forme, mais son cœur s'emballe.
— Quelle poésie, Paul, ironise-t-elle, les joues en feu. Vous parlez toujours comme ça aux femmes ? C'est... direct.
— Juste un conseil pratique, répond-t-il. Mieux vaut ne pas être debout quand la gravité diminue... Ça peut être perturbant.
— Moi, ce qui me perturbe, c’est votre regard, balbutie-t-elle, rougissant jusqu'aux oreilles. C'est... assez intimidant. Vous pourriez pas fermer les yeux, juste le temps que j’ôte mon chemisier ?
— Laura, j'ai déjà trop à faire avec la procédure de mise en marche pour perdre mon temps à vous reluquer. Mais dans d'autres circonstances... je dis pas, murmure-t-il, pensant aux nombreux enregistrements vidéo qui tournent en silence, capturant chaque instant.
Puis il se replonge dans sa tâche, feignant l'indifférence, laissant Laura seule avec son trouble. Elle hésite un instant, le souffle court, puis défait les boutons un à un, imaginant ses yeux sur elle malgré tout – sur sa peau nue, sur l'humidité luisante entre ses jambes, qui trahit ce désir inavouable. Il va voir ça… et une partie de moi veut qu'il le voie.
Une fois son dernier rempart de pudeur ôté, elle se laisse glisser sur le plancher froid et hostile de la plateforme, s'allongeant comme il le lui a conseillé. Une vibration sourde émane du sol, se propageant dans son corps nu et amplifiant ses pulsations intimes, ce qui la fait rougir de plus belle.
La voilà à quelques secondes de vivre la chose la plus étonnante de sa vie… alors même qu’elle se trouve étendue là et exposée. Plutôt troublante, cette sensation d’impuissance face à l’énorme débauche de moyens techniques et de matériel qui l’entoure – des câbles serpentant comme des veines pulsantes, des écrans clignotants qui semblent la scruter.
Nue, offerte, et lui qui me regarde... Qu'est-ce qui m'arrive ? Mon corps tremble encore de ce qui s'est passé, et maintenant ça ?
Laura fait le vide en elle, fermant les yeux pour mieux se concentrer sur sa respiration ventrale, inspirant profondément pour évacuer le stress – et neutraliser cette chaleur insistante qui refuse de s'apaiser entre ses cuisses.
Quand elle rouvre les yeux, le labo est en train de disparaître : une paroi ondoyante et irisée se matérialise lentement à la périphérie de l’estrade, comme une bulle de savon cosmique qui l'enveloppe. Tout autour d’elle, la sphère Antigravité prend forme, l’isolant du reste du monde comme un immense paravent. Elle ne voit plus à présent que cette surface lisse, d’aspect presque liquide, miroitante et hypnotique. Un spectacle si surprenant qu’il lui faut plusieurs secondes avant de prendre conscience qu’elle ne sent plus le froid du revêtement métallique sous son dos.
Et pour cause, elle n’est plus allongée sur le sol. Celui-ci vient mystérieusement de s’enfuir loin d’elle.
Mais non, c’est moi qui suis en train de m’élever dans les airs ! jubile intérieurement Laura.
Un frisson d'exaltation la traverse, mêlé à une vulnérabilité aiguë – flotter nue, sans gravité, comme une feuille emportée par le vent, son corps exposé à l'inconnu. Elle est en train de vivre ce qui pour tout autre être humain reste un rêve inaccessible : acquérir la légèreté d'une plume. Elle est même plus légère en fait, puisqu'elle flotte sans effort, ses seins se soulevant doucement, son intimité encore palpitante sensible au moindre courant d'air.
— Alors, qu’est-ce que vous en pensez ? Que ressentez-vous ? lui demande Paul, sa voix traversant la paroi comme un murmure complice, la ramenant à la réalité.
Laura rougit, imaginant son regard sur elle à travers la sphère translucide – sur sa nudité totale, sur les traces luisantes de son excitation récente, qui flottent peut-être en gouttelettes autour d’elle. Il me voit comme ça, et ça m'excite... Pourquoi je ne peux pas m'empêcher d'y penser ?
— C’est… c’est vraiment incroyable ! L’impression de planer comme dans un rêve éveillé. On dirait que je ne pèse plus rien.
— Mais c’est le cas, confirme-t-il d'un ton taquin. La pesanteur n’a plus de prise sur votre corps à l’intérieur de la sphère. Je vous vois flotter tranquillement, comme un mirage… D’ailleurs, ce spectacle commence à mettre en appétit le loup qui sommeille en moi !
Laura sent ses joues s'enflammer, un nouveau frisson la parcourt – Il se rince l'œil, et en plus il l'avoue ! Elle proteste pour la forme, mais sa voix tremble d'un mélange de gêne et d'excitation.
— Parce que vous me voyez, là ? Ça vous gêne pas, de me mater comme un pervers ? Et pire encore, de vous vanter de le faire !
— Peut-être qu’un peu d’intimité vous ferait plaisir, alors ? Je peux vous arranger ça, vous me direz ce que vous en pensez.
Paul active un système de projection holographique, rendant la sphère instantanément opaque. Laura se retrouve plongée dans le noir. Enfin pas tout à fait : un spectacle majestueux, au réalisme étonnant se met en place devant elle. Sous l’effet d’une sorte de projecteur, les parois de la sphère ont disparu pour être remplacées par… l’espace interstellaire !
Les étoiles et les constellations l’entourent comme si elle se trouvait au cœur de l’univers, un vide infini parsemé de lumières scintillantes. Ce spectacle, grandiose et ultraréaliste, est fascinant, mais l'impression de dériver réellement dans un vide abyssal, à des millions de kilomètres du bon vieux plancher des vaches, commence assez vite à l'angoisser – flotter nue dans l'immensité, sans ancrage, amplifie son sentiment de vulnérabilité, comme si l'univers entier pouvait la dévorer.
— Paul, vous êtes là ? demande-t-elle d'une voix de petite fille, le cœur battant la chamade, une pointe de panique se mêlant à son excitation persistante.
— Oui, bien sûr, répond-il calmement. Je surveille vos paramètres vitaux, et je vois que vos pulsations cardiaques s’envolent. Tout va bien, Laura ?
— À part le fait que je suis parfaitement terrifiée ? Le reste ça va… avoue-t-elle en rougissant dans l'obscurité, imaginant ses yeux invisibles sur elle.
— Ça vous rassurerait si je venais vous rejoindre ? propose-t-il d’une voix voix chaude, où pointe le sous-entendu. Vous n’avez qu’un mot à dire et je me joins à vous.
Laura hésite, l'idée de sa proximité la faisant frissonner – La rejoindre ? Lui, nu contre elle... Et s'il essaie d'en profiter ? Ouais, mais j'en ai envie, après tout. Pour la forme, elle se devrait de protester, mais son corps trahit déjà son anticipation.
— Eh bien, j’accepte la proposition avec joie… si vous ne cherchez pas à tirer parti de la situation !
— Pensez-vous, je suis un parfait gentleman, dit-il avec un rire. J’arrive immédiatement. Laissez-moi juste le temps de mettre en place le pilote automatique et de me déshabiller.
(à suivre...)
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De l’ombre à la force
J’ai connu l’emprise.
J’ai subi l’humiliation, la dégradation, le poids de chaînes invisibles et visibles.
J’ai été brisée, marquée, utilisée.
Et pourtant… je suis encore là.
J’ai aussi été de l’autre côté.
Dominante. Maîtresse.
J’ai tenu les rênes, imposé des règles, exploré des âmes prêtes à se livrer.
Soumise, esclave, Dominatrice, guide…
Chaque rôle m’a façonnée, parfois dans la douleur, parfois dans l’extase.
Chaque cicatrice est devenue une clé.
Je sais ce que c’est d’être perdu(e) sous l’emprise.
Je sais ce que c’est de se sentir invisible, déchiré entre honte et désir.
Je sais ce que c’est d’être réduit(e) au silence.
Mais je sais aussi qu’on peut se relever.
Et que parler, être entendu(e), peut sauver.
Alors si vous traversez ce tumulte, si vous vous sentez pris dans un jeu qui n’en est plus un, si vous avez besoin d’une oreille, d’un conseil, d’une main tendue, je suis là. Si vous préférez être écoutés qu'entendu.
Discrètement. Sans jugement. Sans rien attendre.
Parce qu’après l’ombre, on peut toujours trouver la force.
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Problème à trois corps
Ta collègue Martine t’en parlera comme d’une série qui lui a donné envie de reprendre les maths, de se trouver un amant et d’essayer la double quand les présentations seront faites avec son mari, Jeff.
Seulement Martine, elle bite rien au chaos et il faudra que tu l’aides à déployer son potentiel de salope qui veut jouer à trois corps le moment venu. Histoire que Jeff garde sa vigueur quand il sentira l’énorme chibre de l’amant frotter contre le sien comme un voisin qu’attaque la cloison mitoyenne de la chatte conjugale à la masse.
Et non Jeff, t’es pas tout seul.
Mais avant de parler double, on va faire simple tu veux. Non, c’est pas une question alors tu la fermes.
A-B-C. Tu connais?
Un début d’alphabet gentillet tu m’diras pas.
Foutaise!
Un truc imprévisible comme t’imagines pas. Une Orange Mécanique pressée dans ton Cosmospolitain et un jus de canneverge dans ton Mimosa quand le barman est encore sobre. Tu sais déjà que ça se finira avec trop d’Amaretto, un entonnoir dans le cul d’une pute et un tapis foutu dans le meilleur des cas.
Spoiler: Oublie le meilleur des cas.
Prenons A tiens. Une belle petite vide couille de planète particulièrement Abitable quoi qu’hostile à 95% des gens et à 95% des 5% restants.
Des tsunamis plein la culotte pour peu qu’elle se prenne quelques Astéroïdes bien sentis à sa surface. Et je te parle pas de sa lune qui ferait pleurer d’amour tous les pierrots de pas sages.
C, lui , c’est le genre d’Astre dense qui fait danser A et qu’était déjà là quand toi tu l’étais pas. Ni moi. Ni A.
Un soleil avec un gros C, comme Chibre ou Cerveau t’as raison, et qui maintient A dans son orbite. Une force d’Attraction phénoménale qui gère sa régie pour offrir à l’univers un son et lumière du feu de Dieu. Sauf que « Dieu est mort » as you know, et que C a été relaxé faute d’éléments à charge.
Là, t’es censée me dire qu’il manque une lettre mais n’y pense même pas salope.
B donc. Alors lui c’est une sorte de Tazzief qui sent quand c’Haroun pas rond. Une exoplanète à ceinture que les éruptions volcaniques d’A fait saliver et qui balance de la grosse buchasse dans sa Béance pour s’assurer que ça fera boom le moment venu.
T’imagines pas les forces en présence, l’intensité de l’affaire et la gravité monstre que nourrissent les perversions de chacun. Dans ce coin de cosmos, les lois ne font plus les hommes mais quelques Doms font la loi.
Alors voilà ce qu’il faudra que tu foutes dans le crâne de Martine:
A trois corps, on jouit en funambules avec le vide sidérale sous les pieds et l’infini des possibles en tête.
On tisse du Big Bang avec de la corde de jute et des noeuds qui feraient pleurer toute les Pénélope de l’univers.
On fait feu de tout bois et on mijote, en cuisson lente thermostat 30, du toqué trois étoiles.
On fait du moindre infiniment petit détail un infiniment grand chaos avec des mains d’orfèvre.
Et tout se perd, tout se crée, tout se transforme.
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Comme d'habitude, madame m'envoie les instructions à j-1. Me raser les parties intimes, m'habiller proprement, aller me laver de l'intérieur en arrivant chez elle puis attendre dans une position spécifique nu devant la porte en portant mon collier et ma laisse. Ma tête doit être droite et mon regard au sol. Après de longue minutes, j'entends et aperçois madame passer devant moi faisant des allés retours au salon. Elle s'approche ensuite de moi avec des lunettes de plongée opaque afin de bloquer ma vue. Quelques minutes plus tard, elle vient me caresser et prend ma laisse. Je dois la suivre à quatre pattes en suivant la laisse qui tire sur mon coup. Arrivé dans le salon, elle m'ordonne de rester à terre et commence à me fouetter avec un des ses nombreux jouets. Cela dans l'unique but de préparer la suite. Au détriment de madame, je m'exprime très peu même si les impacts sont de plus en plus douloureux. Nous avions discuté quelques jours avant des jeux de températures avec la cire, madame l'avait très bien retenu et venait de faire remonter le sang à ma peau afin de rendre celle ci sensible à la cire chaude qui tombait sur elle. Encore un fois, je m'étais très peu exprimé. Après avoir enlevé la cire au couteau puis sous la douche, madame m'ordonna de m'allonger sur le dos cette fois., elle était déterminé à m'entendre gémir de douleurs et de plaisir. Elle me fit écarter les jambes et se plaça entre. Après des minutes de masturbation avec une tiges dans mon urètre, elle décida d'enchener les vas et vient avec une tige très imposante. Cela me fit rentrer dans un état second ou je m'exprimais par les mouvement. J'étais tout le temps en excitations sans qui rien puisse se passer. Madame eu donc ce qu'elle recherchait et sais maintenant comment y parvenir rapidement.
#photoperso
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