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Par : le Il y a 27 minutes
Récit réel d’un réveil coquin avec Mademoiselle.   J’avais chaud et me levait pour entrouvrir la fenêtre de notre chambre par cette belle matinée de printemps. Je laissais cependant les volets clos pour conserver le confort de la pénombre. Nous séjournions en province pour un séjour avec beaux-frères, belles-sœurs et leur multitude d’enfants afin de célébrer un événement familial.    Je revins donc m’allonger aux côtés de Mademoiselle, à moitié endormie, me glissai derrière elle, et l’enlaçait tendrement pour qu’elle se love contre moi. Apres un court moment de quiétude simple; les bruits, les pleurs et les cris refirent surface de part et d’autre du gîte où nous sejournions tous. Rassasiés depuis plusieurs jours déjà de tout ce vacarme et de cette promiscuité incongrue, Mademoiselle et moi commencions à ressentir l’envie pressante de moments plus adultes et intimes.    La campagne était pourtant si prometteuse avec tous ses petits recoins à l’abri des regards; et nous avions déjà entrevu de nous y réfugier pou un petit instant coquin. Mais, hélas, le carcan de la prison familiale ne s’était jamais desserré depuis plusieurs longues journées de préparatifs et de célébrations diverses. Ainsi, la famille ne nous avait pas laissé d’occasions plus satisfaisantes que de petits BJ/HJ/CIM volés et hygiéniques; afin de rester dignes et discrets.   C’est ainsi que, ce matin la, légèrement agacé, je commençait à la serrer un peu plus fort contre moi; faisant glisser une main sous son T-Shirt pour y pétrir un sein, je glissait l’autre sous les plis de sa culotte pour y écarter largement une fesse en signe de rébellion.  Quelques soupirs plus tard, Mademoiselle commençai à onduler langoureusement, comme j’aime. Elle finit par se rapprocher pour venir frotter son séant contre mon sexe. Je dors toujours nu. Elle jamais. Mademoiselle a froid parfois la nuit et son sommeil s’en voit troublé.    Résigné et quelque peu dépité, je savais que je n’allais retirer de tout cela que plus de frustration. Mais le moment restait agréable. Je la sentit cependant se cambrer plus loin et plus pour me tenter.    Malicieuse et espiègle, Mademoiselle aimait particulièrement m’aguicher quand la situation rendait la chose impossible. Elle prenait un malin plaisir à ce que je la désire quand elle ne pouvait pas être touchée. Mais surtout, elle savait que me frustrer était le meilleur moyen de recevoir la promesse d’une punition bien sèche et méritée des que l’occasion se présenterai. Elle jouissait donc avec délice de ce privilège singulier de m’exciter des qu’elle le pouvait.    Mais ce matin j’avais très chaud et j’étais mauvais. J’étais pris de cette sorte de fièvre qui monte par bouffées et laisse mes pulsions s’échapper quand je n’ai plus envie de jouer. Je respirait fort, submergé par les vilaines petites idées qui se bousculaient dans ma tête.    Ainsi je commença à pétrir plus fort, et avec moins de douceur, ce joli téton qui pointait désormais entre mes doigts et fit glisser sa culotte le long de ses cuisses d’un geste franc afin de venir lover mon gland désormais gonflé entre ses petites fesses joufflues.    Lassé de la laisser se jouer de moi de la sortie, je lui sifflait dans le creux de l’oreille qu’il fallait parfois avoir le courage de ses actes et prendre pleine conscience de leur conséquences.    Nous n’avions absolument rien à disposition pour dissimuler une étreinte. Aucune lingette, aucun mouchoir, aucun tissu. Et encore moins de lube.  Moi qui, de coutume, aime à lécher des scenarii sophistiqués assortis de moultes tenues, apparats et autres accessoires savamemt choisis; ce matin là nous n’avions absolument rien de confortable; et j’en était fort satisfait. J’appréciais la frugalité, l’impraticabilité et l’interdit de la situation tout autant que la proximité improbable de mon gland avec l’orée brûlante du fondement de Mademoiselle.   Nous entendions le vacarme monter et redescendre par vagues derrière la porte de notre chambre, dans un bourdonnement confus. Tout cela aurait peut-être pu suffire à masquer un petit moment coquin mais, en aucun cas, une chevauchée sauvage. Quoiqu’il en fut, le risque d’être surpris restait extrêmement élevé. Les enfants n’ayant aucun égard pour l’intimité des adultes; et les portes, elles, toutes faites pour être ouvertes. C’est bien connu.   Ainsi assaillie, mais tout aussi ravie, Mademoiselle soupirait maintenant langoureusement, me léchait les bras, me mordillait la peau comme un petit animal. A son habitude, elle appréciait l’excitation tout autant que la promesse brisée d’une pénétration trop risquée. Je la laissait donc se détendre en caressant ses cheveux. Conscient que le moment n’était pas venu.   Je me calmais aussi, soupirais dans son cou et lui sussurait de petits mots plus raisonnés dans le creux de l’oreille tout en retirant doucement mon sexe de sa jolie petite raie devenue brûlante et légèrement moite.   Mademoiselle n’en eut cependant cure : elle souleva donc une fesse d’une main furtive pour venir emprisonner à nouveau toute la longueur de ma verge entre les muscles de son séant (Mademoiselle est sportive et et sa croupe est ferme et à l’étreinte puissante). Elle commença alors à serrer plus fort ses belles fesses pour me retenir tout en ondulant lascivement pour me faire perdre mon calme. Comme je le lui avais appris. Et a mes dépends cette fois-ci. Elle s’appliquait donc - de sa propre initiative - à me démontrer toute sa technique et tout son art du butt job. Il n’y aurait pu y avoir plus belle invitation.   Ma queue renflée sous la pression oscillait désormais délicieusement entre douleur, excitation et volutes de plaisir. Mademoiselle se donnait grand peine à jouer de son cul pour bien l’astiquer.   Je me laissait donc servir avec délectation quand, en prise à une irrépressible bouffée lubrique, j’empoignait sa chevelure d’un geste sec et la tirait vers moi pour dicter le rythme de son bassin. Une main fermement ancrée sur sa hanche et l’autre sauvagement agrippée à une touffe de cheveux emmêlés, je tirai fort sur chacune pour donner à Mademoiselle la cadence de ce petit trot qu’elle avait si fièrement sollicité.   J’exultais, mon sexe désormais fier, sale et affreusement dur. Mon gland était devenu agréablement douloureux à force de frottements secs et avait depuis suinté quelques larmes de liquide sous le feu de l’excitation.   Cependant ni le stupre, ni la sueur ne pourraient désormais prévenir la douleur d’une pénétration impromptue. Mademoiselle et moi le savions tous deux et nous en accommodions désormais de bonne grâce.    Mademoiselle continuait à aller et venir pour venir embrasser mon gland des petites nervures de son orifice délicat tout comme elle l’aurait fait avec sa bouche. Ivre d’excitation, j’assumais désormais un rythme plus soutenu. Moins retenu. Advienne que pourra …   Aux petits soupirs venaient désormais s’ajouter de petits cris imprévus. Je lâchait donc sa hanche pour venir lui masquer la bouche. C’est à cet instant que Mademoiselle décida de desserrer les fesses et m’offrir toute l’étendue de sa cambrure pour forcer mon gland entre les  fines rides fines de son anus étroit.  Les cris étouffés par ma main, elle laissait libre cours à sa fougue en me gratifiant de grands coups de croupe qui engloutirent bientôt tout mon sexe turgescent, prêt à la récompenser de cette audace.   Je tirai plus fort sur ses cheveux. C’est un plaisir qu’elle apprécie particulièrement.  Je la laissait claquer sa croupe de plus en plus fort contre mon pubis sans bouger et elle, me servir comme il se doit.    Prenant un malin plaisir à cette envie fièrement assumée, je commençais moi aussi à la besogner de coups de reins secs et puissants. Encaissant âprement ce nouveau rythme, elle commença à haleter et baver entre mes doigts. Je sentais son corps de tendre, entre douleur et plaisir, et m’efforçais de defoncer à sec ce joli petit cul qui m’avait tant manqué!    Se pâmant désormais, Mademoiselle, se retira légèrement pour permettre à ma queue épaisse, devenue visqueuse, de plus amples assaults.   Ne pouvant plus résister de la prendre aussi salement - bien qu’en toute discrétion - je lui signifiait ma satisfaction par un soupir bestial, comblé de la souiller de la sorte.    Fier et satisfait de cette étreinte bestiale, je sentis le plaisir monter en moi et commença à laisser exploser ma queue en elle en de grosses giclées grasses et collantes. Je me tendit encore plusieurs fois afin de profiter de chaque volute de contentement. Enfin, en un dernier coup de reins violent, je propulsai mon chibre au plus profond de ses entrailles, lui comprenant complètement le fessier contre mon pubis en sueur.   Je senti Mademoiselle se tendre, et jouir à son tour pendant un long moment de soupirs étouffés, et de bave de bien-être. Désormais enivrée et complètement déconcertée, elle paraissait autant comblée que surprise d’avoir pris autant de plaisir à se faire prendre de la sorte.    En effet, étant habituée depuis longtemps à me donner son cul moins par envie que par soumission studieuse; cette fois-ci, et à sa grande surprise, elle avait ouvertement joui de me l’avoir offert.  Je finis donc de m’affairer plus lentement a remplir copieusement et sans retenue ce petit rectum qui m’avait si agréablement satisfait. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux.   La tension redescendit et mes mains se délièrent de ses cheveux. Nous n’avions toujours aucun moyen de nous nettoyer pour garder la face. Encore moins de traverser la maisonnée discrètement pour aller nous doucher sans se faire prendre. Je pris donc le plus grand soin à laisser chaque goutte de mon foutre couler bien au fond de Mademoiselle avant de glisser délicatement ma queue, agréablement salie et odorante, hors de son petit trou, légèrement plus béant et endolori qu’à l’accoutumée.   Tous deux haletants et en sueur, nous nous détachâmes lentement.    Elle remonta sa culotte et s’allongea sur le ventre en me souriant. Elle releva alors sa croupe pleine vers le ciel en la secouant de petits mouvements façon twerk. Mademoiselle me lança un regard espiègle en disant : “j’espère que tu as bien tout joui dans mon cul. J’ai adoré qu’on jouisse ensemble!” …
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Par : le Il y a 2 heure(s)
Partie 1 Vous me faites entrer dans votre bureau, fermez la porte et vous retournez derriere votre poste, comme si je n'existais pas. Je reste là debout à attendre que vous m'invitiez à m'assoir, mais rien. Vous continuez à travailler, pianotant sur les touches de votre clavier qui semble faire un bruit terrifiant dans ce silence pesant. Mais chose incroyable, ce bruit reste ridicule à coté du boumboum du battement de mon cœur. Je me sens de plus en plus gêné, qu'est ce que je fais là? Dois-je me manifester? Prendre la fuite? Ou simplement rester là docilement? Combien de temps a t il bien pu s’écouler depuis mon entrée dans cette piece? Je scrute cet environnement essayant de trouver l'heure, mais rien. La pièce est presque vide, un bureau, deux fauteuils, une table basse et un canapé. Des poutres au plafond ou je note des crochets. En plus de la porte d'entrée, il y a une deuxième porte sur le coté et une fenetre qui s'ouvre sur une rue. Cette attente me rend mal à l'aise... A suivre
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Par : le Il y a 6 heure(s)
C.  Un petit déjeuner spécial Ses tétons sont sensibles au frottement du drap, Il a l’impression d’avoir pris un coup de soleil dans le dos et sent quelque chose de gênant entre ses cuisses. Jean se réveille lentement, glisse la main dans son entre-jambe et comprend la cause de cette gêne. Tout en émergeant, il se souvient petit à petit tout ce qu’il a vécu durant la soirée et une bonne partie de la nuit. Il entre-ouvre les yeux, constate qu’il fait jour, cherche à savoir l’heure mais n’a pas sa montre au poignet. Il se lève avec difficulté à cause des courbatures, cherche ses affaires mais elles sont restées dans la salle à l’étage au-dessus. Il va dans la salle de bain, dans le miroir il se voit nu avec cette cage de chasteté, il se retourne, regarde son dos mais, malgré cette sensation de légère brûlure il ne voit ni rougeur ni marque puis il met ses mains sur sa poitrine et, si à droite c’est sensible mais supportable, par-contre à gauche le touché est un peu douloureux. Dans le fond du lavabo il y a ce fameux plug qui au bout d’un certain temps avait commencé à être irritant mais qu’il avait pu retirer avec l’autorisation de Sabine. Il le nettoie minutieusement, l’observe attentivement et se dit que, finalement il n’est pas très large comparé à ceux qu’il a vu au salon de l’érotisme. Après avoir pris une douche il se demande dans quelle tenue il va sortir de la chambre puis il opte pour remettre le slip spécial et une serviette maintenue à la taille par-dessus. Il sort prudemment de la chambre et monte à l’étage en espérant ne pas se trouver nez à nez avec un membre des employés de maison. Il entre dans le couloir qui mène au donjon, les lumières sont au rouge donc, pas moyen d’aller ailleurs que dans la petite cuisine d’où lui parvient des bruits. Il s’avance et voit Martin. Jean – « Bonjour, est-ce que je peux récupérer mes affaires ? » Martin – « Bonjour Jean. Sabine les a déjà récupérées et elle t’attend au salon pour le petit déjeuner. Vas-y je vous rejoins après ! » Jean – « Euh… Je vous attends on descend ensemble ! » Martin – « Non, j’ai encore à faire ici et elle veut te voir seule à seul quelques minutes, elle m’appellera quand je pourrai venir ! Et entre soumis on peut se tutoyer ! » Jean repart avec toujours la même crainte de croiser quelqu’un, surtout qu’il doit passer par le grand hall au sol en marbre froid. Chemin faisant il pense au « Entre soumis » que Martin lui a dit. Il a fait une expérience, vécu des moments qu’il n’avait jamais vécus, il s’avoue que cela ne lui a pas déplu, c’est même le contraire mais, de là à devenir un des soumis attitré et régulier de Sabine alors qu’elle a déjà son mari. Il ne comprend pas, lui qui aspire à trouver une gentille fille, se marier et avoir des enfants n’imagine pas vivre une relation D/S sur du long terme. Mais pour l’instant ce qui lui importe le plus est de ne pas rencontrer quelqu’un qui le verrait dans cette tenue ridicule avant qu’il soit arrivé dans le salon. Ouf ! Il arrive, personne ne l’a vu, il frappe à la porte et entend Sabine lui dire d’entrer. Il entre et s’apprête à refermer la porte mais elle lui demande de la laisser ouverte. D’être pieds nus sur le marbre froid le fait grelotter, ce qui la fait rire et pour prolonger le supplice de Jean elle lui demande de rester où il est. Elle se tient debout en face de lui vêtue d’un déshabillé blanc, quasiment transparent laissant apparaître ses dessous en dentelle noire. Jean regarde le tapis qui se trouve deux mètres plus loin et continue à trembler de froid. Sabine – « Tu trembles de peur ? » Jean – « Non ! » Sabine – « Tu as déjà oublié à qui tu t’adresses ? » Jean – « Non Maîtresse ! » Sabine – « Bien. Il faut me craindre mais pas avoir peur de moi. Approche et enlève-moi cette serviette ! » Elle lui arrache la serviette des mains et la jette sur un fauteuil. Sabine – « Enlève aussi le slip et lance-le sur la serviette pour que je puisse faire l’inspection ! » Il s’exécute et met ses bras le long du corps. Sabine – « Mains derrière la tête ! Quand je dis inspection tu dois mettre les mains derrière la tête ! » Elle serre la bouche de Jean entre son pouce et son index et dit « Je vais te donner une planche qui explique la posture que doit prendre la personne soumise en fonction de ce que demande la personne dominante ! » puis elle glisse ses mains sur sa poitrine, d’abord côté gauche puis côté droit. « Je crois que le téton droit est jaloux de celui de gauche ! » et elle pince, tire et tourne le dit téton. Elle passe à nouveau la paume de sa main en appuyant un peu et cette fois Jean frémit autant pour l’un que pour l’autre. Ensuite elle jette son dévolu sur le sexe. Avec le froid il s’était rétracté mais maintenant que Jean est sur le tapis il s’est allongé et commence à être à l’étroit. Sabine le titille, effleure ses testicules, attrape la cage, fait des va-et-vient avec sa main et glisse à l’oreille de Jean « Maintenant je veux que tu bandes ! » Le gland s’écrase sur le bout de la cage et ressemble de plus en plus à un saucisson d’Auvergne ficelé. Elle se place sur son côté et lui demande de se pencher en avant, elle écarte ses fesses. « où tu as mis le plug ? » Jean – « Je l’ai nettoyé et posé sur le rebord du lavabo Maîtresse ! » Sabine – « C’est bien. Redresse-toi ! » Elle inspecte son dos et dit « Tu vois j’ai été gentille ! » Jean allait répondre lorsqu’il entend la voix de Vanessa « effectivement. Avec moi il aurait encore des traces ! » Depuis combien de temps était-elle là et qu’a-t-elle vu ? Sabine – « Tu as tout apporté ? » Vanessa – « Je ne sais pas, c’est ce que Martin m’a donné. Il m’a dit qu’il apportera la veste. J’ai la clé dans la main ! » Elle pose les vêtements de Jean sur un guéridon et va s’asseoir dans le canapé. Sabine récupère la clé, envoie un texto à Martin pour qu’il les rejoigne et s’assoie à côté de Vanessa. « Tourne-toi vers nous et mets tes mains dans le dos. Remonte tes mains. Encore. Voilà c’est bon. Ça c’est la posture d’attente. Baisse la tête. Parfait ! » Vanessa – « Elle est sympa cette cage. Tu l’as eue où ? » Sabine – « Chez Nanette ! » Martin arrive avec un plateau entre les mains, vêtu d’une tenue de soubrette, coiffé d’une perruque aux cheveux longs noirs, maquillé et perché sur des talons hauts qu’il a du mal à maîtriser et manque tomber plusieurs fois. Sabine – « Tu n’as pas intérêt à renverser le plateau ! » et dit à Vanessa « C’est une première pour lui ! » Heureusement le plateau sur lequel il y a pain, beurre, confiture et croissants arrive sur la table. Il repart et revient avec un autre plateau sur lequel il y a le café, le lait, l’eau chaude, le sucrier et les tasses – Beaucoup plus périlleux – il y a eu un peu de liquide versé sur le plateau mais sans catastrophe majeure. Les deux femmes se lèvent et Sabine dit à Jean « Viens à table ! » Jean est gêné car il est le seul à être nu, même si Martin n’est pas mieux loti avec sa tenue et en plus il doit faire le service. Mais ça n’a pas l’air de lui déplaire et il prend son rôle au sérieux. Pendant le repas Sabine et Vanessa discutent de la grande réunion kink qui aura lieu dans quinze jours, en essayant de deviner qui sera présent tout en racontant de façon détaillée leurs dernières prestations, s’enthousiasmant à l’avance de revoir certaines personnes et de partager leur savoir-faire. Tout le monde ayant fini son petit déjeuner, Martin débarrasse les plateaux et s’active à tout ranger en cuisine. Les deux femmes se lèvent et retournent s’asseoir dans le canapé. Jean est content de rester seul à la table car être oublié diminue son sentiment d’être humilié à cause de sa nudité et de son sexe encagé, surtout devant Vanessa qui a l’air de bien se moquer de lui. Ces dames se chuchotent à l’oreille et éclatent de rire. Martin revient et Sabine lui demande d’aller chercher deux verres puis elle demande à Jean de venir reprendre sa position d’attente. Martin revient avec les deux verres, Sabine lui dit de les poser sur la table et d’aller se positionner à la droite de Jean qui est de l’autre côté de la table et de prendre la même posture. Sabine et Vanessa se chuchotent encore à l’oreille puis font un signe d’approbation de la tête avec un sourire de connivence. Sabine à Jean – « Viens devant moi ! » Elle attrape une clé sur la table, déverrouille la cage de chasteté, retire la partie pénienne mais laisse l’anneau. « Va reprendre ta place ! ». « Prenez chacun un verre ! » « Branlez-vous ! ». Devant l’hésitation des deux hommes « Aller ! On se dépêche. Je n’ai pas que ça à faire et profitez-en car vous ne savez pas dans combien de temps vous pourrez faire cracher votre bite à nouveau ! ». Jean se dit qu’une fois chez lui il pourra faire ce qu’il veut mais commence tout de même à se branler car, depuis la veille, il n’a pas pu jouir malgré les nombreuses fois où il en a eu envie. Sabine ajoute « Bien sûr vous éjaculerez dans le verre. On vous donnera une note qui prendra en compte le temps que vous mettrez pour éjaculer et la quantité de sperme dans le verre. Celui qui gagnera aura un bonus ! ». Une fois que les hommes ont terminé Sabine leur tend des mouchoirs jetables pour qu’ils s’essuient puis les deux amies se mettent à l’écart pour discuter. Elles reviennent s’asseoir en intervertissant leurs places donc, Sabine est en face de Jean et Vanessa en face de Martin. Sabine – « Nous vous déclarons exæquo. Donc vous avez droit au même bonus. Approchez-vous ! » Sabine attrape le sexe de jean et récupère la cage tandis que Vanessa attrape le sexe de Martin prend une cage qui se trouve sous le coussin du canapé et chacune enferme le sexe qui se trouve en face d’elle. Martin se sent humilié de se faire enfermer par cette femme qu’il n’apprécie pas. Jean proteste en disant qu’il était presque midi et que Sabine avait écrit que son rôle se terminait le dimanche matin. Sabine – « Faux ! Je t’ai demandé de te rendre disponible de samedi 14h00 jusqu’à dimanche matin. Je ne t’ai pas écrit que ton rôle se terminait dimanche matin ! Mais comme promis tu peux t’habiller et rentrer chez toi !» Vanessa – « Moi aussi je rentre chez moi ! » Sabine – « Tiens c’est toi qui gardes les clés. Je t’appellerai quand j’en aurai besoin ! » Vanessa – « Ok ! Byebye tout le monde. Soyez sages ! » Sabine – « Martin ! Tu raccompagnes Jean à sa voiture ! » Martin profite de ce moment où ils sont seuls pour donner son numéro de téléphone à Jean et lui demande de l’appeler en journée dans la semaine.
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Par : le 10/06/25
Mon esprit n'a jamais eu des schémas de pensée très droits, ils sont tout au minimum dotés de quelques courbes.   Mon goût pour la domination mentale a d'après mes propres conclusions, un double tranchant.  Elle n'est ni parfaite, ni absolue, un mélange exquis de détails et de sous-entendus. Elle cherche a obtenir le contrôle et pourtant voudrait s'en affranchir, un mélodrame intérieur qui perturbe l'entourage aussi bien que son auteur.   Il aurait d'après lui, le contrôle de notre relation, un homme d'apparence puissante, aussi bien dans son corps que son esprit. Une âme forte et indépendante qui me laisserait selon lui, lui donner des ordres, de simples demandes auxquelles il aurait accepté de répondre en généreux.  Pourtant il en serait incapable, incapable de me dire "non" et d'y désobéir. Son cœur tisserait des fils entre son corps et mes doigts, une marionnette qui se donnerait au marionnettiste sans en avoir conscience. Ce serait trop tard, son esprit me serait prisonnier et son corps penserait emprisonner le mien.    Il serait d'une domination presque bestiale au lit, me marquant comme sien, interdit de voir ailleurs ou de faire quoi que ce soit sans son autorisation.  Pourtant une simple demande de ma part et il serait contraint de l'accepter. Sachant ses pensées, je ne lui mentirais pas, la vérité est ma devise, je me soumettrai alors à lui, lui disant parfois, que c'est ainsi seulement parce que j'en ai décidé et pas autrement. Il aurait l'impression d'être tout puissant devant moi, un dragon devant une souris, malheureusement pour lui, il ne suffirait que du bon cheveux, pour que la souris prenne avantage. Dominant mon corps il saurait désormais que mon mental lui était impossible à corrompre, il serait une force de caractère attendri par son partenaire.   Un toutou féroce, un doberman à mes pieds, bien éduqué pour attaquer à la moindre menace.
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Par : le 09/06/25
Le jour filtrait à peine à travers les rideaux lourds, dessinant sur les draps des lignes pâles et tièdes. Le silence de la chambre n'était troublé que par une respiration lente et profonde. Jade dormait profondément dans le lit conjugal. Allongée sur le flanc, elle était nue, portant seulement son collier sur lequel était inscrit « 従順なジェイド».  Son corps frêle portait encore les traces subtiles de la nuit : ses cuisses étaient striées de rougeurs diffuses ; ses chevilles étaient marqués d’ombres dus aux bracelets d’acier qui l’avaient retenus la soirée précédente ; ses petites fesses parfaitement rondes et délicieusement fendues étaient parcourus de zébrures carmin. Sa bouche, entrouverte dans le sommeil, avait cette douceur vulnérable de l’abandon volontaire et absolu qui était le sien. Son poignet droit, enchaîné à la tête du lit par un bracelet de cuir et une chaîne en acier poli, vibrait légèrement à chaque mouvement de sa respiration. Ce n’était pas une contrainte. C’était un rappel. Un lien. Un serment. Elle appartenait à son Maitre. Et elle voulait que cela se voie, même dans son sommeil : elle lui était librement enchainée. Son Maitre, Maitre Djibril, était assis sur le bord du lit. Il la contemplait en silence. Comme on contemple une œuvre d’art, un miracle de beauté. Il se sentait infiniment privilégié d’être aimé par cette femme si parfaite ; si honoré d’être son Maitre. Jade était sa femme soumise, sa complétude. Cette superbe jeune femme d’origine japonaise avait ravi son cœur voilà quelques années. Ils étaient pourtant bien différents l’un de l’autre. Et rien ne pouvait prédire leur rencontre. Agée d’une petite quarantaine d’années, Jade était la directrice artistique d’une grande maison de mode connue internationalement.  Elle était l’élégance et la grâce incarnées. Elle portait toujours des tenues magnifiques d’inventivité. Bien que de très petite taille, un charisme naturel irradiait d’elle. Sa peau de porcelaine, ses yeux en amande d’un brun profond et subtilement dorés, ses longs cheveux noirs en tresse, ses lèvres fines toujours rehaussées d’un rouge à lèvres vif, ses formes menues mais aux courbes parfaites ne laissaient personne indifférent. Originaire de Côte d’Ivoire, Djibril quant à lui était ce qu’on pouvait appeler une armoire à glaces :  ancien joueur universitaire de football américain, il avait dû mettre un terme à ce qui aurait pu être une belle carrière de Tight End suite à une vilaine blessure au genou droit. Passionné par ce sport il était devenu agent de joueurs et travaillait comme scrutateur – dénicheur de talents – pour plusieurs franchises de la NCAA, de la NFL et de la EFL.  Ses traits étaient forts et réguliers. Ses yeux étaient troublant : sombres et profonds, leur bleu marine intense rendait son regard envoutant. Djibril et Jade s’étaient rencontrés lors d’un défilé de mode où David, un ami de longue date de Djibril, avait fini par convaincre ce dernier de l’accompagner. Lors du cocktail qui avait suivi ce défilé, Djibril, qui n’avait initialement aucune envie de s’attarder, était resté comme paralysé lorsque David lui avait présenté Jade. Elle lui avait tendu la main avec cette infinie délicatesse qui la caractérisait. Djibril était resté quelques instants figé … baisant ensuite cette main avec émotion. Un mélange subtil de grâce subtil de grâce innée et d’assurance calme émanait de cette femme. Jade ne l’avait pas regardé comme les autres femmes le regardaient souvent, avec une certaine intimidation ou un désir brut. Non. Jade l’avait regardé comme un miroir. Comme si elle l’avait reconnu. Sans détour. Sans jeux. Djibril, pourtant habitué à maîtriser chaque aspect de son monde, s’était senti désarmé. Non par faiblesse, mais parce qu’elle avait, d’un seul geste, d’un seul regard, pénétré au-delà. Comme si elle avait vu d’emblée en lui l’homme, et non la masse brute et imposante. Le Maître en lui, et non le masque. Les jours suivants avaient été marqués par cette évidence. Ils s’étaient retrouvés. Une fois. Deux fois. Puis cela avait glissé si naturellement vers quelque chose d’inattendu que Djibril en avait presque eu peur. Jusqu’à ce qu’elle vienne un soir, sans prévenir, et qu’elle s’agenouille devant lui pour la première fois. Sans un mot. Et qu’elle lève les yeux en lui disant : « Prenez-moi … prenez ce qui est à vous ... mon Maître … ». Ce soir-là, elle lui avait tout donné. Et il avait tout pris, tout reçu. Et tout donné en retour. Ce matin, tandis qu’il la regardait dormir, il repensait à ce chemin. À cette fusion improbable de l’élégance et de la force, de la discipline et de la grâce, du cuir et de la soie. Elle était toute en contraste, sa Jade. Une lionne dans un corps de biche. Une impératrice enchaînée par choix. Elle était devenue sa femme, sa soumise, sa complétude, son Evidence. Il se pencha doucement. Il effleura d’un doigt les traces rouges qui ornaient sa peau laiteuse, souvenirs intenses de leurs ébats de la veille. Elle avait gémi pour lui ; elle avait tremblé pour lui ; elle s’était offerte à lui ; elle avait crié pour lui. Elle l’avait imploré de lui en donner encore plus. Il le lui avait donné, déchainant le loup primal en lui. Elle s’était abandonnée totalement, le laissant l’utiliser à sa guise. Librement enchainée, elle avait subi avec grâce et ferveur ses outrages, ses fessées, ses gifles, ses coups de martinets de paddle. Elle lui avait offert sa gorge et son vagin comme autant de fourreaux pour accueillir ses doigts, sa bouche …  son long et épais membre viril, cette épée qui l’avait transpercée encore et encore.  Il l’avait défoncée et honorée faisant jaillir ses nectars de cristal et de nacre de ses orifices qui étaient siens. Ses yeux s’étaient révulsés à chaque jouissance. Elle avait hurlé et susurré son nom comme une prière. Et lorsqu’une dernière fois il était venu en elle, ils étaient restés collés l’un contre l’autre dans un baiser d’un infini amour, ne faisant plus qu’un … Et maintenant, elle dormait paisiblement, les lèvres entrouvertes, comme une petite chose paisible, mais si profondément sienne. Djibril était rempli d’émotion et de joie. Il la caressa lentement : d’abord sur le flanc ; puis le long de la courbe de sa hanche ; et enfin le long de son bras attaché jusqu’à ce que ses doigts viennent frôler la chaîne d’acier. Jade commença doucement à sortir de sa torpeur, sentant la présence de son homme, de son Maitre. Bien qu’endormie et ne le voyant pas, elle sentait sa présence. Elle savait qu’il était là. Et cette certitude lui donna un vertige doux : un amour profond, animal, indestructible, la remplissait. Djibril glissa sa main jusqu’à son cou, caressant le collier doré qu’elle ne retirait jamais. Il serra doucement. Et Jade soupira. Alors, Djibril s’approcha, colla son torse chaud contre son dos fin. Il passa son bras robuste autour d’elle, et murmura à son oreille : « Bonjour mon trésor » Jade gémit doucement, lentement tirée du sommeil. Elle sentait avec délectation son poignet toujours captif, la chaleur du corps de son Maître derrière elle, la caresse empreinte de domination sur sa gorge. Un sourire naquit sur ses lèvres. « Bonjour mon Maitre » murmura-t-elle. Elle ne bougea pas. Elle n’en avait pas besoin. Elle savait que le monde était à sa place : elle attachée, lui près d’elle. Il l’embrassa dans les cheveux. Puis, dans un souffle, dit simplement : « Tu es magnifique ce matin, mon amour. Même enchaînée… Surtout enchaînée… ». Et dans ce murmure-là, il y avait tout l’amour du monde. Djibril resta encore un moment à la contempler, blottie contre lui. Il savait qu’elle sentait déjà que ce matin n’avait rien d’ordinaire. Il le lisait dans sa respiration plus attentive, dans la tension infime de son dos contre son torse. Il se pencha à nouveau vers elle, son souffle effleurant le lobe de son oreille : « Jade… mon amour. Tu sais quel jour on est ? ». Elle ne répondit pas tout de suite. Mais un frisson parcourut l’arche de son dos, jusqu’au poignet encore captif. Elle ouvrit les yeux, lentement, et tourna sa tête vers lui. Et dans ses pupilles sombres, il vit la lumière d’un trouble mêlé à un abandon qu’il connaissait si bien. « Oh Oui, mon Maître… je sais. » Il sourit. Dans la douceur et l’intonation de sa voix, il n’y avait aucune hésitation, aucune peur. Mais au contraire une dévotion et une attente totales. «  Aujourd’hui, tu es mon offrande. Mon cadeau au regard d’un autre. Tu lui seras donnée… pour moi. » Elle ferma les yeux et inspira profondément. Elle avait attendu ce jour. Elle l’avait désiré. Et maintenant qu’il était là, elle se sentait comme suspendue au bord du vide, prête à s’y laisser tomber… parce qu’il serait là pour la rattraper. Certes elle ressentait une légère appréhension, mais aussi ce sentiment exquis de se savoir dirigée. Confiée. Offerte. Sublimée et protégée par l’homme qui était son Tout. Djibril poursuivit d’une voix grave et posée : « Il ne te parlera pas. Tu ne verras rien. Tu porteras un bandeau. Seul ton corps parlera. Seul ton plaisir dira ce que je veux que tu ressentes. Et moi… je serai là. Je te regarderai. » Jade se mordit la lèvre inférieure. Son ventre se noua doucement : une vague de chaleur montait déjà, insidieuse, entre ses cuisses. « Oui, mon Maître… » gémit-elle. Il se leva alors, majestueux, imposant, et se dirigea vers la commode. « Je t’ai choisi une tenue pour émettre en valeur le bijou inestimable que tu es » Il sortit les pièces une à une. Une paire de haut talon de couleur noire. Un harnais en cuir noir, sobre et parfaitement taillé, dont les lanières fines viendraient épouser chaque ligne de son corps — encadrant sa poitrine, passant entre ses seins, soulignant sa taille menue, et glissant entre ses jambes. Le centre du harnais portait un anneau doré, sobre, symbolique. Jade se demanda s’il y attacherait une laisse, ou non. Selon son humeur. Puis, délicatement rangé dans un écrin noir, il sortit un plug en acier à base de jade vert, gravé de caractères japonais : « 従順 ». Soumise … Elle le reconnut. C’était celui qu’il ne sortait que pour les grandes occasions. Elle se redressa sur le lit, se mettant à genoux. La chaîne qui retenait son poignet droit tinta doucement. Son regard était baissé, mais ses joues s’étaient empourprées. « Préparez-moi, mon Maître… »  souffla-t-elle dans un murmure à peine audible.   Djibril s’approcha, glissa la main sous son menton et releva son visage. Il l’embrassa avec infiniment d’amour. Alors il déverrouilla lentement le bracelet qui retenait son poignet. Jade resta agenouillée sur le lit, les cuisses entrouvertes, tête baissée, immobile. Djibril posa d’abord le harnais sur ses épaules. Il ajusta chaque sangle, en silence. Les cuirs souples glissaient sur sa peau pâle, la marquant déjà de leur étreinte. Puis il la fit se retourner et tendre ses fesses en se penchant. De ses mains il écarta ses fesses dévoilant son délicat petit anus. De sa langue il l’humidifia abondamment, déclenchant de doux gémissements chez Jade. Puis il inséra lentement le plug, sans brutalité, mais avec autorité. Jade gémit plus profondément, ne protestant pas. Au contraire, elle l’accueillait. Elle l’acceptait. Fière de servir. « Tu es superbe » s’exclama Djibril en contemplant Jade « Nadu » ordonna-t-il. Jade s’exécuta immédiatement. « Lève les yeux ». Jade leva la tête et vit que son maitre lui présentait un bandeau noir en satin. « Regarde-le avant que je ne le passe autour de tes yeux » Jade leva les yeux vers lui et vers le bandeau. Et dans ce regard, il vit tout ce qu’il aimait d’elle : la peur domptée, la dévotion totale, le désir pur, et la fierté d’être à lui, d’être choisie pour être donnée. Puis elle ferma les yeux et offrit son visage à la nuit. Djibril noua le bandeau. « Tu es prête » souffla-t-il. Et Jade, à genoux, le dos droit, les bras le long du corps, les paumes de ses mains ouvertes posées sur ses cuisses entrouvertes, la tête baissée et aveugle, répondit : « Je suis à Vous, mon Maître. Faites de moi ce que bon vous semble ». Djibril prit Jade par la main et la guida pour l’emmener dans leur salon. La maison baignait dans un silence de pierre. Seuls les pas de Djibril résonnaient, lents, assurés. Jade, désormais agenouillée au centre du salon, ne bougeait pas. Le bandeau noir lui coupait le monde, la ramenant à l’essentiel : son souffle, les battements de son cœur, la tension dans ses cuisses. Elle était nue sous le harnais. Le cuir la ceignait comme une seconde peau. Le plug en elle lui rappelait, à chaque battement, à chaque spasme léger de ses muscles, qu’elle était préparée. Son corps était vibrant, tendu, offert. Sa tête, baissée. Ses bras, posés sur ses cuisses, tremblaient à peine. La sonnette retentit. Un coup simple et net. En Jade cela eut l’effet d’un coup de tonnerre et tout son corps s’électrisa. Oh elle ne sursauta pas. Elle avait été dressée par son Maitre pour garder son calme. Tout au moins en apparence. Mais tout son être était vibrant de sensations. Elle entendit Djibril aller ouvrir la porte. Elle n’entendit pas un mot. L’homme entra. Elle ne le vit pas. Elle ne le verrait pas. Elle ne pouvait que l’imaginer. Grand. Musclé. Bien membré. L’un de ces hommes choisis avec rigueur par Djibril, pour son regard, pour sa puissance, pour son obéissance. Elle savait que cet homme ne dirait rien, ne ferait rien sans l’aval de son Maitre. Il n’en avait pas le droit. Il ne la toucherait que sur ordre. Il ne serait qu’un outil dans les mains du Maître. Et elle… elle, elle serait son offrande. Elle entendit l’homme se placer devant elle. Djibril s’approcha d’elle également. Elle sentit sa présence, son odeur, sa chaleur. Il se plaça derrière elle, posa ses mains sur ses épaules nues. Elle frissonna. « Ma Sublime soumise », dit-il lentement d’une voix profonde et chaude comme un tambour ancien, « aujourd’hui tu es donnée. Ce que tu vas recevoir ne vient pas de lui. Il ne prend rien. Il exécute. C’est moi qui t’utilise. Et tu jouiras sous son joug … pour moi. » « Oui, mon Maître », répondit-elle d’une voix basse et tremblante. « Je suis à vous. Je le veux. » Djibril se pencha et posa un baiser sur son épaule. Puis il recula. Jade entendit un claquement de doigts. Puis elle sentit. Des mains. Des mains qu’elle ne connaissait pas. Plus larges que celles de Djibril. Plus jeunes, peut-être. Plus rugueuses en tous cas. Les mains glissèrent lentement le long de ses bras, puis s’arrêtèrent à sa taille. Elles dessinèrent des arabesques sur son nombril. Puis elles remontèrent doucement jusqu’à sa poitrine. Les seins de Jade étaient un pur ravissement pour les yeux. Parfaitement symétriques, ils formaient deux coupes rondes et fermes. Petits mais pleins, ils ressemblaient à de juteuses nèfles d’Orient tout juste mûres. En leur centre, au creux de délicates petites aréoles rose pâle, se dressaient fièrement de superbes tétons en forme de cônes légèrement plus foncés que sa peau.  Mais ce qui sublimait plus encore cette vision de grâce et d’érotisme, c’était que chacun de ses mamelons étaient percés d’un fin anneau d’or rose auquel était suspendu un minuscule diamant délicatement serti qu’il brillait comme une larme figée. L’inconnu palpa de ses deux mains ces deux merveilles. De ses pouces et de ses index il en saisit les mamelons et les pinça. Jade frissonna, le souffle suspendu dans sa gorge. Elle sentit ses muscles se tendre puis se relâcher, comme si son corps lui-même acceptait d’être déchiffré, offert à cette langue qu’il ne connaissait pas, qu’elle ne voyait pas, mais que son Maître avait choisie, et qui maintenant faisait darder ses tétons d’une manière indécente. Chaque mouvement de langue, chaque succion, chaque délicate morsure la ramenait à sa respiration, à cette douce chaleur qui s’étendait dans son bas-ventre, à son cœur battant sous cette peau désormais appartenant à l’instant. Et dans ce silence aveugle, c’était le regard invisible de son Maitre qui la maintenait ouverte, offerte et pourtant si digne. Elle imaginait son regard posé sur elle. Pas seulement sur son corps, mais sur sa fidélité, sur sa capacité à se soumettre jusque dans l’inconnu. À se faire matière entre ses mains, même lorsqu’il déléguait à autrui la caresse. Nouveau claquement de doigts. L’inconnu se releva, abandonnant la poitrine en fusion de Jade. « Honore son membre viril, ma Soumise » ordonna Djibril. Jade sentit à cet instant le gland de l’inconnu se poser sur ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et sortit sa délicate langue rose. Avec délicatesse elle passa sa langue sur toute l’étendue du gland, s’attardant sur sa petite fente. Elle entendit l’homme grogné de plaisir, ce qui la remplit de satisfaction. Elle ouvrit la bouche pour engloutir ce gland que son Maitre lui offrait. Il était énorme ! Il remplissait toute sa bouche … Elle plaça ses mains sur les fesses de l’homme pour avoir une meilleure position et mieux le gober. Ses fesses étaient dures et musclées. Mais que dire de cette queue qui emplissait sa bouche !! Pour mieux l’honorer et répondre à l’ordre de son Maitre, Jade s’était dressée sur ses genoux et avait saisi d’une main cette queue qui commençait à pénétrer sa bouche : elle était si longue, si dure et si épaisse … Elle en eut presque le souffle coupé. Son Maitre lui offrait un mandrin exceptionnel … Elle ne savait rien de lui, et c’était précisément cela qui rendait chaque seconde plus dense. Il n’était que l’ombre de son Maître, son prolongement, son instrument. Ce qu’elle ne pouvait pas voir, elle le ressentait dans chaque fibre de son corps, dans chaque battement du sang qui cognait contre sa peau. Et alors que son souffle se faisait plus court, une pensée la traversa, acérée et douce à la fois : « tout ce qu’il est, tout ce qu’il fait… c’est Djibril qui me l’offre. » Et cela la fit frissonner d’un plaisir bien plus profond que jamais. Elle était heureuse d’être ainsi honorée par son Maitre. Elle commença à faire aller et venir sa bouche sur cette colonne de chair brute. Pour l’encourager, l’homme accompagnait le mouvement. Il avait saisi sa nuque et à chaque poussée faisait aller plus loin sa queue au fond de la gorge de Jade, la maintenant quelques secondes … la relâchant pour lui permettre de reprendre son souffle … De longs filets de salive s’échappaient de la bouche de Jade qui haletait et gémissait de plus en plus. Alors qu’un nouveau claquement de doigt retentit, Jade sentit la main de l’homme saisir sa tresse et la retourner comme un fétu de paille, la mettant à quatre pattes devant lui. D’un geste plein de domination il écarta ses jambes et la força à se camber et à lui offrir une vue indécente sur ses fesses et son sexe. Jade se cambra. Elle gémit sur l’instant lorsque l’homme claqua ses fesses de ses mains lourdes. Elle offrait tout ce qu’elle était. Sans aucune pudeur, ni honte. Le bandeau sur ses yeux ne la privait pas : il amplifiait les sensations. Elle n’avait plus rien à contrôler. Plus rien à comprendre. Seulement ressentir, et offrir. Et à chaque soupir qu’elle laissait échapper alors que l’homme la doigtait, elle s’imaginait le regard de son Maître, là, à quelques pas. Immuable. Puissant. En train de la regarder avec fierté. Elle n’était plus Jade. Elle était son geste. Son offrande. Elle était la complétude son Maitre. Jade ne savait pas combien de temps s’était écoulé. Peut-être des secondes, peut-être des siècles. Le monde s’était réduit à une chaleur grandissante dans son ventre, au poids de sa respiration, au grain du tapis du salon sous ses genoux, et au frémissement constant qui électrisait sa peau. Mais plus encore au lien invisible qui la tenait avec son Maitre Djibril qui l’observait en train d’être soumise à cet inconnu. Lorsqu’elle sentit le gland de l’inconnu pénétrer sa chatte trempée elle ne put retenir un long râle de satisfaction. L’inconnu saisit ses hanches et d’une seule poussée emplit tout son sexe, restant immobile au fond d’elle. Jade hurla d’un mélange de plaisir et de douleur : il la déchirait et l’écartelait de son énorme sexe. Il saisit sa tresse et tira sa tête vers lui : « Tu es ma chienne en cet instant pour le plaisir de ton Maitre » lui dit alors l’inconnu d’une voix autoritaire qui trahissait une origine hispanique. « Comporte toi comme telle pour lui faire honneur » ajouta-t-il. A ces mots crus et puissant qui la troublèrent mais lui donnèrent aussi une incroyable assurance, Jade commença a onduler du bassin sur cette queue qui la possédait. Sa chatte était en fusion, trempée comme jamais auparavant. En un mouvement à la fois gracieux et indécent elle commença d’elle-même à coulisser sur cette queue. Elle venait frapper son cul rebondi de plus en plus fort sur le bas ventre de l’inconnu, comme si elle voulait avaler toute sa queue encore plus loin en elle. Elle était comme déchainée, bavant et gémissant à chaque fois de plus en plus fort. L’inconnu n’était pas en reste : « Putain que tu es bonne ! Quelle superbe salope tu fais !» lâcha-t-il entre deux râles de plaisir. « Ton Maitre t’a bien dressée » « Oui elle est la meilleure des chiennes du monde. Ma chienne d’amour adorée ! » entendit alors Jade de la voix de son Maitre. A ces mots, Jade fondit de plaisir et de bonheur. Oui elle était à lui. Et lui était à elle. Elle était sa moitié, sa complétude. Ils formaient un Tout. Chacun à sa place. « Oh oui mon Maitre ! Je suis à Vous ! » hurla-t-elle. Elle redoubla l’intensité des mouvements de son cul. Elle s’empalait littéralement sur cette énorme queue. Elle sentit son nectar de nacre être sur le point de jaillir de sa chatte. Ce fut d’abord une vibration sourde, logée entre ses hanches, puis une marée lente montant en elle, engloutissant tout en et autour d’elle : ses résistances, ses repères, son souffle. Elle ne savait plus où commençaient les gestes, où finissaient les pensées. Tout se mêlait, comme une encre diluée dans l’eau. Elle n'était plus qu’un battement. Un souffle. Un cri muet suspendu dans l’air. L’extase était imminente. C’était plus qu’une explosion, c’était une dissolution. Une chute dans une lumière chaude, blanche, douce comme le coton, brûlante comme le soleil. Les membres de jade tremblaient d’un feu qu’elle n’avait pas allumé elle-même, mais qu’elle accueillait, comme on ouvre les bras à la foudre. Son corps s’était offert. Mais ce qui avait flambé en elle, c’était plus que la chair. C’était une certitude : elle n’était rien… et pourtant elle était tout, dans ce regard invisible qui la tenait encore, celui de son homme, de sa moitié, de son Maitre. Elle était sa soumise et sa Princesse. Dans un dernier mouvement elle accueillit la queue de l’inconnu dans son vagin et son nectar gicla à profusion de sa chatte. Jade hurla son plaisir, son corps tendu et arqué : « Merci mon Maitre ! Pour Vous, mon Maitre ! Tout est pour Vous ! ». Et elle s’affala de tout son long, vaincue par la jouissance. Trempé de la jouissance de Jade, l’homme retira lentement son sexe. Jade, à demi confuse, encore tremblante de son orgasme, l’entendit se branler avec ferveur derrière elle. De longs jets chauds de sperme vinrent recouvrir ses fesses frémissantes, accompagné de râles rauques, déclenchant un sourire de satisfaction sur le visage de Jade. L’inconnu se leva. Elle l’entendit se rhabiller et rejoindre son Maitre. Les deux hommes s’éloignèrent laissant Jade étendue au milieu du salon. La porte de l’entrée s’ouvrit et se referma.     Djibril s’approcha lentement de Jade. Elle était toujours au sol, haletante, le front posé contre le tapis, ses muscles frémissants de l’intensité vécue. Le bandeau couvrait encore ses yeux. Il s’agenouilla près d’elle, doucement, sans un mot, et glissa ses bras puissants sous son corps frêle. Il la souleva sans effort, comme un trésor fragile, et la serra contre lui. Le contact de sa peau chaude contre la sienne fut une onde de réconfort. Elle s’y abandonna immédiatement, nichant son visage contre son torse. Elle inspira profondément et l’embrassa. Une larme silencieuse coula de sous le bandeau. Elle ne savait pas si c’était une larme de plaisir, d’amour ou simplement de relâchement. Peut-être un peu de tout à la fois. Djibril la sentit, la recueillit du bout des lèvres en un baiser discret. Il l’allongea sur l’immense canapé du salon et retira délicatement le bandeau. Leurs regards se croisèrent. Ses yeux à lui, pleins de douceur. Les siens, encore embués, remplis d’un amour inconditionnel. Il caressa doucement ses cheveux, sa joue, puis prit sa main dans la sienne. « Tu es… la plus belle offrande que la vie m’ait faite, ma Jade. » lui dit-il dans un tendre baiser. Elle sourit de tout son cœur. Et dans cet échange, il n’y avait plus ni maître, ni soumise. Il n’y avait qu’un homme et une femme, deux âmes liées à jamais. « Je t’aime mon amour » dit-elle. « Merci pour ce merveilleux moment » « Et maintenant, venez vous endormir en moi mon Tout » lui susurra-t-elle dans un sourire aussi tendre que coquin.  Retirant prestement son pantalon, Djibril vint s’allonger derrière elle. Il l’entoura de ses bras puissants et glissa son sexe raide dans sa chatte accueillante. « Voilà, vous êtes chez Vous, mon amour » murmura Jade dans un sourire de satisfaction.  Ensemble, ne faisant plus qu’un, ils s’endormirent, paisibles, unis et entiers.
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