La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 3 heure(s)
Travailler ne m'a jamais dérangé mais Maître est exigeant. Il ne suffit pas que le travail soit fait : il faut qu'il soit fait comme Maître veut qu'il soit fait. Vous avez vu dans quelle tenue je dois travailler et elle ne me facilite pas les choses. Les chaînes,  surtout la grosse qui pend à mon cou, ont tendance à se balancer ou à heurter le sol ou la vaisselle quand je nettoie. Si, par malheur, je casse quelque chose, je suis puni. Quand je nettoie par terre, c'est à 4 pattes et toujours à mains nues. Le sol doit être parfaitement propre et, si Maître trouve un brin d'herbe, un cheveu ou un poil, je suis puni. Bien sûr, c'est à mains nues que je dois nettoyer les toilettes. Je n'ai pas le droit de les employer et, tous les jours, je dois vérifier leur état et les nettoyer avec le plus grand soin. Parfois, Maître urine sans trop de précautions et je dois tout essuyer. J'essuie tout avec une vieille culotte, toujours la même, et, parfois, Maître m'oblige à  l'enfiler, encore toute humide et bien odorante. Ce n'est pas étonnant qu'elle dégage une si forte odeur car c'est aussi avec elle que je dois récurer le fond de la cuvette. Si il reste la moindre trace brune, je suis puni. Quand Maître a décidé que l'heure était arrivée de s'amuser un peu, Il vérifie mon travail. Presque toujours, Il trouve quelque chose à redire et ... je suis puni : je raconterai dans un prochain article comment Maître me punit. Après ma punition, Maître me retire les pinces de mes tètons. En fin de journée, Maître m'autorise à manifester ma douleur. Il les retire sans ménagement, d'abord celle de gauche, et je crie de douleur. J'ai les larmes aux yeux  je tape du pied, je bouge mon torse et,  Lui, Il jouit de ce moment, il prend mon tèton entre ses doigts, Il le serre, Il le fait rouler, Il sourit : "allons, un peu de tenue  que diable ! ". Puis, Il passe au tèton de droite et çà recommence. Quand Maître a décidé que j'avais assez gémi, je dois arrêter toute manifestation sinon je suis puni. Après ce moment très pénible, je peux ôter tout et, bien sûr, c'est à 4 pattes avec le cul tourné vers Lui que je dois évacuer mon gode. Sans le toucher. C'est un gode artisanal que j'ai dû fabriquer moi-même : une tige métallique d'environ 20 cm, filetée d'un côté et avec un anneau de l'autre côté. La partie filetée permet d'enfiler 3 bouchons de liège bout à bout et ils entrent dans mon cul pour bien me remplir toute la journée. Évidemment, après son humiliante évacuation, je dois les retirer à mains nues et je devrai en remettre des nouveaux le lendemain matin avant de me faire enfiler pour la journée.  Quand je suis débarrassé de tout, Maître me met un collier de chienne avec une laisse et m'emmène au jardin pour mes menus besoins. A SUIVRE
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