La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 3 heure(s)
I. Prologue Il n'est pas très long, il est épais, bien tendu avec son gland turgescent, arrogant et ses bourses bien serrées. Il ressemble au sien mais ce n'est pas le sien. Jean qui est si amoureux du sexe féminin qu'il a honoré maintes et maintes fois, comment s'est-il retrouvé avec ce sexe masculin dressé en face de son visage, qui le menace tel un sabre prêt à s'abattre sur sa proie ? il ne sait pas, il ne sait plus, son esprit se brouille, il reste figé, il a l'impression d'être fiévreux et son cœur bat la chamade. Tout à coup il ressent une douleur au niveau du dos, accompagnée d'un claquement sec et il entend derrière lui la voix d'une femme lui dire sur un ton autoritaire :"Qu'est-ce que tu attends ?". Le coup de martinet l'a fait sursauter mais il n'a pas pu se redresser et a failli s'étrangler, son cou étant harnaché d'un collier muni d'anneaux dont l'un était savamment relié à des menottes de chevilles. En un instant il s'est souvenu pourquoi il était ici dans cette situation. II. Acte 1 A. Une curieuse rencontre Jean est un homme assez solitaire mais, ayant eu une semaine difficile, il décida d'aller en discothèque. Après avoir commandé un verre au bar il est allé s'assoir sur un pouf devant lequel se trouvait une table basse déserte et en face une petite banquette vide de tout occupant. La musique ne lui plaisait pas vraiment mais il aimait bien observer les gens et cela le distrayait. Tandis qu'il s'amusait à regarder cette foule qui se dandinait, gesticulait et parfois vociférait, un homme qui tenait un verre dans chaque main lui demanda tout en désignant la banquette ;"La place est prise ?" "Non apparemment il n'y a personne !" répondit Jean. L'homme posât les verres sur la table, une femme le rejoignit aussitôt et tous deux s'assirent sur la banquette. L'homme était grand, les cheveux gris assez courts, il portait un costume et une chemise noirs et une chaîne, probablement en or, brillait autour de son cou. La femme portait une jupe noire avec un chemisier rouge un peu échancré sur sa poitrine généreuse. Elle était de taille moyenne, cheveux châtains, mi longs et bouclés. Elle paraissait plus jeune que lui mais devait avoir une cinquantaine d'années et Jean était impressionné par sa beauté. Jean se dit qu'il avait de la chance car il craignait que s'installent de jeunes gens en fin d'adolescence un peu bruyants et turbulents.  Apparemment ils n'étaient pas venus là pour danser. Ils regardaient ce qu'il se passait autour en sirotant leur cocktail et en se chuchotant à l'oreille de temps en temps. Chuchotements suivis de sourires et de hochements de tête. Puis ils ont commencé à engager la conversation avec Jean. Des banalités du genre "Vous venez souvent ici ?"…  Ils ont continué à discuter de choses et d'autres avec leurs verres à la main. Voyant que Jean était seul la femme lui demanda "Vous n'avez pas de copine ?". Jean lui répondit par la négative. Ils ont enchaîné sur une autre question "Un copain ?". Jean leur a également répondu par la négative tout en avalant de travers et dit en toussotant "Ce n'est pas ma tasse de thé !". B. L'intimité dévoilée Étonnés, ils ont cherché à en savoir plus sur lui. En fait, c'était surtout elle qui lui posait des questions et face à cette beauté il ne pouvait pas faire autrement que d'y répondre franchement. Il était comme hypnotisé. Jean se mit à leur parler un peu de sa vie. "J'ai eu plusieurs femmes dans ma vie, j'ai même été marié plusieurs fois et ai des enfants mais les circonstances de la vie ont fait qu'aujourd'hui je vis seul". Puis d'une voix presque déçue elle lui a posé la question suivante : "Donc, avec un homme vous n'avez jamais essayé ?". Tout en étant surpris et très gêné par la question, nul ne sait pour quelle raison, il finit par lui répondre par l'affirmative et lui a expliqué les circonstances. "Il y a pas mal d'années en arrière alors que j'étais représentant de commerce je dînais seul dans un restaurant de Narbonne avant de rejoindre mon hôtel. En face de moi se trouvait un autre homme et nous avons engagé la conversation. Au cours du repas j'ai compris qu'il me draguait ouvertement et comme je suis ouvert à toute expérience j'ai accepté d'aller chez lui pour boire un verre. Puis nous nous sommes retrouvés sur son lit et avons fait un soixante-neuf. Il avait un sexe si petit que j'avais l'impression de sucer un clitoris. Mais ce clitoris-là a fini par éjaculer dans ma bouche sans que je m'y attende. Finalement je suis rentré à ma chambre d'hôtel dégoûté et très déçu car je n'avais eu aucun plaisir.". Apparemment ravie de la réponse de Jean elle lui demanda "Retenteriez-vous l'expérience ?". Jean lui répondit "Non jamais, à moins de m'y forcer !". Le visage de la femme s’éclaira d’un sourire malicieux et dit : "Oh pardon ! Nous ne nous sommes pas présentés ! Martin, mon mari et moi c'est Sabine !" Ravi de ne pas passer la soirée seul dans son coin Jean répondit "Enchanté ! Moi c'est Jean !". "Enchanté également !" dit Martin tout en serrant la main de Jean. "Nous sommes ravis de vous avoir rencontré !" s'exclama Sabine  Puis elle a pris une forte respiration et sur un ton enjoué elle l'a invitée à venir boire un verre chez eux pour faire plus ample connaissance. Son mari acquiesça tout en vantant la qualité d’un cognac hors d’âge qu’il avait dans son bar. Jean accepta l'invitation. C. En route pour l'aventure Ils sont donc sortis de la discothèque et lui ont proposé de monter dans leur voiture, pour éviter qu'il se perde en route, en lui promettant de le ramener plus tard afin qu'il récupère la sienne. L'argument lui paraissant valable il est monté dans leur voiture. Jean regardait le paysage nocturne défiler tout en se demandant s'ils habitaient loin, car il commençait à trouver le temps long et qu'il régnait un grand silence dans le véhicule. Soudain, alors qu'elle conduisait, son mari assis sur le siège passager et lui à l'arrière, elle a recommencé à lui poser des questions tout en l'observant dans le rétroviseur. "Lorsque vous dîtes "à moins de m'y forcer" cela veut-il dire que vous êtes du genre soumis ?". Jean lui a répondu que dans la vie il y a des moments où l'on maîtrise une situation et des moments où l'on s'y soumet. Puis il ajouta instinctivement "j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement !". Il regretta instantanément ses paroles et se demanda pourquoi, dès que Sabine a commencé à lui poser des questions sur sa vie intime, il y répondait spontanément, sans réfléchir. Mais, finalement, cela lui faisait du bien de parler de ces besoins inassouvis, ancrés au plus profond de son être à des personnes qu’il n’avait jamais vues et qu’il ne reverra probablement jamais. Donc, peu importe leur jugement. À travers le rétroviseur il vit qu'elle esquissait un sourire et qu’ elle caressait la cuisse de son mari qui lui, restait impassible. À ce moment il a compris qu'il partait dans une aventure dont il ne connaissait pas l'issue et cela l'excitait et il commençait à sentir une chaleur bizarre monter en lui. Comme si tout le poussait à s'abandonner totalement à ce couple si cordial mais si intrigant sachant que, s'ils avaient de mauvaises intentions il était capable de se défendre. Ils ont pris une rue bordée de jolies propriétés puis sont arrivés devant un portail en fer qui s'est ouvert lorsqu'elle a actionné la télécommande et ils ont remonté une petite allée dont les graviers crissaient sous les pneus pour enfin s'arrêter devant une maison bourgeoise datant probablement de la fin du XIXème siècle. Ils sont descendus de voiture et jean les a suivis en prenant une grande bouffée d'air, pendant qu'ils montaient les quelques marches surplombées par un magnifique porte, afin de reprendre ses esprits et de rester sur ses gardes car, même s'il est toujours partant pour découvrir l'inconnu, il est toujours vigilant. Une fois à l'intérieur sa première impression s'est révélée exacte. C'est bien une maison du style victorien. Ses hôtes l'invitèrent à les accompagner dans un salon se trouvant à gauche de l'entrée. Le mobilier était moderne et confortable. Ils le prièrent de s'assoir dans un fauteuil et tandis que Sabine s'installait dans le canapé juste en face, en découvrant largement ses longues jambes fuselées, Martin lui proposait son fameux cognac. À ce moment il ne savait plus trop que penser. La finalité était peut-être une relation sexuelle. Mais laquelle ? Sabine voulait-elle se faire prendre en sandwich ou Martin était-il adepte du candaulisme ?    
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Par : le Il y a 6 heure(s)
Un soir de février. La nuit tombe tôt en cette période de l'année. La lueur de la lune réveille la femme qui se cache derrière elle. Un soir de février, des plus banals pour la plupart du monde mais pas pour cette femme. Elle l'a méticuleusement choisi pour se dévoiler. La date a été fixée, le lieu de rendez-vous aussi. L'heure fatidique approche, la femme s'apprête le cœur battant de plus en plus fort. Elle allume une cigarette à sa fenêtre pour tenter de calmer son esprit.    La femme c'est moi et plus je m'apprête plus je me dis qu'il n'est pas possible de faire machine arrière. Je dois apprendre à embrasser mes vices. Oui, je suis sur le point d'aller rencontrer un inconnu avec qui j'échange depuis quelques jours sur un site BDSM. Est-ce que je l'assume ? A moitié seulement je crois bien. Est-ce que je suis sereine? Certainement pas. L'expérience est nouvelle pour moi. Jusqu'à là, je m'étais tenu à distance des sites de rencontres. Je me suis toujours dit que cela devait quand même être bien étrange de voir quelqu'un pour la première fois en ayant déjà un enjeu en tête. Où est la part de naturel et de spontanéité qui fait le charme d'une rencontre? Puis parano comme je suis, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a toujours un risque de tomber sur un fou, une personne mal intentionnée. Que se passerait-il si mon radar n'était pas si bien aiguisé, si je m'étais trompée et que le scénario kidnapping dont on a discuté ne soit pas tant scénario que cela. Alors oui, je l'avoue, j'ai partagé à une amie de confiance l'identité de la personne que je devais rencontrer ainsi que le lieu de cette rencontre. Mais malgré tout, me voilà ici en train de choisir une tenue dans laquelle j'espère lui plaire. Ce sera une jupe en cuir marron avec un pull noir décolleté dans le dos.    J'éteins ma cigarette. Elle n'aura pas fait grand effet malheureusement mais il est temps de partir. J'enfile mon manteau avant de sortir dans la rue. L'air y est frais, une fine pluie se fait ressentir. Je fais partie de ceux qui aiment la pluie, elle m'ancre et me détend. Je lève la tête et regarde la lune tout en ressentant la pluie qui vient apaiser le coup de chaud que je viens d'avoir sous l'effet du stress. Mes pas me dirigent lentement vers le bar que l'on a choisi pour lieu de rendez-vous.   Une silhouette se devine au loin, cachée sous un parapluie aussi sombre que la nuit. C'est bien vous. Plus de doute possible lorsque vous m'approchez tout en riant du fait que je ne vous ai pas reconnu. Je remets la chose sur ma piètre vue et le fait que vous vous cachiez. Pourtant , vous n'avez rien à cacher. Loin de la même... Vous avez un charme troublant allié à une prestance rassurante. Un sacré mélange qui a de quoi faire perdre pied. Les nôtres nous mènent à l'intérieur du bar où nous nous dirigeons vers le comptoir. Vous avez retenu ce que j'aimais boire. Un vin blanc sec? Pas pour ce soir, du moins pas pour le moment. Je crois bien que j'aurais besoin d'un peu plus ... disons une bière rouge en 50 .. ça devrait faire l'affaire. Un "tu" m'échappe alors. Décidément, je n'ai vraiment pas l'habitude du vouvoiement, je vais devoir travailler là-dessus. Ce "vous" est le symbole d'une soumission nouvelle que je découvre au gré de la soirée.    Une fois nos verres en main, nous nous installons dans un canapé dans le fond du bar. Ce coin nous offre une intimité limitée mais agréable. Un groupe de jeunes se trouve quelques tables plus loin. A peine assise, je renverse déjà une gorgée de mon verre. "C'est l'effet que je te fais?" Faut croire oui, ça et ma maladresse habituelle. Les verres se vident au cours des discussions riches et variées. Je ne pensais pas pouvoir me livrer de cette manière à un inconnu. Vous n'avez pas menti, vous savez mettre les gens à l'aise, tant et si bien que je me retrouve à parler BDSM de manière déconcertante lorsque l'on sait que des oreilles qui peuvent être indiscrètes se trouvent à quelques mètres de nous. Il y a ce feeling, cette complicité naissante mais naturelle que je cherchais. Je profite de l'un de vos passages aux toilettes pour répondre à mon amie qui me demande si tout va bien. Oui, tout va bien, même parfaitement bien. Pas de kidnappeur fou mais un coup de coeur qui se confirme. Un coup de coeur qui risque de me pousser à faire des folies par la suite.    Je me lève pour aller chercher un autre verre. Vous en profitez pour me faire passer devant vous afin de mieux me reluquer. Vous me complimentez sur le choix de ma tenue. Note à moi-même: ne pas hésiter sur les jupes en cuir par la suite.    Je reviens avec un nouveau verre à la main, un verre de blanc sec cette fois. La bière à jeun a fait son effet, il est temps de lever un peu le pied si je ne veux pas finir bourrée. Je repasse devant vous et me rassois à vos côtés , un peu plus proche cette fois et sans rien renverser, ce qui relève de l'exploit attention!    Je l'ignorais mais une surprise m'attend. Vous m'aviez dit vouloir tester mon potentiel de soumise au cours de la soirée, apparemment, le moment est venu. Vous me tendez le fond de votre bière blonde et m'annoncez très sérieusement et de manière très sensuelle que vous avez laissé une partie de vous dans ce verre. Vous n'avez pas besoin de finir votre phrase que j'en devine déjà la fin. Vous attendez de moi que je le boive avec le filet de votre salive que vous y avez déposé pendant mon absence. Je le saisis d'une main assurée tout en vous regardant dans les yeux et le bois d'une traite sans vous lâcher du regard. Il y a de quoi être surpris venant de quelqu'un qui n'aime pas la bière blonde mais il faut croire que votre salive y a ajouté un certain goût qui n'est pas déplaisant, et puis, vous le comprendrez bien assez vite, mais j'ai également un certain goût pour les défis. Un sourire satisfait se dessine alors sur votre visage ce qui vous rend encore plus charmant, ou peut-être que c'est ce désir naissant que je devine dans votre regard pénétrant.    Tous les voyants sont au vert depuis le début de la soirée et celle-ci prend une tournure un peu plus intime. Nous avions évoqué le sujet de nos zones érogènes par message. Votre mémoire sélective s'en rappelle très bien voire même un peu trop bien pour me laisser impassible. Le terrain de jeu est ouvert. Votre main remonte à mon cou et le caresse sensuellement. Un frisson me parcourt le dos. Vos doigts se baladent et dessinent une ligne invisible. Mon cou est trop nu à votre goût, il lui manque quelque chose comme un collier. Vos doigts repassent sur cette même ligne invisible et cette fois, je le ressens, je le visualise ce collier. Il arrivera à temps et m'habillera fièrement lorsque nous l'aurons tous deux mérité. Je me tais et profite du moment. Le silence n'a rien de gênant, il fait partie intégrante du jeu et nourrit la tension. Vous reprenez alors la conversation et me posez une question. Je regagne mes esprits et m'attelle à vous répondre mais c'était sans compter sur votre main qui a décidé, mine de rien, de changer de terrain de jeu. Elle remonte le long de ma cuisse déclenchant un feu en moi. Votre main trouve le foyer du feu et vient le recouvrir. "Bah alors.. je t'écoute !" . Plus d'esprit à regagner, il est parti, enfoui six pieds sous terre, là où se cachent les vices abyssaux. Je reste bouche bée, le masque s'est fissuré laissant ainsi la chaleur se propager. Au secours de l'air et de l'air le plus toxique possible s'il vous plaît! Une cigarette, voilà ce qu'il me faut!    Vous m'accompagnez sur la terrasse. Il pleut encore mais pas assez pour éteindre le feu en moi. Je me sors une cigarette et m'apprête à l'allumer. "Passe-moi une cigarette". Où est donc passée votre politesse ? " Passe-moi une cigarette, chère soumise". Voilà qui est déjà mieux. Vous avez une manière de dire ce titre qui donne envie de l'entendre encore et encore.    Nous retournons à notre place une fois la cigarette finie. Le bar commence à se vider. Nous continuons à parler et à rire. Qui aurait pu croire qu'on se voyait pour la première fois.. peut être ces oreilles qui doivent s'étonner du fait de m'entendre vous vouvoyer mais je n'ai plus que faire de ce qu'ils peuvent penser de nos échanges. Nous restons jusqu'à ce que le barman vienne nous mettre à la porte car le bar ferme. Cela signifie qu'il va être l'heure de se quitter. Une heure bien trop prématurée à mon goût mais nous nous sommes mis d'accord sur le fait qu'on voulait prendre notre temps avant d'aller plus loin. Vous me proposez de me raccompagner chez moi. Nous prolongeons ainsi encore un peu ce délicieux moment passé ensemble que l'on ne veut pas se voir finir. Mon immeuble se profile au bout de la rue. Nos pas ralentissent histoire de grappiller encore quelques instants. Il est pourtant temps de se dire au revoir. C'est là que nos lèvres se rencontrent pour la première fois. Un baiser doux et sensuel qui me transporte dans un autre monde, un monde de BDSM.    Je vous quitte alors pour rejoindre ma porte. Je me retourne une dernière fois en tournant les clés dans la serrure. Vous êtes encore là à me regarder. Je vous fais un signe de la main en souriant avant de vous observer retourner dans l'obscurité de la nuit. La femme de la nuit a donc trouvé son homme. A très vite, cher homme de la nuit.  
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