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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cela faisait un mois que je connaissais mon Maître. Pour fêter ces trente jours de servitude, Mon Maître avait décidé de me faire découvrir la croix de Saint André. Mais avant, il me fallait une tenue adaptée pour son plaisir. Nous nous rendîmes donc dans une boutique qu’il connaissait bien. La clochette au-dessus de la porte émit un tintement discret. Quand nous entrâmes, les lumières étaient tamisées. C’était un lieu fait pour l’attente. Pour le silence. Pour l’obéissance. Mon Maître m’ordonna d’ôter mon manteau. Je posai le vêtement sur un cintre, mes doigts légèrement tremblants.
Il s’approcha sans me toucher et me dit qu’aujourd’hui je ferai des essayages pour lui. La vendeuse s’effaça sans un mot. Je fus guidée vers une cabine isolée. Sur un petit fauteuil, une série de tenues soigneusement pliées m’attendait, des tenues très sensuelles. Il me demanda de commencer par la première Je sentis sa présence juste derrière, immobile. Je dépliai le vêtement. Le tissu froid glissa contre ma peau. J’imaginais ses yeux suivant chacun de mes mouvements. La cabine était étroite. Il me parcourut du regard.
Puis il m’ordonna d’essayer la tenue suivante. La seconde tenue était composée d’un corsage rigide, une jupe très courte, un collier fin posé sur le tissu. Il me fit essayer encore d’autres vêtements. Une robe fluide. Une autre, plus stricte. Il choisit une robe courte, noire, dont le décolleté laissait deviner ma poitrine. Quand je ressortis, la vendeuse me tendit le sac, sans commentaire. je rentrai chez moi et je reçus un sms de mon Maître me donnant rendez vous chez lui le lendemain à seize heures, dans la tenue choisie. Le lendemain, je me rendis chez lui.
Il admira la tenue qu’il avait choisie et me demanda de marcher afin de m’observer sous toutes les coutures. Après quelques minutes ainsi, il m'emmena dans la cave où se trouvait une sorte de croix. Là, il me fit me déshabiller entièrement, lentement. Je fis glisser la robe sur mon corps.
Il m’expliqua alors que la croix était une croix de Saint André qu’il voulait me faire découvrir. Il me fit placer pieds et mains contre la croix. Il m'attacha d'abord de face et je me retrouvai totalement immobilisée, bras et jambes écartées, totalement ouverte et impuissante.
Le fait d'être entravée dans mes mouvements me mettait un peu mal à l'aise. Mon Maître me plaça alors un bandeau sur les yeux. J’étais un peu inquiète, ne sachant ce qui allait se passer, mais en même temps, je ressentais une certaine excitation comme une petite salope en chaleur. Il commença par me caresser la poitrine, malaxant mes seins de chienne et pinçant mes tétons qui durcirent assez rapidement. Ses mains furent ensuite remplacées par une sorte de fouet à plusieurs lanières. Il me donna quelques petits coups sur la poitrine et sur le ventre.
La sensation était loin d'être désagréable et je commençai à mouiller. Toute crainte disparut alors. Puis il me caressa le clitoris avant d'y faire claquer le fouet très doucement. Une chaleur intense m'envahit alors et le plaisir monta. Il introduisit alors son sexe en moi, commençant par de petits mouvements lents puis de plus en plus rapides. Les premiers spasmes se firent alors ressentir et ma respiration devint haletante.
Mais mon Maître se retira avant que je parvienne à la jouissance. Je ressentis un peu de frustration d'avoir été interrompue si près du plaisir. Mon corps réclamait de nouvelles caresses. Il me détacha pour me lier à nouveau mais de dos cette fois. Il me caressa les fesses, me donnant une petite claque sur chacune. Il reprit son fouet et m'en donna quelques coups sur ma partie charnue, la faisant rougir. La chaleur provoquée par le fouet me faisait mouiller encore plus.
L'excitation était plus forte que la brûlure ressentie. Mon Maître me massa un peu l'entrée de mon anus et le caressa doucement, y entrant un doigt. Après quelques aller retour, son sexe remplaça son doigt.
Il me pénétra par derrière avec douceur, puis amplifia petit à petit ses mouvements, entrant de plus en plus profondément. Ses mouvements s’accélérèrent de plus en plus, tout comme sa respiration, je sentis monter son plaisir : l'orgasme n'était pas très loin.
Après quelques mouvements supplémentaires, il jouit longuement en moi. De mon côté, les spasmes se firent de plus en plus rapprochés et furent très intenses. Mon cœur battait la chamade. Mon Maître me donna alors la permission de jouir et je me laissai aller à la délivrance. Il me détacha ensuite et me permit de me rhabiller.
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Mon Maître vient à moi.
Je suis touchée et émue.
Et j’ai peur aussi, de ne pas être à la hauteur.
Je crains de le perdre.
Telle Héloïse, je perds toujours tout !
Il est là. Il est doux en apparence. J’aime cette façon enthousiaste de m’accueillir chaque fois. Mais je sens cette distance qui jaillit pour me tenir à ma place. C’est à la fois intimidant et excitant.
Soumise, chose, chienne…
Il me touche dans la voiture, alors que nous roulons vers le donjon. Et j’ai envie de retenir sa main pour la garder entre mes cuisses. Je suis jalouse de la route qui monopolise, à raison d’ailleurs, son attention à laquelle j’aspire, à laquelle tout mon corps aspire.
Je suis enfin à lui, dans l’intimité de son sanctuaire. Il se montre directif et me malmène un peu, attrapant mes cheveux pour mieux guider ma bouche sur son intimité . Puis il me tourne et me prend sauvagement, virilement et j’aime cela. Tellement. Il me redonne vie.
J’aime particulièrement le sexe de mon Maître. J’aime le toucher, le caresser de mes doigts et de la bouche. J’aime le goûter et le déguster. Et j’aime le sentir en moi, m'emplir et me signer.
Je portais le collier lourd qu’il m’a posé ce jour-là. Le sentir peser ainsi, retomber en un petit claquement sur mes clavicules au moindre mouvement, me procure un intense sentiment d’appartenance. Et c’est pure jouissance de mon âme lorsqu’il me tient en laisse, qu’il m’attire, m’attrape, me pince le bout des seins, maintenue par ce fil d'Ariane qui toujours me ramène à lui. Lorsqu’il stimule tour à tour, puis dans le même temps toutes ces parties niées de mon corps, m'obligeant à la « démaîtrise » de moi. Enfin.
J’ai découvert ce moment de panique qui m’envahit lorsque mon Maître me ligote de ses cordes. Et pourtant j’ai envie qu’il m'encorde encore. J’ai envie d’être à lui totalement. À sa merci. Le corps offert, ouvert et tendu vers lui.
Je fais confiance à mon Maître, il saura me conduire à ma destination.
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Le matin est ce moment où l’on se confronte à soi-même sans masque, où seule votre présence suffit à réorganiser le monde autour de vous.
La véritable force ne réside pas dans l’imposition aux autres, mais dans le contrôle de soi : de ses pensées, de ses émotions et de ses décisions.
Être un leader signifie savoir quand agir en silence, quand parler avec clarté, et quand offrir l’espace nécessaire aux autres pour qu’ils se sentent en sécurité. Il y a une beauté rare dans cet équilibre, où la fermeté et la tendresse deviennent deux faces d’une même pièce.
L’émotion dans le leadership n’est pas une faiblesse, mais la profondeur de l’engagement envers les autres, le respect, et la compréhension que leur confiance n’est pas un privilège, mais une responsabilité.
Chaque matin nouveau, rappelez-vous que votre présence forte doit être source d’assurance, et que la véritable maîtrise commence à l’intérieur, dans la conscience de soi, avec la compréhension que le contrôle n’est pas un outil, mais un art.
Commencez votre journée avec un cœur serein, une voix intérieure équilibrée, et un esprit qui sait que la force qui inspire les autres ne vient pas du vacarme, mais de la stabilité, de la confiance et de l’harmonie profonde avec soi-même.
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