La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/03/25
Acte 10 le dernier Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir. Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments. Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau. La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable. Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination. "Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?" "Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir" La conversation s'arrête là. Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène? Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer. Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir. Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part. Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure. Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.   C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine. Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures. Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais…. La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées. Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore. Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien. Tu a encore le sourire. Il va vite partir. "Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?" Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler. Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux. "Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…." Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là. De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon. "Au moins, avec ca tu la fermera!" Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses. Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup. J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent. Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc. J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir. Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur. Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte. "Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser." Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher. Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change. "Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra." Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais. Je t'entends crier une bonne partie de la nuit….  Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete. Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.    Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures. Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir. Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte. A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer. "Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu" "Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!" Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux. J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau. Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre. Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard. Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant. Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.   Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.   Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave. Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final. Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles. Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné. Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore. Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi. Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer. Je tire et compte. 1..2..3..4... Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis. 5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol. Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge. Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin. J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi. L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi. C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer. Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche. Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse. Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir. Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin…. 8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon. Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Par : le 15/03/25
Acte 7 Le temps passe. Je n'ai plus vraiment de nouvelles de ta part depuis la dernière soirée. Un dimanche matin, tu sonnes chez moi. Je suis surpris, je n'attendais pas vraiment ta visite et ne pensais pas te revoir. Tu m'expliques avoir eu besoin de temps, de réfléchir, de savoir si tu voulais continuer ou pas. Nous passons le dimanche à parler de tout, nos vies vanilles, passions, hobbies, personnalités et sexe ainsi que de BDSM bien sur. De cette discussion, j'ai un peu avancé mais pas vraiment te concernant. Je ne connais toujours pas tes limites et tes envies. Cela dit, il en ressort des dualités profondes: * Que les châtiments, le sexe, ne t'intéressent pas sans qu'un contexte les justifient. Pourtant tu en parles beaucoup. * Une envie de te mettre en danger, d'avoir peur. Mais d'un autre côté, ce danger doit être "safe", comme si on devait te garantir une happy end. * Le contexte compte plus que les pratiques. Tu expliques que vivre des choses qui te répugnent/dégoûtent, peut être jouissif pour toi, en fonction du contexte. Vaste dichotomie, qui subsiste dans ton esprit. Des choses totalement contradictoires entre elles. Je prends le temps de la réflexion. Quelques jours plus tard, je te parle de "role play" et de CNC. Le role play te parle, tu aimes les jeux de rôle (jeux de plateau). Le CNC en revanche tu sembles ne pas savoir ce que c'est. Je te l'explique. Les deux idées semblent te plaire. Je te mets en garde, le CNC, il n'y a plus de garde fou, plus de safecode, ton consentement n'existe plus. Tu poses juste 3 "conditions". Pas de sang, pas de mise en danger de ta santé, rien de permanent (pas de tatouage, branding, etc). Le côté CNC te fait peur et te plaît. Ne pas avoir ton mot à dire est pour toi terrifiant et excitant. Le cadre, les règles, et les limites sont posées. Je te demande de me donner toutes les informations te concernant. Tes horaires, ton lieu de job étudiant, ce que tu fais, un double de tes clés. Dans le même temps, je cogite à des scénarios, en rédige quelques uns. De tout ce que je te propose, rien ne semble te faire spécialement peur tant que tu sais que c'est moi ton "bourreau". Tic, tac, le moment opportun arrive. Soirée filles/copines. Parfait. Je t'envoie un texto "Ne mets pas de vêtements auxquels tu tiens ce soir" Avec ton double, je m'introduis chez toi pendant que tu es en soirée. Je mets un peu de désordre, comme si quelqu'un avait fouillé. Le disjoncteur électrique? Dans le placard de l'entrée, derriere la penderie à manteaux. Parfait, cela te fera perdre du temps. Le ruban adhésif, les serflex, cagoule, le faux cutter sont prêts. J'ai plus qu'à attendre ton retour de soirée. La fin de soirée risque d'être mouvementée pour toi. Minuit moins dix, je vois ta voiture se garer, je t'observe de chez toi, dans le noir. Le temps que tu arrives, je coupe le courant, laisse la porte d'entrée légèrement ouverte, et file me cacher en enfilant ma cagoule. Je t'entends pousser la porte, le cliquetis caractéristique de l'interrupteur. J'observe le bon moment, la lumière tamisée du couloir aidant. La tête dans le placard, tu remets le courant en marche. Manque de pot, je suis derrière toi. Pile au moment où tu sors la tête du placard, je te saisis par les cheveux et place le cutter sur ta gorge. Apres avoir claqué la porte, je te déplace vers le plan de travail de ta kitchenette. Je te sens trembler, commencer à sangloter, sûrement de peur. Je dois trouver un moyen vite, de te calmer. Le but n'étant évidemment pas de réellement te traumatiser. "Si tu essayes de lutter, tu es morte" dis-je. Je me dis que tu connais ma voix, tu devrais donc savoir que c'est moi. Je te plaque la tête sur le plan de travail, te mets les mains dans le dos, passe le serflex, et le serre. Puis ruban adhésif sur la bouche. Je t'emmène et te jette dans ton lit. Les sanglots se calment, la peur avec. Je continue à faire comme si je cherchais quelque chose. Je fais mine de m'agacer de rien trouver. J'éteins à nouveau la lumière et allume la tv sans le son. La lumière de la tv fera office de lumière tamisée. Je fais mine de m'agacer de rien trouver..... Je vais dans la cuisine chercher un ciseau. La peur revient dans ton regard. Je passe la pointe plusieurs fois sans appuyer sur ton cou, ton nez, tes bras. "Arrête de bouger ou je te plante!" Tu marmonnes un truc. Je comprends pas. Puis je découpe avec le ciseau, déchire tes vêtements un à un. Tu es nue..... je sors mon téléphone de ma poche, je prends quelques photos de toi nue... tu essaies de te cacher. Une claque arrive sur ta jambe. "Ecarte!" Tu refuses, je reprends le faux cutter et le remets sous ta gorge. "Ecarte j'ai dit!" Tu le fais non sans mal. En maintenant le cutter, je continue comme je peux ma petite séance photo. Je finis par poser mon téléphone, et à jouer avec ton clitoris.... Celui-ci devient vite humide, les grognements étouffés se changent en gémissements. Je m'amuse, enfonce un doigt, puis deux, ressort jouer avec ton clitoris.... Bon ça suffit, assez joué. J'enlève enfin ma cagoule. Ton regard exprime le "je savais que c'était toi".... Je te souris, me lève, reprend mes affaires. Me dirige vers la porte. Je t'entends grogner, essayer de crier, de m'interpeller. Sans te regarder, je te dis "tu passeras la nuit ainsi, je viendrai demain te délivrer. Bonne nuit Hannah." Je prends le temps de bien fermer ta porte à clé et je m'en vais. Je reviens 1h plus tard, vérifier que tout va bien. Tu dors. Je m'installe à côté de toi, et je m'endors à mon tour. Le matin tu me réveilles à coup de coudes. "Bonjour Hannah, bien dormi?.... Ah oui tu peux pas répondre." Je te sen un poil énervée. J'en souris. "Arrête de t'énerver ou je te libère pas." Petit soupir de ta part. Je finis par couper le serflex et t'enlever le ruban adhésif. Tu passes de longues minutes à ronchonner, pester, pour enfin me dire que tu as vraiment eu peur au départ, que c'était intense, mais qu'avec le recul, c'était excitant et sympa à vivre. Acte 8 "Maître, je suis en manque.... bientôt 3 semaines sans sexe" Je te réponds pas mais j'en souris d'avance. Ne t'inquiète pas, j'ai prévu quelque chose pour toi à ce sujet. Le temps de tout mettre en place. Ça va venir. Je passe un temps fou, à essayer de reproduire des billets. De près on voit que c'est des faux, de loin en revanche, ça fera illusion. Ça y le jour J est arrivé. Tout est en place. "Hannah, habille-toi classe, et sexy ce soir! Je passe te prendre à 19h, sois prête. Ah et tu m'attendras dehors et sans parapluie" Il est 19h... Il pleut des cordes. Tu es dehors, devant ton batiment, tu m'attends, sans parapluie.... Je te vois, mais j'attends. Petit plaisir sadique, de te voir comme une conne dehors sous la flotte. Bon 19h08. On va être en retard. Je viens enfin te chercher. "Ah ben merci de m'avoir fait attendre sous la pluie.... " "Pardon? Tu peux répéter Hannah?" "Mes excuses Maître. Bonsoir" "C'est mieux" Nous prenons la route, direction un hôtel. Plutôt chic. Tu me suis, sans rien dire. Tu sembles un peu surprise qu'on ne passe pas par l'acceuil. Chambre 259.... Chambre 259.... Elle est ou cette putain de chambre. Ah ça y est! Nous y sommes. Je tape, un homme nous ouvre, et nous fait entrer. On se salue. L'homme a la cinquantaine, plutôt ventru, un regard libidineux. Tu ne le sais pas, mais il s'appelle Thierry. C'est un habitué d'un club échangiste que je connais depuis un moment déjà. "Hannah enlève ton manteau. Et viens te mettre à genoux, là" au milieu de la chambre face au lit. Thierry a commandé à manger. Mais toi tu n'y as pas droit. Nous mangeons. "Elle ne mange pas?" "Elle mangera quand elle aura fait son devoir, pas avant." Tu nous regardes manger, et parler de toi comme si tu n’étais pas là. Le repas est fini. Thierry se lève et va chercher sa sacoche et me tend les "faux billets". "On avait dit combien? 700?" "700€ oui.... Enfin si tu veux la totale?" "Parfait, tiens!" Tu nous regardes, surprise, médusée, tu sembles à la fois comprendre et ne pas comprendre ce qu'il se passe ou va t'arriver. "Hannah, je viens de vendre tes services à Monsieur. Sois gentille, et fais ce qu'il te dit." Je reste assis à table à vous observer. Thierry se déshabille tout seul et va s’allonger dans le lit. "Debout, et déshabille-toi ma petite" Un moment d’hésitation, je claque un doigt pour te rappeler à l'ordre, et tu te lèves pour te déshabiller. Tu regardes Thierry. A la moue que tu fais, il ne semble pas vraiment à ton goût. Âgé, ventru, poilu, sexe court mais épais. Une fois nue, Thierry t'invite à le rejoindre dans le lit. "Viens ma petite, viens m'embrasser et me caresser" Tu y vas, à reculons comme on dit. Tu fais sans faire, on sent réellement que tu ne prends aucun plaisir. "Va falloir mettre du tiens ma mignonne, c'est nul là" Je sens que ça va pas. Je me lève, te sors du lit sans ménagement. "Hannah, c'est bien ce que tu voulais vivre non? Me force pas à devenir méchant. J'ai vendu tes charmes, tu n'as pas le choix!" Thierry nous regarde, avec une demi-érection. Je te dis d'y retourner d'un signe de la tête. Retour dans le lit, retour aux caresses. "C'est bien, ma mignonne, c'est mieux. Suce-moi" Tu descends et commence ta fellation. Tu ferme les yeux, comme si tu imaginais être avec quelqu'un d'autre. Thierry est doux, il ne cherche pas à te forcer en gorge profonde. Ça semble te ressurer. Petit à petit, tu y mets plus d'entrain. Thierry te stoppe, te pousse sur le côté du lit, puis descend te faire un cunnilingus. Lui en revanche semble prendre un plaisir certain à déguster ta petite chatte. Un peu trop, il semble surexcité... Le moment fatidique arrive. Thierry met un préservatif. C'est l'heure de passer à la casserole. Il a côté tres doux, essaye de ne pas te brusquer. Les va-et-vient sont lents, amples. Puis il s'accélère. Les coups de rein sont plus secs, plus durs, on entend vos corps claquer à chaque coup. Je vous regarde, assis dans mon fauteuil. Thierry semble s'emballer. Il ne tiendra pas longtemps sur ce rythme. Chose qui devait arriver, arriva. Thierry, dans un grand râle de jouissance, se bloque au fond de ton vagin. Ne bouge plus 1 seconde ou 2 puis se retire et s'effondre sur le lit. Tu demandes pas ton reste, sors du lit, et vas dans la salle de bain. Tu ne le vois pas mais Thierry se rhabille et quitte la chambre. Il l'a payée. Nous pouvons y rester. Je te retrouve, prostrée dans la salle de bain. "Hannah?" "Quoi?" "Comment te sens-tu?" "Sale, salie, dégueulasse, souillée, meurtrie...." Je souris. Te relève. Te dis que je suis fier de toi. Que moi, je n'aurais jamais eu le courage de faire ce que tu viens de faire. Je vois un petit sourire de fierté poindre. Je t'entraîne à nouveau dans la chambre, et dans le lit, on parle, fait notre aftercare. Je t'explique que tout était faux et que je connaissais Thierry, d'où ma confiance en lui. La soirée n'est pas finie, à mon tour de me faire plaisir..... Je vais terminer de combler ton manque. Acte 9 Nous sommes le lendemain. Le téléphone nous réveille. Nous n'avons pas commandé le petit-déjeuner. Je suis ailleurs. Physiquement, je suis là, mais mon esprit est absent. Tu le sens, tu me demandes à quoi je pense. Je ne réponds pas. Une deuxième fois, tu me poses la question. Je te réponds être en proie aux doutes, aux questionnements, suis-je allé trop loin? Trop vite? Ça te fait éclater de rire. Tu me dis que jusque-là, tout va bien. Tant que je suis là, tu te sens en sécurité, peu importe quoi. Ça me rassure. Mais ton calvaire va se durcir. Cinq jours plus tard, nous sommes invités. Cette fois-ci, tu sais que tu sera vendue. Je te l'explique. Oui je sais encore.... Jour J. Nous arrivons devant une somptueuse villa surplombant les hauteurs de Nice. A l'entrée, il n'y a que des voitures de luxe. Seule ma Clio Williams fait tache. Soit. On me remet un masque type "carnaval de Venise" à mettre. C'est jamais pratique à mettre ces machins. Encore moins à respirer avec. Toi, on te donne un numéro. Nous rentrons dans le salon. Il est bondé. Environ une cinquantaine de personnes sont présentes. Quelques amuse-gueules, du champagne (ce que je déteste) à boire, puis on vient te chercher. C'est l'heure de la vente des esclaves. Tu disparais pour réapparaître nue sur le podium avec le numéro autour du cou. Un à un, vous êtes appelés par votre numéro. Soumises/Soumis même combat ce soir. Pas de différence. Vous défilez chacun votre tour, puis en ligne vous venez vous positionner sur l'estrade centrale. Tous les convives peuvent voir, regarder, vous examiner, une seule règle. On touche qu'avec les yeux. De mon côté, je sais déjà qui va t'acheter. Elle te reluque de la tête aux pieds. Elle ne regarde que toi. Elle s'appelle "Mercedes". Elle est argentine, a le regard froid, le visage inexpressif, elle a une attitude de matonne de prison. C'est mon ancienne Maîtresse. Les enchères commencent. Peu de doutes concernant ton cas. C'est fini. Elle a remporté la mise, tu es à elle pour une heure environ. Elle t’emmène dans une chambre/salle. Elle te fixe les mains à un pilori qui est lui-même attaché à une poulie au plafond. Je te sens trembler, être pas bien, faire une crise d'angoisse. Tu me cherches du regard mais me trouves pas. Moi je te vois. Je viens, demande à "Mercedes" 3 mins avec toi. "Hannah, du calme, respire. Tout va bien. Je connais Mercedes, elle sait ce qu'elle fait. Elle a 30 ans d'expérience derrière elle. Fais-lui confiance, fais-moi confiance. Tu sais que je suis là et que je t’abandonne pas." Ça va mieux. Enfin un peu. Mercedes commence avec une Badine. Elle marque tes fesses, tes cuisses, tes mollets, ton bas-ventre. Cela te semble interminable et insupportable. Mais tu fais de ton mieux pour subir. Elle te détache, t’emmène sur une table. Tu y es fixée par les mains et les pieds. Jambes ouvertes, sexe offert. Elle enfile des gants en latex, je sens à nouveau que tu vas craquer. Je viens. Je te murmure que ça va, tout va bien. Respire. Tu es entre de bonnes mains. Elle t'explique qu'elle va te "coudre la chatte". Je te caresse la tête, je reste présent. Ça va aller Hannah. Elle commence, le passage de l'aiguille se fait non sans mal, mais tu essaies de gérer. Un point après l'autre, te voilà suturée. Chatte fermée. Nous admirons le travail. Tu restes allongée à ne rien dire. "Gap, tu l'as bien formée, bravo. Beaucoup auraient renoncé." "Merci Madame". "Je te laisse le soin de couper les points, voici le ciseau médical. Fais attention. Et voici des compresses stériles au besoin" Je retire un à un les points. Pose des compresses sur les quelques gouttes de sang qui perlent. Je te détache les mains et te tends un sextoy. De quoi enfin prendre un peu de plaisir. Fini, tu me le rends. Mercedes te regarde dans le fond de la pièce. Je te détache, et te demande d'aller dire merci. "Merci Madame" "De rien jeune fille." Nous repartons dans le salon. Tu te rhabilles. "Hannah veux-tu rester?" "Non trop d'émotions pour ce soir, rentrons" Retour chez moi. Poches de glace et bombe de froid. Ça va. Tu sembles bien résister à la douleur. J'examine à nouveau ta chatte. Ça va, plus de sang. Nous pouvons faire notre aftercare et dormir.
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Par : le 14/03/25
je partage ici des souvenirs de mes expériences . celle-ci c'est passée avec ma dominatrice la plus agréable et la plus perverse que j'ai eu . un aprés midi , Madame m'appelle : demain aprés midi au sauna le x , 15h devant la porte !!! le ton dit bien qu'il n'y a pas de contestations possible donc je vais obéir . j'ai 30 ans , sportif , musclé , depuis peu entiérement lisse et aux ordres et caprices d'une dominatrice parfaite ! ferme , fondante , vicieuse , joueuse , ne détestant pas le plaisir sexuel avec son soumis , bref une dominatrice parfaite . le jour J , je rentre a sa suite dans le sauna , direction le vestiaire , mise a nu , pose du collier et de la laisse , la cagoule , les pinces ( qu'est ce qu'elles font mal celles la , une nouvelle trouvaille de Madame ) dés que la douleur monte mon sexe gonfle , se tend , ma circoncision apparait aux yeux de tous ( amusant comme un sexe circoncis attire les regards et la gourmandise ) les spectateurs car Madame a lancée une invitation : 3 couples et une poignée d'hommes seuls qui attendent le spectacle en se masturbant s , parfois les uns les autres . Madame m'installe , poignés liés dans le dos , barre d'écartement aux chevilles , a genoux sur une banquette la téte contre le mur , cambré pour m'ofrir aux regards inquisiteurs des spectateurs . Madame commence par jouer avec les pinces et m'arrache les gémissements de petites chiennes qu'elle adore , elle m'interdit de crier mais pas de gémir et je lui donne satisfaction , qu'est ce que j'ai mal !!! mais elle adore alors !!!! puis vient la fessée , trés vite mes fesses chauffent , rougissent , gonflent , je vais avoir du mal a aller travailler ensuite , 1 heure de voiture les fesses en feu , je vais chanter mon bonheur d'avoir servi Madame ! et dire que je ne peux pas le partager , tout cela est secret , mais j'aimerais tellement pouvoir le crier au monde , " j'ai mal parce que ma Maitresse me torture !! " je suis la , des hommes s'approchent , j'ai dis a Madame que je n'acceptais pas les hommes , soumis je suis mais a une femme uniquement . elle les laisse s'approcher , s'assoir a coté de moi et me carresser ! je ne veux pas mais je n'ai pas le droit de parler !! ils carressent mon dos , mes reins , mes seins , tirent sur les pinces , tordent mes seins , glissent vers mon ventre , mon pubis , mon sexe , mes fesses , l'un écarte mes fesses et glisse un doigt sur mon oeillet , je me contracte mais Madame empoigne mes testicules et tire vers le haut , je me cambre et ouvre ma fente ! elle arréte la pénétration , le plus audacieux se met a genoux derriére moi et léche mes fesses , ma raie et léche mon orifice en tirant sur mes testicules , je ne peux pas me fermer et je subis cette caresse , comme un viol , je sens sa langue qui s'enfonce et je cris " non , pas ça " . Madame le fait se relever et le renvoie en spectateur , il bande comme un taureau , il est super monté , heureusement que Madame l'a arrété sinon il m'aurait défoncé ! je vois les couples qui s'affairent , les femmes se penchent sur leurs hommes et les sucent goulument , les hommes seuls se masturbent , certais en sucent d'autres , j'en vois un qui se fait prendre par le taureau , le spectacle a l'air de plaire ! une femme vient derriére moi et me caresse , joue avec mon sexe , me fait gémir car ses caresses sont précises , au bon endroit , je sens monter mon excitation , elle joue avec mes testicules qui pendent , les soupése , les malaxe , les triture , je gémis car je suis extrémement sensible de cette partie et je ne supporte pas ces douleurs ! Madame observe , guide la femme , lui indique mes points sensibles , c'est une novice dans la domination et je suis son sujet d'étude , son mari la regarde en souriant ( peut étre est il content de ne pas étre le sujet !!! ) pendant ce temps la je gémis sous les attentions de la dame ! j'entends les cris de jouissance des spectateurs , a mon avis le sperme coule a flot , tout le monde ou presque a l'air de prendre son pied , Madame me fait assoir , je léve la téte et elle s'approche au dessus de moi , viens poser son sexe sur mon visage et m'ordonne de la lécher !!!!! je lui donne aussitot satisfaction , c'est tellement rare que je déguste ce moment , ma langue va et vient , je fouille son sexe , je fais monter son plaisir , je sens ses reins qui s'animent , son sexe ruisselle dans ma bouche , je déguste le plus possible de sa mouille , elle se frotte sur mon visage , mon nez s'enfonce dans sa chatte et elle jouit , a grands cris , je sens un liquide qui gicle sur mon visage , dans ma bouche , sur mon corps , elle urine a grands jets , elle se vide en jouissant sur moi , je déteste le gout , l'odeur et le fait que ça soit un déchet mais j'adore boire l'urine de Madame , elle prend soin de boire du lipton et sa production est légérement parfumée a la péche , un régal , j'en avale le plus possible ! puis Madame , se relave et interpelle les spectateurs , les invite a venir m'arroser , ça n'était pas prévu du tout , la participation d'inconnus , je n'avale pas leurs urines , j'ai toujours un doute sur l'hygiéne alors la , des hommes qui viennnet de se sucer , d'avaler le sperme de leurs voisins , qui viennent de se prendre entre eux , JAMAIS ! je reste assis téte basse les yeux fermés , bouche fermée , et je sens les jets qui viennent frapper ma téte , mon corps , ce n'est pas possible ils ont tous envie d'uriner , je ruisselle , c'est humiliant au possible , étre un urinoir public , j'entends les éclats de rire gras , les hommes qui s'esclaffent , m'appelle la lopette , le sac a pisse , ils s'en donnent a coeur joie et je me tais , je subis ! puis la femme de toute a l'heure s'approche , vient au dessus de moi , Madame m'ordonne de lever la téte , d'écarter la cagoule sur mon nez et d'accepter l'offrande de la femme , je secoue la téte pour dire non , la gifle tombe , énorme , je crois que je vais une fois de plus me soumettre et faire ce que Madame ordonne , je penche ma téte en arriére , ouvre la bouche , la femme applique son sexe sur mes lévres , Madame m'ordonne de la lécher , de la faire jouir et de recevoir ma récompense ! devinez ce que j'ai fait ?????
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Par : le 13/03/25
bonsoir aux courageux qui liront ce premier pavé, il y en a d'autres en stock si jamais un ou deux curieux se montrent intéressés.... je ne sais pas vraiment pourquoi je partage ça ici, ce texte n'a rien de BDSM, il se trouve juste que, chronologiquement, l'adhésion (toute relative) à cette communauté a été l'un des derniers trucs que j'ai fait avant de prendre l'initiative de divorcer... tout est écrit de façon brute, initialement comme un journal intime, non retouché à quelques mots près.      " Un bail que je n’ai plus médité, ou écrit. Ces derniers temps, c’était retour sur bdsm.fr et surtout backgammon, à fond. Et puis je préparais la fin de mon mariage. Je crois bien que ça vient tout juste de se produire, pour de bon. Je lui ai dit assez calmement que même la meilleure version d’elle-même ne réussirait pas à me rendre heureux, du moins j’en suis convaincu. Que ce n’est pas une question de choses que l’on fait ou pas, d’ajustements ou d’efforts, non. Pour moi, il y a simplement erreur de casting, et je le sais au fond de moi depuis un moment. Ce soir où j’ai pris la décision de la demander en mariage, seul, défoncé au DXM pendant qu’elle était de garde, je me souviens très bien une grande peur, un gros doute, vite évacué par les propriétés de la drogue. Une fois la décision prise de la demander en mariage, mon cerveau s’est démené pour m’expliquer combien c’était génial et combien c’était sensé se passer comme ça. Pas un mot sur le fait qu’en fait, j’étais juste en train de profiter de son absence pour me droguer, comme toute personne heureuse en ménage le ferait... Il y a peut-être eu des moments où je me suis dit que j’étais trop malheureux de ne pas l’avoir à côté de moi, donc je me droguais pour oublier. Mais alors comment expliquer que je me droguais, plus tard, avant de rentrer la retrouver à la maison, à la fin de ma journée de travail ?   Ça commence dans la drogue, ça finit dans la drogue, sauf que là, il n’est pas question que l’histoire dans sa globalité, c’est à dire la mienne, se termine mal. Ça finit, ce mariage finit au moment où je franchis la ligne rouge de l’intraveineuse. Je sais que quelque chose cloche sévèrement, et petit à petit je vois les choses de plus en plus clairement. Maintenant, je ne me drogue plus, et je me sens triste mais calme. J’ai quand même pris un Xanax pour éviter le retour de bâton, mais je me sens mieux. La cage dans laquelle j’étais enfermé vient de s’ouvrir, je sais que je vais pouvoir marcher vers ma liberté. Ça fait peur, mais l’air sur ma peau me pousse à me concentrer sur ce qui arrive maintenant, pas à paniquer au sujet de ce qui pourrait se produire dans un mois, un an ou un siècle.   Pour la première, non deuxième fois de ma vie, je suis là, maintenant. J’ai pleinement conscience de ce qui se passe, je me sens prêt, confiant, je sais que je vais grandir encore un peu, comme un arbre qui s’étoffe à chaque saison. Et bien là, un hiver s’achève. La première fois, c’était juste la nuit avant la naissance de mon fils aîné, je sentais que j’étais parfaitement prêt à l’accueillir. Je n’ai jamais ressenti ça à aucun autre moment de ma vie : c’est à dire savoir que quelque chose d’important se passe maintenant, et qu’on a les épaules pour gérer ça au mieux. Cette fois, c’est moi qui décide, d’une certaine façon, ça rend les choses peut-être plus simple niveau timing. Ça a peut-être un rapport avec le backgammon aussi, avoir l’initiative, gérer le timing, bien étudier les positions, ce genre de truc…   Je ne m’attendais à rien d’autre que d’être accusé d’être un lâche égoïste et ingrat ; mais je crois que j’avais devancé l’attaque en me l’auto-infligeant des milliers de fois, alors j’ai encaissé sans trop broncher, sans hausser le ton, sans même vraiment relever. J’ai essayé d’être apaisant, en lui répétant que si je pense ne plus avoir envie de vivre avec elle, y compris sa meilleure version (actuellement enterrée sous cinquante couches de névroses en tout genre) ce n’est pas un jugement de valeur, ce n’est pas que je l’estime indigne de moi. Mais évidemment, ce n’est pas ce qu’elle a entendu. Sans surprise, les angoisses matérielles sont venues en premier, peut-être à égalité avec la garde des enfants, comment je vais pouvoir gérer seule ? Problème résolu en amont : tu garderas la maison,et tes parents resteront tes voisins et pourront t’aider avec les garçons.   Et puis voilà que finalement, elle revient. Elle devait dormir chez ses parents pour se calmer les nerfs, mais son père lui a pris la tête avec des détails matériels à la con, ce qui l’a fait encore plus paniquer. Me revoilà à peu près là où tout à commencé à s’achever : la salle de jeu / studio de musique. C’est ici qu’après les intraveineuses, je me suis posé, ai écrit, ai joué de la gratte, bien sûr. C’est là que j’ai passé la nuit avec mon pote d’enfance à parler d’elle, de notre divorce imminent, tout en prenant une énorme cuite ponctuée de jams appréciables. C’est là aussi que j’ai médité. Dans cette pièce, on a aussi pas mal joué avec les enfants, mais c’est surtout ma salle de jeu, que je vais devoir quitter d’ici quelques temps. M’y revoici, presque divorcé ce soir, pour ce que ça change…   C’est aussi dans cette pièce que j’avais dévoré les deux biographies de Jimi Hendrix peu avant de tenter une approche purement sexuelle, lorgnant sur le BDSM dans le but de sauver mon mariage : un échec cuisant. Je crois que c’est Jimi qui m’a poussé à agir, alors bien sûr qu’il y a une part d’excitation à l’idée d’entrevoir les prémices d’une vie de célibataire qui imiterait sa courte et brillante existence, mais je sais bien qu’il faut que je descende d’un cran, car ça risque de ne pas être vraiment ça… respire mon petit, demain sera un autre jour, dans un sens plus profond et plus vrai qu’il n’a jamais été de toute ta vie ou presque.   J’ouvre un oeil et un mélange de désir sexuel et de positions de backgammon et de videau secouent mon corps et mon esprit à nu. Il est trop tôt pour me lever, alors je débute cette nouvelle journée par deux matchs en douze points contre un australien muet : deux belles défaites, pas bien glorieuses ni chanceuses. J’avais pensé à me branler sinon, ça aurait peut-être mieux valu, qui sait ? Ou bien aller prendre ma douche pour débuter cette nouvelle vie frais, mais il faut croire que tout ne peut pas changer d’un coup. Traîner, faire les choses nécessaires au dernier moment, se goinfrer de tout ce qui fait envie d’ici là, jusqu’à plus faim et plus si possible. Mais ne pas reculer pour autant devant l’inévitable, même si toujours ou presque il est abordé en retard, je ne suis pas du genre à fermer les yeux. J’ai mis longtemps à comprendre que j’ai câblé mon cerveau à l’inverse de ce que maman disait : « plus vite fait, plus vite tranquille ». J’ai passé ma vie à élaborer un slogan alternatif du style : « la vie c’est chiant, le jeu c’est bien : n’agir que si c’est strictement nécessaire et si personne ne le fait à ma place ». Je sais, il va falloir travailler la formule, et puis en fait probablement aussi un peu trouver un compromis entre les deux, ce que je croyais que serait mon mariage, mais ce n’est pas parce qu’on est un adolescent insolent, joueur et provocateur qu’il faut se mettre en couple avec une personne rigide, obsessionnelle de l’organisation et pisse-froid. Elle appréciera si un jour elle lit ces lignes, je souhaite pour elle me tromper, mais il me semble qu’elle n’a pas su vraiment développer sa compréhension de ce qu’elle est au fond, alors elle à travaillé sur la forme, celle d’une « adulte » responsable, organisée, travailleuse, « parfaite » d’après les critères de son père. Ce qu’elle veut vraiment, ce qu’elle aime vraiment ? Je n’en sais rien, elle n’en sait rien, mais j’espère qu’elle le trouvera un jour, pour elle évidemment, mais aussi et surtout pour nos enfants. En tout cas, j’en suis arrivé à la conclusion que je n’aurais jamais la réponse à cette question, enfin que je n’aurais jamais la patience d’attendre sa réponse, ni la vitalité pour encaisser émotionnellement tout ce qu’implique de vivre quelques années de plus avec une personne à ce point à la dérive. Et que si quelqu’un peut bien l’aider à trouver ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, vraiment, ce n’est pas moi. Et que de toute façon, ça ne me conviendra pas vraiment, enfin je crois. Il se pourrait aussi que je sois responsable d’une certaine manière de la dégradation de son état, par mon attitude intransigeante, distante et fermée qui rappelle fortement celle de son père. C’est juste que, malgré les doutes qui persistent, je suis plus qu’absolument certain d’une chose : on est pas éternel, et je n’ai pas le temps ni les moyens d’attendre dix ans de plus pour passer d’une probabilité de victoire de 0.1% à 1%, car je n’envisage pas vraiment de gain supérieur au bout du compte, même avec les meilleurs dés possibles… il faut laisser tomber cette manche, beaucoup trop à perdre et pour ainsi dire rien à gagner, et je m’approche du point du match où il faut devenir nettement plus agressif si on veut espérer renverser la tendance, viser le gammon doublé. J’ai beau forcer le trait, je n’arrive pas à trouver ces analogies entre la vie et un match de backgammon cucul. Je trouve ça beau, profond et incroyablement vrai. Il faut peut-être vraiment que je revoie ma psychologue dans ce cas…."   
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Par : le 13/03/25
Acte 4 Moins de 24 heures se sont écoulées, et te revoilà chez moi. Toute fière. Vanessa te fait entrer. Je suis sur la table du salon, en train de trier et vérifier mes affaires de sport. Tu viens me voir, avec tes deux feuilles A4 griffonnées recto verso. Tu me les tends. Je lis même pas, je déchire tout, sous tes yeux médusés. "Bonjour Hannah, assieds toi". Pas un mot, tu t'assois. Je te tends un stylo et une feuille.   "Je t'ai demandé quelques lignes, pas une dissertation. Recommence! Vanessa, fais lui un café s'il te plaît." Le temps de trier mes affaires, tu as le temps de griffonner quelques lignes. Je lis, ok la notion d'engagement est là, mais encore une fois, ça part dans tous les sens. Je laisse cela sur la table, j'ai de toute façon pas le temps. Un match de handball important m'attend. "Vanessa va te faire un cours. Elle t'expliquera les différents grands courants de pensée, le matériel, à quoi il sert, les pratiques. Vanessa, tu trouveras sur la table un exemplaire de check-list. Cela pourra aider Hannah je pense." Vanessa acquiesce d'un hochement de tête. "Vanessa, tu es responsable de Hannah, si à mon retour cela me convient pas, c'est toi qui subiras mes foudres, sommes-nous d'accord?" Vanessa acquiesce d'un hochement de tête, à nouveau, non sans un regard inquiet. Un bisous et un câlin à Vanessa et je m'apprête à partir. "On fait des câlins à une esclave?" "Les relations BDSM n'empêchent en rien la douceur et la tendresse Hannah. Penses-tu que Vanessa accepterait certaines choses si j'étais seulement qu'un sombre connard?" J'attends même pas ta réponse, je m'en vais. Le temps tourne.... Minuit moins le quart, je rentre enfin. Je suis frustré, en colère, en rage, j'ai beaucoup de mal à me contenir. Tu es toujours là. Vous regardez une émission sur les serial killers. Curieuse fascination pour la mort. Vanessa comprend vite que je suis pas d'humeur et tente de me faire un massage des épaules pour me détendre. ça fonctionne pas. "Hannah, qu'as-tu appris aujourd'hui?" "Plein de choses gap!" "Monsieur!" "Pardon, plein de choses Monsieur." "Bien, nous verrons plus tard, je suis pas d'humeur" "Encore? Non mais je viens pourquoi moi? Sérieusement, ça te ferait chier de t'occuper de moi? Je fais tout ce que tu dis, et ta seule réponse, c'est me renvoyer chez moi." Je retourne vers la table, où ton papier griffonné est encore là. Je le jette par terre avec le stylo. "Note Hannah! Vite avant que je change d'avis" Tu te lèves du canapé, t'assois par terre et attends. "Je..... soussignée, Hannah, accepte trois expériences. Une basée sur le physique, une basée sur le psychologique et une basée sur le sexuel...... Je déciderai après si oui ou non et comment je souhaite que la relation évolue..... C'est écrit? Oui alors signe!" Tu le fais, te relève et m'apporte la feuille, me la tends. "Voilà, t'es content. Tiens ta putain de feuille." Tu vas pour partir, et je te rattrape par le cheveux, tire dessus pour te ramener où je veux dans le salon. En te tirant sur les cheveux pour te garder la tête haute, je te dis: "A poil! Vite!" Tu t'exécutes non sans un regard de défiance. Je te jette par terre, te maintiens la tête au sol avec un pieds, de manière à ce que ton cul soit relevé. J'enlève ma ceinture en cuir. Vanessa dans un coin. Le premier coup s'abat. Il est doux. "C'est tout?! je m'attendais à pire" me dis-tu. Je souris. Attends, ca va venir. 2...3...4...5 coups atterrissent sur tes fesses. De plus en plus forts. Tu ne bouges presque pas. 6...7.... coups. Tu ploies une première fois. J'entends ta respiration s'accélérer, devenir plus profonde. 8 coups.... tu ploies encore. Revenir à ta position devient plus dur mais toujours pas un mot, rien. Je fais le tour, je te vois serrer les dents. Une forme de "non, je lui donnerai pas ce plaisir". 9 coups.. un petit son sort enfin de ta bouche. "En place! Dépêche toi! " 10 coups et tu t'affales sur le sol. Tu reviens difficilement à ta position. J'arme à nouveau le bras. Là, j'entends ta respiration se saccader, renifler comme si tu pleurais. J'arrête, jette la ceinture à Vanessa qui regarde sans rien dire. Je te relève, tu me dis "fini?" "Oh non rassure toi, j'ai pas encore fini avec toi". Un petit rictus sur ma bouche. "Ton insolence de tout à l'heure mérite sanction. Mets toi droite mains sur la tête!" Je prends des pinces à linge et une corde. Je joue avec. Pose une à une les pinces en prenant soins de faire passer la corde dedans. "ça va, tout va bien Hannah?" "Oui c'est pas terrible, je m'attendais à pire" "Attends, le plus dur reste à venir". Tu as des pinces du bas des aisselles aux hanches de chaque côté. J'ai les deux cordes dans les mains. Je joue avec. Puis soudain, je tire fort. Les pinces sautent une à une. Je t'entends enfin crier.  Une fois la dernière pince enlevée tu t'effondres sur le sol. Je prends une bombe de froid et l'applique sur tes côtes. "Vanessa va chercher les poches de froid s'il te plaît". "Hannah montre moi tes fesses" Je t'applique les poches froides sur tes fesses. Nous restons là, prostrés par terre, un long câlin s'en suis. "ça va? Comment te sens-tu Hannah?" "ça va, douloureux, mais ça va." "Garde les poches, vu tes fesses bleu violacé, tu en auras besoin" "Merci" "Merci Monsieur, on dit!" "Merci Monsieur" Tu te rhabilles non sans mal et tu pars. Deux jours après, j'ai un message "Bonjour Monsieur, j'ai encore les fesses en feu, j'aime bien mais c'est douloureux, merci pour les poches Monsieur". "C'est que le début Hannah, c'est que le début." Acte 5 Mon téléphone sonne. Il est 7h45 du matin, nous sommes mardi. Hannah a une voix mi-affolée, mi-stressée. "Hannah, qu'est-ce qu'il se passe? Pourquoi tu m'appelles à cette heure-là?" "Bonjour, désolée Monsieur, ma voiture ne démarre plus, et je dois absolument être à la fac ce matin." "On se calme, ça va aller, laisse moi le temps de m'habiller, j'arrive" Je te dépose à la fac. Tu m'indiques l'heure pour venir te chercher. Moins de deux heures plus tard, tu m'appelles à nouveau. "Je suis dehors, peux-tu venir me chercher?" "Comment ça tu est dehors?" "Oui, je me suis faite virer du cours" "J'arrive" Sur les lieux, je te trouve devant le bâtiment principal. Je suis furieux, qu'as-tu bien pu faire pour te faire virer. Tu me dis à nouveau bonjour avec le sourire... Je te réponds même pas. Je t'attrape par le bras et te tire comme une enfant à l'intérieur. A l'accueil, je demande à parler à ton professeur. "tu vas parler avec mon prof? Non mais...." "Je suis pas d'humeur. Tais toi, ou c'est pas juste tes fesses qui seront violacées cette fois-ci" Nous sommes assis sur les fauteuils de l'entrée. 10 mins d'attente. Le hall ressemble à un hall de théâtre. C'est un ancien bâtiment. Une immense pièce de laquelle arrivent et partent des couloirs, des escaliers, et des passages surplombants le hall. Le prof nous rejoint enfin. Tu t'écrases dans le fauteuil, en essayant de te faire la plus petite possible. "Bonjour Monsieur, je suis le professeur de droit du commerce, puis-je savoir qui vous êtes?" "Bonjour Monsieur, je suis son frère. Puis-je savoir pourquoi Hannah a été virée du cours ce matin?" "Hannah répond, elle a été insolente, et a même décidé de danser en plein cours." Surpris et consterné, la conversation se poursuit. "Pardon?! Elle danse en cours?" Je me tourne vers toi, avec un regard froid et noir. "Tu danses en cours? Tu plaisante j'espère?...... Bah lève-toi et danse alors!" Ton prof intervient "Non mais je ne crois pas que ce soit la peine maintenant." "Si monsieur, c'est la peine justement, montre-moi, lève-toi tout de suite et danse." "Je vais pas danser dans le hall, devant tout le monde et mon prof" "Si si tu vas danser dans le hall, devant ton frère et devant tout le monde, comme tu l'as fait devant toute ta classe..... Lève-toi et danse, vite, je vais pas te lâcher!" "Mais.... gap?!" "Y a pas de Gap! Fallait y penser avant à Gap. Lève-toi et danse! Allez!"   Ton prof nous regarde, hébété, on sent qu'il est mal à l'aise, qu'il ne sait pas trop quoi dire ou comment réagir. "Tu attends quoi Hannah? Danse! Tu veux quoi? Que je te mette de la musique? lève toi et DANSE!" Tu te lèves, alors que tout le monde m'a entendu lever la voix, tous les regards sont sur nous et sur toi. Tu te dandines, rouge de honte, ça ressemble à rien. Ton prof est désemparé, il te regarde affligé. "Ah ben voilà! c'est bien ça! Bien, t'a le rythme, du talent! Donc au lieu d'apprendre le droit, toi, tu danses?! En plus pour danser comme ça? Allez, rassieds toi Hannah, tu me fous la honte! Tu a intérêt à bosser tes cours, parce que dans un mois, je vais revenir et je voudrais voir l'ensemble de tes professeurs, savoir ou tu en es!" Ton prof intervient à nouveau. "Monsieur xxx, je pense qu'Hannah est intelligente et... " Je le coupe et ne lui laisse même pas finir sa phrase. "Intelligente? Elle confond cours de danse avec cours de droit, c'est de l'intelligence ça?" Fin de la conversation , je te fais signe qu'on y vs. Nous sommes sur le chemin du retour, après un long silence... Je reprends la parole. "Ah tu veux danser? Crois moi, je vais te faire passer l'envie de danser, des moments non appropriés!" Nous voilà le soir, tu as des sous-vêtements sexy assortis et une robe que Vanessa t'a prêtée. Tu ne le sais pas encore, mais la particularité de cette robe, c'est que le fil de couture est conçu pour casser sans abîmer la robe. Les fils qu'utilisent les stripteasers. Nous sommes dans le pub, une immense table centrale, la soirée avance, l'alcool coule à flot autour de nous. Deux femmes montent sur la table et dansent. "Rejoins les! Monte sur la table et danse!" Je t'accompagne, m'assois devant à la table devant toi. Je te regarde danser, toute timide. Au bout de 2 minutes environ, je me lève, attrape et tire sur le bas de la robe. Comme prévu, elle se déchire aux coutures. Tu te retrouves à moitié nue devant tout le monde. Les hommes te sifflent, ça crie, ça s'amuse de te voir en petite tenue. 7 mecs autour de toi éclatent de rire. Deux d'entre eux, par empathie et bienveillance te font descendre et te ramènent à notre table. Vanessa te tend son manteau long, nous partons. Dans la rue, tu cries, tu m'insultes, tu laisses éclater ta colère. Je marche sans rien dire. Une fois dans la voiture enfin je daigne te parler. "Tu as encore l'envie de danser Hannah?" "Non c'est bon!" "Bien" "T'es fou! Il aurait pu m'arriver n'importe quoi. Ils étaient tous bourrés, t'aurais fait quoi s'ils avaient été plus loin?" "Hannah, je ne mets jamais en danger ma soumise. Ce que tu ignores, c'est que les 25 mecs qui étaient présents autour de la table, je les connais, c'est mes coéquipiers du Hand. Ils savaient très bien ce que j'avais prévu pour toi. Je doute que quelqu'un ose venir te toucher s'il voient 25 gars allant de 1m70 à 2m10 te protéger, ce qui a été le cas. Autre détail que tu ignores, je connais le patron et les videurs, depuis le temps que je viens ici." Un long silence.... tu regardes dehors, la mine toujours en colère. J'en rigole. "Je ne pensais pas que le volet psy allait arriver si vite! Comment te sens-tu?" Une longue, très longue discussion terminera notre nuit. Elle partira du sentiment de colère pour en arriver au sentiment d'excitation d'être exposée à des inconnus. Acte 6 Je passe chez toi, te livrer un colis. Tu m'accueille en m'offrant un café. Tu me demande ce qu'il y a dans la boite. Je te la tends et te dis de l'ouvrir. Il y a, 3 plugs (S, M, L), un tube de gel lubrifiant, et un gode (M). "Qu'est ce que je dois en faire Monsieur?" "A ton avis Hannah?" "J'aime pas la sodomie, c'est hors de question!" "Tu a déjà pratiqué Hannah?" "Non, pas vraiment, ca m'attire pas." "Alors comment peux tu savoir que tu n'aime pas? Moi je serais toi, je prendrais le temps de porter les plugs. Dans 9 jours, que tu aime ou pas tu y aura droit." Un soupire de ta part et puis "Et le gode? Il sert à quoi?" Je te montre ma gorge et te rappelant ce que tu avais vu dans la cuisine avec Vanessa. Je te vois déglutir. Tu ne dis rien, mais je ne peux m'empêcher d'avoir un petit sourire en coin. "Ah dans 9 jours Hannah, amuse toi bien avec tes nouveaux jouets!" Tic, tac, tic, tac..... Les 9 jours sont passés. La soirée est arrivée. Nous dinons. Tous les trois. Un longue conversation est abordée. Vanessa t'explique que c'est sa dernière soirée. Elle a rencontré quelqu'un d'autre, elle souhaite revenir à une vie vanille. L'homme en est question, est disposé à lui offrir ce que je ne souhaite pas. Une vie vanille avec perspective d'enfants. Je l'ai accepté sans trop de difficulté. Je savais que le temps était compté entre nous. Il y a toujours un petit pincement au coeur mais ainsi va la vie. Le repas est fini depuis un moment déjà. La digestion devrait être passé. Il est temps d'avoir la 3e et dernières expériences. Vanessa t'entraine dans la salle de bain. Elle va te préparer. Vous revenez environs 20 mins plus tards. Vous etes en string, bas, porte jarretelle, soutiens gorges, coiffées, maquillées. J'admire la vue, en buvant mon déca. D'un signe du doigts je vous demande de vous tourner. Je constate que vous portez toutes les deux un rosebude. Je bouge pas du canapé, cela te surprends. Ce que tu ignore, c'est que Vanessa avait été briefé avant. Elle savait ce qu'elle devait faire. "Vanessa.... à toi l'honneur. C'est ta dernière soirée, profites en." Vanessa part et revient avec dans les mains une caisse. Elle l'ouvre, attrape un foulard/bandeau noir en satin. Elle te bande les yeux. Elle te retire ton soutiens gorge, non sans se laisser à quelques caresses. On sent que ca te perturbe un peu. Vanessa, te fixe les mains dans le dos au moyens de deux entraves en cuir. Puis plus rien ne se passe. Le temps que j'installe à terre, un sur matelas et un plaise à franges longues. C'est doux et agréable. Vanessa te guide, t'allonge, et te retire ton strings. Tu est nue, allongé, les yeux bandés, à attendre. Il est temps de découvrir si tu a un coté bi..... Un clin d'œil à Vanessa comme top départ. Elle retire à son tour son string, et se positionne de façon à entourer ta tete entre ses cuisses. De cette facon tu a son sexe coller à la bouche sans pouvoir tourner la tete pour l'éviter. On entends des murmures étouffé, comme des protestations. Rien de ne passe, tu refuse il semblerait. Je me lève, prend un magic wand, le branche et le donne à Vanessa. Elle se relève le temps de te laisser respirer puis se repositionne. Elle s'en amuse. Tanto le pose sur ton clitoris, tanto l'enlève, elle joue aussi avec les vitesses... 3 mins se passent, et te voilà à gémir, ton bassin commence à bouger, à osciller. Doucement... Petit à petit les mouvements s'accélèrent, deviennent plus brusques. Vanessa se positionne mieux. Se relève légèrement pour qu'il te soit plus facile de lui lécher la chatte. Les premiers coup de langues partent, Vanessa gémi à son tour..... Je vous regarde, admire le spectacle offert. Un cri de jouissance forte sort de ta bouche Hannah. "Mince je me suis fais pipi dessus" Je rigole... "Assez joué entre vous les filles, à mon tour maintenant". Je me met nue aussi et vous rejoins. Vanessa t'aide à te relever, et te met à genou. Elle te place mon penis à l'entrée de ta bouche. Tu commence par lécher goulument, puis me suce. j'attrape tes cheveux et gère le rythme des va et viens, parfois soft et parfois je pouce pour que cela rentre plus profond. Tu éructe, bave, crache, tousse. Je te laisse respirer et reprendre ton souffle puis revient à la charge.... Puis j'arrête, je fais le tour, te pousse en avant. Les fesses en l'air, je te retire le rosebude. Je récupère la bave qui dégouline encore de ta bouche, humidifie ton anus. Je joue avec, le caresse, enfonce délicatement un doigt, puis deux, puis trois. Parfait tu est "ouverte". Préservatifs mis, et gel mis je te demande "Hannah, est tu prête?" "Non mais je ne le serais jamais donc allons y" Je me lance, je pénètre ton cul, doucement, il faut forcer un peu..... une fois dedans j'attends quelques secondes que tu t'y fasse. Puis les va et vient commence doucement, pour petit à petit aller crescendo. Dans un reflexe, je chope le magic wand qui traine, et te le colle sur le clitoris. Les mouvements sont de plus en plus fort, tes fesses claques sur mes hanches. Tu grogne, râle, gémi, tout ca en meme temps. Je fini par décharger dedans. Enfin. Ma libération. Je me retire en te laissant le magic wand posée. Tu gémis de plus en plus fort. Un cri de plaisir et puis "Stop, j'en peux plus" arrive. Nous finissons les trois allongée sur le sur matelas. Nous parlons, nous faisons notre aftercare sereinement. Il parait que tu a aimé, malgré le coté désagréable des premiers instants.  
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Par : le 13/03/25
Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.  Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose. ***************************************************************         On va dans une grande pièce surchargée de décorations. Je m’attends à voir un gros Sultan, mais non, il s’agit d’un homme mince de grande taille avec une barbe bien taillée. Mon esclave africaine est déjà à genoux et elle dit :      — Voici la nouvelle odalisque, Maître.      Il répond :      — Propre ?      — Oh oui Maître.      — Vous allez bien ensemble.      Tout le monde parle français, mais une IA transforme ces dialogues presque en temps réels, dans les langues des pays où les images sont envoyées. En ce qui concerne la vraisemblance, on est à Topkapi, bien sûr. Il y a le Sultan, ses femmes, son harem de filles achetées ou reçues et puis les odalisques : moi et les autres Occidentales, nous sommes des cadeaux aussi. Et puis les eunuques, les gardes… Le Sultan entr’ouvre son vêtement et me dit :      — Montre-moi si tu as une langue habile.      Ça, je connais et je crois que même il y a quelques siècles ou millénaires, les esclaves léchaient de la même façon. Monsieur Edgard se rapproche pour filmer dans le bon angle. J’embrasse les couilles du Sultan, puis je suce et je lèche son gland. Il réagit fort, pourtant il a de la "matière première" pour se faire lécher autour de lui.       Eh Fanny ! C’est pas le vrai ! Qui sait, peut-être qu’à un moment, une IA nous enverra au 16ème siècle. Oui, je sais, je joue. Monsieur Edmond vient me dire à l’oreille :      — Plus de passion, Fanny.      — Oui, oui…      Je fais un gros effort pour sucer la bite de cette grande asperge. Il ressemble autant à un Sultan que mon trou du cul ressemble au Président des Etats…       — FANNY !!      C’est Yao qui vient de crier mon nom. Comment sait-il à quoi je pense ?? L’IA a sans doute gardé tout ce que j’ai écrit et elle connaît mes goûts. Elle veut me sauver, parce que de nos jours il vaut mieux ne pas se moquer ou dire du mal des nouveaux dictateurs.       Le Sultan crie :      — O köleyi kırbaçla.       Je souhaite que cela signifie « Apportez-lui une grande glace avec de la chantilly. » Hélas, je pense que ça veut dire « Fouettez cette esclave ».       Un grand Noir costaud vêtu d’un pagne arrive, il n’y a pas de glace dans sa main, mais un fouet. Je commence à gémir et supplier, Yao vient me prendre par un bras en murmurant :      — Crie… l’IA va renforcer tes marques.      Oui, mais j’en aurai quand même ! Je gémis et je crie « Pitié, je... ». Un autre garde vient l’aider. Ils attachent des cordes à mes poignets. Yao me murmure à nouveau :      — Crie plus fort.      Pour être sûr que j’ai bien compris, il me file une bonne claque sur les fesses. Il y a des murmures parmi les spectateurs qui sont censés se taire. Je suppose que les followers veulent me voir d’abord fessée sur leur site, hélas. Je me retrouve en travers de ses cuisses, les fesses en l’air. Il prend mon poignet droit de sa main gauche et il me caresse les fesses. Ça, ça va. Hélas, il lève le bras et sa grande main vient aplatir mes fesses. Il y a des exclamations et des murmures parmi les spectateurs. Moi je crie, je supplie, je gémis même :      — C’était pas prévu...!      Mais l’IA me fera dire autre chose. Yao me donne certainement une bonne vingtaine de claques. Je suis sûre que mes fesses ont la couleur du soleil couchant par grand vent, sur la mer Rouge.      Yao pose la main sur mes fesses en disant :      — Un peu de fouet et tu seras prête à sucer convenablement.      — Noooon... je jure que…      Il me remet sur mes pieds et je frotte mes fesses brûlantes, tout sera faux soi-disant. Mes fesses brûlantes et mes larmes, elles sont fausses ?      Yao doit être en contact avec avec le groupe « Fanny et ses fesses ». Oui, j’invente mais je ne dois pas être loin de l’intitulé. Les deux gardes de tout à l’heure viennent m’attacher par les poignets à deux chaînes suspendues au plafond. Ils attachent aussi mes chevilles à des anneaux dans le sol, qu’ils ont redressés. Mes jambes sont très écartées. Je crie :      — Je sucerai du mieux que je peux !      Yao dit :      — Évidemment que tu suceras, mais il faut t’apprendre à obéir vite et bien.      Il ajoute :      — Faites-la monter.      Monter où ? Je finis par former un grand X, mes pieds étant à 50 cm du sol. J’ai vraiment mal aux poignets et Yao fait claquer quelques fois son fouet dans le vide. Franchement, j’ai peur.             Je crie, je supplie, c’est un peu le rôle mais beaucoup la réalité. Le fouet claque sur mon derrière. Il fouette mes fesses depuis sous le coccyx jusqu’à la pliure où les fesses et les cuisses se rejoignent, l’endroit que les anglophones appellent le "sit spot".      Il termine en me frappant entre les cuisses sur le sexe qui n’a même pas de poils pour se protéger. Yao me demande :      — Dis-nous si cette punition va te faire obéir strictement.      — Ouiiiiii !!! Je vous jure, Maître.      Les gardes viennent me détacher. J’ai mal aux épaules, aux fesses, à la chatte… Yao me dit :       — Maintenant tu vas me remercier de t’avoir donné une bonne leçon.      Je gémis :      — Merci… Maître… Je vous obéirai toujours… et…      Il ouvre son vêtement et il me propose une bite qui ferait peur à un éléphant femelle. Je ne peux pas l’engloutir, donc je la tète comme un agneau affamé tète le pis de sa mère qui est partie se balader trop longtemps avec les béliers du troupeau…        Yao ne m’envoie pas ses giclées de lait, mais oui, vous savez bien, la comparaison avec une brebis, au lieu de ça il me repousse.       Le Sultan dit :      — Ce soir, elle viendra avec les autres Blanches. Azra vient la chercher et  explique-lui comment faire.      Azra, la jolie Noire, répond :      — Elle saura ce que vous aimez, Maître.      Elle me tend la main. On sort, suivies par Monsieur Edgard et son appareil photo super perfectionné. On va dans une grande pièce où il y a certainement une vingtaine de lits les uns à côté des autres. Elle ouvre la main et je vois une pilule. Elle me dit :      — Avale, ça va calmer tes douleurs.       Je ne crois pas que ce soit un poison, je l’avale. Azra me dit :      — Ici, tu dois obéir et ramper devant le Sultan.       La pilule me fait déjà de l’effet, je me sens presque bien et puis elle a la façon de faire qui me plait. Elle ajoute :      — Couche-toi sur le dos, pour que je puisse m’asseoir sur ton visage, on m’a parlé de l’agilité de ta langue.      Je réponds :      — Oui, Maîtresse…      C’est l’effet de la pilule… non, c’est ce que j’aime et paradoxalement, ce qui m’excite : être aux pieds ou sous les fesses d’une jolie fille.       Je me couche sur le dos. Elle se met debout au-dessus de ma tête, puis son derrière, ravissante lune noire, vient se poser sur mon visage. De la façon dont elle s’est mise, je la sodomise avec mon nez, qui est pourtant petit. Elle sent trop bon, rien à voir avec le rôle de cet endroit. Elle a une odeur naturelle, sauvage… Heureusement qu’elle est assise sur mon visage, sinon je m’envolerais vers le 7ème ciel… Ce n’est plus la méchante sorcière de l’Ouest qui flotte au-dessus de moi, mais une ravissante fille de la savane qui sent un peu le fauve du côté des aisselles et le poisson du côté du sexe, comme toutes les sirènes…      Je me décale un peu sous elle pour pouvoir la violer, façon de parler, avec ma langue qui a plongé dans le sexe de la sirène.       Oui, chère lectrice du futur, je suis une primitive et les odeurs ont une très grande importance pour moi.      Ma belle sirène noire jouit dans ma bouche, c’est la Sultane du harem et moi je suis son esclave favorite. Quand elle a joui, elle frotte sa chatte sur mon visage en disant :      — Je marque mon territoire.      Oh oui, je suis à elle, à sa chatte… Hélas, elle bouge et elle quitte son sex toy… Je suis abandonnée, sa chaleur, ses odeurs, la douceur de sa peau et même l’âpreté de ses poils… Je me retrouve démunie de tout. Ma sirène, je suis ta mer, reviens…       Yao me dit :      — Relève-toi… et remercie ta sirène.      La pilule ne me fait plus d’effet depuis un moment, alors, lucidement je me dis « comment il sait que je l’appelle ma sirène ? » J’ai dû dire des choses à haute voix. Je dois la remercier de m’avoir envoyée au 7ème ciel. Yao lui dit :      — Assieds-toi.      Elle s’assied dans un fauteuil et croise les jambes. Je me mets à genoux et j’embrasse son pied. Oui, lectrice imaginaire d’un futur hypothétique, j’aime les pieds des filles qui viennent de s’asseoir sur mon visage.      Azra rit parce que ma langue la chatouille en glissant entre ses orteils. Elle me dit :      — Je suis la Sultane noire et tu es mon esclave favorite.       Yao me dit :      — Tu sais y faire, toi !      Je panique tout de suite, je n’ai plus le nez dans le cul de ma sirène noire et je suppose que j’ai fait une bêtise. Je lui dis :      — Qu’est-ce que j’ai fait ?      — Rien de mal, au contraire, les followers raffolent de te voir lécher le cul d’Azra… On va même devoir un peu modifier le scénario.       Il s’approche d’Azra et lui parle à l’oreille un bon moment. Elle hoche sobrement la tête en disant :      — Facile… et logique.      Elle me dit :      — Tu sais qui je suis ?      — Non Maîtresse, vous me plaisez... c’est tout ce que je sais.      — Et tu connais ma fonction ici ?      — Non… euh...       — Je m’occupe des odalisques. Le Maître a trouvé amusant que les Blanches d’Europe soient sous les ordres d’une Africaine. Bon, on va manger.      Elle me regarde et ajoute :      — Et toi, tu sers les filles.      Mais j’ai faim, moi ! Ça, je le pense, mais je ne le dis pas. On va dans les cuisines qui sont immenses. Il y a une dizaine de filles blanches vêtues de voiles transparents. Ce sont des odalisques. Elles sont debout derrière une chaise. Azra leur dit :      — Les filles, voici votre servante. Elle doit vous obéir. Asseyez-vous.      Monsieur Edmond est discrètement dans un coin. Il filme et photographie. Des servantes viennent apporter une série d’assiettes de nourriture et c’est moi qui dois les mettre poliment devant les odalisques. Elles sont toutes blanches et elles sont des cadeaux que ses visiteurs ont faits au Sultan. Quand j’ai mis une assiette devant toutes les filles, Azra leur dit :      — Vous pouvez manger.       Je regarde les filles manger avec une cuiller. Elles sont originaires de toute l’Europe, depuis une blonde nordique jusqu’à une très brune sicilienne ou grecque.      Qu’est-ce qui va plaire aux… gens maintenant ? C’est que je salive en les voyant manger ? Azra me dit :      — Tu peux mendier… comme une chienne.      C’est-à-dire ? Ah oui : je me mets à quatre pattes et je vais gémir à côté d’une Norvégienne. Je la regarde en gémissant. Elle pousse un gros soupir et remplit une grande cuiller de semoule qu’elle verse sur le carrelage. Elle dit :      — Attends que je te donne la permission.      Elle met ses pieds dedans et les redresse en disant :      — Uniquement ce qui est sur mes pieds.      La semoule est très collante et il y en a beaucoup sur la plante de ses pieds et même entre ses orteils. Le sol de la cuisine est sale et les pieds de la fille aussi, sous la semoule. J’ai faim et j’avoue que l’odeur des pieds ne me coupe pas l’appétit. Je mange sur ses pieds. Ensuite des fruits sortant d’une chatte blonde ou brune. Ça amuse beaucoup les filles. L’une d’elles me dit :      — Couche-toi par terre sur le dos.      Quand c’est fait, elle me dit :      — Tu aimes les fruits, petite odalisque ?      — Oui, Maîtresse.      — Ouvre la bouche.      Elle vient s’accroupir au-dessus de moi, la main sur la chatte. J’ai compris, elle enlève sa main et une demi-banane tombe de sa chatte dans ma bouche. Ça fait rire toutes les filles. Je ne vais pas dire que j’adore ça, mais il y a pire. Une autre fille vient me faire manger des gros grains de maïs, mais elle ne les a pas mis dans sa chatte. Là, c’est dégoûtant, je regarde Azra, avec toute la détresse du monde dans les yeux. Elle hausse les épaules. Pour elle, c’est rien. La fille suivante vient me mettre un alcool de fruit dans la bouche. Je l’aime, bon, elle me crache aussi dans la bouche, mais sa salive me plaît également.      Yao annonce quelque chose à Monsieur Edgard. Il vient vers moi en disant :      — J’ai une autre mission Fanny, on se reverra.       On s’embrasse et il s’en va… À suivre. Merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 13/03/25
Je viens , aujourd'hui , vous livrer une partie de mon histoire , simplement , sans polémiques , juste pour partager ces expériences ! j'ai eu le bonheur ( peut étre trop tot ) d'étre déniaisé par ma prof de français , alors que j'avais 12 ans , par le biais du prét d'un livre " le blé en herbe " , sur lequel elle m'a apporté un éclairage et une vision de ce que pouvais offrir une femme mature ( 45 ans ) a un jeune puceau a peine pubére ! Grace a cette femme , j'ai tout découvert des plaisirs du sexe hétéro , je n'étais pas , évidemment , encore dans les fantasmes bdsm mais petit a petit elle m'y emmené , elle m'a fait découvrir les plaisirs de la soumission , de l'offrande , de la vénération , elle m'a souillée et j'ai adoré , elle m'a cravaché jusqu'a avoir les fesses rouges vif et j'en ai joui , elle m'a fait découvrir les plaisirs de la pénétration et je me suis offert a tous ses désirs les plus pervers ! Alors oui , c'était surement trop tot , oui elle était a l'évidence pédophile mais quelles expériences j'ai vécu grace a elle , quels plaisirs insoupçonnés j'ai découvert , quelles jouissances j'ai obtenu grace a sa maitrise du corps des hommes ! Le petit garçon que j'étais est devenu en 1 an de cours particuliers ( en français , alors que j'étais d'un bon niveau , mes parents n'ont jamais compris pourquoi elle me recevait ) un trés jeune homme , adepte des plaisirs du sexe , et malheureusement un peu trop en avance pour les autres gamins du méme age , je ne pouvais pas partager mes expériences , discrétion oblige , je ne pouvais pas demander a mes petites copines des pratiques sommes toutes vanille sans les éffrayer . bref j'ai étais longtemps frustré d'avoir découvert si tot ces plaisirs et d'en étre privé le temps que les jeunes de mon age m'aient rattrapés ! je reste souvent ébahis du manque d'ouverture d'esprit , du blocage , du rejet des adultes de mon age devant les pratiques sexuelles perverses , aprés tout , ne sommes nous pas entre adultes consentants , ou tout devrait étre possible sans fausses pudeurs , sans chichis , oui ou non tout simplement . Vous me plaisez , je vous plais , profitons de la vie ! Merci d'avoir pris le temps de me lire . Je vous présente mes salutations bdsm . Philippe .
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Par : le 12/03/25
Je le sentais depuis un moment. L'obsession s'est inversée. Tu perds petit à petit de l'intérêt pour moi, les réponses se font de plus en plus rares et le seul sujet abordé se résume à la musique désormais. Il y en a une autre, je le sais, tu me l'as dit dès le début et je ne suis pas jalouse, j'ai même pu la rencontrer et en profiter. Je suis même contente pour vous si vous réussissez à trouver une relation qui est plus proche et qui vous correspond. Seulement moi, j'ai l'impression d'avoir échoué, de ne pas être assez intéressante, que tout le monde réussit toujours à trouver mieux que moi. Une ancienne vilaine blessure qui ressort et que je tente de panser comme je peux.    L'envie de t'envoyer des messages reste présente mais doucement je n'entends plus que leur écho résonner sans plus avoir de réponses. J'hésite d'abord, je ne sais si ça fait partie du jeu... ça peut être une privation d'attention à l'égard de la brat... ou bien peut être une règle imposée lors de la mise en place de votre nouvelle relation d.s ...ou encore une période de silence dissimulant un mal être et un besoin de solitude...   Le silence se fait de plus en plus long et dur à vivre. Je comprends que je dois petit à petit défaire les liens par moi même, te faire descendre du piedestal où je t'avais placé. Après plusieurs mois de silence, un message. Il est de Madame cette fois : vous voulez me revoir. Elle m'explique que vous n'avez pas repris contact avec moi depuis longtemps en raison d'un emploi du temps chargé et de quelques péripéties. Je regagne espoir, peut être que ce n'est pas perdu après tout.    Je m'apprête d'un nouvel ensemble de lingerie que je sais dans tes goûts. Une boule au ventre m'accompagne lors de mon trajet en train pour vous rejoindre à ce qui sera notre dernière petite sauterie comme tu aimes les appeler.    J'arrive enfin. Tu es sur ton ordinateur en train de travailler sur ta musique. J'arrive à peine à te décrocher un bonjour. C'est avec Madame que je passerais le plus gros de la soirée, même de la nuit.    Les heures défilent et ton attention reste portée sur ton écran. Je fais comprendre que j'ai un rendez-vous demain et que je ne devrais pas trop tarder à partir. Tu me demandes de rester, ça serait dommage de ne pas profiter de cette soirée. Il faut comprendre ici que tu aimerais me baiser quand tu auras décidé que c'est le moment de le faire. La soumise que je suis à tes côtés annule son rendez-vous et décide de rester. C'est seulement lorsque le soleil s'est déjà levé que tu te décides à enfin éteindre ton pc. Je suis là disponible pour toi comme tu le souhaitais, les cuisses écartées et il te suffit seulement de poser une main sur elles pour que mon entrejambe devienne mouillé. Les sensations s'emparent de mon corps, je perds le contrôle et le remets entre tes mains . Quelque chose a changé. Il n'y a plus le même désir dans ton regard. J'ai obtenu, malgré moi, la réponse à ma question. Ce n'était pas une pause mais une fin, il me faut maintenant l'accepter.    J'envoie encore quelques messages ensuite. Je m'en mords les doigts et les regrette parfois au vu de ton silence qui me hante. Je finis par supprimer ton numéro, c'est la seule force d'esprit que je parviens à avoir dans un élan de courage. Je ne peux pas continuer à voir ton nom sur mon téléphone ni te voir connecté sur les réseaux, l'effet est encore trop fort.   Le silence, douce musique parfois si bruyante mais a laquelle je finis par m'habituer.    Il y a encore Monsieur mon amant qui reste présent. Pas pour bien longtemps malheureusement. Nos chemins se séparent lorsque s'éveillent les mémoires des masters.   J'avais le cul entre deux chaises eh bien me voilà désormais le cul par terre!   Je prends ça comme un signe, une invitation à prendre du recul histoire de réfléchir à ce que je veux réellement. Tout un vacarme se met en route dans ma tête : et si finalement je ne devais pas mettre tout ça de côté, et si ce n'était que des schémas vicieux que je dois casser, et si ce n'était pas le moment de me ranger, de rentrer dans une case. La chanson des et si remplace celle des silences. Elle dure plusieurs mois jusqu'à ce qu'arrive la fanfare du manque. Le manque que je pense initialement être celui des êtres mais, après réflexion, le manque est plus profond, il s'agit du manque de la soumission.    Je te pensais unique en ton genre alors que je sais désormais qu'il suffit de savoir chercher pour en trouver d'autres comme toi, d'autres qui me correspondraient même mieux que toi. Il y avait bien ce site sur lequel je me perdais parfois en lisant des articles intéressants mais je n'avais encore jamais osé sauter le pas d'aller plus loin.   Tu as entrouvert la porte avec moi, c'est à mon tour de l'enfoncer seule et librement. Si tu m'en avais laissé l'occasion j'aurais aimé te remercier pour ce que tu m'as rapporté: je garderai précieusement les souvenirs, j'approfondirai les connaissances acquises avec toi et les fantasmes découverts à tes côtés. Voilà une promesse que je me fais plus à moi même qu'à toi. Tu n'as plus d'emprise sur moi, j'aurais juste aimer connaitre certains pourquoi . J'ai une idée un peu plus claire de ce que je veux désormais et surtout de ce que je ne veux pas.    Je m'inscris. On me demande de choisir un pseudo. Il m'apparaît comme une évidence : la femme de la nuit. Ce titre que tu m'avais donné et qui, sans que tu le saches vraiment, me va si bien. Je te dis au revoir, peut être à jamais. Un nouveau chapitre attend à être rédiger.        
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Par : le 11/03/25
Nu, vide, mon plafond...comme mes pensées, comme mon cerveau. Respire. Ce plafond vide me renvoie des flashs. Flashbacks de cette soirée. Flashs éblouissants. Je franchis l’ouverture et me dirige vers la zone baignée de soleil.  Il s’affaire à finir de préparer son matériel. Il se tourne vers moi et, sur un signe, mes dernières réticences m’abandonnent. Je m’offre à son regard. Respire. Il me donne des indications précises, sèches, dénuées de toute chaleur. Un peu surprise, je m’exécute malgré tout,  “Enlève ton haut”, “penche toi”,“appuie toi contre ce mur, ton pied replié, pas comme ça” Ordres cinglants, glaçants.  Qui s'enchaînent. Pas de pause. Impossible de penser, dépassée, je lui laisse le pouvoir. “Tu trembles”...il s’amuse de moi. Il cherche mon regard. Impossible de l’affronter. J’abdique. Il continue et exige des positions de plus en plus suggestives.Et ce ton toujours plus froid.  Ma respiration s’accélère à ces souvenirs. Il se joue de moi, de ma gêne, de cette espèce de pudeur. “Remue toi un peu, bouge, avance, recule, pas comme ça” Ça monte à l’intérieur de moi. Mon corps se redresse. Mon regard durcit. Je bascule. La carapace vole en éclats.  “ Me parle pas comme ça ! Je suis pas ton pantin ! Maintenant tu m’écoutes !” Un peu surpris, il se tourne vers moi, un sourire en coin. “Ah, enfin, te voilà….petite garce, où te cachais-tu ?”. “ Montre moi qui tu es maintenant !” “ Raconte-moi ce que tu as à dire, mais surtout pas un mot”. Il tourne autour de moi, se baisse, se penche, appuie sans discontinuer sur le déclencheur du Réflex. Il me provoque avec ce sourire narquois. La colère m’envahit, je la laisse exploser à travers mes attitudes. Je lui renvoie ce regard provoquant. Je m’expose. Je me livre, sans chercher à me cacher. Divine colère, je me libère. J’exulte. La guerrière est là. Je regarde sur le lit à côté de moi. Des clichés éparpillés, noirs et blancs, intenses, magnifiques. Une guerrière me regarde. Elle est moi.     NB : ces deux récits sont purement fictifs. Ils sont écrits à la demande de Mon Loup, avec des contraintes. Ce 2e texte avait pour exigences : - uniquement écrire au présent - pas de verbe du 3eme groupe (sauf une seule fois), usage autorisé mais plus que restreint d’être et avoir - mots interdits : pose / tout le champ lexical relatif aux couleurs / sexe / meubles / appareil / beau bel beauté / offert (e) / excitation excitée excité / peur et ses synonymes - pas d'adverbe
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Par : le 11/03/25
Acte 1 La porte sonne, il est 20h. C'est l'été, il fait enfin bon, le soleil illumine encore un peu le ciel. Ma compagne et soumise, Vanessa, vient t'ouvrir. J'observe de loin les retrouvailles de deux amies. Puis vient les présentations. "Hannah je présente Gap. Voici Hannah, une amie d'enfance" Nous nous saluons. Je te découvre visuellement. Tu es petite, blonde, les yeux clairs, avec des rondeurs, une poitrine généreuse, une petite voix, et un sourire un brin charmeur. Direction la terrasse pour l'apéro dinatoire. Rien de bien spécial, une soirée vanille entre amis ordinaire. Passée une heure de discussion, je vous laisse, entre filles, vous avez sûrement des choses à vous dire entre vous. La soirée file, l'alcool aidant, les discussions se débrident. Je vous entends rire. Dans une entrée fracassante, tu viens dans le salon en criant: "Toi! le mec tout mignon, rigolo, avec une tronche de premier de la classe.. tu fais du BDSM?! J'y crois pas" Je daigne tourner la tête, tant à vos voix, je vous sens totalement éméchées. Des piques et des éclats de rires entre vous, auxquels je ne réagis pas. La blague de trop arrive, je fixe du regard Vanessa sans un mot. Son rire, sa bonne humeur s'efface en une fraction de secondes. La tête baissée, le regard qui fixe le sol, Vanessa n'ose plus bouger ou dire un mot. Elle sait..... elle. Toi tu continues, insouciante, sans savoir. Vanessa reprend le dessus, et ose enfin t'inviter vers la sortie.      Ma bienveillance fait que je te retiens, tu n'iras nulle part vu ton état d'ébriété manifeste. Vous dormirez toutes les deux dans mon lit. Vanessa, y goûtera pour la première fois, depuis plus d'une semaine à en être privée. Le temps se calme, les lumières s'éteignent. Le sommeil arrive. Ni toi, ni moi n'avons conscience, que dans quelques semaines, je te ferai vivre la meilleure et la pire expérience de ta vie. Acte 2 Il est 8h30. Je suis réveillé depuis 20 mins déjà. Je me lève pour me faire mon café. Le bruit de la machine réveille Vanessa qui court vers la cuisine, rate le virage et tombe par terre. Rien de grave, fort heureusement. Tasse à la main, je bois une gorgée et sans même la regarder, je dis: "Bonjour Vanessa. Bien dormi? Tu ne t'es pas fait mal? La tête, comment elle va?" "Bonjour Maître. Non ça va, tout va bien, oui mal à la tête. Je m'excuse de ne pas m'être réveillée pour faire votre café"   "Ce n'est pas grave. Par contre, tu vas assumer ta petite incartade, ton mal de crâne, tu vas te le traîner toute la journée. C'est compris, petite pute?" "Oui Maître." "Tu t'es bien amusée hier soir? Qui t'a dit de te mettre debout? A 4 pattes!" "Pardon Maitre, je me suis..... " "Garde tes excuses pour quelqu'un que ça intéresse! Viens-là" Sans un mot, Vanessa, avance lentement à 4 pattes pour s'arrêter à mes pieds. "Enlève la nuisette, ça serait dommage de la salir" Nue, attrapée par les cheveux, je contrains Vanessa à embrasser mes pieds, puis la remonte à mi-hauteur. Elle a vite compris. Elle tente de reculer, la tête, le sait, elle a trop bu hier, ça va pas bien se passer. Une gifle arrive sur sa joue gauche. "Arrête de lutter, quoi qu'il arrive, tu n'as pas le choix, plus tu vas lutter, plus ça sera pénible pour toi. Mais j'aurai ce que je veux. Il me semble que tu as choisi d'être ma salope, non?" "Oui Maître, mais pas ce matin, j'ai encore l'alcool qui remonte" "ça c'est ton problème, pas le mien! Viens-là, je t'ai dit!" Une deuxième tentative de reculer sa tête, et une deuxième gifle tombe. Finalement, Vanessa arrête de lutter, et ouvre sa bouche. Mon pénis y pénètre, lentement, puis de plus en plus vigoureusement, jusqu'à aller taper au fond. Entre bave qui dégouline, éructation, haut-le-cœur, nausée, Vanessa subit sans bouger. Je continue, en croisant nos regards, le mien empli de plaisir malsain, le sien entre colère et dégoût. Finalement, 4 jets de sperme partent. Deux atterrissent autour de sa bouche, et les deux autres entre son cou et sa poitrine. Je l'aide à se relever, prend du sopalin et l'essuie consciencieusement. Tout en la prenant dans mes bras je sussurre à l'oreille de Vanessa " C'est toujours un délice la sensation que tu me procures" "Merci Maître. Dieu que je vous déteste de me faire subir cela au réveil. Mais le pire c'est que j'aime ça. Bref j'aime vous détester" "Tout va bien, alors?" "Oui Maître" "Bien, tiens, voilà du doliprane pour ton mal de tête, va prendre un bain aussi, ça te fera du bien. Ah, et pense à réveiller Hannah s'il te plait" Quelques minutes plus tard, seul avec Hannah dans la cuisine à boire notre café et demander si la nuit n'a pas été trop compliquée, Hannah me dit: "J'ai tout vu.... je vous ai vus ce matin, je vous observais dans l'embrasure de la porte." "Et donc?" "Rien, je pensais pas que..... c'était excitant, voilà c'est tout" "Et donc? J'ai pas toute la journée, Hannah"   "Rien, ce genre de scénario me plaît, je pensais pas, mais je dois avouer que ça m'a follement excitée. Si Vanessa est d'accord, je suis partante pour subir le même sort" Me dit-elle avec un grand sourire. "Tu n'es pas prête pour ça, vous en parlerez entre vous. J'ai ni l'envie ni le temps de te faire un cours ce matin" Mi-agacée, énervée, Hannah me regarde partir. Je dois aller au sport, on m'attend, pourtant une question m'obsède. Qu'est-ce qui a plu à Hannah? Le côté sexuel? ou le côté esclave contrainte de Vanessa?   Acte 3 Huit jours ont passé. Dans un moment off, vanille, classique, Vanessa m'explique que vous avez beaucoup parlé. Elle me demande si je suis "ok", pour un dîner centré sur le BDSM. Il paraît que tu as plein de questions. Je n'ai aucune envie, mais pour faire plaisir à ma soumise, j'accepte. Puisque tu viens dans ce but, autant te mettre dans le bain de suite. A ton arrivée, tu es surprise. Vanessa t'ouvre la porte, dans son "costume" de jeu. Elle a un collier et une laisse autour du cou, porte des bas noirs, un tanga, une jarretelle et.... c'est tout. Autre précision que tu comprends vite, Vanessa mangera par terre, dans sa gamelle, pendant que nous dînerons à table. Le dîner commence dans un silence presque de mort. Tu es venue pour poser tes questions, eh bien j'attends... La vue de ton amie, mangeant par terre dans une gamelle de chien, doit sûrement te perturber. J'en ai marre d'attendre, donc j'ouvre le bal. "Bien, puisque qu'on est là pour ça, dis-moi quelle est ta vision du BDSM. Comment tu vois ça? Comment tu l'imagines ou le fantasmes ?" Arrive un long, trèèèès long monologue. J'écoute à moitié. C'est chiant, c'est mou, ça part dans tous les sens. On sent que tu as essayé de te renseigner, mais on sent aussi que tu mélanges tout, que tu ne maîtrises pas grand chose. Plus ton monologue avance et plus cela ressemble à un vieux film porno bizarre, mélangeant tous les concepts, les pratiques, les "outils". On sent que toi-même, tu ne sais pas vraiment où tu vas, ni où tu veux aller. Vanessa veut t'aider, elle relève la tete pour te faire un signe. Pas le temps, du bout du pied, je lui ramène sa tête vers sa gamelle. Je retiens rien de ce que tu me racontes. Je m'en fous en fait. ça va tellement nulle part que je suis déjà convaincu qu'hormis le fantasme de... tu n'as rien à faire dans ce monde. Je n'imaginais pas à quel point je me trompais sur ce dernier point. "Bon ok, arrête de parler, ça rime à rien. Tu n'as aucune idée de ce dont tu parles. Tu as juste vu 3 séquences pornos et tu te dis que..." "Tu aurais tort de me sous-estimer. Je suis ok pour que tu puisses faire ce que tu veux de moi" dit Hannah dans un regard déterminé, presque de défi. "Ce que je veux? Y compris le pire donc?" Un long silence s'installe puis un "Non tout de même pas jusque-là" "C'est pourtant ce que tu viens de dire..." "Oui, enfin, c'était maladroit...." Je te coupe dans ton élan. "Tu ne sais pas où tu vas, ni ce que tu veux n'est-ce pas?" "C'est juste. J'y connais rien, même pas mes propres limites." "Faisons un marché. Je fais ce que je veux. Je commencerai par le plus soft, et progressivement, je pousserai un peu plus loin à chaque fois. On verra bien où tu diras stop." "D'accord, ça me va." "Soyons clairs, les premières fois risquent d'être chiantes, molles, et ennuyeuses, mais j'estime qu'il faut savoir marcher avant de vouloir savoir courir. Autre chose, pas de sexe dans un premier temps. On verra ça plus tard. C'est toujours bon pour toi?" "Je suis partante" me dis-tu. Un claquement de doigts plus tard, Vanessa se relève. Je te donne une serviette. "Hannah, essuie Vanessa, elle a mangé comme une cochonne, elle en a de partout" Amusée, tu le fais, pour le moment ça te fait rire.... Garde ce sourire, parce qu'il va bientôt disparaître. Un deuxième claquement de doigts, Vanessa se tourne vers moi. "Vanessa, tu connais la traditionnelle inspection.... je t'en prie, à toi l'honneur" "Oui Maître" Vanessa t'invite à te lever, fait le tour de la table avec toi, pour te positionner face à moi à environ un mètre. Elle commence à enlever le bouton de ton jean. D'un geste brusque, tu lui enlèves la main. Sûrement un réflexe. "Tu vois, tu n'as rien à faire dans ce monde-là. Première action et déjà un refus" te dis-je avec un ton sarcastique. Les yeux qui roulent vers le haut, un soupir et un "Quoi tu veux me voir à poil? Je peux le faire toute seule hein" "Tu peux oui, j'en doute pas. Sauf que tu oublies une notion, une soumise ne décide jamais elle-même de son sort une fois le jeu lancé. Tu peux te mettre à poil seule, mais c'est pas ce que j'ai demandé. Ou tu obéis, ou tu te casses! Te voir à poil, j'en ai rien à foutre en vérité." "Ah oui, Monsieur décide donc Monsieur a.... " "C'est le principe oui, Hannah. Tu es venue me chercher non? T'es pas contente, la porte est là-bas! Tu peux te casser, je te retiens pas!" Un brin furieuse, tu vas pour partir. Devant la porte, tu t'arrêtes. Fait demi tour et reviens. Repose tes affaires. Puis reviens à un mètre de moi. "Ok bon, allons-y" nous dis-tu. "Vanessa... je t'en prie" Les vêtements et sous-vêtements tombent un à un. J'y prête pas spécialement attention. Je te regarde juste dans les yeux. Bizarrement ton visage exprime à la fois la honte et l'excitation. Une fois nue, Vanessa te positionne les mains dans le dos. "Vanessa, tiens-lui les mains s'il te plait" "Hannah, tu t'apprêtes à signer avec le diable, tu le souhaites toujours?" "Ouais!" Je m'approche et d'un geste brusque, je t'attrape le cou et le serre. Vanessa te maintient les mains dans le dos. Je serre encore plus fort. "On dit pas ouais, mais oui Monsieur ou oui Maître, est-ce clair?" Je relâche mon emprise sur ton cou. "J'ai rien entendu!" "Oui Monsieur" "Bien, première et dernière fois que je te le dis, la prochaine fois je serai beaucoup moins bienveillant. Tu peux te rhabiller. Rentre chez toi, réfléchis à cette soirée, prends le temps qu'il faudra. Si tu es toujours d'accord, je veux que tu écrives quelques ligne en forme d'engagement sur un papier" Pas de réponse, silence.... Vanessa d'un subtil coup de genoux te rappelle à la règle. "Oui Monsieur" "Bien, la soirée est finie. A voir si tu reviendras. Bonne soirée. Et sois prudente en rentrant".  
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Par : le 11/03/25
Comme une baffe dans la gueule... une respiration qui s'arrête brusquement... le bide vide...une envie de m'arracher la peau... idiote que je suis ! Ou est partie mon intelligence ? Pas une larme à verser ... des difficultés à m'exprimer... fâchée contre moi même... une envie de m'arracher mes tripes ! Les remettre en place... les ranger / arranger...rester strict maintenant comme tu le fais d'habitude... ne recule pas ! Surtout ne recule plus ! Marche! Avance ! Grimpes ! Sautes ... Tu es une impitoyable bordel! Ta fierté et ton sourire sont passés ou? Apprends à t'exprimer convenablement ! Ben NON!!! Et puis merde quoi ! Je suis ainsi  et je respire , tel est le maître mot.
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Par : le 10/03/25
Chapitre 4 L’élégance du contrôle   Elle se tenait devant moi, radieuse, le tissu de sa robe noire épousant chaque courbe avec une perfection troublante. Les fentes audacieuses de chaque côté dévoilaient la naissance de ses hanches, laissant entrevoir juste ce qu’il fallait pour attiser le désir sans jamais basculer dans l’excès. — "Relève tes cheveux." Sans un mot, elle obéit, relevant sa chevelure d’un geste fluide. Mon regard s’attarda sur la courbe gracieuse de sa nuque, cette zone si sensible que j’aimais tant effleurer du bout des doigts. Je sortis le collier finement ouvragé de son écrin et le refermai autour de sa gorge. Un bijou discret aux yeux des autres, mais porteur d’une signification bien plus profonde entre nous. Elle frissonna légèrement en sentant le métal froid contre sa peau, son souffle se suspendant un court instant. Je laissai mes doigts courir sur sa clavicule, traçant la ligne du collier avant de murmurer à son oreille : — "Parfait." Un léger sourire étira ses lèvres, mélange d’excitation et de reconnaissance silencieuse. Au même moment, un discret coup à la porte nous rappela la réalité. — "Le chauffeur nous attend." Je pris son manteau et l’aidai à l’enfiler, mes mains effleurant volontairement ses bras avant de descendre sur sa taille. Un simple geste, mais suffisant pour qu’elle comprenne que mon emprise sur elle ne se relâcherait pas, même en public. Lorsque nous descendîmes, la voiture était déjà prête. Le chauffeur, impeccable dans son uniforme, nous ouvrit la porte sans un mot. Elle entra la première, s’installant avec grâce, puis je la rejoignis, refermant la portière derrière moi. Alors que la voiture s’éloignait, je posai ma main sur sa cuisse nue, effleurant la peau chaude sous la fente de sa robe. — "Sais-tu déjà ce que tu vas commander ?" demandai-je, un brin amusé. Elle tourna légèrement la tête vers moi, ses lèvres s’entrouvrant à peine avant de souffler : — "Tout ce que vous désirez…"       Chapitre 5 Un jeu sous les regards   La voiture s’immobilisa devant le restaurant. Un établissement prestigieux, où chaque détail respirait l’élégance et la retenue. Le voiturier ouvrit la portière, et elle sortit la première, la tête haute, les talons claquant doucement sur le pavé. Je la suivis, savourant la façon dont sa robe épousait son corps à chaque pas, les fentes dévoilant furtivement la douceur de sa peau. À l’entrée, le maître d’hôtel nous accueillit avec la politesse feutrée des lieux de ce standing. — "Votre table est prête, Monsieur." Je posai ma main dans le bas de son dos pour la guider à l’intérieur, un contact léger mais autoritaire. Un rappel, une promesse. Elle frissonna légèrement, mais avança sans un mot, parfaitement consciente du jeu qui se tissait entre nous. Nous fûmes installés à une table discrète, à l’écart du brouhaha, mais toujours visible. J’aimais cette dualité : la subtilité du contrôle en public, l’obéissance silencieuse sous le regard des autres. Elle croisa les jambes lentement, laissant la fente de sa robe s’ouvrir légèrement. Je captais le regard furtif de l’homme à la table voisine, qui s’attarda une seconde de trop avant de détourner les yeux. Un sourire satisfait naquit sur mes lèvres. Le serveur arriva, nous tendant les menus. — "Souhaitez-vous un apéritif ?" Je ne répondis pas immédiatement. Mon regard se posa sur elle, attendant. Elle comprit instantanément. — "Un verre de vin blanc pour moi." répondit-elle d’une voix douce, maîtrisée. Je hochai la tête, satisfait, et commandai un verre de rosé pour moi. Une fois seuls, j’effleurai la tige de mon verre du bout des doigts, l’observant sans un mot. L’attente, l’incertitude, faisaient partie du jeu. Puis, lentement, je laissai ma main glisser sous la table. Je rencontrai la douceur de sa cuisse nue. Son souffle s’accéléra imperceptiblement, mais elle ne bougea pas. — "Tu es sage ce soir." murmurais-je, amusé. Elle esquissa un sourire, jouant avec le pied de son verre. — "Parce que vous le voulez ainsi." Un frisson de satisfaction parcourut mon échine.       Chapitre 6 Une soumission discrète   Je laissai ma main effleurer lentement l’intérieur de sa cuisse, jouant avec sa peau chaude sous la table. Son souffle resta maîtrisé, mais je sentis la tension subtile dans ses muscles. Elle savait ce qui allait suivre. Sans me presser, je pris une gorgée de mon verre, savourant, avant de poser mon regard sur elle. — "Retire ta culotte." Elle eut un léger sursaut, imperceptible pour les autres, mais évident pour moi. Son regard croisa le mien, cherchant à s’assurer qu’elle avait bien compris. Je lui répondis par un simple sourire, amusé et autoritaire à la fois. Elle hésita une fraction de seconde, pas par refus, mais par conscience de la situation. Nous étions en public. Dans un restaurant chic. À quelques mètres à peine, d’autres convives discutaient, riaient, trinquant à leur soirée, totalement ignorants du jeu qui se jouait à cette table. Et c’était précisément cela qui rendait l’instant si exaltant. D’un geste mesuré, elle déplaça sa serviette sur ses genoux, comme pour ajuster sa robe. Ses mains disparurent lentement sous le tissu. Mon regard ne la quittait pas. Je devinais chaque mouvement à travers les infimes frissons qui parcouraient sa peau, la tension de ses épaules, la façon dont elle contrôlait sa respiration. Puis, après de longues secondes, je la vis resserrer légèrement les cuisses et glisser un fin morceau de dentelle entre ses doigts. Elle le garda un instant, dissimulé sous la table, ses joues légèrement plus roses qu’à l’accoutumée. — "Donne-la-moi." Un éclair passa dans son regard, mélange d’appréhension et d’excitation pure. Je tendis ma main, paume ouverte, attendant patiemment qu’elle obéisse. Elle inspira discrètement, puis, avec une grâce troublante, elle fit glisser le tissu dans ma main. Je refermai mes doigts sur la soie tiède et humide, puis, lentement, je la rangeai dans la poche intérieure de ma veste, comme un trophée silencieux de son obéissance. Elle se mordilla légèrement la lèvre, consciente de sa vulnérabilité soudaine. Chaque mouvement, chaque croisement de jambes, chaque frémissement sous la table lui rappellerait ce qu’elle venait de faire. — "Parfait." murmurai-je en portant mon verre à mes lèvres. Elle baissa légèrement les yeux, non pas par honte, mais par dévotion. Elle était maintenant assise là, vulnérable, exposée sous le tissu léger de sa robe, le moindre mouvement lui rappelant l’absence de cette fine barrière de dentelle. Je l’observais, amusé par la lueur d’excitation mêlée d’appréhension dans son regard. Elle jouait avec le pied de son verre, comme pour canaliser la tension qui montait en elle. Le serveur revint avec les plats, brisant momentanément l’intensité silencieuse entre nous. Il déposa nos assiettes avec professionnalisme, ignorant tout de la nature du jeu qui se déroulait sous ses yeux. — "Souhaitez-vous autre chose ?" demanda-t-il poliment. Je lui adressai un sourire tranquille. — "Non, tout est parfait." Je sentis son regard furtif se poser sur elle, détaillant sa tenue audacieuse, puis il s’éclipsa. Une fois seuls, je laissai ma main reprendre possession de l’intérieur de sa cuisse, juste du bout des doigts. Elle se raidit imperceptiblement, surprise par ce contact inopiné alors qu’elle portait sa fourchette à ses lèvres. — "Continue de manger." murmurais-je d’un ton faussement désinvolte. Elle avala sa bouchée avec difficulté, son souffle court. Ses joues s’étaient légèrement empourprées, et je pouvais presque entendre le tumulte de ses pensées. Mon pouce traça des cercles lents contre sa peau, remontant doucement, millimètre par millimètre, jusqu’à effleurer l’interdit. Elle serra les lèvres, contracta légèrement ses cuisses, mais je n’étais pas homme à être repoussé. — "Écarte un peu." Son regard s’accrocha au mien, un mélange de défi et de soumission. Elle savait qu’elle ne pouvait pas refuser. Doucement, presque imperceptiblement, elle obéit. Mon sourire s’élargit alors que mes doigts continuaient leur douce exploration, savourant la chaleur qui s’échappait d’elle, l’excitation palpable de cette situation où elle n’avait aucun contrôle. — "Tu es délicieuse ainsi." murmurais-je en buvant une gorgée de mon verre de rosé, comme si de rien n’était. Elle retint un soupir, sa respiration devenant légèrement plus erratique. Je savourais son abandon, cette façon dont elle se livrait entièrement à moi, même au milieu d’un restaurant où chaque regard innocent pouvait, à tout instant, percer notre secret. Je portai mon verre de rosé à mes lèvres, savourant le goût délicat du vin, tout en observant ses réactions. Elle gardait une posture impeccable, le dos droit, ses doigts jouant distraitement avec la tige de son verre. Mais je voyais les signes discrets de sa lutte intérieure : sa respiration légèrement plus courte, la tension infime dans ses épaules, le frémissement de ses doigts sur la nappe. Sous la table, mes doigts continuaient leur douce provocation, effleurant sa peau nue, lui rappelant son état de soumission. Elle tenta de se concentrer sur son assiette, de masquer son trouble, mais je savais qu'elle était consciente du moindre de mes gestes. — "Tu es bien silencieuse ce soir." soufflai-je en jouant avec mon verre. Elle releva les yeux vers moi, une lueur d’excitation mêlée de défi dans son regard. — "Je savoure simplement la soirée." répondit-elle d’une voix maîtrisée. Un sourire amusé effleura mes lèvres. Elle jouait son rôle à la perfection, mais je sentais sa fébrilité sous cette façade de contrôle. Le serveur revint pour s’assurer que tout se passait bien. — "Tout est parfait ?" demanda-t-il avec courtoisie. Je laissai ma main remonter lentement, effleurant son point sensible juste au moment où elle ouvrait la bouche pour répondre. Elle inspira discrètement, ses doigts se crispant légèrement sur sa serviette. Mais sa voix resta maîtrisée. — "Oui, tout est excellent, merci." Je la regardai avec satisfaction tandis que le serveur s’éloignait, inconscient du jeu qui se jouait à cette table. — "Bonne fille." murmurai-je en lui adressant un regard appuyé. Ses joues rosirent légèrement, et je vis son regard briller d’une lueur plus trouble. Je retirai lentement ma main, savourant sa frustration silencieuse, et pris une gorgée de mon vin. — "Finis ton verre, nous partons." ordonnai-je d’un ton calme mais sans appel. Elle acquiesça en silence, portant son verre à ses lèvres, la gorge nouée d’anticipation.       Chapitre 7 Le trajet vers l’inconnu   La voiture nous attendait devant le restaurant, les phares projetant une lumière tamisée sur le trottoir. Sans un mot, j’ouvris la portière pour la laisser entrer la première. Elle glissa gracieusement sur la banquette en cuir, ses longues jambes disparaissant sous l’étoffe fluide de sa robe fendue. Je la rejoignis aussitôt, refermant la portière derrière moi. Le chauffeur démarra en douceur, et la ville défila à travers les vitres teintées, un monde extérieur inconscient de la tension silencieuse régnant à l’intérieur du véhicule. Je m’installai confortablement, mon regard capturant la lueur de l’excitation dans ses yeux. Elle savait que nous ne rentrions pas simplement à la maison. Elle savait que la nuit ne faisait que commencer. — "Sais-tu où nous allons ?" demandai-je d’un ton calme, laissant planer le mystère. Elle secoua la tête, mordillant sa lèvre inférieure, un mélange de curiosité et d’anticipation dans son regard. — "Un endroit… particulier. Un cercle très fermé, réservé à ceux qui savent apprécier certaines subtilités." Je laissai ma main effleurer lentement sa cuisse nue, mon pouce traçant de légers cercles sur sa peau chaude. Elle inspira légèrement, ses jambes frémissant sous mon toucher. — "Es-tu prête à me faire pleinement confiance ce soir ?" Elle hocha la tête, son souffle plus court, sa posture légèrement plus tendue. Je lui pris doucement le menton entre mes doigts, forçant son regard à s’ancrer dans le mien. — "Dis-le-moi." — "Oui, je vous fais confiance." souffla-t-elle, sa voix légèrement tremblante. Un sourire satisfait effleura mes lèvres. La voiture continuait de rouler, nous éloignant des quartiers animés pour s’enfoncer dans une zone plus discrète de la ville. Le lieu où nous nous rendions n’avait ni enseigne, ni publicité tapageuse. Il n’était connu que de ceux qui avaient été invités. Le chauffeur ralentit avant de s’arrêter devant une imposante façade, discrète mais élégante, sans aucun signe extérieur révélant ce qui se cachait derrière ces portes. Je descendis en premier, puis lui tendis la main. Elle hésita une seconde, consciente qu’une fois passée cette porte, elle entrait dans un monde où toutes les règles changeraient. Mais elle posa finalement sa main dans la mienne, et je l’aidai à sortir. Un homme en costume sombre nous ouvrit la porte sans un mot, nous laissant pénétrer dans un univers feutré où désirs et interdits s’entremêlaient. Dès que nous franchîmes le seuil, l’ambiance changea du tout au tout. Une douce pénombre baignait la pièce principale, rehaussée par des jeux de lumière tamisés, créant une atmosphère feutrée et envoûtante. Un parfum subtil flottait dans l’air, un mélange de bois précieux et d’épices enivrantes. Le club était à la fois luxueux et secret, conçu pour ceux qui savaient apprécier les plaisirs les plus raffinés. Un murmure discret parcourait la salle, entre conversations feutrées et soupirs volés. Je sentis sa main se crisper légèrement dans la mienne alors que ses yeux parcouraient l’espace avec une curiosité mêlée d’appréhension. — "Respire, observe." murmurais-je à son oreille, effleurant sa peau du bout des doigts. Devant nous, de larges fauteuils en velours étaient disposés autour de tables basses, où quelques couples sirotaient des verres, échangeant des regards lourds de sous-entendus. Plus loin, une scène discrète dévoilait des corps en mouvement, explorant les limites du désir sous l’œil attentif d’un cercle restreint d’initiés. — "Tout ici est question de consentement et de contrôle." lui expliquai-je d’un ton calme. "Rien ne se fait sans envie, rien ne s’impose. On regarde, on apprend, on savoure chaque instant." Elle hocha doucement la tête, ses pupilles dilatées sous l’effet de l’excitation et du mystère. Un serveur élégant s’approcha sans un bruit, un plateau en main. Il s’inclina légèrement avant de déposer deux coupes de champagne devant nous. — "Le maître des lieux vous souhaite la bienvenue." annonça-t-il avant de s’éclipser. Je pris une coupe et lui tendis l’autre, mon regard ancré au sien. — "À cette découverte." Elle leva son verre en retour, ses doigts légèrement tremblants d’anticipation. Autour de nous, l’atmosphère était un mélange d’interdits frôlés et d’élégance raffinée. Tout était à la fois sensuel et maîtrisé, une danse subtile entre abandon et contrôle. — "Que ressens-tu ?" demandai-je doucement, observant son trouble. Elle mordilla légèrement sa lèvre, cherchant ses mots. — "De la curiosité… et une envie que je ne saurais décrire." avoua-t-elle dans un souffle. Un sourire satisfait effleura mes lèvres. — "Alors laisse-moi te guider." Je posai ma main sur sa nuque, une caresse possessive, avant de l’inviter à avancer plus loin dans ce monde qui allait bientôt devenir le sien. Je sentis sa main légèrement moite dans la mienne, signe d’un mélange de curiosité et d’appréhension. Elle n’était pas effrayée, non. Son regard brillait d’excitation contenue, comme si elle se tenait à la frontière d’un monde dont elle n’avait jusqu’ici fait qu’effleurer l’existence. — "Suis-moi." murmurais-je en serrant doucement ses doigts. D’un pas lent, nous avançâmes à travers le club, chaque détail soigneusement pensé pour éveiller les sens. Le premier espace que nous traversâmes était un salon feutré, où de larges fauteuils en velours encadraient des tables basses. Des couples y étaient installés, échangeant des regards complices, certains effleurant la peau de l’autre du bout des doigts, jouant avec la tension qui flottait dans l’air. Elle jeta un coup d’œil furtif autour d’elle, son souffle suspendu lorsque ses yeux se posèrent sur une femme élégamment allongée sur l’un des fauteuils, sa tête posée sur les genoux d’un homme qui caressait distraitement sa gorge d’un geste possessif. L’ambiance n’avait rien de vulgaire. Tout n’était que maîtrise et raffinement. Je resserrai légèrement ma prise sur sa main, l’invitant à avancer. Un large couloir s’ouvrait sur plusieurs portes, chacune donnant sur des espaces plus intimes. — "Chaque pièce a sa propre atmosphère." expliquai-je d’un ton posé. "Certains viennent simplement observer, d’autres explorent, testent, repoussent leurs limites. Mais tout est basé sur la confiance et le consentement. Ici, rien n’est imposé. Tout est un choix." Elle hocha lentement la tête, captivée par mes paroles. Nous passâmes devant une porte entrouverte, laissant entrevoir une salle éclairée par une lumière tamisée. À l’intérieur, un homme était assis sur un fauteuil, une coupe de champagne à la main, tandis qu’une femme agenouillée à ses pieds attendait en silence, les yeux baissés. Il effleurait sa joue du bout des doigts, son autre main jouant distraitement avec une fine laisse attachée à son cou. Je sentis son souffle se suspendre légèrement face à cette scène empreinte de contrôle et de sérénité. — "Tout est une question de confiance mutuelle." lui murmurai-je en me penchant à son oreille. "Il n’y a ni crainte, ni contrainte. Juste un abandon consenti et une attente délicieuse." Je lui laissai le temps d’absorber ce qu’elle voyait, observant la façon dont elle réagissait à chaque détail. Puis, je l’attirai doucement plus loin, l’entraînant vers une autre pièce, plus discrète, où des murmures feutrés se mêlaient aux notes d’une musique envoûtante. Elle releva les yeux vers moi, son souffle court, sa main toujours nichée dans la mienne. — "Tu veux continuer ?" demandai-je, mon regard ancré au sien. Je vis l’hésitation furtive dans ses prunelles, non pas par peur, mais par cette nouvelle forme d’excitation qui la troublait autant qu’elle l’attirait. Puis, elle hocha la tête. Un sourire satisfait étira mes lèvres. — "Alors viens. Ce n’est que le début." Et je l’entraînai un peu plus loin dans cet univers où elle allait bientôt découvrir une part d’elle-même qu’elle ne soupçonnait peut-être pas encore. Je la guidai vers une salle plus reculée, où l’ambiance changeait subtilement. La lumière y était plus tamisée, créant une atmosphère intime et mystérieuse. Le murmure des conversations s’était estompé, remplacé par une musique envoûtante et le bruissement des étoffes effleurant la peau. Derrière une élégante verrière aux vitres fumées, une scène se dévoilait lentement à nos yeux. Le décor était raffiné, presque théâtral. Un long divan de velours trônait au centre de la pièce, et devant lui, un homme se tenait debout, dominant une femme agenouillée à ses pieds. Elle était sublime, son corps drapé dans une robe de soie fendue, révélant plus qu’elle ne cachait. Ses poignets étaient délicatement noués dans son dos par une corde de chanvre, symbole d’un abandon choisi. Son souffle était lent, maîtrisé, mais l’attente dans sa posture était indéniable. L’homme caressa lentement sa joue, son regard empli de contrôle et de tendresse mêlés. — "Regarde bien." murmurai-je à son oreille en sentant son souffle suspendu. L’homme effleura la peau de la femme du bout des doigts, descendant le long de son cou, de son épaule, traçant des frissons invisibles sur son épiderme. Il jouait avec la tension, imposant un rythme lent et savamment dosé. Puis, d’un geste précis, il la fit basculer en avant, la courbant contre le divan, son dos arqué dans une position d’offrande. Un murmure d’anticipation traversa l’assemblée discrète qui observait la scène, fascinée par cette danse silencieuse de soumission et de maîtrise. Ma main effleura la sienne, la ramenant à moi alors qu’elle continuait d’observer, incapable de détacher son regard de ce tableau hypnotisant. — "Que ressens-tu ?" lui demandai-je doucement, ma voix une caresse contre sa peau. Elle déglutit légèrement, sa respiration plus courte. — "Je… Je ne sais pas. C’est… troublant, mais captivant." souffla-t-elle, ses pupilles dilatées sous l’effet de l’émotion. Un sourire effleura mes lèvres. — "Tu ressens l’intensité du moment. Le contrôle absolu. L’abandon total." Elle hocha doucement la tête, absorbant chaque détail, chaque geste précis de l’homme, chaque frémissement du corps de la femme qui se livrait à lui sous les regards attentifs. La scène n’avait rien d’obscène. Elle était un mélange d’élégance et de tension, une exploration maîtrisée du plaisir et de la confiance. Je laissai quelques secondes s’écouler avant de glisser mes doigts sous son menton, relevant son visage vers moi. — "Veux-tu continuer à observer… ou préfères-tu aller plus loin ?" Son regard brillait d’un feu nouveau, un mélange d’envie et d’incertitude. Elle venait de franchir une première porte. Je sentis son souffle se suspendre, son regard ancré sur la scène qui se déroulait sous nos yeux. Son corps était légèrement tendu, entre curiosité et trouble, comme si elle luttait pour comprendre ce qu’elle ressentait. L’homme, toujours maître du jeu, se redressa et effleura lentement le dos de la femme courbée devant lui. Son geste n’avait rien de brutal, rien d’inattendu. C’était une caresse empreinte de possession et de contrôle. Puis, d’une main sûre, il traça le long de sa colonne vertébrale jusqu’à ses hanches avant de poser ses doigts sur la corde de chanvre qui liait ses poignets. Il ne le serra pas davantage. Il n’avait pas besoin de contraintes supplémentaires. Le simple fait qu’elle reste ainsi, offerte, était un gage d’abandon absolu. Un murmure parcourut l’assemblée feutrée alors qu’il pencha son visage vers son oreille, murmurant des mots que nous ne pouvions entendre. Mais la réaction de la femme fut immédiate : un frisson visible parcourut son échine, ses lèvres s’entrouvrirent dans un souffle silencieux, et ses doigts se crispèrent sur le velours du divan. À côté de moi, elle s’agrippa inconsciemment à mon bras, ses ongles effleurant ma peau à travers le tissu de ma chemise. Je ne dis rien, savourant cette réaction instinctive qui trahissait son immersion totale. — "Tu ressens ce qu’elle ressent, n’est-ce pas ?" murmurai-je à son oreille, mon souffle caressant sa peau. Elle ne répondit pas immédiatement. Ses lèvres s’entrouvrirent légèrement, mais aucun son n’en sortit. Sur la scène, l’homme s’écarta légèrement, contemplant sa partenaire comme une œuvre qu’il s’apprêtait à sublimer. Puis, avec une lenteur exquise, il laissa sa main glisser sur l’arrondi de ses reins avant de lever légèrement le bras… et de le faire redescendre dans une frappe sèche et mesurée contre la courbe de ses fesses. Un bruit mat résonna dans la salle feutrée, suivi d’un gémissement étouffé. Ma compagne sursauta presque imperceptiblement. Elle ne s’attendait pas à ce que cela soit à la fois si précis… et si intime. L’homme répéta le geste, alternant entre caresses apaisantes et frappes savamment dosées. Le rouge vif commençait à colorer la peau offerte de la femme, mais son corps n’exprimait ni rejet ni douleur. Bien au contraire. Chaque mouvement était un appel silencieux à plus. Le souffle de ma compagne s’accéléra légèrement, et je sentis son corps se crisper contre le mien. Je posai ma main sur sa hanche, l’ancrant à moi, l’empêchant de se perdre dans ce trop-plein de sensations nouvelles. — "Regarde-la." lui murmurai-je. "Elle ne subit rien. Elle se donne. Elle l’a choisi." Elle hocha lentement la tête, incapable de détourner les yeux. L’homme se pencha à nouveau vers sa partenaire, murmurant quelque chose contre sa nuque avant de caresser la marque rouge qu’il avait laissée. Ses doigts effleurèrent la peau sensible, arrachant un soupir tremblant à la femme qui s’offrait à lui. Puis, il la redressa doucement, défit la corde et la ramena contre son torse dans une étreinte possessive. Tout n’était qu’un jeu d’équilibre entre contrôle et abandon. Je tournai légèrement son visage vers moi, capturant l’expression troublée sur ses traits. — "Tu comprends, maintenant ?" soufflai-je. Elle mordilla sa lèvre, son regard brillant de cette lueur nouvelle qui ne demandait qu’à être explorée. Puis, d’une voix à peine audible, elle murmura : — "Oui…" Je souris lentement.   Je laissai mon regard glisser sur la scène devant nous, capturant chaque détail, chaque frisson qui parcourait la peau des deux amants dans leur jeu subtil de contrôle et d’abandon. L’homme leva enfin les yeux et croisa mon regard. Il y avait dans son expression une assurance tranquille, celle de quelqu’un qui connaissait parfaitement les règles du jeu. Je me tournai légèrement vers elle, captant le léger tremblement dans son souffle, l’incertitude mêlée à une curiosité brûlante. Je sentais son corps tendu à mes côtés, absorbé par l’intensité du moment, oscillant entre retenue et désir d’en découvrir plus. D’un mouvement fluide, je la fis pivoter face à moi, mes doigts effleurant son poignet, un contact à la fois doux et déterminé. — "Tu veux en voir plus, ou… participer ?" murmurais-je, laissant ma question flotter entre nous. Elle déglutit, son regard brillant sous la lumière tamisée. L’homme, comprenant l’invitation implicite, inclina légèrement la tête, un sourire discret aux lèvres. Il tendit la main vers nous, un simple geste d’ouverture, laissant la décision entre nos mains. Je la sentis frémir sous mon contact. Son regard hésita un instant, cherchant une réponse en elle-même. — "Je…" Elle s’arrêta, mordillant légèrement sa lèvre inférieure. Puis, enfin, dans un souffle à peine audible : — "Oui." Un sourire satisfait étira mes lèvres alors que je resserrais légèrement ma prise sur sa main. L’ambiance feutrée du salon privé semblait suspendue hors du temps. Nous nous installâmes confortablement dans les fauteuils de velours sombre, observant les deux femmes devant nous. Elles s’agenouillèrent avec une grâce maîtrisée, leurs mains posées sur leurs cuisses, le dos droit, l’attente inscrite dans chaque ligne de leur posture. Un silence complice s’étira, empli d’une tension presque palpable. C’était un jeu subtil, une danse où chaque geste comptait plus que les mots. Je laissai mon regard glisser sur elle, captant le léger frémissement de ses doigts, l’infime mouvement de sa poitrine sous l’effet d’un souffle plus court. Elle découvrait une nouvelle facette de cet univers, un équilibre entre maîtrise et abandon, où tout passait par l’observation, la compréhension mutuelle et l’anticipation des désirs non formulés. D’un geste lent, je tendis la main et effleurai son menton, relevant son visage vers moi. Son regard brillait d’une lueur mêlant curiosité et trouble, comme si elle se cherchait encore dans cette nouvelle expérience. — "Tout va bien ?" murmurai-je, ma voix une caresse contre le silence. Elle hocha lentement la tête, ses lèvres s’entrouvrant légèrement comme si elle voulait parler, mais elle se ravisa. Non par hésitation, mais parce que, dans cet instant précis, les mots semblaient inutiles. L’autre homme observait la scène avec un calme souverain, laissant l’instant s’étirer, comme pour tester l’alchimie naissante entre nous tous. Puis, dans un murmure à peine audible, elle souffla : — "Et maintenant ?" Je souris, savourant la douceur de cet instant suspendu. — "Maintenant, on prend le temps."    
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