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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Bonjour a vous tous et toutes 💕
Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu.
La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse.
Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage.
Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans..
a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue.
Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs.
Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe.
Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir.
Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme.
L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme.
Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non...
La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation.
à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno.
Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée.
Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3.
Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance.
Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu'
Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕
Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi.
N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui.
Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche.
Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde.
Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation.
Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir.
Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue.
Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche.
Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina.
J'espère revivre cela un jour.☺️
Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Tu entres dans la pièce comme on entre dans une église oubliée.
Il n’y a pas de croix. Pas d’autel. Mais il y a la corde. Les pierres. Des bougies.
Il y a lui. Et il t’attend.
Tu es nue. Tu sais pourquoi. Ce n’est pas un jeu. C’est une offrande.
Il avait tout préparé : les cordes suspendues, les chandelles posées sur les pierres froides, l’encens lentement consumé. Une pièce hors du temps. Une cathédrale clandestine.
Il s’approche sans un mot. Ses gestes sont lents, précis.
Tu présentes tes bras. Il les croise dans ton dos, les tire, les noue dans un gote shibari impeccable.
La corde râpe ta peau, te prend les épaules, t’ouvre la poitrine.
Déjà, ton souffle change. Tu n’es pas encore suspendue, mais tu commences à tomber.
Il fait glisser la cravache contre ta cuisse nue.
Le premier coup est un murmure. Le second, un mot. Puis une phrase.
Il écrit sur toi. À chaque impact, ton souffle se brise, tes gémissements s’échappent comme des prières.
Les traits s’impriment sur ta peau — cuisses, hanches, ventre. Il monte plus haut.
Tu cries sans mots. Offerte à l’obscurité.
Puis, il te suspend.
Ton corps quitte le sol. Lentement. En te mettant sur la pointe des pieds. Le vide te prend.
Il te fait tourner. Ta chair suit. Les cordes vibrent.
Tu n’es plus une femme. Tu es une forme une oeuvre d’art . Une offrande. Une vérité tendue entre douleur et extase.
Mais il ne s’arrête pas.
Il reprend la cravache. Plus dure.
Il vise le haut des cuisses, le bas-ventre, la naissance des seins. Les tétons gonflés de désir. Les impacts sont plus lourds. Tu hurles ! Pas pour qu’il cesse, mais pour qu’il t’ouvre plus encore.
Tu veux passer de l’autre côté. Tu veux la brûlure. Tu veux la lumière derrière la douleur.
Il te fait descendre. Tu trembles. Il te regarde. Tu es marquée.
Mais pas assez.
Tu t’allonges sur le dos. Il déroule une corde plus longue, plus rêche.
Il recommence.
Le Hishi Karada se dessine sur toi comme un filet sacré.
Une ligne entre tes seins. Des losanges autour de ta poitrine, de ton ventre.
Les nœuds serrent. La géométrie t’emprisonne.
Tu n’es plus libre. Mais tu n’as jamais été aussi vivante.
Il te soulève à nouveau. Cette fois, juste au-dessus du sol.
Flottante. Fragile. Vibrante.
Il approche. Il contemple les marques, les rougeurs, les hématomes naissants.
Il effleure, puis frappe. À la main. Fort.
Tes seins, ton ventre, l’intérieur de tes cuisses, ton sexe humide de désir et d’envie . Il frappe jusqu’à ce que tu pleures.
Pas de tristesse. De libération.
Les coups te percent. Ils t’ouvrent.
Et puis, enfin, il glisse les doigts sur ton sexe.
Tu es brûlante. Trempée. Tu cries sans son. Tu te tords.
Tu jouis, suspendue, marquée, tendue comme une corde elle-même.
Et il te rattrape.
Il défait les nœuds, lentement. Chaque corde qui tombe est un souffle libéré.
Tu es rouge. Tachetée de douleur. Belle.
Il t’enveloppe d’une couverture. Il te garde contre lui.
Tu grelottes. Il est chaud. Il est là.
Il ne dit rien. Tu pleures. Il t’embrasse la tempe.
Tu reviens. Minute après minute. Du gouffre. Du feu.
« Recommence… un jour », tu murmures.
Il comprend.
Ce n’est pas du sexe. Pas un fantasme.
C’est votre langue. Votre confession. Votre vérité.
Tu ne lui appartiens pas. Il ne te possède pas.
Mais vous êtes liés.
Par les cordes.
Par les marques.
Par ce feu que vous seuls pouvez supporter ensemble.
Il la tient contre lui, encore.
Elle ne parle plus. Mais son regard le transperce : brut, lucide. Un regard d’animal qui a vu le gouffre.
Elle tend la main, touche son torse.
Lui aussi est marqué. Par elle.
Chaque séance la fait entrer plus loin en lui.
Elle sait quand un nœud est fait pour la beauté. Et quand il est fait pour l’adorer.
Elle a dit « oui » sans mot, avec chaque fibre de son corps.
Et il sent déjà le vide que laissera son absence.
Mais il attendra.
Parce qu’il sait que ce n’est pas un jeu.
C’est un pacte.
Une religion secrète.
Un feu.
Et elle…
Elle brillera encore.
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