La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/03/25
Très objectivement, Nicolas ne comprenait pas la situation. Quand il était rentré ce soir, il avait trouvé la table à manger au milieu du salon, et contre elle, un peu à la manière d’une estrade, la petite table du salon. Aurélie, l’œil un peu égrillard, lui avait demandé de se déshabiller. Nu, il s’était allongé sur la table, les genoux sur la table basse. Aurélie lui avait ligoté les cuisses contre les pieds de la table, les mains en extension, les chevilles à la petite table. Elle avait aussi pris la peine de sangler ses reins, rendant tout mouvement quasiment impossible. Depuis, il ne se passait plus rien : Aurélie vaquait à ses activités, préparait l’apéritif sans se soucier de lui ; c’était étrange et inquiétant. Vers 19h15, la sonnette retentit. Au lieu de s’étonner, Aurélie se déplaça prestement vers la porte d’entrée. Nicolas sentit des sueurs froides l’envahir. Aurélie revint, accompagnée de deux femmes. Habillées élégamment, un peu strictement toutefois, elles devaient avoir une quarantaine d’années. Maude était une grande femme brune, dotée d’un visage aux traits fermes et bien dessinés. Chloé était un peu plus petite, rouquine et d’un visage coquin. Maude jeta un œil rapide sur Nicolas et déclara que cela était parfait. Chloé déposa un sac de sport dans un coin de la pièce. Aurélie revint avec un plateau, servit un verre à chacune, et les trois femmes se mirent à discuter comme les meilleures amies du monde. « Donc, expliqua Aurélie, comme je vous l’expliquais cet après-midi, mon mari a besoin d’une bonne tannée pour qu’il retrouve le droit chemin. Or, je me rends bien compte que je suis trop frêle pour cela. De plus, je n’ose pas trop, car j’ai toujours peur de lui faire mal. C’est pourquoi j’ai fait appel à vous. Avec quoi le battez-vous d’habitude ? questionna Chloé  Avec la brosse à cheveux, à la main, à la ceinture. Rien de bien méchant, commenta Maude. Connaît-il les verges ? Pas à ma connaissance, répliqua Aurélie. Moi même je ne sais pas bien ce que c’est ! Eh bien, il va apprendre à connaître. Et ne vous inquiétez pas, il n’oubliera pas tout de suite ! Sur ce bon mot, Maude et Chloé rirent de bon cœur. Devant l’incompréhension d'Aurélie, elles lui expliquèrent que les verges étaient en fait composées d’une douzaine de baguettes de noisetier d’un mètre de long attachées entre elles. Une fois l’écorce retirée, elles étaient conservées dans de l’eau de mer pour garder leur souplesse. Chloé ajouta que si l’eau salée ne servait à l’origine qu’à la conservation, elle rendait la défouraillée encore plus douloureuse par le picotement qui ne manquait pas d’advenir sur la peau du puni. Pendant que Maude racontait à Aurélie comment un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt pleurait comme une madeleine pendant sa punition et promettait à sa femme d’être fidèle et aimant, Chloé était allé chercher dans le sac de sport les badines et montrait à Aurélie la manière de s’en servir. « Bien, dit Maude, et si nous nous occupions du corps du délit ? » Elle prit le premier bouquet que lui tendait Chloé et s’approcha de Nicolas. La conversation entre les trois femmes l’avait parfaitement éclairé sur ce qui allait advenir, et il n’en menait pas large. Rarement il ne s’était senti aussi impuissant. Moqueuse, Maude demanda « Sais-tu ce qui t’attend ? ». Nicolas fit non de la tête. « Nous allons montrer à ta petite femme ce qu’appliquer la badine veut dire. Nous allons, de la manière la plus traditionnelle, nous occuper de toi. Nous allons te donner une punition sévère et méritée. Certes, nous ne connaissons pas les raisons de cette punition, cela reste entre ta femme et toi. Pour autant, comme nous les supposons très graves, nous appliquerons en conséquence. N’oublie pas d’y réfléchir et d’expier tes fautes ! » Puis Maude fit siffler les badines dans l’air et commença l’application. Elle débuta par la plante des pieds, punition traditionnelle mais ô combien douloureuse. Puis, méthodiquement, elle entreprit de châtier les mollets, alternant les cinglades à droite et à gauche, en haut et en bas. Elle ne s’arrêta que lorsque les premières zébrures furent bien visibles. Les cuisses furent naturellement la cible suivante. Maude prit le temps et l’énergie nécessaire pour obtenir une belle couleur uniforme sur l’arrière, l’intérieur et l’extérieur. Si le résultat était plaisant à l’œil, l’épreuve fut rude pour Nicolas. Les premières verges, fort abîmées, furent remplacées par un bouquet neuf. Les fesses eurent droit elles aussi à leur comptant, mais de manière étonnante, Maude se contenta de les chauffer, certes rudement, mais beaucoup moins que Nicolas ne l’avait craint. La correction continua par le dos. Des reins au cou en passant par les flancs, les épaules et les avant-bras, les verges ne laissèrent pas un cm² sans impact. Même les joues eurent droit à quelques cinglades. Le corps de Nicolas était désormais rouge vif de la tête aux pieds. Maude l’avait battu pendant une demi-heure, sans pause, et sans faiblesse. S’il était marqué physiquement, Aurélie le sentait aussi marqué moralement. Clairement, la punition était rude à supporter et, bien qu’endurant, il était quand même sous le coup de l’épreuve. Maude conclut son œuvre par l’entrecuisse. Verge, testicules, périnée et anus subirent une dérouillée qui, si elle fut moins violente que sur les autres parties du corps, n’en reste pas moins marquante dans la vie d’un homme. Satisfaite du résultat, Maude alla s’asseoir, tandis que Chloé prenait le relais. Elle s’arma de verges fraîches et se positionna derrière Nicolas. « Moi, j’aime fouetter tout le corps, expliqua Maude. Mais c’est toujours Chloé qui termine. Chloé se contente de fesser. Elle aime punir les hommes qui lui sont livrés de cette manière. Mais c’est une fesseuse redoutable, tous ceux qui sont passés entre ses mains en conviennent. Pour qu’elle arrête, il faut que les yeux de sa victime soit aussi rouges que leurs fesses, comme elle se plaît à le dire. Elle fesse au delà des larmes … » Et en effet … Le swing de Chloé était impressionnant. Les badines opéraient une longue courbe dans l’air pour s’abattre brutalement sur le fessier offert. Aux sifflements succédait le bruit mat du bouquet s’écrasant sur la peau meurtrie. La fessée était intense et rapide. A chaque impact des brindilles se cassaient, et Chloé changeait de verges tous les vingt coups. Elle profitait de ce changement pour analyser ce qui avait été fait et ce qui restait à faire. Pour autant, elle ne s’embarrassait pas d’esthétique, comme le faisait Maude. Le cul de Nicolas, déjà bien rouge au départ, était vite passé au violet. Puis il avait viré par endroit au bleu, au noir, au rouge vif. De lisse, il s’était rapidement boursouflé sous la morsure des badines. Chloé frappait comme si sa vie en dépendait. Aurélie observait, les yeux exorbités, les fesses de son mari prendre un aspect qu’elle ne leur avait jamais vues. Maude admirait à voix haute la dextérité de son amie. « Comme tu le fesses à merveille ! Comme tu le portes au supplice ! Ah, Aurélie, comme c’est beau de voir un mâle arrogant dans cette posture ! Après cela, il vous mangera dans la main. Il saura où est sa place ! venez, installons-nous face à lui » Le visage de Nicolas était défait. Il était livide, et des grosses gouttes de sueur le perlaient. Ses yeux étaient humides, et le souffle semblait coupé. Maude décréta qu’il était temps de faire pleurer le vilain petit garçon. Chloé retourna vers le sac de sport et attrapa une badine de jonc. A la vue de ce nouvel instrument, Maude tira un petit bout de langue coquin en trouvant l’idée magnifique. Chloé reprit son swing et compta douze coups intenses. « Pleure-t-il ? » demanda-t-elle Non … je dirai même qu’il a souri ! Il a souri ? ? ? Tu vas voir … » La baguette reprit son infernal battement. S’en fut trop pour Nicolas, qui s’effondra en larmes ininterrompues. Malgré tout, la série de douze fut donnée complètement. « Là, j’imagine qu’il ne sourit plus ? », suggéra Chloé. En effet, il pleure à chaudes larmes ! Parfait ! vingt-quatre suffiront », décida Chloé. Les vingt-quatre derniers impacts furent donc reçus dans la douleur et les larmes. Pour la tannée de sa vie, Nicolas était pratiquement au bord de la crise de nerfs. Il ne devait pas rester un gramme de peau sur ces pauvres fesses. Dans combien de temps pourrait-il simplement se rasseoir ? Combien de temps mettraient les marques à disparaître ? Disparaîtraient-elles seulement un jour ? Pendant que Chloé rangeait le matériel, Maude expliquait à Aurélie que pendant la phase de reprise en main, elle préconisait quatre tannées à une semaine d’intervalle pour obtenir un résultat durable. Avec horreur, Nicolas vit les deux femmes sortir leurs agendas et prendre rendez-vous. Après leur départ, Aurélie resta quelques temps à observer, troublée, les fesses de Nicolas. Chloé les avait mises dans un piteux état, mais Aurélie les trouvait toujours magnifiques, peut‑être même encore un peu plus excitantes ! Elle ne pouvait plus les toucher sans arracher des grognements de douleur, et c’était aussi vrai, bien qu’un peu moins, de tout le reste du corps, Maude n’y étant malgré tout pas allé de main morte. Dans cette position, fesses offertes, entièrement marqué, ultra sensible, il était un appel à la pénétration. Elle sentit qu’elle ne pourrait pas résister longuement à cette idée qui l’envahissait. Et d’ailleurs, pourquoi y résister ? Elle s’équipa de son gode-ceinture favori puis, écartant sans égard les fesses meurtries, passa en force la barrière de l’anus et en quelques coups de rein énergiques plongea au plus profond du rectum de son homme pour libérer l’orgasme qu’elle sentait monter en elle depuis si longtemps.    
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Par : le 19/03/25
Bonjour à toutes et tous ! Mon Maître m'a demandé d'écrire un court récit bdsm.. C'est la première fois que je me lance là dedans. Je suis plutôt lectrice de thrillers et polars. Mais si Maître l'exige... Bonne soirée à toutes et tous. - Silence ! Je la vois, fébrile, sublime. Son corps tremble, ses yeux sont clos et sa respiration saccadée. Ses fesses rebondies sont sublimées par un rouge vif. Les coups de canne ont laissé de belles lignes sur sa peau nue. Les mains sur la tête et les jambes écartées, elle tente de rester debout sans vaciller. Je me place derrière elle, et je balade cette fois ci le fouet sur ses hanches. Elle gémit et commence à tourner la tête pour parler, mais se ravise. Je caresse son entre-jambe avec les lanières, et de mon autre main je frotte tout en douceur ses fesses endolories. Elle se décontracte enfin et expire longuement. - Très bien. Je frôle à présent de mes doigts l'intérieur de ses cuisses, et parvient jusqu'à sa chatte, trempée. Je commence à jouer avec son clitoris, qui se gonfle instantanément. Elle gémit et tente se me guider par des mouvements de bassin. - Ne bouge pas, lui dis-je au creux de l'oreille. Je descends mes doigts quelques centimètres plus bas, et malaxe sa vulve avec ardeur. J'enfonce mon majeur et mon annulaire d'un coup, et elle ne peut s'empêcher de pousser un cri. - On se tait j'ai dit ! Ma main gauche abat un solide coup de fouet sur sa hanche, elle se tend et se pince les lèvres pour étouffer son braillement. Je commence des vas et viens lentement, elle est toute mouillée, désireuse de se faire prendre. Je commence à appuyer sur son point G, et au moment où je sens le gonflement, j'enlève mes doigts aussi subitement que je les ai inséré. - Maître ! S'il vous plaît ! Me dit elle, suppliant. Je la retourne brusquement et la plaque contre le mur. - Tu ne jouiras pas ce soir ! Goûte à ta mouille. Et je lui enfonce mes doigts dans la bouche. Elle les suce goulument et sait qu'elle doit les nettoyer. Je me colle à elle, ma bite dure contre son corps brûlant. - A genoux ! Elle se met en position, mains derrière le dos, tête baissée. - Alors ? - Puis-je vous faire jouir Maître ? - Avec plaisir. Et j'enfonce ma queue dans sa bouche en lui maintenant fermement la tête. Je lui baise la bouche, sa bouche pulpeuse et chaude est un pur délice. Elle me suce jusqu'à ce que j'explose : sa bouche se remplit de mon foutre, je lui en asperge également sur le visage. Elle me regarde, la bouche ouverte, remplie de mon nectar blanc et attend. D'un signe de tête elle comprend et avale tout. - Merci Maître pour votre nectar, merci de me laisser vous servir. Et elle se remet à me lécher pour tout nettoyer. Je lui caresse les cheveux et m'assois, la contemplant, toujours dans sa position de soumise, le visage maculé de mon sperme, signe de son allégeance. Je m'approche de la table basse,  et récupère un plug. Elle sait ce qu'elle a à faire. Je le lui met dans la bouche et elle le suce et l'humidifie. - A quatre pattes ma chienne. Elle s'exécute. J'écarte ses fesses toujours écarlates, et crache sur son cul. Je lui enfonce le plug d'un coup, ses mouvements trahissent sa douleur, mais elle ne dit mot. Je prends à présent la pompe vaginale, l'installe. Une bonne trentaine de minutes plus tard, son vagin est enflé, tel celui d'une chienne en rut. Son excitation est immense : elle me regarde, les yeux suppliant. - Bien, maintenant il est temps que tu ailles faire tes besoins, non ? Je récupère la laisse et l'accroche à son collier. A quatre pattes, elle avance, je la guide jusqu'au jardin. Claquement de doigts. Elle se baisse légèrement et se met à uriner. Sa pisse coule le long de son ventre. Elle attend. A mon tour ; je prend ma bite et commence à l'arroser de ma pisse. Elle est magnifique éclairée par la lueur de la lune. Je m'approche de son visage et elle recommence à me sucer pour tout nettoyer. Je la ramène jusqu'à la maison et la positionne face au mur. - Tu attends. Je la laisse, imbibée de tous mes fluides, haletante, excitée. Je pars prendre une douche et ne reviens qu'une heure plus tard. Elle est toujours dans la même  position, mais sa frustration grandissante laisse apparaître un regard haineux. - Viens par là et lèche. Je m'installe confortablement dans le canapé et lui offre mes couilles qu'elle s'empresse de lécher avec voracité. - Maintenant suce. Elle s'applique à la tâche même si je sens qu'elle fatigue. - Tu es une bonne soumise, tu as bien mérité que je te baise. - Merci Maître ! S'exclame t'elle presque désespérément. - Reprend ta position de chienne, je veux voir ta chatte enflée ! Elle obéit et se cambre pour m'offrir son trou. Une vraie chienne en chaleur, la vue est splendide. Je retire le plug de son anus, elle gémit entre la surprise et la douleur. Et sans lui laisser le temps de réagir, je l'encule sauvagement. Elle crie de ce délicieux supplice. Je sens sa chatte gonflée et suintante de mouille sur mes couilles. Je baise son cul pendant un long moment et me retire pour jouir à nouveau sur son visage. Elle est essoufflée et garde les yeux baissés, déçue de ne pas avoir eu tous ses tous comblés. - Es tu fâchée ? - Non Maître, je suis là pour vous servir. - Et ? - Merci Maître de m'avoir laissé vous servir et d'avoir utilisé mon cul. - Bonne fille. Je relève son menton et étale mon sperme qui se mêle à la précédente giclée sur son visage. - Et maintenant tu enfiles ta robe bleue et tu vas au drive chercher de la crème glacée. Elle se relève, et exécute l'ordre sans ronchonner. Le temps de son absence, je lui prépare une surprise : son gode ventouse que j'accroche au mur. Elle pourra se l'enfiler 10 minutes pour avoir été bien docile ce soir. Mais bien évidement, sans jouïr.
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Par : le 19/03/25
Petite choses fragile qui se construit dans un lien relationnel sain sur et consensuel. Je ne sais pas pour vous, mais moi c'est mon moteur l'essence de la machine le relationnel. Je me rend compte que j'ai jamais accorder ma confiance totalement a qui que se soi. Je me suis jamais senti assez en confiance pour craquer. Aujourd'hui je ne l'envisage pas le "lâcher prise" je ne le donnerais pas, je suis verrouillé, cadenassé. J'ai pas envie qu'on me force pour l'obtenir je pense même que ça aurait pas l'effet voulu au contraire. Surtout l'après suffirait d'un rien pour que je parte en vrille. Je suis certainement pas assez saine finalement pour ça ou trop amoché psychologiquement. En tout cas je suis lucide sur le sujet. Merci Monsieur grâce a Vous je comprend beaucoup de choses. Merci ophel pour tes partages qui m'aide à me comprendre. Merci de m'avoir lu
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Par : le 18/03/25
J’ai pas parlé de JS, notre entretien premier de l’ère « célibataire »… je me suis persuadé de plein de trucs en amont, alors j’ai eu le sentiment qu’elle me faisait des yeux de biche, m’a donné des petites recommandations pour sortir qui pouvaient s’apparenter à un rencard, enfin avec les yeux de la foi. Elle a été plus personnelle, me parlant de ses copines, de ses expériences de spectatrice devant des productions musicales. Sur le coup, même si j’ai vu son attitude corporelle penchée vers moi, petit sourire aux lèvres, je n’ai pas réagi, évidemment. Mais il reste que, nous allons continuer à nous voir, de façon « thérapeutique », même si pour moi, ça devient de plus en plus un truc érotique, un grand réservoir à fantasmes. Je ne sais pas comment il serait approprié ou pas de basculer vers un autre type de relation, mais sa voix, la douceur qu’elle dégage, sa vivacité d’esprit, son intérêt évident pour les arts et la musique en particulier… comment dire… en font la candidate idéale au statut de première compagne de ma nouvelle vie. Je ne sais pas si elle souhaite postuler ceci dit, mais je lui laisse sa chance sans hésiter.   Retour vers un peu de méditation et de sport, un truc qui voudrait enfin prendre soin de moi-même. Bien sûr que les yeux de JS sont assez proches, mais ils sont aussi tellement loins, c’est étrange. J’ai comme le sentiment que ça ferait des étincelles entre nous, mais je me dis que quand même, ça ne se fait pas. Mais je m’en tape, si j’en ai envie, si elle est d’accord, qu’est-ce qui pourrait nous en empêcher ? La morale ? L’éthique professionnelle ? Une broutille. J’ai surtout peur de m’enflammer pour rien, mais en fait, quoi ? Au pire, si je lui demande : "on sort prendre un verre", elle dira quoi ? Je risque quoi ? De passer pour un crevard qui a décidé de divorcer parce qu’il se branle en secret en pensant à sa thérapeute préférée ? Et ensuite, c’est à moitié vrai, mais qui le saura vraiment à part elle ? Et ça change quoi ? Au moins les choses seront claires, et soit c’est le point de départ d’un truc sympa, soit juste le moment d’une clarification salutaire. Et puis quand même, ça fait toujours plaisir, même si on n'est pas dispo, de voir une personne nous désirer, même si c’est un peu pervers, alors bon… les risques sont minimes, négligeables même, si on se dit qu’il n’y a aucune honte à désirer une belle personne.   Elle a une fraicheur, une vivacité espiègle qui me fait penser à Justine, je sais pas trop pourquoi. Alors j’ai envie de manger des champignons magiques avec JS avant de la baiser toute la nuit dans un océan de douceur torride.   Cette séance de méditation m’a amené à affirmer cette énergie qui commence à se dégager de moi, à me laisser porter par elle, comme une érection mentale, un truc qui gonfle et qui fait du bien. Et puis je me suis trouvé aspiré vers le haut, comme une éruption d’oiseaux qui se dispersent dans le ciel. C’était assez bref, mais cette sensation d’érection spirituelle est vraiment chouette, je sens mon énergie enfler, et me procurer du plaisir. Ça fait du bien.   Je viens de faire l’expérience déroutante d’une brève attirance sexuelle et affective pour ma future ex-femme. J’ai retrouvé une partie de ce qui faisait sa beauté, une étincelle de vie en elle, et j’ai eu envie de la baiser, sans vraiment m’embarrasser de quoi que ce soit de moral, juste la baiser, et puis retourner dans ma piaule, comme on peut simplement baiser une amie quand on est célibataire, enfin un truc du genre. Il est évident que son conditionnement moral bourgeois traditionnel interdit d’envisager toute forme de relation sexuelle sans véritable engagement conjugal dans ce contexte, hypocrisie car elle n’hésitera pas au bout d’un moment, à se faire baiser par n’importe quel mâle en rut, qu’elle laissera, je l’espère, filer aussi vite qu’il lui aura défoncé la chatte. Oui, je commence à basculer un peu dans la jalousie post-conjugale, quel genre de connard baisera mon ex-femme, auront-ils de plus grosses bites que moi ? Sauront-ils lui donner envie de jouir ? Il se peut que oui, pour les deux questions, et je préfère voir ça comme un mémo, un truc qui doit me rappeler constamment que la médiocrité n’est pas une option valable en matière de sexualité. Peut-être que le plaisir de se faire baiser par un inconnu suffira à la faire jouir. J’aimerais aussi pouvoir être cet inconnu de temps en temps, mais je crois que c’est trop tard, et que je suis bien trop sexuellement émoustillé pour avoir une vision claire des choses, non pas que ce soir elle soit ultra sexy, non, mais plutôt que mon état d’excitation va crescendo au point de me faire envisager de prendre de la drogue. Alors forcément, à ce moment, n’importe quelle femelle vaguement désirable ferait l’affaire, y compris ma future ex-femme (pourquoi se priver)… bref, je suis partagé entre l’idée de me dire qu’il faut que je me branle un bon coup, et celle de dire que non, je dois garder cette excitation, puisque c’est elle qui doit pousser un homme à oublier la peur du ridicule pour agir et aller vers les femmes, j’imagine. Même si, d’un autre côté, cette excitation nous fait passer pour de vulgaires animaux en rut, ce que je suis, il ne faut pas se voiler la face, mais ce n’est pas très glamour de prime abord...   J’ai aussi bu trois verres de vin, j’avais été sobre depuis quelques jours, ça joue sûrement un peu aussi. Et puis il y avait le visage austère d’Amandine, qui s’est illuminé quand je lui ai rappelé l’évidence : qu’elle en fait trop, qu’elle devrait se lâcher un peu. Avait-elle idée d’une allégorie sexuelle ? C’est bien possible, en tout cas son armure s’est ouverte d’un coup, laissant apparaître une jeune femme pleine de vie et espiègle, qui doit bien profiter de sa jeunesse à en juger par le nombre de fois où elle me demande de lui prescrire des bilans à la recherche de traces d’infections sexuellement transmissibles… il faut dire qu’elle a un de ces corps, des courbes fermes bien dessinées, un cul dense et puissant et… et mon vieux réflexe du « elle est trop belle pour moi » revient, puissant. Pourtant, Joseph a bien mis en cloque Camille, et pourtant, il est petit et laid, il a l’air sympa, certes, mais Camille est une artiste à la personnalité complexe et profonde, et elle est bien foutue, un peu maigre à mon goût mais quand même… elle est objectivement trop belle pour lui, mais également, objectivement, ils viennent d’avoir un bébé. Il a peut-être plein de fric (il en a pourtant pas l’air) ou bien une grosse bite, ou les deux. En tout cas, c’est un vrai mâle reproducteur, car d’après sa carte vitale, il en est à son quatrième garçon…   Pourquoi je parle de ça ? J’en sais rien, on s’en fout, j’ai envie de baiser, je suis disponible, mais mentalement conditionné à n’être pas désirable. Je sais que je dois travailler là-dessus, évidemment, et puis je vais retomber dans les vieux travers de pornographie, repli sur soi et évitement. Vraiment ? Non, c’est fini ça, enfin je crois. Je vais aller méditer un peu malgré l’alcool, et probablement gratter un peu après. Et ma bite me démange tellement qu’il se pourrait que je me branle durant l’une de ces deux activités… en tout cas, ce soir, pas de sport, une petite pause ne fera pas de mal.
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Par : le 16/03/25
  Parfois, quand se retrouvent deux âmes errantes dans les mille temps des existences, même à travers la décadanse d’une valse, cela peut s’avérer bien plus qu’une orchestration des vices…   Le jour où nous avons finalement été réunis, c’était déjà bien plus qu’une simple grille d’accords pervers… Nous avions dès lors, composé l'ébauche symphonique d’un nouveau monde…   Une terre promise à ceux qui n’entendaient plus la tonalité de l’espoir, une partition sur laquelle nous avons placé l’ensemble de nos notes, justes ou fausses, présentes et passées… Car nous sommes avant tout, vivants… Avant tout, des êtres ayant vécu… Une mélodie familière, aux dissonances familiales, du fait de nos progénitures respectives et ingrates…   Conséquence de cette résonance harmonieuse, la première fois où tu posas chez moi tes ondes favorables, tu m'as apporté des bonbons… Toutes sortes de bonbons… Pour les enfants, entre autres… Et d'autres, qui m’étaient spécifiquement destinés… Deux délicieuses dragées !   “Mes” dragées… Mes bonbons depuis ce jour… Des entités indépendantes de ta personne, à l’instar de tes fruits sucrés, tant je t’en ai dépossédé pour qu'ils deviennent, mes précieux biens…   Mes bonbons qui suscitent le manque, quand tu me manques… Quand de moi tu es loin… Mes bonbons qui suscitent l'addiction... Ces confiseries qui m'obsèdent, quand la longueur des mesures me prive de l’accès privilégié à mes friandises… J'en perds mon rythme, la bave aux lèvres, quand par écrans interposés, dans les élans d’un exhibitionnisme naissant et sadique, tu déstructures ta pudeur, et ne cesses d'attiser le féroce de ma gourmandise…   Ils me manquent, quand tu me manques... Mes bonbons…   Leur texture délicate et granuleuse... Leur ampleur extravagante, qui rend inconcevable tout échappatoire à mes intentions…   Mes bonbons succulents…   Leur teinte rosée… Leurs contours enrobés d'une couleur café, que j’aime agrémenter de mon lait…   Mes bonbons… Les miens !   Leur douceur veloutée... Leur goût de miel dans ma bouche, quand tel un bambin affamé, je les dévore goulûment…   Mes bonbons indécents…   Leur tendresse innocente au repos, quand ils n’ont pas encore conscience de ma proximité…   Leur fermeté, quand au cœur de la nuit je les éveille, d’un geste furtif et sournois, et que tu ne peux plus fuir mon désir…   Mes putains de bonbons... Ils me manquent, quand tu me manques… Comme ton regard me manque…   Ton regard nuancé dans le mien, oscillant entre l'effroi et l'incontrôlable attraction, quand je les torture avec cynisme et cruauté... Mes bonbons !   Ils sont miens... Et ils me manquent, quand tu me manques… My good girl...   My baby pop...   So now, let me take you... To the candy shop… Then I'll let you lick... Your lollypop !     ____________________________________________________ ____________________________________________________ INSPIRATIONS MUSICALES :   Jacques Brel ▶ La valse à mille temps📻 ▶ Les bonbons📻   Serge Gainsbourg  ▶ La décadanse📻 ▶ Couleur café📻   Antonín Dvořák ▶ Symphonie du nouveau monde📻   France Gall ▶ Baby Pop📻   50 Cent ▶ Candy Shop📻   ____________________________________________________ ____________________________________________________ CRÉDIT PHOTO : Good Girl 佩玲 🍬🍬 ____________________________________________________ ____________________________________________________
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Par : le 16/03/25
Acte 10 le dernier Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir. Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments. Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau. La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable. Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination. "Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?" "Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir" La conversation s'arrête là. Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène? Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer. Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir. Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part. Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure. Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.   C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine. Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures. Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais…. La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées. Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore. Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien. Tu a encore le sourire. Il va vite partir. "Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?" Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler. Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux. "Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…." Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là. De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon. "Au moins, avec ca tu la fermera!" Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses. Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup. J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent. Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc. J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir. Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur. Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte. "Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser." Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher. Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change. "Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra." Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais. Je t'entends crier une bonne partie de la nuit….  Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete. Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.    Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures. Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir. Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte. A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer. "Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu" "Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!" Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux. J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau. Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre. Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard. Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant. Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.   Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.   Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave. Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final. Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles. Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné. Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore. Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi. Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer. Je tire et compte. 1..2..3..4... Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis. 5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol. Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge. Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin. J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi. L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi. C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer. Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche. Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse. Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir. Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin…. 8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon. Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Par : le 15/03/25
Acte 7 Le temps passe. Je n'ai plus vraiment de nouvelles de ta part depuis la dernière soirée. Un dimanche matin, tu sonnes chez moi. Je suis surpris, je n'attendais pas vraiment ta visite et ne pensais pas te revoir. Tu m'expliques avoir eu besoin de temps, de réfléchir, de savoir si tu voulais continuer ou pas. Nous passons le dimanche à parler de tout, nos vies vanilles, passions, hobbies, personnalités et sexe ainsi que de BDSM bien sur. De cette discussion, j'ai un peu avancé mais pas vraiment te concernant. Je ne connais toujours pas tes limites et tes envies. Cela dit, il en ressort des dualités profondes: * Que les châtiments, le sexe, ne t'intéressent pas sans qu'un contexte les justifient. Pourtant tu en parles beaucoup. * Une envie de te mettre en danger, d'avoir peur. Mais d'un autre côté, ce danger doit être "safe", comme si on devait te garantir une happy end. * Le contexte compte plus que les pratiques. Tu expliques que vivre des choses qui te répugnent/dégoûtent, peut être jouissif pour toi, en fonction du contexte. Vaste dichotomie, qui subsiste dans ton esprit. Des choses totalement contradictoires entre elles. Je prends le temps de la réflexion. Quelques jours plus tard, je te parle de "role play" et de CNC. Le role play te parle, tu aimes les jeux de rôle (jeux de plateau). Le CNC en revanche tu sembles ne pas savoir ce que c'est. Je te l'explique. Les deux idées semblent te plaire. Je te mets en garde, le CNC, il n'y a plus de garde fou, plus de safecode, ton consentement n'existe plus. Tu poses juste 3 "conditions". Pas de sang, pas de mise en danger de ta santé, rien de permanent (pas de tatouage, branding, etc). Le côté CNC te fait peur et te plaît. Ne pas avoir ton mot à dire est pour toi terrifiant et excitant. Le cadre, les règles, et les limites sont posées. Je te demande de me donner toutes les informations te concernant. Tes horaires, ton lieu de job étudiant, ce que tu fais, un double de tes clés. Dans le même temps, je cogite à des scénarios, en rédige quelques uns. De tout ce que je te propose, rien ne semble te faire spécialement peur tant que tu sais que c'est moi ton "bourreau". Tic, tac, le moment opportun arrive. Soirée filles/copines. Parfait. Je t'envoie un texto "Ne mets pas de vêtements auxquels tu tiens ce soir" Avec ton double, je m'introduis chez toi pendant que tu es en soirée. Je mets un peu de désordre, comme si quelqu'un avait fouillé. Le disjoncteur électrique? Dans le placard de l'entrée, derriere la penderie à manteaux. Parfait, cela te fera perdre du temps. Le ruban adhésif, les serflex, cagoule, le faux cutter sont prêts. J'ai plus qu'à attendre ton retour de soirée. La fin de soirée risque d'être mouvementée pour toi. Minuit moins dix, je vois ta voiture se garer, je t'observe de chez toi, dans le noir. Le temps que tu arrives, je coupe le courant, laisse la porte d'entrée légèrement ouverte, et file me cacher en enfilant ma cagoule. Je t'entends pousser la porte, le cliquetis caractéristique de l'interrupteur. J'observe le bon moment, la lumière tamisée du couloir aidant. La tête dans le placard, tu remets le courant en marche. Manque de pot, je suis derrière toi. Pile au moment où tu sors la tête du placard, je te saisis par les cheveux et place le cutter sur ta gorge. Apres avoir claqué la porte, je te déplace vers le plan de travail de ta kitchenette. Je te sens trembler, commencer à sangloter, sûrement de peur. Je dois trouver un moyen vite, de te calmer. Le but n'étant évidemment pas de réellement te traumatiser. "Si tu essayes de lutter, tu es morte" dis-je. Je me dis que tu connais ma voix, tu devrais donc savoir que c'est moi. Je te plaque la tête sur le plan de travail, te mets les mains dans le dos, passe le serflex, et le serre. Puis ruban adhésif sur la bouche. Je t'emmène et te jette dans ton lit. Les sanglots se calment, la peur avec. Je continue à faire comme si je cherchais quelque chose. Je fais mine de m'agacer de rien trouver. J'éteins à nouveau la lumière et allume la tv sans le son. La lumière de la tv fera office de lumière tamisée. Je fais mine de m'agacer de rien trouver..... Je vais dans la cuisine chercher un ciseau. La peur revient dans ton regard. Je passe la pointe plusieurs fois sans appuyer sur ton cou, ton nez, tes bras. "Arrête de bouger ou je te plante!" Tu marmonnes un truc. Je comprends pas. Puis je découpe avec le ciseau, déchire tes vêtements un à un. Tu es nue..... je sors mon téléphone de ma poche, je prends quelques photos de toi nue... tu essaies de te cacher. Une claque arrive sur ta jambe. "Ecarte!" Tu refuses, je reprends le faux cutter et le remets sous ta gorge. "Ecarte j'ai dit!" Tu le fais non sans mal. En maintenant le cutter, je continue comme je peux ma petite séance photo. Je finis par poser mon téléphone, et à jouer avec ton clitoris.... Celui-ci devient vite humide, les grognements étouffés se changent en gémissements. Je m'amuse, enfonce un doigt, puis deux, ressort jouer avec ton clitoris.... Bon ça suffit, assez joué. J'enlève enfin ma cagoule. Ton regard exprime le "je savais que c'était toi".... Je te souris, me lève, reprend mes affaires. Me dirige vers la porte. Je t'entends grogner, essayer de crier, de m'interpeller. Sans te regarder, je te dis "tu passeras la nuit ainsi, je viendrai demain te délivrer. Bonne nuit Hannah." Je prends le temps de bien fermer ta porte à clé et je m'en vais. Je reviens 1h plus tard, vérifier que tout va bien. Tu dors. Je m'installe à côté de toi, et je m'endors à mon tour. Le matin tu me réveilles à coup de coudes. "Bonjour Hannah, bien dormi?.... Ah oui tu peux pas répondre." Je te sen un poil énervée. J'en souris. "Arrête de t'énerver ou je te libère pas." Petit soupir de ta part. Je finis par couper le serflex et t'enlever le ruban adhésif. Tu passes de longues minutes à ronchonner, pester, pour enfin me dire que tu as vraiment eu peur au départ, que c'était intense, mais qu'avec le recul, c'était excitant et sympa à vivre. Acte 8 "Maître, je suis en manque.... bientôt 3 semaines sans sexe" Je te réponds pas mais j'en souris d'avance. Ne t'inquiète pas, j'ai prévu quelque chose pour toi à ce sujet. Le temps de tout mettre en place. Ça va venir. Je passe un temps fou, à essayer de reproduire des billets. De près on voit que c'est des faux, de loin en revanche, ça fera illusion. Ça y le jour J est arrivé. Tout est en place. "Hannah, habille-toi classe, et sexy ce soir! Je passe te prendre à 19h, sois prête. Ah et tu m'attendras dehors et sans parapluie" Il est 19h... Il pleut des cordes. Tu es dehors, devant ton batiment, tu m'attends, sans parapluie.... Je te vois, mais j'attends. Petit plaisir sadique, de te voir comme une conne dehors sous la flotte. Bon 19h08. On va être en retard. Je viens enfin te chercher. "Ah ben merci de m'avoir fait attendre sous la pluie.... " "Pardon? Tu peux répéter Hannah?" "Mes excuses Maître. Bonsoir" "C'est mieux" Nous prenons la route, direction un hôtel. Plutôt chic. Tu me suis, sans rien dire. Tu sembles un peu surprise qu'on ne passe pas par l'acceuil. Chambre 259.... Chambre 259.... Elle est ou cette putain de chambre. Ah ça y est! Nous y sommes. Je tape, un homme nous ouvre, et nous fait entrer. On se salue. L'homme a la cinquantaine, plutôt ventru, un regard libidineux. Tu ne le sais pas, mais il s'appelle Thierry. C'est un habitué d'un club échangiste que je connais depuis un moment déjà. "Hannah enlève ton manteau. Et viens te mettre à genoux, là" au milieu de la chambre face au lit. Thierry a commandé à manger. Mais toi tu n'y as pas droit. Nous mangeons. "Elle ne mange pas?" "Elle mangera quand elle aura fait son devoir, pas avant." Tu nous regardes manger, et parler de toi comme si tu n’étais pas là. Le repas est fini. Thierry se lève et va chercher sa sacoche et me tend les "faux billets". "On avait dit combien? 700?" "700€ oui.... Enfin si tu veux la totale?" "Parfait, tiens!" Tu nous regardes, surprise, médusée, tu sembles à la fois comprendre et ne pas comprendre ce qu'il se passe ou va t'arriver. "Hannah, je viens de vendre tes services à Monsieur. Sois gentille, et fais ce qu'il te dit." Je reste assis à table à vous observer. Thierry se déshabille tout seul et va s’allonger dans le lit. "Debout, et déshabille-toi ma petite" Un moment d’hésitation, je claque un doigt pour te rappeler à l'ordre, et tu te lèves pour te déshabiller. Tu regardes Thierry. A la moue que tu fais, il ne semble pas vraiment à ton goût. Âgé, ventru, poilu, sexe court mais épais. Une fois nue, Thierry t'invite à le rejoindre dans le lit. "Viens ma petite, viens m'embrasser et me caresser" Tu y vas, à reculons comme on dit. Tu fais sans faire, on sent réellement que tu ne prends aucun plaisir. "Va falloir mettre du tiens ma mignonne, c'est nul là" Je sens que ça va pas. Je me lève, te sors du lit sans ménagement. "Hannah, c'est bien ce que tu voulais vivre non? Me force pas à devenir méchant. J'ai vendu tes charmes, tu n'as pas le choix!" Thierry nous regarde, avec une demi-érection. Je te dis d'y retourner d'un signe de la tête. Retour dans le lit, retour aux caresses. "C'est bien, ma mignonne, c'est mieux. Suce-moi" Tu descends et commence ta fellation. Tu ferme les yeux, comme si tu imaginais être avec quelqu'un d'autre. Thierry est doux, il ne cherche pas à te forcer en gorge profonde. Ça semble te ressurer. Petit à petit, tu y mets plus d'entrain. Thierry te stoppe, te pousse sur le côté du lit, puis descend te faire un cunnilingus. Lui en revanche semble prendre un plaisir certain à déguster ta petite chatte. Un peu trop, il semble surexcité... Le moment fatidique arrive. Thierry met un préservatif. C'est l'heure de passer à la casserole. Il a côté tres doux, essaye de ne pas te brusquer. Les va-et-vient sont lents, amples. Puis il s'accélère. Les coups de rein sont plus secs, plus durs, on entend vos corps claquer à chaque coup. Je vous regarde, assis dans mon fauteuil. Thierry semble s'emballer. Il ne tiendra pas longtemps sur ce rythme. Chose qui devait arriver, arriva. Thierry, dans un grand râle de jouissance, se bloque au fond de ton vagin. Ne bouge plus 1 seconde ou 2 puis se retire et s'effondre sur le lit. Tu demandes pas ton reste, sors du lit, et vas dans la salle de bain. Tu ne le vois pas mais Thierry se rhabille et quitte la chambre. Il l'a payée. Nous pouvons y rester. Je te retrouve, prostrée dans la salle de bain. "Hannah?" "Quoi?" "Comment te sens-tu?" "Sale, salie, dégueulasse, souillée, meurtrie...." Je souris. Te relève. Te dis que je suis fier de toi. Que moi, je n'aurais jamais eu le courage de faire ce que tu viens de faire. Je vois un petit sourire de fierté poindre. Je t'entraîne à nouveau dans la chambre, et dans le lit, on parle, fait notre aftercare. Je t'explique que tout était faux et que je connaissais Thierry, d'où ma confiance en lui. La soirée n'est pas finie, à mon tour de me faire plaisir..... Je vais terminer de combler ton manque. Acte 9 Nous sommes le lendemain. Le téléphone nous réveille. Nous n'avons pas commandé le petit-déjeuner. Je suis ailleurs. Physiquement, je suis là, mais mon esprit est absent. Tu le sens, tu me demandes à quoi je pense. Je ne réponds pas. Une deuxième fois, tu me poses la question. Je te réponds être en proie aux doutes, aux questionnements, suis-je allé trop loin? Trop vite? Ça te fait éclater de rire. Tu me dis que jusque-là, tout va bien. Tant que je suis là, tu te sens en sécurité, peu importe quoi. Ça me rassure. Mais ton calvaire va se durcir. Cinq jours plus tard, nous sommes invités. Cette fois-ci, tu sais que tu sera vendue. Je te l'explique. Oui je sais encore.... Jour J. Nous arrivons devant une somptueuse villa surplombant les hauteurs de Nice. A l'entrée, il n'y a que des voitures de luxe. Seule ma Clio Williams fait tache. Soit. On me remet un masque type "carnaval de Venise" à mettre. C'est jamais pratique à mettre ces machins. Encore moins à respirer avec. Toi, on te donne un numéro. Nous rentrons dans le salon. Il est bondé. Environ une cinquantaine de personnes sont présentes. Quelques amuse-gueules, du champagne (ce que je déteste) à boire, puis on vient te chercher. C'est l'heure de la vente des esclaves. Tu disparais pour réapparaître nue sur le podium avec le numéro autour du cou. Un à un, vous êtes appelés par votre numéro. Soumises/Soumis même combat ce soir. Pas de différence. Vous défilez chacun votre tour, puis en ligne vous venez vous positionner sur l'estrade centrale. Tous les convives peuvent voir, regarder, vous examiner, une seule règle. On touche qu'avec les yeux. De mon côté, je sais déjà qui va t'acheter. Elle te reluque de la tête aux pieds. Elle ne regarde que toi. Elle s'appelle "Mercedes". Elle est argentine, a le regard froid, le visage inexpressif, elle a une attitude de matonne de prison. C'est mon ancienne Maîtresse. Les enchères commencent. Peu de doutes concernant ton cas. C'est fini. Elle a remporté la mise, tu es à elle pour une heure environ. Elle t’emmène dans une chambre/salle. Elle te fixe les mains à un pilori qui est lui-même attaché à une poulie au plafond. Je te sens trembler, être pas bien, faire une crise d'angoisse. Tu me cherches du regard mais me trouves pas. Moi je te vois. Je viens, demande à "Mercedes" 3 mins avec toi. "Hannah, du calme, respire. Tout va bien. Je connais Mercedes, elle sait ce qu'elle fait. Elle a 30 ans d'expérience derrière elle. Fais-lui confiance, fais-moi confiance. Tu sais que je suis là et que je t’abandonne pas." Ça va mieux. Enfin un peu. Mercedes commence avec une Badine. Elle marque tes fesses, tes cuisses, tes mollets, ton bas-ventre. Cela te semble interminable et insupportable. Mais tu fais de ton mieux pour subir. Elle te détache, t’emmène sur une table. Tu y es fixée par les mains et les pieds. Jambes ouvertes, sexe offert. Elle enfile des gants en latex, je sens à nouveau que tu vas craquer. Je viens. Je te murmure que ça va, tout va bien. Respire. Tu es entre de bonnes mains. Elle t'explique qu'elle va te "coudre la chatte". Je te caresse la tête, je reste présent. Ça va aller Hannah. Elle commence, le passage de l'aiguille se fait non sans mal, mais tu essaies de gérer. Un point après l'autre, te voilà suturée. Chatte fermée. Nous admirons le travail. Tu restes allongée à ne rien dire. "Gap, tu l'as bien formée, bravo. Beaucoup auraient renoncé." "Merci Madame". "Je te laisse le soin de couper les points, voici le ciseau médical. Fais attention. Et voici des compresses stériles au besoin" Je retire un à un les points. Pose des compresses sur les quelques gouttes de sang qui perlent. Je te détache les mains et te tends un sextoy. De quoi enfin prendre un peu de plaisir. Fini, tu me le rends. Mercedes te regarde dans le fond de la pièce. Je te détache, et te demande d'aller dire merci. "Merci Madame" "De rien jeune fille." Nous repartons dans le salon. Tu te rhabilles. "Hannah veux-tu rester?" "Non trop d'émotions pour ce soir, rentrons" Retour chez moi. Poches de glace et bombe de froid. Ça va. Tu sembles bien résister à la douleur. J'examine à nouveau ta chatte. Ça va, plus de sang. Nous pouvons faire notre aftercare et dormir.
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Par : le 14/03/25
je partage ici des souvenirs de mes expériences . celle-ci c'est passée avec ma dominatrice la plus agréable et la plus perverse que j'ai eu . un aprés midi , Madame m'appelle : demain aprés midi au sauna le x , 15h devant la porte !!! le ton dit bien qu'il n'y a pas de contestations possible donc je vais obéir . j'ai 30 ans , sportif , musclé , depuis peu entiérement lisse et aux ordres et caprices d'une dominatrice parfaite ! ferme , fondante , vicieuse , joueuse , ne détestant pas le plaisir sexuel avec son soumis , bref une dominatrice parfaite . le jour J , je rentre a sa suite dans le sauna , direction le vestiaire , mise a nu , pose du collier et de la laisse , la cagoule , les pinces ( qu'est ce qu'elles font mal celles la , une nouvelle trouvaille de Madame ) dés que la douleur monte mon sexe gonfle , se tend , ma circoncision apparait aux yeux de tous ( amusant comme un sexe circoncis attire les regards et la gourmandise ) les spectateurs car Madame a lancée une invitation : 3 couples et une poignée d'hommes seuls qui attendent le spectacle en se masturbant s , parfois les uns les autres . Madame m'installe , poignés liés dans le dos , barre d'écartement aux chevilles , a genoux sur une banquette la téte contre le mur , cambré pour m'ofrir aux regards inquisiteurs des spectateurs . Madame commence par jouer avec les pinces et m'arrache les gémissements de petites chiennes qu'elle adore , elle m'interdit de crier mais pas de gémir et je lui donne satisfaction , qu'est ce que j'ai mal !!! mais elle adore alors !!!! puis vient la fessée , trés vite mes fesses chauffent , rougissent , gonflent , je vais avoir du mal a aller travailler ensuite , 1 heure de voiture les fesses en feu , je vais chanter mon bonheur d'avoir servi Madame ! et dire que je ne peux pas le partager , tout cela est secret , mais j'aimerais tellement pouvoir le crier au monde , " j'ai mal parce que ma Maitresse me torture !! " je suis la , des hommes s'approchent , j'ai dis a Madame que je n'acceptais pas les hommes , soumis je suis mais a une femme uniquement . elle les laisse s'approcher , s'assoir a coté de moi et me carresser ! je ne veux pas mais je n'ai pas le droit de parler !! ils carressent mon dos , mes reins , mes seins , tirent sur les pinces , tordent mes seins , glissent vers mon ventre , mon pubis , mon sexe , mes fesses , l'un écarte mes fesses et glisse un doigt sur mon oeillet , je me contracte mais Madame empoigne mes testicules et tire vers le haut , je me cambre et ouvre ma fente ! elle arréte la pénétration , le plus audacieux se met a genoux derriére moi et léche mes fesses , ma raie et léche mon orifice en tirant sur mes testicules , je ne peux pas me fermer et je subis cette caresse , comme un viol , je sens sa langue qui s'enfonce et je cris " non , pas ça " . Madame le fait se relever et le renvoie en spectateur , il bande comme un taureau , il est super monté , heureusement que Madame l'a arrété sinon il m'aurait défoncé ! je vois les couples qui s'affairent , les femmes se penchent sur leurs hommes et les sucent goulument , les hommes seuls se masturbent , certais en sucent d'autres , j'en vois un qui se fait prendre par le taureau , le spectacle a l'air de plaire ! une femme vient derriére moi et me caresse , joue avec mon sexe , me fait gémir car ses caresses sont précises , au bon endroit , je sens monter mon excitation , elle joue avec mes testicules qui pendent , les soupése , les malaxe , les triture , je gémis car je suis extrémement sensible de cette partie et je ne supporte pas ces douleurs ! Madame observe , guide la femme , lui indique mes points sensibles , c'est une novice dans la domination et je suis son sujet d'étude , son mari la regarde en souriant ( peut étre est il content de ne pas étre le sujet !!! ) pendant ce temps la je gémis sous les attentions de la dame ! j'entends les cris de jouissance des spectateurs , a mon avis le sperme coule a flot , tout le monde ou presque a l'air de prendre son pied , Madame me fait assoir , je léve la téte et elle s'approche au dessus de moi , viens poser son sexe sur mon visage et m'ordonne de la lécher !!!!! je lui donne aussitot satisfaction , c'est tellement rare que je déguste ce moment , ma langue va et vient , je fouille son sexe , je fais monter son plaisir , je sens ses reins qui s'animent , son sexe ruisselle dans ma bouche , je déguste le plus possible de sa mouille , elle se frotte sur mon visage , mon nez s'enfonce dans sa chatte et elle jouit , a grands cris , je sens un liquide qui gicle sur mon visage , dans ma bouche , sur mon corps , elle urine a grands jets , elle se vide en jouissant sur moi , je déteste le gout , l'odeur et le fait que ça soit un déchet mais j'adore boire l'urine de Madame , elle prend soin de boire du lipton et sa production est légérement parfumée a la péche , un régal , j'en avale le plus possible ! puis Madame , se relave et interpelle les spectateurs , les invite a venir m'arroser , ça n'était pas prévu du tout , la participation d'inconnus , je n'avale pas leurs urines , j'ai toujours un doute sur l'hygiéne alors la , des hommes qui viennnet de se sucer , d'avaler le sperme de leurs voisins , qui viennent de se prendre entre eux , JAMAIS ! je reste assis téte basse les yeux fermés , bouche fermée , et je sens les jets qui viennent frapper ma téte , mon corps , ce n'est pas possible ils ont tous envie d'uriner , je ruisselle , c'est humiliant au possible , étre un urinoir public , j'entends les éclats de rire gras , les hommes qui s'esclaffent , m'appelle la lopette , le sac a pisse , ils s'en donnent a coeur joie et je me tais , je subis ! puis la femme de toute a l'heure s'approche , vient au dessus de moi , Madame m'ordonne de lever la téte , d'écarter la cagoule sur mon nez et d'accepter l'offrande de la femme , je secoue la téte pour dire non , la gifle tombe , énorme , je crois que je vais une fois de plus me soumettre et faire ce que Madame ordonne , je penche ma téte en arriére , ouvre la bouche , la femme applique son sexe sur mes lévres , Madame m'ordonne de la lécher , de la faire jouir et de recevoir ma récompense ! devinez ce que j'ai fait ?????
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Par : le 13/03/25
bonsoir aux courageux qui liront ce premier pavé, il y en a d'autres en stock si jamais un ou deux curieux se montrent intéressés.... je ne sais pas vraiment pourquoi je partage ça ici, ce texte n'a rien de BDSM, il se trouve juste que, chronologiquement, l'adhésion (toute relative) à cette communauté a été l'un des derniers trucs que j'ai fait avant de prendre l'initiative de divorcer... tout est écrit de façon brute, initialement comme un journal intime, non retouché à quelques mots près.      " Un bail que je n’ai plus médité, ou écrit. Ces derniers temps, c’était retour sur bdsm.fr et surtout backgammon, à fond. Et puis je préparais la fin de mon mariage. Je crois bien que ça vient tout juste de se produire, pour de bon. Je lui ai dit assez calmement que même la meilleure version d’elle-même ne réussirait pas à me rendre heureux, du moins j’en suis convaincu. Que ce n’est pas une question de choses que l’on fait ou pas, d’ajustements ou d’efforts, non. Pour moi, il y a simplement erreur de casting, et je le sais au fond de moi depuis un moment. Ce soir où j’ai pris la décision de la demander en mariage, seul, défoncé au DXM pendant qu’elle était de garde, je me souviens très bien une grande peur, un gros doute, vite évacué par les propriétés de la drogue. Une fois la décision prise de la demander en mariage, mon cerveau s’est démené pour m’expliquer combien c’était génial et combien c’était sensé se passer comme ça. Pas un mot sur le fait qu’en fait, j’étais juste en train de profiter de son absence pour me droguer, comme toute personne heureuse en ménage le ferait... Il y a peut-être eu des moments où je me suis dit que j’étais trop malheureux de ne pas l’avoir à côté de moi, donc je me droguais pour oublier. Mais alors comment expliquer que je me droguais, plus tard, avant de rentrer la retrouver à la maison, à la fin de ma journée de travail ?   Ça commence dans la drogue, ça finit dans la drogue, sauf que là, il n’est pas question que l’histoire dans sa globalité, c’est à dire la mienne, se termine mal. Ça finit, ce mariage finit au moment où je franchis la ligne rouge de l’intraveineuse. Je sais que quelque chose cloche sévèrement, et petit à petit je vois les choses de plus en plus clairement. Maintenant, je ne me drogue plus, et je me sens triste mais calme. J’ai quand même pris un Xanax pour éviter le retour de bâton, mais je me sens mieux. La cage dans laquelle j’étais enfermé vient de s’ouvrir, je sais que je vais pouvoir marcher vers ma liberté. Ça fait peur, mais l’air sur ma peau me pousse à me concentrer sur ce qui arrive maintenant, pas à paniquer au sujet de ce qui pourrait se produire dans un mois, un an ou un siècle.   Pour la première, non deuxième fois de ma vie, je suis là, maintenant. J’ai pleinement conscience de ce qui se passe, je me sens prêt, confiant, je sais que je vais grandir encore un peu, comme un arbre qui s’étoffe à chaque saison. Et bien là, un hiver s’achève. La première fois, c’était juste la nuit avant la naissance de mon fils aîné, je sentais que j’étais parfaitement prêt à l’accueillir. Je n’ai jamais ressenti ça à aucun autre moment de ma vie : c’est à dire savoir que quelque chose d’important se passe maintenant, et qu’on a les épaules pour gérer ça au mieux. Cette fois, c’est moi qui décide, d’une certaine façon, ça rend les choses peut-être plus simple niveau timing. Ça a peut-être un rapport avec le backgammon aussi, avoir l’initiative, gérer le timing, bien étudier les positions, ce genre de truc…   Je ne m’attendais à rien d’autre que d’être accusé d’être un lâche égoïste et ingrat ; mais je crois que j’avais devancé l’attaque en me l’auto-infligeant des milliers de fois, alors j’ai encaissé sans trop broncher, sans hausser le ton, sans même vraiment relever. J’ai essayé d’être apaisant, en lui répétant que si je pense ne plus avoir envie de vivre avec elle, y compris sa meilleure version (actuellement enterrée sous cinquante couches de névroses en tout genre) ce n’est pas un jugement de valeur, ce n’est pas que je l’estime indigne de moi. Mais évidemment, ce n’est pas ce qu’elle a entendu. Sans surprise, les angoisses matérielles sont venues en premier, peut-être à égalité avec la garde des enfants, comment je vais pouvoir gérer seule ? Problème résolu en amont : tu garderas la maison,et tes parents resteront tes voisins et pourront t’aider avec les garçons.   Et puis voilà que finalement, elle revient. Elle devait dormir chez ses parents pour se calmer les nerfs, mais son père lui a pris la tête avec des détails matériels à la con, ce qui l’a fait encore plus paniquer. Me revoilà à peu près là où tout à commencé à s’achever : la salle de jeu / studio de musique. C’est ici qu’après les intraveineuses, je me suis posé, ai écrit, ai joué de la gratte, bien sûr. C’est là que j’ai passé la nuit avec mon pote d’enfance à parler d’elle, de notre divorce imminent, tout en prenant une énorme cuite ponctuée de jams appréciables. C’est là aussi que j’ai médité. Dans cette pièce, on a aussi pas mal joué avec les enfants, mais c’est surtout ma salle de jeu, que je vais devoir quitter d’ici quelques temps. M’y revoici, presque divorcé ce soir, pour ce que ça change…   C’est aussi dans cette pièce que j’avais dévoré les deux biographies de Jimi Hendrix peu avant de tenter une approche purement sexuelle, lorgnant sur le BDSM dans le but de sauver mon mariage : un échec cuisant. Je crois que c’est Jimi qui m’a poussé à agir, alors bien sûr qu’il y a une part d’excitation à l’idée d’entrevoir les prémices d’une vie de célibataire qui imiterait sa courte et brillante existence, mais je sais bien qu’il faut que je descende d’un cran, car ça risque de ne pas être vraiment ça… respire mon petit, demain sera un autre jour, dans un sens plus profond et plus vrai qu’il n’a jamais été de toute ta vie ou presque.   J’ouvre un oeil et un mélange de désir sexuel et de positions de backgammon et de videau secouent mon corps et mon esprit à nu. Il est trop tôt pour me lever, alors je débute cette nouvelle journée par deux matchs en douze points contre un australien muet : deux belles défaites, pas bien glorieuses ni chanceuses. J’avais pensé à me branler sinon, ça aurait peut-être mieux valu, qui sait ? Ou bien aller prendre ma douche pour débuter cette nouvelle vie frais, mais il faut croire que tout ne peut pas changer d’un coup. Traîner, faire les choses nécessaires au dernier moment, se goinfrer de tout ce qui fait envie d’ici là, jusqu’à plus faim et plus si possible. Mais ne pas reculer pour autant devant l’inévitable, même si toujours ou presque il est abordé en retard, je ne suis pas du genre à fermer les yeux. J’ai mis longtemps à comprendre que j’ai câblé mon cerveau à l’inverse de ce que maman disait : « plus vite fait, plus vite tranquille ». J’ai passé ma vie à élaborer un slogan alternatif du style : « la vie c’est chiant, le jeu c’est bien : n’agir que si c’est strictement nécessaire et si personne ne le fait à ma place ». Je sais, il va falloir travailler la formule, et puis en fait probablement aussi un peu trouver un compromis entre les deux, ce que je croyais que serait mon mariage, mais ce n’est pas parce qu’on est un adolescent insolent, joueur et provocateur qu’il faut se mettre en couple avec une personne rigide, obsessionnelle de l’organisation et pisse-froid. Elle appréciera si un jour elle lit ces lignes, je souhaite pour elle me tromper, mais il me semble qu’elle n’a pas su vraiment développer sa compréhension de ce qu’elle est au fond, alors elle à travaillé sur la forme, celle d’une « adulte » responsable, organisée, travailleuse, « parfaite » d’après les critères de son père. Ce qu’elle veut vraiment, ce qu’elle aime vraiment ? Je n’en sais rien, elle n’en sait rien, mais j’espère qu’elle le trouvera un jour, pour elle évidemment, mais aussi et surtout pour nos enfants. En tout cas, j’en suis arrivé à la conclusion que je n’aurais jamais la réponse à cette question, enfin que je n’aurais jamais la patience d’attendre sa réponse, ni la vitalité pour encaisser émotionnellement tout ce qu’implique de vivre quelques années de plus avec une personne à ce point à la dérive. Et que si quelqu’un peut bien l’aider à trouver ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, vraiment, ce n’est pas moi. Et que de toute façon, ça ne me conviendra pas vraiment, enfin je crois. Il se pourrait aussi que je sois responsable d’une certaine manière de la dégradation de son état, par mon attitude intransigeante, distante et fermée qui rappelle fortement celle de son père. C’est juste que, malgré les doutes qui persistent, je suis plus qu’absolument certain d’une chose : on est pas éternel, et je n’ai pas le temps ni les moyens d’attendre dix ans de plus pour passer d’une probabilité de victoire de 0.1% à 1%, car je n’envisage pas vraiment de gain supérieur au bout du compte, même avec les meilleurs dés possibles… il faut laisser tomber cette manche, beaucoup trop à perdre et pour ainsi dire rien à gagner, et je m’approche du point du match où il faut devenir nettement plus agressif si on veut espérer renverser la tendance, viser le gammon doublé. J’ai beau forcer le trait, je n’arrive pas à trouver ces analogies entre la vie et un match de backgammon cucul. Je trouve ça beau, profond et incroyablement vrai. Il faut peut-être vraiment que je revoie ma psychologue dans ce cas…."   
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Par : le 13/03/25
Acte 4 Moins de 24 heures se sont écoulées, et te revoilà chez moi. Toute fière. Vanessa te fait entrer. Je suis sur la table du salon, en train de trier et vérifier mes affaires de sport. Tu viens me voir, avec tes deux feuilles A4 griffonnées recto verso. Tu me les tends. Je lis même pas, je déchire tout, sous tes yeux médusés. "Bonjour Hannah, assieds toi". Pas un mot, tu t'assois. Je te tends un stylo et une feuille.   "Je t'ai demandé quelques lignes, pas une dissertation. Recommence! Vanessa, fais lui un café s'il te plaît." Le temps de trier mes affaires, tu as le temps de griffonner quelques lignes. Je lis, ok la notion d'engagement est là, mais encore une fois, ça part dans tous les sens. Je laisse cela sur la table, j'ai de toute façon pas le temps. Un match de handball important m'attend. "Vanessa va te faire un cours. Elle t'expliquera les différents grands courants de pensée, le matériel, à quoi il sert, les pratiques. Vanessa, tu trouveras sur la table un exemplaire de check-list. Cela pourra aider Hannah je pense." Vanessa acquiesce d'un hochement de tête. "Vanessa, tu es responsable de Hannah, si à mon retour cela me convient pas, c'est toi qui subiras mes foudres, sommes-nous d'accord?" Vanessa acquiesce d'un hochement de tête, à nouveau, non sans un regard inquiet. Un bisous et un câlin à Vanessa et je m'apprête à partir. "On fait des câlins à une esclave?" "Les relations BDSM n'empêchent en rien la douceur et la tendresse Hannah. Penses-tu que Vanessa accepterait certaines choses si j'étais seulement qu'un sombre connard?" J'attends même pas ta réponse, je m'en vais. Le temps tourne.... Minuit moins le quart, je rentre enfin. Je suis frustré, en colère, en rage, j'ai beaucoup de mal à me contenir. Tu es toujours là. Vous regardez une émission sur les serial killers. Curieuse fascination pour la mort. Vanessa comprend vite que je suis pas d'humeur et tente de me faire un massage des épaules pour me détendre. ça fonctionne pas. "Hannah, qu'as-tu appris aujourd'hui?" "Plein de choses gap!" "Monsieur!" "Pardon, plein de choses Monsieur." "Bien, nous verrons plus tard, je suis pas d'humeur" "Encore? Non mais je viens pourquoi moi? Sérieusement, ça te ferait chier de t'occuper de moi? Je fais tout ce que tu dis, et ta seule réponse, c'est me renvoyer chez moi." Je retourne vers la table, où ton papier griffonné est encore là. Je le jette par terre avec le stylo. "Note Hannah! Vite avant que je change d'avis" Tu te lèves du canapé, t'assois par terre et attends. "Je..... soussignée, Hannah, accepte trois expériences. Une basée sur le physique, une basée sur le psychologique et une basée sur le sexuel...... Je déciderai après si oui ou non et comment je souhaite que la relation évolue..... C'est écrit? Oui alors signe!" Tu le fais, te relève et m'apporte la feuille, me la tends. "Voilà, t'es content. Tiens ta putain de feuille." Tu vas pour partir, et je te rattrape par le cheveux, tire dessus pour te ramener où je veux dans le salon. En te tirant sur les cheveux pour te garder la tête haute, je te dis: "A poil! Vite!" Tu t'exécutes non sans un regard de défiance. Je te jette par terre, te maintiens la tête au sol avec un pieds, de manière à ce que ton cul soit relevé. J'enlève ma ceinture en cuir. Vanessa dans un coin. Le premier coup s'abat. Il est doux. "C'est tout?! je m'attendais à pire" me dis-tu. Je souris. Attends, ca va venir. 2...3...4...5 coups atterrissent sur tes fesses. De plus en plus forts. Tu ne bouges presque pas. 6...7.... coups. Tu ploies une première fois. J'entends ta respiration s'accélérer, devenir plus profonde. 8 coups.... tu ploies encore. Revenir à ta position devient plus dur mais toujours pas un mot, rien. Je fais le tour, je te vois serrer les dents. Une forme de "non, je lui donnerai pas ce plaisir". 9 coups.. un petit son sort enfin de ta bouche. "En place! Dépêche toi! " 10 coups et tu t'affales sur le sol. Tu reviens difficilement à ta position. J'arme à nouveau le bras. Là, j'entends ta respiration se saccader, renifler comme si tu pleurais. J'arrête, jette la ceinture à Vanessa qui regarde sans rien dire. Je te relève, tu me dis "fini?" "Oh non rassure toi, j'ai pas encore fini avec toi". Un petit rictus sur ma bouche. "Ton insolence de tout à l'heure mérite sanction. Mets toi droite mains sur la tête!" Je prends des pinces à linge et une corde. Je joue avec. Pose une à une les pinces en prenant soins de faire passer la corde dedans. "ça va, tout va bien Hannah?" "Oui c'est pas terrible, je m'attendais à pire" "Attends, le plus dur reste à venir". Tu as des pinces du bas des aisselles aux hanches de chaque côté. J'ai les deux cordes dans les mains. Je joue avec. Puis soudain, je tire fort. Les pinces sautent une à une. Je t'entends enfin crier.  Une fois la dernière pince enlevée tu t'effondres sur le sol. Je prends une bombe de froid et l'applique sur tes côtes. "Vanessa va chercher les poches de froid s'il te plaît". "Hannah montre moi tes fesses" Je t'applique les poches froides sur tes fesses. Nous restons là, prostrés par terre, un long câlin s'en suis. "ça va? Comment te sens-tu Hannah?" "ça va, douloureux, mais ça va." "Garde les poches, vu tes fesses bleu violacé, tu en auras besoin" "Merci" "Merci Monsieur, on dit!" "Merci Monsieur" Tu te rhabilles non sans mal et tu pars. Deux jours après, j'ai un message "Bonjour Monsieur, j'ai encore les fesses en feu, j'aime bien mais c'est douloureux, merci pour les poches Monsieur". "C'est que le début Hannah, c'est que le début." Acte 5 Mon téléphone sonne. Il est 7h45 du matin, nous sommes mardi. Hannah a une voix mi-affolée, mi-stressée. "Hannah, qu'est-ce qu'il se passe? Pourquoi tu m'appelles à cette heure-là?" "Bonjour, désolée Monsieur, ma voiture ne démarre plus, et je dois absolument être à la fac ce matin." "On se calme, ça va aller, laisse moi le temps de m'habiller, j'arrive" Je te dépose à la fac. Tu m'indiques l'heure pour venir te chercher. Moins de deux heures plus tard, tu m'appelles à nouveau. "Je suis dehors, peux-tu venir me chercher?" "Comment ça tu est dehors?" "Oui, je me suis faite virer du cours" "J'arrive" Sur les lieux, je te trouve devant le bâtiment principal. Je suis furieux, qu'as-tu bien pu faire pour te faire virer. Tu me dis à nouveau bonjour avec le sourire... Je te réponds même pas. Je t'attrape par le bras et te tire comme une enfant à l'intérieur. A l'accueil, je demande à parler à ton professeur. "tu vas parler avec mon prof? Non mais...." "Je suis pas d'humeur. Tais toi, ou c'est pas juste tes fesses qui seront violacées cette fois-ci" Nous sommes assis sur les fauteuils de l'entrée. 10 mins d'attente. Le hall ressemble à un hall de théâtre. C'est un ancien bâtiment. Une immense pièce de laquelle arrivent et partent des couloirs, des escaliers, et des passages surplombants le hall. Le prof nous rejoint enfin. Tu t'écrases dans le fauteuil, en essayant de te faire la plus petite possible. "Bonjour Monsieur, je suis le professeur de droit du commerce, puis-je savoir qui vous êtes?" "Bonjour Monsieur, je suis son frère. Puis-je savoir pourquoi Hannah a été virée du cours ce matin?" "Hannah répond, elle a été insolente, et a même décidé de danser en plein cours." Surpris et consterné, la conversation se poursuit. "Pardon?! Elle danse en cours?" Je me tourne vers toi, avec un regard froid et noir. "Tu danses en cours? Tu plaisante j'espère?...... Bah lève-toi et danse alors!" Ton prof intervient "Non mais je ne crois pas que ce soit la peine maintenant." "Si monsieur, c'est la peine justement, montre-moi, lève-toi tout de suite et danse." "Je vais pas danser dans le hall, devant tout le monde et mon prof" "Si si tu vas danser dans le hall, devant ton frère et devant tout le monde, comme tu l'as fait devant toute ta classe..... Lève-toi et danse, vite, je vais pas te lâcher!" "Mais.... gap?!" "Y a pas de Gap! Fallait y penser avant à Gap. Lève-toi et danse! Allez!"   Ton prof nous regarde, hébété, on sent qu'il est mal à l'aise, qu'il ne sait pas trop quoi dire ou comment réagir. "Tu attends quoi Hannah? Danse! Tu veux quoi? Que je te mette de la musique? lève toi et DANSE!" Tu te lèves, alors que tout le monde m'a entendu lever la voix, tous les regards sont sur nous et sur toi. Tu te dandines, rouge de honte, ça ressemble à rien. Ton prof est désemparé, il te regarde affligé. "Ah ben voilà! c'est bien ça! Bien, t'a le rythme, du talent! Donc au lieu d'apprendre le droit, toi, tu danses?! En plus pour danser comme ça? Allez, rassieds toi Hannah, tu me fous la honte! Tu a intérêt à bosser tes cours, parce que dans un mois, je vais revenir et je voudrais voir l'ensemble de tes professeurs, savoir ou tu en es!" Ton prof intervient à nouveau. "Monsieur xxx, je pense qu'Hannah est intelligente et... " Je le coupe et ne lui laisse même pas finir sa phrase. "Intelligente? Elle confond cours de danse avec cours de droit, c'est de l'intelligence ça?" Fin de la conversation , je te fais signe qu'on y vs. Nous sommes sur le chemin du retour, après un long silence... Je reprends la parole. "Ah tu veux danser? Crois moi, je vais te faire passer l'envie de danser, des moments non appropriés!" Nous voilà le soir, tu as des sous-vêtements sexy assortis et une robe que Vanessa t'a prêtée. Tu ne le sais pas encore, mais la particularité de cette robe, c'est que le fil de couture est conçu pour casser sans abîmer la robe. Les fils qu'utilisent les stripteasers. Nous sommes dans le pub, une immense table centrale, la soirée avance, l'alcool coule à flot autour de nous. Deux femmes montent sur la table et dansent. "Rejoins les! Monte sur la table et danse!" Je t'accompagne, m'assois devant à la table devant toi. Je te regarde danser, toute timide. Au bout de 2 minutes environ, je me lève, attrape et tire sur le bas de la robe. Comme prévu, elle se déchire aux coutures. Tu te retrouves à moitié nue devant tout le monde. Les hommes te sifflent, ça crie, ça s'amuse de te voir en petite tenue. 7 mecs autour de toi éclatent de rire. Deux d'entre eux, par empathie et bienveillance te font descendre et te ramènent à notre table. Vanessa te tend son manteau long, nous partons. Dans la rue, tu cries, tu m'insultes, tu laisses éclater ta colère. Je marche sans rien dire. Une fois dans la voiture enfin je daigne te parler. "Tu as encore l'envie de danser Hannah?" "Non c'est bon!" "Bien" "T'es fou! Il aurait pu m'arriver n'importe quoi. Ils étaient tous bourrés, t'aurais fait quoi s'ils avaient été plus loin?" "Hannah, je ne mets jamais en danger ma soumise. Ce que tu ignores, c'est que les 25 mecs qui étaient présents autour de la table, je les connais, c'est mes coéquipiers du Hand. Ils savaient très bien ce que j'avais prévu pour toi. Je doute que quelqu'un ose venir te toucher s'il voient 25 gars allant de 1m70 à 2m10 te protéger, ce qui a été le cas. Autre détail que tu ignores, je connais le patron et les videurs, depuis le temps que je viens ici." Un long silence.... tu regardes dehors, la mine toujours en colère. J'en rigole. "Je ne pensais pas que le volet psy allait arriver si vite! Comment te sens-tu?" Une longue, très longue discussion terminera notre nuit. Elle partira du sentiment de colère pour en arriver au sentiment d'excitation d'être exposée à des inconnus. Acte 6 Je passe chez toi, te livrer un colis. Tu m'accueille en m'offrant un café. Tu me demande ce qu'il y a dans la boite. Je te la tends et te dis de l'ouvrir. Il y a, 3 plugs (S, M, L), un tube de gel lubrifiant, et un gode (M). "Qu'est ce que je dois en faire Monsieur?" "A ton avis Hannah?" "J'aime pas la sodomie, c'est hors de question!" "Tu a déjà pratiqué Hannah?" "Non, pas vraiment, ca m'attire pas." "Alors comment peux tu savoir que tu n'aime pas? Moi je serais toi, je prendrais le temps de porter les plugs. Dans 9 jours, que tu aime ou pas tu y aura droit." Un soupire de ta part et puis "Et le gode? Il sert à quoi?" Je te montre ma gorge et te rappelant ce que tu avais vu dans la cuisine avec Vanessa. Je te vois déglutir. Tu ne dis rien, mais je ne peux m'empêcher d'avoir un petit sourire en coin. "Ah dans 9 jours Hannah, amuse toi bien avec tes nouveaux jouets!" Tic, tac, tic, tac..... Les 9 jours sont passés. La soirée est arrivée. Nous dinons. Tous les trois. Un longue conversation est abordée. Vanessa t'explique que c'est sa dernière soirée. Elle a rencontré quelqu'un d'autre, elle souhaite revenir à une vie vanille. L'homme en est question, est disposé à lui offrir ce que je ne souhaite pas. Une vie vanille avec perspective d'enfants. Je l'ai accepté sans trop de difficulté. Je savais que le temps était compté entre nous. Il y a toujours un petit pincement au coeur mais ainsi va la vie. Le repas est fini depuis un moment déjà. La digestion devrait être passé. Il est temps d'avoir la 3e et dernières expériences. Vanessa t'entraine dans la salle de bain. Elle va te préparer. Vous revenez environs 20 mins plus tards. Vous etes en string, bas, porte jarretelle, soutiens gorges, coiffées, maquillées. J'admire la vue, en buvant mon déca. D'un signe du doigts je vous demande de vous tourner. Je constate que vous portez toutes les deux un rosebude. Je bouge pas du canapé, cela te surprends. Ce que tu ignore, c'est que Vanessa avait été briefé avant. Elle savait ce qu'elle devait faire. "Vanessa.... à toi l'honneur. C'est ta dernière soirée, profites en." Vanessa part et revient avec dans les mains une caisse. Elle l'ouvre, attrape un foulard/bandeau noir en satin. Elle te bande les yeux. Elle te retire ton soutiens gorge, non sans se laisser à quelques caresses. On sent que ca te perturbe un peu. Vanessa, te fixe les mains dans le dos au moyens de deux entraves en cuir. Puis plus rien ne se passe. Le temps que j'installe à terre, un sur matelas et un plaise à franges longues. C'est doux et agréable. Vanessa te guide, t'allonge, et te retire ton strings. Tu est nue, allongé, les yeux bandés, à attendre. Il est temps de découvrir si tu a un coté bi..... Un clin d'œil à Vanessa comme top départ. Elle retire à son tour son string, et se positionne de façon à entourer ta tete entre ses cuisses. De cette facon tu a son sexe coller à la bouche sans pouvoir tourner la tete pour l'éviter. On entends des murmures étouffé, comme des protestations. Rien de ne passe, tu refuse il semblerait. Je me lève, prend un magic wand, le branche et le donne à Vanessa. Elle se relève le temps de te laisser respirer puis se repositionne. Elle s'en amuse. Tanto le pose sur ton clitoris, tanto l'enlève, elle joue aussi avec les vitesses... 3 mins se passent, et te voilà à gémir, ton bassin commence à bouger, à osciller. Doucement... Petit à petit les mouvements s'accélèrent, deviennent plus brusques. Vanessa se positionne mieux. Se relève légèrement pour qu'il te soit plus facile de lui lécher la chatte. Les premiers coup de langues partent, Vanessa gémi à son tour..... Je vous regarde, admire le spectacle offert. Un cri de jouissance forte sort de ta bouche Hannah. "Mince je me suis fais pipi dessus" Je rigole... "Assez joué entre vous les filles, à mon tour maintenant". Je me met nue aussi et vous rejoins. Vanessa t'aide à te relever, et te met à genou. Elle te place mon penis à l'entrée de ta bouche. Tu commence par lécher goulument, puis me suce. j'attrape tes cheveux et gère le rythme des va et viens, parfois soft et parfois je pouce pour que cela rentre plus profond. Tu éructe, bave, crache, tousse. Je te laisse respirer et reprendre ton souffle puis revient à la charge.... Puis j'arrête, je fais le tour, te pousse en avant. Les fesses en l'air, je te retire le rosebude. Je récupère la bave qui dégouline encore de ta bouche, humidifie ton anus. Je joue avec, le caresse, enfonce délicatement un doigt, puis deux, puis trois. Parfait tu est "ouverte". Préservatifs mis, et gel mis je te demande "Hannah, est tu prête?" "Non mais je ne le serais jamais donc allons y" Je me lance, je pénètre ton cul, doucement, il faut forcer un peu..... une fois dedans j'attends quelques secondes que tu t'y fasse. Puis les va et vient commence doucement, pour petit à petit aller crescendo. Dans un reflexe, je chope le magic wand qui traine, et te le colle sur le clitoris. Les mouvements sont de plus en plus fort, tes fesses claques sur mes hanches. Tu grogne, râle, gémi, tout ca en meme temps. Je fini par décharger dedans. Enfin. Ma libération. Je me retire en te laissant le magic wand posée. Tu gémis de plus en plus fort. Un cri de plaisir et puis "Stop, j'en peux plus" arrive. Nous finissons les trois allongée sur le sur matelas. Nous parlons, nous faisons notre aftercare sereinement. Il parait que tu a aimé, malgré le coté désagréable des premiers instants.  
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Par : le 13/03/25
Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.  Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose. ***************************************************************         On va dans une grande pièce surchargée de décorations. Je m’attends à voir un gros Sultan, mais non, il s’agit d’un homme mince de grande taille avec une barbe bien taillée. Mon esclave africaine est déjà à genoux et elle dit :      — Voici la nouvelle odalisque, Maître.      Il répond :      — Propre ?      — Oh oui Maître.      — Vous allez bien ensemble.      Tout le monde parle français, mais une IA transforme ces dialogues presque en temps réels, dans les langues des pays où les images sont envoyées. En ce qui concerne la vraisemblance, on est à Topkapi, bien sûr. Il y a le Sultan, ses femmes, son harem de filles achetées ou reçues et puis les odalisques : moi et les autres Occidentales, nous sommes des cadeaux aussi. Et puis les eunuques, les gardes… Le Sultan entr’ouvre son vêtement et me dit :      — Montre-moi si tu as une langue habile.      Ça, je connais et je crois que même il y a quelques siècles ou millénaires, les esclaves léchaient de la même façon. Monsieur Edgard se rapproche pour filmer dans le bon angle. J’embrasse les couilles du Sultan, puis je suce et je lèche son gland. Il réagit fort, pourtant il a de la "matière première" pour se faire lécher autour de lui.       Eh Fanny ! C’est pas le vrai ! Qui sait, peut-être qu’à un moment, une IA nous enverra au 16ème siècle. Oui, je sais, je joue. Monsieur Edmond vient me dire à l’oreille :      — Plus de passion, Fanny.      — Oui, oui…      Je fais un gros effort pour sucer la bite de cette grande asperge. Il ressemble autant à un Sultan que mon trou du cul ressemble au Président des Etats…       — FANNY !!      C’est Yao qui vient de crier mon nom. Comment sait-il à quoi je pense ?? L’IA a sans doute gardé tout ce que j’ai écrit et elle connaît mes goûts. Elle veut me sauver, parce que de nos jours il vaut mieux ne pas se moquer ou dire du mal des nouveaux dictateurs.       Le Sultan crie :      — O köleyi kırbaçla.       Je souhaite que cela signifie « Apportez-lui une grande glace avec de la chantilly. » Hélas, je pense que ça veut dire « Fouettez cette esclave ».       Un grand Noir costaud vêtu d’un pagne arrive, il n’y a pas de glace dans sa main, mais un fouet. Je commence à gémir et supplier, Yao vient me prendre par un bras en murmurant :      — Crie… l’IA va renforcer tes marques.      Oui, mais j’en aurai quand même ! Je gémis et je crie « Pitié, je... ». Un autre garde vient l’aider. Ils attachent des cordes à mes poignets. Yao me murmure à nouveau :      — Crie plus fort.      Pour être sûr que j’ai bien compris, il me file une bonne claque sur les fesses. Il y a des murmures parmi les spectateurs qui sont censés se taire. Je suppose que les followers veulent me voir d’abord fessée sur leur site, hélas. Je me retrouve en travers de ses cuisses, les fesses en l’air. Il prend mon poignet droit de sa main gauche et il me caresse les fesses. Ça, ça va. Hélas, il lève le bras et sa grande main vient aplatir mes fesses. Il y a des exclamations et des murmures parmi les spectateurs. Moi je crie, je supplie, je gémis même :      — C’était pas prévu...!      Mais l’IA me fera dire autre chose. Yao me donne certainement une bonne vingtaine de claques. Je suis sûre que mes fesses ont la couleur du soleil couchant par grand vent, sur la mer Rouge.      Yao pose la main sur mes fesses en disant :      — Un peu de fouet et tu seras prête à sucer convenablement.      — Noooon... je jure que…      Il me remet sur mes pieds et je frotte mes fesses brûlantes, tout sera faux soi-disant. Mes fesses brûlantes et mes larmes, elles sont fausses ?      Yao doit être en contact avec avec le groupe « Fanny et ses fesses ». Oui, j’invente mais je ne dois pas être loin de l’intitulé. Les deux gardes de tout à l’heure viennent m’attacher par les poignets à deux chaînes suspendues au plafond. Ils attachent aussi mes chevilles à des anneaux dans le sol, qu’ils ont redressés. Mes jambes sont très écartées. Je crie :      — Je sucerai du mieux que je peux !      Yao dit :      — Évidemment que tu suceras, mais il faut t’apprendre à obéir vite et bien.      Il ajoute :      — Faites-la monter.      Monter où ? Je finis par former un grand X, mes pieds étant à 50 cm du sol. J’ai vraiment mal aux poignets et Yao fait claquer quelques fois son fouet dans le vide. Franchement, j’ai peur.             Je crie, je supplie, c’est un peu le rôle mais beaucoup la réalité. Le fouet claque sur mon derrière. Il fouette mes fesses depuis sous le coccyx jusqu’à la pliure où les fesses et les cuisses se rejoignent, l’endroit que les anglophones appellent le "sit spot".      Il termine en me frappant entre les cuisses sur le sexe qui n’a même pas de poils pour se protéger. Yao me demande :      — Dis-nous si cette punition va te faire obéir strictement.      — Ouiiiiii !!! Je vous jure, Maître.      Les gardes viennent me détacher. J’ai mal aux épaules, aux fesses, à la chatte… Yao me dit :       — Maintenant tu vas me remercier de t’avoir donné une bonne leçon.      Je gémis :      — Merci… Maître… Je vous obéirai toujours… et…      Il ouvre son vêtement et il me propose une bite qui ferait peur à un éléphant femelle. Je ne peux pas l’engloutir, donc je la tète comme un agneau affamé tète le pis de sa mère qui est partie se balader trop longtemps avec les béliers du troupeau…        Yao ne m’envoie pas ses giclées de lait, mais oui, vous savez bien, la comparaison avec une brebis, au lieu de ça il me repousse.       Le Sultan dit :      — Ce soir, elle viendra avec les autres Blanches. Azra vient la chercher et  explique-lui comment faire.      Azra, la jolie Noire, répond :      — Elle saura ce que vous aimez, Maître.      Elle me tend la main. On sort, suivies par Monsieur Edgard et son appareil photo super perfectionné. On va dans une grande pièce où il y a certainement une vingtaine de lits les uns à côté des autres. Elle ouvre la main et je vois une pilule. Elle me dit :      — Avale, ça va calmer tes douleurs.       Je ne crois pas que ce soit un poison, je l’avale. Azra me dit :      — Ici, tu dois obéir et ramper devant le Sultan.       La pilule me fait déjà de l’effet, je me sens presque bien et puis elle a la façon de faire qui me plait. Elle ajoute :      — Couche-toi sur le dos, pour que je puisse m’asseoir sur ton visage, on m’a parlé de l’agilité de ta langue.      Je réponds :      — Oui, Maîtresse…      C’est l’effet de la pilule… non, c’est ce que j’aime et paradoxalement, ce qui m’excite : être aux pieds ou sous les fesses d’une jolie fille.       Je me couche sur le dos. Elle se met debout au-dessus de ma tête, puis son derrière, ravissante lune noire, vient se poser sur mon visage. De la façon dont elle s’est mise, je la sodomise avec mon nez, qui est pourtant petit. Elle sent trop bon, rien à voir avec le rôle de cet endroit. Elle a une odeur naturelle, sauvage… Heureusement qu’elle est assise sur mon visage, sinon je m’envolerais vers le 7ème ciel… Ce n’est plus la méchante sorcière de l’Ouest qui flotte au-dessus de moi, mais une ravissante fille de la savane qui sent un peu le fauve du côté des aisselles et le poisson du côté du sexe, comme toutes les sirènes…      Je me décale un peu sous elle pour pouvoir la violer, façon de parler, avec ma langue qui a plongé dans le sexe de la sirène.       Oui, chère lectrice du futur, je suis une primitive et les odeurs ont une très grande importance pour moi.      Ma belle sirène noire jouit dans ma bouche, c’est la Sultane du harem et moi je suis son esclave favorite. Quand elle a joui, elle frotte sa chatte sur mon visage en disant :      — Je marque mon territoire.      Oh oui, je suis à elle, à sa chatte… Hélas, elle bouge et elle quitte son sex toy… Je suis abandonnée, sa chaleur, ses odeurs, la douceur de sa peau et même l’âpreté de ses poils… Je me retrouve démunie de tout. Ma sirène, je suis ta mer, reviens…       Yao me dit :      — Relève-toi… et remercie ta sirène.      La pilule ne me fait plus d’effet depuis un moment, alors, lucidement je me dis « comment il sait que je l’appelle ma sirène ? » J’ai dû dire des choses à haute voix. Je dois la remercier de m’avoir envoyée au 7ème ciel. Yao lui dit :      — Assieds-toi.      Elle s’assied dans un fauteuil et croise les jambes. Je me mets à genoux et j’embrasse son pied. Oui, lectrice imaginaire d’un futur hypothétique, j’aime les pieds des filles qui viennent de s’asseoir sur mon visage.      Azra rit parce que ma langue la chatouille en glissant entre ses orteils. Elle me dit :      — Je suis la Sultane noire et tu es mon esclave favorite.       Yao me dit :      — Tu sais y faire, toi !      Je panique tout de suite, je n’ai plus le nez dans le cul de ma sirène noire et je suppose que j’ai fait une bêtise. Je lui dis :      — Qu’est-ce que j’ai fait ?      — Rien de mal, au contraire, les followers raffolent de te voir lécher le cul d’Azra… On va même devoir un peu modifier le scénario.       Il s’approche d’Azra et lui parle à l’oreille un bon moment. Elle hoche sobrement la tête en disant :      — Facile… et logique.      Elle me dit :      — Tu sais qui je suis ?      — Non Maîtresse, vous me plaisez... c’est tout ce que je sais.      — Et tu connais ma fonction ici ?      — Non… euh...       — Je m’occupe des odalisques. Le Maître a trouvé amusant que les Blanches d’Europe soient sous les ordres d’une Africaine. Bon, on va manger.      Elle me regarde et ajoute :      — Et toi, tu sers les filles.      Mais j’ai faim, moi ! Ça, je le pense, mais je ne le dis pas. On va dans les cuisines qui sont immenses. Il y a une dizaine de filles blanches vêtues de voiles transparents. Ce sont des odalisques. Elles sont debout derrière une chaise. Azra leur dit :      — Les filles, voici votre servante. Elle doit vous obéir. Asseyez-vous.      Monsieur Edmond est discrètement dans un coin. Il filme et photographie. Des servantes viennent apporter une série d’assiettes de nourriture et c’est moi qui dois les mettre poliment devant les odalisques. Elles sont toutes blanches et elles sont des cadeaux que ses visiteurs ont faits au Sultan. Quand j’ai mis une assiette devant toutes les filles, Azra leur dit :      — Vous pouvez manger.       Je regarde les filles manger avec une cuiller. Elles sont originaires de toute l’Europe, depuis une blonde nordique jusqu’à une très brune sicilienne ou grecque.      Qu’est-ce qui va plaire aux… gens maintenant ? C’est que je salive en les voyant manger ? Azra me dit :      — Tu peux mendier… comme une chienne.      C’est-à-dire ? Ah oui : je me mets à quatre pattes et je vais gémir à côté d’une Norvégienne. Je la regarde en gémissant. Elle pousse un gros soupir et remplit une grande cuiller de semoule qu’elle verse sur le carrelage. Elle dit :      — Attends que je te donne la permission.      Elle met ses pieds dedans et les redresse en disant :      — Uniquement ce qui est sur mes pieds.      La semoule est très collante et il y en a beaucoup sur la plante de ses pieds et même entre ses orteils. Le sol de la cuisine est sale et les pieds de la fille aussi, sous la semoule. J’ai faim et j’avoue que l’odeur des pieds ne me coupe pas l’appétit. Je mange sur ses pieds. Ensuite des fruits sortant d’une chatte blonde ou brune. Ça amuse beaucoup les filles. L’une d’elles me dit :      — Couche-toi par terre sur le dos.      Quand c’est fait, elle me dit :      — Tu aimes les fruits, petite odalisque ?      — Oui, Maîtresse.      — Ouvre la bouche.      Elle vient s’accroupir au-dessus de moi, la main sur la chatte. J’ai compris, elle enlève sa main et une demi-banane tombe de sa chatte dans ma bouche. Ça fait rire toutes les filles. Je ne vais pas dire que j’adore ça, mais il y a pire. Une autre fille vient me faire manger des gros grains de maïs, mais elle ne les a pas mis dans sa chatte. Là, c’est dégoûtant, je regarde Azra, avec toute la détresse du monde dans les yeux. Elle hausse les épaules. Pour elle, c’est rien. La fille suivante vient me mettre un alcool de fruit dans la bouche. Je l’aime, bon, elle me crache aussi dans la bouche, mais sa salive me plaît également.      Yao annonce quelque chose à Monsieur Edgard. Il vient vers moi en disant :      — J’ai une autre mission Fanny, on se reverra.       On s’embrasse et il s’en va… À suivre. Merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 13/03/25
Je viens , aujourd'hui , vous livrer une partie de mon histoire , simplement , sans polémiques , juste pour partager ces expériences ! j'ai eu le bonheur ( peut étre trop tot ) d'étre déniaisé par ma prof de français , alors que j'avais 12 ans , par le biais du prét d'un livre " le blé en herbe " , sur lequel elle m'a apporté un éclairage et une vision de ce que pouvais offrir une femme mature ( 45 ans ) a un jeune puceau a peine pubére ! Grace a cette femme , j'ai tout découvert des plaisirs du sexe hétéro , je n'étais pas , évidemment , encore dans les fantasmes bdsm mais petit a petit elle m'y emmené , elle m'a fait découvrir les plaisirs de la soumission , de l'offrande , de la vénération , elle m'a souillée et j'ai adoré , elle m'a cravaché jusqu'a avoir les fesses rouges vif et j'en ai joui , elle m'a fait découvrir les plaisirs de la pénétration et je me suis offert a tous ses désirs les plus pervers ! Alors oui , c'était surement trop tot , oui elle était a l'évidence pédophile mais quelles expériences j'ai vécu grace a elle , quels plaisirs insoupçonnés j'ai découvert , quelles jouissances j'ai obtenu grace a sa maitrise du corps des hommes ! Le petit garçon que j'étais est devenu en 1 an de cours particuliers ( en français , alors que j'étais d'un bon niveau , mes parents n'ont jamais compris pourquoi elle me recevait ) un trés jeune homme , adepte des plaisirs du sexe , et malheureusement un peu trop en avance pour les autres gamins du méme age , je ne pouvais pas partager mes expériences , discrétion oblige , je ne pouvais pas demander a mes petites copines des pratiques sommes toutes vanille sans les éffrayer . bref j'ai étais longtemps frustré d'avoir découvert si tot ces plaisirs et d'en étre privé le temps que les jeunes de mon age m'aient rattrapés ! je reste souvent ébahis du manque d'ouverture d'esprit , du blocage , du rejet des adultes de mon age devant les pratiques sexuelles perverses , aprés tout , ne sommes nous pas entre adultes consentants , ou tout devrait étre possible sans fausses pudeurs , sans chichis , oui ou non tout simplement . Vous me plaisez , je vous plais , profitons de la vie ! Merci d'avoir pris le temps de me lire . Je vous présente mes salutations bdsm . Philippe .
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