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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Samedi 19 Octobre
Une semaine de passée depuis la dernière entrée de ce journal, une semaine marquée principalement par mes exercices de dégustation et ma recherche de testicules à vider pour cet entraînement, ponctuée par quelques séries de claques sur mes couilles de soumis, au bon plaisir de ma Maîtresse Pandora comme pour un rappel à l'ordre de mon appartenance envers elle et l'excellence que je me dois d'avoir envers sa divine personne.
Bien que n'ayant pas pu encore concrétiser ces mises en bouchen, plusieurs contacts depuis le début de ma recherche, sans pour autant avoir un afflût de profiteurs avides et peu respectueux, la plupart de ces contacts ont l'air sérieux et me motivent d'autant plus à me lancer dans cet acte q'est la fellation ...
Et que dire ... ce fantasme inavoué pendant longtemps, additionné à mes dégustations récurentes depuis ces nombreux jours passés maintenant sous le dressage de Maîtresse Pandora ... ma Maîtresse Pandora a réussi ce que je n'aurais jamais pu imaginer il y a encore quelques jours,, transformer ce fantasme en envie, presque irrépressible, voire totale à l'heure actuelle, de pouvoir me retrouver un sexe d'homme en bouche, le suçant langoureusement, y prélevant la moindre goutte de sa semence avec gourmandise ... serai-je à la hauteur ? en tout cas tel est le but de cette transformation, pouvant satisfaire pleinement les désirs futurs de ma Maîtresse Pandora. Une certaine impatience me gagnant même aujourd'hui à concrétiser ces rencontres ...
Un évènement intéressant a marqué la journée d'hier: un thérapeute, vidéaste, avait pris contact avec ma Maîtresse quelques jours auparavant, désireux de s'entretenir avec l'un de ses soumis. En attente aujourd'hui de son article, l'entretien fût cordial et portait principalement sur les rapports dominant/soumis ... n'étant que récemment au service de Maîtresse Pandora, peut-être ne pouvais-je prétendre être le meilleur soumis auprès de qui se renseigner (j'imagine que ce thérapeute a du s'orienter vers plusieurs profils différents), mais c'est avec honnêteté et sincérité que je répondis à ses questions, mettant en avant la relation très positive et de respect que j'ai avec Maîtresse Pandora, me basant sur ma propre expérience de soumis.
Aujourd'hui, je compte donc entretenir mes contacts, espérant trouver le meilleur moment pour concrétiser mes exercices, mais avant cela, une demi-heure de méditation sur ma condition de soumis, à la demande de ma Maîtresse Pandora; en me caressant tout du long de cette médiation, ce sans aller jusqu'à l'éjaculation.
Dressage à suivre ...
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Nos deux personnages ont longuement echangé par message mais ne se sont encore jamais vu, pas même en cam.
Vous comprendrez le titre de cette histoire dans une prochaine partie.
Ymer White
Le jardin
Partie 1 : Premier rendez-vous
Après tous ces échanges de présentation fastidieux et classiques. Ces nombreux messages pour faire connaissance et déchiffrer les attentes de chacun sur les sites de rencontre.
Après tout ce tri de messages qui deviennent des agressions masculines quand on est une femme soumise ou non.
Après tous ces faux profils qui demandent de l’argent à un moment donné quand on est un homme.
Après toutes ces désillusions de ceux ou celles qui vous faussent compagnie sans dire au revoir et sans aucun prétexte. Certainement les mêmes qui vous posent une question dans une soirée et qui n’attendent pas la réponse pour partir discuter avec une autre personnne.
Après toutes ces frustrations provoquées par la malhonnêteté de ceux ou celles qui vous tiennent en haleine pendant une semaine, (rarement plus) et qui ne sont venus que pour s’émoustiller un peu.
Après s’être rassuré quant à la réalité et l’existence de la personne qui se cache derrière le pseudo. Souvent très difficile à faire pour des raisons de confidentialité et de sécurité disent-ils ou elles.
Alors qu’enfin, on pense avoir rencontrer une vraie personne. Et que les désirs commencent à faire leurs œuvres.
Que les sentiments naissants poussent à la confidence, l’addiction fait son chemin. Les messages sont attendus avec impatience et anxiété. Les ventres se nouent sans s’être vu, ni touché. L’angoisse de perdre l’autre devient prégnante, Après tout ce que l’on s’est dit, tous ces sujets abordés. Toute cette intimité dévoilée. Deux mois d’échanges avec un rythme qui s’est accéléré et qui devient effréné. Il faut maintenant se décider, faire le pas, vite se rencontrer. Cela devient difficile de travailler. De vivre à coté tout simplement. L’esprit devient tout occupé à cet (te) inconnu (e) virtuel(le) avec qui on partage un autre monde.
Le mobile posé à côté du clavier pour elle, affiche les notifications sur l’écran avec cette petite sonnerie qu’elle lui a choisie pour différencier l’arrivée de ses messages. Ses collègues commencent à sourire à chaque fois que l’écran s’allume et frétille. Elle se jette dessus comme une goulue qui a déjà besoin de sa dope. Elle a envie de lui faire sa demande. C’est à elle de le faire. C’est lui qu’elle veut comme maitre. L’univers qu’il lui propose, sa façon de voir la relation, lui convient. Mais elle n’a que deux photos de lui. Peut-être des photos qui ont dix ans. Comment va-t-elle le reconnaitre. Va-t-il lui plaire ?
Pour lui, entre une réunion client et une réunion avec son équipe, cela devient de l’impolitesse et cela frôle parfois l’irrespect… Mais c’est plus fort que lui, il a besoin d’elle maintenant pour avancer. Il le sait, c’est elle qui va le compléter, qui va l’accompagner. Si cela se trouve c’est encore un brouteur africain, qui se fait passer pour ce qu’il veut entendre. Et si elle vient vraiment à ce premier rendez-vous va-t-elle lui plaire ? Évidemment les deux photos qu'elle a envoyées sans montrer son visage sont magnifiques. Certainement des photos de vacances où le corps rayonne.
La première rencontre est convenue vers 14.00 heures dans un café de centre-ville.
S n’a aucune contrainte vestimentaire. Elle doit faire selon sa nature, son statut et la façon qu’elle imagine devoir s’habiller pour vivre sa relation M/s en toute sérénité.
Il va sans dire que c’est totalement nouveau pour S. Elle se décide à franchir le pas. Elle est en ébullition, entre excitation et anxiété.
Cela a été plus fort qu’elle, même si elle a longtemps résisté. Elle a visité les sites dédiés à la domination et à la soumission. Elle a fait des dials avec des personnes qu’elle n’a jamais rencontrées.
Cela fait des années qu’elle fantasme sur ce thème, malgré un mariage réussi et une vie de famille tranquille et réglée dans le respect des conventions. Un amour qui s’est transformé en affection mutuelle. Des ados qui finissent de saper son couple tranquille. Elle a un travail qui la comble, des responsabilités professionnelles et familiale, son cerveau est en ébullition.
Mais, il y a un mais.
D’où vient ce besoin de glisser dans cet imaginaire à en rêver la nuit ? ou à ne pas en dormir.
D’où vient cette attirance pour la soumission ?
Pourquoi ce désir de se donner à un ou une autre ? Qu’est ce qui lui manque ?
Se faire diriger, punir comme lorsqu’elle était enfant. Se sentir protégée, en sécurité lorsqu’elle se donnera ? Et peu importe que ce soit avec une femme ou un homme. Car elle est certaine de vouloir une autre vie, un autre univers, une autre intimité, d’autres règles qui régiront sa vie. Elle est prête à faire ce qu’on lui demandera de faire.
Enfin elle ne sait plus... Elle se persuade qu’elle ne refusera pas les caresses d’une femme pour la mener à l’extase. Elle ne s’est jamais senti Bi pourtant.
Tout cela affole et chahute son quotidien et son éducation.
C’est une remise en question de beaucoup de ses certitudes. Une remise en question de ses interdits, des conventions sociales, de son éducation. Où va-t-elle s’arrêter, si elle franchit le pas ? Le pourra-t-elle ?
A la maison c’est elle qui gère.
Mais là, dans cette relation qui se présente, elle retrouve sa nature profonde. Sa fragilité et ses forces aussi. Son désir reprend sa place. Sa nature commence à crier. Un besoin de vivre autre chose la tiraille. Elle a l’impression de reprendre la main sur son destin et en même temps de partir à l’aventure.
La lumière du café baignait la salle d'une ambiance à la fois chaleureuse et mystérieuse. Au fond, une musique douce et sensuelle flottait dans l'air, créant un cocon propice aux confidences. Quelques clients du service de midi étaient encore attablés. C’est vendredi, l’ambiance est plus décontractée. Le soleil d’octobre fait de la résistance. Une chaleur douce presque estivale donne l’impression que l’on est encore en vacances.
S est arrivée en avance, s’est installée à une table discrète en fond de salle. Un café et un verre d’eau lui a été servi. Ses doigts jouent nerveusement avec le bord de sa tasse de café. Elle porte une robe rouge et blanche qui épouse ses formes avec élégance, laissant entrevoir juste ce qu'il faut de sa poitrine. C’est peut-être exagéré, pensait-elle pour un premier rendez-vous. S avait changé plusieurs fois de tenue avant de partir en retard. Sa garde de robe ne lui convient plus. Ça aussi il faut que cela change mais ce ne sera pas à elle d’en décider. Elle a le cœur qui bat un peu plus vite à l'idée de le rencontrer. Dans sa tête c’est une tempête d’images qui défilent comme un film, des messages qui sonnent et lui reviennent à l’esprit. Ce qu’elle a dit, ce qu’il lui a dit. Elle a envie de fuir et est incapable de le faire. Elle a un furieux désir de laisser le destin accomplir sa trace. Et surtout de ne jamais avoir la frustration de ne pas avoir saisi l’opportunité de reprendre sa vie en main. De créer son univers. Son jardin.
S envoie un message à D pour le prévenir qu’elle était arrivée et où elle se trouve. La jupe sans être trop courte laisse ses cuisses coller à la banquette. Les dernières chaleurs contribuent à envelopper S d’excitation et de nervosité qu’elle ne sait ou ne veut plus gérer. Les secondes d’attentes deviennent des minutes, les minutes deviennent des heures.
Calme, son regard balaye la salle avant de se poser sur elle. D est habillé, d’une simple chemise blanche qui souligne ses épaules, un jean et une veste de costume sombre. Rien d’ostentatoire. Une démarche calme. Il repère S et s’installe à une table derrière elle, sans qu’elle ne puisse l’entendre ni le voir. Il commence à lui parler d’une voix douce à l’oreille.
Elle sursaute et tente de se retourner. Mais très vite D lui ordonne de rester en place. Elle ne sent que sa chaleur et son parfum.
« Êtes-vous toujours certaine de vouloir me rencontrer et me voir ? Vous pouvez encore vous enfuir » lui demande-t-il.
« Oui encore plus certaine »
« Confirmez-vous ce que vous m’avez dit sur vos messages ? »
Il lui liste d’une voix douce et calme à l’oreille.
« Vous cherchez un statut d’esclave, à devenir la propriété d’un homme. C’est la seule vision de la relation, du mode de vie dans lequel vous souhaitez vous épanouir.
Être totalement dans un cadre d’appartenance convenu conjointement. Un cadre comprenant : Obéissance, servilité, subordination au maitre. Liberticide et coercitif en permanence. Le propriétaire devient la seule et unique référence et le centre de votre pensée, tout le reste étant secondaire.
Les règles de l’univers créées ensemble (Notre jardin), avec ce rapport Maitre Esclave qui supplante totalement les règles communes de la société Vanille.
Ce cadre vous ôte réellement toute liberté. Je vous cite « que je sois sous emprise, asservie et que si je ne satisfais pas ou déroge aux règles pour x raisons, le Maitre me le fasse savoir de manière stricte. »
Vous acceptez, souhaitez et validez en toute conscience d’être punie de différentes façons, parfois comme une enfant, parfois comme un animal de compagnie, parfois comme une esclave.
Les tabous et pratiques intouchables sont : pedo, zoo, marques au sang, aiguilles, scarification, scato poussée, usage de drogue, tout ce qui peut être à risque pour la santé et les dégradations définitives du corps.
Le tutoiement sera utilisé pour le dominant. Le vouvoiement exclusivement pour l’esclave.
Des rituels seront imposés pour la dévotion que doit avoir l’esclave à son maitre.
Votre corps et votre intimité ne devra avoir aucun mystère a votre propriétaire. Vous donnez l’entièreté de votre liberté de choix à votre maitre.
Des positions seront imposées pour formaliser les moments importants du quotidien.
Vous souhaitez portez un symbole en toute circonstance même dans le monde vanille.
Est-ce bien cela ? »
« Oui Monsieur c’est ce que je vous demande. C’est ce que je veux avec vous. »
« Dans ce cas, pour me signifier votre accord, retirer votre culotte Si vous décider d’aller le faire aux toilettes. A votre retour, vous traverserez la salle avec votre culotte à la main et vous la posez sur la table.
Vous me retrouverez assis en face de vous.»
S a un instant de surprise et tente une bravade :« Et si je n’en porte pas. »
« Il va falloir me le prouver sur le champ. Vous pouvez l’enlever ici si cela vous chante. Pour le moment vous avez encore cette liberté de choisir. Dans le monde dans lequel vous vous apprêtez à entrer, vous n’aurez plus ce choix.»
S se lève et se dirige vers les toilettes pour s’exécuter. Un dernier regard dans le miroir du sous-sol, sa culotte à la main, elle se regarde une dernière fois, retouche sa coiffure, tire sur sa robe pour la descendre encore plus bas, pour ne pas ressembler à une bimbo de vingt-cinq ans qui veut « pécho ». Elle qui en a 25 de plus.
À son retour elle découvre son futur se dessiner. Elle dépose le morceau de tissu fin, blanc sur la table avec un sourire malicieux en signe de victoire. Maintenant elle ne peut plus revenir en arrière. C’est fait.
Elle s’assoie et le dévisage enfin. À cet instant, un sourire complice se dessine sur ses lèvres, et elle sait qu’elle a fait le bon choix.
Il s’approche d'elle, son regard brillant d'une lueur taquine. « Enchanté, S. j’espère que tu n'attends pas depuis trop longtemps. »
« Juste ce qu'il me faut pour me mettre dans l'ambiance » répondit-elle avec insolence en le fixant dans les yeux, un léger frisson parcourant son dos.
Ils échangèrent des banalités au début, mais rapidement, la conversation devint plus intense, plus chargée. Les mots se frôlent comme des caresses, les sous-entendus s'accumulent entre eux comme une promesse silencieuse. Comme s’ils se connaissaient depuis fort longtemps, mais que des années de séparation les avaient mis à distance.
Ses cuisses se recollent au plastique de la banquette et un feu intérieur commence à ruisseler doucement entre ses cuisses. S sait ce que cela veut dire et sans culotte cela va très vite devenir gênant. Cette situation ne fait qu’empirer au fil des minutes qui passent. Son excitation devient difficile à contrôler. Mais ce qui la surprend, c’est qu’elle s’en fout. Complétement. Elle a presque envie de le crier.
« Alors, ce que nous avons partagé sur le site... c’est sérieux pour toi ? » demanda-t-il, s’appuyant légèrement en avant, les yeux rivés sur les siens.
Elle soutint son regard. « Pour moi, chaque rencontre a son propre potentiel. Mais j’aime l’idée de découvrir... jusqu’où cela peut aller. L’univers que nous avons dessiné lors de nos échanges m’attire et fait écho en moi.»
D se pencha encore un peu plus, sa voix devenant un murmure. « J’ai toujours cru que le vrai équilibre réside dans l’établissement de la soumission et de la domination. Est-ce que cela te parle ? »
S sentit un frisson d’excitation la traverser. « Plus que vous ne l’imaginez et c’est la seule raison de ma démarche aujourd’hui. Je veux découvrir ce jardin dont vous m’avez parlé.»
Il esquissa un sourire, satisfait. « Alors, dis-moi, ce qui t'attire vraiment ? »
Sans retenue et avec un enthousiasme à peine retenu, elle répond : « L’inattendu, la tension, l’inconnu, ma culotte sur la table à la vue de tous. » Elle marque une pause, savoure le moment. « La possibilité de perdre le contrôle… sous le regard d’un homme qui sait ce qu'il veut, devenir sa propriété et le servir pour son plaisir, être protégée, que le jardin que vous m’avez décrit devienne notre refuge. Je veux devenir une femme. Celle que vous souhaiterez que je devienne. »
Leur échange devient un jeu, chaque mot pesé, chaque geste chargé de promesses. Le serveur vient avec leurs cafés, son regard est instantanément capté par la culotte qui trône. Il dessert la tasse vide et repart avec un sourire entendu vers D. Mais son service devient secondaire à ce qui se joue entre eux. S prend une gorgée, ses lèvres glissent délicatement sur la tasse, puis elle la pose lentement, ses yeux ne quittant pas ceux de D.
« Que dirais-tu de continuer cette conversation ailleurs ? » proposa-t-il, une lueur de défi dans le regard.
Elle hésita un instant, le cœur battant, puis un sourire provocateur se dessina sur ses lèvres. « J’aime bien l’idée. Mais n’oubliez pas, que je ne vous appartiens pas encore. Vous m’avez dit que je serai éduquée et que c’est seulement après que je serai définitivement votre.»
« Alors pourquoi avoir accepté de me présenter ta culotte ? N’est-ce pas un premier vœu d’appartenance ?»
“Non du courage, un esprit de challenge et de curiosité, l’envie de mener avec vous mon cheminement dans cet univers que je ne connais que de façon virtuelle. C’est une décision de raison.”
Les joues de S se teintent de rose, elle baisse les yeux et lui dit avec un sourire teinté de légère provocation : « Non C’était pour vous découvrir et parce que nos échanges et aujourd’hui me font basculer doucement vers un non-retour.»
Il se lève, paie la note et l’invite à le suivre. S décolle ses cuisses, retient sa robe en souhaitant que son excitation n’a pas signée sa robe blanche. Ils quittent le café, l’excitation et le mystère enveloppent leur rencontre d’un halo presque palpable. Le monde extérieur semble s’évanouir, les laissant seuls dans leur bulle, prêts à explorer les profondeurs de leurs désirs.
« Je vais te ramener à l’adresse qui te conviendra. »
S ne parle plus, elle est déchirée entre la frustration de ne pas aller plus loin et le désir de rentrer pour ne pas franchir les dernières frontières de sa raison. Elle a envie de le lui dire mais elle en est incapable comme paralysée.
Une fois installés et en route, la conversation devient plus légère. Cette fois, c’est sur le cuire des sièges que ses cuisses se collent, S ne retient pas sa robe qui remonte outrageusement, pose son sac à main sur ses cuisses pour compenser le glissement de sa robe. Son sexe appelle à ses sens, les signes de son excitation ne pourront plus être dissimulés. S le sait c’est trop tard, elle ne contrôle plus. Elle est heureuse de retrouver cette sensation qu’elle avait oubliée...
D la rassure en lui signifiant qu’il a été ravi de la rencontrer.
Une fois à destination il lui tend un paquet cerclé d’un ruban rouge. Il l’embrasse pour la première fois, lui redonne sa culotte et lui ouvre la porte. La voiture repart et s’éloigne.
S se retrouve seule devant sa voiture qu’elle avait garée non loin de son domicile pour rester discrète.
Elle ouvre le paquet à l'abri des regards dans son véhicule, découvre un mot plié en quatre ;
Ici commence ton cheminement. Pour démarrer ta démarche porte le lorsque tu seras prête.
Lorsque tu le portes, tu es sous mon autorité et tu ne peux l’enlever que lorsque je t’y autorise.
C’est donc toi qui rythmes ton cheminement au quotidien et moi qui décide de la fin.
Tu peux me demander de l’enlever avec des explications, mais je ne suis pas obligé d’accepter ta requête.
Je serai informé à chaque fois que tu décides de le porter et à chaque fois que tu le retires.
Lorsque tu seras prête, porte le.
Je t’embrasse
D
Dans le paquet se trouve un petit objet de couleur métallique d’environ 15 cm de long. Lisse et courbe, doux et rigide à l’extrémité, souple en son centre. La forme ressemble à une statuette modelable. On peut presque en faire un bracelet. Il est plat à une extrémité, d’une largeur d’un demi-centimètre. Une face en forme de ventouse, le verso en forme de dôme.
La seconde extrémité ressemble à une ogive qui prend la forme souhaitée sous la pression de la main. Comme de la pâte à modeler pour enfant.
Présenté tout droit dans sa boite l’utilisation ne saute pas aux yeux de S.
Lorsque S en comprend l’usage, elle le glisse sous sa jupe. Ajuste l’objet à son intimité. Ancré entre les parois lubrifiées et agrippé au bouton le plus sensible, la statuette prend sa place et s’adapte à l’anatomie de S. La ventouse absorbe le clito qui s’y blottit. L’objet se colle et s’ancre par sussions successives. A l’autre extrémité, l’ogive progresse sans difficulté dans le conduit ruisselant et chaud.
Quelques secondes à peine était-il en place qu’une petite vibration se fait ressentir. Son téléphone sonne et une notification signé D s’affiche.
« Déjà ! alors bravo pour ce courage. Bienvenue dans le jardin, Je suis heureux de t’avoir à mes côtés. Tu m’appartiens jusqu’à ce que je te dise de le retirer.»
S répond : « Merci je suis heureuse d’y entrer avec vous et impatiente de franchir les étapes de ma nouvelle vie. Apprendre mes nouvelles règles de vie pour vous servir, être guidée et protégée par vous».
Surprise par le message et submergée par l’emprise déjà palpable de l’objet en elle. S se laisse aller sans lutter. Les premiers signes du désir sont déjà passés et les premières vagues de spasmes musculaires se font ressentir. Ses fesses maintenant trempées sont au contact direct du siège. Elle n'a pas eu le temps de réajuster sa robe sur son siège en plaçant l’objet.
La fréquence cardiaque s’accélère, le point de non-retour est proche. Elle ferme ses yeux pour ne pas être accaparée par un élément extérieur à son plaisir. S a les deux mains agrippées. L’une à la porte et l’autre arrache le siège. Une décharge lui fait décoller les hanches d’un seul coup. Elle lâche un gémissement dans un souffle long. Ses muscles du ventre se tendent, elle jouit sans avoir pu faire durer et contrôler. Les spasmes et les contractions la secouent, ses seins lui font presque mal. Les personnes qui pourraient la surprendre sur le parking n’ont plus aucune importance.
Une fois la tornade passée, le souffle encore rapide, elle prend conscience qu’elle ne s’est même pas caressée. Sa robe est totalement fripée. Ses cuisses et ses fesses baignent sur le siège, elle se surprend à mettre en bouche ses doigts pour prolonger avec le goût et le parfum (de ?) son plaisir. Elle garde ses yeux clos, sa tête repose sur l’appuie tête. Sa coiffure ne ressemble plus a rien.
Lorsqu’elle retrouve un brin de calme, que ses yeux se sont réhabitués à la lumière du jour, que son cœur bat à un rythme mesuré, elle tend ses jambes pour les décontracter. Tout son corps se détend, ses bras reposent sur le siège. Elle n’a pas encore la force de redescendre sa robe sur ses cuisses.
Elle ouvre la fenêtre de sa portière et respire une grosse bouffée d’air.
Elle vient à la vie.
Partie 2 – Miel chaud
Ses yeux s’emplissent de lumière. Elle reste ankylosée sur son siège. Elle sourit.
Un sourire que tous ceux qui ont douté d’eux connaissent. Surpris de leur résultat. Qui prennent conscience qu’ils peuvent faire. Elle sent en elle une énergie folle, une envie de tout foutre en l’air et de crier qu’elle a retrouvé sa liberté. Qu’elle en train de naître. Qu’elle est en train d’éclore. Quelle est en train d’être.
Sa raison revient, il est temps de reprendre le chemin du foyer familial.
Il va falloir gérer, elle le sait. Se cacher, mentir aussi.
Pas question tant que l’on est sûre de rien de tout faire voler en éclat. Cet homme qu’elle vient de voir pour la première fois. Cet espoir qui s’installe. Elle doit prendre son temps pour analyser la situation. Profiter de cette magnifique étape de découverte de ce monde DS dans lequel elle glisse sans le désir de freiner la chute. Savourer la découverte de cet homme.
Que connaît-elle de ce monde hors de quelques romans lus en cachette ? :
«Les Onze Mille Verges» G. Apollinaire. Le plus connu de la littérature française.
« Histoire d’O » de D. Aury (Pauline Reage) évidemment c’est la référence SM et DS.
«L’Art de la fessée» Jean-Pierre Enard/Milo Manara. Depuis cette lecture, elle ne prend plus le train de la même façon. Elle espère une rencontre.
«Le Lien» Vanessa Duriès.
«La Femme de papier» Françoise Rey.
Et puis quelques films aussi qui traitent de la Domination et de l’appartenance qui l’ont aidée à comprendre le mécanisme complexe de la soumission. Quatre films en cinquante ans qui marquent des époques passées. Mais qui décortiquent le processus entre deux personnes. Ce désir d’appartenance de l’un, ce désir de la possession de l’autre. L’ambiguïté de l’autorité et du pouvoir. Les alternatives qui s’offrent à nous. Cette notion de liberté, toute théorique, relative à l’univers dans lequel on se trouve. « L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. », dit Rousseau.
Histoire d’O, encore lui, décidément c’est un classique.
Portier de nuit - avec Charlotte Rampling.
La Pianiste avec I. Huppert.
Belle de jour avec Catherine Deneuve.
Elle a aussi surfé sur le net pour comprendre, comme tout le monde, sur des sites spécialisés, mercantiles, encombrés d’hommes en peine de trouver une partenaire de jeu, de brouteurs francophones qui cherchent le pigeon et de promeneurs qui viennent s’émoustiller.
Elle a trouvé des définitions qui ont fait cheminer sa réflexion.
Domination / Soumission/ Maitre / Esclave. Appartenance, abandon de soi, confiance, respect…Consentement, désir, plaisir, liberté, sécurité, protection…. Tous ces mots qui virevoltent. Toutes ces définitions qui n’en finissent pas de s’entrechoquer.
Paul Carrack remercie Sunny pour ce bon moment passé, la chanson accompagne S durant une partie du trajet.
Son sourire la rend encore plus belle. Ses cheveux n’ont pas repris leur place. Elle ne souhaite pas enlever de ses lèvres le goût de son amant qui lui a donné un baiser. La statuette immiscée entre ses cuisses lui rappelle l’univers espéré.
Elle croise une voisine dans l’ascenseur qui tente d’entamer un dialogue convenu, répond sans conviction. Elle ne s’attarde pas sur le palier.
Il est quinze heures, ses deux fils peuvent rentrer à n’importe quel moment du lycée et de la fac. Son Mari rentrera vers dix-neuf heures. Elle fonce dans la salle de bain pour prendre une douche. Elle se retrouve en face d’elle. Le miroir ne ment pas, il reflète une autre femme. Très vite floutée par la buée. Sa nouvelle image disparait.
Que faire de la statuette ? Elle décide de demander à son propriétaire. Cette démarche l’amuse.
Demander l’autorisation !
Elle se surprend à prendre plaisir à le faire. Plus pour avoir un contact avec D que pour respecter un ordre.
Une notification apparait sur l’écran central de la voiture de Dom. Une radio soul diffuse Thee Sinseers qui pleurent « Seems like ».
Un des seuls avantages des embouteillages est que l’on peut répondre à ses messages. On peut réfléchir sans être dérangé. Autour de lui dans les autres véhicules avec le même enthousiasme les voisins tapotent sur des écrans. Plus cocasse encore, ils parlent seuls en regardant dans le vague devant eux, donnant une impression de schizophrénie collective. C’est presque mieux que de voir des personnes qui mettent les doigts dans leur nez en pensant que personne ne les voit. Dans un embouteillage, on est tous à deux mètres les uns des autres. Il faut vraiment être myope pour ne pas les voir.
D est dans ses pensées. Il est avec S. Mille questions se posent.
Est-elle prête à vivre cela ? Ne suis-je pas en train de faire une connerie en déstabilisant sa vie? Elle ne connaît rien de la vie Ds. Je ne veux pas être et ne suis pas professeur de BDSM. Comment la faire avancer dans son cheminement. Elle ne paraît pas sûre d’elle. Je prends le risque de m’attacher et de la voir s’enfuir.
Il répond au message de S « Tu peux retirer la statuette pour te doucher. Bien rentrée j’espère ? Tu as eu une belle hausse de température tout à l’heure. Dans ton nouveau monde ta jouissance m’appartient et tu devras me la demander pour en profiter.»
La file de voiture avance enfin de 20 mètres tout au plus.
Le téléphone se met à vibrer. Le visage d’une femme apparait. La bonne cinquantaine assumée un carré blond, la beauté maîtrisée, le charme rieur. Le nom sous la photo du portrait : Kate.
A peine la communication acceptée la voix de Kate retentit dans le véhicule.
« Salut Dom, comment vas-tu? Je te téléphone pour te demander si tu peux venir à mon institut pour déplacer un meuble. J’ai une petite soirée ce soir. Tu pourras rester si tu veux. Ha oui, au fait tu as..»
Dom connait bien son interlocutrice et lui coupe le flux qui débutait "Salut Kate, merci de me donner la possibilité de te répondre. Mais oui je peux. Tu m’as l’air bien excitée."
Service pour service, tu viens de me donner une idée. Peux-tu prendre ma nouvelle protégée en fin d’après-midi après ta fermeture ?»
« Waouh, je meurs d’envie de la voir. Oui amène la moi. »
Aussitôt la communication terminée et 300 mètres de plus, Dom envoie à S un message.
« As-tu des obligations en fin d’après-midi. Peux-tu te rendre disponible deux heures? Tu seras chez toi pour le souper avec une très belle excuse. Si oui je t’attends à la station de tramway 26 à 17.30 heures. Je te recommande un chemisier et une jupe, rien de plus.»
La réponse ne se fait pas attendre « Oui monsieur. »
Dom contraction de son prénom Dominique en est presque surpris. Il joue quitte ou double. S peut refuser et partir lorsqu’elle prendra conscience de la situation. Mais il a besoin d’en avoir le cœur net. Veut-elle vraiment vivre cela ? Ou est-ce une de ses nombreuses phantasmeuses qui veulent se faire peur et qui provoquent l’indignation au dernier moment.
Son approche est risquée. La mettre entre les mains de Kate aussi vite est très risquée. Mais si elle accepte la situation et quelle apprécie, c'est un bon présage.
Et cet embouteillage que ne se résorbe pas. Il décide de prendre une petite rue adjacente et change de destination afin de se rapprocher de la station de tramway.
Une autre idée lui vient il faut la baptiser. Son pseudo « penséenocturne » peut convenir pour le net mais pas dans la vie au quotidien. Même dans la communauté Ds ce n’est pas idéal. Le visage de S s’affiche dans son esprit et vient se placer en surimpression dans son champ de vision.
La recherche d’un prénom de baptême atténue le stresse qu’engendre la visite chez Kate.
Ce sont les heures les plus longues de Dom. C’est le monde à l’envers. C’est souvent lui qui fait attendre sa compagne soumise ou noin. Toujours de façon involontaire, mais parfois aussi de façon perverse. L’attente provoque un temps de préparation chez les soumis. Tous les sens de celui qui attend sont exacerbés.
Dom a retrouvé son calme dans un café proche du lieu de rendez-vous. Il trouve quelques réponses à ses interrogations.
Je vais savoir si elle veut vraiment vivre Ds dans une heure tout au plus lorsque nous arriverons chez Kate se dit-il en regardant sa montre.
Si elle fait la démarche de rompre son lien de fidélité vanille après avoir fait un cheminement philosophique je n’ai rien à me reprocher. C’est une femme libre. La relation Ds permet à tous les soumis, quel que soit leur genre, de décider librement de leur destin. Je ne lui impose pas de vivre à ma façon. C’est elle qui choisit. Chacun décide de sa destinée. D’une certaine façon, elle rééquilibre sa vie pour supporter sa vie vanille? Si elle cherche autre chose c’est que la vie vanille ne lui convient plus. Son cheminement n’est peut-être pas encore finalisé. Mais notre cheminement se termine-t-il un jour? Comment la faire avancer dans son cheminement ? cette petite brune commence à occuper tout son esprit.
Elle ne paraît pas sûre d’elle. Ma mission prioritaire sera de lui donner confiance en elle. La rassurer, la protéger de ses doutes, l’accompagner pour trouver ses réponses afin de l’apaiser.
C’est bien joli tout cela. Mais aussi faut-il que l’on passe cette première étape avec succès. Etape qui paraît très prématurée. « Mais quel con de l’amener chez Kate qui est une véritable pipelette décomplexée.» se dit-il en cherchant l’heure sur l’écran de son smartphone.
Toujours pas de prénom de baptême. Décidément la relation et le rendez-vous de ce soir partent mal.
S descend du tram et cherche du regard l’homme qu’elle n’a vu qu’une fois. A son approche elle s’aimante à lui sur le quai. Cette fois ils s’embrassent avec plus d’intensité. Il la prend par la taille pour la plaquer à lui au milieu de tous les passagers qui descendent et qui montent avec une indifférence totale.
Sa main remonte le long de son dos et vient prendre son cou pour la diriger hors de la station.
Ils marchent, reliés par la main ferme de Dom qui forme une tenaille naturelle. Les cheveux bruns de S recouvrent l’outil et assure son invisibilité. Leur rythme s’accorde le temps d’atteindre l’adresse de Kate et d'en franchir l’antre.
Une cliente finit de payer et deux autres clientes sortent, des employées suivent le mouvement de fin de journée pour retrouver leur vie. ou leur seconde journée de travail si elles sont Maman.
Kate encaisse la cliente et termine en vain sa démarche commerciale. Un clin d’œil aux deux nouveaux visiteurs et amis en guise de bienvenue. La dernière cliente est raccompagnée. Kate ferme le rideau de fer. Enfin c'est la fin de journée.
Bonjour. Elle embrasse Dom et scrute S comme on regarde une œuvre d’art. Superbe « Comment s’appelle cette perle ? »
Avant que S n’ait le temps de répondre Dom lui répond ; Samara.
« Bonjour Samara » dit Kate
Samara Je te présente Kate, elle a le même statut que moi, nous sommes de vieux amis. Nous sommes dans son institut beauté. Kate va s’occuper de toi.
« Es-tu toujours décidée à dessiner notre jardin? Me fais-tu confiance ? Si c’est le cas, obéis lui, je vais rester auprès de toi. Rien ne te sera fait qui te dégradera et te fera prendre de risque avec ton mari. Ni aujourd’hui ni jamais d’ailleurs. »
S rebaptisée Samara est sous le choc. Elle reste coite. Ses yeux couleurs noisette cherchent un indice de ce qui va se passer. Ce batheme impromptu la secoue.
Les enceintes balancent « Black magic woman » de Santana.
Elle se mord les lèvres, regarde Dom. Ses yeux sont rieurs mais interrogent à l’explications ( ?). Son regard devient une supplique en quelques secondes. Pour seule réponse elle n’aura qu’un baiser sur le front.
Kate a déjà tourné le dos.
« Aller viens Samara, ne te fais pas attendre.» lance Kate.
Samara se risque à chuchoter à Dom : « Vous ne me trouvez déjà plus assez belle au point de me mener dans un institut de beauté ?»
« Au contraire, c’est parce que tu es jolie à mes yeux que nous sommes ici. Te rappelles tu nos discussions sur ta formation avant de devenir soumise. ? Ce que va faire Kate te permettra de t'aider à te glisser dans le costume que tu souhaites porter. Maintenant va, je te rejoins dans une minute. »
« Dom tu peux me déplacer les meubles noirs métalliques devant la caisse. »
Les meubles sur roulettes sont facilement déplacés. Le sol carrelé n’offrant aucune résistance.
Il rejoint les deux femmes quelques minutes plustard.
Une table avec un drap blanc dans une petite pièce, Samara sait où elle est. Elle connaît cette ambiance.
Elle reste debout, Dom lui prend sa veste pour la poser sur un fauteuil qui trône plus loin. Samara comprend que le lieu pousse à l’effeuillage. Elle se met face à Dom, son cœur va exploser. Elle déboutonne son chemisier lentement. Le chemisier ouvert laisse apparaître deux globes blancs pointus. Il tend la main pour la décharger de son chemisier.
Kate s’affaire à préparer une mixture odorante que Samara ne reconnaît pas dans les salons d’esthétique qu’elle fréquente habituellement.
Torse nu. Les yeux plantés dans ceux de Dom. Tendue entre fierté et provocation. Samara reste silencieuse.
Le visage de Dom est impassible, il s’avance à la toucher. L’embrasse sur une épaule et se recule de nouveau comme pour lui donner la force de continuer son strip-tease.
Samara fait passer ses mains dans son dos faisant ressortir une poitrine qui ne demande qu’à être mise en valeur.
Le chant de la fermeture couvre le silence. La jupe foncée s'effondre à ses pieds. Samara dévoile une friche noire.
Sans un mot Dom s’agenouille pour ramasser la jupe. Il reste à ses pieds, prend le mollet droit d’une main pour lui lever la jambe et la déchausser.
Il embrasse la toison et recommence la manipulation avec la jambe gauche.
Pas un mot n’est dit.
Il pose un second baiser sur le nombril, se redresse lentement, pose l’ensemble des effets sur le fauteuil.
Samara est figée. la statuette est en place.
Kate se retourne. Et découvre le dos de Samara, ses reins, ses cuisses. Sa peau caucasienne bronzée de l’été. Le soleil des vacances a dessiné sur ses fesses un maillot blanc bien sage. Le dos est coupé en deux par une bande blanche comme pour déterminer la séparation d’un espace de jeu où deux joueurs doivent s’affronter.
Dom met sa main sur le haut de la tête de Samara et lui fait faire une rotation de cent quatre-vingts degrés. Kate la regarde avec l’intérêt du sculpteur qui découvre son modèle.
« Bon il y a du boulot ! Allonge-toi, tu sais comment cela se passe j’imagine.
« Dom tu me déconnectes la statuette. » D’une main professionnelle Kate désenclave le sexe de Samara de la statuette qui se dégonfle. Samara a ouvert presque machinalement les jambes pour faciliter l’exfiltration malgré la surprise de la main de Kate qui s’y est immiscée.
Mais à ce stade, Samara n’est plus à cela prêt. Dom la regarde elle, immobile, nue. Elle est le centre d’intérêt. Cela fait trois mois qu’ils échangent des messages et à peine vingt-quatre heures qu’ils se sont rencontrés dans le café restaurant. (Voir la première partie le rendez-vous). Elle est au centre de la scène.
Dom ne voit plus rien d’autre que Samara qui se rend lentement. Doucement. Elle en a le tournis, les bruits, les odeurs et les regards de son compagnon qui la déchiffre.
Intérieurement Dom retrouve son calme naturel. Il n’a pas essuyé un refus de Samara. Elle est encore là, offerte à une inconnue.
C’est n’importe quoi se dit-elle. mais elle n’a pas peur. Ne perçoit aucun danger. Elle est dans un institut de beauté. Il n'y a aucun signe de brutalité ou de viomence avenir.
Ce qui est surprenant c’est le rythme des évènements.
Ce qui est incroyable c’est qu'elle aime cela. Cela l’amuse même. Comme si elle se mettait hors de sa zone de confort. Jusqu’où peut-elle aller ?
Lorsqu’elle va à sa salle de gym, elle est nue dans les vestiaires avec d’autres. Alors nue sur une table d’esthéticienne, pourquoi pas ?
Sa copine de gym passe ses vacances dans des camps de naturistes.
La pudeur dépassée elle se concentre sur le regard de Dom.
Kate se place au-dessus d’elle et commence à étaler la pâte noire et chaude sur l’aine. Lui écarte les jambes pour mieux étaler sur l’intérieur des cuisses.
Un regard entre Kate et Dom. Le sexe de Samara est totalement enduit de la pâte qui sent le miel.
« J’ai fait le soumis de Val hier. Les mecs quelle bande de chochottes je te jure. Il n’a pas arrêté de bouger et de gémir. Nous l’avons attaché pour finir, sinon on y passait la soirée. Il a été puni sur place ce con. Il est reparti avec les fesses bien marquées je peux te le dire. Val m’a dit qu’il serait puni encore le soir. Ça va lui passer l’envie de recommencer la prochaine fois. »
Kate et Dom rient de bon cœur. »
« C’est pour quand ? »
« Ce soir justement »
Samara ne perd pas un mot de leur conversation sans y être associée. Elle se sent comme un animal que l’on a mené au toilettage. Tout le monde pourrait passer devant elle, qu’elle ne retiendrait pas l'attention. Elle a la sensation que tout le monde peut venir la regarder intervenir sur elle comme si c’était un objet sans aucune considération pour sa pudeur, son intimité.
Kate commence d’un geste technique à décoller par petits coups secs des morceaux de cire.
Samara contient sa douleur surtout lorsque le mont de Vénus est attaqué par l’armée de doigts agiles de Kate. Pas question de contrarier Kate et de prendre le risque de décevoir Dom.
Une serviette humide parfumée apaise la peau agressée dépourvue de sa protection de poils pubiens.
Dans les enceintes Brian Ferri déroule son « Slave to love », amusant non ?
Samara a toujours le regard plongé dans celui de Dom. Sa grimace comme une moue semble signifier qu’il est satisfait du résultat.
D’une tape sur l’intérieur de la cuisse Kate demande à Samara de se retourner.
Elle se place sur le côté et dégage ses reins en se cambrant.
Pour toute réponse elle prend une claque sur les fesses avec l’ordre ferme de se mettre à quatre pattes.
Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi, je n’ai pas le temps ce soir. Dépêche-toi.
Dom ne dit rien et laisse Kate opérer.
Samara s’exécute, colle sa joue sur le papier de la table.
Ses deux mains sur ses collines facilitent la fin de l’intervention.
Samara consciente de sa position totalement impudique, offre à son accompagnateur une vue imprenable sur ce qu’elle a de plus intime.
Cette situation finit de faire tomber ses retenues de pudeur et de honte. Après cela, elle n’aura plus aucune barrière pense-t-elle.
Le miel chaud est arraché comme on épluche un fruit. Chaque fois que Kate arrache un morceau, Samara retient son souffle et ferme les yeux. Les lèvres, le SIF, le tour de l’anus ainsi dévoilés retrouvent la douceur d’une peau de bébé.
Kate donne une serviette humide et la tend à Dom pour qu’il nettoie la zone épilée.
Samara ne perçoit pas ce changement. Lorsque Dom pose sa main sur ses reins. Elle ouvre les yeux comme pour marquer sa surprise. Mais la douceur de sa main est bien plus plaisante que celle de Kate qui avait une démarche technique. La chaleur de sa caresse marque la fin définitive de l’intervention technique.
It Ain’t over ‘ Til it’s Over . Leeny kravitz l’aide à s’abandonner.
La chaleur de la main la réconforte. Le linge humide parfumé apaise sa peau. Elle fait danser doucement ses hanches jusqu’à la fin du morceau. La main de Dom suit maintenant le rythme de Chris Rea qui chante « Looking for the summer » et visite le doux relief des deux valons pelés. La faille de séparation ouverte donne l’accès à un puits plus sombre. Un peu plus bas, Samara laisse le temps à son compagnon d’envisager une plus lointaine exploration. La danse de ses reins dévoile une fissure humide encore à vif.
Le nettoyage finalisé, il impose à Samara une position plus consensuelle et la recouvre de sa veste chaude.
Il l’embrasse et lui susurre « Bienvenue dans mon jardin. »
Il lui passe la main dans les cheveux pour coincer une mèche avec son oreille. Les yeux de Samara exprime un sentiment dont le sens est encore abscons pour Dom. Il devra l’apprendre pour bien l’accompagner sur le chemin de leur jardin. Pour comprendre ses silences.
Samara est assommée.
Elle reparle enfin : « Pourquoi Samara ? »
Samara : c’est un prénom arabe classique. Il signifie « conversation nocturne » ou « conversation au clair de lune ».
Je ne savais pas que je te baptiserais ainsi en entrant chez Kate.
Mais je ne sais pas, c’est ce que tu m’inspires avec tes yeux noisettes expressifs, tes cheveux bruns, ta peau mate.
Je ne suis pas Arabe et je ne parle pas la langue, je ne suis pas en accord avec leur façon de traiter les femmes en Afghanistan. Ni sur le rôle qu’ils donnent aux femmes dans le monde islamique. Mais je trouve mélodieux la sonorité de ce prénom.
C’est un ami maghrébin qui m’a donné la signification de ce prénom.
Depuis trois mois nos conversations se sont terminées tard, n’est-ce pas ? C’est peut-être pour cela.
Tu seras toujours traitée comme aujourd’hui avec moi. Tout le temps.
« Tu peux encore décider d’arrêter ici si tu le souhaites. »
Accompagné d’un regard qui lance des couteaux elle lui répond dans un souffle.
« Il n’en est même pas question. Je viens de passer le moment le plus intense depuis la découverte de mon plaisir. Si j’arrête là je meurs. »
Ne remets pas la statuette pour rentrer au cas où tu serais irritée.
Il l’embrasse de nouveau. Elle s’est recroquevillée sous la veste de son homme. Son odeur l’envahit. On ne voit plus que ses yeux.
« Merci de vous occuper de moi. »
« Tu es une soumise très attachante Samara. Habille-toi et rejoint nous »
Il sort de la pièce et rejoint Kate.
Lorsque Samara les rejoint, ils sont dans leur conversation.
« Qui est marqué ce soir. ? Le soumis de Val justement. Et deux autres soumises. »
Il est demandé à Samara de s’éloigner afin que la conversation se termine. Certainement un sujet qui ne concerne pas une soumise ou une esclave.
On cogne au rideau de fer de la porte de l'institut. Un homme et une femme plus jeune entrent. Lui petit rondouillard à moustache, elle plus grande en basquette mais habillée d'un long manteau bleu qui lui descend jusqu'aux chevilles. Elle porte un jonc en or autour du cou. Elle dénoue sa ceinture et s'extirpe de sa seule protection bleue quelle pose sur une chaise.
Elle se place dans son plus simple appareil, les mains dans le dos, au côté de Samara . Elles échangent des sourires.
L’une à côté de l’autre, elles font connaissance sans se parler. Uniquement par le regard.
Samara vient de faire connaissance avec sa première consœur. Elle met à son tour ses mains dans son dos comme pour lui signifier son statut qui ne laissait aucun doute.
Samara et Dom laisse Kate à sa soirée et retrouvent leur voiture.
Sur le retour Samara ne quitte pas des yeux son cavalier.
« Intense comme journée pour moi » glisse Samara.
« Rendez-vous chez l’esthéticienne cela ira comme excuse ? »
« Je n’ai pas envie de rentrer monsieur »
Elle se mord les lèvres pour toute autre réponse.
Il la rapproche de chez elle afin de lui faciliter le retour.
Dans le tram Samara se surprend à se trouver différente et regarde les voyageurs comme un anthropologue le ferait pour étudier une civilisation perdue.
Elle est plus fatiguée qu’après une séance dans sa salle de gym. Elle va pouvoir faire des économies se dit-elle.
Elle reçoit un dernier message de Dom. Elle rentre à pied pour respirer un peu seule.
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Ce rêve porte sur l'élaboration d'un article pouvant prendre place dans un donjon.
Pour commencer, la soumise est totalement nue, je lui mets une cagoule afin de lui retirer le sens de la vue.
Elle ne sait pas ce que nous allons faire, à part le fait de faire l'amour. Et surtout elle ne connaît pas l'existence de ma création.
Puis un simple vibromasseur lui est inséré le temps de l'installer, afin de stimuler son désir de sexe.
Je la dirige vers le meuble de restriction. Ces mains posées sur le banc, elle s'agenouille, puis elle s'allonge le ventre contre ce banc.
Je lui dis de ne pas bouger et de me laisser faire, tout en lui apportant une claque sur les fesses.
Sa tête est bloquée par des liens prévus à cet effet, penchée vers le haut. Je lui dis d'ouvrir la bouche, pour y enfoncer mon sexe.
Afin de faire monter mon excitation, mon désir de la prendre. Je lui attache les mains dans le dos, tout en appréciant, mon sexe se recouvrir de salive.
Après un moment, je retire mon sexe. Et je passe sur le côté, le banc a une découpe afin de laisser prendre les seins.
Je lui attrape donc un téton, le stimule. Puis une pince est mise, cette pince est munie d'un tendeur afin de tirer les seins vers le bas. L'opération est réalisée de l'autre côté aussi.
Descendant plus bas sur le corps de la femme. Une sangle vient caller son buste contre le banc. Quelques fessées afin de vérifier les attaches, tout en demandant si madame est excitée de recevoir mon sexe.
Puis viennent les jambes, je les écarte afin d'obtenir un angle à la limite de l'obtus. Ici pas d'attache mais du cellophane, je ne veux pas que les jambes et les pieds bougent.
Une découpe est faite grâce à un gabarit, afin de laisser une bonne partie de la plante du pied à nue.
Puis je pose deux boîtiers munis de morteurs. Pour enfin allumer la machinerie.
Je tire d'un coup sec le ruban adhésif qui maintient le vibro, il tombe au sol. Je mets une pression sur les tendeurs des pinces, tout en lui disant qu'elle aurait pu faire attention, serrer sa chatte pour éviter qu'il ne tombe.
J'insère mon sexe franchement, en lui demandant si elle veut jouir. Une fois le oui entendu, je lui donne dans la main une télécommande en lui disant d'appuyer sur le bouton quand je lui dirai.
Finalement je commence avec des va-et-vient lent tout en pinçant les fesses. J'accélère juste un peu pour commencer à entendre de légers gémissements. Je la somme d'appuyer sur le bouton.
Les moteurs se mettent à tourner, un disque est fixé sur leur axe, et des plumes sont attachées sur ces disques. Grâce à la rotation, chaque plume caresse la plante des pieds.
Mon rythme s'accélère vivement, les gémissements se mélangent au rire. Elle sent mon sexe se durcir un peu plus, avec ma pénétration plus forte.
Je la vois appuyer sur le bouton, afin de stopper les moteurs. Mais rien ne se passe, les plumes continuent de caresser les pieds. Pourtant elle continue d'appuyer, plusieurs fois en me suppliant de stopper, qu'elle en peut plus.
Avec ma propre télécommande j'arrête la rotation, tout en arrêtant mes va-et-vient aussi.
Elle est essoufflée mais encore excitée. N'ayant pas fini, je lui dis que je la laisse reprendre son souffle. Lui insérant un god dans le vagin avant de partir, la laissant seule.
Au bout de 15-20 mn, je reviens. Je change les disques, lui retire le god, petite caresse sur le vagin. Puis-je lui enfoncer mon sexe une nouvelle fois, celui-ci est encore bien humide.
Alors je la baisse, puis elle se met à gémir. Mes pénétrations sont rapides, ces gémissements se font plus forts. J'actionne donc la machine, les disques tournent, une plume caresse son pied, suivie d'une tige de roses, ainsi de suite.
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Journée du Dimanche 13 Octobre 2024
Le week-end a démarré sur les chapeaux de roues avec nombre de progrès et de nouveautés au programme, Maîtresse Pandora veille à ce que son soumis progresse correctement ... et une nouvelle leçon, brève mais marquante quant à un des aspects de ma progression et du respect que j'ai pour ma Maîtresse Pandora ...
Pour la petite leçon ... Nous prenons contact comme à notre habitude avec Maîtresse Pandora ce vendredi en ce tout début de soirée ... une journée au travail, un petit désagrément car ses écouteurs se sont cassés ... croyant bien faire, je lui propose de participer pour les renouveler ... c'est fermement que ma Maîtresse Pandora me rappelle à l'ordre: ces écouteurs ont-ils un lien avec mon éducation ou ma soumission ? Non dû-je le reconnaître ... une ânerie de plus, Maîtresse Pandora me fait bien savoir que cela n'est pas mon problème, et que si le côté peut être une forme de soumission, il ne se fait pas dans ce sens ... pour cette nouvelle ânerie, Maîtresse Pandora se contente d'un "Tu connais la marche à suivre ?" ... effectivement, il ne m'en faut pas plus ... une ... deux ... trois ... quatre claques sur mes testicules de soumis ... Maîtresse Pandora approuve et est satisfaite, nous pouvons enfin aborder la soirée correctement ...
C'est donc la veille du week-end, le vendredi au soir, que Maîtresse Pandora me fait passer à l'étape supérieure dans mon exercice de dégustation: fini de me vider dans ma main pour lécher ma semence, c'est dans un récipient que j'effectue l'opération, prenant l'entièreté de ma semence en bouche ... Maîtresse Pandora souhaite que je prenne le temps d'apprécier les différentes saveurs ... la texture de mon sperme ... à sa demande, je le garde en bouche ... jouant légèrement de la langue contre mon palais ... pas d'amertume ... un léger goût salé que je connaissais déjà mais plus doux tel une noisette de beurre salée ... je sens le sperme se mélanger à ma salive, se mettant à couler inévitablement, petit à petit, le long de ma gorge ... Maîtresse Pandora, ayant pris le temps de recevoir mes impressions, m'autorise à tout avaler ... rien d'autre pour le goût pour cette fois-ci, je sais que cela peut varier suivant plusieurs critères, dont l'alimentation ... et l'homme me rappelle Maîtresse Pandora ... par cette remarque, Maîtresse Pandora réussira ce soir-là à admettre, trouvant les mots justes pour me rassurer, que je serais sans doute prêt, voire même désireux, de goûter au sperme d'un autre homme, me suggérant même qu'elle réussirait à me faire sucer un homologue .. un bref moment d'hésitation de ma part suffit à Maîtresse Pandora pour me laisser aller à ce nouvel aveu: fantasme inavoué de ma part, sucer un autre homme m'avait déjà traversé l'esprit, bien qu'attiré exclusivement par le corps féminin ...
Maîtresse Pandora a une nouvelle idée en tête ce soir-là mais une question à son soumis avant, lui ayant fait savoir que j'aurais sans aucun doute besoin d'un entraînement, n'ayant jamais fait de fellation auparavant: comment pourrais-je justement m'y exercer ? Lui suggérant que je pourrais sans doute utiliser les derniers godes en forme de pénis que j'avais acquis pour m'y exercer, pourquoi pas en les badigeonnant de mon sperme pour m'habituer à ce nouvel ensemble pour moi, elle approuve ... je découvrirai dès le lendemain que l'esprit de Maîtresse Pandora ne manque pas d'idées ni de ressources pour aider ses soumis à progresser dans leur dressage ...
En cette fin de soirée de Vendredi, Maîtresse Pandora me propose donc ensuite un petit jeu à mettre en place dès que cela sera possible: sur le principe de la roulette russe, se baser sur un évènement au résultat aléatoire, dont dépendra le résultat: une douce récompense au choix du soumis, ou à l'inverse une punition au choix venant de Maîtresse Pandora ... un concept original auquel j'adhère de suite, louant la douce intelligence et inventivité de ma Maîtresse Pandora ... Comme un rappel que mes testicules de soumis lui appartiennent, elle me demande, sans raison particulière si ce n'est justement que de rappeler à son soumis que ses testicules comme le reste lui appartiennent, de me donner un coup sur les testicules ... je m'exécute, dévoué aux désirs et aux plaisirs de ma Maîtresse Pandora ...
Le samedi allait avoir son lot de nouveautés également ... mes nouveaux exercices de la veille éveillent ces nouvelles envies en moi ... seul chez moi, je passe une bonne partie de la journée, après mon exercice concrèt du matin, un de mes godes en main ... passant timidement la langue dessus, puis me mettant à le sucer, sûrement maladroitement ... mais je commence à m'y habituer ... en faisant part à Maîtresse Pandora, elle a une nouvelle tâche pour moi, destinée à m'aider dans ce nouvel exercice, teint d'un soupçon d'humiliation pour son soumis qui a encore de la peine à réaliser ce changement, cette révélation qu'il avait de ce fantasme enfoui ... Par des sites de rencontre ou autre moyen à ma disposition, rencontrer d'autres hommes, susceptibles de m'aider dans ma quête d'apprentissage de fellation et de dégustation, ma bouche de soumis à remplir à disposition ...
Soumis, certainement, mais soumis exclusif à Maîtresse Pandora, et celle-ci sait faire preuve de fermeté quand il s'agit du bien être de ses soumis et ne tolère pas que l'on les traite mal et sans respect ... un contact que j'ai eu rapidement sur une appli de rencontre (pas un fake de fait) en a fait les frais et, alors que la rencontre était alors potentielle, est devenue caduque ... Un rappel que Maîtresse Pandora s'est empressé de me faire en tant que soumis: me protéger et faire attention, sans connaître les personnes à qui l'on s'adresse ... mon respect envers ma Maîtresse Pandora ne cesse de croître encore ... je remercie encore ma Maîtresse Pandora pour cela.
Mon dressage du samedi a été écourté, une subite montée de fièvre me clouant au lit pour la soirée ... inquiète à juste titre, Maîtresse Pandora, sans nouvelles depuis, me demande si tout va bien ... lui expliquant la situation, elle me souhaite de me reposer correctement et de dormir, nous attendrons le lendemain pour continuer.
Ce Dimanche, je vais mieux, la fièvre est tombée comme elle est venue, un léger mal de crâne persistant mais rien qui n'entravera ma dévotion envers Maîtresse Pandora aujourd'hui ... un nouveau soumis à prendre en charge, Maîtresse Pandora m'en confie l'acceuil, notamment en ce qui concerne le questionnaire d'usage pour les nouveaux soumis, à l'instar de celui auquel j'ai eu droit ... ce qu'il peut apporter à Maîtresse Pandora comme ce qu'elle pourrait lui apporter ... pendant ce temps, c'est le gode en bouche dès que je peux, m'exerçant encore maladroitement, motivé par les encouragements de ma Maîtresse Pandora et par l'objectif que j'ai de la servir par la suite, pouvoir la nettoyer de toutes semences, la mienne comme celle des autres hommes, pouvant venir souiller ses atours, son sexe, son corps divin ... oh Maîtresse Pandora, comme il me tarde tant ...
Dressage à suivre ...
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Vendredi 11 Octobre 2024
Mise à jour depuis la dernière entrée: de nouveaux progrès en terme de dégustation et nouvelle leçon après nouvelle punition ...
En date du Mardi 8 Octobre, c'est en heureux soumis que j'apprends que ma Maîtresse Pandora a reçu et apprécié mon dernier cadeau pour elle: de jolis collants seamless, sublimant ses jambes divines ... je suis si content qu'elle les apprécie ... et Maîtresse Pandora, en bonne Maîtresse qu'elle est, me fait l'honneur de partager avec son soumis Fabien cette vision de douceur et de volupté ... Mais dans l'emportement de ma joie, je vais apprendre une nouvelle leçon de la part de ma Maîtresse Pandora: ayant eu l'outrecuidance de penser à la place de ma Maîtresse Pandora, en suggérant que je n'étais pas encore digne de la servir, pour l'instant, autrement que virtuellement, Maîtresse Pandora m'a fermement rappelé à l'ordre en me faisant comprendre que ce n'était pas à son soumis d'en décider, et que seule sa Maîtresse est juge de ce moment ... la punition ne se fait pas attendre, quatre coups sur mes couilles de soumis pour me remettre à ma place ... un ... deux ... trois ... quatre ... le décompte fini, Maîtresse Pandora n'en a pas fini pour ce qui est de calmer son soumis Fabien: c'est avec sa petite queue de soumis, enfermée dans une cage de chasteté encore trop grande pour cette queue de soumis minuscule, qu'il attend, à genoux dans la douche, les instructions de sa Maîtresse Pandora ... l'eau réglée au plus froid, ce seront trois secondes sous ce jet glacé qui suffiront à rendre encore plus insignifiante cette petite queue de soumis ... Encore hésitante à laisser en cage la micro queue de son soumis, Maîtresse Pandora, dans sa grandeur, daignera le libérer, afin qu'il puisse s'adonner à son exercice de dégustation ... un collant en bouche, le soumis Fabien gicle d'autant plus vite dans sa main, d'autant que Maîtresse Pandora ne veut pas d'un plaisir long et savoureux digne d'une délivrance, ce soir-là, mais exige de son soumis une masturbation rapide de son soumis, sans plaisir, tel un ado frénétique ... une longue giclée, que soumis Fabien va s'empresser d'éponger: premier gros progrès dans ces exercices de dégustation, c'est à pleine langue et sans perdre une goutte que le soumis Fabien va avaler ce soir-là toute sa semence.
Le lendemain, journée plus calme, je ne suis pas au mieux de ma forme, je sens que je commence à m'enrhumer, entre fatigue et mal à la gorge ... Maîtresse Pandora sent que son soumis n'est pas au mieux, prend soin de me ménager ... en bon soumis, je veux être rigoureux malgré mon état dans le suivi de mon exercice de dégustation, je m'y atèle le soir même ... Maîtresse Pandora m'autorise même à utiliser un collant pour y laisser mon sperme dessus et pouvoir le lécher ainsi ... malgré la gorge qui me lance, c'est avec un plaisir et une gourmandise non dissimulée que je lèche, aspire doigt par doigt, sur toute la surface du collant enveloppant ma main, toute ma semence ... Fier de mon progrès, tout autant que Maîtresse Pandora l'est de son soumis et de ses progrès ...
La journée du jeudi sera synonyme de repos total, entre très grosse fatigue et ce rhume me rendant incapable de quoi que ce soit ... Maîtresse Pandora, consciente de l'état de son soumis, le ménage pour cette journée, le réconforte et l'encourage à se reposer, prendre soin de lui en trouvant les mots pour cela ... Maîtresse Pandora respecte ses soumis, comme je la respecte elle, et ce de plus en plus, et ce, jour après jour ... ce respect mutuel, entre ma Maîtresse Pandora et son soumis Fabien ... Merci encore à ma Maîtresse Pandora.
Aujourd'hui, en ce Vendredi, je profite d'aller mieux pour mettre à jour mon journal, me mettant patiemment à disposition envers ma Maîtresse Pandora pour ce soir, pleinement dévoué à sa divine personne ...
Dressage à suivre ...
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Ce rêve débute par le fait de mettre un ensemble de lingerie ouverte pour contempler la belle anatomie de la femme. C'est un ensemble rouge éclatant.
J'aime le rouge sur une femme et l'utiliser pour mettre en valeur son corps et mettre en valeur sa sensualité.
Une petite photo sera prise avant qu'elle ne s'habille d'un haut en décolleté et d'une jupe mi-longue.
Nous montons en voiture, rien de passionnant sur le trajet, aucune interaction. Le but étant de laisser libre cours au stress de monter, de tourmenter madame. Où vas-tu ? Qu'allons-nous faire ? Pour quelle raison prenons-nous la route ?
Arrivé à destination, la grande ville. Nous pénétrons dans un parking souterrain, afin de garer la voiture. Puis nous sortons du véhicule.
Une fessée sera administrée afin de perturber un peu plus madame, mais aussi d'indiquer "c'est parti".
Afin de sortir du parking, nous prenons l'ascenseur. De là, une fois les portes fermées, Madame à mes côtés. Ma main glissera sur ses fesses pour y juste poser le doigt contre son anus.
Pour simplement la faire sursauter, donner un pic d'anxiété. Une fois le croisement de regard, ma main remonte jusqu'à sa tête, pour la rapprocher et lui apporter un baiser.
Ainsi commence le shopping, petit passage au sex shop afin de voir sa réaction. Prendre plaisir à voir la gêne, et la peur de madame. Je laisse apparaitre un sourire, et une main caresse son dos afin de calmer son esprit.
Quelques amplettes pour compléter la collection. Bien sûr, Madame porte le sac de ses présents.
Puis nous nous mettons en quête de prêt-à-porter, plusieurs magasins sont faits, jusqu'à ce que madame ait l'œil attiré sur un article.
Article en main, nous allons aux cabines d'essayage. Laissant madame le temps de mettre en petite tenue, à l'abri des regards, le vêtement sera forcément un peu trop grand.
J'interpelle une vendeuse, prétextant ne plus savoir où nous l'avons pris, afin qu'elle le ramène avec une taille en dessous.
Une fois la vendeuse revenue avec le nouvel article. J'ouvre le rideau légèrement mais suffisamment pour laisser madame visible, dénudée avec sa lingerie fine, ses parties intimes au vu de cette vendeuse.
Je lui donne le temps d'enfiler ce qu'on lui a apporté, je passe la tête afin de voir si elle est toujours rouge sous l'effet de l'émotion.
Je passe la main afin de constater ses parties humides, et je lui susure un petit "c'est bien ma chère" en lui accordant de nouveau un baiser.
Puis, en sortant la tête, je la somme de remettre ses vêtements afin de partir en caisse, pour lui offrir ce qu'elle a testé.
Bien sûr, avant de partir, elle se doit de remercier la vendeuse pour les vêtements qui lui ont été apportés.
Nous partons en direction d'un bar, en vue de prendre une boisson. Lui laisser le temps de se rafraîchir les idées.
Mais une fois que nous sommes assies, je lui écarte les jambes, façon "Basic instinct". Donner un sentiment d'excitation, apporter désir et fantasme au client, ayant aperçu cette ouverture.
Tout en restant à l'affût, à la vue d'une personne cherchant à se baisser pour voir plus en détail. Je me tiens prêt à cacher, l'objet de convoitise.
Une fois les verres vides, et l'addiction réglée. Un film est visionné. Avec comme simple règle, une fois la lumière éteinte, elle pose la main sur mon pantalon touchant ainsi mon sexe.
Et me laisser passer sous sa jupe, afin de toucher son vagin pendant toute la durée du film. Je ne cherche qu'à lui faire monter l'excitation, sentir sa main se mouvoir afin de me réclamer ma mise en mouvement.
Mais en plus de l'excitation grandissante, je lui donne la frustration de par mes doigts figés, inertes tout le temps du film.
Visionnage terminé, lumière allumée, nous nous levons pour partir. Un baiser lui est délivré, pour la récompenser de sa patience. Puis nous partons en direction du parking pour reprendre la route, afin de rentrer.
Arrivé à la voiture, je lui ordonne de mettre les achats dans le coffre. Je la suis, elle ouvre le coffre et pose les affaires. De là, sans même qu'elle prenne conscience, je lui attrape le cou.
Je la bascule pour faire entrer son buste dans le coffre de la voiture. Je la maintiens fermement d'une main, pendant que l'autre lui retire la jupe.
Je commence à la caresser, la réticence se fait sentir. Elle dit "pas ici", plusieurs claques sur ses fesses lui sont infligées.
Puis-je lui faire savoir que je vais prendre mon temps, sauf si elle me fait entendre le son de sa voix tout en disant :" Merci maître pour cette journée, mais votre salope de soumise voudrait jouir sans plus attendre."
Une fois la phrase dites, je lâche le cou pour exercer une pression sur son dos. Et mes lentes caresses se transforment en pénétration. Je commence à la doigter, en faisant des mouvements de haut en bas sous une fréquence soutenue.
Elle se mordit la lèvre tout en cachant sa bouche, pour tenter de ne laisser sortir aucun bruit, aucun gémissement.
Du fait de la journée riche en émotions et de la vélocité de ma stimulations, elle ne tarde pas à jouir. Une légère sécrétion vaginale se fait apparaître sur le sol, ainsi que des soupirs de satisfaction.
Je l'aide à se relever et l'enlace, puis je l'embrasse tout en entremêlant nos langues. Afin de lui exprimer ma gratitude, de son dévouement durant cette journée.
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Ils sont arrivés vers minuit.
Elégants mais sobrement vêtus ; elle d’une robe longue et noire laissant les épaules nues, lui d’un costume sombre.
Ils se sont assis à l’écart et ont commencé à parler à voix basse. Très proches l’un de l’autre.
Il était difficile de leur donner un âge : elle, peu grande, plutôt ronde, la cinquantaine ; lui, élancé, sévère, plus de 60 ans.
Ils sont restés longtemps assis, buvant, parlant toujours à voix basse, semblant ne pas se soucier des autres autours d’eux. Comme des amoureux. Comme des complices.
Le temps s’écoulait dans l’entrechoc des verres, des volutes de fumée, des chuchotements.
Vers deux heures, ils se sont levés et ont disparu dans la pièce voisine.
J’ai attendu un peu, puis à mon tour, je suis passé dans l’autre pièce.
Elle avait quitté sa robe et conservé ses dessous ainsi que ses escarpins. Lui, affairé à l’attacher à la croix, ne s’était défait ni de son veston ni de son allure austère.
Quant elle eut les mains liées, visage contre le mur, il ne parvint pas à lui attacher les chevilles. Renonçant à perdre du temps à chercher d’autres liens, il murmura simplement : "écarte bien tes pieds je te prie".
Sa voix était grave, posée, impérieuse. Elle obtempéra et je l’observai : peu grande donc, poitrine avenante, hanches larges, fesses rebondies. Elle dégageait plus de charme que de beauté. Elle était là, peau blanche dans la pénombre, attendant de vivre ce à quoi ils s’étaient calmement préparés.
De ma place, debout contre le mur, je me faisais observateur muet et immobile.
La cravache arriva par petites touches sur les fesses puis le dos.
Les coups étaient mesurés. Calculés. Lui, du regard, estimait les réactions de sa compagne et faisait varier le rythme comme un écho aux mouvements et à la respiration de la femme.
Le bruit de la cravache s’amplifiait. La peau s’échauffait et le corps ondulait.
La précision.
La force.
La détermination.
Des petits gémissements survinrent. Il s’approcha d’elle et lui susurra quelques mots puis passa délicatement sa main sur son dos.
Pfouit fouit fouit !!!
Trois coups secs. Trois gémissements. A nouveau les mots doux et la caresse.
Et il continua ce ballet de coups, de mots doux, de caresses apaisant le feu.
Tandis qu’elle reprenait son souffle, je le vis poser la cravache et revenir avec un martinet aux longues lanières de cuir.
"Ecarte les jambes je te prie"….
Il cherchait la meilleure place pour, ni trop près ni trop loin, économiser ses gestes et assurer l’efficacité des lanières.
Doucement d’abord puis vivement ensuite, il frappa. La femme entamait des contorsions significatives. Comme une montée chromatique, l’homme dosait ses effets, fesses, dos, fesses, dos, cuisses, flans, fesses… et faisait monter les geignements.
A chaque coup et cris plus marqués, il s’arrêtait, chuchotait quelques mots à l’oreille de sa "victime"… caressait les parties les plus rosissantes et reprenait la cadence.
Et cela dura. La peau devenait plus sensible, plus chaude. Les frappes étaient plus variées, prenant par surprise ce corps qui, sous les coups et les plaintes dansait et devenait liane au vent.
Telle une ballerine affolée, pliée sous la tempête, elle gémissait ; et les coups devenaient série, violents, intenses.
J’étais à l’Opéra. Spectateur ému et troublé.
L’homme s’arrêta soudain, et sans un mot se tourna vers moi et me tendit le martinet tandis que le souffle haché, le dos et les fesses marqués la femme continuait d’offrir sa nudité meurtrie et sublime.
D’un sourire je refusais l’offre, trop heureux de pouvoir jouir, égoïstement, de ce que l’on m’offrait sans que je ne fisse quoi que ce soit.
Alors, comme pour me faire regretter ma renonciation, l’homme fit virevolter le martinet, frappa ici, là et puis là, et ici encore avec tant de vigueur que sa compagne céda enfin, laissa aller ses gémissements devenus exhortations, et dans une communion "dramatique" nous offrit son abandon.
Il la consola, la détacha et la conduisit vers moi.
"Madame" lui dis-je, "je vous remercie pour l’émotion que vous m’avez donnée".
Je lui baisai la main et les abandonnai tandis qu’elle se revêtait.
Club Cris & Chuchotements 22 juin 2012
© PL Shujin Max-Him 2016
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A cet instant, une vague d’émotion me parcoure l’échine, l’indécence de cet instant, prise dans mon intimité la plus privative, il me scrute, je le sens, je rougis, mélange de honte et de fierté de ne plus avoir de scrupules à me montrer telle que je suis y compris dans cet acte si personnel. Je retrace à ce moment là mes erreurs, fautes de la journée et je ne peux me permettre de les réitérer, je dois lui montrer ma fierté de lui appartenir et regagner la sienne, lui montrer l’honneur que j’ai de me soumettre à Lui, mon Evidence.
Je respire et au moment de me lever, une question idiote ou pas me traverse l’esprit, je n’ai pas de papier pour m’essuyer, pas de mouchoirs, pas de vêtements … rien … mes neurones s’affolent et l’évidence de sa perversité jaillit en moi... Il le savait, et il teste ma capacité à me résigner et surtout à lâcher prise.
Voilà un des sujet au cœur de notre relation qui m’empêche souvent de me laisser porter sans me poser milles questions… et il a cette capacité et cette patience avec moi pour m’apprendre chaque jour à gagner en confiance et à ne pas chercher à contrôler ce qui n’est pas contrôlable et accepter ceux sur quoi nous ne pouvons agir…
Aussi, à cet instant, je me le dois à moi-même pour vivre celle que je suis et que je désire être pour mon Maître et surtout je lui dois, à Lui, qui avec toute sa bienveillance, son respect, sa patience et son amour, me grandit, m’élève et m’épanouis. Je souris dans mon for intérieur, et suis certaine qu’à ce moment précis, mon regard est déterminé et même provocateur. Je me relève résolument décidée à ne rien faire transparaître de mon malaise et à quatre pattes je m’approche de lui, en accentuant le dandinement de mes fesses afin d’éveiller votre fierté voire votre excitation… je souris plus largement, je sais pertinemment l’effet que cela provoque en vous, et j’aime déclencher en vous votre perverse excitation. Je dois avouer aussi que j’espère ainsi toucher votre sensibilité et adoucir l’instant.
J’arrive à vos pieds, et je sais d’office que la position demandée à cet instant est celle de Nadu, la laisse pendant entre mes seins, les cheveux s’ils ne sont pas attachés ne doivent pas cacher mes seins et les yeux baissés. Je m’installe ainsi faisant attention à tous ces détails que j’ai retenu et qui prouvent ma volonté d’obéir et de vous satisfaire.
Vous restez en silence, je hais ces silences, je hais être dans cette attente, je hais que les mots ne soient pas dits, je hais cette patience qu’il me faut gérer et je sais à la fois que cette attente n’est que la mise à l’épreuve de mon impatience, de mon besoin de ressentir et qu’ils sont aussi nécessaires à mon abnégation.
Je reste immobile, suppliant que ce silence s’arrête, que la sentence soit dite et que j’expie une bonne fois mes fautes pour enfin vous retrouver et pouvoir me soumettre sans ombres sur notre chemin.
J’entends votre ceinture se défaire, je tremble, je n’ai jamais gouté à votre ceinture, j’ai peur de celle-ci et à la fois j’ai comme un besoin irrépressible de l’accepter pour réparer mes écarts à notre contrat. Je me sens complétement vulnérable et hautement soumise.
Les yeux toujours baissés, et pour me provoquer, car je suis curieuse, je vois la ceinture se déroulait devant vous, la bande de cuir se déployant pour faire rebondir la boucle au sol, provoquant un sursaut bien malgré moi avec de ce fait, une légère inquiétude d’avoir réagi. Je sens son corps, je ressens son regard et son sourire diaboliquement pervers, je ne sais pas comment mais je ressens dans l’ambiance de cette pièce vide, toute la tension électrique et intense qui nous unit. Je me détends. C’est ma soumission à sa guidance qui me porte dans ma sérénité et notre complicité synergique qui me donne confiance en N/nous.
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Lundi 7 Octobre
Aujourd'hui, et pour les quelques jours à venir comme m'avait prévenue Maîtresse Pandora, cette dernière aura un emploi du temps très chargé et sera probablement peu disponible ... cependant, et j'en suis pleinement conscient, elle reste présent auprès de moi: de par son éducation d'une part, et de façon concrète actuellement par sa leçon de dégustation dans laquelle elle m'a demandé de m'investir ... et à laquelle je me suis investi pleinement moi-même encore ce soir ... Je pense d'ailleurs que ma Maîtresse Pandora sera encore satisfaite du progès non négligeable que son soumis a pu faire lors de cette session, sa langue n'hésitant pas à passer pleinement dans le creux de la main remplie de cette semence qui n'aurait bientôt plus de secret pour ses sens ... N'étant pas disponible à ce moment pour me prodiguer de nouvelles consignes, je suis ses précédentes consignes de ma Maîtresse Pandora à la lettre ... ne pas sauter d'étapes, y aller progressivement pour m'y habiturer ... mais j'admets qu'en l'occurence, un plaisir coupable m'envahit et me pousse à aller un peu plus loin à chaque fois dans cet exercice, bien que je dois reconnaître être encore loin d'une longue dégustation à pleine gorge ... Mais je fais confiance à Maîtresse Pandora pour m'y emmener pleinement et sûrement ...
Maîtresse Pandora sait être fier de ses soumis quand cela est mérité, comme elle sait les punir lorsqu'ils sont négligents, ce qui est arrivé déjà quelques fois déjà à votre narrateur, bien qu'encore en dressage malgré tout ... ce qui ne dispense pas bien évidemment de ces punitions ! Il est vrai qu'il arrive quelques fois que le soumis Fabien parle un peu trop, à tort et à travers pour être honnête, (à dire trop d'âneries comme me me le rappelle dans ces cas-là Maîtresse Pandora), ce qui a particulèrement le don d'irriter ma Maîtresse, et ce à juste titre ... mes testicules de soumis se souviennent encore de ces tortures physiques lorsqu'il s'agit de les serrer fort, au bon vouloir de ma Maîtresse Pandora, comme de ces tortures psychologiques durant lesquelles je dois supplier maintes fois ma Maîtresse avant d'avoir ce droit à une douce délivrance salvatrice ...
Si j'ai abordé un peu plus en détail le sujet aujourd'hui sur les récompenses et les punitions que ma Maîtresse Pandora peut-être amenée à infliger à ses soumis, c'est parce que je voulais souligner encore une fois le sérieux que je respecte chez ma Maîtresse Pandora.
En effet, comme je l'ai dit en début de cette entrée, ma Maîtresse risque de ne pouvoir être systématiquement, ou du moins beaucoup, présente pour son soumis ces prochains jours ... hors, elle prend malgré tout de son temps pour encourager son soumis, le félicitant notamment par un message encourageant, faisant connaître la fierté qu'elle a envers son soumis pour la journée passée ... comme laissant, en tout cas comme cela risque de l'être ces prochains jours, un minimum d'esprit d'initiative de la part de son soumis, je pense notamment à mes exercices de dégustation.
Esprit d'initiative n'implique pas, bien entendu, de sortir hors des consignes données par ma Maîtresse Pandora ... A ce sujet, j'ai pu apprendre, à mes dépends de façon méritée, au détour d'une nouvelle leçon que je retiendrai de mon dressage en tant que soumis à ma Maîtresse Pandora, que tout mon dressage est une question de confiance et d'honnêté, d'autant plus lorsqu'il est fait à distance, comme actuellement, et qu'il est hors de question de faire douter de cette confiance de quelques manières que ce soit ! Pourquoi dis-je cela ? Et bien souvenez-vous que le soumis Fabien a tendance à dire des âneries ... une tendance qu'il apprend vite à réfréner aujourd'hui ... Pensant bien faire, j'avais proposé à Maîtresse Pandora une preuve de ma dévotion, comme une photo par exemple ... la leçon fut rude pour mes testicules mais je l'ai acceptée, comme j'ai acceptée la remontrance à ce moment de ma Maîtresse Pandora, qui bien que mécontente que j'aies pu la faire douter à ce moment-là, a su trouver les mots pour me faire comprendre oh combien l'importance de ne pas instiller ne serait-ce qu'une once de doute quant à l'exercice de sa dévotion ... effectivement, j'ai pu prendre rapidement et pleinement conscience de ma bêtise, mon ânerie plutôt, alors que je frappais mes testicules, comptant au rythme de mes coups, Maîtresse Pandora annonçant la cadence ... Pourquoi ai-je proposer cela alors ? Vouloir bien faire, ou penser vouloir bien faire en tout cas ? ... et pourtant mon ânerie aurait du sauter à mes yeux de soumis: Maîtresse Pandora m'ordonne de me serrer les testicules ? Je les serre ... Pas plus de deux masturbations par jour autorisées ? Excepté récemment pour mon exercice, son soumis Fabien en vient même à attendre son autorisation, à la supplier ... Le bon soumis en devenir, en tout cas en dressage (car ce serait présomptueux venant de la part d'un soumis de prétendre de lui-même être un bon soumis, seule sa Maîtresse saurait appécier sa dévotion) s'exécutant aux moindre désirs de sa Maîtresse aurait dû se douter que la notion de confiance était plus importante qu'une quelconque preuve ou autre élément susceptible de remettre en cause cette confiance réciproque ...
En tout cas, une nouvelle leçon dans mon parcours de soumis aux pieds (divins !) de ma Maîtresse Pandora qui renforce encore une fois (une fois de plus oui !) tout le respect et la dévotion que le soumis que je suis actuellement peut avoir envers ma Maîtresse Pandora ... Merci beaucoup à ma Maîtresse Pandora !
Dressage à suivre ...
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Dimanche 6 Octobre 2024
Mise à jour depuis le Vendredi 4 Octobre, un manque de couverture réseau me privant de mettre ce journal à jour.
En ce Vendredi de veille de week-end, première et nouvelle leçon de Maîtresse Pandora: être soumis n'implique pas être un sous-homme. Et je vais bien entendu remettre les choses dans leur contexte pour plus de clareté ... Comme j'ai déjà pu déjà l'exprimer, j'ai rapidement eu beaucoup de respect envers ma Maîtresse Pandora, et tout autant de dévotion à son égard.
Aux premiers jours, à la demande de ma Maîtresse, une sélection de cadeaux que j'ai pris plaisir à lui envoyer en guise d'offrandes, sélectionnant différents modèles de jolis atours que ma Maîtresse validait alors ... Hélas, deux des trois envois ayant certes bien été reçus par ma Maîtresse, les aléas des livraisons (mais peut-on bien parlé d'aléas lorsque l'on tombe sur un livreur qui ni n'appelle ni ne laisse d'avis de passage et argumente par une adresse incomplète ou érronée ?) laisse aujourd'hui un des précieux cadeaux destinés à ma Maîtresse Pandora dans la nature, encore sans nouvelles aujourd'hui. Conscient que ce désagrément n'est pas de mon fait en soi, mais aussi très déçu que ma Maîtresse n'ait pas pu avoir une de ses offrandes prévues, j'appréhende malgré tout sa propre déception et me confond naturellement en excuses auprès d'elle ... beaucoup d'excuses ... l'appréhension sûrement de ses potentielles punitions pour mon manquement me direz-vous ... et bien, bien au contraire ... c'est lorsque, m'en voulant vraiment malgré tout pour ce désagrément, j'en suis venu à demander à ma Maîtresse Pandora de ne pas me prendre pour un moins que rien, qu'elle m'a fermement repris en ma faisant bien savoir que je n'avais pas à m'excuser d'un fait qui ne venait pas de moi, qu'au contraire cela ferait de moi un sous-homme ... Et Maîtresse Pandora a besoin de soumis, de bon soumis dévoué, pas de sous-homme qui se rabaisserait d'eux-mêmes ... Vous comprendrez dès lors que mon respect et ma dévotion envers ma Maîtresse Pandora ne s'en est que plus renforcé alors ! Une leçon que je retiendrai, et je remercie encore Maîtresse Pandora pour cela !
Je profite d'aborder le sujet des offrandes, car encore une fois je n'ai pas hésité et c'est avec un très grand plaisir que je le fais ... car Maîtresse Pandora n'est pas ce que je qualifie de Maîtresse veinale, dans le sens où Maîtresse Pandora restera consciente de vos propres moyens, pas question pour elle de léser ses soumis ... être un bon soumis entend d'être non seulement disponible et au meilleur pour sa Maîtresse, mais aussi pour lui-même et ses propres obligations. Car plus loin que cet aspect pécunier, Maîtresse Pandora tient à ce que ses soumis aient une hygiène de vie respectable, pour eux-mêmes et envers elle ! Je tenais à faire cette parenthèse, que j'aurais pu aborder dans ma première entrée, car encore une fois c'est un aspect qui souligne d'autant plus le sérieux de ma Maîtresse Pandora et son respect envers ses soumis, et qui m'incite d'autant plus encore aujourd'hui à me dévouer tout entier à elle. Merci Maîtresse Pandora ... pour clore cette parenthèse, c'est aussi non sans fierté que je peux annoncer avoir fait mon premier cadeau spontané à ma Maîtresse Pandora, non sans avec une certaine impatience quant au moment où elle le recevra !
Passée cette première leçon, une seconde, aussi importante mais concernant une nouvelle étape dans mon dressage: cette veille de week-end, Maîtresse Pandora m'annonce que ce soir j'allais commencer à gôuter mon sperme ... loin d'y être réfractaire, j'avais pu expérimenter la chose avant d'être soumis à Maîtresse Pandora avec l'une de mes dernières relations ... le but final de cette leçon ... l'aimer ... aimer ma propre semence suffisament pour que le soumis que je suis accepte celle des autres, pouvoir nettoyer ma Maîtresse Pandora en toute circonstance, ne pas la laisser, elle et ses beaux atours, souillés par cette semence lorsqu'elle aura assouvie ses propres plaisirs ...
C'est donc à chacune de mes masturbations que Maîtresse Pandora m'a demandé de garder mon sperme pour, progressivement ... y tremper les lèvres d'abord ... 30 secondes ... puis de plus en plus longtemps ... et bien que parti en week-end familial jusuq'à aujourd'hui, c'est en soumis servil et dévoué que je me suis prêté à l'exercice, avec zèle et, je vais l'admettre, beaucoup de plaisir ... cette texture ... l'odeur de ma semence, et le goût malgré tout transparaissant au travers de mes lèvres ... ma Maîtresse Pandora sera d'ailleurs sans doute fière de voir les quelques progrès en la matière, j'admets y avoir trempé la langue ce matin, me léchant même les lèvres ... j'ai hâte de pouvoir lui en faire part ... mais je sais que cet apprentissage n'est pas fini ...
Ne serait-ce que ce soir, une nouvelle scéance, en attendant les nouveaux désirs et nouvelles leçons de Maîtresse Pandora pour son soumis ...
Dressage à suivre ...
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Jeudi 3 Octobre 2024
Première entrée de ce journal aujourd'hui. Encore en cours de dressage à l'heure actuelle et propriété de Maîtresse Pandora, je me suis décidé à tenir ce journal, à la fois pour partager mon expérience et mon parcours de soumis, et aussi comme une ode à ma Maîtresse Pandora envers qui je suis tout dévoué.
Mais commençons par le commencement ... Je m'appelle Fabien (Soumis Fabien maintenant pour ma Maîtresse Pandora), 44 ans et père de famille séparé.
Principalement fétichiste du nylon en général et des collants en particuliers avant tout depuis très longtemps (mes premiers émois de jeune ado), je n'ai commencé à assumer ce fétichisme que depuis récemment, quelques années tout au plus, n'ayant jamais osé le mettre en avant auprès des quelques relations que j'ai pu avoir dans ma vie jusqu'à maintenant.
Une activité sexuelle que l'on pourrait qualifier de classique, rien d'extravagant, jusqu'à mes dernières relations d'après ma séparation avec la mère de mon fils (trois rencontres en 6 ans pour être précis, avec une durée allant de quelques mois à un an pour la plus longue) ... j'ai en effet pu, peut-être le hasard, rencontrer ces femmes qui étaient prêtes d'elles-même, après discussion, à partager ce fétiche que j'avais pour le nylon.
Outre mon fétiche, il y a aussi ce plaisir que j'éprouvais d'être contrôlé par ma partenaire, sans forcément penser jusqu'à de la soumission à l'époque, bien que il faut que j'admette que l'idée m'effleurait l'esprit par moment ... fidèle de base en amour et présent auprès de ma partenaire dès le moment où je suis engagé, en quoi me soumettre à une Maîtresse serait-il différent me disais-je alors, conscient, bien que quelque peu ignorant alors sur les pratiques et relations dominant/soumis à ce moment, ce serait de toute façon différent dans le sens où une Maîtresse n'est pas une partenaire.
Cette idée a commencé à m'obséder de plus en plus avec l'une de mes dernières relations qui, en plus de prendre un réel plaisir à jouer de mon fétichisme, m'a fait découvrir l'expérience du plaisir anal, matiné d'un soupçon de domination ... je dois admettre encore que ce fut particulièrement ... perturbant ... mais paradoxalement très plaisant. Ajouté à cette sensation le caractère dominant de ma partenaire, bien que ce ne fut que dans l'acte en soi, cette relation a fini, dès lors que nous nous sommes séparé, par me motiver à tenter l'expérience de la relation dominant/soumis.
Plusieurs recherches, de nombreux sites et autres applications trouvées au hasard souvent d'internet, des plus sérieux, ou tout du moins des plus populaires à priori, aux plus fourre-tout ... me renseignant au passage sur les usages, le vocabulaire, des relations dominant/soumis et du monde du bdsm en général ... Pour résumer, très peu d'expériences, principalement négatives, sûrement dues entre autre à ma découverte de ce milieu, souvent peu de sérieux ressenti dans la démarche de mes interlocutrices, sans parler de ces faux profils qui pullulent malheureusement sur les sites de rencontres et autres ... quelques Maîtresses bienveillantes cela dit, qui, bien que je ne leur correspondait pas en tant que potentiel soumis, m'ont encouragé à ne pas désespérer de trouver une Maîtresse envers qui me dévouer.
Sans désespérer pour autant, une certaine résignation malgré tout, mais un échange autour d'un simple et agréable partage allait bientôt changer ma vie ...
Bientôt un an, je trouve un site où, à défaut d'aboutir à ma recherche d'une Maîtresse, je peux me laisser aller à mon fétichisme et à mes envies d'être contrôlé, bien que dans un contexte solo ... une communauté ouverte, relativement sérieuse, avec son melting pot de personnalités, des plus agréables aux moins agréables, le lot encore une fois d'internet ...
Il y a quelques jours maintenant, je tombe sur ce post sur le forum du site en question, invitant à se présenter comme soumis ... je tente ma chance. Echange cordial, un ressenti de sérieux dans la démarche ... celle que je vais rapidement appeler Maîtresse Pandora prend le temps de m'expliquer les tenant et aboutissant qu'une telle relation implique, me faisant remplir dans un premier temps la checklist bdsm afin de déterminer à quel genre de soumis Maîtresse Pandora aura à faire ... un point renforçant encore le côté sérieux de sa démarche ... Pas de précipitation d'un côté comme de l'autre, je prends le temps de remplir la checklist comme Maîtresse Pandora prends le temps de la consulter.
Loin de me bercer de belles paroles, Maîtresse Pandora prend en compte ma checklist, me propose mon contrat de soumission que je prends le temps de lire ... Maîtresse Pandora ne manque pas de me préciser que je serai éduqué et soumis en dressage dans un premier temps ... encore un agréable ressenti dans son sérieux, je sais que Maîtresse Pandora est sans aucun doute la Maîtresse dont j'ai besoin, il ne m'en faut pas plus pour signer le contrat ... Me voici soumis en dressage à Maîtresse Pandora.
Que dire à l'heure actuelle si ce n'est que je ne regrette en rien de servir Maîtresse Pandora, bien que cela soit encore très récent ... bien que ma dévotion envers Maîtresse Pandora soit entière, Maîtresse Pandora parfait encore mon éducation, et sait me punir justement lorsque je faute encore malgré moi, me montrant parfois encore négligeant lorsque je m'adresse à elle ... Maîtresse Pandora sait jouer de ces tortures aussi bien physiques que psychologiques pour me remettre à ma place de soumis, me remettre dans le droit chemin ... ces punitions sont nouvelles pour moi, mais je suis conscient qu'elles font de moi non seulement un meilleur soumis, mais me font aussi découvrir une façon d'autant meilleure d'appréhender le plaisir, que ce soit d'avoir pu apprendre de mes erreurs ou celui d'une simple délivrance ...
Car Maîtresse Pandora, si elle sait punir de manière juste le soumis que je suis à ses divins pieds, Maîtresse Pandora sait aussi être fière de son soumis lorsqu'il la satisfait par sa dévotion envers sa personne, et sait le récompenser lorqu'il le mérite, par son attention et sa reconnaissance. J'en viens à rebondir sur le sérieux de Maîtresse Pandora car son attention et sa reconnaissance (mais ses punitions aussi) concordent en tout point avec la checklist et le contrat ... je suis très reconnaissant à Maîtresse Pandora pour cela et lui est d'autant plus dévoué, lui appartenant entièrement. Merci à vous Maîtresse Pandora.
Mon dressage auprès de Maîtresse Pandora n'en est donc encore qu'à ses prémices mais je fais confiance à Maîtresse Pandora pour faire de moi le meilleur soumis qui soit, me dévouant tout entier encore pour le devenir et rendre Maîtresse Pandora fière de son soumis en la satisfaisant comme la déesse qu'elle est aujourd'hui à mes yeux.
Dressage à suivre ...
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Depuis plusieurs années mon mari et faisions des jeux de BDSM, alcool aidant. J'étais toujours la dominatrice et lui le soumis. Dans la vie de tous les jours c'était plutot le contraire. Puis un certain jours il m'a demander que cela ne soit pas juste un jeux mais un mode de vie. Comme lors des jeux je l'enculais, je me suis dit qu'il était un homosexuel refoulé. Je ne pouvais concevoir que quelqu'un prenais plaisir a se faire enculer et humilier. Je n'aimepas faire mal a quelqu'un sans raison valable. De plus mon mari je l'aime, alors pourquoi je détruirais son estime de lui-même...Il m'en parlait assez souvent et a chaque fois cela faisait en sorte que je m'éloignais un peu plus de lui. J'en suis même devenue a n'éprouver aucun sentiments positifs a son égard. On continuait les jeux a l'occasion. Puis j'ai commencé a lire des témoignages de dominatrice et de soumis. Cela m'a pris du temps mais j'ai compris et accepté le fait que vivre comme cela pour certaines personnes les rends plus stable mentalement, donc plus heureux. Plusieurs fois dans les jeux je lui prommettais de continuer dans la vie quotidienne...a chaque fois je ne tenais pas ma promesse. Puis peu a peu je me sentais bien dans mon couple que lorsque l'on jouait. Allors pourquoi, si cela me rends heureuse pourquoi ne pas le faire? Puis nous avons eu une discussion ou je lui ai demandé de respecter mon rytme et de respecter le fait que je puisse a l'occasion sortir de mon rôle de dominatrice. Ce n'est pas parce que l'on comprends quelque chose que l'on change automatiquement nos habitudes, J'ai compris qu'il avait besoin d'un encadrement serré et que me faire plaisiret me servir le rendait heureux. Nous avons discuté de nos attentes respectives. J'ai décidé de prendre cela au sérieux et au lieu de lui promette n'importe quoi, d'établir un contrat. Je vous dévoilerai le contenu de contrat lors d'une cérémonie ou je ferai de lui mon soumis officiel. Cela devant caméra pour ceux qui voudrons y assister. Comme il doutait de moi, j'ai pris les devants et lui ai tatoué sur le pubis un matricule contenant 2 lettres et 4 chiffres significatifs pour moi. Je dois encore lui tatouer quelque chose que je vous dévoilerai en temps et lieu. De manière innatendu, cela m'a rendu heureuse.et je suis redevenue amoureuse de cet homme devenu ma propriété, mon soumis, mon jouet, finalement tout ce que je veux.. Chaque jour j'apprivoise un peu plus ce mode de vie. Désormais c'est moi qui décide ce qu'il doit porter, sa nourriture, sa consommation d'alcool et les tâches qu'il doit effectuer. Comme présentement je travaille et que lui est a la maison, je l'appellerai en face time pour m'assurer qu'il m'obéit. J'ai commandé des caméras ou je pourrai l'observé de mon cellulaire. Si il désire faire quelque chose que je ne lui ai pas demandé, il doit me texter pour que j'approuve ou non. Je ne serai plus jamais sa servante et je penserai a mon plaisir avant tout. Devant nos enfants et les gens qui ne sont pas au courant, on est plus subtiles. Par contre il connait les limites qu"il ne doit pas dépassées sinon aussitôt que j'en aurai l'occasion je le punirai.soit en lui tappant les fesses ou si c'est vraiment grave, je lui fait manger son sperme que je conserve lorsque je le fais éjaculer. Cela le dégoute au plus haut point Pour vivre comme cela il faut une grande confiance réciproque. On a aussi établit un mot qu'il doit dire si je dépasse les limites ou que c'est dandereux car parfois j'ai tendance a exagérer.
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