La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 3 heure(s)
La vie m’a appris à vivre dans l’ombre autant que dans la lumière. Mon passé a été une succession de tempêtes, des moments où la douleur m’a laissée dévastée, et pourtant, je me tiens debout aujourd’hui. J’ai cette part de moi, sombre et sauvage, attirée par ce que d’autres fuient, par ce qui me rappelle la complexité de mon âme. Oui, il y a des zones obscures en moi, des cicatrices qui ne se referment pas, des parts de mon histoire qui m’appellent. Mais cette ombre n’est pas ma prison, elle est mon moteur. Elle m’appelle à explorer ce qui me fait frissonner, ce qui me défie, ce qui me pousse à me libérer encore et encore.   Le BDSM est encore un territoire nouveau pour moi, une zone de découverte. Il n’est pas question de tout savoir ou de tout avoir vécu, mais plutôt d’explorer lentement ce qui résonne en moi. Cette part d’ombre, j’ai envie de l’apprivoiser, de la comprendre, de la transformer. C’est une aventure où je me laisse guider, un pas après l’autre, apprenant à faire confiance à mes désirs, mais aussi à celui qui peut me montrer un autre chemin. Peu à peu, je sens que cette dynamique de soumission et de domination peut m’aider à comprendre mes limites, mes envies, et à les dépasser. Il est encore tôt pour dire où cela me mènera, mais je suis prête à me laisser guider dans cette exploration. C’est Lui qui, doucement, me montre le chemin, en respectant chaque étape de mon évolution, en étant attentif à ce que je ressens. J’ai encore tant à découvrir, mais chaque petit moment partagé avec Lui, chaque geste, chaque échange me permet de m’ouvrir à une nouvelle forme de liberté et de pouvoir. Même dans la nuit, je choisis de garder ma lumière vivante. Cette lumière est solaire, vibrante, et je la nourris chaque jour, à ma manière. C’est cette lumière que je cherche à préserver tout en m’aventurant dans l’obscurité. Je crois que dans cette dualité, je peux m’épanouir. Ce chemin, je le parcours lentement, avec l’espoir qu’il m’amène à une compréhension plus profonde de moi-même et de ce que je désire. Avec lui, j’apprends à goûter à cette danse. Doucement, mais sûrement. CET homme qui voit cette dualité en moi, qui la respecte et me guide dans cette exploration, un pas à la fois.
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Par : le Il y a 12 heure(s)
Elle avait tout consenti. Chaque clause. Chaque condition. Non pas par soumission aveugle, mais par volonté lucide d’aller au bout d’elle-même. Elle ne voulait plus choisir. Elle ne voulait plus contrôler. Elle voulait céder. Cesser d’être sujet, devenir objet — au moins un temps. Une manière de fuir le vacarme du monde. De faire taire cette voix intérieure qui doutait, jugeait, exigeait. Dans l’abandon, elle cherchait la paix. Elle avait lu, longtemps, des récits de soumission, des témoignages troubles, des pages noircies de violence et de silence. Ce n’était pas tant les actes qui la fascinaient, mais ce qu’il y avait derrière : le vertige du lâcher-prise total Le reste… n’était plus qu’un jeu d’ombres. Le sac sur la tête était arrivé un soir, comme convenu, sans prévenir. Une porte fracturée, deux bras puissants qui l’avaient saisie dans son lit, un cri étouffé avant le noir. Puis le trajet. Long. Silencieux. Ligotée, secouée par les cahots d’une camionnette, nue sous le tissu rêche du sac. Quand on lui retira, elle était dans une cave. Froide. Mauvaise odeur de terre humide et de métal rouillé. Lumière blafarde d’un néon qui clignotait. Et la cage. Serrée. En fer forgé, à peine plus grande qu’un chenil. À l’intérieur, elle. Nue, en position de soumission, le regard égaré. Elle grelottait. Ils étaient trois. Masqués. Aucun ne parlait. L’un d’eux ouvrit la cage. Il l’attrapa par les cheveux, la tira violemment hors de sa prison. Elle glissa sur le sol sale, les genoux râpés, les seins ballottant, offerte malgré elle. Elle tenta un regard vers l’un d’eux, mais il répondit par une claque, brutale, qui la fit gémir. — Tais-toi. Une voix grave, rauque. Puis plus rien. Ils la forcèrent à se mettre à genoux. Une sangle serra sa gorge. Un bâillon boule fut coincé entre ses lèvres, l’ouvrant de force. Elle haletait déjà. Les hommes se déshabillèrent. Trois bites dressées. Grosse. Dure. Sale. Ils la prirent à tour de rôle. Sans ménagement. La gorge d’abord. Des coups de reins secs, violents, qui la faisaient étouffer, baver, suffoquer. Ils riaient dans leur silence. La regardaient lutter, s’habituer à l’humiliation, au goût, à la violence. Puis ce fut son sexe. Écarté de force. Deux d’entre eux la tenaient au sol, pendant que le troisième s’enfonçait en elle d’un seul coup, sans préparation, sans douceur. Elle cria, mais le cri resta enfermé derrière le bâillon. Elle se cambra. Ses ongles grattèrent la pierre. Et ils continuèrent. Longtemps. Brutalement. L’un la prenait pendant que l’autre lui pinçait les tétons jusqu’au sang. Le troisième la giflait, lui crachait au visage. Aucun répit. Aucune parole tendre. Juste des ordres : « Tends-toi. », « Ouvre. », « Ferme-la. » Quand elle croyait que c’était fini, ils recommençaient. En levrette, à genoux, suspendue à une chaîne qui lui déchirait les poignets. Parfois deux en même temps. Sa bouche et sa chatte remplies. Puis sa bouche et son cul. Ils la forçaient. Elle pleurait, bavait, jouissait malgré elle. Encore. Et encore. Ils la fixèrent à une croix de Saint-André, jambes ouvertes, sexe offert. Un vibro fut enfoncé en elle, puis un plug. Maintenus par des sangles. Ils les allumèrent à pleine puissance. Et ils la laissèrent là. Tremblante. Hurler dans le silence. Secouée d’orgasmes incontrôlés, hurlants, humiliants. Ils regardaient. Parfois, l’un revenait et lui offrait une nouvelle dose de brutalité : un doigt, une bite, un coup. Elle n’était plus qu’un trou à leur merci. Et dans la cage, à la fin, recroquevillée, couverte de sperme, de salive et de sueur, elle souriait. Elle ne savait plus l’heure, ni le jour. Le temps n’existait plus ici. Dans la cage, son corps était marqué. Sa peau portait les traces de leur passage : hématomes sur les cuisses, morsures autour des seins, griffures dans le dos. Chaque douleur était un souvenir. Chaque coup une signature. Elle n’était plus une femme. Elle n’était plus un nom. Ils l’appelaient la chienne. Et elle avait fini par l’accepter. La routine était simple : on la réveillait à coups de botte. Ils la traînaient hors de la cage par une chaîne attachée à son collier de métal. À genoux, toujours. Si elle se levait sans ordre, c’était la cravache. Un claquement sec sur les cuisses, les seins, ou directement sur sa chatte, jusqu’à ce qu’elle tombe à terre en hurlant. Ils la forçaient à lécher leurs bottes, leurs semences, parfois le sol. Elle était leur chose. Leur jouet. Leurs trous. Un jour, ils apportèrent une gamelle. Du lait. Une gamelle posée au sol, comme pour un animal. Elle hésita. Une seconde. — Tu bois, ou tu bouffes ta merde, salope. Elle plongea la tête, et but. Ce jour-là, ils comprirent qu’ils l’avaient brisée. Et ils décidèrent de la reconstruire. Ils la dressèrent. Chaque geste, chaque posture, chaque respiration devait être contrôlée. Dos cambré, poitrine offerte, bouche entrouverte. Elle apprit à garder cette position immobile pendant des heures. À sourire quand ils entraient dans la pièce. À se masturber sur commande, devant eux, yeux fixés au sol. La cage devint sa maison. Elle y dormait enchaînée, jambes écartées, parfois les chevilles reliées à des anneaux vissés au sol. Ils y plaçaient des caméras. D’autres hommes regardaient. Peut-être des maîtres, des clients, des futurs participants. Parfois, un inconnu entrait. Sans dire un mot. Il s’approchait. Déshabillé. La forçait. La prenait. Elle ne savait plus combien de bites elle avait prises. Combien d’orgasmes elle avait subis. Combien d’hommes elle avait dû lécher, sucer, avaler jusqu’à l’étouffement. Ils l’utilisaient même pendant son sommeil. Elle se réveillait parfois avec le goût du foutre encore chaud sur sa langue, la sensation d’un vibro encore actif enfoncé profondément, les jambes trempées. Une semaine passa. Peut-être deux. Elle n’avait plus de repères. Ils la rasèrent. Corps entier. Plus un poil. Pas même sur la tête. Puis marquer d’un numéro . Sur une fesse : PROPERTY Sur le bas-ventre : USE ME Chaque fois qu’un nouvel homme entrait, il la tournait, lisait les mots, et agissait en conséquence. Un jour, ils l’attachèrent à un chevalet. Les jambes totalement écartées, le corps étendu, offert. Cinq hommes, cette fois. L’un à la bouche, l’un aux seins, deux pour les trous. Le cinquième filmait, en silence. Elle était secouée de spasmes. Trop. Trop longtemps. Trop fort. Mais elle ne disait rien. Elle ne criait même plus. Juste des râles, une respiration animale, les yeux révulsés. Elle était devenue une fonction. Un outil. Un orifice. Plusieurs, même. Quand ils eurent fini, ils ne la détachèrent pas. Ils la laissèrent là, nue, ouverte, suintante, tremblante. Un seau d’eau glacée lancé sur son corps. Puis le noir. Et dans le noir, une voix douce, presque tendre, lui murmura : — Tu es prête pour la dernière étape. Elle ne savait plus parler. Pas parce qu’on lui avait interdit. Mais parce qu’elle avait oublié comment. À force de bâillons, d’ordres secs, de punitions immédiates à chaque mot prononcé sans autorisation, son esprit avait intégré la règle : le silence est la forme la plus parfaite de soumission. On l’appelait uniquement par un numéro. Zéro-sept. Ses gestes étaient codifiés. Chaque position était ancrée par la douleur. Genoux ouverts, front au sol, bras derrière le dos : position de repos. À plat ventre, cuisses écartées, les doigts écartant sa propre chair : position d’invitation. Accroupie, langue tirée, regard fixé sur une verge en érection : position de demande. Elle n’était plus une femme. Elle était leur chose. La salle de dressage était différente : plus grande, éclairée de projecteurs, équipée de crochets, de chaînes, de miroirs. Des caméras. Des sièges en gradins. Elle y fut amenée nue, en laisse, marchant à quatre pattes. Sur son dos, une plaque métallique vissée à un harnais disait : PROPERTY - 07 - LIVE USE ONLY. Ils l’avaient préparée : plug lourd enfoncé dans son anus, vibro relié à une télécommande dans son sexe, seins pincés dans des anneaux métalliques reliés à des poids. Ses lèvres avaient été cousues pour la journée — pas celles de la bouche : celles de sa chatte. Symbole de fermeture. De soumission temporaire. Bientôt, ce serait l’ouverture définitive. Devant les gradins, ils la firent monter sur une table d’exposition. Lumière crue. Regards anonymes. Une vingtaine d’hommes, peut-être plus. Aucun ne parlait. Tous observaient. Un maître s’approcha. Le seul qui parlait. Le formateur. — Zéro-sept est prête. Ce corps ne lui appartient plus. Ce corps est fonctionnel. Ce corps est docile. Ce corps est à utiliser. Il appuya sur une télécommande. Le vibro s’activa d’un coup. Fort. Brutal. Elle hurla à travers ses dents serrées. Les contractions étaient immédiates, incontrôlables. Des spasmes secouaient son bassin. Ses cuisses claquaient contre la table. Des fils de salive pendaient de sa bouche entrouverte. Les poids sur ses seins se balançaient à chaque secousse. Un premier homme s’approcha. Sans un mot. Il enleva son pantalon. L’attrapa par les hanches. Et s’enfonça en elle. Sec. Profond. Brutal. Elle se cambra. Pleura. Mais ne bougea pas. Le public regardait. D’autres se masturbaient déjà. Un deuxième homme vint derrière. Il retira le plug. Cracha dans son poing. Et força l’entrée plus étroite. Elle gémit. Gronda. Puis céda. Double pénétration. En public. Comme bétail. Elle perdit conscience quelques secondes. Revint. Suffoqua. Puis un troisième lui attrapa la gorge. Et l’embrassa. Férocement. Il s’assit sur son visage. Elle sut ce qu’on attendait. Ses narines obstruées. Elle étouffait. Mais elle léchait. Tête bloquée. Esprit noyé. Ils la retournèrent. L’étirèrent sur un cheval de bois, les jambes sanglées. Chaque spectateur put venir. Tour à tour. Sexe en bouche. Sexe en elle. Fessée. Doigts. Instruments. L’un d’eux urina sur elle. Elle resta immobile. Elle n’était plus une chose. Elle était la chose. À la fin, elle fut remise dans sa cage, trempée, marquée, vidée. Mais elle souriait. Vraiment. Ils l’avaient transformée. Et elle n’avait jamais connu un tel bonheur. Le jour de sa sortie, il n’y eut ni mots, ni promesses. Juste une clé dans une main gantée, une porte entrouverte, et un regard furtif de l’un d’eux — non pas de domination, mais de quelque chose d’autre. Un bref éclat. De respect, peut-être. Elle marcha, pieds nus sur le gravier. Son corps portait encore les marques : cicatrices, traces d’anneaux et de chaînes. Mais elle marchait droite. Calme. Dehors, la lumière était plus forte que dans ses souvenirs. Elle ferma les yeux. Inspira. Le monde n’avait pas changé. Elle, si. Elle apprit à vivre avec un corps qu’elle ne reconnaissait plus. Trop léger, trop silencieux. Chaque caresse de tissu, chaque regard, chaque geste banal dans la rue avait un poids nouveau. Elle n’évitait pas les miroirs. Elle les regardait en face, longuement. Il lui arrivait de pleurer, sans comprendre pourquoi. Elle ne parlait pas de ce qu’elle avait vécu. Pas parce que c’était honteux — mais parce que les mots étaient trop petits. Trop plats. On lui aurait dit qu’elle exagérait, ou qu’elle délirait. Et surtout : on aurait voulu comprendre, expliquer, juger. Elle ne voulait plus rien prouver. Elle avait été au fond d’elle-même. Et elle en était revenue. Parfois, la nuit, les sensations revenaient. Les postures. Les réflexes. Les ordres. Elle se réveillait haletante. En sueur. Mais elle restait couchée. Et elle murmurait : C’est fini. Non pas avec regret. Pas non plus avec soulagement. Juste avec une forme de gratitude étrange. Parce que ce chapitre l’avait traversée, consumée, révélée. Elle n’était plus une femme brisée. Ni une victime. Ni une esclave. Elle était une femme qui avait exploré l’extrême. Et qui avait décidé, un jour, de revenir. Elle reprit un travail. Modeste. Silencieux. Elle n’aimait plus les bruits forts, ni les foules. Mais elle souriait aux gens. Écoutait. Offrait une forme d’attention rare. Dans ses gestes quotidiens, il y avait une lenteur nouvelle. Une précision. Comme si chaque acte était un choix conscient. Elle avait réappris à parler. Mais elle choisissait ses mots avec soin. Elle ne comblait plus les silences. Elle avait compris, quelque part au fond, que ce qu’elle avait cherché dans l’oubli de soi, c’était une vérité. Un noyau dur. Et maintenant, elle portait cette vérité comme une cicatrice lumineuse, invisible. Elle n’appartenait à personne. Pas même à elle-même. Et dans cette pensée, il y avait — enfin — une paix.
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Par : le Hier, 19:12:10
Il est facile de constater en réel que je ne suis pas aussi extravertie que ne le laisse paraître les reseaux. Je suis une boule d'émotion que je dois gère constamment, ma voix et ma gestuelle me trahissent souvent. J'oscille entre crainte de maladresse et c'est souvent là où je le suis le plus😅 et la crainte d'être rejeter. Hier soir je me suis rendu à mon premier Munch and Play j'ai eu un démarrage plutôt long même si l'envie était la. Il me fallait prendre le risque de demander et peut-être être confronter à un refus. Ce n'est pas simple quand on n'a jamais pratiquer en-dehors d'une relation. 22h je me secoue et j'ose enfin demander à Lady Spencer si elle serait d'accord de faire de l'impact sur moi. Elle accepte, je suis soulager et super contente. Quand elle est prête, je la suis et m'installe comme elle me le demande. J'ai les mains poser de chaque coter du carcan. Elle me demande comment je signal que c'est trop je lui dit que je lèverais la main gauche si jamais, Je sais que je ne suis pas du genre expressive. Lady spencer me demande si je suis d'accord que son ami Khaos_Wolf se joigne a elle j'accepte sans hésité si elle le considère comme un ami je lui fait confiance par procuration. Lady spencer commence et moi je me bulle dans mes ressentis "je suis simplement" je ressens mon corps ce qu'ils lui font vivre j'ai plus aucune penser qui m'habite je ne fais que sentir les impacts sur ma peau je me sens bien je suis bercée, impactée, claquée... il y a les sons, les courant d'air et les sensations j'enregistre toute ses données. J'entends un soumis qui gémit en choeur avec mes ressentis sa maîtresse c'est mis au même rythme que Khaos_ Wolf j'ai le sourire qui me vient aux lèvres. je suis bien, j'ai pas envie que ça se finisse mais toute les bonnes choses en on une de fin. Je vous remercie encore une fois tout les deux parce que cette expériences m'a permise de comprendre que c'est ça que j'aime dans les jeux d'impacts c'est ma bulle c'est le repos de mon esprit parce qu'il est occuper a géré mes ressentis et j'aime ressentir. Durant ce temps je n'ai pas eu a géré mes peurs n'y mes angoisses et pas non plus de pense parasite... Parce qu'ils n'avaient simplement pas leurs place Merci a vous deux de m'avoir offert ce répit. C'est une facette de mon masochisme que je saurais exprimer maintenant grâce a vous même si c'est de façon involontaire...
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Par : le 12/05/25
C’est à ce moment-là qu’elle est entrée dans le jeu. Au départ, je lui ai simplement partagé ma démarche : un mois d’edging, sans éjaculer, en solo. Rien de plus. Mais elle a tout de suite su comment prendre le contrôle à distance. Comme si elle avait attendu cette opportunité pour me pousser plus loin. Elle a pris les rênes sans forcer, avec une autorité naturelle, sensuelle… redoutable. Et moi, je me suis laissé faire. Volontairement. Excité. Terrifié. Sur Obedient App, elle a commencé à distiller ses défis. Subtils d’abord. Puis de plus en plus cruels. « Edge 5 fois aujourd’hui sans jamais dépasser 90 %... et dis-moi exactement à quel moment tu as failli craquer. » « Frotte-toi dans ton pantalon pendant 10 minutes sans sortir ton sexe… et enregistre les sons de ton souffle. » « Porte un sous-vêtement trempé de ton propre pré-cum toute la journée. » Et mon préféré : « Filme-toi au moment précis où tu es sur le point d’exploser… puis arrête-toi. Je veux voir l’instant exact où tu te retiens. » Ce n’était plus juste mon désir que je contrôlais. C’était devenu une offrande, une dévotion, une torture offerte à quelqu’un d’autre. Et ça me rendait fou. Mon corps réagissait à chacun de ses ordres. Mon sexe se dressait avant même que je ne lise entièrement ses messages. Mes doigts glissaient sous mon jean dès que je trouvais une minute seul, dans un parking, dans des toilettes, chez moi à peine la porte fermée. Je devenais une machine à soupirs. Chaque respiration devenait profonde, tremblante. Ma peau moite, mon front légèrement perlé. Je gémissais parfois à peine, juste ce petit son rauque que je ne reconnaissais pas comme étant le mien. L’air devenait lourd autour de moi, chargé d’une odeur entêtante : un mélange de frustration, de désir bloqué, de sexe tendu à l’extrême. Mon sexe, lui, était constamment douloureux, gonflé, sensible à l’excès. Parfois, juste le contact du tissu me forçait à m’arrêter, à appuyer ma tête contre un mur, à inspirer fort. Le pré-cum ne cessait de couler pendant mes sessions. Épais, chaud, collant, il glissait le long de ma verge sans même que je me stimule directement. Par moments, il traversait mon boxer, humidifiant mes vêtements, comme un cri muet de mon corps qui ne comprenait plus ce qui lui arrivait. Et pourtant, j’adorais chaque seconde. Chaque défi. Chaque retenue. Elle me poussait toujours plus loin. Et je m’y abandonnais, avec un mélange d’extase et de torture. Chaque soir, je terminais mes sessions allongé, haletant, la main encore tremblante, mon sexe battant dans le vide, ruisselant de pré-cum… sans une seule goutte de sperme libérée. Juste cette chaleur. Ce besoin. Cette obsession. Mais ce n’était que le début de ses jeux. Et la suite… allait me faire franchir un nouveau cap. Peut-être trop loin.
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Par : le 12/05/25
I. Prologue Il n'est pas très long, il est épais, bien tendu avec son gland turgescent, arrogant et ses bourses bien serrées. Il ressemble au sien mais ce n'est pas le sien. Jean qui est si amoureux du sexe féminin qu'il a honoré maintes et maintes fois, comment s'est-il retrouvé avec ce sexe masculin dressé en face de son visage, qui le menace tel un sabre prêt à s'abattre sur sa proie ? il ne sait pas, il ne sait plus, son esprit se brouille, il reste figé, il a l'impression d'être fiévreux et son cœur bat la chamade. Tout à coup il ressent une douleur au niveau du dos, accompagnée d'un claquement sec et il entend derrière lui la voix d'une femme lui dire sur un ton autoritaire :"Qu'est-ce que tu attends ?". Le coup de martinet l'a fait sursauter mais il n'a pas pu se redresser et a failli s'étrangler, son cou étant harnaché d'un collier muni d'anneaux dont l'un était savamment relié à des menottes de chevilles. En un instant il s'est souvenu pourquoi il était ici dans cette situation. II. Acte 1 A. Une curieuse rencontre Jean est un homme assez solitaire mais, ayant eu une semaine difficile, il décida d'aller en discothèque. Après avoir commandé un verre au bar il est allé s'assoir sur un pouf devant lequel se trouvait une table basse déserte et en face une petite banquette vide de tout occupant. La musique ne lui plaisait pas vraiment mais il aimait bien observer les gens et cela le distrayait. Tandis qu'il s'amusait à regarder cette foule qui se dandinait, gesticulait et parfois vociférait, un homme qui tenait un verre dans chaque main lui demanda tout en désignant la banquette ;"La place est prise ?" "Non apparemment il n'y a personne !" répondit Jean. L'homme posât les verres sur la table, une femme le rejoignit aussitôt et tous deux s'assirent sur la banquette. L'homme était grand, les cheveux gris assez courts, il portait un costume et une chemise noirs et une chaîne, probablement en or, brillait autour de son cou. La femme portait une jupe noire avec un chemisier rouge un peu échancré sur sa poitrine généreuse. Elle était de taille moyenne, cheveux châtains, mi longs et bouclés. Elle paraissait plus jeune que lui mais devait avoir une cinquantaine d'années et Jean était impressionné par sa beauté. Jean se dit qu'il avait de la chance car il craignait que s'installent de jeunes gens en fin d'adolescence un peu bruyants et turbulents.  Apparemment ils n'étaient pas venus là pour danser. Ils regardaient ce qu'il se passait autour en sirotant leur cocktail et en se chuchotant à l'oreille de temps en temps. Chuchotements suivis de sourires et de hochements de tête. Puis ils ont commencé à engager la conversation avec Jean. Des banalités du genre "Vous venez souvent ici ?"…  Ils ont continué à discuter de choses et d'autres avec leurs verres à la main. Voyant que Jean était seul la femme lui demanda "Vous n'avez pas de copine ?". Jean lui répondit par la négative. Ils ont enchaîné sur une autre question "Un copain ?". Jean leur a également répondu par la négative tout en avalant de travers et dit en toussotant "Ce n'est pas ma tasse de thé !". B. L'intimité dévoilée Étonnés, ils ont cherché à en savoir plus sur lui. En fait, c'était surtout elle qui lui posait des questions et face à cette beauté il ne pouvait pas faire autrement que d'y répondre franchement. Il était comme hypnotisé. Jean se mit à leur parler un peu de sa vie. "J'ai eu plusieurs femmes dans ma vie, j'ai même été marié plusieurs fois et ai des enfants mais les circonstances de la vie ont fait qu'aujourd'hui je vis seul". Puis d'une voix presque déçue elle lui a posé la question suivante : "Donc, avec un homme vous n'avez jamais essayé ?". Tout en étant surpris et très gêné par la question, nul ne sait pour quelle raison, il finit par lui répondre par l'affirmative et lui a expliqué les circonstances. "Il y a pas mal d'années en arrière alors que j'étais représentant de commerce je dînais seul dans un restaurant de Narbonne avant de rejoindre mon hôtel. En face de moi se trouvait un autre homme et nous avons engagé la conversation. Au cours du repas j'ai compris qu'il me draguait ouvertement et comme je suis ouvert à toute expérience j'ai accepté d'aller chez lui pour boire un verre. Puis nous nous sommes retrouvés sur son lit et avons fait un soixante-neuf. Il avait un sexe si petit que j'avais l'impression de sucer un clitoris. Mais ce clitoris-là a fini par éjaculer dans ma bouche sans que je m'y attende. Finalement je suis rentré à ma chambre d'hôtel dégoûté et très déçu car je n'avais eu aucun plaisir.". Apparemment ravie de la réponse de Jean elle lui demanda "Retenteriez-vous l'expérience ?". Jean lui répondit "Non jamais, à moins de m'y forcer !". Le visage de la femme s’éclaira d’un sourire malicieux et dit : "Oh pardon ! Nous ne nous sommes pas présentés ! Martin, mon mari et moi c'est Sabine !" Ravi de ne pas passer la soirée seul dans son coin Jean répondit "Enchanté ! Moi c'est Jean !". "Enchanté également !" dit Martin tout en serrant la main de Jean. "Nous sommes ravis de vous avoir rencontré !" s'exclama Sabine  Puis elle a pris une forte respiration et sur un ton enjoué elle l'a invitée à venir boire un verre chez eux pour faire plus ample connaissance. Son mari acquiesça tout en vantant la qualité d’un cognac hors d’âge qu’il avait dans son bar. Jean accepta l'invitation. C. En route pour l'aventure Ils sont donc sortis de la discothèque et lui ont proposé de monter dans leur voiture, pour éviter qu'il se perde en route, en lui promettant de le ramener plus tard afin qu'il récupère la sienne. L'argument lui paraissant valable il est monté dans leur voiture. Jean regardait le paysage nocturne défiler tout en se demandant s'ils habitaient loin, car il commençait à trouver le temps long et qu'il régnait un grand silence dans le véhicule. Soudain, alors qu'elle conduisait, son mari assis sur le siège passager et lui à l'arrière, elle a recommencé à lui poser des questions tout en l'observant dans le rétroviseur. "Lorsque vous dîtes "à moins de m'y forcer" cela veut-il dire que vous êtes du genre soumis ?". Jean lui a répondu que dans la vie il y a des moments où l'on maîtrise une situation et des moments où l'on s'y soumet. Puis il ajouta instinctivement "j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement !". Il regretta instantanément ses paroles et se demanda pourquoi, dès que Sabine a commencé à lui poser des questions sur sa vie intime, il y répondait spontanément, sans réfléchir. Mais, finalement, cela lui faisait du bien de parler de ces besoins inassouvis, ancrés au plus profond de son être à des personnes qu’il n’avait jamais vues et qu’il ne reverra probablement jamais. Donc, peu importe leur jugement. À travers le rétroviseur il vit qu'elle esquissait un sourire et qu’ elle caressait la cuisse de son mari qui lui, restait impassible. À ce moment il a compris qu'il partait dans une aventure dont il ne connaissait pas l'issue et cela l'excitait et il commençait à sentir une chaleur bizarre monter en lui. Comme si tout le poussait à s'abandonner totalement à ce couple si cordial mais si intrigant sachant que, s'ils avaient de mauvaises intentions il était capable de se défendre. Ils ont pris une rue bordée de jolies propriétés puis sont arrivés devant un portail en fer qui s'est ouvert lorsqu'elle a actionné la télécommande et ils ont remonté une petite allée dont les graviers crissaient sous les pneus pour enfin s'arrêter devant une maison bourgeoise datant probablement de la fin du XIXème siècle. Ils sont descendus de voiture et jean les a suivis en prenant une grande bouffée d'air, pendant qu'ils montaient les quelques marches surplombées par un magnifique porte, afin de reprendre ses esprits et de rester sur ses gardes car, même s'il est toujours partant pour découvrir l'inconnu, il est toujours vigilant. Une fois à l'intérieur sa première impression s'est révélée exacte. C'est bien une maison du style victorien. Ses hôtes l'invitèrent à les accompagner dans un salon se trouvant à gauche de l'entrée. Le mobilier était moderne et confortable. Ils le prièrent de s'assoir dans un fauteuil et tandis que Sabine s'installait dans le canapé juste en face, en découvrant largement ses longues jambes fuselées, Martin lui proposait son fameux cognac. À ce moment il ne savait plus trop que penser. La finalité était peut-être une relation sexuelle. Mais laquelle ? Sabine voulait-elle se faire prendre en sandwich ou Martin était-il adepte du candaulisme ?    
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Par : le 12/05/25
Un soir de février. La nuit tombe tôt en cette période de l'année. La lueur de la lune réveille la femme qui se cache derrière elle. Un soir de février, des plus banals pour la plupart du monde mais pas pour cette femme. Elle l'a méticuleusement choisi pour se dévoiler. La date a été fixée, le lieu de rendez-vous aussi. L'heure fatidique approche, la femme s'apprête le cœur battant de plus en plus fort. Elle allume une cigarette à sa fenêtre pour tenter de calmer son esprit.    La femme c'est moi et plus je m'apprête plus je me dis qu'il n'est pas possible de faire machine arrière. Je dois apprendre à embrasser mes vices. Oui, je suis sur le point d'aller rencontrer un inconnu avec qui j'échange depuis quelques jours sur un site BDSM. Est-ce que je l'assume ? A moitié seulement je crois bien. Est-ce que je suis sereine? Certainement pas. L'expérience est nouvelle pour moi. Jusqu'à là, je m'étais tenu à distance des sites de rencontres. Je me suis toujours dit que cela devait quand même être bien étrange de voir quelqu'un pour la première fois en ayant déjà un enjeu en tête. Où est la part de naturel et de spontanéité qui fait le charme d'une rencontre? Puis parano comme je suis, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a toujours un risque de tomber sur un fou, une personne mal intentionnée. Que se passerait-il si mon radar n'était pas si bien aiguisé, si je m'étais trompée et que le scénario kidnapping dont on a discuté ne soit pas tant scénario que cela. Alors oui, je l'avoue, j'ai partagé à une amie de confiance l'identité de la personne que je devais rencontrer ainsi que le lieu de cette rencontre. Mais malgré tout, me voilà ici en train de choisir une tenue dans laquelle j'espère lui plaire. Ce sera une jupe en cuir marron avec un pull noir décolleté dans le dos.    J'éteins ma cigarette. Elle n'aura pas fait grand effet malheureusement mais il est temps de partir. J'enfile mon manteau avant de sortir dans la rue. L'air y est frais, une fine pluie se fait ressentir. Je fais partie de ceux qui aiment la pluie, elle m'ancre et me détend. Je lève la tête et regarde la lune tout en ressentant la pluie qui vient apaiser le coup de chaud que je viens d'avoir sous l'effet du stress. Mes pas me dirigent lentement vers le bar que l'on a choisi pour lieu de rendez-vous.   Une silhouette se devine au loin, cachée sous un parapluie aussi sombre que la nuit. C'est bien vous. Plus de doute possible lorsque vous m'approchez tout en riant du fait que je ne vous ai pas reconnu. Je remets la chose sur ma piètre vue et le fait que vous vous cachiez. Pourtant , vous n'avez rien à cacher. Loin de la même... Vous avez un charme troublant allié à une prestance rassurante. Un sacré mélange qui a de quoi faire perdre pied. Les nôtres nous mènent à l'intérieur du bar où nous nous dirigeons vers le comptoir. Vous avez retenu ce que j'aimais boire. Un vin blanc sec? Pas pour ce soir, du moins pas pour le moment. Je crois bien que j'aurais besoin d'un peu plus ... disons une bière rouge en 50 .. ça devrait faire l'affaire. Un "tu" m'échappe alors. Décidément, je n'ai vraiment pas l'habitude du vouvoiement, je vais devoir travailler là-dessus. Ce "vous" est le symbole d'une soumission nouvelle que je découvre au gré de la soirée.    Une fois nos verres en main, nous nous installons dans un canapé dans le fond du bar. Ce coin nous offre une intimité limitée mais agréable. Un groupe de jeunes se trouve quelques tables plus loin. A peine assise, je renverse déjà une gorgée de mon verre. "C'est l'effet que je te fais?" Faut croire oui, ça et ma maladresse habituelle. Les verres se vident au cours des discussions riches et variées. Je ne pensais pas pouvoir me livrer de cette manière à un inconnu. Vous n'avez pas menti, vous savez mettre les gens à l'aise, tant et si bien que je me retrouve à parler BDSM de manière déconcertante lorsque l'on sait que des oreilles qui peuvent être indiscrètes se trouvent à quelques mètres de nous. Il y a ce feeling, cette complicité naissante mais naturelle que je cherchais. Je profite de l'un de vos passages aux toilettes pour répondre à mon amie qui me demande si tout va bien. Oui, tout va bien, même parfaitement bien. Pas de kidnappeur fou mais un coup de coeur qui se confirme. Un coup de coeur qui risque de me pousser à faire des folies par la suite.    Je me lève pour aller chercher un autre verre. Vous en profitez pour me faire passer devant vous afin de mieux me reluquer. Vous me complimentez sur le choix de ma tenue. Note à moi-même: ne pas hésiter sur les jupes en cuir par la suite.    Je reviens avec un nouveau verre à la main, un verre de blanc sec cette fois. La bière à jeun a fait son effet, il est temps de lever un peu le pied si je ne veux pas finir bourrée. Je repasse devant vous et me rassois à vos côtés , un peu plus proche cette fois et sans rien renverser, ce qui relève de l'exploit attention!    Je l'ignorais mais une surprise m'attend. Vous m'aviez dit vouloir tester mon potentiel de soumise au cours de la soirée, apparemment, le moment est venu. Vous me tendez le fond de votre bière blonde et m'annoncez très sérieusement et de manière très sensuelle que vous avez laissé une partie de vous dans ce verre. Vous n'avez pas besoin de finir votre phrase que j'en devine déjà la fin. Vous attendez de moi que je le boive avec le filet de votre salive que vous y avez déposé pendant mon absence. Je le saisis d'une main assurée tout en vous regardant dans les yeux et le bois d'une traite sans vous lâcher du regard. Il y a de quoi être surpris venant de quelqu'un qui n'aime pas la bière blonde mais il faut croire que votre salive y a ajouté un certain goût qui n'est pas déplaisant, et puis, vous le comprendrez bien assez vite, mais j'ai également un certain goût pour les défis. Un sourire satisfait se dessine alors sur votre visage ce qui vous rend encore plus charmant, ou peut-être que c'est ce désir naissant que je devine dans votre regard pénétrant.    Tous les voyants sont au vert depuis le début de la soirée et celle-ci prend une tournure un peu plus intime. Nous avions évoqué le sujet de nos zones érogènes par message. Votre mémoire sélective s'en rappelle très bien voire même un peu trop bien pour me laisser impassible. Le terrain de jeu est ouvert. Votre main remonte à mon cou et le caresse sensuellement. Un frisson me parcourt le dos. Vos doigts se baladent et dessinent une ligne invisible. Mon cou est trop nu à votre goût, il lui manque quelque chose comme un collier. Vos doigts repassent sur cette même ligne invisible et cette fois, je le ressens, je le visualise ce collier. Il arrivera à temps et m'habillera fièrement lorsque nous l'aurons tous deux mérité. Je me tais et profite du moment. Le silence n'a rien de gênant, il fait partie intégrante du jeu et nourrit la tension. Vous reprenez alors la conversation et me posez une question. Je regagne mes esprits et m'attelle à vous répondre mais c'était sans compter sur votre main qui a décidé, mine de rien, de changer de terrain de jeu. Elle remonte le long de ma cuisse déclenchant un feu en moi. Votre main trouve le foyer du feu et vient le recouvrir. "Bah alors.. je t'écoute !" . Plus d'esprit à regagner, il est parti, enfoui six pieds sous terre, là où se cachent les vices abyssaux. Je reste bouche bée, le masque s'est fissuré laissant ainsi la chaleur se propager. Au secours de l'air et de l'air le plus toxique possible s'il vous plaît! Une cigarette, voilà ce qu'il me faut!    Vous m'accompagnez sur la terrasse. Il pleut encore mais pas assez pour éteindre le feu en moi. Je me sors une cigarette et m'apprête à l'allumer. "Passe-moi une cigarette". Où est donc passée votre politesse ? " Passe-moi une cigarette, chère soumise". Voilà qui est déjà mieux. Vous avez une manière de dire ce titre qui donne envie de l'entendre encore et encore.    Nous retournons à notre place une fois la cigarette finie. Le bar commence à se vider. Nous continuons à parler et à rire. Qui aurait pu croire qu'on se voyait pour la première fois.. peut être ces oreilles qui doivent s'étonner du fait de m'entendre vous vouvoyer mais je n'ai plus que faire de ce qu'ils peuvent penser de nos échanges. Nous restons jusqu'à ce que le barman vienne nous mettre à la porte car le bar ferme. Cela signifie qu'il va être l'heure de se quitter. Une heure bien trop prématurée à mon goût mais nous nous sommes mis d'accord sur le fait qu'on voulait prendre notre temps avant d'aller plus loin. Vous me proposez de me raccompagner chez moi. Nous prolongeons ainsi encore un peu ce délicieux moment passé ensemble que l'on ne veut pas se voir finir. Mon immeuble se profile au bout de la rue. Nos pas ralentissent histoire de grappiller encore quelques instants. Il est pourtant temps de se dire au revoir. C'est là que nos lèvres se rencontrent pour la première fois. Un baiser doux et sensuel qui me transporte dans un autre monde, un monde de BDSM.    Je vous quitte alors pour rejoindre ma porte. Je me retourne une dernière fois en tournant les clés dans la serrure. Vous êtes encore là à me regarder. Je vous fais un signe de la main en souriant avant de vous observer retourner dans l'obscurité de la nuit. La femme de la nuit a donc trouvé son homme. A très vite, cher homme de la nuit.  
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Par : le 11/05/25
Une semaine était passée, et l’envie ne me quittait plus. Mon corps tout entier réclamait ce plaisir que je lui refusais, me hantant à chaque instant. La journée, mes pensées dérivaient sans cesse vers l’idée de céder, de sentir ce frisson ultime me traverser. Chaque mouvement, chaque frottement devenait une tentation insoutenable. Il suffisait que mon jean effleure mon sexe pour qu’une vague de chaleur me traverse. Mon esprit s’égarait, et dès que j’étais seul, mes doigts retrouvaient leur chemin, glissant lentement sur ma peau brûlante, déclenchant une nouvelle montée d’excitation à chaque contact. Chaque session d’edging devenait un rituel enivrant et insupportable à la fois. Dès que je m’autorisais à me toucher, une vague de chaleur me submergeait. Mes doigts se refermaient autour de mon sexe durci, glissant lentement, explorant chaque millimètre de peau sensible. L’excitation montait rapidement, mes reins se creusaient sous l’intensité du plaisir. J’atteignais le point de non-retour en quelques minutes à peine… puis je stoppais net, haletant, le souffle court, sentant mon sexe trembler sous l’onde de plaisir retenue. L’air autour de moi était chargé d’une odeur entêtante, témoin silencieux de ma frustration. Chaque soupir s’échappait de mes lèvres, lourd de désir et d’attente. À chaque fois, c’était plus difficile. L’envie de continuer devenait une obsession. Mes doigts frôlaient mon gland hypersensible, jouant avec la tension, savourant chaque picotement de frustration. Parfois, je relâchais un peu la pression… juste assez pour sentir le pré-cum perler lentement, marquant ma peau d’une trace brûlante de mon désir inassouvi. Je n’en pouvais plus, et pourtant, je ne pouvais pas arrêter ce jeu. Plus je m’en privais, plus l’envie devenait insoutenable. Mon souffle devenait saccadé, ponctué de gémissements étouffés, trahissant le combat que je menais contre moi-même. Chaque moment de la journée était une lutte constante. Il suffisait que je croise une femme séduisante, que mon esprit s’attarde sur une image suggestive, et immédiatement, mon corps réagissait, me poussant à chercher un moment seul pour céder à une nouvelle session. Chaque caresse était une torture délicieuse, une montée d’adrénaline sans fin. Dans ces moments-là, ma respiration devenait rauque, brisée par l’intensité du désir qui montait en moi, me consumant lentement. Mais la semaine suivante, tout allait se compliquer avec l’arrivée de cette femme et de ses défis virtuels sur Obedient App… 💦 Allais-je céder ? Ou allais-je prolonger encore cette délicieuse agonie ?
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Par : le 11/05/25
Maître, -Oh, comme cela sonne étrangement dans ma bouche qui le répète tandis que je l’écris mais c’est si nouveau pour moi. C’est mon premier jour de soumission et je ne cesse de découvrir des sensations nouvelles. Mon sexe qui mouille en continu et me révèle une excitation sourde qui ne dit pas son nom, la goutte qui perle à mon gland et que je recueille avec mes doigts pour la porter à ma bouche puisque je ne peux vous l'offrir, le simple fait de m’adresser à vous avec la déférence due à celui qui désormais me dirige, à qui j’ai remis les clés de mon vouloir et qui m’a donné mon premier ordre que je me suis empressé d’exécuter, comme s’il me voyait. J’ai pris le gode en métal, délicieusement lisse et long, je l’ai soigneusement enduit de vaseline achetée dans la journée selon vos instructions :  « allez dans un magasin et achetez un tube de vaseline et uniquement cela pour ne pas cacher le but de l’achat. A la caisse, soutenez le regard de l’hôtesse pour qu’elle comprenne le sens de cet achat solitaire – vous avez le droit de soupirer une fois pour indiquer une fatalité absolue et incontournable – et rentrez chez vous". A genoux, j’ai présenté le gode enduit à mon derrière et j’ai réalisé l’obligation de viser juste sans perdre le lubrifiant accumulé au bout. Après quelques tâtonnements et erreurs de visée, j’ai préféré le regarder pour voir si j’avais perdu la crème glissante. Au passage, je n’ai pu m’empêcher de humer le fumet boisé de mon pli interfessier, j’ai osé tirer la langue, subrepticement, comme pris en faute, pour goûter. Mais il n’y avait rien que la pointe de ma langue ne puisse détecter. J’ai donc replacé le gode en bas et, accroupi, mon anus sensible a guidé le missile à plaisir. Mouvement rotatif, l’anus se détend, pression douce, l’anus semble céder, une sensation nouvelle lorsque le métal froid a franchi les premiers centimètres, et enfin la libération lors de l’intromission complète, scellant mon accouplement avec mon maître. Depuis, mes anches bougent toute seules, le gode répond par des pressions et je m’imagine que le maître est content de moi. J’ai commencé mon initiation.
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Par : le 10/05/25
J'ai très envie de voir ton petit Cul de Chienne bordé de cette culotte noir en dentelle entrouverte sur ta peau que je t'ai offert à notre première rencontre. Je te veux cambré, à quatre pattes, les jambes écartées. Tu t’exécute sans rébellion, toujours aussi docile. Tu t'installes au bas du lit et tu écartes tes jambes offrant une vue délicieuse sur ta Chatte déjà chaude à l'idée de ce que tu peux subir. Je m’accroupis pour venir glisser ma langue sur celle-ci qui s’entrouvre déjà de désir. J'entends tes gémissements de Chienne à l’affût de la moindre caresse de ma langue qui peut maintenant s'introduire tellement tu la désir. Je viens ensuite devant toi, et je m'assois sur le lit, puis je te t'ordonnes de sucer comme une bonne Salope, la queue de mon double gode ceinture installé sur moi. Des vas et viens incessants se font sentir dans ta bouche gourmande, et tu es toi, de plus en plus affamé. J'aime te voir t'appliquer, t'activer à la tâche. Je peux même apercevoir ta queue dégoulinante, coulante à souhait comme j'adore tant la voir. Je décides de me relever et revenir ensuite derrière toi. Délicatement dans un premier temps je te pénètre la Chatte sans que tu ne puisses rien y faire. D'ailleurs as tu seulement l'envie du contraire. Mes mains sur tes hanches, je te prends. Tout doucement, puis doucement, puis plus vite, puis de plus en plus fort. Te sentant si offert, je décides cette fois de te percuter, te défoncer, te piner, et je t'entends gémir à la fois de douleur et de plaisir sous mes coups de reins de plus en plus rapides. Pendant que je t'ordonnes de te branler sans jouir. Juste ta queue qui déborde, qui dégouline et toi qui me supplie tant tu veux jouir mais sans y avoir droit. Hummm. Tu es si beau lorsque tu m’appartiens !!!!!...................
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Par : le 08/05/25
Récit fictionnel le retour.. Thème : une soirée dans un donjon privé Au moins 4 personnages  Aucune contrainte littéraire   Ma tête repose sur sa jambe. J’aime sentir la texture de son jean, douceur de ce tissu noir dont je caresse ma joue par de doux mouvements. Sa main, posée sur ma tête, joue avec mes cheveux et descend jusque dans mon cou.  Ma respiration est calme, apaisée. Elle suit celle de SweetS que je devine en regardant son dos. Il est aux pieds de sa Maîtresse, LadyM. Par de beaux mouvements, il caresse ses pieds, les masse, les chérit. Je suis si bien là, à ma place, aux pieds de mon Monsieur. Mon dos et mon cul chauffent encore de ce qu’ils viennent de vivre. Le ronron des voix me berce, Je m'endormirais presque.   Mon cerveau tourbillonne encore de sensations. Que ce fut bon…   Ce soir, j’ai rejoint mon Monsieur chez lui. Je savais que la soirée serait spéciale. Il avait dit vouloir me présenter à une de ses amies de longue date. La fameuse LadyM. Des bribes de leur complicité m’étaient parvenues au travers de nos différentes conversations. J’allais enfin la rencontrer ! J’étais très impatiente !   Mon Monsieur avait préparé une tenue pour moi. J’aime tellement qu’il le fasse. J’aime revêtir ce qu’il choisit avec tant de soin. Des bas couture noirs, un magnifique porte-jarretelle, un ensemble de lingerie que nous avions acheté ensemble (hum quel délice ce moment..) et une veste de smoking, longue, couvrant mes fesses et largement échancrée devant. Et des talons, évidemment. Juste cela. Agrémentée de notre collier, reliée à mon Monsieur je suis, par une laisse de chaîne qui cliquette au moindre geste. “Un détail ma Louve, culotte par-dessus le porte-jarretelle”. Ah, d’accord Monsieur…la soirée s’annonce vraiment bien…   LadyM nous a invités chez elle. SweetS, son soumis, nous invite à entrer. Il porte un magnifique anneau métallique en guise de collier, ainsi qu’un boxer en dentelle. Superbe corps que le sien, athlétique, sculpté, légèrement hâlé. Un regard brillant et malicieux. Une traction de ma laisse me rappelle à l’ordre. Sourire. “Pardon Monsieur”.   SweetS nous installe dans ce petit salon où je reprends mes esprits en ce moment. Fauteuils confortables, ambiance feutrée. Il nous propose des boissons puis vient prendre place aux pieds de sa Maîtresse. Les deux amis de longue date discutent, se détendent…Moi je n’ai d’yeux que pour ce qui m’entoure : le mobilier est superbe. Bois et métal, une croix trône au centre de la pièce. Elle est magnifique. Imposante, robuste, austère.  Un crochet au plafond, un râtelier où je vois pendre des lanières sans pouvoir distinguer les détails.  Atmosphère propice aux jeux, pour laisser le perversion de nos dominants jouer avec nous.   Une traction sur ma laisse me fait lever les yeux vers Monsieur. Son regard brille. J’y vois ce délicieux moment où les choses commencent à basculer. Ma respiration s’accélère. Il emprisonne mon regard du sien et me guide vers le centre de la pièce. Des mains capturent les miennes alors que je vois ses pupilles se dilater. Je me retrouve menottée en un instant. Bruits de chaîne, de poulie, me voila suspendue au crochet. Sa main glisse sur mes fesses, les caresse, les presse. Et je sens ma culotte glisser à terre. Toujours respecter les consignes en matière d'habillement !!   Une musique forte envahit la pièce. De l’opéra. Musique inconnue pour moi. L’air vibre de ces voix.  Un murmure dans mon oreille : “sois sage, ne bouge pas…et profite”. Et je perds la vue, un bandeau recouvre mes yeux.   Je suis prête. A quoi je ne le sais pas. Mais mon corps est tendu, dans cette position à la limite de l’inconfort. Mes pieds ne reposent au sol que sur la pointe des orteils. J’essaie de ne pas bouger. Mais que font-ils ? Je sens que ça bouge autour de moi, que des choses sont déplacées. Et le premier impact tombe….Enfin ! Je reconnais la sensation du martinet. Mon dos, mon cul. Les impacts chauffent ma peau. J’aime cette douce brûlure. Elle me rassure, m’emmène doucement à me connecter avec mon corps. Que c’est bon. Progressivement l’intensité monte. Et fluctue. Plus fort, plus doux. Dos, épaules, fesses, cuisses. Une claque magistrale sur le cul me rappelle à l’ordre. “Ne bouge pas !” Difficile, Très difficile. La chambrière fait alors son apparition. La musique est toujours aussi présente mais je sens les respirations s’intensifier. Les coups ciblent d’abord mon dos. Ca pique. Et ça s’insinue plus en profondeur. Je suis la trajectoire sous ma peau. Doux lâcher prise que ce moment où mon cerveau se tait et me laisse regarder mon corps de l’intérieur. Impact, sensation profonde. Impact, je descends. Impact, je ressens. Impact, j’oublie tout. Impact, je suis vivante. Impact, j’aime cette douleur qui m’appartient. Impact…   Aille, c’est quoi ça ? Alors que la chambrière s’acharne à laisser des traces sur mon cul, une lanière vient de cingler ma poitrine. Je comprends alors. Ils ont décidé de jouer à quatre mains ! Devant, derrière. Les impacts pleuvent. Je tourne, je vire. Incapable de rester sage et immobile. Ils sont partout, prennent possession de tout. Mon cerveau a foutu le camp. Je ne suis que sensations. Mon bandeau m’est arraché. Et je le vois. Mon Monsieur. Son regard est noir, intense, possessif, animal…bestial. Il se délecte de me voir ainsi et il veut voir le plaisir que je prends sous leurs coups, sous leur sadisme à tous les deux. Quelle intensité ! quelle possessivité à l’état brut ! pas besoin de mots, je lui appartiens complètement, il me possède. Chaque partie de mon corps, de mon âme lui est reliée par cette lanière en cuir qu’il  fait jouer sur ma peau, et qui m’imprègne en profondeur. Je chauffe de tous les pores. Je brûle.   Ivre de sensations, mes mains sont détachées. Je suis placée à quatre pattes devant mon Monsieur. Il se dresse devant moi de toute sa hauteur..  “Lève la tête, ouvre la bouche, tire la langue”. Ses doigts prennent possession de ma bouche. Je les suce, les lèche, les aspire. Ses mains agrippent mes cheveux, sa queue a pris la place de ses doigts. Sur mes lèvres, ma joue, dans ma bouche. Alors que je prends un plaisir incroyable à jouer avec sa queue, on écarte mes jambes. SweetS se glisse sous mon corps. Une main vient appuyer sur mon dos pour que j’abaisse mon cul sur son visage et je sens alors sa langue glisser sur ma chatte. Sensations exquises de mon corps stimulé à ses deux extrémités. Monsieur baise ma bouche comme il sait si bien le faire. Il prend son plaisir, tout en connaissant parfaitement celui que j’y prends également. Il sait que j’aime qu’il me brutalise, qu’il me maltraite ainsi. Je perds pied. Je sens que ça monte. Mais ça reste bloqué. C’est insupportable. Encore, plus loin, il m’en faut plus.. Les coups de langue de SweetS vibrent, sont saccadés. Fouet. Je sens le fouet de LadyM s’abattre sur mon dos. Je comprends alors qu’elle fouette son soumis pendant qu’il me donne ce plaisir. “De quel droit tu te retiens petite salope ?” “Qui t’a autorisé à décider d’en vouloir encore ?”. “Lâche tout, maintenant !”. Et comme une digue retenant mon orgasme depuis des décennies, la barrière saute, cède…Je suis emportée par mon plaisir, le fouet cinglant mon cul, la chatte torturée par une langue experte et la queue de Monsieur inondant ma bouche. Je tremble, je largue les amarres. J’abandonne tout. Je vis. Je suis là et je ne suis plus là. Vivante, enfin, à mort.   Mes yeux se ferment. Ma joue caresse la douce texture de ce pantalon noir. Sa main parcourt encore mes cheveux. Je suis moi, à ma place, à ses pieds.  
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Par : le 08/05/25
Après des mois de frustration, mon envie de jouir était devenue si ardente que je n'ai pu résister de supplier mon Maître de me libérer de cette souffrance et de cette excitation. Ce sentiment paradoxe troublant ne faisait qu’accentuer l’abondance de ma mouille, qui ruisselait lentement le long de mes cuisses. Durant ces mois de silence et de tension, je luttais, tant bien que mal, contre l’élan irrépressible de glisser ma main sur ce bouton, chargé de pouvoir, de promesses, de bienfaits. Une seule caresse aurait suffi à me faire imploser. Mais mon Maître, depuis longtemps, en détenait l’autorité. Prisonnière de sa domination, mon dévouement ne cessait de croître, m’abandonnant peu à peu au supplice de ses désirs et à la cruauté exquise de son sadisme. Je me souviens… lorsque j'était à l’université, en pleine période de révisions, avoir ressenti une immense peur de l'echec m'envahir, un doute profond sur mes capacités scolaires. Le stress me consumait, j’avais besoin de l’évacuer… de m’en délivrer. Mes doigts agrippèrent le bureau avec violence, et ma concentration s’envola, venant se poser sur ce seul point d’ancrage capable de m’apaiser : ce bouton, cette zone, cette clé vers un réconfort intense. Ce fut là, pour la première fois, que je ressentis une libération aussi soudaine qu’incontrôlée : un orgasme puissant venant me câliner brusquement. Mon corps tentait de se libérer de l’emprise que mon Maitre a instaurée. Des vagues d’émotions incontrôlées venaient balancer cette autorité, ce contrôle, sans que je ne puisse résister. Cette expérience, aussi troublante qu'excitante, était revenue me titiller quelques fois dans l'année. Je me souviens avoir ressenti un grand changement lorsque j'ai reçu une magnifique explication venant d'une femme admirable : "Debora Campailla". Durant un live sur le thème de l'orgasme, nous avons abordé un point essentiel et pourtant encore trop peu abordé à mon goût : la relation que nous entretenons avec nos orgasmes. Au fur et à mesure du live, Debora nous a demandé notre frein principal concernant notre relation avec nos orgasmes, les problèmes que nous pouvions rencontrer. Alors je l'ai décrit en deux mots : "échappatoire et besoin". Puis j'ai expliqué : "Mon frein principal est le fait d'avoir une relation très forte avec mes orgasmes. C'est une échappatoire pour extérioriser les émotions trop fortes : le stress, la joie, les peurs. Et ça impacte ma relation BDSM parce que je vis très mal la frustration / le denial / l'interdiction de jouir." Elle a ensuite créé un texte à trous que nous devions compléter avec notre propre histoire, notre passé. Que je tiens à vous partager. "Je me souviens que ma première expérience liée à l'orgasme a eu lieu à l'âge de 11 ans. À ce moment-là, je me sentais curieuse et je n'avais aucune perception de l'orgasme... En grandissant, mon éducation sexuelle a été taboue et honteuse, ce qui a influencé ma perception de l'orgasme en le considérant comme quelque chose de mal et trop intime pour le vivre ou en parler. Je me rappelle particulièrement d'une expérience marquante où j'étais en situation de stress dû à des disputes à la maison entre les membres de ma famille, ce qui a affecté ma relation à l'orgasme en le considérant comme une échappatoire et un moyen d'extérioriser et de ne plus entendre les cris, seulement les vidéos porno où les personnes prenaient du plaisir. Aujourd'hui, je décrirais ma relation actuelle avec l'orgasme comme étant une addiction, un besoin, et je ressens que cela impacte ma vie quotidienne en me réfugiant constamment dans les orgasmes à la moindre émotion, alors que mes émotions peuvent se gérer autrement. Si je pouvais changer une chose dans ma relation à l'orgasme, ce serait d'avoir un peu moins d'attache, car je crois que cela me permettrait de donner plus de contrôle à mon Maître sur mon corps, ainsi lui obéir comme il se doit, comme l'esclave que je rêve de devenir." C'est à ce moment-là que j'ai compris. Mettre en lumière nos propres difficultés permet de conscientiser notre passé, ainsi éviter les échecs qui nous freinent à devenir la meilleure version de nous-mêmes et faire de nos rêves une réalité. Des larmes s'en sont suivies. Mais une explication a tout changé. Debora nous a expliqué que l'orgasme n'est pas le but à atteindre, un objectif à conquérir, une mission où la fin est plus importante que le chemin. Le plaisir, quant à lui, est ce but, cette mission, cet objectif. Le plaisir ne se trouve pas uniquement dans la destination, mais dans le parcours que nous avons. L'orgasme, tout comme notre plaisir, n'est pas une chose que l'on fait apparaître. C'est une chose qui est déjà profondément présent en nous, que nous choisissons ou non de faire ressortir. L'orgasme est intérieur, et nous avons la possibilité de l’extérioriser. Le réconfort ne se trouve plus dans le fait de l'extérioriser, mais dans le fait qu’il est déjà ancré en nous et qu'il nous accompagne partout. Depuis ce jour, je n'ai considéré mes orgasmes comme un besoin, un but, et je n'ai ressenti ce désir de jouir que très peu de fois dans le mois. Le désir se trouvait avant tout dans l'idée de glisser ma main entre mes cuisses et de sortir mes jouets pour m'amuser sous l'autorité et l'œil aiguisé de mon Maître bien-aimé.
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Par : le 08/05/25
  Tu attends. Debout immobile, enveloppé dans un manteau trop court pour vous protéger, le corps tremblant sous l'air de la nuit. Les yeux baissés, le cœur bat la chamade. Un coin de rue. Le rire se déverse d'un bar voisin, ainsi que des regards - certains éphémères, d'autres s'attardants.   Tu restes. Parce qu'il t'a dit de le faire.Quand il arrive, il ne dit rien. Il vous entoure comme un prédateur, silencieux. Puis, avec un geste net, il soulève le bord de votre manteau. Pas de mots. Pas de sous-vêtements. Juste toi - pris entre la peur et le désir.   - « Regarde-toi », dit-il enfin. « Ils te voient. Ils voient ce que vous êtes. »   Votre gorge est sèche, vos pensées sont floues.   — « Dis-le. Dis ce que tu ressens. Dites ce que vous êtes. »   Tu avale fort. Puis, doucement :   — « Je... J'aime ça. Être vu. Être exposé. »   Il vous étudie, expression illisible.   — « C'est ce que je pensais. »   Il ne te prend pas la main. Il n'en a pas besoin. Il marche. Et vous suivez. Chaque pas ressemble à une confession. Le vent soulève le manteau. La ville veille. Ou vous imaginez que c'est le cas.   À l'hôtel, il s'enregistre. Tu t'agenouilles à côté de lui sans un mot. Pas parce que vous devez, mais parce que vous en avez besoin. Les regards reviennent. Mais vous vous concentrez uniquement sur lui.   Dans l'ascenseur, il vous tourne pour faire face à votre reflet.   — « Regarde. C'est ce que vous êtes maintenant. »   Vous hésitez. Il tape votre menton doucement, mais fermement.   — « Pas un jouet. Pas une victime. Autre chose. Quelque chose de brut. Prêt. »   Dans la pièce, la porte se ferme derrière vous, et le monde s'estompe. Il n'y a que lui maintenant. Et toi. Et la ligne que vous franchissez ensemble.   - « Déshabiller. Lentement. »   Tu le fais. Pas pour la séduction, mais pour l'abandon. Chaque mouvement est délibéré, cérémoniel. Lorsque le manteau glisse de vos épaules, il marche autour de vous. Silencieux. Présent. Dominant.   Vous vous agenouillez sur le sol froid, la peau sur le bois, et vous sentez le changement. La perte du contrôle. Le don de quelque chose de plus profond que le corps.   Ce qui suit est intense. Difficile. Il vous guide, non seulement par la commande physique, mais aussi par les endroits à l'intérieur de vous-même que vous n'avez pas osé visiter seul. À chaque acte, il ne vous prend pas - il révèle. Retire les couches. Teste.   La douleur devient le langage. La retenue devient libération. Vous pleurez - non pas par peur ou par tristesse, mais parce que quelque chose en vous est en train d'être défait, réécrit. Et il est là pour tout ça.   Quand c'est fini - non, pas fini, mais en pause - il ne disparaît pas dans le silence. Il est là. Contre vous. Te tenir.   - « Tu respires », murmure-t-il. « Parce que je suis toujours là. Parce que tu es à moi. Et parce que je t'aime. »   Et dans cette immobilité, dans ses bras, vous découvrez une vérité non pas de soumission, mais d'être vraiment vu.   Tu t'endors. Non diminué. Mais entier.
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