La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/10/25
Sir Watson est un jeune banquier  célèbre  dans la City pour ses coups en bourse et avec les cryptomonnaies. Il a épouse une superbe jeune aristocrate Lisbeth,  pour le prestige de son rang. Il n'aime que le grand luxe. C'est aussi un coureur invétéré de jupons. Tout allait bien dans leur couplé jusqu'au jour où Lisbeth s'est rendue compte de ses infidélités. Une insulte qu'elle ne pouvait laisser passer. Le divorce, hors de question pour elle. Dans sa noble famille ce mot n'existe pas. Elle décide de dresser son époux comme il se doit. Elle l'invite pour un séjour dans un des châteaux de sa famille illustre situé dans les Cournouailles, une terre battues par les vents. Elle a soigneusement préparé son piège. Sous prétexte d'une visite du château, elle montre à son époux les cachots secrets et réussi à l'enfermer. Ce dernier hurle. -Crie tant que tu veux mon chéri, tu ne sortiras d'ici que brisé et définitivement fidèle.  Tu m'as trahi et trompé.  Tu vas le payer très cher et je vais t'oter toute envie de recommencer. Sache le, ces cachots ont servi à en mater bien d'autres depuis des siècles.  - Tu es folle. Je porterais plainte contre toi.  - Si tu sors un jour...mon chéri,...tu n'as pas le choix. Tu vas devoir désormais m'obeir en tout et pour tout. Ta trahison t'a fait perdre ton statut d'égal à égal dans notre couplé. Et ne t'avise pas de vouloir divorcer.  Aidée par son fidèle valet, un colosse aux muscle d'Acier, sir Watson a du commencer par subir le fouet, nu, suspendu à des chaînes. Puis il a dû porter le redoutable carcan briseur de nuques. Au bout d'un mois, les choses ont commencé à changer pour lui. Il a supplie son épouse de lui pardonner, promis qu'il ne recommencerait plus jamais.  - Tes suppliques ne sont pas suffisantes et tes promesses ne valent rien. Je vais te marquer au fer brûlant et désormais tu vas devenir mon esclave.  Et lisbeth a fait cela. Sir Watson s'est rendu compte qu'il aimait encore plus son épouse. Il a accepté tout ce qu'elle lui faisait subir. Et même  il a commencé à y prendre beaucoup de plaisir.  -Ton dressage est provisoirement terminé, lui a dit Lisbeth. Nous allons rentrer à Londres. Pour les autres tu seras toujours mon époux. Pour moi tu sais où est ta place désormais. Tu es et restera mon esclave jusqu'à ce que la mort nous sépare.  Sir Watson a repris son travail et gagné encore plus d'argent.  Il est devenu amoureux fou de sa femme. Il n'a plus jamais regardé d'autres jupons. 
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Par : le 15/10/25
Maître Tom ne peut pas se contenter d'une seule soumise à dresser. Il considère le couple comme une cage. Il aime pouvoir disposer de son harem de soumises et le mettre en concurrence pour son plaisir. Par contre ses soumises lui doivent une obéissance et une fidélité absolue. Dans l'autre sens, il exige une exclusivité totale. C'est le contrat de départ. Maître Tom n'a pas besoin de leur poser des outils pour une chasteté contrainte, comme par cages  ceintures ou cadenas,  non,  il sait qu'il peut compter sur la fidélité absolue des soumises de son harem. Il n'a pas de favorite. Il les aimes toutes pareil. Par contre toutes les soumises fantasment d'être sa favorite. Toutes doivent faire des efforts pour plaire à Maître Tom  et ce jeu de séductions et d'attirances l'amuse beaucoup.  Toutes sont jalouses des autres dans cette compétition pour avoir les faveurs de Maître Tom. Mais une plus que les autres, sa superbe Vipie. Une spéciale compétition question jalousie, qui devient rouge piment  lorsque Maître Tom s'occupe d'une autre soumise qu'elle.  Aussi pour la dresser,  et la faire bien souffrir, Maître Tom a passé un collier de chienne à Vipie et il a fixé ce collier par une chaîne au mur. Elle n'a droit qu'à une carpette pour chienne et une gamelle d'eau.  -chienne Vipie, c'est un privilège pour toi de garder de la sorte la couche de ton Maître. Tu es une bonne chienne. Mais gare si tu n'obéis pas.  Vipie ne peut pas battre de la queue, mais son joli petit clito se dresse lorsque son Maître s'occupe d'elle.  Et Maître Tom adore faire souffrir Vipie. Il prend toujours soin de s'occuper d'une autre soumise devant elle. Chaque fois Vipie enrage, devient rouge et transpire. Interdiction zbsolue d'aboyer sans quoi c'est la muselière et le cachot noir. Vipie doit souffrir de sa jalousie en silence. Maître Tom prend plaisir à torturer Vipie. Il prend toujours soin de terminer une séance en sodomisant ses soumises pour qu'elles comprennent bien qui est le maître. C'est le moment qui fait le plus souffrir Vipie. Voir son propriétaire prendre son pied dans le cul d'une autre. Et pire Maître Tom demande toujours à la soumise qu'il vient d'enculer d'aller pisser dans la gamelle de Vipie pour souiller  son eau. Les chiennes comprennent très bien ce que cela veut dire.  Maître Tom laisse toujours sa chienne méditer une heure ou deux, seule à côté de sa gamelle souillée.  Puis il vient détacher Vipie. Il la nettoie avec de la paille bien rêche.  Ensuite tenue en laisse et à quatre pattes, il l'emmène faire un tour dans le jardin. Vipie à un coin où elle peut pisser à son tour. Son maître joue avec elle et la dresse avec une baguette fine qui claque et fait très mal. Vipie est heureuse lorsque son Maître s'occupe d'elle. 
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Par : le 08/07/25
Jubu est un petit caïd du 93. Toujours plein d'idées le Jubu pour se faire du fric facile. Il a créé un site sur le darkweb pour proposer ses services comme dresseur d'épouses casse couilles. Son slogan: ne tuez pas votre épouse, ne divorcez pas pour payer des pensions sans fins, dressez vos femmes. Avec nous services garantis.  En huit jours nous vous matons votre femme pour l'obliger à vous obéir au doigt et à l'œil.  Cinglé le Jubu ? Non, juste un opportuniste. 5000 euros le recyclage d'épouse pour 8 jours complet. Pour Jubu c'est presque cadeau comparé à la prison ou aux pensions. Alfred est terrorisé par sa femme, la très belle Brigitte aux seins lourds. C'est elle qui porte la culotte depuis le début. Alfred a peur de sa femme qui le fait ramper comme un vermisseau à la maison. Il file droit, sinon il dérouille et il sait qu'il ne fait pas le poids.  Il a contacté Jubu via son site. Ce dernier a tout organisé.  Alfred a offert une semaine de vacances à  sa femme dans un coin idyllique qu'elle ne verra jamais.  Le rendez vous est sur un parking discret. Jubu à garé son 4x4 et a empoigne Brigitte par les cheveux, l'a ligottee et jettee dans le coffre comme de rien.  Brigitte a hurle au début mais Jubu lui a fait chut avec le doigt et elle a eu très peur et n'a plus osé rien dire. Jubu porte écrit sur son front le mot terreur. Et c'est vrai qu'il est terrifiant. Brigitte a pissé dans sa culotte de trouille. Ils ont roulé un peu. Les pneus ont crisse. La portière a claqué . Une main a empoigne Brigitte et elle a reçu deux baffes. -Salope, qui t'a permis de pisser dans ma bagnole.  Brigitte était morte de trouille. Plus d'Alfred. Seule avec ce fou furieux. Elle a été conduite au garage et s'est retrouvée suspendue par les bras. Jubu l'a foutue à poil en découpant tous ses vêtements avec un gros couteau. Puis il a empoigne les poils de sa chatte et en a coupé une grosse mèche qu'il a reniflee.  - Très vraiment une salope toi, tu ne te fais pas assez ramoner.  Il a sorti un gros ceinturon de cuir et a commencé par lui frapper le cul. Et quand Jubu frappe, il ne fait pas semblant. Brigitte a hurlé,  pleuré,  supplié,  autant parler à un mur. Et elle s'est encore pissée dessus de trouille. Cette fois elle avait vraiment peur.  Puis Jubu l'a attachée à une table avec du gros chatterton. Mains et pieds liés et son magnifique cul tout rouge offert.  Et Jubu l'a enculee d'un coup. Brigitte était vierge par là.  Un coup terrible. Une douleur horrible. Et jubu a pris son pied. Il l'a baissée longtemps puis il a lâché son foutre en elle. Brigitte n'avait plus mal. Elle avait déconnecté.  Elle était devenue une autre. Plongée dans le subspace ?  Le dressage a durée une semaine. Brigitte a été fessée,  fouettée,  enculee et elle n'a plus compté.  Et surprise, au bout d'un moment, elle a commencé à prendre son pied et à jouir. C'est même devenu de plus en plus jouissif pour elle. Pourtant Jubu ne l'a pas prise par la chatte. C'est dans son contrat de dressage. Au bout d'une semaine il a reconduit Brigitte, nue avec un collier et une laisse sur le parking. Elle a retrouvé son époux Alfred, qui de son côté avait reçu des consignes strictes.  Brigitte n'a rien dit pendant tout le trajet retour. Elle est restée sage, mains sur les cuisses ouvertes. Alfred a eu envie de sa femme. Il s'est arrêté dans un petit chemin forestier et lui a demandé de s'allonger sur le capot de la voiture. Ils ont baisé comme des malades et joui très fort tous les deux. Alfred a allumé une clope. Après s'être bien vidé les couilles dans la chatte serrée de sa femme  il a eu envie de son cul. Elle lui avait toujours refusé cela. Brigitte le lui a offert cette fois sans dire un mot. Et ils ont encore joui très fort tous les deux. Enfin le couple faisait vraiment l'amour. Alfred n'a pas regretté ses 5000 euros.  Depuis Brigitte est heureuse à la maison. C'est devenue une parfaite épouse obéissante en tout et pour tout. Elle sait que si elle ne file pas droit, Jubu viendra s'occuper d'elle pour lui botter le cul ou pire,  il enverra un de ses loubards le faire à sa place. C'est dans le contrat. Alors, il plus agréable d'obéir,  surtout qu'Alfred à retrouvé toute sa virilité et la baise bien.  Il n'oublie pas de la prendre sur ses genoux de temps en temps, pour lui flanquer une bonne fessée et la sodomiser le cul bien rouge après.  Un mari qui sait donner du plaisir à sa femme est le plus heureux des hommes.       
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Par : le 02/05/25
Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon. -Attention, ce texte raconte une scène de non-consentement. "Rose s'appliquait à défaire méthodiquement les œillets lorsque la porte s'ouvrit. Lily se tenait dans l'encadrement, son visage fatigué suintait à la lueur de la bougie qu'elle tenait. Malgré tout sa posture restait droite et digne. Son corset semblait avoir été quelque peu desserré. —Dame Lily… murmura Rose. Sans un mot, Lily posa sa bougie sur la commode et s'avança dans la pièce. Elle passa ses deux mains dans sa longue chevelure et la secoua en respirant profondément. Son regard se fixa sur Rose, qui interrompit immédiatement son travail sur le corset de Violet. —Rose, appela Lily. Sa voix était ferme malgré sa fatigue évidente. —Viens ici. Un tantinet soucieuse, un tantinet confuse, Rose quitta le lit de Violet et s’approcha lentement de Lily. — Rose, dit Lily, tu as bien conscience, je suppose, de l’énorme faute que tu as commise ce matin ? — Ou… Oui, dame Lily. Je vous demande pardon. Et je vous remercie d’avoir pris ma protection face au maître. Elle s’inclina face à Lily. — Dans cette demeure, poursuivit cette dernière, une discipline stricte est de rigueur. Elle est demandée par le Maître et il est plus que nécessaire d’être à sa hauteur. Rose écoutait le sermon avec attention. Elle était consciente de sa faute. — C’est pourquoi, nous avons une règle simple à laquelle on ne déroge jamais. Toute faute, la plus petite soit-elle, appelle à une correction disciplinaire. Rose écarquilla les yeux. — J’ai été corrigée par le Maître, car j’ai failli à mon rôle. Celui de t’inculquer une discipline stricte. Il est donc temps que je commence à le faire selon les règles de notre petite maison. Lily tapota ses cuisses. — Couche-toi sur mes cuisses. Rose fut prise de panique. Elle avait instinctivement compris ce qui lui était demandé. Cette position, elle l’avait souvent tenue dans l’enfance. Mais ici ? Maintenant ? Elle avait le cœur qui s’emballait.  —Je… je… —Tu fais partie de la demeure, oui. Alors, tu te soumets à ses règles, expliqua Lily. Quelques secondes passèrent sans réaction de Rose. —À moins que tu ne décides de nous quitter ? À la première difficulté. —Je… non, dame Lily. J’ai besoin de cet emploi, Madame. —Alors dépêche-toi. Sur mes cuisses. Mais Rose restait immobile. — Maintenant ! s’écria Lily. Ne me force pas à venir te chercher. La tension augmenta d’un coup dans la pièce. Rose dévisagea Lily avec un regard apeuré. Mais elle finit par s’approcher.  Une fois à côté de Lily, elle hésita longuement. Elle avait déjà subi une première humiliation durant l’après-midi. Pourtant, elle était toujours debout. Entière. Elle était plus forte que toutes ses règles dégradantes.  Lily tapota ses cuisses de nouveau. Rose s'allongea sur ces dernières. Sa chemise de nuit remontait légèrement sur ses mollets. Une vague de honte la saisit aux tripes. Elle, une femme de vingt-deux ans, allongée comme une gamine pour recevoir une fessée… Le sang lui monta aux joues tandis que sa position la ramenait brutalement à l'enfance. À ce sentiment d'impuissance et d'humiliation qu'elle croyait avoir laissée derrière elle. —Relève ta chemise de nuit. Chaque phrase était donnée sur un ton si autoritaire, Rose savait qu’elle n’aurait jamais la force de les contester. Au fond, elle le savait bien. Elle avait toujours été une petite chose docile et soumise. Les mains tremblantes, elle remonta sa chemise jusqu’à sa taille. Exposant ses cuisses, puis ses fesses. L'idée que Violet assistait à sa punition redoublait sa honte. —Culotte sous les genoux. Encore une fois, Rose se soumit. Lily posa sa main sur le fessier de la servante. C’est à ce moment-là que, pour la première fois elle le réalisa. Rose était dotée d’une silhouette gracieuse. Ses hanches étaient larges et ses fesses rebondies. Elle en fut frustrée. L’idée que son précieux Maître puisse ressentir de l'excitation pour Rose fit monter en elle une pointe de jalousie. Elle leva la main bien haut, elle avait l’occasion parfaite d’évacuer cette jalousie. — Dans ce manoir, dit-elle fermement, chaque action a des conséquences. Elle abattit sa main dans un claquement sec. — Oui, dame Lily, gémit Rose. Lily la fessa deux fois encore, sans retenue. Le son humiliant des fessées résonnait dans la chambre silencieuse. Rose sentait la brûlure grandir sur sa peau. — Compte, ordonna Lily. Et elle la frappa encore. — Un, geignit Rose. La main s'abattit à nouveau. —Deux… Au cinquième coup, de petites larmes montèrent aux yeux de la servante. Chaque claquement était ponctué par sa voix tremblante. Au dixième coup, elle dut étouffer un sanglot. Sa peau brûlait, mais plus encore, c'était son orgueil qui souffrait. Être ainsi réduite à l'état d'enfant punie, c’était une humiliation cuisante. Elle tourna le regard vers Violet, espérant que celle-ci ne regarde pas la scène. Malheureusement, elles tombèrent les yeux dans les yeux. Violet ne manquait pas une miette du spectacle. —Les yeux baissés, Rose. Tu me baisses ton regard. —Oui dame Lily, geignit Rose. Elle baissa puis ferma les yeux alors que la main de Lily s'abattait pour la treizième fois.  —Treize, murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Les coups suivants furent plus mesurés, comme si Lily dosait précisément sa force pour infliger une douleur constante. À chaque impact, Rose prenait conscience que ce rituel pourrait se répéter chaque fois qu'elle commettrait une erreur, même minime. Cette réalisation s'insinuait en elle petit à petit. Au manoir, ses fautes ne seraient jamais pardonnées sans conséquence. —Dix-huit, geignit-elle. Sa fesse claqua encore. —Dix-neuf. Un autre coup retentit. —Vingt. Lily reposa sa main sur la peau brûlante de Rose, lui arrachant un frisson. Elle fit des vas et viens avec ses ongles. Elle se surprit à trouver les fesses de Rose érotiques. Pourquoi se sentait-elle enivrée par une femme ? Ce n’était pas une sensation qu’elle avait déjà eue avant. Elle tapota la fesse droite de Rose et, d’un mouvement inattendu, vint la saisir et la peloter. Rose gémit un souffle chaud, se mettant à haleter. Ce fut le son de sa respiration qui sortit Lily de sa petite transe pleine de désir. —Violet, dit-elle, dans le tiroir. Rose entendit Violet quitter son lit. Qu’y avait-il dans le tiroir ? Elle mourrait d’envie de tourner son regard, mais dame Lily avait été claire dessus. Ses yeux resteraient donc rivés vers le sol. C’était tout ce qu’elle méritait. Tout à coup, elle sentit un contact froid sur sa fesse. Presqu’apaisant en contraste avec la chaleur de son derrière. Qu’était-ce ? Elle aurait dit du bois. Elle n’eut pas le temps de se poser la question. L’arme s’abattit et une nouvelle douleur sèche irradia tout son fessier.  — Compte ! ordonna Lily. Et elle la frappa encore avec la cuillère en bois. — Vingt-deux, dame Lily. Alors, la fessée disciplinaire se poursuivit." Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon.
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Par : le 22/12/24
Comme pour le dressage des belles juments retives, un manège.  Cours Heidi cours tant que tu veux, tourne bien en rond. De belles boucles. Et lève bien ta croupe quand tu cours.    Le dresseur lui ne bouge pas, il est au centre et tient à la main une fine et longue baguette en bambou souple.   Après quand tu auras bien tourné manège et que tu seras épuisée....mum Oui,  cela t'irais bien, un mors de jument dans la bouche et un harnachement de tête pour jument rétive avec un joli plumeau au dessus.  Après dressage  de belles bottines en cuir pour que tu puisses bien trotter sous la baguette. Un plug anal avec une belle crinière. Le manège c'est pour t'éxercer, le pas, le trot, les figures imposées.   Bonne jument, bonne jument...une petite carotte à croquer en récompense.     Après, le programme "cours Heidi, cours" , c'est le dressage au sulky.  Ton maître sera bien assis avec une bonne cravache pour ta croupe bien musclee. Trotte Heidi trotte...   Tu seras ainsi exhibée nue à faire la jument de race tirant son sulky avec ses belles bottines et son harnachement. Tu seras frottee à la paille  par ton propriétaire et maître après tes courses pour bien prendre soin de ta jolie peau et la rendre luisante.    Bonne jument, bonne jument,....  Et toute bonne jument mérite une bonne saillie avec son étalon reproducteur. ... Le propriétaire de la jument se réservera ce droit de saillie par l'orifice qu'il lui plaira d'utiliser et quand il voudra l'utiliser.  Au séries de manège, de dressages et de courses au trot avec un sulky, il faudra rajouter les mises au pré, avec une herbe bien verte ou Heidi  la jolie jument pourra gambader comme il lui plaira, entièrement nue, sans bottines, pour se renforcer.  Le propriétaire veillera au bien être animal de sa jument bien dressée.    A suivre  
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Par : le 01/09/24
Deux Maîtresses m’ont interrogée sur les conditions de dressage de leur conjoint. La première Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage de son mari en chien. La seconde Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage d’une jeune esclave en pony. Nous avons des situations particulières dont l’analyse peut réellement intéresser les dresseuses. Mes conclusions sont la définition d’une Propédeutique au dressage, que ce soit à un enchiennement d’un mâle assez féminin, ou d'une soumise à un débourrage de pony. Ces cas m’intéressent vraiment parce que les conditions sont originales : les deux couples sont mariés, les Maîtresses et le soumis ou la soumise sont visiblement amoureux, elles-il sont plutôt débutants, surtout dans le petplay, elles-il sont aisées (très aisées pour le second), diplômes de 3eme cycle et CSP+, en résumé de gentilles intellectuelles cultivées et intelligentes. Mais globalement ce sont encore des novices en matière de dressage et surtout de petplay, sauf une expérience réussie de HuCow pour le second couple. Particularité du premier couple : Le mari est très féminin, il a subi une féminisation poussée sans hormones qu’il a adoré mais qui a été abandonnée pour des raisons pratiques, il est très cérébral. Le couple pratique le déni, la chasteté forcée, le cuckolding (hotwifing). La cage de chasteté a été un échec (douleurs rapides). Particularité du second couple : Il est entourée par d'autres couples de femmes. La soumise a de nombreuses lacunes, elle a été formée sans cohérence par deux maîtresses successives, elle est un peu brat à ses heures. Malheureusement ou heureusement, la soumise est séparée de la Maîtresse plusieurs jours par semaine pour des raisons pros. Un maître, qui sait se faire respecter, est associé étroitement et efficacement à la Maîtresse. Ce genre de trio offre de nombreuses possibilités. La suite dans le prochain article.
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Par : le 15/07/24
- Bonjour esclave. Bien dormi ? - J'ai passé de meilleures nuits, Maître. - Oh tu te plains ! C'était une question purement rhétorique. Tu restes silencieuse. Tu sais que tu n'aurais pas dû. Mais, voilà, avec la fatigue, tu as fait une erreur. Je pose le plug gonflable que j'avais prévu pour la session en te regardant dans les yeux. - De toute façon, il me semble que je n'avais rien pris pour la dernière session d'hier. Comme, de toute façon, je fais les règles, je vais aller chercher ce que tu mérites. Je reviens avec un bâton d'électrostimulation. - Double session pour mon esclave ce matin. Tu me fais plaisir ! - Je vis pour votre plaisir Maître ! - Il me semble que les plugs n'étaient pas suffisamment gros pour ton cul de chienne. On l'a bien préparé mais pas encore forcément assez. Je pose le bâton pour l'instant et je prends le gode gonflable. - Allez ouvre la bouche, on va le tester comme ça d'abord. - Oui Maître. - Si quoi que ce soit se passe, tu fais non avec la tête. Tiens prends le dans la bouche. Je te vois ouvrir grand la bouche. Une vraie chienne prête à tout ! Je te le fais sucer, lécher puis je le mets en entier dans ta bouche. Il est déjà assez gros de base alors je le gonfle juste un tout petit peu et je teste que j'arrive à le dégonfler. Je le gonfle un tout petit peu plus et je vois un flot de salive qui commence à sortir de ta bouche. Je te regarde dans les yeux mais tu ne bouges pas la tête. En même temps que je caresse tes cheveux doucement, je regonfle un tout petit peu plus. Je vois que tes yeux s'embrument. Mais tu ne fais toujours pas non. Je dégonfle le gode et je l'enlève de ta bouche. Tu salives tellement, tu craches. Je prends un peu de ce que tu laisses échapper pour l'étaler sur ton visage. - Allez, assez lubrifié, ouvre tes jambes et offre_moi ton cul, salope, que je puisse te le carrer dedans. Ton cul est encore bien dilaté de la veille. Je me demande même si tu n'as pas attrapé un des plugs à proximité de ta cage pour passer la nuit avec. Malgré sa taille, il rentre facilement. Je le gonfle avec moins de retenue que quand il était dans ta bouche. Tu commences à gémir. De plus en pus fort. Tu poses la tête par terre pour pouvoir libérer tes mains qui se pressent contre ton sexe. - Oh, où est-ce que tu te crois sale chienne lubrique ? - Maître, s'il vous plaît, laissez votre chienne exploser ! - Il n'en est pas question ! Attrape la cage devant toi avec tes mains. Je fais coulisser le haut de la cage pour avoir plus de latitude Tu continues à jouer avec toi sans m'écouter jusqu'à ce qu'une décharge te fasse gémir mais, cette fois-ci de douleur plus que de plaisir. - Attrape les barreaux devant toi ! Nouvelle décharge Tu t'exécutes cette fois-ci. Je tire doucement le plug pour écarter ton cul. Une petite décharge sur la cuisse pour que tu comprennes l'ordre, pourtant simple, ne pas bouger et je vais chercher mon téléphone. Ton cul complètement dilaté par le gode m'excite trop pour ne pas immortaliser cela. Je re-rentre le gode et je le gonfle encore. Il est au maximum. J'envoie des décharges à gauche, à droite, les cuisses, le creux des reins, les épaules - Alors envie de ne pas écouter ton Maître ? - Non Maître, non, non, non ! Mais, tout d'un coup, j'ai très très envie de te faire jouir. Une envie de te voir et de t'entendre. Je me dirige vers ton cul et je commence à jouer avec le plug. Je le sors puis le re-rentre d'abord doucement pour voir ton cul tellement dilaté puis de plus en plus vite. - Fais toi exploser sale chienne - Oh Merci Maître !!  Merci !! Et tes mains se précipitent, insatiables. Ta respiration s'accélère et j'ai l'impression que tu vas exploser en 5 secondes. Je sors le plug de ton cul et je regarde le cratère au centre de ton cul. On pourrait très facilement y mettre 3 ou 4 doigts. La douleur te fait perdre quelques secondes mais quand tu m'entends me baisser et cracher bien au fond de ton cul, tu perds complètement le contrôle. Je ne suis pas sûr de t'avoir déjà entendu exploser si fort. Si longtemps ! Ma belle salope au cul ravagé ! --- Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage Partie 6: Un set de plugs Partie 7: Bol en inox Partie 8: Vendredi suite et fin
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Par : le 03/07/24
La cage est propre. Tu as bien travaillé. J'inspecte les barreaux et je ne trouve rien à redire. Le sol n'est pas nickel mais, si je devais être honnête, c'était mission impossible. - Ok, c'est acceptable. Tu as mérité une douche avant  extinction des feux - Merci Maître ! Je ne suis pas complètement convaincu que tu doives me remercier mais je reste silencieux. J'ouvre la porte de la cage, je reprends la laisse et je te regarde marcher à 4 pattes. Je réalise que je n'ai qu'une envie. - Arrête toi là ! Offre-moi ton cul tout de suite. Tu sais ce que tu as à faire. Tu places la joue contre le sol. Tu surélèves ton cul, jambes ouvertes pour qu'il soit à parfaite hauteur. J'enlève le plug qui s'y trouve, je baisse jean et boxer. Je regarde ton cul bien dilaté. Je crache plusieurs fois dedans et je te pénètre avec impatience. Je ne m'étais pas rendu compte que j'étais à ce point excité. En même temps que je t'encule sans ménagement, mes fessées font rougir ton cul. J'attrape tes hanches, je m'y accroche fort et je commence à exploser sans m'arrêter de te prendre, vite et fort. J'explose longtemps et mon sperme commence à couler le long de tes cuisses. Je me retire et j'essuie ma queue sur le bas de ton dos. Je regarde tes cuisses qui ruissellent. - En avant chienne, tu as vraiment besoin d'une douche ! Tu remercies ton Maître en te mettant en avant. Je t'installe dans le réceptacle de la douche. À genoux. Je commence à faire couler la douche. - Ne bouge pas ! Regarde vers le bas, esclave ! Je me déshabille et me dirige vers toi. - Tu n'as pas demandé quel était le prix pour la douche. Et, en même temps, tu sens ce jet chaud qui se dirige vers tes seins puis ton ventre. - Tu peux exploser maintenant chienne ! Aussitôt tes mains se dirigent vers ton sexe et commencent à jouer frénétiquement. Il te faut seulement quelques instants et, alors que le jet de la douche efface urine, faux et vrai sperme, tu exploses bruyamment et ton corps réagit en convulsant. - Allez, tu te sèches, tu passeras un coup de serpillère dans ta cage et tu t'enfermeras dedans pour la nuit. À demain, esclave. - À demain Maître. Merci pour ce début de week-end ! Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage Partie 6: Un set de plugs Partie 7: Bol en inox
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Par : le 31/05/24
Je reviens environ une heure plus tard. Une heure à réfléchir dans la pénombre à ce qui t'attend. En cadeau un set de 4 plugs du plus petit (tout est relatif) au plus gros qui va te préparer à ce qui arrivera plus tard. Je viens te les présenter en les disposant au sol devant toi, ta tête étant maintenue suffisamment fixement pour que tu ne puisses pas regarder autre chose que le sol. Je libère justement ta tête et je te présente le premier plug. Prends-le entre tes mains, pose-le au sol. Il ne doit plus bouger. Seule ta tête peut bouger. - Crache, lèche-le, suce-le. Tu sais que c'est le seul lubrifiant que tu auras avant qu'il disparaisse dans ton cul. Et tu sais que tu as un temps limité pour cela donc tu ne perds pas de temps et après avoir craché quelques fois dessus, tu le fais disparaître dans ta bouche. Tu es devenue experte. - Laisse-le en entier dans ta bouche. Tire la langue pour lécher le sol. Tu t'exécutes. Vraiment très forte. Tu te retires, hors de souffle, et un flot de salive relie tes lèvres au plug. - Encore ! - oui Maître ! Et cette fois-ci je pose mon pied sur ta nuque et je te fais descendre tout en bas te maintenant en place plus que de raison sans doute. Jusqu'à ce que je sente ta tête pousser pour remonter. Enfin quelques secondes de plus. Jusqu'à ce tu commences à tousser. Ce n'est pas toi qui donne les ordres. Il faut que ça s'inscrive dans ton subconscient. Je prends le plug et je me dirige vers ton cul. Je te vois écarter les jambes. Une chienne lubrique qui veut se faire prendre. Je rentre le plug sans aucune hésitation et ça t'arrache un gémissement. Je ne peux m'empêcher de jouer avec en le faisant aller et venir, en le bougeant et je vois qu'il ne faut que quelques secondes pour que ton sexe redevienne luisant. - tu es vraiment une chienne ! - oui Maître, je suis votre chienne. - Good girl ! Et est-ce que tu as besoin de quelque chose. Te faire baiser, je sais. À boire, à manger, autre chose ? - Maître, si vous aviez la bonté de m'apporter quelque chose à manger, je vous serais reconnaissante. - Tu sais que pour chaque demande tu auras un gage à accomplir ? Plus ou moins dur. - Je le sais Maître et je vous en sais gré. Je veux vous prouver que je suis digne de vous obéir, digne de votre confiance. Je veux vous montrer que vous pouvez tout me demander et tout attendre de moi et je comprends que je doive payer pour tout. - Attends-moi, je reviens dans quelques instants avec à manger et je te dirai ce que tu dois faire pour pouvoir manger ce que je te ramène.   Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage      
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Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 29/03/24
"Même absent, il m'observe..." - Noir. Souffle, frémissement. Sons métalliques, froissements de cuir. La captive s'éveille, en douceur, et en cage. Elle sort lentement de sa torpeur ; ses membres s'étirent et sa peau frissonne, un gémissement s'échappe de son bâillon alors qu'elle les déploie malgré les chaînes. Hormis sa tête cagoulée, son corps tout entier palpite et tressaille ; ni l'air frais ni le sol dur ne l'empêchent plus de dormir, désormais, mais il lui faut néanmoins affronter chaque matin leurs empreintes. Non qu'elle ne s'en plaigne. - Quand bien même le voudrait-elle qu'elle ne se le permettrait pas ; courbatures et chair de poule ne sont au pire que de mineures et temporaires inconvéniences. Elle s'y est depuis longtemps habituée. De par sa force d'esprit et son désir de discipline, elle les a même apprivoisées ; le frisson matinal lui est devenu délicieux, et les douleurs musculaires des obstacles à franchir pour mieux savourer les étirements. Sans compter qu'il serait ridicule de geindre pour de telles peccadilles, quand cette même peau est subtilement tavelée de tâchées bleutées, de marques d'impact et de traces de lanières de cuir, dont chacune se fait encore ressentir... Et dont chacune fait sa fierté. - Elle se redresse. Elle s'agenouille. Elle est maintenant bien réveillée. Cela lui prend parfois un peu de temps pour émerger, ou même pour le réaliser ; en ce lieu enténébré sur lequel elle ne pose que rarement ses yeux bandés ou ceints de cuir, le jour et la nuit sont ardus à distinguer. Comme pour tout le reste, sa discipline durement acquise et ses ordres permanents ont pris le pas sur le désarroi des premiers temps, et l'exercice ainsi que l'habitude ont comblé les manques. Lorsqu'elle se redresse, elle évite désormais de se cogner aux barreaux de la cage. Lorsqu'elle s'agenouille, elle sent d'instinct la direction de la porte du cellier ; il lui faut exposer son corps nu et enchainé face à l'huis chaque matin dans l'attente et la patience... du moins chaque fois qu'elle est rangée ici pour la nuit. A l'hésitation originelle à maintenant succédé une calme et prudente expertise. Tatonnements aveugles et emmêlements de chaînons la feraient aujourd'hui davantage rougir que n'importe quelle gifle. Son dos est droit, sa tête basse, son buste relevé pour flatter sa silhouette emprisonnée. Dans la pénombre, on peut croire à une sculpture, tel un hommage à quelque nymphe tutélaire des captives d'un divin geôlier. Mais la jeune femme n'est pas de marbre ; comme toujours, la contemplation de son sort éveille chez elle aussi bien ses sens que son esprit. Ses lèvres et sa langue se font plus sensibles autour de son baillon, alors que son souffle en s'approfondissant roule dans sa gorge enserrée d'un collier. Le fer et le cuir s'échauffent de concert avec sa chair. Elle sent sa peau rosir, ses tétines se raidir, et sa fleur perler d'une frâiche rosée. Cela n'a rien d'une distraction... c'est un impératif, car c'est ainsi qu'elle est désirée, et de tels désirs sont, pour elle, des ordres. En silence, le temps passe. Son maître viendra.
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Par : le 02/01/24
Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) - Partie 3 (liens d'attache) Tu peux entrer esclave. Et te voici qui entre à 4 pattes dans notre pièce. Je suis assis sur le sofa avec une belle surprise pour toi. - Viens ici sale chienne ! Et tu obéis avec un oui Maître clairement articulé. Tu apprends et ça me remplit de fierté. Quand tu arrives, je t'ordonne de te lever et de te déshabiller pour moi. Souvenir d'Exotica, la musique en fond est du Leonard Cohen. Tu fais un strip sensuel. Je te prends par les hanches, te retournes et te force à continuer à danser alors que je positionne ton cul contre mon érection. Plus une ondulation qu'une danse mais tu me fais bander et j'ai envie de te prendre. Mais un Maître doit savoir se retenir. - A genoux esclave. - oui Maître - Voici notre nouveau jouet Et je te tends un gode de taille très raisonnable. Je ne saurais dire exactement si ton regard, à ce moment-là, est un regard de soulagement ou de dépit. - Suce-le salope comme si c'était ma queue. Tu le prends en baissant la tête. Comme une esclave emplie de déférence pour son Maître. Tu me regardes dans les yeux en même temps que tu commences à le branler entre tes seins. Tu te mords les lèvres. Tu laisses ta salive couler sur le haut du gode et tu l'engouffres dans ta bouche comme si tu n'avais pas avalé une queue depuis un mois. Suce salope. Lèche, crache, suce. Fous le toi jusqu'à la gorge. Je te regarde en me touchant pendant quelques minutes. - Fixe la ventouse au sol. Prends le dans ton cul. Pas besoin de le redire. 10 secondes plus tard, le gode est à l'intérieur et tu commences à aller et venir. Je sors le deuxième gode du set. Plus gros. Tu n'avais pas vu qu'il n'y en avait pas qu'un semble-t-il. Cette fois-ci ton regard semble agréablement surpris. - Lèche sale chienne. Jusqu'à ce qu'il soit bien lubrifié. Je vois que c'est déjà plus dur quand je te force à le mettre tout entier dans ta bouche. Tu y arrives mais au prix de quelques larmes qui naissent dans tes yeux. Mais tu sais à quel point j'aime voir ton visage ruiné, couvert de crachat, salive, sperme ou mascara. - Dans ton cul maintenant que tu es échauffée. Je te regarde aller et venir en tenant ta laisse. Tu vas exploser et je vois tes mains qui se dirigent vers ton sexe. - Arrête tout de suite esclave. Si tu exploses, c'est plusieurs heures dans la cage. Lève toi doucement et laisse le gode. Couchée sur le ventre ! Tout de suite ! Je pose mon pied sur ta joue. Tu as interdiction d'exploser. Pour qui tu te prends ?? Je sors le dernier gode. D'une taille qui commence à être moins raisonnable. Je le fixe au sol juste devant ta tête. - Je veux le voir disparaître. Tu as une minute pour t'échauffer. Et tu ne perds pas une seconde pour le lécher comme une chienne, pour le sucer de plus en plus profond. - 5 ... 4 ... Pas besoin d'aller plus loin je le vois disparaître et je te vois lutter. Tu te relèves et tu craches et tousses. - Encore sale chienne ! Et je te fais aller et venir sur le gode qui devient luisant. Le sol aussi qui reçoit ta salive. - Encore Et, quand tu as le gode tout entier dans la bouche, je pose le pied sur ta nuque. Tu essayes de te débattre Mais je maintiens ta tête fermement quelques secondes. Quand je te relâche tu as besoin de quelques secondes pour laisser la salive couler, pour reprendre ton souffle mais tu repars la bouche ouverte et tu l'engloutis encore. - J'espérais que ça te serve de leçon pour vouloir exploser sans autorisation. Mais tu es tellement une salope que rien ne peut te ralentir on dirait. Prends le dans le cul ! - Oui Maître ! Je sens l'hésitation. Que les mots que tu aurais aimé pouvoir prononcer sont il est trop gros Maître. Des larmes coulent le long de tes joues depuis l'épreuve précédente. Le gode est bien fixé, bien lubrifié semble-t-il aussi. Tu te positionnes et tu gémis quand le gode ouvre ton cul. - Continue. Les chiennes comme toi doivent pouvoir prendre n'importe quel gode dans le cul. Tu commences à aller et venir. Je tourne autour de toi. - Je veux le voir complètement à l'intérieur de toi, tu le sais. Je vais commencer à perdre patience. Nouveaux gémissements et cette fois je vois que tu l'as complètement pris. - Good girl ! Gentille chienne ! Je te vois aller et venir et je sais que seule la douleur t'empêche d'exploser. - Continue. Prends-le mais retiens-toi. Je te donne ce dernier ordre à quelques centimètres de ton visage. 2 claques - Oui Maître. Pardon Maître. - Ouvre la bouche. - Oui Maître, crachez dans la bouche ! Tu continues à aller et venir, plus vite sur le gode. Je passe dans ton dos  et je presse sur tes épaules. Jusqu'à ce que ton cul touche le sol. Je continue à presser, à pousser et je te maintiens comme ça. - Merci Maître. Je saisis la laisse et je t'amène jusqu'à la table. Je te prends par les cheveux et je t'oblige à te lever. Je glisse tes mains dans les lanières. Ta tête est posée sur la table. Tu es pliée en 2, le cul offert. Je me déshabille. Je regarde ton cul bien bien dilaté. Je positionne mon sexe et je te pénètre sans difficulté. Je prends tes hanches et je serre fort pendant que je t'encule de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je sens mon plaisir qui arrive. Je lâche tes hanches pour te malaxer et te fesser. Mais je continue à aller et venir toujours plus vite et fort. Je prends tes cheveux et je tire tes cheveux en arrière pour que tu me vois dans le miroir qui nous fait face. J'explose. Longuement. Je te remplis jusqu'à ce que je me retire. Mon sperme commence à couler le long de tes cuisses. - Tu peux exploser maintenant chienne. Tu as toujours les mains attachées. Mais je te vois rapprocher tes pieds pour pouvoir frotter tes cuisses l'une contre l'autre. Tu es tellement prête qu'il faut moins de 30 secondes pour que je t'entende. - Mais quelle chienne fait ça ? Se faire enculer et exploser sans même avoir besoin de ses mains alors que mon blanc dégouline de son cul.  
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