Merci de ce lien Laidy Sienne,
Vidéo très intéressante qui met l'accent sur le corps comme véhicule d'émotions, il n'y donc pas que de la mécanique comme certains le croyent encore aujourd'hui. Et émotion va avec relation à soi-même et à l'autre.
J'ai aimé aussi la distinction entre orgasme et éjaculation, moi qui ai appris à mon soumis à dissocier les deux et que ses orgasmes sont essentiellement mentaux (et à travers les miens) :grin::wink:
Messages
Et oui, il faut de tout pour faire un monde..... merci de votre réponse.
Merci ma jolie.
A bientôt (je viens dans ton coin la semaine de l'armada)
@Laidy Sienne: personnellement, je n'aime pas les femmes intégralement épilées
@gitane sans filtre: Moi qui n'ai pas FaceBook, je vous remercie chaleureusement.
Super intéressant (tout le monde devrait regarder cette vidéo !) Merci du partage
Pour info voici le lien pour ceux qui ne sont pas Facebook
https://youtu.be/WNjv4Xs5kL8?si=dHwisM8OvrQYnZo4
Bonjour et merci pour ce retour.
Peut-être que votre "parenthèse" mériterait un article juste pour l'expliciter. Auquel cas ..... c'est à vous de faire.
Bon dimanche, et salutations à Votre autre.
Bonjour à toutes et à tous.
Merci pour la correction du lien. Même si, du coup, je n'ai pas pu visionner la vidéo puisque je me suis écarté de Facebook.
J'aurais volontiers fait quelques parenthèses à la suite des commentaires lus mais je crains d'être un peu ... hors sujet.
Amanxiame
Merci @Duncan.
Et oui, en effet. Mais il est intéressant de se rappeler : QUI a fabriqué le porno ? et pour QUI ?
Des hommes ..... quand on voit les scénarii minimalistes, plein d'injonctions, pour les hommes comme pour les femmes.
C'est une caricature.
Les hommes doivent être épilés, musclés, bander comme des ânes et jouir à chaque fois
Les femmes doivent être épilées, les seins refaits, aimer le sexe avec les hommes et jouir dès que monsieur éjacule sur leur visage. Leur jouissance à elle, on n'en parle pas.
Quelle tristesse.....nos jeunes découvrent que les femmes ont des poils pubiens lors de leur première expérience.
je rajouterai que l'obligation de résultat, c-à-d mener à l'orgasme à chaque fois sa partenaire, dénote d'une vision viriliste faussée qu'on nous inculque. Y a que dans les porno qu'on voit ça
Merci de faire connaître ce genre de vidéo sur le sexe de l'homme
Bonjour à tous, J'ai eu une proposition d'une jeune femme dont le fantasme est une séance photo de facesitting : on cherche donc un jeune ou moins jeune homme capable de faire cela par jeu ou par vrai fantasme. La jeune femme est âgée de 20 ans, elle est fine, avec de petits seins, très jolie, tatouée et enjouée.
J'écris ici à la fois pour trouver un volontaire et pour discuter de la pratique, éventuellement pour avoir des conseils sur la... méthode.
Au plaisir de vous lire,
Baskerville
Est ce que le facesitting est une pratique réservée aux soumis?
Est ce qu'un Dhom ne peut pas apprécier cette pratique ? Comme il pourrait apprécier de pratiquer un cunni.
Est ce que pour une femme, un facesitting avec un soumis est plus excitant ?
Belle question :)
Je dirais que ca depend du contexte. En séance isolée je pense que l'homme sera présent en soumis, la femme le dominant il lui donne du plaisir et elle le maitrise. Donc ici je répondrait par la négative.
Maintenant dans le cadre d'un maitre avec sa soumise c'est différent. Le maitre peut vouloir "gater" sa soumise, si elle en a envie, c'est bien normal de la satisfaire. Et la ca peut etre un jeu d'équilibrage par exemple apres une séeance ou soumise a été un dégradée ou brutalisée, cette gaterie lui rappellera qu'elle est au niveau de son maitre, pas en dessous comme la séance pourrait lui faire croire mais a son niveau.
Bonjour Monsieur,
J'espère que vous allez bien.
Je suis un très moins jeune homme soumis dont le fantasme est celui-là.
Le souci est la distance vu que je suis sur Bruxelles, à voir.
paul
Bonjour Paul, dommage qu'on soit aussi loin, la jeune femme en question est très motivée. Si jamais vous faites un détour dans nos contrées, on pourra en reparler...
B
bien merci mes chienne je veux que vous m'envoyer des message en privé mes chienne
Bonjour,
Cette recherche est bien intéressante... Je me ferais un plaisir de découvrir ce fantasme lors d'une séance.
Si ma candidature peut vous convenir, je vous laisse prendre contact dans mes mps pour en discuter et faire connaissance.
Belle soirée.
J.
Bonjour à tous,
Je voulais savoir comment vous avez fait quand vous etes entrer dans l'univers du BDSM, afin de trouver des personnes afin d'échanger et de se faire initier ?
J'ai souhaité aller à des Munchs mais malheureusement, il y en a peu et souvent des jours ou je ne suis pas disponible....
Avez vous des conseils afin d'éviter les mauvaise rencontre ?
En vous remerciant d'avance
Derniers posts du forum
Bonjour,
Cette recherche est bien intéressante... Je me ferais un plaisir de découvrir ce fantasme lors d'une séance.
Si ma candidature peut vous convenir, je vous laisse prendre contact dans mes mps pour en discuter et faire connaissance.
Belle soirée.
J.
Je vais donner mon point de vue en m'inspirant de mon cas personnel - pas par narcissisme, mais pour éviter les généralisations abusives du genre "la soumise doit ...", puisque ce qui me convient ne convient pas nécessairement à d'autres.
Dans mon cas, la perte quasi-totale de liberté fait partie du socle de la relation. C'est un élément essentiel et je ne peux même pas concevoir qu'il en soit autrement. Si j'étais libre cela changerait fondamentalement la nature de la relation.
Il y a eu un choix initial, libre et éclairé, sans pression. Le choix de faire don de ma liberté. Et quel don! Tous les dominants ne mesurent pas ce don à sa juste valeur, malheureusement.
Tant que j'appartiens à mon Maître, je ne suis pas libre. Je dois lui obéir. Je n'ai pas le droit de prendre de décision par moi-même (hormis bien entendu les micro-décisions sans conséquence que l'on prend des centaines de fois par jour). Si un jour cela ne me convenait plus, je garde une liberté inaliénable: celle de mettre définitivement fin à la relation.
Est-ce une mauvaise chose? Certainement pas, puisque depuis que je suis soumise, je me sens très heureuse et épanouie comme je ne l'ai jamais été.
La perte de liberté n'est pas nécessairement négative. Dans la vie en société, on accepte constamment de renoncer à une part de notre liberté au profit d'un intérêt supérieur. Par exemple, dans une nation gouvernée sainement, on accepte naturellement des restrictions aux libertés si elles sont dûment justifiées par le bien commun.
Dans une relation D/s ou Maître/esclave, ce n'est pas si différent. La soumise ou l'esclave renonce partiellement ou totalement à sa liberté. Au profit de quel intérêt supérieur?
Là, à chacune sa réponse. Pour ma part, je pourrais mentionner, en vrac:
Clarté et stabilité de la relation. Pas d'ambiguïté, pas de non dits. Je sais quelle est ma place, c'est parfaitement clair, et j'aime cette clarté dans la relation.
Me sentir en accord avec ma nature profonde. C'est instinctif et difficile à expliquer, mais j'aime viscéralement obéir à un homme et sentir que "c'est lui qui décide".
Bien-être apporté par une relation fusionnelle: quand le don de liberté est sincère, total, et apprécié à sa juste valeur par le dominant, cela crée un lien d'une force incroyable.
Épanouissement sexuel. Cela peut sembler paradoxal, mais le fait d'avoir totalement perdu ma liberté sexuelle, dans le sens où seul mon Maître décide du quand et du comment, sans que j'aie mon mot à dire, a décuplé ma libido. A tel point que souvent je ne pense qu'à ça...
...
Est-ce que néanmoins la perte de liberté peut être malsaine? Certainement, si le Maître n'a pas les qualités humaines lui permettant de gérer intelligemment l'immense pouvoir qui lui est confié. On retombe toujours sur le même prérequis: on ne doit pas faire don de sa liberté au premier venu...
Cela peut devenir étouffant: par exemple, si le Maître veut tout contrôler. En pratique, mon Maître m'accorde un espace de liberté assez large (par exemple il m'autorise à écrire ce que je veux sur ce site, y compris de grosses bêtises dont je me rends compte a posteriori :joy:). Mais c'est lui seul qui détermine les contours de cet espace de liberté et qui les redessine le cas échéant.
Reste également la liberté de conscience, la liberté de penser et d'avoir mes opinions. Rogner sur ce terrain relèverait certainement de l'abus de pouvoir. On peut y ajouter la liberté de conserver des liens sociaux, des liens avec la famille, etc. Dans mon cas, ces liens ont été davantage encouragés que restreints. A titre d'exemple, je dois demander la permission pour inviter mes parents à déjeuner, mais la plupart du temps il me l'accorde et très souvent m'encourage à renforcer ces liens.
J'espère ne pas être trop hors sujet. Il y a une multitude de manières d'interpréter la question initiale.
Être libre en se soumettant ?
Voilà une question de fond, qui revient parfois et sur laquelle il est bon de se pencher régulièrement, car le regard peut changer.
Je suis assez mitigé sur la réponse à apporter, peut-être au regard de ce que le concept de liberté peut recouvrir.
Se soumettre, c'est faire le choix libre (et espérons le éclairé) de confier une part de ses libertés à une autre personne. Ces libertés offertes sont récupérables à tout moment - c'est là un des équilibres de la relation - mais elles n'en sont pas moins momentanément perdues...
Paradoxalement, c'est peut-être par l'explicitation de ces libertés offertes et perdues qu'il est possible de s'alléger d'un poids, celui du choix ou de l'indécision, et donc de tendre vers une libération, mais qui tiendrait alors plus du soulagement que de l'émancipation.
Le choix libre de la personne dominante par celle soumise est un élément important de la réponse : la bonne personne dominante sera souvent celle qui permet à celle soumise d'exprimer une part d'elle. Seule, elle n'en est pas toujours capable pour différentes raisons (dont des barrières sociales, culturelles, psychologique, ...), mais avec cet accompagnement, entre alchimie relationnelle et catalyseur (ou encore révélateur), elle gagne cette capacité à se vivre plus complètement. Est-ce là une forme de liberté ? Je vous laisse apprécier par vous même.
J'aurais eu tendance à dire il y a quelques temps que se soumettre et être libre allaient de pair pour moi, peut-être dans une démarche d'autolégitimation. Désormais je serais plus nuancé avec un propos de type : "ça n'est pas si évident, et ça n'est pas un problème : on peut aussi s'accomplir et se vivre pleinement dans un espace contraint par des limites, voire être aidé par ces limites. "
bien merci mes chienne je veux que vous m'envoyer des message en privé mes chienne