Nine inch nails, évidemment. Tous les albums sont à écouter.L'œuvre de Trent Reznor est la bande son de nos nuits sauvages.
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On nous fait par d'un casting en cours (de la part d'un groupe connu dans le domaine de l'édition alternative) :"recherchons une jeune fille BLONDE (18/24ans) à l'air INNOCENT (grands yeux) pour moyen métrage sadien. Pas de tatouages svp"Nous contacter pour obtenir les coordonnées du casteur.
Sophya, artiste transgenre charentaise, expose
ses dessins humoristiques
sur le BDSM
le VENDREDI 21 SEPTEMBRE
au club « Le Lys en l’Isle »
(8 rue Le Regrattier (Paris 4ème)
(à la soirée « Nuit de la Fessée » de Prisca)
C’est la « 1ère » présentation parisienne de cette exposition :
Sophya y dédicacera ses 47 dessins humoristiques originaux
sur le BDSM et ses pratiques sexuelles
(Gode-ceinture, Fist fucking, Uro, &hellip
Pour joindre Sophya :
E-mail / Blog : http://sophya.canalblog.com
N'hesitez pas à créer un evènement pour annoncer cette exposition si vous le jugez utile :http://www.bdsm.fr/event/
J'ouvre ce topic pour que nous partagions nos trouvailles littéraires au sens large concernant Fétichisme et BDSM. Je parle donc de romans, de livres documentaires, de BD, etc....
Je commence avec un manga nommé Ogenki Clinic. L'histoire est simple : il s'agit d'une clinique du sexe qui aide les gens à résoudre leurs problèmes de libido. Les personnages principaux sont un médecin et son infirmière super sexy et ultra dominatrice. Chaque tome est une série d'histoires courtes d'une dizaine de page et il y a 9 tomes en tout. Malheureusement, il n'existe que les 3 premiers tomes en France, mais dedans il y a déjà de quoi se mettre sous la dent. En effet, tous les fantasmes sexuels possibles et imaginables sont abordés et bien entendu dans le lot, énormément de BDSM. L'infirmière adore dominer, fouetter, goder, et j'en passe. Le bondage aussi est récurrent dans cette série.
Mais des images c'est toujours plus parlant :
pour ce qui est des hentais le bdsm est trés souvent bien représenté , et ça va trés vite vers le trés hard
Oui c'est vrai, mais très souvent ces <a href="https://www.bdsm.fr/hentai/">hentai</A> restent au Japon et ne sortent jamais en France. Après bien sûr il y a internet mais celui là a le mérite d'être à la fois excitant et drôle avec un vrai comique de situation, ce qui est assez rare pour le genre qui se contente souvent d'enchainer les scènes hard les unes à la suite des autres sans forcément se préoccuper d'une quelconque cohérence.
Merci d'avoir déterré mon topic avec ces titres :DJ'apporte aussi ma contribution pour le coup. En ce moment, je lis Ecstasy de Ryu Murakami. C'est l'histoire d'un homme qui rencontre une mystérieuse femme qui va s'avérer être une adepte du SM qu'elle pratique en tant que Domina mais aussi soumise à ses heures. Cette dernière va ainsi raconter son expérience dans le domaine au narrateur. Drogue et sexe se mêlent dans cet univers qui décrit l'envers du décor du pays du Soleil levant.J'ai pour le moment lu un peu plus de la moitié du livre et dans cette partie là, la lecture est un régal avec beaucoup de scènes SM décrites en détail. Il y a aussi pas mal de réflexions sur l'humain en général. Reste à savoir si la suite du roman sera toujours de ce niveau...Au passage, il y a un élément qui m'a interpellé et qui pourrait très bien rentrer dans le topic de la vénalité, c'est que la femme du bouquin se fait payer pour être une soumise. Est ce que ce phénomène existe aussi en Occident ou est il propre au Japon ?
Bonjour a tous,
cela fait quelques temps que je fréquente les site BDSM et j'en tire un constat c'est que les personnes Switch n'attirent pas beaucoup.
J'aurais aimé avoir votre ressenti.
Merci a vous pour vos réponses, Cordialement Damien
Voilà un discours emrunt d'intelligence Seigneur Yog-Sothoth a dit...Je suis switch, comme l'indique ma fiche, mais je ne suis pas 50/50 et à mon avis, chaque switch suit sa propre voie.Personnellement, je me sens plus à 87,28% dominateur et 12,71% soumis et 00,01% indéterminé Par contre je pense pouvoir passer d'un jeu à un autre. Oui j'use (j'ose) utiliser le terme jeu, car pour moi tout ceci est récréatif, et pas un charte de vie, ou une "voie" à suivre sans rebrousser ou dévier du chemin. C'est pour cela que je peux changer de peau facilement.Il faut préciser que je fais plutôt dans le BDSM ligth Du coup, je te rejoins Dodu, je ressent également, un certain mépris parfois ... (pas de réponse aux messages ou au demande d'amie, etc...)Alea jacta est
bonjourje voudrais remercier sincérement les personne qui ont répondue a mon sujet et toute franchise merci a vous et vous inquietez pas je fait mon petit bonhomme de chemin accompagné ou pas ...sourire
Je suis switch, comme l'indique ma fiche, mais je ne suis pas 50/50 et à mon avis, chaque switch suit sa propre voie.Personnellement, je me sens plus à 87,28% dominateur et 12,71% soumis et 00,01% indéterminé Par contre je pense pouvoir passer d'un jeu à un autre. Oui j'use (j'ose) utiliser le terme jeu, car pour moi tout ceci est récréatif, et pas un charte de vie, ou une "voie" à suivre sans rebrousser ou dévier du chemin. C'est pour cela que je peux changer de peau facilement.Il faut préciser que je fais plutôt dans le BDSM ligth Du coup, je te rejoins Dodu, je ressent également, un certain mépris parfois ... (pas de réponse aux messages ou au demande d'amie, etc...)Alea jacta est
Il n'y a pas que dans les films BDSM ou "de genre" que l'on trouve des images fétichistes ou BDSM. Dans le cinéma "traditionnel" aussi.
Voici, sur cette photo extraite d'un vieux film, l'une des plus belles images d'un rapport inégalitaire entre un homme et une Femme que j'ai jamais vu (même si le film en question ne parlait pas du tout de ce sujet).
Y-a-t-il des cinéphiles dans les parages ? Je vous laisse trouver le titre.
Bravo pour cette initiative ludique. Ici, on donne sa langue au chat !
Aucun cinéphile dans les parages, à ce qu'il semblerait.Donc, pour votre culture personnelle, le film dont est extrait cette photo est "chantons sous la pluie".Quanbt à l'actrice, il s'agît de Cyd Charisse, que l'on a surnommé "The legs". Alez savoir pourquoi
Je pense que ce topic est le lieu tout indiqué pour parler du film Tokyo DecadenceRéalisé par l'écrivain Ryu Murakami, le sujet principal est le SM. Il s'agit de l'histoire d'une jeune femme qui vit de cela en dominant ou en se soumettant à ses clients. Elle est d'ailleurs plus souvent soumise que dominatrice et réalise ainsi, contre de l'argent, les fantasmes de ses clients. Quelques images :Un film que je recommande à tous ceux qui ont notamment un intérêt certain pour le Japon et le SM (mais pour ça je pense être au bon endroit^^).
"Maîtresse" (1975), un film de Barbet Schroeder à la réputation sulfureuse avec Bulle Ogier et Gérard Depardieu. En quelques mots, c'est l'histoire d'un jeune provincial, Olivier (Gérard Depardieu), qui vient de débarquer à Paris et s'est trouvé un petit boulot de vente de livres, au porte à porte. Il fait la connaissance d'Ariane (Bulle Ogier), une jeune femme blonde qui vit seule au dernier étage de son immeuble, au-dessus d'un appartement inoccupé que notre cambrioleur d'occasion, aidé de son ami Mario, visite la nuit suivante. Ils y sont surpris par Ariane qui a installé dans ce local... son donjon SM : sa nouvelle amie est une dominatrice professionnelle.Ariane semble réellement amoureuse de lui : pourtant, souvent, le temps de descendre un escalier intérieur qui relie les deux appartements, la blonde et fragile jeune femme se transforme en brune et dure idole que ses serviteurs appellent respectueusement "Maîtresse". Maîtresse Ariane commence à utiliser le petit loubard dans ses séances avec ses soumis, et Olivier découvre les jeux pervers d'une Maîtresse professionnelle...Barbet Schroeder a l’intelligence de filmer la relation SM comme un théâtre plus cérébral que sexuel. Ce qui est excitant ici n’est pas tant ce qu’on voit, mais la mise en scène en soi, un spectacle raffiné qui fait durer le désir, puisqu’in fine c’est bien le désir, prolongé et sublimé, qui compte, le plaisir s’autodétruisant au moment où il arrive. Le film est intéressant du fait bien sûr de la qualité des acteurs mais aussi par son aspect quasi documentaire : les scènes de domination sont jouées par de vrais pratiquants (dans une scène intense, Maîtresse Ariane châtie par exemple les testicules et les tétons d'un soumis avec des aiguilles, du jamais vu dans un film mainstream à ma connaissance, d'autant plus à l'époque), plusieurs accessoires du donjon appartiennent à des Maîtresses parisiennes d'alors, lorsqu'Ariane explique à Olivier son métier, son plaisir à le pratiquer, chaque ligne du dialogue a été effectivement prononcé par de véritables maîtresses avec qui le réalisateur s'est entretenu (Schroeder a notamment rencontré Monique Von Cleef, une dominatrice hollandaise fameuse en son temps), et, cerise sur le gâteau, les tenues SM sont signées Karl Lagerfeld...Le film trouble aussi en ce sens qu'il révèle l'intemporalité du rapport entre la femme dominatrice et l'homme soumis. Le film a été réalisé il y a bientôt 40 ans mais il aurait pu être tourné hier : les séances, les fantasmes, les pratiques, les accessoires, les comportements,... les tarifs élevés aussi ,... tout était déjà là. La seule évolution dans l'intervalle étant la relative démocratisation du BDSM.
Derniers posts du forum
Bonjour,
Cette recherche est bien intéressante... Je me ferais un plaisir de découvrir ce fantasme lors d'une séance.
Si ma candidature peut vous convenir, je vous laisse prendre contact dans mes mps pour en discuter et faire connaissance.
Belle soirée.
J.
Je vais donner mon point de vue en m'inspirant de mon cas personnel - pas par narcissisme, mais pour éviter les généralisations abusives du genre "la soumise doit ...", puisque ce qui me convient ne convient pas nécessairement à d'autres.
Dans mon cas, la perte quasi-totale de liberté fait partie du socle de la relation. C'est un élément essentiel et je ne peux même pas concevoir qu'il en soit autrement. Si j'étais libre cela changerait fondamentalement la nature de la relation.
Il y a eu un choix initial, libre et éclairé, sans pression. Le choix de faire don de ma liberté. Et quel don! Tous les dominants ne mesurent pas ce don à sa juste valeur, malheureusement.
Tant que j'appartiens à mon Maître, je ne suis pas libre. Je dois lui obéir. Je n'ai pas le droit de prendre de décision par moi-même (hormis bien entendu les micro-décisions sans conséquence que l'on prend des centaines de fois par jour). Si un jour cela ne me convenait plus, je garde une liberté inaliénable: celle de mettre définitivement fin à la relation.
Est-ce une mauvaise chose? Certainement pas, puisque depuis que je suis soumise, je me sens très heureuse et épanouie comme je ne l'ai jamais été.
La perte de liberté n'est pas nécessairement négative. Dans la vie en société, on accepte constamment de renoncer à une part de notre liberté au profit d'un intérêt supérieur. Par exemple, dans une nation gouvernée sainement, on accepte naturellement des restrictions aux libertés si elles sont dûment justifiées par le bien commun.
Dans une relation D/s ou Maître/esclave, ce n'est pas si différent. La soumise ou l'esclave renonce partiellement ou totalement à sa liberté. Au profit de quel intérêt supérieur?
Là, à chacune sa réponse. Pour ma part, je pourrais mentionner, en vrac:
Clarté et stabilité de la relation. Pas d'ambiguïté, pas de non dits. Je sais quelle est ma place, c'est parfaitement clair, et j'aime cette clarté dans la relation.
Me sentir en accord avec ma nature profonde. C'est instinctif et difficile à expliquer, mais j'aime viscéralement obéir à un homme et sentir que "c'est lui qui décide".
Bien-être apporté par une relation fusionnelle: quand le don de liberté est sincère, total, et apprécié à sa juste valeur par le dominant, cela crée un lien d'une force incroyable.
Épanouissement sexuel. Cela peut sembler paradoxal, mais le fait d'avoir totalement perdu ma liberté sexuelle, dans le sens où seul mon Maître décide du quand et du comment, sans que j'aie mon mot à dire, a décuplé ma libido. A tel point que souvent je ne pense qu'à ça...
...
Est-ce que néanmoins la perte de liberté peut être malsaine? Certainement, si le Maître n'a pas les qualités humaines lui permettant de gérer intelligemment l'immense pouvoir qui lui est confié. On retombe toujours sur le même prérequis: on ne doit pas faire don de sa liberté au premier venu...
Cela peut devenir étouffant: par exemple, si le Maître veut tout contrôler. En pratique, mon Maître m'accorde un espace de liberté assez large (par exemple il m'autorise à écrire ce que je veux sur ce site, y compris de grosses bêtises dont je me rends compte a posteriori :joy:). Mais c'est lui seul qui détermine les contours de cet espace de liberté et qui les redessine le cas échéant.
Reste également la liberté de conscience, la liberté de penser et d'avoir mes opinions. Rogner sur ce terrain relèverait certainement de l'abus de pouvoir. On peut y ajouter la liberté de conserver des liens sociaux, des liens avec la famille, etc. Dans mon cas, ces liens ont été davantage encouragés que restreints. A titre d'exemple, je dois demander la permission pour inviter mes parents à déjeuner, mais la plupart du temps il me l'accorde et très souvent m'encourage à renforcer ces liens.
J'espère ne pas être trop hors sujet. Il y a une multitude de manières d'interpréter la question initiale.
Être libre en se soumettant ?
Voilà une question de fond, qui revient parfois et sur laquelle il est bon de se pencher régulièrement, car le regard peut changer.
Je suis assez mitigé sur la réponse à apporter, peut-être au regard de ce que le concept de liberté peut recouvrir.
Se soumettre, c'est faire le choix libre (et espérons le éclairé) de confier une part de ses libertés à une autre personne. Ces libertés offertes sont récupérables à tout moment - c'est là un des équilibres de la relation - mais elles n'en sont pas moins momentanément perdues...
Paradoxalement, c'est peut-être par l'explicitation de ces libertés offertes et perdues qu'il est possible de s'alléger d'un poids, celui du choix ou de l'indécision, et donc de tendre vers une libération, mais qui tiendrait alors plus du soulagement que de l'émancipation.
Le choix libre de la personne dominante par celle soumise est un élément important de la réponse : la bonne personne dominante sera souvent celle qui permet à celle soumise d'exprimer une part d'elle. Seule, elle n'en est pas toujours capable pour différentes raisons (dont des barrières sociales, culturelles, psychologique, ...), mais avec cet accompagnement, entre alchimie relationnelle et catalyseur (ou encore révélateur), elle gagne cette capacité à se vivre plus complètement. Est-ce là une forme de liberté ? Je vous laisse apprécier par vous même.
J'aurais eu tendance à dire il y a quelques temps que se soumettre et être libre allaient de pair pour moi, peut-être dans une démarche d'autolégitimation. Désormais je serais plus nuancé avec un propos de type : "ça n'est pas si évident, et ça n'est pas un problème : on peut aussi s'accomplir et se vivre pleinement dans un espace contraint par des limites, voire être aidé par ces limites. "
bien merci mes chienne je veux que vous m'envoyer des message en privé mes chienne