La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 05/12/22
Ces derniers jours l'inspiration me vient naturellement. J'aurais été tentée de dire comme à mon habitude "j'ignore d'où elle vient…" pourtant, cette fois - ci je connais parfaitement la raison de ce changement d'atmosphère. Il est plus léger, plus clair, plus doux. J'arrive de nouveau, ou peut-être pour la première fois à respirer.  Dans 2 mois environ, je pourrai dire qu'il y a 1 an ma vie a été chamboulée par une rencontre. Une rencontre qui nous était destinée. Nous nous sommes reconnus, étant "de la même espèce" comme il aime si bien le dire. Une connexion indéfectible s'est créée, et j'ignore comment, mais je la sens se renforcer jours après jours.  Lorsque je regarde celle que j'étais en découvrant ce site en janvier dernier, j'ai l'impression d'avoir vécu déjà plusieurs années. J'évolue à leurs côtés, je me révèle et commence à m’épanouir enfin. Je n'aurais jamais pu imaginer qu'une "simple" rencontre puisse un jour m'apporter autant. Peu importe ce que l'avenir me réserve, lui qui me terrifiait tant, le simple fait de les avoir rencontré suffit. Si demain il devait m'arriver quelque chose, je sais que j'aurais l'esprit tranquille. Les accomplissements et les buts que nous nous mettons deviennent obsolètes face à cela. Ils font parties de moi désormais et à jamais. Que ce roman dont j'aperçois depuis quelques jours les premières pages, après des mois de Préface, se ferme dans un mois ou dans 3 ans : peu m'importe. Chaque moment, chaque mot, chaque pensée est chéri.  Parfois j'ai l'impression de ne plus vraiment être. Ni Louve, ni femme, ni humaine. C'est comme si le lien nous transcendait, ne donnant plus d'importance à ces détails : l'âge, le sexe, la nature humaine. Nous ne sommes qu'émotions, ressentis, pensées en ébullitions qui se mélangent créant cette osmose indescriptible. Je n'arrive jamais à poser de mots sur ce qu'il se passe, parce que lorsque les âmes s'entremêlent les seuls langages qui existent sont ceux du touché et du regard.  Il faut le dire aussi, même si cela est moins joyeux, depuis maintenant 10 ans, je ne comprenais pas quelle était ma place ici. Pourquoi j'étais venue au monde. J'étais incomprise, seule bien qu'entourée et différente déjà enfant. La douleur était ma seule amie, celle qui nous prend la main et reste à nos côtés en chaque instant. Je sais que j'aurais pu ne pas être là pour vivre ces moments avec eux, par sa faute. C’est pour cela que je remercie ma bonne étoile pour m'avoir encouragé à tenir bon. Parce qu'aujourd'hui je peux attester d'une chose : je sais pourquoi je suis là. Notre rencontre a donné un sens à ma vie. C'est une phrase que l'on voit et entend beaucoup, pourtant je la ressens parce qu'ils sont en moi : dans ma mémoire, dans la manière dont je regarde le monde. Et si demain ils partaient, rien ne s’effondrerait. C’est, selon moi, ce qu’il y a de plus magnifique dans cette relation. Ma vie ne dépend pas d’eux, ils m’ont simplement donné les clés nécessaires pour qu’elle puisse enfin débuter. Ils m'ont permis de les rencontrer, de rencontrer leur univers mais surtout une chose : de me rencontrer moi-même. C'est ça la puissance de cet univers. Sans jamais avoir été soumise, en ayant simplement touché du bout du doigt la magie qu'offrait ce monde, je me sens forte. Ce sont eux qui ont soufflé sur les braises de ce feu qui habitude désormais mon corps et mon âme. Et il me tarde de le voir s'embraser de plus belle, déployant mes ailes, tel un phénix renaissant de ses cendres. Je m'envolerai alors enfin, accédant à ma liberté et mon épanouissement tant désirsés.      Merci à vous d'eux d'exister, d'être dans ma vie et d'avoir accepté que je fasse partie de la vôtre. 
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Par : le 05/12/22
Pour commencer, je vous dirai que je vais vous raconter la suite de mon rendez-vous   à l'aveugle. Pour rappel, en début d'automne, j'ai rencontré Pierre qui m'avait dit de venir chez lui pour la 1ere fois, de rentrer parr le garage,  fermer derrière moi, me déshabiller, nu dans son salon sans même savoir si j'étais dans la bonne maison, de mettre une étole sur les yeux les mains derrière le dos. J'ai ainsi été une bouche à sucer, à embrasser , à être sucé  et baisé sans jamais voir mon maître qui me faisait obéir au moindre de ses caprices sans jamais le voir en repartant comme j'étais arrivé. A l'issue il m'indiqua qu'il me redonnerai rendez vous dans des conditions similaires. C'est ce qui est arrivé il y a quelques jours. Je suis arrivé comme la derrière fois, avec pour consigne de me déshabiller mais  cette  fois-ci,  de garder mon slip, de mettre un bandeau posé sur le banc et fermer les yeux  avec les mains dans le dos. En arrivant, je scannais la pièce d'un rapide coup d'œil pour réaliser qu'il y avait une grande quantité de sextoy avec des tailles de godes impressionnantes posés sur une petite desserte . Sitôt installé debout j'attendais que mon maître veuille venir disposer de moi. Un feu de cheminée avait été allumé pour l'occasion, permettant de ressentir une chaleur agréable.  Tout à coup j'entendis comme la dernière fois un rideau coulisser sur sa barre, juste derrière moi. Mon maître approcha et m'embrassa goulûment tout en pétrissant mon sexe et mes fesses, pinçant mes seins. Puis dans mon oreille il me glissa : j'espère que tu as prévu de souffrir aujourd'hui.  Puis il attrapa mes poignets qui sangla avec des bracelets à scratch et reliés entre eux avec des cordelettes en nylon. Il attacha serré mes poignets de telle sorte que je ne puisse plus bouger mes bras. Avec son pied, il m'écarta les pieds en balayant les miens à tour de rôle.  Il me sangla  les chevilles sans attacher les cordelettes.  Mon cœur battait très fort tant l'excitation montait à la vitesse de l'éclair ! Puis il s'écarta subitement de moi. Tout à coup j'entendis les pas d'une autre personne,il s'agissait de talons aiguille.  Je paniquais craignant une situation incontrôlable. Tout à coup la voix de la personne retenti.  J'entendis une voix de femme, une voix sexy mais très fer, imposant le respect. Tout à coup elle dit: " alors? Que m'as tu amené là ? Une bonne lopette? Elle me dit quand je te pose une question tu réponds avec respect sinon tu es puni. Tu as compris? Je fis signe de la tête en imitant le oui. Elle me fouetta les fesses assez fermement et me repris en précisant : comment? Je n'ai pas entendu? Je répondis simplement : oui! Je reçu à nouveau une fessée  et corrigeais m'a réponse : OUI Maîtresse. Je venais de découvrir que j'avais un maître et une maîtresse.  Elle me félicita.  Voilà,  oui maîtresse ! Puis me elle  regarda, certainement comme si j'avais été une bête de marché,  et ordonna : Il faut lui mettre les pinces à tétons,  et mon maître m'installa immédiatement une pince assez forte en pression sur chacun de mes tétons.  C'était douloureux mai délicieux. Puis ele dit: "Bouh!!! Il est laid ce slip , on va enlever ça,  aller! Tout de suite." Cet ordre ne s'adressait pas à moi, et mon maître s'approcha pour me retirer mon slip puis attacha mes pieds  ensembles. Tout à coup ma maîtresse ordonna que l'on s'embrasse,  ce que nous fîmes.  Elle regarda mon sexe , tout petit, escamotté par la situation.  Elle déclara en fouettant doucement ma petite queue et mes boules : "il va falloir faire pousser cette petite queue qui surmonte cette bonne paire de couilles!" Je me mis a bander presque instantanément après une caresse de martinet sur les fesses et  une traction sur la chaîne reliant les pinces à tétons, tout cela  m'excitait énormement. Puis elle ordonna à mon maître de s'asseoir à califourchon sur le banc. Je réalisais que ce jour là c'était la maîtresse qui dirigerait . Mon maître s'est assis face à moi, et se penchait vers moi pour murmurer qu'il espérait qu'elle l'autoriserait à me sucer à fond pour qu'il avale mon sperme. Elle m'ordonna de le sucer. Je m'exécutais  en me penchant en avant . J'attrapais du bout des lèvres le gland énorme de mon maître  , tout en gardant l'équilibre sur mes genoux car mes mains étant attachées dans mon dos, je ne pouvais pas  m'appuyer sur les coudes. Ma maîtresse entrepris de me fouiller l'anus  ce qui me déséquilibrait subtilement me forçant de fait à faire des gorges profondes à mon maître qui gemissait de plaisir et moi aussi. Ma maîtresse me demanda si j'aimais me faire goder pendant que je suçais,  je répondis oui et me remis à sucer. Elle me fouetta la croupe avec son martinet, en me demandant de répondre à nouveau,  je répondis "oui maitresse!". Elle me fouetta de nouveau les fesses, le dos, le ventre les testicules et le sexe en me rappelant de ne jamais oublier d'obéir et d'être poli.je répondis oui maîtresse. Elle ordonna à mon maître de se mettre à 4 pattes sur le banc puis m'ordonna de lui lécher la rondelle. Mon maître tremblait de plaisir et moi aussi car maîtresse me godait avec une gode un peu plus gros. Elle appréciait,  elle disait vas y lèche le mieux que ça rentre la langue, oui dans le trou, c'est bien, tu es une bonne petite lope.  Puis elle dit à maître que j'encaissais bien la dilatation,  qu'il avait fait une bonne trouvaille.  J'étais très fier de faire plaisir à ce point à mon  maitre et ma maîtresse. Elle me goda encore et encore... j'entendais maintenant que maître était en train de pénétrer maîtresse qui lui disait de s'appliquer.  Elle me pénétrait à m'en faire tourner de l'œil,  je jouissais maintenant et ma chatte mouillait de plus en plus et je me cambrai de plus en plus à chaque pénétration de son gode.  A un moment , elle proposa que je me repose et ordonna pendant ce temps là que mon maître me lèche mon anus hyper dilatée. Il s'exécute. J'étais au 7ème ciel, au lieu de faire retomber mon excitation cela la boostait encore plus. Maîtresse s'installa sur le banc face à moi et m'imposa de m'occuper de sa chatte. Pour l'occasion mes mains avaient été détachées. Je choisi de lui trifouiller la chatte avec mon majeur bientôt suivi de mon index. Elle lâcha un soupir de bien être,  elle m'ordonna de m'appliquer.  Alors en expert poing G, j'introduis mes doigts dans sa chatte pour aller directement sur cette zone hyper sensible, décidé à la faire jouir.  Sitôt le point G atteint et entre mes doigts, je maîtrisais un court instant la situation en bon mâle.  Instantanément,  elle décollait et se mit à jouir.... en gémissant fort et moi également par la même occasion car mon maître maintenant m'enculait. Je doigtais ma maîtresse au rythme des coups de rein de mon maitre. Sentant son orgasme arrivé,  j'intensifiais le frottement du point G.  Nous avons eu un orgasme en même temps moi anal et elle , vaginal. J'hurlais de plaisir tandis qu'elle m'insultait : salaud ! Aaahh!  l'enculé! Il me fait jouir ! Aaahhhh aaahhhh  elle hurlait littéralement et tout à coup sa chatte expulsa plusieurs jets de mouillure chauds et inodores. Elle se leva et me demanda si c'était mouillé? Je répondis tout penaud,  oui maîtresse.  Elle ajouta : c'est ta faute petite salope! Alors tu va tout lécher ! Avec ma langue, j'obeissais immédiatement, je léchais tout. Elle demanda à mon maître de continuer de me baiser sans jouir. Il me baisait de plus belle tandis que je léchais sa mouillure.  Quand elle eu vérifié que j'avais fini, elle me fit me tourner dos à elle pour me goder debout après avoir écarté mes jambes avec ses chaussures. Elle m'indiqua que pour avoir prit la liberté de la faire jouir,  j'allais souffrir. Elle me goda avec le plus gros gode de sa collection , environ 6 à 7cm de largeur et long de près de 25cm. Je l'avais repéré d'un coup d'œil en rentrant. Elle me le fourra sans égards et je ne pu retenir un léger cri de douleur.  Elle me fouetta avec son martinet et m'ordona de me taire. Elle demanda si ça faisait mal. Comme j'avais promis préalablement par SMS à mon maître de ne jamais dire non, je confirmais par un "non maitresse" quelle pouvait continuer.  Elle ordonna à mon maître de me sucer pendant qu'elle me prenait maintenant avec la ceinture gode. En effet, je le savais car je la sentais me pénétrer avec ce gros gode tout en me  tenant par les hanche tout en me mettant des coups de reins. Au même moments,  mon maître me suçais et m'interdisait d'éjaculer. Je criais dans un orgasme profond suite aux coup de butoirs que me mettait ma maîtresse. J'obeis.  C'est dingue, je ne sais comment cela est possible mais la seule force des mots bloquait toute éjaculation. Quand j'eu fini de hurler de plaisir suite à mon orgasme, ma maîtresse s'est assise sur le banc . Elle me laissa choir au sol une minute car j'étais encore en trans du puissant orgasme que je venais d'avoir et m'ordonna de me tenir debout devant elle. J'attendais,  impatient de découvrir la suite. Cela faisait déjà presque deux heures de plaisirs et je ne voyais pas passer le temps.  Tout à coup alors nu et offert elle me dit : aller redresses moi cette petite queue et préviens moi avant de jouir. Allez!! Branles toi petite lope! Je ne sais pas comment cela est possible mais je me mis à bander quasi instantanément  et après 2mn de masturbation avec mon maître qui me fouettait encore les fesses et ça m'excitait à mort, j'annoncais une envie de jouir...mais retenue car je n'avais pas recu d'ordre, alors je me masturbais en attendant une consigne, un ordre. Elle me répondit en collant ses seins sur mon gland : vas y , jouis. Instantanément,  mon gland se mis à cracher un flot énorme de sperme. Je n'en revenais pas moi même, je n'avais jamais autant jouis de toute ma vie. Un orgasme  me traversa  le corps  et je tremblais comme si j'avais été possédé tout en criant de plaisir.  En même temps j'étais stimulé par ma maîtresse qui jouissait aussi à en hurler de plaisir. Elle m'ordonna de tout lécher sans en laisser aucune goutte. Je me mis à lécher phrénétiquement ses seins qui me paraissaient être un bon 115 F. Il étaient énormes et je mis ma bouche en mode aspirateur. Elle ordonnait à mon maître de lui jouir aussi sur les seins m'obligeant à tout nettoyer également. Apres ces orgasmes collectifs elle me nettoya ma chatte avec quelques lingettes et m'ordonna de me rhabiller et de partir sans délai. Avant de me laisser , mon maître me chuchota à l'oreille : " on va se revoir .... souvent tous les 3!" Maîtresse demanda ce qu'il venait de dire? Il répéta  et elle répondit : "Effectivement,  c'est une très très bonne lope! On va vite se revoir!! J'étais gonflé de fierté et ravi de ma séance et impatient de la prochaine rencontre.  Pendant que je me rhabillais, j'entendais dans une pièce voisine séparée par un rideau occultant que mes deux maîtres étaient en train de faire l'amour.  Chacun gemissait de plaisir. Je quittais donc les lieux en ne connaissant toujours pas mes hôtes  visuellement,  mais une fois encore, privé de la vue, mes autres sens se sont beaucoup plus développés et quel plaisir... Je parti et me rendis à un autre rendez vous coquin qui m'attendait... chez un hôtes dans les bois qui me fit l'amour pendant près,de 3h30....  Je m'endormi le soir heureux mais avec l'anus en feu. Le lendemain matin au réveil, n'ayant plus de douleurs,  je pris soin de me goder pour soulager ma chatte qui réclamait du plaisir. ...
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Par : le 04/12/22
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ De 2015 a 2016  Me voici dans une nouvelle ville que je ne connais pas pour deux années d'études, je n'ai réussi qu'à me faire une copine, je ne me suis pas très bien intégrée mais cela m'importe peu. Je vis dans un petit appartement assez miteux, j'ai une cuisine qui fait le strict minimum, une douche dans laquelle je me sens bien trop a l'étroite pour apprécier m'y laver, un salon qui ne contient qu'un petit bureau pour réviser ou être sur mon PC portable et un lit qui est la seule véritable chose dans laquelle j'ai pu investir afin de bien dormir ! Les premiers mois furent très compliqués, je n'avais jamais vécue seule donc j'avais beaucoup de mal a trouver du temps pour les tâches ménagères, faire la cuisine, réviser mes cours et me détendre ... Je passe tout mon temps en cours ou a bosser dans un Mac Donald, je suis fatiguée et plutôt démoralisée car ma mère, mes amis et mon ex me manquent mais surtout je me sens seule comme je l'ai jamais été dans une ville où je ne connais personne. Il m'arrive souvent de craquer et pleurer avant de dormir, il n'y a qu'en me masturbant que je m'échappe de mon quotidien et que je ressens un peu de plaisir à vivre ... Je tombe assez vite en dépression mais je le cache à mes amis et ma mère, je prétends que tout va bien. Je prends rapidement du poids entre les Mac Do que je mange au taff et la bouffe rapide que je me cuisine, faute de temps ! Mes notes font une chute libre bien que j'essaie de m'accrocher et réviser dès que j'ai du temps mais je n'en dégage pas assez ... Mon moral est constamment à zéro, j'ai l'impression d'être une incapable et de ne plus valoir grand-chose. Disons que j'avais espéré mieux comme nouveau départ ...   Je repense souvent à Thomas, il me manque mais il va de l'avant de son côté donc je ne le recontacte pas ! Il m'arrive régulièrement de me reprocher ce que j'ai fait, de ruminer notre histoire et de m'en vouloir de l'avoir fait souffrir, de regretter de l'avoir quitté, je cogite énormément sur la fin de notre relation et comment il se comportait avec moi, je me convaincs que je le méritais et que d'ailleurs je méritais bien pire. N'être plus que son vide-couilles n'était-ce pas déjà un trop grand honneur pour moi ? J'avais envie de le redevenir, de pouvoir sucer de nouveau sa queue, qu'il me l'enfonce profondément en moi et me fasse jouir de toute sa hargne ! Je me touchais souvent en pensant a lui, a nous et j'avais envie qu'il me maltraite, m'humilie, me fasse payer, me détruise ... Thomas avait fait de moi une dépravée, une nymphomane qui ne pouvait plus se passer de sexe ... S'il y'a bien une chose pour laquelle je prenais du temps c'était me masturber ! Au réveil, en rentrant du taff, entre deux cours, avant de dormir ... C'était ce qui me réconfortait mais c'était aussi l'une des rares choses pour laquelle vivre seule était plaisant, je pouvais le faire quand je voulais et sans me soucier du bruit que j'allais faire ! Mon premier salaire fut dépensé en partie dans l'achat de mes premiers sextoys, un vibro violet et un godemichet à ventouse beige avec de grosses veines ... Ma nymphomanie passa un cap quand je pris goût à m'enfoncer ces jouets dans la chatte tous les jours, j'adorais me pénétrer avec le vibrant devant du porno, le faire aller et venir dans ma chatte en manque sur des vidéos de plus en plus hard mais mon préféré c'était celui avec la ventouse que je pouvais faire adhérer à un mur pour y mimer une levrette en tapant mon cul contre le mur ou le clouer au sol pour venir m'empaler dessus ... Je jouissais de cette liberté, celle de pouvoir me goder ou me caresser où je voulais chez moi, de pouvoir posséder des sextoys (je me l'étais interdit avant de peur que ma mère tombe dessus), de ne pas effacer l'historique de mon ordinateur et mettre du porno dans mes favoris, de pouvoir me balader à poil chez moi ... Je reconnais avoir porté un regard assez dur sur celle que j'étais devenue et m'être énormément déçue mais avoir aussi aimé devenir cette nympho pathétique qui n'éprouvait plus que de l'intérêt pour du porno et se goder ! J'aimais m'avilir ainsi et parfois ça m'excitait c'était comme si je voulais toucher le fond et n'être plus qu'une sombre pute, j'avais conscience d'être dans une spirale autodestructrice et de ne pas réussir à gérer les choses mais je n'avais pas la force pour me confronter à ce gouffre en moi alors je le fuyais en prenant du plaisir comme je pouvais étant même à ce stade trop lâche pour rencontrer un homme et avoir du vrai sexe. J'avais peur de me lier de nouveau à quelqu'un, de m'attacher et souffrir par la suite, être abandonnée ... J'avais peur d'avoir un coup d'un soir et de voir comment je réagirais entre les mains d'un nouvel homme, s'il me traitait mal est-ce que je pourrais le supporter ? A l'inverse s'il me traitait avec douceur et me faisait l'amour passionnément, le méritais-je ?  J'avais la certitude que j'allais fondre en larmes pendant le sexe avec un autre homme et j'avais peur d'avoir par la suite un traumatisme à l'idée de coucher pourtant j'étais sacrément en manque et ma chatte en voulait ... Quand je ne me touchais pas en m'imaginant être malmenée par mon ex, quand je ne me godais pas devant des gang-bangs, gorges profondes abusives ou des vidéos bdsm et bien je me connectais sur Chatroulette pour y exhiber ma chatte et tomber sur des mâles en rut qui me stimulerait ! J'avais découvert ce site avec Clara, il nous arrivait quand je dormais chez elle qu'on passe des nuits toutes les deux à interagir avec des inconnus ne sachant jamais sur qui ou quoi nous allions tomber ! J'imagine que tout le monde a connu ce site où le principe est de connecter deux inconnus par webcams pour discuter jusqu'à ce que l'un des deux appuie sur un bouton qui expulse la personne pour une nouvelle. Sur ce site il y'a de tout, des gens seuls pour discuter, des hurluberlus qui vont vous faire rigoler, des groupes d'amis qui veulent se moquer mais surtout tout un lot d'exhibitionnistes qui veulent se branler devant des gens. Clara et moi passions des nuits dans son lit sur son PC portable connectées sur ce site à taper des barres sur les inconnus que le site nous amenait. Si la personne semblait ennuyante on swapait direct, si c'était un groupe de potes, on discutait un peu avec eux, si c'était un beau gosse, on le chauffait pour rigoler par écrit et dans de rares cas si c'était une belle queue, on la regardait se branler et on lui disait de faire des trucs ... Je confesse qu'on a bavées quelques fois sur de gros chibres mais la plupart du temps on était plutôt dans le mood de se moquer des gens et délirer donc on swapait directement les zgegs sauvages ... Toujours est-il que je savais qu'il y'avait sur ce type de sites, des queues prêtes à se branler et discuter avec une salope en manque comme je l'étais, j'y retourna donc seule et du coté exhib cette fois-ci pour offrir en gros plan une vue sur ma vulve avec mes jouets à portée de main si je tombais sur un gars intéressant. Je ne montrais jamais mon visage mais j'aimais que diverses personnes voient mon intimité, une fille, un garçon, un groupe de potes, deux copines, des jeunes, des vieux, je ne swapais jamais attendant leurs réactions ou commentaires devant mon sexe ... Il y'avait ceux qui écarquillaient leurs yeux dans les premières secondes, sans doute peu habitués à voir une fille faire comme tous les pervers habituels, ceux qui swapaient sans aucune réaction, les queues en érection qui entamaient instantanément leurs masturbations et ceux qui rigolaient avant de swaper ou discuter ! Mes deux réactions préférées étaient celles où une ou plusieurs personnes en appellait d'autres à venir voir comme si ma chatte était un événement et quand des filles me complimentait instantanément du style "Jolie chatte" avant de swaper ou rester discuter. Je me fixais pour principe de ne pas swaper et faire ce que mon interlocuteur/trice souhaitait, il n'y a que si je voyais quelqu'un essayer de filmer ou devenir insultant que j'appuyais de moi-même sur Next ! Ces exhibitions virtuelles m'aidaient à reprendre confiance en moi, n'étant pas épanouie psychologiquement et détestant mes nouvelles formes, mon corps me dégoutait, je me sentais grosse, pas désirable alors j'aimais qu'on me complimente ou exprime du désir envers moi ou du moins ma chatte. Mes sessions Chatroulette étaient une manière d'avoir de l'attention, de me stimuler, de prendre du plaisir, de faire des rencontres et pouvoir discuter en tout anonymat, j'aimais être docile et obéir aux souhaits de mon/ma voyeur(e), certaines conversations étaient enrichissantes et me permettaient d'avancer sur le deuil de ma précédente relation ... Les mois passèrent, les kilos restèrent, la dépression et l'addiction à la masturbation aussi.   En cours, je commence a remonter la pente mais je suis encore loin du nécessaire, je traine toujours avec la même fille qui est une nana très studieuse. Certains garçons m'ont plusieurs fois approchés mais mes soucis persos me poussaient à fuir toute relation avec eux, ils abandonnèrent tous l'idée d'être amis avec moi devant la distance que je mettais entre eux et moi. Au boulot, je me lie pourtant d'amitié avec un gars et une fille, à force de trimer ensemble et se voir autant d'heures par semaine, rien d'étonnant, je commence a fumer avec le garçon pendant nos pauses, il me paie des clopes et m'allume parfois un petit joint quand on débauche. Mon argent durement gagné passe dans mon loyer, ma bouffe, diverses charges, des fringues ou chaussures (mon péché mignon) et dorénavant pas mal la clope ... La cigarette j'y deviens assez vite accroc, déjà parce que c'est un exutoire au boulot quand on peut prendre une pause clope mais surtout parce que ce sont les moments où je peux rigoler avec mes collègues, ça a un effet déstressant plutôt fort sur moi. La weed en revanche c'est plus occasionnel, c'est quand Adrien en a sur lui, quelques taffes et cela me perche, je plane, je suis ailleurs et souvent cela me détends aussi, je me sens moins triste et relativise plus sur ma situation, on part aussi souvent dans des délires avec Adrien et ce sont des moments assez chouettes, ça fait du bien d'être un peu proche de quelqu'un. A l'appart, je bosse mes cours, je fais ma lessive, mon ménage et j'y dors. Mon activité principale quand j'ai un moment reste la masturbation, je consomme toujours à haute dose du porno très hard et dégradant pour la femme, je fantasme comme une chienne en chaleur sur des gang-bangs, des bukkakes, j'aime voir ces filles se faire défoncer par tous les orifices, ces hommes les souiller. Je ne me lasse pas des vidéos de gorges profondes où je peux admirer de belles bites utiliser la bouche d'une femme pour leur plaisir, j'aimerais moi aussi qu'on m'étouffe de la sorte, qu'on me manque de respect, qu'on me force a sucer de la bite comme si je n'avais que cette fonction ... Je tombe de plus en plus dans les vidéos BDSM où le corps de la femme est objectifier, voir ces soumises n'être plus qu'un jouet sexuel ou une esclave pour les hommes qui prennent d'elles ce qu'ils souhaitent me rappelle ma place, cela m'excite quand je m'imagine aux pieds de Thomas, j'ai envie qu'il m'utilise comme il lui plaira ... Je me surprends au fil du temps a consommer de plus en plus de porno interracial et aimer voir de grosses queues noires dilatées des chattes blanches, je n'ai jamais été attirée par les blacks mais plus j'en regarde et plus j'ai envie d'essayer un jour, tenter de confirmer si la légende est vraie et qu'ils sont tous mieux membrés que les blancs ... J'ai envie de trahir ma race, de servir de vide-couilles à ceux qu'on appelait "sauvages" il y'a pas si longtemps, qu'il fasse de moi sa chose et venge son peuple a coup de bite dans ma chatte. Je m'égare aussi de plus en plus pour voir des jolies filles coucher avec des veilliards ou des gros lards, j'ai là encore envie de m'abaisser à ça, qu'un gars qui ne devrait pas me baiser puisse se défouler sur moi, l'immoral et la perversion m'excite, je tiens ça de Thomas ... J'ai conscience d'etre dangereusement excitée par des situations où je cherche à mettre a mal le peu d'égo qu'il me reste, je vois la spirale autodestructrice dans laquelle je suis mais je n'y peux rien, on ne commande pas ses pulsions et je fantasme sur des choses où je serais malmenée, rabaissée, souillée. Quand je ne suis pas sur Chatroulette a exhiber ma chatte ou sur des vidéos de Seniors qui sautent des petites jeunes, je me touche à l'ancienne d'une façon plus normale, avec des scénarios ou idées en tête et là, il n'y a que trois acteurs, Thomas, Kévin ou mon père. Je me caresse en repensant a d'anciennes baises avec mon ex, à la soumise que je serais s'il m'ordonnait de revenir le servir. Je me touche en repensant a la bite de mon meilleur ami, quand je l'avais en bouche plus jeune ou face a moi il y'a pas si longtemps, à comment nous baiserions comme des animaux si nous l'osions, à sa queue en moi et ce que ça me ferait si c'était lui ! Je me tripote en m'inventant des plans imaginaires dans des clubs libertins avec des quarantenaires et l'idée de sucer mon géniteur sans le savoir ou qu'il déverse son sperme dans mes entrailles ... Plus cochonne que jamais et pourtant mal a l'aise avec son nouveau corps et son rapport aux hommes, je n'ose franchir le pas et chercher un plan cul, ça fait des mois que je sombre mais je n'ai toujours pas eu le déclic pour me reprendre ...   Après la fermeture du restaurant le soir (la nuit), nous avions pour habitude de boire quelques bières entre collègues sur le parking avec un peu de musique devant nos voitures, il arrivait qu'Adrien fasse tourner un joint à ceux qui le souhaite mais c'est en tête a tête, une fois que tout le monde partait que nous avions pour habitude de nous en fumer un petit "pour la route" entre nous. C'était quelque-chose de très idiot, je conduisais après souvent défoncée et je mettais potentiellement ma vie en danger ainsi que celle des autres, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis réveillée chez moi sans me souvenir de comment j'étais rentrée ! J'ai toujours été très sensible aux effets de la weed, cela amusait beaucoup Adrien qui me disait qu'en deux taffes, j'étais déjà sur une autre planète ... Adrien avait deux ans de plus que moi, il avait un charisme particulier, c'était un garçon très grand et maigre, au regard magnétique, on voyait tout de suite a son attitude et sa façon de parler qu'il était un fumeur de cannabis mais pourtant il avait une aura ou une prestance plutot intimidante. Je ne me rappelle pas très bien des événements car nous étions complétement défoncés mais il passa ses mains sous mon sweet un soir alors que je planais dans sa voiture en écoutant de la musique, je me souviens avoir trouver ça trop entreprenant et direct dans sa façon de faire mais étant bien perchée, je l'avais laissée faire sans doute trop contente de ne pas avoir eu plus que ça un blocage grâce a la beuh. C'est assez flou mais je crois qu'il m'a bouffer les seins dans sa voiture cette nuit-là et que nous nous sommes embrassés, j'étais fatiguée par la fin du taff, l'alcool et la weed donc dans un état second. Que je sache, nous nous en sommes tenus à du tripotage de nibards, de la succion de mamelons et quelques roulages de pelles avant qu'on ne rentre chacun de notre coté. Nous avions faits comme si rien ne s'était passé pendant quelques jours jusqu'à ce qu'il m'invite chez lui pour fumer et rester dormir un samedi soir, j'accepta sans d'autres arrières pensées que la fumette gratuite et une fin de soirée sympa avec mon collègue/pote ! On picola et fuma pas mal, de nouveau dans un état second, je ne me souviens pas bien de comment cela démarra mais je me retrouva a me faire lécher par Adrien sur son canapé devant des clips musicaux a la TV ! Je coucha avec lui sans trop de soucis de mémoire, mes peurs ne se justifièrent pas et je ne fonda pas en larmes durant l'acte même si je ne m'en souviens pas suffisamment pour dire si c'était le pied tant attendue ou non. Je crois d'ailleurs que je n'ai pas fait grand chose, il m'a prise en missionnaire sur son canapé et je pense que je me suis juste laisser faire. On baisa une seconde fois au réveil le dimanche matin mais d'une manière plus douce et romantique, il m'embrassa partout et fit monter le désir en moi puis il me prit avec passion et délicatesse, je me revois en cuillière en train de jouir pendant qu'il m'embrasse dans le cou avec une main sur mon sein et l'autre sur mon clito. C'était bon de sentir les mains d'un homme sur mon corps et son sexe en moi, je me sentais de nouveau complète. Adrien devint le plan cul que je n'osais concrétiser, si nous fermions ensemble ou débauchions à des horaires proches, je finissais chez lui où on se défonçait puis baisait ! Nous baisions même parfois dans sa voiture sur le parking en journée comme à la fermeture et je le suçais parfois dans les chiottes des mecs. Adrien n'avait pas une bonne influence sur moi, il m'avait faites commencer a fumer du cannabis comme la cigarette, nous étions souvent ivres chez lui en plus d'être défoncés et nous baisions donc la plupart du temps dans des états seconds, j'aimais me mettre minable avec lui et qu'il me saute mais je savais qu'il représentait parfaitement toute cette autodestruction que j'avais inconsciemment souhaitée ... Le samedi soir, il m'emmenait dans des raves partys ou des "afters" chez des potes à lui où il m'encouragea à prendre des drogues plus dures, je n'essaya que la coke ... Mes notes en prirent un sacré coup quand je tomba vraiment dans la drogue et l'alcool sous son emprise, nous commencions même a cumuler des retards ou absences au taff car nous étions trop fatigués pour tenir la cadence, ma moyenne scolaire que j'avais peiner a remonter se vit pulvériser en un mois et demi. J'étais constamment épuisée, des poches sous les yeux, le cerveau au ralenti, je commençais a ne pas me reconnaitre dans le miroir en plus de me trouver encore plus grosse qu'avant, j'avais l'impression que la vie me mettait une grande claque et que j'allais jamais m'en remettre physiquement mais je me sentais plus heureuse avec lui et avec ce train de vie que les mois précédents, quand j'étais seule ! J'avais conscience que j'y laisserais mon année mais il me semblait être la voie de la guérison, celui qui apaiserait mon coeur ou consummerait mon âme, j'avais la sensation de vivre ce que j'étais censée vivre.   Ma relation avec Adrien qui n'en était pas vraiment une dans le sens où nous n'avions jamais mis d'autres mots sur ce que nous étions l'un pour l'autre que des "collègues" prit un tournant à l'arrivée de Said dans l'équipe ! Said était un petit rebeu plutôt fougueux et très drole, en seulement un mois il était devenu le collègue qui dynamisait l'equipe et que tout le monde appréciait, celui qui faisait rire les autres et s'intégrait admirablement bien. Il fumait régulièrement avec nous du cannabis après le taff et la fille avec qui j'étais copine et lui commencèrent à nous suivre en soirée le samedi. J'étais contente d'avoir pu retrouver une bande d'amis. L'appart d'Adrien devint un QG où plusieurs collègues faisaient des Afters et quand ce n'était pas avec les collègues du Mac Do, c'était des potes à lui qui squattaient. Attachée a Adrien et ayant l'impression de vivre ma jeunesse à fond, heureuse de rencontrer du monde et faire tout le temps la fête, noyer mes problemes dans l'alcool et les oublier dans la drogue, je mis du temps a me rendre compte que nous faisions dorénavant des soirées 4/5 soirs par semaine et que son appart était constamment une porcherie où trainait des déchets et bouteiles vides.  Un jeudi soir après le taff, nous nous mimes une énorme race avec le quatuor des débuts. Notre amie prit une énorme cuite alors Adrien alla la coucher dans son lit, je continua de fumer et boire avec Said et Adrien dans le salon, ce soir-là je trouva que mon "copain" avait la main plus lourde que d'habitude pour me resservir a boire, il remplissait constamment mon verre et vantait mon endurance a l'alcool. Alors que je planais devant la TV complètement ailleurs, les garçons sortirent sur le balcon quelques minutes, je rigola toute seule un moment en pensant aux cours que j'allais rater demain et que j'étais vraiment en train de planter mon année. Je commença à m'endormir sur le canapé lorsqu'Adrien me réveilla, il m'embrassa tendrement sur le front puis la joue, il me chuchotta des mots doux et commença a glisser ses mains sous mes vêtements. Il fit voler mes fringues une par une et commença à me lécher, le réveil était agréable, il me redressa et m'embrassa avec fougue puis me demanda de le sucer, il baissa son pantalon et m'offrit sa verge fièrement, je me mis à le pomper mais sans grande conviction étant trop ivre et défoncée pour bien sucer. J'étais nue et à quattre pattes en train de branler dans ma bouche Adrien qui s'allumait une clope confortablement assis dans le canapé lorsqu'il demanda "Tu veux une taffe ?"  ce a quoi la voix de Said répondit "Non merci, ça va" ! Je me redressa en panique, cela me fit comme un élétrochoc, je poussa un cri et tomba a la renverse ! Les garçons se précipitèrent sur moi pour m'aggriper et me calmer " Ho, ho, du calme ! - Qu'est-ce qui te prends Charlotte ? - Said ... Il était encore là ? Je ... je l'avais oubliée ... Je pensais qu'il était parti quand tu m'as réveillée ... Je ... - Hahaha, c'est pour ça que tu as hurlée comme ça ? C'est rien, détends-toi ..."   Said me caresse tendrement le bras avec lequel je cache ma poitrine, je serre mes cuisses pour dissimuler mon sexe ... Adrien est la bite à l'air en train de me cajoler et me dire que Said a déjà tout vu et qu'il n'y a plus rien à cacher, il me dit de me détendre et me laisser aller tout en écartant mes bras, je suis a la limite du bad trip et la crise de panique mais aussi très excitée par ce qui se passe, mon cerveau a comme disjoncté. J'obéis sans trop m'en rendre compte et laisse Adrien dévoiler de nouveau ma poitrine à Said, il plonge ensuite sa main entre mes cuisses qu'il force à s'ouvrir pendant qu'il m'embrasse et commence a me masturber, Said recule et nous regarde.  "Tu sais, il a vu la chienne que tu es tout a l'heure alors y'a plus rien à lui cacher, c'est nôtre pote alors on va le régaler un peu." Adrien me dit une phrase qui fit écho en moi, cela résonna sur plusieurs de mes fantasmes et mon envie d'être rabaissée, Adrien prit la main de Said et la posa sur mon sein, "Laisse-le en profiter" me dit-il alors que notre compère commençait à malaxer ma poitrine. Said complimenta mes seins alors qu'Adrien se redressait pour venir mettre sa queue dans ma bouche, il me baisa la bouche en se cramponnant à ma tete pendant que Said glissait entre mes jambes pour me caresser, les doigts de mon collègue rentrèrent en moi pendant que mon autre collègue, celui que je considérais comme mon "copain" me baisait la bouche. Cela m'excitait, j'avais l'impression de ne plus etre la spectatrice des vidéos que j'aimais mais l'actrice ! Adrien demanda à passer sur le canapé, il s'y installa et me dit de venir le sucer, je suivis son ordre avançant à quattre pattes vers la queue raide qui se tenait devant moi, Said suivit mon cul et y plongea son visage, il me lécha les trous sans retenue pendant que je m'efforçais de combler le pervers qui avait l'air d'avoir planifier tout ça. Un simple "va-y" d'Adrien et sans qu'on me demande mon avis, Said entra en moi, sa queue me fit l'effet d'un pieu qui me transperça, j'étais chaude bouillante pour ça mais je n'aurais jamais pensée qu'il me pénétrerait en premier et sans me demander si j'étais prête, je bava longuement sur la queue d'Adrien pendant que Said découvrait et labourait ma chatte. Quelques fessées sans retenue de Said qui ne me respectait plus s'abatte sur mon cul, quelques insultes fusent, les deux males commentent ce qu'ils me font et s'encouragent à me défoncer, je me sens inférieure à eux, je suis leur chose et les coups de reins que je reçois me font fondre. J'ai deux bites qui se relaient dans ma chatte et ma bouche, je découvre à quoi ressemble le sexe de Said, il y'a une bite que je connais très bien et une autre que je découvre pour la première fois, je suce cette queue arabe dans tous les recoins ! Je compare ces deux verges, leurs goûts, leurs tailles, les sensations qu'elles me font quand elles me remplissent et la manière dont leurs propriétaires les utilisent !  Je me régale d'être leur chienne et m'emploie à les satisfaires, je me souviens qu'ils voulaient me faire boire leur sperme, qu'il ne fallait pas "salir ma chatte pour l'autre". Said fût le premier a exploser dans ma bouche pendant que je le suçais, Adrien le second qui s'écria "Switch" avant de courrir pour me remplir la bouche pendant que Said retournait dans ma chatte pour un second tour après qu'il ai repris de la vigueur sous mes caresses buccales. Je me revois le visage contre le canapé à regarder Adrien sortir le cul a l'air se griller une clope sur le balcon pendant qu'il me laisse entre les mains de nôtre pote qui donnait tout ce qu'il avait contre mon cul. Said profita de moi en solo pour son second tour, je me rapelle de son sperme chaud qui coule sur ma joue alors que je reste inerte à le laisser se vider une seconde fois grâce à moi pendant qu'Adrien ne nous calcule même plus. Que suis-je réellement pour ce mec ? J'en parla le lendemain avec Adrien qui m'expliqua que j'étais son plan cul, sa sexfriend et je lui cacha ma déception. Nous passions tout notre temps libre ensemble, de collègues à amis nous étions devenus amants et presque collocataires tant je passais tout mon temps chez lui, je me considérais comme sa petite-amie quand il me présentait a ses potes.  Dans les jours qui suivirent, mon manager me réprimanda sur l'un de mes retards en me disant que si je ne me faisais pas baiser par toute l'équipe, je serais peut-être plus ponctuelle, je fut tétanisée par ses propos et lui demanda pourquoi il disait ça. Il m'expliqua que Said et Adrien s'était vantés tous les deux de m'avoir sautée et que la fille qui comatait dans le lit d'Adrien avait confirmée leurs dires ...  Je démissionna instantanément, je me sentais trahie par Adrien, celui que j'avais pu considérer comme un "petit-ami", par Said celui que j'avais pu considérer comme un "ami" et par ma collègue qui avait enfoncer le clou. Je passa quelques jours a pleurer et ne répondit pas aux multiples appels d'Adrien, un soir je débarqua tout de même chez lui étant en manque (pas sexuellement) et ne sachant pas où me fournir ... Il m'expliqua que c'était la fille qui en avait parlé et que Said avait tout confirmé donc qu'il pouvait pas mentir dérrière, j'avais deux versions différentes et je m'en fichais dans le fond tant j'étais humiliée et trahie dans tous les cas. Me sentant trop mal pour rester seule, je me défonça avec lui ce soir-là et nous fimes l'amour, je passa une semaine chez lui a boire, fumer et comater; nous baisions comme toujours dans des états seconds et j'avais conscience d'avoir enfin toucher le fond, des jours sans aller en cours, plus de taff, plus rien.   Cela faisait 10/12 jours que je squattait chez Adrien, lui sortait pour aller travailler, moi uniquement pour le suivre chez des potes à lui quand il y'avait une soirée ou m'acheter des clopes. Un soir nous partimes chez des amis à lui, on picola et fuma toute la nuit, nous passions une bonne soirée jusqu'à ce que je me réveille le lendemain après un énorme trou noir.   Je me réveilla avec l'impression qu'un camion m'avait roulée dessus, le plafond tournait, mon crane implosait et j'avais envie de vomir, je me redressa pour aller gerber aux toilettes lorsque je prit conscience que je ne connaissais pas la chambre dans laquelle j'étais. Je regarde autour de moi et découvre un gars dans le lit à coté de moi, je ne le connais pas, il est torse nu. Je sors du lit et découvre que je ne porte plus que mon T-shirt, je m'écroule ... Je sors de la chambre le cul a l'air, je trouve les toilettes dans le couloir et part y vomir. Je reprends mes esprits, je m'asseois sur la cuvette des chiottes pour pisser et constate qu'en plus d'avoir la chatte a l'air, j'ai du sperme séché sur ma cuisse droite, je glisse instantanément un doigt en moi et constate que ma chatte est visqueuse, j'en suis certaine, quelqu'un a éjaculer en moi ! Je pisse, pleure un coup ne comprenant plus trop ce qui se passe et retourne dans la chambre, le type dort toujours. Je cherche ma culotte, je ne la trouve pas mais je retrouve ma jupe. Je me rhabille et réveille le mec, il me regarde avec un grand sourire et me demande si j'ai bien dormi, je lui explique que je ne me souviens de rien et qu'il faut qu'il m'explique ! Le gars se redresse, le drap descends et je constate qu'il est entièrement nu sous la couette, cela confirme mes craintes avant meme qu'il ouvre la bouche. "Sérieux, rien de rien ?  - RIEN JE TE DIS, je sais meme pas ce que je fous là ! - Hey, du calme ma belle, on a juste coucher ensemble hier soir, c'est tout, dit-il en tentant de me prendre le bras - C'est tout ? Gars je sais meme pas qui tu es, on est plus dans l'appart des potes d'Adrien, hurlais-je en repoussant sa main - Oh tu te détends ! Je suis un pote à Yohan, tu sais l'un des collocs chez qui était la soirée, t'as fini la soirée chez moi, c'est tout ! - Arrete, c'est loin d'etre normal, comment t'as pu me faire rentrer avec toi sans qu'Adrien le remarque ... - Tu rigoles ? Non, sérieux, tu rigoles ? - J'ai l'air de plaisanter, t'as abusée de moi et sans capote, enfoiré ! - Charlotte, c'est Adrien qui t'a mise dans ma caisse, il nous a chauffer pour qu'on baise ensemble, il te disait de bien t'amuser ! - Tu mens ! Je ... peux pas te croire ... - T'étais complétement bourrée, tu te foutais a poil toute seule dans la bagnole, Adrien était pas en état de te ramener chez lui et voulait rester a la soirée, quand j'ai voulu me rentrer, il m'a dit que tu voulais finir la soirée avec moi et que t'étais chaude comme la braise, il t"a dit de bien t'amuser et tu lui disais qu'il fallait pas en douter. On est rentrés, on s'est embrassés, je t'ai doigtée dans le salon directement, tu m'as dit de te baiser comme une salope, c'est ce que j'ai fait ! - Aide-moi à retrouver ma culotte, je file et je vais voir ça avec Adrien mais t'es un bel enfoiré de te taper une meuf complètement bourrée ! - Ouais bah tu disais pas ça hier soir, tu t'en souviens peut-être pas mais moi je me souviens de comment tu kiffais !" J'ai envie de mettre une patate à ce connard mais il y'a plus important, je prends mes affaires et fonçe à l'appartement d'Adrien pour avoir des explications. Sur le trajet, je me sens salie, je suis en colère contre ce mec, Adrien et surtout moi-même. Lorsque j'arrrive chez Adrien, une fille dormait encore dans son lit, une scène de ménage éclate, je lui reproche d'avoir coucher avec cette fille et de m'avoir offerte en pature à un gars alors que je n'étais pas en pleine possession de mes moyens, il m'insulte et me dit que je ne suis pas sa meuf, qu'il se tape qui il veut et que je suis assez grande pour me gérer, je lui dit que je vais porter plainte pour viol, il me dit que j'étais consentante vu comme j'allumais le mec dans la voiture, je le frappe, il me frappe ... Adrien me jette à la porte, je suis en miettes, je le déteste, je me déteste, je rentre chez moi. Je me haissais pour celle que j'étais devenue, je passa quelques jours avec des idées très noires, je faisais le point sur ma vie, sur ces derniers mois et je pincais mes bourlets nue devant mon mirroir, je m'en voulais physiquement et mentalement pour tout ce que j'avais pu faire depuis mon arrivée dans cette ville. J'avais fait un test de dépistage pour le VIH et tout autre MST ayant de toute évidence couché avec un parfait inconnu et ayant également envie de me rassurer vis a vis d'Adrien et Said qui m'ont également prise sans capotes. Le fait de faire cette démarche et m'en inquiéter me fit prendre conscience que je voulais vivre, je chassa mes idées noires et je pris la décision de me sevrer, d'arrêter les drogues, la clope et même l'alcool quelques temps, je reconnu mon problème et demanda de l'aide, je me fit suivre quelques temps par un psychologue. Je raconta tout ce qui m'était arrivé et alla chercher du réconfort aurpès de Clara et Kévin, je décida de combattre mon surpoids en allant à la salle de sport 4 fois par semaine pour récupérer mon corps, j'avais la haine et une envie de redevenir celle que je voulais ! Mon année fût jetée la poubelle mais je soigna mon âme aurprès de ma mère et mes amis, Kévin et Clara m'ont probablement sauvés la vie mais nous ne rentrerons pas dans les détails, tout ce qu'il faut en dire c'est que je combattis mes démons quelques mois et entama ma guérison. Je me fis la promesse de ne plus jamais vouloir vivre à travers un homme, d'avoir plus d'estime pour moi et de vivre avant tout pour moi, j'avais envie de m'aimer, de me souhaiter du bon et j'avais appris à me détacher du regard des gens. Je fit ma rentrée l'année suivante dans une autre ville, je pris une collocation cette fois avec deux inconnues pour me répartir les tâches ménagères et j'étais bien résolue à me concentrer sur mes études et tout déchirer. C'est cette année là qu'une véritable pute a pris son envol.
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Par : le 04/12/22
4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions. 4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot. J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline. La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas. Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité. Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines. N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ? Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain. Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais. Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre. "Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi. Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ? Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?" (Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant. Caroline m'en dit plus : « Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1). Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… » J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une. Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland." Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait ! Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi » Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non. Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?" Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation. Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe. Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net ! D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !" Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence. Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée. « Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture. En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale. Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe... Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise. Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête. « Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? » Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux. Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans. Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger. La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte ! Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer. Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel. 19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute. Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys. Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie. Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ». Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard). Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants). Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté. Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.  "Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre. Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça. Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti ! Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille. Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion"). Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi... Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage. Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine. Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu. Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant. « C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards... L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue. Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément. « A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi… Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase. Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés. C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun. Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps. L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite. Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait. Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée. Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer. Merci d’avance.
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Par : le 04/12/22
Historiquement, le fétichisme des pieds remonte à l'Égypte ancienne. Les sandales étaient souvent gravées d'images érotiques et de nombreuses tombeaux contiennent des peintures murales intégrant des illustrations autour du pied. Au Japon, les Geishas se contraignaient parfois les pieds pour les faire paraître plus petits et plus délicats. S'il fallait en donner une définition, un fétichiste des pieds est une personne qui est sexuellement excitée par les pieds. Le fétichisme des pieds est l'un des fétichismes les plus courants, et on le trouve autant chez les personnes dominantes (qui vont contraindre par exemple leur soumise à porter des talons hauts) que chez les personnes soumises (qui vont prendre plaisir à embrasser les pieds de leur Maîtresse ou de leur Maître). Les fétichistes des pieds peuvent aimer embrasser, lécher, sucer les orteils, masser ou sentir les pieds (l'odeur du pied fait partie des déclinaisons fétichistes autour du pied) . Certaines peuvent également aimer voir des pieds gainés dans un bas nylon, dans des chaussettes ou dans des chaussures ouvertes. On trouve également des fétichistes qui vont trouver leur plaisir dans la vénération du pied (ce qui peut prendre deux formes différentes, la vénération du pied de leur partenaire, ou l'adoration par leur partenaire de leur propre pied). Le fétichisme des pieds est souvent considéré comme une déviance dans le monde vanille car les pieds sont considérés comme sales (car en contact avec le sol). Quelles sont les causes du fétichisme des pieds ? On dit souvent que les fétichismes se développent durant l'enfance. Si tel est le cas, le fétichisme des pieds pourrait trouver son origine dans vos jeunes années quand vous étiez chatouillé par les pieds ou que tout petit vous aimiez-vous que vos pieds soient frottés. D'autres pensent que les personnes fétichistes des pieds pourraient s'intéresser aux pieds parce qu'ils symbolisent le pouvoir et l'autorité. D'autres encore, suposent que les pieds provoque une excitation sexuelle car ils sont souvent cachés, ce qui peut les rendraot encore plus intrigants et désirables. Comment savoir si vous êtes fétichiste des pieds ? Si votre premier réflexe, l'été, quand les femmes sont courtes vêtues est de vous focaliser sur les pieds dénudés plutôt que tout autre partie du corps et de les regarder avec attention et en détail, spontanément, et d'en ressentir une excitation sexuelle c'est sans doute que vous êtes fétichiste du pied, à une échelle ou une autre. Si vous êtes un homme et que vous vous arrêtez devant les magasins de chaussures pour contempler les talons de stiletto féminins, c'est également un indice. Bien évidemment si la vue d'un pied vous procure de l'excitation ou du désir, il n'y a aucun doute. Mais si l'attrait est donc plus soft, ce peut être que vous faites un rejet de votre fétichisme (et de ses déclinaisons sexuelles). Beaucoup d' hommes sont donc fétichistes mais se refusent à se l'avouer à eux-mêmes. Il n'y a pourtant aucune honte à être fétichiste des pieds, regarder prioritairement les pieds d'une femme ou ses orteils n'est pas moins nobles que de regarder d'autres partie de son corps tels que ses seins, ses fesses ou ses parties génitales ! Si vous vous sentez fétichiste, il n'y a aucun mal à explorer davantage vos désirs, seul ou avec une partenaire consentante. Les femmes sont moins réfractaires qu'on ne le dit, et certaines adorent se faire masser les pieds ;-). Le fétichisme du pied en bas nylon Le fétichisme du pied en nylon est assez répandu et il se décline en plusieurs "sous catégorie" existe un certain nombre de sous-catégories différentes . Il existe ainsi plusieurs types de fétichisme des pieds en nylon, notamment -L'odeur des nylons : Certaines personnes sont attirées par l'odeur des nylons, qui peut varier en fonction du type de tissu utilisé, -La sensation des bas nylon : La douceur du tissu quand elles caressent le pied de leur partenaire peut être considérée comme excitante pour certaines personnes, -Le bruit des bas nylon : Le bruissement des bas nylon peut également être excitant pour certaines personnes, -La vue des bas nylon : L'aspect des bas nylon sur un pied peut provoquer une excitation visuelle. -Le goût des bas nylon sur le pied : Certaines personnes aiment lécher et goûter les bas nylon, souvent parce qu'ils ont un goût sucré ou sexy. Le fétichisme axé uniquement sur les doigts de pieds Une branche du fétichisme des pieds s'est développée pour devenir un fétichisme quasi à part entière. Les personnes qui ont ce fétichisme particulier sont souvent appelées, non sans mépris parfois, "suceurs d'orteils". Bien que la succion des orteils puisse être intégrée au fétichisme traditionnel des pieds, elle constitue donc également un fétichisme distinct. Les origines de la succion des orteils Les origines de la succion des orteils remontent à l'Égypte ancienne. En fait, de nombreux historiens pensent que la succion des orteils était pratiquée dans le cadre d'une cérémonie rituelle au cours de laquelle la femme du pharaon baignait les pieds de son mari, puis lui suçait les orteils. Cette pratique était censée symboliser la soumission de la femme à son mari. Bien que les origines spécifiques de la succion des orteils ne soient pas totalement connues, on pense que cette pratique a commencé à gagner en popularité au début du XXe siècle. À cette époque, de la littérature érotique incluant la succion des orteils comme acte sexuel a commencé à circuler. Ce phénomène, combiné au fait que les femmes portaient plus souvent des chaussures ouvertes (ce qui rendait leurs orteils plus accessibles), a probablement contribué au développement de cette perversion particulière. Le fétichisme des ongles de pied vernis Le fétichisme des ongles vernis est un intérêt sexuel pour les orteils qui ont été polis avec du vernis. Il peut s'agir d'un vernis à ongles transparent ou d'un vernis de couleur vive. Parfois les hommes fantasmes sur une couleur de vernis bien précise. L'excitation est provoqué par la vision d'ongles de pied de femme qui soient brillants et lisses. Pourquoi les hommes sont-ils si excités par les ongles d'orteils vernis ? Il existe plusieurs théories différentes sur les raisons pour lesquelles les hommes s'intéressent de plus en plus aux ongles vernis. L'une d'entre elles est que les ongles brillants sont considérés comme un signe de féminité et peuvent donc exciter les hommes qui sont attirés par les femmes très soignées, pour leur côté inaccessible. Le fétichisme des talons hauts qui mettent en valeur le pied féminin Dans l'histoire, Les premiers talons hauts ont été créés dans les années 1500 pour être portés par les hommes et les femmes. Cependant, ce n'est qu'au XVIIIe siècle que les talons hauts sont devenus populaires parmi les femmes de la noblesse européenne. Ces premiers talons hauts étaient constitués de fines bandes de métal ou de bois qui étaient fixées à la semelle des chaussures. Ces bandes permettaient d'élever le talon plus haut que le sol et rendaient la marche des femmes plus difficile, ce que beaucoup d'hommes trouvaient assez érotique. Ce qui s'exprime alors c'est une domination de l'homme et une soumission de la femme. Au fil du temps, les talons hauts sont devenus de plus en plus populaires parmi les femmes de toutes les classes sociales. Au début du XXe siècle, des stars hollywoodiennes comme Marilyn Monroe ont contribué par leurs films à sexualiser davantage l'image de la femme à talons hauts. Et dans les années 1950, les talons aiguilles ont été inventés, ce qui a ajouté à la fascination des hommes pour les chaussures de femmes. Aujourd'hui, il existe toutes sortes de types de talons hauts parmi lesquels les femmes peuvent choisir - et les hommes en baver ! Le fétichisme du pied a ainsi basculé, le plus souvent, comme un fantasme de soumis pour sa maîtresse. D'une dévotion de l'homme soumis pour la féminité de la dominatrice. Les fétichistes de l'odeur des pieds Les fétiches des odeurs de pieds sont plus courants que vous ne le pensez. En fait, selon une étude, près de 5 % de la population a une sorte de fétichisme olfactif. Et même si cela peut sembler peu, cela représente tout de même un nombre important de personnes. Alors, qu'est-ce qui fait que certaines personnes trouvent l'odeur des pieds si attirante ? Pour de nombreuses personnes fétichistes des odeurs de pieds, l'attrait réside dans la nature taboue de l'odeur elle-même. Il y a quelque chose d'excitant à savoir que quelqu'un trouve vos pieds si odorants qu'il en est excité. C'est la même raison pour laquelle certaines personnes sont fétichistes des odeurs corporelles ou même du léchage des aisselles, mais c'est un autre sujet. Mais pour d'autres, c'est simplement l'odeur des pieds qui les excite. Certaines personnes trouvent l'odeur de la sueur et du fromage carrément enivrante. Le fait que les pieds sont souvent chauds et transpirants parce qu'ils sont enfermés dans des chaussures toute la journée, semble être déterminant dans l’excitation sexuelle de ces fétichistes. Ce fétichisme de l'odeur des pieds est assez répandu dans les milieux gays. C'est même peut-être le principal fétichisme dans cette communauté. Voir également le fétichisme des collants
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Par : le 01/12/22
Rendez-vous à l'aveugle  Cette aventure chaude et épique s'est déroulée cet après-midi d'automne.  Il y a quelques jours j'ai échangé sur un tchat avec un gars , Pierre, lequel m'indique que je peux passer aujourd'hui chez lui pour une baise torride.  Ce matin, j'ouvre mon smartphone et constate qu'il m'a envoyé un SMS : "Bonjour toi! Quand tu arriveras à l'adresse tu verras la maison est au bord de la route. Tu te gareras dans la cour en gravier juste après la maison, il y aura ma voiture bleue sous l'appenti . Juste à côté la porte du garage. Elle sera ouverte, tu rentres par là et referme. Au fond à droite porte pour monter, arrivé en haut tu te déshabilles et tu te mets à genoux sur le coussin préparé à ton attention devant le banc..et tu m'attends mains derrière le dos. Est ce que ça te va jusque là? J'oubliais, je te banderai les yeux pour cette premiere fois, à la fin je te laisserai , tu te rhabilleras et tu partiras par le même chemin sans me voir.Toujours ok? Waouh! Mais quelle excitation. Nous étions à quelques heures du rendez-vous et mon cœur battait à sortir de ma poitrine. Donc , j'arrive au lieu de rendez-vous avec ¼ d'heure d'avance et Pierre m'envoie un SMS disant qu'il est prêt â m'accueillir.  Comme indiqué dans son SMS, je me gare, entre dans le garage, la porte était ouverte, je monte, inquiet de savoir si je ne m'étais pas trompé de baraque. Arrivé en haut de l'escalier, devant la cheminée j'aperçois un banc avec un coussin à son pied. Je scanne rapidement la pièce, elle est petite, sur ma droite un rideau séparant certainement cette pièce d'une autre.  Je me déshabille, m'agenouille à poil, et m'installe le mains derrière le dos et les yeux clos. A cet instant, mon cœur bat au de-là de sa capacité....inquiet et hyper excite de la situation , il me semble qui pourrait déchirer ma poitrine. J'entends dans mon dos un rideau coulisser, un bruit de pas et immédiatement on me bande les yeux avec une étole. Une voix douce et directive m'ordonne de garder le morceau qui pend dans mes mains serré autour. Je reste muet et obéis.  Il s'approche de moi et je sens son souffle court, son excitation est palpable. Il se frotte contre moi, attrape ma poitrine qu'il pétrit. A ce moment précis, j'ai l'impression que sous la pression mon sexe rétréci au point de rentrer en moi et je sens la veine dorsale de mon pénis battre au rythme de mon cœur.  Mon hôte se penche sur moi pour attraper mon service 3 pièces afin de tirer dessus. Je sens que mon impression est fausse et que mon sexe est à demi dur. Je profite de sa position pour remonter mes mains le long de ma colonne pour tenter de toucher son sexe. Il se frotte et me laisse découvrir à l'aveugle. Je sens une belle paire de bourses et un gland énorme qui se tend entre mes doigts. C'est étrange, privé d'un de mes cinq sens, la vue, tout le reste est hyper développé. J'ai un ressenti sensoriel exacerbé du toucher, odorat, goût, ouïe qui se décuple étonnamment.  Il m'attrape par le menton et me roule une mega pelle. Je sens sur mes lèvres que son menton est poilu, il est barbu comme moi. Il sent bon le savon et à une haleine fraîche. Cela paraît insignifiant dit comme ça, mais dans une situation où l'homme est un inconnu, que je suis en situation de fragilité soumis, privé de vue et vulnérable, ça met immédiat en confiance sur l'hygiène et le respect du partenaire. Il m'embrasse puis tout en me tenant par le menton me fourré son énorme bite en bouche, je suce goulûment puis de façon phrénétique.. je deviens accro à sa bite en un claquement de doigts.  Puis il me relève, me palpe les fesses, et me tripote la queue pour la durcir. Il me pince très fermement les tétons, ce qui me fait lâcher un petit cri de douleur mélé à de l'extase. il recommence et me mordille les tétons et les lobes d'oreilles tout en me pelotant les couilles.  Il m'ordonne tout à coup à me pencher en avant en appui sur le banc et me prodigue un anulingus monumental d'une rare intensité. Tellement bien exécuté que j'ai l'impression de planer de plaisir.  Il me gobe les boules puis attrape mon penis devenu très dur. Tout en le gardant en main, il m'ordonne de me retourner. Sans un mot je m'exécute. Il m'embrasse à pleine bouche, me pince les tetons et me branle fort, tellement que s'en est délicieusement douloureux. Lorsqu'il perçoit que j'ai trop mal il arrête et me suce . Il me suce au point que ça en devient douloureux . Quand il voit que ça devient intenable, il ralenti et me suce avec douceur. Il me relève ensuite les jambes , me bouffe les boules, la bite et me fouille la rondelle, en me suçant ... hummmm c'est bon à en tourner de l'œil.  Tout en me suçant, , il me met un doigt dans le cul, puis deux, ..et vu que je me laisse ainsi faire, ... 3 doigts. Il me suce et voit que je prends mon pied. Il me reserre les jambes et tire mes couilles de manières à ce qu'elles dépassent, puis il se remet à me sucer, je reprends mon pied, c'est douloureux car le rythme est soutenu mais c'est bon... Puis il me calme en redevenant doux, suave, hum tellement bon... et là je prends un super pied, je me cambre, m'arc boute, il me suce de plus belle. Il m'offre sa bouche, et en faux soumis, je prends les choses en main, enfin ... su hé puis dire, et avec des coups de reins, il me laisse lui baiser la bouche. Et lorsque je prend un rythme de croisière, il retire brusquement sa bouche et me tape fermement sur la rondelle. Les coups sont d'une précision chirurgicale et me donne une excitation étonnamment décuplée au lieu de me couper dans mon élan.  Il recommence et tape ma rondelle du bout des doigts, gifle en plus mes boules et je me surprends à adorer ça.  Il recommence, tape ma rondelle, encore, et encore et encore puis il fouette mes boules, ma rondelle et enfin ma bite. Humm, je étrangement au bord de l'orgasme, moi qui n'ai jamais fait de SM. Subitement, il arrête de maltraiter ma rondelle et mes couilles pour frotter son énorme gland sur ma rondelle . Il semble qu'il va me prendre, m'enculer bien en profondeur, et je le sens me pénétrer , humm .. Et je sens 2 doigts rentrer sans égard et faire des va et vient... Cela m'incita à m'offrir en bonne chienne en chaleur, mes jambes écartées au maximum. Mais je comprends vite qu'il née pénètrera pas, il me baise divinement avec ses doigts et me glisse à l'oreille qu'aujourd'hui je n'aurai pas de bite au cul. Il me suce à nouveau, me bouffe le cul, bat mes couilles, suce encore et encore. Il augmente la fréquence et l'intensité de ses va-et-vient, il ralenti, alternant ainsi entre désir et plaisir. Je n'en peux plus, je suis au bord de l'épanouissement... Soudain il arrête , utilise ma bite comme un gode en frottant mon gland au bord de son trou. Il me semble qu'il est face à moi, il frotte sa rondelle sur ma queue et alterne en me fourrant sa queue dans ma bouche pour me faire taire, et revient sur ma queue, me rebourre la bouche, ainsi de suite... Je n'en peux plus, mon souffle se raccourci, j'ai mal au gland puis j'ai envie que ça recommence, ainsi de suite , il me branle fort, me suce, me branle, me suce alternant douceur et douleur.... A un moment il a décidé que je devais jouir, il s'est mit à me lécher, sucer, pomper, pincer les tetons en prenant soin que j'ai du plaisir uniquement , sa bouche sur mon gland aspirait encore et toujours assurant une sucions continue. Je l'informai que mon ejaculation était imminente , il m'a répondu qu'il savais mais me l'interdit. Il me demandait si j'étais bien soumis et prêt à être présenté à sa partenaire, une maîtresse dominatrice qui manie la ceinture gode avec brio. Toujours sans un mot , je fis signe OUI de la tête. Il me répondit en m'ordonnant de jouir. Je n'en pouvais plus ma queue n'attendait que cet ordre, je deversais par sacade un flot impressionnant et discontinue de foutre aspergeant mon hôte, mon abdomen jusqu'à mon front, il y en avait tant qu'il étala mon sperme sur le ventre pour mieux le lécher , me sucer encore pendant que j'étais pris par des soubresauts duent à mon orgasme comme si j'étais entré en trans. Puis il est venue me rouler une pelle avec mon sperme... humm le kiffe. Il m'ordonna de me rhabiller toujours les yeux bandés et me dit qu'il me renverra un SMS pour me soumettre à nouveau pour un autre scénario observé par sa maîtresse dominatrice qui après nous avoir regardés me défoncerai à coup de gode ceinture. Si j'étais au niveau un autre rendez avec lui, elle et un maître actif dominateur sévère serait rapidement fixé. Une fois habillé, il me dirigea devant les escaliers et m'ordonna de repartir comme j'étais venu après m'avoir retiré l'étole de sur mes yeux, puis il disparu derrière le rideau. Retrouvant la vue, je descendais les escalier et reparti un peu en titubant sous l'effet de l'adrénaline due à mon puissant orgasme sans jamais avoir pu voir mon dominant. Mais finalement, privé du sens de la vue, était-ce important vu mon plaisir intense?
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Par : le 30/11/22
Je pose mon regard sur ses fesses, J'adore ce cul, sa forme et sa peau, C'est un trésor digne d'une déesse. Chaque fois c'est un emoi nouveau, De voir ce bout de chair ensorceleur, Tout comme ses seins provocateurs. Elle est excitée, sans aucune crainte, Ligotée par les techniques du shibari, Art des cordes pour une solide étreinte. Mise en position fœtale, Momo shibari Les poignets avec un double column Tie A genoux, ses bras entre ses jambes. Expose son derrière et son entrejambe. La vu de ce spectacle est un vrai delice, Qui ne me laisse pas du tout indifférent. Vient le moment où mes mains glissent, Jouant des courbes de ce cul si troublant. Obsèdé tout le temps par ses jolies fesses, Des tentations et invitations aux caresses. Elle est en attente du châtiment tant espéré, Ses fesses offertes frémissent d’impatience En attendant la claque cinglante immodérée. Son corps s’agite, sa croupe dans l’indécence Soumise à mes caresses toniques et subtiles, Elle sait que ça va enfin commencer, elle jubile. Ma main claque doucement ce charnu popotin Son cul apprécie énormément et en redemande Faire attendre, prendre son temps, je suis coquin. Le cul en l'air, elle en veut plus, une gourmande, Mes mains fermes gifles ces fesses à nouveau, Ðes traces de doigts apparaissent sur la peau. Mains vigoureuses tapant de plus belle par jeu Ses fesses rougissent et deviennent ardentes Douceur et douleurs mixent son derrière en feu. Cette situation pour nous deux devient exaltante. Au comble de l'excitation,  elle en a des frissons, Elle est aux anges, sexe trempé, je suis polisson...
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Par : le 30/11/22
Limites à pousser, une confiance accordée Un grand respect, une possession donnée Prenez ce que moi je suis, faite de moi votre souffre douleur Je viens sans peur Un chemin inconnu, de Votre main affligée Genoux pliés, tête cintrée Une bonne volonté de servir, un cadeau de soumission je vous donne mon corps venez saisir mon esprit
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Par : le 29/11/22
Bonjour à tous, J'ai pris du temps à prendre la parole, ou plutôt à prendre mon clavier, afin de vous soumettre une des mes histoires, qui a plus de 20 ans, certes, mais me définit bien. Pour être parfaitement honnête, je l'ai présenté sur un autre forum, il y a 4 ans... et le peu de réactions me laisse à penser que ce forum, qui a l'air beaucoup plus actif, facilitera la discussion car cela en est le but. Si je ne suis pas au bon endroit (ou si la section "cas vécus" n'existe pas), je présente mes excuses aux modérateurs et vous laisse gérer ce témoignage. Si ce dernier reste, bienvenu dans monde, c'est parti : Cela se passe dans nom Nord natal, une jeune femme apprend par hasard, lors d'une soirée étudiante, que je suis attiré par les jeux de domination et de soumission (à cause d'un ami qui, étant au courant de mes tendances, s'est permis d'en parler sans prendre garde à l'auditoire : la jeune femme en question). A l'époque, nous organisions un petit voyage à Disneyland avec ma promo étudiante, chacun d'entre nous avait la possibilité d'inviter une personne et devinez qui je pris ? La jeune femme pré-citée, que j'appellerai Géraldine (le prénom a été changé). Je me retrouve donc en vadrouille à Marne la Vallée au milieu des décors en carton pâte et autre Mickey. Peu de monde, période de juin, nous profitons des attractions mais, la fatigue aidant, je décide, avec ma compagne d'un jour, d'aller voir un spectacle histoire de s'asseoir un peu. Le spectacle commençant dans une vingtaine de minutes, le discussion s'enclenche sur le BDSM, puisque son oreille avait glissé quelques jours plus tôt sur mes pratiques lors de la fameuse soirée. Elle m'avoue (quoique je ne vois pas où soit l'aveu, je ne vois là aucune culpabilité) avoir envie de pratiquer le SM, en tant que soumise, et le plus vite possible ! Je vous refais la scène, je suis au milieu d'un parc à thèmes pour enfants et une jeune femme me demande de la dominer. Euh, comment dire ? Hors-sujet ? trop tôt ou trop tard ? Je me vois donc dans l'obligation de lui demander a minima d'attendre notre retour en terre flamande pour envisager quoique ce soit. Elle acquiesce, nous profitons du spectacle mais je dois avouer que quelques images de ma future soirée commencent à s'immiscer entre Minie, Donald et autre Mulan.... vision bizarre, mais que je dois bien assumer. Je vous épargne le reste de la journée, mélange de poupées qui chantent "It's a small World after all" et mon imagination débordante faite de menottes, de martinet et de pinces sur tétons. Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre ! Le soir venue, Géraldine se prépare à rentrer chez elle une fois descendue du bus. Tout mon imaginaire s'effondre sur le champs ! Elle a dû changer d'avis, dommage ! Je cherche donc un taxi pour rejoindre Fives (un quartier de Lille) où se trouve mon appartement lorsqu'une voix me demande au moment où j'allais annoncer l'adresse à mon transporteur : "Je peux venir ?". Mon "oui" fût si rapide que Géraldine crût un instant que je m'adressais au chauffeur. Je lui tint la porte de notre carrosse (une Peugeot, si me souviens bien). Cela la rassura, je la pris par le bras comme pour l'introniser dans un bal où personne ne l'avais jamais invitée. Je la sentis un peu frileuse pendant le trajet, je la pris par la main avec mon discours habituel (code de sécurité, pratique négociée avant et, surtout, mon appartement possède un lit d'appoint dans le cas où elle ferait marche-arrière). Arrivée à l'appartement, un verre, vite ! Nous avons tous les deux la gorge sèche, comment pourrait-il en être autrement ? Je lui présente ensuite le matériel, menottes, cordes, pinces à linge, bougies, martinet. Lui expliquant chacun sans tabou. Je sens désormais que sa frilosité déguise en fait une véritable excitation, la soirée peu commencer... Je lui fait d'abord essayer les menottes, les bas devant, tel un suspect au tribunal. Elle comprend désormais que les clés que je possède seront son seul salut, elle assume de statut de soumise et me demande de tout essayer. Je commence donc par la libérer, lui demande ensuite de retirer ces vêtements, hormis sa culotte et son soutien gorge, elle s'exécute, tremblante, je lui retire moi-même les bretelles de son soutien-gorge, ses épaules son dénudées, tant mieux, je peux donc désormais l'attacher sur une chaise présente depuis le début de la scène, au milieu de ma chambre, et que je ne vous ai pas présenté : La chaise, je te présente Géraldine. Géraldine, je vous présente la chaise. Assise et menottée, Géraldine me lance un "je te fais confiance" qui marque définitivement ma mémoire comme un acte fondateur de notre future relation. Je lui attache les pieds, les genoux afin de valider la contrition. Je relie ensuite le bas de ses chevilles aux menottes, pour que le mouvement soit très limité... Et je pars dans mon salon... pour regarder un épisode de Friends, dont je suis fan, en version originale, s'il vous plaît (ça passait sur une chaine qui s'appelait Jimmy et qui état la seule, à l'époque, à les passer en VO). Pour être honnête, le salon et ma chambre sont dans la même pièce, Seule ma salle de bain, mes toilettes, ma cuisine et ma salle à manger sont à part. Je laisse donc Géraldine regarder l'épisode avec moi. Elle n'a pas l'air de comprendre, je lui explique donc que je lui laisse une demie-heure pour entrer dans son statut d'objet. Dix minutes après, c'est le cas, elle accepte sa condition, je peux donc maintenant lui faire accepter la mienne. Un aller retour au frigo me fait sortir quelque glaçons que je pose directement dans les bonnets de son soutien-gorge. Frisson immédiat, avec cette impossibilité de les retirer rendant ce frisson plus... excitant. Ne prononçant aucun code de sécurité, je prends le martinet et lui frappe, doucement d'abord, puis plus fortement, les cuisses, cela commence à rosir doucement. Au bout de cinq minutes, les glaçons ont fondu, le soutien-gorge n'est donc plus nécessaire, je lui retire avec, dans mes mains, une vingtaine de pinces à linge. La suite, elle l'a compris. Ses seins vont désormais souffrir, elle le comprend et ne bronche pas. Je commence avec les contours, la poitrine est généreuse, les pinces y trouveront leur place. Je garde les 4 dernières pour les tétons, 2 chacun, la douleur devient intense mais toujours aucun code de sécurité, je continue après lui avoir donné un peu d'eau. Cela fait partie du jeu, une souffrance pour une récompense. Le contraste entre la chaleur interne de son corps et ses tremblements externes nous font comprendre à tous les deux que chacun a trouvé ce qu'il était venu cherché, un moment de complicité. Nous avions atteint un seuil de complicité entre son acceptation de sa situation et ma volonté de maîtrise. Cet équilibre, quand il est atteint, est un colosse au pied d'argile, un détail peu tout gâcher, un acte déplacé, un bruit dehors, un changement de ton. J'y prends garde, je la possède, elle aime ça mais je me dois d'être prudent. Je commence donc à changer de rythme pour sentir sa sensualité. Les pinces posées sur sa poitrine sont désormais toutes en place. un dizaine sur chaque sein, 2 sur chaque tétons. Elle se concentre, tente de s'éloigner de cette douleur. Je suis là pour la lui rappeler. Avec le martinet, je caresse délicatement les pinces qui, de fait, se mettent à bouger, pinçant ainsi un peu plus par un effet levier qu'Archimède n'aurait pas nié. Le hasard des lamelles de cuir se promenant sur sa poitrine transforme une douleur diffuse en vague nerveuse à intensité variable. Elle ferme les yeux comme pour s'éloigner de la pièce. Le martinet reprend son office, quelques coups un peu plus fort sur les cuisses, à intervalle irrégulier, Géraldine ne sait pas où le prochain coup va tomber. Ses cuisses sont désormais rouges, sa position assise lui permet de constater l'étendu des dégâts, j'ai une soumise bicolore. Je lui laisse reprendre son souffle... pas longtemps, un petit cri de douleur vient lui rappeler son statut, je viens de lui retirer la première pince à linge et, si jamais vous ne le savez pas, cela est douloureux car la pince a pris le temps de faire corps avec la peau, la retirer engendre donc une douleur de faible durée, mais intense. Une à une, je lui demande de choisir la prochaine en lui interdisant les deux placées sur chaque tétons, je me les garde pour la fin. Cela dure cinq longues minutes, entre le temps de son choix et mon choix de technique pour les retirer. Lorsque sa poitrine n'offre plus à mes yeux que deux tétons sertis de bouts de plastique, je décide d'utiliser une technique redoutable : le "retirer remiser" qui consiste a enlever la pince pour la remettre quasiment aussitôt, effet garanti. Ses cris me le confirment. Elle voulait un maître, elle l'a eut, je voulais une soumise, je la tiens au bout de mes pinces. Petite pause, les pinces sont maintenant un souvenir, je lui sers un verre de vin blanc, elle l'accepte, cela lui donne une petite ivresse et des yeux merveilleux regardant son bourreau avec au fond une question : et maintenant, que fait-on ? Je n'oublierai jamais ce regard, jamais cet instant, nous avions passé un palier, ensemble, une osmose, ce sont des moments rares, je me permets donc de le partager avec vous. Il est donc temps de passer à une autre étape, de la déshabiller entièrement car le lecteur attentif n'a sans doute pas oublié que Géraldine était encore vêtue de sa petite culotte. Une soumission totale engendre une nudité totale. Je la détache et prépare la scène suivante… Géraldine se frotte les poignets, essayant d'effacer les marques de cordes. Elle sait que ses derniers vont encore être mis à contribution, mais ça la rassure. Je lui demande, sèchement, de rester debout les mains dans le dos. Elle s'exécute. J'installe la scène suivante. Mon appartement est vieux, rénové, certes, mais vieux, un tuyau en fonte qui jadis servait à irriguer l'eau, n'a pas été enlevé par mon propriétaire lors de ladite rénovation. Bien lui en a pris. Cela se passe en deux temps : j'utilise trois cordes, une attachée à chaque poignée de Géraldine, c'est ce que j'appelle une corde de non-pression. C'est une technique de sécurité (encore) qui consiste à faire plusieurs tours de corde autour d'un même poignet et de lier les extrémités de la corde ensemble. La corde non-pression permet à Géraldine d'avoir le poignet maintenu mais avec une tension supportable. En effet, si je n'avais fait qu'un seul tour autour de son poignée, la pression au niveau de la jointure serait intolérable, voire dangereuse. Une fois les deux poignets ainsi traités, ils se transforment donc en "bracelets" qui vont être attachés à la troisième corde elle même suspendue entre deux points d'attache. Géraldine se retrouve donc les bras en V, face au mur. La petite culotte est toujours à sa place. Pas longtemps, je la lui retire en la faisant glisser délicatement, je veux que chaque molécules de peau de sa jambe soit en contact avec la dernière pièce de tissus encore présente sur elle. Elle est nue, de dos, ne sachant pas ce qui va lui arriver. C'est une première dans notre relation, ses yeux ne lui sont plus utiles. Je prends donc la décision de surprendre, je lui caresse de dos, délicatement, descend lentement jusqu'à ses fesses, promenant ma main entre les deux, sans forcer, c'est trop tôt. je change soudain de direction, passe vers l'avant et commence ostensiblement à la caresser à l'endroit que la morale réprouve mais que le désir inonde, si j'en crois mes doigts. Réflexe, elle resserre les jambes. Mauvaise idée, je me saisis de deux cordes et lui attache les chevilles une par une et attache la première corde au radiateur en fonte et la seconde au canapé servant de lit d'appoint pour mes invités. Ma soumise était en V, la voilà désormais en X. Je reprends donc mes attouchements, elle se débat, crie un peu, j'aime ça. Les yeux, toujours les yeux, reflet de l'âme et parfait miroir du désir naissant en sa bouche offerte. Mes doigts rejoignent sa bouche. Elle les lèche, les tripote avec sa langue, seul organe libre de l'ensemble de ses mouvements. Ses yeux sont fermés, elle imagine, elle rêve, elle part. Il est donc l'heure de la réveiller. Mon martinet la fait sursauter ! La douleur aussi, sans doute. Son dos comprend vite. Nous en sommes à une phase avancée de la séance, les coups sont plus rudes, plus ciblés, plus insistants. Ma soumise devient torsion, tentant en vain de s'éloigner des lanières qui, inlassablement, tombe juste à chaque fois. Je marque une pause pour voir le regard de Géraldine, légèrement crispé, un peu humide et pourtant soulagé, non pas parce que je me suis arrêté, mais parce que je prends soin d'elle. Je la soulage de ses larmes naissantes à l'aide d'un kleenex, lui donne un peu d'eau, pas trop. Je l'embrasse, délicatement, sur la bouche, elle opine, cela commence à devenir excitant. Pour être clair et cru, je bande. Mais, là aussi, c'est trop tôt. Il est donc l'heure de la fessée, donc de la fesser. La fessée est un art, un concept, une autre approche de l'autre. Les diverses méthodes pour l'infliger permettent d'être plus ou moins à l'aise pour la pratique. En ce qui concerne Géraldine, après l'avoir dé-crucifier, je décide de lui attacher les mains vers l'avant, bien que je lui ai fait déjà fait essayer les menottes, je reste fidèle à mes cordes. Elle se laisse faire, a t-elle le choix ? Je m'assied sur la chaise et lui demande de se poser à plat sur mes genoux. Elle comprend ce qui l'attend. Avant cela, j'ai attaché une autre corde autour de ses mains liés, un peu comme une laisse, mais pour les mains. Une fois en position, je saisis cette laisse, la fais passer sous la chaise pour la faire réapparaître de l'autre côté, au niveau des genoux de ma soumise. Je lui attache les genoux avec en tirant assez nettement de sorte que ses mains soient immobilisées, ça appuie un peu sur mes jambes mais, en échange, j'ai une femme offrant son postérieur à mes yeux et à mes mains qui n'en demandaient pas tant. Je frappe, une fois, nettement, pour lui faire comprendre le standard de la fessée. Sa tête, pendante au dessus du vide, se redresse aussitôt. Seulement retenue par la tension de la corde, ce mouvement demeure assez réduit. Je recommence, sur l'autre fesse, même sursaut. Je continue avec une alternance de caresses très douces et de claquements violents. Son cul n'est plus que vibration tantôt guimauve, tantôt acide et rien dans mes mouvements n'est régulier, de sorte que la pauvre Géraldine ignore le type et la violence du coup suivant. Je termine cette phase par une apothéose, le final d'un feu d'artifice, je claque violemment les zones pas assez rouges à mes yeux, ma soumise se débat, je ressent ça sur mes cuisses qui la supporte mais, peu importe, je continue, elle crie "Stop", je n'arrête pas, elle n'a pas dit le code de sécurité. Soudain, tout s'arrête, le silence s'installe, à peine perturbé par son essoufflement. Le calme, après la tempête, je lui caresse les fesses, très délicatement, elle sursaute d'abord, pensant aux prémices d'un nouvel orage. Je continue, délicatement, tendrement, presque amoureusement. Elle se détend, je lui re-caresse la zone érogène ultime, des petits cris de contentements commencent à exhaler ma libido. Elle s'en rend compte et décide de bouger son corps pour exciter son maître qui, si cela continue, ne pourra pas retenir indéfiniment les assaut de la bête excitée. Je la détache, à temps. Je prends les menottes et lui attache les mains dans le dos. "Tu vas maintenant devenir une esclave sexuelle !, lui dis-je d'un ton proche d'un péplum de la 20th Century Fox, à genoux...". Je déplie mon canapé d'invité, je vais avoir besoin de lui. En effet, les nouveaux pieds de lit vont me servir à lui attaché les siens, lui forcer la position agenouillé et maintenir ses mains fixes sur le barreau en fer. Je prends mon temps, d'abord parce que c'est technique et surtout pour faire baisser ma pression interne. Hors de question de jouir trop tôt ! Je l'abandonne, un bon quart d'heure. La position, supportable au début, commence à devenir délicate, puis douloureuse, puis insupportable. J'entends des petits "Aïe" à chaque fois qu'elle cherche à mieux se positionner. Elle m'avouera, plus tard, que c'est la partie de notre séance qu'elle a préférée. Souffrir en l'absence (relative, j'étais dans la pièce à côté) de son maître. Elle m'a même dit que cette douleur ne ressemblait pas aux autres. Après avoir regardé 15 minutes de reportage animalier, très efficace pour débander, je reviens dans la salle où ma soumise, crispée dans tous les sens, me supplie du regard d'achever ses souffrances. Évidement, je n'en fais rien. Je lui demande, car notre entretien préalable n'en avait pas fait état si, pardonnez moi du terme, elle avale. Elle me dit n'avoir jamais essayé la fellation, je lui propose donc deux nouveautés : elle accepte. Je lui annonce donc que sa libération coïncidera avec ses deux nouvelles expériences. La scène suivante, sur laquelle je poserai un voile pudique, a été notre apothéose (en tout cas pour moi  ), car chacun de ses allers-retours lui faisait de plus en plus mal mais, sans ces derniers, la douleur n'en serait que plus longue. Je ne sais pas combien de temps à duré cette fellation, à la fois maladroite (c'était sa première) et délicieuse, un sentiment de bien-être à tutoyer les anges au moment où mon âme, exalté au plus haut point, transforma l'essai en réussite et la réussite en Nirvana. Je la remerciai, la détachai. Elle me dit "merci", j'en fîs de même, notre complicité s'est finie le lendemain matin, après un petit-déjeuner copieux. Elle repartit chez elle, dans son logement étudiant, je repris mon chemin. Ce n'était pas la dernière fois que nous nous voyons, mais nous ne le savions pas encore. Elle allait reprendre contact et changer les règles du jeu, et je ne savais pas à quel point cela aller me convenir… Mais tout ceci est une autre histoire.... Frédéric (oui, c'est mon vrai prénom)
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Par : le 27/11/22
Je l'ai vu et me suis presenté , avec timidité et respect en moi jaillit un raz de marée Et à coup sur que ça allait piquer Je lui ai donné entiere confiance Sans aucune mefiance Carte blanche donné sans stress Pour faire rougir mes fesses Al'exces si elle le souhaites j'etais sur que ce serait ma fete Elle a su mettre mon corps en action Me procurant nombre de réaction En faisant attention a ne pas montrer mes émotions Je me devais de rester sage Afin qu'elle ne demeure pas que de passage   Merci @LaDame
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Par : le 24/11/22
Sa jalousie ne la trompait pas. Il est vrai qu'elle était heureuse et mille fois vivante. Elle ne pouvait pourtant faire que ce bonheur ne se retourne aussitôt contre elle. La pierre aussi chante plus fort quand le sang est à l'aise et le corps enfin reposé. Ce n'est qu'aux moments où elle souffrait qu'elle se sentait sans danger. Il ne lui restait qu'à prendre goût aux larmes. Aussi longtemps et fort qu'elle la flagellait, elle n'était qu'amour pour Juliette. Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait pas la faire endurer volontairement. Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur. Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait autre chose. Ce ne pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier, n'eût été ce délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre. Depuis, de Juliette, elle attendait tout mais n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait une fois, pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient, mais elle nourrissait des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une mentalité de froide amante dominatrice. Après tout, leurs deux années de vie commune dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger, les avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Charlotte était bien placé pour savoir que Juliette mentait avec aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment à la déloyauté, et cloisonnaient secrètement leur existence avec plus ou moins de réussite.Mais jamais elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait, et par conséquent aussi au reste du monde. Charlotte pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi. Juliette avait-elle échafaudé ce scénario pour s'évader de tout et de tous avec une autre.   Dans la chambre, il fallut bien se dévêtir. Elles n'allaient pas rester plus longtemps frustrées d'un désir commun. Juliette ôta prestement ses vêtements avec l'aisance coulée d'une femme qui aime assez son corps pour ne pas être inquiête de l'offrir à une autre femme. Allumant la seule lampe qui était encore éteinte, pour bien signifier qu'elle ne craignait plus la clarté, Charlotte laissa choir le bref paréo qui lui tenait de jupe, sans se hâter, de manière que chaque instant comptât double. En dévoilant sa chair meurtrie par le cuir, c'était le sentiment de sa beauté retrouvée qu'elle exhibait, pour la première fois de sa vie. L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se reconquérir, alors tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque, jusqu'au creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, la tanner comme un soleil chaud de fin d'après-midi, et la blanchir fraîchement comme un halo de lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête. L'indifférence prépare admirablement à la passion. Dans l'indifférence, rien ne compte. Dans la passion, rien ne compte non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux désireuses d'un irrésistible plaisir. Un lit où l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux. Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney, combien de fois n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces Finistères ou Morbihans où elle ne représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait pas précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chat. Une parfaite étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une manière comme une autre de changer de contemporain ? Charlotte dénuda ensuite ses seins, cette parcelle de son corps dont l'effet de souffle était garanti, difficile à ne pas caresser ou le plus souvent à flageller. Juliette eut alors la faiblesse d'un toussotement de désir ou plutôt de remord.   Mais Charlotte les offrit avec un tel plaisir et une telle assurance de plaire que ce geste simple fut émerveillant, sataniquement féminin, à faire vibrer l'air épais d'humidité stagnante. Confiante, elle ne fut pas longue à être totalement nue, et radieuse de l'être, avec cette fierté jusqu'au bout des seins qui était comme un appel à la persécution. Charlotte fut dans ses secondes réellement aussi belle que la femme inaccessible dont Juliette s'était éprise en songe. Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule à la clandestinité. À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre enfin à cœur ouvert. Ce devait être quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme l'aventure intérieure qu'elle avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs. Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle est un état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines accomplissent l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point de perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Juliette en était là. Charlotte aimait la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle en avait fait un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations de gens sans goût dont la vie morne avait déteint sur les murs, Juliette les avaient meublées de couleurs exactes et de formes harmonieuses. Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à une accumulation de commodité. Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et étreintes joyeuses. Elle avait crée chez elle un microclimat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du silence, le calme. Les yeux de Charlotte la voyaient telle qu'elle était. Juliette la dominait mais en réalité, c'est Charlotte qui devait veiller sur elle et la protéger sans cesse de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à l'écart. Avec une patience d'entomologiste, elle avait fait l'inventaire du corps de Juliette et souhaitait chaque nuit s'en régaler.    Elle, si pudique jadis, dansait sans le tracas du doute sur sa beauté, devant cette femme qui voyait d'abord ses qualités physiques et pour qui ses imperfections avérées, elle y tenait toujours, était un agrément, une évidente source de trouble, bien qu'elle s'en défendit encore. Chaque signe de fléchissement du rétif fut pour Charlotte un triomphe, affermissant son bonheur émerveillé d'être possédée par Juliette. Elle s'arrêtait pas sur ce qui, dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du cou très long et de l'attache de ses épaules, cette flexibilité qui fascinait tant Modigliani en peignant sa tendre compagne, Jeanne Hébuterne. Charlotte avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une provocation défiant son innocence et sa naïveté. Juliette était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Juliette lui faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical, pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terroriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura et provoqua en elle un trouble profond. Juliette agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement, sans détours. Instinctivement, Charlotte lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme au diable et à elle.   Juliette lui passa autour de sa nuque un collier en acier ras-du-cou et ne put résister au plaisir de l'embrasser sur la bouche en lui mordillant les lèvres jusqu'au sang. Charlotte se sentait une fleur disposée à s'ouvrir malgré elle, traitée par une subtile botaniste qui l'aiderait à croître. Elle ne marchait plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive compagne de Juliette. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintes dressées par une éducation trop sévère. Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Juliette. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Juliette. Agir en phase avec son instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Charlotte fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnaît et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Juliette. Elle en fut bouleversée.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/11/22
La Maison-Blanche, c'est grand ! Il y a beaucoup de gens partout. Je suis bien accueillie... mais, il y a deux choses qui me m'ennuient. Non, trois. D'abord, Summer n'est pas là... Oui, elle me manque. Je sais bien que c'est une garce et qu'elle peut m'obliger à faire des choses que je ne veux pas, mais en même temps, elle me rassure. Ensuite, je deviens la femme du Président, au moment où il y a une menace qu'ils ont l'air de prendre au sérieux. Enfin, il parait que je suis une "trophy wife", une épouse pour faire des la figuration. J'ai l'intention de m'informer, afin de tout faire pour que mon cher époux soit réélu... Pas pour lui, mais pour moi. Je vais d'abord me renseigner sur son adversaire, Dany Prince (quel nom bidon !). Dans une semaine, on part en voyage officiel chez nos alliés. On va à Paris et Bruxelles pour l'UE et ensuite, au Japon... Ce qui me dérange aussi, c'est le personnel. À Malibu c'est clair et net : Madame Stone commande à tout le personnel. Ici, il y a des esclaves et des servantes libres. Plusieurs personnes leur donnent des ordres : une gouvernante, un majordome, la cuisinière... Et puis les chefs des différents services, aussi. Ça ne me plaît pas ! Je veux savoir qui sont les esclaves, m'en servir et... les punir. Si elles ont fait quelque chose de mal, bien sûr. J'ai trois objectifs : réorganiser les esclaves et les servantes, me renseigner sur la politique et trouver un moyen d'éliminer l'adversaire. On a des chambres séparées. Tant mieux je n'ai vraiment pas envie de dormir avec lui... *** Le lendemain soir, le président veut que je le rejoigne pour manger. Il va sûrement me demander quelque chose. J'arrive dans la petite salle à manger. On commence par des banalités. Je lui demande : — Tiens, à propos, je peux avoir une esclave dans mon lit ? — Bien sûr, une esclave, c'est comme un sex toy. Exactement ce que je pense. Je veux encore autre chose : — Et si je veux sucer une bite ou me faire prendre en levrette ? Je sais que cette façon de parler va l'exciter. Il aime l'idée que je me fasse baiser ! Il réfléchit et dit : — Tu fais appeler Spencer, c'est le chef des gardes. Il va bien te baiser, petite salope ! Aussi simple que ça. Il ajoute : — À ce sujet... euh... — Oui ? — On part bientôt en Europe et en Asie. Mais avant ça, je voudrais qu'on passe un petit week-end à Tijuana, pour... euh... Ah, il est moins énergique, là... Je lui souffle : — Pour s'amuser comme à Jackson ? — Oui, c'est ça. — D'accord, mais je voudrais aussi te demander quelque chose. À la villa de Malibu, les servantes sont très stylées et Madame Stone leur tient la laisse très courte. J'aimerais beaucoup qu'on l'engage pour qu'elle s'occupe du personnel. Tu verras la différence. — D'accord. Vois ça avec Madame Conway. Super ! Dès que j'ai fini de manger, je vais dans ma chambre et je téléphone à la villa de Malibu. C'est Madame Stone qui répond, en disant : — Résidence de Mademoiselle Hunter. Eh ! C'est chez moi, pas chez Summer. Enfin, si. Je lui dis : — Bonjour Madame Stone, c'est Madame Birch. — Qui ? — Ashley. — Ah oui, bonjour. Toujours aussi peu protocolaire, mais je m'en fous, elle sait y faire avec les esclaves. Je lui dis : — Je voudrais parler à Summer. Je l'entends crier : — Mademoiselle Summer, c'est Ashley. Elle prend l'appareil et me dit : — Bonjour Ashley. Alors, comment ça va ? — Bonjour... Ça va, sauf que tu me manques trop. Tu viens ? — Je viendrai... Tu voulais autre chose ? — Oui. Ici les esclaves ne sont pas stylées. Tu me prêtes Madame Stone pour un mois ? — Pourquoi pas... Je connais quelqu'un qui pourrait la remplacer. — C'est gentil, ça me rappellera notre villa. Tu viendras, hein ? — Oui ! Je te l'ai dit. Au sujet de Madame Stone, si tu te laisses faire comme à ton habitude, tu laveras bientôt ses culottes ! Bon, je te la passe... bises. — Oui moi aussi, je.... — Allo ? Elle a passé le téléphone à Madame Stone. Je lui dis : — Comme vous le savez, je suis devenue la Première Dame et je suis à la Maison-Blanche. Ici, les esclaves et les servantes, c'est l'anarchie. Je voudrais vous charger de... remettre de l'ordre. Vous auriez tout le personnel sous votre contrôle... pour tout organiser comme à Malibu. Il y a un blanc, puis elle me dit : — Vous connaissez mon salaire ? — ... Euh, oui... — Je le fais pour le triple et je veux deux week-ends libres par mois. — D'accord. — Je prendrai l'avion demain — Merci Madame Stone et... — Je vous téléphonerai quand je serai là... Vous viendrez m'accueillir. — D'accord... et... — À demain. Elle raccroche. Oui, on pourrait penser que... la façon dont elle me parle n'est pas correcte, mais elle est terriblement efficace. Elle va les mener à la baguette. Et puis, j'aurai un spectacle tous les matins... Je ne la laisserai pas être trop familière avec moi. Ce soir, on mange avec les Krassing, les marchands de cochons. Je ne les aime pas et eux m'ignorent... Aussi, j'ai une migraine subite et je n'assiste pas au repas. Ça arrange mon mari. Ils vont parler politique et je n'y connais rien. Enfin, c'est ce qu'il pense. *** Aujourd'hui, première chose : me faire baiser ! Ça fait un temps fou que je n'ai plus senti une bite en moi. Mon majeur a beau être de très bonne volonté, il ne remplace pas une vraie bite. Je fais venir Spencer et je lui explique les raisons de la venue de Madame Stone. Rapidement, je me rends compte qu'il ne m'écoute plus. C'est pas très poli, ça. Il a l'air hypnotisé par quelque chose... Voyons... Je suis assise sur une chaise et j'ai croisé les jambes, ma jupe est remontée et je n'ai pas de culotte... Alors, il voit ma chatte et ça a l'air de lui plaire. Je lui demande : — Vous regardez quoi avec tellement d'intensité, Spencer ? — Vous, Madame la Présidente. — Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour que vous ne soyez plus distrait ? Peut-être que si vous me baisiez, vous pourriez mieux vous concentrer ? — Oui ! Je me lève et j'enlève ma robe. Je me retrouve nue devant lui... Il hésite encore... un peu. Je vais m'asseoir sur ses cuisses, au risque de mouiller son pantalon et je l'embrasse en mettant mes bras autour de son cou. Ah ! Il se réveille et il m'embrasse aussi, tout en me caressant les seins. Je lui dis : — Ne me baise pas comme si j'étais la Première Dame... Il termine ma phrase : — Mais, comme si tu étais une fille à partouze ? — Ouiiii... Voilà, c'est plus sympa, comme ça. Je me mets à genoux et je descends le zip de son pantalon. Oh ! Il n'a pas de slip et son sexe me bondit à la figure. Avant tout, il faut l'apprivoiser. Alors je le couvre de baisers, puis je tire sur la peau pour découvrir le gland. Oh qu'il est mignon : rose, dodu et luisant... Je le goûte du bout de la langue... Je joue un peu trop à son avis, car il me prend par la nuque et force ma bouche. Quand un client fait ça, il faut ouvrir la bouche pour mettre le sexe au chaud... Ce ne sont pas des souvenirs de Première Dame, mais de pensionnaire de "House of Pussies". Il a un goût un peu prononcé, mais comme je suis très excitée, ça passe. Je le suce... et ma tête va et vient sur son sexe... Son gland rose me caresse même les amygdales. Je dois avoir une bonne technique, parce qu'il me fait arrêter avant de repeindre ma bouche aux couleurs de son sperme. Il me lance : — À quatre pattes ! D'accord, voilà qui est clair. Il a le gland voyageur et après ma bouche, voici qu'il viole ma petite chatte. Violer n'est peut-être pas le mot qui convient... Il me baise comme un lévrier baise sa levrette. Aujourd'hui, j'aime bien les images et les comparaisons. Il est bon, le gars, il me baise à grands coups de reins en me donnant quelques claques sur les fesses. Le Président a une très grande qualité, il est doué pour trouver des amants à sa femme. Il me manque... j'aimerais qu'il soit là pour voir comment baise un vrai homme... Je jouis bientôt, suivi par partenaire... J'imagine son sperme inondant les moindres recoins de mon vagin et pénétrant plus loin après avoir escaladé le col de la matrice. Putain ! que j'aime me faire baiser !! Il me donne une dernière claque sur les fesses en disant : — Je serai toujours très heureux de vous rendre ce genre de service, Madame la Présidente. L'après-midi, j'attends l'arrivée de Madame Stone. Enfin, vers cinq heures de l'après-midi, elle me téléphone : — Je suis à l'entrée de service, Ashley — J'arrive, Madame Stone. J'appelle Spencer pour qu'il m'accompagne, je l'ai prévenu. Il nous faut un moment pour traverser la maison. Spencer ouvre et je dis : — Bonjour Madame Stone, — Bonjour madame la Présidente. Ouf ! Elle a compris que devant les gens, elle devait montrer un minimum de déférence. Les gens dominants veulent vous dominer en toutes circonstances, c'est normal. Je l'amène dans le bureau de Madame Conway. Elle va lui montrer sa chambre et lui présenter le personnel. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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