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Par : le 09/01/17
Je me contemple dans le miroir et regarde le reflet de mon désir s’afficher sur moi. Je pars avec lui en week-end. Il sait me surprendre, je veux aussi le surprendre. Ces moments sont des parenthèses de temps suspendu. Un refuge, un eden, tout un univers rien qu’à nous. Telle une adolescente, mon cœur palpite, la pensée de le rejoindre me fait complètement mouillée. Il m’a interdit de me caresser, mais cela ne me rendra que plus folle en sa présence. Dans mon boudoir avec mon immense dressing, je passe de cintre en cintre pour choisir les robes que je porterai. J’aime la sobriété, l’élégance, sans aucune vulgarité. Quelle atmosphère choisir pour ma lingerie, je prend entre mes mains ce soutien gorge sein nu que j’affectionne de Cadolle, puis je le repose. J’ai envie d’exotisme, d’orient. J’aime me costumer, certainement mon goût prononcé pour le burlesque. Je ne pars que deux jours et on dirait que je pars pour la semaine. L’envie de lui être plaisante, de le surprendre est trop important. Je décide d’enfiler ces collants noirs et de mettre par-dessus ces chaussettes hautes où une, est accroché une rose rouge magnifique. Des chaussures à haut talons en noir verni, une jupe simple vert bouteille et un chemiser laissant entrevoir la naissance de mes seins. Je l’entends arriver en voiture. Il sourit à la vue de mes bagages. - Bonjour ma chatte, me dit-il. J’aime cette alternance dans nos jeux. Ces moments de rire, d’échanges et de le voir d’un seul coup, sans crier garde arriver à me faire comprendre ma condition de soumise. Nous prenons la route, le seul indice que j’ai, est que nous allons sur le Luxembourg. La route se fait longue. Arrivés dans cette contrée, j’aime ces vallonnements, cette nature. Le dépaysement est complet. Que m’a-t-il préparé comme surprise pour mon anniversaire ? Je devine au loin une demeure, l’arrivée est spectaculaire dans cet endroit d’une beauté hors du temps. J’ai l’impression de me trouver dans cette campagne anglaise en passant sous ce porche. Un manoir, un petit Versailles, comme il est appelé. Le raffinement est à son comble, les sols en marbre, une immense cheminée en vieille pierre crépite. Quant à la chambre, elle est juste comme dans un conte de fée. Bienvenue au Manoir de Lébioles, ma petite chienne. Nous sommes un peu épuisés par le route. Je décide alors de m’occuper de mon maître pour le détendre et lui montrer ma reconnaissance quant à ce magnifique cadeau. Je vois que ses traits sont tirés. Il s’est assis sur le lit. Je décide alors d’enlever mon manteau, de mettre une musique douce pour l’inviter à se détendre. Une fois ce dernier posé, je m’agenouille en le regardant dans les yeux et je m’approche de lui. Il aime que je prenne ces initiatives et que je me comporte comme une bonne chienne. Arrivée à quatre pattes à ses pieds, je lève mon regard vers lui pour avoir sa permission de continuer ce que j’ai envie de faire. Je commence par lui caresser ses cuisses, de redescendre sur ses mollets. Je prends une de ces jambes dans mes mains et enlève une de ses chaussures, je fais de même avec l’autre. Je lui masse les pieds. D’un seul coup, il m’attrape par les cheveux et me dit. - C’est bien ma chienne, arrête- toi et reste à mes pieds. Il enlève sa ceinture et me la passe autours de mon cou. - Voilà qui est mieux ma petite salope. Il fait tomber son pantalon puis avec sa ceinture, approche ma bouche de son sexe et me prend violemment. - Quelle bonne putain tu es. - Suffit maintenant ! tu es bien gourmande, gardons- nous des forces. Le temps passe, je me rend vers la salle de bain, où se trouve cette somptueuse baignoire dans un style des années 30 que je rêverai un jour d’avoir chez moi. Je fais couler un bain. J’y dépose quelques pétales de roses que j’avais pris le soin d’acheter, et allume aussi ces quelques bougies rapportées. Je décide de mettre ce magnifique kimono de soie bleue, je me rends vers mon maître pour l’inviter à se joindre à moi. J’ai envie de prendre soin de lui comme il sait prendre soin de moi. Il m’autorise ces moments de détente et à prendre ces initiatives. Il sait que j’ai besoin de l’alternance des deux. Alors que je voulais prendre soin de lui, il m’ordonne de laisser tomber mon kimono et de me mettre dans ce bain. La douceur du vêtement en train de tomber le long de mon corps me fait frissonner. Mes seins pointent. - J’aime que ma chienne soit propre. Assis sur le rebord de la baignoire, il me lave chaque partie de mon corps. Je suis son objet, il fait de moi ce qu’il désire. C’est un moment si érotique. Puis il me fait me relever et s’emploie à vérifier que mon sexe est bien lisse comme il aime. - Ecarte tes jambes. Il y passe ses doigts et m’enfonce brutalement ses doigts dans ma chatte. - Je vais te dilater tes trous de chienne. Tu ne mérites que ça, être prise et baisée. - Ca t’excite hein ? tu es déjà toute dégoullinante, regarde moi ça, mes doigts sont trempés par ton jus. - Prépare toi pour le diner, met toi un plug dans ton cul. Ma tête tourne tellement il m’a excitée. Je suis frustrée car j’ai tellement envie de jouir. J’aime quand il me fouille ainsi. Je me prépare pour notre dîner. Je choisis cette robe fourreau grise et argentée, longue et fendue d’un seul côté. De part et d’autres des fins traits de strass, avec un coté légèrement asiatique. Quand je sors je ne peux deviner que le feu dans le regard de mon maître. Il aime que je sois sa princesse que tout le monde regarde et d’être son esclave que seul lui possède. - Mets toi contre le mur, je vais m’assurer que tu as bien vérifier mes instructions. - Il lève ma robe sur mon dos, me demande de me tenir bien cambrer. - Maintenant à mon tour d’apporter ma touche personnelle ! Un peu de rouge aux fesses ne fait pas de mal. Je ne veux pas t’entendre Il en sort son martinet… - Voilà tu es parfaite pour ce soir me dit- il. Nous passons une excellente soirée dans ce lieu d’exception. Arrivés dans le couloir de notre chambre, il me demande de m’agenouiller à son entrée et de marcher ainsi à ses pieds. Il me pare de mon collier et de ma laisse dorée. - Deshabille- toi pour moi avec élégance, soit une chienne racée. Je sais qu’il aime mes airs de ressemblance avec Dita, que j’aime l’érotisme de l’effeuillage. Je demande l’autorisation à mon maître de pouvoir mettre de la musique. Je ne peux pas m’en passer. Il acquièse du regard. J’entreprend alors cette danse langoureuse pour lui. Je faire tomber un à un, quand il le décide du regard ou d’un mouvement de doigt, chacun de mes vêtements. Je me retrouve alors nue, avec mes bas et mes strass autours de mes seins. Suffit maintenant. Il se lève, et prend subitement mes tétons et les pince fortement. Je gémis de douleur. - Merci maître. - Tes tétons n’étaient pas dressés comme il se doit. Puis il les malmena, les gifla, et décida de les bonder. Parfait ! se félicite til. Je sens dans son regard une lueur noire qui me fait frémir. Il prend ma laisse et m’emmène sans ménagement sur le lit. Il me jète sur le dos, m’écarte les jambes. - Reste comme ça, tes trous de salope offerts. Tu aimerais bien que des bites viennent te prennent, hein ? - Oui Maître. Il me place des attaches à mes chevilles et ensuite de les fixer au baldaquin du lit. Mes Jambes sont relevées, et ma chatte, mon anus à son entière disposition. Puis il attache mes mains d au dessus de ma tête. Je suis complètement immobilisée. Les fesses posées juste en bordure du lit. Voila une belle position de putain et je vais t’utiliser comme la catin que tu es. Il s’asseoit sur ma poitrine, cravache à la main. Il pose sa main autours de mon cou pour m’éteindre avec fermeté. Il me gifle. - Tu vas être docile et très obéissante. Je te veux la meilleure des chiennes. - Oui, maître. Ouvre ta bouche et sors ta langue. Elle doit être un écrin pour le sexe de ton maître. Il dépose le bout de son gland sur ma langue. - Lèche. Je m’exécute. gourmande comme je le suis, je le prend dans ma bouche. Il me donne alors un coup de cravache sur le sexe. - T ai-je autoriser à me sucer pour le moment ?. - Non, Maître - Je t’ai dit d’être très obéissante et docile, ne sais-tu pas écouter ?. Je vais te rappeler ta condition de petite salope soumise. Il me redonne un coup de cravache sur le sexe, une larme sort de mon regard. Il se redresse pour observer la toile éphémère qu’il a fait de moi. Je sens sa langue se poser sur mon sexe, et ses doigts effleurer l’intérieur de mes cuisses. Je brule de désir. Puis il prend dans ses doigts le bout de mon plug, qu’il m’a ordonné d’avoir dans mon cul. Il sait que ça me fait complètement bavé le sexe. Il joue avec, il aime le voir, entrer, sortir, entrer sortir, voir mon anus lâcher prise et se refermer. Voila, ton anus est bien préparé, C’est parfait. Je vais te défoncer, te baiser partout, et par tous tes trous. Tu comprends. Est-ce que tu le mérites ? - Oui maître. Ah oui tu le mérites, qu’est ce que tu es ? - Votre esclave, Maitre. - Votre Chienne, Maitre - Votre putain, Maitre. Il plaça son sexe dans mon anus., attrapa de ses mains mes cuisses et me défonça le cul comme jamais. J’en lâche même des cris de douleurs, tellement il me baise. - Hum tu m’excites, petite garce. Puis il se retira avant de jouir. Il veut garder le contrôle. Comme tu cries un peu trop, je vais te faire taire. Il me plaça un baîllon. - Hum c’est beaucoup mieux, dit- il fier de lui. Pui il met un gant. Mes yeux s’écarquillent. Que va-t-il faire ? Il s’agenouilla face à mon sexe, puis y introduit un doigt. Faisant quelques mouvements de va et vient. - Hum c’est comme dans du beurre, un doigt ne te fait rien. - Je vais t’en mettre un second, quoi que non trois. - Que tu es ouverte, un vrai garage à bites. Tu sais ce qui t’attend ? - Je ne veux aucune protestation. Tu as compris ?, sinon je serais bien plus sévère. - Tout doux ma belle, ma main va rentrer, tu le sais. Aimes-tu cela ? J’hoche la tête pour lui confirmer. Il sait que je ne l’ai jamais fait. Nous gardons toujours à l’esprit nos codes si les limites sont dépassées. Je veux qu’il soit fier de moi. Il commence de plus en plus à me dilater la chatte, à faire des va et vient si rapide, que mon sexe devient presque fontaine. Il se montre très doux d’un seul coup pour me rassurer. Il me demande de pousser Je sens ma chatte s’ouvrir. C’est tellement excitant mais aussi douloureux. - Hum quelle belle pute tu es, le sais tu ? - Non, Maître - Tu ne le sais pas, pourtant rien que de voir ta chatte ainsi devrait te le faire comprendre. - Oui Maître. Puis il retire ses quatre doigts en essayant de faire rentrer le cinquième. C’est éprouvant et difficile. Il n’insiste pas. Mais il rentre des doigts de son autre main et entreprend de m’écarteler. Puis il retente de passer toute sa main. - Il faudra une main de femme pour te fister, petite putain. - Cette idée te plait, avoue- le Il enleva mon baîllon pour que je puisse répondre - Oui Maitre - Penses-tu que je t’enlève ton baîllon pour un simple, oui maître ? - Non maître - Alors je t’écoute - Oui maitre, cela me plait l’idée de me faire fister par une femme. - Voilà qui est mieux. - Maintenant je vais te faire gicler ta chatte, lâche toi. Il me caressa en même temps le clitoris. Je jouis avec une telle violence. Des spasmes me prennent sur tout le corps. Je frissonne. De sa main, il me tient par le menton pour que je jouisse en me regardant. Je n’arrive pas à me contrôler, tellement c’est fort. Je suis épuisée par cette vague de plaisir. Il voit des larmes de bonheur se verser de mes yeux. Joyeux Anniversaire, ma belle petite chienne. Je suis son objet, son esclave, tout mon être lui appartient. Ce soir tu seras attachée pour dormir dans mes bras. Je m’endormis contre mon maître en sentant toute sa chaleur, sa puissance et sa protection…
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Par : le 09/01/17
Tu es assis sur une chaise, ton membre se dresse fièrement, et je viens m’empaler dessus. Mon sexe ondule sur le tiens. Des pinces sur mes tétons, tu t’amuses à tirer sur la chainette, pour provoquer mes gémissements, mon corps trahit ma jouissance, à chaque supplice que tu appliques à mes seins. Ta main dans mon dos me guide, m’incite à poursuivre. Le plug me garde un peu plus étroite. Je me retire, me positionne à 4 pattes sur la table basse, je me languis… ma tête repose sur table, mon cul dressé, offert, attend de te sentir à nouveau en moi. Ta main claque sur ma fesse, je murmure un encore à peine audible, je te laisse faire rougir mes fesses. Ma main se glisse entre mes lèvres que je caresse… savoure la moiteur, la douceur de mon sexe. Tu retires le plug, et le remplace par ton sexe, je me redresse un peu, tes mains empoignent mes seins, les malmènent… je succombe à tes assauts.’
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Par : le 06/01/17
Devant la table massive qui mêle le bois lisse et brillant au revêtement vert, elle attend. Jambes tendues, légèrement écartées, jupe à mi cuisses, chemisier boutonné juste sous la naissance des seins, elle fait semblant d'ignorer les regards lourds qu'elle sent sur elle. Encore relativement décente et sage pour le moment, elle a les moyens de garder un certaine contenance, même si le sang bout déjà dans ses veines. La salle n'est pas pleine, elle n'est pas la seule femme. Elle est en revanche toute seule et focalise sur elle l'attention des hommes, que sans doute inconsciemment elle appelle de ses voeux. Oui, mais non. Elle aime qu'on la regarde et elle est dans le déni à la fois. Non, non, personne ne la regarde. Eux jouent déjà... Ses pensées s'entrechoquent. Elle s'impatiente. Un homme d'une table voisine la frôle, heurte son épaule, s'excuse. Elle esquisse un sourire. Elle aimerait qu'il soit déjà là mais il se fait attendre. Les boules sont posées devant elle, dans le triangle, les deux queues sur la table. Elle en prend une en main, lisse le bois de la pulpe de son index, la pose à côté d'elle, comme une canne. D'une marche rapide il franchit enfin le seuil de la salle et se dirige vers elle yeux pétillants, large sourire, pour venir cueillir un baiser, sucer ses lèvres et les mordre au sang. Elle ne parvient à étouffer un couinement aigu. Il saisit d'une main l'un de ses tétons qu'il pince à travers le chemisier et passe l'autre main sous sa jupe afin de contrôler l'effet produit, celui d'une humidité patente dans une ouverture naissante. Il se saisit de la seconde queue de billard et prend du recul, en pose la pointe dans l'échancrure, puis fait glisser l'embout le long de son ventre jusqu'à l'intersection de ses cuisses, sans la quitter des yeux. Manière de viser l'emplacement du clitoris et d'exercer une pression imperceptible. Et infiniment troublante. Cette fois, elle est sûre que les groupes d'hommes les plus proches la dévisagent. Elle sent le rouge lui monter aux joues. - A toi de jouer, dit-il. Elle ôte le triangle et "casse", en se penchant légèrement au dessus de la table. Le jeu a commencé. Il passe une main sur sa nuque, saisit ses cheveux et abaisse son buste, il observe alentours,contrôle la visibilité de son décolleté. Insuffisant. Il lui demande de déboutonner davantage. Elle devine ce que pourrait être sa prochaine requête : elle devra enlever sa culotte et la poser sur la table. Elle sent des yeux rivés sur elle, elle prend alors son courage à deux mains et fait glisser la culotte, qui atterrit sur la table. Elle essaie de la dissimuler dans un coin. L'impression qu'on ne voit que la dentelle noire, pourtant. Il désigne une boule à jouer à l'autre bout de la table. Il lui demande de s'allonger, jusqu'à poser ses seins sur le tapis vert, en écartant les jambes. Tous les regards mâles braqués sur elle. A nouveau, elle sent sa main sur son intimité, il la pénètre d'un doigt, collé contre elle. Il fait cela de façon discrète, presqu'invisible mais personne n'est dupe. Elle frémit et son souffle se fait plus court. Elle manque la boule bien entendu. A suivre
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Par : le 06/01/17
Au milieu des chairs D'un éclat de lune sombre Brille un oeil lubrique
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Par : le 06/01/17
Depuis le matin, nous étions affairés à tout préparer... Elle, la matinée, à tout ranger, tout nettoyer, d'abord, entièrement nue, bien sûr, en dehors de ses talons hauts, de son collier et des quatre bracelets de cuir et d'acier qui ornaient son cou, ses poignets et ses chevilles, ainsi que de la petite chaînette d'argent qu'elle portait de façon permanente à sa cheville gauche comme symbole discret de son appartenance... Il faisait un peu frais, bien sûr, dans la maison, en ce début d'hiver, mais l'activité fébrile l'empêchait d'avoir froid. J'avais eu envie de la prendre, plusieurs fois, sauvagement, sans crier gare, basculée sur le dossier du canapé ou jambes écartées face au mur, à la voir ainsi, nue, désirable, la peau un peu humide de transpiration... Mais je savais qu'il fallait réserver mon énergie vitale - et la sienne - pour le soir ! J'étais donc sorti faire les courses prévues pour cette soirée à venir, et je m'étais ensuite occupé de mettre le champagne au frais, puis de mettre en place l'accueil prévu à l'extérieur... Nous avions ensuite déjeuné rapidement, sur le pouce, et fait une petite sieste, afin d'être au mieux de notre forme ! Bien sûr, pour ce jour spécial, elle avait dormi attachée dans sa cage, sortie spécialement pour l'occasion, au pied du lit, un masque sur les yeux, afin de la mettre en condition pour l'évènement à venir... Puis nous avions continué nos préparatifs... Elle, en cuisine... Pour l'occasion, elle avait ajouté à sa panoplie un tablier de cuisine court, en coton beige écru festonné de feuilles d'oliviers, qui lui arrivait en haut des cuisses, laissait deviner largement le sillon de ses seins, et bien entendu la montrait entièrement nue de dos, en dehors des deux fines cordelettes nouées au creux des reins et autour du cou... Et tout l'après-midi, elle avait confectionné de petits plats pour le buffet du soir : un cake salé aux olives vertes et noires, de petits roulés de jambon cru au fromage frais de brebis, de petits pains suédois croquants en canapés au saumon et tomate cerise, des roulades de poivrons rouges au thon et à la feta, des boulettes d'aubergine au parmesan, et de petites barquettes de feuilles d'endive aux crevettes, coriandre et pointes d'asperges... Puis elle avait préparé un beau plateau de fromage, agrémenté de petites grappes de raisin blanc. De mon côté j'avais utilisé ce temps pour vérifier le chauffage et les éclairages de la pièce, pour disposer les cordes, les plugs, la cravache, le fouet et autres accessoires à l'emplacement approprié, sur la petite console adossée au mur, et tester la solidité des anneaux d'acier noir vissés dans les poutres du plafond... J'avais aussi pris le temps de disposer plusieurs dizaines de bougies, toutes de couleur rouge, partout dans la pièce. Puis j'étais allé sélectionner les musiques qui agrémenteraient notre soirée, et les parfums d'encens qui lui donneraient cette atmosphère exotique et voluptueuse... Enfin, pour parfaire le tout, j'avais allumé un grand feu dans la cheminée, avec ce mélange si particulier et si odorant de chêne blanc et de ceps de vigne qui embaumaient la pièce d'un parfum de vendanges d'automne ! Le temps ainsi était vite passé... J'étais un peu frustré, car il ne se passait jamais une journée entière sans que je la prenne, la possède, sans qu'elle me fasse jouir ou que je lui procure un orgasme... Mais il était déjà dix-huit heures, et nous aurions le temps de nous rattraper plus tard dans la soirée, cela était certain ! J'appelais ma bien-aimée soumise : il était temps pour les derniers préparatifs avant de recevoir nos invités, nous habiller ! Elle savait ce que nous avions choisi et commandé ensemble pour cette occasion, je n'avais pas besoin de le lui rappeler... Elle savait aussi ce qu'il lui restait à préparer avant que je ne revienne avec les invités... Il était temps pour moi d'aller les chercher ! J'avais rendez-vous avec eux dans un bar du village voisin... Le temps d'un verre ensemble, et de m'assurer qu'ils avaient bien compris les instructions pour cette soirée... J'entrais dans ce bar que je connaissais surtout en terrasse au soleil, l'été... Une atmosphère paisible et un peu désuète y régnait, entretenue par une chaleur confortable, par une douce pénombre trouée de quelques halos de lumière chaude diffusés au travers de lampes à abat-jour et de spots harmonieusement répartis, par ces banquettes de cuir rouge surmontés de hauts miroirs encadrés de bois sombre vernis, et par cette musique jazzy de temps plus anciens... Il y avait peu de monde à cette heure intermédiaire entre les amateurs de thé de de chocolat chaud de l'après-midi et les premiers inconditionnels de l'apéro accoudé au bar de zinc. Vers le fond de la salle, dans un coin, un jeune quinqua à l'air encore fringuant, la peau hâlée et creusée d'un marin, le nez fin surmonté de lunettes rondes d'intellectuel un peu mystique, avec un cahier, un stylo et un livre que j'identifiais comme étant le Magellan de Stefan Zweig posés devant lui... Plus au centre, tournée vers la baie vitrée de la façade, une femme attablée devant un thé citron et qui semblait habituée des lieux, et habitée d'une vie intense, l’œil vif au regard malicieux et pétillant, et dont émanait une sensualité irrésistible, semblait plongée dans de profondes pensées, comme flottant dans un autre univers... Et près de l'entrée, un couple attablé devant deux tasses de thé encore fumantes devisait tranquillement : je reconnus immédiatement mes deux visiteurs attendus, et m'approchais de leur table. Ils se levèrent pour nous saluer. Elle, dénommée V., une belle femme élancée et souriante, la quarantaine épanouie, emmitouflée dans un beau manteau au col de fourrure et doublé d'une longue cape évasée qui emmenait le regard jusqu'à ses bottes de cuir noir à talons hauts qui dépassaient au bas de la doublure... Lui, prénommé H., un beau métis élancé et musclé, la quarantaine affirmée, vêtu de façon très élégante sous son épaisse parka en mouton retourné gris anthracite et d'une longue écharpe de cachemire et soie aux discrets motif monogrammés dans une dominante violette foncée enroulée nonchalamment autour de son cou ... Je ne pus m'empêcher en le saluant de jeter un coup d’œil rapide sur la bosse qui tendait son pantalon de cuir noir au niveau de l'entrejambe, et qui semblait répondre aux promesses de nos échanges lors de la sélection que j'avais opérée ! Sophie, la jeune serveuse brune et accorte, aux fesses légendaires et à la voix gouleyante que je connaissais un peu, prit ma commande de thé aux épices, et nous nous avons discuté un petit moment avec mes deux invités du jour, pour faire connaissance, et m'assurer une dernière fois en réel et en face-à-face que l'impression était bonne, et qu'ils correspondaient à ce que nous attendions d'eux pour cette soirée si spéciale ! Il était près de 19h. La nuit était tombée. Un autre homme entra et vint saluer l'homme attablé au fond d'une bourrade amicale... Quelques habitués commençaient à s'agglutiner au zinc pour l'apéro. Il était temps pour nous de quitter les lieux, et de rejoindre Â, comme prévu. Mes deux invités me suivirent, et je les invitais comme convenu à l'avance à laisser leur propre voiture sur le parking et à monter dans ma voiture, après qu'ils eurent chacun récupéré dans leur véhicule un petit sac de voyage, dont je connaissais le contenu... Une fois installés, je leur tendis à chacun un petit foulard de soie noire. Ils en savaient la raison : notre destination finale ne devait pas être connue d'eux, et ils s’exécutèrent docilement en se bandant les yeux. Je leur dis avec un sourire malicieux : "Ce n'est pas tous les jours que deux Doms se font bander les yeux !", ce qui déclencha un petit rire collectif et mis une ambiance joyeuse dans la voiture pendant ce court trajet de retour ! Dix minutes plus tard, nous arrivions à la maison. Il était 19 heures précises, le timing était parfaitement respecté. Je garais la voiture sous le grand tilleul, comme j'en avais l'habitude, et leur dis : "Vous pouvez ôter vos bandeaux". Et nous sortîmes de la voiture. Les photophores éclairaient l'allée de cyprès depuis le portail de l'entrée jusqu'à l'entrée de la maison, dont le porche était encore entouré d'une guirlande de Noël à la douce lumière chaude et scintillante. Je les invitais à entrer dans la maison, et à se débarrasser de leurs manteaux. L'occasion de me rendre compte que V. ne portait pas juste des bottes ordinaires, mais de grandes cuissardes qui gainaient ses longues jambes jusqu'à mi-cuisse : j'appréciais la vision sensuelle et exquise ! C'était le moment d'entrer dans le lieu de nos réjouissances à venir ! J'ouvrais la porte, et les fis entrer devant moi. Et nous restâmes là tous les trois un instant à admirer le spectacle qui s'offrait à nous et à nous imprégner de l'ambiance, comme saisis par la magie de l'instant ! Le feu crépitait dans la cheminée, dégageant sa subtile odeur de bois et de vendanges qui se mêlait aux parfums d'ambre musqué des bâtonnets d'encens... Des dizaines de bougies rouges faisaient danser leurs ombres vacillantes sur les murs de pierres banches et les plafonds aux poutres apparentes... La musique de l'album 'Climax' de Molecule (https://youtu.be/hvxBsffzQr0) faisait vibrer l'air de ses harmonies sensuelles et charnelles... Dans un angle était dressé une joli buffet où chaque plat invitait aux plaisirs épicuriens de la gourmandise... Le long d'un grand mur était disposé une immense bibliothèque dont les étagères montaient jusqu'au plafond, munie d'une barre de laiton horizontale à laquelle s'accrochait une échelle de bois permettant d'accéder aux ouvrages les plus en hauteur... Deux profonds canapés de cuir nubuck et un grand pouf couleur fauves trônaient au centre de la pièce autour d'une table basse en teck massif aux formes asiatiques arrondies dans leur teinte naturelle imperceptiblement cérusée de blanc et imprégnée d'huile de lin... Le long d'un autre mur était disposé une longue console de fer forgé et verre, sur laquelle étaient étalés mes accessoires de jeu... Et, dans un espace vide de la pièce pendaient plusieurs cordes de chanvre épaisses, suspendues à autant d'anneaux d'acier noir fixés aux poutres du plafond... Mais nos yeux étaient évidemment irrésistiblement attirés par un autre spectacle... Celui de Â, en position d'attente et de soumission, à genoux, cuisses écartées en V, bras croisés dans le dos, tête baissée... Et entièrement vêtue de rouge, de noir et d'argent : des escarpins ouverts aux talons vertigineux en peau façon croco, des bas couture de nylon noir, un serre-taille au fond rouge agrémenté de fines dentelles noires, lacé dans le dos, auquel étaient reliés les bas dans la partie inférieure par quatre porte-jarretelles de soie noire, et qui dans la partie supérieure soutenait ses seins entièrement apparents... Une fine tunique de tulle rouge transparente à deux pans brodée de motifs en forme d'arabesques orientales masquait partiellement son torse aux regards, laissant deviner plus que voir le serre-taille et ses formes sensuelles, et laissant les bras nus... Une chaînette de cheville en argent luisait à la lueur des bougies et du feu de bois, et deux larges bracelets en argent ciselé enserraient ses bras au niveau du biceps... Enfin, elle était nantie de quatre bracelets et d'un collier de cuir rouge munis chacun d'un anneau d'acier aux poignets, aux chevilles, ainsi qu'à son cou... J'étais moi-même subjugué par la beauté de  à cet instant, et laissait mes invités absorber le choc émotionnel que visiblement cela leur procurait, si j'en croyais leur visage ébahi et leur silence éloquent - sans parler de la bosse du pantalon de H. que je voyais nettement prendre de l'ampleur ! Puis je rompis le charme : "Je vous présente Â, ma soumise bien-aimée. Â, je te présente V. et H." V. et H. saluèrent  de vive voix : "Bonsoir Â, vous êtes superbe", dit V. tout d'abord. "Bonsoir Â, je suis très heureux de faire votre connaissance ce soir", a ajouté H. Ensuite.  répondit sans lever les yeux, et en inclinant le buste vers l'avant : "Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur, soyez les bienvenus". Je continuai : "Comme vous le savez, cette soirée est spéciale. Mais avant toute chose, déposez ce que vous avez apporté avec vous sur la console, là-bas". V. et H. se dirigèrent d'un pas commun vers l'endroit désigné, posèrent leur petit sac sur le sol, et en sortirent chacun un long fouet aux lanières de cuir qu'ils déposèrent sur la console, à côté du mien. "Bien, vous pouvez maintenant vous installer confortablement dans les canapés.  va nous servir le champagne, puis nous pourrons profiter du buffet dînatoire avant de commencer les festivités !"  se leva pour aller chercher le champagne, un Laurent-Perrier rosé millésimé... J'échangeais un regard avec elle au moment où elle revint dans la pièce, portant un plateau avec la bouteille et quatre coupes de cristal Baccarat, et vis ses yeux refléter les milles lueurs des bougies de la pièce, mais aussi scintiller d'un mélange d'angoisse et d'excitation que je sentais monter en elle... J'étais fier d'elle, et je savais que la soirée serait la plus merveilleuse de notre relation jusqu'alors...
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Par : le 06/01/17
Demain soir je prendrai le train... Où m'emmène-t-il ? Je feins de l'ignorer mais ne peut contenir plus longtemps le secret à mesure que mon visage s'illumine. Doucement, bravant le froid, la machine pourfend les rails et le vent dans ta direction : la pluie ne pourra me stopper. Je vais la retrouver, elle. Vous en avez une vous aussi ? Votre "elle" à vous ? Si vous en avez un(e), vous comprendrez mon excitation. Tu es là. Le quai, les gens te frôle et d'un courant d'air caressent tes cheveux châtains... D'un vif pas te retrouve dans mes bras et sans attendre nous nous esquivons vers chez moi. Tu t'en souviens n'est-ce pas ? Cette modeste maison, notre cocon caché, notre Eden à nous, où toi ma Ève, aime croquer dans cette pomme. Cette fois-ci tu ne peux t'empêcher de rougir, tu sais ce que je m'apprête à faire mais tu ne peux me repousser. Tu le sens ? Oui, c'est nouveau, je t'avais prévenue ma jeune initiée. Ce n'est pas le même désir que d'habitude, n'est-ce pas ? Te faisant dos, je décide de te regarder : comme tu es belle ma soumise aux yeux bandés... J'ai fais de toi ma sculpture et tu veux que je t'entretienne, mais avant laisse moi t'observer comme un artiste. Tes coudes surplombent tes tempes et ta cascade de cheveux recouvrent le reste de tes bras, soigneusement attachés aux poignets dans ton dos. À genoux, tes jambes écartées m'appellent mais te voyant gémir je commence à me délecter de ton désir : n'allons pas trop vite, savourons l'instant... N'est-ce pas ce que tu souhaites ? Du bout de ma cravache, je rehausse ton menton pour voir l'expression de ton visage. Tu es impuissante, tu le sais mais tu l'adores. Je commence à te fouetter, les marques rouges sur ton corps frêle me fascinent... Mais voyant le sol mouillé sous ton bassin, l'envie de te goûter me vient à l'esprit... Mais il est trop tôt, tu ne l'as pas encore mérité. Je vais donc m'asseoir face à toi et tirer sur ta laisse pour te guider, faire de toi ma chienne pour mon plaisir uniquement. Tu sais ce que tu as à faire et tu le fais comme il faut, pour t'encourager je tire sur cette laisse d'une main et te cravache de l'autre : tes larmes se mêlent à ta salive... Ayant apprécié tes avances, je dois te récompenser. Tu te cambres sur mes genoux et tu te laisses divaguer. Mes doigts sont rudes et s’immiscent dans tous tes orifices et je n'oublie pas de te faire goûter tes propres fluides, je sais que tu aimes ça.. Après t'avoir doigté, je te regarde à nouveau, mon index dans ta bouche. Tu m'excites et m’enivre, je ne peux y résister. Je me lève farouchement et me masturbe au dessus de toi. À mes ordres tu reçois ma semence sur les lèvre et t'abreuve de ceci comme d'un nectar sans pareil. Je retire ton bandeau et me plonge dans tes yeux. En t'embrassant je remarque sur ta joue qu'il en reste : d'un doigt coquin tu récupères l’échappée et sur ta langue laissera fondre cette douceur enchantée. Une seule goutte suffit...
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Par : le 06/01/17
C'est un texte un peu dur, je laisse libre à la modération de l'accepter ou non. Je me suis dis que ça pourrais servir à d'autres un jour peut être. J'ai fait mon propre chemin depuis mais cette expérience m'a apprise à me protéger.Outch première rencontre ! Purée j'en tremble, j'attend sur le parvis de cette église. Y'a que des buveurs de pastis et des vieilles comméres, c'est pas franchement mon ambiance. Avec mon pantalon moulant et mes yeux maquillés, je passe trop incognito. Ils arrêtent pas de me reluquer. Ou alors c'est moi ? Non je flippe pour rien, le mec va arriver et tout va bien se passer.Il m'a traité de lope sur la messagerie, je flippe un peu. Bon après, ils disent tous ça. C'est super zarb ces annonces sur les sites gays, on dirait un concours d'annonces les plus clichés possible. Remarque guère mieux sur les sites hétéros. Au moins, il me fera pas chier parce que je suis crock love d'une nana. Est-ce que je suis crock love seulement ? Et merde je sais plus, je me suis tapé plus de mecs en 15 jours que de nanas durant toute ma vie. Ça veut dire que je suis gay ? Peut être qu'ils ont raison. Peut être que j'aime trop la bite pour être bisexuelle ? Ou alors je suis juste un asexuel qui se fait chier ? Ou alors je suis paumé et je fais n'importe quoi. Ah merde je sais plus où j'en suis.Oh merde c'est lui ! Le seul mec en full cuir, ça peut être que lui. Se barrer ! Il faut que je me barre. J'ai rien à faire ici. Bon sang il me regarde. Il sait que je le regarde, il sait qui je suis. Il sourit. C'est bon c'est cramé. Je vais faire un arrêt cardiaque de toute façon. Il se plante devant moi."David ?" J'exhale un son mais rien ne sort. Ma bouche s'ouvre, un truc pas net se forme mais c'est super vague."Ca va aller. Ne t’inquiète pas j'ai l'habitude."Il me prend par la main. Je me laisse faire. Mes jambes arrivent à peine à me porter de toute manière. Il reprend à voix basse."Tu me suis et tu ne dis rien. Tu parleras quand je te dirais de parler."Je hoche la tête, tremblant comme une feuille. Au fond, je suis content, c'est plus facile comme ça. Vingt minutes en bagnole et on arrive. C'est pas l'endroit prévu. Il me dit que sa femme est à l'endroit habituel, que c'est un local à lui pour son boulot. Qu'il s'en sert parfois. C'est plus ou moins crédible, je fais pas gaffe.Le type est très directif mais respire la gentillesse, je crains vraiment rien avec lui. Vaguement dégarni, lunettes de soleil ringardes mais corps plutôt sweet et sourire atraillant. Des durs, des tarés,des fumés du bocal, j'en ai connu plein, il en fait pas parti. C'est un doux qui se la joue, je préfère autant. En tout cas pour la première fois.A l'intérieur, c'est un vieil atelier. Y'a des fixations au mur un peu partout avec un max de truc pour faire fantasmer le novice que je suis. Tout un tas d'objets étranges dont j'ignore l'utilité mais qui me rendent super curieux. Je souris. Ça me fait vraiment très peur, ça m'excite aussi énormément. Brusquement il tire sur mes cheveux et me colle comme une merde sur son entrejambe : j'adore. Je lui sors la bite avec les dents et je m'en prends une monumentale : ça commence bien. On fait des aller retours en gorge profonde et je tarde pas à être souillé de foutre et de bave : ultime.Il me traîne au mur en me broyant la nuque, il me bande les yeux? m'arrache limite mes fringues et m'attache. Le moment est délicieux, je voudrais que cet instant ne s'arrête jamais.Il est très excité et me balance."Je vais te baiser comme une petite salope !"Il aurait pu trouver mieux mais bon je laisse pisser, tout se passe bien, je vais pas faire mon rabat joie. Et de tou...Aie merde ! Je crois que... Oh purée le con, il vient de me pénétrer. Aie mais merde c'est pas... Bon dieu je lui avais dis de lubrifier, c'étais prévu comme ça. Oh non bordel de merde ça fait vraiment trop... Il est en train de me détruire l'anus ce demeuré. Bon on arrête les frais."STOP ! STOP !"Il réagit pas. Cette salle espèce de sous merde réagit pas."Oh merde ! Safeword : STOP ! STOP ! STOP !"Purée, je lui ai répété 150 fois que mon safe word était STOP. Il a pas imprimé ou quoi ? Je me débat sur mes chaines mais mieux attaché que ça tu meurs. L’énervement cède la place à la peur. Il va vraiment continuer comme ça ?"Tu va voir salope, tu va finir par aimer ça. Va y aprivoise ma bite."Merde. Merde putain j'ai mal. J'en chiale. C'est plus excitant du tout là faut qu'il arrête. C'étais pas ce qui était prévu merde ! Le temps passe atrocement lentement. Je crois que je saigne, je crois que je saigne pas mal, bordel j'ai l'impression que mon cul c'est le styx en éruption. Au bout d'un moment assez long il me sort :"Alors t'a aimé ?"Non mais sérieux, est ce que j'ai aimé ? Est-ce que t'aime boire de l'acide au petit déj ? Bon, pragmatique. J'ai super mal et je veux me barrer. Je comprend rien à ce qui se passe mais je veux barrer et vite. Faisons ce qu'il faut. Malgré la douleur, je tord mon petit cul comme si cette séance de vide couille m'avait plu. Il est peut suffisamment débile pour que ça marche."Laissez moi lécher votre sperme maître s'il vous plait."Ticket gagnant, il me détache. Je le regarde même pas. Je me rhabille et me casse à pied sans me retourner. J'ai marché longtemps je crois ce jour là et j'ai largement eu le temps de réfléchir. Après ça plus jamais une rencontre BDSM ne s'est passé comme ça, j'y ai veillé. J'étais le type le plus chiant du monde mais je me protégeais. J'ai eu la chance d'avoir des gens très doux après ça et petit à petit j'ai repris le contrôle de mon corps. Ça a été long mais j'y suis arrivé. Je me suis culpabilisé longtemps pour ce qui c'étais passé mais j'y suis arrivé.
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Par : le 05/01/17
APOGÉE HURLOIR L'intrusion d'un ciel retors au poids d'incontinences lacrymales et impudiques interdit les soubresauts extrudés de ma bouche mangeant ma bouche le cou cambré la nuque calée sur le passé agonisant sur les soutes de lambeaux amoncelés amarrées à ma schyzo-panoplie désamarrées de ma torpeur d'insouciance je chie mon désespoir esquive les gouttes d'acide et m'ampute de ma nuit noire ô ma nuit d'orgueil mon puits de peines éperdues mon chaos rampant aux minutes creuses son cri t'a dissolue, équarrie je franchis enfin ton horizon lame effilée, limite du chaos mes jambes enjambent mon entrejambe entrejambe mes bras brassent mon torse se tord mes dents Dante et mon âme, Madame, te hurle l'amour libéré Pour écouter la version sonore de ce poème, c'est ici : http://filosphere.free.fr/Musique%20MP3/ApogeeHurloir.mp3 (J'ai fait la musique avec un archet de violoncelle sur une basse électrique, d'où le son bizarre) .
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Par : le 04/01/17
À mesure que les jours passent, ma passion se déchire. Je ne rêve que de toi, te faire souffrir pour te faire jouir... Mais est-ce ton souhait ? Je n'en sais rien, dois-je te détruire ton corps pour pouvoir sentir le miens ? La douleur que je t'inflige car tu ne peux me l'infliger, m'attriste et me ravie c'est étrange mais ainsi... J'espère qu'à l'avenir tu sauras me surpasser : mon élève dépassera le maître et saura s'y opposer.
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Par : le 03/01/17
J'attends a 4 pattes les fesses relevées, la tête au sol, les mains dans mes cheveux.Je sens l'effleurement de la cravache qui glisse sur mon mollet avant de remonter mes cuisses, un tapotement sur ma fesse... j'attends. Un grand coups tombe, s'est fort... mes mains se crispent, le souffle coupé... la douleur vive... Votre main a saisi mon cou pour me redresser, Votre voix au creux de mon oreille..."ce soir, ce n'est que Mon plaisir". Ma gorge se noue, j'ai peur, envie de fuire... mais c'est trop tard... aucun safeword... ma tête retrouve le sol... Votre pied plaque ma joue sur la surface froide. Les coups s'enchainent, se déchainent... les larmes coulent... je n'ai plus de souffle... tout n'est que douleur cuisante...et lorsque je pense que cela se calme... ce n'est que pour attacher mes poignets et les maintenir en extension vers le plafond.... "Ce n'est que le début, je m'échauffe juste; ma catin..." mes larmes redoublent, je tente de respirer... c'est le fouet qui prend la suite, je ne peux bouger... juste subir... mon corps se marque. Je finis par perdre connaissance. C'est la brûlure de Votre jet de pisse sur mes plaies qui me réveille... je suis au sol dans cette flaque... je me sens sale, dégoutante... l'envie de vomir me prend.... c'est trop fort... je suffoque... sous Votre regard.... " Tu ne me mérites pas, dégage et ne reviens plus..." Vous détachez mes poignets et partez. Mon dos me semble en lambeau, et mes fesses ne sont pas en meilleur état... chaque mouvement est douloureux, c'est a peine si je supporte l'eau fraîche de la douche... je ressors ruissellante décider a laisser l'aire me sécher. Vous m'attendez dans l'encadrement de la porte. "Tu sembles plus présentable, agenouille toi petite pute". Je tombe a genoux comme un pantin...Vos mains saisissent mon visage, m'intiment à ouvrir la bouche... Votre sexe se fraye un chemin... c'est trop... les hauts le coeur me submerge... Votre main saisit ma gorge pour me relever...."Même ça tu en es incapable. Tourne toi, penche toi , mains sur les genoux". Je Vous obéis, me mets en position le corps crispé, douloureux.. prête à subir une correction... C'est Votre sexe qui me transperce... qui s'enfonce douloureusement dans mon cul... je crie de douleur... "Tu peux crier ça m'excite, sale pute!". Vos assauts sont violent, le contacte de Votre peau sur mes fesses endolories est déja un supplice... et votre membre en moi est un couteau qui me transperce... Vous poursuivez à grand coups de rein, j'implore votre pitié... Vous poursuivez sans ménagement, avec plus de fougue... Vous vous videz rapidement en moi... en saisissant mes seins pour les écraser et pincer leurs pointes. La douleur redouble... et Votre foutre se déverse en moi. "En fait, c'est comme une chienne qu'il faut te baiser..." Je ne sais comment j'arrive à rester debout... je me redresse, mes ongles ont marqué mes genoux. Vous me tendez une liasse de billet que je décline... je tente de partir, mais Vous me retenez pour fourrer les billets dans ma chatte... je tombe au sol... brisée.
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Par : le 03/01/17
Je me suis installée, mes seins contre la table... les jambes écartées... tu as caressé mon sexe, qui s'est gonflé de désir... j'ai senti l'insertion des boules de geisha... une première que tu as poussé en moi... puis la suivante. Puis un objet froid s'est posé à l'entrée de mon cul... ta main sur ma nuque, tu as introduit doucement le plug... il est imposant, c'est fort... tu t'amuses à le faire légèrement bouger en posant ta main sur le brillant... je me sens tellement remplie, pleine... Ta main vient claquer sur mes fesses, je gémis... tu poursuis sous mes gémissements... griffes mon dos par moment... le plaisir monte... les boules cognent en moi, chaque coup est un mélange de plaisir, de chaleur.... je me sens tellement bien... j'en veux encore, plus... je gémis, laisse le plaisir me submerger, savoure chaque claquement qui réchauffe mon cul, chaque claquement qui fait vibrer mon corps, qui résonne dans mon ventre, entre mes cuisses... je jouis, les boules tombent au sol, l'esprit un peu ailleurs, je te laisse me guider et glisser ton sexe entre mes lèvres.. je te lèche avidement... me délecte de ton gland... ta main dans mes cheveux, tu guides le va-et-vient de ton sexe dans ma bouche, ton membre est si gros, si dur.... j'ai glissé une main entre mes cuisses pour me caresser...on savoure tous les 2 ce moment de plaisir... je te suce, ma langue te caresse... se délecte de ton membre... Tes doigts pincent mes tétons, m'incitent à me relever... je quitte ton sexe... retrouve ta bouche, ta langue... ta main caresse mes fesses, tes doigts plongent en moi, me retournent pour me plaquer sur la table. Le plug me laisse étroite... mais je suis trempée. Ton sexe plonge en moi, ressort pour mieux revenir... c'est sauvage, torride... tu bloques mes mains dans mon dos, je te sens cogner, je jouis... tu retires le plug, pour plonger ton sexe... je te laisse t'abandonner en moi, porter tes coups dans mon cul...nous laisser à bout de souffle...
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Par : le 03/01/17
Trois jours sans nouvelle. Je me languis. Je regarde à travers la fenêtre, pensive. Les femmes ont tellement tendance à se poser des questions et de trouver des réponses, qui le plus souvent ne sont pas la réalité. Je ressens un manque, un abandon, mon coeur palpitant dans ma poitrine. Si difficile de rester en attente, car il m'a troublé, il a marqué son empreinte sur mon désir. Je ferme les yeux, en revivant cet instant dans cette ruelle. C'est comme s'il était en moi, tel un envoutement. Je pense à lui. La passion de ce désir me consume. Le jeu a commencé, je le sais. Le temps passe, je doute. Ai je fait quelque chose qui ne fallait pas? Au diable les questions, je me sens juste vulnérable, attirée, car mon ressenti a été très fort. La peur de ne pas ressentir cette intension ardente de désir. Puis je reçois cette lettre manuscrite, où je découvre la beauté de son écriture. Ma chère Scarlett Envie de vertige, de vérité, de répère? Laissez moi planter mes crocs dans votre être Posez votre main en toute confiance dans la mienne Laissez moi faire de vous ma chienne. Mon corps palpite à cette lecture. Ce jeu de séduction et d'appartenance me procure une vague de désir. je sens mon sexe se gonfler d'une excitation. La message se poursuit. Vous devez récupérer votre culotte, qui fut d'un parfum des plus délicieux. Rendez vous ce vendredi. Il me laissa une adresse. Pourquoi le temps paraît il si long dans cette attente. La migraine me monte, tellement je suis excitée, pleine de désir. Le soir est enfin arrivée. Je me retrouve dans un quartier résidentiel. Mon corps tremble. Je n'ai jamais vécu de moments si troublants. Sur un porte, un mot m'est laissé. " Dès le franchissement de cette porte, tu es ma chienne" Je sais qu'il est tant de faire demi-tour. Une pulsion me dit d'y aller, ma raison me dit, d'être prudente. Il est temps de vivre mes envies et d'oser. Après tout, celui qui ne tente pas, ne peut pas savoir. Après une longue inspiration, je toque. La porte s'ouvre, nos regards se croisent, brulés par l'intensité de ce moment. Je cède. Je baisse mon regard. En tant normal, je suis à le soutenir, mais sa personnalité, ses échanges, notre complicité naissante laisse place envie à la soumise qui est cachée en moi. - "Entre et reste debout au milieu du salon" me dit il. Il m'enlève mon manteau, il me découvre en sous vêtement, comme il me l'avait demandé. Ses mains dessinent sur mon corps le désir. - Ouvre ta bouche, m'ordonne t il. Il y glisse une cravache qu'il me demande de maintenir. - Mets toi à quatre patte et baisse la tête Il tourne autours de moi puis s'asseoit sur son canapé, et sors de sa poche ma culotte. Je sens qu'il me regarde. Je sens des frissons me parcourir. - Alors ma belle, montre moi comment une chienne se déplace avec élégance jusqu'à son maître" - "Apporte moi ma cravache" A ce moment là, je me sens presque féline. Je m'avance à quatre pattes, la cravache tenue dans ma bouche. J'ose le regarder dans les yeux et lui jeter la cravache dans sa main, tout en cambrant mes fesses. Il me demande de m'asseoir sur mes jambres, de me redresser. avec sa cravache, il me fait relever le menton pour le regarder, et je soutiens son regard comme une provocation. Je sens le contact du cuir passé sur mes joues, mes lèvres, mes épaules. Puis il me fait écarter les jambes pour passer la cravache sur mon sexe. Il me donne quelques coups de cravaches qui me laissent échapper quelques cris. Il la remet dans ma bouche pour me dire qu'elle servira plus tard. Est ce clair, petit chienne. - Oui Monsieur, c'est très clair, lui dis je. Puis il me demande de m'allonger sur ses jambes et de lui offrir mes fesses. Il est tant de voir comment j'arrive à te faire rougir. Je sens sa main me claquer les fesses. je ne peux me retenir de râler. Il me dit que si je fais tomber la cravache, ma punition sera pire. Il m'ordonne d'aller me placer debout, les mains sur l'accoudoir du canapé, et de me pencher. Suel beau cul tu as petite chienne, je vais prendre à plaisir à vous enculer. Le compte à rebours des coups de cravache commence. - 5 coups. Le premier m'a fait mail, je n'arrive pas à dire 5. - Je n'entends rien , me dit il. veux tu que je le refasse encore plus fort. - Cinq, Monsieur. - Voila qui est mieux, continuons. - Quatre.. - Alors on ne me remercie pas? raille t il. - Pardonnez moi, Merci, Monsieur. - Trois - Deux - Un... je respire, j'aime ce sentiment d'être à sa merci mais la douleur me fait peur. Je sens sa main caressante sur ma croupe. cette douceur laisse place à de l'excitation. Il passe sa main sur mon sexe. - Que tu es trempée ma petite salope... murmure t il. Puis il me reclaque les fesses Je le regarde surprise et interdite. - Alors, on oublie le Zero? Il me redresse, me tient par les cheveux, ma tête bascule en arrière et m'obliga à nouveau à m'asseoir sur mes jambes. Met tes mains dans ton dos. Il m'attache les mains à mes chevilles. Je suis complètement à sa merci. Cela m'excite terriblement, et m'effraie. - Supplie moi de t'enculer. Rien n'ose sortir de ma bouche, je me sens comme timide. Il me tient par la tête. - Ne joue pas les effarouchées avec moi, tu es une chienne. Je vais t'apprendre à tout assumer. Puis il me gifle. - Supplie moi de t'enculer. Je me résigne. - " Je vous en prie, Monsieur, Enculez moi", je veux être votre chienne. Je sens sa queue au bord de mon orifice. J'ai peur. Il ne va pas oser me prendre ainsi? Il mouille son sexe avec ma mouille degouillante. Il me demande de relever mon cul pour avoir une bonne position de putain. Il place un doigt pour préparer mon petit cul serré qui n'a pas connu la sodomie depuis bien longtemps. Je sens sa bienveillance à mon égard, et qu'il ne fera rien en dehors de mes limites, nous en avons longuement parlé et échangé. Puis il place son sexe à l'entrée de mon anus. - Pousse, viens prendre ce que tu mérites, espèce de petite salope. Je sens mon petit trou se dilater, j'ai mal. - tout doux ma belle, prend ton temps, dit il pour me rassurer. cette attention me réchauffe et me rassure. Puis une fois installer dans mon cul, il m'assaille de quelques grands coups, comme pour marquer son territoire et montrer qu'il est le maître, mon maître. - Est ce que tu veux que je te défonce? - Oui, Monsieur, défoncez moi le cul. Je le sens prie par une frénésie, je ne me suis jamais fait pilonnée de la sorte. je sens cette force animale, cette puissance que j'avais ressenti quand je l'ai vu. Il prend possession de moi, de ma chatte, de mon cul, de ma bouche. Une fois qu'il m'a bien besogné le cul, il y place un plug. - je vais te remplir tes petits trous de chienne. Regarde moi comme tu es trempé. Puis il doigte ma chatte avec des va et vient qui me font défaillir, jusqu'à faire gicler ma chatte. Je n'arrive pas à me retenir. Je me sens complètement interdite, sans défense. Ma tête tourne. Puis il me fourre la chatte avec son sexe. - Alors on aime être prise par ses deux trous, quelle bonne salope tu es. Ai je raison? - Oui, Monsieur, je suis une bonne salope. Je vous remercie de toutes ces attentions que vous m'accordez. Je suis complètement épuisée. Il m'a fait jouir comme jamais et m'a emmené sur les sentiers que je n'ai foulé que dans mon imagination.Son Son regard, la manière dont il me touche, me parle, me cravache, me procure des supplices, je sais qu'il prend son temps avec moi. La morsure de sa possession pénètre mon esprit
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